L’un et l’autre en Maurice Barrès
Qui ça ? Maurice Barrès. Les jeunes générations de lecteurs, et même de plus âgées, n’imaginent pas l’empire considérable que Charles Maurras et Maurice Barrès ont exercé sur les esprits dans la France de la première moitié du XXème siècle. Aujourd’hui en librairie, il n’en reste rien, ou presque. Il faut bien chercher. Le fait est que Maurras est illisible et que Barrès n’est pas lu.
Ni défense, ni illustration, Antoine Billot a conçu son Barrès ou la volupté des larmes (210 pages, 19,50 euros, Gallimard) comme une visite. De celles qu’un jeune écrivain rendait autrefois à un glorieux aîné admiré dans l’espoir d’en ramener un improbable adoubement. De quelles larmes s’agit-il ? « L’éclat des larmes que l’esprit répand transfigure l’univers qu’il contemple » notait Barrès dans Un homme libre. Cinq chapitres, cinq moments de son passage sur terre, de l’âge de 8 ans à l’année de sa mort en 1923.
Une biographie est une enquête, un portrait est une quête. Ce n’est pas affaire d’archives, de sources et de témoignages mais d’hésitations, de vacillements, d’incertitudes, de frémissements et d’instants décisifs. Qu’importe l’exactitude des situations du moment qu’en jaillit la moelle d’une existence, la vérité de l’homme. Le portraitiste a le verbe précis, le trait aigu. Au physique, il ne l’a pas raté : peau couleur mauresque, regard de corbeau espagnol, allure de grand étudiant gauche. Il ressemble au capitaine Dreyfus. Un comble ! Dur à avaler pour la Ligue des patriotes.
Il s’autorise l’ellipse sur des pans entiers de sa vie politique, préférant s’attarder sur la charge de paradis perdu qu’il y a dans le « jadis » lorsque c’est Barrès qui en use et abuse au point d’en faire une signature. Ainsi peut-on évoquer son propre pays comme un pays lointain, la gorge nouée de regrets pour un temps révolu. Mais lui-même mettait en garde contre la toxicité de cette nostalgie, la mélancolie qui lui faisait cortège, en prévenant que rien n’empêche le bonheur comme le souvenir du bonheur. « Maurice » comme il l’appelle ne se débarrassera jamais du lumineux fardeau constitué par un glorieux grand-père, le spleen mosellan, le souvenir d’une enfance provinciale entre colline de Sion et cimetière de Vaudémont. Il n’eut de cesse de consulter ses morts, et de se livrer à un entretien infini avec eux. Jamais il ne fut déçu dans son amour des disparus. Ce qui ne l’empêcha pas de se rendre régulièrement au boxon, mais pour s’y mettre à l’écoute de la rumeur du monde, qu’alliez-vous imaginer ! De quoi le changer un peu des nécropoles à baldaquin. L’amoureux en lui a l’envolée facile. Anna de Noailles, poétesse admirée de Proust et femme au cœur innombrable, en sait quelque chose : « cristal », « vase d’or », « ruche de verre », « folie avisée », voire, « jeune Ulyssse frigide »…
De toute façon, le Lorraine était sa mère, sa femme et sa maîtresse. Il couchait avec la terre où les siens étaient couchés. Les derniers grands barrésiens ? Aragon, Malraux… Et même Breton et d’autres encore qui l’avaient pourtant condamné en le déférant au tribunal de Dada et finirent par reconnaître, toutes comptes faits, l’éclat sans pareil du poète en prose. Pas étonnant que celui-ci se soit si bien entendu avec le général de Gaulle. Ils avaient en commun avec leur maître le goût des forêts (« Sylvas inter reptare salubres”) et la splendide désinvolture avec laquelle il a habillé son désespoir.
De temps en temps, une courte citation s’insinue en italiques. Présence de Barrès. Juste assez pour donner à nouveau envie d’y aller voir, jusqu’à reprendre Mes cahiers ou Sous l’œil des barbares. Sa mystique du cimetière français réussit à ne pas verser dans le morbide. Ce besoin de terre, de racines, d’aïeux, cette constante nécessité de galerie d’ancêtres, de passé immémorial, c’était sa manière de se rassurer en prenant la mesure de la permanence de toutes choses essentielles autour de lui. Ce qui distingue la terre du sable, le plein du vide, c’est justement la présence des morts. Ce doit être lourd de porter ses morts en bandoulière, quand bien même les eût-on sublimés. Toute une vie à l’écoute de leurs voix… Grâce à eux, tout est bien là comme autrefois, intangible. Pour ceux qui en douteraient encore, notre irrépressible désir de repères ne date pas du début des années 2000.
