de Pierre Assouline

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La République des livres
Le jour où Samuel Beckett a mangé une orange

Le jour où Samuel Beckett a mangé une orange

Le plus souvent, le courrier que Samuel Beckett recevait finissait comme les manuscrits reçus : au vide-ordures. Avant de procéder à cette épuration de sa table de travail, il mettait un point d’honneur à répondre à ses correspondants quels qu’ils fussent par retour de courrier, si besoin est par un simple accusé de réception quand une vraie lettre ne s’imposait pas ; cette marque d’urbanité, de générosité et de savoir-vivre est générationnelle si j’en juge par ma propre expérience de l’étude approfondie de la correspondance de personnages auxquels j’ai consacré des biographies : Gaston Gallimard, Hergé, Daniel Kahnweiler, Georges Simenon… Tous passaient leurs matinées à répondre. Quelque que fut leur origine sociale, leur éducation leur interdisait de ne pas répondre. Disons que cela s’est perdu puisque de nos jours, même les courriels souvent restent sans écho alors qu’ils ont été lus.

D’où l’intérêt de Lettres IV 1966-1989 (The Letters of Samuel Beckett, traduit de l’anglais par Gérard Kahn,  Gallimard). Ce quatrième volume couvre les vingt-cinq dernières années de sa vie et partant de son œuvre. Alors que dans le précédent volume les éditeurs ont dû accomplir des exploits en raison de sa graphie parfois indéchiffrable, la tâche leur fut paradoxalement moins ardue pour cet ultime volume. L’écrivain, qui souffrait d’une cataracte aux deux yeux et de la maladie du Dupuytren (une forme de fibromatose), dont il disait qu’elle avait pour effet de métamorphoser ses doigts en autant de griffes, s’accommodait sur la fin de sa raideur arthritique ; tant et si bien que son écriture en était curieusement améliorée. Que d’épreuves pour les transcripteurs avant de se résigner, la mort dans l’âme, à passer leur tour en signalant entre crochets « (illisible) ». Cela dit, l’édition est impeccable, les notes instructives, révélant une profonde et ancienne familiarité avec l’homme et l’œuvre, même si on ne peut s’empêcher de sourire lorsque « Telefunken » et « Grundig » renvoient à des notes précisant «marque de poste de radio à transistors de S.B. » alors que c’est peut-être « transistor » qui est aujourd’hui inconnu des lecteurs de moins de 40 ans… J’aurais, quant à moi, préféré une explication de la dilection de Beckett pour l’esperluette en lieu et place de « et »;

827879-par10123jpgIl donne l’impression de ne jamais être aussi heureux, apaisé, réconcilié que dans le silence, ce luxe suprême. Nulle part pieux que dans sa petite maison d’Ussy (Seine-et-Marne) il n’a de chance d’y accéder durablement. A un ami il confie qu’il ne connaît de plus grande félicité que dans les moments en solitaire où le silence n’est disputé que par le discret crépitement né de l’incinération des feuilles mortes. Il a fallu qu’il soit menacé d’un Nobel de littérature pour qu’on le voie, certes longtemps après, s’exprimer sur ses rapports à l’argent et à la célébrité.

« Il est difficile de la considérer comme un honneur, même à supposer une soif d’honneur, quant à l’argent, j’en ai assez pour mes besoins décroissants » (1966)

On ne l’apprendra que bien plus tard, à mots couverts par des indiscrétions, mais le gros chèque de la fondation Nobel lui permettra le plus souvent d’aider des amis, des proches ou de vagues connaissances en difficulté, certains le sollicitant, notamment le dramaturge Arthur Adamov ou l’écrivaine Djuna Barnes. Cela dit, on s’en doute, s’il n’a rien fait pour se gagner les bonnes grâces du comité Nobel, il n’a rien fait non plus après, refusant le voyage à Stockholm et la promotion de son œuvre qui devaient s’ensuivre.

Il affectionne les expressions étrangères comme autant de mots de passe et de codes entre initiés comme le sont souvent les correspondants les plus familiers : « segrete cose ». Chaque fois qu’il est question de traduction sous sa plume, le mot de « perte » ne tarde pas à suivre. Ce qui se perd dans la traduction : son obsession. Avec Cioran, il a passé des soirées à essayer de trouver un équivalent français à lessness, tournant des heures autour des variantes de « sans » et « moindre », allant voir du côté du latin sine, créant le néologisme « sinéité », y renonçant finalement pour convenir ensemble qu’il n’y a rien d’assez honorable dans la langue française pour exprimer ce mélange de privation et d’infini, l’absence en soi, l’absence à l’état pur « et qu’il fallait se résigner à la misère métaphysique d’une préposition » comme le dira Cioran dans ses Exercices d’admiration. Peut-être l’Irlandais a-t-il trouvé la solution dans le génie des lieux à Wannsee où son ami roumain, le sachant à Berlin, l’a pressé de se rendre afin de fouler la terre où le poète Kleist et son amie Henriette se sont suicidés.

Il est beaucoup question de travail tout au long de cette correspondance. Du travail en pratique comme de la notion même de travail considérée comme la plus grande des vertus, en quoi l’éducation protestante de Beckett refait surface. A James Knowlson, son meilleur biographe et l’un des experts les plus éclairés de son œuvre, qui le questionne sur les idées enfouies sous ses mots, il répond :

« Je ne sais tout simplement rien ou presque mon travail vu ainsi, aussi peu qu’un plombier sur l’histoire de l’hydraulique »

Non qu’il fuit car, malgré son hostilité à tout projet de biographie le concernant (« Si seulement il y avait un copyright sur la vie »), il tient Knowlson en grande estime –c’est d’ailleurs lui qui lancera avec un succès le fonds Beckett de l’université de Reading (Berkshire) ; Beckett, qui jugeait sa vie ne valait pas la peine d’être écrite, aurait pu faire sien le mot de Cioran pour lequel il était incroyable que la perspective d’avoir un biographe n’ait jamais fait renoncer personne à avoir une vie. D’ailleurs, les deux hommes firent connaissance et se rapprochèrent, Beckett lui avouant que la lecture de ses livres lui donnait un fort « contentement », et que cette « voix fraternelle »lui allait droit.Avec d’autres, écrivains, plus jeunes et pétris d’admiration, il s’incline devant la grande détresse que leurs poèmes expriment et conseille « éloignez-vous et de mon travail et de vous-même » (à Charles Juliet en 1969)

Son père espérait la voir travailler chez Guinness. « Comme je regrette souvent de ne pas l’avoir fait » écrit-il, et ce n’est pas le leveur de coude en lui qui parle là, mais en aura-t-on connus et lus de grands artistes et de grands créateurs exprimer un pareil regret au soir de leur vie. Moins une posture qu’un accès de mélancolie. Aussi sincère que Beckett écrivant à Robert Pinget (1966) :

« On n’est pas des gensdelettres. Si on se donne tout ce mal fou ce n’est pas pour le résultat mais parce que c’est le seul moyen de tenir le coup sur cette foutue planète »

Il n’en continue pas moins à écrire jusqu’à la fin. Non parce que bon qu’à ça, comme il le répondit au fameux questionnaire de Libération « Pourquoi écrivez-vous », mais « avec quelque chose de l’ancien besoin & du vieil enthousiasme » (1980). Il ne s’apitoie guère sur ses souffrances dues à l’âge mais enrage des maladies qui rongent ses amis :

 « La nature est une enfoirée ».

Le théâtre y apparaît comme sa passion première et dernière, dû-t-il considérer cette échappatoire comme une « distraction » comme une prison puisqu’il avoue être incapable de s’en « évader ». Le théâtre ne le lâche pas. Son éditeur Jérôme Lindon, qui agissait aussi comme son agent pour la gestion mondiale de ses droits, m’avait dit dans les années 80 qu’il ne se passait pas un seul jour dans l’année sans qu’une pièce de Beckett soit jouée quelque part dans le monde, En attendant Godot et Oh les beaux jours étant les plus demandées. Jusqu’à la fin, malgré le spectre du rabâchage qui le hantait, Beckett aura travaillé pour le théâtre –et opposé le plus souvent des refus aux adaptateurs qui voulaient transporter la scène à la radio ou à la télévision. Il lui arrivait de céder mais le plus souvent il fit preuve de ce qui peut passer pour de l’intransigeance mais qui n’est en fait qu’une attitude de principe d’une cohérence absolue. Les didascalies de ces pièces sont à ce propos d’une netteté sans mélange et aux éditions de Minuit, Irène Lindon dans le même esprit que son père, on se fait fort de les faire respecter. Ce qui n’a jamais découragé les adaptateurs du vivant même de Beckett de tenter vainement de lui forcer la main en faisant interpréter En attendant Godot par des femmes.

Pour savoir ce qu’on peut faire d’une pièce, il a besoin devoirle théâtre dans laquelle elle sera jouée. Cette visualisation lui paraît le seul moyen d’adapter l’une à l’autre pour trouver la meilleure résonnance, et il ne s’agit pas que d’acoustique. Il faut aussi parfois adapter la pièce à la spécificité des interprètes mais nul autre que lui ne doit s’en charger.

« La scène mentale sur laquelle on se meut en écrivant et la salle mentale d’où on la regarde sont des substituts très inadéquats à la chose elle-même. Et cependant, sans elles, il est impossible d’écrire pour le théâtre. Mon expérience est que la vision mentale et les indications scéniques qui en découlent sont valables dans l’ensemble mais doivent souvent être rectifiées, voire modifiées (…) L’idéal serait de travailler en connaissant à l’avance ces conditions réelles. Je rêve de pénétrer dans un théâtre sans texte, ou presque, et de me réunir avec toutes les personnes concernées avant de me mettre vraiment à écrire. Autrement dit, d’une situation où l’auteur n’aurait pas de statut privilégié, comme c’est le cas lorsqu’il arrive avec un texte déjà établi, mais oeuvrerait simplement comme un spécialiste qui n’aurait ni plus ni moins d’importance que les autres spécialistes concernés » (1966)

On apprend ainsi au détour d’une carte qu’il est « très amateur » des livres d’Emmanuel Bove, qu’il conseille à une amie la lecture de Contre tout espoir de Nadedja Mandelstam car « c’est un livre qui donne courage , qu’il admire Céline pour son œuvre bien que son antisémitisme le révulse ou que sa pièce Quoi où doit beaucoup au Voyage d’hiver de Schubert. Parfois, on se croit vraiment dans du Beckett, comme lorsqu’il écrit à son meilleur ami le peintre Avigdor Arikha :

« Rien ne va plus dans ma vieille tête. La carcasse se traîne entre monts et vaux. Un œil mi-clos la suit de loin ».

