La guerre vue par le regard des appelés d’Algérie
De tous les points de vue exprimés dans des livres sur la guerre d’Algérie, c’est encore celui des appelés qui fait le plus défaut. Il y a bien des témoignages mais isolés, parcellaires et le plus souvent littéraires. L’originalité de Lettres filmées d’Algérie (inclus un DVD-vidéo de plus de 2 heures d’archives, 360 pages, 35 euros, nouveau monde éditions) est de nous inviter à faire un pas de côté car on voit toujours mieux de biais. Grâce à l’historien Jean-Pierre Bertin-Maghit, auteur déjà remarqué pour ses recherches sur les documenteurs de l’Occupation, on ne contente pas de les écouter parler : on voit ce qu’ils ont vu. Le contre-champ de la guerre d’Algérie.
Par « lettres filmées », il faut donc entendre des films conçus sur un mode intimiste et autobiographique. Des instants de vie, des fragments de réel, des instantanés de l’intime, des ressentis d’anonymes, exemple de micro-histoire qui permet de se livrer à une contre-analyse de la société. Le corpus, tenu par l’auteur non pour une source mais bien comme un objet d’histoire, réunit 72 films réalisés par 38 soldats du contingent. L’auteur leur a projeté leur propre film, en se servant parfois à leur demande de leur propre projecteur, et ils les a fait réagir.
Ces appelés, parmi lesquels les hommes de troupe côtoient officiers et sous-officiers, ont préféré la caméra 8 mm à l’appareil photo. Ce qui était rare à l’époque. Ils privilégiaient le mouvement, fût-ce pour montrer l’inertie, l’immobilité, la stagnation du temps qui ne passe pas ou si lentement. La matière de leurs films peut se diviser en trois catégories : le temps du loisir et du repos (méchoui et compagnie), le regard porté sur l’Autre (les Algériens musulmans), la guerre (opérations commandos, fouille des prisonniers etc). Mais si tout ou presque y est des instants d’avant et des instants d’après, l’acte de guerre dans ce qu’il a de plus spectaculaire est absent. Au feu, ils ne filment pas : ils tirent, contrairement aux futurs cinéastes sous les drapeaux, armés d’Arriflex 35 mm, frais émoulus de l’IDHEC tel Robert Enrico, Claude Lelouch, Philippe de Broca à la suite d’un Pierre Schoendorffer en Indochine.
Quand la mort entre dans les images des appelés, c’est par effraction. Ils étaient venus maintenir l’ordre, pacifier et puis… Les images qu’ils ont envoyées en métropole forment, une fois colligées, un saisissant décor de guerre : Atlas sahraoui, montagnes du Hoggar, relief de la Kabylie, gorges des Aurès… Un théâtre dont l’historien souligne qu’il dispose de « sa propre consistance », laquelle lui confère déjà sa singularité par-delà la nature des événements. Cette topographie fantastique est la première vedette de leurs films d’amateurs, non les embuscades, les combats au corps à corps, la torture. S’ils ont vu ces scènes, ils ne les ont pas retenues. Pas voulu plutôt que pas pu. Parfois un cadavre de fellagha gît au sol : on le voit mais on ne voit pas ce qui l’a précipité là. Mais l’indifférence des soldats français face aux cadavres est frappante. On dira que c’est la guerre, pareille des deux côtés. Mais rien à voir avec la violence des années 39-45, ces appelés en sont plus que conscients.
« Pour celui qui a été tué, c’était la guerre, pour celui qui est revenu avec ses souvenirs, c’était une guéguerre » dit l’un d’eux.
Insatisfaits de leurs « tournages », ils se reprochent de n’avoir enregistré qu’une petite partie de leur vécu. Ils ont fait cela pendant vingt-sept mois entre 1955 et 1962. Jeunes pour la plupart, à peine 20 ans, à l’exception des rappelés, sursitaires, gradés d’active, réservistes. Ils n’avaient d’autre ambition que de donner des nouvelles à leurs familles, voire de les rassurer. Alors la pétanque à Blida, l’élection de Miss Metlili le marché de Télergma sont mises en valeur sans pour autant masquer les patrouilles dans les djebel, les retours d’accrochage avec l’ennemi, le quadrillage et la contre-guérilla.
L’air de rien, en confrontant les images d’hier aux paroles d’aujourd’hui, le livre de Jean-Pierre Bertin-Maghit écrit la chronique des appelés d’Algérie, mais avec les yeux. Il donne bien la mesure de ce temps long, très long, vingt-sept mois interminables. Son récit, et surtout le DVD qui y est joint, recueillant les films en question, livrent une vérité de la guerre des appelés en Algérie que les archives ignorent : leur regard.
(« Images extraites du DVD Lettres d’appelés »)
990 Réponses pour La guerre vue par le regard des appelés d’Algérie
non seulement vous ne la trouverez pas dans les livres d’histoire mais en plus cette histoire là n’a fait l’objet d’aucun film ni d’aucun reportage, alors qu’elle permettrait d’éclairer pas mal de choses, surtout vis à vis de ces gamins éduqués par des résistants obligés de rester en France parce qu’ils pouvaient pas rentrer chez eux, si on leur explique cette histoire, hop ! tout s’expliquerait, mais c’est un aspect de l’histoire qu’on a préféré garder sous silence, pour ne pas heurter les sensibilités, et les consciences, un vrai sac de noueds que l’Hisoitre.
et surtout le poids de la culpabilité, qui empêché les historiens d’expliquer cet aspect de la guerre d’Algérie aux enfants de ces résistants algériens qui étaient restés en France que parce qu’ils ne pouvaient pas rentrer dans leur pays.
et ça c’est grave, par les non-dits, c’est comme les secrets de famille, ça se transmet d’une génération à l’autre, et tant qu’un historien, plus courageux que les autrs, n’aura pas le courage d’expliquer à ces fils, et petits fils de résitants algériens qui ont combattu à partir de la France pour l’indépendance, tant qu’on leur expliquera pas que leurs parent ne sont pas rentrés au pays non pas parce qu’ils avaient le choix de travailler pour leurs anciens colonisateurs mais simplmeent parce qu’entrer chez eux signait leur arrêt de mort.
« un vrai sac de noueds que l’Hisoitre »
Là il faut dire que tu te prends les pieds dans le rideau.
Et, chez nous, en métropole, les « porteurs de valises » étaient-ils des traitres à l’égal des harkis ?
« non seulement vous ne la trouverez pas dans les livres d’histoire mais en plus cette « histoire là n’a fait l’objet d’aucun film ni d’aucun reportage, alors qu’elle permettrait d’éclairer pas mal de choses, surtout vis à vis de ces gamins éduqués par des résistants obligés de rester en France parce qu’ils pouvaient pas rentrer chez eux, si on leur explique cette histoire, hop ! »
C’est marrant ça.
Tout à l’heure j’ai eu une communication téléphonique. Une personne intimement liée au milieu des salles obscures.
Et tu sais quoi ?
J’ai repensé à un film, dans ces années de guerre ici chroniquées, où l’instit’ est en fait un résistant militant.
J’y ai repensé à cause du décor.
Le film s’appelait Beauregard.
Boutef’ est à présent le Katechon (2 Thessaloniciens) de l’Algérie.
Celui qui précipite la catastrophe ou celui qui la diffère?
La communauté franco-algérienne est un rêve colonial qui trouvera sa réalisation paradoxale dans l’ancienne métropole.
Passionnant!
Glucksmann, quel drôle de zigotto, sympathique malgré tout.
Il publie jeune « Le discours de la guerre » sur Clausewitz.
On ne lit plus ça, mais on lit le chef d’oeuvre en deux volumes de son maître Aron sur le même sujet.
C’est comme si on pouvait prédit à l’avance, dans la conjoncture du temps, ce que son radicalisme devait lui dicter dans sa lecture du Prussien: l’absolutisation de la guerre, contre-sens développé dans une proximité avec Hegel, à l’ombre du grand Chinois (grand par les dégâts).
Le titre était déjà poilant.
Le « discours » de.
Cette notion n’avait aucune consistance, elle n’était que l’effet de la fascination exercée sur les esprits par la rhétorique flamboyante de Foucault.
A l’université de Vincennes les psy présentaient leur enseignement comme un « discours de l’inconscient »…
À cette époque un livre sur la gastronomie aurait pu se vendre sous le titre: Le discours des saveurs.
Si j’en crois mes souvenirs de lycéen, le mot « discours » avait un effet érotisant et favorisait la drague en café.
Dix ans plus tard, c’était fini.
Attila dit: 10 novembre 2015 à 20 h 42 min
Et, chez nous, en métropole, les « porteurs de valises » étaient-ils des traitres à l’égal des harkis ?
La trahison est par excellence une relation ternaire.
A trahit B au bénéfice de C.
Attends voir, que j’arrive à rapprocher les uns et les autres.
La structure est la même, en tout cas.
Sur le mot « à l’égal », on peut faire du pilpoul.
Selon le commissaire Shura de la police judiciaire d’Yvetot, la 317e section serait commandée par Marcel, ex-matheux à Mont saint Aignan, où Hervé Bazin vipérait au poing. Une incertitude demeure: fréquentait-il Mazauric?
Le jour où je vous suivrai, hamlet, les poules auront des dents avec des couronnes en or et pondront des œufs en Plutonium 239. Vous êtes cependant cultivé et sympathique, mais vous me les broutez, je n’y peux rien.
En France on a la chance d’avoir eu de grands penseurs ou de grands historiens, qui sont en même temps de véritables écrivains, et d’excellents écrivains : Foucault, G. Duby, Diderot, Rousseau, etc. Les Allemands n’ont que des bêtes de textes.
