Le fantôme de Churchill a vaincu son biographe

Je suis moins intervenu ces derniers temps parce que je résolvais un des grand mystères caché. Voilà c’est fait.

L’Histoire ne se réécrira pas ,le mythe décisif ne trouvera aucun biographe qui rende grace à sa voracité,elle a mangé tout cru des hommes des femmes des enfants des vieillards par tous les temps,dans tous les froids sous toutes les neiges;sans pouvoir l’expliquer en passant par le col des treize vents ,un de ceux-là a dispersé les feuillets par milliers pour faire des feuilles aux arbres transis des vallées .Les colchiques de chaque automne dans l’herbe abondante répandent l’encre de la mémoire des disparus.

Avec stupéfaction, nous rendons ce matin hommage au prophète de la RdL, l’immense D., qui a su prévoir le bouleversement inoui qui a eu lieu hier !

Car, en effet, la fin du monde a bien eu lieu, hier soir. Epicentre : Marseille/Région PACA, et nulle part ailleurs dans le monde, aussi vigoureusement.

Rappelons les faits. Cette vaste région était jusqu’à présent propriété d’une grande famille unie, les GauGué, qui gérait au mieux une coalition en provenance directe de l’alliance historique datant de la fin de la seconde guerre mondiale entre toutes les « forces actives provençales », collusion riche de diversité, économique, politique et autres activités.

Or, hier soir, arrivé en soupière volante numérique, un nouveau venu extraterrestre, Le Nanard Increvable – échappant à la tour de contrôle ministérielle dirigée par un arriviste incompétent – s’est posé dans un champ nouveau et pagnolesque : le Domaine du Papelard Indigène.

Son intention est claire : enrichir le débat local, au point mort depuis des lustres ! Son propos rassurant : ne pas jouer au Parrain.

Il va sans dire que la famille Gaugué va réagir à cette invasion extraterrestre pour défendre l’immense travail qui fût le sien durant toutes ces années, et bien entendu, nous ferons notre devoir en vous tenant au courant de la suite des évènements.

Churchillien, isn’t it ?

Le Nanard Increvable

Il n’a pas quelque chose du Cavaliere?

la fantôme..peut être qu’on change de sex au finish quand on est mort..jla vois bien en grosse blonde fumant des winstons.. »y’a pas de conclusion, y’a qu’des cons » qu’a dit la grosse emma

La gerbe sera tressée pour D, renato,Bouguereau, castafiore pfff, etc…etc…

Heidegger est mort, courageusement d’ailleurs, sur la lande non loin de Holdernesse Hall. Quant à Abel Bonnard, j’ignorais qu’il s’adonnait à la peinture. Curieux papier, vraiment.

Curieux papier, vraiment

mais non « vaut mieux être un rat vivant qu’un lion mort » .. »on peut encore conclure avec la ratte » qu’il dit jicé..tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir philippe

à preuve du contraire, le peintre c’est Pierre, pas Abel le collabo

« Bonnard hantait les musées pour y « continuer » ses propres tableaux en cachette des gardiens… »

Les légendes ont la vie dure. On a dit ça de Matisse aussi.

Oui, votre remarque est intéressante. Il y a un beau paradoxe dans cette impossibilité de terminer cette biographie de W. Churchill. A quoi est dû cet échec ? Les biographies ne sont-elles qu’illusion ? Ces écritures qui tanguent entre imaginaire et vérité donnent souvent autant à comprendre du biographe que de la vie qu’ils ont choisi de raconter. Comme un interdit à vouloir comprendre toute cette vie qui échappe aux biographes (et là ils ont été nombreux, à commencer par l’intéressé qui écrivit ses mémoires…). Une personnalité discontinue, fracturée par les retours incessants du… « Black dog ». Les doutes arrêtent la plume… Et puis dans celle-ci se mêlent la mémoire historique de le seconde guerre mondiale et le quotidien d’un homme. 10 mai 1940 : premier ministre du Royaume-Uni. 1953 : prix Nobel de littérature « pour sa maîtrise de la discipline historique et biographique »… (6 volumes de souvenirs, 4 d’histoire.)
Je pense à la fin de Citizen Kane. Quel « Rosebud » aura été gardé secrètement dans le cœur de ce grand homme ? Entre présent et passé, de toutes ces constructions il n’est plus que sable sur les plages du temps. Quelques souvenirs le traversent et témoignent d’une présence… qui s’échappe et s’efface dans les remous du présent…

