de Pierre Assouline

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La vie de Mark Rothko ou la biographie d’une vibration

La vie de Mark Rothko ou la biographie d’une vibration

Mon admiration est sans limite pour ceux qui parviennent à consacrer une biographie à un peintre. Ce qui s’appelle une biographie totale, œuvre et vie mêlées, et analysées à égalité. Cela m’a toujours paru inaccessible tant la perception de l’art, et son rendu par les mots de l’écrivain, demeurent inaccessible à la logique du commun Ce qui se joue dans un tableau est irréductible à une explication, encore moins à un raisonnement tel que la logique du commun en produit à foison. Cela se situe au-delà, dans un no man’s land des sens. Pourtant certains auteurs y réussissent, chacun à sa manière. Citons pour mémoire le Matisse (1984) de Pierre Schneider,  beau-livre absolu car l’image et le texte ne s’illustrent pas mutuellement, l’un cherchant à prendre l’ascendant sur l’autre, mais sont au diapason ; le Henri Matisse, roman (1971), fabuleux bric-à-brac où Aragon fait preuve d’une réjouissante liberté formelle ; le passionnant Le prince foudroyé : Nicolas de Staël (1998) de Laurent Greilsamer ; et plus récemment Conjurer la peur (2013) que Patrick Boucheron a consacré à la fresque du bon gouvernement de Lorenzetti à Sienne.

A cette collection non exhaustive, je serais tenté d’ajouter désormais le Mark Rothko (304 pages, 35 euros, Actes sud) d’Annie Cohen-Solal malgré quelques défauts : une écriture, trop américaine, un prix dissuasif ; une ellipse trop rapide sur sa première femme ; une même discrétion, tout aussi inexplicable, sur sa fin, puisqu’il faut aller se renseigner ailleurs pour apprendre que sa maladie de l’aorte, qui l’handicapait au point de l’empêcher de peindre des grands formats, l’avait poussé au suicide, comme tant d’autres grands peintres parvenus aux limites de ce qu’ils pouvaient exprimer –mais si c’est faux, il faut aussi l’écrire etc On a l’impression que la famille a contrôlé. C’est d’autant plus regrettable que, par ailleurs, l’enquête est formidablement documentée ; on y apprend une foule de choses sur cet artiste fascinant. On s’en doute, un livre n’épuisera pas le sujet pas plus qu’il n’entamera l’énigme Rothko. Et pourtant…rothko-no-8-1952

Quel chemin de Dvinsk (Lettonie, 1903) à New York (NY, 1970) ! Nul besoin de le suivre pas à pas pour ne pas le perdre. Il suffit de savoir, comme l’expose bien en détail la biographe, que Marcus Rothkovitch (en 1940, au moment d’américaniser son identité, il préféra « Rothko » à « Roth » pour ce que cela fasse moins juif) est « né »,  pas seulement religieusement mais moralement et intellectuellement, dans une école talmudique où l’étude rigoureuse était tenue pour une valeur absolue. Après son passage de la ligne à Ellis Island à 10 ans avec ses parents, loin du shtetl et des pogroms,  il continue sur cette même voie. Le jeune homme est remarquablement doué et intelligent. A son entrée à Yale College, on lui promet un bel avenir, malgré la ségrégation, ou plutôt la discrimination. Il sait ce qu’il sera et ce qu’il fera. Peindre parce que bon qu’à ça, comme eut dit Beckett. Mais peindre ce qu’il a à peindre. Et le montrer à sa manière : si possible dans des salles uniques et isolées, sans coude à coude intempestif avec des tableaux d’autres peintres, afin que rien ne vienne perturber le regard du spectateur. Ce détail, qui n’en est pas un, suffit à prendre la mesure de son orgueil, de son exigence.

Les pages sur le fameux livre qu’il écrivit en secret, mais qui ne parut qu’à titre posthume, sont éclairantes en ce qu’elles nous montrent cet intellectuel, qualité rare chez les peintres, poser brosses et pinceaux pendant des mois pour s’exprimer par un autre moyen. Une année salutaire qui lui permit de reprendre ensuite le chemin de son atelier, redynamisé et confiant dans sa nouvelle direction. Annie Cohen-Solal, auteur d’enquêtes remarquées sur l’essor de la peinture américaine, l’expressionnisme abstrait et l’Ecole dite de New York à travers ses acteurs (Barnett Newman, Jackson Pollock, Clyfford Still,) et ses marchands (le galeriste Léo Castelli) excelle à retracer la place de Rothko dans la vie artistique new yorkaise.

Et la technique ? Ce qu’il y a de moins intéressant chez un artiste. Mais rien n’excite plus la curiosité. Alors disons que c’est de la peinture à l’œuf. Plus exactement, après une préparation de la toile en coton avec des pigments dilués dans de la colle de peau de lapin, les couleurs étaient adoucis avec des pigments acryliques. Après quoi il faisait ses mélanges : peinture à l’huile, œuf entier, résine dans de la térébenthine. Puis ses bandes étaient tracées au fusain et après… D’où venait cette vibration que l’on aurait réduit à néant si on lui avait dit, fût-ce avec admiration, qu’elle avait quelque chose de « décoratif », la pire insulte à ses yeux ? Si ce n’était qu’une question de technique, tout le monde serait Rothko. Il protégeait son secret car il pouvait seul le protéger de la terreur que le monde lui inspirait.

Black on Maroon 1958 by Mark Rothko 1903-1970Ses grandes réalisations sont bien racontées par Annie Cohen-Solal. Y compris les échecs. On pense à la commande des panneaux muraux pour la plus petite salle à manger du Four Seasons Restaurant dans le gratte-ciel de Seagram sur Park Avenue. Il l’avait accepté comme un défi car, dans son esprit, ses œuvres ne devaient pas être accrochées dans des lieux publics, surtout pas des lieux qui n’étaient pas faits pour ça. Obsédé par les questions de formes, de présentation et surtout de lumière, il exécuta son travail à contre cœur. Mais le jour où il s’y attabla pour y déjeuner, et qu’il observa avec dégoût ces puissants du moment festoyant bruyamment dans cette débauche de luxe et de caviar, il fut tellement horrifié qu’il ordonna le retrait de son œuvre (une trentaine de toiles). Sorti de son petit théâtre fantasmatique personnel, elle ne pouvait qu’être déplacée dans un tel endroit. Quelques années après en 1961, il eut plus de chance avec une autre salle à manger, celle de l’université de Harvard, même s’il maugréa contre le nombre de tables et de chaises, le plafond trop bas, la couleur des murs et la lumière trop forte. Manifestement, ces dîneurs se tenaient mieux face à sa peinture que ceux de Park Avenue. Quant aux panneaux repris à la famille Bronfman, propriétaire de l’immeuble Seagram, il en fit don à la Tate Gallery de Londres qui, selon son vœu, leur consacra une salle exclusive, effectivement remarquable en tous points par l’atmosphère d’ensemble qui y est créée. Ne lui manquait plus que son sanctuaire. Il allait le trouver avec la chapelle Rothko, érigée grâce au mécénat éclairé de Dominique et John de Menil, et consacrée à la Passion du Christ ; cinq panneaux simples et trois triptyques traités en dominantes très sombres de noir et marron évoquant les quatorze stations du Chemin de Croix (ce lieu de prière interconfessionnel est intégré à l’Institut of Religion and Human Development de l’Université St. Thomas à Houston, Texas). Rothko n’en culpabilisait en raison de sa cote faramineuse et de l’argent que drainait la commercialisation de ses tableaux

Plus il avançait en âge, plus son style s’épurait, plus les couleurs stridentes s’estompaient comme élément majeur, plus sa lumière s’assombrissait, plus il était hanté par la réflection lumineuse, plus que jamais tendu vers l’expression de la tragédie, de l’extase et de la mort. La Naissance de la tragédie de Nietzsche et le Rameau d’or de Frazier n’en demeuraient pas moins en permanence à son chevet. Annie Cohen-Solal offre une clé d’interprétation de cette œuvre, mais on n’est pas forcé de l’adopter, il s’en faut : l’abstraction transcendantale de son héros fait écho à l’errance du peuple juif dont l’Histoire a fait qu’il n’eut jamais qu’une conception abstraite de la nation ; de plus, jusqu’au XXème siècle, le judaïsme avait produit peu d’artistes plasticiens. Elle tient la relation au Talmud comme un élément essentiel pour pénétrer cette œuvre. Faut-il pour autant voir, comme elle nous y invite, un paradigme de l’épopée des juifs d’Europe à travers la propre aventure de Rothko ? Les propres réflexions de Mark Rothko, contenues dans ses passionnants La Réalité de l’artiste et Ecrits sur l’art parus il y a quelques années en français chez Flammarion, conduisent aussi ailleurs.

