L’islam selon Claude Lévi-Strauss
Des textes classiques pour éclairer notre lecture actuelle de l’islam, il n’en manque pas. Privilégier le grand livre de Claude Lévi-Strauss Tristes tropiques (Pocket) pour en isoler quelques pages, ce n’est pas seulement surprenant car inattendu : c’est aussi passer pour provocateur, surtout un demi-siècle après sa publication, à une époque rongée par le principe de précaution, la bien-pensance et le politiquement correct. Ces fameux passages ne sont pas inconnus mais méconnus. Régulièrement évoqués, rarement commentés. On sent comme une gêne chez ses admirateurs. Bien qu’il fut totem, il n’est pas devenu tabou. L’intellectuel a maintes fois été dénoncé pour son antihumanisme alors qu’il voulait fonder les droits de l’homme en ne privilégiant pas l’espèce humaine par rapport aux autres espèces vivantes, animales, végétales. Le débat dure encore. Mais ses vues sur l’islam, non, franchement, passons… Lisons plutôt ! ici les morceaux choisis ou là le Pdf intégral du livre.
Directeur d’études à l’école pratique des hautes études à la Vème section dite des sciences religieuses, il avait passé quelques mois en 1950 à voyager en Inde du nord puis à enquêter au Pakistan pour une mission de l’Unesco sur l’état des sciences sociales dans le pays. Il écrivit Tristes tropiques en 1954 et 1955 à l’invitation de Jean Malaurie qui lançait alors chez Plon une collection appelée à devenir fameuse « Terre Humaine ». Un récit rédigé sans précaution par sauts et gambades, recomposant son expérience avec le recul des ans mais sans réprimer ses impulsions. Il est vrai qu’il venait d’essuyer deux fois de suite un cuisant échec à l’élection au Collège de France après avoir été invité à se présenter à la chaire de sociologie comparée.
Le succès fut immense. Tristes tropiques est à ce jour le plus célèbre et le plus traduit de ses livres – et son incipit assuré de demeurer longtemps dans l’anthologie des meilleures attaques :
« Je hais les voyages et les explorateurs ».
A l’origine, l’ethnologue avait pensé cet ensemble de réflexions retour du terrain moins comme un texte scientifique que comme une sorte de roman ; l’Académie Goncourt ne s’y était pas trompée qui publia un communiqué exprimant le grand enthousiasme de son jury, notamment Pierre Mac Orlan qui s’y retrouva (et pour cause : ses propres livres avaient passionné le jeune Lévi-Strauss) et regrettant de ne pouvoir couronner un texte qui ne fut pas vraiment une oeuvre de fiction. Inévitablement, la médaille avait un revers : des portes se fermèrent dans la sphère savante, des maîtres et des collègues lui tournèrent le dos.
Indifférent au sentiment religieux, à cette inquiétude-là et à tout rapport avec un Dieu personnel, Lévi-Strauss n’en a pas moins étudié et enseigné l’histoire des religions, toute son œuvre en témoigne tant elle est traversée de part en part de la notion de religieux, notamment, il est vrai, chez les peuples sans écriture. Toute son approche du fait religieux est anthropologique et structurale au sein d’un système de communication entre groupes et individus. Ce qui le tourmente et le déconcerte dans l’islam, ce sont ses contradictions face à l’Histoire : sa volonté de fonder une tradition qui s’appuie sur la destruction de celles qui l’ont précédé.
Au chapitre XV, il se dit impressionné par la manière dont les musulmans se font leur place dans le cosmos, comment ils s’inscrivent dans l’espace : un minuscule tapis de prière leur suffit à s’isoler de la rumeur du monde, à s’en abstraire pour rejoindre ce qui est plus grand qu’eux.
« Pour pouvoir résister, il faut un lien très fort, très personnel avec le surnaturel, et c’est là que réside peut-être un des secrets de l’islam et des autres cultes de cette région du monde, que chacun se sente constamment en présence de son Dieu ».Et le voyageur de rapporter son émotion en observant un vieillard prier seul sur une plage de l’océan indien au coucher du soleil après s’être fabriqué son univers avec deux chaises de guingois. Pourtant vers la fin du livre, dans le fameux chapitre XXXIX qui fait tant problème, il voit l’islam comme une religion si naturellement collective et communautaire qu’elle éprouvera toujours des difficultés à penser la solitude. Quand il y reviendra plus tard dans une lettre à Raymond Aron, il reconnaîtra :
« Les brefs contacts que j’ai eus avec le monde arabe m’ont inspiré une indéracinable antipathie »
Dans ses dernières années, au cours d’un long entretien avec Didier Eribon (De près, de loin, 1988), il dira n’avoir pas « accroché » au cours de ses quelques mois passés dans les pays musulmans, faisant observer qu’il s’était « confessé » à ce sujet dans Tristes Tropiques mais n’exprimant pas le moindre regret. Y revenant avec le même interlocuteur en 2002, il enfonça le clou :
« J’ai dit dans “Tristes Tropiques” ce que je pensais de l’islam. Bien que dans une langue plus châtiée, ce n’était pas tellement éloigné de ce pour quoi on fait aujourd’hui un procès à Houellebecq. Un tel procès aurait été inconcevable il y a un demi-siècle; ça ne serait venu à l’esprit de personne. »
Et lorsque Didier Eribon se demande et lui demande ce qui a bien pu changer, il répond sans hésiter :
« Nous sommes contaminés par l’intolérance islamique. Il en va de même avec l’idée actuelle qu’il faudrait introduire l’enseignement de l’histoire des religions à l’école. J’ai lu que l’on avait chargé Régis Debray d’une mission sur cette question. Là encore, cela me semble être une concession faite à l’islam : à l’idée que la religion doit pénétrer en dehors de son domaine. Il me semble au contraire que la laïcité pure et dure avait très bien marché jusqu’ici. »
Depuis, lorsque la question revient, il est toujours des voix pour s’étonner que tout Lévi-Strauss qu’il fut, nul n’ose le taxer d’islamophobie. Et qu’importe si l’on sait bien que l’ethnologue s’intéressait moins aux hommes qu’aux croyances, coutumes, institutions, structures.
Abdelwahab Meddeb, qui avait consacré une longue analyse à ces pages de Tristes tropiques en deux parties intitulées respectivement : « Divagations » et « Lucidité » dans la revue Esprit en août/septembre 2011, les jugeait sévères ; à ses yeux, le grand ethnologue y faisait preuve d’autant de méconnaissance que d’aveuglement ; néanmoins, Meddeb reconnaissait que son analyse du blocage de l’islam et de l’inertie historique qui s’en est suivie, pour être sans concessions n’en était pas moins pertinente. De quoi suffire à la rendre actuelle avec ses attendus, dussent-ils déranger bien des consciences.
(Illustration Ch. ; Documents et machine à écrire de Tristes tropiques, fonds Lévi-Strauss/ Bnf, photos Passou)
962 Réponses pour L’islam selon Claude Lévi-Strauss
Les discours politiques, d’hier et d’aujourd’hui, Versailles ou pas Versailles, je décroche. Où sont les orateurs de jadis qui savaient transporter des foules enthousiastes ? Ceux d’aujourd’hui, c’est du flan, de la daube, de la fausse monnaie. Seul Hamon avait quelque chose de neuf à proposer.
des pierres fondatrices de nos « humanités »(pas moyen de mettre des italiques)
..comme 30 ans havant simenon havait épuisé seul tous les intinéraires de france havant les congés payé..le samsung comme dirait phil..bande d’hypocrites..et ce culot de mater d’un air goguenard et surtout supérieur la nike au pied dla voilée acculturée..’je hais les esplorateurs’..et ta soeur..surtout surtout..faut havoir l’courage de sregarder
et j’ajoute le regret de ce temps béni hou l’exotique et les voyage rendaient hintelligent..et qu’on s’donnait des airs..les humanités c’est pas faire le jean foute qui pleurniche un peu..qui méprise..qui déplore que dans l’fond ça srait mieux si yavait pas l’populo et que si hon pouvait aimer son lointain havec à ses semblabes..le semblabe le frêre..la phin d’un trop bon client lassouline..hou que c’était l’bon temps
Delaporte dit: 4 juillet 2017 à 14 h 43 min
les orateurs de jadis qui savaient transporter des foules enthousiastes ?
Euh… Henriot ?
Mine de rien jusqu’à la fin des fins tout le monde l’écoutait sans le dire… Peut-être même le grand Charles !