Ah le trio Churchill, FDR, « old Joe » Stalin

Churchill, le seul qui soit digne d’estime (quel coup d’oeil, comparé à ce bourricot de Delano)

« C’est toute la question du syndrome de l’inachèvement chez les créateurs qui est ici en question. Bonnard hantait les musées pour y « continuer » ses propres tableaux en cachette des gardiens… » Pierre Assouline.
Cela fut une force dans la peinture occidentale de l’après guerre. L’inachèvement par la répétition.
En mémoire, car je n’ai pu trouver une reproduction sur la toile, la mise en abyme que celle de peintre Arroyo peignant Winston Churchill Peintre à partir d’une photo représentant Churchill en tra

N ‘étant pzs un contrit buteur à la huedada ,j’ai cherché sur la toile et j’ ai trouvé: A refugee at the age of eight, Porostocky was born in Czechoslovakia to Hungarian parents; his family soon made their way past the Iron Curtain and fled to Canada. After they settled in Calgary, he became a keen student of American culture. “You grow up with American TV,” he says. “It’s hard to ignore. I was always interested in Amer-ican politics. Being a passive observer, you see how polarized the people are.”

Voici la reproduction de la peinture d’ Arroyo,
http://files.myopera.com/viikkomakasiini/albums/12873062/@Arroyo.%60%20-%27Winston%20Churchill%20peintre%27%20-%27Winston%20Churchill%20Painter%27%201969.PNG

Et pour ceux que le sujet intéresse, de la répétition considérée comme un des Beaux-arts par Jean Pierre Naugrette, thèse récente où il est justement mentionnée cette peinture d’ Arroyo.
http://ojs.u-paris10.fr/index.php/tropismes/article/view/181/247

christiane et sz spychologie de bac à sable pour
bisounours à oedipe .A bonne en tendeur
szlut . je vous
lzisse en conversationneurs .amusez -vou .

Cilbe Ira est enregistré dans notre annuaire professionnel à la rubrique « charcutiers ».
Sainte Epine Giorgio de la est enregistré dans notre annuaire à la rubrique « chirurgiens esthétiques ».

For i did not notice:

indeed i did not notice. Shame on me: proofreading is one of my jobs… In English.

« il y a plu triste encore »

Il a plus encore ce matin, c’était triste !

Alec le premier jet,parce qu’après the power of words difficilement détectable si le secretaire
est décidé à user de son petit pouvoir ,vous savez comment c’est,n’est-ce pas?usage et abusage sont les deux mamelles de l’écriture.

Ah zut !vous oubliez de dire le reste,on attend décidément.

 » Car le problème en question ne pouvait être petit ou mesquin eu égard à la personnalité du héros, à l’empathie du biographe pour son sujet, et à l’inévitable débordement de l’un par l’autre. Avec un personnage tel que Churchill, ce ne pouvait être que dans l’excès et la démesure.  »

Très juste. En somme, le secret d’une biographie réussie (c’est-à-dire, ficelée et publiée) est que son auteur conserve, par rapport à son « modèle », un intime sentiment de supériorité, parfaitement crétin, mais salvateur.

@S.F;CertAin
Aprsè la non-fin du non-monde, l’alphabet commencera par Z comme Héraldine parce que Héraldine, c’était moi et ma rock-failure de vie

Biographe de Chateaubriand : je veux être Chateaubriand ou rien. On jugera cette ambition démesurée. Elle l’est, en effet,et ne peut être corrigée que par un paranoïaque mais décisif : je suis Chateaubriand, ce qui fait que je peux réduire Chateaubriand à ce que j’en raconte. Les 649 autres apprentis-biographes peuvent aller voir à la Vallée-aux-loups si j’y suis.

excuses> Is victor

La fztigue me gzgne

bof, beaucoup de chefs d’œuvre inachevés passés à la postérité, une liste à donner le vertige, et des tonnes de livres « finis » et sans intérêt qui disparaissent des esprits aussitôt parus. De l’ombre à la lumière et inversement.
le demain jugera l’aujourd’hui, les frustrés ne sont pas toujours qui l’on croie. l’énergie que l’arriviste met à paraître dissimule mal son impuissance. il y a des ambitions plus hautes que d’autres.

la citation du jour: « il pense qu’il est arrivé? eh bien, il n’était pas parti pour aller bien loin! »

Un petit café serré et ça repart, Zeralda. Sinon une bonne sieste vous requinquera, vous verrez.