A chacun de se faire sa religion lorsqu’il se tient face à l’un de ses grands tableaux colorés et sans cadre, suffisament grands pour créer davantage d’intimité dans une approche plus humaine et ne pas laisser le spectateur à l’extérieur, accrochés exprès au ras du sol afin que celui-ci puisse y pénétrer plus naturellement et, oscillant entre un état hypnotique et un certain vertige, passer cette porte ouvrant vers l’inconnu.

(« Autoportrait de Mark Rothko »  photo D.R. ; « No 8 », 1952 et « Black on maroon, 1958 » Tate Gallery)

P.S. du 26 mars : Annie Cohen-Solal m’écrit que, si elle n’a pas parlé du suicide de Mark Rothko, c’est en raison d’une difficulté personnelle à faire face à ce genre de situation ; mais, à la demande de nombre de lecteurs et de son propre éditeur américain, elle a rajouté plusieurs paragraphes dans ce sens, fort convaincants (je les ai lus) à paraître dans l’édition américaine du livre en novembre chez Yale University Press

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commentaires

954 Réponses pour La vie de Mark Rothko ou la biographie d’une vibration

Jacques Barozzi dit: à

« A toutes les intervenautes femelles de ce blog
Allez sur le blog de Clopine ; elle y dit des choses fort justes sur quelques pollueurs du blog de Pierre Assouline qui finiront par toutes nous chasser d’ici !
Manifestons notre approbation ! et ayons raison des pollueurs ! »

Qu’est-ce qui vous autorise à parler au nom de toutes les femmes, DHH ?
Triste illustration d’un féminisme dévoyé, réducteur et castrateur !
Le lynchage de Bouguereau est un mauvais coeur de cible…

u. dit: à

« Parle-t-on de mes petites tentatives littéraires ?
Bouguereau réclame à grands cris que j’écrive « un bouquin de cul ». (Clopine)

La peinture, peut-être?

La secrétaire de Chaloux dit: à

« Le lynchage de Bouguereau est un mauvais coeur de cible… »

Excellent, au contraire. Mais il faut le lire (si on peut appeler ça lire) avec attention pour s’en apercevoir.
C’est un sale type.

bérénice dit: à

Bouguereau réclame à grands cris que j’écrive « un bouquin de cul ». (Clopine)
ah tiens une variante d’habitude les femmes réclament à grands cris.

Marcel dit: à

La Russie est un état totalitaire, c’est bien connu pour monsieur Barak Obama. Le référendum est une pratique bien connue aux Etats-Unis : la bombe d’Hiroshima, la guerre en Corée, la guerre au Viet Nam, la guerre au Cambodge, la guerre en Afghanistan, la guerre en Irak… on été décidées par ce moyen nullement démocratique.

bérénice dit: à

« C’est un sale type. » Une accusation sans chef est rendue caduque, justifiez objectivement votre affirmation.

Jacques Barozzi dit: à

La vraie question à se poser, Marcel, n’est-ce pas de savoir si l’on préfèrerait être Russe sous Poutine ou Américain sous Obama ?

bérénice dit: à

Il faudrait comparer l’état de délabrement social des deux geants.

Phil dit: à

le stock d’images au débotté de bougreau est impressionnant. En blog, ça donne du répondant, qui sonne mieux chez nos amis allemands: la Schlagfertigkeit.
Evidemment, loin du registre pictural HCB de passoupline. L’époque a changé et tout le monde met ses coudes à table sans le savoir.

Jacques Barozzi dit: à

« C’est un sale type. »

Chaloux, je préfèrerais toujours quelqu’un qui dérange à quelqu’un qui endort…

Sergio dit: à

Des lunettes rondes ! Un monocle, comme Max Jacob…

Curiosa dit: à

à Jacques Barozzi : déranger OUI, mais pas de cette manière-là qui ne s’exprime que par l’insulte graveleuse

Laissons lui une chance dit: à

Curiosa dit: 24 mars 2014 à 15 h 25 min

A part cracher sur bouguereau (pas le peintre, lui ce serait normal, et paf, dans le sujet)
vous faites quoi dans la vie ?
Vous avez un pseudo plus lisible ici ?

Curiosa dit: à

à JC 15 heures 30 : je suis assistante sociale en milieu défavorisé comme le tien, pov’ mec

Marcel dit: à

Je veux savoir comment ça marche le dépouillement des votes à l’élection municipale. J’interroge un site officiel et j’obtiens :

« Au premier tour, la liste qui obtient la majorité absolue des suffrages exprimés reçoit un nombre de sièges égal à la moitié des sièges à pourvoir. Les autres sièges sont répartis à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne entre toutes les listes ayant obtenu plus de 5% des suffrages exprimés en fonction du nombre de suffrage obtenus. Concrètement, on calcule le quotient électoral (nombre de suffrages exprimés / nombre de sièges à pourvoir). Chaque fois qu’une liste obtient ce quotient, elle obtient un siège. Ensuite, pour répartir le ou les sièges à pourvoir restants, on calcule la moyenne de chaque liste (nombre de suffrages obtenus / sièges obtenus en application du quotient +1, puis +2, +3 pour les sièges suivants). La liste qui a la plus forte moyenne emporte le siège.

Lors de l’éventuel second tour, seules les listes ayant obtenu au premier tour au moins 10% des suffrages exprimés sont autorisées à se maintenir. Elles peuvent connaître des modifications, notamment par fusion avec d’autres listes pouvant se maintenir ou fusionner. En effet, les listes ayant obtenu au moins 5% des suffrages exprimés peuvent fusionner avec une liste ayant obtenu plus de 10%. . »
La répartition des sièges se fait alors comme lors du premier tour
Voilà bien du pipi de chat.
1) Que se passe-t-il si aucune liste n’a pas la majorité absolue ?
2) Chaque fois qu’une liste obtient ce quotient… bravo, on a donc voté pour un quotient mais quel est-t-il ?
3) « En appliquant +1 +2 +3 pour les sièges suivants. » D’où ça sort ?
4) »Lors de l’éventuel second tour » A quelle occasion ?
5) »La répartition des sièges se fait alors comme lors du premier tour. » Et si aucune liste n’a pas la majorité absolue ? (je passe sur le fait que s’il y a eu une répartition de sièges au premier tour, on peut se demander pourquoi il y en en aurait au deuxième)

Dire qu’il a dans le ministère de l’intérieur des gens qui touchent un gros salaires pour être si ésotériques. Quiconque connaît les modalités de la représentation proportionnelle à plus forte moyenne n’apprend rien, pour les autres ils vont se rhabiller.
S’il vous plaît, monsieur Valls, un bon coup de balai, svp ! Occupez-vous de vos puces au lieu d’aller déranger le Conseil d’Etat pour obtenir de lui des dénis de justice !

theo dit: à

Marcel
et quand Puero Rico a été annexé,personne ou pas grand monde a moufté

Chaloux dit: à

Le problème avec Bouguereau, Jacques, c’est que la plupart de ses lecteurs, dont vous êtes, ne le lisent pas d’assez près. J’y ai été contraint, car j’avais tendance à passer ses posts. C’est un sale type, je maintiens.

theo dit: à

« Qu’est-ce qui vous autorise à parler au nom de toutes les femmes, DHH ? »

baroz sait pas lire, il lit biaisé. La mysoginie est un vilain défaut

theo dit: à

« C’est un sale type, je maintiens. »

il surjoue le mec bourré ( une manière de se blinder peut-être

Marcel dit: à

Jacques Barozzi dit: 24 mars 2014 à 15 h 04 min
La vraie question à se poser, Marcel, n’est-ce pas de savoir si l’on préfèrerait être Russe sous Poutine ou Américain sous Obama ?

