La mort, la mort, la mort…
On en connaît qui célèbrent le culte des morts tous les jours de l’année sauf le 2 novembre, jour des Défunts. N’allez pas creuser leur psychologie. Ni fouiller dans le capharnaüm gothique. Disons qu’ils ont le goût des cimetières, ces îlots privilégiés dans une capitale où l’on enregistre le plus bas taux de décibels, ces lieux si calmes que les mamans y promènent leurs bébés entre les tombes. Rien des morbide là-dedans. On en connaît même, tel M. Landru, qui y consacre un blog. Nathalie Rheims est connu pour appartenir à l’internationale informelle des arpenteurs de cimetières. D’ailleurs on l’appelle « la Mère-Lachaise ». Pas étonnant qu’elle consacre un album à sa passion Le Père-Lachaise, jardin des ombres (215 pages, 29,95 euros, Michel Lafon), son évocation lyrique, poétique et fantomatique serpentant entre les photos de Nicolas Reitzaum : noir et blanc alternant avec la couleur, celles-ci sont tour à tour saisissantes, émouvantes, étonnantes.
C’est l’un des plus étonnants musées à ciel ouvert qui se puisse concevoir. Nathalie Rheims a eu la bonne idée de nous le faire visiter en parant à la recherche d’une petite fille morte à l’âge de 4 ans en 1804, Adélaïde Paillard de Villeneuve, première personne à être inhumée au Père-Lachaise, dont la sépulture, régulièrement fleurie, est à l’abandon. Adélaïde sera son Aurélia. Ce qui est la moindre des choses, Nerval étant enterré tout près. C’est le seul livre où l’on ne se précipite pas à la fin dans l’index des noms pour vérifier si l’on est cité. Si c’est le cas, ce n’est pas bon signe : autant dire qu’on a déjà un pied dedans. Le Père-Lachaise est son phare dans la brume, son refuge, où elle retrouve les ombres familières de son père et de son grand-père. Du gisant au sexe bien moulé du journaliste Victor Noir à celui en bronze de Fernand Arbelot tenant entre ses mains face à lui le masque de sa femme, en passant par le superbe Flying Demon Angel sculpté par Epstein pour le monument à Oscar Wilde. La façon de représenter les morts à travers leurs tombes en dit tant sur les vivants !
Certaines étapes de ce chemin de choix, balisé par amphores et cénotaphes, inscriptions latines et mausolées, pour ne rien dire des graffiti et tags, sont purement artistiques. Certaines sculptures valent vraiment le détour. On n’oubliera pas qu’en 1899, une fois le monument aux morts de Bartholomé inauguré, des dizaines de milliers de parisiens se rendirent au Père-Lachaise dans le seul but de le visiter. Et puis quoi, un livre qui porte en épigraphe une ligne tombée du Livre de Job ne saurait être entièrement mauvais ; surtout si elle est suivie d’une autre d’Alain Baschung. Quel couple ! A l’un la résurrection, à l’autre la disparition. Je vous ferais grâce du name dropping consubstantiel à toute évocation de ce cimetière, certainement le mieux fréquenté de Paris – encore que celui de Montparnasse soit plus intello made in XXème siècle. L’auteur y a cherché en vain la seule tombe qui ne s’y trouve pas : celle du père jésuite François d’Aix de la Chaise, confesseur de Louis XIV ; ce cimetière est là où on a le plus de chance de le trouver absent. Mais elle a fini par retrouver la trace de la petite Adélaïde. La vie, quoi.
La mort et ses spectres, je les ai trouvés aussitôt après avoir quitté le Père-Lachaise et cet album, aussi enrichissant au feuilletage qu’à la lecture ; en effet, je me suis plongé dans Ce que j’ai voulu taire (Hallgatni Akartam, traduit du hongrois par Catherine Fay, 207 pages, Albin Michel), inédit du grand écrivain hongrois Sandor Marai, le romancier des Braises et de la Conversation de Bolzano, qui constitue le troisième tome des Confessions d’un bourgeois et retrace ses dix dernières années vécues dans son pays avant l’exil de 1948. Il n’y dit pas seulement sa nostalgie du monde d’avant. Non que ce fut nécessairement mieux avant ou que la mélancolie embellisse le souvenir d’un empire Habsbourg magnifié. Il essaie surtout d’analyser avec ses propres moyens, qui ne sont pas ceux d’un historien, ce qui a fait qu’on en est arrivé là. Comment les esprits ont été consciencieusement, sournoisement, souterrainement accoutumés pour être mieux préparés au pire.
Tout tourne autour d’un moment, d’un événement, d’une date qui sont à ses yeux le vrai début de la seconde guerre mondiale (d’autres, c’est plutôt Guernica) : l’Anschluss. Autrement dit l’annexion de l’Autriche au Reich suite à un coup d’Etat monté par le parti nazi autrichien le 11 mars 1938. C’est à ce moment-là qu’a commencé la processus d’anéantissement de la culture de la Mitteleuropa et de ses valeurs. Mais seuls les poètes pouvaient le deviner ; et parmi eux, seuls ceux qui souffraient d’une anxiété folle et maladive pouvaient prendre la mesure du danger imminent. Les autres, la majorité de leurs compatriotes, crédités d’un trait de caractère national connu comme « une douce nonchalance » selon le poète Mihaly Babits, firent le dos rond, laissant la porte ouverte aux sentiments les plus vils, du ressentiment à la vengeance. La Hongrie était alors au fond de sa nuit de Walpurgis.
Sandor Marai, de son vrai nom Sandor Grosschmid, son nom de plume Marai provenant du titre nobiliaire « de Mara » attribué à sa famille au temps de l’empire, en bourgeois autoproclamé, a assisté à cette décomposition du tissu social. En y repensant, il éprouve le grand regret que son pays n’ait pas su renoncer à temps à ce qui minait le système depuis des lustres : le rapport de seigneur à serviteur. La prise du pouvoir par les communistes après la guerre ne l’a pas aboli, il s’en faut : ils ont chassé les seigneurs de Hongrie mais les serviteurs le sont restés. Lui l’écrivain n’a jamais oublié toute l’arrogance de classe contenue dans le voussoiement et dans le bref salut de la tête par lequel le seigneur s’adressait au reste de l’humanité
Quand Hitler paradait dans Vienne, à une centaine de kms des collines de Buda, Marai avait l’esprit au Settecento, il écrivait une roman sur Casanova… Chroniqueur apprécié de la vie culturelle de son pays, romancier célébré par la critique et le public, il est aux avant-postes en sa qualité d’observateur de l’impuissance des “ forces de l’esprit à maîtriser les pulsions meurtrières de la horde”. N’empêche qu’il a tout senti, tout deviné, sans que ce fut jamais politique, en humaniste conscient des périls, tout simplement.
La mort est partout dans ce « roman » poignant sur une Atlantide engloutie si près de nous qui fut le théâtre de tant de massacres, d’exterminations, de déportations. Mais on écrit parfois tout un livre pour une seule page. Il en est le secret écrin. Cette page unique n’aurait pu être écrite et imprimée autrement, sans toutes celles qui la précèdent et qui la suivent, quand bien même n’auraient-elles pas de rapport direct avec elle. Ici, c’est la page 136 qui s’achèvent deux pages plus loin. Il n’y est question que d’une seule mort, celle d’un enfant : le fils de l’auteur en son jeune âge. En l’enterrant, Marai a été traversé d’une étrange impression : il s’est senti vacciné à jamais contre la douleur et contre toute perte humaine. Rien de plus grave ne pouvait lui arriver. Il eut comme tant d’autres à affronter bien des situations dangereuses pendant la guerre, mais plutôt que du courage, il n’y vit dans son attitude qu’une « fuite en avant » (en français dans le texte, comme si cela nous caractérisait). Durant ces années terribles, il perdit tout ce qui lui importait : des biens, des personnes, un cadre, un mode de vie :
« Et, d’une certaine façon, toutes ces pertes ne m’ont pas occasionné une douleur aussi incompréhensible que celle que j’ai éprouvée en couchant mon enfant dans sa tombe. Ou alors justement cela ne m’a pas fait mal parce que le souvenir de cette douleur-là a « stérilisé » tout ce qui s’est passé après. Pendant les années qui ont suivi, j’ai ressenti de la colère, de l’indignation, de l’horreur, de la compassion mais jamais aucune souffrance dans mon âme. Tout ce qui s’est passé sur les champs de bataille et tout ce que les hommes se sont infligé les uns aux autres à l’arrière des champs de bataille était diabolique ou humain mais restait dans une logique. La mort d’un enfant n’est jamais « logique ». Aujourd’hui non plus, je ne la « comprends » pas. J’ai enterré l’enfant, j’ai attendu la guerre et j’ai continué à vivre ma vie d’avant ».
