Le triomphe du roman sans fiction
Je n’est pas toujours un autre. Il arrive qu’il s’affirme clairement comme étant l’auteur et nul autre. Ainsi le pacte de lecture est-il clairement établi qui nous dispense de chercher à retirer les masques superposées sur le visage de celui qui signe de son propre nom en haut de la couverture. Le genre n’est pas nouveau. Les Américains l’ont brillamment illustré du Truman Capote de De Sang-froid (1966) ) au William T. Vollman de La Famille royale , en passant par le Norman Mailer du Chant du bourreau (1979)
Qu’il s’agisse de comprendre le passage à l’acte existentiel de meurtriers, la prostitution, la misère et la violence sociale ou l’angoisse du condamné à mort ,ils réinventent la réalité, s’autorisent à créer des histoires en ajoutant au réel l’invérifiable et l’imaginaire. Le vrai y côtoie l’invraisemblable jusqu’à susciter de sérieux doutes chez le lecteur ; mais c’est fait avec une telle habileté, à seule fin de produire une vérité romanesque tellement plus troublante pour nos consciences que l’exactitude, qu’il ne se demande même pas si c’est du lard ou du cochon. Le suédois Per Olov Enquist avait poussé l’expérience jusqu’à son paroxysme documentaire en truffant L’Extradition des Baltes (1985) de rapports d’instruction, ce qui ne manqua pas de déstabiliser le lecteur incapable de démêler le vrai du faux, le but recherché.
Les Espagnols s’en sont récemment emparé au point de lui donner ses lettres de noblesse. Il est vrai qu’ils prennent leur élan de loin puisque Don Quichotte demeure un absolu de la catégorie. Javier Cercas en est le meilleur représentant, des Soldats de Salamine à L’Imposteur (2015) en passant par Anatomie d’un instant. Trois grands romans en prise avec l’histoire immédiate de son pays plombée par le spectre de la guerre civile. Ils ont en commun de participer d’un genre qui convoque, cannibalise et absorbe à son profit le meilleur des autres genres : le roman traditionnel, le récit littéraire, la chronique au cœur de l’essai, l’enquête historique, les techniques du scénario, l’art du portrait, l’interview et l’investigation journalistiques…
Un vrai pot-au-feu littéraire que ce néo-réalisme historique. Mais l’originalité tient à ce que l’auteur en est au fond le personnage principal. Foin d’autofiction ! Il ne s’agit pas d’un vain et complaisant « racontage de mézigue » mais d’un impératif romanesque gouverné par un changement de focale : si l’auteur et le narrateur se confondent à ce point, c’est que l’économie du récit, le point de vue, le parti pris l’exigent afin de rendre un son différent et de provoquer d’autres émotions chez le lecteur. Tel un peintre plantant son chevalet en plein dans le paysage qu’il s’apprête à restituer à sa manière, l’écrivain se retrouve de plain-pied dans le motif. Pas sûr pour autant qu’il reprenne l’avertissement de Jean-Philippe Toussaint dans son dernier livre Made in China, sur ses aventures chinoises avec son éditeur local devenu un ami :
« Même si c’est le réel que je romance, il est indéniable que je romance »
En France, Emmanuel Carrère, Laurent Binet et Yannick Haenel ont témoigné par leurs livres d’un tel engagement personnel. L’accueil critique et public fut à la hauteur des ambitions du Royaume, de HHHhH et de Jan Karski. Mais depuis quelques années, deux autres auteurs, que l’on retrouve en cette rentrée 2017, creusent à nouveau ce même sillon prometteur, chacun développant sa manière de laisser la fiction s’épanouir dans les zones d’ombre de l’Histoire, mais dans un même esprit.
Le premier s’appelle Philippe Jaennada. On commence à le connaître : il s’empare d’un grand fait divers, entre dans un profond processus d’imprégnation (archives, rencontres, repérages in situ) et en émerge en un peu plus de 600 pages alertes, colorées, vivantes qui nous entrainent à sa suite partout où ça s’est passé. A noter sa marque de fabrique : le culte de la digression entre parenthèses, plusieurs par pages, le plus souvent des apartés d’un humour irrésistible car il y commente personnellement la situation. Et dire que ce monomanique du détail ose affirmer page 270 :
« Je ne vais pas entrer dans les détails, sinon je suis foutu, mais il a réussi à détourner 239 millions de francs » !
La Serpe (633 pages, Julliard), titre du dernier, est l’arme du crime atroce perpétré en 1943 sur le père, la tante et la domestique. Un mobile et pas d’alibi, le fils Henri Girard est le coupable tout désigné. Un bouc-émissaire idéal emprisonné durant les dix-neuf mois d’enquête avant d’être acquitté. Un sacré tempérament que ce personnage : il se retrouvera à nouveau en justice des années après pour son soutien à la cause algérienne. Georges Arnaud fut aussi, et ce n’est pas secondaire, un écrivain à succès très goûté des cinéastes, auteur chez Julliard notamment du Salaire de la peur, du Voyage du mauvais larron, de Prisons 53, des Aveux les plus doux (à ne pas confondre avec Georges J. Arnaud, le romancier de science-fiction, non mais !). Le temps a passé et l’on n’a jamais retrouvé les coupables ni les documents volés ; il est vrai que la piste la plus sérieuse remonte aux services secrets de Vichy. Philippe Jaennada avait au départ l’ambition d’écrire « un roman policier, un truc sanglant, de résoudre une énigme ». Il a échoué sur ce plan là mais en a ramené une sorte de livre, épatant comme l’étaient ceux qu’il avait consacrés à Bruno Sulak et Pauline Dubuisson, des cas eux aussi, comme l’auteur, qui ne dépare pas dans l’étrange galerie de personnages de La Serpe.
Avec Taba-Taba (429 pages, 20 euros, Seuil), Patrick Deville se place lui aussi au centre de l’action et les lecteurs de Pura Vida, Equatoria, Kampuchéa, Peste & Choléra, Viva ne s’en plaindront pas. Car c’est bien lui qu’ils viennent d’abord retrouver, ce nonchalant au long cours à la cigarette blasée, épris de voyages et de rencontres, de petits hôtels et de bars à la lumière faiblarde. Lui aussi dit Je, mais lui non plus sans se pousser du col, sans la ramener, ménageant des effets de réel pour mieux raconter la vie des gens. Sa quête, âpre, touffue, d’une richesse parfois étourdissante, est truffée d’histoires, de lettres, de souvenirs de lecture, de paysages, d’adresses, de maisons, de rues, de villes, surtout de villes, car il les aime et de toutes tailles. Ce qui donne une forte densité urbaine à son récit et l’inscrit dès l’entame dans l’épaisseur de l’Histoire, en bordure de Loire, dans les années 60.
Il part d’un Lazaret et de chez les fous, près de l’embarcadère de Mindin pour Saint-Nazaire, pour dérouler un ruban qui nous amènera à peu près partout, de Saint-Brévin-l’Océan à Managua, au cœur de l’Afrique sur les traces de l’infernal colonne Voulet-Chanoine et au bar de l’hôtel Lutetia à Paris, accoudé à la camionnette de la Friterie Jacqueline du côté de Sedan et dans la zone de Longuyon parmi une famille qui en est à sa troisième génération de chômeurs, parfois pour des retrouvailles avec ses héros des livres d’avant, comme quoi on ne se débarrasse jamais de ses fantômes (pareil pour Jeanada). Il recherche quelqu’un mais c’est lui qu’il finit pas trouver, et jamais loin de lui une présence amoureuse évoquée par une infinie délicatesse.
Comme Javier Cercas et Antonio Munoz Molina dans Comme l’ombre qui s’en va (2016), Jaenada et Deville donnent à voir la texture du réel en nous embarquant dans leur enquête, dans l’atelier de l’artiste, au cœur de son incertain bricolage. On se laisse faire car, à les suivre de livre en livre, on se sent désormais membre de leurs familles de papier au titre de simple lecteur. Ce qui crée une forme d’intimité. En éclatant les formes traditionnelles du récit par la fragmentation des genres et leur hybridation, ils accordent la vieille naïveté de la narration romanesque à la forme labyrinthique de toute enquête, ainsi que le suggérait Robert Musil. Mais comment l’appeler désormais ce genre que le quotidien madrilène El Pais consacre comme un mouvement de « la transparence littéraire » ?