Emmanuel Terray, de l’EHESS l’a repris, le discours de Clausewitz pour l’inverser. On ne s’étonnera pas qu’il soit communiste. Et Juif comme Glucksmann.
Clausewitz, Fayard, 1999.
Il y a aussi quelqu’un qui a inspiré Clausewitz : Thomas Hobbes, Le Leviathan.
La guerre n’est qu’un concept pour penser les rapports sociaux et en tirer les conséquences les plus contradictoires.
On voit bien qu’en fait, personne ne sait comment fonctionnent les rapports sociaux. Il y a bien lutte des classes, et en même temps il n’y a pas lutte des classes. C’est pas fait pour nous rendre la vie plus claire tout ça…
Par exemple la réforme Belkhassine est bien une conséquence de la lutte des classes. Mais on est incapable d’entrer en lutte pour foutre cette réforme de m… en l’air… Alors…? Les penseurs ne nous aident guère à vivre mieux. C’est la conclusion qui s’impose, non !
« D. dit: 10 novembre 2015 à 21 h 35 min
Vous êtes cependant cultivé et sympathique, mais vous me les broutez, je n’y peux rien. »
faux! yéssoui ni cultivé ni sympathique, par contre j’aime bien te les brouter parce que je ne t’aime pas.
Widergänger dit: 10 novembre 2015 à 21 h 56 min
surtout d’excellents écrivains, Rousseau étant le meilleur.
l’Histoire, comme la philo, comme la sociologie, comme l’ethnologie, comme l’économie, comme le reste ne sont que des genres littéraires particuliers au même titre que le polar et le reste.
…
…D,…à 21 h 35 min,…
…
…je vous soutient, dans vos approches immédiates,…contre les évidences des pouvoirs à éliminer,…pour avoir du plus blanc gratuit,!…
…etc,!…
Michelet est un excellent romancier, Braudel aussi.
Les Allemands n’ont que des bêtes de textes.
—
Pas toujours, ML, Nietzsche, Walter Benjamin & Jünger sont de merveilleux stylistes, non? Lichtenberg aussi.
Côté anglais, Bacon, Hobbes, Charles Lamb, Burke, Ruskin, Walter Pater, Orwell, Hitchens, pour faire court, sont de grands écrivains.
Roland Barthes & Artaud le Momo, c’est du grand art.
Widergänger dit: 10 novembre 2015 à 22 h 08 min
Et Juif comme Glucksmann.
Pardonnez moi, WGG, Terray n’est pas juif.
Ce fils de grand bourgeois a publié dans le Monde un article sur un problème qui devait l’obséder.
« Pourquoi moi, fils de grands bourgeois, qui n’ai jamais dans ma vie rencontré de problèmes véritables, ai-je vécu sous l’impératif de la radicalité et de l’engagement pour d’autres que moi? »
Son livre sur Clausewitz ne modifie pas essentiellement la réflexion sur le Prussien.
(Sur le thème de la réception de Cl. chez les Français il faut voir la thèse du colonel Benoît Durieux, c’est excellent, notre armée comprend des officiers d’élite, et le colloque sur Cl. à Coëtquidan, ce n’était pas rien).
Quant à son bouquin sur « penser à droite » c’est pour moi une compilation utile de clichés.
Mais j’ai lu ça vite, je le reconnais.
Vous n’êtes pas gentil, hamlet. Cela m’attriste profondément.
Mais si ! Je l’ai fréquenté, Emmanuel Terray, à l’époque des luttes de sans-papier. Emmanuel Terray a même écrit un beau livre sur sa mère juive, originaire de Berlin.
On se documente avant d’objecter des inepties…
Vous devriez le lire de bouquin d’Emmanuel Terray, au lieu de dire n’importe quoi. Il est clair que vous ne l’avez pas lu.
Je me demande quel jeu vous jouez avec moi…
Pas toujours, ML, Nietzsche, Walter Benjamin & Jünger sont de merveilleux stylistes, non? Lichtenberg aussi. (Bloom)
_________
Oui, c’est vrai. Mais justement, c’est qu’ils sont plus français qu’allemands.
Comme bêtes de textes, je pensais évidemment aux Kant, Hegel, Schelling, Fichte, Heidegger, usw…
hamlet dit: 10 novembre 2015 à 23 h 07 min
Michelet est un excellent romancier, Braudel aussi.
__________
En effet, tout à fait d’accord.
Petie revue de presse internationale sur la mort d’André Glucksmann:
http://www.theguardian.com/world/2015/nov/10/french-philosopher-andre-glucksmann-dies-at-78
http://www.bbc.com/news/world-europe-34774533
http://www.themalaymailonline.com/read/article/french-philosopher-andre-glucksmann-dies-family-confirms
http://www.dw.com/en/french-philosopher-andre-glucksmann-dies-at-age-78/a-18840968
http://www.ndtv.com/world-news/french-philosopher-andre-glucksmann-dies-1242118
http://www.faz.net/aktuell/feuilleton/debatten/franzoesischer-philosoph-andre-glucksmann-gestorben-13903781.html
http://cultura.elpais.com/cultura/2015/11/10/actualidad/1447141872_382713.html
Walter Benjamin & Jünger étaient très francophiles, il est vrai. Dans les années 30, le rejet de l’intelligentsia française à l’égard de Benjamin, magistralement documenté par JM Palmier, est indigne. Jünger, lui, a pu laisser libre cours à sa francophilie active (bedites démoizelles gomprizes) en tant qu’officier de l’armée d’occupation. Etrange bonhomme, pas tendre avec les collabos qui l’invitent à sa table, plutôt clément pour Cocteau & Guitry. Voit dans Merline (Céline) un dangereux monomaniaque…
Widergänger dit: 10 novembre 2015 à 23 h 31 min
Mais si ! Je l’ai fréquenté, Emmanuel Terray, à l’époque des luttes de sans-papier. Emmanuel Terray a même écrit un beau livre sur sa mère juive, originaire de Berlin.
Dont acte.
Entre nous, quelle épouvantable concept politique que ces « sans papiers ».
À moins d’être un idéologue doctrinaire comme Badiou (mais E.T. est son pote), il faut bien aujourd’hui constater le naufrage d’une telle catégorie.
Bloom dit: 10 novembre 2015 à 23 h 54 min
Dans les années 30, le rejet de l’intelligentsia française à l’égard de Benjamin, magistralement documenté par JM Palmier, est indigne.
« Indigne » n’est pas approprié.
« Infiniment regrettable », sans aucun doute.
Rien de magistral non plus chez Palmier, comme chez Faye père.
Documenté, oui.
Widergänger dit: 10 novembre 2015 à 23 h 33 min
Oui, c’est vrai. Mais justement, c’est qu’ils sont plus français qu’allemands.
Le contraire de Rousseau, cet étrange teuton francophone.
Les penseurs ne nous aident guère à vivre mieux. C’est la conclusion qui s’impose, non ! (WGG)
Au coin du bon sens.
Mais après avoir dit oui, je dit non.
— Si. Certains nous aident à vivre, fût-ce de manière infinitésimale.
(Comme chez les littéraires, cette étrange tribu, les romans par exemple).
Est-ce que « sans-papiers » est un concept politique ?
Non.
C’est une réalité juridique, c’est tout.
On ne fait pas une politique de sans-papiers. Le concept politique c’est « immigrant ». Une politique migratoire, ça existe. Bonne ou mauvaise. En ce moment précisément sur ARTE, on est en train d’en parler justement.
Des penseurs ont pu m’aider à vivre : Nietzsche, Clément Rosset, Pascal. Pourquoi ? Parce que ce sont des penseurs qui apprennent à vivre dans l’impossibilité de penser quoi que ce soit.
Je voulais dire précisément que des penseurs qui prétendent penser positivement quoi que ce soit, échouent à nous aider à vivre.
Seuls nous aident à vivre les penseurs qui détruisent la pensée comme possibilité qui s’offrirait à la tranquillité de l’esprit. Pascal, notamment, est le plus inquiétant des penseurs. Non seulement il détruit toute certitude mais détruit la raison même comme moyen de rationnaliser le monde. Il nous place devant le mystère de la vie et du monde. Et c’est en cela qu’il nous aide à vivre paradoxalement. Il opère une sorte de psychanalyse de la pensée humaine en nous convaincant qu’il n’y a pas d’autre issue que d’affronter le mystère pour ce qu’il est sans espoir d’y comprendre quoi que ce soit. Mais ce n’est pas parce qu’on n’y comprend rien qu’on est malheureux. Au contraire : on est en quelque sorte comme purgé du besoin de raison pour vivre. Et c’est précisément ça qui nous aide à vivre. C’est également ce que j’ai toujours ressenti en lisant Nietzsche comme Clément Rosset. Ce sont des penseurs qui nous renvoient sans cesse au fait que nous sommes sans voix pour dire l’être.
Widergänger dit: 11 novembre 2015 à 0 h 37 min
Est-ce que « sans-papiers » est un concept politique ?
Non.
C’est une réalité juridique, c’est tout.
Pas du tout, la loi (dans sa sagesse, hein) ne connaît que l’immigration illégale.
Le romantisme du « sans papier », c’est du jus de cervelle de militant (ne soyez pas dupe du syndicat de la magistrature).
Derrida, qui parfois planait entre le déjà-là et le pas-encore du politique, a aussi écrit un texte risible évoquant cette catégorie, je ne sais plus où.
Peut-être à l’occasion d’une rencontre avec Stiegler, ce penseur confus et erratique?