Si tu continues comme ça, Jacques, je vais te dénoncer à Barak Obama. Il va t’envoyer à Guantanamo, vite fait.

Sergio dit: à

Mais pourquoi les couleurs au masculin ? Ou c’est une élision, et il y a bien des possibilités pour le substantif ainsi élidé, ou c’est un truc spatial genre soucoupes style on est passé de l’autre côté du spectre… Faudrait réclamer à Freudonfray !

Curiosa dit: à

Oui, Chaloux, c’est vraiment un sale type et Clopine a raison de le traite de sale petit trou du cul, ce que je trouve trop gentil

Jacques Barozzi dit: à

« quelques pollueurs du blog de Pierre Assouline qui finiront par toutes nous chasser d’ici ! »

théo, dans ces « toutes », je ne suis pas sûr de voir rose ou Chantal, entre autres « femelles »…

theo dit: à

ça veut pas dire qu’elle parle au nom de toutes

Jacques Barozzi dit: à

Il vaut toujours mieux ne parler que pour soi, theo, et cesser de demander à Passou, ou aux modérateurs, telle ou telle exclusion…

Clopine dit: à

DHH et les autres filles du blog, si l’on y réfléchit, il se passe ici la même chose que dans tous les endroits « publics » où les hommes, assurés de l’impunité, entendent bien rester maîtres de l’espace. Les blagues sexuelles journalières mises en ligne ici, à la suite des interventions féminines, et qui ont pour but de s’amuser en renvoyant systématiquement les filles à leurs identités sexuelles (et que dire d’un Jacques Barozzi pointant votre âge, DHH ??? )les empêchant du même coup de participer à des débats intellectuels ou érudits, sont de la même aune que les agressions des rues, les « frôlages » dans le métro, le sifflement béat devant celle qui passe, les phrases fines sur le viol. C’est juste une appropriation de l’espace, une objectivation de l’autre, de la femelle quoi. Vous me direz que d’autres cultures sont encore plus violente, excluant carrément les femmes de toute vie civile, quand on ne tue pas les bébés filles ? Ce n’est pas pour autant qu’on doit accepter cet inacceptable-là, qui nous nie toute autre identité que sexuelle. Il s’agit d’une question de degrés ? Ah, quelque soit le degré, c’est toujours le même bon vieux escalier. Celui où l’on ne laisse qu’une seule place à la femme : celle de devant, histoire de reluquer son entrejambes.

Ca me fait tant penser à Anne Sylvestre, notamment la fine allusion à votre âge, DHH :

« Vous m´avez aimée servante
M´avez voulue ignorante
Forte, vous me combattiez
Faible, vous me méprisiez
Vous m´avez aimée putain
Et couverte de satin
Vous m´avez faite statue
Et toujours je me suis tue
Quand j´étais vieille et trop laide
Vous me jetiez au rebut
Vous me refusiez votre aide
Quand je ne vous servais plus
Quand j´étais belle et soumise
Vous m´adoriez à genoux
Me voilà comme une église
Toute la honte dessous

Ce n´est que moi
C´est elle ou moi
Celle qui aime ou n´aime pas
Celle qui règne ou se débat
C´est Joséphine ou la Dupont
Fille de nacre ou de coton
Et c´est mon cœur
Ou bien le leur
Celle qui attend sur le port
Celle des monuments aux morts
Celle qui danse et qui en meurt
Fille-bitume ou fille-fleur
Et c´est ma mère
Ou la vôtre
Une sorcière
Comme les autres  »

Clopine Trouillefou, reine des Gueuses.

A la pêche aux moules, moules, moules ..... dit: à

Clopine ? Reine des Gueuses…

Moule ?
Frite ?

bouguereau dit: à

roo..ce matin je suis passé javais pas compris jicé et les perles infinies sortant de la corne dabondance comme lassouline enfilant les billets mirifiques sur son blog..roo..enfin quoi clopine..régle tes comptes ici s’il en est..quand je disais que tu filais un mauvais coton..mais vas je te pardonne,tu me fais rire

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 24 mars 2014 à 16 h 06 min
cesser de demander à Passou, ou aux modérateurs, telle ou telle exclusion…

Ou anonymos à la Kommandantur en mains propres, auf deutsch et accusé de réception…

bouguereau dit: à

es hommes, assurés de l’impunité, entendent bien rester maîtres de l’espace

aucun n’est tous les hommes comme tu n’es pas toutes les femmes…et réjouis t’en au lieu de grincer

Jacques Barozzi dit: à

Mauvais procès Clopine, l’âge de DHH, c’est elle qui en a parlé et je l’ai invoqué au nom d’un certain respect élémentaire à avoir à son égard. Idem pour les plus vieux mâles du blog, ce n’est pas une question de sexe.
Moi, on me renvoie sans cesse à mon homosexualité, ça ne m’empêche pas de participer aux débats…

Observatoire des Royautés..... dit: à

Reine des Gueuses ?
Ce poste prestigieux est attribué.
Mais il reste un titre royal qui semble convenir à l’excitée atteinte de bougueurallergie sévère…

Sergio dit: à

Clopine dit: 24 mars 2014 à 16 h 08 min
le même bon vieux escalier

Une seule solution, l’escalier à double hélice comme à Blois…

bouguereau dit: à

je suis assistante sociale en milieu défavorisé comme le tien, pov’ mec

c’est assez géant..la réplique ténardier c’est un métier

Curiosa dit: à

précision, JB : je ne dénie pas à ce sale type le droit de s’exprimer mais qu’il le fasse sur SON propre blog, pas ICI où la plupart de ses « interventions » ne sont jamais en relation avec le sujet traité par Passou si ce n’est pour déblatérer ses propres (façon de parler) fantasmes

JC..... dit: à

L’âge ? Mais il ne fait rien à l’affaire ! Je suis né en 1922 ! et ça ne se voit pas … !!!