Les vaines promesses, l’utopie du premier ministre :
« Notre jeunesse a soif de cause.(…) La jeunesse veut s’élever. Le front aujourd’hui est social, environnemental et mondial. Il appelle la mobilisation de la jeunesse pour construire, partager. Préparer nos enfants à ce monde qui vient, à cette France que nous voulons grande et belle. »
Ce sont des paroles creuses et vides de sens, si par ailleurs le gouvernement continue sa politique libérale-capitaliste-marchande. De bonnes paroles, ça ne mange pas de pain…
« Henriot ? »
Je pensais plutôt aux orateurs de la Révolution, et même au de Gaulle du 18 Juin.
JAZZI dit: 4 juillet 2017 à 14 h 29 min dont le discours ne lui a pas assez signifié l’instance paternelle. »
pire que ça, elle se venge même en la rendant insignifiante
Voilà un billet qui rendrait presque l’islam non pas sympathique, mais attirant par quête de l’absolu.
C’est quand même cette dernière pulsion qui entraîne les intellectuels et les autres dans des mouvements ondulatoires à modéliser, vers le nazisme, le communisme…
Heureusement cette fois-ci cela prend moins, parce qu’archaïque, alors que les deux cités plus hauts étaient essentiellement tournés vers l’avenir… Et pour mille ans, encore !
Mais gare au gorille…
Delaporte du Palais du Futur a raison : il nous fallait Hamon. … Marcel Hamon …
Anachronique comme un discours de Mélenchon Jazzi!
« Delaporte du Palais du Futur a raison : il nous fallait Hamon. … Marcel Hamon … »
Marcel (davantage de votre niveau) ou Benoît, tout me va…
« mais attirant par quête de l’absolu »
C’est une noble aspiration de l’homme, qui s’incarne dans la religion, mais dangereuse en politique.
… et d’ailleurs, il faut ajouter, souvent dangereuse en religion aussi. C’est sûr.
Boh les mecs qui savent pas causer faut leur faire becqueter des cailloux ! D’ailleurs les pierres ont une âme, d’après Teilhard…
Delaporte dit: 4 juillet 2017 à 17 h 32 min
… et d’ailleurs, il faut ajouter, souvent dangereuse en religion aussi. C’est sûr.
Ce qui était bien, c’était le polythéisme… Ils y croyaient à moitié, et pour finir ils s’en foutaient un peu…
La Princesse de Clèves et la fidélité ?
Si ce n’était que ça ce ne serait pas très intéressant.
Il s’agit en réalité de bien autre chose dans ce roman. Il s’agit de l’érotisme féminin. Elle est amoureuse du duc de Nemours, mais elle sait que si elle s’abandonne à ce don Juan de cour, elle le perdra aussi vite. Or elle désire restée gravée dans l’esprit et le cœur du duc.
Si au contraire elle veut continuer à être aimée du duc, elle doit se soustraire à son emprise et ne pas se laisser vaincre. Paradoxalement — et c’est ce qui fait toute la grandeur haletante de ce roman d’amour — pour triompher du duc et faire durer sa passion amoureuse éterbellement, elle doit se sacrifier et ne pas se laisser vaincre. C’est pourquoi elle finit par se retirer au couvent.
C’est toute la différence — une différence ontologique — entre l’érotisme féminin et masculin. Lorsque l’homme pense à une conquête, c’est l’acte sexuel qu’il a en tête. La femme, elle, pense bien davantage à l’émotion érotique qui la fera se souvenir et qui gardera son désir en éveil. Le désir masculin est discontinu, le désir féminin est continu. D’où, bien souvent, de cruels malentendus entre eux…!
« Ce qui était bien, c’était le polythéisme… Ils y croyaient à moitié, et pour finir ils s’en foutaient un peu… »
Le paganisme s’est effectivement éteint par manque de crédibilité et je-m’en-foutisme. C’est dans ce contexte que les monothéismes ont fait leur apparition, et ont attiré les gens en quête de vérité et de sérieux. C’est toujours le cas aujourd’hui, où le polythéisme a disparu complètement, laissant la place à des religions plus authentiques, plus conformes au seul Dieu qui régit l’univers.
« Je hais les voyages et les explorateurs »
moi pareil !
ce passage était trop méconnu, sinon je l’aurais sorti plus souvent à chaque fois que je croise un touriste genre Paul Edel dans les rues de Florence…
non sérieux, passou votre article est super !
y’avait déjà tout ça dans Tristes Tropiques et personne ne l’avait remarqué avant ?
c’est incroyable !
en tout cas ça donne à réfléchir sur l’intérêt d’écrire ce genre de bouquin, s’il faut un demi sièlce pour s’apercevoir de ce qu’ils renferment autant les publier un demi siècle plus tard.
non sérieux je sais pas si ça donne à réfléchir, mais en tout cas ça donne du grain à moudre, je veux dire c’est fort de café et ça manque pas sel cette affaire.
et pourtant il est pas très gros ce bouquin.
et vous savez la raison de ça ? c’est parce que les lecteurs lisent une page sur deux pour aller plus vite ?
Non, c’est parce que le monothéisme a aussi inventé la Vérité. Le paganisme c’est la tension entre la vie et l’immortalité qui structure la vérité. Dans la Torah il s’agit de bien autre chose, il s’agit de faire l’épreuve de la connaissance. Dans le christianisme, cette épreuve de la connaissance devient un drame intérieur: la vérité ou la mort. À cet égard, nul ne témoigne plus âprement que saint Augustin du péché d’ignorance, de cette disgrâce d’avoir à vivre hors de la vérité. C’est une tout autre anthropologie que l’anthropologie grecque ou latine, qui ignorent un tel drame.
« davantage de votre niveau » (Delaporte)
Parlons en, avant de nous quitter ! Mal conçu, mal instruit, mal éduqué, mal élevé, mal foutu moralement, mal aimé, j’aime à confondre vulgarité et volupté.
Je jouis toujours de la vulgarité comme d’une exquise volupté, et n’envisage la volupté que comme compagne de la vulgarité la plus inventive !
Et va te faire foudre, eh, mon bolo de superette !
Socrate est très proche du Christ, comme l’avait si bien compris Nietzsche : il se sacrifie pour la vérité lui aussi. La grande différence entre les deux toutefois, c’est que Socrate n’a jamais pensé que la Vérité puisse nous sauver.
Là, je suis bien d’accord avec notre grand JC. Delaporte c’est un vrai bolo de supérette ! Ah ke voui, comme dirait Johnny !
Et bientôt avec la Chanson de Roland et la littérature de la quête au Moyen-Âge, la recherche de la vérité devient le nouvel héroïsme. Jusqu’à Dante, où l’héroïsme est celui du poète lui-même dans sa quête de vérité, sa Vita nova.
À partir de Rabelais surgit le doute jusqu’à la folie singulière de Don Quichotte. Avec Hamlet et Shakespeare, le doute se transforme en spectre de la vérité de l’héroïsme.
Il faudra attendre Descartes pour reprendre le flambeau en transfomant le doute en nouvel héroïsme. Mais à peine né, il est déjà rongé par le doute du doute.
Aujourd’hui, nous avons franchi le Rubicon. Nous avons mis à bas toute la métaphysique pour mettre l’homme à nu, l’homme dévasté, qui s’apprête à édifier les droits des animaux et des plantes.
l’andouille de JC de plus en plus verbeuse, niaise et nulle
« Socrate n’a jamais pensé que la Vérité puisse nous sauver. »
C’est un gag ? Pour lui seul le juste sauve l’âme.
ou alors quelle référence permet d’énoncer ça ?
Ce soir je mange des tortellinis à la tomate.
Et vous, keupu ?
« Et va te faire foudre, eh, mon bolo de superette ! »
Qu’est-ce qu’un « bolo de superette » ?
notre grand JC
j’ai la vazline mais contre une bouteille de maury d’henry 20 ans d’age..c’est raisonnabe
Vu qu’on a le luxe d’un peu de temps pour se détendre ici par rapport aux ouvriers du bâtiment, il y a ces pages de Richard Ford dédiées à son père et à sa mère écrites à 40 ans d’intervalle (Entre eux, l’Olivier, 2017) : des gens banals et sans histoire de l’Amérique profonde de l’entre deux guerres, banals comme bien des nôtres en France profonde. Or, quel besoin de leur rendre un hommage aussi dépourvu de saillances et d’originalités ? Cette réponse possible… : « Comme je tiens pour acquis que la vie vécue n’admet aucune transcendance, j’en reviens toujours aux miens ». Et cette autre aveu, clé de l’œuvre littéraire fordienne : « Je les percevais surtout de la manière dont ils se percevaient eux-mêmes, c’est-à-dire dans leur solitude à deux. Leur duo de solitudes (…) – Et au final, pour dire in fine : « pour attentif qu’on soit, une large part de ce qui advient nous échappe »… (il est banal que le monde ne fasse pas attention à vous ; cette découverte constitue un ressort essentiel de 3/4 de mes écrits depuis une cinquantaine d’années ».
