Le songe d’une nuit de théâtre
Une pièce, on y met ce qu’on veut. Qu’on la mette en scène, ou qu’on y assiste, il est permis de la bousculer, et même de lui faire violence, donc de la violer dès lors qu’on lui fait un bel enfant (merci Dumas !). Ce genre de réflexion est inévitable lorsqu’on assiste à un spectacle tel que Le Songe d’une nuit d’été (A Midsummer Night’s Dream, écrit en 1594) monté par Muriel Mayette-Holtz depuis hier à la Comédie française. On peut tout faire subir à Shakespeare, il en sortira toujours vainqueur. Ce qui est rassurant. Tel est le privilège des génies : leurs chefs d’œuvre sont insubmersibles. Ils survivent tant aux outrages qu’aux hommages.
Quelle histoire raconte la pièce ?
« À Athènes, Thésée s’apprête à célébrer ses noces avec Hippolyta, la reine des Amazones. Dans la forêt avoisinante, Obéron, roi des fées, se dispute avec Titania, sa femme, au sujet de leurs nombreuses conquêtes passées et présentes. Ajoutons deux couples d’amoureux contrariés – Hermia, qui est amoureuse de Lysandre mais promise à Démétrius, lequel est aimé d’Héléna – et des artisans partis répéter une tragédie pour les noces de leur roi, sous la baguette du truculent Bottom. Tout ce petit monde finit par se retrouver dans la forêt, où les sortilèges d’Obéron, aidé par le lutin Puck, vont semer la confusion au cours d’une nuit dont personne ne saura vraiment si elle est un rêve, un jeu ou un fantasme. Un songe ? »
Mais, on le sait, une pièce, pas plus qu’un roman, ce n’est un sujet, et moins encore celui annoncé par son résumé. Celle-ci, telle qu’on peut la voir au Français jusqu’au 15 juin, est une machine à fantasmes, mais une machine fantastique dans la double acception du terme. Un spectacle conçu pour divertir dans la fantaisie la plus débridée. Le rêve y prend sans cesse le pas sur le désir. Ou plutôt sur « les » désirs puisque le désir sexuel s’y bat en duel avec le désir amoureux sans qu’ils aient à se fondre automatiquement.
La mise en scène s’est voulue respectueuse des intentions de l’auteur, c’est à dire aussi irrévérencieuse que lui. Elle est très physique, dansante, virevoltante, attentive à la gestuelle, indifférente aux détails pour mieux servir les acteurs, le théâtre de Shakespeare autorisant toutes les libertés formelles (très loin des didascalies contraignantes d’un Beckett par exemple). Le plus réussi est la mise en abyme du théâtre dans le théâtre. Ce n’est certes pas nouveau, et de moins en moins original ; sauf que là cela prend naturellement, sans l’ombre d’un procédé. Shakespeare accorde toute liberté à celui qui voudra s’emparer de sa pièce ; reste voir et à savoir ce que celui-ci en fera.
Dès le début, les comédiens surgissent dans le théâtre allumé, s’installent aux premier rangs parmi les spectateurs, et reviennent à la fin pour le morceau de choix, afin d’assister à la représentation, tordante il est vrai, d’une troupe de théâtre amateur offerte à Thésée pour son mariage. Excellent prétexte pour s’interroger sur l’(in)utilité, la nécessité, la vanité du théâtre. Dès lors, il n’y a plus de salle et plus de plateau, plus de lustres et plus de planches. Les frontières se sont dissolues dans l’émeute de fantasmes à laquelle nous avons assisté deux heures durant (sans entracte) dans une fête féérique. Le fond uniformément blanc du décor, composé d’un grand drap tendu, donne sa couleur au rêve.
Le spectacle est rapide, vif, enchanté – et l’inventivité des costumes n’y est pas étrangère. C’est que la troupe y prend manifestement un plaisir fou tant Shakespeare en a habilement agencé les ressorts comiques en jonglant avec ses fées et ses spectres. Un délire parfaitement maîtrisé se déploie sous nos yeux avec ce qu’il faut d’hallucinations. On est toutefois moins chez Jérôme Bosch, comme le laisse croire le programme en reproduisant le Jardin des délices et la Tentation de Saint-Antoine, que chez James Ensor.
On rit souvent, mais du rire de Shakespeare qui n’est pas celui de Feydeau, encore que la mise en scène fasse aussi la part belle au comique de situation, quand les comédiens ne se délectent pas de l’humour du texte. Deux réserves toutefois, même si elles ne nous feront pas bouder notre plaisir : la musique, avec ses accents de comédie musicale du pauvre, qui semble être désormais la règle au théâtre, mais qui fait du tort au texte quand elle le couvre (mais il paraît qu’en 1965, pour la même pièce sous les mêmes lambris, c’était jazz et sirtaki !) ; et la traduction de François-Victor Hugo, classique et poussiéreuse ô combien, et libre de droits (1865), là où on aurait préféré les mots de Jean-Michel Déprats, André Markowicz et Françoise Morvan, Pascal Collin, Yves Bonnefoy ou d’autres encore à qui la commande aurait pu être faite par rapport à cette nouvelle mise en scène, quitte à privilégier la dimension poétique ou théâtrale. Ainsi entend-on Thésée répondant à Hippolyta :
“Au cours de mes périples, de grands savants ont voulu me saluer par des compliments prémédités ; alors, je les ai vus frissonner et pâlir, s’interrompre au milieu des phrases, laisser bâillonner par la crainte leur bouche exercée, et, pour conclusion, s’arrêter court sans m’avoir fait leur compliment. Croyez-moi, ma charmante, ce compliment, je l’ai recueilli de leur silence même. Et la modestie du zèle en déroute m’en dit tout autant que la langue bavarde d’une éloquence impudente et effrontée. Donc l’affection et la simplicité muettes sont celles qui, avec le moins de mots, parlent le plus à mon cœur. “
C’est le moment où jamais de (re)lire la réflexion qu’inspira l’exercice de traduction des oeuvres de Shakespeare, désigné comme l’auteur qui se défend le mieux contre ses traducteurs, à un certain… Victor Hugo, justement.
(Photos Christophe Raynaud de Lage)
1 013 Réponses pour Le songe d’une nuit de théâtre
..collard les frait acquiter fastoche..
Sauf que sa copine est du genre à aller jusqu’au bout, elle ressemble à Henriette Caillaux.
y’en a un qui trolle pour une mauvaise raison : parceque c’est un trouillard
elle ressemble à Henriette Caillaux
pfiou..t’as une chiée culture quai des orfèvres toi zouzou..
eurêka dit: 12 février 2014 à 15 h 43 min
marcel c’est jicé
Il y a une légère différence, jicé est calotin, Marcel est libre penseur. Mais ils s’entendent bien comme Brassens et son petit saint besogneux. « Il me laisse dire merde, je lui laisse dire amen »
Vous y allez fort Clopine en affirmant ceci à « vos potes proustiens » :
« la destruction finale, sans rédemption ni rédempteur » .ouhh là.. comment écrire ça gaillardement, à la place de Proust ? Avez vous lu jusqu’au bout « à la recherche du temps perdu » ?
et notamment la partie capitale et finale ,« le Temps retrouvé » ?
.Cette dernière partie donne le sens de ce livre qui multiplie des étapes dans des révélations mémorielles et affectives.. et Proust parle de la « rédemption par l’art », c’est si capital, qu’il en rebat les oreilles de son entourage.. ce livre est aussi une quête spirituelle, car non seulement le narrateur apprend à percer les coulisses de la société et de son milieu mondain , codifiée à l’extrême, mais dans cette « recherche »tout est dévoilement, déchiffrement, analyses, découvertes des lois psychologiques ou sociales(,ce qui va loin dans le voyeurisme ,l’espionnage des êtres, la volonté de forcer l’au-delà des apparences de la comédie humaine) et notez la grande construction thématique qu’il souligne sans cesse à ses proches..elle a pour objet la découverte de lois cachées mais surtout une volonté de dévoilement et aussi de rédemption par l’Art,avec une connotation mystique chez Proust. « ce que j’avais senti, (il fallait ) le convertir en équivalent spirituel. « c’est clair !. et ce n’est pas par hasard que l’œuvre s’ouvre sur les clochers de Martinville et s’achève par un Proust parlant sans cesse de sa « cathédrale » à ses visiteurs du soir. dés son enfance à Combray, le mystère de l’église et de ses vitraux le hante..