Les Déracinés (1897) proposait de faire du mot « tumulte » l’oriflamme de la langue et de la légende nationales. Mais comme le fait justement remarquer Laurence Campa dans le passionnant dossier que la Revue des deux mondes vient de consacrer à « 1914-1918, la fin d’un monde » : « On n’en pouvait plus, au front, de la propagande de guerre à la Barrès, on voulait des textes dans lesquels on pouvait se reconnaître comme dans Le Feu d’Henri Barbusse ». A défaut de s’y être replongé récemment, on fait confiance à Antoine Billot, qui semble avoir vécu en Barrès de tous temps et à tous âges. Il a peut-être trouvé le Maurice qui, en Barrès, avait passé sa vie à chercher la personne qu’était la France, celle à laquelle Michelet l’avait identifiée, après avoir précisé que l’Allemagne était une race, et l’Angleterre un empire. Son texte ailé, modeste et précieux paraît dans la collection « L’un et l’autre » que créa et dirigea J.B. Pontalis. Son écriture a été achevée entre sa mort et celle du père de l’auteur, pilier de la collection à laquelle il avait déjà donné quatre livres. L’un et l’autre veillent sur ce livre. M. Calet eut conseillé de ne pas trop le secouer car il est plein de larmes invisibles.
On croise le pascalien, le péguyste, l’antidreyfusard. Alors Dreyfus, bien sûr. La question incontournable, comme on ne disait pas. On disait plutôt « l’Affaire » comme s’il n’y en eut et il n’y en aurait jamais qu’une susceptible de déchirer les Français. Billot tient que Barrès ne s’est même pas posé la question de l’innocence du capitaine tant cela lui paraissait déplacé en regard de l’honneur de l’armée française. Et puis quoi ! Malgré cette obstination à passer outre le sort d’un individu quand celui de l’institution était en péril, il y eut dans les Familles spirituelles de la France (1917) non un repentir mais cet aveu par lequel il reconnaissait les israélites français comme des membres naturels du corps national – ce qui revenait à manger son chapeau après le torrent de boue et de calomnies sur eux déversé pendant tant d’années.
On s’en doute, les pages que l’historien de la littérature Uri Eisenzweig consacre au cas Barrès dans Naissance littéraire du fascisme (166 pages, 19 euros, Seuil) rendent un son plutôt différent. Ces deux livres sont de facture très différente. Mais il est une scène, sur laquelle le second focalise de manière aiguë, qui pourrait se trouver dans les deux : le récit par Léon Blum de sa visite à Maurice Barrès. Il savait certes que ce « frère aîné » était antisémite mais ne jugeait pas, de même que tant d’autres, que cela le prédestinait à basculer ainsi.
Uri Eisenzweig propose de voir les prodromes du fascisme dans le refus de l’universel et l’affirmation d’un déterminisme racial tels qu’ils s’expriment chez le Barrès chef de file de l’antidreyfusisme militant. Il invite à relire Les Déracinés sous une autre loupe, roman balzacien qui se veut également un antiroman, pour conclure qu’il n’y pas de plan chez Barrès : « Pas d’intention claire ou une vue d’ensemble qui expliqueraient ses prises de position ». De quoi revoir le concept de culpabilité à l’aune de l’attitude de Barrès durant l’Affaire. Un cas extrême d’obstination dans l’absurde. Car il tient le capitaine condamné non pour un officier mais pour un personnage, une fiction. Il le nie comme homme. L’écrivain ne veut même pas qu’on lui raconte l’injustice commise : la trahison de Dreyfus, il la déduit de « sa race ». C’est assez pour récuser par avance tout récit de son innocence car il serait stricto sensu empoisonnant.
801 Réponses pour L’un et l’autre en Maurice Barrès
« Elle est taquine, bérénice. »
Elle chipote, elle pinaille et vous en profiter pour d’une griffe d’humour biffer sa position, recevez mes admirations.
Jean de Dieu est un con, et moi je suis en retard. Deux manières d’être au monde.
Salut
un con en retard va nous redire aurevoir..
« Je ne leur reproche pas leur conviction, tant qu’ils la gardent pour eux-mêmes, mais je ne crois pas qu’on trouve l’âme sous le microscope. »
Quand on a trouvé la réponse à ses questions dans la foi, on prosélyte : normal ! Quand à l’âme, on peut la voir au microscope, elle est située tout à fait en haut, sous la casquette…
u. ça me dit quelque-chose: 1000 euros, j’embrasse pas.
JC la foi ne se voit qu’une fois le cierge allumé et payé.
« je fais l’pari qu’il aurait été pro avortement.. »
Pourtant lui aussi fut un embryon amen
l’âme, on peut la voir au microscope, elle est située tout à fait en haut, sous la casquette…( JC)
Faux, l’âme se trouve dans le sacrum, comme son nom l’indique et comme le professe u. le pro-fesse.
Ça renvoie aux infinis débats sur: quand l’embryon devient-il une personne? Quand l’IVG devient-elle un infanticide?
Même un immoraliste doit se rendre à la question du droit.
Oui, si ce n’est que ces intégristes, les cathos ou les autres, ne possèdent pas l’esprit de la loi. Leurs raisonnements s’inscrivent dans un autre ordre.
Un ordre polico-religieux qui nie les libertés individuelles.
