de Pierre Assouline

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La République des livres
L’Autre de « L’Etranger »

L’Autre de « L’Etranger »

Faut-il être gonflé pour s’emparer de L’Etranger et le détourner ! Un classique moderne par excellence, régulièrement placé en pole position des listes « mundial » des « 100 meilleurs livres du XXème siècle » et autres Jeux Olympiques littéraires, traduit en quarante langues et porté à l’écran par Luchino Visconti, figure imposée à tout lycéen de langue française, une oeuvre qui a résisté et survécu à l’avalanche d’exégèses universitaires qu’elle a suscitée… Kamel Daoud a osé et il a bien fait. Son Meursault, contre-enquête (153 pages, 19 euros, Actes sud), premier roman après deux recueils de nouvelles (écrit en français et non en arabe, faut-il le préciser?) est impressionnant. Le fameux incipit de Camus « Aujourd’hui, maman est morte » se traduit chez Daoud par un « Aujourd’hui, M’ma est encore vivante ».

Il a voulu prolonger cette histoire en faisant un pas de côté, la raconter à nouveau mais d’un point de vue décalé, qui aurait pu être celui de Marie Cardonna, petite amie du narrateur  ou celui de Raymond Sintès, son voisin, ou même ceux de personnages secondaires tels que les responsables de l’asile où vivait et où est morte sa mère, ou encore ceux du juge ou de l’avocat. Aucun d’eux. Le romancier a choisi, et là est son coup d’éclat, le point de vue d’un personnage essentiel mais qui y est nié dans son humanité même tout au long de L’Etranger. Il n’est qu’un au sein d’un groupe d’Arabes. C’est l’Autre de L’Etranger, l’Arabe sans nom. Il lui rend son identité. Ce n’est pas lui raconte puisqu’il est mort assassiné mais, longtemps après, son frère âgé désormais, qui vit à Oran auprès de leur mère avec laquelle il est en conflit permanent tant elle le chosifie, lui le célibataire sombre, mutique, lâche, dans cette ville moche et solaire, complexée par l’orgueil algérois, l’endroit le plus éloigné du désert et l’unique issue vers la mer. Il est le frère du mort, c’est son statut.

Reprendre  l’enquête à zéro, ce qui revient à s’interroger sur l’absence d’enquête, c’est partir à la recherche d’un corps perdu. Retour sur l’affaire : en Algérie française (le livre est paru en 1942 chez Gallimard dans la France occupée avec un visa de la censure allemande), Meursault, pied-noir sans prénom qui vient d’enterrer sa mère sans état d’âme, va se promener, puis nager avant d’aller au cinéma voir un film avec Fernandel avec sa nouvelle petite amie. Le lendemain, un dimanche, il se ballade sur la plage avec deux copains dont un proxénète, quand le trio croise un groupe d’Arabes avec lequel ce dernier est en querelle. Une rixe à l’arme blanche s’ensuit. Peu après, Meursault retourne sur la plage, seul cette fois. Un Arabe sort un couteau. Ebloui par le reflet du soleil sur la lame, Meursault l’abat d’une balle de pistolet. Puis s’approche du corps et l’achève de plusieurs balles. La seconde partie du roman est consacrée au procès ; l’avocat de l’accusé a du mal à soutenir la thèse de la légitime défense, et pour cause ; l’accusé lui-même, qui paraît étranger à son jugement comme il l’était déjà au monde, n’incrimine que le soleil.  Comme si la chaleur dégagée avait annihilé toute raison, la sueur l’engluant dans un état second, laissant la voie libre aux instincts les plus sauvages.tanger (61)

C’est sa manière de tenir la vérité pour un absolu. Une parodie de procès au cours duquel on lui reproche plus d’être indifférent à la mort de sa mère que d’avoir tiré sur un Arabe sans visage ni paroles qui faisait la sieste sur la plage. Et puis d’abord, que faisait-il au juste sur cette plage ? Fataliste, froid dans l’inventaire des actes dont l’enchaînement l’a conduit à tuer un homme, il semble déserté par toute volonté de résister à l’inéluctable, comme résigné. Distant par nature, il n’a jamais joué le jeu, et il continue, par refus du mensonge. En marge de la société, il le demeure encore alors que sa vie tient à un fil. Au plus profond de sa solitude, se reconnaissant coupable mais pas responsable, impassible face à la souffrance annoncée, celle de l’attente et du doute, il est condamné à la peine de mort et promis à la guillotine.

Kamel Daoud (Mostaganem, 1970) a donc déconstruit du long monologue de Meursault qui constitue le roman de Camus pour mettre celui-ci face à ses contradictions, ses trous de mémoire, ses blancs. Le soleil est omniprésent, comme la plage ; d’ailleurs, après avoir longtemps illustré ses couvertures de L’Etranger de manière platement figurative avec un solitaire, un esseulé, un isolé sur une plage, Folio, qui a choisi des tableaux de Nicolas de Staël pour illustrer toutes les œuvres de Camus a pris Figures au bord de la mer pour L’Etranger ; sur celle de Meursault, contre-enquête, assez réussie, un homme saisi par en plongée par l’objectif marche au bord de la mer,, mais on ignore s’il s’agit de Meursault, du narrateur ou de l’auteur. Il est vrai que Kamel Daoud déplace la perspective de l’absurde en la replaçant dans une autre vie que la sienne, celle de son frère, l’Arabe innommé. Qui avait un nom d’accident et aurait pu s’appeler « Quatorze heures ». Pour lui, il y a bien eu deux morts, et l’autre, il l’appellera Moussa pour lui redonner vie plus d’un demi-siècle après. Toujours plus facile de tuer un homme sans identité. Quant à son Meursault, c’est un Roumi, un étranger qui incarne tous les colons obèses et exploiteurs, même s’il n’est ni colon ni obèse, excès et caricature que l’auteur revendique, naturellement. Ce paragraphe donne une idée du ton :

« Récapitulons : on a là des aveux, écrits à la première personne, sans qu’on ait rien d’autre pour inculper Meursault ; sa mère n’a jamais existé et encore moins pour lui ; Moussa est un Arabe que l’on peut remplacer par mille autres de son espèce, ou même par un corbeau ou un roseau ou que sais-je encore ; la plage a disparu sous les traces de pas ou les constructions de béton ; il n’y a pas eu de témoin sauf un astre – le Soleil ; les plaignants étaient des illettrés qui ont changé de ville ; et enfin, le procès a été une mascarade, un vice de colons désoeuvrés. Que faire d’un homme que vous rencontrez sur une île déserte et qui vous dit qu’il a tué, la veille, un vendredi ? Rien »

Hanté par son double comme on l’est par un fantôme, l’auteur/narrateur se sent comme étranger à L’Etranger, dont quelques brefs extraits surgissent en italiques. Il finit par avouer son propre crime : dans la journée du 5 juillet 1962 à Oran, alors que des manifestants algériens fêtent l’indépendance de leur pays en massacrant au hasard ou enlevant pour les exécuter quelque 700 Européens sous les yeux des 18 000 soldats français, corps d’armée qui a reçu l’ordre de garder l’arme aux pieds, il tue Joseph, un pied-noir venu chercher refuge dans sa maison dans l’espoir d’échapper au lynchage. Dès lors, pour lui, la vie n’est plus sacrée. Ce qu’il a fait, il l’a fait tant pour venger l’Autre de L’Etranger et ainsi « faire contrepoids à l’absurde de notre situation » que pour se racheter aux yeux des siens : durant les événements, alors qu’il n’avait pas 30 ans, il n’a pas rejoint les moudhahiddines dans le maquis, mais il n’a pas non plus collaboré avec les colons. Dès lors, il n’est rien, même pas un traître. Juste un fonctionnaire à l’Inspection des douanes qui aura longtemps porté ce secret.

Cette histoire a été écrite par un cadavre, aussi révolté que son assassin était passif. Un cadavre qui prétend en être réduit à cet état de corps inerte par le moyen d’un meurtre et non par l’effet d’une insolation. La phrase de Kamel Daoud est aussi coupante, sèche, nerveuse, que celle de Camus s’est voulue blanche et neutre. L’une comme l’autre irradient d’un soleil brûlant d’Algérie, mais chacun la sienne, même si les deux ont une certaine lumière en commun. Sauf que Meursault, contre-enquête est également éclairé par une réflexion de Cioran placée en épigraphe :

 « L’heure du crime ne sonne pas en même temps pour tous les peuples. Ainsi s’explique la permanence de l’histoire ».

Grâce à Kamel Daoud, l’Arabe de L’Etranger d’Albert Camus a désormais un nom, un visage, une âme.Son frère de papier lui a donné une voix. Il existe enfin.

