Le songe d’une nuit de théâtre
Une pièce, on y met ce qu’on veut. Qu’on la mette en scène, ou qu’on y assiste, il est permis de la bousculer, et même de lui faire violence, donc de la violer dès lors qu’on lui fait un bel enfant (merci Dumas !). Ce genre de réflexion est inévitable lorsqu’on assiste à un spectacle tel que Le Songe d’une nuit d’été (A Midsummer Night’s Dream, écrit en 1594) monté par Muriel Mayette-Holtz depuis hier à la Comédie française. On peut tout faire subir à Shakespeare, il en sortira toujours vainqueur. Ce qui est rassurant. Tel est le privilège des génies : leurs chefs d’œuvre sont insubmersibles. Ils survivent tant aux outrages qu’aux hommages.
Quelle histoire raconte la pièce ?
« À Athènes, Thésée s’apprête à célébrer ses noces avec Hippolyta, la reine des Amazones. Dans la forêt avoisinante, Obéron, roi des fées, se dispute avec Titania, sa femme, au sujet de leurs nombreuses conquêtes passées et présentes. Ajoutons deux couples d’amoureux contrariés – Hermia, qui est amoureuse de Lysandre mais promise à Démétrius, lequel est aimé d’Héléna – et des artisans partis répéter une tragédie pour les noces de leur roi, sous la baguette du truculent Bottom. Tout ce petit monde finit par se retrouver dans la forêt, où les sortilèges d’Obéron, aidé par le lutin Puck, vont semer la confusion au cours d’une nuit dont personne ne saura vraiment si elle est un rêve, un jeu ou un fantasme. Un songe ? »
Mais, on le sait, une pièce, pas plus qu’un roman, ce n’est un sujet, et moins encore celui annoncé par son résumé. Celle-ci, telle qu’on peut la voir au Français jusqu’au 15 juin, est une machine à fantasmes, mais une machine fantastique dans la double acception du terme. Un spectacle conçu pour divertir dans la fantaisie la plus débridée. Le rêve y prend sans cesse le pas sur le désir. Ou plutôt sur « les » désirs puisque le désir sexuel s’y bat en duel avec le désir amoureux sans qu’ils aient à se fondre automatiquement.
La mise en scène s’est voulue respectueuse des intentions de l’auteur, c’est à dire aussi irrévérencieuse que lui. Elle est très physique, dansante, virevoltante, attentive à la gestuelle, indifférente aux détails pour mieux servir les acteurs, le théâtre de Shakespeare autorisant toutes les libertés formelles (très loin des didascalies contraignantes d’un Beckett par exemple). Le plus réussi est la mise en abyme du théâtre dans le théâtre. Ce n’est certes pas nouveau, et de moins en moins original ; sauf que là cela prend naturellement, sans l’ombre d’un procédé. Shakespeare accorde toute liberté à celui qui voudra s’emparer de sa pièce ; reste voir et à savoir ce que celui-ci en fera.
Dès le début, les comédiens surgissent dans le théâtre allumé, s’installent aux premier rangs parmi les spectateurs, et reviennent à la fin pour le morceau de choix, afin d’assister à la représentation, tordante il est vrai, d’une troupe de théâtre amateur offerte à Thésée pour son mariage. Excellent prétexte pour s’interroger sur l’(in)utilité, la nécessité, la vanité du théâtre. Dès lors, il n’y a plus de salle et plus de plateau, plus de lustres et plus de planches. Les frontières se sont dissolues dans l’émeute de fantasmes à laquelle nous avons assisté deux heures durant (sans entracte) dans une fête féérique. Le fond uniformément blanc du décor, composé d’un grand drap tendu, donne sa couleur au rêve.
Le spectacle est rapide, vif, enchanté – et l’inventivité des costumes n’y est pas étrangère. C’est que la troupe y prend manifestement un plaisir fou tant Shakespeare en a habilement agencé les ressorts comiques en jonglant avec ses fées et ses spectres. Un délire parfaitement maîtrisé se déploie sous nos yeux avec ce qu’il faut d’hallucinations. On est toutefois moins chez Jérôme Bosch, comme le laisse croire le programme en reproduisant le Jardin des délices et la Tentation de Saint-Antoine, que chez James Ensor.
On rit souvent, mais du rire de Shakespeare qui n’est pas celui de Feydeau, encore que la mise en scène fasse aussi la part belle au comique de situation, quand les comédiens ne se délectent pas de l’humour du texte. Deux réserves toutefois, même si elles ne nous feront pas bouder notre plaisir : la musique, avec ses accents de comédie musicale du pauvre, qui semble être désormais la règle au théâtre, mais qui fait du tort au texte quand elle le couvre (mais il paraît qu’en 1965, pour la même pièce sous les mêmes lambris, c’était jazz et sirtaki !) ; et la traduction de François-Victor Hugo, classique et poussiéreuse ô combien, et libre de droits (1865), là où on aurait préféré les mots de Jean-Michel Déprats, André Markowicz et Françoise Morvan, Pascal Collin, Yves Bonnefoy ou d’autres encore à qui la commande aurait pu être faite par rapport à cette nouvelle mise en scène, quitte à privilégier la dimension poétique ou théâtrale. Ainsi entend-on Thésée répondant à Hippolyta :
“Au cours de mes périples, de grands savants ont voulu me saluer par des compliments prémédités ; alors, je les ai vus frissonner et pâlir, s’interrompre au milieu des phrases, laisser bâillonner par la crainte leur bouche exercée, et, pour conclusion, s’arrêter court sans m’avoir fait leur compliment. Croyez-moi, ma charmante, ce compliment, je l’ai recueilli de leur silence même. Et la modestie du zèle en déroute m’en dit tout autant que la langue bavarde d’une éloquence impudente et effrontée. Donc l’affection et la simplicité muettes sont celles qui, avec le moins de mots, parlent le plus à mon cœur. “
C’est le moment où jamais de (re)lire la réflexion qu’inspira l’exercice de traduction des oeuvres de Shakespeare, désigné comme l’auteur qui se défend le mieux contre ses traducteurs, à un certain… Victor Hugo, justement.
(Photos Christophe Raynaud de Lage)
1 013 Réponses pour Le songe d’une nuit de théâtre
Synopsis et détails
La plus grande chasse au trésor du XXe siècle est une histoire vraie. MONUMENTS MEN est inspiré de ce qui s’est réellement passé.
En pleine Seconde Guerre mondiale, sept hommes qui sont tout sauf des soldats – des directeurs et des conservateurs de musées, des artistes, des architectes, et des historiens d’art – se jettent au cœur du conflit pour aller sauver des œuvres d’art volées par les nazis et les restituer à leurs propriétaires légitimes. Mais ces trésors sont cachés en plein territoire ennemi, et leurs chances de réussir sont infimes. Pour tenter d’empêcher la destruction de mille ans d’art et de culture, ces Monuments Men vont se lancer dans une incroyable course contre la montre, en risquant leur vie pour protéger et défendre les plus précieux trésors artistiques de l’humanité…
@Bouguereau.
Christophe, ton humour est vraiment bas de gamme, genre vendeur de bagnoles d’occasion.
Fais-en, toi, du « spinal ».
Areu, areu.
Traduction : Si j’avais des dents, je le mordrais ce tendre tétin qui me titille un tantinet.
observateur tv, skieur à ce niveau est encore plus risqué que concertiste au Berlin philarmonic orchestra, une fausse note et la médaille sera remise à dans 4 ans si le skieur conserve la forme olympique gagnée au prix d’un travail hallucinant, le sourire sert surement à atténuer la défaite.
