Le triomphe du roman sans fiction
Je n’est pas toujours un autre. Il arrive qu’il s’affirme clairement comme étant l’auteur et nul autre. Ainsi le pacte de lecture est-il clairement établi qui nous dispense de chercher à retirer les masques superposées sur le visage de celui qui signe de son propre nom en haut de la couverture. Le genre n’est pas nouveau. Les Américains l’ont brillamment illustré du Truman Capote de De Sang-froid (1966) ) au William T. Vollman de La Famille royale , en passant par le Norman Mailer du Chant du bourreau (1979)
Qu’il s’agisse de comprendre le passage à l’acte existentiel de meurtriers, la prostitution, la misère et la violence sociale ou l’angoisse du condamné à mort ,ils réinventent la réalité, s’autorisent à créer des histoires en ajoutant au réel l’invérifiable et l’imaginaire. Le vrai y côtoie l’invraisemblable jusqu’à susciter de sérieux doutes chez le lecteur ; mais c’est fait avec une telle habileté, à seule fin de produire une vérité romanesque tellement plus troublante pour nos consciences que l’exactitude, qu’il ne se demande même pas si c’est du lard ou du cochon. Le suédois Per Olov Enquist avait poussé l’expérience jusqu’à son paroxysme documentaire en truffant L’Extradition des Baltes (1985) de rapports d’instruction, ce qui ne manqua pas de déstabiliser le lecteur incapable de démêler le vrai du faux, le but recherché.
Les Espagnols s’en sont récemment emparé au point de lui donner ses lettres de noblesse. Il est vrai qu’ils prennent leur élan de loin puisque Don Quichotte demeure un absolu de la catégorie. Javier Cercas en est le meilleur représentant, des Soldats de Salamine à L’Imposteur (2015) en passant par Anatomie d’un instant. Trois grands romans en prise avec l’histoire immédiate de son pays plombée par le spectre de la guerre civile. Ils ont en commun de participer d’un genre qui convoque, cannibalise et absorbe à son profit le meilleur des autres genres : le roman traditionnel, le récit littéraire, la chronique au cœur de l’essai, l’enquête historique, les techniques du scénario, l’art du portrait, l’interview et l’investigation journalistiques…
Un vrai pot-au-feu littéraire que ce néo-réalisme historique. Mais l’originalité tient à ce que l’auteur en est au fond le personnage principal. Foin d’autofiction ! Il ne s’agit pas d’un vain et complaisant « racontage de mézigue » mais d’un impératif romanesque gouverné par un changement de focale : si l’auteur et le narrateur se confondent à ce point, c’est que l’économie du récit, le point de vue, le parti pris l’exigent afin de rendre un son différent et de provoquer d’autres émotions chez le lecteur. Tel un peintre plantant son chevalet en plein dans le paysage qu’il s’apprête à restituer à sa manière, l’écrivain se retrouve de plain-pied dans le motif. Pas sûr pour autant qu’il reprenne l’avertissement de Jean-Philippe Toussaint dans son dernier livre Made in China, sur ses aventures chinoises avec son éditeur local devenu un ami :
« Même si c’est le réel que je romance, il est indéniable que je romance »
En France, Emmanuel Carrère, Laurent Binet et Yannick Haenel ont témoigné par leurs livres d’un tel engagement personnel. L’accueil critique et public fut à la hauteur des ambitions du Royaume, de HHHhH et de Jan Karski. Mais depuis quelques années, deux autres auteurs, que l’on retrouve en cette rentrée 2017, creusent à nouveau ce même sillon prometteur, chacun développant sa manière de laisser la fiction s’épanouir dans les zones d’ombre de l’Histoire, mais dans un même esprit.
Le premier s’appelle Philippe Jaennada. On commence à le connaître : il s’empare d’un grand fait divers, entre dans un profond processus d’imprégnation (archives, rencontres, repérages in situ) et en émerge en un peu plus de 600 pages alertes, colorées, vivantes qui nous entrainent à sa suite partout où ça s’est passé. A noter sa marque de fabrique : le culte de la digression entre parenthèses, plusieurs par pages, le plus souvent des apartés d’un humour irrésistible car il y commente personnellement la situation. Et dire que ce monomanique du détail ose affirmer page 270 :
« Je ne vais pas entrer dans les détails, sinon je suis foutu, mais il a réussi à détourner 239 millions de francs » !
La Serpe (633 pages, Julliard), titre du dernier, est l’arme du crime atroce perpétré en 1943 sur le père, la tante et la domestique. Un mobile et pas d’alibi, le fils Henri Girard est le coupable tout désigné. Un bouc-émissaire idéal emprisonné durant les dix-neuf mois d’enquête avant d’être acquitté. Un sacré tempérament que ce personnage : il se retrouvera à nouveau en justice des années après pour son soutien à la cause algérienne. Georges Arnaud fut aussi, et ce n’est pas secondaire, un écrivain à succès très goûté des cinéastes, auteur chez Julliard notamment du Salaire de la peur, du Voyage du mauvais larron, de Prisons 53, des Aveux les plus doux (à ne pas confondre avec Georges J. Arnaud, le romancier de science-fiction, non mais !). Le temps a passé et l’on n’a jamais retrouvé les coupables ni les documents volés ; il est vrai que la piste la plus sérieuse remonte aux services secrets de Vichy. Philippe Jaennada avait au départ l’ambition d’écrire « un roman policier, un truc sanglant, de résoudre une énigme ». Il a échoué sur ce plan là mais en a ramené une sorte de livre, épatant comme l’étaient ceux qu’il avait consacrés à Bruno Sulak et Pauline Dubuisson, des cas eux aussi, comme l’auteur, qui ne dépare pas dans l’étrange galerie de personnages de La Serpe.
Avec Taba-Taba (429 pages, 20 euros, Seuil), Patrick Deville se place lui aussi au centre de l’action et les lecteurs de Pura Vida, Equatoria, Kampuchéa, Peste & Choléra, Viva ne s’en plaindront pas. Car c’est bien lui qu’ils viennent d’abord retrouver, ce nonchalant au long cours à la cigarette blasée, épris de voyages et de rencontres, de petits hôtels et de bars à la lumière faiblarde. Lui aussi dit Je, mais lui non plus sans se pousser du col, sans la ramener, ménageant des effets de réel pour mieux raconter la vie des gens. Sa quête, âpre, touffue, d’une richesse parfois étourdissante, est truffée d’histoires, de lettres, de souvenirs de lecture, de paysages, d’adresses, de maisons, de rues, de villes, surtout de villes, car il les aime et de toutes tailles. Ce qui donne une forte densité urbaine à son récit et l’inscrit dès l’entame dans l’épaisseur de l’Histoire, en bordure de Loire, dans les années 60.
Il part d’un Lazaret et de chez les fous, près de l’embarcadère de Mindin pour Saint-Nazaire, pour dérouler un ruban qui nous amènera à peu près partout, de Saint-Brévin-l’Océan à Managua, au cœur de l’Afrique sur les traces de l’infernal colonne Voulet-Chanoine et au bar de l’hôtel Lutetia à Paris, accoudé à la camionnette de la Friterie Jacqueline du côté de Sedan et dans la zone de Longuyon parmi une famille qui en est à sa troisième génération de chômeurs, parfois pour des retrouvailles avec ses héros des livres d’avant, comme quoi on ne se débarrasse jamais de ses fantômes (pareil pour Jeanada). Il recherche quelqu’un mais c’est lui qu’il finit pas trouver, et jamais loin de lui une présence amoureuse évoquée par une infinie délicatesse.
Comme Javier Cercas et Antonio Munoz Molina dans Comme l’ombre qui s’en va (2016), Jaenada et Deville donnent à voir la texture du réel en nous embarquant dans leur enquête, dans l’atelier de l’artiste, au cœur de son incertain bricolage. On se laisse faire car, à les suivre de livre en livre, on se sent désormais membre de leurs familles de papier au titre de simple lecteur. Ce qui crée une forme d’intimité. En éclatant les formes traditionnelles du récit par la fragmentation des genres et leur hybridation, ils accordent la vieille naïveté de la narration romanesque à la forme labyrinthique de toute enquête, ainsi que le suggérait Robert Musil. Mais comment l’appeler désormais ce genre que le quotidien madrilène El Pais consacre comme un mouvement de « la transparence littéraire » ?
Agnès Delage, maitre de conférences à Aix-Marseille qui travaille sur ce phénomène, préfère parler de « roman historien ». Il y a un demi-siècle, Capote appelait cela « un roman de non-fiction » et l’on n’oubliera pas que le titre de son grand livre était complété par « récit véridique d’un meurtre multiple et de ses conséquences ». Pour Javier Cercas, il s’agit de « roman sans fiction ». Pourtant, l’enquêteur Modiano dans sa quête de Dora Bruder n’en est pas car il entretient un rapport trop onirique avec l’Histoire. Outre qu’il agit sur l’action en personnage principal, le romancier sans fiction, lui, en sus des pures jouissances littéraires qu’il nous procure, fait aussi œuvre de contre-historien, excusez du peu.
