France Culture, une certaine idée de la radio
France Culture, combien de divisions ? Evidemment, à l’aune de l’audience comme seul critère d’évaluation, elle reste loin du peloton de tête des radios généralistes (1,048 million d’auditeurs soit 2% d’audience). Mais en capital symbolique et en influence, elle domine depuis des années, et l’écart se creuse alors que la station vient de fêter son cinquantième anniversaire. Il n’est pas de meilleur ambassadeur de l’exception culturelle made in France. Encore faut-il préciser que la culture y est envisagée dans sa plus large acception tout en donnant à connaître au plus grand nombre les savoirs spécialisés. France Culture, qui se singularise à l’oreille par l’exigence dans la qualité du son, et une couleur d’antenne qui ne trompe pas, est la dernière radio où l’auditeur n’est requis que d’écouter. On ne lui demande surtout pas de participer !
Rappelons au passage que bien avant l’internet, la radio, surtout celle-là, est par excellence le média à forte valeur ajoutée qui ait toujours été gratuit sans que cela ait jamais fait débat… Ce qui n’empêche pas ses fidèles auditeurs de s’en considérer comme co-propriétaires par le biais de la redevance et des impôts, plus encore que pour n’importe quel autre organe d’information du service public. Même quand il lui arrive de nous énerver, voire de nous exaspérer, on l’aime encore car on prend alors la mesure de ce qui nous manquerait si elle venait à changer.
L’encyclopédie sonore des origines s’est métamorphosée en radio de la parole pour avoir su se renouveler en rompant avec un esprit élitiste qui l’embaumait de son vivant. Toutes ces voix qui nous ont accompagné depuis tant d’années ne nous ont pas lâchés. Le ton, la diction, l’éloquence propres à la chaîne ont évolué (heureusement !). Des baronnies ont fini par sauter. Une certaine solennité, empesée et académique, autrefois emblématique de l’antenne jusqu’à la caricature, s’est également effacée. Mais France Culture s’offre, et elle est bien la seule, le luxe de la durée. Non seulement le temps n’y est pas (trop) compté, mais l’invité a l’insigne privilège d’énoncer beaucoup plus de deux phrases à la suite sans être interrompu. La conversation y retrouve son lustre (à propos, pourquoi n’y a-t-il pas de trait d’union à France Culture ? Et qu’est-ce que cela changerait ?)
Où d’autre peut-on consacrer dix-sept heures d’émission à Winston Churchill toutes les matinées pendant une semaine ? En cas de nuit blanche impromptue, la rediffusion des archives est une efficace consolation. On renonce à citer des noms car ils y sont à peu près tous passé sous une forme ou une autre. Y a –t-il un grand créateur de ce pays dont la voix ne soit jamais passée par les micros de France-Culture durant ce dernier demi-siècle ? Blanchot probablement, Beckett, Cioran et Gracq à peine… Songez qu’en décembre 1963, le programme qui a essuyé les plâtres était une quinzaine consacrée à la place de Proust dans l’époque à l’occasion du cinquantenaire de Du côté de chez Swann. Il suffisait de fermer les yeux, car, comme le disait justement Orson Welles, l’avantage de la radio par rapport au cinéma, c’est qu’à la radio, l’écran est plus grand. C’est particulièrement vrai pour les fictions, lectures et autres adaptations théâtrales dirigées par Blandine Masson. Qui sait que France Culture est de longue date, par le nombre de cachets, le premier employeur de comédiens de ce pays ?
En parcourant l’album conçu par Anne-Marie Autissier et Emmanuel Laurentin pour les 50 ans de France Culture (Flammarion/ France Culture), on est frappé par le nombre de débats d’idées, qu’ils soient littéraires, historiques philosophiques, artistiques, scientifiques, intellectuels, que la station a initiés, suscités, animés et le cas échéant réanimés. C’est d’une richesse inouïe. Qui dit mieux ? Personne dans notre paysage audiovisuel. Dans sa préface, son directeur Olivier Poivre d’Arvor évoque la radio comme « bel et bien l’un des beaux-arts ». Après, tout pourquoi pas, quand on songe à tout ce qui y est expérimenté ? Il y a dans les archives de France Culture à l’INA de quoi remplir des bibliothèques entières si l’on s’aventurait à transcrire les émissions, débats, entretiens fleuves, séries, fictions dramatiques. A eux seuls les Lundis de l’Histoire (la plus ancienne émission de la chaîne, 45 ans déjà !), l’Histoire en direct, Concordance des temps et la Fabrique de l’Histoire suffiraient à remplir les colonnes d’une revue d’histoire hebdomadaire de qualité.
Cela dit, l’âge moyen de l’auditeur est de 54 ans. Troisième station la plus podcastée en France (surtout les émissions d’Adèle Van Reeth, Emmanuel Laurentin, Alain Finkielkraut, Emmanuel Laurentin, Jean-Noël Jeanneney, sans oublier Sur les docks), propulsée dès l’aube par une Matinale particulièrement tonique animée par Marc Voinchet, sa direction nourrit de grandes ambitions pour elle : la hisser dans la cour des grands, faire une marque de « France Culture », aller chercher une plus jeune audience avec les dents quitte à passer pour trop journalistique et trop généraliste, oublieuse de sa vocation première de découvreuse de talents. Certains pensent que ce serait là le moyen de la protéger, d’autres que cela lui porterait préjudice en la dénaturant. Il est vrai que le président Giscard d’Estaing voulait lui faire la peau, et que le président Chirac espérait en faire une annexe pédagogique du ministère de l’Education nationale.
Au Parlement, il y a toujours une voix qui s’élève pour dénoncer le coût de la station eu égard au nombre de Français à qui elle s’adresse. Et régulièrement, elle est balayée. Pourvu que ça dure. Ce n’est pas une chaîne qu’on abat. Mais le jour où France Culture sera mise en péril par un projet de fusion avec France Musique, une réduction drastique de ses moyens, ou toute autre tentative pour la faire disparaître, une certaine idée de la France, de sa culture et de la radio aura vécu.