Tout le livre est de cette encre. A elles seules, ces deux pages suffisent à nous faire comprendre pourquoi il a voulu taire tout cela. Par une étrange association d’idées, en y repensant plusieurs jours après l’avoir lu, un souvenir d’Henri Cartier-Bresson m’est revenu en mémoire. Il avait été montré à Gandhi un album de ses photos récentes, chez lui à Birla House. Le Mahatma avait feuilleté en silence, s’était arrête sur l’image d’un bourgeois français (« Paul Claudel, l’un de nos grands poètes catholiques tourmenté par les fins dernières de l’homme » lui expliqua le photographe) regardant passer un corbillard dans la rue d’un village, il continua puis revint encore à cette image sur laquelle il posa la main en murmurant en anglais: « La mort, la mort, la mort… ». les deux hommes se séparèrent après s’être promis de se retrouver le lendemain pour une séance photo. Quelques minutes après, la rue était en ébullition. Cartier-Bresson fit demi-tour : Gandhi venait d’être assassiné.
(« Au cimetière » et « Victor Noir au Père Lachaise » photos Nicolas Reitzaum ; « Sandor Marai » photo D.R.; « Dernière image de Gandhi » photo de Henri Cartier-Bresson)
1 526 Réponses pour La mort, la mort, la mort…
Jacques Barozzi dit: 3 novembre 2014 à 9 h 44 min
En revanche, il aimait beaucoup Sacha Guitry, dont on retrouve la trace dans le personnage incarné par Jean Poiret dans le « Dernier métro ».
Sacha Guitry était homo !!!!
Tain, la nouvelle.
@GSA
…une couche de macadam passé au peigne fin,!…
Et une couche de massepain passé au peigne cul?
Widergänger dit: 3 novembre 2014 à 10 h 06 min
Juger un individu sur son physique, bravo Mimi.
Cela nous rappelle de bien tristes heures.
Encore bravo pour cette réhabilitation de la délation.
J’ai eu plaisir aussi à retrouver Jean Poiret.
Il y a aussi beaucoup d’affinité entre Jean Renoir et Truffaut.
10 h 09 , ce JC, quand même !
Ce qu’on peut admirer chez Truffaut c’est qu’il ne se laisse pas impressionner par les modes. Il possède sa manière et s’y tient, il ne cherche pas à être ce qu’il n’est pas, en cela très proche de Guitry. Ce qu’il dit de Guitry m’a toujours paru très fin et très juste.
Ce qui est en revanche décevant, ce n’est pas la vie de ce petit monde du théâtre dans des conditions difficiles, mais le Théâtre tel qu’il est REPRESENTE sur le plateau (en quelques séquences au moins) (C.P.)
Bien d’accord. Ces séquences montrant des moments de la représentation théâtrale sonnent faux. Il y a, par ailleurs, un peu partout dans le cinéma de Truffaut, une médiocre théâtralité qui est ce q’il y a de plus daté dans ses films.
Aragon et Breton dénoncèrent violemment le roman traditionnel, Breton se tiendra aux concepts du surréalisme, Aragon reviendra dans le giron romanesque.
Truffaut et Godard s’insurgèrent tout aussi violemment contre le « cinéma de papa ». Truffaut fera du cinéma en costume et en studio, Godard poursuivra son entreprise de déconstruction et de recherche de formes nouvelles, jusqu’à la 3D…
En ce qui concerne Truffaut, nous penchons plus du côté de Widergänger que de Jacques Barozzi, mais le film est tout de même bien académique. Depardieu est formidable du temps où il était encore un acteur.
keupu favori dit: 3 novembre 2014 à 10 h 15 min
Encore perdu.
Dommage.
N’hésite pas à rejouer, mais essaie quand même d’apprendre à lire.
pourquoi discuter ici de cinéma alors que le site de notre amie Sophie est si intéressant ?
nos jeune neveux qui ont découvert « Le dernier métro » l’ont trouvé très « cinéma de grand-papa »
Tout à fait Milena et Dira, d’autant que Truffaut, j’y reviendrais plus longuement dans la semaine.
10 h 22 : si ce n’est lui, c’est donc ton frère, patate
Widergänger dit: 3 novembre 2014 à 10 h 06 min
L’un est Juif par son père, l’autre antisémite.
Voilà bien une queue de post ridicule.
Il est des cas où ce type de remarque peut être utile, mais pas ici.
Truffaut ignorait sa filiation, et « l’antisémitisme » supposé de Godard ne joue aucun rôle dans sa création.
Pour ce qui est de l’analogie AB-LA // JLG-FT, dans la perspective qui est celle de Jacques, elle est en effet suggestive.
Elle ne prétend pas dire le vrai sur le fond des choses.
Truffaut était-il un si bon directeur d’acteurs que cela ? Il y a dans le jeu de Catherine Deneuve ou de Depardieu, dans « le dernier métro », quelque chose d’empesé, de convenu, qui n’est pas spécialement repérable dans les autres films de ces comédiens. Truffaut lui-même, en revanche, dirigé par Spielberg, était un excellent acteur.
Milena et Dira, Sophie parle essentiellement de l’actualité du cinéma, ici les chemins de la littérature empruntent tous les sentiers de la culture et des idées.
Vous aimez les tiroirs bien compartimentés ?
« L’un est Juif par son père, l’autre antisémite. »
Le plus drôle, ueda, c’est que ML préfère « l’antisémite » au Juif !
Paradoxal ?
bonne réaction, Jacques, autant pour nous
En tout cas, ce que dit Widergänger du rôle de Daxiat (le modèle était le critique Alain Laubreaux) est juste : l’acteur Jean-Louis Richard, qui fut aussi un co-scénariste de Truffaut pour d’autres films, y est très « naturellement » remarquable.
Ça va dans la « machine » de Morel?
Milena et Dora dit: 3 novembre 2014 à 10 h 39 min
bonne réaction, Jacques, autant pour nous
Le problème de Milena et Dora chez Sophie est le même qu’ici :
la stupidité de leurs commentaires.
Même Belmondo, dans « la sirène du mississippi n’a pas bien l’air de comprendre ou de savoir ce que Truffaut veut faire de lui.. . On voit la différence avec un Jean- Pierre melville qui dirige admirablement Belmondo et le met dans la peau de personnages aussi différents que curé ou indic. Dans un rôle du pretre à l’éoute de sa paroissienne (« Léon morin pretre ») ou dans le génial « le doulos » »,indicateur narquois, ami fidèle… etr qui berne tout le monde, flics et truands..quant à Godard, c’est lui qui revèle Belmondo dans « a bout de souffle » et lui donne un rôle anthologique dans « pierrot le fou », avec,toujours , des images qui vibrent avec des stridences (ah le visage peint bleu vif sur Belmondo » et la jupe rouge d’anna karina..)là, on voit une direction d’acteurs parfaite.
C.P. dit: 3 novembre 2014 à 10 h 52 min
Bravo, il a une vraie tête d’antisémite.
10 h 53: merci pour votre appréciation, JC le Fourbe
Paul Edel dit: 3 novembre 2014 à 10 h 56 min
là, on voit une direction d’acteurs parfaite.