On va arriver péniblement à 250 commentaires si Dexter ne vient pas rapidement nous parler de Musil et de trois ou quatre idées personnelles sympas …

Pour les fafs , y a qu’un seul Bonnard, Gestapette de son surnom, fumier entre les fumiers…l’inculte aveugle du Paraguoin se distingue grave, pas gagnee sa reconne quequette…Ze fun!

Ben JC ! Dégage…!

une explication précise de l’auteur aux questionneurs :
 » »I used to write, be able to think, a dozen paragraphs ahead; I would jot down little symbols to remind me what was coming next, » Mr. Manchester said.  »I couldn’t write fast enough. »

je sais pas j’y étais pas

excusez mon matériel semble rétif et prompt à occasionner des disparitions ,peu importe c’était sans prétendre à vous capter plus longtemps en revanche je n’ai pas compris si à la fin vous ne swinguiez pas?vous ne twistez pas à moins que ce ne soit twittez?De plus je n’avaix jamais encore lu cette idée que vous laissez à disposition et exposant les com de PA comme autant d’explorations de symdromes qui se composent de symptomes en assemblages repérables en diagnostic,la littérature atteignant tous les domaines de la vie et plus d’ailleurs ,pourquoi pas votre vision de la chose que je ne partage pas n’éprouvant pas bien qu’y portant attention ce besoin de définir par l’apposition, d’un étiquettage.Pensez vous que ce puisse devenir l’origine d’une des frustrations que vous tentez de m’octroyer sans d’ailleurs que nous ayons fait connaissance d’aucune façon répertoriée à ce jour .pourquoi cette supposition?Vous procure-t-elle du plaisir?Si oui ,veuillez prendre note de ma satisfaction,je déteste déplaire et si en cette posture vous y trouviez de quoi apaiser votre soif ,entendez mon sentiment discret tout en bonheur.

Je le trouve un peu simplet, ce tableau d’Arroyo. Renato ferait mieux.

Chuchill pour son opposition a l’UVF et aux unionistes en 1913, grand courage; pour son opposition ulterieure au Sinn Fein et au nationalisme irlandais, aussi limite que tous les politiciens anglais de base quand il s’agit de solder le legs colonial irlandais ; c’eut ete trop intelligent d’eviter une guerre apres la der des der, suivie d’une guerre civile aussi sanglante qu’inutile.

Gandhi, avocat, s’est battu en Afrique du Sud pour les droits des Indiens… Aucun souvenir d’une rencontre sur « champ de bataille » avec Winston. A vérifier plus tard…

on dit intraductible

Qui sait si le black dog dont il a souffert toute sa vie, ses crises de mélancolie récurrentes n’a pas déteint sur son biographe. C’est toute la question du syndrome de l’inachèvement chez les créateurs qui est ici en question.
peut-être pas seulement ça , qu’on s’imagine identifier assez facilement .
l’autre versant : ». Une oeuvre d’art n’est jamais terminée : elle est juste abandonnée. Et si sa vocation était de demeurer définitivement inachevée ? »pourrait être plus convaincant .

et si en cette posture vous trouviez de quoi apaiser votre soif,entendez mon sentiment…le « y » n’a pas sa place,c’est une erreur de synthaxe .

ta gueule keupu

Encore un échec de l’école …

D’un autre coté il semble absolument évident que toutes ces oeuvres accrochées au Louvre,simple exemple,ne sont que de vulgaires croquis et que la BNF est remplis de brouillons qui n’attirent plus que le regard de quelques accadémiciens sans age et en mal d’erection.

ruineraient,pardonnez mon inattention.