Allons, allons, vous délirez, ma petite dame…

bouguereau dit: à

Le problème avec Bouguereau, Jacques, c’est que la plupart de ses lecteurs, dont vous êtes, ne le lisent pas d’assez près. J’y ai été contraint, car j’avais tendance à passer ses posts. C’est un sale type, je maintiens.

toi aussi tu me fais rire mon cheuloux..encore plus à tes dépends que clopine..toi c’est pas la live de barbaque c’est le kil..le dmi cochon gras..t’es généreux à la mode antique cartaginoise..flaubert aurait kiffé avec dla mayo

christiane dit: à

@DHH dit: 24 mars 2014 à 14 h 09 min
Écrire, ici, quelques commentaires puis passer à autre chose : un bon livre, une balade, un film, quelques croquis, écrire ailleurs et autrement, rencontrer des amis, lire d’autres blogs aussi, car l’essentiel, ici, est quand même (maintenant…) dans la lecture du billet de Pierre Assouline.
Sur le blog de Clopine, je vais de temps en temps prendre l’air. Quand elle ne tourne pas en rond avec ses histoires de trolls , elle sait raconter son monde avec fraîcheur, humour, légèreté et simplicité. Je m’assois devant l’écran et j’écoute les bruits des bêtes, l’ânesse qui attend son petit, les coucous, les rivières… l’enfance, la mère, le compagnon, les voyages, l’époque. Mais il y a une joueuse en elle qui aime les batailles…
Si je devais lui offrir un fragment de livre aimé, de circonstance, je l’emprunterais à Alain Nadaud D’écrire j’arrête (éd. tarabuste)
« – Écrire, c’est un privilège. Chacun un jour en a rêvé. On n’abandonne pas ça du jour au lendemain, sur un simple coup de tête.
– Il ne faut jamais perdre de vue qu’écrire est un exercice précaire, instable, dont l’essence est d’être sans cesse remis en question. Quand on fait du vélo, on ne tient en équilibre qu’autant qu’on pédale. Quand on s’arrête, on tombe. Eh bien, on est écrivain tant qu’on écrit – et encore ! Quand on cesse, on ne l’est plus.
-Tu as une responsabilité vis-à-vis de tes lecteurs, de ceux qui t’ont suivi et fait confiance… »

Jacques Barozzi dit: à

Il est plus drôle de venir dire ici ce que l’on ne dirait pas sur son propre blog, Curiosa, dont je respecte la vivacité d’esprit malgré le grand âge !

bouguereau dit: à

flaubert aurait kiffé avec dla mayo

..on peut compter sur toi pour le pot de cornichons

JC..... dit: à

Je vais me faire des cartes de visite :
– abonné au gaz,
– homme assuré de l’impunité
– maître de l’espace
– escalierophile
– zieuteur, par en dessous, des restes charnels grimpants !

Jacques Barozzi dit: à

Sachant que Curiosa est un mâle…

JC..... dit: à

Je vais me faire des cartes de visite nouvelles, disons « féministes » :

– abonné au gaz,
– homme assuré de l’impunité
– maître de l’espace
– escalierophile
– zieuteur, par en dessous, des restes charnels grimpants !

JC..... dit: à

Un mâle con : un hermaphrodite, alors ?

û dit: à

« tu n’es pas toutes les femmes… »

daaphnée est toutes les femmes

Jacques Barozzi dit: à

Et depuis, il a réellement arrêté d’écrire, Alain Nadaud, Christiane ?

Phil dit: à

combien est coté un petit Rothko ? toujours se méfier de ceux qui nous rappellent leur début difficile, luttant contre l’agrégation raciale comme dirait l’abdel.
Polanski est devenu le réalisateur iourope le mieux payé. De quoi donner raison aux fixettes sessuelles de bougreau.

bouguereau dit: à

daaphnée est toutes les femmes

une à la fois zouzou..ha tu kifrais tant qu’elle soit chiva

bouguereau dit: à

un rotko ça coute un bras..si t’es chiva comme pino tu ris..

bouguereau dit: à

Polanski est devenu le réalisateur iourope le mieux payé. De quoi donner raison aux fixettes sessuelles de bougreau

y’a pas que le cul et l’argent et moi dans la vie phil..pale nous de ce que tu sussures aux dames

Phil dit: à

« Pino » s’est javelisé à Venise. Tout un programme, pas seulement réservé aux « chiva ».

JC..... dit: à

RAPPEL
Certain(e)s, ici, devraient comprendre qu’il suffit de ne pas s’arrêter au pied d’un speaker déblatérant sur sa caisse en bois, qu’il suffit de passer son chemin, qu’il suffit de l’ignorer, pour aller ailleurs trouver de meilleurs moments, là où l’herbe et plus verte et la croupe plus agréable.

On est sidéré d’avoir à rappeler des choses pareilles, compte tenu de l’âge du Speaker’s Corner de la RdL … !

Ciboulette dit: à

solidarité avec toutes les « femelles » de ce blog, je confirme : boudemachin est vraiment un sale type, un vieux canasson en pleine débandade ; bizzare qu’il soit adulé par Baroz que je croyais plus distingué, comme quoi ! JC pas étonnant, ils sont de la même carafe

JC..... dit: à

Vous mentez, Ciboulette !
Nous savons tous que vous êtes un ancien officier anglais de l’Armée des Indes, jouant à l’ingénue !…..

bérénice dit: à

C’est un sale type, je maintiens. Chaloux.
Appelez la police ou sortez la déblayeuse, ne le lâchez pas, on le filme en flagrant délit d’écriture.

JC..... dit: à

Bérénice ! Vous m’aidez à exfiltrer le soldat Bougboug ? D. m’a promis une soucoupe…

Il est en danger, ici, les Furies l’ont dans le nez…

Sergio dit: à

Ou alors les bouches de métro… Parce que voilà l’air chaud monte comme l’ont très bien vu Pilâtre et le marquis d’Arlandes, ça gonfle tout les hunes les perroquets, et enfin de compte l’avantage sur l’escalier c’est qu’on n’a pas besoin de monter…

bérénice dit: à

JC Je crains que ma participation trouve là son point final, ciao byebye, bonne compagnie dans ce délictueux salon.

S'il faut choisir dit: à

Clopine, Chaloux, Ciboulette, Curiosa, renato…

Vive bouguereau et merdre aux religieux de tous poils.

Sergio dit: à

christiane dit: 24 mars 2014 à 16 h 31 min
on est écrivain tant qu’on écrit – et encore ! Quand on cesse, on ne l’est plus.

En peinture on attend que ça sèche ça gagne un peu… Evidemment faut éviter l’aquarelle, l’acrylique… En musique on a droit au silence qui suit pas l’autre…

Sergio dit: à

Deezer faut prendre des mecs qui chantent vite, parce que ça s’arrête avant…

bouguereau dit: à

jle savais que keupu c’était l’cerveau dla bande..

bouguereau dit: à

parce que ça s’arrête avant…

..et y’a pas tellement d’images

Clopine dit: à

Sergio, vous avez parfaitement raison (sourire). Cependant, ce n’est pas bien grave : cette chanson portée par Anne Sylvestre comporte bien sûr quelques maladresses – la voix est trop pesante, l’orchestration essaie d’alléger mais bon bref, certaines tournures sont trop convenues. Mais pourtant, moi qui n’aime guère (à part l’incontournable Ferré) les textes à message, je dois dire que celui-là est assez bouleversant. Et juste, aussi.