Leur grand délire, c’est de détruire l’esprit de la loi. Celle des hommes.
« 1000 euros, j’embrasse pas. »
Avec ce léger interdit, on imagine le reste, il fait rêver.
C’est pas comme ça que fonctionnent les religions?
Leur grand délire, c’est de détruire l’esprit de la loi (Daaphnée)
Parce qu’ils obéissent à la loi de l’esprit. Amen.
« Un ordre polico-religieux qui nie les libertés individuelles. »
Non ! Qui les définit dans un système de valeurs différent….
Barrès se dérobe à tout classement. Cet agnostique est l’ami du futur restaurateur de l’occultisme, Stanislas de Guaita.
enfant d’putain c’est à ce moment là que les angliche et les russes nous ont grimpé la culotte dans l’occulte..ces caves !..car barrés c’est un occulte qui marche qui court !..sans l’occulte français, des fameux qui ont beaucoup fait pour les lettres et autrement que l’hugo..on peut pas comprende barrés meusieu courte c’est certain..freud lui même en avait une peur intense..ha mais quel con qui a tout fait foiré aussi
du futur restaurateur de l’occultisme, Stanislas de Guaita.
il absolument pas restaurateur meusieu court..un toxico..un roqueur..haaa les provinciaux français quand il sont fumé touche le ciel..lors que paris touche mon cul à peine
@zooéthicien de base dit: 20 janvier 2014 à 11 h 09 min
???
@Le petit Marseillais dit: 20 janvier 2014 à 10 h 22 min
Je ne saurais répondre à cette question mais souvent, une femme enceinte imagine, tout au long de sa grossesse, l’enfant qu’elle porte. Pourquoi dénier cette possibilité à celles qui ont perdu leur enfant soit par accident, soit par IVG. Il ne me semble pas nécessaire d’en passer par la morale judéo-chrétienne…
Qui les définit dans un système de valeurs différent….
En effet, hors la Loi.
Je ne vous le fais pas dire.
Quand à l’âme, on peut la voir au microscope, elle est située tout à fait en haut, sous la casquette…
fais gaffe ! gaga va fondre et dire que t’es né coiffé jicé
Daphnée ne vous inquiétez pas, nous disposons de trois années avant de repasser à droite et si les politiques font leur travail correctement, ils devraient pouvoir nous dispenser d’un programme réactionnaire à l’espagnole. Assez incroyable tout de même que mécontents des socialistes,une majorité de ces derniers aient pris le risque d’élire un homme qui promettait un tel programme, comme quoi l’entre-ligne ne saurait être négligé avant l’urne.
ait pris
« Pour ces gens-là, si justement. Et comme vous le dites.
Car pour ces gens-là, en définitive, la femme n’a pas à choisir.
Elle est une bête faite pour mettre bas. »
Ces gens-là, comme vous dites Daaphnée, ne sont pas tous contre toute possibilité d’avortement. Ils sont contre sa banalisation au rang de l’arrachage d’une dent de sagesse. La preuve qu’il y a un problème qui ne concerne pas seulement qq religieux intégriste, c’est que l’IVG est interdite au-delà d’un certain nombre de mois de grossesse. Vous savez, vous qui êtes si péremptoire, à partir de combien de mois un fœtus doit être considéré comme une personne et ne peut plus être tué? Moi pas, ni personne.
Quant à « c’est mon corps », non ce n’est pas que mon corps, c’est aussi celui d’un être qui veut vivre…Votre logique est celle de l’infanticide jusqu’à la naissance incluse. Certains (malheureusement je n’ai pas gardé les références) le préconisent déjà.
Vos certitudes et votre intolérance égalent celles des intégristes les plus bornés.
J’ajoute, qu’avec les moyens actuels de contraception, la nécessité de recourir à l’IVG devrait être encore plus exceptionnelle.
Daaphnée dit: 20 janvier 2014 à 11 h 32 min
Qui les définit dans un système de valeurs différent….
« En effet, hors la Loi.
Je ne vous le fais pas dire. »
N’en parlons plus ! Ce n’est pas la peine : il n’y a pas une Loi mais des lois…
« Leur grand délire, c’est de détruire l’esprit de la loi. Celle des hommes. »
Quand on creuse un peu, on voit que chez certains, la légitimité d’un ordre juridique ne devrait pas venir d’en bas (comme c’est en principe le cas avec le basculement démocratique, ça fait quand même deux siècles) mais d’en haut.
Ce qui manque à certains mecs de Civitas, pour être parfaitement mignons, c’est la petite calotte sur le crâne rasé, le durillon de piété sur le front et la barbe prophétique à la Anelka.
Le Jihâd vétéro-catho.
— Je ne parle pas de la majorité, they are all my brothers and sisters.
Ha, en 14, on aurait été mal barré avec toi en futal garance
tu connais l’histoire de surcouf « cher ami nous allons au combat ! qu’on m’apporte ma chemise rouge qu’on ne voit pas saigner !..et tant que vous y êtes apportez moi aussi mon pantalon marron »
Non ! Qui les définit dans un système de valeurs différent…JC
valeurs et croyances sont à différencier.