Agnès Delage, maitre de conférences à Aix-Marseille qui travaille sur ce phénomène, préfère parler de « roman historien ». Il y a un demi-siècle, Capote appelait cela « un roman de non-fiction » et l’on n’oubliera pas que le titre de son grand livre était complété par « récit véridique d’un meurtre multiple et de ses conséquences ». Pour Javier Cercas, il s’agit de « roman sans fiction ». Pourtant, l’enquêteur Modiano dans sa quête de Dora Bruder n’en est pas car il entretient un rapport trop onirique avec l’Histoire. Outre qu’il agit sur l’action en personnage principal, le romancier sans fiction, lui, en sus des pures jouissances littéraires qu’il nous procure, fait aussi œuvre de contre-historien, excusez du peu.
(« Kafka. Une biographie. Basé sur des faits réels » illustration D.R. ; photos Passou)
691 Réponses pour Le triomphe du roman sans fiction
@ probablement plus de whisky dans la boite à gants.
C’est pour ça, probablement, que ses alcolytes associés, lancent ici des SOS. Sont en manque.
Vincent van Gogh
Marianne Moore — Langston Hughes
http://blogfigures.blogspot.fr/2011/04/marianne-moore-langston-hughes.html
…
https://www.brainpickings.org/2013/04/30/alice-b-toklas-meets-gertrude-stein/
Loretta Lux :
http://becausethelight.blogspot.fr/2012/04/loretta-lux-e-i-bambini-in-fuga-dal.html
à l’intention de JC : « la violence est le dernier refuge de l’incompétence » (Isaac Asimov)
Arrêtez de paniquer !!! Sergio est immortel, vous le savez bien … Comme nous tous.
Caribbbean rythm
May no way
June too soon
July stand by
August look out we must
September remember
October all over
Un beau sujet pour Sergio fan club..
Cette histoire de modélisation, c’est beau comme du quantique, le crédo des météos:
S’en tenir à la trajectoire, sans en mesurer la variation de vitesse.
https://www.arte.tv/fr/videos/043921-001-A/ouragan-1-3/
Bonne journée.
JAZZI dit: 10 septembre 2017 à 0 h 20 min
C’est Drouant qui paye, D. !
…raison de plus pour bien estimer le budget.
BON COMME CHEZ DROUANT, COCO !…
« En Afrique du Sud, le sorcier d’un village était à la tête d’un réseau de cannibales. Le guérisseur zoulou mangeait de la chair humaine et en aurait « prescrit » à des centaines de personnes. Il est poursuivi pour meurtre avec quatre autres personnes. » (Le Monde)
En Europe, dieu merci, il est possible de goûter à de la bonne chair humaine, tendre, docile, onctueuse, veloutée …. et bien vivante car le morceau vous est présenté sur son support souriant, qui vous y invite le cœur battant !
Sergio, J+51
De ce côté-là non plus, on est allés les interroger avec les potes alcolytes mais ils l’ont pas vu passer.
http://www.alcooliques-anonymes.fr/reunions/nancybazin/
Faut dire qu’ils n’avaient d’yeux que pour le chapeau de l’Amélie-Plage, rien à f… de celui de Magda Goebbels.
-> Sur la gestion des désordres dans les périodes sombres et noires affectionnées par la rdl, les éditions Perrin se préparent à publier en 2018 « Polices des Temps noirs », un dictionnaire fort instructif d’une centaine d’entrées qui fera enfin autorité sur des instances constamment mélangées, (y compris sous la plume de Passou, Delpla ou Modiano) : Gardes, GMR, RG-PP, RG-SN, polices régionales d’Etat, polices privées et autres milices ou services antijuifs, etc. Il était temps de faire le ménage pour stopper l’hémorragie des imaginations romanesques ombrageuses à ce sujet.
-> L’argument « anti Deville », articulé à une source diplomatique + ou – malveillante et donc sujette à caution, m’a paru bien faible pour tenter de pousser le jury à écarter rapidement sa candidature.
En revanche, le futur menu concocté par les internautes de la rdl m’a l’air bien alléchant. Bravo à celzéceux qui l’ont suggéré à la direction du célèbre restaurant.
BJ à toussent, et surtout courage à S., s’il nous entend. Qu’il essaie d’envoyer des signaux.
le monde à l’envers : Sergio est absent et l’andouille de JC est toujours là
Prévenez-moi, mayday, lorsque l’on aura des nouvelles de Sergio, last horizon known:Kingdom Solomon Islands.
Sinon, foin de boursouflures,
… en un mot, comme en cent :
« Vous avez bien fait de partir, Sergio ».
Lacenaire ignore que les meilleurs partent les premiers. Il finira dernier, mais ne l’a pas encore compris !
@Il finira dernier, mais ne l’a pas encore compris !
Ah, ça, s’arranger pour faire fuir tout le monde, il s’y entend…
Lu la deuxième partie du billet de Passou. Passionnant ce questionnement sur le roman de non-fiction !
Romans qui affrontent le vraisemblable en investissant des faits-divers derrière lesquels le « Je » intime de l’écrivain se dissimule.
L’origine de cette créativité ? des vies qu’ils n’ont pas vécues… Ecrire revient alors à se raconter dans ces faits réels où on était absent. La caution du vécu de ces inconnus devient l’alibi de la fiction. L’écrivain y devient l’acteur principal par le biais de son imagination, il finit même par s’y sentir authentique.
Des romans qui contiennent, par un phénomène d’identification, les expériences terrifiantes des faits divers, des faits d’Histoire.
Une sorte de transmission par imprégnation d’une identé à une autre. Un échange que l’écrivain entretient avec des inconnus. L’espace fictif du roman copiant l’espace réel, le « je » du narrateur-écrivain doit alors avoir du mal à préciser son identité, souffrant d’un dédoublement de sa personnalité.
A propos de Police, voir sur Markovic le « 69 Année politique », roman noir de Francis Zamponi, très crédible et bien informé. Un peu l’équivalent des forgeries apocryphes, des faux mémoires sur fond authentique, genre qui remonte à la nuit des temps n’en déplaise aux dignitaires et pontifes autoproclamés de la Nuit des Temps. Héliodore ne titre-t-il pas déjà Théagène et Chariclée « Histoire Véritable? »
JC disait, hier à 19 h 02 :
« Un blog ? C’est l’agora numérique : on entre et on sort ! Un pseudo apparaît et disparaît…. So what !? »
B. Schreiber, dans L’Excavatrice (Le Cherche-Midi) écrit :
« Une chose est certaine : je n’ai rien à dire. Comme tant d’autres, me dira-t-on, qui n’arrêtent pas de parler. Peut-être. Et qui, en outre, plastronnent et jargonnent. Pour initier un débat, pour générer une affaire… Sans doute.
Tant de « jargonautes », partout ! Il n’empêche, je n’ai rien à dire. C’est pour cette raison que je commence un journal. Lorsqu’on n’a rien à dire, il faut un confident »
Petit Rappel dit: 10 septembre 2017 à 11 h 33 min
Joli !
Ce Schreiber, contrairement à l’autre, fameux, qui avait à dire…. n’a rien à dire ! Mais il cause, cause, cause encore et toujours… et pour rien !
Pitoyable, non ?
Ecrire, c’est chercher une life-vest en plein naufrage de son pédalo…. Conclusion : 90% des livres sont des paroles de naufragés.
La rentrée littéraire sera tragique !
@ Héliodore ne titre-t-il pas déjà Théagène et Chariclée « Histoire Véritable? »
J’allais justement le dire. Zut, encore trop tard ! Grrr.
(NB/ Pour ma part, nez en moins, j’aurais mis le point d’interrogation après la fermeture des guillemets. Je crains en effet qu’ainsi fait, la ménagère de 50 ans ne soit encore induite en erreur par ce petit rappel pourtant tout à fait nécessaire):-)
Depuis quelques jours, je vois un couple de perruches à collier, qui a élu domicile dans un arbre près de chez moi. Ils virevoltes en poussant des cris joyeux. Splendide plumage vert pomme et jaune aussi frais que leur ramage !
