de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
L’Autre de « L’Etranger »

L’Autre de « L’Etranger »

Faut-il être gonflé pour s’emparer de L’Etranger et le détourner ! Un classique moderne par excellence, régulièrement placé en pole position des listes « mundial » des « 100 meilleurs livres du XXème siècle » et autres Jeux Olympiques littéraires, traduit en quarante langues et porté à l’écran par Luchino Visconti, figure imposée à tout lycéen de langue française, une oeuvre qui a résisté et survécu à l’avalanche d’exégèses universitaires qu’elle a suscitée… Kamel Daoud a osé et il a bien fait. Son Meursault, contre-enquête (153 pages, 19 euros, Actes sud), premier roman après deux recueils de nouvelles (écrit en français et non en arabe, faut-il le préciser?) est impressionnant. Le fameux incipit de Camus « Aujourd’hui, maman est morte » se traduit chez Daoud par un « Aujourd’hui, M’ma est encore vivante ».

Il a voulu prolonger cette histoire en faisant un pas de côté, la raconter à nouveau mais d’un point de vue décalé, qui aurait pu être celui de Marie Cardonna, petite amie du narrateur  ou celui de Raymond Sintès, son voisin, ou même ceux de personnages secondaires tels que les responsables de l’asile où vivait et où est morte sa mère, ou encore ceux du juge ou de l’avocat. Aucun d’eux. Le romancier a choisi, et là est son coup d’éclat, le point de vue d’un personnage essentiel mais qui y est nié dans son humanité même tout au long de L’Etranger. Il n’est qu’un au sein d’un groupe d’Arabes. C’est l’Autre de L’Etranger, l’Arabe sans nom. Il lui rend son identité. Ce n’est pas lui raconte puisqu’il est mort assassiné mais, longtemps après, son frère âgé désormais, qui vit à Oran auprès de leur mère avec laquelle il est en conflit permanent tant elle le chosifie, lui le célibataire sombre, mutique, lâche, dans cette ville moche et solaire, complexée par l’orgueil algérois, l’endroit le plus éloigné du désert et l’unique issue vers la mer. Il est le frère du mort, c’est son statut.

Reprendre  l’enquête à zéro, ce qui revient à s’interroger sur l’absence d’enquête, c’est partir à la recherche d’un corps perdu. Retour sur l’affaire : en Algérie française (le livre est paru en 1942 chez Gallimard dans la France occupée avec un visa de la censure allemande), Meursault, pied-noir sans prénom qui vient d’enterrer sa mère sans état d’âme, va se promener, puis nager avant d’aller au cinéma voir un film avec Fernandel avec sa nouvelle petite amie. Le lendemain, un dimanche, il se ballade sur la plage avec deux copains dont un proxénète, quand le trio croise un groupe d’Arabes avec lequel ce dernier est en querelle. Une rixe à l’arme blanche s’ensuit. Peu après, Meursault retourne sur la plage, seul cette fois. Un Arabe sort un couteau. Ebloui par le reflet du soleil sur la lame, Meursault l’abat d’une balle de pistolet. Puis s’approche du corps et l’achève de plusieurs balles. La seconde partie du roman est consacrée au procès ; l’avocat de l’accusé a du mal à soutenir la thèse de la légitime défense, et pour cause ; l’accusé lui-même, qui paraît étranger à son jugement comme il l’était déjà au monde, n’incrimine que le soleil.  Comme si la chaleur dégagée avait annihilé toute raison, la sueur l’engluant dans un état second, laissant la voie libre aux instincts les plus sauvages.tanger (61)

C’est sa manière de tenir la vérité pour un absolu. Une parodie de procès au cours duquel on lui reproche plus d’être indifférent à la mort de sa mère que d’avoir tiré sur un Arabe sans visage ni paroles qui faisait la sieste sur la plage. Et puis d’abord, que faisait-il au juste sur cette plage ? Fataliste, froid dans l’inventaire des actes dont l’enchaînement l’a conduit à tuer un homme, il semble déserté par toute volonté de résister à l’inéluctable, comme résigné. Distant par nature, il n’a jamais joué le jeu, et il continue, par refus du mensonge. En marge de la société, il le demeure encore alors que sa vie tient à un fil. Au plus profond de sa solitude, se reconnaissant coupable mais pas responsable, impassible face à la souffrance annoncée, celle de l’attente et du doute, il est condamné à la peine de mort et promis à la guillotine.

Kamel Daoud (Mostaganem, 1970) a donc déconstruit du long monologue de Meursault qui constitue le roman de Camus pour mettre celui-ci face à ses contradictions, ses trous de mémoire, ses blancs. Le soleil est omniprésent, comme la plage ; d’ailleurs, après avoir longtemps illustré ses couvertures de L’Etranger de manière platement figurative avec un solitaire, un esseulé, un isolé sur une plage, Folio, qui a choisi des tableaux de Nicolas de Staël pour illustrer toutes les œuvres de Camus a pris Figures au bord de la mer pour L’Etranger ; sur celle de Meursault, contre-enquête, assez réussie, un homme saisi par en plongée par l’objectif marche au bord de la mer,, mais on ignore s’il s’agit de Meursault, du narrateur ou de l’auteur. Il est vrai que Kamel Daoud déplace la perspective de l’absurde en la replaçant dans une autre vie que la sienne, celle de son frère, l’Arabe innommé. Qui avait un nom d’accident et aurait pu s’appeler « Quatorze heures ». Pour lui, il y a bien eu deux morts, et l’autre, il l’appellera Moussa pour lui redonner vie plus d’un demi-siècle après. Toujours plus facile de tuer un homme sans identité. Quant à son Meursault, c’est un Roumi, un étranger qui incarne tous les colons obèses et exploiteurs, même s’il n’est ni colon ni obèse, excès et caricature que l’auteur revendique, naturellement. Ce paragraphe donne une idée du ton :

« Récapitulons : on a là des aveux, écrits à la première personne, sans qu’on ait rien d’autre pour inculper Meursault ; sa mère n’a jamais existé et encore moins pour lui ; Moussa est un Arabe que l’on peut remplacer par mille autres de son espèce, ou même par un corbeau ou un roseau ou que sais-je encore ; la plage a disparu sous les traces de pas ou les constructions de béton ; il n’y a pas eu de témoin sauf un astre – le Soleil ; les plaignants étaient des illettrés qui ont changé de ville ; et enfin, le procès a été une mascarade, un vice de colons désoeuvrés. Que faire d’un homme que vous rencontrez sur une île déserte et qui vous dit qu’il a tué, la veille, un vendredi ? Rien »

Hanté par son double comme on l’est par un fantôme, l’auteur/narrateur se sent comme étranger à L’Etranger, dont quelques brefs extraits surgissent en italiques. Il finit par avouer son propre crime : dans la journée du 5 juillet 1962 à Oran, alors que des manifestants algériens fêtent l’indépendance de leur pays en massacrant au hasard ou enlevant pour les exécuter quelque 700 Européens sous les yeux des 18 000 soldats français, corps d’armée qui a reçu l’ordre de garder l’arme aux pieds, il tue Joseph, un pied-noir venu chercher refuge dans sa maison dans l’espoir d’échapper au lynchage. Dès lors, pour lui, la vie n’est plus sacrée. Ce qu’il a fait, il l’a fait tant pour venger l’Autre de L’Etranger et ainsi « faire contrepoids à l’absurde de notre situation » que pour se racheter aux yeux des siens : durant les événements, alors qu’il n’avait pas 30 ans, il n’a pas rejoint les moudhahiddines dans le maquis, mais il n’a pas non plus collaboré avec les colons. Dès lors, il n’est rien, même pas un traître. Juste un fonctionnaire à l’Inspection des douanes qui aura longtemps porté ce secret.

Cette histoire a été écrite par un cadavre, aussi révolté que son assassin était passif. Un cadavre qui prétend en être réduit à cet état de corps inerte par le moyen d’un meurtre et non par l’effet d’une insolation. La phrase de Kamel Daoud est aussi coupante, sèche, nerveuse, que celle de Camus s’est voulue blanche et neutre. L’une comme l’autre irradient d’un soleil brûlant d’Algérie, mais chacun la sienne, même si les deux ont une certaine lumière en commun. Sauf que Meursault, contre-enquête est également éclairé par une réflexion de Cioran placée en épigraphe :

 « L’heure du crime ne sonne pas en même temps pour tous les peuples. Ainsi s’explique la permanence de l’histoire ».

Grâce à Kamel Daoud, l’Arabe de L’Etranger d’Albert Camus a désormais un nom, un visage, une âme.Son frère de papier lui a donné une voix. Il existe enfin.

(Photo André Kertész, courtesy Attila Pocze, Vintage Galeria, Budapest, et photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

1061

commentaires

1 061 Réponses pour L’Autre de « L’Etranger »

hamlet dit: à

extrait :

« Pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai pensé à maman. Il m’a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d’une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. Là-bas, là-bas aussi, autour de cet asile où des vies s’éteignaient, le soir était comme une trêve mélancolique. Si près de la mort, maman devait s’y sentir libérée et prête à tout revivre. Personne, personne n’avait le droit de pleurer sur elle. Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. Comme si cette grande colère m’avait purgé du mal, vidé d’espoir, devant cette nuit chargée de signes et d’étoiles, je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore. Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine. »

c’est du Darrieussecq ?

ben non c’est du Camus….

hamlet dit: à

« ….parce que le procureur s’est mis à parler de mon âme.
Il disait qu’il s’était penché sur elle et qu’il n’avait rien trouvé, Messieurs les jurés. Il disait qu’à la vérité, je n’en avais point, d’âme, et que rien d’humain, et pas un des principes moraux qui gardent le cœur des hommes ne m’était accessible. « Sans doute, ajoutait-il, nous ne saurions le lui reprocher. Ce qu’il ne saurait acquérir, nous ne pouvons nous plaindre qu’il en manqué. Mais quand il s’agit de cette cour, la vertu toute négative de la tolérance doit se muer en celle, moins facile, mais plus élevée, de la justice. Surtout lorsque le vide du cœur tel qu’on le découvre chez cet homme devient un gouffre où la société peut succomber. » C’est alors qu’il a parlé de mon attitude envers maman. Il a répété ce qu’il avait dit pendant les débats. Mais il a été beaucoup plus long que lorsqu’il parlait de mon crime, si long même que, finalement, je n’ai plus senti que la chaleur de cette matinée. »

épreuve du bac de français 2014 :
question qcm.

qui est l’auteur de ce texte ?
1 Regis Jauffret
2 Français Begaudeau
4 Albert Camus
5 Amelie Nothomb
6 Anne Gavalda

vous avez 10 mn.
C’est ML qui corrige.

hamlet dit: à

« parce que le procureur s’est mis à parler de mon âme.
Il disait qu’il s’était penché sur elle et qu’il n’avait rien trouvé, Messieurs les jurés. Il disait qu’à la vérité, je n’en avais point, d’âme, et que rien d’humain, et pas un des principes moraux qui gardent le cœur des hommes ne m’était accessible. »

c’est pas possible, on a pas le droit de massacrer Dostoïevski de cette sorte là.
il devrait y avoir une loi pour interdire ce genre de chose.