Dans la mesure où la contraception est possible….. nous parlons pour rien
Ou pour quelques loupés ?….uhuhuhu !
c’est la petite calotte sur le crâne rasé, le durillon de piété sur le front et la barbe prophétique à la Anelka
on dirait dieudonné dans son sketch qui l’a fait viré de la télé..
Ou pour quelques loupés ?….uhuhuhu !
aprés l’heure c’est pus l’heure jicé..aprés faut l’sucer..étché homo !
Béré,
les valeurs ne sont que des croyances ….. on en change au cours du temps humain !
@ Chaloux
« J’ai un bon souvenir du Tchékov de Troyat ».
Je ne parlais pas de biographies, mais des livres sur Tchékhov – et plutôt dans le genre du « Glenn Gould, piano solo » de Michel Schneider ou le « Monk » de Laurent de Wilde.
à partir de combien de mois un fœtus doit être considéré comme une personne (monseigneur aquarius)
à partir du moment où il a un système nerveux central, et encore cela n’en fait pas une personne.
J’ajoute, qu’avec les moyens actuels de contraception, la nécessité de recourir à l’IVG devrait être encore plus exceptionnelle.
Voeu pieux, pauvre Aquarius, avec le Pape qui ne préconise pas le préservatif même en cas de pandémie VIH.
on en change au cours du temps humain !
vendre sa mère pour boire n’est pas pécher
« Ce qui ne l’empêcha pas de se rendre régulièrement au boxon, mais pour s’y mettre à l’écoute de la rumeur du monde, qu’alliez-vous imaginer ! » (billet)
Mais rien du tout, à un détail près.
La deuxième photo, c’était avant ou après être allé au claque?
à partir du moment où il a un système nerveux central
keupu on peut l’avorter a coup de maillet à tout moment encore..
à chacun sa mystique? Les valeurs ne pourraient être que par l’invention d’un ordre divin? quelqu’en soit la représentation, avec un folklore incluant la vie après la mort, la survivance des âmes, une surpuissance jamais vue ou connue qui veillerait sur tout comme dans les testament nouveau ou ancien?
« Voeu pieux, pauvre Aquarius, avec le Pape qui ne préconise pas le préservatif » (Daaphnée)
Par surenchère, par crânerie, le vrai républicain n’enfile plus désormais un bonnet mais un casque.
La deuxième photo, c’était avant ou après être allé au claque?
les deux mon capitaine !
putain, dire qu’on en est à reparler de l’avortement ! Bientôt, on va revenir sur la peine de mort, puis sur la laïcité, puis sur le droit de grève…
« J’ajoute, qu’avec les moyens actuels de contraception, la nécessité de recourir à l’IVG devrait être encore plus exceptionnelle. »
Ajoutons l’éducation sexuelle, l’information donnée ou disponible aux adolescentes, de façon décomplexée, qui devrait faire de l’interruption de grossesse volontaire un recours ultime.
« J’ajoute, qu’avec les moyens actuels de contraception, la nécessité de recourir à l’IVG devrait être encore plus exceptionnelle. »
C’est théorique.
Il suffit que Dédé soit bourré, ce n’est pas de sa faute, il n’a pas acquis les réflexes.
bébert l’enclume dit: 20 janvier 2014 à 11 h 45 min
« putain, dire qu’on en est à reparler de l’avortement ! Bientôt, on va revenir sur la peine de mort, puis sur la laïcité, puis sur le droit de grève… »
T’es vraiment une enclume, Bébert ! Tout est décrit dans Renaud Camus et Richard Millet : dans quelques décennies tu vivras sous un régime théocratique musulman, natalité oblige, pas de droit de grève, pas de laïcité, pas d’avortement….hurkhurk !
dans quelques décennies tu vivras sous un régime théocratique musulman (JC à mézigue)
Dans quelques décennies, je ne vivrai plus du tout.
JC si l’infiltration s’amplifie et s’accélère, je ne donne pas chère du droit de grève, d’ailleurs les salariés du privé ne manifestent plus guère qu’en cas de suppressions massives de postes et fermeture d’usines, où sont les anciennes revendications salariales, les demandes d’amélioration des postes de travail etc?
Chaloux dit: 20 janvier 2014 à 8 h 54 min
Il nous manque un Voltaire.
Bonne journée.
Mais non, Chaloupinet, c’est toi le Voltaire moderne, avec la cape et ta tête de chauve qui sourit.
u. dit: 20 janvier 2014 à 11 h 51 min
C’est théorique.
Il suffit que Dédé soit bourré
théorique en effet, ça ne s’est jamais produit, je ne bois jamais plus d’une coupe de champagne par jour.
« dans quelques décennies tu vivras sous un régime théocratique musulman, natalité oblige, pas de droit de grève, pas de laïcité, pas d’avortement…. »
Il faut quand même réconforter Bébert, le califat n’est pas si affreux.