On aura compris que ce volume ne recueille que les lettres de Beckett, pas celles de ses correspondants. Chez d’autres écrivains, l’absence d’aller et retours fait souvent défaut et ne permet pas d’apprécier l’échange dans sa réalité. Etrangement, chez lui ça ne manque pas. Sa parole se suffit à elle-même. Les éditeurs en conviennent qui ne cherchent pas trop à combler les doutes supposés du lecteur sur la teneur de la conversation épistolaire. Une seule fois, ils s’autorisent à reproduire en note la lettre d’un correspondant à qui il répond : celle du dramaturge tchèque Vàclav Havel qui lui avait écrit six semaines après sa sortie de  prison pour lui exprimer sa gratitude. Deux fois plutôt qu’une : merci d’avoir éclairé la noirceur de ma vie d’adolescent quand j’ai découvert Godot, merci de m’avoir soustrait à la bassesse et la crasse de la détention en exprimant publiquement votre solidarité avec moi au festival d’Avignon avec votre pièce Catastrophe… (17 avril 1983). A quoi Beckett, qui admire son œuvre, répond : « C’est moi qui vous suis redevable »

Qu’on n’attende pas de lui qu’il commente ses commentateurs. Quant à ceux qui attendaient de connaître enfin son point de vue sur Mai 68, qu’ils renoncent même à le connaître à l’occasion du centenaire ; bien qu’il ait vécu à deux pas du théâtre des opérations, rien, pas une trace, ni le moindre reflet des « évènements ». Il est vrai qu’il ne dit à peu près rien, non seulement dans ce quatrième volume mais aussi dans tous les précédents, d’un moment autrement plus important : l’Occupation. A peine la caractérise-t-il au détour d’une carte : « un temps honni… « , « des temps infernaux »… Il l’a pourtant personnellement vécue et n’a pas à rougir de ses engagements dans la Résistance à Paris dès les premiers temps, dans le maquis du côté de Roussillon (Vaucluse) au plus fort de la guerre, dans une unité de la Croix-Rouge à la Libération en Normandie. Mais son silence s’explique cette fois par la pudeur, la sainte horreur de ceux qui réclament un retour sur investissement à leurs actions quand leur conscience seule devrait les dicter. Pour tout commentaire, il concède un mot cher à Francis Bacon :

 « de nobis ipsis silemus » (de nous-même, nous ne disons rien)

Le retrait, toujours. Et la discrétion exigée des proches. Enfin, une exigence à la Beckett sur un ton de douce supplique. A l’ami anglais qui lui demande des précisions biographiques, il concède une chronologie de sa vie sans son œuvre, lâche une poignée de dates mais à propos de son analyse à Londres de 1934 à 1936, demande gentiment : « N’insiste pas trop là-dessus ».  Dernières lettres jusqu’au dernier souffle. Il est anéanti par la masse du courrier à affronter.

« Même pour regarder dans le vide je n’ai plus d’entrain. C’est un spectre que je serai bientôt. Pas moins que tous nos chers disparus. Sans leurs avantages ».

La maladie le ronge. Juste la force de se laisser mourir. Au réalisateur d’un projet d’adaptation de Murphy pour la télévision irlandaise, il lâche un dernier mot avant de tourner la page :

« Faites donc sans moi »

Les inconditionnels de Samuel Beckett, dont je suis, seront comblés par ce volume. Aux autres, on révèlera que derrière le discret génie, tout d’intelligence, de finesse, d’humilité et d’humour, il y avait bien un homme de chair et de sang. Presque un écrivain parmi d’autres qui jugeait sa vie sans intérêt et ne parvenait pas à surmonter l’horreur que lui inspirait l’écoute de sa propre voix enregistrée. Un homme comme un autre. La preuve : le 2 février 1975, dans une lettre à sa plus proche amie Barbara Bray, au milieu de considérations techniques sur ses textes, il écrit : « Mangé une orange ». C’est la seule fois dans l’ensemble de ce volume qu’il s’abandonne à une allusion aussi personnelle et anodine, mais ces trois mots, dans cet ordre-là avec les phrases qui les précèdent et celles qui les suivent, c’est aussi et déjà du Beckett.

Post Scriptum En 1986, dans le cadre d’un grand portrait de lui que je devais écrire à l’occasion de ses 80 ans pour le magazine Lire, je me suis adressé à Samuel Beckett pour lui demander non une interview mais une partie d’échecs car, entre joueurs, il n’est pas de meilleur moyen de connaître l’autre. Il me répondit par retour de courrier (voir sa carte en haut de ce billet) et me fit savoir par son éditeur que, hélas, l’état de ses yeux ne lui permettait plus de jouer autrement que mentalement…

(Photos Passou, D.R., Greg Lancaster et John Minihan)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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1 781 Réponses pour Le jour où Samuel Beckett a mangé une orange

Widergänger dit: à

Ferme ta sale gueule, cornard !

Non, ce n’est pas le titre d’une pièce de boulevard, quoique…

Je me souviens en particilier vaguement de J’y suis, j’y reste, avec Denise Grey, que j’ai eu la surprise de croiser un jour près de chez moi à Montmartre rue Caulaincourt. Mais elle doit être décédée à présent. J’aimais bien ce genre d’émission en vacances. Mais plus tard, quand j’étais au collège de la rue Molière au Palais-Royal, je suis allé écouter de vraies pièces de théâtre, à la Comédie-Française, du Molière bien sûr. Quand je pense qu’à l’époque on jouait Beckett avec comme horizon Le théâtre et son double, d’Artaud, dont ma famille n’a jamais entendu parler ! Quel abîme tout de même avec les habitudes culturelles des milieux populaires. On comprend qu’un Pablo75 ne comprenne rien au théâtre de Beckett ni un traître mot aux considérations d’Artaud sur le théâtre d’où sort tout le théâtre d’avant-garde de cette époque. Je suis vraiment tombé loin du nid, comme on dit.

christiane dit: à

@Widergänger dit: 30 mai 2018 à 20 h 51 min
Beau souvenir.
Ouvrez le blog « Feuilles de route » de Thierry Beinstingel que je viens de mettre en ligne pour le rire de Beckett. C’est très intéressant.

Bérénice dit: à

Delaporte, vivre est une maladie puisqu’on en meurt , quelque réparation vous puissiez apporter aux processus.

Widergänger dit: à

christiane dit: 30 mai 2018 à 21 h 11 min
Oui, j’ai vu, j’ai un peu lu, mais je n’ai pas l’esprit concentré pour le lire vraiment et réfléchir au comique beckettien, qui tient plus de Buster Keaton que de Molière certainement. Mais le rire chez Beckett est un beau sujet de réflexion.

DHH dit: à

@Hamlet
vous vous moquez de moi en me faisant croire que vous avez perçu mon helicoïdal comme une injure
et d’abord je ne parlais pas de vous mais de votre écriture, qui progresse en tournant sur elle_même et je crois que l’image de l’hélice est encore plus adaptée à en rendre compte que la toupie de Christiane .
relisez ce que j’écrivais en m’en expliquant dans mon post de 8h 07 et vous verrez que je n’ai pas a demander à Dieu pardon pour vous avoir offensé
bien cordialement
DA

Bérénice dit: à

Jean Langoncet, pensez à nous offrir des liens pour une petite musique en nuisette, ma boîte à musique est en panne depuis des années et vous m’êtes bien utile. Merci, bonne soirée .

Widergänger dit: à

D’autant que les phrases hélicoïdales sont le fait d’un auteur de génie, Th. Bernhard ! Que serait Perturbation sans ses phrass hélicoïdales qui donnent le vertige ?

Janssen J-J dit: à

@21.01 b–., je n’arrive pas à comprendre si vous m’adressez un message de sympathie ou d’antipathie. Mais comme je suis de bonne composition, ce soir, à l’inverse de Ste Mère Keunotte, je veux croire à une gentillesse. Donc merci. J’aimais beaucoup Denise Grey (morte il y a 22 ans), mais beacoup moins Jacqueline Maillant. Antonin Artaud disait beaucoup de bien de la première. Que s’est-il passé à la falaise du Havre, exactement ? Vous m’obscurcissez à loisir alors que j’essaie de m’éclaircir. Un brin. De quoi ?

Widergänger dit: à

Je m souviens aussi du comédien Jacques Morel, avec sa voix grave et ponde, qui jouait le rôle du cardinal.

Nous allions ainsi voir Au théâtre ce soir et Intervilles avec Léon Zitrone, qui fut, comme je m’en suis aperçu cette année, élève à Janson lui aussi, et que j’ai croisé lui aussi un jour devant le Wepler place Clichy, brave Léon passé de Janson à Intervilles… Quelle déchéance !

Widergänger dit: à

sa voix grave et ponde>>>>>>> profonde

Janssen J-J dit: à

Fred Paquali et Henri Murzeau, aussi.

Bérénice dit: à

JJJ article du Monde de demain, falaise entièrement constituée de déchets, béton, fefraille, plastiques etc se désagrège un peu par mauvais temps et située à proximité d ‘un site touristique vantée aussi comme jusqu’au présent aucun engin n’existait pour le réduire et la faire disparaitre dont employés des piétons suis enlèvent quelques tonnes de déchets et les remontent à pied . Sinon pour le reste c’était constat puisque vous vous appliquez à regrouper certains pseudos sous une même envergure. Faudrait il pour les illustrer leur attribuer un nom d’oiseau selon la sympathie éprouvée ?

Bérénice dit: à

Sont employés, Qui enlèvent, ..

Janssen J-J dit: à

on allait voir la Piste aux Étoiles avec Roger Lanzac et ses yeux qui faisaient peur, et on revenait éblouis dans la nuit en Juva 4, il y avait beaucoup d’éphémères qui s’écrasaient à Pont l’Abbé d’A. Tout ça, quoi.