Nietzsche aussi a lu Dostoïevski et il en a pondu la généalogie de la morale.

résultat des courses les allemands eux ils ont planté 7 buts aux brésiliens.
mon Dieu quelle misère.

bouguereau dit: à

Il disait qu’il s’était penché sur elle et qu’il n’avait rien trouvé

dis donc dracul..t’as copié..hof je te pardonne vu qutu sais pas cque tu fais mais fait taire ce keupu envoie lui les einzatsgroupen à cheuloux qu’on raté jean marron

Widergänger dit: à

Il faudrait que vous veniez suivre mes cours, hamlet. Vous verriez que ces passages sont savamment construits avec toute une rhétorique de l’argumentation qu’on décortique avec les élèves. Avec un emploi très concerté du style direct, indirect et indirect libre pour démonter le discours de la justice afin de démontrer « l’injustice de la justice ». Un travail très minutieux de la part de Camus, qui a dû lui prendre du temps pour bien le fignoler. C’est une espèce de fine dentelle rhétorique. Mais très efficace. Du bel art !

C’est comme Les petits poèmes en prose, de Baudelaire. C’est infiniment difficile à lire pour des élèves, je crois que je vais renoncer parce que ça demande trop de culture. Un poème comme « Confiteor de l’artiste » par exemple ne peut se comprendre véritablement que si on le lit en opposition à toute la poétique de Victor Hugo, à la poétique de l’infini hugolienne, à laquelle Baudelaire oppose une poétique de l’échec. C’est fait de manière très lucide chez Baudelaire mais c’est quasiment invisible dans le texte lui-même si on ne comprend pas à quoi se réfèrent certains mots qu’il emploie volontairement comme « infini » et « vaincu »/Victor. C’est sacrément bien foutu et drôlement savant. Bon nombre de poèmes en prose sont ainsi écrit comme des déconstructions de la poétique de Hugo et de poèmes en vers de Baudelaire dédiés à Hugo. Par exemple Le Cygne/La femme sauvage et la petite maîtresse. Lire Baudelaire demande un travail énorme de décryptage. Trop difficile pour les élèves.

bouguereau dit: à

pour vous qui débordez à ne plus savoir où quand à qui distribuer vos dividendes

..c’est rapport à mes ancêtres les même que gaga..y parait que si on retrouve de leur or c’est qu’il l’ont jeté dans les rivières

bouguereau dit: à

Un travail très minutieux de la part de Camus

jean marron dit vrai, c’est son meilleur hands daoune..c’est terribe ce fatom des meilleurs moraliss à avoir à servir le mal comme dirait dédé

Widergänger dit: à

La perplexité de hamlet devant les extraits de L’Etranger de Camus montre une fois de plus combien il est difficile de lire de grands auteurs qui demandent finalement, pour bien en saisir la portée, une grande culture et de bons outils de lecture que procure l’Ecole. Sans cela, on passe à côté de ces grandes œuvres et on y lit que sottise, reflet de Narcisse et de la sienne propre… Lire Camus demande sans doute un effort mais dont on est récompensé si on y consent. Mais avec la petite bourgeoisie inculte et fière de l’être, c’est la grande littérature qui risque de sombrer corps et bien.

Widergänger dit: à

Sarkozy est l’incarnation même de cette petite bourgeoisie inculte et fière de l’être. Sa référence est Houellebecq, typique de la petite bourgeoisie inculte, arrogante, décadente, tourné vers le passé, prête à mettre toute la culture (pensons à La Princess de Clèves) aux poubelles de histoire. C’est une classe sociale en plein désarroi, qui n’a pas de repère, qui est revancharde, qui ne pense qu’à piétiner ce qui existe pour faire valoir sa médiocrité qui flotte dans un vide sidéral. Sarkozy a beau avoir le mon de qui lui tombe sur la tête, comme incarnation de cette petite bourgeoisie qu’il fascine quoique lui appartienne à une tout autre classe sociale, la classe des nouveaux très riches qui s’est enrichie sur le dos de la petite bourgeoisie depuis une bonne trentaine d’années, — il y a de quoi se faire du souci pour notre avenir.

des journées entières dans les arbres dit: à

@hamlet, le qcm de 18h34
-la réponse est :1
pour le repentir de régis, bas de casse, à cause de cette pauvre Charlotte. Il doit expliquer son crime à la mère.
-mais on peut répondre 2, aussi c’est à cause de l’histoire d’Idrissa qui prend le CPE pour Dieu et d’Oussama qui sait lire les signes des corbeaux.
Les choix de réponse 5 et 6, c’est pour une autre question qui n’est pas posée.

question subsidiaire restée en supens :
Je ne comprends pas pourquoi pablo du 75 ne répond pas à la question de sciences nat’ sur les dinosaures du parc jurassique.
A mon avis il est confronté à un dilemme pascalien. En symbole ésotérique, c’est Pa. Il a la pression, quoi.

Confusion des genres dit: à

bouguereau dit: 9 juillet 2014 à 18 h 57 min

L’étron qui se prenait pour un balai de garde-robe.

Pablo75 dit: à

@ des journées entières dans les arbres

« Les dinosaures existaient-ils il y a 5722 ans ? La réponse du rabbi des Loubavitch à Crichton et Spielberg ».

Hou là ! Tu t’essaies à l’humour juif?

des journées entières dans les arbres dit: à

@Pablo75 dit: 9 juillet 2014 à 19 h 32 min
répondez à la question au lieu de finasser.

Bihoreau de Bellerente dit: à

«Widergänger 9 juillet 19 h 23» Difficile d’en disconvenir, mais ce qu’il y a de pire chez le Nain teigneux, et à la fois pathétique, c’est ce besoin de tout rafler, afin de convaincre les autres mômes de la cour d’école qu’il n’est pas le petit tas de merde qu’ils semblent croire. Son affligeante vulgarité, sa toute aussi pénible grossièreté, et ce réflexe de blâmer tout le monde pour ses propres turpitudes, voilà assez pour le confiner au dernier sous sol de l’Histoire.

Et bien non: la droite carnassière est prête à se redonner à lui afin de chasser les socialistes. Grand Dieu, quand les gaullistes auront-il le courage de choisir quelqu’un de méritoire, dont au moins les Français n’auront pas honte? Le mépris que ressentait Obama pour le Nain était tel que ça me dérangeait.

Je sais bien que de nos jours les grandes personnalités politiques sont rares tant la fonction est dévalorisée, mais il y a des limites. Français, réveillez-vous!

renato dit: à

Enfin, desjournées ! année 1 : 6 octobre 3761 Ante Christum Natum. C’est pueril.

Abdelkader dit: à

Quand je vais aux USA ou en Amerique du Sud, je peux voir les traces de ce traffic Immonde…les Caraibes aussi, francaises, anglaises ou espagnoles…en Afrique du Nord, il sont ou les noirs, pretendument traffiques?il y’a une minorite en Algerie de noirs, au Sud et au nord ouest, du cote d’Oran…je ne les ai pas comptes mais c »est une minorite…dans le reste du monde arabe, pareil…alors ils sont ou ces esclaves? Chez les arabes et les maures, l’esclavage etait de l’artisanat…chez les Europeens, c »est devenu une industrie lourde dont les fruits on permis de batir toutes ces belles cites…voila, j’ai pas trop le temps…y’a du foot, qui est bien plus interressant que ces exercises en masturbation intello, si apprecies par certains ici, quand il n’appellent pas au meurtre genocidaire des palestiniens…ciao et vogue la galere, mes braves…

Abdelkader dit: à

Y’en a que ca derange cette histoire de sequelle? Pourquoi donc? Perso, je pense que ca en dit des masses sur eux…bien plus que sur ce bouquin…je suis a Paris pour la finale et j’entends l’acheter et vous donnerai mon avis quand je l’aurai lu, comme d’hab…mais ca va pas se passer demain hein…j’ai la rubrique litteraire du catalogue d’ête Black &Decker a finir d’abord…bien plus interressante, je l’avoue, que les eructions instruites des reguliers du moulin….

Chroniques de mon balcon dit: à

Abdelkader, les Arabes ils ne les gardaient pas particulièrement pour eux, les esclaves, c’était juste pour le business, de la marchandise, rien de plus.

Widergänger dit: à

Abdelkaka est dans la névrose du déni. Il préfère le foot. Arrabal a déjà tout dit à ce sujet…

Widergänger dit: à

Le problème, Bihoreau, c’est que nous sommes au dernier sous-sol de l’histoire. C’est ça qui fait peur. C’est de ce sous-sol que peuvent surgir les monstres, à tout moment.

hamlet dit: à

« Widergänger dit: 9 juillet 2014 à 19 h 10 min
La perplexité de hamlet devant les extraits de L’Etranger de Camus montre une fois de plus combien il est difficile de lire de grands auteurs qui demandent finalement, pour bien en saisir la portée, une grande culture et de bons outils de lecture que procure l’Ecole.  »

ML, je l’avoue, je le confesse, je n’ai pas mon bac, à cause de l’épreuve de français, ils nous avait donné un extrait de l’Etranger de Camus à commenter.
l’épreuve durait 2 heures.
pas de bol en lisant le texte j’ai pris un fou rire qui a duré 2 heures, je n’arrivais pas à écrire un mot tellement j’étais mort de rire.
remarquez bien que j’en ai gardé un très bon souvenir.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…bon, de petites satisfactions personnelles!,…
…à la recherche des techniques de la sculpture miniature sur pierres et monnaies!,…( quelle salade de fruits à l’heure actuelle ),…? mouler / frapper!,…
…a la mode de chez-nous!,…
…sans parlez du style ( encore là!,…celui là!,…)de quelle époque!,…

…tu a voulu voir Vierson , on a vu Vesoul,…comme toujours!,…Jacques Brel!,…

…honnêtement la qualité des reliefs à baissé!,…depuis l’antiquité,…
…nous en somme ! déjà,…à l’époque des pré-vandales!,…aux champs!,…etc!,…

…Ah!,…j’oubliai  » c’est Moderne « ,…etc!,…les tire à flancs!,…etc!,…

Hélas ! dit: à

« Chez les arabes et les maures, l’esclavage etait de l’artisanat…chez les Europeens, c’est devenu une industrie lourde dont les fruits on permis de batir toutes ces belles cites… »

Pauvre garçon…. c’est un malade ! On dirait « mental » si on avait pas trouvé le vide parfait dans la boite, là-haut, avec les cheveux dessus… sous la casquette sale.