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/70/Rose-ringed_Parakeets_%28Male_%26_Female%29-_During_Foreplay_at_Hodal_I_Picture_0034.jpg/290px-Rose-ringed_Parakeets_%28Male_%26_Female%29-_During_Foreplay_at_Hodal_I_Picture_0034.jpg
JC,
Boris Schreiber « rien à dire » ? Je ne crois pas !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Boris_Schreiber
« Un blog ? C’est l’agora numérique : on entre et on sort ! »
Oui, mais sur le distingué blog à Passou, comme dit Phil, c’est aussi un club littéraire d’amis, qui n’ont de cesse de déclamer leurs inimitiés !
Je suis en train d’achever la numérisation des 3400 volumes de ma bibliothèque boursouflée, entièrement annotée depuis 1970 (soit 47 ans). Est-ce que que ça intéresse quelqu’un de la visiter après ma mort que j’annoncerai à la rdl en temps utile ? Je précise qu’elle n’est pas située rue St Jacques, mais en province seulement.
En banlieue également, nous sommes envahis par des perruches inséparables à colliers depuis les attentats terroristes. Un couple (Ils virevoltes en poussant des cris joyeux) y a également élu domicile. Comme nous avons le goût des oiseaux, nous allons ajouter un opus manquant à la célèbre série noire. Quelques précisions à revisiter sur la sexualité ailée du président DPS
https://www.cairn.info/revue-analyse-freudienne-presse-2002-2-page-82.htm
Si je devais écrire un « roman sans fiction », je choisirais probablement ce fait-divers ! « Je » serait la mère infanticide…
https://www.clicanoo.re/AFP/Article/2017/09/08/Quelquun-assassine-ma-fille-avec-mes-mains-Fabienne-persiste-dans-le-deni
« Passionnant ce questionnement sur le roman de non-fiction ! »
J’y vois plutôt une vieille antienne resucée, Christiane !
Laissons les juges juger « rationnellement », cad sans comprendre, ni admettre l’irrationnel, ni regarder en eux-mêmes, ….et laissons cette pauvre folle, intelligente, chercher l’assassin de son enfant non désiré !
« Est-ce que que ça intéresse quelqu’un de la visiter après ma mort que j’annoncerai à la rdl en temps utile ? » (JJJ)
– nos étagères sont surchargées de notre inutile livresque ! Pourquoi les alourdir de l’inutile venu de l’étranger ?
– que tu sois vif ou mort, on s’en fout, mon pauvre … !
JAZZI dit: 10 septembre 2017 à 13 h 16 min
« le roman de non-fiction ! » J’y vois plutôt une vieille antienne resucée. »
Le mouvement de la toupie ?
Je préfère les spirales dont la courbe, née d’un point, semble repasser sur le trait précédent mais s’en écarte, à chaque tour un peu plus, tout en tournant autour du point central…
La piste que tu donnes à suivre (com. précédent) fait froid dans le dos !
Le Président Schreber ?
Lire Hans Israëls « Schreber, père et fils » au SEUIL, 1981 : le père fou, le fils fou, mais curieusement raisonnable ……
Quittons nous sur un fait divers mélenchonien !
« Une famille juive a été séquestrée et détroussée dans la nuit de jeudi à vendredi à son domicile de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), une « nouvelle agression antisémite » dénoncée dimanche par les institutions juives.
Selon les victimes, les auteurs se sont introduits dans le pavillon par effraction, ils ont coupé le courant, séquestré d’abord le fils de la famille, puis au petit matin s’en sont pris à la maîtresse de maison » et à son mari pendant plusieurs heures, jusqu’à ce que la femme parviennent à alerter la police.
Les agresseurs auraient déclaré à leurs victimes, des membres connus de la communauté : « Vous êtes juifs, vous avez de l’argent, on prend l’argent aux juifs pour le donner aux pauvres » !!!
Tout va bien, bonnes gens ! Dormez tranquilles…. votre tour viendra.
@ que tu sois vif ou mort, on s’en fout, mon pauvre … !
Mais moi, il m’importe de savoir encore faire la différence, je m’en fous pas. Ce que tu penses, hein, si tu sawais… ?
14 heures 01, le meilleur moment de la journée sur la RdL
« 14 heures 01, le meilleur moment de la journée sur la RdL »
14 heures, l’heure du crime de l’Arabe dans « L’étranger » de Camus, selon le « Meursault, contre-enquête », que je suis en train de lire. On en reparle bientôt, JJJ, je sais que tu aimes ce, premier roman de Kamel Daoud, largement plébiscité en France et par Passou. A quoi tient son succès ? A une bonne idée de départ et au fort sentiment de culpabilité de notre intelligentsia nationale, sans doute ? La bonne idée, redonner une identité à la victime anonyme de Camus, le sentiment de culpabilité, vis à vis du colonialisme passé. Est-ce suffisant ? Est-ce déjà de la non fiction ?
Le style de Camus selon Daoud, un hommage pour mieux l’assassiner ensuite ?
« As-tu vu sa façon d’écrire ? Il semble utiliser l’art du poème pour parler d’un coup de feu ! Son monde est propre, ciselé par la clarté matinale, précis, net, tracé à coup d’arôme et d’horizon. La seule ombre est celle des « Arabes », objets flous et incongrus, venus « d’autrefois », comme des fantômes avec, pour toute langue, un son de flûte. »
« Je préfère les spirales dont la courbe, née d’un point, semble repasser sur le trait précédent mais s’en écarte, à chaque tour un peu plus, tout en tournant autour du point central… »
Ce n’est pas parce que Passou fait la toupie, que tu dois jouer les derviches tourneuses, Christiane !
Il me semble qu’elle est plutôt troublée par l’oeil du cyclone actuel qui sévit sur la caraïbe et la floride… Jazzman, finis ta lecture de contre-enquête sans trop te soucier des plmtq de la rdl sur le rsf. Jouis d’abord sans entrave de ta propre lecture.
Christiane, heureuse femme qui trouve tout ce qui est culturel passionnant.
christiane dit: 10 septembre 2017 à 11 h 32 min
Jazzi lui répond presque dans les formes!
😉
« Jouis d’abord sans entrave de ta propre lecture. »
Le problème, JJJ, c’est qu’à la lecture de « Meursault, contre-enquête », je bande mou !
Paul Edel dit: 10 septembre 2017 à 15 h 55 min
Christiane, heureuse femme qui trouve tout ce qui est culturel passionnant.
Mais c’ est un trait courant de notre époque qui se précipite aussi à toutes les expositions.
Ça butine, ça fait son miel de tout.
Même ce matin lors de ma séance sportive on m’ a parlé de la dernière exposition de Calder.
On bouffe de l’ art sans toutefois beaucoup le digérer.
( Je parle en général, pas de notre charmante commentatrice.)
un club littéraire d’amis, qui n’ont de cesse de déclamer leurs inimitiés
Pas mal joli… Mais je dirais que de vrais « littéraires » (amoureux de la littérature), y’en a pas la moitié icite, voila pour moi le + surprenant de ce prétendu club.
Je rappelle que la jouissance littéraire implique très rarement la bandaison, surtout pour une moitié de l’humanité.
Mais les femmes bandent aussi, JJJ, pas seulement de la pointe des seins !
« Clitoris: comment se produit l’érection féminine?
Si le mécanisme d’érection du clitoris est identique à celui du pénis, il n’est, par contre, pas aussi visible.
Le corps du clitoris se compose des corps caverneux qui, tout comme dans le cas du pénis, se remplissent de sang à la suite d’une stimulation sexuelle. Ce gonflement des corps caverneux ferme les veines qui assurent en temps normal l’évacuation du sang. Ce qui se traduit par une érection du clitoris, gorgé de sang.
L’érection féminine est-elle aussi suivie d’une éjaculation?
Une éjaculation du clitoris n’est pas possible. Les femmes n’ont pas d’équivalent de la prostate ni des vésicules séminales qui chez les hommes fournissent le sperme pour l’éjaculation.
Le liquide que sécrètent les femmes lors de la stimulation sexuelle provient des glandes situées dans l’espace entre les petites lèvres (vestibule) .