Magnifique épure dépouillée, pas de tristesse.
Nonobstant, j’ai eu pour ma part une rude journée comme chacun d’entre nous, et maintenant, je m’aperçois que de la lave éruptive a bien coulé ici tout au long du jour. C’est l’heure de l’Apéro et du ressourçage à la RDL.
BS à toussent, les amis-es ! Signé Ducon.
Qu’est-ce qu’un « bolo de superette » ?
mais sfaire foute bien profond tu sais..
« pour attentif qu’on soit, une large part de ce qui advient nous échappe »
comme son savon sous la douche dans les salles de sport quil pense delalourde
bonne clopine havait l’truc dle rouler dans du gros gravier..ça marche..mais sinon hon peut lregretter
En fait, « bolo », c’est du genre raffiné, mais outre-Atlantique :
Bolo : (Québec) Trophée potache désignant quelqu’un en faute.
« J’adresse donc un (autre) bolo bien personnel au gouvernement […] ! »
Janssen J-J dit: 4 juillet 2017 à 19 h 36 min
(…)
Signé Ducon.
je ne trouve pas cela drôle du tout, mais alors pas du tout.
ribouldingue
je n’ai aucune intention que vous vous battiez pour moi. ai enterré le sabre dans le jardin, et ramené les couteaux dans la cuisine. Merci de votre attitude gentleman.
widergänger
strictement aucune malignité ne m’animait donc votre réaction m’a abasourdie. Franchement, pardonner reste essentiel.
Le prix Albert Londres au grand incomplet…
« Les lauréats sont Samuel Forey, pour ses reportages à Mossoul, Tristan Waleckx et Matthieu Rénier pour un documentaire sur Bolloré et David Thomson pour son enquête sur les jihadistes «revenants». »
« Lauréat du prix cette année en presse écrite, Samuel Forey, reporter indépendant de 36 ans, a été récompensé pour ses reportages publiés dans le Figaro sur la bataille de Mossoul en Irak. «J’ai eu une chance immense», reconnaissait le reporter quelques jours avant de recevoir ce mardi le prix Albert-Londres. Il racontait comment il s’en était «miraculeusement bien tiré» en n’étant que légèrement blessé ans l’explosion qui a tué trois de ses confrères Véronique Robert, Stephan Villeneuve et Bakhtiyar Haddad. La cérémonie de la plus prestigieuse récompense du journalisme francophone a été dédiée aux trois reporters disparus. »
http://www.liberation.fr/planete/2017/07/04/le-prix-albert-londres-au-rendez-vous-de-l-audace_1581521
@Janssen J-J dit: 4 juillet 2017 à 19 h 36 min
(…)
Signé Ducon.
je ne trouve pas cela drôle du tout, mais alors pas du tout.
_______________
c’est seulement drôle su on se souvient comment » Canada » n’a pas été lu.
Sinon, vous avez entendu ?
Philippe le Prime fait dans la récup’, et recycle. Pas seulement le plastique. Il recycle Simone et puis Bob.
https://www.youtube.com/watch?v=3l4nVByCL44
@20.24, désolé rose…, apparemment ce n’est drôle que pour martine, je préfère endosser ses injures, elle pense que ducon la valorise, tout le monde connait sa manière de fonctionner depuis le temps et à chacun-e, sa méthode d’adaptation. La vôtre est classe, je trouve. J’observe, et j’apprends tous les genre sur l’art de s’adapter à distance à la Per Nar.
sérieux, on nedoit pas ^ter nombreux à se souvenir des toquards qui parlaient du livre » Canada » de Richard Ford, sans l’avoir lu…
oups, la fatigue du jour, correction:
sérieux, on ne doit pas être nombreux à se souvenir des toquards qui parlaient du livre « Canada » de Richard Ford, sans l’avoir lu…
« Le désir masculin est discontinu, le désir féminin est continu. D’où, bien souvent, de cruels malentendus entre eux…! »
Il en sait des trucs WG!..
Chuis impressionné…
Pas tout compris.
Y’a que « Passou » et Phil pour avoir connu les voyages au temps de CLS (1955) et Bouvier(1963) ?
Diable, j’veux bien comprendre la formule « bientôt, il n’ aura plus grand monde à qui parler », mais sont vachement précoces les deux vieux ronchons.
Mon problème, c’est de comprendre pourquoi Passou aborde ce sujet maintenant et de cette façon.
Critiquer l’islam à travers Lévi-Strauss est relativement safe, d’accord…Supposons que Tristes Tropiques soit dans la liste des trente classiques à lire selon le Mag Litt (que je n’ai pas consulté). Pourquoi choisir celui-ci et pas l’un des 29 autres en édito? Et pourquoi choisir ce thème qui est évidemment marginal dans le livre de CLS?
Aucune actualité ne le demandait, sinon l’inquiétude permanente que suscite l’expansion de l’islam, mais qui n’est pas plus vive aujourd’hui qu’il y a six mois, un an…
Passou serait-il rongé par cette inquiétude sans peut-être oser se l’avouer à lui-même et nous enverrait-il un signal discret à travers ce billet étrange et sans motivation dans l’actualité littéraire?
Insondable Passou.
D’ailleurs si Phil pouvaient briefer les djeunes en pantalon Levi’s 501, au sujet de « tristes tropismes », il rehausserait considérablement le niveau de ses réflexions.
Ne serait-ce que nous indiquer à quelle page il a ouvert le livre de CLS.
Juste pour voir, et sans choisir la page bonus du Mag’ litt’.
Car parmi les jeunes qui perdent leur temps à l’akadémie de sicko-analyse anthotopo, et qui vont devenir des akadémiciens endogames qui plombent le déficit – qui ne fait pas que danser Philippe le Prime sur un volcan- et nous font iech avec leurs âneries structuralistes autant que gonfler nos impôts,
qu’ils comprennent au moins cette bile du vieux en tergal qui enfume le salon.
« j’ai la vazline mais contre une bouteille de maury d’henry 20 ans d’age..c’est raisonnabe »
T’es qu’un voleur, le boug, un tube de gel ça coûte quelques euros ! Tu peux te la carrer, ta bouteille !
…
…trop peu de tout en toutes considérations pratiques, pour faire des confidences sensibles,!…
…
…toujours en taille X-SMALL,…
…et le tout, comme un jeune lycéen,!…
…
…c’est vrai, des vies à rat rapper,!…pourquoi, faire, avec des mentalités au seuls profits,!…qu’elle raison d’être ou de ne pas être,!…l’éternité, pourquoi faire,…
…aux incorruptibles corrompus,!…Bip,!Bip,!…
…aucun désir, que de faire, mieux, en tout les genres,!…
…
…
« Insondable Passou. »
Il suffit de bien mettre la sonde au bon endroit, closer !
widergänger
strictement aucune malignité ne m’animait donc votre réaction m’a abasourdie. Franchement, pardonner reste essentiel.
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J’ai jamais dit que la milignité vous animait. Seulement la grosse connerie ! À mes yeux ça suffit pour vous envoyer pâitre, vous voyez ! Ou plutôt, vous ne voyez pas, tellement mes propos vous dépassent. c’est bien là le pire, le plus tragique dans ce monde.
widergänger
strictement aucune malignité ne m’animait donc votre réaction m’a abasourdie. Franchement, pardonner reste essentiel.
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J’ai jamais dit que la milignité vous animait. Seulement la grosse co.nnerie ! À mes yeux ça suffit pour vous envoyer piâtre, vous voyez ! Ou plutôt, vous ne voyez pas, tellement mes propos vous dépassent. c’est bien là le pire, le plus tragique dans ce monde.
Mais non, Passou s’accorde simplement une petite récréé, il sait trop bien mettre le feu à son blog. L’islam, sujet brûlant par excellence ! En plus Passou en connaît un rayon sur l’islam. Alors on voit pas pourquoi il se refuserait une petite provocation, dont il a le secret. Et puis faire réagir Pierre, Paul, Jean, Jacques comme le montreur de marionnettes qui manipule ses ouailles, c’est drôle, une petite jouissance qu’on ne se refuse pas…! Ceci dit, le sujet reste grave à l’heure du terrorisme.
à widergänger
d’accord.
et vous votre grosse connerie permanente comme par exemple le fine amor né à Poitiers alors que tout le monde sait depuis sept cent ans que la naissance du fine amor est en Provence avec les troubadours à la cour de et que c’est seulement ensuite qu’il monte à Poitiers etc. D »abord en occitane et ensuite vers le nord de la France.
Vous vous faites le hérault de l’amour courtois et vous n’êtes rien d’autre qu’un butor, un grossier personnage, un sapajou, un savetier.