@ « Une oeuvre d’art n’est jamais terminée : elle est juste abandonnée. Et si sa vocation était de demeurer définitivement inachevée ? »:
Intéressant sujet de conversation, voir de dissertation.
L’artiste doit à un moment quelconque considérer son travail comme achevé par lui-même et en mesure d’être ponctuellement complétée par, en l’occurence, le lecteur.
Tous les biographes ne sont pas des artistes, comme les architectes, seuls les meilleurs peuvent ajouter la valeur ajoutée de l’art à une biographie. Combien d’artistes parmis les architectes ? Les plus grands bien sûr. Pour les biographes, ceux qui ne se rapportent qu’aux faits vérifiés sont une catégorie et ceux qui s’en rapportent aussi aux Hommes derrière les personnages racontés, sont une autre catégorie.
Winston Churchill est un océan, l’Homme Politique passe largement devant l’homme privé.
Un peu comme De Gaulle, que sait-on de leurs viscères ?

Amusant ce choix, d’un journatliste du Palm-Beach Post, pour terminer un sujet aussi vaste…
Palm-Beach Post, le quotidien de la ville de villégiature la plus snob des USA

Eviter la der de der ?! Mais …. je prépare la prochaine !

Acceptez vous l’invitation au développement de votre pensée dense et claire comme un non-sens?je possède une chambre noire pour l’argentique équipée comme il se doit d’un voyant rouge à l’entrée pour protéger le travail de toutes intrusions qui nuiraient à la perfection des images.Ce que vous avancez est une révélation!rarement lu une phrase aussi lumineuse et impliquant des ramifications comme un plan du métro,nous allons refaire le monde comme vous y etes!

Personnellement, j’échangerai bien d’aucun, ici présent clapotant dans sa nullité, contre un homme d’Etat comme Winston malgré le fait qu’il soit aussi tordu qu’un Anglais puisse l’être…

jicé comme cryptococo il a dla route..avec sa vespa

Tu pousses tout au noir.

Chacun sait que si JC a eu une jeunesse trotkysante, c’était avec discernement (elles étaient moches chez les Frankistes, souvent belles chez les Lambertistes).

Aujourd’hui, je ne nie pas que je l’ai observé prendre des libertés avec sa position de centre-gauche pour devenir carrément centriste, mais il sait ne pas aller au-delà.
Il s’agit seulement, devant des choix difficiles, de ne pas trop désespérer Bettancourt.

ta maîtresse de communale t’a pas cloqué assez de mandales quand t’étais moutard, le gros. Avant de poster tes coquecigrues à la noisette, tu devrais repiquer à la dictoche fissa et sans renauder, gamin. Et vas-y mou sur l’andouillette avant Noël.

Il me semble que ce fut lors d’une bataille de la deuxième Guerre des Boers (1899-1902). Gandhi y était comme infirmier ; Louis Botha y était aussi.

Vous croyez, à tort, que l’humain raisonne. Faux ! Il se contente de désirer ! Puis, il bâtit un dossier qui se tienne, pour justifier ses choix. Votre sujet porquerollais n’est qu’un dévoreur d’émotions, sans la moindre conscience autre que stomaco-sexuelle.
PS : Mon lait, parfait, n’est en rien attaquable en justice. Epargnez nous votre juste ressentiment !.

Vous êtes vraiment la nourrice de JC ?

Je suis bien d’accord avec vous, renato. Il faut savoir pardonner.

Et vas-y mou sur l’andouillette avant Noël

..non y’a pas de wishbone dedans..à donf et plein ecran sinon vous verrez pas la spéciale gueste dédé à la batterie..
https://www.youtube.com/watch?v=sfnzC3Ug5OU

ta tronche, boudegras

Autant l’andouillette molle, lorsqu’elle pavane au sommet devant des courtisans riant sous cape est détestable, autant l’andouillette de banlieue, molle à souhait, est un mets de choix pour un aristocrate libertin en goguette, surfant sur le déni des religions.