Proust ne s’arrête pas à des..strates enfouies de la conscience, à des lois de la vie sociale, ni aux découverte de la mémoire involontaire,flash mémoriel,mais à une éternité traquée sans cesse..cherchée désespérément après la mort de ses parents….la « recherche » est aussi grand récit initiatique, une inlassable quête acharnée d’une vérité- révélation,totale, comme dans nerval.. quete avec des révélations,emboiteents et étapes d’une « recherche » qui finit par un admirable Salut –au sens religieux- par l’Art.
Proust le dit, le redit. il en bassinait son entourage,de céleste albaret à Jacques Rivière, et avec jean louis vaudoyer, quand il avait eu son malaise en allant voir la fameuse « vue de Delft » au jeu de paume des tuileries. On se demande pourquoi Proust souligne cette rédemption » cette » rédemption par l‘art si c’est pour sauter pardessus, ne pas le lire et ne pas l’écouter.
.Mauriac,lui, ne s’y était pas trompé :… « a nous ses frères plus jeunes qui l’avons admiré et aimé, voilà la leçon terrible qu’il nous laisse :l’art n’est pas une plaisanterie :il y va de la vie et de bien plus ».
le vatican c’est la pureté et la bonté sur terre sinon ça n’existerait pas
gattaz à tous les étages..toi tu voudrais qu’en plus on lui dise merci..ça se discute
évidemment ( sinon jicé feraient sa crise et u. en crèverait))
jc c’est moi
bouguereau dit: 12 février 2014 à 15 h 44 min
t’y connais qu’dalle bourrin de martchélo !
On peut aimer les pastiches quand il ne sont pas hors sujet. Rien de plus ravissant que ceux d’Offenbach. Mais peut-être n’es-tu qu’un convoyeur, Boug.
m’enfin Clopine, vous savez bien qu’il n’y a QUE Popaul a avoir le meilleur avis avisé sur le Marcelito, faut pas pousser quand même le grand homme dans les bégonias proustiens
Contrapposto ?
Je ne sait pas à quelle scène correspond la photographie, mais, on dirait des jeunes-gens ayant fumé un joint et bu des gin-and-tonic. Ils vont terminer par finir dans le même lit, à trois ? Ils sont tous les trois bien de leur personne, comme quoi on peut-être comédien du Français et avoir un look pour jouer dans des séries pour adolescents ou, du genre sex in the city. Ne pas oublier que Shakespeare, est souvent assez « sex loaded ».
Ses contemporains étaient moins coincés qu’au 19ème siècle; nous vivons en ce moment la révolte des faux-culs, l’envie d’un retour à la morale guidée par les religieux.
Pour ce qui est de la morale, l’affaire Alice Schwarzer me fait sourire, la féministe allemande montée sur un cheval blanc pour interdire la prostitution et, qui avait à Zürich un compte dans le private banking. Presque 3 000 000 d’Euro. Ce qui n’était pas vraiment immoral, sauf depuis 2008.
boug t’es trop tordu fais-toi soigner
L’art c’est très sérieux, surtout quand il est plastique.
Proust voit dans un prit pan de mur jaune, ce que la majorité des regardants ne voient pas. N’exagérons pas le petit pan de mur jaune, auberge espagnole, on peut n’y voir qu’une tache jaune ou la rédemption. Faut quand même avoir envie de cette rédemption.
Devant un tableau monochrome jaune, la rédemption serait-elle totale ?
Marcel Proust n’a pas senti l’importance de l’art abstrait qui lui était contemporain ou presque.
« … l’affaire Alice Schwarzer… »
La nouvelle répandue par la presse n’a pas vraiment réjoui les agents des impôts allemands, et il ne faut pas être malin pour comprendre le pourquoi…
« on dirait des jeunes-gens ayant fumé un joint et bu des gin-and-tonic »
ou ayant lu les commentaires de la rdl
Je suis en train de regarder ce documentaire excellent enregistré, il y a deux jours. Pour éclairer l’avant Sigmaringen.
http://www.france3.fr/emissions/documentaires/videos/96766123
Je suis en train de regarder
Christiane
ta gueule cricri
« bien de leur personne, comme quoi on peut-être comédien du Français et avoir un look pour jouer dans des séries pour adolescents », nous dit TKT. Bien d’accord, quelqu’un se souvient-il de Périclès avec François Beaulieu et Ludmilla Mikaël, à la fin des années 70 ? De mémoire, ils n’étaient pas beaucoup plus habillés que sur la photo qui illustre l’article.
Paul Edel donne, le 12 février 2014 à 16 h 06, des précisions fondamentales pour qui veut lire intelligemment A la recherche du temps perdu de M.Proust. Une compréhension subtile de cette grande œuvre, une fois de plus.
Attention jules, bouguereau est peut-être un Grand Écrivain… petit célinien ici mais GE dans la vie réelle… pourvu qu’il ne soit poète aussi… bien que cela me semble peu probable car on ressent chez lui une vraie souffrance… ce dont les vrais poètes sont incapables : mettre en pieds une entorse de la cheville ? tu parles ! faut avoir essayé la douleur d’une entorse de la cheville pour savoir que l’envie de faire de vers n’est pas au rendez-vous… Enfin, je me suis laissé dire que notre bouguereau serait Sollers… d’autres s’obstinent : ce ne serait qu’un alias mal fichu de MàC… même en n’y croyant que peu, je serais pour le premier… Ah, les interprétations !
@ coco dit: 12 février 2014 à 16 h 46
réponse :
La ferme, coco !
Enfin, christiane ! lire intelligemment une œuvre ?! non, mais ça revient à quoi ?
Paul, c’est exactement ce que je dis, me semble-t-il ? L’art est rédempteur, seul l’art est rédempteur pour Proust. Et si le petit pan de mur jaune assassine Bergotte, c’est qu’il lui démontre qu’il n’a pas été au bout de son don… Enfin, me semble-t-il. Et puis vous savez, le Temps Retrouvé est pour moi un des livres les plus poignants que j’ai jamais lus.
Quant à Christiane ! Si j’ai pris un ton un peu didactique qu’elle ne mérite peut-être pas (mais voyez la violence de sa réaction), c’est que je sais que, derrière son vocabulaire élégiaque, ses extases et ses citations, elle roule pour une petite entreprise que j’exècre personnellement : la religion. Tout lui est bon : la joie (prononcez la Jouaa), la politesse exagérée,la cordialité qui semble soumise pour mieux régner, la propension au pouvoir, et les démarches cachées pour en arriver à promouvoir le dogme. Qu’elle puisse, dans toute la Recherche, trouver une « énigme » qui, comme par hasard, évoque une métempsychose, voilà qui me fait dire qu’en levant des yeux résignés et en faisant croire qu’elle touche au sublime, elle tente d’infléchir Proust dans son camp. Or, si les églises sont pour Proust identitaires (Saint André des Champs et sa statuaire « française »), esthétiques (à Balbec ou à Venise) ou gravées comme des souvenirs d’une enfance heureuse (le couplet sur la seule Eglise, vue de dos : celle de Combray), l’auteur se garde bien d’y mettre les pieds pour prier un ciel qu’il sait, bien entendu, vide. Désespérément vide, ou au contraire, comme pour Nietzsche, enfin vide, la question n’existe pas dans la Recherche. Car tout dans ce texte est placé pour servir la littérature, l’image littéraire. Tout doit plier devant cet impératif. Et François Bon, dans son « Proust est une fiction », le démontre bien mieux que je ne saurai faire.
@ renato dit:12 février 2014 à 16 h 38: « … l’affaire Alice Schwarzer… »La nouvelle répandue par la presse n’a pas vraiment réjoui les agents des impôts allemands, et il ne faut pas être malin pour comprendre le pourquoi… »:
Sur un plateau de TV allemand, j’ai entendu des experts, le boss berlinois du Spiegel, une ancienne procureur spécialisée dans la chasse aux comptes noirs, le ministre des finances (celui qui roule en chaise, séquelles d’un acte de folie d’une femme maniant les armes à feux). Alice Schwarzer, la moraliste, par peur de voir son nom sur un CD, j’imagine, s’est déclarée elle-même au fisc. Parfait, le scandale, c’est que ce qui devait resté discret, à été étalé dans la presse. Les assets d’Alice Schwarzer rentre en BRD, elle paye des impôts et une amende. C’est en fait ce que devrait faire le fisc français, au lieu de vouloir, en plus, avoir le projet de punir.