(je dis Ferré parce que, dans les chansons d’icelui, il y a une exactitude des images
hallucinante. Pas comme Brel, qui s’écoutait un peu chanter. Autrement que Brassens, qui lui décolle totalement de son époque et se situe d’autor dans l’éternité. Mais il n’y a généralement aucun déchet chez Ferré.)

christiane dit: à

@Jacques Barozzi dit: 24 mars 2014 à 16 h 39 min
Bonne question ! Qu’en pensez-vous, Jacques ?

le psy de JC... dit: à

résultat confidentiel suite à l’étude du comportement sieur bouguereau à la demande de mon client JC : typique de celui que sa femme méprise, que son chien lui pisse dessus, que ses voisins haïssent, que les commerçants dédaignent et ne veulent pas servir, que les enfants fuient en hurlant, bref, en raccourci: un frustré de la pire espèce à coller en cabane vite fait qui vient sur ce blog pour se venger bassement

DHH dit: à

@Clopine
Merci du texte que vous m’offrez
Mais ne vous souciez pas trop du regard que les autres portent sur la vieille dame que je suis
Ma vieillesse ne me chagrine pas, au contraire.elle m’apporte un equilibre et une paix interieure de grande qualité.
Car si on a la chance de n’être ni dément ni dépendant ,je trouve que la vieillesse est un âge heureux où on connaît des joies que ne peuvent avoir les gens plus jeunes :
D’abord le plaisir , que permettent l’oisiveté et la disponibilité, de pouvoir apporter beaucoup à ceux qu’on aime, du temps ,des attentions ,de l’écoute ,des petits plats , ce dont sont privées celles qui vivent écartelées entre le boulot ,la maison, le RER , les exigences brouillonnes d’un patron ou le travail à refaire en catastrophe d’un collaborateur
Incompétent.
Ensuite la sérénité de pouvoir être vraiment soi-même, de s’accepter sans chercher à se couler dans un personnage, bref comme le dit Pavese, le bonheur de se retirer des apparences .
Et aussi celui de vivre intensément et sans arrière pensée dans l’instant ,sans laisser le présent être parasité par le souci de l’avenir ,qui comme le dit robert Walser le gâche le quand il est bon ,bref ce » carpe diem » dont on est incapable plus jeune .
Tout cela pour dire que je ne me sens pas gênée par les allusions à mon âge ;Et je considère seulement que , si elles sont malveillantes ou injurieuses , elles discréditent ceux qui les formulent sans m’atteindre pour autant

u. dit: à

« il se passe ici la même chose que dans tous les endroits « publics » où les hommes, assurés de l’impunité, entendent bien rester maîtres de l’espace, sont de la même aune que les agressions des rues, les « frôlages » dans le métro, le sifflement béat devant celle qui passe, les phrases fines sur le viol. C’est toujours le même bon vieux escalier. Celui où l’on ne laisse qu’une seule place à la femme : celle de devant, histoire de reluquer son entrejambes. »

Si je comprends bien, Clopine, vous imaginez les hommes d’ici sur le modèle des clébarts de Reiser.

On renifle aussi, en remuant la queue?

Marcel dit: à

Clopine, 17 h 26 min

Comme quoi, on peut aimer les matchos.

« Mais en amour on ne demande pas aux filles d’avoir inventé la poudre. » (Brassens)

Il est descendu, descendu, et dans la profondeur du vide (dans le cerveau de sa blonde), le scaphandrier s’est perdu » ‘(Ferré)

Apparemment, Brel avait un peu plus de respect pour les femmes.

Ne parlons pas d’Aznavour avec « Tu laisses aller » !

u. dit: à

« On renifle aussi, en remuant la queue? »

Une vie de corniaud ou la biographie d’une vibration?

Je suis mortifié.

Jacques Barozzi dit: à

belle leçon de sérénité, DHH, oui au goût de la retraite.
L’entrée dans cette condition nous rattache directement au printemps de notre jeunesse, mettant ainsi fin à la longue parenthèse de ce que l’on nomme pudiquement : « la vie active professionnelle ».
Bon débarras !
Certes, on a quelques rides en plus, mais désormais on est rentier à vie.
Le rêve !
Mais surtout, on a la liberté.
A nous le plaisir et l’insouciance, enfin retrouvée !

u. dit: à

« Ne parlons pas d’Aznavour avec « Tu laisses aller » !

C’est sexe, Marcel.

C’était pas « tu t’laisses aller »?

Jacques Barozzi dit: à

Tu t’laisses aller, Marcel !

u. dit: à

DHH, je sais d’avance qu’un jour je serai d’accord avec vous.

Jacques le F. dit: à

« …sont de la même aune que… » écrit Clopine

On dit « mesurer à ^son aune », peut-être « mesurer à la même aune », mais « être de la même étoffe » ou toute autre matière.
Ce que j’en dis…

Jacques Barozzi dit: à

La vieillesse, nos dernières grandes vacances…

Jacques Barozzi dit: à

La preuve est faite que je ne suis pas Jacques F. !

u. dit: à

« Mais en amour on ne demande pas aux filles d’avoir inventé la poudre. » (Brassens) (marcel)

Pas la poudre.

Dans l’espace méditerranéen post-colonial, une chanson faisait grésiller les transistors.

« Ti m’as gratté
Avec une allumette
Et ti m’as fait
Tourner la tête.
Ya Mustafa… »

Plutôt l’étincelle?

marcel. dit: à

tu t’laisse saler aussi

Jacques le F. dit: à

Jacques Barozzi dit: 24 mars 2014 à 17 h 58 min

Je confirme.

Sergio dit: à

Clopine dit: 24 mars 2014 à 17 h 26 min
certaines tournures sont trop convenues

Houi mais retour du balancier de Lorentz en son église, à force c’est le lecteur qui, lui, change, et relit différemment les mêmes tournures. Hau début on n’est pas dupe, mais haprès le début il y a la suite comme dans le Transhibernien, et on finit par relancer de cette manière l’acte de traduction des mots que constitue chaque lecture. Sauf le mode d’emploi de ma Yam, vu qu’il est en hindoustani, et que adonc je monte parfois à l’envers.

Jacques Barozzi dit: à

On voit que u. connait ses classiques, Dario Moreno !
Mais vous avez quel âge u. ?
Pas encore à la retraite ?

des journées entières dans les arbres dit: à

bérénice dit: 24 mars 2014 à 14 h 14 min

Bérénice, s’il y a un truc à retenir c’est  » de quoi ça cause, d’où vient l’argent »

Pour répondre à Phil, qui ne perd pas le nord. Un Rothko c’est vachement cher.

“When you have prices that are not simply large, but make headlines, people don’t look at the artwork but at the dollar figures, the pound figures or the euro figures.”
Dixit Rothko fils.
http://www.bloomberg.com/news/2013-04-29/rothko-s-family-brings-burning-red-paintings-to-latvia.html

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 24 mars 2014 à 16 h 31 min

Moi tu me fais pas marrer Bouguereau. Quant à Flaubert, encore un écrivain que tu n’as pas lu d’assez près. Il détestait les généralisations hâtives. Tais-toi donc, tu fais tache.

Premières loges dit: à

Chaloux dit: 24 mars 2014 à 18 h 21 min

Chouette, on va se marrer,
ya Chaloux qui vient matter.

Phil dit: à

merci desjournées.
indeed, si le fils s’en mêle (en un mot) et cause volontiers conversion (monétaire pas religieuse), ça doit coûter la peau du arsch. Un truc pour Peggy du musée.

des journées entières dans les arbres dit: à

bérénice dit: 24 mars 2014 à 14 h 44 min

Ce qui est , sincèrement !, malheureux Bérénice dans ce post, c’est que même profane en peinture comme tout un chacun peut- et doit ?- l’être, vous en restiez à la taille des tableaux.

Sergio dit: à

Ha les fenêtres tremblantes ça vaut les lanternes luisantes…

bouguereau dit: à

Il détestait les généralisations hâtives

..mais les cornichons..

des journées entières dans les arbres dit: à

Forcément Phil, il y eut le Rothko case.
Gros sous, mais ce fut après, semble-t-il.
Car pour ce qui est du fond, de l’affaire, il reste philosophique.
Rothko a donné des cours de peinture à des enfants. Il faut que je retrouve ce lien, où il est raconté qu’un enseignant demande aux élèves de sa classe de dessiner dieu ( Dr Lecter sait de quoi il retourne).

bouguereau dit: à

..pas de doute c’est keupu l’intello..les autres, des bras cassés des jambe de bois..

bouguereau dit: à

On voit que u. connait ses classiques, Dario Moreno !

j’ai hérité de tout une caisse de k7 de luïs (mariano) de cd de 78..toute une vie baroz !..comme des cahiers ou lesgars ont collé des femmes à poil découpé..y’a vingt pige on me prenait pour un demeuré comme clopine..aujourdhui un broc me propose 150eu..certes pour le plus beau..j’ai dit niet..c’est sentimental!