(Photo André Kertész, courtesy Attila Pocze, Vintage Galeria, Budapest, et photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 061 Réponses pour L’Autre de « L’Etranger »

bérénice la vraie dit: à

JC j’ai du rencontrer une idée sur l’usure dans un de ces écrits dans lesquels rarement à présent je m’abandonne et qui venait corroborer mon sentiment pour à peu près tout et tous, sûrement avez-vous raison et si l’amour peut-être décrit comme une maladie et qui peut donc se guérir, l’usure serait quant à elle une étape( le temps un matériel qui s’épuise) qui attendrait son leurre.

bouguereau dit: à

une idée de l’attachante exigence masculine

..dessine nous l’ombre qu’elle donne dans la taverne a platon

les ignorants reconnaissants dit: à

bouguereau »les connes pensent avé leur cul. »

On apprend des tas de trucs avec bouguereau, c’est ça son sens de la pédagogie en sus de ses profondes et impressionnantes connaissances, qu’il n’hésite jamais à faire partager

bouguereau dit: à

l’usure serait quant à elle une étape qui attendrait son leurre

..elle dit que t’es cocu jicé..on ne peut être plus clair

bouguereau dit: à

..christian ?

les bouguereau's girls dit: à

JC….. dit: 8 juillet 2014 à 10 h 20 min
Cédric, pour qu’il trique, il lui faut un cric …

JC c’est un grand

JC..... dit: à

« Si Camus ne montre pas directement la colonisation et ses ravages »

Encore une vue de borgne… Un ravage idéologique niant l’apport positif du « colonisateur », que ce soit depuis le Grec en Sicile, jusqu’aux Européens en Afrique du Nord ou ailleurs …

bouguereau dit: à

Un ravage idéologique niant l’apport positif du « colonisateur »

..c’est dla protéine aprés tout t’as raison

bérénice la vraie dit: à

« Lorsqu’un jour, le gardien m’a dit que j’étais là depuis cinq mois, je l’ai cru, mais je ne l’ai pas compris. Pour moi, c’était sans cesse le même jour qui déferlait dans ma cellule et la même tâche que je poursuivais. Ce jour-là, après le départ du gardien, je me suis regardé dans ma gamelle de fer. Il m’a semblé que mon image restait sérieuse alors même que j’essayais de lui sourire. Je l’ai agitée devant moi. J’ai souri et elle a gardé le même air sévère et triste. Le jour finissait et c’était l’heure dont je ne veux pas parler, l’heure sans nom, où les bruits du soir montaient de tous les étages de la prison dans un cortège de silence. »

L’étranger.

Polémikoeur. dit: à

Peut-on « détourner » un « classique » ?
Rien que s’appuyer dessus, le prendre comme base
de départ de sa propre création, ne lui reconnait-il pas
son statut de pierre angulaire et ne conforte-t-il pas
ce dernier ?
Même lorsque l’ironie, destructrice, d’une époque
sape l’original, le recul de ce dernier dans le temps
ne le protège-t-il pas en général de l’usure ?
Et s’il arrive que l’oubli ait néanmoins
enterré le chef-d’œuvre, que les pilleurs de tombes
se méfient : la poussière qu’ils remuent peut très bien
les ensevelir encore plus vite que ce qu’ils auront contribué à redécouvrir !
Maintenant, quel est le temps qui forge les statues,
celui d’un dîner brillant de prix littéraire,
celui d’une vie d’auteur ou de ses événements contemporains ?
La renommée, le tirage et le chiffre d’affaires
ou une sorte de pertinence qui confine à l’universalité :
qu’est-ce qui assoit une œuvre sur un piédestal ?
Le génie de la critique, bien sûr, mais encore ?
Qu’est-ce que ça peut faire ? Pas grand chose, aujourd’hui,
où le bruit compte plus que la musique qu’il cache,
juste le scrupule de ne pas adorer de veau d’or
trop éphémère,
qu’il est regrettable d’avoir consacré à peine l’a-t-il été.
Alteritérativement.

JC..... dit: à

« Les connes pensent avé leur cul. »

La question, ou plutôt l’affirmation, est intéressante. Elle traduit une méconnaissance complète de la faculté raisonnante d’un cul, même hyperactif. Traces de gras du judéo-christianisme multimillénaire, lointain, salissant, mais toujours aussi….con (?)

ueda dit: à

« durant les événements, alors qu’il n’avait pas 30 ans, il n’a pas rejoint les moudhahiddines dans le maquis, mais il n’a pas non plus collaboré avec les colons. Dès lors, il n’est rien, même pas un traître. »

Kamel Daouf (Mostaganem, 1970) semble avoir une connaissance de l’histoire récente de son propre pays aussi nuancée et intéressante que celle des jeunes Français sur la leur à l’époque du film « Le chagrin et la pitié ».

bouguereau dit: à

une malédiction des pharaons pas trés bien dessiné polémique..passablement

bouguereau dit: à

Traces de gras du judéo-christianisme

..t’as inventé le pilpoil qui tache jicé

bouguereau dit: à

Dès lors, il n’est rien, même pas un traître

c’est certain zouzouz..il aurait pus dire « c’est rien qu’une trace de gras de jambon »

JC..... dit: à

L’heure de l’apéritif approchant, je vous souhaite une bonne journée de crise. Bisous aux dames, avec traces de gros rouge aux lèvres …

bouguereau dit: à

Elle traduit une méconnaissance complète de la faculté raisonnante d’un cul

tout du contraire ! résonnante même ! et dire qu’on dit sourd comme un pot dirait clopine..

bouguereau dit: à

Le jour finissait et c’était l’heure dont je ne veux pas parler, l’heure sans nom, où les bruits du soir montaient de tous les étages de la prison dans un cortège de silence

..c’est bien mieux que dostoyèveski

Djedladiste dit: à

« Faut-il être gonflé pour s’emparer de L’Etranger et le détourner ! »

Cette entame, plus je la lis, plus je relis sur les intentions de l’auteur de la contre-enquête, plus elle est discutable.

Est-ce qu’en Algérie, « L’Etranger » de Camus est un « classique » ?

Quelle a été la réception de ce récit par les Algérois ?
Et par les autres Algériens ?
Est-ce que ce livre est au programme des lycées en Algérie ?

En quoi cette contre-enquête est un détournement ?

Djedladiste dit: à

Sauf erreur cette contre-enquête a d’abord été publiée par un éditeur en Algérie.

Djedladiste dit: à

Je n’ai pas le temps de vous retrouver le nom de cet éditeur algérien qui a publié en premier lieu cette contre-enquête.

El Watan était fermé de l'Intérieur dit: à

« Quelle a été la réception de ce récit par les Algérois ? Et par les autres Algériens ? Est-ce que ce livre est au programme des lycées en Algérie ? »

Quelle a été la réception de ce récit par les Norvégiens ? Et par les autres Luxembourgeois ? Est-ce que ce livre est au programme des lycées en Indonésie ?

Djedladiste dit: à

@El Watan était fermé de l’Intérieur dit: 8 juillet 2014 à 11 h 23 min

Il faudrait que vous appreniez à lire. Vous aussi.

El Watan était fermé de l'Intérieur dit: à

« Il faudrait que vous appreniez à lire. Vous aussi. »

Et vous, à vous taire !

Observatoire de l'helvète dit: à

TKT dit: 8 juillet 2014 à 9 h 24 min
Bof, JC, quand cela n’est pas vous, c’est D.

Mais non mon Thierry chéri, tu sais bien qu’il n’y a que moi qui t’aime ici.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il est certain, qu’une habitude de l’industrie d’art de la photographie appliquée à l’imprimerie,…donne un point de vue sur l’échiquier, avec des liaisons plus facile à décelés par les ombres des écritures,…économiques et sociales!,…

…si, là, je m’effraye,…de ce que j’écrit!,…c’est l’esprit, laboratoire photo!,…en déformation professionnel,…
…surtout, c’est gratuit!,…et rassurant!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…et, maintenant  » of course « !,…

Djedladiste dit: à

El Watan était fermé de l’Intérieur dit: 8 juillet 2014 à 11 h 30 min
Avec un pseudo comme le votre on devine le journaleux un peu frustré, un pote à la glU, je présume.

ACP dit: à

JC….. dit: 8 juillet 2014 à 10 h 25 min

C’est bien vrai ça, enfin pour Ifrah, pour Ayrault un BN de temps en temps c’est pas désagréable, ça peut calmer une fringale de mouvements désordonnés (ok, on ne peut pas non plus se nourrir qu’avec des coupe-faim)

Djedladiste dit: à

Non, parce que la glU, un peu comme tous les « situ », a quelques problèmes pour se repérer en géographie et dans l’histoire. Il a vite fait de vous refiler de la contre-façon.

Djedladiste dit: à

Modération est sourcilleuse ce matin. Elle craint les coups de soleil.

ACP dit: à

JC….. dit: 8 juillet 2014 à 10 h 25 min

C’est bien vrai ça, enfin pour Ifrah, autrement un BN de temps en temps c’est pas désagréable, ça peut calmer une fringale de mouvements désordonnés (ok, on ne peut pas non plus se nourrir qu’avec des coupe-faim)

El Watan était fermé de l'Intérieur dit: à

Chez eux, la barbe pousse plus vite que les idées intelligentes …

Djedladiste dit: à

Wiki:
L’Étranger a été traduit en tamazight par Mohamed Arab Aït Kaci et est publié gratuitement sur internet.

Chroniques de mon balcon dit: à

Ou un remake de « L’Etranger » à Brooklin ?

Chroniques de mon balcon dit: à

Brooklyn, bien sûr !

bérénice la vraie dit: à

11h39 qu’on ne sache qui vous êtes enturbanné(e) d’un pseudo est assez logique pour légitime qu’en soit recommandé l’usage sur ce blog mais qu’on ne puisse précisément savoir qui décore vos allusions humoristiques dont « glu » passe pour détail gênant la compréhension de vos interventions, si vous étiez direct(e), du temps serait épargné autant que du sens gagné s’il y en a à suivre ce qui se passe entre vous et cet autre à qui le mot est adressé.

bérénice la vraie dit: à

décorent

Widergänger dit: à

Au lieu de les citer, ces éditions des Pensées de Pascal, mon brave Pablo, tu devrais les lire, ça te rendrait (peut-être, option optimiste) un peu moins bête… Pauvre Pablo, pauvre petit chéri ! Si con et encore si jeune…

bérénice la vraie dit: à

Ah tiens vous avez ôté votre turban pour y perdre la tête, que dit la quatrième?