Christiane est extrêmement agressive ces derniers temps.
Quelle ambiance !
Tiens, « Quand je serai grand, je pourrai enfin voir par moi-même » je me demande ce que les grands garçons ont fini par découvrir …
Excepté l’origine du monde, bien évidemment ..
Heureusement que Daaphnée débarque pour calmer notre Christiane à l’aide de douces paroles.
Renato, je crois que Bouguereau est MàC, c’est d’ailleurs la seule raison, pour moi, de répondre à son tutoiement par le tutoiement. Bouguereau est très féru des choses germanophones. Quant à Sollers, je l’imagine mal faire des commentaires sous pseudo et, de surcroit, avec le nom d’un peintre loin de ses goûts
et paf paf paf, bien vu et merci Clopine pour vos propos sur la mémère acariâtre que dénoncent Ciboulette et Curiosa, mes frangines en RdL
« … le scandale, c’est que ce qui devait resté discret, à été étalé dans la presse. »
C’est la fonction de la presse : étaler. Mais, d’un autre côté, étant donné le bruit produit par l’étalage, il y a de la part du fisc allemand, la crainte que d’autres y pensent par deux fois avant de régulariser leur situation : si c’est pour finir en pâture des rancœurs de la presse…
Tkt erre une fois de plus : Jc tout comme bouguereau sont des personnages fictifs inventés de toute pièce par « un écrivain démoniaquement doué » (Christiane dixit) afin de faire grimper l’audience de ce blog et… attirer les recettes publicitaires !
u. n’est pour l’instant qu’intérimaire à la PME RdL SA.
Enfin, Traubre, si c’était pour prendre un pseudo je ne choisirais pas Donato di Niccolò di Betto Bardi ni Medardo Rosso, mais plutôt Benedetto Civiletti…
centrale vapeur lé con comme un boulon
Traubre > pardon, Traube (touché deux touches par mégarde).
… Une petite entreprise qui ne connaît pas la crise, évidemment.
(ambiance confessionnal… Et moi, je l’affirme, le martèle, et le répèterais à l’envi : je suis une femme sans confession.)
@L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 12 février 2014 à 16 h 54 min
Et allons-y pour une nouvelle bordée de mensonges et d’insinuations. Vous me donnez envie de vomir.
Je suppose que c’est aussi réel que lorsque, sur ce blog, vous avez osé écrire que je vous « collais » et que vous ne saviez plus comment vous débarrasser de ma présence envahissante.
Vous avez une belle plume, clopine, mais aucune éthique. Vous salissez sans vergogne les gens que vous jalousez.
La seule chose que vous savez faire c’est de remplir cet espace de liens qui ramènent à votre cher blog impudique.
Alors, pour le côté religieux, vous avez encore tout faux !
Quelle vilaine pimbêche vous faites. Une vraie Verdurin.
Je suppose que vous signez aussi : curiosa ou ciboulette. Vous êtes assez lâche pour cela !
àrenato ( » peut-être un Grand Écrivain »)
c’est l’autre sur son cheval bien sûr
« La seule chose que vous savez faire c’est de remplir cet espace de liens qui ramènent à votre cher blog impudique. » Christiane
C’est vrai, quelle idée d’appeler un blog « Tous à poil » !
… C’est vrai que, dans le clip de Bashung, le cureton est particulièrement gratiné, je trouve. Je conseille à Christiane de se calmer – je n’ai jamais aimé les attaques trollesques contre elle, et elle a parfaitement le droit d’être croyante. Mon agacement n’ira jamais jusqu’à lui demander de se taire (soupir !) mais juste, s’il vous plaît, laissons Proust en dehors de cet univers-là. Bon, cela n’est pas si grave. Après tout, Marcel ne harcèle pas que moi.
clef de 13 dit: 12 février 2014 à 17 h 14 min
centrale vapeur lé con comme un boulon
Encore un qui a lu « Tous à poil ».
Affirmer dur comme fer que l’on est quelqu’un sans confession c’est admettre que l’on en a une…
.. Mais vous, Renato, n’êtes-vous pas sans concession ? Je croyais…
renato dit: 12 février 2014 à 17 h 25 min
Affirmer dur comme fer que l’on est quelqu’un sans confession c’est admettre que l’on en a une…
Euh, oui, enfin, ça se discute, toutefois… quoique… cela dit quand j’affirme « dur comme fer » que je n’ai pas de compte en Suisse, eh bien, je n’en ai pas !
Le silence serait plus honorable, clopine !
——————————————–
A propos de l’excellent film documentaire de Gabriel Le Bomin, je signale que vers la fin on voit et visite partiellement le château de Sigmaringen et que tous les personnages historiques évoqués par P.Assouline y sont visibles (sauf bien sur le majordome !) et nous avons la suite de l’histoire, en images !
A propos de l’excellent film documentaire
C’est pas le sujet! t’es con ou koi????????
renato 12 février 2014 à 16 h 51 min
quelle importance de savoir qui est qui , même si ça saute aux yeux
christiane dit: 12 février 2014 à 17 h 30 min
Le silence serait plus honorable, clopine !
Mais elle l’a perdu, son honneur, elle le confesse en toutes lettres… euh, elle le déclare.
Être sans confession… centrale vapeur… c’est quelque chose que l’on peut croire ; un compte en Suisse c’est autre chose… enfin, c’est une chose d’une autre nature…
Ben ouais, « Marcel me harcèle », moi, ça me fait rigoler.
à Renato : les prie-dieu de mon enfance étaient paillés. La peau de mes genoux s’en éraillait, et s’en souvient encore. Certes, mais si je clopine désormais, c’est en me tenant néanmoins debout.
@ TKT
« Proust n’a pas senti l’importance de l’art abstrait qui lui était contemporain ou presque. »
Il a très bien senti que ce n’était pas de l’art. Comme le dit la phrase de Mauriac citée par P.Edel: « voilà la leçon terrible qu’il nous laisse: l’art n’est pas une plaisanterie ».
Mémé l’Akariâtre pète de plus en plus les plombs, elle devient parano, elle prend Clopine pour mes copines, cela devient grave, très grave
Pablo75 est en train de dénoncer l’abstraction comme une fumisterie. Espérons qu’il n’ira pas jusqu’à parler d’art dégénéré.
renato dit: 12 février 2014 à 17 h 34 min
Être sans confession… centrale vapeur… c’est quelque chose que l’on peut croire…
Désolé, renato, je ne vous comprends pas.
« … je ne vous comprends pas. »
Ce sera pour une prochaine fois…
Mais, Clopine, puisqu’elle a dit un jour qu’elle ne l’était pas! cf chez PE cette phrase sur le cheminement arreté au delà d’un certain seuil avec le Nazaréen. Les mots ont un sens, je crois!
Quant aux Verdusures, Curiorien, et autres, qu’elles se rassurent: leur absence n’a d’égale que leur insignifiance….
Bien à vous.
MCOURT
@ centrale vapeur
Comment quelque chose pourrait être de l’ « art dégénéré » si elle n’est pas de l’art?
@le paquet! dit: 12 février 2014 à 17 h 33 min
Grossier et idiot. Imbécile, si je mets le lien sous le billet où on a évoqué ce livre personne ne pourra profiter de ce lien. Retournez à vos W. Disney !
@Court, dit: 12 février 2014 à 17 h 48 min
Laissez, M.Court. Elle le sait et le fait exprès, la sournoise.
MCourt (central de Roland Garros), pas lu les phrases dont vous faites état, mais le « style » de Christiane, son vocabulaire onctueux, son côté pantelant, me fait toujours penser à l’architecture de la Basilique de Lisieux. C’est-à-dire, humm, ce qui s’est sans doute fait de pire dans le genre « pâtissier clérical ».