Widergänger dit: à

Et puis nous visitions les châteaux de la Loire. Je ne me souviens pas de tous, mais j’ai dû tous les visiter: Blois, Chambord, Amboise bien sûr, mais aussi Monpoupon, et je me souviens que mon frère cadet qui devait avoir alors deux ou trois ans, avait répondu à ma mère qui demandait où se trouvait Monpoupon, avait répondu : « Mais, il est là, maman ! », ce qui avait plongé ma mère dans un attendrissement tel qu’elle aimait par la suite l’évoquer ; mais mon frère n’est même pas allé à son enterrement tellement il est con. Mais alors, je connaissais même les plus cachés, comme le château du Gué-Péan, que j’ai visité la première fois en août 1966, avec son grand pigeonnier et sa meute de chiens de chasse, qui n’était pas très connu à cette époque, sis à quelques encablures de Contres.

Janssen J-J dit: à

oui ma caille, vos nouvelles sont trop fraiches, vous lisez trop les journaux ou écoutez les ragots, vous avez été piégée par les fake news venues d’Ukraine, c malin ! Que me dites-vous là ?, mais moi, je ne réunis aucun pseudo (aucuns pseudos ?) ou alors à titre d’hypothèses, voyons dhonc ! Par exemple ce soir DHH signe DA, une autre fois elle se faisait passer pour Judith, yadquoi êt’tourneboulée, non ?…

Widergänger dit: à

Moi, Roger Lanzac, j’allais le voir carrémnt au cirque Bouglione sur la petite place avec ma grand-mère.

Vous connaissez vraiment Pont Labbé d’Arnoult ? Vous devez connaître l hameau de Razour alors, où j’allais en vacances chez une sœur de ma grand-mère, qui avait une belle maison là, aujourd’hui bien ruinée avec des herbes qui ont tout envahi les coins secret du jardin de mon enfance, et les fraises du jardin au fromage blanc, qui me donnaient des boutons, vite partis. Là aussi, toutes les petites routes, je les ai parcourues en vélo, avec le vélo de course de mon cousin Joël, qui avait l’âge de mon frère aîné, et c’est là que j’ai connu mon premier amour, avec une fille qui s’appelait Jeannette B. qui avait une maison au milieu des bois à Lasalle, au bord du canal. Que de froufrous échangés…!

Janssen J-J dit: à

moi… c’était blois, amboise, chenonceau, ussé et langeais. Tous…, vous dis-je, et mon frère était adorable, il me les faisait tous connaître, car il en savait long sur les châteaux de la Loire. Voulait vérifier tout ce qu’il avait lu, en savait plus que les guides, ça les énervait trop, quand il les rectifiait. Voui.

christiane dit: à

@DHH dit: 30 mai 2018 à 21 h 16 min
Mais c’était de l’humour, DHH. Il s’est bien amusé avec nos commentaires et Lavande lui propose le ruban de Moëbus !!!

Bérénice dit: à

JJJ lu un article sérieux dans le quotidien que j’ai choisi, eux aussi en l’absence de démenti officiel se sont fait prendre. Pour le reste, excusez je croyais que vous tentez de regrouper les pseudos sous un même abri. Je suis très contente que cet opposant soit sérieusement protégé. Rien de plus ni de plus tourneboulé ou chantourné selon votre expression.

Bérénice dit: à

Tentiez. Le clavier sur portable n’est pas idéal. Je ne suis pas votre caille, protestation, pas de familiarité, svp, merci.

Janssen J-J dit: à

@Vous connaissez vraiment Pont Labbé d’Arnoult ?

mais voilà des années que je me tue à vous le dire, je m’y suis marié, or vous ne m’écoutez jamais, la 1ère fois on avait parlé de l’école St Louis… mais vous avez tellement perdu l’habitude qu’on prenne au sérieux vos souvenirs de vacances près de Champagne, à la lisière des marais de Rochefort et de St Agnant que…. Or ceux-là ne sont pas mensongers apparemment, sont à peu près cohérents depuis le temps que je les enregistre. Bon, allez, restez dans ces bonnes dispositions, cher ami, avant de m’insulter à la première occasion. Nous comprenons tous que vous deviez déverser votre trop plein à cause de cette vie trépidante que vous avez. La sieste vous va bien, je pense gwg. Dans quelques jours, je vous demanderai votre point de vue sur l’impact de la très grave dépression de Max Weber (subie entre ses 30 et 35 ans) sur les orientations de son œuvre sociologique ultérieure.
Beaux rêves de fécondité avec Clément Rosset et Jacques Attali. Cordialement,

Janssen J-J dit: à

@ 22.06 toutes mes excuses pour cette familiarité qui ne se reproduira pas… Désolé, j’avais mal interprété la chute suivante : « Faudrait-il pour les illustrer leur attribuer un nom d’oiseau selon la sympathie éprouvée » ? Pour moi, la caille est un oiseau, comme la jolie perdrix ou la tourterelle turque, d’ailleurs.
https://www.youtube.com/watch?v=AjEIVO9Xitk
Bien cordialement,

Bérénice dit: à

JJJ c ‘est affectueux mais je l’ai mal pris, veuillez comprendre.

Janssen J-J dit: à

N’en rajoutez pas, SVP. L’incident est clos.
Très cordialement, comme on dit, hein.

Widergänger dit: à

Non, je ne me souvenais pas de votre mariage à Pont-Labbé. Mais vous avez été tellement désagréable avec moi, tellement monstrueux même, que j’oublie vite ceux qui ne me sont pas sympathiques et avec qui toute communication s’avère impossible.

Château de Chenonceau, oui, bien sûr, j’y suis même retourné avec mon amie de l’époque en 1992.

Il y a quelques années, j’ai découvert lors de mes promenades en vélo un château près de Soings-en-Sologne, que mes parents ne devaient pas connaître, le châteaux des Pins, mais ce doit être une reconstruction du XIXè siècle selon le style de la Renaissance, en pleine forêt de Cheverny, tout près de Soings. Il a d’ailleurs été refait dernièrement avec une belle grille en fer forgé.

Jean Langoncet dit: à

…le canon de cent millimètres ; ça fait combien en centimètres ?

Bérénice dit: à

JJJ je ne rencontre que rarement des gens à qui je pourrais le faire il nous faut bien l’écrire pour continuer le silence.

Bérénice dit: à

Le dire.

Janssen J-J dit: à

@ Mais vous avez été tellement désagréable avec moi, tellement monstrueux même

N’exagérons rien tout de même ! A qui ferez-vous croire pareille sensibilité de midinette, voyons dhonc ? Un peu corché vif sans doute, mais pas de quoi en éructer la terre entière dès qu’on vous taquine un brin. Reconnaissez qu’il y a de quoi.
Bon c pas tout, ça… mais mes trois vaches sont pas encore « tirées » ast’heure ! Adieu !

Widergänger dit: à

Ma mère est née là à Razou, dans la grande maison à Razour en haut, où habitait alors ses grands-parents maternels, en mars 1915, pendant la Grande Guerre, où ma grand-mère avait voulu accoucher dans la maison de ses parents. C’était la dernière époque où on pouvait accoucher à la maison. Par la suite, j’allais y chercher du lait pour mon petit déjeuner du matin à pied, dans mon enfance, sans savoir que ma mère y était née. Cette vieille tante qui s’appelait Doublet, est enterrée avec mon grand-oncle Doublet au cimetière de Champagne, avec sa belle petite église romane, où ma grand-tante m’emmenait à la messe le dimanche avec une belle chemise blanche et une cravate… Puis nous allions à la plage à Port-des-Barques parfois. J’avais des cousins dans chaque hameau quasiment, que je ne connaissais pas tous. Les seuls qui comptaient étaient au Pas d’Arnaise et à Villeneuve. Mais ils sont tous morts aujourd’hui.

Widergänger dit: à

Janssen J-J dit: 30 mai 2018 à 22 h 31 min
Si ! totalement monstrueux !

gisèle dit: à

Bérénice,15h016/20h43 .Essayez le papier d’Arménie, ça coùte 3francs six sous, et vous serez débarrassée de toutes ces « mauvaises odeurs » et même « nauséabondes »,qui rendent troubles vos intuitions.Bonne chance.

Widergänger dit: à

Quand on vient dire au petit-fils de déportées que je suis que je suis semblable à celui qui, en Espagne, s’est inventé une déportation, c’est totalement monstrueux !

Mais vous n’êtes proablement même pas capable de comprendre la portée totalement ignoble de vos propos.

Quand je pense au parcours intérieur de ma mère qui est passé de Razour à un mariage avec un Juif dont la mère et la tante sont mortes à Auschwitz. Qu’elle n’ait jamais pris conscience de la gravité de la chose, ce n’est guère étonnant. De petite française née au milieu des vaches qu’elle accompagnait boire au canal en bas de Razour, elle est passée dans une famille, ou ce qu’il en restait, victime de la plus effroyable tragédie du siècle. Elle n’était pas armée pour comprendre ce saut vertigineux dans le vide.

Bérénice dit: à

1966https://abonnes.mobile.lemonde.fr/international/article/2009/03/10/1966-la-france-tourne-le-dos-a-l-otan_1165992_3210.html

Bérénice dit: à

Jean Langoncet, j’entendais il y a peu dire que la France avait toujours été intégrée à l’OTAN, Melanchon reprend le point de vue du général en supposant que le pays suive les ordres donnés par Washington.

Bérénice dit: à

Gisèle les intuitions n’en sont pas troublées en revanche vos prévisions se sont avérées exactes pour ce début de soirée. Je ne suis pas incommodée pour si peu , j’ai mon masque à gaz.

Widergänger dit: à

Oui, 1966, je me souviens qu’en passant sur la route par Orléans pour nous rendre en vacances à Contres, on voyait encore au début des années 60 une caserne de soldats américains. Je m’en souviens fort bien. Mais mes parents n’étaient pas capables de nous expliquer pourquoi ni pourquoi on ne les a plus vus à partir d’une certaine époque. C’est aussi à cette date qu’a été construite l’auberge à Contres sur la route de Blois. Juste en face est l’entrée du petit chemin qui mène encore à la maison où j’allais en vacances, qui appartenait à un certain M. Brunet qui habitait à Soings dans la grande maison à la fourche qui mène à Courmemin, où mon frère aîné allait chercher des fromages de chèvre en vélo à une ferme, la première année où nous sommes allés là en vacances, en 1960.