Confusion des genres, encore! dit: à

Widergänger dit: 9 juillet 2014 à 20 h 01 min

Le problème, Bihoreau, c’est que nous sommes au dernier sous-sol de l’histoire.

Ne pas confondre le dernier sous-sol de la pensée dont Alba est un digne représentant, avec le dernier sous-sol de l’histoire.

Mme Michu dit: à

le rire c’est la politesse d’un truc, mais halors…

Où collé à ta mémère de transsubstitution t’as pas l’air très fin…

Bihoreau de Bellerente dit: à

Je ne crois pas que nous en soyons au dernier sous-sol de l’Histoire, en France ou dans le monde. Autrefois, le hasard génétique ou la force des conquêtes nous donnaient des princes sages ou détestables alors que la démocratie nous fait choisir des princes plus ou moins assoiffés de pouvoir, pouvoir qui leur permet de séduire des femmes prestigieuses, afin de faire chier les petits cons qui se moquaient d’eux dans la cour d’école. Il y a les de Gaulle, les Roosevelt, les Obama et je laisse à tous le soin de compléter. Puis il y a les sans foi ni loi pour qui le gagnant dans la vie c’est celui qui a mangé le plus de bonbons. Berlusconi en est le parfait exemple. Les grands bourgeois ont au moins le mérite de bien se tenir à table et de ne pas faire étalage de leurs biens. Ils doivent payer leurs impôts et ne pas ajouter aux misères du monde. Tant mieux si ils allègent le fardeau de l’humanité, et si ils élèvent ce qui nous tient lieu d’âme. À cette aune, Charles Trenet est un saint.

Lecteur occasionnel dit: à

berenice,la difference entre vous et reine du Chat , c’est que la lire est un regal;vos posts suintent la petitesse envieuse et frustree.vos pleurnicheries nocturnes appelant D. a faire attention a vous sont obscenes

Vous n’avez pas grand-chose a dire.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…des journées à 20 h 51,…

…oui!,…je connais tout çà,…c’est tout des pauvres crétins du profits!,…juste bon à faire sécher leurs propres peaux au soleil,…pour parchemins!,…

…et! les méthodes de torture, etc!,…et, les qui vendent leurs mères, leurs familles,…
…et, tout les systèmes de peuplements des Amériques & Australie,…
…et le commerce des filles d’Angleterre vers l’€urope!,…et dans les café-bordels du monde,…tient,…enrichissez – vous!,…

…j’ai touché a rien!,…gouinffrez vous en!,…a ce seuil d’abjection!,…

…je n’irai pas recollez les morceaux,…

…à champs de vair,…du contre-vair appointé!,…

…c’est d’un crasseux,…obscurantisme!,…
…à ne faire que des avortements avec ces nouveaux-riches des haines-gratuites!,…de connivences!,…
…l’esclavage!,…que grand-bien vous fasse!,…vous en aurez, pour votre argent!,…
…c’est bio-éthique inévitable, café Batard!,…

…nos gens du châteaux se la coule douce!,…
…avec, quelques of course en partage,…mon château est le leurs!,…on danse et on rit!,…
…l’esclavage du plaisir de voir des gens heureux!,…contre vents et marées!,…etc!,…bandes d’abrutis!,…

aher de bassan dit: à

47 47 47 47 47 47 47

renato dit: à

Et ils appellent ça l’été !

aher de bassan dit: à

ordi a pris l’eau

Sergio dit: à

des journées entières dans les arbres dit: un nami

Ausgezeichnet ! Dieu me préserve de mes namis et caetera…

aher de bassan dit: à

I ill
good bye

bouguereau dit: à

je ne les ai pas comptes mais c »est une minorite…dans le reste du monde arabe, pareil…alors ils sont ou ces esclaves?

sapré gaga.. »prouve le »..
bouguereau dit: 9 juillet 2014 à 16 h 40 min

Sergio dit: à

Abdelkader dit: 9 juillet 2014 à 19 h 56 min
catalogue d’ête Black &Decker

Ha non la Revue mototechnique c’est peut-etre des centaines de milliards de fois mieux… Sans compter que comme d’été y en a pas, les catalogues d’été ils font comme les chats, ils s’en vont avant d’arriver…

bouguereau dit: à

Les grands bourgeois ont au moins le mérite de bien se tenir à table et de ne pas faire étalage de leurs biens.

la politesse est l’organisation de l’indifférence byo..la politesse a une histoire..évidemment

bouguereau dit: à

les esclaves, c’était juste pour le business, de la marchandise, rien de plus.

..ignorant

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…bouguereau,…mais, à cette heure-ci,…
……..vous ne faite pas  » dodo « ,…d’habitudes!,…ou je con-fond avec Ô’Twist!,…etc!,…just pour rire!,…
….

rose dit: à

exode

bérénice dit: à

Effectivement lecteur occasionnel je trouve également que ça manque d’imagination néanmoins je ne pleurniche pas la nuit ni ne mendie l’attention de D .

rose dit: à

je suis aussi pour la poésie du gérondif.
Pourtant, néanmoins, toutefois […]
Mais, si vous me dites Steiner, je pense piano, blanc à demi-queue (un queue entière ne rentre pas dans le salon, c’est tout, pas la peine d’insister) laqué blanc.
Puis, Rudolf Steiner des jardins d’enfants pour instiller l’humain dans l’homme, (instiller le civilisé) (bon : grand retour en arrière, mais c’est pour précéder une belle accélération) spécialiste de Goethe et proche de Maria Montessori que j’admire beaucoup.

Mais, je n’ai pas lu Steiner ni Minaudier ni l’étude sur les 878 langues vernaculaires de peuplades reculées et pour la plupart décimées par de sombres barbares/sauvages. Le sombre désignant leur violence intrinsèque et non, de quelconque manière la couleur de leur peau. Je le signale pour ceusses de mauvaise foi qui me chercheraient des poux dans la tonsure : je n’en ai pas.

rose dit: à

L’Argentine en finale 4 à 2 tirs au but

voili/voilou

rose dit: à

salut à tous

jem dit: à

L’écriture de Camus n’est pas toujours convaincante. Elle ne l’est pas dans « La Chute », à mon avis. Davantage dans « La Peste », mais c’est un roman qui a quelque chose de raté. Là où il est au summum, où le fond et la forme se marient pour donner cette modernité, ou ce qui nous paraît telle, c’est dans « L’Etranger », incontestablement. – J’ai depuis des années le projet de lire « Le Premier homme ». Je vais m’y mettre un jour, espérant y retrouver comme un monde disparu, un peu, c’est d’actualité, comme la feue Autriche-Hongrie.
Vous devriez nous parler un peu de ça, Assouline, de 14-18.

B comme BERLIN dit: à

Début juillet/fin juin, le ciel de Berlin vers le nord, ne s’éteint pas.
Les nuits banches de la Baltique…
Magique.
Cela est terminé,
mais malgré les orages,
je ne respire point de haine…
Rare.

ueda dit: à

Abdelkader dit: 9 juillet 2014 à 19 h 56 min
mais ca va pas se passer demain hein…j’ai la rubrique litteraire du catalogue d’ête Black &Decker a finir d’abord…

Halte.

La réflexion expéditive ou l’information lacunaire sont des fautes.

La plaisanterie en conserve est un crime.

JC..... dit: à

Il y a plaisir à descendre en roue libre sur un fidèle, et vétuste, vélocipède … gare à la chute, mes petits choux !

ueda dit: à

« Grâce à Kamel Daoud, l’Arabe de L’Etranger d’Albert Camus a désormais un nom, un visage, une âme. Son frère de papier lui a donné une voix. Il existe enfin. »

Marrant.
C’est une belle chute.

L’auteur du billet pense naturellement le contraire.

ueda dit: à

« Il y a plaisir à descendre en roue libre sur un fidèle, et vétuste, vélocipède … gare à la chute »

Camarade JC, votre parabole fout le cafard, quelque soit la manière dont on se représente le X
Ce n’est quand même pas notre cher et vieux pays?

Allons…
Un de nos amis sur ce blog, exalté par la joie tragique, ne s’interdisait pas une existence raisonnable en ajoutant l’électricité à son deux-roues.

ueda dit: à

quelque soit la manière > quelle que soit la manière
(Tout fout l’camp)

ueda dit: à

Par ici quand on parle de « l’Etranger », on évoque le livre sous trois titres différents.

Celui qui est d’une autre contrée (yixiang ren), celui qui est extérieur à la situation (juwai ren), celui qu’on ne connaît pas (mosheng ren).
Seuls les deux premiers correspondent à des traductions du livre.

Dans le pays voisin (et aujourd’hui hostile), il existe pas moins de 3 ou 4 traductions, mais le titre est toujours le même: l’homme d’un autre pays/ contrée (Yihô jin).

Au pif:
Dans le deuxième pays, Utopie de la traduction, le travail s’est fait dès les années 50, uniquement à partir du français. Il s’est ensuite académisé.
Dans le premier pays, c’est beaucoup plus récent, et les traducteurs gardent un oeil sur le scholarship anglophone (stranger, outsider, etc.).
Globalisation, comme on dit pompeusement.

Fin du saké.

Confusion des genres, encore et encore! dit: à

bouguereau dit: 9 juillet 2014 à 22 h 38 min

la politesse est l’organisation de l’indifférence

Ignorant, faiseur de lieux communs, crétin qu’a tout compris. Et sale. Tout pour plaire.

