de Pierre Assouline

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Les fantômes de l’hôtel Aletti et ceux de la Maison indigène

Les fantômes de l’hôtel Aletti et ceux de la Maison indigène

Mais où, dans quel roman et sous la plume de quel écrivain, n’y a-t-il pas au moins un chapitre sur l’épidémie ? Chaque jour, il en pleut comme à Gravelotte. A croire que l’on voudrait se rassurer en examinant comment cela se passait dans la fiction en d’autres siècles et d’autres époques. La Fontaine, Daniel Defoe, Thomas Mann, José Saramago, Boccace, Mary Shelley, Stephen King, Richard Ford (la liste s’allonge de jour en jour) etc sans oublier Albert Camus, bien sûr, dont l’Obs nous assure qu’il avait « vraiment tout prédit, étape par étape » ! Basta ! Un article du New Yorker résume tout ça d’un trait :

« Dans la littérature de pestilence, la plus grande menace n’est pas la perte de vies humaines mais la perte de ce qui nous rend humains ».

Nous prend alors l’envie d’en sortir, de fuir les histoires de confinement et les huis-clos, notre bibliothèque-à-la-maison n’ayant décidemment pas vocation à être aussi anxiogène que le Journal télévisé en le prolongeant. En sortir pour naviguer soit en sources sûres du côté des classiques, soit dans les parages des nouveautés sacrifiées. Car il y en a eu juste « avant », à la veille du grand bouleversement. Le temps d’être envoyées à la presse, d’être déballées des caisses et mises en pile par les libraires et il a fallu tirer le rideau. Ces livres morts-nés pour le public reparaitront-ils au début de l’été (peu probable) ou à la rentrée (mais quid du programme prévu initialement ?) ? On imagine l’angoisse de l’auteur qui a trimé trois ans pour écrire son livre et qui le voit disparaitre au bout de trois jours. Idem pour les cinéastes, peintres, photographes, dramaturges.

Parmi les livres que j’ai reçus, il en est trois qui m’ont hélé tant ils se rejoignent, encore que leurs factures soient antagonistes. Ce qui les relie pourtant ? L’Algérie, celle d’autrefois. Sixième roman du tandem Canesi & Rahmani, Ultime preuve d’amour (270 pages, 18,50 euros, Anne Carrière) s’ouvre sur la journée du 19 mars 1962, date qui sonne la fin de l’Algérie française mais pas celle de la guerre d’Algérie -pour cela il faudra attendre le massacre des européens à Oran quatre mois plus tard et la proclamation de l’indépendance. Depuis, une forme de guerre se poursuit entre Français et Algériens, ailleurs et par d’autres moyens, dans les esprits. Quatre personnages principaux. Chacun sa partition, son point de vue, sa propre note dans ce roman choral, plein de frémissements, de pudeur, de délicatesse à peine troublée par la violence des ultras des derniers temps de l’Algérie française après le cessez-le-feu.

On perçoit les événements à l’écoute d’Europe 1 sur le Radiola tandis qu’au Triomphe, on projette Babette s’en va-t-en guerre. Pierre Leroy, pied-noir, lecteur de l’Echo d’Alger, étudiant en médecine, militant OAS jusqu’à ce que son père, un homme de gauche qui serait bien resté dans la nouvelle Algérie, soit muté à Brest. Ce jour-là, « je quittais le monde des souvenirs pour entrer dans celui de la nostalgie ».  En se laissant captiver par la lecture de l’Etranger, il s’identifie à Meursault et réécrit le roman en pensée : « Ce matin l’Algérie est morte ». Inès Khelifa, qui elle aussi se destine à la chirurgie, mi-arabe mi-kabyle issue d’une famille stricte sur le respect des principes et de l’islam, est la fille d’une bigotte et d’un directeur d’école à la Bouzaréah, dans la banlieue d’Alger, promu directeur de l’administration générale après la guerre. Ils ont grandi ensemble. Sans « les événements » avant qu’on dise « la guerre », ils seraient encore ensemble, mariés.

De France, il lui écrit une lettre qui lui revient avec deux tampons, lesquels, une fois côte à côte donnent étrangement : « Alger n’habite plus à l’adresse indiquée ». On retrouve Inès dans les années 90, lorsque la fièvre islamiste plonge l’Algérie dans une parenthèse de terreur dont elle n’a cessé depuis de conjurer le spectre. Elle est devenue thanatopractrice. Refusant que les familles des assassinés subissent « la double peine », elle s’emploie à recoudre les têtes des corps décapités par les terroristes en privilégiant le surjet intradermique sur les points séparés afin que la ligne de couture en devienne quasiment invisible. Elle rend forme humaine aux victimes.

Durant une trentaine d’années, Pierre et Inès se suivent de loin en loin. Un amour jamais éteint, des sentiments intacts. Ils se sont mariés chacun de leur côté, lui a divorcé et vit seul, elle est restée avec son mari : « Pierre était en embuscade, il ne demandait qu’à revivre. »  Conçu comme le puzzle d’une mémoire à la dérive, ce n’est pas un roman fait de bons sentiments, comme Gide les redoutait, mais animé d’une vraie générosité, de celle que l’on espère mais que l’on n’attend pas, surtout lorsqu’on la voit sourdre dans les moments de crise, de guerre.

Au fond, si tout s’opposait à ce que leurs vies ne fassent qu’une (à commencer par leurs familles, leurs milieux, leurs camps, la guerre…), l’Histoire a décidé pour eux par le départ forcé de l’un. Dans La Fantasia (283 pages, 19,90 euros, Albin Michel), premier roman aux relents d’autobiographie familiale de l’historien Loris Chavanette, Mariane l’héroïne, une femme mûre mariée à un colon, brave l’interdit sans que « les événements » pèsent sur la courbe du destin en vivant un grand amour avec Antar, un jeune Arabe andalou descendant des Maures de Grenade, dans la chaleur suffocante de l’été 1953 entre Tlemcen et Mostaganem.

On s’attache tout autant aux personnages de pure fiction par Michel Canesi et Jamil Rahmani tant l’identification est naturelle : qui n’a jamais éprouvé que le premier amour serait le dernier ? Sur ce canevas des plus classiques, qui sonne comme un poncif, les auteurs ont édifié une histoire dans l’Histoire qui dit bien plus que ce qu’elle raconte, dénuée de tout manichéisme malgré ce que l’année 1962 avait de radicale. Avec en musique de fond Seras-tu là ?, l’une des plus belles chansons de Michel Berger ou le concerto pour flûte et violon de Telemann que jouait l’orchestre de l’hôtel Aletti quand elle l’y attendait. Alger est leur écrin, une ville dans sa lumière inouïe, une capitale encore si française par son architecture, ses magasins, ses rues, ses ficus et ses palmiers. Rue la Fayette et rue Michelet, boulevard Baudin et rue Daguerre, boulevard du Telemly et boulevard Saint-Saëns, des noms comme autant de madeleines, de même que la pâtisserie Tilburg, et ses concurrentes, La Parisienne et La Princière, la parfumerie Cabessa, le club des Pins, Moretti, Surcouf, Castiglione, avec force majuscules, une musique en soi que la seule évocation de ces noms, et la Grande Poste, qui domine le paysage urbain sans l’écraser.

L’hôtel Aletti est au fond le personnage principal de ce roman, l’établissement le plus symbolique, le plus chargé d’histoire de la ville, construit par les frères Aletti à l’occasion du centenaire de la présence française et inauguré en 1930 par Charlie Chaplin. Un conservatoire de légendes coloniales comme le furent le Continental à Saïgon, le Raffles à Singapour et quelques autres. Mohand, son groom, est le confesseur muet, fil rouge de l’histoire, leur histoire qui eut pour théâtre la chambre 310, la leur à jamais : « En fait, les colons ont été remplacés par d’autres colons. Ils nt tout volé, les maisons, les magasins et l’argent du pétrole » murmure le groom de l’Aletti. Le grand hôtel restauré s’appelle désormais Es-Safir. Mohand a tout vu, tout vécu sans jamais que son humilité n’en soit entamée. Il est le témoin dont on sait que nul ne témoignera pour lui quand il ne sera plus de ce monde.

Il est un autre lieu de mémoire que l’hôtel Aletti à Alger, d’un tout autre genre, qui suscite comme il se doit un livre d’un tout autre esprit – encore qu’il ne soit pas sans rapport avec celui que Canesi & Rahmani avaient consacré à la Villa Taylor à Marrakech il y a près de trois ans. Non un roman mais, ce qui est plus approprié s’agissant d’un retour sur le passé ébauché par une réminiscence familiale un récit. Il tient tant de l’évocation, avec ce que cela suppose d’imprécis, de flou, d’incertain lumineux, que de l’enquête avec ce que cela implique de détails et de précisions. Autant de traces que de preuves dans La Maison indigène (172 pages, 19,50 euros, Actes sud) de Claro, connu tant pour ses romans (CosmoZ, Crash-Test…), ses traductions (Pynchon, Rushdie, Barth, Danielewski, Gass, Vollmann, Selby, Gaddis, Alan Moore…), l’excellence de la collection de littérature américaine « Lot 49 » qu’il co-dirige au Cherche-Midi que pour le tranchant de son blog.

Il surgit avec ce nouveau texte là où on ne l’attend pas, dans un registre qu’on ne lui connaît pas, atuobiographique dans la veine de la chronique familiale. C’est peu dire qu’il surprend. Comme l’hôtel Aletti, la Maison indigène avait été bâtie en 1930 pour le centenaire de la colonisation de l’Algérie par les Français. Pas sûr que l’auteur se serait attaché à son destin si elle n’avait été construite dans un style néomauresque par un architecte du nom de Léon Claro, son propre grand-père lui-même né à Oran, sur la commande du gouvernement. On peut même dire que l’écrivain de la famille n’en aurait rien fait tant il avait rejeté ce passé-là par tropisme autant que par tempérament –jusqu’à appeler « la maison indigeste » cette chose qui figurait à elle seule sa famille, l’héritage, la transmission, les legs, toutes choses qu’il croyait avoir mis définitivement à distance et qui lui reviennent soudainement par l’image de cette maison là-bas qui porte son nom, un patronyme venu des Baléares espagnoles comme nombre d’oranais, Majorque du côté paternel, Minorque du côté maternel.

Mais dès lors que ce nom de Claro y était attaché, nom qui sonne comme un pseudonyme depuis qu’il en a soustrait le Christophe mais qui n’en est pas un, il s’est mis à considérer la chose comme une boite noire, qu’on l’appelât la « Maison indigène », « la Villa du Centenaire », voire la « Maison du Millénaire », ou tout simplement la « Maison Claro », comme ça se disait à Alger autrefois, ou même la « Maison mauresque » comme disait un certain Albert Camus (il lui a consacré un texte sous ce titre en avril 1933), actuel best-seller en poche en France, en Espagne et en Italie mais pour d’autres raisons. Le sachant, on examine avec un sourire complice La Maison indigène (172 pages, 19,50 euros, Actes sud) surmonté du nom de Claro. Ainsi, la maison a deux fois le même nom mais pas le même auteur. Nul n’y a vécu dans cette bâtisse blanche située place d’Estrées à Alger, en lisière de la Casbah dont elle représente une maison-type dans son asymétrie et ses erreurs, ce qui augmente son mystère. L’architecte la voulait si authentique dans son imperfection qu’il demanda à ses maçons de crépir les murs en se servant uniquement de semelles d’espadrilles et à l’exclusion de tout fil à plomb.

C’est tout juste si on le chicanera sur un passage : « L’architecte de la Maison indigène est algérois et, partant, algérien, donc français –puisqu’alors les deux termes sont synonymes aux yeux de la métropole ». Justement, non : que ce soit en métropole comme dans les trois départements français que constituait alors l’Algérie, les uns et les autres prenaient bien garde quand ils les nommaient de distinguer les Français d’Algérie et/ou pieds-noirs des Algériens, ces derniers étant majoritairement musulmans. Ah…, ce titre de chapitre « Pieds-noirs et mains sales », si chargé de mépris et d’ignorance, ce dont il ne disconvient pas puisqu’il débute par un aveu : « Je ne sais pas l’Algérie ». C’est peu dire que la nostalgérie l’exaspère. S’il avait été en âge et en situation de choisir un camp, nul doute qu’il aurait pris le parti des « invisibles ». 

En se lançant dans cette enquête, Claro a voulu déplier le pli du temps. Il a trouvé dès l’entame la note juste, la bonne couleur, le ton qu’il fallait, réfrénant ses colères et sa rage contre un vestige du colonialisme à « l’aura douteuse », forcément, pour mieux laisser s’exprimer sa sensibilité et les émotions que le bâtiment provoque en lui. Ce qu’il recherche dans ce récit vibrant, émouvant, d’une écriture très retenue par la volonté de ne rien laisser déborder qui en gâte la sobriété, c’est « l’alpha de la raison d’être » des pages qu’il noircit dans l’obscurité d’une recherche guidée par des repères lumineux, s’interdisant d’« inhaler sans réfléchir la fumée assassine du souvenir ». Ca ne risque pas dès lors qu’on reconnaît que tout héros de la libération de l’Algérie qu’ils furent dans la clandestinité, Ali la pointe et Yacef Saadi n’en avaient pas moins été des maquereaux dans le civil.