(« Kafka. Une biographie. Basé sur des faits réels » illustration D.R. ; photos Passou)
691 Réponses pour Le triomphe du roman sans fiction
c’est une erreur que d’avoir mentionné le nom de Yannick Haenel : le furieux qui répond au nom de François Delpla va encore sortir de ses gonds, et nous infliger ses basses fraudes…
» il est vrai que la piste la plus sérieuse remonte aux services secrets de Vichy. »
Ouf! J’ai eu peur que l’on ne parle pas de la période de l’Occupation…
Que penser alors du dernier roman de Ian McEwan « Dans une coque de noix » dans lequel le fœtus d’Hamlet prépare et commente sa vengeance in utero… une réussite absolue
C’est une question
« En France, Emmanuel Carrère, Laurent Binet et Yannick Haenel ont témoigné par leurs livres d’un tel engagement personnel. L’accueil critique et public fut à la hauteur des ambitions du Royaume, de HHHhH et de Jan Karski. »
Mais faut-il vraiment mettre ces trois auteurs sur le même plan ? Ou sont-ils cités là dans un ordre décroissant, du talentueux Carrère au crevard Haenel ?
Le Royaume, grand roman de la foi chrétienne, a eu incontestablement beaucoup plus de succès que Jan Karski, piètre essai historique tellement romancé qu’il a fait polémique. Au lecteur de juger !
« si l’auteur et le narrateur se confondent à ce point, c’est que l’économie du récit, le point de vue, le parti pris l’exigent afin de rendre un son différent et de provoquer d’autres émotions chez le lecteur. »
C’est très intéressant. Pas saisi la nuance entre auto-fiction et le fait de romancer sa vie, mais elle doit exister. D’abord sur la durée.
Quel était le dernier roman chroniqué où dans une enquête le narrateur nous fait part de chaque avancée ?
Pourquoi ?
C’est parce que dans le pot-au-feu, « Passou » met des morceaux de choix- bravo et merci Manu- et des navets…
» Ils ont en commun de participer d’un genre qui convoque, cannibalise et absorbe à son profit le meilleur des autres genres : le roman traditionnel, le récit littéraire, la chronique au cœur de l’essai, l’enquête historique, les techniques du scénario, l’art du portrait, l’interview et l’investigation journalistiques… »
Cher Passou, qu’est-ce qui vous permet de dire « le meilleur » des autres genres et pas « le pire » des autres genres?
… Ou l’art d’enrober dans une recherche de genre à classer quelque part, deux nouveaux romans accrochés à la liste des Goncourt 17-18. D’un côté, un Jaennada (écorché à plusieurs reprises Jeanada ; Jaenada – signe indiscutable que le juré ne votera pas pour lui. Mais à quoi s’en tenir au juste ?) ; d’un autre, un Deville… On nous explique que les deux s’inscrivent dans l’orbite d’une tendance hispanique prisée, dite de la « transparence littéraire ». Ou pour encore mieux savamment cataloguer avec des glorieux ancêtres, dans le « roman historien », le « roman de la non fiction », ou le « roman sans fiction »… Por ma part, j’aurais plutôt baptiser le genre de « transpiration littéraire », l’ego suintant des auteurs en question devant immanquablement s’extérioriser et devancer l’histoire secondaire du fait divers ou des réminiscences voyageuses, simples prétextes. Je m’étonne que le maître du genre, Leonardo Padura, plus fort encore que Javier Cercas n’ait jamais été convoqué à ce titre, à sa place je serais vexé.
Donc, voilà sept comptes rendus de faits : il en reste dix à faire avant le 1er novembre. Bravo la rdl, on est dans les temps impartis, le plan est respecté !
(Je signale que VD a déjà tout lu et a établi son palmarès ; en revanche, P-ES est très en retard, va devoir mettre les bouchées doub’).
J’ai trouvé fort intéressant le débat sur la sédation profonde. On y est allé un peu fort de kafé à taper sur les prises de position très honorables de r.
Quant à l’autre insupportable robinson, je lui souhaite bonne chance au moment de « partir » définitivement avec la piquouze adéquate que je veux bien lui administrer, si personne n’ose se dévouer.
On ne parle plus d’exofiction, Passou ?
« J’ai trouvé fort intéressant le débat sur la sédation profonde. »
C’est le genre de débat qui rend tout le monde sage et circonspect. Tout le monde fait un effort pour dire quelque chose de sensé, car qui peut dire qu’il ne sera jamais concerné ? C’est un sujet universel. Autant l’on peut s’écharper sur les romans qui paraissent à la rentrée, sur le Goncourt, etc., autant ce débat sur la sédation ultime intime la modération du jugement. Le témoignage actuel d’Anne Bert a pour cette raison une dimension essentielle, en attendant la parution de son livre.
« Même si c’est le réel que je romance, il est indéniable que je romance »
Toussaint me plaisait davantage quand il « romançait » moins, du temps de La Salle de bain et de l’Appareil-photo. Désormais, il « romance », ou croit « romancer », c’est-à-dire qu’il fait de jolies phrases, et c’est tout. Mais n’est pas Flaubert qui veut ! Ses récentes tentatives de « romans » m’ont bien déçu, cette série d’histoires sur Marie, une héroïne dont on se fout complètement. Peut-être y aura-t-il un jour un Toussaint troisième manière, et je le souhaite pour voir cet écrivain, jadis doué, sortir de l’asphyxie littéraire dans laquelle il se complaît depuis des années.
Don Quichotte, un roman sans fiction ?
Cher Passou, qu’est-ce qui vous permet de dire « le meilleur » des autres genres et pas « le pire » des autres genres?
c’est comme le blouz et djoni et le cancer à que le mieux c’est l’henmi du bien cloclo..
Don Quichotte, un roman sans fiction ?
..lassouline y te casse les bras d’un moulin tous les matin à jeun..et pfédro y a pfu d’dents..fé fertain
Autant l’on peut s’écharper sur les romans qui paraissent à la rentrée, sur le Goncourt, etc., autant ce débat sur la sédation ultime intime la modération du jugement
t’es nul en romance dlalourde..
C’est parce que dans le pot-au-feu, « Passou » met des morceaux de choix
mais non tête de noeud de tarzoune..hon met diphérents morceaux pour le mieux..dla synergie gustative pour un bien
diphérent bas morceaux..par exempe faut mette dla rate..morceau qutu manges pas et qu’est dure a trouver même chez un tripier
En tout cas, ces romans de la rentrée, quelle cuisine !
« Dans une coque de noix » dans lequel le fœtus d’Hamlet prépare et commente sa vengeance in utero… une réussite absolue
celle du cochon dans son pot d’rillette et ben c’est foiré bordeau..ce monde est dégueulace épicétou
ces romans de la rentrée, quelle cuisine !
le bouillon dlangue ça peut ête lmeilleur comme le pire baroz..pourtant c’est pas dur..faut 3 heure mini de cuisson
Critique littéraire, c’est un métier de chef, le boug !
Tu crois que Passou il a la toque et le tablier ?
3 heures tu l’hépluches..tu mets tes légumes..tu remets la langue..3/4 heure hencore..et c’est bono
et hencore on peut héchlonner l’himmersion..le but phinal c’est langue fondante et légumes un peu al denté..
15 heures 25, bouguereau ou le réveil de la taupe
Tu crois que Passou il a la toque et le tablier ?
..si t’as le cul nu t’y fais toujours ton pti effet
15 heures 25
fandechichourle..déjà
…
…roman, roman, de non-fiction,…mon œil,!…
…
…Oui,!…des dispositions à l’histoire, pour donner de l’imagination, aux imposteurs,administrateurs d’états,!…pour se faire, des mores, pour profiter des peuples, et leurs faire avaler, des couleuvres,…
…
…je me souvient, de certaines années d’été, chauds, quels dispositifs, pour sauver, » les vieux » de mourir sécher, agonisants, dans leurs lits d’hôpital,…
…avec la complicité carabistouille, de complicités du corps médical,…
…
…faire crever du vieux, déjà des pensions à ne plus payer,…et leurs familles en déshérences, sans conseils, ni soutiens,…
…
…abec, les priorités, de vendre, les maisons du vieux, par ses enfants pour l’état, à relouer, à ses enfants du vieux,…ou de la vielle,…
…
…les états, de voleurs infinitésimaux,…
…des bandits, hors-pairs,!…
…
…des suggestions, pour les Céline en manque, pour d’autres morts à crédits, insoumis,!…aux collaborations, et autres lèche-culs, diligenter,…
…
…les états pervers, du chiffres, des » enfers « ,…
…s(il y a des assassinats des chefs d’états, tant mieux, bien fait pour eux, de leurs voracité d’argent,…
…qu’on, leurs ingurgitent dans la gorge, leur argent, et leurs or,…fondus,!…
…et à leurs camoristes aussi, et que çà saute,!…nom de Dieu,…
…
…quoi, d’autres, faire la différence, entre honnêtes riches, et acquisitions, et,le contraire, inventeurs de compilations, pour voler, outrancièrement, ses sujets, et peuples,…sans commerces équitables, déjà, par exemple,…
…sans parler, d’une justice, invitée à se la ramener,…Ollé,!…Ollé,!…etc,…
…
…des incorruptibles objectifs, ou çà,!…
…tient, voilà du boudin,…of course,!…
…
Bord d’eau ? Mais c’est pas des de la Sarthe, Bouguereau, t’as rien compris.
Fillon i se les mettait sous les bras à l’université d’été. Je sais, ça et hamlet en foetus c’est passablement degue.lasse.
Même les écrivains, des artistes éminents, des poètes émouvants, ont besoin de tiroir où l’étiquette indique clairement : « Prière de déposer ici, triomphalement, votre roman sans fiction » ….