Chaloux dit: à

Ce pauvre Bouguereau est bien morne dans ses procédés. Toujours pareil… Qu’il se reculotte une bonne fois et qu’on n’en parle plus.

bouguereau dit: à

certes pour le plus beau..j’ai dit niet..c’est sentimental!

il est extraordinaire baroz..ce qui est incroyable c’est qu’on calcule..des vedettes entrecoupé de ballades à amsterdam..des tiquets de boites louches..ma case flambe je l’oublirais jamais ! flaubert me le pardonnerait pas, absolument sur

bouguereau dit: à

..il y a même des photos d’homme politique..avant je comprenais pas bien l’interet..incroyabe..je vais obliger qu’on les regarde avec des gants tellement on me les défonce

des journées entières dans les arbres dit: à

(non, je m’ai trompé à 18h38, il ne s’agissait pas de la question posée par l’enseignant; seule une réponse fut étonnante)

u. dit: à

« je vais obliger qu’on les regarde avec des gants tellement on me les défonce » bouguereau

Commence par retirer tes doigts de mes microsillons quand tu manges tes croissants au beurre.

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est juste Sergio-grichka. Un problème d’ampoule.

Question : Combien faut-il de mathématiciens pour changer une ampoule ?
R1 : Aucun. C’est laissé au lecteur en exercice.
R2 : Aucun. Un mathématicien ne peut pas changer une ampoule, mais il peut prouver que cela est faisable.
R3 : Un. Il la donne à un physicien et ramène ainsi le problème à un problème précédemment résolu.
R4 : La solution est triviale.
R5 : Un seul, une fois que vous avez réussi à lui présenter le problème dans des termes qu’il peut comprendre.

Question : Combien faut-il d’analystes numériques pour changer une ampoule ?
R : 3,9967 (après six itérations)

Robert Lepetit dit: à

« …sont de la même aune que… » écrit Clopine

le probloc de clopine cé quelle a pas de vocabulaire et pas d’idée non pus.

Qui c'est?... dit: à

pétrole et dérivés dit: 24 mars 2014 à 20 h 08 min

Laisse faire les spécialistes…

Qui c'est?... dit: à

pétrole et dérivés dit: 24 mars 2014 à 20 h 08 min

Robert Lepetit dit: 24 mars 2014 à 19 h 55 min

Quand il fait ça, c’est qu’il est très vexé.

Pauvre Boudegras.

des journées entières dans les arbres dit: à

Vargas Llosa en tweet, c’est du lourd.
Dommage, vraiment, de devoir dire de cet auteur: théocraciquement lourdingue.

Un nain connu nous parle dit: à

Qui c’est?… dit: 24 mars 2014 à 20 h 37 min

Pauvre Chaloux, petit, si petit.
Pauvre Chaloux.

Phil dit: à

Dear passou, ne mettez pas de touite qui exige un « abonnement » pour livrer le fin mot de l’histoire. C’est de la tête de gondole.

Qui c'est?...2 dit: à

Un nain connu nous parle dit: 24 mars 2014 à 21 h 13 min

pauvre immense Bouguereau.

Qui c'est?...3 dit: à

Raté…Pas Chaloux.

Un nain connu nous parle dit: à

Qui c’est?…3 dit: 24 mars 2014 à 21 h 53 min

Mais si, mais si, fait pas ta mijaurée Chaloux, joue pas p’tit bras, respire,
assume.

wy you doin this to me dit: à

I better have fist.
I better have fatalisk.
Burnd.

Sergio dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 24 mars 2014 à 19 h 32 min
Question : Combien faut-il d’analystes numériques pour changer une ampoule ?
R : 3,9967 (après six itérations)

Oui mais… Le rab ? Les 0.9967 qui ressemblent à rien ni le nombre d’or ni une suite de Fibonacci même pas à 2 K. Pi près… Parce que voilà ici en Lorraine du Kaiser on a bien des places, des lanternes, des sacs en matière plastique même, seulement pas le moindre viaduc…

u. dit: à

(Musique d’Umebayashi-san)

Merci, Daaphnée, l’effet est toujours aussi merveilleux.

Sur les lèvres de Maggie Cheung (dans la rue) comme sur celles de Tony Leung (qui descend l’escalier), on peut deviner le même mot cantonais (mh gooi).

Il y a des langues, comme ça, où un même mot peut vouloir dire « Merci » et « Excusez-moi ».

(Le japonais, bien sûr, mais les Japonais, ce sont les champions mondiaux de l’ambiguité.
Bon, déjà un cliché…

Les linguistes, après Harris, et vous savez ça mieux que moi, distinguent parfois le sémantique, le syntaxique et le pragmatique.
Du quel de ces trois niveaux relève l’ambiguïté en question?
Pas facile, il faudrait au moins une jarre de saké pour pouvoir y répondre.)

Phil dit: à

Sissi, Sergio, le viaduc de Gorze, mais c’est du Kaiser romain.

Phil dit: à

Sissi, Sergio, le viaduc de Gorze, mais c’est du Kaiser romain…

Sergio dit: à

Phil dit: 24 mars 2014 à 23 h 22 min
le viaduc de Gorze

Il y a aussi celui du TGV, près de Chambley. Il peut servir de repère en avion quand on cherche où est la nuit et il est en Sketchup sur Googleearth. Faudrait voir ce qu’il donne à viorne…

Chaloux (le vrai) dit: à

Pauvre Boug, plus minable que jamais.
Tu grandis chaque jour dans mon mépris.
Va dodo.

Chaloux (le vrai) dit: à

Mais:
« Il est difficile d’écraser ce qui s’aplatit sous les pieds ».
Chateaubriand.

Enters Terence dit: à

Je reviens du magasin, j’ai acheté une souris verte

Chaloux (le vrai) dit: à

En revanche, Bouguereau, quand j’aurai relevé le talon de ton immense et ineffable face, inscris-toi à un cours d’orthographe, parce que là aussi c’est (tu es) vraiment minable.

Samu Social Club dit: à

Tu crois plus aux farces de l’esprit

Enters Terence dit: à

Allez Biloute, t’enfonce pas dans l’espèce

A la pêche aux moules, moules, moules.... dit: à

it’s Carribean undersea

Mme Michu dit: à

Brève séance nostalgie ce soir, entendu « can´t buy me love » là où les tables semblent pareilles que 17 ans auparavant, une « pensée » pour Clopine (entre guillemets puisque je ne la connais pas) et plus tard me vient celle que la haine doit s´épanouir dans la gratuité encore plus souvent, avec free refills… Mais ce n´est pas grave, bien entendu…

Marcel dit: à

Silence lourd dans la torpeur,
Au loin une vague rumeur,
Explosions, cris de terreur,
Odeur de poudre en la touffeur.

Retrait du bruit, de la fureur,
S’installe une douce langueur.
Silence lourd dans la torpeur,
Au loin une vague une rumeur.

Jean Calbrix, le 25/03/14

Ben Shan dit: à

M. Assouline commet effectivement un contresens historique quand il parle de « ségrégation », terme qui (comme « déségrégation »), s’applique exclusivement aux mesures législatives de stricte séparation des races dans l’espace public et les institutions appliquées par les assemblées des états racistes du sud des EU jusque dans les années 50-60. C’est ce que l’on appelle « the residual powers of the states » par opposition au pouvoir fédéral.

Pour les juifs, on parlera de « discrimination », de « mesures discriminatoires » (numerus clausus à l’université), expression de l’ antisémitisme américain qu’ont incarné des personnages comme Ford, Linbergh ou Farrakhan, pour ne citer qu’eux. Voir l’histoire des Freedom Riders.