Camus y est un peu partout en embuscade, mais aussi le libraire-éditeur Edmond Charlot, l’écrivain et critique oranais Emmanuel Roblès, Jean Sénac, le poète français naturalisé algérien assassiné en 1973, Le Corbusier venu donner des conférences sur l’urbanisme (son architecte ne lui a pas fait visiter la Maison indigène de crainte qu’il la décrète « œuvre pastiche »), Luchino Visconti préparant le tournage de l’adaptation de L’Etranger, tous se croisant jusqu’à s’entremêler dans la quête de l’auteur :

« Entre l’Arabe anonyme abattu par Meursault en 1942, le corps-acteur de l’Arabe criblé de balles imaginaires par Mastroianni en 1967 et le poète Sénac poignardé dans sa cave court un étrange fil rouge qu’il faut s’efforcer de suivre et de dénouer, un fil qui serpente dans le labyrinthe algérien, reliant divers protagonistes inattendus »

La reconstitution de son diorama familial le mène jusque là. Après Kamel Daoud, Claro a lui aussi cherché l’Arabe, mais pas le même. Non celui du roman de Camus mais celui du film de Visconti. Celui qui interprétait le rôle du sans-nom et sans identité. Il l’a retrouvé, Brahim Haggiag, incarnation d’Ali la Pointe dans l’inoubliable Bataille d’Alger de Pontecorvo, de l’inconnu assassiné sur la plage dans L’Etranger, et puis dans Patrouille à l’est de Amar Laskri, Chronique des années de braise de Lakhdar-Hamina, Les folles années du twist de Mahmoud Zemmouri… Comment devient-on ce que l’on est ? C’est cela qui le taraude, s’agissant moins de lui-même que de son père : « Quand-comment-où mon père bascula dans la poésie ? ». Si son grand-père architecte n’avait quitté l’Algérie qu’en 1964, son père, lui, était parti en 1951. Il s’appelait Henri Claro. Dans une lettre, Jean Sénac le décrit comme « une espèce d’excité à la recherche de son sens ». Qu’il l’ait trouvé ou pas, il valait bien un livre, ce livre-là, qui vaut vraiment d’être lu.

(« Charlie Chaplin, Carlos Gardel et autres à l’inauguration de l’Hôtel Aletti ; la Maison indigène » à Alger ; « Scène de L’Etranger de Luchino Visconti avec, à debout gauche, Marcello Mastroianni » photos D.R)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 042 Réponses pour Les fantômes de l’hôtel Aletti et ceux de la Maison indigène

Marie Sasseur dit: à

30 mars 2020, 7h20

Marie Sasseur dit: à

Pour Claro, s’ils nous lit,- malgré les tombereaux d’insanités qui se déversent ici quotidiennement-, et en rapport avec la construction du Sacré Cœur d’Alger, on trouve sur le site  » B.a.b.el.o.u e d.s t.o.r y »,( lien refusé par l’algorithme, les modos sont des branleurs) une photo ainsi légendée

Ci-dessus de g. à dr. : M. Hanning, urbaniste, chef du bureau du plan, représentant le Maire d’Alger ; Mgr Poggi, vicaire général,
M. Claro, architecte, Président du Conseil régional de l’Ordre, représentant du Conseil supérieur ;

et d’autres.

JiCé..... dit: à

CORONA FOLLIES
« François Bayrou : «De cet énorme bouleversement doit sortir un monde nouveau» Le président du MoDem se projette vers la sortie de crise et le «nouveau monde» post-épidémie. Selon lui, les dirigeants politiques doivent réapprendre la «gravité». » (Le Figaro)

Quoi ?! Ce pitre politique espère nous leurrer en nous faisant prendre sa lourdeur pour de la gravité ? Mais pour qui nous prend il, ce clown usé, cette enclume rouillée ?….

Marie Sasseur dit: à

« les coiffeurs ont vite retrouvé leur humour et pimentent désormais leurs comptes Facebook de persiflages bien envoyés : « Dans 2 mois, 99 % des blondes auront disparu de la surface de la terre », ou : « Bientôt, on connaitra la couleur naturelle de tout le monde ». « 

Passou dit: à

MC, « L’aveuglement » de José Saramago raconte une ville et ses habitants pris dans une épidémie de cécité.

et alii dit: à

COMME JE LIS UN ARTICLE SUR LA maison de Céline, je me souviens que le tout premier article que j’ai vu dans la presse titrait « céline le pestiféré »; et je vérifie :c’était donc alors (circa 70)un stéréotype) repris pour le signaler là:
UN PORTRAIT DE CÉLINE, L’ÉCRIVAIN PESTIFÉRÉ
4 juillet 2014
par Raphaël Duboisdenghien
l’auteur de l’article a un prénom « raphael » de thérapeute par excellence comme le rappelle A.Bensoussan dans un billet qu’il vient de donner sur la toile

JiCé..... dit: à

Si vous n’avez pas peur des doxaphiles, lisez « Les Décombres » de Lucien Rebatet chez OmniaVeritas, ouvrage bien écrit décrivant l’effondrement politique et social en France soumis aux Nazis en 1940 ou bien, si vous n’avez pas peur de la simplicité franche et brève, « Note de ma cabane de moine » du japonais Kamo no Chomei, bref récit écrit en 1212, chez le Bruit du temps.

OZYMANDIAS dit: à

François Bayrou ?! Ah oui, c’est le guignol centriste qui se prend pour le centre de l’univers politique !
« Un jour à gauche, un jour à droite… c’est pour ça que ses chiottes sont dégueulasses, il n’arrive jamais à viser le centre ! ».
Laurent Gerra

et alii dit: à

excuses de me répéter, ou plutôt ce que j’aurais aimé comme devise : »peste soit l’opinion de savoir -Montaigne »;je vois que mon expression bienaimée est
dans tintin: ». Ce n’est pas comme son chenapan de fils ! … Quelle peste que ce prince Abdallah ! … » (ON, 43-I-3). »
https://www.tintin.com/fr/albums/tintin-au-pays-de-l-or-noir
remarquez la case « tchoum » à distance évidemment!
https://cdn001.tintin.com/public/tintin/img/static/tintin-au-pays-de-l-or-noir/album-tintin-or-c14-45-c1-magritte.jpg

JiCé..... dit: à

CORONA FOLLIES
«Les vacances d’été seront maintenues», assure Jean-Michel Blanquer (Le Figaro)

« Les vacances de Noel auront lieues », assure le Père Noel dans un entretien exclusif avec notre correspondant de guerre.

Lavande dit: à

Clopine et Jazzi : le terme « haut risque » était un peu excessif. Tout le monde est à risque et les plus de 60 ans plus que les autres (encore que les malades que je connais ont 50, 35 et 40 ans !).
A part ça je suis en forme et parfaitement autonome. Un peu dur évidemment de ne voir personne de toute la journée mais j’ai beaucoup de coups de fils, échanges de mails et échanges sur Facebook.
Rose pour les courses, je les laisse sans les toucher pendant deux ou trois heures sur mon balcon puis j’enlève tous les emballages et je range les produits. Ensuite je me lave les mains.

Janssen J-J dit: à

Merci Passou pour la juste orthographe rétablie du patronyme de José SARAMAGO.

Comme quoi… par les temps qui courent, nous avons indéniablement besoin de rites piaculaires !

En cas de cécité à l’égard de cet adjectif découvert ce matin sous la plume de Durkheim, je vous adresse un copié-collé -à la manière de etalii-, pour votre édification et la sienne. Si vous étiez déjà au parfum, merci de bien vouloir ne pas tenir compte de cette élémentaire pédagogie…
Je pense toutefois que les élèves et étudiants de l’Erdélie, tels AMS -qui n’a pas révisé son Huysmans depuis longtemps-, doivent continuer à s’instruire ici-même :
_____________

PIACULAIRE, adj.

A. − RELIG. ANTIQ. [À Rome] Qui sert à apaiser la colère divine; relatif au rite de l’expiation, à une expiation (v. ce mot A). Synon. expiatoire (v. ce mot A). Sacrifice piaculaire (Ac.). Tout malheur, tout ce qui est de mauvais augure, tout ce qui exprime des sentiments d’angoisse ou de crainte, nécessite un piaculum et par conséquent, est appelé piaculaire (Durkheim, Formes élém. vie relig.,1912, p.557).
B. − Synon. rare de expiatoire (v. ce mot B). Je n’invente rien Et suis, non romancier, mais simple historien, Retraçant par devoir les excès populaires, Et baignant mon papier de pleurs piaculaires (Pommier,Républ.,1836, n.113). L’égalité dans la souffrance piaculaire, dans la douleur réparatrice, n’existe pas (Huysmans, En route, t.2, 1895, p.182).
Prononc. et Orth.: [pjakylε:ʀ]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. 1573 (Du Préau, 409 ds Hug.); 1752 sacrifice piaculaire (Trév.). Empr. au lat. piacularis «expiatoire», dér. de piaculum «sacrifice expiatoire», de piare «offrir des sacrifices expiatoires», de pius «qui reconnaît et remplit ses devoirs envers les dieux».

bouguereau dit: à

meussieu courte parle d’architecture comme de poésie..d’oautpout..ce que ni lune ni lautre ne sont..pour ta gouverne une que t’es capabe d’entendre je te conseille les longs textes du gros léon a son sujet..assez formidable pour résumer la contention..de mémoire ‘l’horreur’ ‘et pire encore tous ces même clichés pour la conspuer’..non pas hesthétique, ce pour quoi il était pas toujours bon mais bien politique..tu dvrais meussieu courte regarder cela en 2 fois..l’hestoire de cette extraordianaire commande c’est un gros bout de la situation dans laquelle parigi se trouve présentement avec notre dame

B dit: à

Pour Claro, s’ils nous lit,- malgré les tombereaux d’insanités qui se déversent ici quotidiennement-, et en rapport avec la construction du Sacré Cœur d’Alger, on trouve sur le site » B.a.b.el.o.u e d.s t.o.r y »,( lien refusé par l’algorithme, les modos sont des branleurs) une photo ainsi légendée

C’est du Gerra

https://youtu.be/7P56N2DinKY

et alii dit: à

piaculaire:et ça n’aurait rien à voir avec le « piapia » -surtout des causeries Q
Le dictionnaire étymologique du patois lyonnais (1890) donne piapia (cancan, médisance) comme l’onomatopée du bruit d’une parole continuelle et dénué de sens

Marie Sasseur dit: à

Oui, ce lien qui ne passe pas, j’espère que Claro l’aura exploré.

B dit: à

. − RELIG. ANTIQ. [À Rome] Qui sert à apaiser la colère divine;

Tiens, nous devrions tous dans un élan de mysticisme solidaire
 » piaculer ». Est ce que ça se conjugue? Si oui tous ici ferions oeuvre de cohésion et de cohérence.

Janssen J-J dit: à

@piaculaire:et ça n’aurait rien à voir avec le « piapia »

N’en rajoutez pas une couche quand vous n’en pouvez mais !… On comprend bien que vous ne voulez jamais être déstabilisée par rien, mais y a longtemps qu’on a compris votre cinéma pseudo pédant savant, comment il s’attrape… Ordhoncques, Gardez votre pipicaca pour vous.
D’autant que rien à voir avec le cacaboudin lyonnais. Fermez-la une minute, SVP. Ouy alors dites que vous jouez au LEXICON à longueur de journée pour chasser l’ennui de votre solitude. Nous pourrions le comprendre.

Marie Sasseur dit: à

Cette coopération entre les constructeurs français et algériens, reste très vivante, en Algérie. La maison Claro , ils furent deux, en a été l’un des acteurs, et j’ai été, à titre très personnel, très heureuse de l’apprendre.
Si Passou a eu un sourire complice, il convenait de lui faire celui-là.

et alii dit: à

. Nous pourrions le comprendre.
encore un qui se prend pour Dieu; »misère de misère » disait un contributeur !

B dit: à

Christophe Claro, bonjour. L’avez vous exploré? Désolée pour l’autre autre jour lointain, je suis comme ça à faire la tronche pour un oui pour un non. Sinon la dernière fois que je vous ai repéré au volant de votre Benz, j’ étais accompagnée d’un ami nonagenaire bientôt et nous étions en route pour visiter un prieuré à moins que ce ne fut pour l’expo Albert Marquet qui lui aussi à séjourné en Afrique du nord pour en rapporter des tableaux qui valent d’être vus. Peut être d’ailleurs à t il rencontré votre grand-père. Je ne vous ai pas lu, atteinte comme je le suis du palu , depuis Cosmos.

Janssen J-J dit: à

Chère Annie, je vous aime beaucoup, mais franchement, croyez-vous pas que ce pauvr’Macron mérite cette coulée d’encre ? Comment pouvons-nous encore nous adresser à ces gens-là et ceux de son espèce ? qui ne représentent plus RIEN de crédible depuis des plombes ?… Je veux dire par rapport à nous autres, les survivants anonymes qui sommes TOUT… et qui incarnerons le nouveau monde solidaire avec les bons et les mauvais virus, ce nouveau monde pré-apocalyptique certes, mais débarrassé des va-nu-pieds bellicistes planqués en leurs palais dorés.