Je me la boucle pour ne pas vous mettre face à vos erreurs plus grosses que vous, mais vous les alignez comme les huîtriers les perles, alors désormais, je ne ferai plus preuve de mon éducation face à vous, mal élevé, mal embouché.
DE plus vous êtes imbu de vous-m^zmz croyez posséder le savoir alors que vous possédez le copié-collé et êtes dans l’impossibilité » totale d’argumenter sur quelque sujet de cela monsieur moi-je.
Je ne vous salue pas : vous témoignez par votre grossièreté de l’entier contraire de ce que vous prônez. Quelle honte !
en Occitanie
réponse à wider modérée eu égard au fait que c’est un tissu de remontrances.
Oui, le sujet est grave. Un grand ménage est nécessaire dans les fac’ de sciences sossiales.
Quand on fait ça on les prend noires, les Addidas… Ces gars-là c’est pas des stratèges bien avertis !
jjj à 21h10
à votre guise ; pour ma part j’envoie bouler wider. Trop de tolérance tue la tolérance et les expériences récentes me prouvent que les limites doivent être posées beaucoup plus tôt (pour moi) ; que quelqu’un d’autre vous injurie m’est inacceptable mais que vous-même repreniez cela n’est pas entendable : je ne peux pas l’entendre. Merci d’entendre la portée de cela, si vous le pouvez. Que signifie Per Nar ?
Je ne comprends pas, selon la leçon de Thoreau, comment on peut encore accepter de payer nos impôts.
« Venons-en à un autre des leviers de l’anthropologie de F. Héritier : la valence différentielle des sexes. »
http://www.laviedesidees.fr/Le-structuralisme-militant-de-Francoise-Heritier.html
Le désir masculin est discontinu, le désir féminin est continu
Le scoop de l’été! WGG j’achète l’idée qui ne devrait pas me ruiner pour ce qu’elle vaut .
plus de sept cents ans.
Par exemple, parmi tant d’autres, Raimon Bérenger de Provence.
closer dit: 4 juillet 2017 à 21 h 52 min
Passou serait-il rongé par cette inquiétude
Houi pis il a raison… Y a plus que ça mainenant, des le Peine des Narabs givrés… Libertad !
Tiens qu’est-ce qui dit sur le contrôle technique moto, le Alcoran ? Ca doit être encore beau…
Qq références wikipédiennes comme les vôtres widerganger, pour bien vous prouver que l’influence de Chrétien de Troyes vient d’abord et avant tout de la poésie lyrique occitane et débarque longtemps après en angoumois.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tenson_(chanson)
Revoyez vos classiques. Vous avez de nombreuses lacunes.
bérénice dit: 4 juillet 2017 à 22 h 29 min
Le scoop de l’été!
Ca s’appelle climaxique et non-climaxique ; faudrait voir si Heidegger en cause… Chevillard, peut-être !
Raimond Bérenger
rose dit: 4 juillet 2017 à 22 h 38 min
Vous avez de nombreuses lacunes.
Houi mais c’est pas une raison pour lui mettre deux heures de colle quand même on pourra plus s’en débarrasser…
Je trouve que CLS gagne à être connu.
Le guide idéal pour les vacances. Ca vaut largement le routard, qu’aurait roulé.
Mais que des joints.
« Le modèle linguistique, qui a imprégné à travers le structuralisme lévi-straussien une grande partie de la pensée anthropologique contemporaine, est également à l’origine de l’idée de « chaîne de concepts associés » élaborée par F. Héritier. À proprement parler, on retrouve la source de cette idée à la fois dans la décomposition en unités minimales que l’on vient d’évoquer et que nous devons tous à la notion de phonème de Troubetzkoy, et dans l’aspect paradigmatique du langage (notamment, les « séries mnémoniques virtuelles » mises au jour par Ferdinand de Saussure [9], séries qui ont leur siège dans la mémoire et qui peuvent être activées à tout moment). C’est bien du fait que ces chaînes de concepts communiquent entre elles par contiguïté sémantique (relevant de leur association paradigmatique dans l’architecture de l’esprit) qu’elles peuvent être divisées en segments, ce qui fournit la matière première dont l’anthropologue se sert pour construire ses modèles. Que l’on pense à la manière différente dont les mêmes éléments se combinent, partout dans le monde, lors des fêtes du Nouvel An. »
http://www.laviedesidees.fr/Le-structuralisme-militant-de-Francoise-Heritier.html
Segio, j’entendais ce soir Christian Boltanski expliquer qu’il avait besoin de main-d’oeuvre pour son installation au nord de la Patagonie, un système qui permettrait aux vents de produire un son semblable à celui des baleines dont personne à l’exception des baleines ne profitera car les routes qui y mèneront sont difficiles et tout ceci au milieu d’une exploitation de milliers d’hectares peuplée de milliers de moutons, cela vous tente?
-Le plaisir à relire « Tristes tropiques » est identique à celui éprouvé en ouvrant « L’usage du monde ».
Ce ton des années cinquante, heureux dans son délestage des années de guerre et pas encore chargé de culpabilités outrées par une génération qui n’a rien vécu de cette période, est aujourd’hui perdu.
– Phil de 10.42, Tellement vrai !
ben oui, c’est cela aussi la post-vérité.
« comme le montreur de marionnettes qui manipule ses ouailles »
Oui, mais je te rappelle, WGG, que le prochain roman de Passou traite de l’engagement de l’écrivain ! Entre engagement ou marionnettisme, il faut choisir ? Et sur l’Islam, il doit se positionner…
« Ca vaut largement le routard, qu’aurait roulé.
Mais que des joints. »
Le joint enrichit le voyage, LVDLB ! Tu préfères la picole ?
« Ce ton des années cinquante, heureux dans son délestage des années de guerre et pas encore chargé de culpabilités outrées par une génération qui n’a rien vécu de cette période, est aujourd’hui perdu. »
Oui, et alors, Phil, vous parlez comme un ancien combattant et ne manquez pas de nostalgiques pour soupirer avec vous !
Le temps est venu pour qu’en 2018 les vacances scolaires soient avancées de 15 jours : du 15 juin au 15 août, avec une reprise le 17 août.
Il n’y a que des avantages à cela. Climatiques, durée du jour, meilleur étalement par rapport aux vacances des touristes étrangers.
Mais tout le monde devra se recaler. Tout le monde du travail et du tourisme.
bas rosis, Philippe le Prime, dans son DPG, déroulé comme un automate, a annoncé quelques mesures qui ne vous exposeront plus qu’à une amende, pour fumette aggravée.
Cela dit, votre discours pour ivrognes n’est pas très original. Entre les fumeux et les alcoolos, c’est à qui s’évertue à se trouver en moins mauvaise santé. Folle que vous êtes, entre se bourrer la tronche, fumer de l’herbe à nigaud ou conduire, vous avez choisi. De ne pas conduire.
Pas bon pour la Mother Road. Et pas que.
CLS n’a jamais fait mystère de l’apport linguistique de Jakobson dans la fondation du structuralisme. Je crois que c’est au Brésil qu’il l’a connu. CLS a même écrit un article avec lui sur sa fameuse étude sur le sonnet de Baudelaire « Les chats » ; il s’en explique ici au début de l’article dans une revue d’anthropologie :
http://www.persee.fr/doc/hom_0439-4216_1962_num_2_1_366446
rose dit: 4 juillet 2017 à 22 h 38 min
Mais j’ai passé mon temps à expliciter précisément l’influence de la lyrique d’oc. Vous ne m’avez pas lu appramment.
Il a l’influence de la lyrique d’oc, c’est une chose. Mais la « Matière de Bretagne » ne vient pas du sud de la France mais de l’entourrage de Henri II Plantagenêt à Londres, avec Wace et Geoffroy de Monmouth.
Rangez votre artillerie, rose, vous ne faites pas le poids, je vous assure. Je pourrais vous donner des leçons sur ce sujet, que je connais remarquablement bien.
bérénice dit: 4 juillet 2017 à 22 h 45 min
il avait besoin de main-d’oeuvre
Bon j’attrape un marcel et j’y vais… Havec mon Csound on fait des sons essetraordinaires ! Par exemple faudra du baffle, hein… Et pas des machins d’Ipode ! Non aussi hauts que l’empailleur state…
Sinon les baleines faudra qu’elles mettent des cornets !
bérénice dit: 4 juillet 2017 à 22 h 29 min
Le désir masculin est discontinu, le désir féminin est continu
Le scoop de l’été! WGG j’achète l’idée qui ne devrait pas me ruiner pour ce qu’elle vaut .
____________________
Je m’interroge : avez-vous bien compris cette opposition discontinu/continu pour penser la différence entre l’érotisme masculin et féminin ?