JC..... dit: à

– …et hier ?
– La vie quotidienne !
– …épuisant ?
– Mortel !

JC..... dit: à

Un ami américain :
– vous êtes cinglés d’avoir des gouvernants aussi nuls en France !
– eh ! vous avez bien eu, vous, un ancien acteur de western, un alcoolique et maintenant un Obama !
– c’est différent : chez nous tout ne dépend pas de l’Etat fédéral …
– Veinards !

JC..... dit: à

Ne pas se laisser aller, durant l’entre deux tours !

Conservons la joie tropicale du beau temps, de l’alizé qui vous porte sur la mer chaude au son de la zouk démocratique et populaire … : j’ai fait livrer à l’Elysée et Matignon (pour distribution) un régime entier de superbes bananes.

Bonne fête !

des journées entières dans les arbres dit: à

Il semble que les free rides aient commencé au début des années 60.
Cette bio de M. Rothko devait « illustrer » l’antisémitisme aux US, par le biais du numerus clausus en vigueur dans les universités américaines ?

Ph. Roth a écrit sur l’antisémitisme aux US, c’est une unochronie  » Plot against America ».

des journées entières dans les arbres dit: à

unochronie ?
uchronie.

Passou dit: à

Discrimination plutôt que ségrégation : merci Ben Shan, vous m’avez convaincu, je vais corriger.

JC..... dit: à

Soyons en admiration devant un grand homme de culture, Olivier Py, déclarant : « Si Avignon tombe au mains du FN, le Festival s’en ira ailleurs… »

Bon, qui est ce Py ? Le propriétaire du Festival, probablement. Un démocrate, un humaniste, une belle âme, c’est sûr.

En effet, si un maire FN est élu à Avignon, ça sera bien par le choix et la volonté des électeurs avignonnais, non ? Donc par une élection démocratique devant laquelle ce géant singulier devra bien s’incliner, non ?

Il paraît donc nécessaire, pour l’instant, que ce bonhomme ferme sa gueule en attendant le choix des citoyens d’Avignon. Après, on verra !

Chaloux dit: à

En même temps, JC, si le festival veut s’en aller, c’est bien son droit.

Chaloux dit: à

« Et la technique ? Ce qu’il y a de moins intéressant chez un artiste. »

Pierre Assouline, vous frôlez le gigantesque.

La technique du Caravage, de Rembrandt, de Bach, est-ce que vous diriez que c’est ce qu’il y a de moins intéressant chez eux? Ce ne serait pas un peu ce qui leur donne la parole sur un registre quasi infini?

« De la plus grande rigueur naîtra la plus grande liberté ».
Qui a dit ça, déjà?

JC..... dit: à

J’ignore comment est organisé le board du Festival, càd qui décide au juste.

Mais, il s’agit du Festival d’Avignon, pas du Festival d’Olivier Py, non ?!….

Chaloux dit: à

Dans le genre, j’oubliais Dürer…

Chaloux dit: à

Certes JC, mais je suis persuadé que si l’élection donnait ce résultat-là, d’innombrables compagnies et comédiens refuseraient de jouer à Avignon. Py ne fait qu’anticiper sur une situation de blocage qui se déclarerait de toute façon. Sa remarque est de simple bon sens.

JC..... dit: à

Chaloux, la sagesse, la prudence, le respect des Avignonnais, commande de patienter…

Jacques Barozzi dit: à

Un festival d’Avignon sous l’inquisition, ça peut être intéressant !

u. dit: à

Cette métaphoricité m’a pris à la gorge:

« Mais en amour on ne demande pas aux filles d’avoir inventé la poudre. » (Brassens)

« Odeur de poudre en la touffeur.
Retrait du bruit, de la fureur,
S’installe une douce langueur. »
(Marcel)

Le matin, est-ce bien raisonnable?

u. dit: à

On peut reprocher à Py d’être un peu pusillanime.

Déplacer le Palais des papes, ça, ça aurait de la gueule.

JC..... dit: à

Voyons, Jacques, El Manuelito est garant de la liberté d’expression théâtrale, il l’a prouvé !….

JC..... dit: à

Le mot « touffeur » est générateur d’une érection intellectuelle et poétique chez Marcel…

Jacques Barozzi dit: à

De quoi la touffe est-elle l’autre nom ?

u. dit: à

Manuel et Olivier dans l’arène d’Avignon?

Le masque et la plume.

Chaloux dit: à

Les comédiens ont le droit de se respecter eux-mêmes. Le festival d’Avignon n’existe pas pour les avignonnais. Il existe pour le théâtre.
Il y a quelque chose qui vous échappe, JC.

Jacques Barozzi dit: à

Olivier Py pourrait monter et montrer en Avignon le « Malatesta » d’Henri de Montherlant !

u. dit: à

Sur les livres de Sophie, je vois de la peau de femme.

Caresser un livre dès le matin, là encore un manque de raison.

J’attendrai un peu avant de dire: I got Sophie under my skin.

JC..... dit: à

« Il y a quelque chose qui vous échappe, JC. »

Comme toujours, celui qui n’est pas d’accord avec l’autre, est supposé ne pas avoir la capacité de celui qui croit avoir raison à ne rien laisser échapper.

Il y a quelque chose qui vous échappe, Chaloux.

Chaloux dit: à

JC, c’est tout simple.
Les avignonnais ont le droit de voter FN, les comédiens (et les auteurs) ont le droit de s’en aller, et le public a le droit de ne pas venir.

JC..... dit: à

Chaloux, c’est tout simple.
Les Avignonnais ont le droit de voter FN, les comédiens (et les auteurs) ont le droit de s’en aller, ou de s’en accommoder, et le public a le droit de ne pas venir, ou de venir, dans un Festival dirigé par un autre que Py !

Chaloux dit: à

Chaloux dit: 25 mars 2014 à 10 h 21 min

Parce que si les avignonnais ont le droit de voter FN, et que les comédiens (et les auteurs) n’ont pas le droit de s’en aller, et que le public n’a pas celui de ne pas venir, il commence à y avoir un gros problème.

JC, ça ne peut pas vous échapper.

Chaloux dit: à

JC, vous ne voyez simplement pas, ce que je vous ai déjà dit : les comédiens, les auteurs, les compagnies refuseront de jouer. Et pas, que vous et moi, les tout premiers, on les soutiendra ! Un comédien ça joue où ça veut…

Jacques Barozzi dit: à

Avignon renouera avec sa tradition d’un théâtre populaire ?
Au programme, une adaptation d’En finir avec Eddy Bellegueule, peut-être ?

JC..... dit: à

Allons donc ! Vous raisonnez comme Py, Chaloux ! Seul vous vous croyez autorisé à parler pour tous les auteurs, tous les comédiens ! Les comédiens, ça joue pour le Roy ou le Peuple, mais faut que ça joue …

Chaloux dit: à

Py n’y est quasiment pour rien. Il a tout le monde du théâtre derrière lui. Et qui, pour lui succéder? Un comique troupier? Le théâtre est dans la Cité, en plein cœur, JC, c’est ce qui vous échappe, vraiment.

Jacques Barozzi dit: à

« Un comédien ça joue où ça veut… »

Oui mais le festival d’Avignon restera toujours en Avignon, tandis que les municipalités passent et trépassent…

Chaloux dit: à

Jacques vous raisonnez vraiment… vraiment peu… Le festival s’en ira, c’est inévitable.

Jacques Barozzi dit: à

Tout comme les papes !

Jacques Barozzi dit: à

Au théâtre, il arrive que l’on fasse relâche, Chaloux, keep quiet !

u. dit: à

Et maintenant, la minute de démagogie sans laquelle il n’est pas de saine démocratie.