Widergänger dit: à

Non, De Gaule a en effet quitté l’OTAN en 1966. Exit les Ricains ! Aujourd’hui, ne pas être dans l’OTAN n’aurait guère de sens.

rose dit: à

Je tiens a avoir le fin mot de cette histoire de passeur, raymond.

pourquoi ?
S’agit’il du Roussillon qui est à côté de Gordes ou bien d’un autre.
Si oui, c’est plutôt loin de l’Italie.

rose dit: à

chaloux 8h32

pas moi

Jean Langoncet dit: à

@le point de vue du général

bullshit. Dans les deux cas si éloignés ; celui du général (avait-il encore toute sa tête en 66 ?), celui de mélenchon.

rose dit: à

bas si
Le pompon, celui du manège.
sinon le pompon c’est girl.
Moi non plus, je ne savais pas l’écrire le pompon.

rose dit: à

jazzi ci dessous

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

J’ai 2 ou 3 livres sur Gilles de Rais mais je ne sais pas si l’un d’eux est celui de l’abbé Eugène Bossard, dont le nom ne me dit pas grand chose. Et je ne vois pas d’édition de poche de ce livre sur Amazon. Par contre je vois la version ebook à 0,99 € !

Tu m’intrigues: en quoi il est un chef-d’oeuvre ce livre (que je marque dans mon carnet de livres à chercher)?

Pablo75 dit: à

Hasard: on parle dans le blog de P.Assouline de l’échec d’écrire à propos de Beckett, et je vois ça aujourd’hui, dans cet excellent site culturel espagnol (qui appartient à El País, je crois):

El fracaso de escribir

por Manuel de Lorenzo

… Cuenta Pierre Assouline en Simenon, Maigret encuentra a su autor (Espasa, 1994)…

http://www.jotdown.es/2018/05/el-fracaso-de-escribir/

rose dit: à

les boîtes à merde de Piero Manzoni, pour vous c’est de l’art?
Non. C’est de la psychanalyse tournant autour de la réalisation de l’Oedipe .

pour le reste, dslée, ne connais pas.

rose dit: à

autour de la résolution de l’Oedipe.

rose dit: à

je découvre que c’est bien ce Roussillon où sont les carrières d’ocre. Merci bcp.

Pablo75 dit: à

À propos de la postérité de Beckett:

« aucune certitude mais répétons comme Stendhal. c est un billet de loterie »
Paul Edel dit: 30 mai 2018 à 14 h 21 min

De la loterie la postérité?

Moi je crois que Stendhal (« Je mets un billet à la loterie dont le gros lot se réduit à ceci: être lu en 1935 ») savait très bien qu’il avait toutes les chances de gagner le gros lot. Et que Beckett n’ignorait pas qu’il n’en avait aucune pour le tirage de 2135.

Widergänger dit: à

Pablo75 se rassure comme il peut au sujet de son incapacité à comprendre et surtout à sentir la grandeur de Beckett, en tirant des plans sur la comète.

Pablo75 ne peut manifestement pas se résoudre à admettre que la beauté littéraire de ce grand auteur le dépasse de beaucoup et qu’il n’y aura jamais accès. Ce serait trop amer pour son narcissisme ; il ne se remettrait pas d’une telle blessure visiblement. Alors il préfère se dire que c’est Beckett qui est un con… Tout est relatif, comme dirait Einstein…

La vie dans les bois dit: à

Et raymond n’est pas revenu. Il aura eu un contre-temps.
Son message enigmatique d’hier matin restera sans explication sur son origine.
Je le remets ici.

« lorsque Beckett a vu son réseau de résistance dénoncé, il s’est réfugié avec le peintre Hayden et Suzanne à Roussillon et ils ont attendu un passeur qui serait venu d’Italie; avec le peintre Hayden pour tromper leur ennui, comme un jeu, ils ont inventé une pièce qui s’appelait: « En attendant ». »

En attendant raymond et le passeur italien on peut visiter la maison.

« Pourtant nous avons été ensemble dans le Vaucluse, j’en mettrais ma main au feu. Nous avons fait les vendanges, tiens, chez un nommé Bonnelly, à Roussillon.”
En attendant Godot, Samuel Beckett

http://provenceventouxblog.com/2013/on-the-market-samuel-beckett-house-in-provence-where-iconic-writer-engaged-in-his-craft-and-in-the-french-resistance/

Widergänger dit: à

L’article de El Pais « El fracaso de escribir » n’a qu’un rapport très lointain avec ce qu’il faut entendre par « échec » à propos de Beckett. Ça n’a même rien à voir.

rose dit: à

bonsoir
n’ai pas tout rattrapé. mais ai « senti » la bonne humeur grâce à Hamlet et à Lavande. Merci à vous. ❤❤

D. dit: à

Oh dis-donc la pendule qu’elle nous chie la Cricri. Modèle double échappement.

Delaporte dit: à

Weinstein a pris comme avocat l’un des enfoirés d’avocat les plus vicieux sur la place de New York. Cet avocat insolent pousse Weinstein à s’abstenir de témoigner devant le grand jury. Tous les arguments sont bons :

« Ben Brafman, l’avocat de Weinstein, a affirmé que le procureur ne lui avait pas fourni les détails correspondant aux deux accusations que le 25 mai au soir, à la veille d’un long week-end férié aux Etats-Unis, ce qui ne lui laissait « pas assez de temps pour bien préparer M. Weinstein » à son audition par le grand jury. Dans un communiqué, Ben Brafman, un ténor du barreau new-yorkais, a aussi souligné avoir demandé un report du grand jury, en vain. »

Widergänger dit: à

Il existe un très bon bouquin d’Alfred Simon sur Beckett qui s’intitul simplement Samuel Beckett. Alfred Simon est par ailleurs d’un gros bouquin remarquabel sur Molière et d’un petit bijou absolument merveilleux mais assez imposant tout de même intitulé La planète des clowns, où il consacre un chapitre aux personnages clownesques de Beckett.

Il a quelques développements intéressants sur le rire dans un chapitre intitulé savamment « Le rire et le pet ». Il évoque le « rire sans joie », formule qui fait immanquablement pnser à Flaubert qui emploie exactement cette expression à propos de je ne sais plus quoi. Le « rire sans joie », ou rire « noétique », en le distinguant du « rire amer » ou rire « éthique », qui rit de ce qui n’est pas bon, et du « rire jaune » ou « rire judiciaire », qui rit de ce qui n’est pas vrai. « Rien n’est plus grotesque que le malheur », disait Beckett. C’est le rire d’EAG. Un rire sans joie, le rire de la joie tragique. Beckett se situe entre la larve de Kafka dans La Métamorphose et la nuit de la transfiguration de Pascal. C’est quelque chose comme La Nuit transfigurée, Die Verklärte Nacht, d’Arnold Schönberg, ici interprétée par Pierre Boulez :
https://www.youtube.com/watch?v=yzSaOWPBFqA

P. comme Paris dit: à

DHH dit: 30 mai 2018 à 16 h 41 min :

Mais vous auriez pu à cet âge côtoyer les étoiles.
Ce que maintenant vous arrivez sans sinus ni cosinus, et sans éphéméride, à nous faire partager.

P. comme Paris dit: à

hamlet, SVP, resserrez.
Trop de langueur vous nuit.
Serait-ce agréable de sembler un vieillard apocryphe.
Pour sortir des cercles éthanolisés,
Mettez-vous à l’acide.

Delaporte dit: à

BHL s’était fendu d’un superbe tweet moralisateur-médiatique à propos du journaliste russe soi-disant assassiné à Kiev. C’était magnifique. Je voulais vous le reproduire, hélas BHL l’a effacé abruptement. Encore un morceau de littérature qui s’est perdu, tout simplement parce que la fiction est devenue réalité.

Delaporte dit: à

« … Un rire sans joie, le rire de la joie tragique… »

wgg nous met cela à toutes les sauces. Il radote.

Delaporte dit: à

« la nuit de la transfiguration de Pascal » wgg

Erreur grotesque. La « transfiguration » c’est Jésus… Pour Pascal, c’est seulement un « Mémorial ». Attention au sens des mots, attention à ce qu’on raconte. Il s’agit d’un prof de français raté qui dit n’importe quoi. C’est grave.

Bérénice dit: à

23h19 comment voir en une Europe de la défense le deuxième bras de l’eteau néanmoins après cette vraie fausse info venant d’Ukraine il semble qu’il soit facile de mentir, comment accorder confiance à l’un des camps après tant de falsifications, je consultais hier soir des articles donnant une version des évènements de la place Maïdan. Les skippers achetés 1000 euros pour tuer dans la foule. Pensez vous que le cynisme de VP irait jusqu’à gâcher une fête qui lui a coûté 37 milliards pour couvrir un de ses ordres?

Bérénice dit: à

SNIPERS, rose vous avez raison, si l’on n’y prend garde le correcteur devient un véritable inconvénient.

rose dit: à

Être en dehors et vous lire, c’est magnifique. Grande tendresse ineffable pour vous.
Pourtant, pas connu le blog de Hamlet, ni écrit à Samuel, à 20 ans ma vie était en montagne et en mer sans que je puisse choisir. Pas eu de fou rire avec vous, découvre le talent de certain qui joue le catalyseur a dit Vincent hier soir lorsque je lui ai dit quand tu es là on ose. Sinon la prof de gym. nous « assassine ».
Sa manière malhabile à elle d’asseoir son autorité.
Affectueusement à tous, avec équanimité,

Essayez de choper raymond.

rose dit: à

c le correcteur automatique qui est catastrophique. Pas l’humain, vague de fond, vague de tendresse.

nota : ne pas comparer le plan ehpad etc. de Mme Buzyn avec les émoluments payés à la FIFA pour projeter les matchs de foot à la télé. Cela est ridicule la somme dévolue au premier au regard du second. Pas besoin de dessin,

Bloom dit: à

Delaporte dit: 31 mai 2018 à 3 h 11 min
BHL s’était fendu d’un superbe tweet moralisateur-médiatique à propos du journaliste russe soi-disant assassiné à Kiev. C’était magnifique. Je voulais vous le reproduire, hélas BHL l’a effacé abruptement. Encore un morceau de littérature qui s’est perdu, tout simplement parce que la fiction est devenue réalité.