« Et mes fesses, tu les aimes mes fesses »
pour ceux qui ne veulent pas attendre l’input annoncé de monsieur Assouline 10:26, peut être ils peuvent jeter un coup d’oeil dans le nouveau « Le magazine littéraire » où le dossier François Truffaut de 11 pages commence avec l’article intéressant « Truffaut, l’homme qui aimait les livres » (P.Assouline)
j’aime aussi les photos de différents films comme Adèle H, qui me donnent envie de revoir, car j’ai presque tout oublié de ces films et ainsi je n’arrive malheureusement pas à trop suivre la discussion intéressante entre C.P. et Barozzi. Selon les photos, « L’homme qui aimait les femmes » (1977) serait peut être un bon début, d’autre part « L’enfant sauvage » est celui dont j’ai le plus de mémoire, peut être parce que l’histoire à été réécrite par un de mes auteurs yankee favori, et en plus pourquoi pas découvrir un peu plus sur la ‘vie dans les bois’.
Milena et Dora dit: 3 novembre 2014 à 10 h 57 min
10 h 53: merci pour votre appréciation, JC le Fourbe
Tiens, elles ne lisent pas mieux que keupu.
Présentatrices d’une même radio ?
Le personnage du critique de « Je suis partout » et aussi un hommage à Marais-Cocteau, C.P.
Cocteau qui défendit à Cannes les 400 coups et qui reçu en retour l’aide de Truffaut.
« Grâce aux recettes générées à l’étranger par son film « Les 400 coups », l’enfant terrible François Truffaut cofinança « Le Testament d’Orphée » et Jean-Pierre Léaud se transforma en acteur porte-bonheur pour Jean Cocteau. »
lire chez Sophie les mots aimables de ce JC à notre égard… quand ce n’est pas sur « les poulettes négroïdes »… ce type est vulgaire, misogyne, homophobe, raciste, un vraie canaille
Je devine un peu, oui.
J’avais eu des cours sur l’hygiénisme mental par Jacques Alain Miller.
Qualifier Godard d’antisémite, sans autre forme de procès, comme le fait Widergänger, renvoie à une polémique déjà ancienne (2010). Le prétendu antisémitisme de Godard fait en réalité problème, c’et le moins qu’on puisse dire. Une fois de plus, ceux qui accusent Godard d’antisémitisme confondent, pour la plupart, antisémitisme et antisionisme, comme s’il n’existait pas de Juifs antisionistes ( un Stéphane Hessel par exemple). Le fait que Godard ait réalisé dans les années 70, un film exprimant un antisionisme radical, ne fait pas de lui un antisémite.
@ Jacques Barozzi dit 3 novembre 2014 à 10 h 38: « Le plus drôle, ueda, c’est que ML préfère « l’antisémite » au Juif !
Paradoxal ? »
Logique, Albacaca Widerwichser trouve chez les antisémites sa raison de vivre.
« Truffaut était-il un si bon directeur d’acteurs que cela ? »
Le problème chez Truffaut ne se pose pas exactement en ces termes-là, Azerty. Ce que ne semble pas non plus avoir compris Paul Edel.
Tous les hommes chez Truffaut sont amenés à être lui, en quelque sorte : Léaud, Desailly, Denner, Depardieu… ou lui-même, dans « la chambre verte » ou « l’enfant sauvage » Et c’est réussi, concernant ce cinéaste autobiographique. Quant au femmes, elles sont toutes l’incarnation de la femme idéale chez Truffaut, dans son cinéma comme dans sa vie…
« Widerwichser trouve chez les antisémites sa raison de vivre. »
Sans doute, Dened, au point que le plus souvent il invente un antisémitisme chez ceux qui ne le sont pas forcément : tous ses contradicteurs !
Les Juifs y compris.
pourquoi le choix de Heinz Bennent, Jacques ?
Deneb dit: 3 novembre 2014 à 11 h 13 min
L’ombre de TKT s’abat sur ce blog.
JCouille, vous feriez mieux d’observer ce que vous êtes, un infâme ancien milicien, un raciste, un xénophobe, un pauvre type vraisemblablement grabataire.
Mon ami, vous m’avez évité le passage sur la pomme de discorde.
non seulement JC est fourbe mais il tellement haï sur ce blog qu’il se dégonfle et intervient sous d’autres pseudos facilement reconnaissables… un trouillard, un dégonflé, un couard
nous aimons beaucoup également Andréa Férréol et une Paulette Dubost vieillissante (merveilleuse dans « La règle du jeu » revu dernièrement)
nous attendons avec impatience, Passou, votre billet sur Truffaut
Deneb dit: 3 novembre 2014 à 11 h 33 min
Salut Thierry,
toujours en mode usurpation.
keupu et quelques autres dit: 3 novembre 2014 à 11 h 38 min
non seulement JC est fourbe mais il tellement haï sur ce blog
Mais non,
deux hirondelles ne font pas le printemps.
Et Sabine Haudepin en petite actrice arriviste, irrésistible, Milena et Dora !
Tous les hommes chez Truffaut sont amenés à être lui, en quelque sorte : Léaud, Desailly, Denner, Depardieu… ou lui-même, dans « la chambre verte » ou « l’enfant sauvage » Et c’est réussi, concernant ce cinéaste autobiographique. (Jacques Barozzi)
J’admets votre point de vue, mais il me semble que l’on pourrait en dire autant de beaucoup d’autres cinéastes. Chez Truffaut, du point de vue du spectateur et de son plaisir, le résultat me paraît inégal.
attention aux usurpations de pseudo : nous pouvons contacter un cabinet d’avocats spécialisés très efficace
Jacques, d’accord sur votre analyse du rapport truffaldien aux acteurs. Eux, c’est « lui », et Elles, c’est « elle ».
Et mission accomplie, sur mon blog. Comme j’ai cru comprendre que j’étais désignée « rapporteur » de notre escapade montmartroise, j’ai tenté d’en rendre compte le plus honnêtement possible : vous me direz, Jacques, si cela vous semble correspondre à ce que VOUS avez vécu d’accord ? (mais vous n’êtes obligé à rien, of course !)
C’est très long, mais m’en fous ! Ca fera les pieds à Daaphnée, voilà tout !!!
radio keupu dit: 3 novembre 2014 à 11 h 48 min
Deneb dit: 3 novembre 2014 à 11 h 33 min
« … un infâme ancien milicien, un raciste, un xénophobe, un pauvre type vraisemblablement grabataire…. »
Vous êtes loin de la vérité ! Vous en oubliez … Il est nul en tout !
Décevant, l’époux ! il n’a pas été foutu de démontrer la conjecture de Fermat ! Je l’avais épousé pour cela … Maintenant, je subis les assauts gode-ceinturés de cet adepte des books-toys en fer-blanc, tous les soirs sur l’une des deux terrasses… !
Ne me parlez plus des intellectuels : vive l’haltérophilie et les gens simples, genre Thierry l’Affront !
De même que le cinéaste de « la Chambre verte », qui dans son film célèbre le culte des morts, samedi 1er novembre, au cimetière de Montmartre, j’ai conduit délicatement le petit groupe de joyeuses erdéliennes de la tombe de Guitry à celle de Truffaut. Sur celle de ce dernier, on a pu voir, comme pour Gainsbourg à Montparnasse, une multitude de tickets de métro déposés par les visiteurs…
Clopine Trouillefou dit: 3 novembre 2014 à 11 h 50 min
mais m’en fous
Nous aussi.
radio keupu dit: 3 novembre 2014 à 11 h 48 min
Vous vous adressez à TKT ?
« Charlotte Salomon », le roman de David Foenkinos en lice pour le Goncourt, vu par Eric Chevillard : « Un seau de pipi jaunâtre ».
» Seau de pipi jaunâtre » demanderait à être assorti, de la part du critique responsable de ce qualificatif, une analyse d’urine attentive et complète. Il semble que ce ne soit pas le cas.
Jacques Barozzi dit: 3 novembre 2014 à 11 h 52 min
Jacques,
vous allez nous refiler toute la doc de l’expo de la cinémathèque ?