Rachid, Esc A, Bat 5 dit: à

Hugo, bouffon de ta mère !

vous avez dit 'bizarre' dit: à

Ueda
En allemand, « Der Fremde ». Mais en espagnol « El extranjero » (Quant à « The outsider » observons un silence éloquent)

arthur dit: à

« il n’a pas rejoint les moudhahiddines dans le maquis, mais il n’a pas non plus collaboré avec les colons. »

n »était-ce pas le cas de la majorité de la popu?

bouguereau dit: à

Globalisation, comme on dit pompeusement

comme « sécularisation » zouz..ces brits..des bombastics

bouguereau dit: à

La plaisanterie en conserve est un crime

hugh..tlé joli zouzou

Bloom dit: à

« London. July 23, 1914. Thursday.
The situation in Ulster seems very serious. England stands before a civil war. Yesterday the Irish Guard before the palace gave the Irish nationalist leaders an ovation ».

Journey to the Abyss: The Diaries of Count Harry Kessler, 1880-1918 (Vintage).

Pas de guerre civile pour cause de guerre mondiale. Une fois la guerre mondiale terminée, la guerre civile eut enfin lieu.Quand on veut en découdre, etc.

bouguereau dit: à

…@,…bouguereau,…mais, à cette heure-ci,…
……..vous ne faite pas » dodo « ,…d’habitudes!

le soir c’est cigarette copin et petites pépées (des grosses aussi)..gnak (pas trop) et lecture..et dodo!..ha j’ai besoin de mes 7h et 9 en weekend dgiovani..chus un français sans super pouvoir, trés moyen

des journées entières dans les arbres dit: à

@ Rachid

Etranger ?

« Psi Factor, chroniques du paranormal ou Chroniques de l’étrange (au Québec) (Psi Factor: Chronicles of the Paranormal) est une série télévisée canadienne en 40 épisodes de 25 minutes et 68 épisodes de 50 minutes, créée par Peter Aykroyd et diffusée entre le 28 septembre 1996 et le 20 mai 2000 en syndication. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Psi_Factor,_chroniques_du_paranormal

renato dit: à

Si vous êtes à Florence (ou pas loin de) : Jackson Pollock à Palazzo Vecchio — jusqu’au 27 juillet 2014

Amateur d'art dit: à

Pollock ? la dernière des choses à voir à Florence

Pablo75 dit: à

@ des journées entières dans les arbres

Tu travailles chez Panzani pour être si nouille?

Iago..... dit: à

Des journées passe ses journées dans les arbres pour repeindre les feuilles des arbres en vert, ce qui confirme la Conjecture de Iago : on peut être nouille sans travailler pour Panzani.

hamlet dit: à

le problème voyez-vous est que monsieur Alba, le grand lecteur, fin connaisseur du monde des arts et de la culture, esprit fin et subtil, est là pour nous apprendre à lire Albert Camus, afin de percevoir la grandeur de cette oeuvre.

C’est que Monsieur Alba dit avoir Rosset, le Réel et son double, il l’a lu mais il ne l’a pas bien compris, dans tout ce qu’il lit c’est pareil, Monsieur Alba lit beaucoup mais il comprend très peu de ce qu’il lit, sinon en nous jouant la grandeur de l’eouvre de Camus il saurait qu’il nous refait le coup du Réel et son double de Rosset, le refus de voir l’évidence, Camus écrit comme une daube, ça c’est le Réel, mais on dit qu’il est l’auteur d’une grande oeuvre, ça c’est le Double.

voilà un bel exemple de l’état de notre éducation publique : le Réel et son double, de l’état du politique avec la nomination de Toubon grand défenseur des droits, faut dire que les socialistes sont au pouvoir la politisation recule plus vite que les maréses en Bretagne, c’est ça la socialist quality !

Et la culture ! les festivals ! les rues d’Avignon remplies de ces fonctionnaires d’état qui ne paient pas la moitié d’un centime pour couvrir les droits des intermittents qu’ils aiment aller applaudir.

quel cynisme, quelle hypocrisie, Camus, Avignon, la grandeur d’âme des amoureux du monde des arts et de la culture…
la grande comédie de la duplicité !

allez-y Alba continuez votre cirque…

renato dit: à

« la dernière des choses à voir à Florence »

Faut voir depuis quand l’on y va, à Florence, et pourquoi… certes, en voyage de noces vous avez autre chose à faire…

Pour ce cas, voir l’approche choisi par les curateurs est déjà une bonne raison pour entrer à Palazzo Vecchio. Cela dit, chacun ses opinions…

ueda dit: à

« le soir c’est cigarette Clopin et grosses pépées..gnak (pas trop) »

Ben mon cochon…
Le trou normand aussi?

Etre à la noce dit: à

Renato, vous avez tort de faire le cicerone pour la RDL et ses vivants piliers. Fast food à tous les étages ici.
Alors, ne mettez pas vous-même le tablier de serveur…
Bàv.

Alba Fan Club dit: à

Lorsqu’on est natif des quartiers bas de l’Estaque, ceux qui sentent les panisses et les chichis-fregis chauds, que l’on est admis sur un blog germanopratin dont le prestige assoulinien est rehaussé par la présence d’un homme, d’un pédagogue, d’un génie de la force vitale et virale d’Alba le Magnifique, on s’écrase, mon Prince …!

Etre à la noce dit: à

D’ ailleurs, vous qui êtes un homme d’ expérience de la RDL, indiquez-nous une ville italienne où c’est le top pour s’envoyer en l’air!

ueda dit: à

Hamlet, au lieu d’être mauvais coucheur, vous devriez accepter avec simplicité l’invitation charmante que que vous a adressé WG de venir assister à son cours.

Il n’y a pas de mal à s’installer au fond de la classe, c’est gratifiant pour les élèves et on peut lever le doigt à la fin.

C’est comme ça qu’on honore le noble idéal de la formation continue autrement qu’avec des mots.
Dialectics, comme dit bouguereau.

Chroniques de mon balcon dit: à

Ce qu’il importe de voir à Florence, c’est la Toscane.

Florence ravie dit: à

le top pour s’envoyer en l’air!

Pollock, ça spermule de l’ acrylique et de l’ alkyde un max!

des journées entières dans les arbres dit: à

Il vient plus par ici Diago ?

renato dit: à

« indiquez-nous une ville italienne où c’est le top pour s’envoyer en l’air! »

Le lieu importe peu, ça dépend surtout de l’aspect et du savoir faire de chacun.

indiquez-nous une ville italienne où c’est le top pour s’envoyer en l’air! dit: à

Vaticano, Roma

hamlet dit: à

la littérature comme art d’apprendre à se mentir à soi-même…

Abdelkader est comme Benzema, son coeur est pour l’Algérie mais son portefeuille est pour l’occident.
il n’aime pas l’occident, lieux de tous les crimes, et l’Algérie est le pays de la grande bonté humaine, où il n’a jamais existé de fours crématoires vu que les traitres on préférait les faire cuire sur la broche, comme un méchoui, à petit feu, il pouvait rester toute une nuit à cuire avant de rendre l’âme, mais le problème est le pognon se trouve chez les occidentaux, les grands satan, le c.l entre deux chaises.

ce doit être si dur de vivre là on le coeur n’y est pas.
peut-être qu’un jour, au lieu de doner la parole à la victime de ce crétin de Meursault qui n’a de tragique que son immense imbécilité, les auteurs algériens donneront la parole à cet état parano schizophrénique de nos joueurs de football dont le coeur et le portefeuille vivent à des distances si grandes.

l’art de se mentir à soi-même, il faut demander à Alba ML, vous vous mettez sur la figure avec lui mais il est votre mailleur allier, lui aussi excelle dans cet art de se mentir à soi même, lui il le fait avec les livres et la mission divine qu’il s’est assigné d’humaniser la terre entière avec la littérature, c’est un expert de Bouvard et Pecuchet, il sait parfaitement la façon dont on peut de perdre dans les méandres de la connaissance, d’ailleurs lui-même s’y est perdu plus d’une fois, demandez-lui, il vous expliquera..

Florence ravie dit: à

ça dépend surtout de l’aspect

Moi je raffole du grand casso du Lac de Garde!

Chroniques de mon balcon dit: à

« mailleur allier »

Préfecture, Moulins !

Chroniques de mon balcon dit: à

« l’occident, lieux de tous les crimes »

Un lieu pluriel ou zéro à la dictée ?

Chroniques de mon balcon dit: à

« cuire sur la broche »

Sans enfilade ?

Une élève de 5ème, redoublante mais sensuelle..... dit: à

Chroniques de mon balcon dit: 10 juillet 2014 à 11 h 27 min

Cette photo serait une photo récente du Professeur Alba en salle de musculation littéraire ?

Bouguereau Fan Club dit: à

Chroniques de mon balcon dit: 10 juillet 2014 à 11 h 38 min
« Sans enfilade ? »

Svp ! Ne vous risquez pas sur un terrain parfaitement occupé par le Maître !

D. dit: à

Il faut manger des nouilles de souche, je vous propose de les faire vous-même à la maison:
Eau bio
Farine bio
Tour de main bio
Sel naturel bio

hamlet dit: à

il n’y a pas que le Camus écrivain.
il y a aussi le Camus intellectuel, celui que nous vénérons aujourd’hui, parce que c’était un libéral, un démocrate libéral, un homme de dialogue, un homme raisonnable, il refusait de céder aux enfumages de l’idéologie, il combattait l’engagement idéologique des intellectuels parisiens.

faut dire que l’engagement politique des intellectuels de gauche parisiens c’est tout un poème, c’est un jeu qui consistait à s’assoir à une table d’un troquet de Saint Germain et donner les consignes d’action aux peuples opprimés pour se sortir de leur oppression.
Ils commandaient une pression et hop ! il pondait une proclamation contre la misère, une autre pression et hop ! une autre proclamation contre l’asservissement, une autre pression et hop ! une autre proclamation contre la domination, c’était un travail difficile : à la fin de la journée ils repartaient bourrés comme une huitre.
les français ont toujours été les maitres de l’engagement politique comme la guerre, la misère, la domination…
sans cet engagement politique les troquets de Saint Germain auraient fait faillite.

Camus n’est pas tombé dans ce piège, ces troquets, l’engagement virtuel et les pressions de 1664 c’était pas son truc.
C’est pour ça que nous l’aimons, nous l’adulons, ce cher Camus libéral, démocrate, non idéologue, prônant les joies de l’hédonisme individuel, de la première gorgée de bière sous le soleil de Tipaza.
Grâce à Camus nous de ne sommes plus des sujets politiques nous sommes des individus qui aimons prendre des bains de mer.