Ou dans « Fichu », ce discours un peu dérisoire de remerciement pour le prix Adorno?
— Il l’avait rédigé juste avant de venir en Chine regarder le 9’11 sur la télé de sa chambre d’hôtel shanghaienne.
Ecoutez, ce n’est pas un bon texte.
Widergänger dit: 11 novembre 2015 à 0 h 45 min
Des penseurs ont pu m’aider à vivre. Ce sont des penseurs qui nous renvoient sans cesse au fait que nous sommes sans voix pour dire l’être.
J’aime bien vous lire, sans partager votre point de vue.
Je vais vous surprendre mais « sans voix pour dire l’être », c’est la leçon du vieux Kant.
(Le vieux mot d’ « ontologie » remplacé par une analytique de l’entendement pur, etc….
Ecoutez, Robespierre n’est rien, mais lui comme révolutionnaire c’est quelque chose.)
Je n’ai cessé de le lire, ainsi que ses critiques.
Ces derniers tournent autour de cet homme extraordinaire, et parviennent certainement à écrire d’utiles notes de bas de page.
Mais quoi, s’il est un « contemporain capital », pour moi c’est lui.
Je ne prétend pas convaincre qui que ce soit.
On ne peut vouloir contraindre son contemporain à 5 années de lecture exclusive (c’est le minimum pour pouvoir en parler de manière intéressante).
Oui, mais Kant prétend encore penser la morale. Ce qui n’est plus le cas de Pascal, ni des autres.
…
…succinct,!…état-major,!…
…
…des guerres et batailles,!…pour se » foutre « , des peuples,!…
…
…vaincus ou vainqueurs,!…uniquement les populations,!…
…alors faire l’histoire,!…comme le massacre des innocents,!…
…comme une bonne peste,…pour les docteurs,!…combien de morts au moyen-âge, pour rester souverain des parcelles de terrains,!…notaires aux pieds,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
Derrida et les « sans-papiers »
Pas trouvé ce texte, pourtant bien connu.
Sur le net, on peut lire ça.
Certains le trouveront admirable, d’autres (comme moi) y verront la marque d’une pathétique impuissance politique, effet d’une conception hyperbolique de la notion d’ « hospitalité ».
Comme on dit, « bonne lecture »!
« Mais comme on parle d’eux, depuis quelques mois, et sous ce nom étrange, sans-papiers, comme on en parle, d’eux, à la fois mal, insuffisamment et trop pour ce qu’on en dit, la question se pose. Que dit-on et que veut-on dire quand on dit sans-papiers ? Ils sont « sans… », dit-on. Que leur manque-t-il donc, à ces sans-papiers ? Que leur manque-t-il selon le pouvoir d’État français et selon toutes les forces qu’il représente aujourd’hui ? Mais, et c’est tout autre chose, que leur manque-t-il aujourd’hui à nos yeux à nous, à nous qui tenons à marquer notre solidarité et notre soutien à tous les sans-papiers victimes des législations en vigueur, des polices d’hier et de demain ?
Je ne sais pas qui a inventé cette locution sans-papiers et comment s’est peu à peu installée, pour se légitimer ces derniers temps, la terrifiante expression de sans-papiers. Il y a eu là tout un processus, tantôt lent et insidieux, tantôt explosif, brutal, accéléré comme une charge de police dans une église. Cette terrifiante habitude qui a acclimaté ce mot dans notre lexique mériterait de longues analyses.
Ce qu’on appelle, en un mot, un sans-papiers, on suppose qu’il manque de quelque chose. Il est « sans ». Elle est « sans ». Il lui manque quoi, au juste ? Lui ferait défaut ce que ledit papier représente. Le droit, le droit au droit. On suppose que le sans-papiers est finalement « sans droit » et virtuellement hors-la-loi. En lui contestant la normalité et l’identité civique, on n’est pas loin de lui contester l’identité tout court. On dirait qu’il lui manque plus que quelque chose de déterminé, une chose entre autres : il est nu et exposé, sans droit, sans recours, en défaut de l’essentiel. Sans rien. »
Quel contraste entre la vigueur de la rhétorique et la pauvreté de la pensée (politique)!
Vous remarquerez ceci: il peut ainsi continuer indéfiniment (nombre de pages indéfini, nombre d’heures indéfini) sans avancer d’un pouce dans le diagnostic et la résolution du problème.
Une belle et intelligente Américaine disait après l’avoir écouté: « it’s all about foreplay ».
Derrida était venu à l’église st Bernard à la Goutte d’Or pendant l’occupation des sans-papiers. J’y étais quand il a pris la parole.
Une autre anecdote. On voulait convoquer aussi Jacques Roubaud. J’étais chargé de l’appelr chez lui au téléphone. Je l’appelle donc; il me confirme au téléphone qu’il était prêt à venir soutenir les sans-papiers à l’église. Il n’est jamais venu. C’est toute la différence entre Derrida et Jacques Roubaud.
Widergänger dit: 11 novembre 2015 à 1 h 21 min
Derrida était venu à l’église st Bernard à la Goutte d’Or
Hei…
(Demandez à Mme Bloom, c’est un soupir chinois)
Je compte sur les doigts d’une main et demi les personnes intelligentes, engagées, parfois célèbres, qui m’ont parlé de ces sans-papiers.
Quand dans ma tête (petite) je repasse les propos (brefs) que je leur ai tenu sur cette question (annexe), je n’ai pas honte de moi.
Ensuite, chacun voit…
Si vous souhaitez signaler le sérieux de Derrida, la fidélité à la parole donnée, je vous suis complètement.
J’aurais de mon côté quelques expériences à vous soumettre, elles sont toutes favorables.
Quant à sa pensée, c’est autre chose: depuis mes années d’étudiant c’est pareil: attention, considération, mais incrédulité quant au fond des choses.
Mais quoi, ça n’engage que moi.
Et puis, à 24-25 ans j’ai aimé une derridienne, alors que (me semble-t-il) je n’ai jamais aimé une lacanienne. Je peux me tromper.
Bonne nuit!
Incrédulité quand au fond des choses ….?
Non, il démonte l’architectonique platonicienne. C’est une espèce de religion. Ça se tient debout. C’est une question de croyance. Il faut être assurément juif pour pondre une pensée pareille. Un truc complètement tordu, édifié contre le Judaïsme.
En somme pour maintenir l’illusion qu’on puisse penser quelque chose.
(Je ne mets pas en doute ce que vous dites sur Roubaud.
Quel être adorable, parfois tranchant devant la barbapapa humaniste, mais lui-même profondément humain.
Sur ce qu’il a rendu public, avez vous lu ‘Quelque chose de noir’?
Que peut-on écrire de mieux sur la disparition d’une femme que l’on aime?
Il est aussi possible que ce jour-là il avait, comme tout un chacun, un problème.)
« Indigne » n’est pas approprié.
« Infiniment regrettable », sans aucun doute.
Rien de magistral non plus chez Palmier, comme chez Faye père.
Documenté, oui.
—
Je maintiens « indigne » & « magistral ».
quand vous arriverez à la cheville de JM Palmier, on vous préviendra.
Il est, en Seine inférieure, une vieille vacharde répondant au nom saugrenu de Jeannette du Calbut, qui rumine des vers à faire braire au pays de Bray:
« (…) je vois les estivants / En un long défilé sur la grande autoroute ! »
L’animal, bête, ridé, fatiguée, n’en sera pas moins aux comices de Fontaine-le-Bourg, où les continuateurs des sieurs Elek, Rajman & Wassbrot comptent passer le dernier weekend de novembre.
Est ce bien utile de commenter sur blog à propos de ces évènements du passé, alors que le présent hexagonal est si problématique !
Quant à l’avenir, c’est l’Apocalypse.
Non franchement, le passé, c’est vraiment top, toujours nouveau, on ne sait jamais de quoi il sera fait.
à 24-25 ans j’ai aimé une derridienne, alors que (me semble-t-il) je n’ai jamais aimé une lacanienne. Je peux me tromper.
.. mmm .. votre remarque, U., dans le registre de l’amour, m’évoque une phrase .
Avant de vous dire laquelle, je simplifie, détourne un peu votre propos et l’utilise.
Entre nécessaire et superflu
Je prends cette question pour la vôtre, à vous demander si oui ou non vous avez aimé.
Ce serait une question qui avec le temps passé à ne se l’être pas posée, s’est laissé oublier,
entre nécessaire et superflu .
Et un « (me semble-t-il)’, un « je peux me tromper » – un … que sais-je, m’auraient dit qu’il y a là un essentiel qui ne peut se laisser oublier, non ?
Entre et nécessaire et superflu,
Je me serais dit aussi qu’on peut bien se poser la question de l’amour comme on se poserait celle de classer, par exemple, des objets, des livres ..
Entre nécessaire et superflu,
quand ce serait mon temps,
mon moment
mon moi
à moi de me
la poser .
Entre nécessaire et superflu
» à Oran comme ailleurs, faute de temps et de réflexion, on est bien obligé de s’aimer sans le savoir » Camus, La Peste
Nous qui ne sommes pas plus à Oran qu’ailleurs,
Nous qui aurons eu, cher U., tant de temps et le temps de la réflexion,
Nous qui ne sommes obligés à rien,
Nous serons-nous au moins aimés ?
« Ainsi, la volonté unanime de rompre avec la politique du silence et d’adopter une politique de la mémoire de la guerre d’Algérie s’est brisée sur le choix d’une date, impliquant la définition d’un message à transmettre à travers elle. »
shirley, se découvrant les cornes qui lui fait porter son derridien, fait son défilé du 11/11.