L’impressionnante quantité de lettrés qui ne comprennent pas la nature d’un processus… on comprend la jalousie juste voilée d’admiration qui fait surface chez Valery lorsqu’il parle de Degas…
à MCourt sur guibolles : coucou, on est là… vous et la mémé : qui se ressemble s’assemble, ça semble évident
Pour départager Clopine et Christiane, coupons le Proust en deux. Prout pour lune et oust pour l’autre, ou lycée de Versailles.
personne ne pourra profiter de ce lien
faut pas croire que ski t’interesse intéresse les autes hé totote!
enfin enfin, on rigole un peu sur ce blog, ça nous manquait, mémé l’Akariâtre, bien vu
j’adore la façon de faire le paquet !
Pour départager Clopine et Christiane
Malheureux!
Qu’elles s’arrachent la tête
qu’elles se mordent le nichon
qu’elle se tordent les bras
et bon débarras.
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 12 février 2014 à 17 h 55 min
C’est-à-dire, humm, ce qui s’est sans doute fait de pire dans le genre « pâtissier clérical ».
Exactement le style architectural prisé par Pablo75.
Marcel dit: 12 février 2014 à 17 h 58 min
Pour départager Clopine et Christiane, coupons le Proust en deux. Prout pour lune et oust pour l’autre, ou lycée de Versailles.
Voilà pourquoi Clopine écrit : « Marcel m’harcèle ».
Jacques B pour faire suite à votre photo matutinale, entendu sur radio classique dans la série crimes de psychopathe: des parents découvrent le corps de leur fils, 13 ans, pendu, pieds et mains liés.
Renato, je crois que Bouguereau est MàC, c’est d’ailleurs la seule raison, pour moi, de répondre à son tutoiement par le tutoiement
mais enfin vontraube..imagine goering se tapant éva hurlant « adolphe ho oui adolphe mets la moi toute! »..d’autant qu’il a eu les confidences du petit personnel de herr hitler avant toi vontraube..ceci dit sans te vexer, tu restes un homme estrémement renseigné vontraube
Marcel m’harcèle
excellent titre pour un chapitre cochon entrelardé clopine..mais c’est péter dans un harmonica
Chrisitane chez PE ? il doit y voir vingt ans déjà ?
qu’elles se mordent le nichon
ça ferait un marbre de la mort au père lachaise..la notoriété posthume assuré..kardec il l’aurait dans l’fion
allez mémé l’Aka, une tisane calmante, un petit pipi, deux chapelets et hop au lit
Tout doit plier devant cet impératif. Et François Bon, dans son « Proust est une fiction »
c’étoye la mode de l’art pour l’art clopine..une mode déjà trés tardive..depuis..depuis « le marché a gagné sur l’art » comme dit ce wim delvoye
bouguereau dit: 12 février 2014 à 18 h 23 min
kardec il l’aurait dans l’fion
Très bonne réponse indirecte au 14 h 50, Boug.
colis dit: 12 février 2014 à 18 h 27 min
l’Aka
Ha non l’Alka Sulitzer c’est le lendemain quand on a écrit bourré… Au kilomètre ! A fond les gamelles…
bouguereau dit: 12 février 2014 à 18 h 21 min
péter dans un harmonica
Le problème c’est qu’il faut tirer le levier en même temps…
Croire au succès est souvent un échec.
« Shakespeare prendrait un pseudo s’il devait commenter sur the RdL le petit débit connectique n’était pas vraiment sa tasse d’identithé. »
Indeed Hamlet !
Who does Hamlet stab through a curtain ?
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@ bouguereau dit:12 février 2014 à 18 h 18: Goering avait été fidèle à Carin, puis quand elle mourut, il il fut fidèle à sa seconde compagne, une actrice haute sur pattes. Pour ce qui est de Goebbels, il était un sex-maniac, toujours en chasse, une sorte de —. sans histoires connues avec le personnel du ménage. J’ai une vieille biographie de Goering, acheté par mon père dans les années 50, lu par moi il y a longtemps et, je ne pense pas que l’on puisse y lire des secrets chambriers. Je suis fasciné par la période et ses personnages, j’ai plus de livres sur les salauds que sur les héros. Peut-être aussi, étaient-ils plus nombreux ? Le plus fascinant, c’est de découvrir dans des livres récents, un coté de la vérité que les anciens se gardent bien de raconter.
Sous une dictature, les gens essaient de vivre normalement, se taisent ou approuvent.
On s’écharpe à propos de Proust? Très bien. Mais Clopine, votre lecture me semble un peu limitée, comme l’est désormais celle de Mauriac, sur laquelle il me semble difficile de s’appuyer aujourd’hui. Quant à François Bon, si vous ne trahissez pas sa pensée, j’ai bien peur qu’il n’ait écrit un « Proust à l’usage des comités d’entreprise ». Brrrr ! ! !
Courage Christiane !
C’est la fonction de la presse : étaler.
un rendez-vous d’effacé dans une semaine d’ambiance lourde et ils te lessivent tout l’agenda..
ce narcissisme coincé du cul est ridicule
et là on peut trouver littéralement mieux qu’étaler:
« If a problem cannot be solved, enlarge it. »
(du dédé eisenhower qui m’a fait bien rire)
bérénice dit: 12 février 2014 à 18 h 17 min
bravo, continuez..
Thierry a depuis toujours un problème d’imagination. Il s’imagine des choses qu’il n’y a pas lieu d’imaginer pendant et rend inimaginable l’imaginable.
C’est la fonction de la presse : étaler.
Vu l’époque incroyablement ubuesque que nous vivons je trouve qu’ils étalent surtout leur incompétence.
Faut dire que je suis vraiment nulle de ne pas oser un selfie dans le bureau ovale…
« Un vrai roman, un très grand roman, un roman extraordinaire » dit Bernard Pivot à propos du dernier opus de Maylis de Kerangal !
Certes, il respecte la règle progressiste de Marcel Proust, mais, ce faisant, il vend les livres comme on vend la lessive !
Jacques Barozzi dit: 12 février 2014 à 21 h 16: » il vend les livres comme on vend la lessive ! « : Il a donc le potentiel de devenir un Henkel ?
Pour ce qui est de Bernard Pivot, son encensement du roman policier de Joël Dicker était, comment dire, excessif ?
Contrairement à ce que la bande-annonce le laissait craindre, le film « Ida », nonne juive, ne verse aucunement dans le mélo.
La référence esthétique serait plutôt à rechercher du côté du « Mouchette », de Robert Bresson.
C’est fou ce que le noir et blanc repose de la couleur (voir les horribles photos qui illustrent le spectacle dont il est question ici, sans parler des costumes…) !
Bouleversante histoire que celle de ces deux juives polonaises, dont l’une s’est convertie au communisme pur et dur et l’autre, involontairement, au catholicisme intégral, avec, au final, un coup de théâtre inversé.
A voir.
Pour plus d’informations, on se reportera avec profit au billet de Sophie Avon.
P.S. : à en croire le film, il semble aussi, qu’en Pologne, la question juive ait été durablement réglée ?
“ Il s’imagine des choses qu’il n’y a pas lieu d’imaginer pendant et rend inimaginable l’imaginable. », nous écrit D.-le-franchouillard débile.
Cette phrase, D., vous devriez la réécrire, dans son jus d’origine, c’est assez abscons. Pendant, écrivez vous, Ducornaud, pendant « quoi » ? Écrivez en cantalou, je ferai traduire par un professeur en dialectes.
Le passé simple de dissoudre n’existait pas jusqu’à ce que Passou l’invente , ce dissolu est du plus bel effet.
Jacques Barozzi dit:12 février 2014 à 21 h 29: « P.S. : à en croire le film, il semble aussi, qu’en Pologne, la question juive ait été durablement réglée ? « : Pays antisémite par excellence, la Pologne* ne daigne même pas donner une rue dans la ville d’origine d’Isaac B. Singer.
* Du moins les autorités de sa ville d’origine.
Tu peux me tutoyer comme tu tutoies Bouguereau, Thierry. Nous échangeons ici depuis 2006 tout de même. Bientôt 10 ans.
Je ne sais pas ce que vient faire ce pendant dans ma phrase. C’est totalement car inexplicable.
Comment ne peut-il se donc faire qu’en presque 10 ans nous ne nous soyons jamais vus et salué ?
« Marcel Proust, portrait-souvenir ».
François Mauriac, Jean Cocteau, Paul Morand, Daniel Halévy, Jacques de Lacretelle, le duc de Gramont, Emmanuel Berl, Céleste Albaret… sur Proust.
Pablo75, je pense que vous avez un problème de pseudonyme.