« Tu seras maître chez toi.
À ta grognasse, tu pourras faire ce que tu veux ».
Dédé se trouve actuellement à une quinzaine d’années-lumière de la Terre.
« … dans quelques décennies tu vivras sous un régime théocratique musulman, natalité oblige, pas de droit de grève, pas de laïcité, pas d’avortement… »
« Meglio rossi che morti », c’était la devise des cons à un moment… nous ne sommes pas morts et les rouges dont il était question jouent les guignols sur la place rouge…
Marcel c’est dommage que Chaloux soit chauve, une si grande intelligence, pas séduisante, c’est pas ma chance! Horreur des chauves! Si j’élimine avec les gros, les moches, les barbus, qu’est-ce qui reste?
bérénice dit: 20 janvier 2014 à 11 h 32 min
ils (les indignados ou je ne sais plus comment ils s’appelaient ) se sont abstenus en masse. Résultat : pire qu’avant. Les calottes, opus dei et autres franquistes, se frottent les mains
bérénice dit: 20 janvier 2014 à 12 h 05 min
Si j’élimine avec les gros, les moches, les barbus, qu’est-ce qui reste?
Moi ! Champagne !
« Horreur des chauves! Si j’élimine avec les gros, les moches, les barbus, qu’est-ce qui reste? »
Dédé, bien sûr, il suffit de le prendre en main.
Cela dit je ne sais pas si je serai vivant demain, quelques décennies ça me fait une quantité incongrue…
« Les calottes, opus dei et autres franquistes, se frottent les mains »
À leur actif, quand ils frottent, ils restent décents.
Dans le Var, l’arrêté de catastrophe naturelle sera pris dans les plus brefs délais
jc le gros puant sera enfermé avec ses frères intégristes cathos et musulmans (sont faits pour s’entendre)
Sur, ou plutôt contre, Barrès il faut lire l’article de Bloy, je crois que dans « Belluaires et porchers » et, bien sûr, ce qu’il en dit dans son décevant « Journal ». Mais le plus terrible pour l’auteur du titre le plus ridicule de la littérature française (« Le culte du moi ») ce sont les réflexions du redoutable abbé Mugnier dans son passionnant « Journal ».
Sinon il y a eu il y a quelque temps un « Sauver Barrès? » par ici…
bérénice dit: 20 janvier 2014 à 12 h 05 min
Si j’élimine les gros (bouguereau), les moches (u.), les barbus (Chaloux), qu’est-ce qui reste?
il reste JC, ma pauvre bérénice.
u. dit: 20 janvier 2014 à 12 h 09 min
sous la soutane et à confesse c’est discret
Bon.
1. Saluer Claudio A.
2. Aller bosser.
JC est beau ?
Tristesse du jour dit: 20 janvier 2014 à 12 h 10 min
c’est une pâle copie des hommes mentionnés
Oui, JC est bel homme. En outre, il est monté comme un taureau.
(mais, comme on ne peut pas tout avoir, il pète, c’est son défaut.)
JC pète ?
JC pète ?
Méfiez-vous de la pétulance du flatteur.
Bérénice, rassurez-vous, je ne suis pas chauve, même un peu trop chevelu en ce moment. Comme je ne suis pas libre non plus, notre vie commune en sera d’autant simplifiée.
Quant à être séduisant, j’ai toujours veillé à ne pas l’être, d’ailleurs avec un certain succès. Un petit pan de mon horreur du mensonge et de la représentation. Et puis c’est un truc pour avoir la paix, j’aime de moins en moins me sentir encombré.
Bouguereau continue à remplir la RDL de son insipide matière. Sic transit Gloria Mundi.
Qu’avons-nous appris ce matin ?
– Chaloux est en retard
– bérénice n’aime pas les chauves
– u. n’aime pas les femmes
– Pablo75 est un grand lecteur
– JC pète
En Espagne l’avortement ou le problème catalan ne sont qu’un rideaux de fumée pour occulter la situation économique de plus en plus catastrophique (malgré l’incessante propagande officielle espagnole et européenne sur le thème). Mais à la fin rien ne changera, à part l’effondrement financier inévitable (l’Espagne – qui a perdu depuis le début de la crise 3,8 millions d’emplois et continue d’en perdre malgré ce que disent les statistiques de plus en plus trafiquées – doit emprunter 240 Mds d’euros en 2014 avec une dette sur le vrai PIB – qui est de 15 à 20 % inférieur à l’officiel – de plus de 120 %).
@Pablo.
Lu pour Tchékov.
Pablo, c’est amusant que vous ressortiez le précédent article de Pierre Assouline sur Barrès, on s’était un peu accrochés sur le sujet. En parcourant vite fait, je vois que je disais exactement les même choses, mais je vois aussi que j’écrivais plutôt mieux il y a trois ans. Sic transit… Là aussi. On se détériore…
bonheur du jour dit: 20 janvier 2014 à 12 h 12 min
JC est beau ?
sa laideur repoussante comme sa bêtise traumatisent même ceux qu’il vénère comme la madone duborgne, ce n’est pas pour rien qu’il a été chassé du continent. Sa pauvre mère ne s’est jamais remise de ne pas avori avorté de ce ..Prions pour cette pauvre femme
« les barbus (Chaloux) ».