…
…trop, heureux, de vous lire, tous,!…
…
…que la paix, soit avec vous, mes frêres,!…Oui,!…c’est çà,!…
…
…aux confins de toutes les pensées,…les liens en strates observés, des coutumes, comme les banques » suisses « ,toutes ou presque aux mains d’étrangers-privés,…
…ou en sont, nos banques nationales,!…
…des cache-cache, trop publiques,…etc,!…
…
…heureux, sur tout,!…et rester très privé,!…à quel sens, ce privé,…tout est châteaux, même, sans fiefs, sous la main,!…
…of course,!…
…je vais finir, par croire, que je suis plus anglais, qu »autre choses,!…
…enfin, laissons courir, son, A.D.N.,…
…aux infinis amalgames retords en cours,!…Ah,!Ah,!…
…veni, vidi, vinci,!…pas du tout,…faite à vos guises, tout et n’importe quoi,!…
…
…tout bénéfices, pour se ramener, de ses extrêmes sollicitudes, avec rien,…
…bon pieds, bon vents, les ballons,…
…
le tiroir à JC ? : rempli d’andouilles, tout plein
A partir de maintenant, tous les jours, je vais lancer ici un SOS pour le retour de Sergio.
C quand même incroyab’ que les meilleurs disparaissent ainsi de la circumnavigation sans crier gare.
à JJJ : please, prévenez-nous pour JC quand il change de charcuterie
Pas compris à quel musulman s’adresse le tweet. Si ça continue, il va falloir privatiser les cantines et resto U. Ah, c’est déjà le cas ?. Alors de quoi il se plaint Simon de Gaza ?
Aucune idée, je vais réfléchir à la question.
Bon week end
« Les Espagnols s’en sont récemment emparé au point de lui donner ses lettres de noblesse. »
on s’en souvient pertinemment. De là à parler de Noblesse, faudrait pas exagérer non plus. On oubliera le Goncourt 2014. Quelle misère.
Et puis quoi, il n’y a que chez les cryptos de paris germano-pratin, que le genre auto-biographie oui, auto, c’est à dire pas écrite par un autre, est honni ?
Parce que les écrivains français falsifient ? ou proustisent ?
Allons, au hasard, je vais me souvenir d’un bel aviateur et pas du dernier toc espagnol du moment.
Qui n’a jamais parlé que de sa vie- et quelle !- dans ses livres. Il se prénomme James. James Salter.
je vais lancer ici un SOS pour le retour de Sergio
dsur qui il a copié djimi
https://www.youtube.com/watch?v=UVLUFl6WO6E
Je peux participer ? https://youtu.be/p6gKe9Fr2ok
J’espère qu’il n’est rien arrivé de « définitif » à Sergio.
Dans tous les autres cas, un gars qui ne rentre pas à la base, n’est pas forcément une mauvaise chose, bien au contraire…
C’est pas le gars qu’avait une pétrolette ? https://youtu.be/ppVme3utQys
C’est sympa St Germain, ca fait 15 plombes que je n’y suis pas allé, j’v’ais aller y faire un tour j’vous raconterai https://youtu.be/yRpKKBmeqV4
le président des français, toujours insultant, et pas que pour les 75 % d’électeurs qui lui ont dit non, c’est un peu le hors-sol, qui de Grèce cause aux fainéants. Lui, le parfait roitelet fait néant.
http://www.liberation.fr/politiques/2017/09/08/en-grece-macron-affirme-sa-determination-a-reformer-malgre-les-faineants_1594993
Promis-juré, 17.58, quand j’aurais piqué JC (à la demande de ses proches et/ou de la clameur publique totalement unifiée de la rdl), je vous annexerai fissa mon rapport légiste pour la date du permis d’inhumer.
Il y a une grande différence, 19.20, entre la disparition de Sergio et celle de GWG (pas rentrés à la base depuis quelque temps). Par rapport aux conséquences probab’, je suis inquiet pour le premier et soulagé pour le deuxième qui avait emporté Heidegger et pas de mobylette. Hyper rationnel, non ?
@Hyper rationnel, non ?
Je ne sais pas. Téléphoner aux keufs ?
http://www.police.public.lu/fr/publications/personnes-disparues/depl-personnedisparue-FR.pdf
Tous comptes faits, je ne l’ai pas dit, mais cet été j’ai trouvé très décevant « Entre eux » le roman de Richard Ford (POL). J’ai mis longtemps avant de m’en convaincre, mais maintenant, je le dis tout net aux spécialistes de la rdl. Ecrire sur son père et sa mère deux textes à quarante ans de distance et les abouter n’a pas produit l’étincelle que l’on aurait été en droit d’escompter. Plus ça va, plus je fais l’expérience de la déception vis à vis de celzéceux qui furent des révélations foudroyantes, une fois (au Canada). Très rares sont les 2e fois. Regardez Besson, par ex., il s’enfonce chaque jour davantage dans la daube céleste. Un moment d’adulation macronisé avant la chute inévitab’ du roitelet fainéant(bien vu),… tel un vieil éjac.ulat d’histoire-fiction trop précoce, épices et tout.
19.54 c déjà fait, tu penses bien, avec mon job !
à 20 h 07 min
Sérieux, pour une fois, ce serait un peu dommage que ce ne soit pas vrai.
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Ou alors, c’est ambiance Minuit.
C’est quelque chose qui arrive comme ça. » L’incident »…
A ce propos. Minuit.
Je pense aussi que peut-être, je dis bien peut-être, l’histoire de J-Ph Toussaint et Marie, soit une histoire qui maintenant arrive au stade du trop, c’est trop. C’était bien, la fin du précédent. Elle avait une robe parfaite…
Le Japon c’était bien. Cette histoire chinoise m’emballe moins.
Petite erreur de com’ du président des français selon son entourage, comme le précise Libé:
« A Athènes, face aux commentaires, les proches de Macron ont tenté de rectifier le tir. L’interprétation de la phrase «n’était plus libre», elle visait les dirigeants qui ont «oublié de réformer» lors des précédents quinquennats. Une dédicace à François Hollande et Nicolas Sarkozy. Pas sûr que cela suffise. »
Le titre est bien trouvé aussi : l’ennemi de macron c’est la fainéance.
Mais pas les financiers.
T’as lu la rubrique nécrologique de l’Est Républicain de ces dernières semaines (l’édition de Nancy), JJJ ?
Roman sans fiction, ou moyen astucieux de proposer au public une bio romancée? Genre à part et noble, ou impuissance à imaginer? Ascèse de l’écrivain annexant des documents non réécrits, ou calcul pour susciter querelles, polémiques, etc? J’aime mieux penser que le genre poursuit sa route hors des catégories à la mode, qui tiennent aujourd’hui lieu de science du beau, et visent, allez savoir pourquoi, un public professoral. (Déclaration de Michon sans ambages là dessus) On a le reflet de la culture qu’on mérite, celle des aréopages académiques et de celles et ceux qui y postulent. Caricatures de caricatures… Ce n’est pas une raison pour mobiliser Don Quichotte, et il y a du chemin à faire avant que Doubrovsky et consorts ne deviennent de nouveaux Cervantès. Ce dernier, d’ailleurs, n’écrivait ce me semble ni pour le Goncourt, ni pour l’Interallié .Il faut savoir raison garder.
« l’ennemi de macron c’est la fainéance.
Mais pas les financiers. »
Et moi, qui vient de proposer à mon éditrice un « Goût de la paresse », Ô Sublime LVDLB ! Silence radio, depuis d’icelle. Va falloir réattaquer ! C’est un acte de résistance…
« Petit Rappel »
C’est bien envoyé dans les dents à Passou, fais gaffe !
bas rosis et son goût du cimetière, pénible.
« Amanda Lear (ou parfois en anglais : Amanda Lir) née Tapp, est une chanteuse, actrice et animatrice de télévision française, également artiste peintre. Selon plusieurs sources divergentes, elle serait née en 1939, 1941, 1946 ou 1947 (voire 1950) à Saïgon, Hong Kong ou Hanoï. »
Elle a donné 1950 elle-même…Mort de rire.
Quant à savoir si elle est née femme ou pas, les versions divergent.
On comprend que Dali ait pu être fasciné par un tel personnage.
« Regardez Besson, par ex., »
Précise « Philippe » JJJ. Patrick est infiniment plus talentueux.
« «Je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes», s’est-il exclamé………………………………………………………………………….
Les fainéants ? Invité à préciser la cible de cette énigmatique attaque, l’entourage du chef de l’Etat botte en touche : «L’interprétation est libre.» On ne peut donc pas tout à fait exclure que ceux qui s’apprêtent à manifester mardi contre les ordonnances à l’appel de la CGT aient quelques raisons de se sentir visés. »
Toujours sympa, le Macrounet…
«Je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes»
–> ça tombe mal, eux non plus n’ont pas l’intention de céder.
TOUS EN GREVE les 12 et 23 octobre !!
A seulement + 4 mois, Macron est complètement grillé, comme une sardine racornie. Même les chats grecs n’en veulent pas.
20.58 Je passe ma vie sur ce lien, Jazzman, mais aucune trace de michel al.ba, encore moins de sergio.
http://www.libramemoria.com/avis/l-est-republicain/meurthe-et-moselle/?Page=6
En revanche, je sais que les CRS sont mal nourris par là bas, les keufs en ont marre qu’on les prenne pour des minots. Et pour les signalements, on leur donne pas des renseignements très précis : sergio, par exemple, veulent pas croire que c’est le marquis de Hautefort…, etc. Et toi, t’es sur une piste ?
« Précise « Philippe » JJJ. Patrick est infiniment plus talentueux. »
Pour ma part, je n’aime aucun « Besson », quel que soit l’infâme prénom.