P.S. France Culture est une station à laquelle j’ai le bonheur de collaborer régulièrement depuis qu’en 1988, Alain Trutat a accepté de me confier un « A voix nue » avec Antoine Blondin.
(Photos D.R.)
922 Réponses pour France Culture, une certaine idée de la radio
« et zouzou y croit ête l’ami de tout lmonde »
L’Edgar Faure de la RdL, c’est ça?
« Pour une majorité d’idées… »
(N’empêche que sa revue, grâce à Lucie, n’était pas si mal).
(Moi aussi, ça me prend de corriger!)
en plus il a faut..on vent des bousins a transistor et même des postes numériques a mettre dans des façades vintages..y reste même la place pour du wisky des tranxènes et 2 ou 3 rouleau de pq pour jean marron..en cas de guerre nucléaire islamique..c’est pas rien
bravo à la peste du marché, lorsqu’elle vient corriger le choléra de la bureaucratie d’Etat
Je te reconnais bien là, mon u. Ne nous fâchons pas. Restons neutres. Ménageons la chèvre et le chou, y a des gens qui peuvent m’être utiles dans les camps. Continue comme ça, tu iras loin.
faux ! putain jle fait exeuprés
Il est artério le petit célinien. Je n’ai pas dit que je n’aime personne, mais que je ne suis — ici — l’ami de personne, ce qui fait une considérable différence… mais ce gars imbibé de gros rouge ne sait répondre que par arc reflex…
Ha les arcs reflex ça c’était bien.
« perso, j’y suis, j’y reste ! En outre, Passou ne m’a jamais censuré. » (JC)
Moi si, hier soir.
C’était une histoire de queue.
Comme il a bien fait!
renato dit: 7 octobre 2013 à 10 h 35 min
« Hé ! JC ! je ne suis l’ami de personne, ici. »
Tu n’as pas d’ami, mais tu es mon ami, Renato, ça ne dépend que de moi. Tu ne vas pas m’empêcher de choisir mes amis, hein ?
Où que tu sois en danger, je te tendrai la main pour t’aider … On parlera argent après.
» y a des gens qui peuvent m’être utiles dans les camps. »
Jeune homme, je vous arrête, vous parlez à un ancien déporté.
bi voir tri matière..double courbure..ça tue son homme a 100 mêtes hin rénato
« L’Edgar Faure de la RdL, c’est ça? »
Le Félix Faure de la Vème Rép aurait pu être de Castelnaudary, n’eût-il été languedocien :
« Chez moi, quand on tue le cochon, tout le monde rit ! sauf le cochon. » se plaisait-il à dire en tirant sur sa bouffarde.
vous parlez à un ancien déporté
on va pas te demander qui t’as du dénoncer zouzou..moi même jicé je le balancerai assez vite.. »coco objectif » que je dirais..ça me vaudrait au moins 500g de pain moisi..ça compte
…
…c’est pas vrai,…j’écris une chose,…
…et çà peut être compris radicalement dans un autre sens,…inversé & en moralité,…
…Oui,…je suis navré,…je suis pas employé à Franc Cul,…etc,…
…
« Chez moi, quand on tue le cochon, tout le monde rit ! sauf le cochon. »
allaouakbar épicétou
Camarade u.
Cette histoire censurée d’appendice caudal, comment dire … elle est venue soudainement ?
Serait-ce une provocation malicieuse d’une de nos chères sœurs erdéeliennes ??? j’en connais des mutines…
« allaouakbar épicétou »
pff… ti d’viens miro coume ine taupe m’sieur bougrhô, ti m’escuses la familiarité…qu’a m’fait plein di trous dans mes plantations l’ispice di counasse…
Y faut y lire « Ali Akbar, épicier » (ci ouvert mime le dimonche, pas coume chez casto ci cons !)
on s’engueule de bonne heure.
sous le billet précédent on avait attendu la fin du fil et l’apparition de daaphnée.
Je sais, je sais .. j’ai d’inconditionnelles admiratrices. Pas des plus raffinées, non – on ne peut pas tout demander, non plus ! – mais i n c o n d t i o n n e l l e s.
Daaphnée chère,
Quel effet cela fait d’être admiré(e) ? Ce phénomène est hélas inconnu pour moi…
Cela me plairait! même sous conditions !
une phrase de Pauledel me sidère : « pauvre littérature contemporaine de langue allemande si mal représentée en France » ; remarque : pauvre littérature contemporaine de langue française si mal représentée sur son blog
» j’en connais des mutines… »
Tu veux parler des pensionnaires de la mère Tatepaf, jicé, au claque de qui tu claques tes éconocroques aussi maigrichonnes que le contenu de ton calbute ? Pas de quoi se vanter.
C’est une question, JC, de douce et patiente humilité .. la voie de Saint-Paul.
Cela me plairait! même sous conditions !
Si ça vous intéressent, m’sieur Jean-Claude (escuser mon français, j’aie pas trop fais d’études, misapar un brevé de technicienne supérieure à la Fac de Saint-Claude), je peut vous proposez une place dans un de mes « pipes shoves » comme y disent des cons d’angliches.
Vitrine en verre sécurit, air conditionnée, hygiène irréprochabe, clillents triée sur le beau vélo de Ravel…vous s’rez comme un coq en plâtre m’sieur Jean-Claude !
On vous attent avec plein d’impatience.
Brigadoon,
Doté des qualités physiques, intellectuelles et morales qui sont miennes, rarissimes en Europe, je n’ai jamais eu à monnayer mon charme chez Mère Tatepaf und Poponetz.
L’atmosphère « Mens sana in corpore salo ! » fonctionne jusqu’à présent. Plus tard j’envisage, avec quelques ivrognes dévoués, de monter un Love Center ouvert aux jeunes filles de bonne famille décidées à se sortir de l’éducation étroite d’une parentèle frilo-religieuse conservatrice.
Je connais quelqu’un ayant assisté au premier rang à un enterrement avec France Cul dans l’oreille.
Ceci n’est pas une métaphore.
Daaphnée dit: 7 octobre 2013 à 11 h 14 min
« C’est une question, JC, de douce et patiente humilité .. la voie de Saint-Paul. »
Je comprends, enfin, les raisons de mon échec !