Exact.
Chaloux dit: 20 janvier 2014 à 12 h 22 min
j’écrivais plutôt mieux il y a trois ans.
Vous écrivez toujours admirablement, cher monsieur, mais il est vrai que, il y a trois ans, votre style était tout simplement éblouissant. Quand je relis vos posts d’alors, je vous assure que mon émotion est intacte.
« mais je vois aussi que j’écrivais plutôt mieux il y a trois ans. » (Chaloux)
peut-être, mais c’est toujours très très bien, ne fais pas le modeste, la plupart des commentateurs sont béats devant ton aisance littéraire. Personnellement, je ne cache pas ma jalousie, ton talent est bluffant.
Ce sont les contenus qui font problème… l’esprit du temps… pour les plus petits…
Mais pourquoi cette fascination, chez notre hôte pourtant humaniste et fils des Lumières, pour la littérature de droite ?
C’est bien vrai, ça! Chaloux a un don extraordinaire pour l’écriture.
« ..sincérement ces gars là c’est à s’demander vers quoi ils auraient penché..je fais l’pari qu’il aurait été pro avortement.. »
Et Maurras aurait demandé en mariage Barrès ou inversement, le boug ?
« Mais pourquoi cette fascination, chez notre hôte pourtant humaniste et fils des Lumières, pour la littérature de droite ? »
Parce que vous croyez que Passou est de gauche, Clopine ?
disons que LA plume de ce blog est Clopine, écrivaine née, mais que Chaloux la talonne et finira par la rejoindre s’il persévère.
c’est bien simple, les écrivains dits de droite écrivent mieux, surtout ceux d’avant deuxième guerre.
« Qu’avons-nous appris ce matin ?
– Chaloux est en retard
– bérénice n’aime pas les chauves
– u. n’aime pas les femmes
– Pablo75 est un grand lecteur
– JC pète »
Que peut on espérer pour demain ?
– JC sera en retard
– Chaloux n’aimera pas les chauves
– Bérénice n’aimera pas les femmes
– U. sera un grand lecteur
– Pablo75 pètera
vous croyez que Passou est de gauche, Clopine ? (baroz)
oh, eh, elle a ses petites naïvetés parfois, mais faut quand même pas exagérer.
« Que penser d’unécr(ivain qui choisit si bien ses morts? » Alire les œuvres de ses Secrétaires
La Vie et La Mort de Déroulède
Notre cher Péguy
Barrès
La Tragédie de Ravaillac (avec Sadi Carnot en guest star! « Il est bete mais l porte un nom répblicain » disait Clemenceau…)
Il semble que ce soient plutôt les Tharaud qui choisissaient bien leurs morts…
Le drame est que tout cela est dénué du moindre intérêt. Le plus petit Jean Martet , le plus modeste René Benjamin à de l’allure en comparaison.Il est vrai qu’eux faisaient parler Le Tigre.
Bien à vous.
MC
Passou n’est pas fils des Lumières, c’est le fils des Assouline !
Phil dit: 20 janvier 2014 à 12 h 38 min
c’est bien simple, les écrivains dits de droite écrivent mieux
Il est con, ce Phil, mais il est con !
« Il est con, ce Phil »
(certains vont jusqu’à dire qu’il serait belge)
les écrivains dits de droite écrivent mieux
Mieux que Chaloux ?
la distribution des chardonne en suppositoire va commencer
Et que chez Brueghel les hommes soient des géants et les femmes des naines ça ne vous choque pas, Clopine ?
clopine, peut-être la curiosité ?
A vrai dire je n’en sais rien, en surfant sur le net j’ai trouvé le copain de Céline, Le Vigan, et savez-vous ce qu’il prenait comme pseudo pour écrire ses sketches et chroniques douteuses ?
je cite wiki :
L’Armistice signé, il remonte à Paris. Il participe sur Radio-Paris sous la direction de Charles Oltramare dit « Charles Dieudonné » à une émission-revue «au rythme du temps» où Le Vigan, avec des comédiens comme Maurice Rémy et des journalistes, joue des saynètes basées sur les actualités2. Cette émission lui donne l’occasion de manifester avec bruit sa fougue antisémite, ce qui lui vaut d’être en tête de la liste noire des comités d’épuration.
Ce que tous les savants de ce blog et autres clowns n’ont pas dit, vu qu’ils marchent de biais. Bon j’ai vraiment l’impression de cafter, mais c’est pourtant tellement à portée de tous, …
Pour le parc des Buttes-Chaumont, Clopine, offrez « Le paysan de Paris » d’Aragon à Clopinou !