Voilà la grande comédie culturelle dont nous avons hérité, le combat de Sartre contre Camus où il faut choisir.
Sartre ou Camus ? il faut choisir son camp !

mon Dieu quelle misère.

bouguereau dit: à

con et long..raclure quoi

Rabelais Fan Club dit: à

« Sartre ou Camus ? il faut choisir son camp ! »

Euh … ! On pourrait peut-être rajouter un autre nom, non ?

bouguereau dit: à

Un lieu pluriel

pour sûr les fours crématoire c’est les autres (pti a=…uuuuuurkurkrukurk..

Elseneur dit: à

désolé, camarade hamlet, mais on peut aimer Sartre ET Camus que j’ai découvert dans les années 50 et qui m’ont beaucoup apporté dans tous les domaines et ne m’ont jamais quitté

François Piedplas, historien dit: à

Alba, MàC, Lazarillo…. pour quelle raison y a t il eu rupture historique ?

bouguereau dit: à

Fast food à tous les étages ici.

des pollocks dans les fastfoods?..plein..ha t’es un curateur de chez leclerc.com..vu!..c’est pas un défaut note..ça change de cliché

Si, mais non dit: à

court et nul, c’est facile : bouguereau… tes raclures ne font aucun effet sur personne car tu es vraiment le Roi

bouguereau dit: à

on peut aimer Sartre ET Camus

un peu comme les biteuls et mik géjère..mais bon..on m’attend à pléyel bordel

bouguereau dit: à

le king ..on peut aimer aussi mon couillon

Chroniques de mon balcon dit: à

« Sartre ET Camus que j’ai découvert dans les années 50 »

Elseneur serait-il en vacances en Bretagne ?

Chroniques de mon balcon dit: à

Dialectique des pseudos ?

« Elseneur est internationalement connue par l’ancienne forteresse de Kronborg, qui fait face à la Suède. Le plus imposant de toute la Scandinavie, cet édifice est le théâtre de l’histoire de Hamlet, l’une des plus célèbres tragédies de William Shakespeare. »

Chroniques de mon balcon dit: à

Assouline voudrait-il se débarrasser de certains commentateurs ?

« Oyez, oyez ! Si vous voulez écrire votre prochain livre quelque part dans le monde, et de surcroit bénéficier d’une bourse substantielle, les « Missions Stendhal » du Quai d’Orsay sont pour vous. »

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…tout le monde, parle depuis son expérience et donc, de son point de vue isolé!,…

…ou convaincu, d’être d’un groupe!,…d’un gang,!…de diversions, cinéma ou les planches du théâtre!,…

…lui dira t’on !,…mimer pour gagner sa vie!,…survivre!,…partager qu’il n’y a pas de sot métier!,…

…à d’autres!,…cette philosophie!,…tient, tient!,…

…et, en d’autres circonstances, nos points de vues seraient’ils différents de ce que nous pensons aujourd’hui!,…chacun pour soi!,…

…avec, quels éléments vécus aurais-je penser autrement,…ou aurais-je été le même!,…constant!,…
…penser ou écrire pour quoi faire!,…un avis!,…d’un recul panoramique des points de vues!,…pour se convaincre de quels processus,…expliqué de soi!,…l’évidence!,…raté!,…pourquoi!,…les arguments, les faits détournés!,…les profits encore!,…de quels ordres!,…réels ou à finalités auto-destructrices!,…en suis conscient ou pas du tout!,…


…j’auraient écrit ceci ou cela, si, quoi!,……être content de vivre,…incompris, seul,…pourquoi, comment,…

…s’ignorer de quoi il parle!,…mes très chers frères!,…Non,!…pas la messe!,…encore à se faire baiser en face!,…que reste t’il des souvenirs que l’on ne peut changer, les siens!,…ses réactions provoqués ou naturels!,…quelle perfidie en l’avenir!,…

…c’est pas fini!,…à nous les pompés, nos recyclages en cours!,…Non,…recycler des vies non écrites, ses joies, ses travers!,…etc!,…ses ambitions!,…
…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…envoyez!,…

arthur dit: à

il est super lourdigue le hamlet de 11 h 30 min

Chroniques de mon balcon dit: à

L’Autre de « L’Etranger », c’est Renaud Camus ?

Daaphnée dit: à

Abdelkader est comme Benzema, son coeur est pour l’Algérie mais son portefeuille est pour l’occident.

Si ce n’est que Benzema réussit à gagner beaucoup d’argent, lui . Au moins a-t-il l’intelligence du coup de pied ..

Hulk n' Fuck dit: à

arthur dit: 10 juillet 2014 à 12 h 34 min
« il est super lourdingue le hamlet de 11 h 30 min »

Tout le monde n’a pas la chance d’être aussi « léger » qu’Arthur….

Daaphnée dit: à

Tiens, bonjour, U. , vous disiez « consternation » ..

C’est le moins que l’on puisse dire à la lecture des petits jets d’un Abdelkader, en effet. Beurk !
Le peu de culture n’arrange rien, on ne le dira jamais assez .

Chroniques de mon balcon dit: à

« Au moins a-t-il l’intelligence du coup de pied .. »

Beau coup de pied de l’âne de Daaphnée la rancunière !

Etre à la noce dit: à

bouguereau dit: 10 juillet 2014 à 12 h 00 min

C’est toi le hamburger décongelé, clampé au mur!

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…c’est pas de l’art,…c’est sordide,…caricatural!,…
…les modernes se confondent dans la même casserole!,…hélas!,…les liens à la  » doxa  » à deux balles indifférentes!,…encore!,…
…encore du sado-maso de la distanciation  » victimes-persécuteurs « ,…l’art des cous en croix d’esprit!,…encore du Dieux à Baal confiseries!,…etc!,…
…le médium pour cocufié son homme!,…de peine!,…etc!,…

bérénice dit: à

Daaphnée grâce à vos interventions pertinentes et pour le moins chatoyantes de diversité, de créativité tantôt hallucinée tantôt déjantée et revêtant l’habit non pas rouge mais griffé d’un pseudo ou d’un autre qui éprouve le courage par la facétie du travestissement mutin en l’une ou l’autre des fleurs nombreuses qui parent nos jardins, ainsi donc, grâce à ces incises et dépôts- alluvions, le doute ne subsistera point entre une qualité ordinairement périssable et une caractéristique péremptoire, le ton avec vous est donné qui s’éloigne du badin et du divertissement, toujours la chose discursive s’annonce sérieuse et gare à l’impénitent musulman qui n’observerait pas vos sacro-saints épîtres, que la garde s’en empare et qu’on aille le vouer aux gémonies sur le champ! A moins qu’illuminé il ne se brûle tout seul.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…l’art des clous en croix d’esprit!,…

Daaphnée dit: à

Au fait, U., avec votre:
« Par ici quand on parle de « l’Etranger », on évoque le livre sous trois titres différents.
Celui qui est d’une autre contrée (yixiang ren), celui qui est extérieur à la situation (juwai ren), celui qu’on ne connaît pas (mosheng ren).
Seuls les deux premiers correspondent à des traductions du livre. »

La polysémie plus souple (?) du Français permettant de glisser d’un sème à l’autre jusqu’à « étranger à soi-même » pour Meursault ..
Est-ce avec « juwai ren  » que cela s’entend ?

La traduction chinoise rend-elle aisément cette dimension philosophique qui rattache le roman au cycle de l’absurde (L’Étranger, Le Mythe de Sisyphe, Caligula , Le Malentendu )?

bérénice dit: à

Quoi quoi! croix?

bérénice dit: à

La traduction chinoise rend-elle aisément cette dimension philosophique qui rattache le roman au cycle de l’absurde (L’Étranger, Le Mythe de Sisyphe, Caligula , Le Malentendu )?

Personnellement que ce soit oui ou non, ça ne m’empêchera pas de respirer, n’étouffez-vous pas sous le poids du questionnement toujours insatisfait qui pèse sur votre conscience et ces inlassables exigences d’un esprit, bien que méritant louanges et reconnaissance, en recherche ne vous détournent-elles pas de l’essentiel, du principal, selon qu’on le place en marque-page ou en guide touristique promptes à renseigner les vies qui nous accompagnent sans perdre le temps nécessaire à l’affectation des sentiments s’ils nous occupent un tant soit peu autant qu’une occupation d’intellection?

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…le liens,…violence ,…13 h 01
…l’obscénité mentale abrutis, du commerce au panier du clan aux croix,…le toujours christ en osier!,…
…et encore un,…bientôt, un christ en caca-véritable,…c’est tendance!,…W.C. Saloon!,…etc!,…
…quoi!, croix clous sur croire,…en sacs!,…

bérénice dit: à

Etranger à lui-même englué dans une situation avec une focale qui circonscrit le foyer du récit à une scène d’une vie dans un monde à une époque définie, scène dans laquelle apparaissaient posés puis confrontés de façon brutale et violente deux individus, l’un disparait définitivement à cause de l’autre qui sans l’avoir prémédité, l’élimine.

[Elena] dit: à

Tiens, à propos de footballeurs, talent, argent, c.l entre deux chaises — on trouve là-dessus, entre autres, un point de vue un peu décalé ds un livre récent de John Lanchester : Capital en v.o. maintenant traduit chez Plon sous le titre « Chers voisins ». Le titre anglais permettait un jeu de mots significatif (la capitale/le capital). Roman de la crise, roman choral croisant les vies des habitants ou familiers d’une même rue londonienne. La vieille dame de la classe moyenne qui ne reconnaît plus sa rue maintenant habitée uniquement par des très riches, le banquier et sa famille, la fille au pair, l’artisan polonais qui vient y faire des travaux, la contractuelle africaine qui y met des pv, l’artiste conceptuel et ses assistants, la famille pakistanaise qui tient le corner shop.
Et un jeune espoir africain du foot, repéré ds son club, « importé », hébergé là provisoirement avec son père qui l’a accompagné pour son premier grand match, celui qui décidera de son avenir professionnel.
Le procédé des « destins entrecroisés » n’est pas neuf, mais ce « choral » là n’a rien de bêta. Ici l’engagement tient moins à une posture qu’à l’analyse des engrenages sociaux ds un microcosme bien choisi. Sans oublier le motif de l’envie (voir Girard et Fabrice Wilhelm) à travers des lettres anonymes très directes : We want what you have …

Widergänger dit: à

Votre clavier a fourché, cher Passou. Hypérion n’a jamais été une œuvre de Kleist, mais de Hölderlin comme vous le savez. Faites gaffe, hamlet est encore capable de nous en faire une jaunisse…

bérénice dit: à

A ceci chère Daaphnée ajoutez le temps usé à la cuisine et aux choix des ingrédients, Dieu quelle est cette femme qui va sans croix ni loi…

Widergänger dit: à

Bon, je retourne à mes chères études, mes petits chéris. C’est hamlet qui va être content (ah, on dirait que je l’ai piqué au vif, hein, mon hamlet, sacré bougre…!)