Chroniques de mon balcon dit: à

Widergänger est probablement le seul être sur terre à avoir lues Les « Pensées » de Pascal et à être autorisé à en parler !

bérénice la vraie dit: à

WDGG il y a de l’espoir, les jeunes ne sont pas encore complètement sclérosés alors que pour d’autres plus atteints et plus âgés on ne sait plus si la posture pourra bénéficier du service décongélation, ce qui laisse de surcroit augurer du durcissement de leurs prises de position, mauvais toujours mauvais « le durcissement » …

Widergänger dit: à

Le problème n’est pas là, mes petits chéris. Le problème, c’est que vous ne savez pas de quoi vous parlez en parlant des Pensées du grand Pascal. Lisez-les d’abord, parlez-en après. C’est mieux, mes petits chéris, c’est la bonne méthode.

bérénice la vraie dit: à

… »_ Ne pourrait-on l’interroger sans préoccupation aucune?

– Sur ce sujet principalement, cela me paraît difficile. Sainte-Claire Deville, par exemple, dit avoir observé que les boucs, des béliers ou des chiens, internés à l’écart des femelles, s’agitent, s’excitent entre eux « d’une excitation sexuelle qui ne dépend plus des lois du rut et qui les pousse à s’accoupler » . Vous remarquerez, je vous prie, cet exquis euphémisme :  » qui ne dépend plus des lois du rut « ! Sainte-Claire Deville ajoute :  » Il suffit d’amener une femelle pour ramener toute chose dans l’ordre « . En est-il vraiment sûr ? et l’a-t-il vraiment observé? Il est convaincu, ce qui n’est pas du tout la même chose… Cet exemple est extrait d’un rapport à l’Académie des Sciences Morales, sur  » l’internat et son influence sur l’éducation de la jeunesse « . _ …

Rien à voir mais je ne retrouve plus Pascal alors Corydon, 2ème dialogue…

renato dit: à

Il y a chez Michel un côté touchant : fort des fiches de lecture qu’il a trouvé au pouces (ce fut pour lui un « hasard heureux ») et qu’il met en ligne ici, il présume avoir fait la preuve qu’il naturalisé des notions…
Nous avons là une belle image du Docteur de la Commedia dell’arte donc je ne m’hasarderais pas à dire qu’il s’agit d’une interprétation.

Pablo75 dit: à

@ Widergänger

« Au lieu de les citer, ces éditions des Pensées de Pascal, mon brave Pablo, tu devrais les lire »

Sache que les « Pensées » est l’un de mes livres de chevet depuis plus de 20 ans, mon gros connard (je dois en avoir une douzaine d’éditions). J’ai même corrigé pour un éditeur espagnol nul une anthologie de ce livre faîte par un prof de philo qui connaissait le français aussi bien que moi le volapuk.

C’est toi, à ce que je vois, qui n’as jamais mis les yeux dedans. Ce qui ne m’étonne pas: la lucidité de Pascal te passe à quelques centaines de mètres au-dessus de la tête. Comment un prof prétentieux et snobinard comme toi pourrait apprécier son intelligence diabolique?

Sergio dit: à

bérénice la vraie dit: 8 juillet 2014 à 14 h 10 min
les boucs, des béliers ou des chiens

Des hongres, au printemps, se grimpent dessus en pleine carrière.

Chroniques de mon balcon dit: à

Widergänger est probablement le seul être au monde capable de dire à Pascal lui-même à propos de ses Pensées : « Lisez-les d’abord, parlez-en après » !

bérénice la vraie dit: à

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La diversité est si ample, que tous les tons de voix, tous les marchers, toussers, mouchers, éternuers… On distingue des fruits les raisins, et entre eux tous les muscats, et puis Condrieu, et puis Desargues, et puis cette ente. Est-ce tout? en a t-elle jamais produit deux grappes pareilles? et une grappe a-t-elle deux grains pareils? etc.
Je n’ai jamais jugé d’une même chose exactement de même. Je ne puis juger de mon ouvrage en le faisant; il faut que je fasse comme les peintres, et que je m’en éloigne; mais non pas trop. De combien donc? Devinez .

Pascal, section II, Misère de l’homme sans Dieu.

bérénice la vraie dit: à

Sergio, des boucs et non pas les.

Pablo75 dit: à

@ Widergänger

« Le problème n’est pas là, mes petits chéris. Le problème, c’est que vous ne savez pas de quoi vous parlez en parlant des Pensées du grand Pascal. »

Toi tu es comme la presse: quand on connaît à fond un thème et on le voit traité par les journaux ou la TV, on se rend compte à quel point ils sont nuls et disent n’importe quoi (cela dans le meilleur des cas, parce que dans le pire ils font express).

Toi, tu pérores ici sur n’importe quel thème jusqu’au moment où quelqu’un qui sait plus que toi sur un sujet précis en a marre de t’entendre dire des conneries et décide de te clouer le bec (quand personne le fait, par lassitude ou manque de temps, il ne faut pas que tu profites pour te prendre pour l’Oracle de Delphes, eh mon choux? Pense que tu fatigues tellement les gens avec tes tartines indigestes, qu’ils renoncent à toute discussion avec toi – entre autres choses, parce que c’est inutile…).

on s'marre dit: à

Pour les attardés, le colonisateur ne peut avoir (eu) qu’un rôle positif

Widergänger dit: à

« Il est impossible de traitter de bonne foi avec un sot » (Montaigne)

Chroniques de mon balcon dit: à

En tout, Pascal s’interdit de juger, ce qui est à l’opposée de la façon de faire de… Devinez !

Bloom dit: à

Mi-temps.

En lien avec la baisse en 9 ans de 29% des revenus des écrivains britanniques, en haut à droite, cet échange entre internautes, sur le mode de la contradiction polie et argumentée, sans la ribambelle d’insultes qui salit ici.
Comme quoi la langue anglaise n’a pas le monopole de la vulgarité, loin s’en faut.

A:
« The internet, far from democratizing the production of art, concentrates power in the hands of fewer and fewer paymasters like Google and Amazon. »

B:
« But this ‘streamlining’ is what HarperCollins and Waterstones had been at for years. And while Amazon may be concentrating power, it’s doing a great job of giving me back the books the highstreet retailers had banished from their shelves ».


Take heed.

Chroniques de mon balcon dit: à

« Il est impossible de traitter de bonne foi avec un sot » (Montaigne)

On a toujours besoin d’un petit sot chez soi !
Widergänger serait-il un pois chiche masochiste qui passe son temps à tendre des verges pour s’en faire fouetter, c’est sa façon à lui d’être juif ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’humour dans les filets de la ménagère avec ses sous-coupes volantes!,…

…encore des freesbys,…du lourd par internet!,…les soutiens-gorges gonflables par télé-commande,!…Oui!,…

…Oui!,…merci!,…c’est gentil tout plein!,…poser le entre les seins!,…Oui!,…sans les écartés! please!,…
…et, alors!,…le bouton de madame à sauté,!…encore!,…

…faudra changer de couturier!,…c’est à l’essai,…remboursez si pas satisfait!,…

…la garantie est dépassée!,…je comprend!,…mieux!,…
…le maître de classe!,…avec sa télécommande!,…Yolande!,…merci!,…tout plein,…entre les bourses!,…Oui!, maître!,…l’éducation aux sciences-sociales,…entrez en matière,…nos sous-douées!,…sous les bureaux!,…vous causez-bien de fils en aiguilles!,…
…l’art, pourquoi s’en privé, le vrai!,…
…l’humour en filet de ménagerie!,…
…pas gêner, sage, mon toutou!,…Ah!,…etc!,…

renato dit: à

« D’où vient donc la sagesse ? Où est la demeure de l’intelligence ? »

Voilà un gars qui n’a pas connu Michel.

Sergio dit: à

Giovanni Sant’Angelo dit: 8 juillet 2014 à 15 h 01 min
les soutiens-gorges gonflables par télé-commande,!…

Havec des baleines en tuyaux, alors… Parce que la fonte ductile ça on en est sûr ça peut pas se dégonfler…

Pablo75 dit: à

@ Widergänger

« Le genre humain a des limites, la bêtise n’en a pas. »
(Pascal)

Chroniques de mon balcon dit: à

On dirait que Giovanni Sant’Angelo est prêt à éclater en un bouquet final de feu d’artifice ?
Prévenez les pompiers, Sergio !

Chroniques de mon balcon dit: à

Ce billet de Passou, c’est L’Autre de « L’Etranger » ou « L’Etranger » de L’Autre ?

Si, à en place d’Arabe, la victime avait été un Juif, vous croyez que Widergänger dirait qu’il ne faut pas pour autant parler d’antisémitisme ?

Widergänger dit: à

Mais mon pauvre ami, vous ne connaissez même pas le b a ba de l’œuvre de Pascal ni de la critique pascalienne, et vous prétendez donner des leçons à un professeur qui l’enseigne…! L’arrogance de notre époque n’a pas de limite ! Vous n’êtes qu’un pauvre frustré qui se venge sur les savants dont il est jaloux, c’est tout ! Vous n’êtes qu’un pauvre type qui ne mérite que le mépris à force d’obstination dans le déni de l’autre et dans la bêtise la plus crasse et la plus indigne. Vos commentaires, vous pouvez vous les foutre dans le cul ! Telle est leur place ! Si seulement ils pouvaient jouer le rôle de suppositoires contre la bêtise ! Le pauvre homme !

Si, mais non dit: à

les petites bagarres entre entre soit-disant intellos, les posts débiles du tandem jicé/bouguereau, les délires du duo TKT/rénateau, tout cela commence sérieusement à nous gonfler grave

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…juste une pointe d’humour,…en gel!,…pour des détails en miniatures!,…Oh!,…la palette pour couleurs fines!,!,…etc!,…
…en guerre des boutons!,…

renato dit: à

Délires ?! quels délires ? tout ce qui ne rentre pas dans vos schémas ou que vous n’arrivez pas à comprendre vous le classez dans la case « délire » ? Avez-vous essayé le poisson ?

Et puis… « nous » ? Vous qui ?