« ça en dit long sur ce qui vous traverse ». (bérénice)
C’est une métaphore qui suffit à mettre notre Jacques de bonne humeur.
Ok@barozzi: Moliere, a ma connaissance , se joule tres peu ici…J’ai vu une de Racine un jour…sinon, vous approchez la question du Mauvais bout: si WS se joue encore, c »est parce qu’il parle encore au monde de sujets toujours relevants…500 ans après…Moliere pour moi, se resume a son Don Juan que je trouve toujours d’actualite, sinon le reste a pris un sacre coup de vieux…a mon Avis hein…
Pourquoi est-ce que mon amour du foot et de l’Arsenal m’empecherait d’apprecier Shakespeare ? C »est vot’esprit cartesien franchouillard qui vous vous inculque cette binairitUDe? Il se trouve que j’ai un billet pour le match contre le Bayern mercredi prochain et aussi pour le King Lear de Sam Mendes a la fin du mois…
Dans la pub, en haut:
« Quel secret Prune a-t-elle emporté avec elle? ».
Si Poire achète le livre, elle n’en ignorera rien !
l’observateur tv,
faut voir s’il a le caractère d’une Dominique Gisin… tandis que Lara Gut finit pour sourire mais enfin, elle aurait préféré plus…
« Pourquoi est-ce que mon amour du foot et de l’Arsenal m’empecherait d’apprecier Shakespeare ? » (Abdelkader)
Hein?
Moi j’ai dit ça?
(Au fait, le Français « cartésien », c’est du flan.
Bonne nouvelle!)
bouguereau dit: 14 février 2014 à 14 h 12 min
Tout petit…
et un quart de dieu..et un petit pichet du patron pour cheuloux..jle connais..hin mon cheuloux
renato dit: 14 février 2014 à 14 h 08 min
« … t’es un bourgeois… »
« Tout petit… »
Bande de cons…
« Pourquoi est-ce que mon amour du foot et de l’Arsenal m’empecherait d’apprecier Shakespeare ? »
@ Renato
avec le 15% de chaumage
S’il faisait réparer les toitures, ils n’auraient plus de chômeurs.
tu nous laisses « à nos amuzment » mais quelle faignasse tu fais la chaloute
Phil dit: 14 février 2014 à 10 h 16 min
« Il y a des auteurs biens et d’autres moins biens. Le niveau général baisse… »
CQFD (domaine : orthographe / revoir la règle de l’invariabilité de l’adverbe)
http://uispeccoll.tumblr.com/post/76627252273/iowacitypast-studying-in-the-physics-library-in
« S’il faisait réparer les toitures, ils n’auraient plus de chômeurs. »
Ok, chômage… mais vous aviez quand même compris…
@Abdelkader
Moliere pour moi, se resume a son Don Juan que je trouve toujours d’actualite,
Mol hier, mou aujourd’hui !
bouguereau dit: 14 février 2014 à 14 h 41 min
Non Christophe Keumol, face de culbuto à barbe, je travaille…
Merci vapeur. comme quoi, faut pas mettre les voiles trop vite.
Ok, chômage… mais vous aviez quand même compris…
Me reste le plaisir d’avoir incompris.
Bouguereau dit: 14 février 2014 à 14 h 48 min
Tu vois, faciès de moule élevée au houblon, je suis tellement occupé que j’en usurpe involontairement ton pseudo de merde.
j’aimerais connaître la boisson favorite de ce poivrot, je penche pour la bière à haute dose, me trompe-je ? rien qu’à l’odeur
Merci vapeur. comme quoi, faut pas mettre les voiles trop vite.
Ah non, Phil, centrale vapeur ne mange pas de ce pain-là.
j’en usurpe involontairement ton pseudo de merde.
..t’es grave comme mec cheuloux..
centrale vapeur ne mange pas de ce pain-là
..il veut dire qu’on l’encule mais qu’il pipe pas..
Chaloux et si vous pouviez en venir aux mains et qu’elles ne vous soient pas si précieuses? Quelle animosité coriace et tenace, que vous arrive-t-il donc avec ce Bouguereau que vous ne réussirez pas à solutionner à coup de phrases délétères?
Bouguereau ne profitez pas de cette période post légiférante pour caser vos fantasmes et désirs inassouvis, vos frustrations vos inhibitions vos blocages, que sais-je etc
..ça il délétère..se prend les pieds dans le tapis..se vautre..et dit que c’est du boulot
..c’est ça je cherche a me débloquer..quelquesfois ça marche
Bougue vous voulez dire qu’il noie le poisson, qu’il délaie le poison et comme la mer est vide, beaucoup de place accordée à presque rien, un infime détail invisible nu?
Bouguereau / Chaloux : Janus bifrons ?
Chritophe Keumol, alias Bouguereau, ce que tu fais c’est tenter d’orienter la lecture… faute de mieux. Quand on te dit que tu es mauvais…Avec les procédés des mauvais…
faciès de moule élevée au houblon,
Je n’ose pas penser à l’état des parcs après ces déferlantes. Enfin quoi, êtes-vous sérieusement sérieux ou c’est pour une représentation? Un théâtre d’ombre qui vous dépasserait en proportions?
Voyons si c’est vrai :
Non, je trouve que Christophe a vraiment une face de moule bouffie.
C’est du vécu.
Bouguereau cadran solaire dans cette économie solidaire?
, avec ta tronche de culbuto et ton cervelet de cloporte
Il vit donc sous les pierres et souffre de troubles de l’équilibre.
>C’est du vécu.
Il sait de quoi il parle le bouffi..
..t’es grave comme mec cheuloux.
l’est pas grave, l’est con.
Là, j’en ai fini avec le plâtre, j’arrive à la pierre… Je vous laisse…
Les insultes si elles sont drôles ne sont pas une mauvaise pub…Mais par pitié, cessez de répéter ce qu’on vient de vous dire…inventez…Vous faites rien qu’à répéter ce qu’on vient de vous dire… Vous êtes lourds… des aptères… comme disait le grand Ferdinand…
Inventez !
de bagnoles d’occasion
Chaloux tout le monde ne dispose pas de vos ressources créatives et lucratives, les vendeurs d’occasion ne sont pas forcément malhonnêtes et nombre de collections s’achètent d’occasion.
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Chaloux dit: 14 février 2014 à 13 h 10 min
Chiffrage dit: 14 février 2014 à 13 h 07 min
Chiffrage, vous devez avoir été un petit bébé très tendre, mais vous ne vous en souvenez pas, voilà tout.
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 14 février 2014 à 13 h 08 min
Marcel, vous devez avoir été un petit bébé très tendre, mais vous ne vous en souvenez pas, voilà tout.
Chiffrage dit: 14 février 2014 à 13 h 07 min
« c’est ce que je me disais ce matin en déchiffrant Lyadov »
Chaloux
Mais quelle burne !
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Chaloux 15h22
Inventez
Mais quelle burne
… faut par rêver…
nous inventorions votre répertoire Chaloux, je ne doute absolument pas de votre capacité à inventer en revanche les inventions, qu’en penser? Les plus fameux inventeurs qui sont aussi des scientifiques ont eu à regretter et vous? Non, rien?
Inventif dit: 14 février 2014 à 15 h 26 min
Sans compter ceux qui SE répètent ad nauseam, mais ceux-là plus aucun conseil à leur donner… Trop tard…
bouguereau dit: 14 février 2014 à 14 h 55 min
centrale vapeur ne mange pas de ce pain-là
..il veut dire qu’on l’encule mais qu’il pipe pas..