« Sion-Vaudémont n’est pas signalé sur l’A31. il faut tout de même connaître les sorties et Barrès ne s’adresse pas aux lecteurs de gps. »
ppfeuhh, Phil, l’A31, il faut la prendre dans le bon sens.
La colline inspire différemment, dans l’autre sens.
Voir une « jeune Bérénice » crépiter du clavier et multiplier les posts doit bien faire sourire Barrès et Bourget au paradis. Barrès donne de l’intelligence aux hôteliers de la RdL et de la timidité à ses importuns habituels (c’est pas moi qui le dit, c’est une citation de Maurice dans les « Barbares »). La Ligne bleue des Vosges n’était pas si jolie que ça vue de l’autre côté, depuis la butte témoin de Sigmaringen. Les Minnesänger (pseudo-)philobarrésiens de la tribu franque qui voulurent se rendre compte de la chose par eux-mêmes en juin `44 perdirent la vue pour toujours, sauf le bon docteur D. qui avait une une magnifique composition et une super-nature à la Michel Strogoff, pas disposé pour un sou à révérencieusement baiser sur le front la mère des muses du style français, y’avait pas cousu « Oedipe » sur le revers de son veston non plus. L’oeuvre écrite dans son jardin meudonnais est peut-être d’ailleurs l’entreprise du grand débarrassement de Barrès du champ magnétique des lettres françaises que les surréalistes n’avaient eu que la gueule de proposer.
baroz, ne détournez pas Clopinou par des oeuvres mineures. Aragon a fini dans les bras de Camus (le petit) au palace. Rien de tel qu’un petit Barrès pour viriliser.
D’ailleurs, Phil, je ne me souviens plus sur quel pont qui enjambe l’A31 est accrochée cette immense croix; la croix gammée , sens inverse !
Mais évidemment, en prenant le train, on voit pas les mêmes choses. On regarde passer les vaches.
acques Barozzi dit: 20 janvier 2014 à 12 h 49 min
« Clopine, offrez « Le paysan de Paris » d’Aragon à Clopinou ! »
Plutôt un modèle « à réservoir » pour qu’il puisse dégueuler dedans.
cette fascination, chez notre hôte pourtant humaniste et fils des Lumières, pour la littérature de droite ?
vous parlez des commentaire de u jc bourguerau en particulier?
Morand montre dans la Correspondance un Mauriac tout déconfit, bien forcé d’admettre: « le talent est à droite ».
Mais il faut bien ajouter que le talent de la droite est aussi une bien vieille histoire sans survivance. La faute aux révolutionnaires ultra-libéraux.
oui, et alors ? Cette phrase frôle le ridicule, le talent est à droite … Mauriac c’est l’évangile ? Le talent est à droite pour toujours ???
Misère … et moi qui suis gauchère de naissance c’est foutu alors ?
les gorges nouées dit: 20 janvier 2014 à 12 h 48 min
Delphine le Vigan est de la même famille que Robert le Vigan, ou c’est un hasard patronymique ?
Après l’Opéra Bastille, la Bibliothèque Nationale François Mitterrand.
Que des catastrophes depuis sa conception ! Il y eu d’abord les volets en bois qu’il fallut réaliser en toute hâte pour préserver les livres entreposés d’une trop grande luminosité. Ensuite, devant l’avalanche des jambes cassées, on a dû poser des bandes antidérapantes sur l’ensemble de l’esplanade et des marches y conduisant. Aujourd’hui, c’est 12 000 ouvrages qui ont pris l’eau.
Les Grands Travaux seraient-ils maudits ?
On craint pour l’Arche de la Défense et la Pyramide du Louvre !
M. le Maudit ?
Sur la loi Veil un souvenir significatif
J’avais rencontré quelques mois apres la promulgation de la loi un senateur de tradition MRP enraciné dans monde rural catholique, père de 12 enfants qui se disait fier d’avoir voté cette loi et qui me disait ;chez nous pas question d’avortement, la possibilité ouverte par cette loi ne me concerne pas ,mais je ne me suis pas senti le droit d’imposer mes convictions à des femmes n’y adhérent pas ;au nom de quoi ,de quel droit aurais-je pu me permettre d’empieter sur leur liberté ?et il a ajouté que ce vote positif lui avait valu les felicitations d’une de ses sœurs ,religieuse hospitaliere ,qui avait vu mourir des jeunes femmes victimes d avortements artisanaux et clandestins ratés et se réjouissait de l’intervention de cette loi ,qui protégerait la vie des femmes décidées à avorter et qui le feraient de toutes manières.