Tout le monde est tombé dans le panneau,vous y compris, puisque vous avez relayé l’info.
L’intox atteint des sommets comparables à ceux qui prévalaient avant et pendant les grand conflits du 20e s. C’est très inquiétant.
Se tenir à distance de l’info/infox, principe N° 1 d’hygiène mentale.

renato dit: à

Partout dans le monde nous sommes désormais confrontés à des autorités politiques résiduaires ; gens aux prises avec un jouet mécanique dont ils ont perdu la clef ; monstres sortis de la partie plus frustre et épuisée de la société : Théoriciens de l’Histoire par le Recul, cow-boys qui se voudraient pragmatiques, mais agissent très approximativement, idéologues en retard prêchent afin que l’on prenne des chemins qui se révèleront inévitablement sans issue, trouvailles qui tournent vite au vinaigre, et dans les meilleurs des cas des solutions à l’eau de rose. Glissement du sens. La quantité comme fin ultime — élevage concentrationnaire, et ainsi de suite —. Ils sont incapables de trouver un point d’équilibre ; une meilleure appréciation de ce qui est utile et de ce qui ne l’est pas. La rencontre avec un vrai politique est désormais chose rare — avec une vraie politique aussi, d’ailleurs — : on ne les fréquente que par convenance sociale, parfois par devoir, sans affection ni sympathie ; et on ne peut même pas espérer les attendre sur un réel terrain culturel, ils ne semblent séduits que par des approches conventionnelles, mais bon, dans Zibaldone di pensieri, Leopardi dit que « l’erreur et l’ignorance sont nécessaires au bonheur », alors on se dit « voyons où les amène l’ignorance, voyons si leurs erreurs produiront quelque chose de vraiment utile ».

renato dit: à

«… Un rire sans joie, le rire de la joie tragique… »

Le personnage est farcesque ce qu’étant donnée l’image qu’il se fait de soi-même, est tragique. Dans son système de pensée prévaut l’idéologie, mais fragmentaire, comme une page de journal : insuffisante — par chance, nous ne vivons pas à l’époque où les poissonniers emballaient leur marchandise dans le papier journal —. Il se veut l’expression d’une excellence absolue, mais il est incapable d’accepter le désordre et de penser la double âme de la modernité — destruction et construction —, il lui manquent donc les stimulus sensoriels et psychiques adéquats ainsi que la curiosité pour ce qui réellement advient, en conséquence : références vieillottes, analyses antédiluviennes ; pas d’expérimentation, ni de théorisation ; et par-dessus le marché une écriture pas assez écrite, lorsqu’on le lit à voix haute on trouve une voix sans grain, pas étonnant qu’il porte une névrose de toute beauté.

renato dit: à

On trouve les trois interviews de Primo Levi par Philip Roth dans Shop Talk: A Writer and His Colleagues and Their Work.

rose dit: à

les solutions à l’eau de rose : un milliard 346 mille euros aux soins des personnes âgées.
trois cents millions d’euros pour le foot.

ramasser, en revenant du pain un ver de terre écrasé par le milieu au centre de la route ; le poser tout estramassé dans un pot de terre.
espérer qu’il s’enterre.

bonne journée

renato dit: à

Faut voir, est-ce que l’eau de rose peur virer au vinaigre ?

la vie dans les bois dit: à

Cher « Passou », je vous écris une lettre que vous lirez peut-être.

On vous lit depuis trop longtemps.

On vous lit depuis trop longtemps, dans vos livres.
Pour ne pas être saisi d’une envie irrépressible de faire fermer sa gueule à un imposteur, bien que vous sachiez désormais à quoi vous en tenir.
Une chiffe molle, un dément, qui se sert de vous pour asseoir son mythe.
Le silence est un effet qui n’a pas les mêmes causes. Et la compacité du langage qui va avec. Grâce à raymond, sur ce fil, j’ai compris celui de Beckett.
Ainsi le boursouflé petit-fils de déportés, compare des généalogies, pour mieux faire ressortir sa lâcheté congénitale.
Cher  » Passou », entre nous, jamais, jamais, on ne pourra comparer un homme qui s’engage pour défendre la liberté, comme feu votre Père, et un obscur qui laissa sa mère se rendre aux nazis. Et ne pas conspuer l’avorton minable qui vous en fait reproche, encore hier à 22h44.

Bien amicalement, cher Pierre Assouline.

Jazzi dit: à

« #TuSerasUnHommeMonFils : une campagne pour ne pas en faire un macho »

Le nouveau mot d’ordre des parents et des éducateurs serait-il : « Tu seras une tapette mon fils » ?
Les temps changent !

Jazzi dit: à

LVDLB est une femme de lettres… de dénonciation : un corbeau qui ne s’ignore pas !

renato dit: à

Enfin, Jacques ! on peut éviter le premier piège sans tomber dans le deuxième !

la vie dans les bois dit: à

bas rosis, une langue de p.ute comme vous, comment peut-elle apprécier quelque chose qui ne la concerne pas…!

christiane dit: à

@D. dit: 31 mai 2018 à 0 h 13 min
Avec une expression moins argotique que la vôtre… Il était nécessaire de remettre les « pendules » à l’heure afin de sortir des accusations répétitives de certaine. JJJ, demandait un éclaircissement pour sortir de cet enlisement, je l’ai donné. Oui, c’était long…

la vie dans les bois dit: à

bas rosis, vieille folle superficielle, en outre nul n’ignore ce qui s’écrit sur ce blog. Il suffit simplement de remettre les pièces au bon endroit sur l’échiquier, ah !

Jazzi dit: à

« nul n’ignore ce qui s’écrit sur ce blog »

En effet, belle LVDLB. On comprend pourquoi Raymond se fait attendre et que comme Godot, il ne viendra pas pour toi !

la vie dans les bois dit: à

bas rosis, allez vous faire en.cU.ler ailleurs; c’est pas le genre de la maison.

Jazzi dit: à

Hier, au bois, près de chez moi, je regardais des jeunes filles jouer au foot avec des garçons. Question dribbles, feintes, passes et tirs au but, elles n’avaient rien à leur envier !

Jazzi dit: à

Et tu seras un homme, ma fille LVDLB !

Bloom dit: à

je regardais des jeunes filles jouer au foot avec des garçons. Question dribbles, feintes, passes et tirs au but, elles n’avaient rien à leur envier !

Girls do have balls, Baroz!

Bloom dit: à

Girls with balls (variante)

Bloom dit: à

Ballsy chicks (autre variante)

Jean dit: à

Bloom with balls — deux — dans la tête. Vive le foot ! A. A. !

Jean dit: à

Vive le foot ! A. A. ! (moi)

J’adore les sigles. Tout ce qu’on peut leur faire dire ! C’est merveilleux.

Jazzi dit: à

Un temps prochain viendra où les équipes de foot seront mixtes !

Jean dit: à

Le footeux Bloom tente de détourner de la tête deux balles tirées par des jeunes filles voilées. Manque de pot : c’était pas les bonnes. Vive les tirs au but !

Jean dit: à

Un temps prochain viendra où les équipes de foot seront mixtes ! (jazzi)

Pas question ! rien que des jeunes filles voilées ! A. A. !

Jazzi dit: à

Merci, closer, je l’ai écouté…

Passou dit: à

LVDB, Vous prenez certains épisodes délirants trop au sérieux. Et où avez-vous vu que le commentaire de 22.44 que vous citez me concernait d’une quelconque manière ?

rose dit: à

DHH
vous n’avez pas reçu mon mail, je crois. Pourriez-vous ici redonner la recette des artichauts à l’orange ?

Je vous remercie.

renaît,
Si : cela vire.
Pas à la rose mais à la framboise ; cela est particulièrement succulent. cf chez Popol St Cyr sur Mer.

rose, top chef, sous l’égide de DHH, créative, elle.

Chantal dit: à

C’est en effet déprimant, mon roman avance bien, belle journée.

La vie dans les bois dit: à

Je ne sais pas « Passou », il faudrait reprendre les commentaires du delirant sur votre livre « retour a Sefarad » injurieux a votre endroit ?

La vie dans les bois dit: à

Prendre au serieux les délires du boursouflle?
Un peu, ma non troppo. Juste assez pour que cette loque ne puisse pas impunément se repandre en ordures.

Janssen J-J dit: à

et Passou a raison ! Ce matin, je vois que dans la nuit, gwg répondait à mes prétendues ignominies. Il ne veut apparemment pas la paix. Normal, comme le remarque benoîtement notre hôte qui en a vu bien d’autres : « Vous prenez certains épisodes délirants trop au sérieux ». En revanche, vous, lvdb, n’êtes pas pour la paix israélo-palestienne des blogues, car dans le genre morpionne perverse, on a rarement fait mieux : « et un obscur qui laissa sa mère se rendre aux nazis »…
Et c’est à moi que le Jude l’obscur vient reprocher des ignominies pour avoir émis chez lui l’hypothèse du syndrome assez répandu dit de « l’imposteur », allusion au personnage réel d’Enric Marco dépeint par Javier Cercas. Ce que je veux bien retirer, si cela fait mal aux délirants; sinon m’excuser d’avoir blessé. Savoir que cela ne sert à rien : le pardon n’est pas de ce monde fantomatique.
Vingt dieux !!
BJ à toussent et à Pierre Assouline. Merci pour cette petite intervention matinale qui remet de l’heure aux pendules.

La vie dans les bois dit: à

ducon arbitre des inelegances. Bien sûr on a tous lu dix fois l ‘histoire du boursoufle. Mais elle n’interesse pas les parsiens… tu m’etonnes…

La vie dans les bois dit: à

Le boursouflle a dit pus que pendre sur son pere sur ce blog même.
Faudrait voir a prendre les enfants du bon dieu pour des oies sauvages ducon.
J’sais bien que tu fais l’show pour un public usé mais quabd même!