C’est pénible.
Pov’vie dans son bois, une corne dans le cul et des bubons plein le ciboulot!
« Oui, mais Kant prétend encore penser la morale. Ce qui n’est plus le cas de Pascal, ni des autres. »
WG ne se souvient plus que Pascal précède Kant…Etrange.
Tiens, dans la Peste comme dans l’Etranger il y a un personnage médiocre, minable, rabougri, mauvais, bête et inculte.
Cette nullité de Vie dans les Bois pourrait s’y identifier, à défaut de ..
Vulgaire, par dessus le marché, la prof de pâte à modeler.
Ce n’est tout de même pas de notre faute si son « poilu » manque de jus, uhuh.
http://photo.ina.fr/volumeLR/ina_volume20101011/72414892_56819939/m_258072525_0.jpg
Quel vieux pou, cette vie dans son bois !
Et que d’efforts (!), vains .
shirley me fait rigoler. Tant de frustration, quand même.
Dans la Peste comme dans l’Etranger, ce personnage aussi médiocre que bête, ne crèvera que de sa sotte et dégoûtante vieillesse .
La Vie Dans Les Bois, dans un dernier sursaut d’une intense frayeur ..
Ces opérations de maintien de l’ordre dans un département français qui aboutirent finalement au désordre en Métropole et dans l’Algérie « libérée », sont broutilles en ce 11 novembre qui nous rappelle le génial jeu de massacre de WWI. Un modèle du genre !
Ces évènements africains n’ont qu’une vertu, découvrir la modernité de la guérilla terroriste, rurale et urbaine, et l’incapacité du politique d’innover, de se réformer, bref d’oser décider du « changement » salvateur …
Ces lamentables ratés, de part et d’autre, ne doivent en aucun cas, et surtout aujourd’hui nous faire oublier le chef d’œuvre d’imbécillité que célèbre le 11 novembre …
Même WWII ne sera pas aussi débile, politiquement et humainement, que WWI et son effroyable inhumanité.
Aujourd’hui, où notre cher vieux pays est envahi par des sauvages « migrants » venus des territoires orientaux, nous arrive le combustible de la prochaine dernière : WWIII.
Pour l’éviter, nous connaissons la méthode française habituelle : nous nous coucherons comme le prévoit MH, dans la plus lâche Soumission.
Pauvre JC Résumons et ses arguments éculés d’en…
Les choses rentrent dans l’ordre:
Daaphnée arrive et le crêpage de chignon commence. Elle ne peut pas supporter qu’une autre femme qu’elle ait la moindre place dans la RdL.
Bloom atteint des sommets de suffisance et de mépris à l’égard de quiconque ne fait pas partie de l’élite mondialisée.
Tout va bien.
Cette WWIII qui nous étouffe lentement mais surement en Europe par notre aveuglement imbécile, nous pouvons en réduire les effets si nous adoptons en Europe la rigueur des combattants juifs d’Israël car c’est une belle leçon qu’ils nous donnent, ces Juifs courageux ! Feu !
Bref, plutôt que Juncker et Hollande, Orban !
« Répétons » est un choix de pseudo excellent pour un perroquet obsessionnel demi-fou…..
En revanche, ce qui n’est pas dans l’ordre, c’est l’absence des meilleurs teignes de la RdL, JC et Zoon. « Résumons » n’est qu’une pâle copie. Daaphnée est dans un autre registre.
Comme les James Bond et les Batman, les commentaires de la RdL valent surtout par la qualité de leurs méchants.
Et l’autre stupide qui milite pour les sans-papiers en France et considère les « prétendus Palestiniens » comme des gêneurs, des parasites sociaux qui n’ont pas leur place en Israël, ni même en Palestine, ce pays où l’on n’arrive jamais vu qu’il n’existe pas.
Le « naufrage d’une génération » de demi-intellectuels?
Orban ? comme JC Résumons, au ban de la société, un facho pur jus
Vous n’êtes pas en 317ème section pour rien, mon pauvre ! C’est le cabanon perdu où l’on caserne les mauvais qui bavent.
Le peuple Juif est le Peuple Elu de Dieu….
C’est pourtant simple à comprendre que les Érythréen et les Somaliens n’ont pas besoin de nos chers Israéliens pour s’entretuer fraternellement !!!
Merci de continuer à afficher mon portrait qui fait la nique à JC Résumons
La Palestine ? Imagerie crétine !
Les Palestiniens ? Bons à rien !
Seule nation de poids dans tout ce sable, Israël, plus ou moins Grand !
(et j’avoue que le cauchemar d’une entrée de Tsahal à la Mekke serait le clou de WWIII…..)
Enfonce profond Arnauld ! Blaise est à l’aise : c’est le philosophe de la joie !
Merci de continuer à agacer JC Résumons qui commence à perdre ses pédales… urkurkurk
Nous mourrons (!) d’envie, ici, de parler des appelés de la Guerre du Péloponnèse … au lieu de votre guerre niaise.
et hop, le courageux JC change de pseudo quand il est en difficultés, le ladre
« Mais l’indifférence des soldats français face aux cadavres est frappante. » (Passou)
Un cadavre, cher Passou, pardonnez moi…. mais ce n’est plus qu’un déchet organique !
Blaise dit: 11 novembre 2015 à 11 h 06 min
et hop, le courageux JC change de pseudo quand il est en difficultés, le ladr
Un cadavre, cher Passou, pardonnez moi…. mais ce n’est plus qu’un déchet organique !
On connait des JC qui sont déchets avant même d’être cadavres.
obs dit: 11 novembre 2015 à 10 h 16 min
et moi ? vous m’avez oublié !
moi aussi je suis une teigne comme JC !
relisez mes commentaires ! je suis un type hyper teigneux !
même JC n’est qu’une petite teigne à côté, une minuscule teigne.
n’y prenez pas mal ce que je dis JC mais c’est vrai que vous êtes une minuscule teigne à côté de moi, non ?
mon Dieu quelle misère de n’être pas une teigne, qu’on m’explique ce qu’il faut pondre pour être considéré comme une teigne !
ne suis-je donc qu’une petite teigne, une teigne transparente, une teigne invisible, une teigne qu’on écrase sans même s’en apercevoir, une teigne inexistante, un non dasein d’une teigne dans son non devenir teigne, qui n’a jamais été et qui ne sera jamais un être teigne.
11 h 29 : miroir, mon beau miroir reflète bien ce que nous pensons de JC Résumons et JC Zeus
JC est bien moins méchant que vous, hamlet.
Et cette façon que vous avez d’implorer Dieu en vain, ça me dérange beaucoup.
JC Résumons-Zeus n’est pas une teigne, c’est une dermatomycose, c’est plus grave
Reconnaissez que les plus méchants, ce sont nous les Dieux, vos inventions perverses car piégeuses…
c’est vrai quand les gonzesses se mettent sur la tronche c’est saignant.
comme spectacle je trouve ça plutôt bien.
allez les filles ! rentrez-vous dedans ! c’est plus vivifiant que les commentaires soporifiques de Bloom et WGG.
allez ! crochet dans le bide, uppercut au menton, et pour finir en beauté coup de boule dans les nasaux !
dommage qu’on ait que le son et pas les images.
moi aussi je veux être une dermatomatescose comme JC!
j’aime bien ce mot, il y a une tomate au milieu.
« D. dit: 11 novembre 2015 à 11 h 57 min
JC est bien moins méchant que vous, hamlet. »
vous voyez D. il y a méchanceté et méchanceté.
rappelez-moi c’est kiki était tellement abject qu’il a fait partir TKT de ce blog ?
vous pensez qu’un être abject peut dire de lui qu’il croit en Dieu ?
J’arrive avec les dernières infos toutes fraîches, elles vont pas bien loin.
Faudrait voir où la vendre où.
je vais vous dire D. pourquoi je vous trouve abject, je vous trouve abject parce que vous n’avez en vous la moindre once de conscience morale.
vous représentez même une forme de négativité de la conscience morale.
vous savez D. j’ai des défauts mais je suis sacrément bon lecteur, j’ai vu de suite que vous étiez un nihiliste mesquin, ce que l’espèce humaine peut produire de pire dans le genre.
Les grands de ce monde ont autour d’eux une masse grouillante de vers courtisans, agités en tout sens, souvent pour rien …
Les vers délurés en train de bouffer le défunt JC, hélas enlevé trop tôt à l’affection de ses épouses à défaut de la nôtre, ont au moins de la barbaque juteuse à se mettre sous la dent.
Avez vous connu des appelés devenus muets ?
Nous en connaissons de nombreux. Simples, honnêtes, appelés à travailler dans le sombre théâtre d’opération ne les concernant pas, lâchés par les donneurs d’ordre, ils ont végété comme des moules sans la mer, comme des mouettes aveugles, comme des morts.
Puisqu’on parle de cadavres, nombreux des appelés capturés furent retrouvés par leur camarades le sexe coupé dans leur bouche entaillée, les yeux définitivement grands ouverts…
Vous ne le saviez pas ? Comme c’est dommage … Rigolo, non ?
elles sont passées où les filles ?
hého les filles ! revenez vous mettre sur le figure !
personne n’a encore sifflé la fin du match !
gros départ de la Girolle.
Quant à moi, hamlet, je ne vous dirai pas ce que je pense de vous, tout simplement parce que je n’en pense rien. Vous n’êtes rien.