Sur celle de ce dernier, on a pu voir, comme pour Gainsbourg à Montparnasse, une multitude de tickets de métro déposés par les visiteurs… (Jacques Barozzi)
Et auprès de l’une de ces joyeuses erdéliennes, vous eûtes le ticket ?
Jacques, la photo de la tombe de Truffaut sera disponible demain sur mon blog, accompagnée de quelques autres ; mais l’intégralité des photos de Clopin (il y en a 65 !) est réservée aux participants. Il me manque une adresse mail (DHH), merci de l’envoyer à clopinetrouillefou@gmail.com !
J.-C. Azerty dit: 3 novembre 2014 à 11 h 57 min
Il semble que ce ne soit pas le cas.
C’est le « style Minuit »
« comment accepter, par exemple, les interventions qui visent à me faire passer pour une mère incestueuse, ou TKT pour un crétin des alpes ? » (Clo pinante)
Pour une raison simple, 50% de chances que cela soit vrai, et même plus !
(la mémère du cimetière ressemble à Pierre Gattaz emperruqué châtain … uhuhu !)
Et la tombe de Paul Edel, Jacques, était-elle pleurie par de vieilles dames en fleurs ? (ou le contraire)
Paul Edel n’est pas foncièrement mauvais, ce qui ne veut pas dire qu’il est exceptionnellement bon …
clopinetrouillefouagmail.com
Encore une qui se dit écolo et permet à google de tisser sa toile.
bravo pour votre « reportage », dame Clopine, et d’accord avec vous pour une charte de bonne conduite sur ce blog pour éviter des nuisances et attaques comme celles de JC le Fourbe… nous prendrons contact avec le fameux cabinet d’avocats
Superbe compte-rendu, Clopine, la greffière, c’est vous !
Et au-delà de la visite de la nécropole, vous avez bien posé le débat (ouvert) sur les enjeux de la RDL.
Chaque fois que je rencontre quelqu’un que je ne connaissais qu’à travers ses mots, comme ce fut le cas dernièrement pour DHH et B., je suis toujours étonné de constater qu’il ne correspond pas du tout à l’image que je m’en faisais !
« cherche avant tout à lire les analyses et les interventions des esprits les plus aigus du blog, comme Bloom, ou CP… (Clo piquouse)
Une erreur, une sur deux, GROSSIERE, HENAURME, vient de se glisser dans les propos de l’Anti-Bergerette des Alpages…. !
Sauras-tu la trouver ?
Si une minute à perdre , venez cygner ma pétition » avec François , pour que vivre les Trolls » ! Sissi !!
radio keupu dit: 3 novembre 2014 à 12 h 11 min
nous prendrons contact avec le fameux cabinet d’avocats
Je croyais que ce cabinet s’occupait d’usurpation de pseudos ?
Vous voulez donc parler de TKT et non de JC.
Fons, je vous reviendrai plus tard sur Kafka, le journal, le sien; le temps de récupérer du voyage. Tous ces posts de morts-vivants, me sont illisibles.
« TKT pour un crétin des alpes ? …..Pour une raison simple, 50% de chances que cela soit vrai »
JC
J’espère qu’après cela JC ne sera plus critiqué que pour de bonnes raisons.
50% !!!!
Quelles bienveillance et indulgence.
nous voilà bien, à devoir arbitrer sur le plan historique entre JC… le réac (7h 22), et le stalinaud mal blanchi Delpla (7h 01). Quel dommage seulement, qu’à vouloir évoquer l’entrée dans Paris à la Libération, ils n’aient fait les choses qu’à moitié. Car enfin : une bonne partie des effectifs de la « Nueve » étaient anarchistes. Mais c’est là bien sûr, ce que ces messieurs, n’aiment pas qu’on leur rappelle.
PS. ces dames npon plus, n’aiment pa
Assez, beaucoup et trop même,
de pots de chrysanthèmes !
Toussaintement.
Tous ces posts de morts-vivants, me sont illisibles. (La vie dans les bois)
Ce que c’est que trop fêter Halloween au fond des bois.
JB, vous avez repris du poil de la bête, ça me fait plaisir.
Non, non, TRuffaut finit par apprendre sa filiation. Il savait que son père s’appelait Lévy, comme moi d’ailleurs.
Barozzi, vous montrez simplement vos préjugés. Moi, je n’en ai pas. Je suis juif comme Truffaud, comme Arno Klarsfeld et tant d’autres. J. Attali se prononce et milite depuis toujours d’ailleurs pour la reconnaissance des Juifs par leur père s’ils le souhaitent par le rabbinat. De toute façon, je suis un Juif par le cœur et reconnu comme tel par ma cousine juive devenue israélienne et ça me suffit et personne n’a rien à y redire de toute façon. Et ceux comme ce connard de Tkt qui trouve à y redire m’indifférèrent totalement. Ce ne sont que des médiocres aussi pourris que les nazis.
Je préfère en effet le cinéma de Godard parce qu’il est plus d’avant-garde, plus déglingué que celui de Truffaud. Je n’aime pas tout dans Godard évidemment. Mais Le Mépris est un indéniable chef-d’œuvre universellement admiré aujourd’hui, ce qui n’était pas du tout le cas à sa sortie, sauf par des gens comme Jean-Louis Bory qui l’a d’emblée admiré sans forcément le comprendre dans son entièreté. Ce que j’apprécie surtout dans Le Mépris c’est cette technique du raccord dans le mouvement qui donne une fluidité extraordinaire au film, une fluidité qui est une vision du monde, comme celle de l’Es de Flaubert. Et puis le lien avec l’Allemagne de Fritz Lang, le nazisme, la Shoah (au départ la secrétaire du producteur américain était une juive sauvée des camps dans le scénario, et puis c’est passé à la trappe parce que ça ne collait pas à l’ensemble, ce qui se comprend d’ailleurs fort bien).
Widergänger c’est tout à fait votre droit, d’être juif, mais votre affirmation selon laquelle vous êtes juif « comme Arno Klarsfeld » soulève une inquiétante question : c’est pour lutter contre l’antisémitisme, ou pour l’alimenter, que vous débitez de pareilles niaiseries ?
‘vie’ 12:34
« Tous ces posts de morts-vivants, me sont illisibles. »
de même pour moi. Hier c’était plutôt jour des morts très traditionnel avec visite de la tombe des parents, bien que j’avais une toute autre mort trop récente et tellement triste dans ma tête. Donc pas le temps pour lire la rdl. En filtrant je suis quand même tombé ce matin sur votre 13:59 d’hier et aussi le Barozzi 8:33 m’a fait très plaisir.
Après-midi ce sont les courses après les tristes jours de fête et le trip à Londres, qui attendent. Donc a plus tard et bon reste de journée à vous.
Mais Stéphane Hessel n’était pas du tout juif. Il s’en réclamait mais n’avait aucune culture juive et il était protestant de confession. Je n’appelle pas ça un juif. Comme Tkt, qui est une simple petite ordure de catholique qui n’a absolument rien de juif. Je rappelle qu’il n’y a pas de gêne juif. La judéité ne se définit pas essentiellement par l’ascendance maternelle sauf pour les fanatique rabbinique mais par la culture, le cœur, le sentiment intérieur et le père aussi puisqu’autrefois (dans l’Antiquité sous les Maccabés, c’était le père qui définissait la judéité. Le rabbinat l’a modifié à cause des viols des romains sur les femmes juives durant l’occupation romaine. C’est un fait d’occupation qui ne peut en aucun cas suffire à définir une filiation. De toute façon, le problème n’est pas là, il est bien plus profondément qu’il ne peut pas y avoir d’autres juifs qu’imaginaires comme dit Finkielkraut. Je n’ai à l’évidence pas grand chose à voir avec mon arrière grand-père juif russe de Pologne avec sa grande barbe et son caftan noir. Ma grand-mère juive morte à Auschwitz était déjà elle-même en grande partie une juive imaginaire. Mais elle y tenait. Comme moi.
luc nemeth dit: 3 novembre 2014 à 12 h 42 min
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il faudrait perdre cette habitude de me contredire sur ce dont je n’ai pas parlé.