Si la situation du paquebot France ressemble à celle du Titanic après contact avec l’iceberg de la réalité -on continuer à couler, mais on coule en musique- celle de l’Egypte est aujourd’hui celle d’un pédalo sans vie, sans espoir, sans avenir… un pédalo Costa, couché sur son flotteur laïc, crevé de toutes parts par les théocrates imbéciles.

OUI oui oui ce commentaire sur le commentaire initial ouvre à un débat d’idée plus interessant qu’un déballage,il nous élève à l’étage supérieur qui comme vous l’avez remarqué ,Blandine,a bénéficié d’ouvertures en forme de fenetres,c’est mieux pour recevoir un peu de lumière naturelle.

Une pomme par jour éloigne le médecin, pourvu que l’on vise bien.

W.Churchill

Ne plus,ne pas désirer possède un autre mot :Depression.La depression assez facilement identifiable par la présence d’idées dites noires ,d’idées suicidaires.Là où le dsir trouve une place la vie s’installe ,bien sur le désir a besoin d’une garde robes variée sinon s’il ne s’agit que de désir qui conduit dans un lit ou un autre on parlera d’obsession,ou de consumérisme affectivo-sexuel.

Une pomme par jour…A quoi donc employait-il ses pommes?A dégommer les indésirables?En temps de guerre plus facile pourtant de faire usage d’un révolver!tout est pardonné ou inclus dans un « blood count ».

AFFRONTER
TROUSSER:faire,expédier rapidement et habilement.
Les derviches au Soudan? je doute,pardonnez-moi de vos sources fantaisistes.Il aurait poussé jusqu’en Afrique du sud?Là je ne me demande meme plus avec quoi vous remplissez vos journey.L’alcool tue comme le tabac,les accidents de la route,le cancer,le chagrin,la stupidité par ses conséquences en chaine un peu comme ses sucresen Domino ,il suffit d’en déséquilibrer un seul pour déclencher la chorégraphie de l’affaissement poussé à un point de l’étude enviable mais bon pourquoi pas après tout,vanité tout n’est que vanité .Il existe aussi les avaries de tous genres et les avanies indénombrables indémembrables,ce qui amoindrit l’effort collectif et individuel quand ça s’y met.C’est,convenez avec moi,dommage,grandement dommage,nous sommes inconsolables et stupéfaits d’enregistrer les conséquences un peu d’ailleurs comme dans ce film Culte »BRAZIL » jetez-y à l’occasion un oeil ou les deux,c’est malheureux et désopilant à la fois.Bonne séance!

« Heidegger est mort sur la lande »

Trop fort, M. Régniez, personne n’y comprend rien.

C’est un message personnel de Radio Londres?

Pour rassurer ses lecteurs et son éditeur, autant que pour se rassurer lui-même
l’inachèvement est donc angoissant pour tous également, comme présage
I.Babel
 » ils ne m’ont pas laissé finir. »

? Reste à savoir qui l’est le plus, de l’auteur ou du lecteur ou de l’auteur. Pour ce dernier,

l’zuteur 2fois plus , ou en premier et dernier ressort?

Capucine!quelle surprise je ne vous avez pas remarquée!Comment va votre gros qui n’ose plus se montrer en votre compagnie depuis la dernière soirée,quelle peine tout de même à ne jamais vous voir ensemble,vous devriez demander de l’aide,ne le laissez pas s’isoler ainsi,c’est mal.

Le petit déjeuner en redoutable épreuve pour le couple quel-qu’en soit l’age ,pour l’avoir vécue j’en conclue que si du face à face un spectre vous parvient,c’est cuit!inutile d’insister , prendre contact avec votre meilleure amie ne serait-ce que pour une soirée sans hommes à séduire en simple stimulant,aucun homme ne mérite ce regard halluciné.