———–PETIT RAPPEL—————
« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et ce qu’on pouvait lire sur la banderole d’une manif en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts – résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux, tout ce jargon technocratique dépourvu de chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays : les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de livrer des pizzas, de garantir cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle, la vie matérielle.

Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent déjà sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie, nous n’avons qu’elle, et « rien ne vaut la vie » – chanson, encore, d’Alain Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.
Annie Ernaux

Janssen J-J dit: à

@ encore un qui se prend pour Dieu

Ben voui, il se prend bien pour Moi, lui, alors que je ne suis même pas juif. So what ?

Marie Sasseur dit: à

La mere Ernaux ancienne fille a soldats, ne doit pas savoir que le PR a déjà une prof de français a la maison.

bouguereau dit: à

Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays

hum..les clouds dhopitals sont pas dessous le plateau d’albion..contrairment a cque dit dirfiloo bézos va créer 100 000 emplois..la nature a horreur du vide..il en reste beaucoup qu’il peuvent combler..y’a eu un bel harticle du guardian si mes souvnirs sont bons..entre amazon et la démocratie faut choisir..c’est dvenu un réflesque presque prudhomesque de sadresser à macron

B dit: à

On ne peut pas toutes nous compromettre avec des millionnaires, cela reste une histoire de carnet d’adresse. L’un des premiers chirurgiens que j’ai rencontré dans le cadre de ma profession concluait après moult aventures: un cul est un cul . On peut bien sûr envisager les choses plus poétiquement, anatomiquement et existentiellement, son constat se défend. Le bonheur ou le malheur à vivre la condition féminine.une sous cet angle sera variable selon la sensibilité , la capacité à se retourner sur l’expérience pour en tirer profit, leçon, réflexions et poursuivre, quelquefois faire oeuvre .

B dit: à

Une sous cet angle___ vue sous cet angle.

Nicolas dit: à

Vous devriez faire attention, c’est un problème d’éthique hautement intéressant qui est posé, la science est aussi dangereuse et ne peut souffrir de quelques billevesées.
Le Monde « L’agence régionale de santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine a émis, dimanche 29 mars, une « alerte danger » concernant des cas de toxicité cardiaque signalés à la suite de prises en automédication de Plaquénil (nom commercial de l’hydroxychloroquine) chez des patients craignant d’être infectés par le nouveau coronavirus. Ces cas ont « parfois nécessité une hospitalisation en réanimation », indique l’ARS, qui souligne que l’hydroxychloroquine « ne doit en aucun cas être prise en automédication ».

L’emploi de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine, « en particulier en association, fait courir des risques d’effets indésirables graves, en particulier cardiaque », souligne dans un communiqué, la Société française de pharmacologie et de thérapeutique. Plusieurs cas viennent d’être rapportés aux centres régionaux de pharmacovigilance. Des suspicions de décès liés à ces automédications sont à l’étude. L’Agence nationale de sécurité du médicament devait se réunir à ce sujet lundi 30 mars.

Le Plaquénil est disponible sur prescription médicale obligatoire uniquement, dans des indications comme le lupus, de polyarthrite rhumatoïde ou encore, à titre préventif, pour les allergies au soleil (lucite). Mais son utilisation face au Covid-19, préconisée notamment par l’équipe de Didier Raoult (Institut hospitalo-universitaire Méditerranée infections, Marseille), a semble-t-il conduit certains à se l’administrer en dehors d’un cadre médical contrôlé dans un établissement de santé, tel que préconisé par un décret récent. Or « cette molécule n’est pas anodine car elle peut provoquer des troubles du rythme cardiaque graves pouvant être fatals, précise l’ARS. La prescription de cette molécule est systématiquement accompagnée d’une surveillance médicale (notamment par monitoring cardiaque) permettant d’adapter son dosage et de limiter ainsi les risques. »

L’hydroxychloroquine fait partie d’un vaste éventail de traitements actuellement à l’essai dans le monde pour contrecarrer l’épidémie de Covid-19. Le professeur Raoult estime qu’en association avec un antibiotique, l’azythromycine, il pourrait réduire rapidement la charge virale des patients et permettre ainsi d’éviter l’évolution vers des cas plus graves. Mais un premier essai clinique conduit par son équipe sur un petit échantillon de porteurs du coronavirus n’a pas convaincu la communauté scientifique, pour des raisons méthodologiques.

Pas de groupe de contrôle

Le professeur Didier Raoult a mis en ligne, vendredi 27 mars, une nouvelle étude qui selon lui, confirme « l’efficacité » de ce traitement contre le SARS-CoV-2. Une affirmation à nouveau aussitôt contestée par de nombreux scientifiques. Leur principal reproche : l’étude ne comprend pas de groupe contrôle (c’est-à-dire des patients à qui l’on n’administre pas le traitement étudié) et il est donc impossible d’établir une comparaison pour déterminer si c’est bien le traitement qui est à l’origine de l’amélioration.

L’étude mise en ligne vendredi porte sur 80 patients, dont 65 (81 %) ont connu « une évolution favorable » et sont sortis de l’hôpital au bout de moins de cinq jours en moyenne, selon ses auteurs. Un patient de 74 ans était toujours en soins intensifs au terme de l’étude et un autre de 86 ans était mort.

Deux études chinoises ont récemment montré que « dix jours après le début des symptômes, 90 % des gens qui ont une forme modérée [de la maladie] ont une charge virale contrôlée », explique l’épidémiologiste Dominique Costagliola, directrice de recherche à l’Institut national de la santé et la recherche médicale (Inserm). Le fait d’aboutir à des résultats similaires sous hydroxychloroquine « ne plaide pas pour un effet majeur de l’hydroxychloroquine sur la charge virale », estime t-elle.

Un vaste essai européen coordonné par l’Inserm, baptisé « Discovery », a démarré le 22 mars pour tester l’efficacité de différentes molécules, dont l’hydroxychloroquine, contre le Covid-19. Huit cents patients français atteints de formes sévères du Covid-19 seront inclus dans cet essai, et 3 200 en Europe.

bouguereau dit: à

bézos va créer 100 000 emplois

..c’est squil dit lharsouille..pensez que de telle déclaration ne lui coute pas un copeck..à un gouverneur ça peut lui couter sa tête..bien sur jicé y dirait ‘et ben halors..y’a du progré ou pas?’..c’est une position

Marie Sasseur dit: à

« Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays »

C’est une fonctionnaire du mammouth qui cause a ses semblables.

Pendant ce temps…

« Certaines cliniques en France se plaignent d’être sous-utilisées, mais depuis deux semaines, les établissements privés épaulent les hôpitaux du Haut-Rhin et du Bas-Rhin en mobilisant du personnel et des lits pour les patients atteints du coronavirus. Leurs gestionnaires s’attendent néanmoins à des forts impacts financiers générés par l’arrêt de nombreuses interventions. »

https://www.lesechos.fr/pme-regions/grand-est/les-cliniques-privees-montent-en-puissance-en-alsace-contre-le-coronavirus-1189290

Chaloux dit: à

Et toi, l’inepte Gigi, tu pourrais pas la fermer un peu aussi. Et l’autre, le bout mol, cette saloperie d’extrême droite, admirateur de Soral – selon lui bien en cours à l’Elysée!!!!- qui la ramène avec son article « du Guardian ».
Relisez vous… Et fermez la.

Janssen J-J dit: à

Et l’Compagnon qui exhorte les confinés à lire Albertine, ce roman de la jalousie perverse…

L’ai lu il y a deux mois, « hors confinement »… Ai cru devenir maboul d’asphyxie volontaire.
Veux faire crever la planète littéraire plus vite ou quoi, l’Antoine ?
Y’en a qu’on de ces idées, j’vous jure !…

bouguereau dit: à

groscolas..y’a eu haussi un artic pas mal du tout du nyt sur l’interview du gazier le plus con d’entre nous..chef descadrille qu’a passé 1 ans en confinment en orbite..et sur comment qu’on fait pour pas mette sa rate au court bouillon etc..ha hau moyen age on srait allé au sacré coeur fraterniser et s’embrasser sur la bouche..mais voilà..je est un autre qu’il dirait meussieu courte

Janssen J-J dit: à

@ tu pourrais pas la fermer un peu aussi.

NON, chalumeau ! pass-ton chemin et mets ton cache-col, le fait froid ce matin comme ressenti, la bise du nord-est. Hommage à votre épouze confinée sous les étagères.

Janssen J-J dit: à

@ la mère Sasseur, nouvelle fille à soldats.
Chocolate, c’est claro !
Sympathique…, le papier du Guardian.
GWG va revenir, parait-il !

bouguereau dit: à

admirateur de Soral – selon lui bien en cours à l’Elysée!!!!

..toutafé! et le soir y font des tabe tournante pour hinterroger goering..y m’la dit..y cause pas aux larbins..ça te met vénère..sapré larbin

Chaloux dit: à

Non, je sais bien Gigi, tu vas l’ouvrir jusqu’à ce qu’il vienne te chercher. Ensuite? Grand silence… Émerveillement.

(Ma femme te dit « merde » et je te dis « mange ».)

et alii dit: à

nicolas, n’hésitez pas à « informer »,vous distinguez bien l’essentiel;
saga va bien? Male ou femelle, saga ?Les caresses que je lui destine démangent ma main

et alii dit: à

GWG va revenir, parait-il !
ça c’est une nouvelle dédiée:les fantômes ça le connaît!

JiCé..... dit: à

Ah ! Ah ! Ahahaha !
Ce que Gigi appelle « un monde solidaire », c’est un monde qui lui obéisse ….Enfin !
Poilant !

Chaloux dit: à

Quant au boumol, la nature l’ayant peu pourvu, il n’avait qu’une solution, devenir post-nazi. C’est fait.

Hurkhurkhurk!

JiCé..... dit: à

Mon opinion, provenance directe d’un homme aux opinions modérées, c’est que tout ce qui est à gauche de la centriste Marine le Pen, devrait être lapidé.

et alii dit: à

Le ministère de la Culture a refusé le départ de France d’une bénigne icône de Cimabue tout en laissant partir aux États-Unis une oeuvre majeure du peintre William Bouguereau. Aux yeux des conservateurs de musées, l’intérêt historique d’une oeuvre prend souvent le pas sur l’esthétique. Enquête. Lire
le nôtre de boug ne s’occupe pas de son nom!

Chaloux dit: à

Biblique.

Phil dit: à

Montmartre s’est inspiré des Belges, palais de justice de Bruxelles, monstre babylonien qui embosse sa colline. Pollaert, l’architecte franc-maçon, a fini écrasé par lui-même dans un parking au pied de l’oeuvre de sa vie, qu’un Hitler n’aurait pu rêver pour ses défilés. Les architectes français chrétiens ont plus de chance.
Premier mort après médication à coup de nettoyant d’aquarium. L’Albert Camus n’aurait pas imaginé.

et alii dit: à

: en juin dernier, Philomène Wolf, de l’hôtel des ventes Actéon de Compiègne, se rend au domicile d’un couple de nonagénaire. Ces derniers quittent la région. Sur place, elle est appelée à expertiser meubles et objets divers.

« Cette maison d’architecte des années 1960 était vendue, j’avais une semaine pour expertiser son contenu et la vider, raconte la commissaire-priseuse dans les pages du Parisien. […] Tout partait à la déchetterie sinon… »

Au-dessus des plaques de cuisson
Philomène Wolf fait finalement ses premiers pas dans la demeure : de « beaux espaces » selon la commissaire. Les petits objets défilent sous ses yeux, et dans sa marche, son regard est immanquablement attiré par un petit tableau de 25 centimètres sur 20. Un Christ moqué, sur un fond doré. L’œuvre, en parfait état, est accrochée au-dessus d’un bar et de plaques de cuisson, sur un mur menant au salon. Philomène Wolf s’approche, interpellée par cet arrière-plan, teinté d’or.

LIRE AUSSI. Toulouse. Napoléon : des dessins inédits aux enchères

« On en voit rarement d’une telle qualité, estime la commissaire. J’ai tout de suite pensé que c’était l’œuvre d’un peintre primitif italien. Mais je n’imaginais pas que c’était Cimabue ! ».

Chaloux dit: à

Une bonne question d’un socialiste américain:

“𝙎𝙞 𝙡𝙚 𝙘𝙖𝙥𝙞𝙩𝙖𝙡𝙞𝙨𝙢𝙚 𝙚𝙨𝙩 𝙨𝙞 𝙜𝙚́𝙣𝙞𝙖𝙡, 𝙥𝙤𝙪𝙧𝙦𝙪𝙤𝙞 𝙙𝙤𝙞𝙩-𝙞𝙡 𝙚̂𝙩𝙧𝙚 𝙧𝙚𝙣𝙛𝙡𝙤𝙪𝙚́ 𝙥𝙖𝙧 𝙡𝙚 𝙨𝙤𝙘𝙞𝙖𝙡𝙞𝙨𝙢𝙚 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙞𝙭 𝙖𝙣𝙨 ?”

bouguereau dit: à

devrait être lapidé

..en attendant le boulot y se fait pas..havec goering t’aurais vu les moellons..bolchévik!

bouguereau dit: à

tada..c’est pour ça qu’il est génial..aux larbins faut -tout- leur dire..vas en cuisine..sinon c’est l’heure de ta baffe..génial

Marie Sasseur dit: à

Pendant que nos vieux fonctionnaires font de la sémantique, écrivent au président qu’ils ont déjà baissé les bras, et pas que ça pour la mere Ernaux,

le nom même du coronavirus va poser problème.
Chinois pour les uns, américain pour les chinois, le compteur du désastre a été démarré. Et et ça va chiffrer, s’il s’avère que le pouvoir chinois avait surtout celui de contenir le virus, là où ils l’avaient détecté bien avant d’en informer le monde.

https://www.letemps.ch/opinions/nom-virus-quil-cache

Chaloux dit: à

« C’est l’heure de ta baffe »

Il faut savoir que le boumol écrit cette phrase déculotté à quatre pattes, attendant le facteur.