Vous n’arrivez même pas à la cheville de masud al-bukhari, hamlet. C’est dire où vous en êtes.
ouais, non, c’est ça, j’en ai rien à foutre d’un gros charles bronson qui fait son course de taxi, spirituellement
Parce que, bien sûr, c’est facile de se moquer de masud al-bukhari, mais on verra comment vous raisonnez quand vous aurez 75 ans comme lui. Vous aurez le cerveau en compote.
hamlet dit: 11 novembre 2015 à 12 h 20 min
hého les filles ! revenez vous mettre sur le figure !
Pour écrire des choses pareilles, il faut vraiment être tombé bien bas.
(Au passage, je vous signale qu’on dit LA figure, mon petit hamlet.)
D’ailleurs, je n’ai qu’une chose à vous dire, hamlet :
Ta gueule keupu.
Je dois dire que je suis, comme souvent, assez d’accord avec le faux D.
D. hamlet se parle à lui-même.
Certes, on est loin d’avoir tout dit sur la guerre d’Algérie, mais la guerre d’Indochine, n’est-elle pas passée purement et simplement à la trappe de nos livres d’Histoire ?
Quels en étaient les enjeux, comment, par la suite, s’est telle transformée en guerre du Vietnam de nos « amis » américains ?
C’est long et pontifiant
Non, mais elle vous la démarrer votre machine à Arthur
» la France selon Christine Angot vaut le détour (!) »
Et pas l’Orient de pacotille selon Enard, Passou, cela valait-il un Goncourt made in France ?
Rien de tel que la vaporisation des posts haineux. Caltex appréciera. Au prochain dérapage, c’est les ténèbres extérieures « for ever and a day ».
Y’a peut-être un deal qui se conçoit pas…
intervertisme?
javert, ne cache pas ton naturel, il revient au galop.
Je te l’ai déjà dit: tu es de la race des cogneurs. Comme tes deux alcoolytes.
Des petits.
http://stop-violences-femmes.gouv.fr/Les-chiffres-de-reference-sur-les.html
hi han…
un Goncourt made in France
—
1930 Fauconnier > Malaisie (péninsule malaise)
1933 Malraux > La condition humaine (Chine)
1934 Vercel > Capitaine Conan (front d’Orient, Roumanie, Bulgarie)
1956 Gary > Les racines du ciel (Afrique)
1959 Schwartz-Bart > Le dernier des Justes (Palestine-Europe centrale & orientale)
1984 Duras > L’Amant (Indochine)
1987 Ben Jelloun > La nuit sacrée (Maroc)
1993 Maalouf > Le rocher de Tainos (Liban)
2001 Rufin > Rouge Brésil
etc.
Tu tournes zemourien jivarisé, Baroz.
Je n’ai jamais fait partir TKT de ce blog. Il s’est retiré temporairement ce son propre chef.
Et il reviendra.
Je regrette, D. mais hamlet n’est pas rien : il n’est pas grand chose. Il y a là une nuance d’importance.
Le seul Goncourt qui surnage, Bloom, 1919 : Marcel Proust pour « À l’ombre des jeunes filles en fleurs » est un Goncourt pure crème, made in Normandie !
Tenez Bloom, parait que votre assiette va être moins ethnocentrée :
La Commission européenne a décidé mercredi d’imposer une mention d’origine sur les produits importés des colonies de peuplement juives des territoires occupés.
it’s I hope you can’t mess.
Je ne vois pas trop ce que veut dire ce: (!)
Vous avez perdu la carte ?
« En ce jour de commémoration du 11 Novembre, nous vous proposons de vous remettre dans les pas d’un poilu. Ceux de Maurice Bedel que nous suivons depuis août 2014 et le début du centenaire de la Grande Guerre. »
Il a eu le Goncourt (!)
http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2015/11/11/LONG-FORMAT-La-Grande-Guerre-d-un-futur-Goncourt-2528102
Peut-être le mépris de Bloom pour la paysannerie vient-il, non de son improductivité ou de la faible utilité sociale de sa profession, mais de son infertilité. Au moins, l’agriculteur le plus fruste fait-il pousser des plantes. Le jardinier (un jardinier remarquable vient de se donner la mort : Pascal Cribier) les aime, en plus. Le maraîcher est indispensable aux fameux « 5 fruits et légumes par jour ».
Mais comment devient-on ambassadeur, ou attaché d’ambassade, ou je ne sais ce qu’est exactement Bloom ? il faut faire de longues études, à mon sens,et puis après… Oh, bien sûr, on participe du rayonnement culturel français ; mais ça doit être frustrant, au bout du cinquième lycée français inauguré sous toutes les latitudes, de savoir que ce seront des professeurs qui marqueront ces élèves-là. Au bout de la enième soirée culturelle, d’admirer ou d’être indifférent à des toiles, des oeuvres d’art, que d’autres ont créées…
Bien sûr, je pense que le corps diplomatique a fait quelques progrès, depuis Monsieur de Norpois et son français aussi rugueux qu’un rabot (et il faut bien ça, pour les langues de bois…). N’empêche : si tant de diplomates ou assimilés (les consuls en font bien partie, non ?) se sentent la fibre littéraire, n’est-ce pas par une sorte de contrition, pour emplir des vies à la fois prestigieuses, je le veux bien, mais aussi plates, d’une corde enfin vibrante ?
Bloom ne prend jamais la peine de traduire les textes en anglais – par manque de temps, avance-t-il. C’est fort étonnant. Sa phrase sur la petite France bocagère me paraît plus conforme à la réalité : quand, finalement, tout bien pesé, une vie ne se justifie que par le confort matériel et égoïste qu’un travail stérile procure, il doit être bien agaçant de côtoyer des solliciteurs.
Je pense que Bloom devrait tenter de fréquenter assidûment M. Finkielkraut : des affinités de classe me semblent les réunir particulièrement, ces deux-là.
Quant à moi, je vais finir de visionner la maquette du documentaire qui va passer à Rouen demain soir : il s’agit d’avoir quelque chose de propre à fournir à la boîte de production qui va confectionner les DVD. M. Bloom, je vous en prie, détournez vite la tête : le sujet du documentaire est la défense du bocage brayon, dans une perspective de protection de la diversité biologique. Quelle horreur, n’est-ce pas ! La petite France bocagère qui en plus, se permet de faire des films…
André Glucksmann, « grand » philosophe français. Néfaste personnage. Et très dangereux dans sa « néfastitude ». Il avait découvert le Mal. Comme Reagan, comme Bush fils et ses conseillers. Au secours!!!
trying… in Vitro, at last.
Elle est bien cette histoire, nan ?
https://social.shorthand.com/LaurentGaudens/jyx9TioBxff/la-grande-guerre-dun-futur-goncourt
Mais comment devient-on ambassadeur, ou attaché d’ambassade, ou je ne sais ce qu’est exactement Bloom ? il faut faire de longues études, à mon sens,et puis après… (Clopine)
Bloom est un prof d’anglais détaché de l’Education nationale. Un certain nombre de postes sont ainsi proposés à des enseignants, qui postulent.
Dans le cas de Bloom, je suppose qu’il est en poste dans un institut français.
J’en ai connu pas mal comme lui, qui n’étaient pas forcément agrégés d’ailleurs et se sont retrouvés dans des fonctions sympathiques (à Beaubourg, Orsay, à la DRAC, etc.)
attention, je vous aurai prévenus pour votre gueule.
«Peut-être le mépris de Bloom pour la paysannerie vient-il… »
… du mépris de soi-même, affligeant défaut de tant des nôtres alors que notre douce patrie fait encore l’envie, ou à tout le moins du respect des gens de qualité à travers le monde. Tous les Glucksman de la terre chercheront à l’avilir, il revient à tous les Français, et au premier rang à ce qui reste de sa paysannerie, de résister et d’affirmer haut et fort que la fille aînée de l’Église n’est point devenue une traînée qu’on bafoue impunément. Han!
La petite France bocagère qui en plus, se permet de faire des films…
—
Qu’elle s’exporte et montre notre pays dans sa diversité, cad les « stériles », les gays, lesbiennes, handicapés , malades, etc.
Toujours constaté que le ton pontifiant d »Onfray-le-faussaire avait pour effet de raviver chez certains les pires aspects des programmes autoritaires des années 30. La terre, la vraie, elle, ne ment pas, n’est-ce pas?
Finkie ne fait pas partie de mes fréquentations (sauf tous les samedis depuis 30 ans où j’admire le critique littéraire & déplore le mal penseur de la société). Qu’importe: j’ai quelques fortes amitiés dont je ne suis pas sûr que vous apprécieriez le cosmopolitisme.
Vivez votre vie. Vivez la bien. Selon votre coeur.The rest is silence.
@14 h 06 min
Rien à ajouter.
Clopine : requiescat in pace…
Clopine ou le terrorisme brayon.
« les « stériles », les gays, lesbiennes, handicapés , malades, etc. »
Là c’est plus le « ton autoritaire des années 1930 », Bloom, mais la classification hygiéniste de l’homosexualité par la médecine spécialisée du XIXe siècle !
Clopine, c’est la mentalité khmer rouge en Normandie : Tous ces fonctionnaires inutiles, on va leur faire faire un petit séjour à la campgne, histoire qu’ils se dégourdissent un peu les jambes…
Yvetot, c’était déjà l’horreur. Mais la Brayonne, là, elle bat tous les records. La France des campagnes s’avilit.
Le bocage doré pour faire plus fort que la Daaph.
Tssssss…
Ce qui serait sympa, c’est que Bloom, ou WGG, nous fasse le résumé de la Chine de Malraux dans La Condition humaine !