La vie dans les bois dit: à

Et toi ducon morpion chef tu as interet a c’que la guerre continue, vu le temps que tu passes a gerer tes pseudos, lol.

Chaloux dit: à

« (…)certains épisodes délirants ».

Enfin, Zeus tonna mollement du haut de son Olympe.

Tout ou presque étant mensonge chez un individu, il est légitime de se demander jusqu’où peut aller cette pathologie.

Santangelo Giovanni dit: à


…Bibliothèque Sant’Angelo Giovanni,…

…autant, avoir, les livres en vrais,…

…plus, facile , la vie,…au soleil, et a ses pénombres,…zutre les rosiers en fleurs,sur les autres arbustes,…

…se regarder, dans la glace,…et savoir, se limiter, à ses cadres, terre à terres,…

…la bonne vie, en ses domaines imaginaires,…le commerce bourgeois, pour sa ville, et ses résidences, en rêves,…
…à nos concurrents, et, à leurs modes,!…

…envoyez,!…Bip,!…Bip,!…etc,!…

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 11 h 06 min
C’est toi qui est atteint de délire paranoïaque, pour voir ds mensongs partout ! Plus taré, tu meurs et surtout plus pourri!!!!

Paul Edel dit: à

Revenons à Beckett qui écrit dans « en attendant Godot »:  » essayons de converser sans nous exalter,puisque nous sommes incapables de nous taire. »
Parmi ceux qui expliquent pourquoi ils aiment le théâtre de Beckett c’est Robbe- Grillet qui touche a quelque chose de très juste quand il écrit ceci dans « pour un Nouveau Roman » :
« Que nous propose « ‘En attendant Godot » ? C’est peu dire qu’il ne s’y passe rien. Qu’il n’y ait ni engrenages ni intrigue d’aucune sorte. Ici, c’est moins que rien qu’il faudrait écrire : comme si nous assistions à un espèce de régression au-delà du rien..
Nous saisissons tout à coup, en les regardant (Gogo et Didi) cette fonction majeure de la représentation théâtrale :montrer en quoi consiste le fait d’être là. Car c’est cela, précisément, que nous n’avions pas encore vu sur une scène, ou en tout cas que nous n’avions pas vu avec autant de netteté, si peu de concession et tant d’évidence. Le personnage de théâtre, le plus souvent, ne fait que jouer un rôle, comme le font autour de nous ceux qui se dérobent à leur propre existence. Dans les pièces de Beckett, au contraire, tout se passe comme si les deux vagabonds se trouvaient en scène SANS AVOIR DE RÔLE. »

Widergänger dit: à

La vie dans les bois dit: 31 mai 2018 à 10 h 49 min
Pauvre débile malfaisante, pourrie de chez pourrie ! Mon père, je le vénère.

Faut vraiment être la dernière des garces pour se livrer à ce genre de jeu sadique !

Clopine Trouillefou dit: à

Chaloux : dans les mots. Quand le mensonge atteint jusqu’aux mots, qu’on tord à sa guise, la pathologie atteint là son point ultime, à mon sens. Le plus terrifiant pour moi des livres, bien avant King, c’est bien 1984, ou plus précisément sa fin : quand le héros a, non seulement admis, accepté, mais qu’il RESSENT que la guerre, c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, etc. Orwell a parfaitement capté que ce sont dans les mots que se cache le loup, encore plus que Freud ou même Lacan, n’est-ce pas, qui opposent encore la barrière du surmoi aux menées obscures de l’inconscient. Chez Orwell, plus de distance aucune entre l’inconscient et les mots : la guerre, c’est la paix. Point final. Le héros sirote sa mauvaise bière dans le halo respectueux et terrifié que les autres hommes tissent autour de lui : c’est qu’il est devenu les mots, et les plus absurdes qui soient, et qu’il est prêt à en accepter, sur ordre supérieur, jusqu’aux contresens…

Cette terreur, mêlée à une passion dévorante, explique sans doute, pour bibi, ce besoin irrépressible : des mots reflétant le réel, non son image déformée par un cerveau déficient. Une trouille ancienne, sans aucun doute, et une soif de « bon sens » que je cherche à tâtons à épancher.

Chaloux dit: à

Clopine, en ce moment vous osez monter d’un cran. Très convaincant.(Quand je ne suis pas d’accord je le dis, mais quand je le suis, je le dis aussi).

Widergänger dit: à

Janssen J-J dit: 31 mai 2018 à 10 h 42 min
C’est l’hôpital qui se moque de la charité ! C’est toi qui ne veux pas de paix pour répliquer une nouvelle fois à ce qui devrait être sans réplique. Ferme ta gueule de pourri des charentes, c’est le mieux que t’as à faire, espèce de sale cornard !

La vie dans les bois dit: à

Don’t feed le pervers delirant. Il a infligé a ce blog le portrait d’un pere honni pour une bonne raison, et maintenant il le venere. Grand bien lui fasse.

Widergänger dit: à

Passou dit: 31 mai 2018 à 10 h 03 min
En effet, le commentaire de 22:44 n’a jamais concerné Passou, mais ce débile de Janssen, qui avait affirmé ici un jour (ce que je n’avais même pas relevé, d’ailleurs, tellement c’était délirant et ignoble dans son fond) que j’étais semblable au personnage du roman de Javier Cercas qui s’invente une déportation.

Faut vraiment être complètement taré comme un charentais qui s’est marié dans une bourgade profonde de Charente-maritime pour faire pareil parallèle.

Et ça ne vallait même pas la peine d’être relevé tellement c’est nul et bête et con comme un franchouillard ignare.

Widergänger dit: à

La vie dans les bois dit: 31 mai 2018 à 11 h 30 min
C’est simplement que tu piges jamais rien à ce que j’écris, qui te passe à dix mille pieds au-dessus de la tête, avec le pois chiche qui te sert de cervelat, pauvre pétasse aux fesses pendante ! Les vipères des bois comme toi, on se contente de les écraser avec son talon quand on en rencontre une.

Widergänger dit: à

La vie dans les bois dit: 31 mai 2018 à 11 h 30 min
C’est simplement que tu piges jamais rien à ce que j’écris, qui te passe à dix mille pieds au-dessus de la tête, avec le pois chiche qui te sert de cervelat, pauvre pé.tasse aux fesses pendante ! Les vipères des bois comme toi, on se contente de les écraser avec son talon quand on en rencontre une.

Bloom dit: à

With neo-Nazis marching in American cities, the national faith in absolute free expression is breaking down –
https://www.theguardian.com/news/2018/may/31

1. Roth prophète avec Le Complot contre l’Amérique
2. Des limites de la « liberté d’expression », y compris sur ce bolgue.

La vie dans les bois dit: à

Rooo comment le delirant donne le change aux parissiens sur une mise en scene de ducon. Incroyab’.

Clopine Trouillefou dit: à

Oui, merci Chaloux, et en prime, Orwell attribue à son héros le métier de traducteur : il doit « réécrire » les textes dans la « novlangue, et est « bien considéré », au début, car il est bon dans la synthèse et la simplification (à outrance, la dite-simplification).

Ca fout le traczir, non ? D’un côté, si vous pensez aux milliards d’êtres humains qui ont besoin de la « foi » (quelle qu’elle soit, hein, pas de jaloux dans le monde magique où la mort est transcendée) , vous vous dites qu’Orwell n’ pas tant noirci le trait (stalinien..;) que ça.

Brrr. J’en ai la chair de poule, notez.

Chaloux dit: à

Pauvre Blabla, tout ce que tu racontes est faux, -presque- tout le monde l’a compris ici : tes voyages -ton numéro de Kiev, l’an dernier, avec fiancée, mariage, enfants-, tes amours etc. Et même tes déplacements anciens, ce qui prouve que le problème ne date pas d’hier, car tu prétends être allé à Odessa mais il n’y a pas une photo originale sur ton site, tout est pompé sur Internet. Le reste est à l’avenant, tes lectures -tu l’as encore prouvé, ou du moins je l’ai prouvé il y a deux jours-, les rapprochements grotesques entre écrivains que tu ne connais pas plus les uns que les autres, tes lectures piquées sur des résumés Internet etc. Sans parler de tes livres dont tu continues à nous entretenir à près de 65 ans comme si tu en avais quarante ou cinquante, qui n’existent que dans ton pauvre esprit, sur les listes que tu fournis ici de temps en temps et quelques pages de brouillons assez ridicules, hâtivement griffonnées sur un coin de table, dans le seul but d’y faire croire encore et encore à quelques naïfs ou trop indulgents, ou trop charitables. Ne parlons pas de ta généalogie, de ses incohérences, ni de tes documents de famille qui puent le faux à plein nez. On n’apprend pas d’où l’on vient en adoptant des morts. Et laissons aussi de côté la façon dont tu parles des femmes, de l’amour et de l’érotisme, qui ne prouve qu’une chose, c’est que tu n’en sais rien.
Bref, tu es une purge. Autrefois, c’était drôle, beaucoup moins maintenant. Songe à y mettre fin.

Pour le reste, je suis debout depuis 4H30 et je n’ai pas fini ma journée.

Janssen J-J dit: à

@ pour que cette loque ne puisse pas impunément se repandre en ordures

C’est réussi, apparemment : bravo à toussent !

Widergänger dit: à

Paul Edel dit: 31 mai 2018 à 11 h 19 min
La remarque de Robbe-Grillet est tout à fait intéressante mais elle est à l’évidence excessive.

Si les personnages de Beckett montrent bien sur scène tout le poids métaphysique et physique d’une présence humaine, il n’en demeure pas moins, qu’ils ont un rôle.

Ils ont un rôle d’ailleurs à double titre. Un rôle avec des répliques à apprendre par cœur, et un rôle qu’ils se jouent à eux-mêmes et l’un à l’autre dans l’intrigue, dans la digèse pour parler le langage de G.G.