Sacré Boumol, on ne le changera pas!

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

tout en laissant partir aux États-Unis une oeuvre majeure du peintre William Bouguereau

goering m’a dit que macron lui avait posé la question..illico goering est venu me consulter..tout aussi paranormalment..tu te doutes bien renfield de ce que j’ai dit

Jazzi dit: à

SQUARE LOUISE MICHEL 1885-1900-1901-1932
18° arr., place Saint-Pierre, rue du Cardinal-Dubois, rue Ronsard, M° Anvers

Un petit square avait été créé en 1876 vers la place Saint-Pierre, au pied de la butte Montmartre, mais le 18° arrondissement ne possédait pas de véritable espace vert. C’est ce qui donna à l’ingénieur Alphand, en 1880, l’idée d’implanter un jardin sur le versant sud-est de la Butte, en utilisant la dénivellation du terrain ainsi qu’il avait été fait aux Buttes-Chaumont. L’expropriation des terrains nécessaires fut décrétée dès 1881 mais la réalisation du jardin allait être retardée par la construction du Sacré-Cœur.
La chute du Second Empire, provoquée par la défaite de 1870, avait entraîné la disparition des Etats de l’Eglise car Rome, où le Pape était soutenu par les troupes françaises, fut dès lors annexée au royaume d’Italie. Voyant dans ces malheurs – l’occupation prussienne et la perte de l’autorité du Pape – la conséquence d’une époque sans religion, deux notables parisiens, Alexandre Legentil et Hubert Rohault de Fleury, formèrent le vœu d’élever un sanctuaire au Sacré-Cœur de Jésus pour la restauration de la France et le rétablissement de l’église catholique. L’architecte Paul Abadie, lauréat du concours, débuta les travaux de la basilique du Sacré-Cœur en 1877, poursuivis après sa mort par Hervé Rauline (1884 à 1905) puis par Lucien Magne (jusqu’en 1916) et le monument fut consacré seulement après la guerre, en 1919.
Cette lenteur dans la construction s’explique notamment par les problèmes posés par la nature du terrain. Le sous-sol de la Butte avait été exploité de tout temps pour le gypse qu’il contenait mais les remblais qui avaient été effectués pour combler les galeries avaient laissé un sol instable, qui obligea à effectuer sous la basilique d’énormes travaux de fondation qui n’avaient pas été prévus d’une telle ampleur.
Tant que le monument n’était pas terminé, on n’imaginait pas d’aménager le jardin mais les circonstances en décidèrent autrement. En effet, en 1885, un important glissement de terrain, provoquant des éboulements rue Ronsard, rendit nécessaire la construction d’un mur de soutènement. Il reçut un habillage de faux rochers et on décida alors d’effectuer les premières plantations. En 1899, un second mur de soutènement fut érigé par Jean-Camille Formigé et cette partie du jardin, côté est, la plus paysagère, fut ouverte en 1900.
Cependant, on n’avait pas encore touché au versant sud et le dessin définitif de l’ensemble du jardin fut donné par Formigé en 1901. Mais les ennuis n’étaient pas terminés car de nouveaux travaux de consolidation durent être entrepris en 1903 puis de 1911 à 1914. Ils furent interrompus par la guerre et ne reprirent qu’en 1921 ; le château d’eau situé dans la partie supérieure du jardin fut commencé en 1922 et le square, qui avait reçu en 1930 le nom du dessinateur et affichiste Adolphe Willette, ardent défenseur de la Butte, ne fut définitivement achevé qu’en 1932.Il sera rebaptisé Louise Michel en février 2004.
Entre la place Saint-Pierre et la rue du Cardinal-Dubois, la dénivellation est d’environ 50 mètres, parcourue par une succession de terrasses et d’escaliers. Dans la partie basse du jardin, la fontaine des Innocents (1906) par le sculpteur Emile Derré, a été installée en 1907 ; dans la partie supérieure, le château d’eau se présente comme une fontaine monumentale, avec trois niches abritant chacune une vasque soutenue par trois dieux marins, œuvres du sculpteur Paul Gasq en 1932.
Le square Louise Michel est bordé sur son côté occidental par le funiculaire de Montmartre. Le premier funiculaire à eau, mis en service dès 1901, a été remplacé en 1935 par un funiculaire électrique, lui-même abandonné pour un système d’ascenseurs en 1991.

Chaloux dit: à

Le facteur arrive pas…

rose dit: à

Le Pera Palace à Istanbul où séjourna Agatha
Christie.
In grand hôtel

rose dit: à

Dslée.
Gros coup d’barre

y crouton dit: à

Chaloux dit: à

Une bonne question d’un socialiste américain:

“𝙎𝙞 𝙡𝙚 𝙘𝙖𝙥𝙞𝙩𝙖𝙡𝙞𝙨𝙢𝙚 𝙚𝙨𝙩 𝙨𝙞 𝙜𝙚́𝙣𝙞𝙖𝙡, 𝙥𝙤𝙪𝙧𝙦𝙪𝙤𝙞 𝙙𝙤𝙞𝙩-𝙞𝙡 𝙚̂𝙩𝙧𝙚 𝙧𝙚𝙣𝙛𝙡𝙤𝙪𝙚́ 𝙥𝙖𝙧 𝙡𝙚 𝙨𝙤𝙘𝙞𝙖𝙡𝙞𝙨𝙢𝙚 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙞𝙭 𝙖𝙣𝙨 ?

connard interstellaire,c’est bien parce que le capitalisme nourrit par la multiple redistribution de son produit le socialisme et toutes ses succursales que ce dernier existe.
A ton infime niveau il participe de bon coeur à te soutenir pendant que tu travailles pas,c’ets à dire depuis que tu postes ici,dix quinze ans à vue de nez,pour pendre qu’un exemple attation

rose dit: à

Lavande

Je comprends mieux. Porter des gants pour les sacs.
Puis se laver les mains.

https://g.co/kgs/YmCTMs

Nota : les soignants aussi ont des sas de décompression.

Chaloux dit: à

Urgence Père Lachaise:

Une pandémie permettra la mise en place des bases d’un véritable gouvernement mondial.

Jacques Attali, 2009.

Nicolas dit: à

Mdr

Nicolas dit: à

Avec un peu de chance après ça on aura même droit à une Révolution!

DHH dit: à

@Rose
et avant de se laver les mains,les savonner une premiere fois en gardant les gants-de vaisselle en caoutchouc- enfilés.
N’oublions pas que les gants sont peut -etre contaminés par ce que nous avons manipulé

Chaloux dit: à

Il parait que le facteur se lave aussi les mains une première fois avec Boumol enfilé.

Mesure d’hygiène, quand tu nous tiens!!!

Hurkhurkhurk!

OZYMANDIAS dit: à

« … Les services publics sont au service des citoyens… ».

Et mon cul, l’est pas public mon cul !
Tiens, à propos d’cul… Je vais relire pour me marrer un brin, la BBD, bande-biographique-dessinée du grand Siné « Ma vie, mon oeuvre, mon cul ! »
Tortures bureaucratiques, sévices publics et sadomasochisme de nos pitres politiques sous les ordres merdiques de Macron de Sade et Philippe de Torquemada !

Nicolas dit: à

et alii faut dire ça aux journalistes du Monde, comme quoi c’est pas tous des branleurs

Saga est un mâle qui appréciera votre attention

et alii dit: à

Voilà, bien sûr, qui ne surprendra pas les lecteurs d’ouvrages tels que The Coming Plague (« La peste à venir », non traduit), publié en 1994 par la journaliste américaine Laurie Garrett, ou The Hot Zone (paru en français chez Plon sous le titre Virus), sorti la même année sous la plume de son confrère Richard Preston. Pas plus qu’il ne surprendra les spectateurs de Contagion, le long métrage de Steven Soderbergh (2011) sur la propagation fulgurante au monde entier d’un virus découvert chez des cochons et des chauves-souris. Dans la même veine, deux films sortis respectivement en 2002 et 2007 – 28 jours plus tard, de Danny Boyle, et Je suis une légende, de Francis Lawrence (2) – mettent en scène une épidémie proche de la rage qui divise la civilisation entre proies et prédateurs, n’épargnant qu’une poignée de survivants.
books
https://www.books.fr/la-pandemie-qui-vient-2/

Pablo75 dit: à

Lundi, 30 mars 2020, 12h59

« Urgence Père Lachaise:
Une pandémie permettra la mise en place des bases d’un véritable gouvernement mondial.
Jacques Attali, 2009. »
Chaloux dit:

Il rêve Attali, s’il pense qu’on est près d’un gouvernement mondial. C’est le contraire qui va arriver: les positions des États-Unis, de la Chine, de la Russie et de l’Europe seront de plus en plus éloignées…

« Changer, par précaution.
Jacques Attali, publié le 03/05/2009

[…]

La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes.

Si elle n’est pas plus grave que les deux précédentes peurs liés à un risque de pandémie (la crise de la vache folle de 2001 en Grande Bretagne et celle de la grippe aviaire de 2003 en Chine), elle aura d’abord des conséquences économiques significatives (chute des transports aériens, baisse du tourisme et du prix du pétrole) ; elle coutera environ 2 millions de dollars par personne contaminée et fera baisser les marchés boursiers d’environ 15% ; son impact sera très bref (le taux de croissance chinois n’a baissé que pendant le deuxième trimestre de 2003, pour exploser à la hausse au troisième) ; elle aura aussi des conséquences en matière d’organisation (En 2003, des mesures policières très rigoureuses ont été prises dans toute l’Asie ; l’Organisation Mondiale de la Santé a mis en place des procédures mondiales d’alerte ; et certains pays, en particulier la France et le Japon, ont constitué des réserves considérables de médicaments et de masques).

Si elle est un peu plus grave, ce qui est possible, puisqu’elle est transmissible par l’homme, elle aura des conséquences véritablement planétaires : économiques (les modèles laissent à penser que cela pourrait entrainer une perte de 3 trillions de dollars, soit une baisse de 5% du PIB mondial) et politiques (en raison des risques de contagion, les pays du Nord auront intérêt à ce que ceux du Sud ne soient pas malades et ils devront faire en sorte que les plus pauvres aient accès aux médicaments aujourd’hui stockés pour les seuls plus riches) ; une pandémie majeure fera alors surgir, mieux qu’aucun discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé.

Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, pour qu’avant la prochaine, inévitable, on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle et des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. C’est d’ailleurs par l’hôpital qu’à commencé en France au 17ème siècle la mise en place d’un véritable Etat.

En attendant, on pourrait au moins espérer la mise en œuvre d’une véritable politique européenne sur le sujet. Mais là encore, comme sur tant d’autres sujets, Bruxelles est muet.

https://blogs.lexpress.fr/attali/2009/05/03/changer_par_precaution/

Janssen J-J dit: à

@ Ma femme te dit « merde »
Ah bon, elle a dit ça votre ébouze ? Trop d’honneurs.
Suis sûr qu’elle est ravissante et blonde quand elle suce…. euh, quand elle sucre…

Petit Rappel dit: à

Merci Pierre Assouline.
Jazzi, je suppose que le square Louise Michel est l’ex Square Wilette?
Je parlais des goûts du Cardinal Guichard, personnellement peu porté sur le néo_byzantin, pas du résultat du Concours.
On pourra toujours regretter que Louis XIV n’ait pas écouté « La Mère aux Oeufs », alias Marguerite Marie Alacoque, quelque chose me dit que le résultat aurait été plus beau. Mais Phil a raison Par rapport au Kafkaïen Palais de Justice, Abadie est presque sobre…

Marie Sasseur dit: à

C’est ça Court, inutile de maquiller ce que vous avez écrit à propos de la pâtisserie d’Abadie .
Heureusement que toutes les sornettes que vous balancez ici, ne s’effacent pas d’une heure à l’autre.

Petit Rappel dit: à

« C’est par l’Hopital qu’a commencé en France au Dix Septième Siècle la mise en place d’un véritable état. »
Ou c’est du Foucault mal digéré, ou c’est du n’importe quoi, l’un n’excluant pas l’autre. Soulagement qu’on ait débarqué Attali de la chronique du Journal des Arts, ou il pantouflait, à la différence d’un Roland Recht qui lui savait ce dont il parlait

Petit Rappel dit: à

Sasseur, le maquillage vous est réservé, ainsi que l’Oscar toutes catégories de la meilleure Peau de Vache de ce blog. L’un va avec l’autre.
MC

Marie Sasseur dit: à

Et l’autre inénarrable  » Montmartre s’est inspiré  »
Tu crois rêver en lisant des trucs sans queue ni tête.