Erreur !
Chaloux dit: 14 février 2014 à 15 h 28 min
Quand tu es arrivé sur ce blog mon Chachal tu as démontré immédiatement ton extraordinaire aptitude à la burnitude.
Au fil des années la confirmation de tes capacités s’étale jour après jour.
Pourquoi changer de commentaire ?
T’étais une burne, tu es une burne, tu seras une burne.
Epicétou.
Clopine, vous m’ayez envoyé le livre à Zürich, et la poste me l’a reconduite vers Singapore. Dans mon souvenir, j’ai donc reçu le livre à Singapore.
Je me souviens aussi très bien de vos premiers pas, comme commentatrice de la RdL. Vous aviez donné des notes à tous les commentateurs, et en excluant quelques uns, par manque, vraisemblablement, d’atomes crochus.
Si vous avez quitté vos parents, pour aller découvrir le monde tout en travaillant, c’est un choix de vie, choix de vie temporaire. Faire des travaux mal payés à cet âge là, ne fait pas changer de milieu social pour la vie. Que vous dire, j’ai fait mon service militaire, la majorité des autres soldats, plus de 90%, étaient des paysans (nous parlons de 1965-67) et des jeunes employés, et un tout petit nombre de fils de famille. J’emploie à dessein cette expression d’un autre siècle.
Pour ce qui est de votre cabas et de votre premier sac, c’était trop caricatural pour être vrai. Un peu comme si je disais, mais à l’envers, que je suis toujours en costume-cravate.
Votre désir d’être de la France de tout en bas me fait rigoler, d’autant plus que vous vous gargarisez de votre rejeton, qui voudrait faire carrière dans La Carrière, tout en passant par Janson-de-Sailly. Bref votre éducation ne semble pas avoir atteint ses buts, votre fils rêve de ce qui fut un métier d’aristocrates. Temps révolus ?
PS: Vous aviez au début, la rage pour ceux qui se mettent en avant, comme si quelqu’un qui fait des commentaires, donc vous aussi, pourrait être effacé ?
Vous êtes, des commentateurs, l’un de ceux qui sont le plus sûr d’eux-mêmes et ont, bizarre bizarre, horreur de ceux que vous trouvez trop narcissiques. Je ne parle pas des pervers narcissiques…
Un passage sur blog est l’équivalent d’un clope du temps où on fumait.
Tout est bon pour le tire-au-flanc.
Touite:
« Jean d’Ormesson bientôt dans la Pléiade ! A titre posthume, cela eut paru déjà incroyable, mais de son vivant… »
C’est évidemment le contraire.
Obtenir un accord avant sa mort était la seule chance d’y entrer.
Lyadov.
Voici les déchiffrages du matin.
Version orchestrale :
http://www.youtube.com/watch?v=GZeXM-YQi_g
Pour piano :
http://www.youtube.com/watch?v=FY0qGDhuVJk
L’opus 11 N°1 (ici par un professeur d’Horowitz)
http://www.youtube.com/watch?v=fOOs6E4cidk
Etude opus. 37
http://www.youtube.com/watch?v=mrD-d-hKQtE
La Barcarolle.
http://www.youtube.com/watch?v=0soRVTaXa8s
J’étudie actuellement le « Discours sur les oeuvres de M. Sarasin » de Pellisson (1656) sur l’art du dialogue et je suis troublée par l’absolue concordance entre ses préconisations d’une part et, d’une autre, ce que je puis lire ci-dessous. Cette permanence, au-delà des siècles, a quelque chose de poignant.
« Si vous avez quitté vos parents, pour aller découvrir le monde tout en travaillant, c’est un choix de vie »
TKT
Clopine il faut savoir respecter les choix d’autrui.
Thierry a choisi d’attendre l’héritage de papa pour acheter et revendre quelques bouteilles de pinard.
C’est un choix qui se respecte.
dear tkt, vous êtes la mémoire du prestigieux blog à passou. nous nous souvenons des premiers pas de Clopine et de vos voyages à « Singapore ». Nous pourrions causer de tout ça au Raffles, passoupline sortirait le chéquier après toutes ces contributions notulaires. Et clopine soignerait sa proustite en votre hélvétique compagnie.
u. dit: 14 février 2014 à 15 h 44 min
Un passage sur blog est l’équivalent d’un clope du temps où on fumait.
Ha mais on peut refumer, hein ! Un numéro un vingt-trois centimètres… Là ça fait des bonnes pauses y a no problemo…
A titre d’exemple et parce que je sens bien que vous brûlez d’en apprendre davantage, voici ce que Pellisson recommande : « … une conversation, c’est à dire un entretien libre, familier et naturel, semé partout des jeux, de la gaieté, et de la civilité des honnêtes gens, qu’on y distingue le caractère particulier de chacun de ceux qui parlent, qu’on les y connaisse, qu’on les y aime… »
@Sergio
Ha mais on peut refumer, hein ! Un numéro un vingt-trois centimètres… Là ça fait des bonnes pauses y a no problemo…
C’est cochon ça Sergio. Ce n’est pas à mettre dans les oreilles des bébés (F. Dolto)
Mais qui donc aura la palme de la Haine sur la RDL ? Chaloux-Bouguereau, Clopine-Christiane ou Daaphnée et son miroir ?
Davidoff Gran Toros, « Là ça fait des bonnes pauses y a no problemo… ».
Marcel, vous oubliez MCourt-bouillon et Ciboulette
Me voilà fort bien décrit :
« ben oui, no comment, Jcé s’est donné pour mission sur terre d’infester ce blogue, d’y empêcher toute conversation, d’y exprimer sa détestation de la lecture en affirmant haut et fort qu’il ne lit pas, n’a pas lu, et ne lira pas des livres dont on débat, qui utilise ce lieu comme le zinc d’un troquet du haut duquel il commente les faits divers de la politique pour mettre en avant ce qu’il croit être finement paradoxal et sarcastique alors que ce ne sont que des opinions bourrées à ras bord de platitudes d’extrême-droite, et qui se permet de saupoudrer le tout d’un machisme ordinaire sur fonds de proposition de balade en scooter à Porquerolles (il n’a jamais lu la planche de Reiser sur les balades vélocipèdiques, ma parole) et de vagues relents d’égrillardes propositions qui sentent bon la maison de retraite, enfin, je résume, là. »
Bébé Marcel dit: 14 février 2014 à 16 h 04 min
C’est cochon
Et le numéro deux, en fait, c’est… un tout petit truc !
Inventif dit: 14 février 2014 à 15 h 41 min
Celui-là, c’est pas la moitié d’une huitre…
Marcel, je ne hais pas Christiane, ni ne la méprise. Je lui trouve quelques solides défauts, et une pensée qui est totalement différente de la mienne… Mais moi aussi, j’ai quelques solides défauts. Ma propension à perdre mon temps en est un !!!
Toute entière ! dit: 14 février 2014 à 16 h 44 min
Celle-là, c’est pas la moitié d’une moule vide…
Mais moi aussi, j’ai quelques solides défauts. (Clopine)
Oui, une outrecuidance sans pareil.
Marcel, je ne hais ni Christophe Keumol-Bouguereau, ce fion gangréné, ni John Brown,la grosse mollasse hystérique. Je m’amuse sans plus.
La haine, c’est un gros travail, et du travail j’en ai déjà par-dessus la tête.
Agathe H., le livre de notre hôte autour des commentaires de ce blogue était sous-titré « le nouvel art de la conversation ». Soupir. Cela vous a, aujourd’hui, comme un triste parfum de cruelle ironie…
J’ai suivi « du rivage » comme dirait Lucrece, le round entre Clopine et Christiane .