( Bon, je sens bien qu’il faut donner quelque précision.
La voie, au sens de chemin. Pas la voiX, non.
Je fais oeuvre de pédagogie parce que mes admiratrices, qui ne sont pas des plus vives non plus, se sont bien risquées au jeu des mille francs pour s’offrir le grand dictionnaire illustré Larousse … mais je crois bien qu’elle ne sont reparties qu’avec un jambon.
Enfin ! Elles étaient contentes, c’est l’essentiel. )
« L’oreille en Cul », c’était pas une émission de France Inter?
En fait, JC, il n’y a que les Maîtres de l’Orient pour vraiment nous montrer la voie ..
Et U., pourrait de temps à autre nous donner quelques conseils de lecture .. Encore faut-il qu’il le veuille bien ..
« Ceci n’est pas une métaphore. »
Un que je connaissais avait demandé qu’à la fête qui aurait suivi sa crémation, on passe l’œuvre qu’il était en train d’écouter sur France Musique au moment de sa mort. Ce qui se révéla infaisable car il murut dans la nuit et personne n’était présente — après avoir fouillé dans ses souvenir, son fils opta pour le Quintette avec clarinette en la majeur K. 581.
L’Oreille en Cul, c’était l’émission hebdomadaire du regretté Hugo Chavez, homme d’Etat socialiste, retiré trop tôt à notre affection commune, la Mélenche et moi-même …
Daaphnée,
Le camarade U. a d’énormes qualités, mais la logique cartésienne lui paraît si limitée …. Persuader un tel être -une si convaincante sensibilité- est au dessus de mes capacités culturistes.
« En fait, JC, il n’y a que les Maîtres de l’Orient pour vraiment nous montrer la voie ..
Et U., pourrait de temps à autre nous donner quelques conseils de lecture .. (Daaphnée)
Hergé, bien sûr, Hergé.
Mais vous le savez déjà.
Boh oui mais si Daaphnée commence à fienter dès onze heures, alors il faut mettre un imperméable doublé de plomb ou aller se coucher tout de suite, c’est catastrophique épouvantablement.
Oui, U., surtout cette célèbre réplique
« je vais te couper la tête » qu’il m’arrive de méditer ..
non, « je vais d’abord vous couper la tête ». Nettement mieux.
On dirait que le secrétariat ne peut pas la sacquer, hein, patron ? Je peux comprendre, mais ça ne se dit pas.
un imperméable doublé de plomb
..si c’est pour le porter à même la peau pour faire le flacheur dans les parc gare au mélanom du scrotom
Les nèg’, ça sert à rien.
Miss van Reeth et Enthoven-le-jeune ont, c’est ce que je leur reprocherais, ruiné pour toujours l’expression « avoir un physique de radio. » Radio-France est aujourd’hui la nouvelle Hollywood-RCA, ce n’est plus le conservatoire à tronches cassés à la Michel Simon d’antan (le masque boudhico-mortuaire de monsieur Germain-Thomas, les cheveux à la filasse jaune-isabelle de madame Adler, le Mont-Chauve du gars Lebrun, etc.), aujourd’hui la Maison ronde est une grosse piscine à Schneider et Delon, il n’y a plus que le Voinchet du sud-ouest qui fait encore un peur au personnel quand on le croise dans l’ascenseur, ou lorsqu’il fend l’assemblée des cochons de contribuables qui font la queue dans le hall pour quêter l’obtention miraculeuse d’un sauf-conduit d’une heure ou deux vers l’antre d’un studio où s’enregistrent les minces bagages de critiques près à décoller les masques de leurs traits et à maculer les nuages de leurs plumes. Avant la laideur s’égouttait, se goûtait, s’écoutait à l’antenne, elle fonctionnait comme un « rds » naturel ; dès que notre attention se mettait à flotter nous pouvions compter sur son pouvoir invisible pour nous remettre les ondes psychiques baladeuses sur les rails. Depuis 2010 c’est devenu impossible, les images se bousculent, se chevauchent, les mélodies de voix se mêlent aux apparitions des visages, heureusement lorsque la tension musculaire devient insupportable on peut toujours venir dans le « France Culture papier. » C’est d’une grande praticité. Cela n’empêche en rien une certaine nostalgie. La beauté professorale a envahi le Paris radiodiffusé, c’est sans doute la faute à la philosophie.
on passe l’œuvre qu’il était en train d’écouter sur France Musique
alors que pour le libertarien de rien n’importe quelle pub frait la balle..hop
Arc reflex, la preuve.
Robert Charlebois dit: 7 octobre 2013 à 12 h 00 min
Salut Alec. Ça boume ?
le « France Culture papier. »
ha oui c’est vrai..je l’ai révé mais jl’ai jamais palpé..en tout cas concernant le physique radio rimembeur les « voix vaginales » de fip..
Combien de Kravetz, aux qualités radiophoniques inconnues de tous, pour un Voinchet effectivement stimulant ? Sur France Culture un Marc en cache souvent un autre.
Lorant Deutsch, twitté à droite ce jour, ne risque pas d’être invité.
C’est une certaine idée de la France.
» il murut dans la nuit »
Ah que j’ai tujurs, oui tujurs ! dit que la nuit, tut les chats sont gris. Et un chat burré comme un P’tit Lu qui traverse la rue, c’est aaachment dangereux pour les piétons.
Désolé pour ton ami, Toto, ça a dû te faire un cup, non ? Enfin, ton ami virtuel, me prends pas non plus pur un con, hein ?
Johnny
par le papier et les odeurs t’es facilement intoxiqué rénato..tu répètes..essaie d’étonner la prochaine fois
C’est une certaine idée de la France
arrête phil.. »georges bush mêne un guerre juste et intelligente » sic des gars du figaro..aussi entendu debut des 2000’z « l’écologie devrait être confié au marché » resic par un autre kador..tu vois bien sur de qui je parle..une certaine idée
bougreau, la devise du figaro ne collatérale pas France Culture.