Hulk n' Fuck dit: à

« Pour certains, évoquer le passé négrier de certains états musulmans revient à essayer de minimiser la traite transatlantique.

Pourtant, « la traite vers l’océan Indien et la Méditerranée est bien antérieure à l’irruption des Européens sur le continent »

Paul Bairoch avance le chiffre de 25 millions de Noirs ayant subi la traite arabe contre 11 millions ayant subi celle des Occidentaux. » (Wiki)

ARABES 25 – OCCIDENTAUX 11

Bravo les muslims. Honneur au gagnant du Mundial de l’esclavage !

bérénice dit: à

~{Elena} Vous annonciez hier votre départ pour une destination inconnue nous souhaitant bel été au revoir, je vous pensai loin de oui et fi, en Italie, quelle heureuse surprise de vous avoir en guest inattendue

bérénice dit: à

Ceci dit je ne sais s’il serait plus judiciable de ne lire que mythomanie plutôt qu’une pompeuse métonymie, foin de l’académie, plaisir renouvelé de l’imagination à l’écrit à défaut de nicher au pouvoir, c’est d’ailleurs dommage tous ces schèmes endormis dans le silence des livres.

Question pour un champion dit: à

« n’étouffez-vous pas sous le poids du questionnement toujours insatisfait »

Ce questionnement n’est qu’une quête fébrile auprès de u. de cette once de culture qui lui fera toujours défaut.
Notre zouzou international trop sensible à toute provocation féminine, même la plus obscène, étant incapable de lui avouer qu’elle le gonfle au-delà de tout, elle s’obstine.

Daaphnée dit: à

Bérénice, on ne comprend rien à ce que vous racontez.
Bon, mais si je reprends votre dernière phrase « gare à l’impénitent musulman etc ..  »

Disons simplement, que cela m’est bien égal de savoir le pourquoi du comment Abdel (en tant que personne réelle) dit ce qu’il dit!
Il adopte, ici, cette position de s’identifier à une cause (?) musulmane dont on ne voit à travers ses réactions, à lui, que le pire auquel malheureusement on pouvait s’attendre ..
C’est un peu tristounet mais c’est son problème !

A titre personnel, les personnes de culture musulmane que je connais bien sont des marocains d’une part très cultivés et d’autre part non-croyants … avec un « héritage » religieux qui vient du Soufisme ..
Donc, rien à voir.

Et quand je vois les réactions d’Abdel .. je déplorerais plutôt qu’on n’ait, à travers lui, qu’une image bien dégradée de ce que peut être une culture « musulmane » .
Bref, je n’hésitais pas à parler de civilisation pourrie par des courants intégristes, je pense que notamment dans la rapport à la femme, c’est particulièrement évident.
Mais l’Algérie n’est pas le Maroc, et c’est une erreur grossière que de croire qu’il y a un « monde musulman ».
Heureusement, bien qu’on entende le délire de l’Oumma – voyez, récemment Irak-Syrie- la grande communauté musulmane n’est un fantasme.
Dangereux comme certains autres fantasmes – l’empire du III° reich et j’en passe .. – mais qu’un fantasme.

Ce n'est pas tous les jours dimanche dit: à

[Elena] dit: 10 juillet 2014 à 13 h 35 min

Tiens, à propos de footballeurs, talent, argent, c.l entre deux chaises

Eh oui, [Elena], et que dire de la rencontre 45 années après, de la femme du footballeur deux fois champion du monde (une paille!)qui processionnait en hommage à la vierge Marie dans une station balnéaire de perdition ( autre que Capri…) un après-midi de 15 août 196… et qui porte le même prénom que le votre?

Daaphnée dit: à

n’est QU’un fantasme ..

Hulk n' Fuck dit: à

Daaphnée,
L’Oumma, la grande famille musulmane … ?

Mais ! c’est comme dans toutes les familles, un concept détestable et tribal : un lieu de conflits, de détestations, de rancoeurs ancestrales, de combats sans fin, de jalousies minables, de luttes fraternelles, de traitrises raffinées, de saloperies diverses, bref un cloaque merdique à souhaits religieux …uhuhuhu !

Bloom dit: à

La traduction chinoise rend-elle aisément cette dimension philosophique qui rattache le roman au cycle de l’absurde

Question à laquelle Derrida aurait répondu que si ce n’est pas le cas, de quelle philosophie parle-t-on? Une réponse négative n’est évidemment pas une raison suffisante pour priver le lecteur chinois de ce grand livre. Comme nous ne saurions nous passer de la traduction par Simon Leys des Entretiens de Confucius. ‘Xiao ren’ et ‘junzi’, catégories imparfaitement rendues par les équivalences ‘homme de peu’ et ‘homme noble’, restent néanmoins des catégories opératoires au quotidien, comme le sont les pensées de Marc Aurèle (à chaque jour son lot de rencontre avec un sot, un fat, un villain etc.)

bérénice dit: à

Bérénice, on ne comprend rien à ce que vous racontez.
Bon, mais si je reprends votre dernière phrase « gare à l’impénitent musulman etc ..

Sans aller plus bas dans votre énoncé ce me semble assez improbable que vous ne compreniez pas, pas tout à fait du charabia, quant à vos opinions, je me souviens de vous avoir lue carrément antisémite, Abdel l’est aussi quoique ne s’identifiant pas en tant que tel, voyez ce terrain d’entente tapi sous vos pieds, pour le reste les courants extrémistes sont depuis toujours dangereux et l’histoire ne sert pas pour mémoire tissées de haines et d’exemples désastreux, haine en rivière souterraine, effondrements de terrain prévisibles.

Daaphnée dit: à

Personnellement que ce soit oui ou non, ça ne m’empêchera pas de respirer
Bérénice.

Vous n’êtes ni spécialiste en littérature ni en linguistique, Bérénice, cela se comprend donc aisément.

Daaphnée dit: à

Mais ! c’est comme dans toutes les familles, un concept détestable et tribal : un lieu de conflits, de détestations, de rancoeurs ancestrales, de combats sans fin, de jalousies minables, de luttes fraternelles, de traitrises raffinées, de saloperies diverses, bref un cloaque merdique à souhaits religieux …uhuhuhu !

En même temps, Hulk n’ Fuck (!), non .
Si cela devait porter haut les couleurs chatoyantes de l’orient ..
Si cela devait laisser la part belle à cette culture du chant ..

Là, il y aurait qqc de très beau ..

des journées entières dans les arbres dit: à

Pause pub.

« Écoutez-moi, dona Lucrezia Borgia, vous avez vécu longtemps, et vous êtes si couverte d’attentats que vous devez en être devenue odieuse et abominable à vous-même. Vous êtes fatiguée de vivre, sans nul doute, n’est-ce pas ? Eh bien, il faut en finir. Dans les familles comme les nôtres, où le crime est héréditaire et se transmet de père en fils comme le nom, il arrive toujours que cette fatalité se clôt par un meurtre, qui est d’ordinaire un meurtre de famille, dernier crime qui lave tous les autres. »

http://www.rictus-davidbobee.net/#!__lucrce-borgia

Daaphnée dit: à

A propos de chant ..

KAMILYA JUBRAN en duo avec WERNER HASLER, c’est Dimanche 13 Juillet sur la péniche de la Nouvelle Seine – 18h & 19h30 – Paris .

Un peu de musique ..
https://www.youtube.com/watch?v=2dK5SZPTm2w

des journées entières dans les arbres dit: à

« Quid de la suite ? Nul ne le sait vraiment, mais cette Lucrèce devrait être largement visible à Grignan jusqu’au 23 août, avant une longue tournée un peu partout en France la saison prochaine. Cette version, que signe le jeune (36 ans) metteur en scène David Bobée, est aussi opposée qu’il est possible à celle de la Comédie-Française : très rock, très physique, elle a déchaîné un fol enthousiasme dans le public. »
http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/06/28/beatrice-dalle-impose-une-lucrece-demoniaque-et-emouvante_4446896_3246.html

renato dit: à

« Vous annonciez hier votre départ pour une destination inconnue nous souhaitant bel été au revoir… »

Déjà, bérénice, dans au revoir il y a revoir… puis, vous l’oubliez peut-être, mais on peut désormais être simultanément ici — réseau — et dans n’importe quelle destination inconnue…

renato dit: à

« Petits artisans » ? quoi ?! Puisque le prix de la force de travail correspond au salaire, si le travailleur ne touche pas de salaire, que l’on soit dans une économie capitaliste ou pas, il s’agit d’esclavage — peu importe l’usage qui est fait du revenu : que cela plaise ou pas, il s’agit d’une méthode économique. Après, que pour des raisons obscures l’on ne veuille pas admettre cette réalité, c’est une autre affaire — il me semble toutefois gonflé d’accuser les Français de déni quand l’on est soi-même en plein dedans…

de notre correspondante russe nadjia Vladimirkova dit: à

En droite ligne de la réécriture de l « ‘Etranger » de Camus, la Russie n’est pas en reste pour contester les grands écrivains adulés.
La descendante directe (arrière petite fille) de l’usurière tuée par Raskolnikov, Elena Lavriski, a écrit il y a deux ans un roman « crime sans châtiment ». (éditions Eksmo ) qui redonnait enfin dignité aux personnes âgées qui prêtent de l’argent à de jeunes étudiants en difficulté.
Le roman a connu un si grand succès (270 000 exemplaires en poche) qu’un journaliste de rubrique médiacle, Ivan Epantchine, de saint- Petersbourg a publié, lui, une enquête auprès des experts psychiatriques des tribunaux .Cette enquête, prouve que Dostoïevski disait à peu prés n’importe quoi sur le plan psychiatrique. Les experts, tout en reconnaissant l’habileté de l’intrigue policière du roman, condamnent le concept de « surhomme » nietzschéen, mais surtout pointent la nocivité d’un roman qui fait d’un vague halluciné schizophrène un véritable héros devant un policier corrompu, nonchalant, et vaniteux de la police tsariste.. Cette étude a obtenu un succès critique et public énorme. le livre a été vendu auprès des plus grandes agences de presse russes, traduit en chine et en Roumanie..par ailleurs, les réactions des lecteurs de journaux ont été si unanimes que plusieurs libraires ont retiré de leurs rayons les romans de Fédor Dostoïevski.
Au ministère de l’éducation nationale, un groupe d’experts s’est réuni pour une éventuelle révision des programmes, notamment, sur les filières littéraires, et un réexamen de chacun des romans et nouvelles de Dostoievski.