Non, je rappelle simplement qu’Arno Klarsfeld n’est pas juif au sens rabbinique du terme puisque sa mère est une allemande protestante. Il est dans le même cas que moi, seul son père est juif. Ce qu’il ne l’empêche pas de se définir comme juif et d’avoir été soldat dans l’armée israélienne en plus. Aucune niaiserie dans ce que j’ai dit. Je ne dis d’ailleurs jamais de niaiserie !
l’nombril d’la femm’ d’un agent de police.. grands dieux.. mon fétichisme s’en ferait encore détourner..
il n’y a pas de gêne juif.
si gêne il y a, c’est à lire cela après la Shoah, qui partait du postulat d’une tare biologique indélébile.
Comme Tkt, qui est une simple petite ordure de catholique
sapré dracul..
J’aime bien aussi Adèle H.
On peut ne pas être juif, et le mériter, non ?
(…amitiés à Abdel, notre harki des Anglais de la City… la balle au pied… hop… ! Flûte ! Raté… )
c’est pour lutter contre l’antisémitisme, ou pour l’alimenter, que vous débitez de pareilles niaiseries ?
ho toi ta gueule
Toussaintement.
ta gueule..
François Delpla dit: 3 novembre 2014 à 13 h 08 min
il n’y a pas de gêne juif.
si gêne il y a, c’est à lire cela après la Shoah, qui partait du postulat d’une tare biologique indélébile.
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C’est vous qui êtes gênant. Car c’est la critique que formule précisément les antisémites contre le problème de la filiation par la mère. La gêne elle celle des goy qui l’ont provoquée par leur déni de la judéité autre que par la mère, ce qui relève d’un intégrisme rabbinique par des gens qui ne se réclament même pas des devoirs rabbiniques. Ce n’est qu’une forme cachée de la haine ancestrale contre les juifs. C’est pas beau, c’est même très vilain.
Jacques, la photo de la tombe de Truffaut sera disponible demain sur mon blog
intressant
Il ne s’agit pas de mérite. Il n’y a aucun mérite particulier à être juif et à se reconnaître comme juif. Il y a simplement un désir d’identité et des devoirs qui en relèvent.
Widergänger (de 13h05) je me moque de savoir qui est juif, et qui ne l’est pas. C’est une question que je ne pose jamais à personne, et pour la bonne raison que je ne me la pose pas à moi-même (j’essaye de voir qui j’ai en face de moi, et cela me suffit). En plus de ça je crois savoir que la tentation de définir… qui est juif, comportent des précedents malodorants.
Ce que j’ai seulement voulu dire c’est que, si vous tenez à apparaître comme juif : vous auriez pu choisir un « modèle » plus présentable.
Pardonnez la grandiloquence, Widergänger : serviles avec les puissants, arrogants avec les faibles, les juifs-de-droite sont la honte, du peuple qui donna au monde les combattants du ghetto-de-Varsovie.
La gêne elle celle des goy qui l’ont provoquée par leur déni de la judéité autre que par la mère
c’est l’uzi qui fait la judéité et la balle de l’uzi qui fait le goye..la la..c’est souvent les..on est obligé de gacher..tu vois ce qui te pends au nez françois..c’est pas qu’un metre de saucisse
qui est juif, comportent des précedents malodorants
attation a cque tu dis dracul!
ça fait beaucoup de films de Truffaut que vous aimez finalement, ML, pour deux ou trois titres de Godard seulement que vous nous avez donné ! Ne seriez-vous pas un peu midinette ?
il faudrait perdre cette habitude de me contredire sur ce dont je n’ai pas parlé
mais fouts lui sur la gueule françois!
n’avouez tout de même pas que c’est parce qu’il n’y joue pas
Ne seriez-vous pas un peu midinette ?
un peu par derrière baroz..mais par les nuits sans lune..pour que yavé y voit pas
Non, absolument pas, Barozzi. On ne peut absolument pas dire qu’Aragon « revint dans le giron romanesque ». C’est une affirmation qui ne correspond strictement à rien ! Il a écrit des romans pour faire exploser l’art du roman, avec une invention sans précédent dans le siècle à part Proust et Céline. C’est complètement débile comme critique de dire qu’il « est revenu dans le giron romanesque » ! Aragon est un des plus grands inventeurs de formes romanesques au XXè siècle ! Bouseux !
Clopine devrait réserver l’exclusivité de la photo de la tombe à Truffaut par Clopin pour le prochain article de Passou, le boug !
A moins que celui-ci y soit déjà allé ?
Paul Edel n’est pas foncièrement mauvais, ce qui ne veut pas dire qu’il est exceptionnellement bon …
entre 10 et 2 ou 3 balles d’uzi ça fra pas trop de différence allez..en plus tu peux souffrir polo..autant êtes carrément méchant
Widergänger (de 13h05) je me moque de savoir qui est juif, et qui ne l’est pas. C’est une question que je ne pose jamais à personne, et pour la bonne raison que je ne me la pose pas à moi-même (j’essaye de voir qui j’ai en face de moi, et cela me suffit).
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Mais moi aussi !
Je ne me définis pas comme un juif de droite. Vos propos ne me concernent absolument pas.
..c’est vrai baroz..c’est malséant
« Je rappelle qu’il n’y a pas de gêne juif »
WG
Bien d’accord, où ya de la gêne yapa de plaisir.
(j’essaye de voir qui j’ai en face de moi, et cela me suffit)
un petite rafale et on cause
concours de photos de vacances chez télérama on dirait
ferme ta gueule keupu
Widergänger je prends conniassance de votre commentaire de 13h15 dans lequel vous faites maintenant patte de velours et énoncez, à propos du mot juif : « Il y a simplement un désir d’identité et des devoirs qui en relèvent ».
Eh bien moi je récuse jusqu’à votre simplement.
1) en ce qui concerne l’identité : chacun(e) se constitue la sienne et accorde à la question des « origines », la place qui lui convient. Tenez, je vais vous le dire, Wiedergänger : j’ai gardé la nostalgie de l’époque où j’allais à l’école et où on ne savait pas, « qui », était « quoi ».
2) étrange est votre affirmation selon laquelle il y aurait des « devoirs », pas mieux précisés, qui relèvent de l’identité. Insinuez-vous qu’un juif aurait pour devoir de lutter contre l’antisémitisme ? Mais ce phénomène est une infamie contre laquelle est tenu de lutter, tout autant… un breton ou un bachi-bouzouk (je laisse ici de côté le cas un peu particulier des juifs bretons et des juifs bachis-bouzouks).
Insinueez-vous qu’un juif aurait pour devoir de lécher les bottes, hier, de Sharon, aujourd’hui, de Nétanyahou ? Eh bien, si j’en juge par ceux et celles des juifs qui m’honorent de leur amitié : votre point de vue me paraît très, très isolé…
Truffaud est un homme très touchant. Son enfance malheureuse, sa mère qui ne l’aimais pas vraiment. S’il n’avait pas eu le cinéma pour le sauver, il aurait très mal tourné. Sa chance c’est d’avoir rencontré Bazin qui a immédiatement compris à qui il avait affaire. Une sorte de miracle qui est un signe de D.ieu.
La prose de Marai n’est pas dénuée d’antisémitisme, tel qu’on l’on entend aujourd’hui. A son époque (lire Mémoires de Hongrie), il était normal d’être surpris des largesses accordées aux personnes d’origine juive dans les années 46 et 47, d’autant qu’elles frayaient avec le nouvel occupant et revenaient, pour certains futurs caciques du parti, des camps russes.
Mais c’est bien votre droit de récusez tout ce que vous voulez. Je vous simplement ce qu’il en est pour moi. C’est tout. Le reste m’indiffère.
Arnaud Montebourg va apprendre à être intelligent…
BONNE CHANCE AUX PEDAGOGUES !….
Non, vous ne comprenez pas du tout ce que j’entends par « devoir », qui est clair pour tout juif, et qui n’a aucun rapport avec l’antisémitisme. Vous êtes de ces juifs complètement déjudaïsés sans doute, comme Tkt. C’est le fruit de l’assimilation, ce n’est pas ma façon de voir, c’est tout.