Recherche dans l'intérêt des familles de pensée dit: à

Le marché aux pouces de renato, c’est les Puces digitalisées ou un truc cochon ?

Pablo75 dit: à

@ Widergänger

« Il y a des imbécillités qui sont telles qu’une plus grande imbécillité vaudrait mieux. »
(Montesquieu)

renato dit: à

« Le marché aux pouces… »

En voilà un qui le mérite : « La plus minable des actions que l’on peut commettre lors d’une controverse, c’est de s’accrocher aux erreurs de grammaire et de syntaxe de l’adversaire. » (G. Guareschi)

Sergio dit: à

Chroniques de mon balcon dit: 8 juillet 2014 à 15 h 20 min
Prévenez les pompiers

Oui enfin faut encore pas louper la bâche…

Belle Ile dit: à

Le marché aux pouces…pieds?

le pouce-pied peu performant face aux moules…

Recherche dans l'intérêt des familles de pensée dit: à

« plus minable des actions que l’on peut commettre lors d’une controverse »

De quelle controverse s’agit-il ?

renato dit: à

« le pouce-pied peu performant face aux moules… »

Faute d’aller le chercher en affrontant les vagues de l’Atlantique, il faut voir chez le poissonnier…

Jacques le F dit: à

Savez-vous pourquoi il est devenu impossible d’entrer un commentaire chez Paul Edel?

Nécronomicon dit: à

Paul est mort. Son blog l’a tuer.

Si, mais non dit: à

pouce-pied, en espagnol : percebes, délicieux !

Onésiphore de Prébois dit: à

A Elena

C’est tout de même troublant : la région du monde où, pour la première fois, fut formulé ce précepte absolument sidérant, si l’on y pense, cette invitation à battre le record du monde du saut en hauteur, en franchissant 5 m au premier essai, et en dépassant cet exploit tous les jours — tu aimeras ton prochain comme toi-même — est sans doute la région du monde où déferlent, de la façon la plus hideuse, les vagues de la haine. Jérusalem, la ville sainte des trois religions qui se réclament de ce précepte, est devenue l’épicentre d’un des plus violents séismes de haine qui aient jamais affecté l’humanité. Je suis tenté d’expliquer cela par la prétention de chacune de ces trois religions à détenir seule la vérité, pour tout le genre humain : c’est ma modeste et fragmentaire explication à moi, mais qui sait ?

Qui sait ? Quand les innombrables langues inventées par les hommes ne nous permettent d’approcher que de très loin le mystère de l’être, quand même la science ne nous livre que des approximations d’un « réel » inconnaissable, innombrables sont les êtres humains qui prétendent détenir la vérité. Oh, même pas la Vérité avec un grand V, celle de l’existence de Dieu, par exemple, mais rien qu’un tout petit bout, un misérable bout de vérité à propos de tout. La certitude, affichée de la façon la plus insolente et la plus hasardeuse, est le vice des hommes le mieux partagé. Comme si personne ne faisait de cas de la parole la plus sage (avec celle qui précède) jamais prononcée par un homme : « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien ».

Et moi aussi, tout comme un autre, j’ai débité mes vérités premières. Tout au long de ma vie, à propos de tout et de n’importe quoi. Avec assurance. Avec indignation. Avec fureur. Avec mépris pour qui ne partageait pas mes certitudes. J’ai vécu dans la haine, dans l’intoxication de la haine, dans d’incroyables fantasmes et pulsions de haine, au point que parfois, je me demande comment j’ai pu échapper à la prison, pour m’être abandonné à un de mes innombrables accès de fureur haineuse. Même le plus immonde des molosses aboyant sa fureur, la bave aux babines en tirant sur sa chaîne à la rompre, est moins immonde que moi.

J’aurai vécu presque toute ma vie brouillé avec mon coeur. Toutes mes erreurs, toutes mes insuffisances, viennent de là.

Fais-je partie d’une toute petite minorité de déshérités ? Il se trouve que je fréquente assez régulièrement sur le web un site dédié à la littérature, dont l’animateur laisse généreusement les commentateurs s’exprimer. Rien de plus paisible, de plus civilisé que l’intérêt pour la littérature et les arts, en principe. Eh bien, sur ce blog, le plus connu sans doute et le plus fréquenté des blogs littéraires francophones, ce ne sont qu’étalages impudents d’egos, affrontements de vanités, débordement d’injures, propos racistes, sexistes, xénophobes. Tiens, rien qu’aujourd’hui, à titre d’échantillon :

–  » Chez eux, la barbe pousse plus vite que les idées intelligentes »
–  » Avec un pseudo comme le vôtre, on devine le journaleux un peu frustré ».
–  » Il faudrait que vous appreniez à lire » — « Et vous, à vous taire ».
–  » Encule-toi toi-même et va dégueuler ailleurs ».
–  » Daaphnée et ses clichés de nymphette sur le retour ! aussi beaufe que JC c’est pas peu dire
–  » Encore une vue de borgne ».
–  » Vous parlez comme une maquerelle de bas étage « .
–  » Qu’est-ce que tu peux dire de conneries ! On dirait un prof de littérature… ».
–  » Les fantasmes d’une burne sont toujours un bonheur. Merci à Thierry d’égayer nos soirées. »
–  » Je répondais à un crétin, je ne savais pas que c’était vous.  »
–  » Pauvre Pablo, pauvre petit chéri ! Si con et encore si jeune… ».
–  » Vos commentaires, vous pouvez-vous les foutre dans le cul ! Telle est leur place ! Si seulement ils pouvaient jouer le rôle de suppositoire contre la bêtise !  »

Certes, le contenu du fil duquel j’ai extrait ces gracieusetés ne se limite pas à cela. En revanche, il arrive que cela aille beaucoup plus loin dans le registre de l’hystérie haineuse, jusqu’aux menaces d’agression physique, voire de meurtre. Cela donne en tout cas une idée du climat nauséabond d’agressivité à peu près permanente dans lequel se déroulent ces « échanges » dont on attendrait plutôt qu’ils rapprochent les intervenants dans un commun amour de la littérature et des arts. On a plutôt affaire à des Trissotins et à des Vadius s’affrontant, la rage au coeur, qu’à des Goethe conversant paisiblement avec des Eckermann.

Je mentirais si je niais avoir, à l’occasion, participé à ces échanges aigres-doux, sous le prétexte que tel commentateur ne semblait éprouver que du mépris pour tel écrivain auquel allait mon admiration, ou l’inverse.

Tout ceci, dira-t-on, est assez dérisoire et ne fait qu’illustrer les débordements que facilite l’anonymat des échanges sur le net. Mais justement, cet anonymat rendu possible par l’usage de pseudos ne fait que dévoiler impudemment et sans risque l’hostilité latente que presque chacun d’entre nous porte à une portion très considérable de ses semblables. Méfiance, répugnance, agressivité, haine, ne sont que des variantes du rejet de l’autre, tout simplement parce qu’il ne pense pas comme moi, ne sent pas comme moi, n’imagine pas comme moi, ne parle pas comme moi, n’écrit pas comme moi; parce qu’il est autre, donc différent. Comment peut-on être différent ? Comment peut-on être Persan ?

Ce matin, moi aussi, à mon tour, je suis allé porter mon offrande de chocolats et de calissons à celles et à ceux qui, avec leur compétence, leur dévouement et leur sourire, m’ont permis de conserver l’espoir. J’avais juste joint un petit mot :  » A l’équipe soignante du service d’oncologie, avec reconnaissance et affection  » . C’était la moindre des attentions. Je suis reparti chez moi dans le grand bleu, dans le grand mouvement d’une journée de mistral. Au long de la route, les arbres étaient un peu ivres.

La médecine, me disais-je chemin faisant, c’est comme tout ce qui est humain. Il y a le savoir, la compétence, la technique. Et puis il y a le coeur. Non pas « et puis » le coeur. D’abord le coeur.

On ne se rend généralement pas compte — ou on s’en rend compte souvent beaucoup trop tard — combien ce qu’on appelle l’intelligence est peu de chose sans le coeur ; si elle n’est pas vivifiée par le coeur et par cet appel vers le haut qu’on appelle généralement l’amour. On ne peut pas aller au plus haut de soi-même sans l’amour. Je ne saurai jamais jusqu’où j’aurais pu élever le meilleur de moi-même, pour avoir trop souvent tourné le dos à l’amour, à sa puissance visionnaire. C’était tout le sujet d’un très beau film que j’ai regardé hier soir, Billy Elliott , de Stephen Daldry, l’histoire d’un garçon de onze ans porté par son amour de la danse, un amour si fort qu’il élève au-dessus d’eux-mêmes les témoins de sa révélation, prisonniers jusque là de la misère, de la violence et de la haine.

des journées entières dans les arbres dit: à

JB, en fait il faudrait que vous regardiez la télé plus souvent; ça vous calme drôlement, didon. Il dansait bien Billie, (vraiment bien, true).
Un effet palcebo, donc, la télé.

Et pour l’énervement vous n’avez rien de mieux ?

des journées entières dans les arbres dit: à

« Billy Elliott , de Stephen Daldry, l’histoire d’un garçon de onze ans porté par son amour de la danse, un amour si fort qu’il élève au-dessus d’eux-mêmes les témoins de sa révélation, prisonniers jusque là de la misère, de la violence et de la haine. »

D’abord celles de son père et son frère, non ?!

Nécronomicon dit: à

« Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien ».