Paul Reid semble tout de même s’être acquitté d’un immense boulot avec ce livre si l’on en croit les liens vers lesquels renvoie le billet. il serait dommage que les churchilliens français ne puissent pas profiter d’une traduction. le choix de Reid était sans doute idéal, il pouvait poser un regard neuf sur l’homme. maintenant, il faudrait que quelqu’un se dévoue pour écrire un maître livre sur la pensée politique de Churchill, afin qu’il la mettre à l’épreuve des faits, du réel, aujourd’hui, alors que la grande Histoire se repose.
le verbe de Churchill faisait volontiers écho à des mots-concepts tels que le « service », la « justice », le « droit ». les utilisait-il comme des outils de domination parce qu’il craignait d’être dominé lui-même par les évènements, ou en avait-il une haute et noble conscience ? son style oratoire était une véritable arme, le double tranchant, toujours une éventualité qui le guettait.
le bout du cigare du dessin fait penser à la manière dont Churchill sut faire rendre des comptes à l’empire du soleil levant, Reid doit écrire des choses passionnantes là-dessus. d’ailleurs si les biographes ont tant de mal à finir leur étude sur le personnage, il est amusant de se dire que Churchill lui-même était confronté à une fin qui ne finissait pas (comme il existe un certain passé français qui « ne passe pas », selon l’expression désormais proverbiale), à un coucher de soleil en train de se produire, celui de son cher empire britannique. l’heure du soleil nucléaire américain (au sens où il reprenait le flambeau flottant au coeur du noyau de « l’anglosphère ») avait sonné.
Richard Toye avait essayé d’écrire ce genre de bouquin, il avait commis une somme assez ennuyeuse au bout du compte.
lorsqu’on parle de Churchill, on est un peu obligé de repenser à Hitler et à tous ceux qui ont écrit sur lui. l’un des premiers d’entre-eux (justement un ex-assistant du premier ministre anglais pendant la guerre), Alan Bullock, avait publié deux livres stimulants (dès les années cinquante) sur le dictateur nazi. Bullock, avant tous les autres, mettaient en lumière tous les ressorts psychiques et les techniques politiciennes qui permirent au braillard de tavernes de devenir un maître comploteur, et de conniver, comme un poisson dans l’eau, à volonté dans l’Allemagne de Weimar.
Churchill aura écrasé son adversaire dans l’écriture également, on peut le relire avec profit alors qu’on perdra toujours son temps avec le pseudo-livre d’Hitler qui est sur le point de tomber dans le domaine plus ou moins public.

« … Alan Bullock, avait publié deux livres stimulants (dès les années cinquante) sur le dictateur nazi. Bullock, avant tous les autres, mettaient en lumière tous les ressorts psychiques et les techniques politiciennes qui permirent au braillard de tavernes de devenir un maître comploteur, et de conniver, comme un poisson dans l’eau, à volonté dans l’Allemagne de Weimar. »

Je brosse la bête dans le sens du poil. Très intéressant, captivant même.

C’est peut-être que, dans certains domaines rassurez-vous, vous n’avez pas une culture littéraire suffisante.

Le libre échange c’est épatant, mais je dois encore changer de livre en cours de lecture et cela peut parfois être désespérant. Pas de quoi s’arracher les cheveux néanmoins, ce ne sont pas des implants.

Je pense pouvoir rajouter une sixième et une septième engeance, après mûre réflexion : les grands couturiers ou stylistes de modes et les parfumeurs.

Touché.

 » Bien plus que ses articles et ses théorèmes, l’intuition d’un mathématicien est la véritable œuvre de sa vie. Je ne peux parler que de ma manière de travailler  »
david bessis mathématicien et poète
http://www.liberation.fr/culture/01012384736-l-intuition-mathematique-c-est-comme-une-transe

Rimes en dit :

audit
dit
bandit
contredit
crédit
discrédit
dit
dédit
interdit
inédit
maudit
dit
dit
crédit
prédit
susdit
édit
érudit
…

Faites-vous une raison W: tout le monde vous trouve bête. Vous n’avez pas d’amis?

Le boug , t’aural compris que je parlais de la guerre anglo-irlandaise , 1919-1920, prelude a la guerre civile terminee en 21,22, avec la vivisection de l’ile dont les effets se font encore sentir today …
Ken Loach peut aider , Roddy Doyle aussi , dans A Star Called Henry .
Pas demander trop aux bourrins .

Tout de même !
Ne pas être capable de paramétrer un blog (prestigieux…)et sa fonction « Répondre » ! Et vous voulez qu’on admire nos webmasters nationaux : des jean-foutres !?