Enfin vous me direz, Marcel c’est pas mieux.
Y’a que Chaloux qui passe plutôt pas mal. Ça fait à la fois chat et loup.
Jacques Barozzi s’en sort grâce au zzi.
à propos de clopine dans le clan de ceux qui dénoncent sans preuve tangible, uniquement pour nuire :
L’affirmation :
« Quant à Christiane ! Si j’ai pris un ton un peu didactique qu’elle ne mérite peut-être pas , C’EST QUE JE SAIS derrière son vocabulaire élégiaque, ses extases et ses citations, ELLE ROULE POUR une petite entreprise que j’exècre personnellement : LA RELIGION. Tout lui est bon : la joie, la politesse exagérée,la cordialité qui semble soumise pour mieux régner, la propension au pouvoir, ET LES DÉMARCHES CACHÉES,POUR EN ARRIVER A PROMOUVOIR LE DOGME. »
L’argumentation :
« pas lu les phrases dont vous faites état, mais le « style » de Christiane, son VOCABULAIRE ONCTUEUX, son côté pantelant, me fait toujours penser à l’architecture de la Basilique de Lisieux. C’est-à-dire, humm, ce qui s’est sans doute fait de pire dans le genre « pâtissier clérical ».
VOUS AURIEZ FAIT FORT PENDANT L’OCCUPATION dans le registre de la dénonciation de ceux qui pratiquent une certaine religion ! Il vous aurez suffi de les entendre parler … On a rempli des wagons et des camps avec ce genre d’arguments. Vous devriez avoir honte PETITE madame.
et renato grâce au to.
(Message personnel : Marcel, j’ai commencé avec grand plaisir la lecture de ton Cadavre à Paris dont les lieux du crime se situent dans un quartier proche du mien et que je connais bien. Permets moi cependant de te faire part de mes premières observations. Il n’y a pas de police municipale dans la capitale (p. 10) : le Maire n’ayant aucun pouvoir dans ce domaine entièrement dévolu au seul Préfet de Police. Par ailleurs, on peut admettre, par convention propre au genre polar, qu’un commissaire parisien fasse appel à un collègue de province, mais je doute que l’administration judiciaire loge celui-ci dans un quatre étoiles ! Je me demande même s’il en existe un dans le périmètre du quai des Orfèvres, où tu as installé avec sa femme ton héros récurrent en provenance d’Yvetot ? Un trois étoiles aurait été mieux approprié. A suivre…)
Oh mais arrêtez-donc, Christiane. Vous vous rendez malheureuse à écrire tout ça sur vos prochains. Essayez d’élever la conversation.
T’énerve pas cricri, cloclo elle dit rin que des conneries que les cochons y veulent même pa les bouffer
Cela-dit je considère que Lisieux est une belle basilique, plutôt dedans que dehors. Il faut être capable de se resituer dans l’époque de sa construction pour comprendre et être ému.
Car j’ai été ému à Lisieux. J’aime beaucoup la Petite Thérèse qui je le rappelle est Docteur de l’Église, ce qui n’est pas le cas de tout le monde ici.
(à suivre… si la modération le permet ?)
J’aime beaucoup la Petite Thérèse
Nous y voilà. D. les fait sauter sur ses genoux.
Pablo75 ça fait camionneur-cibiste, la plaque derrière le pare-brise et la guirlande de leds bleus autour. Il faut changer ça d’urgence.
@ D. dit: 12 février 2014 à 21 h 57 min
« Oh mais arrêtez-donc, Christiane. Vous vous rendez malheureuse à écrire tout ça sur vos prochains. Essayez d’élever la conversation. »
Avec vous c’est mal parti, hypocrite !
D. dit: 11 février 2014 à 22 h 07 min
« Par ailleurs vous posez une question à laquelle personne ne souhaite répondre. »
D. dit: 11 février 2014 à 23 h 40 min
« Ça n’a aucun intérêt, Christiane. »
» dans le genre « pâtissier clérical ». » Clopine
Ne vous en faite pas trop Christiane, la cléricale n’ est pas celle à laquelle on pense. Il suffit de se remémorer le récit à propos du bon apôtre Clopin se rendant aux obsèques de Saint Cavanna, son idole, sa vénération!
Et sa moitié qui se targue d’ être disciple de Nietzsche…et qui vénère sans aucun sens critique Saint Onfray!
Ne s’ agit-il pas là, d’ une certaine manière d’ un couple d’ illuminés par la grâce, pas très catholique de leur Saints Patrons respectifs?
D. dit:12 février 2014 à 21 h 50: « Pablo75, je pense que vous avez un problème de pseudonyme. »:
Quant à vous, vous en avez mille et cent, vous avez un problème avec votre vraie identité et votre vie de « vodkalisé grenouille de bénitier »
Muriel Mayette? Une femme de théâtre qui épouse un chroniqueur sportif a forcément assimilé pas mal de choses. Un tel appariement dénote en soi qu’on a des chances d’aller au-delà de la sempiternelle boboïtude étouffe-chrétien du moi, du je, du moi moi moi, je je je, du petit angle parisien, formaliste à la mords-moi (la corde à)nœud. Lui se met au théâtre, se met-elle au sport?
La dream-team.
De l’air, du champ libre, du sport, du récit, au lieu du linéaire, du minimalisme branchouse, de l’emberlificotage « in », de l’historiette ethocentrée, de la branlette intello!
Il serait temps.
Je me suis régalé avec vos Antoine Blondin, Louis Nucera, Frédéric Roux et autres pour la boxe ou le vélo, Jérôme Charyn pour le ping-pong. Mais qui pour le tennis, la danse, la course à pied, le rugby?
Pourquoi vos écrivains ne parlent-ils pas davantage de sport?
En découvrant l’iconographie choisie de Passou, j’ai pensé à une photographie d’Edouard Levé.
En attendant vas-y Mumu! Songe, songe! J’espère que ton homme restera a Sotchi le moins possible.
C.D.
@Qui et comment croire? dit: 12 février 2014 à 22 h 24 min
Votre analyse est pertinente et ma citation aussi (que je rappelle ici) :
Proust / La prisonnière :
» Je vous dirai, reprit Mme Verdurin pour lever les derniers scrupules de Brichot, que je ne me sens pas en sûreté avec ça chez moi. Je sais qu’il a eu de sales histoires et que la police l’a à l’œil. » Et comme elle avait un certain don d’improvisation quand la malveillance l’inspirait, Mme Verdurin ne s’arrêta pas là : « Il parait qu’il a fait de la prison. Oui, oui, ce sont des personnes très renseignées qui me l’ont dit. Je sais, du reste, par quelqu’un qui demeure dans sa rue, qu’on n’a pas idée des bandits qu’il fait venir chez lui. Et comme Brichot qui allait souvent chez le baron protestait, Mme Verdurin,, s’animant, s’écria : « Mais je vous en réponds ! c’est moi qui vous le dis », expression par laquelle elle cherchait d’habitude à étayer une assertion jetée un peu au hasard. »
Les deux se ressemblent comme des clones !
Merci Chaloux. Oui, quelle journée !
A ce propos, mieux vaut les honorer ( la pâtisserie, Saint Honoré, ouaf ) à la façon de nos deux théâtreux sur la photographie mise en ligne par Passou!
L’assemblée est dissolue. Il n’y a plus qu’à la dissoudre.
christiane dit: 12 février 2014 à 21 h 55 min
ET LES DÉMARCHES CACHÉES,POUR EN ARRIVER A PROMOUVOIR LE DOGME. »
Ha nous ici à Nancy on a les Jéhovah, et aussi l’avorton de la taxe télé : faut pas se biler, le mieux dans ces cas-là leur balancer de l’huile bouillante et de la poix fondue par les fenêtres du premier… Mais attention, hein ! Pas les ramoneurs ! Eux au contraire il sont xtrêmement utiles…
Ce que vous êtes susceptibles, tous.
A peine un avis exprimé que tout me monde monte sur ses grands chevaux.