Complètement idiot. Illogique et absurde, saillie d’intello antique … A oublier sans modération ! Onésiphore, vous regrettez le manque d’amour dans les échanges : vous regrettez le passé, vous avez tort. Les temps futurs ignoreront ce sentiment ridicule ! Evoluez un peu : vous n’êtes pas si vieux ? Si ?

bérénice la vraie dit: à

Des journées pour l’énervement je vous conseille un film anglais également, le géant égoïste, si vous ne l’avez pas déjà vu.

bérénice la vraie dit: à

Il est aussi question de misère, crasse, que la fée électricité vient relever de sa charge comme il existe des charges de notaire.

des journées entières dans les arbres dit: à

quand la vieille peau de maniatis aura compris que ses conseils elles peut les vendre à tous les perdreaux de l’année, et qu’elle n’est pas ici un passage obligé de lecture, elle s’économisera du temps de claviardage.

bérénice la vraie dit: à

Ceci dit en aucun cas ne tenez compte de ce qui s’écrit et qui est pour le moins vraiment n’importe quoi, juste une manière d’associer des idées qui ne vont pas ensemble et comme nous ne sommes pas des hooligans, aucun service d’ordre ne viendra nous séparer pour continuer de juxtaposer des choses qui nécessiteraient une cloison étanche afin d’assurer la sécurité du transport et de la diffusion.

Nécronomicon dit: à

« Le Hamas a assuré que «tous les Israéliens» étaient désormais «des cibles légitimes», selon un communiqué de son porte-parole Sami Abou Zouhri. »

Ouais ! on va se marrer !

bérénice la vraie dit: à

Comme le remarquait à propos OdP, cet espace souffre souvent d’odeurs pestilentielles que vous continuez par facilité naturelle ou à court d’argument à alimenter sélectionnant au grès de vos humeurs instables une cible ou une autre vous semblant appropriée à l’étalage de votre sentiment de supériorité et ou d’importance, avec ça on avance incontestablement.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Ouais ! on va se marrer ! »
Encore un qui devrait regarder la télé, comme JB.

bérénice la vraie dit: à

Je ne suis pas habitée par cette illusion ou prétention, c’est un peu comme les clous, on emprunte si on veut, de toutes façons en dehors du règlement en collectivité, suis indisciplinée, vous aussi?

Nécronomicon dit: à

Des journées dans les arbres,

Dé-ten-dez-vous !
On se marre au Moyen-Orient … mais oui ! mais oui ! Y a plein de clowns.

bérénice la vraie dit: à

II est possible que, sans qu’on le sache encore, la troisième Intifada et une nouvelle guerre avec Gaza aient commencé, mais ce n’est pas le scénario le plus probable. Le meurtre d’un jeune Palestinien, le 2 juillet, a été un acte de vengeance pour répliquer à la découverte des corps des trois jeunes Israéliens enlevés le 12 juin.  » Œil pour œil… « , ce principe biblique de l’Ancien testament a toujours fait florès en Terre sainte. Mais constater que les peuples juif et palestinien sont les héritiers d’une somme de préjudices et de sang versé ne suffit pas à évacuer la responsabilité de leurs chefs politiques et religieux.

Khaled Mechaal, le leader politique du Hamas, le mouvement islamiste au pouvoir à Gaza, tout en se gardant de la moindre revendication, avait félicité les auteurs du rapt des trois étudiants d’une école talmudique en Cisjordanie occupée. En réaction, les appels à la haine de rabbins extrémistes tels Yitzhak Ginsburg et Yitzhak Shapira se sont multipliés sur les réseaux sociaux. S’il était besoin d’une confirmation, elle vient d’être apportée : il y a un terrorisme juif, comme il y a un terrorisme palestinien.

Une situation d’autant plus inquiétante que cette escalade de la violence confessionnelle intervient en miroir d’une brusque tension militaire entre Israël et les mouvements islamistes de Gaza. Israël a concentré des troupes dans le sud et les faucons du gouvernement du premier ministre, Benyamin Nétanyahou, appellent à une intervention massive pour se débarrasser une fois pour toutes du  » Hamastan « .
Le Monde .

Sirius dit: à

« Si, à en place d’Arabe, la victime avait été un Juif, vous croyez que Widergänger dirait qu’il ne faut pas pour autant parler d’antisémitisme ? »

Mais Balcon, la victime ne pouvait pas être un juif ni un pied noir, il ne pouvait être qu’un être appartenant à la grande foule anonyme, donc un arabe en Algérie, un chinois en Chine ou un ouvrier inconnu dans une grande ville européenne…La problématique coloniale ou raciale n’a aucun sens dans ce contexte.

Nécronomicon dit: à

« S’il était besoin d’une confirmation, elle vient d’être apportée : il y a un terrorisme juif, comme il y a un terrorisme palestinien. »

Ouaaaah ! la connerie !!!

bérénice la vraie dit: à

La raison peut encore prévaloir : ce n’est ni l’intérêt d’Israël ni celui du Hamas de déclencher une nouvelle guerre. Le second a désormais les moyens de frapper Tel-Aviv, et M. Nétanyahou aurait du mal à survivre politiquement si le cœur de l’Etat hébreu était lourdement touché. Le Hamas, de son côté, est déjà aux abois : la bande de Gaza est soumise à un blocus israélien depuis sept ans, et l’Egypte du président Abdel Fattah Al-Sissi a resserré ce garrot en détruisant les centaines de tunnels de contrebande qui constituaient le poumon économique des 1,7 million de Gazaouis.

Le Hamas semblait avoir compris la leçon : pour rompre son isolement, il n’avait d’autre échappatoire que la réconciliation palestinienne avec le Fatah, le parti de Mahmoud Abbas, laquelle lui permettait d’accéder à une légitimité inédite. Or toute la logique de cet aggiornamento politique s’est effondrée : depuis le meurtre des trois jeunes Israéliens, le Hamas est renvoyé aux gémonies et la stratégie de réconciliation palestinienne est en miettes. De ce point de vue, une évidence s’impose : au-delà du drame humain, ce triple rapt a constitué une aubaine politique pour M. Nétanyahou.

En accusant le Hamas, il est parvenu à transformer un fiasco des services de renseignement en une victoire politique et diplomatique. Les conséquences de celle-ci étaient si profitables pour un gouvernement israélien qui s’efforce de délégitimer et diviser le mouvement palestinien, qu’il a nourri moult théories du complot sur l’air de  » à qui profite le crime ? « . La réponse va de soi : isolé sur le plan diplomatique depuis que la communauté internationale a apporté un soutien de principe unanime au gouvernement palestinien d’union nationale, qu’il assimile, lui, à une antichambre du terrorisme, M. Nétanyahou avait repris l’avantage.

Un objectif politique

Il avait exploité celui-ci en lançant en Cisjordanie une lourde vague de répression. La question est de savoir si cette offensive politique sera accompagnée d’un volet militaire. Israël veut rétablir la dissuasion de Tsahal face à Gaza, mais son principal objectif est politique : saper les fondements de la réconciliation palestinienne en soulignant que l’un des partenaires, le Hamas, reste une organisation terroriste.

Sommé de prendre ses distances avec un acte jugé odieux, Mahmoud Abbas a associé les forces de sécurité palestiniennes à la traque lancée contre les auteurs de l’enlèvement des trois jeunes Israéliens, faisant de l’Autorité palestinienne le sous-traitant sécuritaire de l’armée israélienne en Cisjordanie. Ce qui fait beaucoup de victimes, humaines et politiques.

Le dernier cycle des négociations israélo-palestiniennes s’est évanoui dans l’indifférence générale, comme si ces neuf mois de négociations qui se sont concentrées sur le  » processus  » de la paix mais jamais sur la substance, n’avaient jamais existé. Dans ce contexte, personne ne tentera de sitôt de ressusciter des pourparlers de paix. Deux scénarios semblent s’offrir à Israël et à la Palestine : celui de la pérennité du statu quo, c’est-à-dire de l’impasse politique, qui ne peut rassurer qu’un premier ministre israélien sans vision historique pour son pays. Tsahal poursuivra son rôle d’armée d’occupation en Cisjordanie, pour y maintenir un apartheid de fait. L’autre scénario, celui d’une troisième Intifada, sera peut-être écrit par cette génération de jeunes Palestiniens qui a grandi après les accords d’Oslo (1993).

Très jeune lors de la deuxième Intifada, elle arrive à l’âge de la maturité pour se heurter à un avenir en cul-de-sac : pas d’Etat palestinien, un quotidien fait d’humiliations, d’arrestations arbitraires, de brutalités, qu’ont connues leurs parents. Il se pourrait que cette nouvelle génération sacrifiée se trouve des modèles dans la mouvance radicale de l’Etat islamique.

renato dit: à

« Et puis il y a le coeur. Non pas « et puis » le coeur. D’abord le coeur. »

J’aime autant vous dire qu’en cas de nécessité je préfère qu’il y ait le savoir, la compétence, la technique ; le cœur ce n’est qu’un surplus… appréciable lorsque les autres conditions sont remplies…

Cela dit, 1212 mots ! la concision et vous ce n’est pas le grand amour… apparemment…

Nécronomicon dit: à

« De ce point de vue, une évidence s’impose : au-delà du drame humain, ce triple rapt a constitué une aubaine politique pour M. Nétanyahou. »

Ouaaah ! Seconde connerie ! « Aubaine politique » …démence et illusion !

des journées entières dans les arbres dit: à

« On se marre au Moyen-Orient … mais oui ! mais oui ! Y a plein de clowns. »

Vous êtes grand reporter ?

Nécronomicon dit: à

« Un correspondant du Monde ? »

Yeah !… un œil averti, alors ? ..Ouaaaah !!!

Si, mais non dit: à

Nécronimicon, le nouveau pseudo JC de plus en plus tartignole ; ça va finir par lui péter à la gueule, paf !

Pablo75 dit: à

@ Onésiphore de Prébois

« C’est tout de même troublant […] Jérusalem, la ville sainte des trois religions qui se réclament de ce précepte, est devenue l’épicentre d’un des plus violents séismes de haine qui aient jamais affecté l’humanité. »

Si tu connaissais l’Ésotérisme, tu ne serais pas étonné. Tout ce qui arrive dans cette partie du monde (Israel, Syrie, Irak, Iran) et, surtout, tout ce qui va arriver, a été annoncé il y a bien longtemps.