Je crois aussi que Pascal Bruckner et Finkielkraut en ont parlé dans leur essai en commun sur le désir amoureux.
Disant que l’érotisme féminin est beaucoup plus riche que le masculin qui viserait uniquement à tirer son coup puis à s’endormir… Alors que le désir féminin trace une ligne continue entre les conversations, les caresses, les baisers et l’anus…
Je crois que c’est très vrai. Sauf qu’il y a aussi une femme dans l’homme et un homme dans la femme. Mais la continuité de l’érotisme chez la femme a quelque chose de proprement magique et merveilleux quand on l’a bien compris et réveillé en soi aussi ce que l’homme peut receler de magie aussi dans une certaine continuité qu’il sait apprécier… J’appelle ça pour ma part l’érotisation de la vie quotidienne… hummmm…
Les femmes aiment aussi les hommes qui n’hésitent pas à se lancer dans un amour-passion en prenant tous les risques. Elles aiment la violence de la passion pour se réserver le plaisir de maîtriser la bête…
On le voit par exemple dans la passion qui unit Yvain et Laudine dans le roman de Chrétien. Yvain est autant vaillant avec les armes qu’avec son cœur, n’hésitant pas à se mettre en danger. Il a fait de Laudine une grande dame autoritaire, capricieuse et passionnée qui éduque, à sa manière, Yvain mais dans une relation qui, au bout du compte, est assez égalitaire entre les deux amants bien que ce soit elle la suzeraine de la communauté de Landuc et pas lui. Ce qui me paraît très remarquable et d’une incroyable modernité.
widergänger
il vous manque mon message de 22h19 coincé impunément en modération. Vous avez de nombreuses lacunes et inventez ce qui vous convient.
Le fine amor’ est né en occitanie et s’est déployé grâce aux troubadours. Le parcours vers le nord est venu ensuite.
Vous êtes, in fine, un grand ignorant qui se la joue érudit.
On ne me le fait pas ce cinéma ; je suis à deux doigts de vous prendre pour un imposteur. Et votre dernière extravagance de nous parler érotisme me pousse à croire que j’ai grandement raison : s’il y a bien quelqu’un qui ne connaît Rien à l’érotisme, c’est bien vous. Vous avez l’érotisme d’une boîte de sardines de la Belle-Îloise.
(faudra qu’ils me pardonnent ensuite, cette conserverie, mais franchement, l’érotisme des sardines de la Belle-Îloise, n’ont aucune mesure avec notre sardine à nous, qui bouche l’entrée de notre Vieux Port.).
Ô Soliman, le magnifique !
(nota : tu serais pas plutôt pour qq heures de travail d’intérêt collectif, style la plonge dans son nouvel établissement pour s’imprégner de l’ambiance ? Deux heures de colle, il sera avec ses copains, trop content, heureux d’être collé, plutôt que de se faire iech tout seul à la maison. Réfléchis-y bilou).
Widergänger dit: 4 juillet 2017 à 23 h 25 min
rose dit: 4 juillet 2017 à 22 h 38 min
Rangez votre artillerie, rose, vous ne faites pas le poids,
D’accord.
Sortons le tatami et vous verrez bien qui fait le poids et qui s’enfuit. Règle d’or, on laisse les couteaux de cuisine dans la cuisine.
Règle de bronze : on a droit de s’enduire (pour moi ce sera la graisse de phoque).
règle de platine : interdit de sortir du tatami, celui qui sort perd.
WGG, vos amis sont ils des brutes ou vous quand j’y pense, n’importe quoi. Les conversations, les baisers… seraient typiquement désirs féminins. Faudrait songer à décongeler votre stock , à réchauffer votre tendresse, la faire cuire may be comme un steak , vous l’aimez comment?
bérénice dit: 4 juillet 2017 à 22 h 29 min
Je m’interroge : avez-vous bien compris cette opposition discontinu/continu pour penser la différence entre l’érotisme masculin et féminin ?
bérénice : du coup, je me fais beaucoup de souci.
L’avez-vous bien comprise cette opposition discontinu/continu pour penser la différence entre l’érotisme masculin et féminin ?
saignant. Le couteau planté sur la table de la cuisine.
if elected, he’ll have me electrocuted publicly on the next fourth of July.
https://bobdylan.com/albums/bringing-it-all-back-home/
courant continu, courant alternatif, la dyamo à pédales est remisée au grenier mais il paraît que le plaisir s’apparente à une succession de petites décharges éléctriques ; avec M. de Bougie au perchoir, ça va jaser
Il a l’influence de la lyrique d’oc, c’est une chose. Mais la « Matière de Bretagne » ne vient pas du sud de la France mais de l’entourrage de Henri II Plantagenêt à Londres, avec Wace et Geoffroy de Monmouth.
Normal Widergänger : c’est grâce à Eléonore de Provence qui épousa Henri III Plantagenêt, roi d’Angleterre, à Canterbury le 14 janvier 1236. C’est comme cela, par les liens du mariage, contrat féodal, que l’influence arrive en Angleterre, benêt.
« On les qualifie de « non contactées ». Dans la forêt amazonienne, il existe encore, en effet, des tribus d’Indiens qui n’ont jamais eu de contact avec notre civilisation, en particulier à l’ouest du Brésil, près de la frontière péruvienne. »
http://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/homme-dernieres-tribus-amazoniennes-isolees-ete-photographiee-maj-27860/
j’aurais pu écrire gros benêt, mais je me suis retenue. On est brave, ou on ne l’est pas.
je ne relèverai pas le nombre de grosses co…..ies jetées concernant Yvain le chevalier au lion et Laudine sa dame, je tiens à me coucher tôt.
Simplement Claudine est, et est.
Yvain lui est un gamin et un gamin.
Si elle ne posait pas les règles ric rac, tout partirait à vau l’eau.
Hors, comme Yvain pré »faire les tournois avec ses potes à la vie au château, il se retrouve à errer, nu dans les essarts, ayant subséquemment perdu l’amour de sa dame.
Grâce à Lunette, la dame de compagnie, (rôle que l’on pourrait imprudemment rapprocher du rôle essentiel joué par les nourrices, (ceci dans la tragédie grecque, Sophocle et ses compères) ces confidentes intimes qui partagent heurs et malheurs de leurs gentes dames), il pourra y avoir réconciliation aboutie grâce aux quelques épreuves péniblement remportées.
je ne vous ferai pas la liste des épreuves qui ont donné la chance à Yvain de prouver vaillance, grandeur d’âme, énergie belliqueuse etc. Toutes qualités dévolues au preux chevalier, à juste raison.
Dans mes cours, nul jamais n’a joué aux cartes : z’étaient pendus à mes lèvres, attendant la suite, regrettant les vacances, désireux de me retrouver l’an d’après ou cui d’après. Ou de m’épouser. J’ai résisté.
Laudine
p. de correcteur
j’écris gente dame il écrit fiente dame ; où va’t-on ?
Mais non, ma petite chatte, c’est grâce à Aliénor d’Aquitaine qui épousa Henri II. Vous êtes juste en retard d’une génération. Mais on vous pardonne. Mais sur Auschwitz, on ne vous pardonne rien !
préfère
p. de c. automatique
Pour faire moi mon structuraliste, il est intéressant de constater que dans le roman parallèle de l’Yvain, Le Chevalier de la charette ou ntitulé en core Lancelot par certains critiques, c’est Guenièvre qui apparaît souvent en position supérieure, « en amont », accoudée à la fenêtre d’une tour ou d’une tribune, et regardant Lancelot en spectatrice. Comme les deux romans ont été écrits en parallèle et que Yvain fait allusion à l’enlèvement de la reine par Méléagant à deux reprises dans le roman, empêchant ainsi Gauvain de soutenir l’aînée dans son histoire d’héritage qui l’oppose à la cadette, Gauvain qui finira par se battre dans un duel judiciaire contre son meilleur ami, Yvain, sans que ni l’un ni l’autre ne sache qui est son adversaire, — cette inversion ds rôles entre Lancelot et Yvain a structuralement du sens pour comprendre le sens de la relation amoureuse qui lie Yvain à Laudine. Il y a déjà chez Chrétien de Troyes un emploi des personnages à la Balzac !
bérénice, je crains que nous ne sommes pas faits pour nous comprendre… Entre ce que j’écris et ce que vous en comprenez, il y a le même abîme qui va de la bouche à l’anus…
Vous me faites bien rire en tout cas, rose. J’espère que vos élèves étaient plus intelligents que vous et savaient lire les commentaires sur internet… ! Vous, vous devez encore l’apprendre…!!
Mais je suis heureux de constater que je suis invisible pour vous rose. Vous me faites là un grand compliment.