Enfin, plus récemment (avril dernier), un groupe de féministes, sous la direction d’une certaine Marta Panchine-Smolart (département sociologie Snadjia , l’équivalent russe du CNRS français ) a publié un long article dans le journal Inatche .
Ce groupe d’universitaires féministes s’élève contre l’étude systématique et louangeuse des œuvres de Dostoïevski dans les écoles et lycées, œuvres qui , selon ce groupe, forment d’œuvre en œuvre un long tissu honteux d’ apologie du machisme masculin. Selon ces universitaires s’étale un « antihumanisme » sous couvert de rachat religieux qui peut avoir une douteuse influence sur la jeunesse. enfin , reproche capital, cette œuvre donne surtout une conception de la femme odieusement manichéenne, conception qui oscille entre la sainte et la pute, entre l’angélisme ou le diabolisme de la femme. Plusieurs bibliothèques municipales ont déjà retiré de leurs étagères les œuvres complètes de dostoievski,et mêle sa volumineuse correspondance, mais on pourra consulter certains titres sous surveillance administrative .
Cette polémique au sujet de Dostoïevski fait déjà l’objet de nombreux débats sur les plateaux de télévision .On craint même une contagion et un reflexe » anti classiques » slaves, depuis que le très écouté et redouté critique littéraire N. N. Iartsev, à la télévision s’en est pris avec violence aux œuvres de Gontcharov, notamment « Oblomov » roman étant selon ses termes « une apologie insupportable de la paresse » et qui » grâce au talent sournois de l’auteur » devient un éloge « éhonté de l’apathie » et un exemple déplorable pour le peuple russe. La déclaration de N.N. Iartsev a été reprise par un député en pleine séance, en direct à la tv, Serguei Derbinskoie, du parti populisto- patriotique Dagrada . Il a été acclamé par la majeure partie de l’assemblée.

hamlet dit: à

et oui mon Alba chéri avec votre grand Israel vous vivez dans la même fiction collective que votre copain Abdel qui croit que son grand père est venu travailler en France pour faire marcher les usines Peugeot alors qu’il est venu pour financer la guerre d’indépendance, le problème est que le jour où son grand père a voulu rentrer au pays pour fêter la victoire le régime avait changé et ceux qui comme lui s’étaient battus pour gagner l’indépendance de leur pays n’étaient plus ceux qui étaient au pouvoir, et que si le grand papa d’Abdel était rentré au pays on l’aurait fait cuire à point façon méchoui pendant 24 heures pour que la cuisson soit parfaite, mais personne ne l’a dit à ces jeunes générations, demandez à Monsieur Assouline les historiens ils ont préféré ne pas en parler pour ne pas perturber ces jeunes, comme ces gamins à qui on n’ose pas annoncer que leurs parents vont divorcer, et voilà ce qui arrive quand on construit son histoire sur une fiction, le réel et don double Alba ! souvenez-vous de Rosset ! le problème c’est que la vérité il aurait voulu la dire tout de suite pour ne pas tomber dans cette paranoïa collective, mais non, on préfère les contes, les fictions collectives, alors allons-y pour la fiction collective, Camus le grand libéral démocrate réformateur c’est ça Alba ce que vous apprenez à vos gamins?

hamlet dit: à

Monsieur Assouline franchement connaissez-vous un seul écrivain ou un seul historien algérien qui n’ait jamais écrit sur ces types qu’on avait envooyés en France pour financer la guerre et qui n’ont pas pu rentrer chez eux ? un seul a-t-il parlé de ces types qui prenaient le risque de rentrer et se retrouver transformer en brochette à cuire à feu doux ?
qu’on me donne un seul nom ! en 50 ans !
même la moitié d’un ?
il n’y en a pas !
c’est l’omerta.
et de cette omerta Monsieur Assouline vous êtes complice, tous les historiens français sont complices, avec leur culpabilité à la noix, voilà les fruits qu’on en retire aujourd’hui de ce manque de courage de nos intellectuels à la c.n !

Widergänger dit: à

J’essaie de leur donner de bons outils de lecture (qui vous manquent d’ailleurs pour bien me lire aussi !). Dans l’ensemble, ça ne marche pas trop mal. Ils s’en trouvent bien et me le disent. C’est gagné.

Empire des Sens dit: à

« toute provocation féminine, même la plus obscène »

Aucune provocation féminine n’est obscène ! AUCUNE… C’est une impossibilité totale pour une femme de provoquer de façon « obscène » ! Réfléchissez …

hamlet dit: à

la victime sans nom de Meursault ? trop facile. quel risque y a-t-il ? aucun !
alors sur ce sujet on trouvera des tonnes de bouquins, dans toutes les bibliothèques d’Alger à Oran.
oui c’est un livre très original, et très intéressant, très courageux, une excellente idée, oui vraiment c’est très bien, il faut féliciter son auteur, avec ce genre de livre on va avancer le schmilblik.
bravo.
génial.
formidable !
regardez autour de vous, ce monde n’est-il pas formidable ?
avec Alba aux manettes pour diffuser notre bel et grande culture ?
dormez tranquille braves gens, tout va bien, la mémoire d’Albert Camus veille sur nous….

et Camus en voilà
et Camas en voici
que je t’en retartine une couche !
Camus la figue emblématique de l’antitotalitarisme à la française.
Camus l’emblème de la tolérance.

Suffit d’écouter Finky ou Onfray : ah oui en lisant Albert Camus j’ai découvert les vertus du libéralisme social de la gauche divertissante.
Camus et Kundera les deux effigies du grand réveil de nos penseurs…
ah oui en lisant Kundera j’ai découvert que le stalinisme c’était mal.

la France 50 ans plus tard…
regardez autour de vous et cherchez l’erreur !

à force de nous laisser endormir avec Camus, pourquoi ? pour qui ? pour quel résultat ? quel progrès ?
rien !
nada !
alors vous savez quoi ? votre Albert Camus vous pouvez vous le mettre où je pense bien profond !

D. dit: à

Massacre juif/musulman ?
Non, attaques des chefs Palestiniens qui se sentent bien dans le conflit, et réponses du gouvernement Israélien.
Les nouvelles colonies, la création de zones habitées dans les territoires occupées, est, il faut l’avouer, un acte de conflit.
Les uns et les autres se battent des deux cotés pour des terres, seuls les extrémistes disent le faire au nom de leur religion.
Daphnée, je n’ai pas le souvenir d’Abdelkader tenant des propos antisémites. Il est antisioniste, est-ce vraiment la même chose ?
Là où Abdelkader regarde l’Histoire à sa guise, c’est quand il parle de l’esclavage. Non, les Européens ne sont pas les inventeurs de l’esclavage, pour une raison simple, les civilisations arabes ou asiatiques sont plus anciennes. Il ne faut pas oublier non plus, les esclaves européens, raflés par des expéditions arabes, traffic parallèle au commerce triangulaire et ayant une même plage de temps historique.
Expliquer que les Européens inventèrent une économie esclavagiste jamais atteinte auparavant, est être de mauvaise foi.
Il y a toujours existé des esclaves, de part le monde, ouvertement dans des pays qui ne sont pas des démocraties et ne sont ni l’Europe, ni les USA. Ne pas oublier que dans les pays arabes, mais c’est aussi valable pour Singapore, les ouvriers migrants se voient confisqués leur passeport. Sont-ils des esclaves pour autant ? Pas autant que ne l’étaient les Africains envoyés dans les colonies américaines.
Abdelkader dit, qu’il n’y a pas de descendants des esclaves noirs dans les pays musulmans. Ce n’est pas la réalité dans un pays comme Oman. Oman était un pays colonisateur, Sansibar, et Oman était aussi un hub du commerce d’esclaves, pendant des siècles.
Aucune nation civilisée économiquement, ne peut prétendre avoir été dans le passé, un exemple en matière de liberté.
N’oublions pas non plus, que les esclaves furent commercialisés par leurs propres rois.

J’espère que dimanche prochain le candidat d’origine chinoise et non musulman, sera élu Président de l’Indonésie.

hamlet dit: à

« Widergänger dit: 10 juillet 2014 à 15 h 37 min
J’essaie de leur donner de bons outils de lecture »

Alba vous pourriez me refiler vos outils de lecture svp ?
sérieux, vous avez quoi comme outil ? un marteau ? une perceuse ?

parce que j’ai du bricolage à faire et ça m’éviterait de passer chez casto.
vous savez comment sont les français ils profitent de leurs congés en été pour bricoler et vous faites 2h la queue pour passer à la caisse.

D. dit: à

Lire le pseudo, D., comme une signature appartenant à tous.

Widergänger dit: à

Mon brave hamlet, vos propos sont tellement confus qu’on ne comprend même pas de quoi vous voulez parler.

De toute façon, vous êtes un homme du ressentiment, comme dirait Nietzsche. Si ce n’était les intellectuels votre cible, ce serait autre chose. Vous êtes de ceux qui ont besoin de haîr pour exister. C’est pour ça que vous vous reconnaissez si bien dans le miroir que vous tendent les Palestiniens. Vous avez la religion de la haine.

hamlet dit: à

« Widergänger dit: 10 juillet 2014 à 15 h 37 min
J’essaie de leur donner de bons outils de lecture »

rassurez moi ML, ces outils que vous refilez à vos gamins, c’est pas les mêmes que vous utilisez pour vous ?
ce serait trop cruel de leur faire ça.

hamlet dit: à

ML qu’est-ce qui est confus ?
le fait que depuis 20 ans on essaie de nous endormir avec Camus ?

c’est confus pour vous ce genre de truc ?