Les aliens au poil ras
Ils s’introduisent
Ils s’organisent
Se gargarisent
Se fleurdelisent
Ils se cotisent
Ils s’intronisent
Et fraternisent
Et colonisent
Tout en parlant
Ils formalisent
Généralisent
Ils mobilisent
Popularisent
Se centralisent
Se coalisent
Ils hypnotisent
Ils stigmatisent
Tout en chantant
Ils tyrannisent
Ils dévalisent
Et fanatisent
Et scandalisent
Ils terrorisent
Ils brutalisent
Animalisent
Désorganisent
Tout en beuglant
Ils se dégrisent
Ils se déguisent
Se subdivisent
Se canalisent
Ils s’amenuisent
Se déconfisent
Ils se réduisent
Se pulvérisent
Tout en râlant
Pendant ce temps là, le Songe et le merveilleux poème à Philomèle qui s’y trouve restent bien peu fréquentés On préfère des pâtisseries Onfraysiennes et Sacrécorales sans penser un instant qu’elles peuvent etre aussi indigestes les unes que les autres.Je laisse le pauvre Marcel en dehors .tout de meme, quel portrait n’eut-il pas fait de son admiratrice, quitte à lui fermer sa porte pour écrire, tout simplement…
MC
J’aurais voulu que tu m’aimasses
Pour croire enfin aux lendemains.
Je voudrais tant que tu m’embrasses,
J’aurais voulu que tu m’aimasses.
Pourquoi faut-il que tu te lasses,
Broyant mon coeur entre tes mains.
J’aurais voulu que tu m’aimasses
Pour croire enfin aux lendemains.
Jean Calbrix, le 13/02/14
Au fait, c’est bien dans le Songe que Titania adore une tete d’ane? Là encore, toute ressemblance avec les penchants d’une sous-fée du pays de Bray serait surement involontaire…Shakespeare, c’est la classe au dessus.
MC
L’illustration du billet de notre cher Passou, deux djihadistes se disputant une jeune captive dans le cadre d’une lutte sectaire mais printanière, tendance « mariage à durée déterminée » coranique, résume admirablement la faiblesse du théâtre classique au regard de la puissance signifiante des représentations du théâtre de l’actualité.
Le vieux Grec qui allait voir une babiole d’Eschyle vénérait ses Dieux, le Rosbeef qui se rendait au Globe, son Roi. L’homme d’aujourd’hui va au théâtre s’amuser de détails de mise en scène, de traduction, de jeu d’acteurs, de futilités, car il ne croit plus à rien … Faut dire que l’amateur de théâtre de ces époques barbares n’avait pas le millième des distractions visuelles, virtuelles ou réelles, d’aujourd’hui. Et que sa connaissance du monde était infiniment moins grande que n’importe lequel des commentateurs inspirés de la République assoulinienne.
L’action, la réflexion, sont ailleurs. Votre place est réservée, tous les jours… Si je vous disais que ce « théâtre » de la Comédie Française est mourant, vous ne me croiriez pas ! Dommage…
Marcel de la Nuit, tes « aliens au poil ras » ce sont les trolls ou les commentateurs de la RDL en général ?
Marcel dit: 13 février 2014 à 2 h 38 min
Il y a du Paul Géraldy dans la poésie de Marcel. Pablo75 doit saliver.
Je suis fou de rage ! Vous me savez féministe jusqu’au bout des ongles depuis toujours, et Femenophile depuis quelques temps…Eh bien, elles viennent de refuser mes 10 euros et mon adhésion à leur mouvement activiste, poitrinaire et charmant.
J’avais envoyé une photo de moi, à poil -c’est comme cela que nos idées doivent passer, chez nous- et j’ai reçu un e-mail sec, où une certaine Valentina Guerassinova me signifie son refus par un laconique :
« Vos appendices corporels ne sont pas situés au bon endroit. Veuillez agréer, etc, etc … »
Ah, la salope ! Moi qui me réjouissait à l’idée de casser en toute impunité du curé à Notre-Dame, j’ai l’appendice défectueux. Mal placé… !
ET LA PARITE, BORDEL !!!
Court, dit: 13 février 2014 à 2 h 35 min + 2 h 43 min
Songe d’une nuit… d’hiver ?
JC….. dit: 13 février 2014 à 7 h 54 min
Je suis fou de rage !
« de rage » est superfétatoire.
JC, ne serait-ce pas plutôt qu’il continue de croire sans le savoir?
En hommage à Marcel, poète du soir espoir, poème du matin, chagrin !
J’ai tant voulu cette radasse
Pour croire enfin aux lendemains.
Je voulais tant cette pétasse.
Broyer son corps entre mes mains.
Pourquoi faut-il que la connasse,
Brisant mon cœur entre ses mains,
Ait fait de moi, à la ramasse,
Un pauvre con sans lendemains !
JC : Guy B Toutes des .. :www.youtube.com/watch?v=ffanbB_22Yo
Saviez-vous que depuis le 2 février il existe une République de (la musique) classique richement animée par Elsa Fottorino, et Passou ne nous en a rien dit ?
D’Ormesson dans la Pleiade.
« Saviez-vous que… »
Il y a de bon qu’il n’y a plus de place pour un nouvel onglet — ou alors rationnaliser les existants…
Que les Sœurs Virginales de la Consolation aillent se faire enfiler par les Frères Turgescents de Priape, et les enfants seront bien élevés… !!!
« La construction de la salle philharmonique de Paris coûtera sans doute au moins trois fois plus cher que les 120 millions d’euros annoncés au concours d’architecture gagné par Jean Nouvel en 2007 », nous dit Catherine Sabbah dans son excellent article de la République de l’architecture, datant du 3 février dernier, et consacré aux dérapages dans les principaux chantiers actuels…
Il y a des Livres, et il y a des Musiques : tout regrouper sur un seul onglet MUSIQUE serait une solution honorable, compte tenu de la fréquentation et de la qualité des billets JAZZ, ROCK et CLASSIQUE …
Bof, pour Panama on entend causer d’une augmentation de 50% du contrat initial fixé à 3,2 milliards de dollars…
Coucou me revoilou. Alors, Chaloux de 20 h et quelques :
J’ai d’abord été quelque peu blessée de votre ton condescendant à mon égard (vous partagez cette tendance avec Daaphnée, et quelques autres), mais quand j’ai vu que vous incluez aussi François Bon sous votre douche élitiste, j’ai été rassurée ; si Bon partage ma barque, je peux bien traverser des océans de mépris !!!
Et puis j’ai réfléchi. Votre remarque a quand même une certaine justesse : non que je crois ma lecture de Proust limitée, mais mon irritation à l’égard de Christiane m’a poussée à forcer le trait. J’étais si occupée à tenter de sauver le soldat Marcel des griffes sulpiciennes, cachées dans des mains jointes et pointées vers le ciel, de la brave Christiane, que j’en aurais presque, ma parole, transformé la Recherche en manuel d’athéisme (ahaha). Or, je vous le concède Chaloux, les quêtes spirituelles de Proust imprègnent tout le livre. Encore qu’un auteur capable de parler des « irisations célestes qui ne sont pas de la terre », pour qualifier des asperges et finir par décrire, avec allusion à Shakespeare (nous ne sommes pas si loin de notre hôte, après tout), l’odeur de son urine dans le pot de chambre, après qu’il en a mangées, un tel auteur, donc, me paraît fort subjectivement ancré dans la réalité, mais enfin…
Et puis j’ai eu tort, voilà, je l’admets. Personne ne devrait, sur un blogue comme celui-ci, se permettre d’interférer entre un lecteur et un texte, de soupçonner une lecture orientée, moi moins que quiconque, voyons : quels que soient mes arguments, je ne serai jamais autorisée à faire valoir mes points de vue, car je n’ai même pas le ticket d’entrée estampillé par l’université, qui semble épinglé, bien en vue, telle une décoration militaire, sur toutes les poitrines de ce blogue. Autant laisser tomber…
Et pourtant, non. Je revendique, comme un Patrice Louis qui se rend coupable, sous forme de feuilleton, d’une très grande divagation proustienne de popularisation de l’oeuvre (avec participation invonlontaire de Djamel Debbouze), ma lecture de Proust.