« vous n’avez pas d’amis? Et bien pour vous dire oui j’ai des amis nombreux mais je crains d’avoir abuser du dernier en date hier soir assez tard d’ailleurs ,après avoir refermer mon livre d’images, en une série de mouvements ne figurant pas au Kamasutra ,je ne parviens pas à cette heure à réveiller son sentiment mais mon capital important me met à l’abri du besoin,Dieu merci!

De la part du défunt Nobel de littérature 1953, Sir Winston C., au futur Ig-Nobel d’économie politique 2013, Sa Suffisance François H. :

« Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. »

« On considère le chef d’entreprise comme un homme à abattre, ou une vache à traire. Peu voient en lui le cheval qui tire le char. »

Malgré que vous soyez un fin-du-mondiste, vous n’avez pas changé, votre pensée est toujours aussi brillante.

Vous m’accusez de confusion ? Mais qui êtes vous, TKT ?

« On considère le chef d’entreprise comme un homme à abattre, ou une vache à traire. Peu voient en lui le cheval qui tire le char. » »

Le chef d’entreprise est un héros de la réalité, sans lequel rien ne serait possible, et ses esclaves qui osent le critiquer et vouloir se passer de ses grandes bontés sont pis que des ingrats: des monstres

Accuser, ce verbe me semble peu approprié.
Vous semblez en plus avoir des problèmes que je n’ai pas, vous signez avec des pseudos simplets.
Je vous souhaite une journée au soleil, comme moi.
TK, Western Cape, ZAR 23.12.2012 GMT + 2

Comment va Mandela, TKT ?

@ fantome de Winnie

Les accents circonflexes, c’est pour les chiens ?

Non, je ne suis pas D. Bien au contraire.

Bonne fêtes à tous.

Quand on en est lâ … c’est qu’on est plus qu’une vîoque débîle !

En anglais Ghost c’est plus simple et ça a donné the ghost writter cette année ,avec cet acteur qui fait penser à Eric Chevillard,ne trouvez-vous pas que ce blond ferait craquer la terre entière à condition qu’elle ne soit plus occupée que du genre féminin?

Oui parce qu’il y a aussi des vieux sensés ,l’autre jour j’ai rencontré un vieux frère malade qui avait eu la chance de pouvoir aborder Jacques Derrida ,des gens comme ça et puis il gisait là avec son grand age et toute sa raison,comme quoi…Je me souviens aussi d’un vieil universitaire italien,lui avait tout perdu la mémoire et le droit de vivre chez lui,sa femme lui avait imposé son amant puis l’avait placé .

W,
Le Diable se niche dans les détails : les cons et les petit(e)s, aussi.

Je ne suis pas croyante au sens religieux du terme ,pour résumer et compresser je crois plutot que nous soyons mal partis,il n’empêche qu’il conviendrait que chacun fasse du mieux possible mais certains éléments de l’ensemble sont mauvais par nature,il en a toujours été ainsi ;vous pouvez bien sur voir en eux des représentants du diable mais ça fait assez ancien testament et actuellement nous en sommes rendus à une ère composites,je crois que la psychiatrie pourrait stabiliser certains de ces mauvais éléments s’ils étaient recensés mais ils ne le sont pas,en fait on remarque qu’il est beaucoup plus facile pour un homme riche de flirter avec le « crime » que pour un homme pauvre,ils se font prendre après bien sur on a besoin d’exemples ou de bouc émissaire de temps à autres,il faut pourvoir au désir du peuple qui réclame justice ,alors on en taupe un et on le met à rotir sur le grill !

tiens encore une commère !

J’éprouve une haine profonde, instinctive, irrépressible, pour le fantôme de Winnie. Je pense que ce sont des gens comme elle qui mènent l’Europe vers le chaos. Si nous les laissons faire, le désastre est assuré.

Le désastre est assuré, quoiqu’on fasse…

« Le fantome de Winnie a encore frappé ! » a du sang sur les mains, il faut le savoir. Et de l’œuf au coin de la bouche.

Halloween c’est en novembre,vous avez trois trains de retard!les passagers attendent que vous cessiez votre gore texte