Ya-t-il une gêne de Truffaud ?
Phil, le problème est très antérieur aux années 1946-47 : dans les années 1920 déjà la droite hongroise jouait à fond la carte de la « place accordée aux juifs ». Ainsi en 1928, sous l’évidente impulsion du ministre Gombös, les étudiants de l’Action catholique mirent les universités à feu et à sang au motif que, dans un accès soudain de libéralisme, le régime réactionnaire avait décidé de faire passer de… 5%, à… 6%, le quota d’étudiants juifs autorisées à s’inscrire annuellement, dans le cadre du numerus clausus.
Ce qui m’a amusé en voyant Montebourg, c’est qu’il a apparemment pour assistante ou très proche collaboratrice quelqu’un que je connais très bien, puisque c’est l’adjointe de la chef de mon établissement. Particulièrement nulle, au point qu’elle a été obligée de demander sa mutation tellement elle foutait le bazar dans l’établissement avec son incompétence notoire ! Et ça doit être pareil avec Montebourg. Voilà ce que c’est que ce genre de salopard de Montebourg qui veut devenir un grand chef d’entreprise et qui se paye un stage de formation qui est à peu près égale à une année de revenus comme prof ! Un incompétent notoire qui prétend diriger le pays !
Clopine devrait réserver l’exclusivité de sa photo
Cloclo veste vert pomme et 80 kg fillette c’était quelque chose!
Widergänger, j’aurais aimé pouvoir vous répondre, mais là ça devient difficile, vu que vous êtes en train de nous tenir un discours en forme de : c’est-mon-opinion-et-je-la-partage. Aussi, on se demande bien ce que vous faites sur des sites de discussion : un moulin à prières (ne voyez nul antisémitisme, dans cette image…) vous conviendrait amplement.
Fons, je vous ai laissé un petit mot sur » faut-il sauver Kafka ».
Je suis un peu en hurry, je dois réserver un billet de train pour semaine prochaine où je vais à Paris. Et demain, c’est travail. Je vais relire ce que vous avez dit de votre récent voyage modianesque. J’ai déjà en tête ( avec aussi toutes ces expo de l’automne) d’aller sous la pyramide, c’est mon rituel. Sous la pyramide du Louvre. Bon après-midi, j’ai oublié sous le billet Kafka. L’entrée journal du 30 janvier 1922 a aussi pour nom : compassion.. A bientôt.
JC….. dit: 3 novembre 2014 à 13 h 34 min
Petite mesquinerie de la part de JC.
Son IAE fait pâle figure à côté de l’INSEAD.
(je parlais de votre post de 13h35, WGG)
Les Dieux savent combien je suis féministe et respectueux de nos sœurs…
Eh bien ! je n’y peux rien, je suis sexuellement attiré par les charmes normands de l’armoirée Clopine !!!
Mon épouse, mes voisines, êtres délicieusement superbes, ne comprennent pas pourquoi… J’ai beau leur parler de cette étonnant ressemblance avec Pierre Gattaz emperruqué châtain ?!
Rien n’y fait !
A demain mes chouchous : je vous aime !
on se demande bien ce que vous faites sur des sites de discussion
ben il cherche à se faire honorer d’un lèchage de bottes t’es con ou quoi ?
Radio Keupu qui prone une charte de bonne conduite, c’est Caliban qui se prend pour Shakespeare!
MC
La jalousie est un …… dit: 3 novembre 2014 à 13 h 47 min
« mesquinerie de la part de JC. Son IAE fait pâle figure à côté de l’INSEAD. »
L’IAE ? c’était pour rigoler avec l’expert-comptable de service ! Un Doctorat de mathématiques, c’est autrement bon et gouteux : y a bon, Bourbaki !
Luc, en effet la Hongrie fut précurseur dans les vilénies infligées aux personnes juives. Il y eut peut-être quelques mauvaises raisons à ces réactions.
Après le traité de Trianon tombé du ciel franc-maçon pour démembrer le pays, la population apprécia la république des conseils des années 1919/20, avant-goût de régime moscovite de plomb qui comptait une vingtaine de dirigeants, dont un seul pouvait les remplacer le jour de sabbat.
Nom de dlà, non, pas pomme. Deux jeunes gens, dans le métro, se sont sérieusement posé la question, et ont conclu au « vert céladon » (?) puis au vert pistache (mieux !) ; quant à mon aspect physique, mon dieu, n’ai-je pas fait ici même un autoportrait sufisamment ressemblant pour que vous ne jouiez pas les étonnés, mmmhhhh ?
Pour Jacques : connaissez-vous la « balade des cimetières », de Brassens ? On y confond le cimetière de Montmartre et celui de Montparnasse…
Mais mon cher luc, moi je ne discute jamais avec les cons bornés comme vous ! C’est un devoir…
les mathématiques en femme idéale ça jette un froid
se sont sérieusement posé la question, et ont conclu
ben ouais être correct c du boulot
JC….. dit: 3 novembre 2014 à 7 h 22 min
WIKIPEDIA
« Mort aux cons ! » est un slogan du jargon militaire utilisé pour stigmatiser l’ennemi.
Non mais l’ennemi, c’est vrai qu’ils en tiennent une couche, parce qu’enfin ils croient et professent que c’est nous, l’ennemi… C’est bien la preuve qu’ils tapent dans les boîtes !
fallait les pogner un bon coup t’as pas oublié j’espère
Clopine dit: 3 novembre 2014 à 13 h 52 min
On y confond le cimetière de Montmartre et celui de Montparnasse…
Faut voir à un moment ils vont se rejoindre…
Widergänger dit: 3 novembre 2014 à 13 h 55 min
Mais mon cher luc, moi je ne discute jamais avec les cons bornés comme vous
C’est vrai que Luc est souvent assez c.., mais pour une fois où il ne dit pas une de ses c….. répétives, je me demande de quel côté est le borné.
@ Widergänger dit:3 novembre 2014 à 13 h 02: « Mais Stéphane Hessel n’était pas du tout juif. Il s’en réclamait mais n’avait aucune culture juive et il était protestant de confession. Je n’appelle pas ça un juif. Comme Tkt, qui est une simple petite ordure de catholique qui n’a absolument rien de juif. »:
Michel Alba, que vous me traitiez de peine ordure n’engage que vous.
Me traiter de petite ordure « catholique » me parait une grande connerie, voir de la niaiserie. Vous et votre copine Maniatis, vous n’êtes pas le Dr. Goebbels, ce n’est pas à vous de déclarer qui est juif ou pas.
J’ai des cousines, tout autant juives que moi, qui sont protestantes depuis au moins deux générations. Je suis catholique, car ainsi le voulut mon père, sa propre mère s’était convertie au catholicisme avant la guerre de 14.
Vous ne dites jamais deux fois la même chose, une fois vous vous présenter comme juif religieux, croyant, pratiquant, une autre fois comme n’ayant rien à voir avec la religion. Bref, non seulement vous êtes assez niais (lire sans logique), mais comme D., vous êtes de mauvaise foi.
Je ne connais rien à la religion juive, j’ai beaucoup oublié de l’apprentissage catholique, cela ne change rien, Albadoppelkaka, je me sens juif, à ma manière et cette manière vaut bien la votre. Je ne prends pas la Shoah comme fond de commerce, ce que vous faites, mais au finish ma tante assassinée à Auschwitz vaut bien votre grand-mère épouse Alba. Les victimes se valent toutes, Albamultikaka, idem pour les Roms tués dans les camps ou les homosexuels.
Bref Albascheißkopf, comme je suis agnostique, peu importe si au départ on m’a fait catholique ou si mes ancêtres étaient des juifs pratiquants.