WGG oh29 . avez-vs pensé à écrire un article , complet, sur Yvain ? il y a eu de nombreux travaux, déjà,je crois; vos remarques st intéressantes,mais morcelées, il est difficile de s’y retrouver…
Ne croyez-vous pas que des « images » permettraient de mieux comprendre les personnages ?
Peut-être cela a-t-il été fait, déjà ? pas ds les lettres gothiques, je crois.
Le rapprochement avec Balzac me semble illusoire
par contre,le « nappage » dt vs avez parlé, me fait penser aux romans d’Aragon. »la mise à mort » « Blanche »; le cours du récit s’interrompt,un « intermède » tout-à-fait différent s’incruste,et déborde sur le récit qui repart mais se trouve modifié. Ce qui ne veut pas dire que Aragon s’inspire du roman de Ch de Troyes.
Pourtant, il me semble y voir une vraie parenté.
En vis à vis du discours d’Edouard Philippe et de l’idéologie fallacieuse qu’il exploite, ces quelques mots de Pierre Rabhi qui remettent les idées à l’endroit :
« Ainsi, misère, pauvreté et richesse
cohabitent sur notre planète commune et créent des hiérarchies de l’avoir et du pouvoir débouchant sur toutes les répressions —le tout imputable à l’idéologie du toujours-plus illimité. Le fameux pouvoir d’achat aurait-il une signification hors de la logique en vigueur, qui ravale le citoyen au rang de vulgaire consommateur ? Un éventuel
manque de ferveur à consommer ne peut en toute logique que lui être préjudiciable. Consommer, au risque de toutes les obésités physiques et psychiques, est de fait une sorte de devoir civique, reposant sur une manière d’ascèse inversée, où insatiabilité et insatisfaction alternées constituent les deux mamelles de
l’économie. »
Pierre Rahbi se plante : nous consommons pour vivre. Lire c’est consommer. Faire son Thoreau, ça va 5 minutes….
« l’érotisme des sardines de la Belle-Îloise, n’ont aucune mesure avec notre sardine à nous, qui bouche l’entrée de notre Vieux Port. » (rose)
Sans être méchant, rose, la sardine qui bouche le Vieux Port de Marseille est une image délicate pour parler des sales maquereaux de la CGT qui ont tué la SNCM et pas mal d’activités portuaires ….
Il y a peu de différences entre l’érotisme d’un homme et celui d’une femme, semble t il, car tout se passe dans l’imaginaire de ces remarquables mammifères supérieurs humains des deux, trois, ou quatre, sexes !
L’érotisme est il sexué ? Diable…non !
Modotti :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/07/tina-modotti-le-mani-del-burattinaio.html
0h32 lire, comprendre, ressentir, éprouver . Qu’importe WGG, je ne goûte pas ni n’adhère à tout ce que votre esprit vous dicte ou vous inspire. Je vous souhaite une longue vie érotique avec tout ce que vous pouvez en attendre pourvu que ce ne soit pas forcément voué à l’exposition. Ne pourrait-on pas d’ailleurs sans condamner le recours à la pornographie faire de l’Eros une couture sur mesure qui s’approche du fait religieux par ce qu’il a de personnel, intime, privé. Les cinémas pourrait être perçus comme des espèces de temples, cathédrales, synagogues, mosquées, où ceux qui ont besoin de se réunir pour ce culte dédié viennent pour contempler les différentes représentations mouvantes, émouvantes et polythéistes enluminées .
Quand poutou expliquait qu’il n’y avait pas d’immunité ouvrière, il s’est trompé de sujet.
Dommage que la justice ne lui ait pas fait fermer sa grande gueule avant son show ordurier, à la télé.
Fonctions instrumentales : anticipation :
vous n’êtes absolument pas invisible widergänger mais je.vous défends formellement de m’appeler ma petite chatte.
j’ai enseigné en zep non déclarée càd sans les indemnités afférentes.
si c’était à refaire, je serais prof. je considère que c’est le.plus beau métier du monde.
Simplement, je n’ai pas la même interprétation que vous des textes et c’est mon droit le plus strict.
Hier vous vous êtes laissé emporter par votre hubris.
Du coup, je doute : in fine, guéris-t’on un jour ?
Pendant que le président macaron fait sa séquence « Hulot- émotion » au dessus d’un sous-marin, les affaires suivent, en léger différé.
« «Libération» révèle que l’ex-dirigeante de Business France a transmis aux organes de contrôle une synthèse biaisée du dossier Las Vegas qui gommait les risques judiciaires de l’affaire. »
@ « guéris-t’on un jour ? »
de la maladie de l’ortografe, transmise comme un virus ?
Jamais.
il est temps tarzoune de dire à demain..même si c’est pour rapliquer dans 2h..
Quando ravaml giovani :
pas de morceau à rénateau aujourdhui..tout fout lcamp
ravaml >eravamo
il y a le même abîme qui va de la bouche à l’anus
il est grave dracul
« Lundi, le cabinet de Muriel Pénicaud a fait savoir à Libération que la ministre refusait de répondre à toutes les questions relatives à Las Vegas. »
Quel dommage !
« Selon les enquêteurs environnementaux fédéraux qui ont visité la gigantesque centrale solaire d’Ivanpah, au sud-ouest de Las Vegas dans le désert de Mojave en Californie, un oiseau y est victime des reflets des rayons du soleil toutes les deux minutes.
La centrale, dont Google est un des investisseurs, est composée de plus de 300.000 miroirs mesurant chacun la taille d’une porte de garage et inclinés pour refléter les rayons du soleil sur trois grandes tours remplies d’eau. La chaleur ainsi créée produit de la vapeur qui fait tourner des turbines générant assez d’électricité pour 140.000 foyers. »
http://www.slate.fr/story/91139/centrale-energie-solaire-grille-oiseaux-tue
tu lui passe ton épée entre les 2..dracul y sent rien
« tout fout lcamp », bouguereau, à commencer par le surévalué humanisme européen…
Quel dommage !
c’est certain tarzoune..
sur les oiseaux je ne savais pas.
néanmoins ai appris que ds 20 ans, 25 ans au pire, tout sera laissé sur place sans évacuer les déchets.les verres les poutrelles métalliques tout. nous aurons des hectares recouverts d’ordures imputrescibles. Qui s’en soucie ?
Commençons à en parler pour nous organiser.
le surévalué humanisme européen…
c’est un peu ça l’humanisme rénateau
pourvu que ce ne soit absolument pas voué à l’exposition.
Commençons à en parler pour nous organiser
si rose et tarzoune font la chenille..
il y a le même abîme qui va de la bouche à l’anus
il parlait de sa bouche avec un autre cul houbien..métonimie de l’incommunicabilité des êtres..sapré dracul
« Aucun des défis de la modernité ne doit nous effrayer ».
entre béré et dracul c’est l’abime..bim
widergänger mais je.vous défends formellement de m’appeler ma petite chatte.(Rose)
entre (…) les baisers et l’anus…
WGG 23h33 le 04 juillet.
L’ érotisme d’ un gastéropode…Est-ce par là que notre colombin attire sa colombine?
JC 6h42
j’en sais quelque chose. Et des récalcitrants ou grandes.gueules.coulés dans le béton aussi.
Ce n’est pas le.seul train que nous ayons raté.
Déjà dit, déjà écrit : Barcelone nous a discrètement grillé ce front de mer extraordinaire.
Le but était-il.de.faire une opération immobilière de.grande ampleur ?
Depuis moins de dix ans réhabilitation de ce site. Le Mucem2, les docks des Suds et autres aménagements du quartier de la Joliette. Marseille reste une ville extraordinairement cosmopolite JC.
hold dze line tarzoune
bouguereau, comme JC : verbeux, niais, nul
(réponse habituelle : ta gueule raclure de keupu)
« Pierre Rahbi se plante : nous consommons pour vivre. »
Oui, mais consommons-nous pour vivre, ou vivons-nous pour consommer ? Telle est la question que pose Rabhi. Et hélas, le mal est là : c’est la deuxième alternative qui est la plus courante dans notre société bouffie, qui consomme trop et ne pense qu’à ça.
Ne vous laissez pas piéger par Wgg, qui ne connaît rien à la sexualité, et qui a repris de vieilles thèses loufoques des années 70, qui ne veulent plus rien dire.
Des thèses antédiluviennes…
CANNIBALISMUS
« Laetitia Avia, députée La République en marche de la 8e circonscription de Paris, a aujourd’hui les honneurs du Canard enchaîné. Celle qui a fait l’objet de nombreuses éloges de la part du premier ministre Edouard Philipppe hier, pendant son discours de politique générale à l’Assemblée nationale, est pointée du doigt pour avoir mordu un chauffeur de taxi. » (Le Figaro)
Je savais que les Macroniens nouveaux ont la dent longue. Mais de là à bouffer du chauffeur de taxi ! Où on va, là ? Où on va ….