« Je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes. »
Ce gros enflé de Macron qui dit ça, alors qu’il faut au contraire ABOLIR le travail. Il n’a rien compris au monde des hommes. Les Français l’ont-ils élu pour ça, même ceux qui ont voté pour lui ? Non. Français imprévoyants, vous allez connaître votre douleur…
« aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes »
L’abolition légale du travail est une mesure sage, modérée, dont les défenseurs se trouvent à l’extrême centre de l’échiquier des idées. C’est une mesure pacifique, qui existe pour le bien de l’humanité toute entière. Elle vise à mettre à égalité véritable tous les hommes, et à apporter à chacun la vraie richesse spirituelle de toute vie. C’est une nécessité qui, une fois établie, apportera des bienfaits pour mille ans.
La quille :
Dali est le pygmalion d’Amanda Lear : une poupée à la mesure de ses fantasmes…
22h16 il aurait dû adapter son langage à sa pensée politique et au décor, l’Acropole, tout de même.
wiki: C’est sur l’Acropole d’Athènes, pendant le règne de Cécrops, que le mythe situe l’affrontement entre Athéna et Poséïdon pour le contrôle de l’Attique. Poséïdon d’un coup de trident fit jaillir une source d’eau salée ; Athéna offrit un olivier. C’est cette dernière qui l’emporta.
N’était-il pas d’usage pour le président de la République de na pas parler de politique intérieure à l’étranger ? Là aussi Macron pratique le dégagisme !
…
…que sera, le prochain, » James Bond,!…
…
….il y a tellement de choix,!…ou un autre choix, de scénarios,!…être, partout à la fois,…à quelques heures d’intervalle,!…
…
…façon, Superman,…plusieurs copies conformes, envoyez, et retour à la base,!…
…comme des tracts pollueurs d’esprits seins ou sales, a nous vendre, une nouvelle Amérique, pour les Nuls, façon,…Prix Nobel,!…de la guitare, ménestrel,!…à bas de soie,!…etc,…
…( fou rire,…),…etc,…le crypte à points,!…Ah,!…Ah,!…surdimensionné,…
…les légendes atomiques du diamant, par exemple,!…etc,…
…sciences fictions,…
Chesnel, beaucoup moins de CD que vous mais j’aimerais autant de vinyles; j’y entends les mêmes différences qu’au cinéma entre le 35 mm et le numérique, est-ce une illusion ?
« Caricatures de caricatures… » à 21 h 01 min.
En vérité je vous le dit :
Fumée de fumée, tout est fumée.
Le Qohélet.
A une époque où le réseau culturel français à l’étranger « célèbre » mai 68 (si, si, sic), en reprenant un de ses slogans phares, « L’imagination au pouvoir », il est assez poilant de constater que beaucoup de se qui s’écrit manque un peu, beaucoup, à la folie, d’imagination. Au moins cette volonté de s’ancrer dans le réel est-elle revendiquée.
La fiction « pure » (au hasard, Gatsby, La trilogie new yorkaise, Kafka etc.) semble être passée de mode. L’imagination est tout sauf « au pouvoir ».
» Ce qu’on traduit habituellement par « vanité » est le mot hébreu hevel. Au sens premier, hevel décrit la buée ou la vapeur. Mais on utilise aussi ce mot de façon métaphorique pour parler de ce qui est éphémère. Donc, selon le verset cité, pour Qohélet tout est éphémère. Au long de son livre, il va spécifier les raisons pour lesquelles il affirme que toutes les expériences humaines sont éphémères. »
https://www.levangile.com/Comparateur-Multi-Bible.php?Livre=21&Chapitre=1&Verset=2
J’espère de tout cœur que la Police Politique de notre cher gauleiter Bébé Macron va arrêter Delaporte 22h16 pour fainéantise, lui qui veut supprimer le travail….
…et que la Milice des Mœurs de la Mosquée de Paris va neutraliser JJJ, le vétérinaire fou de 19h47 qui veut piquer le meilleur animal domestique qui soit : votre serviteur !
Le lucide Qohélet dans la Bible, le sage de l’Orient qui nous dit aussi :
« Oui, je déteste la vie ; je trouve mauvais ce qui se fait sous le soleil : tout n’est que vanité et poursuite de vent.
Je déteste tout ce travail que j’accomplis sous le soleil et que je vais laisser à mon successeur.
Qui sait s’il sera sage ou insensé ? Ce sera lui le maître de tous ces travaux accomplis par ma sagesse sous le soleil. Cela aussi n’est que vanité !
J’ai fini par me dégoûter de toute la peine que je m’étais donnée sous le soleil.
Un homme s’est donné de la peine ; il est avisé, il s’y connaissait, il a réussi. Et voilà qu’il doit laisser son bien à quelqu’un qui ne s’est donné aucune peine. Cela aussi n’est que vanité, c’est un grand mal !
En effet, que reste-t-il à l’homme de toute la peine et de tous les calculs pour lesquels il se fatigue sous le soleil ? »
Qohélet est un des plus beaux livres de la Bible, que Renan avait spécialement traduit. Il exprime une idée grandiose : la souffrance du travail, son refus, son abolition. Il dit sur le travail des paroles de sagesse. Qohélet doit nous inspirer aujourd’hui. Il faut arrêter de travailler, car voilà une chose absurde et inhumaine. La vie idéale, prônée par les sages, est un sabbat perpétuel, dans lequel on prierait Dieu pour le remercier de sa bénédiction !
Ne vous laissez pas abuser par les appuis bibliques de ce fourbe de Delaporte, qui croit qu’il faut croire ces vents lourdingues !
La Bible est un tissu d’âneries, écrit par des Reinhardt d’époque…. Poubelle !
Au contraire, la Bible, c’est le livre le plus lu de tous les temps, qui reprend une tradition qui est la nôtre, qui nous constitue aujourd’hui encore (par exemple, les droits de l’homme sont issus de la Bible). Pour les croyants, la Bible c’est la Parole de Dieu qui nous est offert. Donc, ce que dit Qohélet revêt une importance extrême. Et oui, il faut arrêter de travailler, c’est l’avenir, c’est la Vérité !
NON ! NON !et NON !
Nous devons travailler, travailler et encore travailler pour améliorer sans cesse notre vie quotidienne de pauvres humains !
Là est la seule Vérité.
Cela me navre de le dire haut et fort sur un blog littéraire mais, tudieu, il faut cesser de lire et, plus particulièrement, ces best-seller bidons que sont les Livres Saints, propagande éhontée de menteurs professionnels !
Julian Assange, bon exemple de la contestation, qui dit :
« Male (non-ruling class) privileges: Suicide. Being cannon fodder. Homelessness. Educational exclusion. Killed at work. Early death. »
Il est paradoxal de vouloir bâillonner la Bible, livre qui contient les paroles des martyrs qui sont morts pour pouvoir parler. Rien ne les fera taire !
le roitelet d’un jour, a probablement oublié de mettre une majuscule à Cyniques.
« la très grande nouveauté de l’Assemblée de la Pnyx étaient pour les citoyens d’Athènes, d’être politiquement égaux et posséder un même statut politique, leur permettant de prendre la parole. D’ailleurs, le rite par lequel s’ouvraient les Assemblées était magnifique ! Un héraut se plaçait au centre de l’Assemblée, pour poser la question solennelle et rituelle: « Quelqu’un veut-il prendre la parole ? ». L’orateur qui souhaitait le faire devait alors se lever pour se rendre au centre de l’auditorium, où une couronne lui était posée sur la tête avant qu’il ne s’exprime ! Environ 6000 citoyens pouvaient être accueillis en même temps sur la Pnyx. »
-un mégalo qui se produit sur une prestigieuse scène de théâtre, et nous fait sa tragi-comédie, pourquoi se plaindre du spectacle, alors ?
-Parce que qu’on ne peut pas en demander le remboursement.
Retour de jogging, je m’insurge contre la vertu supposée de ce texte insipide et outrancier, la Bible ! Oublions ces fadaises d’un autre temps !
Innovons tous ensemble, ouais !
Transformons Saint Pierre de Rome en salle de sports, l’Esplanade de Jérusalem en courts de tennis, les abords du Cube mecquois en piste de karts !
L’humanité s’en trouvera mieux au présent, comme au futur, libérée de ses chaines infâmes. Ecrasons ! Ecrasons …
Ce torchon qu’est devenu le journal Le Point, donne la parole au » meilleur » soutien du président des français. Grand écolo, véritable capitaliste à visage humain, valeureux pourfendeur du péril jaune, tant qu’il reste grec…
http://www.lepoint.fr/economie/investissements-strategiques-le-pdg-de-total-partage-l-avis-de-macron-08-09-2017-2155532_28.php
l’andouille vocifère (faut s’y faire), les gens rigolent
Laura Peudair,
Retourne sur le trottoir là d’où tu viens, par Lucifer qui t’anime …. !
A Sport and a Pastime, The Hunters, Last Night, Cassada… etc. :
Terminons par une bonne nouvelle, le Redoutable n’est pas mort.
Il vit paisiblement, au bord du lac, et prépare un film pour 2018. Une histoire sans paroles.
« Après un bref passage à la supérette, il passe au café du coin pour lire la presse française qu’il a achetée au kiosque, et achève sa tournée dans le centre par une halte chez le vendeur de cigares, avant de retourner dans sa maison les courses sous le bras… tel un citoyen lambda. »
Happy, happy.