Hamlet Fan Club dit: à

« votre Albert Camus vous pouvez vous le mettre où je pense, bien profond ! »

Ayant parfaitement assimilé l’importance lexicale en RdL du sieur Alphonse de Bouguereau esq, notre mentor princier veut dire par là qu’il ne pense pas qu’Albert Camus soit, pour le monde actuel, d’une bien grande utilité intellectuelle…

Spiegel, Spiegel an der Wand dit: à

Wiedergänger spuckt zurück, Widerspucker ist ein Spuk !

hamlet dit: à

Alba le premier livre qu’il faut apprendre à lire c’est celui du monde qui vous entoure, avec ses personnages, son histoire, ses rebondissements.

un conseil : vous devriez lire Mosès, son étude comparative de Benjamin, Rozensweig et Scholem autour de l’ange de l’histoire.

kicking dit: à

je ne respire point de haine…

t’as pourtant bien l’air assis dessus

Widergänger dit: à

Endormir ? 20 ans ? donc 1994 ? Que s’est-il donc passé en 1994 à propos de Camus…? Vous délirez, mon pauvre hamlet, vous êtes pitoyable, reprenez-vous !

bouguereau dit: à

ça suffit dracul de frapper les bourrins!..baltringue et raclure c’est pas des cracks..et tot ou tard il finiront dans tes lasagnes c’est sûr..tiens pisque t’es en train..rfile leur un grand coup dlatte ça attendrit la carne

Widergänger dit: à

Oui, c’est exactement ce que fait Baudelaire justement avec les pauvres dans « Assomons les pauvres ! ».

Comme dirait Baudelaire d’hamlet comme il le dit de Proudhon : Il bouffonne…

bouguereau dit: à

mentor princier

sûr que mon pédigré c’est autre chose que des tapas de la veille sur un bar collant de sitges..que de l’élevé au gland ! 6 mois de sèche

Widergänger dit: à

Hamlet est typique de la petite bourgeoisie teigneuse, revancharde, qui a envie d’en découdre avec n’importe qui pourvu qu’il puisse sortir toute la haine et les frustrations accumulées au fil du temps afin de faire vibrer ce vide sidéral qui l’habite et respirer un peu…

Ça fait pitié, c’est tout !

hamlet dit: à

20 ans 1994 ?
alors 25 ans 1989 ?
la fin de l’histoire politique ?
l’aveu d’impuissance du politique comme moyen de changer le monde ?
quand les nouveaux philosophes ont voulu jeter le bébé avec l’eau du bain ?
la fin de l’être comme sujet politique pour devenir un individu ? une particule élémentaire ?
ou la grosse farce de l’égalité des chances ?

à partir de quelle époque selon vous on a commencé à nous bourrer le mou avec Albert Camus ?

Hamlet Fan Club dit: à

Vous êtes gentil, cher ami Wider., mais notre Prince ne « bouffonne » pas : il met ses idées en valeur.

bouguereau dit: à

..le tragique lui même change, il se mue, son génie le vraie cest de ne se présenter jamais comme tel,il se découvre lui même, c’est dailleurs la principale critique qu’on peut faire a rosset..il taille dans une vieille veine tarie, une singerie

Abdelkader Muslim Fan Club dit: à

« ce vide sidéral qui l’habite »

Ah, non ! le vide sidéral wahhabite, c’est nous …

Widergänger dit: à

Mais ça, mon brave hamlet, ce sont vos fantasmes personnels, si je puis dire… Je ne vois pas, pour ma part, qu’un vilain démon essaierait de nous « bourrer le crâne », comme vous dites. On ne peut pas répliquer à un fantasme. On en reste simplement bouche bée.

Sergio dit: à

Pour en découdre le mieux c’est le ballo et le vélon…

bouguereau dit: à

..putain ça y est..harnaché les laboureurs de la mer..huhuuuuu..appelez moi neptune épicétou

hamlet dit: à

allez-y Alba, répondez quand cela a-t-il commencé dans notre belle histoire de France cette grosse farce et attrape Camus?

vous croyez que Camus, s’il vivait aujourd’hui serait d’accord de le voir ainsi utilisé ? pour défendre les petits privilèges de cette nouvelle bourgeoisie inculte ?
tous ces Onfray, ces Conte Sponville, ces Ferry, et ces Finkielkrault ?

imaginez deux minutes la tronche d’un Vidal Naquet ou d’un Castoriadis s’il réapparaissait aujourd’hui ?

et vous Alba vous êtes tellement fier de vous d’aller éduquer nos jeunes enfants.

vous croyez vraiment qu’il y a de quoi être fier de nous espèce de gros taré que vous êtes !!!

bouguereau dit: à

Il ne faut pas oublier non plus, les esclaves européens, raflés par des expéditions arabes

toutes nos blondes a forte poitrine dédé..qui étaient rien que pour nous..les salauds !

Widergänger dit: à

Christophe Dejours est un bon psychiatre. Vous devriez le consulter, hamlet…

Miroir, mon beau miroir dit: à

Widergänger dit: 10 juillet 2014 à 15 h 51 min
Vous êtes de ceux qui ont besoin de haîr pour exister.

bouguereau dit: à

bon cépaltou..pléyel m’attend

Phil dit: à

ça ferraille dur, mais pas un pour rappeler la Facel Vega, certes plantée dans un arbre, mais l’apanage d’une époque où les écrivains polissaient leurs belles cylindrées avec meilleur goût que nos footballeurs illettrés d’aujourd’hui, pourtant sortis de l’Etranger.

Implantenundbloemen dit: à

Michel Alba, vous vous définissez comme quoi ?
Vous semblez avoir du mépris pour les petits-bourgeois, les grands-bourgeois, les vieilles familles, les nouveaux capitalistes, bref, vous êtes au dessus de tout le monde. Est-ce le parcours de ces Alba, qui seraient passés de Versailles au Shtetl en passant par les Pays-Bas ?

Widergänger dit: à

Le voilà monté sur son dada, plus moyen de l’arrêter !

Widergänger dit: à

Il me semble que vous en savez plus que moi à ce sujet, non ?

hamlet dit: à

Alba nous devrions plutôt ramper sur le sol, comme des serpents et des vers de terre, nous cacher la face, nous boucher les yeux et les oreilles.
pourquoi ce manque de modestie ?
pourquoi toute cette morgue ?
Alba donnez moi seulement une raison d’être fiers de nous !
d’où nous vient cette lâcheté pour trouver encore cette vanité ?

Avant la Lutte Finale brésilienne dit: à

Camus ? Onfray ?, Comte Sponville ? Luc Ferry ? Finkie ? BHL ?… philosophes !?

Pécaïre ! Des joueurs trop individuels … Trop personnels…Surévalués au mercato…. Fragiles. Blessés. Imbus d’eux mêmes. Occupent le vide.

Tout ça ne fait pas une équipe de gagneurs !

Widergänger dit: à

Venga ! Venga ! Facel, dites ça à hamlet et vous allez le rendre fou…

ici Londres dit: à

Je reviens faire un tour… rien n’a changé l’imputrescible putassier de bouguereau distribue toujours ces malodorantes crottes qui ne font joui que lui… va bientôt faire une expédition punitive avec plumes et goudron, bordel, on arrive

??????????????????? dit: à

Phil, ne mettez pas tous les footballeurs dans le même sac.
Tous ceux qui sont tatoués avec des lettres, ont appris à lire.

Des Lettres et des Chiffres dit: à

Nous, les footeux, c’est pas les lettres qui nous intéressent -on laisse ça aux profs, et les profs on les a jamais aimé- c’est les chiffres, le Chiffre, le blé, le fric, l’oseille, les lingots, le pognon !….

Avec ça, on a tout le reste… et la littérature.

JC..... dit: à

A propos des à propos en grand nombre, de Kamel Daoud, du printanier foireux, de l’hivernal caniculaire, et du temps qui passe, mon crémier m’a affirmé sérieusement :

« Mon vieux ! Le post-colonial est pire que le colonial… »

Excellent crémier, connaissant son métier et le monde ….

cqfdé dit: à

« Le post-colonial est pire que le colonial »

pour les borgnes c’est moins rentable

JC..... dit: à

Pour les enculeurs de mouches intermittents, le post-colonial est parfaitement suffisant…

JC..... dit: à

Un message d’Amazon m’a plié en deux : ils se conforment à la loi française destinée à protéger les libraires hasbeen : la livraison n’est plus gratuite, mais portée à 1 centime d’euros.

Rions ensemble, mes frères du futur, aux guerres de l’avenir, perdues au présent par les passéistes …!

des journées entières dans les arbres dit: à

Augustine Arsène Potel est officiellement la première Pied-Noire née en Algérie française[76]. Fille de dame Louise Potel, blanchisseuse originaire de Paris et domiciliée Rue de La Casbah chez un maure, Augustine Arsène est née à Alger, le 1er janvier 1832, soit un an et demi après la prise de la capitale de la Régence par les troupes françaises. Le nourrisson décède le 17 juillet de la même année, la mortalité infantile est élevée chez les colons européens
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pieds-Noirs

Phil vous saviez que A. Camus avait, « le jour où un arbre l’a tué », deux livres dans sa sacoche.
ça vous en bouche un coin,non?

JC..... dit: à

« A. Camus avait, « le jour où un arbre l’a tué », deux livres dans sa sacoche. »

Dieu merci, les ingénieurs automobiles ont pensé que deux airbags eussent été préférable à deux San Antonio annotés….

faut faire quelque chose dit: à

hamlet divague de mal en pis

fred dit: à

« Pour les enculeurs de mouches intermittents, le post-colonial est parfaitement suffisant… »

vos litanies de vieux scnock borné disent le contraire – on a déjà assez de la courtisane de service comme rabachage

de notre correspondante russe nadjia Vladimirkova dit: à

j’en ai assez que mon commentauire soit en attente de moderation.ca peut durer 1O heures? vingt heures? un mois? sept ans, 28? plus?

Phil dit: à

Desjournées, Camus n’avait pas seulement deux livres en poche. Son passager était fort connu.
TKt, ici célèbre blogueur, a failli débarquer dans ce monde en Facel Vega, ce qui n’est pas le moindre des privilèges.

Widergänger dit: à

Qui sera le 1000è ? Est-ce moi ?

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*