Étonner ? quoi, je devrais étonner des spectateurs de ton envergure ? tu rêves quoi, d’être habillé en ange ? tu fonctionnes à l’arc reflex, je ne vais pas me fatiguer pour si peu.
on se plaint des commentaires ici, mais faut voir ceux du Huffington (tweet en haut à droite) : l’extrême-droite monte au créneau.
(tweet Lorant Deutsch)
si je peux me permettre, renato, t’es vachement arc reflex toi-même. Et tellement prévisible. Dès que bouguereau dit un truc, hop, ton tropisme te fait répéter la même chose.
Très bien vu, Robert Charlebois.
Vous avez remarqué cette compulsion à publier sur site, à côté des photos des pin-up boys de la maison, la tronche des malheureux intervenants?
On a la cruauté de les flasher à l’heure du croissant, avec leur dégaine d’universitaires mal réveillés, grisonnants, cravatés à la diable et un peu gras du bide.
Veut-on décourager la lecture?
Voinchet finira en Nosferatu.
Le plaisant talkie laissera alors la place aux austères cartons du muet d’autrefois.
« Lorsqu’il eut passé le pont… »
C’est justice.
Prochaine étape pour Lorànt Deutsch : contester l’ « historiquement correct » des chambres à gaz. Cheminement connu.
@ Réciprocité,
vous pouvez dire ce que bon vous semble, mais si avant vous jetiez un coup d’œil à la chronologie ce ne serais pas de trop.
catastrophique épouvantablement.
(secrétariat de Sergio)
t’as une préférence pour le com à la mords moi le noeud épouvantablement, épicétou
Je ne sais pas où j’ai mis mes lunettes, j’ai du mal à vous lire. Pourriez-vous écrire en lettres capitales, s’il vous plaît ? Merci d’avance.
t’as une préférence pour le com à la mords moi le noeud
Ha ben non justement ici on n’aime pas beaucoup les coms de Daaphnée.
tu t’donnes une importance catastrophique, chonchon, épicétou
Bien entendu, SVP
Vous êtes sur le billet :
FRANCE-CULTURE UNE CERTAINE IDEE* DE LA RADIO, DE LA FRANCE, DE LA CULTURE !
*bohème, bourgeoise et dépassée
Grèves à répétition en Allemagne chez Amazon, délocalisation prévue en Pologne en 2014, et 9.000 emplois menacés chez notre voisin teuton.
Français, Allemands, aussi cons l’un que l’autre…
N’accablons pas lorant deutsch,ce jeune homme se documente,je l’ai entendu protester de sa bonne foi quant à ce qu’il a écrit sur le martel qui refoule le sarrasin: »mais je n’ai rien inventé!j’ai lu les bons historiens:bordonove et gobry »
sur la route de midison
Robert Charlebois, et dans le Gard, y vont chanter, vont danser sur le violon ?
http://www.franceculture.fr/emission-service-protestant-le-musee-du-desert-visite-guidee-2013-08-25
« j’ai lu les bons historiens: bordonove et gobry » »
C’est beau comme du Gombrowicz.
Inattention à l’information, que j’aurais laissé passer lorsqu’elle a eté diffusée sur le blog ?incapacité de repérer le second degré dans les échos aux résonances tragiques que j’ai pu lire ici dans certains commentaires ? J’ai cru comprendre que Mauvaise Langue avait succombé à un accident de Solex .
Qui peut me dire ce qu’il en est exactement ?et si le pire était avéré à quand le salut de Pierre Assouline à celui qui a apporté tant de vie à son blog ?
Petit bémol sur Laurentin, généralement excellent : il a hurlé avec les loups contre le travail du père Desbois sur la Shoah par balles puis promis d’en reparler, mais n’a point tenu.
Dans la même affaire : une chose est que France Cul ne s’abaisse pas à devenir participative, mais quand un de ses animateurs pousse un coup de gueule sur un site interactif, il pourrait assumer et répondre !
http://www.lesinfluences.fr/Peut-on-encore-debattre-des-sujets.html
@ Passou : notre trio sur Churchill avec Guillaume Piketty, quel souvenir !
je suis triste à l’annonce de la mort de l’écrivain Christian Gailly
keudepelle
où avez vous lu que je parle de la littérature contemporaine francaise? non. je parle des écrivains que j’aime c’est tout.de thomas Berhnard à Updike. de audberti à bernanos..je ne suis pas payé pour lire les romans de le rentrée et je n’ai pas de quoi me m’acheter 5O romans..j’ai simplement bien aimé « la garçonnière » d’helène Gremillon(flammarion) et le portrait de Guy debord dans « haute époque » de Jean Yves Lacroix. j’ai détesté marie darrieussecq et été déçu par le languissant Jean Philippe toussaint, qui ,par ailleurs, a écrit des merveilles. mais oui, je n’ai pas des service de presse gratuit et mon budget est limité.et vous? vos admirations lmittéraires keudepelle, c’est qui?
oui, mauvaise langue a eu un accident de solex en voulant éviter un héron qui volait trop bas dans un étang de sologne, son solex a dérapé dans la boue et s’est enfoncé dans les roseaux, notre cher ML a été projeté dans l’eau saumatre et a disparu.
07 octobre 2013
Christian Gailly
Ha oncle Wolf lui par exemple en délocalisations il s’y entendait… Un vrai savant une autorité !
Je suis une lectrice assidue des blogs littéraires et particulièrement de la RDL et de celui de Paul Edel ; en lisant attentivement les billets et les commentaires, notamment ceux d’une certaine Christiane, j’en arrive à me demander si Paul Edel et elle ne seraient pas finalement la même personne, une sorte de double féminin de l’écrivain Jacques-Pierre Amette que j’ai bien connu lorsqu’il paradait à la Coupole au moment de son Goncourt ; il semblait alors émerveillé par mes yeux de biche maquillés à la Stefania Sandrelli
Darrieusec nous les pompe, c’est entendu. pauledel qui n’a pas de quoi se payer 50 romans, une honte. Mais l’essentiel reste de ne pas dire du bien de Charles Martel. Le trio gagnant, comme dit M. Delpla.