Laetitia Avia cannibale ?
Closer – 21h52
Ces questions, je me les suis posées. Il y a eu, un jour, dans ces pages, un billet ouvert sur Claude Lévi-Strauss.
http://larepubliquedeslivres.com/claude-levi-strauss-revele-dans-une-biographie-japonaise/
Là, tout est resserré sur ce paragraphe concernant l’Islam.
Je crois qu’il faut en passer par le juste commentaire de Phil de 10h42 (« Le plaisir à relire « Tristes tropiques » (…) Ce ton des années cinquante, heureux dans son délestage des années de guerre et pas encore chargé de culpabilités outrées par une génération qui n’a rien vécu de cette période, est aujourd’hui perdu. »), pour resituer ce livre dans son contexte. (Commentaire souligné par Passou pour sa pertinence.) Mystère…
Pierre Rahbi est un antédiluvien…. Confus je suis, d’avouer que je pense que ses idées sont d’une extrême confusion !
Lucienne, la femme de « ménage » de JC s’est confiée : dans son gourbi, pas de télé, de livres, de CD ou DVD, rien, rien que des vieux numéros de Paris-Hollywood défraîchis
UN OUBLI REGRETTABLE
J’allais oublier : « … ta gueule, raclure de keupu ! »
« Pierre Rahbi est un antédiluvien…. »
Souvent, la sagesse nous vient des anciens temps, les idées qui ont fait leur preuve et que nos stupides modernes prennent à rebours. Il leur en cuira !
UTILE PRECISION
Rédacteur en Chef du magazine pornographique Paris-Kaboul, les Paris-Hollywood me servent de référence pour ce qui est de l’horrible pornographie occidentale des infidèles.
Notre slogan :
« Rien de ce qui se passe sous les burka ne nous est étranger. »
Le marché qui s’ouvre à nous est immense …
Les perles du bac 2017 sont sorties. Celle-ci dont JC aurait pu être l’auteur, si au lieu d’être vieux à faire peur il était jeune bachelier :
« pour se libérer de sa culture, il faut tout d’abord oublier tout ce qu’on sait. Ainsi nous devenons stupides mais libres, et c’est peut-être mieux comme ça « .
Je n’ai pas mon bac… Juste un CAP de dresseur de mouches pour Delaporte et consorts.
Au début, je pensais qu’ils revendaient en Faculté de Lettres les mouches dressées à la plus extravagante lubricité sodomite !
Faux.
La quantité de mouches utilisée l’était à des fins strictement personnelles. La vie est étrangement créative…
JC cela ne change rien à votre talent.
Bien des bacheliers sont des triple buses.
n’ai jamais mordu de chauffeur de taxi. suis un peu jalouse de Laeticia.
A la panthéonisation de Simone, j’entends déjà la voix de bouc châtré de Malraux remonté des Enfers pour la circonstance : « Entre ici, Simone. Si, si … »
Rose, je dois vous dire que le Baccalauréat d’aujourd’hui, à voir les perles récoltées, me semble plus difficile à obtenir par les pitchounets connectés, qu’un Doctorat de maths hier, pour les déconnectés numériques de jadis….
Jean, je voulais savoir : on les embaume à l’égyptienne les Panthéonisés ?
Vu que le rituel du Panthéon est un retour manifeste (parmi d’autres) au paganisme, il n’y aurait rien d’étonnant à cela.
Rose, je dois vous dire que le Baccalauréat d’aujourd’hui, à voir les perles récoltées,
me semble plus difficile à obtenir par les gamins branchés
qu’un Doctorat de maths hier, pour les non-branchés numériques de jadis….
Pour la cérémonie des Invalides, Simone Veil n’a eu qu’à traverser la rue ! Pourquoi Giscard est-il absent ?
« pour se libérer de sa culture, il faut tout d’abord oublier tout ce qu’on sait. Ainsi nous devenons stupides mais libres, et c’est peut-être mieux comme ça « .
Mon bon Delaporte, je serais plus prudent que toi sur l’interprétation de cette soi-disant « perle » du Bac…
Qui soulignera l’héroïsme de Brigitte Macron, traversant la cour pavée des Invalides, perchée sur ses hauts talons !
…
…Panthéon, pour des lauréats de génocides – public,…après Napoléon,…
…et ses batailles cousus-mains,!…et Ney, en mathématicien – passion des cavaleries à charge,!…
…les amuses-gueules des rituels,!…
…survivre à cela,!…sur son hamac,…
…avorter , des meurtres-lâches,!…
…le Panthéon, pour des débiles – humanistes,!…
…qui dit mieux,!…à Cognac, c’est mieux,…etc,!…
vous avez un doctorat de maths JC ?
Ce sont des choses qui arrivent lorsque la discipline plait !
eh bé !
et d’autres ? (physique, etc.)
vous pouvez me dire le sujet histoire de rêver un peu ?
discours émouvant de jean à sa maman, il lui pardonne finalement un acte impulsif & ponctuel quoique justifié à des dires et conclut « je t’aime maman ».
me souviens que Lévi-Strauss eut maille à partir avec sa première épouse, universitaire, qui contesta une partie des théories de T. Tropiques. Une bonne âme pour updater l’affaire ? Lavie qui turbine dans le wikipedia pourrait nous sortir généreusement quelques liens ?
philou y trouve qu’elle est bonne tarzoune
contesta une partie des théories de T. Tropiques
pense..un bouquin de dépressif qui trouve qules autres on bien plus de raison de déprimer que lui..
les road mouvie havec des tueurs en série sans folle blondasse ça vaut nibe..tarzoune faudrait lui mette un coup dtazère tous les 5 mn..phatiguant
…les amuses-gueules des rituels,!…
51 y voulait dégouter jusqu’aux canibaux dle bouffer..pour pouvoir tartariner
Jean, je voulais savoir : on les embaume à l’égyptienne les Panthéonisés ?
au clystère moitié formol moitié pastis..dailleurs à ce sujet comme hon voit que le ‘entre ici’ est fort mal compris
Les Panthéonisés ont succédé aux dépouilles royales saintdenisées…
hon risque pas d’y frémir baroz
Qui soulignera l’héroïsme de Brigitte Macron
t’es tout seul devant et t’es tout seul derrière
Pourquoi Giscard est-il absent ?
pour que tu l’remarques baroz..ha lhestouère est hingrate et cucul..vaut mieux s’en porter pâle
Elle n’est pas mimi la plus célèbre nord coréenne !
http://www.huffingtonpost.fr/2017/07/04/la-video-annoncant-le-tir-de-missile-nord-coreen-est-fascinante_a_23015447/
Simone de Nice
http://www.nicematin.com/vie-locale/les-cinq-lieux-marquants-de-lenfance-de-simone-veil-a-nice-150482
Rose, rston-en là, mais ce n’est pas que vous n’avez pas la même interprétation des textes en question, c’est que vous n’avez aucune interprétation des textes en question… Vous voyez ce que je veux dire… Et surtout, vos commentaires sont d’une rare bêtise !
JAZZI dit: 5 juillet 2017 à 11 h 40 min
mérite la légion d’honneur et des discours)
Jazzi à 11 h 03 min
il est peut-être pas en forme
Son hommage dans le figaro
et… d’ultimes mises au point sur la rosace des vents. Je me suis excusé pour l’injure à MC. Ne comprenez visiblement pas mes réactions à javert, ducon ou le toquard. Elles sont apparemment inappropriées. « Signé Ducon »(prière de ne pas lire : saigné du con). Perversion Narcissique peut-être, qui sait si le diagnostic n’a pas fini par devenir enfin consensuel ? Mais personne n’est à l’abri d’une déviance par rapport à ce qu’il professe, telle cette internaute à l’égard d’un wgg… Venait-elle de se rendre compte de l’imposteur pour lui rentrer ainsi dans l’lard, alors que ce n’était pas sa manière habituelle, ni chrétienne, ni à Troyes. Etonnamment, il existe une mésange qui porte un petit morceau de sucre à son bec. Et c magnifique. A ma connaissance, il n’y a pas de doctrine bien fixée en terre d’islam sur l’usage de la moto, donc en théorie on peut y aller.
BJ à toussent. Go, ..etc…!
Faudrait mette un char israélien un merkava sur la gauche ça essepliquerait…
Phil dit: 5 juillet 2017 à 12 h 56 min
Il y a bien des choses contestables de toute façon dans les prises de positions de CLS.