Ceux qui croient que l’histoire du monde est celle qui racontent les manuels d’histoire sont bien naïfs. Et surtout ils ne comprennent rien à ce qui se passe depuis des siècles, sinon des millénaires, ou l’expliquent de façon délirante. Par exemple, l’enjeu de Jérusalem.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Si, mais non dit: 8 juillet 2014 à 18 h 29 min
le nouveau pseudo ….de plus en plus tartignole

des journées entières dans les arbres dit: à

« Si tu connaissais l’Ésotérisme, tu ne serais pas étonné. Tout ce qui arrive dans cette partie du monde (Israel, Syrie, Irak, Iran) et, surtout, tout ce qui va arriver, a été annoncé il y a bien longtemps. »

là je dois te dire, m’dame Irma, que les clowns peuvent tous aller se rhabiller. Ils ont trouver leur maître.

bouguereau dit: à

– » Vos commentaires, vous pouvez-vous les foutre dans le cul !

halte à l’automédication les gars..

bouguereau dit: à

Ils ont trouver leur maître

satan..c’est retro

L'alchimie selon Pablo dit: à

Pablo75 dit: 8 juillet 2014 à 18 h 29 min

Quand D. nous raconte les petits hommes verts le soir après la veillée on met son pouce dans sa bouche et on sourit aux anges.

Quand Pablo nous raconte l’ésotérisme on n’a seulement envie de lui balancer une baffe.

Je me demande pourquoi ?

bouguereau dit: à

combien ce qu’on appelle l’intelligence est peu de chose sans le coeur

ça c’est du pascal tout craché..comme dans l’exorciste dirait dracul

Pablo75 dit: à

Ça aussi, que les chiens aboient quand la caravane passe, ça a été prophétisé il y a bien longtemps.

bouguereau dit: à

Je me demande pourquoi ?

y’a une kabale contre pablo

bouguereau dit: à

le feu ça brule et l’eau ça mouille..c’est pas con cque dit pablo

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oui!,…où,…Non!,…à votre  » guise « ,…

…tout ce qui…concerne le Moyen – Orient,…
…& je ne sais plus pourquoi!,…trop sensible!,…
…depuis la guerre du Qué-Pourre,…les Six-jours!,…les Aiy-les-Thollah!,…et C° Trust’s -Pétrolium du Ciel-Paradis aux Marteaux & l’Enclume!,…!,…j’ai toujours  » zappé « ,…rien !, je sais rien!,…& ne veux rien savoir!,…
…le jour, ou je verrais rien que des filles d’Orient,…blanches comme des génisses!,…à la chasse aux champignons , style  » Alice in Wonderland « ,…
…enfin,…un pays civilisé!,…
…c’est pas demain la veille!,…avec tout les cloportes du passé endoctriné!,…là!,…
…Ah!,…mes pantoufles!,…etc!,…

Phil dit: à

Il semble que l’avis d’Abdelkader sur ce livre de réparations n’ait pas été apprécié.
La millionnaire auteure des Harry Potter a décidé de ressusciter son binoclard.

D. dit: à

Savez-vous que j’ai été moi-même prisonnier, Bérénice ?
Lors d’un voyage initiatique effectué il y a 9 ans sur les hauts plateaux de Mongolie. J’ai été capturé et gardé dans une caverne profonde pendant près de 40 jours. Là, plusieurs secrets m’ont été révélés. A la fin j’ai demandé pourquoi moi (mais je me doutais un peu de pourquoi, en fait), eh bien ils m’ont dit que j’avais été choisi parmi une multitude par un maître suprême.

Epicétou! dit: à

La -vraie- supériorité intellectuelle est très mal portée ici. N’empêche, une pichenette de Pablo et tout le monde à la niche… Même Bouguereau, le mange-merde de Dunkerque, fait sa prudente, se demande « j’y vas t’y, j’y vas t’y pas »…

Les deux font la paire dit: à

Epicétou! dit: 8 juillet 2014 à 19 h 03 min

Salut Chaloux.

bouguereau dit: à

La millionnaire auteure des Harry Potter a décidé de ressusciter son binoclard

assez d’ésotérisme phil..et gaga disant que hulk est plus grand qu’allah..c’est une impasse

Epicétou! dit: à

Correction : »Bouguereau, le coprophage de Dunkerque ».

bouguereau dit: à

Salut Chaloux

chut.. salut christian

Epicétou! dit: à

Qui est Christian?
Bouguereau devrait arrêter la bouse hallucinogène…

Pablo75 dit: à

@ bouguereau

Toi, t’appeler chien c’est une insulte pour les chiens.

Tu es un infra-humain.

Un macaque de laboratoire qui a appris à taper sur un clavier.

Tu es un miracle: autant de bêtise en un seul être humain ça relève du miraculeux.

À ta mort on va t’empailler et te montrer dans le Musée de l’Homme.

bouguereau dit: à

..c’est dl’ézotérisme cheuloux..pablo et moi..troisième dan..on se comprend

bouguereau dit: à

À ta mort on va t’empailler et te montrer dans le Musée de l’Homme

..rien non rien de rien ce qui est hu..huhu..huuumain, pablo..ne m’est alien

Epicétou! dit: à

Au musée de l’homme, Bouguereau n’aurait pas sa place, à la galerie de l’évolution, avec les animaux, non plus, il est trop demeuré.
Je sais !
Au musée Dupuytren….

bouguereau dit: à

tu vois cheuloux..toi tu vas finir bêtement dans une urne en stuc oublié chez un garde meuble..pablo c’est un copin comme cochon gavé au gland ibérique

La rdl pour les nuls dit: à

Epicétou! dit: 8 juillet 2014 à 19 h 09 min
Qui est Christian?

Chaloux tu suis pas, c’est historique.
Peut-être n’es-tu pas notre bon vieux Christian mais tu es au moins aussi con que lui, c’est dire.
Epi, ça te va bien Christian.

Epicétou! dit: à

Pas Chaloux.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…& notre,…D,…national!,…

…du matin au soir il se fait capturé aux pays des Amazones!,…
…allez!,…encore une goutte!,…un demi-verre de Bordeaux!,…à la votre mes sous-coupes – voyantes!,…témoins-de -Jéhovah!,…
…Sés-âmes! ouvrez-vous!,…aux messes de minuits aux chloroformes!,…

…Oui!,…c’est fort, c’est pour le Potter Hardy!,…Ah!,…etc!,…

aher de bassan dit: à

la vérité parle par la bouche d’Arrabal

« F.A. – Certainement les maux existent sans besoin de réverbérations. En réalité nous aimerions tous réunir les spécialistes (spécialistes de quoi?) devant un écran. Ils regarderaient un match (inconnu d’eux) intégralement. On ne supprimerait que les 47 secondes des goals. On demanderait à ce jury compétent de juger sans connaître le résultat final. Les opinions seraient burlesques. Grâce au ralenti de la télévision les experts atteints d’Alzheimer apprendraient enfin qui a marqué le but.

Faut-il mettre Boudegras en bocal? dit: à

Le garde-meuble c’est la paix.
Tout Chaloux
*Le musée Dupuytren c’est la misère.
Tout Boudegras.

Camar(a)de dit: à

Pablo75 dit: 8 juillet 2014 à 19 h 09 min

Pablo c’est le type de mec qui évoque toujours la mort des autres.
Trop petit pour trouver naturellement sa place au comptoir.

roselyne dit: à

« Tout ce qui arrive dans cette partie du monde (Israel, Syrie, Irak, Iran) et, surtout, tout ce qui va arriver, a été annoncé il y a bien longtemps. »

ah bon

Mais si c'est Chaloux dit: à

Epicétou! dit: 8 juillet 2014 à 19 h 17 min

Trop tard.

aher de bassan dit: à

– Albert Camus disait avoir appris le peu de moral qu’il savait sur les terrains de football et les scènes de théâtre. Est-ce que vous pourriez en dire de même?

F.A. – C’est pour cela qu’il a remporté, a juste titre, le Nobel; mais il n’a pas pu être Transcendant Satrape.

Pablo75 dit: à

@ des journées entières dans les arbres

« là je dois te dire, m’dame Irma, que les clowns peuvent tous aller se rhabiller. Ils ont trouver leur maître.! »

Venant de toi, je prends un tel aboiement pour un éloge. « Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet. » (G. Courteline)

Et je profite de l’occasion pour te dire que tu es l’un des membres le plus précieux de ce blog: non seulement tu essaies de nous faire rire avec ton ironie hippopotamesque, mais en plus tes jugements (quand tu es capable de les émettre) nous servent toujours à trouver la vérité: il suffit de les retourner pour savoir où elle est.

Epicétou! dit: à

Mais si c’est Chaloux dit: 8 juillet 2014 à 19 h 25 min

Trop tard.

Pour qui?

Avec le temps... dit: à

bouguereau dit: 8 juillet 2014 à 19 h 15 min
…pablo c’est un copin

A voir, très douteux, même avec le forfait « opportunisme illimité » du bloc de saindoux fondu bouguereau…

Les deux font la paire dit: à

Je ne voudrais pas taper sur des absents, mais le duo TKT/Barozzi est enfoncer dans les grandes largeurs (aucun rapport avec certaines pratiques sexuelles)
Le niveau de bêtise et de ridicule de la paire Pablo/Chaloux est infiniment supérieure.
Galactique pourrait dire D.

céquuefdé dit: à

« pablo c’est un copin comme cochon gavé au gland ibérique »

ceci explique cela

C'est bien ça... dit: à

L’intelligence leur est insupportable…

Mine de rien... dit: à

…Chaloux, si c’est bien lui, est en train de réussir à saper (((à juste titre))) l’image de ce blaireau de Bouguereau… Chapeau!