( merci renato, c’est d’la balle)
Thirteen Ways of Looking at a Blackbird
Viavian Maier :
formidable, j’écris :andouille, JC qui s’est reconnu me répond aussitôt, les gens rigolent
Lorsque, attachée les bras en croix à un baobab géant, enduite de miel de qualité supérieure, couverte de fourmis rouges te dévorant lentement à leur rythme, tu prieras dieu, Laura, pour que ton agonie soit courte, sache que c’est moi, anonyme, qui ai payé ton voyage en Afrique et qu’il sera le dernier de ta courte vie de vioque insalubre et incontinente !
Moby Dick :
si vous n’êtes pas d’accord avec l’andouille, attention, appel au meurtre (passible de sanctions)
« un baobab géant »
Pléonasme, JC !
Donc « Hérodote » et ses six commentaires était un leurre, une sorte de billet coupe-feu… J’atterris donc sur ce nouveau billet où se mêlent une réflexion sur le roman contemporain et une présentation de deux nouveaux « livres » de la rentrée littéraire.
Je commence à lire les commentaires. Les envolées détestables de Ma.cron 1er semblent emporter la verve des commentateurs. Je descends progressivement à l’intérieur de ce puits de sagesse. Pourquoi associe-t-on JJJ au prénom Philippe ? mystère et boule de gomme !
On s’inquiète de l’absence durable de Sergio et W. comme s’il y avait un pacte d’union éternelle entre ceux qui écrivent et le net. D’une certaine façon, ces absences me font rêver. Ils se sont échappés, ont retrouvé leur liberté d’habiter le réel…
Enfin deux commentaires font écho au billet.
Je relis le début du billet (ne suis pas prête à absorber deux nouveaux auteurs – ça attendra…). Donc, Passou s’interroge sur les nouveaux romanciers, sur leur impossibilité d’être différents des narrateurs de leur roman. Comme si s’exposer par le truchement d’un pseudo roman devenait l’escale indispensable pour vivre mieux.
« Je n’est pas toujours un autre. Il arrive qu’il s’affirme clairement comme étant l’auteur et nul autre. Ainsi le pacte de lecture est-il clairement établi qui nous dispense de chercher à retirer les masques superposées sur le visage de celui qui signe de son propre nom en haut de la couverture. »
Puis, une pensée autre s’infiltre : « ils réinventent la réalité, s’autorisent à créer des histoires en ajoutant au réel l’invérifiable et l’imaginaire. »
Est-ce autant que l’on puisse écrire que ce nouveau roman « cannibalise et absorbe à son profit le meilleur des autres genres. »
Naïvement, j’ai envie de penser qu’il en a toujours été ainsi pour ce genre littéraire, non ?
Ce qui me préoccupe davantage c’est peut-être la multiplication impressionnante des parutions. Les romans de la rentrée publiés mais aussi l’auto-édition sur internet. Pour les lecteurs éventuels cela devient une course : lire vite des centaines de romans pour être dans le coup. De nature paresseuse, je préfère suivre mon petit bonhomme de chemin : quelques nouveautés choisies avec de bons guides. Ainsi deux romans ont fait mes délices : Souvenirs de la marée basse (Seuil) de Chantal Thomas (guide : Passou)- 2017 et Un beau jour de Dieter Wellershoff (Seuil) (guide : Paul Edel)-1969.
Et pour le reste, cet été, j’ai aimé relire La leçon d’allemand de S. Lenz, Au cœur des ténèbres de J. Conrad, certains romans et nouvelles de R. Musil, de Simenon et d’O. Rolin, Théâtre/Roman d’Aragon, Zeugma : Mémoire biblique et délugesde M-A. Ouaknin et du Camus, évidemment !
Bon, alors, Hérodote… DHH et M.Court m’ont fait rêver alors que je m’échappais vers les tragédies de Racine.
Bonne journée à tous.
c kan que cricri arrêtera de radoter ?
c’est pas Hérodote, c’est Hérode.
Pourquoi dit-on vieux comme Hérode ?
« Vieux comme Hérode
Très ancien, très vieux.
Origine
Cette expression s’applique principalement à des choses (« Cette maison est vieille comme Hérode »).
Elle est citée par Furetière au XVIIe siècle, mais sa date d’apparition semble inconnue.
Contrairement à Mathusalem qui, lui, vécut ‘réellement’ très vieux (969 ans, excusez du peu !), aucun des différents Hérode connus qui faisaient partie d’une dynastie de rois de Judée, n’a eu une extrême longévité.
Si le premier, Hérode Ier le Grand, a quand même vécu 69 ans, ce qui pour l’époque était une durée de vie rare, ce n’était quand même pas suffisant pour qu’il marque les siècles de cette manière.
Alors, soit c’est le cumul des règnes des 6 Hérode, qui se sont succédé de 73 avant J.C. jusqu’en l’an 93, qui a marqué les esprits au point de donner naissance à notre locution, soit il faut simplement la comprendre comme « assez vieux pour remonter au temps d’Hérode ».
Parmi les plus connus de ces souverains, on trouve donc Hérode Ier le Grand (Lien externe), qui, selon les Evangiles, fut l’instigateur du massacre des Innocents et Hérode Antipas (Lien externe), un de ses fils qui, d’après la même source, fit mourir Jean-Baptiste.
Compléments
Une déformation populaire de cette expression est apparue au XXe siècle : « Vieux comme mes robes », probablement utilisée pour désigner des choses vieilles dont on se moquait comme de sa première chemise. »
Oups ! Hérode. C’est que j’étais sur l’excellent site « Herodote.fr » pour rencontrer Hérode !(Sophie Laurant, chef de rubrique (Le Monde de la Bible)
Jazzi,
M.Hadas-Lebel suggère la même réflexion (fin de l’entretien) :
http://larchemag.fr/2017/07/03/3280/les-deux-visages-dherode/
« Pléonasme, JC ! » (JiBé)
Sois poli avec tes supérieurs, crapulet !…
Cher Emmanuel,
Manu, salut,
J’ai une très grande faveur à vous demander.
Puisqu’il est avantageux d’avoir où aller, et que Pnyx est une destination de rêve, c’est de lui arranger le portrait, mais bien comme il faut, avec références historiques, archéologiques, au pokémon qui nous sert de président.
Une amie de Londres, pour l’opération secrète » Nancy a le torticolis »
pourquoi dit on aussi « vieux comme mes robes ?
Pour que JC t’en achète de neuves, Laura, ou te taille un nouveau costume, peut-être ?
En quoi m’es-tu « supérieur », JC ? En taille, âge, intelligence, surface financière, bêtise ?
Je te suis supérieur en modestie, en humilité, en délicatesse, en courtoisie, en pudeur, en détachement, en réserve, en distinction, en finesse, en jugement, JiBé !
Boordel, fais pas l’innocent : tu t’en doutais, hein ?
Le baobab est le plus grand des arbres et JC des humains !
Etrange, la silhouette du chat sur la deuxième illustration (photo Passou) Basée sur la réalité ou est-ce dû à l’imagination du photographe ?
10 h 05 : en charcuterie aussi !
…quid du séquoia géant (80m)… ?
N’oubliez pas que lors de la désignation par le Comité Nobel de l’Andouil Nobel Prize 2017, j’ai largement battu des spécialistes confirmés comme KIM le Gros Porcelet Rouge et ERDOGAN le Sultan Taré d’Istamboul…
Mais que ceci ne nous éloigne pas du sujet inepte de ce merveilleux billet passoulinien !
Une histoire de chats parisiens, sans fiction !
http://www.leparisien.fr/paris-75014/paris-elle-sequestrait-130-chats-dans-son-studio-de-25-m2-07-09-2017-7243149.php
« Pourquoi associe-t-on JJJ au prénom Philippe ? mystère et boule de gomme ! »
Christiane, ce n’est pas compliqué: JJJ a cité un Besson écrivain sans préciser le prénom. Or il y a le nul, courtisan de Macron qui se prénomme Philippe et le bon, qui a un certain talent, qui se prénomme Patrick.
C’est tout simple. Il suffit de suivre…
Il y a aussi le Besson cinéaste : Luc !
heureusement que le cinéma a aussi son Bresson, un air différent.