Répétons….. dit: 11 novembre 2015 à 10 h 01 min
Pauvre JC Résumons et ses arguments éculés d’en…
Non mais il n’a pas d’arguments il se caricature lui-même et c’est plutôt drôle, une BD à lui tout seul – il suffit de lire le début de chaque phrase :
« Ces opérations de maintien de l’ordre dans un département français…
Ces évènements africains n’ont qu’une vertu,…
Ces lamentables ratés, de part et d’autre,…
Même WWII ne sera pas aussi débile,…
Aujourd’hui, où notre cher vieux pays est envahi par des sauvages …
Pour l’éviter, nous connaissons la méthode française habituelle…
Cette WWIII qui nous étouffe lentement mais surement …
Résumons….. dit: 11 novembre 2015 à 10 h 10 min
Mais tire-toi patate vas-y là-bas au lieu de geindre
Voilà plutôt un résumé du bocage normand par Béranger :
LE ROI D’YVETOT
Il était un roi d’Yvetot
Peu connu dans l’histoire,
Se levant tard, se couchant tôt,
Dormant fort bien sans gloire ;
Et couronné par Jeanneton
D’un simple bonnet de coton
Dit-on.
Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah !
Quel bon petit roi c’était là !
La la
gardel dit: 11 novembre 2015 à 14 h 00 min « André Glucksmann, « grand » philosophe français. »
Grand et philosophe.. . ?! Faut pas exagérer ! il (ré)confortait les neuneux incapables de réfléchir : c’est mieux que rien
obs dit: 11 novembre 2015 à 10 h 01 min
Daaphnée a raison, lvdlb (c’est un mec non ?) est trop nul
Scoop : « l’infertilité » de Bloum (selon clopine).
A en juger par ses posts Bloom est une personne cultivée et un esprit distingué ,même si on peut regretter de sa part une certaine suffisance .
Et ,de fait , il semble aller de soi que ceux qui occupent un poste diplomatique comme le sien ont dû montrer patte blanche en ce qui concerne leur bagage culturel ,éventuellement en se prévalant d’un diplôme respecté , comme dans son cas, apparemment, l’agregation d’anglais .
Eh bien il faut croire que ces filtres ne suffisent pas toujours a placer la bonne personne à la bonne place ,si je m’en réfère à un souvenir personnel
J’ai fait un jour partie d’un jury qui interrogeait un fonctionnaire de même profil professionnel , agrégé ancien inspecteur d’academie en poste comme conseiller culturel dans une ambassade .
Il s’est revelé consternant d’inculture ,de plus incapable de nous expliquer avec precision et aisance sa démarche de promotion locale de la culture française, et egalement ignare sur l’univers culturel du pays où il officiait
Au point que les uns et les autres ,fonctionnaires chenus qui composions ce jury ,nous nous sommes demandé s’il s’agissait d’une posture délibérée en vue de ridiculiser nos efforts de questionnement, d’une démonstration d’humour cruel à nos depens .
Fût –il monument d’inculture et d’incapacité professionnelle ou acrobate de l’humour désinvolte, il est evident que sa place n’était pas dans une ambassade
bloum badabloum dit: 11 novembre 2015 à 15 h 22 min
Scoop : « l’infertilité » de Bloum (selon clopine).
faudra donner le numéro de la chaîne.
DHH, je ne suis absolument pas d’accord avec vous.
Ce film d’Yves Courrière et de Philippe Monier
sur la Guerre d’Algérie
https://www.youtube.com/watch?v=hrarrNOumW4
Je ne suis pas d’accord avec autre chose : que l’on discute d’un tel sujet ici, au regard d’un billet comme celui-ci et de plus un 11 novembre. C’est un tantinet indécent, non ?
Attila, la Condition Humaine montre une Chine qui n’existe plus…
En fait, je crois que le « coup de tonnerre » que fut ce livre réside dans les toutes premières pages, le meurtre commis par Tchen : pour la première fois, on vivait le personnage d’un jeune communiste « de l’intérieur » – et ceci, écrit par un occidental qui s’abuse si peu sur lui-même qu’il a créé le personnage de Clappique…
les chinois étaient donc des êtres humains eux aussi, et qui choisissaient le communisme non en soumission à un dictateur (ce qui fut le cas, hélas, de tous les pays communistes par la suite), mais par un raisonnement lucide (Gisors…) : ça, de la part d’un membre d’une puissance coloniale, c’était carrément révolutionnaire. Je crois sincèrement que le succès du livre, plus que la description de ces époques troublées (un peu à la manière d’Hemingway pour la guerre d’Espagne dans « pour qui sonne le glas »), tient à ces premières pages – ce bras cinématographiquement tendu, et l’humanité contenue dans Tchen.
Mais WGG et Bloom vous expliqueront cela de toute autre manière, of course.
Avez-vous remarqué, Attila, comment les propos disons « discréditant » les ruraux n’ont éveillé AUCUNE autre réaction que la mienne, alors que ma réponse à Bloom, l’incriminant dans son statut social, a instantanément provoqué commentaires et insultes ?
Finalement, si la Rdl avait vécu pendant les années pré-révolutionnaires du 18è siècle, j’aurais été la seule à défendre le tiers-etat. Et je me serais pris de jolies dégelées, de la part des grands bourgeois et des aristos. Avec ma tête sous la guillotine, of course, au bout…
Et c’est moi qu’on accuse de menacer tous ces personnages de la Lanterne. C’est vraiment se prendre pour des vessies…
Moi, je dis, une fois n’est pas coutume : bravo Clopine !
Clopine, des fois, elle se surpasse. J’aime bien. Mais des fois seulement, hélas.
Il y a tellement de gens qui utilisent internet pour répéter inlassablement le même discours alors aucune raison de vous gêner. Le syndrome de la niche. Enfin ça dépend la taille du cabot.
daniel dit: 10 novembre 2015 à 13 h 19 min
13h08
Le général de Bollardière a démissionné en avril 61
Salan lui décerne l’oraison suivante : « Pauvre Bollo ». le susdit avait brillé en Indo à la tête d’un bataillon de paras.
Ensuite, présent ou absent, l’affaire a plus ou moins embêté tout le monde…
bébert dit: 11 novembre 2015 à 15 h 48 min
Yves Courrière, une des premières bonnes plumes à avoir écrit (4 tomes) sur la guerre d’Algérie.
Il existait déjà une amorce de guillotine, à Toulouse, sous Henri III ; c’était quand même plus sympa que de s’y reprendre quinze fois à la hache ! C’est ça le deep south…
Clopine, WGG n’aurait pas aimé que l’on se moquât de sa Sologne !
Dans son éloge en forme d’auto-éloge d’André Glucksman, BHL ne cesse de répéter combien celui-ci était beau, jeune, et toujours beau, vieux et malade.
C’est de la philosophie niveau narcissisme à la puissance 2.
C’est là que l’on voit toute la différence entre la philosophie et la littérature.
Un écrivain aurait pu évoquer sa beauté dans sa jeunesse, mais il n’aurait pas manquer d’ajouter : « mais qu’est-ce que nous étions cons ! »
Condition nécessaire pour ne pas tourner aux vieux beaux… et toujours aussi cons !
Et puis R.A.S., aussi ; cela avait fait florès à sa sortie, dans une certaine mesure s’entend.
S’il y avait eu plus de Bollardière à l’époque dans l’armée et au gouvernement, on n’aurait peut-être pas les rancœurs transméditerranéennes qu’on sait.
Pas sûr, d’ailleurs, que son action et celle de ses hommes sur le terrain ait été appréciée du FLN, qui avait besoin d’une armée française bien coloniale.
Sinon au rayon news chez les amis des bétes aujourd’hui c’est ça
ou le mobile avec gps.
Bon, comme nos amies les bêtes ne vivent généralement pas en meutes de monomaniaques elles restent relativement les moins dangereuses du monde…
bébert, réveille-toi. Si tu ne lis pas les commentaires.
Je te le remets bébert, mais c’est bien parce que je déteste les chats.
http://www.cineclubdecaen.com/realisat/courriere/guerredalgerie.htm
Ou syndrome du diplôme encadré sous verre. Décorez comme vous voulez.
PMB dit: 11 novembre 2015 à 16 h 00 min
oui super, c’est la base (de connaissances ) sur le sujet – il ya travaillé en tout une dizaine d’années !
« Fût –il monument d’inculture et d’incapacité professionnelle ou acrobate de l’humour désinvolte, il est evident que sa place n’était pas dans une ambassade »
puisqu’on vous dit qu’il va aux soirées de l’ambassadeur uniquement pour les rochers ferrero. Et qu’ Anne-Marie Stretter a d’autres chats à fouetter.
PMB dit: 11 novembre 2015 à 16 h 07 min
le parti a liquidé tous ceux qui n’étaient pas sous sa coupe, et allait parfois jusqu’à par ex trancher le nez de ceux qui buvaient de l’alcool..
Entre la fausse modestie d’une clopine et la fatuité (sous voile) d’une dhh, nous sommes au vaudeville.
une citation de Gilbert Meynier sur l’influence de la religion sur ‘le parti ‘ ne passe pas …
« la fatuité (sous voile) d’une dhh »
depuis quelque temps en effet
daaphnée en revanche paraît plus sympa
la vie dans les bois dit: 11 novembre 2015 à 16 h 38 min
Anne-Marie Stretter a d’autres chats à fouetter.