Sachez aussi que chez les femmes, il n’y a pas que le clitoris qui est en érction lors de l’excitation sexuelle. Les glandes vestibulaires, les petites lèvres et le corps spongieux situé dans l’urètre gonflent également.
Passionnant, n’est-ce pas? Dommage que tout se produise en interne! Mais, ce mode de fonctionnement n’est pas sans avantage: en effet, comme les femmes n’éjaculent pas, elles peuvent avoir des orgasmes multiples. »
à Jazzi : 14 heures 01, c’était le départ de cette andouille de JC
Nos traducteurs habituels sont absents. Personne n’a traduit la petite phrase humoristique en haut à gauche. Je m’y risque? « On a mis l’autocollant et les ventes ont démarré en flèche » ?
La ficelle de l’Histoire Véritable a beaucoup servi .Le Moyen Age connaissait Troie aussi, peut-etre surtout, par les vrais faux reportages de Dictys de Crète et de Darès Le Phrygien. Il s’agissait de fictions orchestrées comme des réalités, avec dans un cas, (Darès?)l’ ouverture du tombeau du héros et la découverte de son Journal constituant l’histoire. Et on pourrait les multiplier…Et peut-être, à l’origine de tout, il y a-t-il un chouia d’authentique! Voila pourquoi le fait de poser la question pour St Luc, autofiction ou document, ne me dérange absolument pas! C’est le genre de controverse éternelle, au moins à notre échelle…
Oui, Paul Edel, Christiane c’est l’anti-JC qui, lui, trouve tout ce qui est culturel déprimant (pour rester poli)
16 heures 51 ou être à côté de nos pompes, uhuhuhuh, du p’tit Court suffisant et prétentiard
@Paul Edel dit: 10 septembre 2017 à 15 h 55 min
Pas « tout » mais ce qui se lie à mes préoccupations, au monde qui m’entoure. Pour les vaches, c’est … moyen…(rdc)
hristiane, heureuse femme qui trouve tout ce qui est culturel passionnant.
Mais c’ est un trait courant de notre époque qui se précipite aussi à toutes les expositions.
Ça butine, ça fait son miel de tout.
–
C’est une sorte de paradis artificiel.
Ça doit terriblement éloigner de la réalité du monde. Çà et la lecture. Prions pour qu’elle s’en sorte.
Lacenaire?
Las! ce… n’erre?
Là, ce…n’erre?
Lasse nerfs…
Petit Rappel dit: 10 septembre 2017 à 16 h 51 min, reprenant la question de Paul Edel, écrit :
« … le fait de poser la question pour St Luc, autofiction ou document, ne me dérange absolument pas!… »
Moi, non plus !
Luc s’adresse à tous ceux qui sont étrangers au peuple de la Bible. Ses mots reviennent comme des refrains et il donne une place particulière aux femmes : Marie, Elisabth, Anne, Marthe et l’autre Marie. Son évangile s’ouvre sur les enfances de Jean-Baptiste et de Jésus. C’est de la littérature comme lorsqu’il reprend les récits bibliques des origines.
A l’époque, les citadins de la Méditerranée orientale ont adopté la culture grecque. En Palestine, le peuple ju.if ne parle plus sa langue, mais l’araméen, et sa littérature est grecque ou araméenne. L’hébreu est peu parlé (caste de prêtres) Le pays où se déroule cette histoire de Jésus est divisé entre les territoires de Judée et de Galilée et de Samarie. L’empire romain ayant atteint son âge d’or, domine tous les peuples des bords de la Méditerranée. En Palestine, un roi d’origine locale, Hérode, (billet précédent), un Sénat ou Grand Conseil pour les affaires religieuses, un grand prêtre qui le préside et administre le Temple.
Le pouvoir de condamner à mort est réservé au gouverneur romain.
Dans ce décor, le petit peuple ju.if se dresse face à Rome comme un noyau irréductible. Empli de sa croyance en un Dieu unique. Il s’est fait le gardien des textes bibliques et applique scrupuleusement l’antique loi de Moïse, attendant la venue d’un libérateur.
Voilà pour le prologue.
Comme toile de fond : la mer, le désert traversé par les armées égyptiennes, assyriennes, babyloniennes, perses, grecques.
Le monde romain encercle Is.raël de toutes parts. Ce petit peuple a déjà connu déportations et massacres, une partie s’est expatrié et forme la diaspora.
C’est dans ce monde qu’apparait ce non-conformiste Jésus…
Au bout de plusieurs décades d’aucuns cherchèrent à remplir certaines pages blanches et de composer une histoire de sa vie. Chaque évangéliste en a une conception personnelle. Les dates de rédaction de ces écrits, les noms de leurs auteurs restent flous…
Récits sans fictions, autofictions ou documents ? A chacun de se faire une opinion…
D. écrit: 10 septembre 2017 à 17 h 27
Ma vie serait » une sorte de paradis artificiel.
Ça doit terriblement éloigner de la réalité du monde »
Et votre monde, D ? Extraterrestres, menus, mise à distance moqueuse des malheurs subis dans ces petites îles frappées par l’ouragan, moqueries sur les uns et les autres… O, l’honnête homme !
Je préfère ma façon de vivre qui n’est en rien connue de Pat.V. Elle, c’est étaler ses études d’art de haut niveau, ses rencontres avec les élites, en écrasant les autres qui l’intéresse… Comment pourrait-elle parler des gens d’ici ?
l’illustration dr fait témoin de jéhova..hassez bien l’idée que je me faisais de kafka quand j’étais mino
Voila pourquoi le fait de poser la question pour St Luc, autofiction ou document, ne me dérange absolument pas!
quant à ton nondérangement..rené girard dirait qu’c’est l’propos..ça tmet au centre
j’agace Court, tant mieux, lui me fait rire hihihihi
Récits sans fictions, autofictions ou documents ? A chacun de se faire une opinion…
cricri se rassure sur cqui est sur..l’hoccasion fait la larronne..bonne mauvaise..c’est pas grave..même pas honte
ta gueule raclure de keupu
bouguereau : réveil tardif de la taupe bourrée
le magazine Marianne parles de JC : un article intitulé « le poison de la charcutaille »
Pour les vaches, c’est … moyen…(rdc)
trés bien ptipaysan aneliz..c’t’un pro qui l’a fait..henfin hun concerné..même la ptite boulangère pti clin d’oeil était choucarde..et le belge haussi..holala
Comment pourrait-elle parler des gens d’ici ?
ah bon? mais une fiction peut faire l’affaire aussi bien !je ne vois pas pourquoi il faudrait parler des gens d’ici plutôt que des gens de là-bas
De nombreuses propriétés de Donald Trump sont sur le trajet d’Irma.
No comment.
bouguereau dit: 10 septembre 2017 à 18 h 42 min
ta gueule raclure de keupu
–
Bien dit !
16.19, Certes Jazzman, -bravo pour votre incomparable science et pratique tirées du reader digest et de votre invétéré donjuanisme auprès de nos dames-, mais sauf distraction perso,… j’ai encore jamais lu Martine (par ex.) nous avouer, à la lecture d’un billet de passoul : « je bande mou-le »…
Je viens de voir un film formidab’ au cinoche du coin : « Une vie violente » (T de Peretti). Je sais pas si vous en avez déjà causé ici avec annelise roy, vous qui voyez tout « sur » Paris.
Je préfère cent fois Pat. V. à Christiane.
ce qui est intéressant avec les « ta gueule raclure de keupu » émis par la taupe bouguereau c’est que cela s’adresse à tout le monde, aussi bien à vous qu’à moi, puisqu’il n’a pas le courage de nommer
17 heures 59 : AMEN !
« j’ai encore jamais lu Martine (par ex.) nous avouer, à la lecture d’un billet de passoul : « je bande mou-le »…
Je viens de voir un film formidab’ au cinoche du coin : « Une vie violente » (T de Peretti). Je sais pas si vous en avez déjà causé ici avec annelise roy, vous qui voyez tout « sur » Paris. »
J’entends souvent des gamines dire : « Tu me casses les couilles ! », JJJ.