Je vois la Recherche comme un livre cosmique, où tout valse, tout bouge, les chambres et les meubles, les couleurs et les matières, les sommeils et les insomnies, le désir et la vanité, l’amour et les haines, où tout ce qu’on croit vrai se révèle faux, tout est insaisissable sauf le mouvement créatif lui-même,conscient de sa mouvance, pas un sentiment, une sensation, un savoir qui puissent durer ou dire la vérité, et je ressens Marcel Proust comme un être vivant jusque dans ses plus infimes parties le mouvement brownien d’une planète tourbillonnant sur elle-même, à l’instar d’une toupie lancée dans l’espace. Et cette métaphore n’est pas si gratuite qu’il y paraît, Proust ne disait-il pas lui-même qu’il écrivait « avec un télescope » ? Et ce va-et-vient perpétuel qui passe des phrases rhizomées de la Recherche à une oeuvre grandiose, dans une équation fractale, est d’autant plus paradoxal et ambivalent qu’il provient d’un homme immobile, « cloué au lit » : un crucifié de la littérature.
Ah, que m’importent les contresens de lecture possibles, pourquoi revendiquer une lecture plutôt qu’une autre ? IL y a de la place pour tout le monde, non ? Et Proust m’autorisera bien à dire de lui ceci, moi qui ne fais que clopiner, moitié dans mes godasses et moitié à côté :
« Un jour, ayant rencontré dans un livre de la Recherche , à propos d’une vieille servante, une plaisanterie que le magnifique et solennel langage de l’écrivain rendait encore plus ironique, mais qui était la même que j’avais souvent faite sur le blog de Pierre Assouline à propos de Christiane, une autre fois où je vis que Proust ne jugeait pas indigne de figurer dans un de ces miroirs de la vérité qu’étaient ses ouvrages une remarque analogue à celle que j’avais eu l’occasion de faire sur notre amie Daaphnée, il me sembla soudain que mon humble vie et les royaumes du vrai n’étaient pas aussi séparés que j’avais crus, qu’il coïncidaient même sur certains points, et de confiance et de joie je pleurai sur les pages de l’écrivain comme dans les bras d’un père retrouvé. »
(ahahah).
Des amis progressistes, et moi-même, ne voyons qu’une alternative à ces actions homophiles détestables (car c’est un péché, héhé…) développées dans l’EN auprès d’une saine et chaste jeunesse, avide de connaissance théorique.
Offrir à celle-ci un spectacle exemplaire de l’Hétérosexualité au plus haut niveau de l’Etat !
C’est à dire réouvrir un Parc aux Cerfs -sur crédit européen- bourré de biches, à la disposition du Roi et de ses Ministres Mâles*. Et supprimer immédiatement dans toutes les bibliothèques du Royaume ces ouvrages débiles sur les deux papas ou les deux mamans !
* liste sur demande
Oui, M.Court, vous avez raison mais que voulez-vous, il faut faire le ménage soi-même, ici et il y a de l’ouvrage ! Et quand je tente de parler de Shakespeare, D, intervient en ambassadeur d’une bande de trolls dont la reine est de Bray.
Quand même, avant de parler d’autre chose, je vais terminer cette citation de Proust (La prisonnière). J’en souligne la dernière phrase pour clopine-le-corbeau, clopine la sotte sans scrupule :
« Toutes ces obligations qui n’ont pas leur sanction dans la vie présente semblent appartenir à un monde différent, fondé sur la bonté, le scrupule, le sacrifice, un monde entièrement différent de celui-ci, et dont nous sortons pour naître à cette terre, avant peut-être d’y retourner, revivre sous l’empire de ces lois inconnues auxquelles nous avons obéi parce que nous en portions l’enseignement en nous, sans savoir qui les avait tracées, ces lois dont tout le travail profond de l’intelligence nous rapproche et qui sont invisibles SEULEMENT – et encore ! – POUR LES SOTS. »
Bien à vous.
« je n’ai même pas le ticket d’entrée estampillé par l’université, qui semble épinglé, bien en vue, telle une décoration militaire, sur toutes les poitrines de ce blogue. »
Elle est jalouse…loose, loose, loose !
Profitant de l’ambiance JO, des amis sportifs, et moi-même, rappelons à tous que le petit Marcel Proust est un glandu ridicule, illustrant la maxime « Un esprit malsain dans un corps malsain » …
« .. Mais vous, Renato, n’êtes-vous pas sans concession ? Je croyais… »
C’est à quel propos, au juste…
CQFD : je le savais bien, tiens, que Christiane allait nous ramener de la religion là où elle n’a que faire…
Y’a que Chaloux qui passe plutôt pas mal. Ça fait à la fois chat et loup. (D.)
Croisement de haret et de roquet. Curiosité bâtarde. Peut-être qu’au zoo de Vincennes rénové…
ces lois dont tout le travail profond de l’intelligence nous rapproche et qui sont invisibles SEULEMENT – et encore ! – POUR LES SOTS.
hof..méfie..le roi était nu et copé le croyait habillé
Elle est jalouse…loose, loose, loose !
ha voilà comment que tu vas déboutter martchélo..plutot qu’avec tes gnasse gnasse gnasse..franchement!
Christiane nous prépare « La recherche racontée à mes paroissiens ».
Foin de Zoo pour Chaloux ! Utilisant un sondage catastrophique, 16% de satisfaits, menacé de destitution prochaine, le p’tit gros Pépère et la place devenant libre, le Chaloux Fan Club propose que celui-ci s’installe à l’Elysée et reprenne à son compte les engagements, y compris affectifs, du sous-chef de l’Etat en fuite ! Vas-y Chaloux, on est avec toi !
Votre querelle est d’autant plus navrante, Clopine et Christiane, que Proust devrait vous réunir plutôt que de vous opposer !
Sans prosélytisme aucun, les extraits choisis par Christiane montrent indéniablement que le narrateur fait référence à quelque chose qui dépasse l’entendement humain et qui relève de l’ordre du sacré…
bouguereau dit: 13 février 2014 à 10 h 00 min
« franchement! »
Lorsque tu parles franchise, Bougboug, je me pisse aux brailles, de rire…
les lecteurs du blog de Paul Edel avaient pu constater, il y a quelques mois, que dame Chrisiane avait décidé de quitter définitivement le blog de Passou qu’elle qualifiait de « nef des fous »… or depuis peu, nouveau changement de cap après que PE l’eut rembarrée vertement ; depuis elle boude Popaul et sans vergogne revient donc chez les horribles fous autrefois vilipendés… en attendant le prochain retournement ?
loose = desserré, trop lâche ; peu rigoureux.
Se prononce « louSSe ».
Rien à voir avec to lose, perdre (qui se prononce « louze »)
Quand on divise le monde en gagnants et perdants on risque de se retrouver dans ce camp-là, et pas seulement question langues vivantes …
Il sait pas l’anglais — laid, laid, laid !
l’odeur de son urine dans le pot de chambre, après qu’il en a mangées
en même temps n’importe quel moutard va s’en inquiéter auprés de sa maman clopine, manquerait pus qu’elle lui réponde « au nom dieu tu seras grand écrivain »
… en employant le conditionnel et en prenant de multiples précautions, et pour illustrer un paradoxe bien proustien, à savoir que les meilleurs mouvements de nos coeurs (la bonté, etc.) ne sont pas récompensés. Mais vous savez, Jacques, la querelle n’est pas navrante, elle est logique : je ne déteste rien tant que le doucereux mensonge à soi-même qui sert de paravent contre la vacuité de l’être. Et puis tenez, je vous illustre mon propos : je suis sûre que l’organiste du début, là, celui qui ressemble un peu à Christiane (moins la barbe), lit comme elle la Recherche :
Clopine, votre acharnement contre Christiane a quelque chose de choquant et même d’assez dégoutant.Est-ce que vous vous en rendez compte,vous qui donnez des leçons de morale à tout le monde , vous qui pleurnichez régulièrement contre les méchants trolls qui vous harcèlent, vous qui vous faites passer avec insistance et narcissisme pour une belle âme genereuse, ou, certains jours pour une persécutée ,vous poursuivez Christiane avec hargne, avec mauvaise foi , et aussi avec un ton pretentieux de vraie intolerante. Des commentateurs interessants ont bien le droit de parler de de Leur passion littéraire et de leur religion? car en litérature,et en critique littéraire, on ne connait, heureusement,votre sectarisme . En un mot, vous vous comportez bien mal.
« Ah, que m’importent les contresens de lecture possibles » Clopine
C’est bien là que réside le problème!