Mais ce qui est certain, c’est que le moteur dramatique repose quasi exclusivement sur les mots, les interactions verbales comme diraient les linguistes et non sur quelque fait anecdotique comme dans la dramaturgie classique même si des faits anecdotique sont évoqués comme les vendanges dans le Roussillon rapportées par la vipère des bois avc sa bêtise habituelle. Les anecdotes ont de ce fait d’ailleurs la même allure étrange voire mystérieuses qu’elles acquièrent chez Kafka dans Le Château où des parties de la géographie réelle sont mentionnées.

Mais le fonctionnement dramaturgique par les mots remonte à Marivaux au XVIIIè siècle, c’est la grande innovation de sa dramaturgie. Où il ne se passe pas grand chose non plus d’ailleurs, sinon la naissance de l’amour, comme chez Beckett la naissance du sens, pourrait-on dire, c’est très analogue à vrai dire. Simplement Beckett a poussé la dramaturgie héritée de Marivaux (et il y a aussi du Marivaux et du marivaudage entre Estragon et Vladimir si on rgarde bien le texte) jusqu’à son extrême. Non pas par un jeu intellectuel (rien d’intellectuel chez Beckett) mais par nécessité existentielle, pour rendre compte dramaturgiqument de ce qu’il faut bin appeler au sujet de ss personnages un « expérience de la béatitude » mais au sens purement nietzschéen et laïc du terme.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 11 h 48 min
Mais quand est-ce que tu vas la fermer ta sale gueuled e paranoïaque ? Tes insanités ne font jouir que toi, pauvre malade mental ! T’as juste besoin d’un bon psychiâtre, mais t’s vraiment atteint.

Ta sule défense pour ne pas perdre la face c’est de laisser entendre que celui qui t’a humilié ne passe son temps qu’à raconter ds bobards. C’est ptit et faible comme défense, mon pauvre chéri ! Trouve autre chose. Mais je peux t’assurer déjà d’emblée que t’as perdu la face à tout jamais ici, et que tu ne cesse de te faire humilier par celui que tu appelles Blabla, et qui s’en fiche pas mal…!

Va plutôt cuver ta névrose paranoïaque !

Widergänger dit: à

Louis Stevenson n’a commencé à écrire qu’à l’âge de soixante ans ! Prends-en de la graine, pauvre cornard. T’es juste une triste loque humaine.

Chaloux dit: à

Blabla, je ne vois pas où un quidam comme toi m’aurait humilié? Tes insultes me passent au-dessus. C’est surtout que tu commences à croire que dire la chose est la créer. J’y vois surtout la fin -le bout de la route- de ton parcours mythomaniaque et pervers. Mais enfin, il y a de moins en moins de naïfs… C’est le moins qu’on puisse dire.

Widergänger dit: à

De ce point de vue d’ailleurs, Vladimir et Estragon font office de theatrum mundi et d’une forme épurée de théâtre baroque.

La dramaturgie beckettienne n’est pas descendu un jour comme ça du ciel des cintres. Elle est ancrée dans une tradition, et même dans une multitude de traditions théâtrales qu’elle renouvelle toutes à nouveau frais. Elle est parfaitement moderne, à la fois innovante et rposant sur ds traditions, éphémère et éternelle.

La vie dans les bois dit: à

@11h50 évidemment.

Chaloux dit: à

C’est curieux que le père de Blabla soit en question, car il n’y a à l’évidence pas de père dans sa prose.

La vie dans les bois dit: à

Ca date oas d’hier.

La vie dans les bois dit: à

Je mettrais cela plus vers 2013 ou 2014. Pas avant.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 12 h 02 min
Arr^te de faire ta bravache. J t’ai humilié dès le premier jour avec mes commentaires humiliants écrits exprès pour humilier ls tarés de ton espèce qui croient écrire des choses intelligentes quand ils n’écrivent que des âneries à longueur de temps, et qui méprisent comme c’est ton cas les professeurs du secondaire tellement t’es con et minable. t tu ne t’en es jamais relvé, c’est bin pour ça que t’as commncé à me persécuter avec les frontières de la Sologne, dans tes commentaires débiles et tout juste digne d’un gamin de 6 ans immature.

Widergänger dit: à

Moi, je dois dire que ça m’amuse !

Les chaloux, la vipère des bois, le Janssen croient pouvoir m’atteindre en s’en prenant à mon père, à mes couilles, ou à je ne sais quoi qu’ils croient importants pour moi.

Ils ne font ce faisant que s’humilier eux-mêmes car ici personne n’st dupe. Et surtout pas Passou qui indiqu dans son poste que tout ça n’a guèr d’importance. Comme il a raison ! On voit simplement des cons au travail.

Chaloux dit: à

Mon pauvre Blabla, tes rêves de toute-puissance atteignent un sommet qui devrait t’inquiéter (surtout si tu te crois dans le vrai). Il y a quelque chose qui ne fonctionne plus dans ton cerveau.

Chaloux dit: à

Blabla n’a pas compris, ne peut pas voir, à quoi se rattache l’expression « épisodes délirants ». Encore un signe… Pauvres gamins.

Fin de la récré!

(Pablo, je te réponds ce soir).

Widergänger dit: à

tu commences à croire que dire la chose est la créer (chaloux)
____________
C’est c que tu passes ton temps à faire ici. Tu crois qu’en disant que passerais mon temps à mentir tu vas faire en sorte que je passe effectivement mon temps à mentir.

Je dois dire qu’un menteur pareil, s’il xistait serait un véritable génie ! Tu produis le génie en fait que tu crois dénigrer. Ce qui montre ta parfaite sottise, mon pauvre ami ! T’es un sacré con !

Bloom dit: à

Wannsee où son ami roumain, le sachant à Berlin, l’a pressé de se rendre afin de fouler la terre où le poète Kleist et son amie Henriette se sont suicidés.

Ouf, tout est perdu fors l’honneur….Von Kleist, HHHenrietttEU, Les litanies de la mort & le double suicide, bien sûr! (si beau, le suicide des autres).
On n’imagine pas Cioran conseiller à Beckett d’aller fouler le sol du lieu où s’est déroulé la conférence qui décida de la mise en oeuvre industrielle de la Solution Finale de la Question juive (Die Endlösung der Judenfrage).
Pas son genre, au père Mimile..

Widergänger dit: à

Chaloux passe son temps à m prêter ses rêves mesquins. Comm si j’avais jamais eu des rêves de toute puissance. Je commente avec mon savoir littéraire. J’essaie d’écrire ce qui me hante. Je ne vois pas qu’il y ait là quelque rêve de tout puissance que ce soit. Rien que de normal !

Mais vu par un anormal ! Et qui nous fatigue, parc que ça dure depuis ds années et ds années, cs tristes commentaires délirants de ce fol échappé d’un tableau de Jérôme Bosch…

Chaloux dit: à

Si j’étais le seul à le comprendre, Blabla, ton diagnostic pourrait être pris en compte. Mais c’est quoi? Une hallucination collective?

Chaloux dit: à

« J’essaie d’écrire ce qui me hante.  »

Mais écris-le pour toi et fiche-nous la paix…

Chaloux dit: à

Personne ne te demande de guérir…

Widergänger dit: à

Mais être là à Wannsee devant la villa où eut lieu la réunion du 20 janvier 1942 a quelque chose d’abyssal. Et surtout de voir par derrière la beauté du lieu, avec les forêts, les voiliers, les baigneurs, les plages, les oiseaux. Le sentiment de l’absurdité du monde est alors à son comble.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 12 h 22 min
Mais je vais parfaitement bin. C’st toi le malade.

Bloom dit: à

la beauté du lieu, avec les forêts, les voiliers, les baigneurs, les plages, les oiseaux. Le sentiment de l’absurdité du monde est alors à son comble.

La nature est indifférente au Mal (pour faire simple) causé par l’inhumanité humaine. En cela, elle est a-morale.
Combien de massacres ont été perpétrés dans des lieux magnifiques, parfois sublimes!

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 12 h 21 min
« J’essaie d’écrire ce qui me hante. »

Mais écris-le pour toi et fiche-nous la paix…
____________
T’s jaloux, c’st tout.
Ici c’st un blog littéraire et il va parfaitement de soi de parler de création littéraire. Sans qu’un fol dans ton genre s’n empare pour aller dir qu’il s’agirait d’une toute-puissance. C’st parfaitement idiot et malveillant, et typique d’un imbécile de ton espèce, qui ne comprend rien à la chose, pas plus qu’il n’est capable de comprndre Beckett. Mais qui est tellement boursoufflé de ses grosses couilles qu’il en embarrasse la Rdl depuis des lustres pire de Priape avec sa grosse bite pendante. Cache ton engin et ton piano avec…

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 31 mai 2018 à 12 h 18 min
Je ne vois pas qu’il y ait là quelque rêve de tout puissance que ce soit. Rien que de normal !

Widergänger dit: 29 mai 2018 à 22 h 00 min
Les seuls commentaires intéressants ici, ce sont les miens.

Normal pour un HP. Ailleurs, ce serait à voir…

Hurhurkhurk!

Chaloux dit: à

Mais mon pauvre Blabla, tu ne parles jamais de création littéraire. Tu n’as pas la moindre idée de ce dont il s’agit. Et tu n’en as pas un échantillon sur toi. Tu pérores… Et tu ne serais pas toujours là (du soir au matin, maintenant, et même la nuit) si tu ne le savais toi-même. Tu profiterais du peu de temps qu’il te reste pour travailler.

Widergänger dit: à

Oui, tout à fait, Bloom ! Ce sont ds réflexions de ce genre d’ailleurs qu’on se fait quand on est dans la forêt au fond du camp d’Auschwitz-Birkenau.

Mais pour en revenir à Beckett, ce qui fait la puissance de son écriture, c’est que la pensée n’y fait plus qu’un avec un certain rythme, une certaine musique typique de Beckett et de son âme, et immédiatement identifiable, quoi que ce soit qu’il écrive. Et c’est ça profondémnt le style, cette imbrication très étroite entre une pnsée et un rythme de la phrase, une scansion qui vient des profondeurs de l’être. Alors on aime ou on n’aime pas; mais c’est ce qu’il faut sentir et comprendre d’abord par le cœur avant d’en rendre compte par la raison.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 12 h 32 min
Tout ce que tu peux écrire est le fait d’un malade mental. Même pas besoin de le lire pour le savoir.