Marie Sasseur dit: à

Je revendique l’héritage, Court.

Morts aux cons, c’est écrit en gros sur la carlingue.

Phil dit: à

L’aliénée du blog à passou ne connait pas ses classiques. Reconduisez Renfield dans sa cellule.

Chaloux dit: à

Janssen J-J dit: à
Suis sûr qu’elle est ravissante et blonde quand elle suce…. euh, quand elle sucre…

Remonte les lobes, pauvre déchet visqueux et pourri. Ils traînent dans ta tinette.

et alii dit: à

Le Grand Hotel Europa de Naples offre un accueil téléphonique anti-solitude
Boîte de réception
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jeu. 26 mars 10:15 (il y a 4 jours)
À moi

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Parce que les agressions médiatiques viennent de toutes parts, quand on dispose quotidiennement d’un compteur de cas, de morts, de contamination et de propagation dans le monde, il faut respirer. Et les bonnes nouvelles, celles qui rassurent un peu, qui apportent un réconfort bienvenu, il faut les partager.

Comme tous les établissements de tourisme, le Grand Hotel Europa de Naples se retrouve fort démuni : la bise du coronavirus venue, les clients ont déserté les chambres de ce trois étoiles, situé à deux pas de la gare et du centre historique… Mais la réception fonctionne toujours.

Retrouver l’article
Naples : cet hôtel ne prend plus de réservations, mais conseille des livres

Jazzi dit: à

« je suppose que le square Louise Michel est l’ex Square Wilette ? »

C’est écrit dans la notice, M. Court : « le square, qui avait reçu en 1930 le nom du dessinateur et affichiste Adolphe Willette, ardent défenseur de la Butte, ne fut définitivement achevé qu’en 1932. Il sera rebaptisé Louise Michel en février 2004. »

JiCé..... dit: à

« On devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. »

Rigolade mondiale assurée …. ! Quel con ! non, mais, quel con !…

Brinqueballe dit: à

30/03/2020 13h59.
Toujours aussi poisseux ici.

B dit: à

DHH, que faire des gants s’ils sont en cuir pour s’assurer de leur propreté?

B dit: à

Le Monde en continu

Des dizaines de milliers de Chinois, à Wuhan, tentent de récupérer les urnes funéraires de leurs proches, alors que 2 535 personnes seulement seraient officiellement mortes du virus.

Marie Sasseur dit: à

Loris Chavanette a droit à la portion congrue. Peut-être trop éloignée des bruits de la ville, cette Fantasia, qui a laissé Mariane perdue dans l’horizon des monts de Tlemcen.

Jazzi dit: à

Un gouvernement mondial dont la tête serait chinoise, russe ou américaine ?

Passez vos gants en cuir à ‘alcool, B. !

B dit: à

Spain, toutes mes excuses. Encore ce correcteur. C’est absolument involontaire.

christiane dit: à

Agréable surprise, hier, sur France Culture, après la diffusion de l’enregistrement du roman de Simenon Le Chat (que j’ai eu tant de plaisir à redécouvrir), je ne m’attendais pas à écouter un autre texte de Simenon Lettre à ma mère, encore adapté par Pierre Assouline mais cette fois enregistré à la BnF le 27 mai (France Culture et Comédie Française). Thierry Hancisse était remarquable prêtant sa voix à celle déchirante de Simenon.
Quelle lettre !
Dictée en quelques jours à son magnétophone après la mort de sa mère. Tout lui revient de son enfance et de son adolescence douloureuses à Liège à cause du frère cadet préféré, Christian. C’est à la fois la vie de sa mère et la sienne et toute l’incompréhension et les meurtrissures entre eux. Tout ce qu’il n’a jamais pu lui dire. Une lettre adressée à titre posthume à celle qui ne l’a jamais aimé. Non-dits, rancunes, angoisses, jalousie, honte…
Un beau moment de radio, bouleversant, dans la nuit.

christiane dit: à

Lavande dit: « A part ça je suis en forme.. ».
Joie de vous lire, Lavande.

DHH dit: à

les gants en cuir ne sont pas adaptés a cet usage .
Et pour tout ce que vous ferez a l’intérieur servez vous des gants en caoutchouc avec lesquels vous faites la vaisselle

et alii dit: à

Peut-être est-il possible à B d’utiliser des gants comme ceux qu’utilisent médecins et infirmières qui sont assez résistants aussi? Je ne sais pas comment on se les procure, mais elle, si, sans doute ?

Janssen J-J dit: à

@ Ils traînent dans ta tinette.

Ma conviction est que les cendres chinoises de chaque victime ont été réparties dans plusieurs tinettes, un peu comme les propres défections chalumineuses, trop larges pour le contenu de ses WC-WGW.
D’où la nécessité de les répartir équitablement dans autant de récipients qu’il le fallait.
Nul besoin d’autres explications complotistes cloacales sinisantes, c claro !
CHINA VAINCRA !

B dit: à

Et alii, sur le net c’est comme à la Samaritaine. Ceci etant je sors peu mais je porte des gants en cuir que je prends soin de ne pas toucher soit en les enfilant soit en les retirant. Je me lave les mains avant et après chaque port. La monnaie et tant d’autres choses sont potentiellement sales. Il faut si l’on n’est pas habitué penser à comment ne pas se souiller cependant tout serait bon pour la désinfection, sac à main, porte-monnaie … C’est aussi pour ces raisons qu’il est recommandé de se laver les mains sans compter.

Phil dit: à

« Portier de nuit », de Cavani. Belles paires de gants de cuir portés par Dick Bogarde, nazi recyclé en groom à Vienne, et Charlotte Rampling, sa victime juive qui n’a pas gardé mauvais souvenir de la rencontre. Classique, intournable aujourd’hui, bon film pour confinés nombreux sur le prestigieux blog à passou.

et alii dit: à

ROSE
SUR HUFFPOST AUJOURD ‘HUI
Coronavirus: La débrouille des Ehpad pour briser l’isolement des personnes âgées
Laetitia, aide médico-psychologique (AMP) dans un Ehpad de Gironde, explique au « HuffPost » comment elle s’adapte pour égayer le confinement des personnes âgées dépendantes.
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ehpad-lisolement-personnes-agees-coronavirus_fr_5e80cd22
il y a une video;pour les activités,j’en avais vu sur pinterest(maisons de retraite)
courage
j’espère que vous commencez vous aussi à refaire le point et vous organiser

et alii dit: à

il y avait eu ça aussi pour les confinés,
https://www.mediapart.fr/studio/documentaires/culture-idees/cinema-du-reel-treize-films-voir-sur-mediapart?
, Mediapart vous propose de voir en intégralité treize films de la sélection Première fenêtre, consacrée aux premières œuvres de jeunes auteurs.

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OZYMANDIAS dit: à

Le pire et l’effroyable sont à venir.
Prions mes amis, prions, car nos responsables nous cachent une vérité aussi effrayante qu’apocalyptique.
QUI EST DERRIÈRE CETTE ATTAQUE VIRALE MONDIALE ?

Clopine dit: à

Ce soir sur Arte, « dawn by law », l’excellentissime film de Jarmush. On peut le voir aussi, d’ailleurs, comme un hommage à l’Italie en ces temps de confinement.

Je pense à la scène de la prison, bien entendu… Comment ne PAS penser à la scène de la prison, et à ce frapadingue de Bénigni ? (je voudrais tant l’avoir près de moi en ces temps qu’on nous dit aussi suspendus que des jardins babyloniens… Soupir !)

https://youtu.be/7rK3s_BP9kE

Heureusement, nous n’en sommes pas encore tout-à-fait là, à Beaubec en particulier et en France en général, nous en restons à des applaudissements polis sur les balcons…

Mais attention ! Ca va peut-être nous arriver tout de même. Déjà, je commence à avoir une terrible envie de glace à la fraise…

A part ça, je me suis entendue, ce matin, à la fin d’une joyeuse conversation téléphonique avec des amis, leur proposer une soirée à la maison « et au fait, quand venez-vous dîner à Beaubec ? »

Le silence, à l’autre bout du fil, est devenu si épais que je me suis rendue compte de ma légèreté avant même d’avoir fini le mot « dîner »; et puis, heureusement, on a tous rigolé…

(bon d’accord, comme d’hab’, quoi. Tiens, je m’en vais faire du riz au lait. Faut remuer pendant 20 minutes, toujours ça de gagné.)

et alii dit: à

Depuis que le Premier Ministre britannique Boris Johnson en a parlé pour justifier la politique initiale de laisser-faire de son pays face au Covid-19, la notion d’“immunité collective” est au cœur du débat. S’agit-il de sacrifier les plus faibles pour préserver le plus grand nombre dans une optique néodarwinienne ? Nous avons interrogé épidémiologistes et philosophes qui y voient plutôt un outil pour protéger l’ensemble de la société.
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Tags
Immunité, Immunité collective, Mircea Sofonea, Immunologie, Thomas Pradeu, Covid-19, Épidémie, Médecine, Science, Biologie, Durkheim, Olivier Rey, Martin Legros

« Je dois être honnête avec vous, avait lancé Boris Johnson le 12 mars lors d’une conférence de presse aux accents churchilliens, beaucoup d’autres familles vont perdre des êtres chers prématurément. » La semaine dernière, le lieutenant-gouverneur du Texas Dan Patrick estimait sur Fox News que le plus grand risque que fait courir le Covid-19 est de ruiner l’économie des États-Unis, tout en considérant qu’il ne fallait pas prendre de mesures restrictives et que les personnes d’un certain âge, dont il fait partie, devaient assumer pour le bien de tous le risque de tomber malade et de mourir.

Ce sont là des formules choquantes, même si elles ont le mérite de la franchise. Pour leurs auteurs, elles seraient justifiées par la stratégie de “l’immunité collective” (herd immunity en anglais, herd signifiant « troupeau »), bien connue des épidémiologistes mais pas de l’opinion publique européenne jusqu’ici. Paradoxe de la situation : c’est à l’occasion du scandale déclenché par la position « attentiste » des Anglo-Saxons – suivie par les Pays-Bas et par l
https://www.philomag.com/lactu/limmunite-collective-peut-elle-avoir-raison-de-lepidemie-42947?utm_source=Philosophie+magazine&utm_campaign=1b38ed5518-pmfr20190915nl28_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_dee8ebacdf-1b38ed5518-217926025&ct=t(pmfr20190915nl28_COPY_01)

JiCé..... dit: à

« QUI EST DERRIÈRE CETTE ATTAQUE VIRALE MONDIALE ? » (Ozy)

Dieu ! mon frère !….Dieu est derrière ce bordel ! Prions pour le salut de notre âme.

et alii dit: à

. Et en procédant aussi à des tests sérologiques, via une prise de sang – « le test de dépistage nasal vous dit si vous êtes porteur actuel, pas si vous l’avez été une fois le virus disparu de votre organisme. Pour savoir si vous avez déjà été contaminé et développé une immunité, il faut regarder vos anticorps dans le sang. »

À long terme, la question n’est pas de savoir si l’épidémie risque de redémarrer après le pic national actuel, c’est de savoir quand et où… « Si on lève le confinement en avril, on s’expose à un nouveau pic dès le mois de juin. Il faudra casser la courbe exponentielle et avancer par à-coups, en adoptant des confinements localisés en fonction des reprises locales. Toutes les régions ne seront pas logées à la même enseigne. L’immunité collective risque d’être hétérogène », prévient Mircea Sofonea.

Marie Sasseur dit: à

Merci pour cette itw de Maria Kodama.

Alexia Neuhoff dit: à

Gros émoi dans la presse. Un tableau a été volé dans un musée des Pays-Bas (fermé). Un tableau de Vincent Van Gogh. « Le jardin du presbytère de Nuenen au printemps ». Qui est de Joos Vincent De Vos. Mais c’est un détail. Et une covidiotie !

et alii dit: à

C’est l’idée d’insularité – l’individu s’isole par rapport au reste – et d’endogénicité – il n’accepte que ce qui vient du dedans et rejette ce qui vient du dehors. Or on s’est rendu compte qu’en fait l’organisme tolère un nombre très important de virus et de bactéries étrangères qu’il n’élimine pas, mais qui le stimulent au contraire. Nous sommes tous des chimères, des êtres impurs et hétérogènes. Chaque individu est une population hétérogène. »
VOUS AYANT RAPPELE déjà le travail de SLOTERDIJK SUR L IMMUNITE je vous souhaite de vous éveiller à des questions qui ne sont pas moins importantes que
votre chère pornographie de « vos milieux »

Jazzi dit: à

Maria Kodama, elle est plus belle vieille que jeune !

et alii dit: à

merci, Alexia
Il y a eu une effraction hier (dimanche) soir et un tableau de Van Gogh a été volé, a déclaré Evert van Os, précisant qu’il s’agit de la peinture Le jardin du presbytère de Nuenen au printemps. Nous sommes en colère, sous le choc et tristes, a ajouté le directeur du musée.

Des voleurs ont forcé la porte d’entrée vitrée du bâtiment afin de dérober le tableau, d’une valeur estimée entre un et six millions d’euros, selon les médias néerlandais. Le cambriolage s’est déroulé dans la nuit de dimanche à lundi vers 3 h 15, a indiqué la police.