( Madame clopine avec le bergsonisme le plus éthéré de Proust en bandoulière!)
je ressens Marcel Proust comme un être vivant jusque dans ses plus infimes parties
intimes clopine..intimes..t’as raison clopine ! cheuloux il fait toujours celui qui ressent plus profond que les autres..un sulpicien la tête penchée
Qui, ici, a un langage ampoulé, voire dégoulinant ? Qui ici use d’une politesse exagérée ? Qui, ici, a les démarches cachées pour en arriver à promouvoir sa petite personne :
« J’ai d’abord été quelque peu blessée de votre ton condescendant à mon égard…
mais quand j’ai vu que vous incluez aussi François Bon sous votre douche élitiste,
et je ressens Marcel Proust comme un être vivant jusque dans ses plus infimes parties le mouvement brownien d’une planète tourbillonnant sur elle-même…
Ah, que m’importent les contresens de lecture possibles …
Qui, ici, accumule les contresens ?
« … le passage de Proust n’est pas si énigmatique que cela, à mon sens. Je ne crois nullement que Proust en appelle à un quelconque monde invisible, ni même à une « vie antérieure »
Qui, ici, quand on cite Proust pour la mettre face à ses erreurs revient à ses obsessions religieuses ?
« … je le savais bien, tiens, que Christiane allait nous ramener de la religion là où elle n’a que faire… »
Pensant que tous – comme elle – se prennent pour Proust…
Cette fille est un cas désespéré. Plus malhonnête, je n’en ai jamais rencontrée.
aussi avec un ton pretentieux de vraie intolerante
VOUS AURIEZ FAIT FORT PENDANT L’OCCUPATION dans le registre de la dénonciation de ceux qui pratiquent une certaine religion ! Il vous aurez suffi de les entendre parler … On a rempli des wagons et des camps avec ce genre d’arguments. Vous devriez avoir honte PETITE madame.
Christiane puise dans le Proust de Ramon Fernandez.
@une nomande de passage dit: 13 février 2014 à 10 h 10 min
Et cela fait 5 ans que ça dure !!!!
Cette fille est un cas désespéré. Plus malhonnête, je n’en ai jamais rencontrée
mais non hé..pas assez
Vous, moi, Christiane et les autres, nous avons tous des travers que compensent peut-être certaines qualités, Clopine.
Surmontons nos agacements respectifs et faisons plutôt appel à notre générosité.
Amen !
Journée mondiale de la radio :
Ouah, la chouette ambiance ! Je pourrais, comme Christiane, reproduire en majuscules les minuscules insultes dont elle me couvre, je pourrais interroger le commentateur qui cite le bergsonisme proustien (ça, ça m’intéresse), je pourrais continuer à tenter d’exprimer mon athéisme, mais baste. J’ai fichu le bazar chez notre hôte, je ne vais pas continuer – et puis ce n’est même pas une discussion, juste l’expression d’opinions qui ne m’intéressent guère (sauf pour le bergsonisme, ça j’aimerais bien que quelqu’un m’en parle -calmement). Allez, passons à autre chose. Vous avez dit « Shakespeare » ?
@bouguereau dit: 13 février 2014 à 10 h 16 min
Je ne prends pas ces dénonciations à la légère. Votre copine est une dangereuse délatrice, étayant ses vérités sur des mensonges, des contresens, des calomnies. Elle ne cherche qu’à nuire et à étaler son petit nombril. Un peu nymphomane…
Souvenez-vous de l’intrusion dévastatrice qu’elle a eu dans la vie de MàC et de SMDR.
Christiane et Bouguereau sont des personnages de fiction créés par une pléiade d’écrivains remarquables de précision et justesse psycho-socio-romanesques
J’ai fichu le bazar chez notre hôte, je ne vais pas continuer
..tu pétes dans la baignoire et tu veux faire croire à lassouline que c’est du zyclon b
Caaavanaaa, Caaavaanaa reviens, Caavaanaa reviens marmi les Tiens!
http://img.over-blog.com/398×600/4/28/00/07/Adieu-Cavanna/cavannafin.jpg
@Mesures et Poids dit: 13 février 2014 à 10 h 06 min
Moi, au moins, j’ai une identité !
Quant à ma fréquentation du blog que vous citez et de son blogueur, je ne connais ni l’un, ni l’autre. Vous devez faire erreur.
Quelques amis, fanatiques de sondages comme moi-même, avons procédé au questionnement d’un panel représentatif en RdL, territoire miné par la terrible tribu des proustiens anthropophages.
Résultats :
A la question, qui est la plus conne en RdL ? – Unanimité, moins une voix : Clopine Fouilletou
– Ne sais pas : Clofou Touillepine
Souvenez-vous de l’intrusion dévastatrice qu’elle a eu dans la vie de MàC et de SMDR
je suis zollers le matin et d’ormesson l’aprême christiane..c’est assez de boulot..tu veux me tuer?
rapelle là moi cette intrusion dévastatrice christiane..ça fait gode ceinture en zinc
le Chaloux Fan Club (JC)
Titania adorant une tête de chaloux… Zoophilie.
« Jean d’Ormesson bientôt dans la Pléiade ! A titre posthume, cela eut paru déjà incroyable, mais de son vivant… »
A quand un Passou pléiadisé ?
Sœur Clopine faisant ses patenôtres à Saint Cavanna sur son blog, provenance de la photo mise en ligne ci-dessus.
Le procureur :
– Sur la question de la nymphomanie, Clopine, qu’avez-vous à répondre ?
Certainement, mon meilleur client, JC autoproclamé Prince des Cons attribue un côté affectueux à « conne » et « con ».
Ce pourquoi il nous faut rectifier le sondage : Clopinouille n’est pas conne, c’est une ordure.
Bon, bouguereau n’est ni MàC ni zollers, mais est-ce que SMDR est rose ?
» ci-dessous » faut-il lire!
Vous avouerez qu’il n’ y a pas plus sulpicien que cette rose et cette photo encadrée rendant par l’ image un culte au héro, dieu de mémoire pour tous les clopinards de la terre!
renato dit: 13 février 2014 à 10 h 36 min
mais est-ce que SMDR est rose ?
ça, c’est une vacherie !
Croire de ne pas croire dit: 13 février 2014 à 10 h 38 min
On aurait dû l’enterrer comme un chien, c’est ça ?
« Bon, bouguereau n’est ni MàC ni zollers »
Ne me dites pas que le boug c’est d’Ormesson, renato !
Pas du tout centrale vapeur, mais un certain soin dans la “construction iconographique” n’aurait pas été de trop…
centrale vapeur dit: 13 février 2014 à 10 h 40 min
Certes non!
Athée grâce à Dieu, on ne devrait pas singer, comme un cureton inversé les rites abhorrés!
( C’ est toi, Clopin de terre?)
Comme le dit fort justement Renato, « l’ iconographie » est dans la symbolique la plus religieuse qui soit, le culte des images!
Sans parler du culte de l’ image…
Voir mon 12 février 2014 à 17 h 13 min, Jacques :
http://larepubliquedeslivres.com/le-songe-dune-nuit-de-theatre/#comment-184022
Enfin, je vois plus facilement Sollers que d’Ormesson faire de la provoc sous l’image “bouguereau”…
Chargé des Outre-Mer…, je m’ennuie beaucoup, je viens souvent ici sous le pseudonyme Bougeureau
Jacques Barozzi dit: 13 février 2014 à 7 h 45 min
Marcel de la Nuit, tes « aliens au poil ras » ce sont les trolls ou les commentateurs de la RDL en général ?
Bonjour, Jacques. En écrivant Alien, je n’ai pas pensé aux commentateurs de la RDL. Dans le fond, on lâche quelque chose, et le lecteur y voit ce que ça lui évoque. Peut-être les hordes de monsieur Thiers responsables des charniers du Père Lachaise ?
As-tu un avis sur mon cadavre normand ? S’est-il grillé les ailes en montant à Paris ?
(Marcel, voir plus bas mon message personnel du 12 février 2014 à 21 h 56 min)
bouguereau dit: 13 février 2014 à 10 h 00 min
Elle est jalouse…loose, loose, loose !
ha voilà comment que tu vas déboutter martchélo..plutot qu’avec tes gnasse gnasse gnasse..franchement!
Dégoûter, Boug, dégoûter !
ahurissant ! regardez bien : Christiane à 10h27 prétend ne pas connaître Paul Edel et son blog ? déjà alzémémère ?
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