Avignon.
« Le jour où il s’y attabla pour y déjeuner, et qu’il observa avec dégoût ces puissants du moment festoyant bruyamment dans cette débauche de luxe et de caviar, il fut tellement horrifié qu’il ordonna le retrait de son œuvre ».

Comment ça, populiste?

(Vous avez vu le candidat frontiste?
Enarque, il est aussi comique sous le nom de Philippe Bacart.
Mauvais pastiche de Devos sur le thème du mariage gay).

Buona giornata

Chaloux dit: à

Jacques, Je suis très « quiet ».
Bonne journée,

Chaloux dit: à

u., sans compter que le caviar c’est vraiment divin.

Jacques Barozzi dit: à

La future direction du festival d’Avignon, un superbe cadeau pour Dieudonné, u. !

JC..... dit: à

Chaloux, le Festival d’Avignon restera en Avignon, que Py* soit là ou pas, qu’il soit ébranlé par une municipalité FN ou non …

*accident mortel, à cette seconde même, supposons le : sans Py, le Festival n’a pas lieu ? Croyez-vous ? … il y a des choses qui vous échappent, ami Chaloux !

Jacques Barozzi dit: à

Dieudonné en Ubu roi dans la cour des Papes !

Jacques Barozzi dit: à

Le festival de Cannes s’est interrompu pendant la Seconde Guerre mondiale, pour mieux renaître de ses cendres, Chaloux !

Jacques Barozzi dit: à

Vous pouvez bien agiter désormais l’épouvantail FN, je vous avais pourtant prévenu de ne pas voter pour Hollande au présidentielle…

Deneb dit: à

Marcel, l’existence de murs de domaine de Horava-Witten, « bouts du monde », suivant la théorie de jauge E8, est importante dans l’étude des relations entre la théorie des supercordes et la théorie M. Cependant cette nuit, dormant mal, je me suis fais cette observation que je trouve extrêmement importante avec le recul -même limité à, quelques heures : si les murs de domaine existent, ils devraient vraisemblablement émettre violemment des ondes gravitationnelles lors d’une collision; or jusqu’à présent les études des pics Doppler qui on pu être réalisées de ci-de là ont semblé révéler que des murs de domaine, même provoqués à 100 GeV – comme la transition électro-faible – n’existaient pas, ce qui me pousserait à envisager, hélas, que les théories cosmologiques proposant la formation de telles structures ne seraient aucunement réalistes.

u. dit: à

« je vous avais pourtant prévenu de ne pas voter pour Hollande au présidentielle… »

Je le sais bien, Jacques, mais dans la coexistence possible avec M. Sarkozy, il y allait de ma santé (hypertension, AVC, étranglements en mangeant, épisodes hallucinatoires, épanchements radoteurs…), mes proches n’auraient pas supporté.

Je reconnais humblement faire partie des 5% que les sondeurs estiment être anti-sarkozyste pour des raisons parfaitement irrationnelles.
Je n’en suis pas fier.
Il y a quand même le théâtre pour ça, bon dieu.
Le cathartique, on nous apprend ça dès l’école.

Chaloux dit: à

JC, c’est juste que vous ne connaissez pas le monde du théâtre.

Jacques, je vous laisse à vos légèretés.

Bonne journée,

Clopine Trouillefou dit: à

Oh, certes, il y aura toujours un Festival à Avignon, même sous une mairie FN. Sauf que ce ne sera plus du théâtre, mais un festival de danses folkloriques traditionnelles, avec expos de santons et élections de minimisses… de quoi plaire à tous… Et devinez qui ira y passer ses loisirs, en direct de Porquerolles, vissé sur le siège de sa mobylette ? Celui qui ne sait même pas que le premier acte de l’extrême-droite, partout où elle passe, est de s’attaquer à la culture. Ben voyons.

JC..... dit: à

Tu as raison Jacques ! On leur avait dit de ne pas voter pour Hollande !

C’est peut être un type sympa à inviter pour une bonne bouffe rigolote, mais je ne lui proposerai même pas le poste de gardien de nuit d’un entrepôt de cuivre.

Il fait pas sérieux… Tu l’appâtes avec une belle gitane, il oublie les clefs, et plus de cuivre !

u. dit: à

Au fait, Jacques le Parisien, ma candidate NKM semble en mauvaise posture.
Une éducation vraiment parfaite, mais j’ai regretté son spectacular hairstyle cette semaine.

La brune a du mordant, aussi.

JC..... dit: à

« JC, c’est juste que vous ne connaissez pas le monde du théâtre. »

Mais bien sûr, bien sûr… ! et je n’ai certainement jamais eu le goût d’aller avec des potes à Avignon !

u. dit: à

Ville de riches, Paris ne connaît pas de fièvre frontiste.

bouguereau dit: à

être anti-sarkozyste pour des raisons parfaitement irrationnelles

pas du tout ton surmoi l’est un peu pour toi zouzou..c’est kantien est transcendental, tu participes un peu du tout

bouguereau dit: à

« JC, c’est juste que vous ne connaissez pas le monde du théâtre. »

..et pis tu lis pas d’assez prés..je t’en fais régulièrement la remarque..mais non meusieu jicé s’en fout

JC..... dit: à

Je ressens comme un mépris Bellegueule pour les Avignonnais et autres ploucs, qui me fait sourire …

bouguereau dit: à

C’est peut être un type sympa à inviter pour une bonne bouffe rigolote, mais je ne lui proposerai même pas le poste de gardien de nuit d’un entrepôt de cuivre

..c’est quand même pas ce que tu dis aux gonzesses que t’invite

Deneb dit: à

Je ne me suis jamais senti particulièrement solidaire de l’extrême droite mais affirmer sans exemple à l’appui qu’elle s’attaque à la Culture ne relève-t-il pas du procès d’intention ?

Jacques Barozzi dit: à

« Paris ne connaît pas de fièvre frontiste. »

Mais les Versaillais sont toujours à nos portes, u. !
Oui, hélas, Hidalgo sera élue, car NKM n’a pas su ou pu fédérer les siens !

Chaloux dit: à

Ta gueule, Bouguereau, et arrête de me plagier. C’est une méthode à la con qui ne te mèneras nulle part sauf dans une pénible fuite en avant. T’es fini. Epicétou.

bouguereau dit: à

La brune a du mordant, aussi.

ouyouye..mais pour briquer les cuivres c’est ce qui faut

Chaloux dit: à

qui ne te mènera…

Jacques Barozzi dit: à

« sans exemple à l’appui »

Remember Toulon, Deneb !

JC..... dit: à

« ..c’est quand même pas ce que tu dis aux gonzesses que t’invite »

Je leur dis : « Venez, ô déesses, je vais vous faire une imitation de Bouguereau imitant Chaloux … »

bouguereau dit: à

Ta gueule, Bouguereau, et arrête de me plagier

dis le..c’est keupu qui te l’a dictée celle là

bouguereau dit: à

dicter (hurkurkurku)

Deneb dit: à

Vous voulez peut-être insinuer qu’une Culture davantage mise à la portée des classe populaires au détriment des élites est une faute ?

bouguereau dit: à

Sur les livres de Sophie, je vois de la peau de femme

putain con le necronomicon

Samu Social Club dit: à

Arrêtez avec Next et sa merde…

Chaloux dit: à

JC….. dit: 25 mars 2014 à 11 h 12 min

Je leur dis : « Venez, ô déesses, je vais vous faire une imitation de Bouguereau imitant Chaloux … mais remettez vos perruques et vos dentiers»

bouguereau dit: à

« Venez, ô déesses, je vais vous faire une imitation de Bouguereau imitant Chaloux … »

« hoo livre en peau de fam, venez que je vous lise de prés »

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