Un tableau de 1884 prêté par un autre musée
Datant de 1884, le tableau, qui représente le jardin du presbytère à Nuenen, une ville des Pays-Bas où Van Gogh a résidé, avait été prêté au musée Singer Laren par le musée Groninger.

Le musée Singer Laren est fermé jusqu’au 1er juin au moins, le gouvernement néerlandais ayant interdit tous les rassemblements publics pour lutter contre la propagation du nouveau coronavirus.

Pays-Bas. Un tableau de Van Gogh volé dans un musée fermé en raison du coronavirus

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et alii dit: à

Les Limites du soi. Immunologie et identité collective / Thomas Pradeu / Presses de l’université de Montréal-Vrin / 2010
Une question de taille / Olivier Rey / Stock / 2014

L’Individualisme et les Intellectuels / Émile Durkheim

Rapport d’estimation du nombre de reproduction de l’épidémie de Covid-19 en France / Samuel Alizon / Groupe de modélisation de l’équipe ETE (laboratoire Mivegec, CNRS-IRD-université de Montpellier)
il n’est pas question de « vrai moi »!

christiane dit: à

« A Patmos, où la tradition veut que saint Jean ait eu les visions de l’apocalypse, un soir que le vent du Nord brusquement levé chasse les grands nuages rougis du couchant, la terre mise à nu irradie une chaude confiance. En ce moment précis rien ne veut détruire le monde, aucun homme, aucun dieu, le « Royaume » est là mêlé au bruits, aux bougements les plus simples. Et le temps terrible s’use en nous usant. Ne reste que cette lumière : la part la plus illisible de la nuit.
Les caïques du petit port hissés sur le rivage : on les gratte, les brûle, les repeint. Les longs filets bruns étendus sur le quai : les mailles de la lumière sur un fond à galets d’une baie. Un pêcheur manie avec agilité la grande aiguille à raccommoder. […]
Femmes de pêcheurs, mes voisines. Les hommes je ne les vois que sur leurs caïques ou le soir à la taverne. […]
Elles se lèvent avant les hommes, en pleine nuit pour préparer le premier repas du jour. A peine les caïques ont-ils quitté le port, déjà se réveillent les vieux, puis ce sont les enfants, la maison, la lessive, la cuisine. […] Le soir, la maison brille, le linge propre sent bon dans l’armoire, les enfants traînent encore dans le port et les hommes se retrouvent au café ou à la taverne. […]
En bas la mer, étincelante et sombre à force de lumière. Gouffre patient. […]
Je n’ai rien d’autre que ce bruissement d’une grève où se brise la parole. Rien que la paume nue des galets. rien que ce vent qui a traîné ses hardes sur des pierres aveugles, les herbes d’un jardin. […]
Dans le ciel de Patmos, un soir : ailes perdues en flammes d’un vol d’anges exterminateurs. »

Égée (« Le Journal de Patmos ») – Poésie / Gallimard – p .88/89

Marie Sasseur dit: à

L’itw de Maria Kodama est certes plus sereine, -c’est en cela que l’image qu’elle revoie est belle , n’en déplaise au branleur- que l’agitation testostéronée qui s’empara alors de Gallimard.

OZYMANDIAS dit: à

Si ça se trouve ce confinement ne sert à rien puisque ce diabolique virus peut même atteindre les confinés chez eux.
Et personne ne peut rassurer personne.
Les politiques comme les chercheurs « officiels » sont encore plus inquiétants que les charlatans du Net !
Bordeeeeeeeeeeeeel de merde !

et alii dit: à

Ainsi, le texte écrit par Jean de Patmos ne s’intitule pas l’Apocalypse parce qu’il raconte des catastrophes révélant la parole de Dieu, mais parce que le texte lui-même est une révélation de la parole de Dieu. En effet, Jean écrit sous la dictée d’un ange envoyé par Jésus Christ, lui-même porteur de la voix de Dieu. Dès les premiers mots du texte on peut lire : « Révélation [apokalupsis] de Jésus Christ : / Dieu la lui donna pour montrer à ses serviteurs ce qui doit arriver bientôt. / Il la fit connaître en envoyant son ange à Jean son serviteur, / lequel a attesté comme Parole de Dieu et témoignage de Jésus Christ tout ce qu’il a vu. » (I, 1). L’apocalypse ne désigne clairement pas la catastrophe, mais la révélation de la parole de Dieu qui annonce l’avenir. Cet avenir est constitué de divers événements, destructeurs ou non — peu importe, ils sont toujours révélateurs. La part divine du mot apocalypse n’a donc pas disparue au profit de sa part catastrophique,
http://findumonde-design.com/index.php?soustitre=23#soustitre-23

et alii dit: à

Cette impression floue, ce sentiment de comprendre qui tient lieu de compréhension, permet à Jacques Derrida de rapprocher l’Apocalypse de Jean du texte d’Emmanuel Kant D’un ton grand seigneur adopté naguère en philosophie. En effet, Emmanuel Kant y dénonce certains penseurs, soi-disant des philosophes, qui s’expriment sur un certain ton dans le but justement de faire sentir cette impression de comprendre si particulière. Ils s’expriment notamment par des métaphores et des analogies afin de retransmettre la révélation qu’ils ont eue. Ils semblent donc parler sur le même ton, par les mêmes procédés que ceux de Jean de Patmos.

154Emmanuel Kant appelle ces penseurs les « mystagogues »7373.Jacques Derrida, op. cit., p.23.. Mystagogie vient du grec mystagogia. Mystes signifie « initié » et ago signifie « mener », « conduire ». Le

et alii dit: à

Le propos de Jacques Derrida, en première lecture, porte sur la nécessité de se prémunir contre les mystagogues. En ce sens, il s’accorde avec le propos d’Emmanuel Kant, et avec la philosophie des Lumières en général. Il faut se méfier des discours mystagogiques, il faut apprendre à les reconnaître et chercher à s’en prémunir. Il faut démystifier les discours qui exercent un pouvoir de séduction sur nous. L’auteur présente cette tâche de mise en lumière et de clarification, l’Aufklärung en allemand, comme « une loi et un destin »7575.Id., p.64., un héritage dont nous ne pouvons et nous ne devons pas nous acquitter. Il faut sans arrêt se demander en fonction de quels intérêts et dans quels buts un discours utilise le pouvoir de séduction inhérent au mystère. Il semble difficile de formuler ce qu’il y a d’essentiel dans la nécessité de cette entreprise tant cela paraît évident. Mais, d’un point de vue pratique, la clarification et la démystification mènent certainement vers une plus grande liberté, puisqu’elles nous permettent de lutter contre ceux qui veulent nous séduire et nous faire agir dans leurs intérêts. Il s’agit d’une entreprise de connaissance et d’émancipation.

AnTo..... dit: à

j’ai la trouille….. noire de chez noire

next ?

OZYMANDIAS dit: à

Je tiens à préciser une chose : Je ne m’inquiète pas pour moi en ne pensant qu’à ma gueule, non, pas du tout, je m’en fous de ma misérable petite personne. C’est pour ma compagne et mes deux filles que je m’inquiète… terriblement.
Elles sont les trois amours de ma vie et de toutes mes vies. Mes trois, seulement et uniquement trois, raisons de vivre alors…
Merde, merde à cette saloperie de virus et à tous les salopards qui sont derrière tout cela.

Nicolas dit: à

« ce diabolique virus peut même atteindre les confinés chez eux. » nullement, si on est sur d’une chose c’est de celle ci.

Nicolas dit: à

Henri Tincq est mort, il me faisait un peu chier des fois, du genre intelligent, c’est pour ça que je l’aimais bien. Paix à son âme comme on dit.

Soleil vert dit: à

Merci Pablo75 pour ce lien.
Que signifie ces paroles (traduites horriblement avec Deept – je ne connais pas la langue espagole) de Maria Kodama ?

« Il va juste me parler du livre de Bioy. En outre, comme je l’ai dit aux journalistes, il aurait été différent s’il l’avait publié de son vivant, car il assume ce qu’il fait. Autre chose, il la laisse pour quand les deux sont morts. Bioy n’allait jamais pardonner à Borges que la seule de ses œuvres qu’il aimait était un livre qu’il avait corrigé du début à la fin, La invención de MOREL »

—Justamente me va a hablar del libro de Bioy. Ademâs, como yo les dije a los periodistas, distinto hubiera sido si él eso lo publica en vida, porque asume lo que hace. Otra cosa es que lo deje para cuando los dos se hayan muerto. Bioy nunca le iba a perdonar a Borges que la ûnica obra suya que le gustaba era un libro que él habi’a corregido de principio a fin, La invenciôn de MOREL

Soleil vert dit: à

*que signifient

Soleil vert dit: à

Borges a corrigé voir réécrit L’invention de Morel ?

D. dit: à

J’avais mis tout le monde en garde au sujet de l’exposition du trésor du Roi Tout-ânkh-Amon.
Que la France a souhaité recevoir sur son sol. Parmi d’autres nations.
On expose pas impunément aux yeux des profanes les objets sacrés sortis du tombeau d’un Roi d’Égypte et qui lui sont nécessaires dans l’au-delà.

Alexia Neuhoff dit: à

Ce n’est PAS un tableau de V. Van Gogh mais de Joos Vincent De Vos.

et alii dit: à

ALEXIA? VOUS AVEZ UN .LIEN?
sur celui que j’ai envoyé, il y a
Un tableau du peintre néerlandais Vincent Van Gogh a été dérobé dans un musée des Pays-Bas, actuellement fermé en raison de la pandémie de Covid-19, a annoncé, lundi, le directeur général du musée Singer Laren, à une trentaine de kilomètres d’Amsterdam.

et alii dit: à

UNE AUTRE ANNONCE RACONTE/
Le directeur du musée Singerlaren, Jan Rudolph de Lorm, s’est dit “choqué et en colère”: “C’est une peinture magnifique et émouvante de l’un de nos plus grands peintres, volée à la communauté”. En 1883 et 1884, Van Gogh était avec ses parents à Nuenen, où son père officiait dans l’église, représentée dans le tableau, en tant que pasteur protestant et l’artiste a créé le tableau en cadeau pour sa mère. À la mort de son père en 1885, Vincent modifie le tableau. “L’art est là pour être vu et partagé par nous. Ce tableau doit revenir ici le plus tôt possible”, a ajouté De Lorm. Aussi déconcerté Andreas Blühm, directeur du musée Groninger: “Nous espérons que le tableau nous sera rendu dans les plus brefs délais et intact”.

Chaloux dit: à

Tout de même étonnant que pas un éditeur français ne se soit risqué à publier le Bioy Casares sur Borges.

L’entretien Kodama se perd un peu dans les longueurs.

B dit: à

D, non, vos explications ne tiennent pas. Moi je dirais plus que c’est la faute à Franco.( c’est un scoop).

et alii dit: à

SI VOUS préférez en anglais, alexia;sinon expliquez vous:

Art and Law
Opportunistic Thieves Just Stole a Prized Van Gogh Landscape From a Locked-Down Dutch Museum Under Cover of Night

Jean Langoncet dit: à

@(bon d’accord, comme d’hab’, quoi. Tiens, je m’en vais faire du riz au lait. Faut remuer pendant 20 minutes, toujours ça de gagné.)

Comme disait le Général dès son plus jeune âge, visionnaire sans égal, c’est sur les circonstances qu’il faut surfer. Illustration avec les pommes soufflées : https://www.ina.fr/video/CPF86650564

B dit: à

Depuis, Nicolas, ceux qui n’en ont pas se lestent de ces 21 grammes et bien que cela ne servent à rien. Personne ne peut déterminer à quoi elle tient, quelle matière compose ce supplément.

B dit: à

Ne serve. Crotte de brique.

B dit: à

Super, je vais enfin pouvoir prendre à Orsay quelques bricoles qui me plaisent bien.

B dit: à

C’est pour mon salon. Pas de recel donc aucun risque de se faire prendre. Je me frotte les mains.

D. dit: à

B dit: à

D, non, vos explications ne tiennent pas. Moi je dirais plus que c’est la faute à Franco.( c’est un scoop).