En fait ce sont deux femmes dont j’admire le talent ,toutes deux tres cultivéees et dotéees d’une plume alerte , toutes deux persuadées du talent de l’autre ,mais qui semblent ne pas se pardonner l’une à l’autre l’univers affectif dont chacune se réclame
C’est dommage !
Ne pas aimer, voire détester certains traits d’un être ne doit pas conduire à s’en désintéresser, encore moins à le réduire à ce qu’on n’aime pas en lui, ou pire à s’en prendre à lui de ce fait .
Pour vous deux Christiane et Clopine , cette leçon qui a été maintes fois utile au fil des ans à la vieille dame que je suis:
« Si j’ai un ami borgne, je le regarde de profil »
Chaloux dit: 14 février 2014 à 16 h 53 min
La haine, c’est un gros travail
Bien sûr ! Une ascèse une praxis… Et après… The finger in the nose !
@Sergio.
Follow your nose.
…
…deux mots,…sur cette escale improvisée,…
…
…je disait du machinisme » humain « ,…quoi d’autre,…Paris des plaisirs fin du XIX °siècle,…en parodie de style antique pour nous en faire avaler des couleuvres,…
…
…un régime sans sel,…encore salée,…
…Oui,…est ce que çà mort,…encore les » bachanales » de théâtre,…toujours le mord au dent,…déjà la censure à déniaiser l’avertis,…
…
…un comparatif avec la réalité à reconstruire,…ou effacer,…
…chéris tu rêve,…il est cinq heures Paris s’éveille,…ta gueule,…je me tapais l’Hellène à Troie,…à moi tout seul,…
…comme tout le monde,…
…OUF!,…je m’en sort,…le café,…déjà chaud,…un zeste de lait concentré,…
…
…et demain,…les vaches d’Hollande,…
…encore du fromage,…
…du cuir,…le lot des recyclages,…
…
…les Troies Monsquetaires, de la Reine,…
…Non,…les ferrets du duc d’Alençon,…
…çà mord,…Giovanni,…ce roman,…
…
…toujours en Bastille,…mon Marquis de Sade,…la peau des vaches,…Oui ,…et alors,…le beurre et l’argent du beurre,…
…
…tiens voilà du boudin,…voilà du boudin,…la St-Valentin c’est pas le 14 juillet en Afriqualand,…pousse l’aventure, pousse l’aventure!,…
…et, encore » un » pour l’amazone du théâtre ce soir!,…
…
…en passant par la Hollande,…on en attrape des » bijoux « ,…à l’hélium,…
…la forme bien contenue!,…
…la passe-droit,…liberté chérie au Stalag 14,…offshore mon paradis,…
…à quel heure!,…in extremis,…Ave,…
…comme biscottes au beurre, et café sans sucre,… » un « ,…sur place,…etc,…
…à tantôt!,…d’1 trait,…
…
C’est évidemment le contraire.
Obtenir un accord avant sa mort était la seule chance d’y entrer.
vipérin..mais réponds a cette question je te prie « comment se fait il qu’il y ait eu dormesson plutôt que rien?..ha!
La haine, c’est un gros travail
..ma parole elle est encore là la tiédasse
bouguereau dit: 14 février 2014 à 17 h 26 min
« comment se fait il qu’il y ait eu dormesson plutôt que rien?..ha!
Bien vu, Christophe Keumol !
Le vrai paradoxe serait que TU entres dans la Pléiade, vu que toi et rien c’est pareil…
les vendeurs d’occasion ne sont pas forcément malhonnêtes
pendant que je lançais telquel et sortant de chez mauriac et avant de terminer mes prépas j’avoue que j’ai eu furieusement l’envie de faire le marchand de voiture d’occasion..vous ne pouvez pas comprendre..une perversion en avance sur son temps
toi et rien c’est pareil…
phrase spinal et toute faite se voulant destructrice de propos..tais toi donc..c’est a zouzou que je m’adresse..où à quelqu’un d’inspiré.. »qui prends ce risque » comme je dirais au micro..toi t’es une feignasse qu’a peur du boulot
Chaloux dit: 14 février 2014 à 17 h 31 min
A chaque fois que je lis Chaloux je me le représente en Monsieur Pineduitre.
Eric (dit Rico) Pineduitre.
Tout Chaloux.
S’il faut le nommer dit: 14 février 2014 à 17 h 42 min
A mon avis, ça vient plutôt de ton état général.
Tu devrais jouer au docteur avec un radiologue.
Le spectacle est rapide, vif, enchanté – et l’inventivité des costumes n’y est pas étrangère
Ceux qu’on voit sur la photo du haut sont hideux. On se croirait dans un spectacle collégien de fin d’année monté à l’aide des fripes récupérées au grenier.
bouguereau dit: 14 février 2014 à 17 h 40 min
Eh, vieille wassingue, le boulot t’aurais dû y penser AVANT.
A chaque fois que je lis Chaloux je me le représente en Monsieur Pineduitre.
ça c’est rigolo. Pineduitre, on dirait un personnage de Feydeau.
tu fais bien de te mettre un faux nez cheuloux toi même tu te trouves mauvais
Résumons-lui la situation dit: 14 février 2014 à 17 h 46 min
C’est vrai que quand tu inventes Chaloux t’es âchement drôle, un vrai gagman.
bérénice dit: 14 février 2014 à 14 h 21 min
ces Monuments Men vont se lancer dans une incroyable course contre la montre, en risquant leur vie pour protéger et défendre les plus précieux trésors artistiques de l’humanité…
–
et alors, ils réussissent ?
Christophe Keumol-Bouguereau, tu es en train de recycler mot pour mot ce que je t’ai dit dans la journée. Tu me plagies, en somme. T’es vraiment un morpion.
Chaloux dit: 14 février 2014 à 17 h 55 min
N’est-ce pas normal que M. Pineduitre attire les morpions.
lancer tel quel que dit Keumolle : c’est pas étonnant qu’avec un pochtron pareil la revue se soit cratchée rapido
D’autant qu’on sait très bien comment cette moule de Bouguereau est « inspirée », et comment elle prend « des risques ». Christophe Bouguereau, la suffisance de ton insuffisance c’est déjà un poème. Cela dit, toi non plus tu n’as pas dû beaucoup avancer dans la rédaction de tes œuvres complètes, si risquées, si inspirées, aujourd’hui.
Tu me plagies, en somme
où mon cheuloux?..fort pour la traçabilité et perdre ton temps..à aussi à perde la face..j’attends
Cristobal est Chaloux !
Ben ça alors.
Deux burnes pour le prix d’une.
@Bouguereau.
Christophe Keumol, « perdre la face », dans ta phrase, est simplement destiné à cacher à la galerie que TU perds la face et que tu le sais. Un gastéropode de ton espèce s’en apercevrait. T’es vraiment un petit joueur. On se croirait au caté !
tes pauvres répliques indisposent cheuloux
Tes mornes réponses, glanées chez les autres, n’indisposent pas même, Bouguereau.
(« Indisposent », le voila qui joue les aristos…).
Chaloux dit: 14 février 2014 à 18 h 09 min
M. Pineduitre cherche sa face.
Chaque cul a son revers.
Chaloux qui veut matter Bouguereau.
Whouarf.
Alors, gros con, t’as besoin de souffler?