Suite de la petite musique des « Pays »… « Nos vies » évoque Jeanne Santoire, récente retraitée de l’EN exilée à Paris, la petite dernière d’une famille nombreuse estraite d’une France profonde ‘enroutinée’, des épiciers du Cantal vaguement jaloux et racistes de « n’avoir rien » sur leur toile cirée, alors que la petite Jeanne, bonne aux études, voulut partir faire sa vie d’incroyante avec un « Arabe » dans la capitale. Fascinée par les superbes seins de Gordana, une caissière novice de Franprix à la patte folle, Marie-Hélène Jeanne orchestre en de saisissants contraste « les ailleurs » d’aujourd’hui à ceux d’hier. Son point de vue est celui du déchirement de l’intellectuelle déracinée qui observe les autres avec une extrême aptitude à l’empathie, sans jamais vouloir épuiser la part du mystère qu’elle tente de déflorer de leur nature intime. Elle ne dispose, pour nous montrer son amour, que cette heureuse aptitude à mettre son talent d’écrivaine (illégitime ?) à coudre leurs propres mots en images évocatrices et attachantes, en restant toujours au ras de la condition de ses « gens de peu » qui nous émeuvent tant. Où qu’ils se trouvent dans son entourage immédiat ou dans sa mémoire, elle les observe en silence et les prie d’exister dans l’insignifiance de leur vérité quotidienne. Et le tour de force de sa prose est bien de nous suggérer mezza-voce de quoi est fait le maillage de « nos vies », celles dont chaque lecteur peut dénouer les fils invisibles de la sienne en s’identifiant à Jeanne… qui, dans la queue d’un supermarché avec Horacio Fortunato, qui à la vue d’un exhibitionniste musicien, qui dans la banale église désertée d’une banlieue pour y prendre le frais dans un soudain besoin de silence, qui dans une chorale d’amateurs de musique sacrée, qui en faisant la connaissance du fils de la voisine décédée, qui en s’accrochant à l’énigmatique sentence de Paul Ubac (sur le plateau de lgl) : « à cinquante ans, le corps dévisse ». M. Hélène-Jeanne, c’est la mémoire ressuscitée à Paris du monde rural englouti des années 50-60, deux générations avant celle qui s’agite aujourd’hui dans les mondes violents en perdition de Vernon Subutex. Et l’on ne cesse d’être rattrapé par ce fantasme propre à la pas.soulienne RDL : qu’est-ce que Virginie D. peut bien penser de l’univers devenu sociologiquement « in-signifiant » de Marie-Hélène L. ? Pourrait-elle néanmoins lui accorder son bulletin de vote ? Et je pense pour ma part que ça l’honorerait, car il est grand temps de comprendre que Marie-Hélène mérite son prix. De toute façon, le plus important est d’avoir passé une très belle nuit en sa compagnie, c’est ce que je vous souhaite, vous ne serez pas déçu-es.
BJ à toussent. Aujourd’hui, cela fait exactement 50 jours que Sergio a disparu, le 20 juillet dernier précisément.
@10.23 et 10.45
… et le monde sportif, sa Colette
… et le monde politique, son Eric…
Et voici le dernier message énigmatique de Sergio sur son blog, à ne pas prendre à la légère… Il demande à être décrypté.
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Une fois à table avec les mêmes marraines, pour faire le clown en m’asseyant :
– Bon ; nous allons dire le benedicite…
– Oh oui bonne idée !
Nom de Dieu… Voilà qu’elles démarrent le truc ! Triple enfer… Impossible d’aller reprendre de l’apéro discréto ! L’a fallu hattendre la fin… Pire que Guadalcanal, quoi ! Écrit par : Sergio | 20/07/2017
« Un homme est mort dans le XXe arrondissement de Paris vendredi matin après avoir voulu escalader le mur de son immeuble pour rentrer chez lui, rapporte Le Parisien.
L’homme rentrait de soirée avec une jeune fille qu’il venait de rencontrer dans un club. Il avait oublié les clés de son appartement.
Selon les premiers témoignages, la victime alcoolisée aurait basculée au niveau du deuxième étage. Le Parisien indique que se sont des voisins qui ont donné l’alerte. Le Samu n’a pu que constater son décès à 5h20. »
Pas besoin de fiction, la réalité est assez riche de sens et de sang ….
… et sans compter Landry et Sylvinet, les deux bessons de la petite Fadette, comme allait nous le (petit) rappeler MC, notre grand spécialiste des romans champêtres de George Sand.
@ 11.39 Mais c l’histoire de Sylvain Tesson (pas Besson) que vous nous racontez là !… Il l’a déjà lui-même romancée, qu’est-ce que vous croyez, gros fainéant inculte ! Les romans sont bien plus intéressants que vos faits divers qui ne sont que des remakes romanesques, et nos nuits sont plus belles que vos jours. Encore faut-il lire des romans plutôt que de galoper tous les matins en aube de première communion, pour différer la mort qui rôde auprès de vous.
Il y a eu sur FC une passionnante émission des chemins de la philosophie consacré à L’Ecclésiaste (un excellent Denis Moreau, une Adèle VR inspirée, des lectures magistrales et les Byrds au top of the pops).
Ci-dessous le texte du dernier chapitre du Qohelet dans la version autorisée du roi Jaques I (1611).
Qoh.12
[1] Remember now thy Creator in the days of thy youth, while the evil days come not, nor the years draw nigh, when thou shalt say, I have no pleasure in them;
[2] While the sun, or the light, or the moon, or the stars, be not darkened, nor the clouds return after the rain:
[3] In the day when the keepers of the house shall tremble, and the strong men shall bow themselves, and the grinders cease because they are few, and those that look out of the windows be darkened,
[4] And the doors shall be shut in the streets, when the sound of the grinding is low, and he shall rise up at the voice of the bird, and all the daughters of musick shall be brought low;
[5] Also when they shall be afraid of that which is high, and fears shall be in the way, and the almond tree shall flourish, and the grasshopper shall be a burden, and desire shall fail: because man goeth to his long home, and the mourners go about the streets:
[6] Or ever the silver cord be loosed, or the golden bowl be broken, or the pitcher be broken at the fountain, or the wheel broken at the cistern.
[7] Then shall the dust return to the earth as it was: and the spirit shall return unto God who gave it.
[8] Vanity of vanities, saith the preacher; all is vanity.
[9] And moreover, because the preacher was wise, he still taught the people knowledge; yea, he gave good heed, and sought out, and set in order many proverbs.
[10] The preacher sought to find out acceptable words: and that which was written was upright, even words of truth.
[11] The words of the wise are as goads, and as nails fastened by the masters of assemblies, which are given from one shepherd.
[12] And further, by these, my son, be admonished: of making many books there is no end; and much study is a weariness of the flesh.
[13] Let us hear the conclusion of the whole matter: Fear God, and keep his commandments: for this is the whole duty of man.
[14] For God shall bring every work into judgment, with every secret thing, whether it be good, or whether it be evil.
et « la fiction du poitique »?
https://blogs.mediapart.fr/pierre-adrien-marciset/blog/081216/la-fiction-du-politique
Je suis en train d’écrire mon huitième roman !
Son titre ?
« Moi, Gigi !
ou
une vie de con »
Passou m’a promis le Goncourt. Question de financement en Switzerland, selon Drouant, cette vraie langue de prute.
Bloomie le Froggie, vous pouvez laisser tomber cette langue non européenne ?
Vous apparaissez comme un traitre à votre pays natal, coquinou ! Cela peut nuire à votre carrière, déjà critiquée au sein du Quai.
Quittons nous sur un vœu, doublé :
– relâchez, ô puissances occultes, notre Wiwi lubrique en mission de l’autre côté du rideau de bienséance priapique ! …
– allez chercher, ô maitres de nos destinées, Serguei le Sergio, là où il est, et ramenez le au jour, fissa !….
Machine à fantasme http://forum.hardware.fr/hfr/VideoSon/HiFi-HomeCinema/resultats-comparatif-vinyle-sujet_87812_1.htm
« Une fois à table avec les mêmes marraines »
Un bon chrétien n’a qu’une marraine, JJJ !
« Et voici le dernier message énigmatique de Sergio sur son blog, à ne pas prendre à la légère… Il demande à être décrypté. »
Il s’est converti à l’Islam et est peut-être parti en Syrie ?
Je me demande ce qu’en aurait pensé tonton « Écrivain, je n’aurais pas été un écrivain d’imagination. J’observe. J’écris. J’aime ce qui est écrit. La langue, la philologie, la grammaire. La vraie littérature naît, je le crois – je l’ai déjà noté – de l’exactitude du mot et de la chose. Je préfère celui qui sait dire exactement ce qu’il a vu et ressenti à celui qui vaticine en forçant sur ses impressions. À quoi cela tient-il ? Élevé dans la culture classique où la composition française et la récitation latine ordonnaient le nombre et la phrase, cela a structuré mon langage. Trop parfois : j’ai conscience qu’il faut briser le moule. Ceux qui brisent annoncent ceux qui créent… «
est ce que l évangile selon Luc c est du paroxysme documentaire ou de l auto fiction?
La narration d’un simple fait divers, Paul !
Un géologue israélien affirme que Jésus avait un fils (lefigaro)
« est ce que l évangile selon Luc c est du paroxysme documentaire ou de l auto fiction? »
Pourquoi vouloir limiter un grand texte de la tradition qui, sur le plan littéraire, est inépuisable ? Plusieurs lectures sont possibles, toutes enrichissantes. Quand le pape arrive en Colombie, que fait-il ? Il cite les évangiles, dont Luc. Voilà la puissance incomparable de ces textes.
« Quand le pape arrive en Colombie, que fait-il ? »
Son cirque habituel
Ajoutons que Luc n’est pas un témoin direct de la vie de Jésus. Luc intervient après, avec saint Paul. Puis il écrit, à partir de témoignages oraux et de documents, un évangile. Il écrit ensuite les Actes des Apôtres, dans lesquels il joue auprès de Paul un rôle secondaire.
« est ce que l évangile selon Luc c est du paroxysme documentaire ou de l auto fiction? »
Ce n’est pas de l’autofiction, mais la part « documentaire » s’y retrouve bel et bien. Aujourd’hui, rares sont les savants qui affirment que le Christ n’a pas existé. Seul Onfray est là pour remettre ça en doute, mais on n’est pas obligé de suivre ce philosophe athée qui met des oeillères pour rester nietzschéen. Comme si c’était obligatoire !