Ah parce que vous croyez qu’il suffit d’écrire que ça ne tient pas pour que ça n^ tienne pas ?
Seulement moi, Mademoiselle, je sais ce que j’écris. Je sais ce qu’est un Roi d’Egypte, Je connais son ascendance, je sais de quoi l’Egypte est héritière, que ça vous plaise ou pas.

rose dit: à

J’vous l’ai dit le 23 mars.
et alii dit: à
. » Et en procédant aussi à des tests sérologiques, via une prise de sang – « le test de dépistage nasal vous dit si vous êtes porteur actuel, pas si vous l’avez été une fois le virus disparu de votre organisme. Pour savoir si vous avez déjà été contaminé et développé une immunité, il faut regarder vos anticorps dans le sang. »

À long terme,

Vous pourriez me croire parfois.
Comment l’ai-je su ? Par déduction.
Lors de l’épidémie de sida et avec le scandale su sang contaminé on a mis en place des protocoles de vérification du sang.
C’est pour cela que les gens vont donnf5£(er leur sang ?
Non, c’est pck’ on leur demande. Jusqu’à 70 ans, âge limite.

et alii dit: à

Face à ia crise de l’identité que représente une
histoire dépourvue de sens, le poète que sa quête
conduit à abandonner sa patrie occidentale et à
gagner Patmos en Orient, cherche à réaliser une
sorte de fusion des cultures capable, à son retour,
d’alimenter le « chant allemand » (v. 226). Patmos, où
Saint Jean l’Evangéliste annonça l’Apocalyse,
semble être le lieu privilégié d’une médiation entre
antiquité et modernité puisque cette acmé permet de
comprendre l’histoire à partir de la fin du monde,
l’origine à partir de Veschaton. Le poète moderne,
venu « pour les dieux trop tard et trop tôt pour l’être »,
cherche dans cet interrègne entre le retrait des dieux
grecs, doublé de celui du Christ, et la parousie d’un
dieu à venir un salut hors du péril de la modernité,
grâce à une esthétique de la juste appellation du divin.
Comme les apôtres investis de l’Esprit saint à
la Pentecôte, le poète doit témoigner « en ces temps
de détresse » de la crise de la communauté et,
CRISES DE L’IDENTITE
ET IDENTITÉS DE REMPLACEMENT
LA NOTION DE SALUT
(Paris, 23-24 juin 1988)
http://archives.fmsh.fr/file/misc/images-FR075FMSH_000000038/FMSH_PB1063_2D2_059.pdf

rose dit: à

Et alii
Je vous donnerai des nouvelles demain.
Le joli lien que vous donnez c’étaient les activités manuelles avant corona.

bouguereau dit: à

Charlotte Rampling, sa victime juive

le dick y porte trop les gants comme un sérial anal teucheur quelle dirait bonne clopine..
les blondes c’est plus honnête dirfiloo
https://www.youtube.com/watch?v=irLA4UliqqA

et alii dit: à

(23) Guillaume Briet. Explication de deux questions politiques touchant la peste, l’une si elle est contagieuse, l’autre si le devoir du chrétien permet se retirer du lieu où elle est et comme on s’y doit comporter. A Bordeaux par S. Millanges, 1599.

Et vous que feriez-vous si vous aviez une cérémonie officielle de passation de pouvoir, prévue dans une ville ravagée par la peste ? Vous iriez ou pas ? La question est quasiment un cas de conscience, et même si les critiques de cette décision arrivent plus tard au 19e siècle, la question se pose déjà à l’époque de Montaigne. Dans cet opuscule paru à la fin du 16e siècle, le médecin Guillaume Briet se demande si face à cette épidémie, le devoir du Chrétien est de rester ou au contraire de fuir la contagion. Selon lui, mieux vaut fuir une maladie qui de toutes est « la plus violente, soudaine et épouvantable » car elle se propage très rapidement. La Peste frappe Bordeaux 15 fois au 16e siècle comme dans bien d’autres villes. On comprend que Montaigne ait alors choisi de fuir la peste. Il applique ainsi une formule appelée « Pilule des 3 adverbes » inventée par le savant Auger Ferrier, en 1543 qui préconise un seul remède : « s’enfuir vite, aller loin, [et] revenir tard » !

D. dit: à

Il est vraisemblable que le nombre de morts par covid+19 en Chine soit plutôt de 15000.
Rapporté aux 60 millions de confinés, cela donne 1 mort sur 4000, donc dérisoire.

Janssen J-J dit: à

@ cette saloperie de virus et à tous les salopards qui sont derrière tout cela

… hélas pour vous, il n’y a personne derrière le virus, désolé, Onésime. Du calme ! Vous vous en sortirez avec toutes les vôtres, et la rdl pour vous y déverser et pour son soutien. Méditez profondément cette conviction, plutôt : que… la peur de la mort me semble être une erreur de l’évolution, une interférence accidentelle et idiote entre deux poussées évolutives indépendantes, le produit de mauvaises connexions automatiques de notre cerveau, et non quelque chose d’utile ou qui a un sens. Tout a une durée limitée. L’espèce humaine aussi. Avoir peur du passage, avoir peur de la mort, c’est comme avoir peur de la réalité, avoir peur du soleil. Pourquoi ? –
Cordialement,
J J-J

et alii dit: à

pour Arendt:
: « Une crise ne devient catastrophique que si nous y répondons par des idées toutes faites, c’est-à-dire par des préjugés. »
eh bien, l’état des erdéliens est vraiment catastrophique

Janssen J-J dit: à

Je dois avouer que ce journaliste, à la Croix ou au Monde, ne m’a jamais intéressé, pas plus que l’évolution de l’actualité catholique mondiale du reste. Je ne me prononcerai donc pas sur son envergure journalistique et sa conscience professionnelle. Il faut dire que la largeur de sa cécité sur les mœurs de la Curie romaine ne laissera jamais de surprendre sur ses proptres biais cognitifs. Or un bon journaliste, genre PA par exemple, se caractérise précisément par sa neutralité sur ses objets de prédilection. C’est ce que je croâ, du moinsse.
https://www.liberation.fr/france/2020/03/30/mort-du-journaliste-henri-tincq-victime-du-covid-19_1783619

D. dit: à

Même s’il était de 40000, cela ne ferait qu’un mort sur 1500. Très peu. Le risque de survenue de crise cardiaque liée à une mauvaise hygiène de vie et à des prédispositions physiologiques est considérablement plus élevé.
Le problème n’est que la concentration en un temps réduit, le dépassement de services médicaux spécifiques.
L’idée du respirateur domestique, réalisé dous une forme rustique, et sans intubation, est loin d’être idiote. Il ne s’agit que d’insuffler à une fréquence réglable de l’air, éventuellement enrichi en oxygène.
Technologiquement ce n’est rien. Un tel appareil pourrait être vendu pour 100 euros, marge comprise. Chez Darty. Je ne veux choquer personne mais, oui, chez Darty. Ou Décathlon. On enverrait beaucoup moins de monde en hôpital et surtout beaucoup plus tard.

Phil dit: à

portier de nuit

à la revoyure, dear Bouguereau, me semble que Rampling pas clairement identifiée juive. subtilité de Cavani, à peine trente ans, qui irrita profondément italie et franceculture.

Phil dit: à

yes Bouguereau, Mimy Marks prend pas de gants

Jazzi dit: à

Oui, mais « Portier de nuit » faisait un peu trop perversement sado-maso, plus cheap que kitch, Phil. Avec le dominant-dominé nazi-juif récurrent. Jamais revu depuis sa sortie et n’avais pas été vraiment convaincu. Dans le genre, je préférais nettement Fassbinder !

christiane dit: à

« Le poète Lorand Gaspar est mort le 9 octobre 2019 à Paris. Il était âgé de 94 ans. Atteint de la maladie d’Alzheimer depuis de nombreuses années, il n’a jamais perdu son sourire, avec lequel il accueillait ses visiteurs.[…]
Lorand Gaspar a mené de front ses différentes activités, de médecin, d’écrivain, de traducteur et de photographe, en circulant sans cesse entre les multiples formes et voix du vivant, sans établir de hiérarchie entre elles.[…]
Défendant une médecine humaniste et refusant la séparation corps-esprit, il a publié une œuvre poétique majeure où il fait partager son émerveillement devant le désert et la mer, le mouvement des vagues ou des oiseaux aussi bien que la machinerie complexe du corps humain. […]
En juin 1954, L. Gaspar s’envole pour Jérusalem où il doit assurer le fonctionnement du service de chirurgie de deux hôpitaux français : l’hôpital Saint-Joseph de Jérusalem et l’hôpital français de Bethléem. […]
Passionné par son travail, il découvre aussi avec éblouissement le désert de Judée, qui le fait entrer dans un autre monde. […]
Cette expérience de la nudité du désert et de sa lumière va nourrir de façon décisive son œuvre poétique, notamment ses premiers recueils, Le Quatrième État de la matière (publié chez Flammarion en 1966), qui reçoit le prix Guillaume Apollinaire en 1967, Gisements (Flammarion, 1968) et Sol absolu (Gallimard, 1972), puis Judée (1980). C’est là aussi qu’il commence à prendre ses photographies des sols et des roches du désert et des nomades qui y vivent. […]
À partir de 1960, Lorand Gaspar découvre un autre espace, comme un contrepoint du désert, celui de la mer Égée, de ses îles et de celles du Dodécanèse. En 1961, il achète une petite maison à Patmos, près du port, et y passe ses vacances. La Grèce, ses paysages et ses habitants, son histoire et sa littérature, vont inspirer ses nouveaux recueils : Égée suivi de Judée (Gallimard, 1980), Carnet de Patmos (Le temps qu’il fait, 1991), Patmos (NRF, 1989, Gallimard, 2001), et l’inciter à traduire en français une partie de l’œuvre de Georges Séféris.[…]
Après la « Guerre des six jours » en 1967, son désir de s’impliquer dans le rapprochement entre Israéliens et Palestiniens est mal perçu par les autorités qui lui suggèrent de chercher un autre poste. En mars 1970, il quitte Jérusalem pour rejoindre l’hôpital universitaire Charles-Nicolle de Tunis.[…]
Parallèlement à son travail à l’hôpital, il crée avec Jacqueline Daoud et le poète tunisien Salah Guermadi, une revue de poésie, qui publie des poètes français, arabes, grecs, hongrois… de 1970 à 1982.[…]
Il fait également de nombreux voyages, dans le désert algérien et tunisien, dans la péninsule arabique, au Yémen, au Moyen-Orient, en Turquie, en Syrie, en Inde… où il poursuit son œuvre de photographe et qui donneront lieu à des récits : Arabie heureuse et autres journaux de voyage (Deyrolle, 1997). […]
En 1998, Lorand Gaspar reçoit le prix Goncourt de la poésie pour l’ensemble de son œuvre. »

Extraits de la biographie écrite par Danièle Leclair sur le site Web de « Fabula » (voué à la diffusion d’articles et informations sur la recherche universitaire littéraire) le 19 octobre 2019 : « Décès du poète Lorand Gaspar ».

Jazzi dit: à

Revue de presse :

« (Être) confinés dans l’inaction.
Cela est insupportable pour certains. D’autres, au contraire, s’en accommodent, découvrant les plaisirs du temps à meubler, du temps à laisser filer, du temps à perdre. Ils pénètrent dans le monde enchanté, jusqu’alors inaccessible pour eux, de la paresse.
Dans l’une des dernières livraisons de mon facteur, il y avait, fort opportunément, un petit livre intitulé Le Goût de la paresse.
Avec gourmandise, je me suis jeté dessus. Je l’ai lu d’abord par curiosité, puis pour alimenter ma chronique du JDD. Les écrits sur la paresse d’une trentaine d’auteurs donnant à écrire à un trente et unième graphomane, voilà qui, par un singulier paradoxe, fait travail à la chaîne ! »
– Bernard Pivot pour le @le_jdd 29/03/2020

Phil dit: à

préférais nettement Fassbinder !

mazette baroz, à chacun ses perversions dirait la marie vapeur

christiane dit: à

Autre fragment du Journal de Patmos de Lorand Gaspar :
« Octobre 1971.
Georges Séféris, si présent, je ne le verrai plus. »

suivent des souvenirs de leurs rencontres :

« Delphes, le sanctuaire, la Pythie. Pytho : je pourris. Apollon tua le terrible dragon des ténèbres souterraines, le dénommé Python, et le laissa pourrir sur place. « Bon terreau, me dit Georges, pour les grandes vertus d’Apollon. » Et me parlant d’Œdipe : « Nous sommes plus préoccupés par les définitions et les symboles que ne l’étaient les Anciens par les éructations de la Pythie. » Un silence, puis il ajoute : « Plus d’Œdipe, ni de Pythie, mais un complexe. Qu’est-ce qui est mieux ? On ne sait pas. » […] »

rose dit: à

et alii dit: à
Toutes les régions ne seront pas logées à la même enseigne. L’immunité collective risque d’être hétérogène », prévient Mircea Sofonea.

En regardant la vérité en face et en refusant les délais de deux semaines en deux semaines, on sera confinés jusqu’à fin juin.
Je rencontre des gens heureux.
Je n’en suis pas.

D. dit: à

Moi Jazzi je suis confiné dans l’action et les journées sont trop courtes ! Qi-gong, Kung-Fu, sieste, cuisine, télé, RdL. Pas de lecture, comme d’hab. Rangement, nettoyage, petits travaux, plantations du balcon, coups de fils. J’en peux plus.

B dit: à

Jazzi. D’une part je ne comprends pas toujours de quoi le potage se compose, le film à l’époque ne m’avait pas choquée, ensuite je n’en garde qu’un souvenir. Il me faudrait le revoir. Ce qui est resté, un nazi chargé de surveiller la douche,le gazage sauve du groupe une femme, belle, un regard .
Phil, pourquoi l’Italie perdrait soudainement sa majuscule?

D. dit: à

Fin juin est peu probable, Rose. Il faut tabler sur un retour très graduel à la normale à partir de début mai, avec une inégalité entre régions et sans doute des interdictions ou limitations de déplacement entre régions qui en effet dureraient jusqu’en juin, voire plus tard encore.
Et de façon quasi-certaine pas de possibilité de quitter la France metropolitaine avant l’autimne, et encore équipé d’un laissez-passer sanitaire.

rose dit: à

Christiane

Cela fait deux fois de manière rapprochée que vous liez la Pythie à Oedipe. Je pensais Tiresias l’oracle d’Oedipe.
La Pythie est située à Delphes elle, ainsi que vous le soulignez. Elle était consultée avant les départs à la guerre etc. Sous emprise de substances hallucinogènes. On la consultait pour savoir si l’entreprise guerrière avait des chances de réussir. Il y a le gros bloc sur lequel elle montait. Avant d’arriver en haut au stade, à gauche au milieu du chemin après un temple dédié à Apollon.