Pour le film de Peretti, nous en avons bcp parlé chez Annelise. Paul Edel l’a défendu avec enthousiasme. Moi, j’étais plus modéré…
je est un autre
Lettre du Voyant, à Paul Demeny, 15 mai 1871
« Ça doit terriblement éloigner de la réalité du monde »
C’est quoi au juste la réalité, D. ?
Doit-on la subir et ne pas la réinventer, la réenchanter ?
@ bouguereau dit: 10 septembre 2017 à 18 h 42 min
La vérité est une probabilité. La réalité, parfois un mirage.
@D. dit: 10 septembre 2017 à 20 h 04 min
Qui se ressemble s’assemble
Lacenaire dit: 10 septembre 2017 à 20 h 23 min
Non, justement.
« On a mis l’autocollant et les ventes ont démarré en flèche »
Et l’autocollant dit : « D’après une histoire vraie », Lavande.
Ce désir de coller au plus près de la réalité, plus qu’une mode c’est un fait de société. Plus un film, désormais, qui ne soit précédé de cette mention !
Là où jadis on nous avertissait que « Cette histoire est purement imaginaire, toute ressemblance avec une personne réelle est involontaire… » A quoi cela correspond-t-il ? That’s the question !
…
…que de temps de perdu,…
…
…dans notre société coercitive,…rien à foutre,…
…
…connaître les procédés industriels,!…
…et, puis après, …
…encore, plus vite, à m’en éloigner,!…
…
…faire mieux en tout,…et, puis après, pourquoi faire,…
…au fond, déjà ,des emplois nouveaux concurrentiels,…
…ou une réserve d’instructions, pour les priorités des générations futures,…
…
…simplifier les beaux-arts, pour faire, mieux, et plus beaux encore,…Oui, pourquoi faire,…
…pour des gouvernants crèves à raclures, rester, représentants des peuples, de pères en fils, à rien foutre,!…
…tous des apparatchiks, et autres chevaliers, sans châteaux, a se branler des ordres aux lectures des poches en désordres,…etc,…
…
…ma préférence reste, les lectures de tout les processus industriels,…
…arts compris, et loisirs,…
…le reste des romans, rien à foutre , des histoires, sans queues ni têtes,!…pour du Nobel, à sous de connivences,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,…Go,!…
…
« A quoi cela correspond-t-il ? »
Alors que nous évoluons dans un environnement, un monde, de plus en plus virtuel ! Ceci expliquant peut-être cela ? Passou ne fait que constater ce fait : « le triomphe des romans sans fictions ». Le critique littéraire qu’il est ne doit -il pas, au-delà du diagnostic, proposer des explications, à défaut de solutions ?
D’après une histoire vraie, Delphine de Vigan
On pourrait chercher l’origine de cette esthétique anti-fiction chez quelques disciples peu doués de Zola, qui s’en sont assez vite lassés: Céard, Hennique, etc.
Lacenaire comment pourrais-je etre agacé par quelqu’un que je supporte? Chacun ici sait à quoi s’en tenir pour la richesse et la variété de vos interventions!
Ceci dit une bonne fois pour toutes.
Je préfère ma façon de vivre qui n’est en rien connue de Pat.V. Elle, c’est étaler ses études d’art de haut niveau, ses rencontres avec les élites, en écrasant les autres qui l’intéresse… Comment pourrait-elle parler des gens d’ici ?C.
Votre façon de vivre n’ intéresse personne, ce me semble. mais ici, vous exprimez peut-être bien malgré vous, peut-être avec complaisance les linéaments d’ une certaine personnalité, des manières de vivre en quelque sorte.
Si j’écrase quelque chose ici, c’ est du virtuel, du vide et le pschitt, ça vous intéresse comme l’ impalpable, on dirait.
Et pour ce qui concerne l’ élite, celle du cœur et de la curiosité des savoir, mieux vaut cela que son monocorde des vibrionnantes élytres des bourdons cultureux.
que LE son monocorde des vibrionnantes élytres des bourdons cultureux.
Bzzzz!
@ Pat V dit: 10 septembre 2017 à 23 h 25 min
Les élytres avec « le » devant son,
certes, un oubli…
(Personnel) lêche-cul :
Merci pour les photons & +.
Soyons clair ! La littérature ?
Des mecs, des nanas, qui écrivent des trucs que lisent des mecs et des nanas pour se distraire, croyant se cultiver. Une activité humaine de distraction, gentille, se valorisant souvent plus importante qu’elle ne l’est..
Peu importante, au regard de bien d’autres plus nécessaires à la vie : un bon médecin vaut mille écrivains ! J’admets que le ratio peut se discuter.
Il suffit de trainer en ces alpages prestigieux pour se rendre compte de cette évidence que les adeptes de cette distraction ne voient plus, engourdis dans les citations des scribouillards égotistes.
A ceux qui se feraient la réflexion suivante : « Mais, que vient il donc faire ici, pensant cela ? », ma réponse est claire : « On peut aimer aller au Cirque, non ? » ….
J’aime les bêtes.
moi aussi.
J’aime les bêtes.
notes :
ai fini le litre d’acétone. Utilisé pour décoller les vieilles étiquettes sur les pots à confiture.
N’en rachèterai pas. on peut employer du dissolvant pour le bernis à ongles.
solution : mettre des recettes bidouillées sur la toile. Pour fabriquer de l’explosif. Une formule qui s’annule. Sinon, les voisins y passent. Changer les dosages donc ou bien introduire un élément annulant les autres.
j’aurai besoin d’un coup de main. Ai presque fini la correspondance de Mermoz essentiellement avec sa mère Mangaby.
ai cherché rapidement sur la toile. ai trouvé des cartes aériennes datant de 1940 /1950.
ya t’il des cartes aériennes datant des premiers vols Nungesser et Coli, 9 mai 1927 qui se sont abimés dans le Maine, à la frontière du Canada et des États-Unis, après avoir survolé Terre Neuve ; Lindbergh de NY à Bourges 21 mai 1927 ?
« La bibliothèque de Samuel Beckett entièrement numérisée »
Comme celle de JJJ !
D’après une histoire vraie :
http://www.arteworld.it/wp-content/uploads/2015/06/dedalo-e-Icaro-canova-analisi.jpg
@tweet
je ne sais pas si c’est une bonne idée, cette histoire de réconcilier les journaliste avec le président, en créant un poste sur mesure, pour un magouilleur.
« Des pratiques qui ne sont pas totalement isolées. Pendant la campagne, Le Lab a ainsi reçu un appel particulièrement insistant du même Sylvain Fort demandant la suppression d’un article qu’il jugeait illégitime. »
europe1
D’après une histoire vraie, 2 :
D’après une histoire vraie, 3 :
Amusantes, les annotations de Beckett.
Dans le « Journal » de Jules Renard, il souligne : « Soyez tranquilles ! Nous qui avons peur de la mort, nous mettrons toute notre coquetterie à bien mourir. »
D’après une histoire vraie, 4 :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/09/sylvia-plath-crossing-water.html
En photographie, ne part-on pas toujours d’une histoire vraie, renato ?
@Pat V dit: 10 septembre 2017 à 23 h 25 min
Un jour, vous êtes apparue ici, avec des pensées passionnantes sur l’art contemporain, une bibliographie tentante. Puis le temps a passé et la moquerie est devenue votre lien avec des commentateurs ici ou chez P.E. Et là, cet « impalpable » généreux s’est volatilisé, laissant place à des alibis qui n’avaient plus rien à voir avec votre intuition de l’art mais avec un savoir dont je doute qu’il pénètre au fond du mystère du regard de quelqu’un qui aime une œuvre contemporaine ou pas. Vous évoquez les files d' »imbéciles » qui se précipitent aux expositions. Dans ces files que je fuis régulièrement, préférant les musées à heure creuse, il y a des gens que je respecte, qui font preuve de patience pour connaitre, pour rencontrer les œuvres d’un créateur. Bien sûr que ce ne sont pas de bonnes conditions pour s’attarder devant une toile, une sculpture. La lecture ou d’autres face à face apportent un bon complément (et encore merci pour les deux pistes que vous m’aviez données) mais je préférais la Pat.V d’avant, celle des approches plus que des certitudes.