Ce voyage du pape en Colombie est important pour les habitants de ce pays en guerre civile. Le pape y arrive avec une parole de paix qu’il fait hautement résonner partout où il passe. C’est une date dans l’histoire de la Colombie :
Le pape François a appelé jeudi la Colombie à « fuir toute tentation de vengeance » et à chercher la paix « sans répit », lors du premier discours de sa visite dans ce pays en voie de pacification après plus d’un demi-siècle de guerre. « La recherche de la paix est un travail toujours inachevé, une tâche sans répit et qui exige l’engagement de tous », a déclaré le pape à Bogota, devant les autorités politiques et religieuses, en appelant à « fuir toute tentation de vengeance ». (Europe1)
C’est sûr qu’un géologue est particulièrement bien placé pour faire une pareille découverte. Pourquoi pas un botaniste ou un vulcanologue?
closer dit: 9 septembre 2017 à 14 h 32 min
un pape plutôt pour établir la vérité universelle, puisque c’est son job
« une parole de paix »
on y croit
@closer dit: 9 septembre 2017 à 10 h 20 min
Merci. L’absence de ponctuation, jointe à l’ignorance de ce détail du commentaire de JJJ, m’avaient induite en erreur.
La première et la dernière fois que je suis allé en Colombie, Jean-Paul II est venu en voyage officiel. Du jour au lendemain, les enfants perdus de Bogota ont disparu du centre de la capitale, parqués dans des centres périphériques ? Ou liquidés ? Il fallait absolument cacher la misère…
C’était en juillet 1986
http://www.ina.fr/video/CAC86018925
@13.01, Vous émettez une hypothèse erronée, Jazzman. Voici les derniers échanges qui précédèrent sa provocation auprès de sa marraine et de sa sœur très chrétiennes…
Christiane lui disait :
Bon, j’emporte pour le rire et le plaisir, des crocos et les voltiges sur terre battue. Pour la gravité… chez P.E., les questions du fond du lac..
Écrit par : christiane | 18/07/2017
A quoi JC ripostait :
Ah, oui ! La gravité, c’est ce qui entraine les trucs lourds au fond …..
Écrit par : JC….. 8h04 | 19/07/2017
Et notre Sergio, qui n’en ratait pas une :
L’or du Reich dans les lacs suisses !
Un jour je me suis payé un franc succès avec ce bon gros Witz auprès de ma marraine et sa soeur, d’origine suisse : elles ont quitté la baraque incontinent ! Ça m’a fait plus à bouffer le soir…
Écrit par : Sergio | 19/07/2017
Janssen, pris au jeu, récapitulait :
Avez toujours vécu dangereusement, S !…
c’était la 2e fugue helvète ? Du lourd !
Écrit par : Janssen J-J. | 20/07/2017
Sur quoi, Sergio renchérissait (pour la dernière fois sur son écran radar) :
Une fois à table avec les mêmes marraines, pour faire le clown en m’asseyant :
– Bon ; nous allons dire le benedicite…
– Oh oui bonne idée !
Nom de Dieu… Voilà qu’elles démarrent le truc ! Triple enfer… Impossible d’aller reprendre de l’apéro discréto ! L’a fallu hattendre la fin… Pire que Guadalcanal, quoi !
Écrit par : Sergio | 20/07/2017
DEPUIS…. SILENCE RADIO
Il faut essayer de nouvelles hypothèses si l’on croit que la « littérature, c’est la vie ». Et nous y croyons tous très sérieusement, ici, sans quoi nous ne serions jamais accrochés icitte.
Un départ précipité en Suisse pour s’excuser auprès de la parente ?
Une chevauchée sur le lac de Constance qui aurait mal tourné ?
Une paralysie accidentelle des mains qui l’empêcherait de répondre sur le clavier, bien qu’il lise assidument les appels aux recherches sur la rdl ?
Une fuite préméditée avec W pour aller filer le parfait amour, tels des arthur et paul (j’y crois pas trop) ?
Il faut mettre vos imaginations au concours les amis, ne pas vous rassurer en vous contentant de croire qu’il y aurait derrière cet escapisme un acte de profonde liberté émancipatoire, qu’il ne courrait le moindre danger. Le départ en Syrie ? non, pas le profil, c’est pas du tout le genre. Non, non, on rigole plus… ça craint, ast’heure.
Il est allé se faire opérer à Casablanca, comme la folle Amanda ?
@12.01. Une vie de con vaut-elle la peine d’être vécue ?… A cette profonde question, j’ai toujours répondu oui sans aucune hésitation possible, et j’en suis la preuve vivante, à mon âge bien rempli. Quant à vous, JC….., je vous laisse le soin de faire votre propre examen de conscience public à ce sujet. J’ignore vraiment ce qu’il en ressortirait et ne le saurai du reste jamais vu votre lâcheté légendaire.
Enlevé par un jaloux de sa collec de motos des années 60′ ?
A l’air alléchante, cette itw de Patrick Deville.
http://www.seuil.com/ouvrage/taba-taba-patrick-deville/9782021247466
Qui a lu Taba-Taba, à défaut d’avoir admiré sinon de s’être même souvenu de la regrettée Tabatha Cash, désormais rangée des voitures ?
https://www.reference-sexe.com/videos/tabatha-cash-dans-un-de-ses-premiers-porno-5850.html
A l’air alléchante, cette itw de Patrick Deville.
http://www.seuil.com/ouvrage/taba-taba-patrick-deville/9782021247466
Qui a lu Taba-Taba, à défaut d’avoir admiré sinon de s’être même souvenu de la regrettée Tabatha Cash, désormais rangée des voitures ?
@12.01. Une vie de con vaut-elle la peine d’être vécue ?… A cette profonde question, j’ai toujours répondu oui sans aucune hésitation possible, et j’en suis la preuve vivante, à mon âge bien rempli. Quant à….
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…entièrement d’accord. UNE.
Sergio est un lorrain barrèsien, sa ligne de fuite (à pied) est tolèdienne.
Comme nous vivons tous, par définition, une vie de con … la question « Une vie de con vaut-elle la peine d’être vécue ?… » est sans intérêt majeur pour qui n’est pas un branlottin de travesti, bon à enfiler des perles en plastique…
« votre lâcheté légendaire » (JJJ)
C’est une légende ! Je n’ai jamais hésité à taper sur une femme qui lorgnait l’andouille de trop près. Lorsqu’elles ont les ovaires en feu, elles sont intenables.
Quant à me battre contre un SDF isolé ? pas d’hésitation ! Dès qu’on est plusieurs potes costauds, je fonce comme un aïkidoka au milieu des turbulents du Dojo.
Ma copine Diane n’arrive pas à joindre Saint Martin où vivent parents et amis. Angoisse.
Un petit Petru, avant le coucher du soleil, en compagnie de Ron Mc Clure, bass.
Savez-vous quel est le point commun entre Mark Zuckerberg, Kim Kardashian et Emma Watson? Dernièrement, ils ont tous lancé leur club de lecture.
lancement d’un club de lecture sur huffpost
16.16, D., avez-vous une idée du menu de chez Drouant lors de la remise du prix à JC…, au futur jour des morts de la Toussaint ? Et vous-même, ce soir qu’allez-vous nous manger ?
J’ai lu récemment, sous la plume d’un grand romancier, l’expression dans le « sein des saints ». Une erreur fréquente parmi eux. Comment un éditeur peut-il encore supporter ça ?
-> Cette image des deux chiens barzoïs russes, Ix et Dax, sur une plage de Cuba… (p. 137), il me semble qu’elle est directement importée de L. Padura (l’homme qui aimait les chiens)
-> Qui est Pierre Ubac, au juste, Jazzman ?
-> des chansons qui parsèment le texte, comme des réminiscences communes à toute une société, https://www.youtube.com/watch?v=arL3QzNBc6A
Maintenant, je vais aux commissions.
@Ma copine Diane…
celle qu’avait les ovaires en feu ? quelle angoisse !
Il n’est pas de Nancy, Sergio?
. Le Livre sur la place de Nancy, sous la houlette de la commissaire générale Françoise Rossinot, a pour sa 39e édition
il l’invite à danser à deux mn du début, ouaip
https://www.youtube.com/watch?v=BlMS-LTKl0s
c »est traduit en russe c’est pour wdg et sergio.
chez moi, il pleut
salut à tous
SI LES VOIES DE DIEU SONT IMPENETRABLES, PAR CONTRE …
« Cette nonne italienne pensant souffrir de maux d’estomac, demande à être hospitalisée, sous le coup de violentes crampes.
La sœur Roxana R. passe alors une échographie qui révèle qu’elle est enceinte, et sur le point d’accoucher.
Installée dans un couvent à l’Est de Rome, la jeune femme de 32 ans vient tout juste de donner naissance à un petit garçon de 3 kilos et demi qu’elle a décidé de prénommer Francesco, en l’honneur du Pape François.
Sœur Roxana ne regrette pas cette grossesse, bien qu’elle reste vague sur l’identité du père de l’enfant.
Elle doit bien évidemment quitter le couvent mais elle ne regrette rien, et surtout pas « ce cadeau de Dieu », et ajoute se sentir plus « l’étoffe d’une mère que d’une religieuse ». (AFP)
Oui ! je l’ai lâchement abandonnée après lui avoir fait renoncer à la chasteté, cette connerie pour les impuissants ! Liberté chérie ….
Mais les frais de l’éducation du fruit de ses entrailles bénies, quelle bombe, seront pris en charge par mon conseil, et nous ferons de toi un homme, mon fils !
Elle doit bien évidemment quitter le couvent mais elle ne regrette rien, et surtout pas « ce cadeau de Dieu », et ajoute se sentir plus « l’étoffe d’une mère que d’une religieuse ». (AFP)
Oui, JJJ ! je l’ai lâchement abandonnée après lui avoir fait renoncer à la chasteté, cette co.nnerie pour les impuissants !