Dans CLS, il y a deux hommes : il y a l’ethnologue à proprement parlé dont la science et ses attendus ont fait dates dans la compréhension des mythes, des structures de la parenté, etc. ; et puis il y a le penseur polémiste si j’ose dire, qui se sert de sa science pour polémiquer avec les grandes pensées de son siècles. C’est autre chose.
Et puis, il y a chez CLS, globalement, un grand paradoxe. D’une part, il y a une vision catastrophiste de l’histoire, comme bien des commentateurs l’ont souligné : tout ce qui advient ne peut être qu’une dégradation de ce qui existait. CLS en a donné maints exemples comme l’apport de l’écriture au néolithique qui a certes été une avancée formidable dans la possibilité infinie de l’accumulation de la mémoire, mais en même temps a produit les grands Etats et le monde de la techno-science qui nous a coupé de la nature, favorisé en cela, en Occident, par le christianisme dans son opposition frontale avec l’islam qui plus est, nous empêchant selon lui de nous rapprocher du bouddhisme et de perdre ainsi à jamais la dimension « féminine » qu’aurait pu être l’Occident. — et puis, par ailleurs, il ne croit pas au déterminisme historique dans ses polémiques avec le marxisme. Les choses n’arrivent selon lui que par hasard, elles sont contingentes comme le miracle grecque au Vè-IVè s. avant JC. Elles auraient très bien pu ne pas arriver. Il y a là une contradiction manifeste !
Cela tient, selon moi, aux préjugés de sa génération et singulièrement à son athéisme juif. Il dénie tout projet global à l’univers. Il n’arrive pas à penser la relation étroite qui existe manifestement, ne lui en déplaise !, entre le hasard et la nécessité.
Derrière tout ce qu’a écrit écrit CLS, il y a une profonde méfiance à l’égard de la culture, un amour excessif de la nature. Et même une profonde et essentielle défiance à l’égard de la techno-science. Il ne croit pas que le bonheur de l’humanité soit compatible avec le monde occidental de la techno-science.
Nul n’en sait rien. Mais ce qui est certain, c’est que c’est un simple préjugé, dont il fait une sorte de dogme a priori. On ne voit pas pourquoi, au reste — si l’on garde foi en l’Homme qui est foi en Dieu — le bonheur serait incompatible avec l’univers social-historique engendré par la techno-science qui s’est répandu dans toutes les sociétés de la planète, à part quelques indiens de la forêt amazonienne qui vivent encore à l’époque néolithique.
Paradoxalement CLS montre qu’il n’a pas foi en l’Homme. Parce qu’il n’a pas foi en Dieu !
comme vous dites cela à tout le monde et spécifiquement aux femmes, je m’en balance widergänger.
Je trouve attendrissante cette idée de panthéoniser Simone avec son époux fidèle. On pourrait commander à un sculpteur une statue de gisante dans le goût renaissant (très macronesque au demeurant) : Simone y figurerait couchée, lisant le texte de sa fameuse loi, les pieds reposant sur l’échine de son jules, couché à ses pieds dans la posture du fidèle lévrier. Du reste, dans la suite, on pourrait autoriser les futurs panthéonisés à se faire accompagner de leurs animaux favoris, chevaux, chiens, chats et même tortues (poissons rouges?). Je m’avise que nous sommes heureux de ne pas avoir en usage les pwatiques matwimoniales de cewtaines contwées afwicaines. Imaginons un instant les difficultés engendrées par une Simone flanquée de cinquante époux, tous défunts (on va quand même pas les entewwer vivants, comme cela se faisait du temps des Sawdanapalls et consowts !
Oui, c’est à craindre Bob ! Dans un premier temps j’ai lu : « son hommage dans le frigo » !
JAZZI dit: 5 juillet 2017 à 11 h 03 min
Pourquoi Giscard est-il absent ?
Parce qu’il est jaloux, pardi. C’est tout de même lui qui avait eu l’idée de la fameuse loi. Pour le Panthéon, il repassera. S’il était mort avant Simone, ça aurait pu se passer autrement. Quelle idée aussi de s’accrocher à la vie.
Quand, avec votre moitié, vous faites un tout, Jean, on ne sépare pas les morceaux !
Mais qu’est-ce que j’ai pu dire aux femmes ? Je ne vois pas. Mes commentaires ont une visée universelle, ne ciblent pas un public spécifique !
Ce n’est pas pour sa loi que Simone est entrée au Panthéon, Jean. Comment faut-il lui expliquer !
Heureusement que je ne vous ai jamais eu comme collègue, rose ! Parce que nous n’aurions pas été ami-amie très longtemps…! C’est le moins qu’on puisse dire !
Mais Jazzi, on ne peut pas lui expliquer…! Il n’y a pas plus sourd que clui qui ne veut pas entendre. L’histoire se passera de lui, de toute façon !
Moi, j’ai lu que Giscard était bien présent. C’est Chirac qui était absent pour cause d’agonie précoce et lancinante.
Moi, je suis quand même extrêmement étonné que tout le monde ne s’esclaffe pas de rire, d’un rire même qui devrait être tonitruant et dont les échos devraient se répandre sur toute la planète — si les hommes étaient honnêtes et conséquents avec eux-mêmes — quand CLS, avec cette fausse modestie qui le caractérise et cette profonde arrogance du savant au contraire, vient prétendre que le miracle grecque serait purement contingent, que si l’humanité est passée des mythes à la pensée rationnelle c’est purement le fruit du hasard, que ça aurait pu ne jamais arriver !
Mais enfin, quel blague ! Quel foutage de gueule ! Comme si le cerveau d’homo sapiens sapiens n’était pas programmé depuis sa naissance pour produire la rationalité ! Mais il faut être complètement aveuglé par je ne sais quelle haine de soi, quelle haine du Judaïsme comme il n’est pas permis, pour oser affirmer une telle sottise ! Et en plus, que toutes les bonnes âmes savantes, acquiescent et l’approuvent ! C’est bien le signe d’un siècle de perversion et d’aberration totale !
Je crois que Chirac n’est plus sortable, mais VGE s’est fait excuser, WGG. Cet été a été particulièrement meurtrier !
widergänger
vous ne cessez de nous assommer de votre mépris tonitruant et collectif. à clopine à christiane à bérénice et désormais à moi-même. Sur Yvain, j’en sais aurtant que vous et réalise là, et au sujet du fine amor que vous baratinez n’importe quoi.
toute l’histoire d’Yvain c’est la transition entre un jeune homme encore adolescent et un homme dans toute la plénitude du terme. et c’est là qu’il accède à la femme.
s’il stagne ds son état de jeuen homme il devient fou (dans les essarts) et sa dame bénéficie de tous ses apprentissages.
ce n’est pas lui qui fait Laudine, comme vous l’avez benoîtement écrit, c’est Laudine qui le fait.
elle est bien plus mature que lui.
en attendant, j’ai convaincu mes élèves et vous toujours pas.
« si l’humanité est passée des mythes à la pensée rationnelle »
Pour mieux s’inventer ensuite de nouvelles mythologies, sans doute, WGG ?
quand à enchaíner le fine amor avec l’érotisme, quel qu’il soit, il s’agit là d’une cruelle erreur de jugement.
le fine amor se tient à distance de.l’érotisme qui passe par uen concrétisation des faits.
tout est idéalisé dans le fine amor et il n’y a pas de passage à l’acte.
je suis énormément déçue.
jusqu’ici je vous ai lu avec grande attention. parfois fatiguée de.vis développements mais attentive..
je marque un break. vous n’annoncez pas des faits réels, vous brodez.
« Vous brodez »
Oui, mais parfois ça donne de très belles et édifiantes tapisseries, rose !
http://www.phil-ouest.com/Arts/Riches_Heures_1965.jpg
Je ne brode rien du tout ! Le savant ici c’est moi ! Je commence à en avoir marre de discuter de points qui font partie de la culture universelle avec une grosse bique ! C’est le monde à l’envers, enfin!
Oui, Jazzi, mais c’est une autre histoire ! La science elle-même est une forme aboutie de mythologie, c’est certain. Mais c’est une grande question philosophique : l’esprit humain peut-il sortir du mythe pour atteindre la vérité ?
Mais ce n’est pas dans ce cadre métaphysique que CLS pose le problème. Il ne montait pas si haut !
Je sens que l’on va le revoir !
https://www.youtube.com/watch?v=GYkJEXXo7Yg
De ce point de vue, seule la confrontation avec d’autres civilisations extraterrestres nous permettra un jour d’apporter un semblant de début de réponse à cette question angoissante : Peut-on sortir du mythe ? Ces civilisations ont peut-être une tout autre science que la nôtre.
On peut broder aussi sur du vide, et ça donne du vide au carré.
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