Plus fort que fort le Christian dit: à

Mine de rien… dit: 8 juillet 2014 à 20 h 06 min

Chaloux imite la marionnette de Chaloux.
Deux fois travesti, un record.

Mine de rien... dit: à

Encore raté…Toujours raté…

des journées entières dans les arbres dit: à

Le pablo du 75, c’est simple, selon la formule consacrée qui va devenir cultitissime:
« mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense »

bérénice la vraie dit: à

À ta mort on va t’empailler et te montrer dans le Musée de l’Homme.

Ne vous inquiétez pas Bouguereau la taxidermie connait d’immense progrès, il parait maintenant qu’il décolle la peau de l’animal ainsi c’est beaucoup plus facile de lui faire prendre la pose choisie et si vous désirez ressembler post mortem à Rudolf Khametovitch Noureev dans le lac des cygnes, c’est tout à fait jouable.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=qg29jOazkOo

hamlet dit: à

L’Etranger de Camus est un des plus mauvais livres que j’ai eu l’occasion de lire.
Ce livre d’un lourdingue… j’ai rarement lu un livre aussi lourdingue.
Camus a voulu faire des remakes de Dostoïevski du coup le moment du meurtre est un moment « tragique », et comme c’est tragique on trouve des panneaux lumineux qui, dans les coins, clignotent avec inscrit dessus : « attention ce meurtre est tragique », le soleil, la mer, le type veut partir mais ne repart pas, bien malgré lui, parce que toutes les forces de l’univers sont contre lui, parce qu’il a chaud, qu’il a mal à la tête et que le soleil l’éblouit…
Sûr que Camus n’a jamais fait dans la dentelle mais ce passage c’est le pompon.
C’est pas le Nobel qu’on aurait dû lui refiler c’est le premier prix du lourdingue.

quelqu’un saurait-il par hasard pourquoi Camus était aussi lourdingue quand il écrivait ?

Sartre aussi est lourdingue, mais moins que Camus.

Commentaires de la RDL dit: à

Si les commentaires de la RDL ne servent plus de tribune qu’à des siphonnés comme Alba et Bouguereau, on se demande si Assouline ne ferait pas mieux de les fermer…

hamlet dit: à

extrait :

« J’ai pensé que je n’avais qu’un demi-tour à faire et ce serait fini. Mais toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi. J’ai fait quelques pas vers la source. L’Arabe n’a pas bougé. Malgré tout, il était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l’air de rire. J’ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j’ai senti des gouttes de sueur s’amasser dans mes sourcils. C’était le même soleil que le jour où j’avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. À cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter, j’ai fait un mouvement en avant. Je savais que c’était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d’un pas. Mais j’ai fait un pas, un seul pas en avant. Et cette fois, sans se soulever, l’Arabe a tiré son couteau qu’il m’a présenté dans le soleil. La lumière a giclé sur l’acier et c’était comme une longue lame étincelante qui m’atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d’un coup sur les paupières et les a recouvertes d’un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s’est tendu et j’ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j’ai touché le ventre poli de la crosse et c’est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J’ai secoué la sueur et le soleil. J’ai compris que j’avais détruit l’équilibre du jour, le silence exceptionnel d’une plage où j’avais été heureux. Alors, j’ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s’enfonçaient sans qu’il y parût. Et c’était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. »

si ça c’est pas lourdingue alors qu’on m’explique c’est quoi le lourdingue.

hamlet dit: à

je n’échangerais pas toute l’ouevre de Camus contre la moitié du quart d’un seul épisode de la série « true detective » ou de « the wire », alors ça c’est du lourd, mais pas du lourdingue.

Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s’est tendu et j’ai crispé ma main sur le revolver…

Dieu qu’est-ce que c’est lourd.

hamlet dit: à

qu’est-ce qu’il avait besoin de déballer tout cet attirail, toute cette mise en scène débile pour nous rappeler la condition tragique de l’existence !!!
qu’est-ce que ce mauvais théâtre burlesque de pacotille.

on se croirait dans le plus mauvais film de Sergio Leone !!

quelle misère.

bouguereau dit: à

ta gueule cheuloux tu fais honte aux étoiles

bouguereau dit: à

on se demande si Assouline ne ferait pas mieux de les fermer

on se console de savoir que lassouline sait qui est ce petit ce seulabre on..nonobstant va te faire enculer lassouline

hamlet dit: à

ah la culture ! toute cette duplicité de la culture, toute cette hypocrisie.
suffit de se balader dans les rues d’Avignon pour comprendre ce cynisme de la culture.

les socialistes ont multiplié le nombre de festivals, la fête de la musique, le socialisme a pensé qu’il était possible d’alléger le monde, le monde léger du divertissement culturel, pour vivre dans la légèreté il fallait construire des individus légers, les former à la légèreté, pour qu’ils profitent pleinement de cette ambiance légère festivalière.
le plus grand crime du socialisme est d’avoir ignoré la lourdeur.
pas de bol cette lourdeur leur revient dans la tronche avant même d’avoir eu le temps d’acheter leur billet d’entrée pour la première de Cosi fan tutte… suave sia il vento…

bérénice la vraie dit: à

Hamlet certes vous n’écrivez pas mais comment voyez-vous cette scène, il aura convoqué les éléments qui lui paraissaient propices à ce genre de crime, un meurtre, pas facile quand on a pas tué de se mettre dans la peau du tueur, à cette époque j’imagine qu’on ne les étudiait en vidéo et en cours de psycho-sociologie.

bouguereau dit: à

il parait maintenant qu’il décolle la peau de l’animal

mais bordel béré ça a toujours été comme ça..t’imagines des nosses piqué au formol et le tout bandé à la ramsés ?..tu débarques béré et c’est ton charme

bouguereau dit: à

L’intelligence leur est insupportable…

à graver sur ta ceinture mon cheuloux..et un musée des hommes un peux spèce comme artétékunst c’est un début..pour le reste du look t’reste un peu d’boulot..c’est fastidieux..soigne un peu

hamlet dit: à

redonner la parole à la victime de Meursault.
c’est bien, l’Algérie est sur la bonne voie, c’est comme ça qu’ils règleront leurs problèmes, en redonnant une voix une victime.
vu le nombre de victimes qui croit à chaque minute dans les pays arabes, s’il faut redonner la parole à chacune ils vont avoir un sacré boulot.

une option possible aurait été d’arrêter de faire des victimes.
l’autre option qui a été choisie est continuer à faire des victimes poru donner du boulot aux écrivains, aux historiens et marchands de kalachnokov.

les palestiniens auront leur état bientôt, cet état finira comme tous les autres états arabes, comme la Syrie, l’Irak, L’Egypte, la Libye…

les états sont la première chose à avoir pour faire des guerres civils, pas d’état : pas de guerre civil.
pourquoi privé les palestiniens du sort des irakiens, des syriens, des libyens et des égyptiens ? c’est pas juste.

bouguereau dit: à

ta gueule cheuloux tu fais honte aux étoiles

keupu je voulais dire keupu..ha ça commence a faire un tout un équipage..huhuhuhuuu

bouguereau dit: à

raclure de raclure de raclure de keupu..

Traduisons le bouguereau dit: à

bouguereau dit: 8 juillet 2014 à 20 h 49 min

ta gueule cheuloux tu fais honte aux étoiles

Bouguereau confond les « étoiles » avec les « pastilles » qui ornent ses vieux slips. Pardonnez-lui, Seigneur, l’a pas grand-chose dans le ciboulot…

Bouguereau poète... dit: à

bouguereau dit: 8 juillet 2014 à 21 h 01 min

ta gueule cheuloux tu fais honte aux étoiles

Bouguereau t’aurais du écrire pour l’eurovision…

JC..... dit: à

Hamlet,
Une fois de plus, tu vois juste, …et loin. Facile chez les aveugles !

Ecrasons le dit: à

bouguereau dit: 8 juillet 2014 à 21 h 01 min

keupu je voulais dire keupu..ha ça commence a faire un tout un équipage..huhuhuhuuu

+ bouguereau la grosse mouche à bœufs…

bérénice la vraie dit: à

Bougue je pensais qu’étaient conservés les tarse et métatarses, les carpes et le canal qui va avec, je suis confuse et vraiment désolée.

hamlet dit: à

« bérénice la vraie dit: 8 juillet 2014 à 20 h 53 min
Hamlet certes vous n’écrivez pas mais comment voyez-vous cette scène »

merci bérénice de me poser la question, je n’aurais pas osé mais puisque vous me le demander je vais vous dire comme il aurait fallu écrire cette scène.