Ah ! Liberté… Liberté chérie !
Les frais de l’éducation du fruit de ses entrailles bénies, quelle bombe !, seront pris en charge partiellement* par mon conseil financier, et nous ferons de toi un homme, mon fils !
*envoyez vos dons en espèces à la Rédaction qui transmettra …
eh bé y’en a pas mal au courant sur la vie de Sergio vers Nancy. J’en savais rien. Donc, faut commencer à faire des recherches à partir de là… Cette Françoise Rossinot serait-elle une piste à investiguer ? Un lien avec l’ancien maire de Nancy peut-être ?… Et un autre avec Tolède ? c’est une hispanique jumelée à Nancy ? Put..ain, mais vous jouez à quoi les mecs ? Je suis sérieux moi, hein…
Un blog ? C’est l’agora numérique : on entre et on sort ! Un pseudo apparaît et disparaît…. So what !?
Quelqu’un reconnaitrait-il Sergio d’Amayerling sur cette récente photo ? Moi, je n’ai jamais vu son portrait, même robot. Tâche pas facilitée pour mes cop’s flics du SRPJ lorrain (région grande Alsace, tendance Schiltigheim ?, c’est-i comme ça qu’on dit maintenant ?).
https://www.nancy.fr/le-livre-sur-la-place/programme-du-livre-sur-la-place-2017/titre-par-defaut-1704.html
Illustration du propos de Passou, avec cet extrait d’un écrivain qu’il aime bien et dont j’apprécie la vision de l’événement-historique-monde, à hauteur du petit peuple des faubourgs de Paris qui en fut l’acteur principal: « Et maintenant, j’imagine Delorme, le Noir, au milieu de la foule, il entre dans la Bastille. Il court lui aussi, se perd dans les couloirs, pénètre les cachots. » Eric Vuillard, 14 juillet, Actes Sud, 2016.
So what !?
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Hey la franchouille, tu parles étranger, ça va pas du tout. Dans le Var, c’est comme un pet à table, ça fait mauvais genre.
Romans avec fiction récents, 2016: « L’opium du ciel », JN Orengo, « The Nix », Nathan Hill (Les fantômes du vieux pays).
Tu les soldes à combien, Bloom ?
C’est pour offrir à JC…
On a pas fait autant de bruit pour la disparition du blog du Spitz Japo,nais, médiéviste émerite et lecteur de SF. En tous cas , un enterrement parait prématuré…
« un enterrement parait prématuré… »
Juste, Petit Rappel. Mais sergio, il était là en permanence depuis la création du blog il me semble. Et cette rupture, ne laisse rien augurer de bon. Sergio est un garçon trop bien élevé pour partir sans dire adieu ?
Moi, oui, je serais plutôt du genre à me retirer sur la pointe des pieds…
Et WGG, à claquer la porte en partant !
Ce soir je mange une tourte chaude de Saint-Jacques (bretonnes) au Noilly. Avec de la salade et un petit Noilly (évidemment) pour faire glisser.
Vous n’aimez pas les oeufs en gelée, D. ? Phil, les appelle « aspics »…
Macron nous fait encore une crise impériale ! Il est allé au Parthénon pour annoncer la création d’une armée de fainéants et envahir le monde, sur le modèle des grognards de Napoléon, le Grand !
Pendant ce temps, il n’est guère disponible pour la catastrophe inédite qui a touché Saint Martin et Saint Barth.
On va finir par regretter Hollande !
Elle a morflé, physiquement, la Marine, elle est toute gonflée… elle va finir par imploser ?!
Depuis la création du blog?
Je n’y étais pas, et il me semble que vous non plus, à moins qu’il y ait eu un avant Annibal. pour le reste,ses qualités, je suis d’accord, mais (Trommelfeuer!) jusque ici on l’a toujours vu ressurgir… Gardons espoir.
Non, il n’y a pas eu d’avant Annibal, Petit Rappel, mais il me semble que sergio était déjà bien installé en ces lieux, quand je suis arrivé ici par hasard ?
« On va finir par regretter Hollande ! »
Ça c’est pas possible Annibal, vraiment pas possible!
« Pas possible » n’est pas français, closer !
Oui je ne déteste pas un œuf en gelée bien exécuté.
Il faut d’ailleurs en manger maintenant parce que c’est typiquement le genre de met que le mondialisme effréné tente de faire disparaitre.
L’œuf en gelée est porteur de nombreux symboles qui dérangent. Et son apogée correspondait à celle du gaullisme.
« nombreux symboles qui dérangent »
La tranche de jambon ?
Oui, et la gelée en elle-même, qui renvoie au point d’indice des fonctionnaires, sujet hautement tabou.
Sous Pompidou l’oeuf en gelée était encore en faveur. Le choc pétrolier de 74 l’a coulé en même temps que la citroën sm en le faisant désormais passer pour une entrée somptuaire, probablement à cause de son espace de flottement surdimensionné.
On a encore le temps pour le menu chez Drouant.
Mais si j’étais le chef…voyons…je ferais en entrée un tartare de filets de caille à peine poêlé aux figues et raisin qu’accompagnerait un très bon Chinon.
Puis un poisson, un turbot pas exemple, cuit « à la plancha » et accompagné d’une sauce en écume avec une base de crème normande aromatisée au fenouil. Ecrasé de pomme de terre et châtaignes à côté. Un très bon Pouilly-fumé pour accompagner.
Un fromage : Brillat-Savarin truffé et Chambolle-Musigny.
Le dessert : façon de profiteroles, choux sortant du four, petit cœur de meringue, glace vanille de la maison Berthillon, chocolat Chuao de la maison Bonnat (Isère). Un très bon Sauterne, bien sûr. Oui, je pense à Yquem 90. Et pourquoi pas ?
Prix par personne, vins compris, estimé entre 500 et 550.
C’est Drouant qui paye, D. !
…
…des suggestions, pour dépenser, son argent,…
…c’est pas çà, qui manque,…Oui, c’est excellent,…
…
…il y a, tellement de formules, plus économiques,…
…pour remplir ses petits creux improvisés,!…etc,…
…
Sur la photo du jury G., seuls Passou et Pivot portent cravate; les autres font plouc (Patrick Rambaud ne semble pas au mieux, sur la Despentes savonneuse?).
Les femmes donnent l’impression agréable d’être parfaitement détendues (sauf Virginie D.)
Je vais attaquer le Vuillard, qui s’il est aussi bon et allant que son « 14 juillet », risque de créer la surprise. En 2014, J’avais exprimé le plaisir que j’ai eu à lire « Kampuchéa » et l’histoire de Yersin de Patrick Deville…j’ai depuis eu des échos de l’attitude peu coopérative de l’auteur d' »Equatoria » lors de son séjour au Cambodge aux frais d contribuable ( bourse Stendhal). Séparer l’homme de l’écrivain, pour sûr, mais c’est un peu plus difficile quand on est dans l’action culturelle. Je constate que l’exotisme continue à l’inspirer…
Pour le reste on attendra les grandes vacances.
J’aimais bien Hollande, moi.
Parmi les grands Dirigeants mondiaux, il incarnait typiquement le petit Irresponsable français, amateur de blagues subventionnées à l’impot, partant niquer, casqué, l’artiste frivole sur son scooter banalisé !
Un bedonnant plein de charme, quoi …Un aventurier hexagonal typique.
J’aime beaucoup Bébé Macron, aussi !
Il a sur son visage, maquillé par l’orgueil, la joie enfantine du candidat au Baccalauréat planté sous le panneau des résultats, et qui voit son nom dans la colonne TRES BIEN. Maman va être contente …
On est gâté en France, depuis Bonaparte !
J’aime beaucoup le Sénat, aussi !
Ils font un travail formidable, les sénateurs. On connaît l’importance en démocratie de cette chambre Haute, qui vient équilibrer les représentants En-marche sur place à l’Assemblée Nationale …
D’ailleurs, plus de 1900 Français dévoués au bien public se disputent les 171 places mises en jeu le 24 septembre prochain. Si c’est pas un signe, ça !…
Le 24 prochain, mille neuf cent candidats aux élections sénatoriales pour 171 planques. Si c’est pas du dévouement …
si j’étais la duchesse de Maintenon, je porterais culotte. ?
@Les femmes donnent l’impression agréable d’être parfaitement détendues
Merveilleuse Amélie, indeed, quelle touche de fraîcheur et légèreté.
https://www.nancy.fr/fileadmin/images/Culturelle/Le_livre_sur_la_place/Retour_en_images/2017/vendredi/2017-09-08-album-ajout-lsp_02.jpg
Glacial, ce matin, en nos régions ventées par le mistral qui se lève …
Pour en revenir à la littérature, j’ai ouvert et lu la première lettre du livre de Cheng François « De l’âme » chez Albin Michel. Il y en a sept.
Je ne sais pas encore si c’est une bonne ou une mauvaise nouvelle …
« si j’étais la duchesse de Maintenon, je porterais culotte. » (rose)
Si j’étais Duc de Maintenon, il n’est pas impossible que vous en perdiez l’usage, chère amie….
Sur ce blog, on devrait bien aimer cette histoire, récompensée sur la place Stan’.
Et l’auteur nous la présente, avec un petit regard, comme un défi.
cette histoire :
http://editions-observatoire.com/shop/reves-quon-pietine-sebastien-spitzer/
« Finalement c’est toi qui as trouvé le moyen de te barrer des parents le plus tôt possible ! »
Sergio, le 06.07.2017 — probablement plus de whisky dans la boite à gants.
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