Ha les gastéropodes ça c’est bon hein ! On en mangerait… Et la sauce l’huile… Multigrade ! Naturellement faut faire gaffe quand leur espèce de pince veut se détendre comme une catapulte, sinon avec la table à côté ça dénégère…
Chaloux dit: 14 février 2014 à 18 h 20 min
M. Pineduitre pour un gros con.
Tu fantasmes Chaloux.
Sergio, je crois que vous faites une légère confusion entre les gastéropodes et les crustacés.
En tout cas, je ne fantasme pas le silence de ce pauvre Bouguereau qui doit être à bout de nerfs (un gastéropode à bout de nerfs…).
Messieurs, j’ai honte pour vous deux. Et pour Sergio aussi mais pour une autre raison.
Deneb dit: 14 février 2014 à 18 h 43 min
Merci de prendre ça sur vous, pour ma part je m’en fous. Cela dit, c’est tout simple, que ce connard me foute la paix et ça n’arrivera plus.
c’est les cagouilles sergio..en charentse il les font en ragout au vin blanc..c’est pas mal mais faut quand même être du pays
bien..chaloux n’a pas usurpé mon blaze pour se faire des chaleurs..
Deneb dit: 14 février 2014 à 18 h 43 min
pour une autre raison.
Non mais nous ici à Nancy on n’a pas l’océan, nous… Absolument aucun ! On les pêche dans le Rhin…
Messieurs, j’ai honte pour vous deux
tu as raison dédé..c’est horripilant..et je suis daccord avec toi, la saint valentin, moyen moyen
bouguereau dit: 14 février 2014 à 18 h 49 min
« bien.. »
Il s’est changé. on est mieux au sec, hein!
Non mais nous ici à Nancy on n’a pas l’océan, nous… Absolument aucun !
les escargots..tu dois en avoir..c’est une bouffe de pauvres malin..j’ai connu des ukrainiens qui fuyant la famine avait dit être estomaqué qu’on pouvait bouffer des escargots..fut un temps on disait que c’était la protéine la plus facile a produire
Bouguereau, « indisposé », « horripilé », des fois, tu serais pas un trav?
..on parlait même des oeufs comme erzats du caviar..hum
tu serais pas un trav?
évidemment, t’es le dernier a s’en rendre compte..t’es un bourrin
C’est vrai Bouguereau, je me suis déjà aperçu que quand tu es touché-coulé comme aujourd’hui, tu dérapes dans un registre typiquement féminin. C’est ta façon d’exprimer tes émotions. Curieux.
je dérape dans un rgistre féminin sans raison particulière mon cheuloux..mais t’as une théorie la dessus..t’as le droit..je te trouve grinçant cheuloux, respire comme dirait rénato
@Bouguereau
Christophe, est-ce que tu ne nous ferais pas un peu d’anémie graisseuse? Fais gaffe, il y a des signes cliniques à ne pas négliger. C’est un des symptômes.
hum..beaucoup, trop d’associations scabreuses mon cheuloux..on te regarde mon cheuloux, tu t’égares
« quand tu es touché-coulé comme aujourd’hui »
Chaloux
Plus con tu meurs.
M.Pineduitre se rêve Siffredi et se bourre de viagra.
Le résultat se fait attendre.
bouguereau dit: 14 février 2014 à 19 h 06 min
Christophe, tu vas quand même pas me faire la leçon sur ce point !
Tout de même, la ficelle est un peu grosse…
Et puis, je « n’associe » rien du tout, je me contente de te lire, c’est ton « style » qui est plein « d’associations scabreuses ». Faudrait pas confondre, mettre le lecteur en procès. « Indispose » et « horripilant », c’est venu sous ta plume, pas sous la mienne. Choisis mieux, discrimine, une prochaine fois.
Ah, je me réjouis de lire ces polémiques qui ressuscitent le XVIIème siècle. Je pense aux scènes de Ménage avec Pierre de Montmaur ou Vaugelas.
Bon, pour revenir au théâtre :
@Bouguereau.
Je t’explique, mon Christophe, parce que comme pro de la plume (qui prend des risques et inspiré) tu te poses pas là.
Le lecteur ne fait que déchiffrer les messages que tu lui envoies, sans plus. Mais il est aussi en droit de lire ce que tu ignores avoir écrit et de le mettre au jour. C’est un des contrats les plus redoutables du pacte de lecture,-et une très bonne raison pour prendre son temps.
mais tu lis trés bien mon cheuloux..les mots « indispose et horripile » ne trompent pas.. trave et féminin c’est mathématique..un truc de gonzesse..touchée coulée..le e fait plus mal..dailleurs je me meurs..t’es un bourreau mon cheuloux
Pierre de Montmaur ou Vaugelas
les noms ne me disent que vaguement..mais merci c’est tout à fait mon genre de lecture
Bouguereau, si le scripteur mime la mise à terre pour ne pas qu’on devine qu’il est vraiment KO, le lecteur sagace peut le lire aussi.
@ Choix de choix dit:14 février 2014 à 15 h 53:
« Thierry a choisi d’attendre l’héritage de papa pour acheter et revendre quelques bouteilles de pinard.
C’est un choix qui se respecte. »
Vous avez tout faux, D.bile bêtissime, d’abord je n’ai rien hérité, ainsi que ma sœur, d’autre par acheter et vendre, Ducornaud, se base surtout sur la vente, donc trouver des clients et savoir les garder. Le mot pinard ne fait pas partie de mon vocabulaire. Le votre non plus à usage personnel, puisque vous vous défoncer à la vodka. Et puis « quelques bouteilles », vous devez confondre avec vos heures de présence active, dans les entreprises qui vous ne pouvaient vous mettre facilement à la porte. Pour ce qui est de la vente des vins, aux particuliers, il y a eu un vendeur de prestige, le Group captain Peter Townsend. Ce dernier avait par ses relations, un puissant carnet d’adresses. Que vous rigoliez depuis 2005 autour de mes activités professionnelles, prouve votre crétinerie. Vous, le comptable subalterne junior. Aujourd’hui vous avez 54 ou 55 ans, à votre âge avancé, pour un employé de bureau du back-office, n’êtes vous pas forcé à devenir demandeur d’emploi ? Imbibé d’alcool, en plus, vous ne devez pas avoir, en dehors d’internet, une vie facile. Et même pas les plaisirs charnels, puisque vous êtes vierge de partout, depuis l’adolescence.
En suisse allemande, on nomme les petits employés du back-office, les « radier Gummi ».
bouguereau dit: 14 février 2014 à 19 h 33 min
Mon Christophe, tu continues à mettre le lecteur en procès, mais surtout pas ton vocabulaire. C’est tout toi. Toujours l’autre…Jamais toi…
le lecteur sagace
quignard ton poteau fait tout un chapitre sur le lecteur qui serait un enculé..trés précisément..on dirait que tu aimes a te cantonner a ce role dans nos échanges
@Bouguereau.
cela dit, mon Christophe, tu reste seul responsable, SEUL RESPONSABLE, des mots que tu emploies…
Correction:
part au lieu de par
vous vous défoncez au lieu de défoncer.
Mais bon, votre français écrit est souvent lacunaire et à l’oreille, il doit être auvergnat.
j’ai gardé un excellent souvenir des bougnats, de leur pain complet brun, de leurs charcuteries. Une belle province, avec des richesses culinaires.