À propos de Breaking Bad…
Boh la Coupole on est serré comme des sardines on peut pas se tourner remuer sa fourchette ni même reluquer aucune grosse…
l’essentiel reste de ne pas dire du bien de Charles Martel
mais personne ne dit de mal de Charles Martel, mon petit philounet. c’est seulement la révision idéologique de l’histoire qui énerve. toi, évidemment, quoi que fasse l’extrême-droite, ça te plaît, alors forcément tout ça te dépasse un peu.
Renato, une fois n’est pas coutume mais c’est sincère : MERCI ! J’ai bien ri, et d’une, et de deux, coïncidence ? Je venais juste, sur le forum de breaking bad, de poster une longue élucubration sur la justaposition du personnage de Jean Valjean et de Walter White, l’un archétype de la rédemption, et qui finit comme un saint, l’auter qui va, à mon sens, devenir l’archétype de la chute à cause de son orgueil intellectuel.
Votre image détournée vient donc à point nommé, ahahah !
incapacité de repérer le second degré dans les échos aux résonances tragiques que j’ai pu lire ici dans certains commentaires ?
S’il n’y avait que le second degré.
on peut pas se tourner remuer sa fourchette ni même reluquer aucune grosse…
si quand ta fourchette tu l’as lui a planté breaking bad dans l’fion..
Stefania Sandrelli
quel cul..
miss plehedel dit: 7 octobre 2013 à 14 h 44 min
un accident de solex
Avec un carénage Martin ça peut bomber… Mais fuat aller aux Sables d’Olonne, hein ! Pour le faire poser…
il pourrait assumer et répondre !
faux cul..tu lui balances trois fois l’adresse de ton site..misenligneparfrançoisdelpla
la révision idéologique énerve.
ça c’est vlai ça, choupinette vedette
Français, Allemands, aussi cons l’un que l’autre…
c’est qu’on performe..locomotive de l’europe épicétou
voilà j’ai remis Stefania Sandrelli sur les moteur 8 cylindre ne v..c’est ote chose que son breaking bad de merde à pineclo
pauledel qui n’a pas de quoi se payer 50 romans
..tu les voles polo.. »paul édèle s’est fait gauler avec darieusec dans le calbut ».. »lassouline confit de jalousie: le darieusec du calbut à polo s’est vendu 50 fois son prix sur ebay »..
bouguereau dit: 7 octobre 2013 à 15 h 24 min
planté breaking bad dans l’fion
Il y en a qui protestent, pom, pom…
..en vrai c’est phil qui l’a acheté
y’a des bonnes affaires sur ibet. de la reliure pleine peau pour pas cher. retour à l’époque des peaux de lapin. pauledel pourrait se fournir les romans de la rentrée avec six mois de décalage et nous en causer ici. faut rester patient en littérature. l’écrémage, on dit pour ceux qui ont des problèmes d’estomac.
Sur la route de Louviers, sur France-Cul me suis branché. Deux éminences s’y balançaient à tour de bras de l’éminent cher confrère. » Et vous souvient-il, excellent collègue, du colloque resté si célèbre que vous organisâtes dans les années 80 ? — Pas autant, chère Auguste Grandesse, de l’ouvrage collectif auquel vous et moi participâmes et dont j’ose présumer qu’outre votre esprit et le mien, il en marqua plus d’un « . Il était fort question d’histoire du temps présent, d’où j’inférai que Josette et moi avions d’ores et déjà accédé au statut d’objets historiques ; je m’en doutais en ce qui me concerne, mais Josette, encore si pimpante ? Ressortant de chez Casto je remis la sauce au moment où je ne sais quelle bonne femme, après avoir confessé son utérine émotion à l’écoute de la voix de Vernant, son maître inoublié, nous expliqua qu’Achille était grand et beau et qu’il sentait bon le sable chaud. Et c’est à des guignolades de ce calibre qu’on gaspille les sous du contribuable ? Vivement la Révolution Nationale !
En accord fondamental avec John Brown et renato : le contribuable veut qu’on lui rende ses sous !
poste à galène, poste à galène… mon cul. A galette, oui ! Ma galette !
Chaloux pense que vous êtes une bande de crétins. Je ne sais pas sur quoi il se base au juste, mais c’est un futé, il doit avoir des informations.
Pimpante et pleine peau pour popol,
..tu rentres tu sors..t’es une bande crétin a toi tout seul keupu
voilà que j’avais quitté les moteurs et hop hot rod..mais c’est avec son chapeau que je la préfère..elle fait plus habillée
@ Discret (posteur) de 7.45
Diagonal (16.0)me prie de bien vouloir faire les rectifications suivantes :
– Il a voulu commettre une malheureux clin d’œil à la RDL en évoquant un transistor de la marque Radiola au vu de la photographie du Saba illustrant le billet du jour. Ce clin d’œil n’a pas été compris sauf par « Passoul », comme il l’interpelle souvent.
– Passou (16.34) l’a, au demeurant, publiquement remercié et a rectifié son erreur bien humaine, preuve de sa grande largesse d’esprit.
– Diagonal fait souvent passer de discrets messages de sympathie au maître de céans de la RDL par d’autres canaux, dont il estime que les internautes n’ont pas à connaître. En revanche, il préfère en général rendre publiques ses manifestations d’humeur qui ne sont en rien des marques publiques d’exécration (qui parle de relations exécrables ?). Il estime s’être beaucoup calmé avec l’époque native des Brèves de blog, et pense avoir assez prouvé depuis lors une forme d’attachement à la RDL, dont personne n’a à juger, pas plus qu’il ne juge lui-même les multiples formes d’attachements et de dialogues noué(e)s entre les différents intervenautes dudit blog.
– Il aurait de loin préféré passer sous silence cette lamentable mise au point au Discret (et courageux) posteur anonyme, si ce dernier avait bien voulu laisser lui-même son email, au moins pour lui signaler sa propre coquille : « et on peut le faire ne (sic) passant par le courriel »…
– Il prie enfin les internautes de bien vouloir l’excuser de parasiter l’espace disponible pour des mises au point aussi ridicules, et remercie celles et ceux qui ont bien voulu réagir à sa place dans un premier temps.