La vie dans les bois dit: à

On ne risquera pas de s’en prendre au delirant. Il est assez pervers pour ecrire sur ce blog et depuis des annees des trucs tres personnels sur sa famille. Cette histoire d’imposture lui colle au cul et comme il l ‘a malpropre, il se sent en droit de degueulasser tout le monde. A commencer par « Passou »

Widergänger dit: à

La vie dans les bois dit: 31 mai 2018 à 12 h 37 min
Mais dis donc t’en connais un rayon pour dégueulasser tout le monde, toi, ma grosse pouf.fiasse, hein ! T’es juste une grosse dégueulasse ! Et t’as jamais été rien d’autre !

Moi, je m défends des attaques sourdes des gros pervers narcissiques de ce blog, c’est tout, genre chaloux et Janssen. Mais c’st par pure bonté d’âme que je daigne leur répondre.

Bloom dit: à

la beauté du lieu, avec les forêts,

Cette parfaite indifférence de la nature a été magistralement mise en mots et en scène par Thomas Hardy lorsque Tess se fait culbuter dans le bois de The Chase par Alec, le châtelain local.

« Darkness and silence ruled everywhere around. Above them rose the primeval yews and oaks of The Chase, in which there poised gentle roosting birds in their last nap; and about them stole the hopping rabbits and hares.(…) »

Chaloux dit: à

Blabla, tu confonds la maladie mentale avec les mathématiques. Il y a près de dix ans j’avais calculé qu’à l’allure où tu allais -déjà-, il te faudrait 270 ans pour venir à bout de ton manuscrit. Je ne me suis certainement pas trompé de beaucoup. Quant à parler littérature -puisque tu n’es pas chercheur- il y a beau temps que ceux qui lisent vraiment savent que seul importe ce qu’en disent les écrivains. Ta logorrhée, de ce point de vue, ne pèse pas bien lourd, mais ce qu’elle pue!

Widergänger dit: à

Oui, la nature sert de thème et de procédé dans une esthétique de la cruauté pour suggérer l’insoutenable. C’est un procédé assez universel, de Homère aux Falaises de marbre de E. Jünger.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 12 h 42 min
Ferme-la, tes éructations nous fatiguent.

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 31 mai 2018 à 12 h 34 min

Les propos sur le style sont d’un adolescent qui commence tout juste à lire, et ceux sur le cœur d’un imb.é.cile.

Merci pour cette synthèse.

Ceci me rappelle une notation d’Antoine Compagnon sur Gautier. Blabla qui possède ce livre à fond vous la racontera.

Jazzi dit: à

« Il a infligé a ce blog le portrait d’un pere honni pour une bonne raison, et maintenant il le venere. »

Jamais, LVDLB.
WGG a toujours parlé de ses parents avec amour et respect.

La vie dans les bois dit: à

Bof, des histoires de menteurs, y ‘en a plein les rayons des biblis.
Celle du delirant n’apportrra rien de plus qu’il n’ait déjà ecrit sur ce blog, quoiqu’il s’en defende en insultant.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 12 h 49 min
Tu t’enfonces Alfonse…

La vie dans les bois dit: à

Bien sur bas rosis. Un vrai conte de fee, lol.

Chaloux dit: à

Je ne m’enfonce pas, Blabla, je retourne travailler. Il n’y a que toi pour croire que ta logorrhée mérite 1) d’être consignée 2) d’être donnée à lire. Je te laisse te rêver.

Chaloux dit: à

Il est dommage qu’on ne puisse plus accéder à l’ancienne république. Assouline nous a fait là un sale coup. L’occasion manquée de rétablir certaines vérités…

Bloom dit: à

Sur la deuxième photo de lui, Samuel Beckett arbore une coupe « Iroquois ». Ol’ Sam, keupon avant l’heure?

Widergänger dit: à

La vie dans les bois dit: 31 mai 2018 à 12 h 54 min
Mais je n’ai rien écrit ici du fond des choses, dont vous ignorez tout, t que vous n’êtes même pas capable de comprendre. Surtout une grosse déguulasse de ton acabit.

Vous croyez naïvement qu vous pouvez me faire du mal en me calomniant. Puisque tout le monde a bien compris depuis longtemps le petit jeu sadique des chaloux, et autres pervers. Quand vous aurez compris que ce n’est qu’un blog…! Vous êtes de gros cons, c’est tout.

La vie dans les bois dit: à

Technique du pervers: essayer de retourner la situation a son avantage.

Widergänger dit: à

Les commentaires de chaloux font penser à Hérold Paqui pendant la guerre sur Radio Paris (ment, comme on disait à Londres).

Widergänger dit: à

La vie dans les bois dit: 31 mai 2018 à 13 h 03 min
Technique du pervers: essayer de retourner la situation a son avantage.
_________
Le fameux ruban de Möbius…

Chaloux dit: à

Vient le jour où il n’y a plus d’avantage…

Widergänger dit: à

C’est ça, dégage, avec la queue entre les jambes comme d’hab. Quel foutrac débile !

raymond dit: à

merci LVDB pour ces mentions à propos de mon intervention sur Beckett. Je n’ai pas toujours la possibilité de vous répondre immédiatement; excusez moi.

Jazzi dit: à

Tu dois confondre avec la Folcoche d’Hervé Bazin, LVDLB, dont tu sembles avoir hérité du côté vipère ?

Chaloux dit: à

Jazzi, pour te caractériser, je cherche le titre d’un roman où il soit question d’une tei.gne. Mais je ne trouve pas… (Napoléon?).

Ed dit: à

« la notion même de travail considérée comme la plus grande des vertus »

Oui, oui, oui et oui. Et Dieu sait si mon éducation n’a pas été protestante.

Jazzi dit: à

Cherche, Chaloux, tu finiras par trouver !

Rassure-moi, LVDLB, tu n’as pas eu l’inconscience d’avoir enfanter !?

Jazzi dit: à

enfanté…

Widergänger dit: à

On n’a pas ncore parlé de Geulincx, le philosophe flamand occasionaliste qui a eu une si vive influence sur Beckett.

Mais on voit bien à travers lui à quelle école de pensée Beckett se rattache, à tout ce courant qui remonte à la sophistique et où l’occasion, le hasard, comme chez Pascal, est au centre de la pensée du tragique.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 31 mai 2018 à 13 h 11 min
C’est plutôt chaloux le teigneux ! Tous ses commentaires en témoignent depuis de très nombreuses années maintenant. Le niveau littéraire étant proche de zéro.

Widergänger dit: à

Une profonde parenté d’esprit évident avec Pascal, mais coloré par l’humour irlandais et lu par un clown.

Mais il y a parfois chez Pascal des pensées qui sont du Beckett pur et dur comme la pensée sur les jumeaux, typiquement beckettienne.

La vie dans les bois dit: à

Ce n’est qu’un blog.
Allez allez faut se remotiver.

La vie dans les bois dit: à

Bonjour raymond, bonne journée a vous.

Widergänger dit: à

« Mais à présent, je n’erre plus nulle part, et même je ne bouge prsque pas, Et pourtant rin n’est changé. Et les confins de ma chambre, de mon lit, de mon corps sont aussi loin de moi que ceux de ma région, du tmps de ma splendeur. (L’Innommable)
__________
On voit bin la parenté de cette problématique du corps, typiquemnt beckettienne, avec celle du corps dans La Métamorphose de Kafka ou celle de Proust au tout début de La Recherche, avec le corps de l’enfant qui se prolonge sur les murs comme aux « confins de la chambre ».

C’st toute la problématique de la schizophrénisation du monde dont nous parle ici Beckett. Qu’il ne soit pas encore lisible montre simplement que l’aveuglement règne en masse. Mais il est clair que la prose de Beckett est de nature prophétique à cet égard. On le voit dans la jeunesse à la dérive et à la manière dont en parle les psychiatres, avc cette problématique du corps qui envahit l’espace telle la grande Mère phallique.

Widergänger dit: à

La vie dans les bois dit: 31 mai 2018 à 13 h 27 min
Allez allez faut se remotiver.
___________
On dirait que t’en a besoin après la raclée que t’as reçue de toute part comme une volée de bois vert, la grosse dégueulasse infantile infanticide.

Widergänger dit: à

Beaucoup d’affinité par exemple entre la représentation des corps chez Beckett et chez Francis Bacon, très grand peintre de la schizophrénisation des corps et de la schizophrénie tout court. On trouve aussi ça chez Paul Klee mais en plus ludique.

La vie dans les bois dit: à

Petit rappel aux parents du XVIeme, don’t take it easy.

Widergänger dit: à

On a interprété souvent ce qu’écrit Beckett du corps de son puritanisme protestant. Mais c’est vraiment mal le comprendre. Il ne s’agit pas de cela. Il s’agit bien plutôt de l’image du corps chez n’importe quel individu vivant dans une société qui est telle qu’elle engendre cette schizophrénisation du corps, un rapport totalement pathologique à l’image inconsciente du corps.

Beckett essaie d’en rendre compte en utilisant des procédés venus du cinéma, comme un champ de vision limité comme un gros plan et un focale étroite : « mes yeux ne voyaient que le poignet, le dos fortement veiné et la blancheur des premières phalanges. » (L’Innommable)

Widergänger dit: à

La vie dans les bois dit: 31 mai 2018 à 13 h 44 min
Tu crois faire peur à qui, là, la grosse dégueulasse ? T’es un grosse débile.

Widergänger dit: à

Même Beckett fait allusion à ce malheureux chaloux quand il fait dire à l’un de ses personnages :

« Juste assez de cerveau resté intact pour pouvoir jubiler ! »…

C’est le chaloux tout craché, au sens propre… mais sale…

Jazzi dit: à

« la notion même de travail considérée comme la plus grande des vertus »
« Oui, oui, oui et oui. Et Dieu sait si mon éducation n’a pas été protestante. »

Il fallait le redire à ces garnements, avant leur mort au… travail, Ed !
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20150626_00669808?pid=2325473

Ed dit: à

jazzi,

Il n’y a pas un domaine où l’excès ne soit néfaste. Quand le travail devient esclavage ou souffrance permanente (les burn-outs), il cesse évidemment d’être une vertu.

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