Est-il vrai, Ducornaud, que les Auvergnats, comme les Écossais, réfléchissent longtemps avant de lâcher le moindre argent ?
d’abord je n’ai rien hérité
ha pardon vontraube ! jésus est ton cousin, tu l’oublierais un peu vite
SEUL RESPONSABLE, des mots que tu emploies…
c’t’un fait qu’envoyer un post au blaze de cheuloux à l’insu de mon plein gré..je ne sais pas mon cheuloux ne va pas imaginer des choses à ton sujet
les « radier Gummi »
dis vite ce que ça veut dire vontraube
bouguereau dit: 14 février 2014 à 19 h 39 min
Quignard, tu le lis « à ta sauce ».
Tu remarqueras, que dans ce post tu exposes l’adversaire dans une pose de dominé (supposée infamante? Comme une étoile jaune? )alors que tu es clairement dominé. C’est un de tes trucs habituels pour masquer ton insuffisance. Mais qui trompe qui? Tu te venges en chanson, comme dirait Nerval.
cheuloux m’a tuer et je dois encore casser du bois bordel de cul
Quignard, tu le lis « à ta sauce ».
à ma sauce ? c’est un de ses passages trés fameux..aucun lecteur de quignard n’ignore ce passage de l’effroi mes couilles..son meilleur..ha non centent d’être enculé t’es un lecteur de merde
(supposée infamante? Comme une étoile jaune? )
houps..la connerie illimitée verticale maous..j’abandonne le radier gummie vontraube
@Bouguereau
Avons chassé le naturel, il revient au galop. Quignard, tu le lis tout de même « à ta sauce », avec ton langage, ta courte intelligence. Ton peu de finesse.
Je suis quand même content de savoir que tu dois « casser du bois » ! Je me disais « ce type qui casse rien ». Et ben si…
Toujours l’autre…Jamais toi (chacal)
Ce rat vit en se contemplant dans un miroir.. c’est vrai qu’un rat qui joue du carpeau aurait compris que le moment de se taire était venu depuis longtemps, mais le soutien d’une illusion fait des miracles..
Bouguereau, vous êtes aussi germanophone, non ? Ah, vous voudriez que je traduise pour les autres ?
Radiergummi: gomme
Mais en français, on parlerait de trombone, peut-être ?
Bref, quoi de plus humble, dans un bureau, que les gommes ?
Comme nous sommes à l’âge de l’ordinateur, je n’ai pas d’idée pour le update de cette expression.
Non Christophe Bouguereau, c’est ta faiblesse qui te fait abandonner… Rien d’autre.
Cela dit, je maintiens : ta rhétorique est nettement d’essence totalitaire, violente, tu disais « scabreuse », je dis perverse. Dans tout ce que tu écris l’adversaire est forcément dominé, exhibé, possédé, avili, c’est l’étoile jaune ni plus ni moins. Tu es un sale type. Mais moi je n’abandonne pas, loin de là. Je n’en ai pas fini avec toi.
Bonne Saint-Valentin !
Rien compris à cette histoire d’escargot entre le Boug’ et Chaloux.
Bon, l’un voudrait la coquille et l’autre le chose visqueux ou est-ce le contraire ?
Oui, Bouguereau, si Jésus est mon cousin, il en va de même pour tout ceux dont les ancêtres ont traversé une masse d’eau à sec ou, on bâtit les pyramides comme manœuvres. Ainsi vous, par Monsieur votre père, nous cousinons, mais comme on dit en allemand, c’est un cousinage um die Ecke, éloigné. De Phalsbourg à la région de HH, il y a quand même une bonne distance en kilomètres.
D., cousine peut-être avec les bougnats parisiens ?
Il doit certainement cousiner, avec JeCon, le troll qui écrit plus vache que lui ?
« radier Gummi »
Un vieux employé, le plus souvent de l’administration publique, réfractaire à l’innovation (qui emploie encore un crayon et une gomme ?)
Puis on parle aussi d’un (une) qui se vante de peu de chose, mais là mes compétences en alémanique me lâchent…
Trop beau ça, et heureusement nous sommes sur un blog pour lettrés :
renato dit: Votre commentaire est en attente de modération.
14 février 2014 à 20 h 06 min
« radier Gummi »
Un vieux employé, le plus souvent de l’administration publique, réfractaire à l’innovation (qui emploie encore un crayon et une gomme ?)
Puis on parle aussi d’un (une) qui se vante de peu de chose, mais là mes compétences en alémanique me lâchent…
C’est pas mal, on donne un coup de main à propos d’une expression et le post se retrouve en attente de modération !!!
?
renato dit: 14 février 2014 à 20 h 15 min
c’est l’expression radiergummider , Renato ?
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/f/f5/Pelikan_Radiergummi.jpg
« les sortilèges d’Obéron, aidé par le lutin Puck, vont semer la confusion » ???
un lutin ?
c’est quoi encore cette histoire à dormir debout ?
« »Il y a un mot de Septimius énigmatique et terrible (…) (Celui qui écrit sodomise. Celui qui lit est sodomisé). L’auteur demeure un paedicator. C’est le vieux status de l’homme libre romain. Mais le lector est servus. La lecture rejoint la passivité. Le lecteur devient l’esclave d’une autre domus. Ecrire désire. Lire jouit ».
Certes, mais on peut aussi lire la première phrase du paragraphe suivant:
« Tout homme, toute femme sont passifs quand arrive la jouissance ».
Le Sexe et L’effroi. Gallimard, P. 246.
Quand au fond de la chose, je soutiendrais volontiers que si le lecteur ne se fait pas à son tour « paedictor » du texte, il n’y a pas lecture véritable, mais seulement acte de lire. Il faut qu’il y ait mutuelle possession.
Oui, des journées, c’est une gomme, mais lorsqu’on le dit de quelqu’un ce n’est vraiment pas gentil…
c’est pas une histoire de lutin ! cette affaire c’est avant tout un problème de recrutement, il faut savoir sélectionner ses employés, recourir à des tests avant embauche, ou avant débauche, si Obéron avait été Direction des Ressources Humaines Shakespeare n’aurait pas eu besoin d’écrire cette histoire vu que tout se serait parfaitement passé, et dans la vie il faut que tout se passe bien, à quoi ça sert que des bataillons de graphologues se décarcassent si c’est pour pousser à employer des salariés à côté de leurs pompes.
c’est n’importe quoi.
Toto, t’es ren qu’un’ gom’!
(Merci pour le coup de main)
Au fait, Phil, à Berlin, vous avez vu Michel ?
http://www.livreshebdo.fr/article/lenlevement-de-michel-houellebecq-4-questions-au-realisateur-guillaume-nicloux
(Renato, une gomme, ça reste une gomme. Pas besoin de faire une métaphysication du truc, d’autant que tekaté boit tout le vin qu’il vend)
HR, difficile de vendre quelque chose, et d’en être le consommateur.
Je n’ai jamais compris quels sont vos vrais rapports avec la psychanalyse.
Si vous aviez été psychanalyste, auriez vous passé votre temps à vous psychanalyser, pendant que votre patient, sur sa chaise longue, soit trompé en croyant que vous vous occupez de lui ?
Mais peut-être que vous étiez surtout, une personne d’études, sans pratique ?
Les arbres dans lesquels vo passez vos journées, sont-ils des bonsaï ou des palmiers hauts et minces, comme les palmiers dans les rues de L.A. ?
By the way, HR, avez vous peur de redescendre du sommet de vos arbres ?
Lew, je vous souhaite une bonne nuit
TKT, le docteur Lecter, c’est le rideau d’à côté.
Renato, allons, Radiergummi est un mot qui contient une certaine tendresse, faut voir la forme de la gomme. Eraser Head, tout en laideur, ou gomme pour enfant, en forme d’éléphant rose ?
D. serait plutôt une gomme qui n’efface pas, mais laisse le papier et la main de l’utilisateur, avec une mauvaise odeur et des traces noires.