C’est certain, le Boug’, un chapeau ça a toujours un petit je ne sais quoi de plus habillé..
l’excuser de parasiter l’espace disponible
..ta gueule raclure de keupu
ta gueule dafnoz
j’en ai marre j’en ai marre j’en ai marre
Et pendant que secrétariat de ses deux s’empiffre chez Bouboug’ et Sergio, Stefanie se languit .
Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de Breaking bad. C’est sur quelle chaîne ? Vous le savez, Daaphnée ?
M. Raclure de Keupu tient à préciser qu’il n’est pas M. Keup.u.
ce doit être un truc pour grands déprimés .. a bad trip
retour sur les commentaires du billet precedent.
Pitoyable de voir Daphnéee perseverer dans son obsession de s’en prendre à Clopine .
ah jalousie quand tu nous tiens!
Tssss ! DHH n’a toujours pas cotisé pour la couronne de fleurs de ML et elle essaie de noyer le poisson !
Je ne crois pas qu’il s’agisse de jalousie, DHH. Je pense plutôt que Daaphnée manque de confiance en elle. Elle présente un tableau clinique très connu, et très banal, en psychologie.
D. aussi. Ah, les rats !
@ Orlando
Posez une autre question. Je serai heureux d’y répondre. Mais j’avoue que je ne sais pas sur quelle chaîne est diffusé Breaking bad.
Ta gueule raclure de keupu
ta gueule keupu
ta gueule dracul
C’est vrai que chez une femme, tout est dans le chapeau et les pompes.
Entre les deux, c’est toujours un peu la même chose.
Après, ça dépend de la taille.
Quand le chapeau touche les chaussures, on voit moins bien.
Il ne faut pas manier la langue de bois.
Daaphnée dit: 7 octobre 2013 à 18 h 40 min
Tssss ! DHH n’a toujours pas cotisé pour la couronne de fleurs de ML et elle essaie de noyer le poisson !
reflexion stupide et inappropriée
ML a suffisamment dit et redit qu’il etait juif pourqu’on sache que sur sa tombe -existante ou à venir-il ne voudra jamais de fleurs mais seulement des pierres
U ! enfin ! [[((Il y a des enfants qui lisent.. Pff..))]]
« pourqu’on sache que sur sa tombe -existante ou à venir-il ne voudra jamais de fleurs mais seulement des pierres »
Tu parles.
Il y a toujours des parents catho pour te mettre en caveau, surtout si tu es une bonne bouteille.
Je me demande si DHH ne comprendrait pas mieux … le morse, peut-être . Quoique .
On peut mettre le son un peu plus fort à la radio ?
ce » soir au club »
Pour celui qui s’est absenté à
Minuit.
http://www.youtube.com/watch?v=8wwxaJ80nCg
Quand le chapeau touche les chaussures
quant à moi, j’ai toujours au moins un escarpin à talon aiguille dans mon chapeau.
Dans la futaie, Donnadieu écoute la radio accroché à une patte et la queue sur les yeux.
Trop fort.
C’est curieux, Daaphnée n’a jamais, jamais, eu une seule repartie drôle depuis qu’elle hante ces lieux. Nouvel exemple à 19 h 02.
u. vous souffrez d’individualisme essayez un groupe pour voir si c’est différent, la variété porte la variation.
u. le sait, mais ce qu’il voit chez dafné ce n’est pas son esprit.
Mais qui est ce Donnadieu, U. ?
u. ressaisissez-vous, il est encore temps, vous n’êtes pas mauvais bougre, au fond.
Quoique .
En morse ça donne : couac, queue?!
Sacré Castrafiore, tsss!
Quelque chose me dit qu’U. est moins tarte qu’il ne veut le faire croire…
Soirée goutte à goutte?
Uh uh, vous n’êtes pas le bienvenu dans ce club.
Y’a un videur à l’entrée qui retape les mecs ( heu ou gonzesse ?) pas clairs.
Je n’ose même pas vous dire le mot qu’il m’a soufflé dans le saxo.
Donnadieu n’est qu’une innocente taquinerie, Daaphnée.
Des journées entières dans les arbres, le pseudo était trop long.
Il faut manier le discours sans baguette ni chapeau.
Secrétariat du Diagonal dit: 7 octobre 2013 à 18 h 04 min
Puisque vous avez (comme moi) un contact direct avec notre hôte, n’hésitez pas à lui demander mon adresse. Ajoutons que je ne suis pas plus pas moins anonyme que vous, et accordez-moi que ce qui vous a semble-t-il fort piqué est bien moins violent qu’ici certains échanges par ailleurs parfaitement superflus.
Pour le coup de « en » devenu « ne », bien joué, je suis tombé dans le même piège que vous.
Moins profondément, quand même.
Entre les deux, c’est toujours un peu la même chose
y’a interét..et on veut en être rassuré c’est pour ça..ha t’as jamais compté les doigts à la maternité toi..là il faut 2 fesses pour faire un cul..et tu comptes et recomptes et rerecomptes de droite a gauche de gauche a droite..tu t’en lasses pas..trois et c’est la cata
Uhu, ça vous gêne que « des journées entières » vous prenne pour un frimeur, avouez.
Il (ou elle?) n’est pas le seul, remarquez. D’autres ici trouvent également que vous sonnez creux. Je ne sais pas pourquoi.
Son dolphin street, U., est un thème archi repris … la version par M.Davis est plus ..
par ailleurs parfaitement superflus
ha tu vois..2 pour faire un cul..anonyme mais un cul
Non.
C’est spécialement la version de Bill Evans qui convient, ce soir au Club.
Et pas une autre. Voilà.
C’est Debbie qui le dit.
mimil il a été meilleur sur le tard quand il était funky..avé ses patalons de cuir, ses douilles au soul glow et ses chemises a carreau roses..comme celles de coleman..là daccord..sinon trop dchiqué..coleman aussi
Eléments de philo générale, on arrive à la même conclusion. Un tambour ça sonne creux.
Mais pas par les mêmes moyens.
Je ne prends pas uh uh. Je le laisse, pour ce qu’il est.
Et s’il pouvait me lâcher les baskets, ce serait mieux pour lui/elle.
Vous êtes bien frileux, Donnadieu!
AA voyez avec Rose ou la Brayonne pour les théories du gender.