L’impalpable de l’art, oui, le mot est juste, sa dimension d’inconnu, le silence plutôt que ce cliquetis de paroles, une certaine lenteur plutôt que cette hâte, ce bruit. Dans le match qui vous opposait à Pablo, j’ai aimé son entêtement à ne pas oublier ce qu’il aime dans l’art. Dans celui qui vous opposait à Y. chez P.E à propos de G.Laporte, je vous ai détestée. Il était tellement heureux de reconnaitre cette toile et vous l’avez daubé au point qu’il s’est presque excusé. Terrible.
« basé sur des faits réels », ne semble pas être exactement le sens de » d’après une histoire vraie ».
Pat V. est un collectionneur. C’est pas pareil.
JC – 5h56
F’murr… Athanase, berger pensif et rêveur, réunit et ses brebis dotées d’un quotient intellectuel élevé, et son bélier Romuald… tiens, tiens…
@la vie dans les bois dit: 11 septembre 2017 à 8 h 47 min
Je n’avais pas pensé à cela… un autre monde, oui.
6 heurs 21, JC ou le cirque des andouilles, youpi
Alapage ?
Basé sur des faits réels ?
«All’origine di ciò che sono diventato c’è stata quella marcia lenta, senza principio né fine, su quella terra eterna dove il sogno e l’avventura, dove la vita e la morte, il presente e il passato, la terra e le stelle si alternano all’infinito componendo una sinfonia ardente.”
http://frison-roche.com/
« d’après une histoire vraie », proposition plus accessible au plus grand nombre : de la coiffeuse à n’importe quel universitaire.
Oui, JC, la lecture est essentiellement une affaire de distraction. Une manière de sortir de soi pour aller vers l’autre : un partage d’émotions et un passage d’idées, jusque dans sa contestation…
Trop simpliste cette proposition, mais ici, ça va bien.
« basé sur des faits réels », ne semble pas être exactement le sens de « d’après une histoire vraie »
La différence, LVDLB ?
« Une manière de sortir de soi pour aller vers l’autre : un partage d’émotions et un passage d’idées, jusque dans sa contestation… »
C’est beau comme du Christiane, Zizzi.
Edward Whymper :
http://blogfigures.blogspot.fr/2010/01/edward-whymper.html?q=Edward
pasque tarzoune y sla joue pas ptêt baroz
Une manière de sortir de soi pour aller vers l’autre
moins que sur lord of warcraft ou que je rencontre souchi ma potote coréenne..qu’est hun mec si y croit que jle sais pas..
Une manière de sortir de soi pour aller vers l’autre
..vers yavé tant que tu y es
ducon, ton harcèlement est tout à fait pénible, va consulter….
comme dit Court: une bonne fois pour toutes.
le silence plutôt que ce cliquetis de paroles
tu vois cricri si lart contemporain fallait l’taire papate y srait fait aux pat et il aurait l’air kon comme un balet chiotte dans une phontaine..un deurty cornère sous une freeway havec des sicario pendu et les jambes coupées à la tronçonneuse..rénateau y’est au micro
consulter une bonne fois pour toute..c’est l’moto a mengélé..
La différence, LVDLB ?
tu voulais un dessin baroz..le vla ton mouton..henragé? c’est l’époque épicétou
C’est beau comme du Christiane, Zizzi
chte mettrait bien la main au cul cloclo mais ça frait des histoires a n’en pus phinir..restons henemis c’est plus chic
ducon, pour le harcèlement, » It takes two ».
Me reviens en tête une dédicace, récente, »d’après une histoire vraie », qui stipulait qu’il faudrait jamais n’avoir à le rencontrer », à propos des pervers.
Mais démasquer une ordure comme toi, sur un forum, est un jeu d’enfant.
D’après une histoire vraie
darouine y dit quya pas d’histoire et t’es pas le héro..live and let die comme 007..mais sans gonzesse et sans bolingé et surtout surtout surtout sans aston martine rénateau
Je précise que ce n’était pas une dédicace du roman de D. le Vigan, mais le sujet était le même: le harcèlement, par des pervers.
Mais démasquer une ordure comme toi, sur un forum, est un jeu d’enfant
tarzoune y me met dans sa bandéssiné toute pourite..c’est piégeux
Il n’y a pas plusieurs attitudes à adopter en face d’un pervers, qui pratique, bien sûr, le multi-pseudo. Encore et encore, ne pas se laisser faire par ce type d’ordure.
Perversion pour perversion, ôter au pervers la pratique du harcèlement sadique, source de joie sans mélange, mais c’est atroce !
C’est condamner cet être délicat, le pervers, à l’ennui le plus funeste. Surtout sur un blog prestigieux, qui se prête parfaitement à l’exercice … !
Attention aux jugements hâtifs !
Le pervers est généralement plus intelligent que l’ordure qu’il harcèle de sa tendresse débonnaire, quoique douloureuse pour sa victime masochiste, à la faiblesse coupable…
Le pépère pervers est un père vert.
9 heures 39 : l’andouille se dévoile, l’ennui moteur de sa haine quotidienne
Pépère pervers, car c’est dans les familles que la perversion règne sans partage, domine chacun, écrase sans limite !
Souvenez vous de ces repas de Noel où se met en pratique le « Détestez vous les uns les autres ! », de ce pauvre type si chrétien*
*une secte qui fut perverse, certes, mais se voit supplantée aujourd’hui par une armée de crapules plus nombreuse et mieux équipée …
Pauvre Laura qui a ses règles 30 ou 31 jours chaque mois, sauf en février, menstrues qui lui donne cette humeur de Mère Supérieure ignorée par son jardinier bien membré ! …
Le pervers est vert quand il perd?
S+52
Pour rassurer les inquiets de la disparition d’un patron connu de blogdel : le pseudo Serguei.
Vous vous inquiétez pour rien … bodies ! Sergio a été heurté hier soir, à petite vitesse, par un minibus d’étudiantes scandinaves en langues orientales.
Sa motocyclette, Norton 50cm3, est intacte.
Il a été sauvé de la vorace Camarde par les neuf « bouche-à-bouche » secouristes qu’elles ont pratiqué sur lui, dans un élan d’humanisme nordique remarquable.
Quant bien même, on se croit éternel, mais au pire, mourir dans ces conditions de sauvetage désespéré, c’est tout de même préférable à une agonie pneumatique étouffante, comme l’a connu en crucifixion ce con de Ieshoua de Nazeret … ! »
christiane dit: 11 septembre 2017 à 8 h 39 min
L’ impalpable vous l’ interprétez à contre sens du mien…
Vous écrivez avec une plume de soi, vous vous caressez l’ esprit de peur de trop l’ abimer alors que le choc de la confrontation peut être douloureux mais salutaire.
L’ impalpable c’ est ce dont on ne peut parler par définition.
» je vous ai détestée. »
Certaines vérités ne sont pas toujours bonnes à entendre…
Mais c’ est respecter l’ autre que de les dire.
Et puis, expliquer des œuvres, les comprendre, les discuter en commun est une passion.
Tout le contraire de l’ impalpable.
Mais est-ce que vous comprenez que comprendre n’ enlève aucunement la part du mystère, ce que l’ on peut plutôt nommer l’ interprétation?
LE DEVENIR MUSÉE DE LA PLANÈTE TERRE ( Le dernier chapitre de l’ excellent essai de Miche Thévoz, L’ art comme malentendu, éditions de minuit 2017.)
http://blog.artsper.com/wp-content/uploads/2013/08/Maurizio-Cattelan_Untitled_2002.jpg
« Et puis, expliquer des œuvres, les comprendre, les discuter en commun est une passion. » (patichou)
Passion perverse….
Expliquer : en route vers l’inexplicable
Comprendre : en route vers l’incompréhension
Discuter : en route vers la dispute plutôt que vers la disputatio
Le théâtre classique, de Shakespeare à Racine, en passant par Corneille travaillait déjà sur l’existant grec, latin, italien, écossais.