J’ai trouvé sur internet un site qui parle des Juifs Français réfugiés dans les Alpes, pendant la guerre. Il y a une liste des réfugiés établis à Megève, j’y ai retrouvé Arlette, Jean-Louis et François Kron, les cadets de mon père. Par la suite, Arlette et Jean-Louis partirent rejoindre mon père et tous les trois, passèrent en Espagne. Mon père fit demi-tour, ne voulant pas laisser ma mère et ses deux enfants tout seul derrière lui-
Les Juifs Français étaient répertoriés comme « israélites ».
Dans la région, parurent des articles parfaitement infectes sur les réfugiés.
Alba-mille-feuilles-au-caca, je ne vous décrirais pas comme une ordure, ni juive, ni catholique, vous êtes dément c’est ce qui fait votre personnalité. Bizarre que vous et JC, vous ne vous suicidiez pas, oui, vous trouvez le monde invivable.
J’aime bien lire aussi Le Plaisir des yeux, de Truffaud. On comprend qu’il aime Guitry.
Fons, je vais aussi aller là, chez les Mayas.
http://www.quaibranly.fr/fr/programmation/expositions/a-l-affiche/mayas.html
« L’enfant sauvage » de Truffaut, I guess he’s not mentionned in the famous magazine littéraire. A shame for your Yankee smooth operator.
Court à 13 h 50 : vous nous confondez avec Madame de Valognes, nous n’avons aucun grief contre vous
Très bien votre article, dear Clopine. Donne envie d’ouvrir une ou deux huîtres en hommage au prestigieux blog à passou.
Quand Truffaut fait l’acteur (enfant sauvage, troisième type), les cinéphiles ont peur. Sinon, belle évocation de la salle de cinéma l’hippodrome de Clichy dans « L’homme qui aimait les femmes », remplacée aujourd’hui par l’affreuseté du groupe accor lupanar à touristes.
Baroz a sûrement expliqué entre deux prières.
le diable disant à la queue comme tout le monde ce serait pas crédible
« Bizarre que vous et JC, vous ne vous suicidiez pas, oui, vous trouvez le monde invivable. »
TKT
Pourquoi ne peut-il s’empêcher de terminer un commentaire plutôt intelligent par une grosse co…..
Mystère tékatien.
l’âme un pompier épicétou
radio keupu dit: 3 novembre 2014 à 14 h 11 min
Court à 13 h 50 : vous nous confondez avec Madame de Valognes, nous n’avons aucun grief contre vous
Ce qui n’empêche pas d’en avoir contre vous.
Oui, Phil, en sortant du cimetière, Clopin a cru que je les emmenais diner chez Castorama !
RN7 m’accuse, le 3 novembre 2014 à 14 h 04, de dire des c….. répétives : ce en quoi, RN7 est plus « intelligent » qu’il n’y paraît ! Car ce que j’ai à dire tient en trois mots (à savoir, MORT AUX VACHES, pour qui n’aurait pas compris) et le reste, effectivement, m’appraît comme du délayage, sinon de la répétition.
La critique de Truffaud d’Aurenche et Bost est très superficielle, pas cinématographique du tout. Pas esthétique, mais plutôt ad hominem, ou idéologique (c’étaient des anarchistes qui transposaient au cinéma des écrivains réactionnaires). C’est un peu léger, il se contentait de pas grand’chose à cette époque. L’adaptation du Diable au corps de Radiguet, je l’avais pour ma part trouvé excellente.
Il aurait pu en profiter pour mieux définir sa manière. Il ne la possédait sans doute pas assez pour bien en parler à cette époque. Mais quand on voit les 400 coups, on comprend tout de suite ce qui le sépare de la manière des films d’avant. De même quand on voit A bout de souffle, avec la fin qui est déjà critique et pas « naturelle ».
Phil dit: 3 novembre 2014 à 14 h 12 min
de la salle de cinéma l’hippodrome de Clichy
Heu….. l’Hippodrome ou le Gaumont Palace mais le mélange des deux je doute.
Alors est-ce que vous êtes au moins allés fleurir la tombe de Stendhal. Ce matin je suis passé devant la maison où il est mort rue Daniel Casanova, un hôtel.
Jacques Barozzi dit: 3 novembre 2014 à 14 h 20 min
Comme quoi Jacques Barozzi n’y connait rien.
Je sens qu’il va se précipiter sur Wiki.
14 h 20 : pas de problème, nul n’est parfait
Mon petit keupu, tu sembles ne pas bien comprendre la situation : s’il y a quelqu’un que tout le monde méprise ici pour sa bassesse sans égale et sa bêtise inouïe, c’est toi… Même JC peut compter sur quelques soutiens, toi tu n’as rien, tu n’es rien, rien qu’un troisième couteau qui ne coupe pas, une crotte de chien oubliée sur le trottoir et qu’on tente d’enjamber comme on peut.
L’Hippodrome, remplacé par le Gaumont Palace (6000 places), il me semble.
Aurenche/Bost avaient la patte aimablement anti-cléricale, sorte de Prieur et.. (oublié son nom) d’aujourd’hui.
dear baroz, à lire dame Clopine, clopinou vous fixera la médaille cicerone sur la toison.
Le Prix Femina étranger décerné à l’Israélienne Zeruya Shalev
L’auteure s’est dite « ravie d’être la première Israélienne à recevoir ce prix »
http://www.i24news.tv/fr/actu/culture/49665-141103-prix-femina-etranger-a-l-israelienne-zeruya-shalev
Michel Alba, nous n’avons rien à partager, en effet.
Vous êtes un juif par choix, cela vous semble vous faire paraitre intéressant.
Nous n’avons même pas en commun, le souvenir de la cuisine juive de ma grand-mère-maternelle, joyeux mélange lorrain-alsacien-polonais (partie polonaise arrivée sous le second-empire).
Bien entendu quand j’écris Albacaca, c’est en réponse à votre Abdelkaka.
Vous n’êtes pas de la merde, vous êtes dément, ce qui explique vos commentaires.
@ †etram JCouille: Quand on est aussi mécontent de tout, il serait élégant de se suicider. Le problème, votre créateur le D.bile est catholique et se suicider est un péché mortel…
Widergänger dit: 3 novembre 2014 à 14 h 24 min
L’adaptation du Diable au corps de Radiguet, je l’avais pour ma part trouvé excellente.
1947.
Pas né mais déjà cinéphile.
Widerwichser, rue Casanova, vous vous rendiez chez Charvet ?
la vérité sur keupu à 14 h 31 : message transmis à tout l’équipe, hilarité générale, merci
sapré TKT, rejoue à la diable « Le dernier métro », Depardieu propose de baisser pantalon pour prouver pédigree.
D’JC, vous êtes malveillant et surtout, vous êtes bête.
On peut avoir vu des films tournés avant sa naissance, comme on peut lire des textes encore plus anciens.
Michel Alba peut tout à faire avoir vu des films tournés avant sa naissance.
« @ †etram JCouille: Quand on est aussi mécontent de tout, il serait élégant de se suicider. Le problème, votre créateur le D.bile est catholique et se suicider est un péché mortel… »
Mais je suis tout aussi athée que toi mon Thierry chéri.
Et bien sûr comme tu le sais je ne suis ni D., ni JC.
Serais-tu « radio keupu » ?
Je n’ose y croire.
ce qui serait bien là ce serait enfin autre chose qu’un mendiant
mais bon..
La tombe de Stendhal ? Nous avons évoqué Paul Edel plutôt que vous, WGG, en nous dirigeant vers elle. Et nous nous sommes assis sur son bord, pour un réjouissant portrait de groupe,
tiré par Clopin (eh oui, c’est comme cela, quand des erdéliens se délocalisent, ils emmènent leur photographe attitré, ahaha !)
tous les mêmes et dans l’ordre
@ Phil, c’est exactement une des raisons, pour laquelle mon père a fait ses enfants catholiques, pour ne pas devoir après avoir montré leurs « private parts », être dirigés vers un groupe voué à être exterminé.
C’est assez simple, non ?
Deneb dit: 3 novembre 2014 à 14 h 34 min
Widerwichser, rue Casanova, vous vous rendiez chez Charvet ?