Il y a aussi les chewing-gums et les Gummi protectrices, en cas de one night stand.
Il y a aussi les plantations de gommiers, j’en ai vu en Malaisie et en Indonésie, je leur préfère les chocolatiers.
Des Ouin-ouin entiers dans les hévéas et le gros Kuh de tQt, frères de résidus de Gummis, parlent de littérature hermétique. la RdL retient son Spermium de peur de s’infecter. bouguereau et châlous n’en peuvent plus, succombent, glissent et les rejoignent dans le bain fatal
Quand au fond de la chose, je soutiendrais volontiers que si le lecteur ne se fait pas à son tour « paedictor » du texte, il n’y a pas lecture véritable, mais seulement acte de lire (Chaloux)
Ce passage de Quignard cité par Chaloux illustre admirablement la courte vue de l’auteur des « Ombres errantes ». Ses oppositions forcées (l’auteur sodomise/ le lecteur est sodomisé ; écrire désire / lire jouit ) enferment la réalité des deux opérations conjointes de l’écriture et de la lecture dans une schématisme appauvrissant et désolant. En revanche, je ne vois pas la raison d’être de l’opposition établie par Chaloux entre « lecture véritable » et « acte de lire ». Toute lecture est en acte. Toute lecture fait éprouver la complexité de l’acte de lire. Quignard, avec ses pauvres oppositions, est loin de cette complexité-là. » Le Sexe et l’effroi », comme « Les Ombres errantes », et comme du reste l’ensemble de ses écrits, étale sans vergogne les approximations d’un penseur d’occasion, à la réputation totalement surfaite.
La belle et la bête dit: 14 février 2014 à 22 h 09 min
Commencé par une superbe faute.
On ne peut pas réduire Quignard à ce type de propos. Mais j’avoue qu’avec le temps je trouve parfois la base de ses raisonnements un peu simple.
John Brown (je crois bien que c’est toi), si Quignard est surfait ou non, c’est difficile à dire. Peut-être publie-t-il, écrit-il trop. Il aurait dû commencer après quarante cinq ans. C’est un bon âge.
Mais le questionnement vis-à-vis de Quignard (qui se dit lecteur plutôt qu’écrivain, ceci expliquerait peut-être cela)ne peut faire l’économie d’une remontée vers les sources. C’est pour cette raison que je me suis plongé dans Sénèque Le Rhéteur, Controverses et Suasoires, dans le Grammairiens et Rhéteurs de Suétone et d’autres ouvrages, entre autres de spécialistes de la rhétorique romaine. (Quignard est un écrivain qui me coûte cher !).
Quant à ce que je dis à propos de lecture, je crois que tu ne l’as pas saisi complètement. La lecture, la première lecture j’entends, est semblable au déchiffrage fasciné (Ah le fascinus quignardesque!)auquel se livrerait un instrumentiste. Reste pour le lecteur à posséder (littéralement posséder) l’œuvre qui l’a possédé. C’est un travail auquel on ne peut se livrer que pour assez peu d’écrivains. Une dizaine, à mon avis, pas davantage, au cours d’une vie.
« bouguereau et châlous n’en peuvent plus, succombent, glissent et les rejoignent dans le bain fatal »
Tout de suite les grands mots.
Une honnête baignoire.
Mais une eau extrêmement chaude.
Et encore, extrêmement reste faible.
Ensuite, on choisit qui on autorise à entrer
(‘ô-furo WO hairu’, pas ‘NI’, attention à la faute grammaticale des Français)
« Pour ce qui est de la vente des vins, aux particuliers, il y a eu un vendeur de prestige, le Group captain Peter Townsend. »
TKT
Thierry se cherche quelques honorables et prestigieux correspondants pour cacher son vilain trafic d’alcool et son notoire besoin d’héritage pour démarrer dans la carrière à plus de trente ans.
Ce n’est rien Thierry, il suffit d’assumer, comme comme Clopine assume son artisan de père.
Pas grave.
La belle et la bête dit: 14 février 2014 à 22 h 09 min
Commencé par une superbe faute.
La belle, vous êtes mattée comme se plait à l’écrire M. Pineduitre spécialiste de l’orthographe en tous genres.
T’es petit mon Chachal, petit à vie.
« Mais le questionnement vis-à-vis de Quignard (qui se dit lecteur plutôt qu’écrivain, ceci expliquerait peut-être cela)ne peut faire l’économie d’une remontée vers les sources. »
D’accord, sur ce coup, avec Chaloux.
Quignard m’a fait lire.
D’abord pour vérifier.
Dans l’espoir, disons-le, de le contredire.
C’est mesquin.
Ensuite pour le plaisir de la lecture.
A-t-il tort, a-t-il raison?
Je suis couché sur le dos et regarde les nuages.
« Si vous aviez été psychanalyste » (TKT)
Ça poigne, ça strangule, ça interloque.
Ensuite, on explique pourquoi c’était impossible.
Chaloux aime Quignard, que dire ?
Clopine aime bien Chevillard.
Chacun sa vie.
Inventif dit: 14 février 2014 à 22 h 55 min
Il fallait évidemment comprendre (COMPRENDRE!) « j’ai commencé par une superbe faute ». Plus exactement, l’extrait commence par « quand au », une superbe faute.
Comprendre… Pour ton sens de l’invention, je ne sais pas, quoique les échantillons que tu donnes ici n’engagent pas à en demander davantage.
Pour ta comprenette, en revanche, on voit tout…
Oui u., c’est exactement ça, Quignard est un écrivain qui fait lire et qu’on a grande envie de contredire… Un grand passeur de lectures. Un seul de ses livres en tend cent autres au lecteur. S’il n’y avait que ça, ce qui n’est certainement pas le cas, ce serait déjà extraordinaire.
Ya queques années dans le Monde des Livres on avait Passou.
Maintenant on a Chevillard.
Je voudrais pas fayoter mais je me demande si on y gagne ?
Chaloux dit: 14 février 2014 à 23 h 01 min
Mon Chachal,
plus tu essaies de te justifier, plus tu sonnes creux.
On jurerait du Lyadov.
Quant à ce que je dis à propos de lecture, je crois que tu ne l’as pas saisi complètement. La lecture, la première lecture j’entends, est semblable au déchiffrage fasciné (Ah le fascinus quignardesque!)auquel se livrerait un instrumentiste (Chaloux)
Je crois que j’ai bien saisi. Les comparaisons et les formules valent ce qu’elles valent. Je ne dis pas que Quignard ait tout-à-fait tort, mais à mon sens il simplifie jusqu’à la caricature. Ce qui manque encore, sans doute, c’est une vraie phénoménologie de la lecture, qui ne peut s’envisager que comme la somme des expériences croisées de lecteurs capables d’analyser en finesse leur pratique de la lecture. Comme ces expériences et ces pratiques sont innombrables, se dessine une entreprise infinie qui aurait pu fournir à Borges le sujet d’une de ses nouvelles (peut-être l’a-t-il écrite, d’ailleurs).
Chiffrage dit: 14 février 2014 à 23 h 10 min
Chiffrage dit: 14 février 2014 à 23 h 10 min
Chaloux dit: 14 février 2014 à 23 h 01 min
« plus tu essaies de te justifier, plus tu sonnes creux.
On jurerait du Lyadov. »
Quitteras-tu seulement cette vallée de larmes étant devenu un « petit maître? »…Lyadov, ce n’est pas si mal. C’est ton oreille « qui sonne creux ».