Je suis surprise de votre rapprochement et curieuse d’ en savoir l’origine.

D. dit: à

En fait dès la mi-avril certains commerces et espaces verts pourraient rouvrir sous réserve de conditions d’accès très encadrées (limitation d’effectif, interdiction de rassemblement, de s’asseoir, éventuellement préinscription préalable). Les agents municipaux seraient chargés des filtrages et contrôles des lieux publics). Il faut absolument que l’activité économique reprenne au plus tôt.

Marie Sasseur dit: à

Le philopede youporne à toute sur ce blog. Pas très inspiré le vieux vicieux.

B dit: à

D, ne soyez pas si pressé. Certains homme d’état envisagent des à present la reprise autant que possible et le plus rapidement possible. Avec un virus labile c’est un peu risqué.

Marie Sasseur dit: à

Cette itw de Maria Kodama a du faire un drôle d’effet à JP Bernes.

J’avais complètement loupé cet épisode de la vengeance post-mortem, démoniaque, raconté par Passou en 2010, quand Gallimard à enfin
pu rééditer Borges dans la Pleiade. Quelle haine.

rose dit: à

D.et et alii

J’ai visionné plusieurs Strip Tease de grande qualité documentaire.
Cet après-midi, ai eu un petit dix mn de what’s app avec ma maman. Le second en deux semaines. Terrible. Je demande à ce qu’elle récupère sa tablette pour qu’elle me voie en plus d’entendre ma voix.
L’avocate m’a prévenue que jusqu’au 24 mai toutes les audiences sont bloquées. Est-ce que les tribunaux vont reprendre rapidement ? Suite au mouvement des avocats pour défendre leurs retraites, il y a un retard fou pris dans les rv.aux tribunaux.
Dans les cas d’urgences traités tout d’abord il y a les violences conjugales et les enfants maltraités. Il n’y a pas la case personnes âgées en détresse pour isolement contraint.
Aujourd’hui, on m’a demandé de ne pas envoyer de colis mais je vais l’envoyer quand même. La précédente grosse enveloppe est bien arrivée.
Se répète ce dont vous avez parlé et alii de rupture volontaire avec la famille dans le but que le résident s’adapte.
Ils n’ont pas pigé ses connards que si le résident ne veut pas s’acclimater sa mort va être hâtée.

Dans l’EHPAD où ma mère attend de sortir -ce soir, elle m’a dit « j’ai mes deux bras autour de ton cou et mes mains à ta taille » je lui répète « accroche-toi maman je t’aime » – depuis plus de deux semaines déjà, ils ont mis en place l’isolement total. C’est à dire résident enfermé dans chaque chambre et plateau trois fois par jour. Apparemment plus de goûter. Ils courent les aides soignants tout le temps, certains sont joyeux. Ils ne s’attardent pas. Trop de boulot. La nourriture reste bonne et de grande qualité. Plus du tout d’activité manuelle ou éducative ou musicale. Confinement total.

Nous, ma maman et moi, sortirons de cela abimées.
Si nous en sortons toutes les deux, ce dont j’ai douté cet après-midi pck j’ai eu peur.

Et alii et D.je vais cesser de vous parler de ma maman sur ce blog. Vous donnerai des nouvelles de loin en loin. Certains donnent bien peu d’eux ici. Moi je donne sang et eau.
Cela me paraît grandement disproportionné.
Certains dont Christiane et DHH échangent avec moi par mails privés avec amitié et courtoisie detemps en temps.
C’est le visionnage de plusieurs strip tease qui me pousse à ce renfermement ajouté à avoir vu ma maman cet après-midi.

Je pourrai profiter du confinement, mais la situation d’inquiétude dans laquelle je vis me prive d’en profiter.
Bien cordialement à vous deux, avec tendresse.

Marie Sasseur dit: à

a enfin pu rééditer.

B dit: à

Deux bons films sur Arte ce soir. Un bien déjanté et downloader by law, du JJ certifié. Je me souviens avoir vu l’affiche il y a longtemps dans les hautes Pyrénées, passée à côté sans m’y arrêter.

B dit: à

Down, merdum!

D. dit: à

Il faut bien que vous compreniez, Bérénice, que tout le monde sera exposé à ce virus dans les prochains mois.
On ne fait que gagner du temps pour ne pas saturer les capacités hospitalières et se rapprocher autant que possible du moment où chacun a des chances plus raisonnables de bénéficier de traitements / vaccins.
Le confinement et ses conséquences ont des effets très délétères qu’il ne faut pas sous-estimer. Soins courants retardés, mauvaise nutrition, baisse de moral chez beaucoup, addictions, violences, suicides, le tout en liaison avec les faillites, baisses de revenus et pertes diverses et variées. Ceci à tous les âges et jusque chez les enfants.

La question est de régler le curseur comme il faut. Il n’y a aucune raison d’être binaire, on peut tout-à-fait jouer dans les nuances.
Pour moi le confinement sous sa forme actuelle encore prolongé de plus de 3 semaines n’aura plus aucun sens. En tout cas.

rose dit: à

D.

Sept semaines pour Wuhan avant que les déplacements ne reprennent ces jours ci.
Nous avons démarré le 17 mars.
Eux début janvier.
Nous, nous sommes quinze jours après l’Italie.

B dit: à

Certains dont Christiane et DHH échangent avec moi par mails privés avec amitié et courtoisie detemps en temps.

Rose, tout le monde n’a pas vos coordonnées . Je suppose que ceux qui en disposent vous dont d’un grand réconfort. Courage , vous pouvez rester optimiste, votre mère est entre de bonnes mains.

rose dit: à

Moi, ce que je voudrai -mais y serons nous prêts collectivement dans un esprit de sérieux et de responsabilité ?- c’est que les services se remettent en place y compris au ralenti et que l’on traite les cas urgents.
En premier, les tribunaux.

B dit: à

D, la nuance avec un virus qui tue ceux qui à priori des gens qui sont les mieux parés pour y faire face, je n’y crois pas.

rose dit: à

rester optimiste, votre mère est entre de bonnes mains

Pas du tout. Ma mère est en danger. Pas par maltraitance mais par isolement.
Même si les gens sont gentils.
D’ailleurs, on peut être gentil et borné.

Christiane et DHH sont super.

Nota : pour rire bêtement et sexuellement, ce qui défoule bien en temps d’angoisse, un pote m’ a envoyé un Benny Hill britannique à l’hôpital avec infirmières sexy.
Et une amie un long texte de Coline Serreau engagé.

D. dit: à

Rose, bien sûr que tous ces soucis et péripéties vous abiment vous et votre maman. Ces placements en EHPAD sont souvent des moments difficiles et avec cette crise c’est pire. Moi ça ne me dérange pas que vous en parliez ici souvent, je sais pourquoi vous le faites, mais il ne s’agit que de moi. Quand vous estimez faire les choses bien n’ayez jamais de scrupules. Les émotions vous ne pouvez pas les faites disparaitre. L’être humain est fait d’émotion et ceux qui n’en n’ont plus ne sont pas vraiment humains.
Prenez quand il le faut distance d’une émotion.
Faites quelques mètres, retournez-vous et regardez-là. C’est bien celle que vous ressentez, il n’y a pas de doute. Mais vous ne l’avez pas créée. Vous n’avez pas à culpabiliser de cette émotion. Puisque vous faites les choses bien.

D. dit: à

Bérénice, le virus tue des quadras, des quinquas. C’est une évidence. Mais 2 à 3 % des gens, au pire. Combien vont mourir des conséquences du confinement ? Directement ou à petit feu ?

B dit: à

Quand la Chine livrera des chiffres exacts nous aurons une idée plus précise . Il faudrait pouvoir préserver les productions essentielles et services vitaux . Le profit attendra. Même la Russie qui a fermé ses frontières la première est atteinte. Attali a peut être pour une fois bien vu. C’est une catastrophe aux multiples dimensions et encore nous vivons ici dans une sécurité et un confort que d’autres ne connaissent pas. Le virus n’a pas encore donné ses nouvelles africaines, sensible à la chaleur, vraiment?

B dit: à

D, 58% des morts ont plus de 60ans.

Marie Sasseur dit: à

Personne n’a remis en cause la traduction française « officielle » des oeuvres complètes de Borges.
Je trouve toujours cela suspect, quand bien même il s’agit de la Pleiade, et d’autant qu’il y a eu des précédents.
Ou alors les droits sont vraiment verrouillés.

C’est l’époque où Passou mettait des punchlines…;-)

http://www.philalethe.net/post/2010/04/21/La-traduction-des-oeuvres-de-Borges-en-Pl%C3%A9iade-%28un-%C3%A9change-entre-Pierre-Assouline-et-moi-m%C3%AAme%29.5

D. dit: à

Après, chez des êtres humains normaux, c’est à dire aimants, le lien astral entre mère et enfant est une évidence. Il y a un cordon, tout le temps, depuis la gestation. Il y a branchement. Transfert émotionnel dans un sens comme dans l’autre.
C’est ce que vous vivez et ce qu’elle vit.

B dit: à

Rose, si vos frère votre soeur, je ne sais trop, sont d’accord, tannez le juge . Les circonstances plaident en faveur de la levée des mesures qui sont appliquées. Certains détenus en fin de peine vont être libérés, pourquoi pas des vieilles personnes victimes du désaccord familial et injustement enfermées.

rose dit: à

B
Non.
Mes frère et soeur ne sont pas d’accord. C’est leur orojet orchestré de placer notre mère en EHPAD. Et ne téléphonent pas. Une fois mon frère.

Le pb. physique qui se pose avec le temps étiré est comment se remettre d’une telle fatigue ?

rose dit: à

D. dit: à
Bérénice, le virus tue des quadras, des quinquas. C’est une évidence. Mais 2 à 3 % des gens, au pire. Combien vont mourir des conséquences du confinement ? Directement ou à petit feu ?

Le confinement est d’une immense brutalité car il est accompagné de mesures de rétorsion délirantes.
Aujourd’hui ai marché 1h.AR. À un km de chez moi, j’ai frémi. Poursuis-je ou pas ? J’ai fait demi-tour.
Un monsieur à Marseille, le beau frère de la velle soeur de ma copine a marche 1km et 300m. Il s’est fait taxer de 135 euros. C’est la double peine.

D.

Bien.
En regardant Strip tease ai trouvé cela, le récit de ma mère, brutalement, impudique. Pourtant, je pense que si je ne tenais pas ce journal ici, ne pourrais pas tenir le coup. Suis divisée, D.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…mardi 31 mars 2020 à 5 h 14 min.

…trop d’imaginations, peut-être,!…

…et si tout çà,!…de virus,…ne viendrait-t’il pas, de mélanges de nourritures inappropriés ensemble,!…

…genre trop Bio, trop rechercher, trop à la recherche de nouveaux goûts complexes, ou autres, fast-food rapide,…
…vieillir plus vite en rajeunissant trop lentement,!…Ah,!Ah,!…
…le haut du pavé,!…
…sa propre science du goût sucré-salé,!…
…et que sait-je d’économies sur la nourriture, pour devenir  » riche « , ou trop  » complaisant  » à tout,…mystères et boules de gommes à s’effacer sur le monde,!…

…le terme, biologique,…ou le corps ne supporte plus les cadences de vivre ensemble, avec tant de différences et de sacrifices d’être monopoliser en victime des gestions sociales et politiques,!…Ollé,!…Ollé,!…

…la taureau-psychiatrie et ses essences comme liants mortifères,!…Ollé,!…

…qu’elle solution?,…restabiliser l’homme à sa nature dite  » humaine « , avec ses défauts naturels s’il en restent à le soumettre,!…
…of course, Albion, de mes deux,!…Ah,!Ah,!
…etc,!…envoyez,!…

JiCé..... dit: à

Mardi 31 mars 2020, 5h53
Un jour de plus, un jour comme un autre pour les mammifères en captivité, ne comprenant pas tous qu’ils ne sont pas maîtres de leur destin …

JiCé..... dit: à

Cette saleté de virus pandémique nous projette des siècles en arrière en détruisant cette confiance illusoire dans une que nous avions dans une vie plus forte que la mort.

JiCé..... dit: à

Les crétins pourraient parler de nouvelle donne, et ils ne s’en priveront pas. Or leur Nouveau Monde n’est que la résurgence de l’Ancien. Pas de quoi pavoiser ! Le saut en arrière va coûter cher aux naïfs oublieux…

JiCé..... dit: à

Cette saleté de virus pandémique nous projette des siècles en arrière en détruisant cette confiance illusoire que nous avions dans une vie plus forte que la mort.

JiCé..... dit: à

Pourvu que l’adage « Les meilleurs partent les premiers » soit respecté…je serais rassuré sur mon sort !

rose dit: à

JiCé
Puisque vous avez la dent dure, vous êtes de l’espèce qui dure. Moi aussi.

Joie brève ; article réservé aux abonnés.

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