…
…reformuler les liens,!…
…
…tout les représentants des peuples, font leurs Papes à jours,!…
…
…comme nos anciens » rois « , au toucher » guérisseurs,!…si, je vient, c’est pour toi, te guérir, à peu de frais,!…surtout,…
…
…Pub,et frais d’avions, et le reste,…les » rocks Stars « , du pouvoir débile,…
…
…si, vous écrivez, c’est pour nous guérir, en notre communauté,… qu’il n’y a, nul espoir d’être sauver, …des enfers de la vie,…
…
…comme, écrivait, Dante, pour les marrons du feux,!…
…
…écrire, ou donnez le biberon,…tiède, la gorgée,!…etc,!…aux imaginations,!…
…suivant,…
…Non, les mains aux fesses, c’est pas encore, ici,!…
…
« Le théâtre classique, de Shakespeare à Racine, en passant par Corneille travaillait déjà sur l’existant grec, latin, italien, écossais. »
Le plus moderne, c’est Molière !
« si, je vient, c’est pour toi, te guérir, à peu de frais,! »
Merci, Saint Ange !
L’impalpable, c’est est le désespoir des manchots, la tragédie des amputés, le malheur des frustrés.
L’autre nom de JC !
http://insightfulvision.fr/articles/articles-im/vishnu.jpg
@Pat V dit: 11 septembre 2017 à 11 h 03 min
Et vous écrivez cela sans broncher ! pour vous aussi, donc, il y a un art… dégénéré… Faut-il brûler… les toiles de G.Laporte et envoyer en camp de redres.sement ceux qui les aime. Votre Polit.buro a décidé qu’il fallait leur dire La vérité. Vous savez en quoi l’art consiste, et en quoi exactement il ne consiste pas et vous êtes prête à réduire à néant tout ce qui résiste à vos démonstrations. Prenez-vous au moins conscience de vos limites ? de la fragilité de vos jugements de valeur ?
Votre œil est empêché, votre intelligence aussi. Tout chez vous se veut inébranlable, pourtant vous êtes comme enfermée dans vos certitudes. Un ensevelissement.
Comment ai-je pu me tromper à ce point sur vous ?
Merci, Saint Ange !
‘au toucher’ c’est pas forcément anal non pus baroz..
L’impalpable, c’est est le désespoir des manchots, la tragédie des amputés, le malheur des frustrés.
C’ est assez bien vu…
c’est certain cricri papate il est pas hassez détendu du troudbal..hencore des efforts a faire pour ête contemporain
…
…chercher, et trouver, des sources de » génies « ,!…comment cela,!…
…
…quand, il est vidé, dans son subconscient,…créatif,!…
…
…revenir, aux enfances de l’art,!…des Picasso,!…
…du copier/coller,…de dessins de jardin d’enfants,…
…revenir, aux signes élémentaires de notre espèce, pour s’apprécier en communautés du langage,!…
…et la cours de récréation, pour les fins politiciens,!…faire son meilleurs à la ronde,!…etc,…
…encore la,!…café, et œufs à la coque,…
…penser, c’est aussi, travailler,encore dans de bonnes conditions,!…
…
Le plus moderne, c’est Molière !
c’t’un fait..hassez de sla jouer en king et dmi dieu..cqu’on veut c’est dfaire la soubrette baroz
christiane dit: 11 septembre 2017 à 12 h 05 min
Tout ce qui est excessif est insignifiant Madame!
C’ est vous qui vous prosternez aveuglément devant ce Laporte et l’ avez comparé à Nicolas de Staël, rien que cela…
Laissons-le vivre ce peintre, indépendamment du brave Nicolas!
J’ adore les artistes malades mentaux, les originaux qui sortent du rang, les créateurs au pendule, les rebouteux du crayon graphite, les embobineuses de pelotes de laine mais ne m’ en fait pas une obligation…
Je vous laisse les chaumières bretonnes et les blanc rutilants des mouettes sur l’ océan!
comme enfermée dans vos certitudes; C.
C’ est sûr qu’ avec un impalpable, tout jugement fait un énorme saut à l’ élastique!
…
…les soubrettes,…des diversions de Madame votre banque,…pour prendre le contrôle de vos entreprises à peu, de frais,..rôder, comme elle est,…
…Mmes, de Dallas,à ses Dynasties,…
…
…des soubrettes, comme des bonnes sœurs,…
…juste un voile, pour cacher, les joues roses,…etc,…
Je viens de jeter un oeil sur la peinture de G Laporte (dont je n’avais jamais entendu parlé) grâce à Google…
Un, Nicolas de Staël est cité dans sa notice wiki. Ce n’est pas une invention de Christiane.
Deux, il est mort depuis un bon nombre d’années. Il est donc difficile de le « laissez vivre ».
Trois, sa peinture est figurative et extrêmement agréable à regarder. C’est évidemment impardonnable.
@closer dit: 11 septembre 2017 à 12 h 48 min
Vous êtes reposant et repoussez la grincheuse dans ses retranchements. Paul Edel avait dû trouver une des toiles de Laporte également plaisante puisqu’une reproduction était posée sur son blog, ce qui avait déclenché la joie d’Y et les remarques acerbes de la grincheuse !
Quittons nous sur un appel aux nombreux macronophobes présents en ces lieux enchanteurs :
« Frères ! Venez nous rejoindre au sein de notre groupe Confrérie* des Fainéants et des Cyniques extrêmes ! Vous qui êtes la sève de la République, le sang du martyre, la jante du pneu de la liberté ! »
En avant ! Le bonheur est au fond de l’impasse …
*marque déposée
Mon avis sur Laporte : il met en valeur une dimension du littoral de façon extrêmement répétitive et lassante. Une peinture pauvre. Un certain travestissement autistique de la lumière et du climat qui, dans toute la diversité qu’on leur connait sont rendus de façon uniforme et étriquée.
A propos de « belle » peinture, il faudra encourager Marc Fumaroli dans sa démarche, en allant visiter l’expo qu’il parraine à la Mairie du V ième:
À partir du 28 septembre, la mairie du Ve arrondissement de Paris organise, sous la houlette de l’académicien Marc Fumaroli, une magnifique exposition intitulée «Présence de la peinture en France» (1974-2016). On pourra y découvrir des œuvres d’art contemporaines éloignées du «formidable marché tapageur» où se disputent «noms sensationnels et marques coûteuses».
Attention, je crois qu’elle ne dure qu’un mois.
Laporte est pour moi un anti-Van Gogh dans la philosophie de peindre. Un exemple de la peinture qui rase, à ne pas suivre. Mais on a le droit d’aimer. J’ai bien écrit : pour moi.
D. dit: 11 septembre 2017 à 13 h 27 min
merci D, on ne saurait mieux dire!
Deux, il est mort depuis un bon nombre d’années. Il est donc difficile de le « laissez vivre ».Closer.
Il s’ agit comme tout un chacun l’ aura compris de sa peinture, hélas!
Quant à la notice wiki tout en léchage …on peut rire !
Ah le plaisant en art, vous m’ en direz tant!
Je trouve l’échange entre Christiane et Pat consternant
Il y aurait pour Pat des goûts légitimes signant votre appartenance à l’élite cultivée et d’autres, qui vous discréditeraient et vous ravaleraient au rang de la piétaille imperméable à la seule culture légitime.
L’attitude de Pat me semble non seulement malveillante-et hors sujet si on en juge par la richesse de la culture dont Christiane fait preuve sur ce blog- mais entachée de mauvaise foi dans sa stigmatisant les goûts de Christiane ,qu’elle ne connaît même pas ,les réduisant à ce qui est ostensiblement pur chromo, les maisons bretonnes et les mouettes ;Pourquoi pas aussi de biches ?
C’est ce type de pensée que Bourdieu dénonce et sur ce point je pense qu’il a raison ;
Néanmoins je dois ajouter que si personnellement je pense que tous les goûts ,comme toutes les personnes sont respectables ,je ne suis pas la pensée de Bourdieu dans l’étape suivante, idéologique, de son approche ,qui lui fait considérer que la valorisation de ce qui pour les élites est « culture » vise à en faire de manière perverse un outil de légitimation de leur pouvoir .
Quand je lis Pat la verité qui me vient à l’esprit est qu’il est confortable ,pour se sentir intelligent et cultivé, de voir a priori dans les autres des imbeciles et des incultes
Deux tentatives de signaler une expo de peinture à Paris. Closer.
Si c’ est de la peinture plaisante, réunion intime avec la plume de soi…vous éviterez la queue devant l’ édifice!