(Pour le reste, je ne justifie rien, je t’explique juste que tu ne sais pas lire. Pas plus qu’écouter.)
Restent les livres des grands lecteurs.
Chaloux dit: 14 février 2014 à 23 h 19 min
M. Pinedruite est amateur de petits maîtres.
Etonnant ?
Non.
Une tradition.
renato dit: 14 février 2014 à 14 h 00 min
–
Bravo renato de vous proposer comme chaudronnier-soudeur. Vous commencez-quand ?
Bravo aussi d’avoir souligné tous les bienfaits d’une Europe fédérale.
Frontières grandes ouvertes aux délinquants de toute sorte, à tous les trafics dont bien sûr la drogue et les armes, impôts, taxes et amendes de toutes sortes pour les nations qui ne se plient pas assez vite aux décisions communautaires plus tordues les unes que les autres, perte de contrôle totale des devises, contribution obligatoire au sauvetage du fiasco général, négation et dissolution des cultures, y compris agricoles, usines à gaz idéologiques, bras grands ouverts à la haute finance omnipotente et véreuse.
De toutes façons c’est toujours le petit prolo qui en fait les frais, de l’Europe, à fortiori fédérale. Jamais le bobo confortablement installé et se permettant de méditer sur l’harmonie des sphères.
Le petit prolo, il n’a aucun autre choix que de courber l’échine, et le peu qu’il avait, sa petite banque, sa petite épargne, son brin de sécurité, de terre et de plaisir, l’Europe lui raccourcit, lui reformate, pour son plus grand bien bien évidemment.
Chaloux dit: 14 février 2014 à 22 h 36 min
La belle et la bête dit: 14 février 2014 à 22 Ah le fascinus quignardesque!
Normalement dans ce sens-là c’est sidération.
J’ai écrit bien bien mais c’est Français quand même.
N’employez-pas des mots qui vous dépassent complètement juste pour faire de l’effet, Sergio, s’il vous plaît.
D. dit: 14 février 2014 à 23 h 59 min
des mots qui vous dépassent complètement juste pour faire de l’effet
Mais si ! Il faut s’entraîner dans le désert… Comme Démosthène… Saint-Ex…
LA psychanlayse, maintenant : elle n’a jamais existé. Pure fumisterie.
Des goûts et des couleurs dit: 14 février 2014 à 23 h 32 min
« Chaloux est amateur de petits maîtres. »
C’est plus prudent, vois l’histoire de Georges de la Tour et celle de Bruegel. Les petits maîtres offrent souvent d’intéressantes variations sur l’œuvre des grands. Et même parfois les annoncent(Vois les nocturnes de Czerny, par exemple, et ceux de Chopin ensuite). Pinedequoi, je ne sais pas, mais tu n’as certainement pas inventé l’eau chaude.
L’économie : il faut impérativement stabliser la dette, puis la faire baiser. C’est une priorité absolue et aucun économiste, sauf sil a bu, le dira ne contraire.
Il faut que les Français puissent se porter volontaires pour racheter la dette, et leur donner une contrepartie qui ne soit pas financière. Soit une décoration ou une distinction, soit un accès prioritaire à tout un tas de services publics (ne pas faire la queue), soit la possibilité de partir plus tôt à la retraite, ou encore une voix qui aux élections compterait double, triple ou quadruple selon le montant de leur contribution volontaire, enfin bref des choses comme ça.
Si seulement un million de français se portaient volontaires pour racheter la dette à raison de 10000 euros en moyenne par personne et par an cela ferait en un an 10 milliard et en 10 ans 100 milliards. On peut donc tout à fait y arriver de cette façon et je m’étonne que personne n’y ait encore pensé.
heu…pour stabiliser l’économie et la faire baiser, faut 2 qui l’attrapent et 3 qui la niquent, comme dirait Coluche…je serais plutôt d’accord avec Traube, z’êtes un cas social…
@U, scusez-lui, z’avez bon et moi tout faux…z’etes pas cartesien…z’etes juste un franchouillard…
J’aime le lys, la passerose,
Leur doux parfum quand vient le soir.
Quand le manteau de nuit se pose,
J’aime le lys, la passerose.
Mais foin de fleurs où je repose,
Sous ma dalle de marbre noir.
J’aime le lys, la passerose,
Leur doux parfum quand vient le soir,
Jean Calbrix, le 15/02/14
« mais j’écris tellement de bétises »
La palme de la lucidité temporaire est décernée à Mademoiselle Trouillefou.
Court est piquant : court et piquant.
Devise : UNITE, DIGNITE, TRAVAIL
Hymne : La Renaissance
Superficie : +600.000 km2
Population : +5 millions d’hab.
Religions : Chrétiens, musulmans
Devise : LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE
Hymne : La Marseillaise
Superficie : +600.000 km2
Population : +65 millions d’hab.
Religions : Chrétiens, musulmans
Sauras-tu dire quels sont ces deux pays et lequel a envahi l’autre ?
MUSIQUE : Jacques Brêle
PAROLES : Elysée Matignon
T´as voulu voir Kaboul
Et on a vu Kaboul
T´as voulu voir Mouammar
Et on a vu Mouammar
T´as voulu voir Kidal
Et on a vu Kidal
T´as voulu voir Bangui
Et on a vu Bangui
J´ai voulu voir Damas
On a revu Bangui
J´ai voulu voir ta sœur
Et on a vu ta merde
Comme toujours.
Jamâl, cousin de Mansûr dit: 14 février 2014 à 21 h 54 min
Votre cousin a peut-être plus de discernement que vous ?
http://www.chartsinfrance.net/Jean-Louis-Aubert/news-90569.html
Je constate que la nature d’un Etat fédéral se refuse à la compréhension… mais c’est vrai qu’il ne faut pas trop demander… surtout causant politique…
… inerrance biblique ?! en un sens tous les livres sont inerrants: inerrance joycienne, proustienne, musilienne, gaddienne…
You must prepare your bosom for his knife,
said Portia to Antonio in which
of Shakespeare’s Comedies? Who killed his wife,
insane with jealousy? And which Scots witch
knew Something wicked this way comes? Who said
Is this a dagger which I see? Which Tragedy?
Whose blade was drawn which led to Tybalt’s death?
To whom did dying Caesar say Et tu? And why?
Something is rotten in the state of Denmark – do you
know what this means? Explain how poetry
pursues the human like the smitten moon
above the weeping, laughing earth; how we
make prayers of it. Nothing will come of nothing:
speak again. Said by which King? You may begin.
Carol Ann Duffy
le brêle de pécul source d’inspiration de la grande Chris, attend impatiemment le retour de nicktamerlatalo.net et ses quarante voleurs – un trône ne serait pas assez vaste pour eux et leurs affaires
Vis comica ?
« Il faut que les Français puissent se porter volontaires pour racheter la dette… »
Comment rendre encore plus irresponsables les politiques : « Bof, en tous cas les Français se portent volontaires pour racheter la dette… ».
Et l’inerrance à Toto, alors, on l’oublie?…
Voilà, c’est samedi et la maternelle est fermée…
Mais la maison de retraite est ouverte…
Bon, j’au du mal à trancher : nous avons à faire avec un bas niveaux générale ou la stupidité serait spécifique de l’environnement littéraire français ? C’est vrai qu’avoir fait un cursus inutile à tous les effets ça ne doit pas être réjouissant…
« Mais la maison de retraite est ouverte… »
En effet, vous êtes ici parmi nous…
renato dit: 15 février 2014 à 8 h 14 min
Quand on te lit, on se dit qu’il y a encore du taf.
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