J’aurais plutôt vu Meursault assis sur une chaise, à la terrasse d’un bar au bord de la plage. Là une mouche tourne autour de lui, elle l’agace. Lui on le voit dégoulinant de sueur. Il s’évente avec son chapeau. La mouche continue de l’embêter. Et d’un coup il sort son révolver et hop ! il colle le canon de son arme sur la table là où la mouche s’est posée. D’un geste il place son pouce dur le canon et il l’approche de son oreille pour entendre la mouche bourdonner à l’intérieur.
Là l’arabe débarque dans le bar. Et le temps ralentit. On voit leurs regards, à chacun, on passe d’un regard à l’autre et on comprend qu’il va y avoir du grabuge. Avec l’aérateur qui tourne au plafond, comment on appelle ce truc, l’espèce de climatiseur à ailettes, vous voyez le genre ? Là avant même qu’on ait le temps de dire ouf, l’arabe dégaine son couteau, il le prend par la lame et le lance sur Mursault, qui a le temps de se rouler par terre, on voit le couteau hop ! se planter sur la chaise là où il était assis, et Meursault tout en faisant des roulades sur le sol tire avec son pistolet, il tire il fait une roulade, il tire il fait un roulade, on le voit rouler à la même vitesse que le climatiseur à hélice, pour faire un effet de synchronie..

au niveau du tragique ça tient mieux la route, ne serait-ce que le moment ou Meursault cloque la mouche à l’intérieur du canon de son révolver, ça c’est tragique, surtout pour la mouche.

bérénice la vraie dit: à

Votre écriture est cinématographique, facile de proposer le temps ralentit, en littéraire ça donne quoi?

hamlet dit: à

pour entendre la mouche bourdonner

désolé, c’est le bourdon qui bourdonne bien sûr.
la mouche elle mouchonne.

hamlet dit: à

bérénice la vraie dit: 8 juillet 2014 à 21 h 20 min
Votre écriture est cinématographique, facile de proposer le temps ralentit, en littéraire ça donne quoi?

le ralenti en littérature ?
vous vous foutez de moi ?
en vitesse réelle : il tourne, il tourne…
au ralenti : i..l to..ur..ne i..l tr..ou..rn.e..

si vous ne savez pas ce genre de chose je ne vois ce que vous foutez ici.

hamlet dit: à

« Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s’est tendu et j’ai crispé ma main sur le revolver… »

c’est même pas lourdingue c’est burlesque.

hamlet dit: à

« Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. »

même Begaudeau il écrit pas comme ça.
on se croirait dans un peplum des années 50 : Maciste contre les Géants.

hamlet dit: à

Monsieur Assouline vous pourriez demander à vos intervenants d’être sérieux deux minutes, de retrouver le sens du tragique.

il est où Alba ? lui il sait ce que c’est le Tragique de l’existence, il a même lu Clément Rosset, et aussi Bouvard et Pecuchet, comme chacun sait le livre le plus tragique de Flaubert, il y décrit l’homme perdu dans l’univers du savoir illimité, le tragique de la condition prométhéenne de l’homme dans Bouvard et Pecuchet, ça c’est pas lourdingue.

Closer dit: à

« Si tu connaissais l’Ésotérisme, tu ne serais pas étonné. Tout ce qui arrive dans cette partie du monde (Israel, Syrie, Irak, Iran) et, surtout, tout ce qui va arriver, a été annoncé il y a bien longtemps. Ceux qui croient que l’histoire du monde est celle qui racontent les manuels d’histoire sont bien naïfs…etc »

Pablo, arrête tes conneries! D. a le monopole de l’ésotérisme et de la communication avec les extra-terrestre et les univers parallèles. Tu n’es tout simplement pas crédible…

renato dit: à

Ce fut la fête de Valéry, de Gombrowicz, et maintenant Camus. C’est l’âge des déboulonneurs ?

des journées entières dans les arbres dit: à

je lui dois quelque chose à Sirius ?
Il a lu ce qu’en pense Haroun de ce duel au soleil, de cette poèsie sur la plage ?!

Daaphnée dit: à

Israël/Palestine .. suite de la catastrophe .
Cette fois-ci, dans ce énième embrasement, ce sont des gamins assassinés, brûlés .. 3 à 1 au départ, dont le massacre met le feu aux poudres ..

Petit rappel:
« Peu de détails ont filtré sur l’identité et le profil des six suspects arrêtés, dimanche 6 juillet, dans l’enquête sur le meurtre de Mohammed Abou Khdeir. Le Palestinien de 16 ans, enlevé dans le quartier de Chouafat, à Jérusalem-Est, dans la nuit du 1er au 2 juillet, a été retrouvé mort dans une forêt à Jérusalem-Ouest, le lendemain. Une interdiction de publication a été imposée aux médias par la justice israélienne, à la demande du Shin Bet, l’agence de sécurité intérieure, qui enquête sur ce meurtre.
Dimanche, l’interdiction de publication a été partiellement levée pour annoncer l’arrestation de six suspects par la police israélienne. Selon les informations données par la police, les suspects sont de jeunes hommes de confession juive. Certains sont mineurs. La police a estimé que le meurtre avait, selon toute vraisemblance, un mobile nationaliste. Ses auteurs présumés auraient enlevé et tué Mohammed Abou Khdeir pour venger la mort de Eyal Yifrach (19 ans) Naftali Frankel et Gilad Shaer (16 ans), enlevés le 12 juin et retrouvés morts près d’Hébron, en Cisjordanie, le 30 juin.  »
le monde
http://www.lemonde.fr/international/article/2014/07/07/meurtre-a-jerusalem-les-premiers-elements-de-l-enquete_4452669_3210.html
Et, depuis, c’est l’escalade ..
Bref.

Je me demande si lorsque deux peuples sont incapables de circonscrire ces tueries d’enfants, à la folie de qqs individus ;
je me demande, donc, si ce n’est pas le début de l’effondrement final de ces deux peuples .

J’ai l’impression que leur Dieu mauvais finit de les abandonner .

Daaphnée dit: à

Finalement, ce massacre juif/musulman est l’aboutissement de la Shoah.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…pour être à personne!,…se donner à tout le monde!,…

…qu’est ce qu’elle dit!,…elle veut entrer dans les ordres!,…sa gloire en tête!,…etc!,…

…le prétexte!,…qu’il est génial!,…un élevage!,…pour leurs faire porter le chapeau!,…c’est la faute à Mathieu!,…

…mes compagnons!,…de classe!,…chacun dans son trou perdu!,…
…avec ses billets de Lotto!,…l’espoir fait vivre,…et mourir! plus vite encore!,…
…etc!,…Ah!,…

Daaphnée dit: à

Comment disiez-vous, U. je crois .. qu’on ne fait que des choix politiques ?
Qu’on ne peut faire QUE des choix politiques.
Et l’identification à la religion, est LA catastrophe annoncée.
La « Shoah » n’en était que le début.

des journées entières dans les arbres dit: à

daaaphnée vaut mieux pas qu’elle souffle dans la ballon. Qu’elle se contente d’essayer de taper dedans serait déjà un exploit footballistique.

Daaphnée dit: à

Ma pauvre Desjournées, depuis le temps que vous perdez la boule ..
Quelqu’un aura bien la générosité de vous renvoyer votre petit ballon ..

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…Maciste contre les géants!,…ou le voyage d’Ulysse!,…de retour tout seul!,…

…plus facile pour Homère, de finir son roman à glands de Troie!,…et, la toison d’or!,…mon chéri!,…
…chacun son job,…à en dé-coudre!,…dans l’esprit-matière!,…les en-jeux sont faits & crédibles au crépuscule hors-champs !,…
…Ah!, les liens à Mathilde et sa tapisserie de la bataille d’Hasting ,…Guillaume II joies, son art du seigneur-brigand,!,…
…etc!,…

Sirius dit: à

Rien du tout des journées! C’était juste pour causer…Qu’est-ce qu’il a écrit Haroun? Quel Haroun?

des journées entières dans les arbres dit: à

Sirius dit: 8 juillet 2014 à 22 h 30 min
Haroun, le frère de Moussa, Sirius.
Faut suivre un peu, quoi.

Widergänger dit: à

Avec votre jugement « lourdingue », mon pauvre hamlet, vous n’auriez pas le bac ! C’est précisément le passage du roman que les élèves ont à expliquer pour l’oral du bac très souvent. Je l’avais déjà quand j’ai passé le bac. Mais je suis tombé sur « Mon rêve familier » de Verlaine, et j’ai eu 15/20.

Le bac fait dans le léger dit: à

Widergänger dit: 8 juillet 2014 à 22 h 44 min
C’est précisément le passage du roman que les élèves ont à expliquer pour l’oral du bac très souvent.

En quoi est-ce une preuve de non-lourdinguité ?

Rattrappage dit: à

Widergänger dit: 8 juillet 2014 à 22 h 44 min
C’est précisément le passage du roman que les élèves ont à expliquer pour l’oral du bac très souvent. Je l’avais déjà quand j’ai passé le bac

Vous avez passé l’oral ML ?
Je croyais que vous étiez Top premier en tout.

.D dit: à

Mon pauvre Sant’Angelo, je trouve que vous vous exprimez bien souvent pour ne pas dire grand chose au fond.

.D dit: à

Ma pauvre Daaphnée, j’ai le pressentiment que vous n’aurez jamais la chance de croiser mon chemin dans la vraie vie. Tant pis pour vous.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…a ne rien comprendre!,…football!,…Brésil-Allemagne; 0 – 5 ; pour l’Allemagne!,…

…c’est plus du football,…c’est du Casino!,…Banco!,…
…& la partie , n’est pas encore fini!,…
…ouf!,…pas d’extra-time & pénaltis,…pour une fois!,…quel carnaval de buts!,…
…Oui!,…presque du style D.D.R.,…contrôle pipi!,…édulcoré!,…un doute!,…au jus d’orange gazeuze!,…
…Jupiler sans l’Ally!-Ah!-l’€au!,…
…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…enfin!,…
…etc!,…

.D dit: à

Mon pauvre Bouguereau, c’est pas demain la veille que les gode-ceinture seront pris en charge par la sécurité sociale à 100 %

bérénice la vraie dit: à

Le Bac français comportait deux épreuves, 1 écrite, 1 orale; les choses ont-elles évolués, rattrapage?

Sergio dit: à

hamlet dit: 8 juillet 2014 à 20 h 38 min
j’ai crispé ma main sur le revolver…

C’est quand même un peu louche. Tout le bouquin là-dessus, seulement l’on ne crispe pas les mains sur les revolvers comme cela. D’autant que c’est lourd, ça tire les vêtements, c’est quand même, à moins d’en avoir une habitude avérée, un sacré emmerdement. Alors en plus dégommer son client quasiment sans le faire exprès, cela nécessiterait au moins un chapître.

bérénice la vraie dit: à

évolué, décidément je ne passerais plus le stade du Bac.

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