DHH dit: 11 septembre 2017 à 13 h 37 min
Et vous voilà avec vos bourdieuseries, on aura tout lu sur ce blog!
Je ne crois pas qu’il y ait vraiment « échange » entre Christiane et Pat, DHH. Plutôt un malentendu, car, pour ma part, l’une et l’autre soutiennent des points de vue recevables…
Il y aurait pour Pat des goûts légitimes signant votre appartenance à l’élite cultivée et d’autres, qui vous discréditeraient et vous ravaleraient au rang de la piétaille imperméable à la seule culture légitime.DHH.
Vous avez de gros sabots et pourtant vous n’ êtes pas passée par la Lorraine!
Je défend depuis longtemps l’ art de la croûte de façon sincère et déterminée.
Mais justement, G. Laporte ce n’ est pas une croûte qu’ il peint, il peint bien proprement, là est le problème que vous n’ arrivez pas à saisir dhh.
Pat V serait-elle ex Daaphnée ?
On peut soupçonner que C. s’ adonne à la peinture fugace, aux croquis ( j’ avais écris malencontreusement criquis..! ) mignons, à l’ estampe vagabonde, à la calligraphie des extrêmes, à l’ aquarelle qui boit le temps, au frottis imaginal, à l’ incision de la plaque de suivre, à l’ eau-forte aux détours d’ à peu près…
Il est vrai aussi que de Staël a peint des mouettes dans un de ses derniers tableaux et peut-être dans un autre ou deux.
JAZZI dit: 11 septembre 2017 à 13 h 47 min
Qui c’ est celle-là?
Vous plaisantez?
@DHH dit: 11 septembre 2017 à 13 h 37 min
Oui, je pense de plus qu’elle ne connait que très imparfaitement les toiles de Delaporte, souvent intéressantes. Il ne faudrait pas le limiter à des lithos parfois répétitives. De plus, si je suis intervenue chez P.E c’est qu’Y. a subi de sa part un véritable pilonnage.
Mais votre analyse, très fine, comme d’habitude montre à quel point certain(e)s croyant avoir un jugement indépendant entrent dans le confort du rejet et de l’entre-soi. Comme si elle était la seule à ouvrir les portes des galeries, parler avec les galeristes de telle ou telle œuvre, échanger avec les artistes dans leur atelier… Enfin, passons…
Grains de sel pour fout… la merdre
_____
@DHH Quand je lis Pat la verité qui me vient à l’esprit est qu’il est confortable ,pour se sentir intelligent et cultivé, de voir a priori dans les autres des imbeciles et des incultes…///
Mais voilà qui ne fait que conforter la conséquence de Bourdieu énoncée comme n’ayant pas votre faveur. Je trouve.
@D., toujours ausi pitoyable pour draguer la nouvelle recrue (?), après avoir été éconduit par Ch. Et voilà Pat’déf qui le gobe, comme c drôle ! On se demande ce qu’il va lui faire à manger ce soir, une croustade arrosée d’un château Laporte, grand cru 2007 ?
@Jazzman essaie de clore la querelle en disant que tout le monde a un peu raison. C cool et charitab’, et ça lui ressemble, aime pas trop quand les conflits s’enveniment, surtout parmi les jeunes femmes du blog. Ce serait pluss dans la nature des mecs, les querelles genre chaloux/gwg (tiens, où sont-i passés ces deux là ?).
@Dafnaée ?… Oui, ce serait assez bien son style. J’espère que c pas elle.
J’adore sa mise au point dans le plus grand et pur des styles populardisants : « Je défend depuis longtemps l’art de la croûte de façon sincère et déterminée ». On en pleurerait d’émotion artistique !!!
@Christiane
Oh, ma chèère!
TOUT VOUS EN UN SEUL MOT : « Enfin passons »…
« Je défend depuis longtemps l’art de la croûte de façon sincère et déterminée ».
Oui, humour et dérision..
Madame la proviseure visite les galeries comme d’ autres leurs bonnes œuvres, grand bien lui fasse.
Et que B. Laporte lui ouvre ( justement ) les portes du paradis de la création vivante un sésame!
souvent intéressantes. ( Les toiles de G. Laporte.)
Allez Christiane, parlons franc, qu’ est-ce c’ est une » toile intéressante « ?
( Bientôt l’ heure du thé, avec dhh.)
Ah le plaisant en art, vous m’ en direz tant!
sapré papat..
3j t’es méchant épicétou..baroz cause a des clients..par souci euculménique
Ce soir je mange du foie de génisse-purée.
les toiles de Delaporte
raf..c’était écrit..dans l’alcoran par l’himam caché mais cul nu jicé
Tu peins des fois, Bouguereau ?
c’est toujours du foie de génisse dédé..ça t’as jamais hinterpelé quelquepart
Un exemple de la peinture qui rase, à ne pas suivre.
en même temps dédé..certain bords de mer en bretagne au moi dfévrier..la cote d’opale et son crachin..la mer on la voit pas toujours danser
le foi de géniçe faut le griller fort dédé et tu le déglaces au vinaigue de framboise et son coup de sauce soja..et son morceau de beurre..si t’aimes c’est que mélanchon et jésus te sont pas toutafé hantipatique
je me méfie de ceux qui savent pas manger le foi dboeuf..comme shakespire
J’ai toujours aimé le foie de génisse, cuisson pas trop rouge quand même. Oui le vinaigreva très bien avec, jamais essayé la sauce soja. Faut voir.
la mer on la voit pas toujours danser
..mais elle a eu un scré reflet d’argent pour lui..ho jle blame pas cricri..il a été telment copié du temps où y’avait un marché dla croute..des suiveurs malins dans ce genre là..tiens hier j’ai vu un mec qui vendait des lowfi comme veilhan..tout au tour mocn 5d dédé..la voilà la croute défendu par papate..
« Marvin », le nouveau film d’Anne Fontaine sort bientôt, c’est l’adaptation du livre d’Eddy Bellegueule, ça va reparti à donf sur la RdL, l’andouille de JC piaffe d’impatience, bouguereau la taupe a déjà écrit ta gueule raclure de keupi
Faut voir
essaie la noirte au muchroume..tu peux poudrer de sucre pour faire fumer le foi..une pincée attation..pas trop
keupi y fait le flagellant..y’a du progré
de l’ail haussi..plus t’en mets et plus t’aimes mélanchon et plus t’adore jésus..et pas dracul
Malgré le constat atroce que la peinture de G. Laporte (peintre que je ne connaissais pas) est à chillier grave, je n’en voudrais même pas pour installer dans mes chiottes, qu’elle que soit leur capacité à libérer de réticents sphincters !
Ses croutes sont minables. Monstrueusement minables ! Une atteinte au bon goût qui hélas restera impunie … Comment peut il vendre sa merbe ?!
la voilà la croute défendu par papate..
Et pour D qui casse ici souvent la croûte…
http://next.liberation.fr/livres/1995/03/30/l-art-modeste-pour-casser-la-croute_125512
Ses croutes sont minables. Monstrueusement minables !
c’est pas vrai..hattend de voir en vrai..hévidemment ça pue un peu le procédé guano..c’est idoine..et il est dsa pogne..ya pas draison haucune de le conchier outremer dirait serdgio
Ses croutes sont minables. Monstrueusement minables !
c’est pas vrai..hattend de voir en vrai..hévidemment ça pue un peu le procédé guano..c’est idoine..et il est dsa pogne..ya pas draison haucune de le conchyer outremer dirait serdgio
la croute n’est pas un art modeste..hévidemment
Bougboug, la peinture de ce barbouilleur est à vomir !!! Bref, j’aime pas du tout, ça sent le rance
Quittons nous sur une équivalence qui saute aux yeux : « Reinhardt, Laporte ? même consbas ! »
A demain, les lapins !
si t’as jamais vu qu’en jipègue, attends de voir..dans l’concèpe c’est bien haussi malin dans la laisse de l’estran que bien des pelles à neige..
la peinture de ce barbouilleur est à vomir !!!
jean baptiste hareng..j’ai ri pensant que c’était voulu..mais non..yavé les cons il les estampille papate..hévidemment tu peux pas comprende c’est du codé zohar
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