Il me semble que le ministère français de l’Education Nat’ l’a refusée.
« Uhu, ça vous gêne que « des journées entières » vous prenne pour un frimeur, avouez.
D’autres ici trouvent également que vous sonnez creux. »
Hélas, Uhu, comme tu as raison.
Viens coller mes fragments, ils sont déconstruits.
Dans cette période funkie, le Boug’, il reprend aussi ces grands standards du jazz …
Bon, ce serait peut-être compliqué de vous trouver qqc sur dailychose ..
Jules Floupet,
je ne demande pas qu’il rendent les sous, mais puisqu’ils ne sont pas soumis à la concurrence, qu’ils en fassent bon usage — l’exemple porté par John Brown est déjà pénible lorsqu’on en est témoins à une réception privée où ce ne sont pas nos sous qui sont en jeu ; savoir que deux crétins surdiplômés font ça à la radio avec les sous du contribuable peut vraiment indisposer le spectateur sensible à la bonne tenue des livres comptables de l’État.
ce serait peut-être compliqué de vous trouver qqc sur dailychose ..
Pas du tout, suffit de taper le titre.
Eléments de philosophie générale dit: 7 octobre 2013 à 19 h 24 min
« D’autres ici trouvent également que vous sonnez creux. Je ne sais pas pourquoi. »
Réfléchissez, Philosophie, c’est le moyen de passer des éléments à la généralité.
(T’inquiètes, je teste seulement la modération)
..sinon trop dchiqué..
Tiens, c’est marrant, je trouve que c’est l’inverse : c’est dans sa période funky qu’il a fait beaucoup de chiqué. Mais bon les goûts et les couleurs du chiqué ça se discute pas.
Et maintenant cuisine :
http://asiasociety.org/lifestyle/food-recipes/recipe/salads/green-papaya-salad
J’ai été par trois fois « modéré ».
Du coup, c’est décidé.
J’ose le grand large.
Je quitte Bayroux pour Borloo.
(Gare à Morin)
u. dit: 7 octobre 2013 à 19 h 54 min
J’ai été par trois fois « modéré ».
T’avais encore dit des cochonneries ?
Celui qui n’as pas connu, bouguereau, le frisson de la fessée déculottée administrée par la maîtresse à ses petits camarades, celui-là je le prends par le collet et lui dis:
Tu n’es pas républicain.
Non, ça ne passe pas.
Je suis sucré par Luc Ferry, alors que je parlais de République.
Buona serata!
« avé ses patalons de cuir, ses douilles au soul glow et ses chemises a carreau roses.. »
C’est sûr.
Les poignets d’amour moulés dans la chemise de sois, sur le futal taille basse, les femmes adorent.
Suis en train de lire La Première Pierre de Pierre Jourde.
Jourde est de la race des Mirbeau.
Rarissime.
(Je n’ai pas compris pourquoi mes conneries passent, Daaphnée, et non mes réflexions profondes.
Mais je serais hypocrite si je ne disais pas que ceci me ravit.)
Un dernier bisou pour toi, Donnadieu, mon ouistiti préféré.
— Ce n’est qu’une affectueuse taquinerie, tu le sais déjà.
U. n’exagérez pas, il était vraiment très beau !
Je parlais de M.Davis, bien sûr )
Mais Donnadieu n’est pas mal non plus, chère Daaphnée.
Il cocotte un peu quand il redescend, mais il a un si beau regard.
Creuse toujours.
( sur les touites, curieusement .. Une mesure incitative, probablement. )
Vous aimez Miles, Daaphnée, j’en mettrais ma tête sur le billot. Sur l’échafaud.
(Moi aussi)
John Brown dit: 7 octobre 2013 à 17 h 37 min
JB, vous avez aussi constaté, comme Liliane en Audi quattro, qu’il y avait des trucs strange dans la mythologie grecque de Vernant ?
( Ah, U., ! Nous nous comprenons sans avoir besoin de nous parler . C’est merveilleux . Notre immense bonheur .. mais bon, mille petis yeux envieux nous observe.
Vite, esquivons !)
observENT, si; ils sont très très nombreux.))))]
u. dit: 7 octobre 2013 à 19 h 54 min
–
Arf
« qu’il y avait des trucs strange dans la mythologie grecque de Vernant ? »
Qui es-tu, Planchet, pour mettre en cause la virtuosité de ce maître d’escrime?
N’étais-tu pas sur le Pont Neuf, à faire des ronds dans la Seine?
« Signe manifeste d’intelligence », écrivait le bon Dumas.
Allons, pour l’amour de Duras, tu es pardonné!
(Non, pas sur l’épaule.
Pas aujourd’hui)
Je suis globalement satisfait de France-Culture, et il ne faut rien y changer, sauf son coût.
Que personne ne vienne me dire, s’il vous plait, que les salaires et les cachetons qu’y s’y pratiquent sont justifiés et qu’on a rien sans rien. Divisons par 3 et vous verrez que ça ne changera rien.
La noblesse de l’intellectuel, c’est en partie la gratuité de son propos ou sa gratuité en partie si vous préférez.
Caroline Fourest, la fille au timbre chaud et aux propos sensés.
qu’y si – pardon.
je n’ai jamais envié la médiocrité.
« c’est en partie la gratuité de son propos ou sa gratuité en partie si vous préférez. »
Il y a une nuance, bon Dieu.
(Pour une fois que Sergio baise en ville).
Tous les intellectuels ne mangent pas que des graines et de la salade! Certains boivent .
Et une ligne de temps à autre.
( j’ai l’impression que D. vous une grande admiration à Socrate. )
vouE pfff!, quand même
JB, j’ai bien dans ma bibli, » L’univers, les dieux, les hommes » de JP Vernant, mais c’est sur FC que c’est le plus drôle:
« Jean-Pierre Vernant : Ouranos, c’est une espèce de puissance masculine. Il ne sait faire qu’une chose, l’amour. L’amour, c’est-à-dire s’unir sexuellement à Gaïa. Il est son double, son équivalent, il la couvre et ne cesse de lui faire l’amour mais cela ne produit rien. Le temps est bloqué. Il y a des générations, puisque les Titans sont dans le ventre de Gaïa, mais ces générations ne trouvent pas l’espace où se développer. »
http://www.fabriquedesens.net/Bon-plaisir-de-Jean-Pierre-Vernant
dès que ça se passe en dessous de la ceinture, uhu -et son aafidée- adore.
mort de chereau immense tristesse..