Est-ce qu’on sait… L’occasion, l’herbe tendre… Une panne de bicyclette !
la citation sans les mots qui ne passent pas (remplacé par mots neutres entre parenthèses)
le (parti) liera révolution et islam, même si les chefs religieux ne sont intégrés qu’en 1956. Une conséquence est qu’ils écartent les femmes des maquis fin 1957. Purges et violences se succèdent
http://factuel.info/blog/daniel-bordur/gilbert-meynier-et-linfluence-lislam-sur-fln-001473
Sergio, laissez la bicyclette. Pas touche !
Clopine lisant la Condition Humaine, cela donne « Les chinois étaient donc des humains comme les autres »!
tout commentaire affaiblirait la portée de cette génialissime remarque.
MC
C’est pas possible, je le remets, donc.
Avec le décès de Glucksman, il n’y a plus en France que Mireille Mathieu pour porter cette coiffure.
La guerre d’Algérie. Le destin de la France est au sud de l’Europe selon M. Mélenchon à qui Tanger a bouleversé les sens.
Mais oui Clopine, Bloom est un prof d’anglais tout simplement, agrégé certes, mais prof. Et pour échapper à l’enfer des collèges et des lycées de ce pays qu’il hait de toutes ses tripes, il a dû remué ciel et terre pour être affecté dans l’action culturelle à l’étranger.
Vous n’imaginez tout de même pas qu’un type de la dimension de Bloom allait enseigner l’anglais à des petits péquenots de votre province. Enfin, Clopine, redescendez sur terre!
Il a des excuses, c’est vrai que la vie d’expat a du bon. Ce n’est pas très socialiste mais tellement confortable. Il s’achète une bonne conscience en crachant sur les bouseux qui ont de plus en plus envie de voter FN (pas vous, je sais).
Et puis, tenez-vous le pour dit: plus de film sur cette campagne que vous connaissez et aimez. Un hottentot a le droit de faire un film sur son village, mais une normande sur son village normand, vous n’y pensez pas!
C’est cela la gauche pour laquelle vous votez Clopine. Il serait temps d’ouvrir les yeux et vous abstenir…
« …remuer ciel et terre », pardon.
vous abstenir… équivaut à voter FN. Quelle serait votre intention? Mourir pour votre pays ne sachant plus pour qui voter en allant vous battre sur quelque front imaginaire, vous savez faire, parlez nous de batailles avec toutes leurs tripailles qui font suite aux débats ou à l’impossibilité. Violence éternelle, sinon Glucksmann chez les Tchétchènes vous en pensez quoi?
Bloom à la faveur de sa grande valeur crée un emploi de porte-voix. Inespéré!
Au haineux M. Court : parce que, pour vous, dans les années 20, les occidentaux reconnaissaient pleinement le statut d' »êtres humains » aux peuples qu’ils colonisaient à qui mieux mieux ?
Oh, certes, sans doute, l’humanité asiatique, comme quelques autres, n’était pas niée. Simplement classifiée : et certainement pas aux premiers rangs, n’est-ce pas.
Je maintiens que la force de la Condition Humaine et d’avoir proposé à l’identification du lecteur un héros qui, jusque là, n’était irréductiblement un « étranger ».
Mais en fait, je dis ça, et je sais qu’il est absolument vain de tenter d’en discuter avec vous. Vous ne voulez pas discuter avec moi. Vous voulez réagir à mes commentaires en les persiflant, en tentant de m’écraser de toute votre hauteur supposée.
Et surtout supposée supérieure, n’est-ce pas.
En ce sens, vous êtes pour moi le parfait descendant de ces colons imbus d’eux-mêmes, qui rapportaient des spécimens pour leurs expositions coloniales ; je ne suis pas bien sûre, si je vous apercevais au détour du sentier qui mène chez moi, d’être bien tranquille à ce sujet. Vous auriez tellement envie de me réduire à l’idiote bavante que vous voudriez que je sois – surtout si vous vous pointez avec Daaphnée, Bergeret et quelques autres, que je ne devrais sans doute ma tranquillité qu’aux crocs solides de mon bâtard de chien, que je n’hésiterais pas une seule seconde à vous lâcher aux trousses, froussard que vous êtes.
(tiens, c’est vrai : je suis en forme aujourd’hui, on dirait ! ahahah)
Et cet excellentissime FLN mutilait également les fumeurs ; là la tradition musulmane n’avait rien contre, bien au contraire, de la goldo francaouie à la pipe à eau sui generis ; et le mouvement communiste non plus, d’ailleurs Koba fumait la pipe !
@la vie dans les bois dit: 11 novembre 2015 à 13 h 54 min
J’ai ouvert ce lien et parcouru les pages du journal de Maurice Bedel écrites pendant les quatre années où il parcourut les tranchées comme médecin militaire. Très impressionnant. Maintenant édité, ce journal semble bien plus important que le livre qui lui a permis d’être honoré du Prix Goncourt en 1927 (Jérôme 60°).
Ce qu’il a vu, vécu, partagé est dramatique. Les quatre soldats fusillés pour s’être mutilés afin d’échapper à l’enfer des tranchées est terrible et la dernière page où il s’exprime avec tant de lucidité est à retenir.
Cette boucherie est inimaginable et la vie de ces pauvres gars ne valait pas grand chose pour tous ces stratèges.
Aucune mémoire officielle du « 11 novembre » ne remplacera les témoignages de ces gars-là.
Je pense aussi au livre de Georges Duhamel et à toutes ces lettres reçues par les familles.
Il faut reconnaître que les grandes nations occidentales ont tenté d’apporter la civilisation la plus noble à des sous-chiens de colonisés miteux qui, une fois indépendants, ont été incapable d’être autonome.
C’est un fait incontestable.
Rendons hommage aux perles rares que ces peuplades crédules, stupides, vindicatives, voleuses, religieuses, abruties et guerrières ont donné au monde civilisé, comme oasis au milieu du désert civilisationnel où elles dépérissaient, sans le moindre futur !
Et qu’ Anne-Marie Stretter a d’autres chats à fouetter.
Maso le chat, non?
bérénice dit: 11 novembre 2015 à 18 h 12 min
Maso le chat, non?
Le chat c’est un personnage rassurant ; je sais pas s’il est de droite ou de gauche, faudrait demander à Roland Barthes, mais finalement faut pas les lancer à V. zéro mille par le balcon comme dans Colette…
Glucksmann chez les Tchétchènes vous en pensez quoi?
Ridicule, évidemment, comme tous ses engagements (Mao, guerre en Irak, Sarkozy). Glukscmann s’est toujours soucié comme d’une guigne des cadavres palestiniens, comme l’attestent ses prises de position sur Jenine ou Gaza. L’essentiel pour Gluskmann, BHL et leurs pareils est de fabriquer un diable commode pour détourner l’attention internationale des crimes de Tsahal, le diable étant ici la Russie de Poutine, le seul dirigeant occidental à ne pas lécher les bottes des USA, d’Israël et de leurs suppôts.
Bloom n’est ni de gauche ni de droite, il est socialement heimatlos comme la plupart des gens de son espèce.
Glucksmann chez les Tchétchènes vous en pensez quoi?
Ridicule, évidemment, comme tous ses engagements (Mao, guerre en Irak, Sarkozy). Glukscmann s’est toujours soucié comme d’une guigne des cadavres palestiniens, comme l’attestent ses prises de position sur Jenine ou Gaza. L’essentiel pour Gluskmann, BHL et leurs pareils est de fabriquer un diable commode pour détourner l’attention des crimes de Tsahal, le diable étant ici la Russie de Poutine, le seul dirigeant occidental à ne pas lécher les bottes des USA, d’Israël et de leurs suppôts.
N’oublions pas non plus que les Tchétchènes comptent parmi les musulmans les plus fanatiques de la planète avec les Somaliens, et que ce sont eux qui ont inauguré la mode des décapitations d’otages pour terroriser l’ennemi. A côté les islamistes du Hamas sont de tendres agneaux, le traître Gilad Shalit peut en témoigner.
Oups, trois posts en un. Vous ferez le tri.
la mer…veille?
Mais oui, Clopine, c’est la pleine forme !
Je te préfère comme ça, vas-y, mords lui les mollets au petit Court, il adore ça !
c’est avec un phallus, madame
Elle ne peut pas, elle bave.
Oui, Clopine ! Rallumez des Lumières nouvelles, en ce moment vous jouez à la borgnesse des Années 68. Et n’écoutez pas les compliments de l’amuseur de vrais berbères. C’est un vrai faux-cul !
Elle gagne quoi à se renseigner avant de se jeter par la fenêtre, elle?
Phil, Mireille Mathieu a beaucoup apporté à la renommée mondiale de la France.
C’est aussi ça notre identité culturelle française, n’en déplaise à notre détaché spécial en Asie et, néanmoins, ami, dear mister Bloom !
Moi aussi, Phil, je serais pour un jumelage Cannes-Tanger !
Avez-vous remarqué, Attila, comment les propos disons « discréditant » les ruraux n’ont éveillé AUCUNE autre réaction que la mienne, alors que ma réponse à Bloom, l’incriminant dans son statut social, a instantanément provoqué commentaires et insultes ? (Clopine attardée)
_______________
C’est qu’ici, ma bonne Clopine, on est tous citadins. Les citadins, en France, se moquent toujours des ruraux. Faut dire que vous les représentez bien avec une somme d’âneries au centimètre cube de matière grise qui fait date dans l’histoire de la ruralité… Quand vous restez dans vos choux, ça va. Mais dès que vous abordez la condition humaine, c’est une véritable cata…
Gisors, il parle trop ! C’est le Clopine de Clappique…
MC à 17 h 15… quand on connait les lectures de ce triste Trissotin court sur papattes !
La 317è section a dû perdre ses neurones à Gaza.