Thierry, vous êtes sûr qu’ils font des chemises jaunes chez Charvet ?
radio keupu dit: 3 novembre 2014 à 14 h 35 min
« Le Prix Femina étranger décerné à l’Israélienne Zeruya Shalev »
Donc le Goncourt sera pour l’écrivain algérien…C’était déjà couru d’avance avec son ajout à la liste en dernière minute. Maintenant, c’est du certain.
Oui, ML, nous avons fait une halte émue devant Stendhal, Berlioz, Alexandre Dumas fils, la dame aux camélias et son nouveau voisin, fils spirituel de Guitry et de la Nouvelle Vague : Jean-Claude Brialy, entre autres…
Deneb dit: 3 novembre 2014 à 14 h 41 min
D’JC !!!!!
Vous êtes TKT ?
Dans tous les cas, relisez bien.
sicher, dear tkt. En homme pressé, votre père avait déjà du goût quand il faillit vous faire donner naissance dans les huisseries d’une Bugatti sous le tunnel de lady di.
Phil, quand nous avons examiné votre cas en comité Wepler, quelqu’un à émis l’hypothèse que, Français vivant à Bruxelles, vous seriez peut-être un évadé fiscal, vous confirmez ?
Rappelons que « radio keupu » est une invention de celui que nous nommons fort justement bougue-rototo et nous l’en remercions ici… notons qu’il y a une différence avec celui qui signe « keupu », l’autre « keupu favori » et certains « keupu et quelques autres », tout le monde ne semble pas avoir compris les différences et nous le regrettons… toute notre affections à nos nombreux auditeurs
Phil, vous avez bonne mémoire, mais il ne s’agit pas du même tunnel.
à force de passer… nous nommons Monsieur Chaloux membre d’honneur de notre association
dear baroz, il y a des vérités payantes, celle-ci est gratuite sauf pour l’évasion.
Avez-vous plutôt causé de Céline, assis à la terrasse comme au début de son Voyage ? Faut renseigner Clopinou.
luc pourriez-vous citer vos sources quant à ce ministre, je ne le trouve pas avant 1930 et encore moins réformateur même à minima, 1% quelle mesquinerie pour une émeute, rien d’étonnant à constater que la bêtise n’évolue guerre que pour semer plus de morts.
D’JC, vous êtes vraiment un plouc.
Bien entendu que les chemisiers, dont Charvet, ont des tissus jaunes.
En dehors de votre milieu de plouc, le jaune est une couleur plutôt basique. Un conseil, le jaune fait partie des couleurs qui ne supportent pas les tissus de mauvaise qualité, restez sur les couleurs non voyantes.
A Clopinou, Phil, j’ai indiqué qu’au Pathé-Clichy, quand je suis arrivé à Paris, on pouvait fumer dans la salle, un cendrier individuel étant intégré dans l’accoudoir.
Après votre « MORT AUX VACHES » cher Luc je considère tout de même votre anagramme d’une autre façon, seriez-vous à ce point libertaire anarchiste de droite de gauche et poursuivi par toutes les théories qu’il vous faudrait halluciné n’y voyant plus que du bovin vous en défendre à corps et à CRIS?
Vous avez eu raison, dear baroz. Rien de pire qu’une jeunesse bio. look de crevette, pensée ramollie. Regrettons l’époque où l’on pouvait fumer dans les avions dans des fauteuils de salon, service en métallique.
TKT dit: 3 novembre 2014 à 15 h 01 min
D’JC,
Et le voilà reparti dans ses fantasmes, on pouvait le penser guéri, mais non, le mal est trop profond.
Sur le jaune Thierry, vous faites broder vos initiales de quelle couleur ?
Violet ?
Il faut dire que 30% des élèves de mon collège vont dans les grands lycée parisiens (Chaptal, Condorcet, Louis le Grand, H 4). Ici, j’ai l’impression de retourner à Drancy !
Vous donnez des cours dans un collège ?
et que font des élèves de lycée, dans votre collège ?
Pour Drancy, Albacaca, vous parlez du camp de transit, ou d’une de vos expériences dans les quartiers chauds ?
TKT dit: 3 novembre 2014 à 15 h 01 min
Un conseil, le jaune fait partie des couleurs qui ne supportent pas les tissus de mauvaise qualité,
Comment pouvez-vous l’accorder avec votre peau blafarde ?
si bérénice veut jouer aux anagrammes alors moi je peux créer un néologisme et lui dire qu’elle n’est qu’une merdantisémite : en un seul mot -car elle n’en mérite pas plus.
Quoi qu’il en soit l’intéressée a eu tort de demander son reste. Je n’avais pas même cru bon de relever son déballage d’ignorance, à 15:00, à propos de Gyula Gömbös. Mais bon, elle n’a qu’à aller faire un tour sur Internet (« elle », et la vermine antisémite qui se défoule ici) et elle trouvera de quoi mettre le nez dans son pipi, sur encyclopedia2, à propos de celui qu’elle appelle « ce ministre » :
From 1923 to 1928 he was the leader of the Party for the Protection of the Race, which he created. In 1928-29 he was secretary of state
t’as la carte vermeil ?
Jacques Barozzi dit: 3 novembre 2014 à 15 h 01 min
A Clopinou, Phil, j’ai indiqué qu’au Pathé-Clichy
Pathé-Clichy !
Il était où ?
Dédé dit: 3 novembre 2014 à 15 h 09 min
Toujours usurpateur Thierry ?
la haine se porte toujours bien et même de mieux en mieux sur ce blog
la haine ? j’en suis le meilleur exemple
Luc vous ne savez pas lire, je vous demandais votre source car au vue des dérives j’en arrive si ce n’est à l’hallucination au soupçon pour ce qui se donne ici et j’aime aussi comme vous la précision. Pour ce qui est de votre néologisme je dois vous dire que vous vous le fourrez dans l’œil. Des personnes qui m’ont aidée quand l’heure était plutôt grave avant aujourd’hui, je n’ai connu que ces personnes « juives » et bien évidemment ajoutée à cela la transmission historique familiale, je leur en veux au point où vous le dites.
Abdel, j’espère que Pivot avec sa morale à deux balles,- et sa petitesse de vue- fera quand même quelque chose pour la littérature cette année.
« Hier, c’était le 1er novembre. Mais c’était il y a très longtemps. Tellement qu’il n’en reste que le rite. »
http://www.djazairess.com/fr/lqo/5205435
La vie dans les bois aucun doute ne subsiste au fait qu’il vous attende et se prosternera devant votre majesté incontestée et incontestablement hors de toutes mesures.
usurpation et identité ça signe quelle obsession ?
Pas nécessairement une obsession, peut-être un besoin, rien n’est moins sûr, des tas de gens donnent de fausses identités pour un tas de raisons et la probabilité de rejoindre une identité réelle existe néanmoins quoique l’intéressé, le vrai, ignorera tout de ce coup s’il ne tombe pas sous le coup de la loi, par exemple.
Abdel, je voulais aussi vous dire que pour votre caniche vous avez bien fait de choisir le bon toiletteur. Il y en a ici, genre coiffeuse pour pitbull, jamais enfanté quoi que ce soit si ce n’est ses pots haineux le dernier à 15h41, qui se croit autorisée.
J’aime beaucoup: aujourd’hui M’ma est encore vivante.
http://www.contreligne.eu/2014/06/kamel-daoud-meursault-contre-enquete/
faudrait se coiffer avec des extensions peut être ?
savoir aimer sans haine ça vous la coupe
tout est là
Décidément en jargon politique on dirait que l’heure est à la conciliation, les journalistes évincés du salon où ont lieu les négociations de la chance entre Abdel et la vie dans les bois ne pourront rapporter le contenu des débats cruciaux pour la paix au Proche-Orient. La vie dans les bois aura été un artisan farouche et passionnément assidu du dialogue, des accords type Genève sont attendus de ces pour-parler en faveur des peuples qui ont eu à subir raids aériens et invasions terrestres.
Luc restons-en là si vous le permettez, j’ai horreur des sourds.
la liste des avocats spécialisés dans les problèmes liés à internet est impressionnante
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