« j’ai l’impression que D. vous une grande admiration »
Dire que la teigne nous propose régulièrement des cours de syntaxe et d’orthographe.
Après Christian Gailly, maintenant Patrice Chéreau.
quelle journée…
D. ce ne fut pas une belle journée !
« ceux qui m’aiment prendront le train »
Certains boivent .
Et les étudiants trinquent hélas, c’est un refrain bien connu!
Chereau?????
…..
Un de ces décès qui vous frappent comme la mort d’un proche.
…..
Un seul sentiment, finalement, celui de la gratitude.
Faire le relevé de ce que chacun lui doit: chose impossible.
Putain
France + culture…
À demain pour les analyses
Chéreau est mort? Allons, il reste le petit gnome argentin qui enlaidit tout ce qu’il touche… Chéreau n’était pas mal pour cela non plus,la Tétralogie selon Chélez Boureau en a su quelque chose, et il a au moins un disciple très doué dans le Tristan sado-maso d’Olivier Py.
Il est plus facile de dépoussierer, c’est à dire de transposer bêtement et vilainement un mythe éternel à coup de hauts de forme et de complets venus du marché aux puces, que d’en traduire la hauteur. Et on peut difficilement parler d’éblouissement à propos de son Cosi.
On va peut etre pouvoir aller à l’Opéra seulement pour la musique., Hélas , il y a les Marthaler et autres Walikowski. Exécrable engeance issue du pré-cité. Strelher ou Wakhewitch, c’est tout de meme autre chose.Le metteur en scène doit servir l’œuvre, pas l’asservir.
MC
u… Paul… de nota…
oui, une immense tristesse…
@Court. dit: 7 octobre 2013 à 21 h 37 min
Mais c’est dégoûtant ce que vous écrivez là. Chéreau était un grand.
u… Paul… de nota…Christiane…
Une immense tristesse en effet.
Court, Court…
Vous n’êtes pas sérieux.
Vous le savant, voici soudain que vous négligez le travail.
Quelle chose admirable que cette coopération impossible, à quelques uns, sur la Tétralogie!
Cette coopération répétée, sous les cris et les applaudissements!
J’en ré-étudie à la loupe tous les formidables détails…
Comme nos Français sont parfois magnifiques, de Boulez à Peduzzi ou à Regnault!
Hourrah!
Vous n’allez pas me dire le contraire, sous ce fil.
Et le coup d’oeil si juste sur Marivaux?
Et cette présence sur scène qui seule m’a fait soupçonné, non sans réticence, que Koltès était un grand?
Court, Court…
Voici que je vous en veux.
les couplets au grand complet
http://www.youtube.com/watch?v=w16NYLkRnSY
Bon, on peut le dire autrement.
« Mort d’un mousquetaire. »
Mordious!
Ventre saint Gris!
Et que les gardes du cardinal y aillent ensuite de leurs distinguo…
« Son train, dit-il, était à 22h58. Quand les musiciens ont fait la pause, il était 22h40. Il nous restait 18 minutes. Ça allait, la gare est à côté, sauf que j’ai perdu au moins cinq minutes pour dégager la voiture. Alors on s’est levé, lui et moi, mais lui, tiens-toi bien, au lieu de me suivre vers la sortie, il m’a tourné le dos, il est allé s’asseoir devant le piano. […] Simon a commencé à jouer. Pas tout de suite. Il avait attendu dix ans et dix minutes. Il dut attendre quelques minutes de plus. Deux ou trois peut-être. Le temps de vaincre le tremblement de ses mains. Il faut imaginer ses mains, au-dessus du clavier, qui tremblent, et Simon qui, toutes les quinze secondes environ, les cache derrière son dos, puis les montre à nouveau, les offre au piano, les lui propose, l’air de lui dire : je t’ai abandonné mais je reviens. »
C. Gailly.
Fourvoyé probablement sous les ors de la reine Margot?
Ayant perdu ses dents dans la culture d’un paroxysme qu’on reçoit aujourd’hui la paupière mi-close en étouffant courtoisement un bâillement
(courtois non envers Chereau, mais envers la voisine)?
C’est plus que certain.
Mais voyons le sur les planches!
Avec ses potes!
Des gamins du lycée Louis-le-Grand!
Et les autres à la suite!
« Poignet de fer, jarret d’acier »
Je n’en démords pas, c’est Dumas le patron.
Ce Richard II porté sur les épaules de vigoureux mignons…
Ces « Marlowe » déclinés les bottes dans la flotte (hein)…
Quelle magnifique insolence.
Cet air bravache, pour remplacer au pied levé un ténor en panne…
Foi de Nippon.
On ne m’enlèvera jamais cette admiration-là pour nos propres samurais.
Yoroshiku o-negai shimasu!
Je n’aime pas les français, la France en général non plus, mais France Culture est unique et je l’écoute tous les jours depuis quarante ans, j’ai appris tant de choses grâce à elle.
uh uh et ses vigoureux mignons, Richard II (sic) sur les épaules
las !
« Now is the winter of our discontent »
Lola, vous n’avez eu affaire qu’à des jean-foutres.
Nos admirables Français ne se révèlent que dans les occasions graves.
On se rencontre sur le pré Saint-Gervais, en sortant sa rapière.
C.P., si vous passez par là, expliquez à notre amie Lola pourquoi un Olivier Rolin est français.
(L’Olivier de France-Culture?
« Tout à fait, Olivier.
Merci encore, Olivier »?
Mais non, c’est exactement le contraire.
« Oui-da, dit Roland, qui souffle dans son olifant
Sire Olivier arrache un arbre dans la plaine »…)
Salut, Chereau!
France Culture est unique et je l’ écoute tous les jours depuis cinquante ans malgré ma répulsion vis à vis des Français et de leur pays sale et qui pue.
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