LE ROI D’YVETOT (2)
Il faisait ses quatre repas
Dans son palais de chaume,
Et sur un âne, pas à pas,
Parcourait son royaume.
Joyeux, simple et croyant le bien,
Pour toute garde il n’avait rien
Qu’un chien.
Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah !
Quel bon petit roi c’était là,
La la.
Non, rien, enchaînez. On se demande ce qu’on entend, c’est tout.
Attila; diable, voilà qui est renversant; l’Australie est en Asie , maintenant? C’est la dérive des Continents, la migration des plaques techtoniques …Attila, votre amour pour Christine Angot vous fait perdre le Nord, à l’aide,Boussole !
Il va y avoir du travail si tout le consulat doit se mettre aux langues vernaculaires
c’était Attila, une toute petite remarque sur votre post de 18h38 . J’ai horreur des tempêtes de sable, pourvu que je ne me retrouve pas dans le désert de Gobi..
C’était à l’heure du déjeuner. Je ne sais comment les passagers furent avertis. Qqs- uns se levèrent de table & regardèrent par les hublots. On ne voyait au loin qu’une ligne noire & des points, qq traits d’encre au ras de l’eau. C’était une barque presque immergée, des pêcheurs annamites naufragés. Je n’avais jamais vu de naufrage. Et j’avoue que la seule idée, sans image réelle, d’un homme perdu en mer suffit à occuper fortement mon imagination. Il y eut ds la salle à manger un léger mouvement, mais peu d’émotion, une curiosité moins apparente que celle des badauds attirés par un accident de taxi. Le paquebot est solide. Le paquebot va droit son chemin, sans roulis, sans tangage. Le paquebot va de Marseille à Shangaï. Les passagers aussi Et c’est l’h du déjeuner. Les naufragés auraient pu choisir une autre h. Cependant le commandant & les officiers du bord ont interrompu leur repas, se sont levés de table. Ils disparaissent. Les passagers maintenant sont plus émus. L’événement devient intérieur au navire.
Le paquebot semble avancer de flanc, tr lentement. Du pont, je distingue maintenant ds la barque un enfant & deux hommes. L’un d’eux grelotte Un 3ème est à l’eau. Il nage en s’appuyant à un tronçon de mât brisé. L’homme & le mât font à la barque une sorte de queue sombre.
La barque n’est plus tr loin. Mais sans voiles ni rames & pleine d’eau, le pêcheurs ne peuvent la diriger. Le nageur abandonne son mât & s’approche du paquebot. On lui jette une corde. Il la saisit & en tient l’extrémité ds sa bouche On pensait qu’il allait immédiatement se faire hisser à bord. Mais il s’éloigne, retourne à la barque & l’amarre à la corde. Il veut aussi sauver la barque.
Un canot à la mer, comme ds les récits de voyage. À la rame, les matelots du bord le dirigent vers la barque naufragée. Le canot saute les vagues. Il en fait l’ascension & redescend. En vérité il enjambe, il se hisse, se cramponne à la vague. D’un mouvement lent. On a le sentiment qu’une dernière vague se formera qu’il ne pourra franchir.
Enfin le canot de sauvetage touche la barque de pêche. Les 2 hommes & l’enfant, aidés par les marins, passent ds le canot.
Je ne décrirai pas les mouvements qui s’accomplirent pdt ces qq mn : l’approche du canot, les hommes des 2 embarcations se joignant, se penchant, s’accrochant, ces bras tendus comme pour une étreinte, le marin saisissant l’enfant. Et la mer ballottant tt cela. Et l’émotion d’angoisse & puis l’apaisement.
Les pêcheurs grimpent à bord. Ils sont ruisselants, à peine grelottants.
Ils étaient ainsi depuis 5 h du matin, le corps ds l’eau.
— Fais-les vite sécher, dit le second.
On leur donna des bleus. Ils se réchauffèrent sur le pont des 3èmes.
Longtemps fixée sur l’espace de mer où les 2 barques se joignirent, mon attention se détendit. Je fus de nouveau un passager parmi les passagers. J’attendais une parole, je cherchais un regard, moins peut-être ou davantage. Ce qui s’était passé imposait je ne sais quel besoin d’accord humain, d’échange, de contact.
— On a perdu une heure … dit qqn, tt près de moi.
Je me retournai. Je ne sus point qui avait dit cela.
J’errai sur le pont. Et cette phrase, je l’entendis 2 fois… 3 fois… 4 fois. Elle n’étonnait personne. Elle circulait sur le paquebot comme la seule vérité de cette heure.
Avant d’entre au fumoir, un passager dit sur un ton plaisant :
— on a sauvé quatre tiers de vies humaines.
Ce n’était qu’une plaisanterie & sans doute traditionnelle. Un missionnaire l’entendit comme moi. J’ignore si elle l’étonna autant.
L’intendant, le juge, le capitaine d’Infanterie Coloniale & l’avocat général s’installèrent à la table de bridge :
— Je devais faire le point… Si au lieu de battre atout, je battais simplement mes piques d’entrée ?
— En quoi voulez-vs que ça me gêne, roi sur valet ?
— Bien joué, dit-il en portugais.
— Je n’ai pas un poil de sec…
Ds qq h ns serons à Saïgon. C’est le 25ème jour de traversée. Je ne suis plus étonné de la qualité des conversations & des plaisanteries. On parle de bridge, de soldes & d’abonnements. Les femmes comme les hommes. Les plaisanteries sont celles que l’on attribue aux commis-voyageurs, tant qu’on n’a pas voyagé sur un paquebot des Messageries Maritimes, en compagnie de fonctionnaires coloniaux.
Ils constituent un type : le passager. Ils font penser surtout à ces touristes boutiquiers qu’on rencontrait avant la guerre ds les hôtels modestes des petits trous pas chers. Ils étaient pris de l’ivresse de la villégiature. Ils n’avaient point l’habitude d’être servis. On les servait. Ils se plaignaient. Ils étaient exigeants. n aurait cru des princes, des princes mal élevés.
[…]
2 h avant Saïgon je rencontrai sur le pont un fonctionnaire métis, qui aussitôt me parla des naufragés :
— Il n’y a pas bcp de comandants qui auraient fait ça …… ça m’a bcp étonné …
Déjà je n’osais plus lui dire: « Si un commandant était assez stupidement cruel, assez esclave de son horaire pour ne point tenter de sauver des hommes perdus en mer, ts ses passagers l’y contraindraient. » Je ne voulus pas le croire. Je protestai.
Le fonctionnaire métis me répondit :
— Pour des Européens peut-être … pas pour des Annamites.
Qq jours plus tard j’interrogeai un notable commerçant qui, depuis 20 ans, vivait à Saïgon. Il me répondit :
— 50% des commandants n’auraient pas stoppé. Ce chiffre, si l’on veut être tr favorable à l’EUropéen. Pour moi, 70%.
Je ne veux point attribuer trop de rigueur à ce langage emprunté à la statistique. Et j’entends à l’avance les protestations indignées des gdes compagnies de navigation, les protestations de qq coloniaux plus sensibles ou plus hypocrites que les autres. Et le fait que j’ai rapporté serait en faveur de leur protestation. Peut-être ce fonctionnaire & ce négociant se trompaient-ils. Mais l’accord du métis & de l’Européen, fût-il un accord ds l’erreur, cet accord est un signe colonial.
Le Donaï est en courbes. Le bateau tourne. On ne croit pas qu’on suit une rive. Il semble qu’on contourne des îles. De longues îles, couvertes de feuillages serrés à ras de l’eau. Palétuviers & palmiers… mais je n’en distingue pas les formes. Ce n’est qu’un enchevêtrement de frondaisons en boules roches, que parfois domine un étoilement de palmes. Monotone & mélancolique paysage, paysage d’inondation, sous un ciel qui, en Europe, annoncerait l’orage.
[…] Ici, on touche la chaleur comme on touce l’eau d’un bain. Elle ne brûle pas. elle joue presque en sourdine. On ne voit pas sa source. Elle ne coule pas net d’un soleil limité. Elle est partout.
Sur la rivière, le glissement des sampans, bateaux-roulottes. Sur la rive, un mur blanc, un mur éblouissant. Ce sont les Européens, coude à coude, qui sont venus pour l’arrivée du paquebot. L’Angkor approche. Je distingue maintenant les races en groupes photographiques: Européens, Hindous, Annamites.
Léon Werth, Cochinchine, 1926
1er chapitre « À bord »
réponse à 18 h 37 : …et JC un vrai !
lola dit: 11 novembre 2015 à 19 h 09 min
Non, lola, l’Australie n’est pas en Asie, mais Bloom oui.
Quelle nouvelle ! Bloom est parti vers le Sultanat de Bruneï ,avant le départ de la Sydney-Hobart ? eh bien,à lui les grosses cylindrées en or massif..adieu les velours de l’Opéra..
A Cochinchine.C’est grâce à vous que j’avais découvert Léon Werth, en un autre lieu; je ne connaissais son nom que par St-Ex. Ses textes étaient, sont absolument remarquables. Puis, vous aviez vous aussi embarqué vers d’autres cieux. Cochinchine, le livre, est-il réédité? éditeur ?
Avez-vous ,en réserve, quelques autres textes aussi significatifs, et des textes sur l’art ?
Les archives se trouvent à la médiathèque d’Issoudun, où se trouvent aussi d’autres archives de pères missionnaires; je vais chercher dans mes papiers, car j’y suis allée.
Continuez à en poster, ici et là; de quoi remettre la tête à l’endroit.Lola
990
commentaires