@Christiane
Sur le mal-être que genererait dans le temps le souvenir d’une IVG ,et sur son effet culpabilisant ,c’est un vécu qui est variable selon les femmes ,mais il me semble que cet inconfort affecte essentiellement celles qui avortent pour répondre à une situation de detresse et qui peuvent des lors garder le regret d’un enfant qui leur a été refusé du seul fait de contraintes extérieures, à l’idée qu’elles ont manqué du courage de les affronter ;ce n’est apparemment pas le cas de celles qui le font par pur confort, du moins pour toutes celles que je connais et qui ont pris cette décision pour des raisons d’aménagement de carrière ,de confort matériel, de perspectives de voyages incompatibles avec une naissance et ses conséquences,d’ enfants elevés suscitant peu d’appetence pour repouponner etc…
En marge du sujet ,dans le recueil de Clopine une mininouvelle toute en pudeur et en tendresse
« L’oeuvre écrite dans son jardin meudonnais est peut-être d’ailleurs l’entreprise du grand débarrassement de Barrès »
Affirmation qui reste à prouver. Le point commun entre Barrès et Céline c’est un style somptueux. Barrès masqué mais Barrès quand même? Allez savoir…
@ des journées entières dans les arbres dit, je n’en sais rien, mais tout de même ..
j’ai écrit tt la nuit, envoyé à l’imprimeur, crevée, ce midi c’est rissoto aux asperges …
Jacques Barozzi dit: 20 janvier 2014 à 9 h 54 min
Marcel, j’ai achevé ton cadavre…
Ah, il y avait encore un peu de vie en lui ?
Un grand merci, Jacques, pour ton ultra sympathique commentaire.
The world’s 85 richest people have as much wealth as half of the rest of us, Davos told (The Independent)
Oxfam claims that growing inequality has been driven by a ‘power grab’ by wealthy elites (The Guardian)
les gorges nouées dit: 20 janvier 2014 à 13 h 24 min
Ah, ce ne sont donc que vos élucubrations.
Vous bossez dans les médias pipole ?
@DHH toutes celles que je connais et qui ont pris cette décision pour des raisons d’aménagement de carrière ,de confort matériel, de perspectives de voyages incompatibles avec une naissance et ses conséquences,d’ enfants elevés suscitant peu d’appetence pour repouponner etc »
drôles de fréquentations
Et Maurras aurait demandé en mariage Barrès ou inversement, le boug ?
excellente question qui réglerait cette bétise d’écrivain « de droite »..c’est comme de dire que jésus est le cousin de vontraube..un homme de droite, content de lui, n’ecrit pas, barrés sur la bétise a écrit des choses si mes souvenirs sont bons, en ce qu’on ne peut la concurencer dans l’équilibre qu’elle donne..trés forte pensée qu’il faut laisser médite aux insatisfaits et aux inquiets, bref à ceux qui n’en ont pas besoin
ceci dit baroz la pensée de maurasse s’est vautrée au prorata des coups de crosses..indesque touti
sa pensée n’est jamais celle que l’on croit tant que l’on a pas fait leffort de la lire, elle n’est pas si évidente..la pensée de droite aujourdhui est tellement nul a coté faut reconnaitre, nulle au sens ou elle est pavlovienne comme cheuloux traversant le boulvar saint germain pour s’y faire écraser pasqu’on l’appelle de l’aut coté
ce serait plus simple de demander à Passou, non ? Je n’ai que wiki pour source et je me vois mal errant dans les rues trouver un passant qui serait au courant, …
Les Grands Travaux seraient-ils maudits ?
a n’en pas douter..la honte..un chemin de croix..au fond le seul qui ait été sincère et neuf c’est pompom..les félés laisse passer la lumière
Bouguereau continue à remplir la RDL de son insipide matière.
c’était dla merde et maintenant il la goute..ça doit être ça un homme de droite : le coeur net
Chaloux dit: 20 janvier 2014 à 9 h 16 min
Marcel, mon bon, tes vers me font penser à ceux d’Hugo
Merci, cher Chaloux, pour ce bel éloge.
Comme vous avez quelques difficultés pour trouver ma littérature (qui se vend sous le manteau), je vous propose de vous envoyez gratuitement mon dernier polar si sympathiquement commenté par Jacques.
Donnez-moi une adresse à laquelle je puisse vous l’envoyer (jean.calbrix arobase free.fr)
Après l’Opéra Bastille, la Bibliothèque Nationale François Mitterrand.
Que des catastrophes depuis sa conception ! (J. Ba.)
C’est la Bibliothèque François Ceaucescu.
Mais je ne pleure pas trop.
M. Sarkhozy y aurait probablement mis un casino (I love Las Vegas)
Une très belle émission d’A.Veinstein sur ce livre du 10/12/2013 :
http://www.franceculture.fr/emission-du-jour-au-lendemain-antoine-billot-2013-12-10
les gorges nouées dit: 20 janvier 2014 à 13 h 43 min
non, non, pour ce type d’info pipole, je vous conseille de d’mander à Julius.
a n’en pas douter..la honte..un chemin de croix..
Ton chemin de croix, bouguereau, c’est la destruction des Halles.
christiane dit: 20 janvier 2014 à 13 h 56 min
C’est quoi un esprit facile?
C’est un esprit qui devant votre post se met à penser « Le livre M. Billot est sans doute excellent, mais je n’en mettrais pas ma tête à couper ».
Je suis complètement d’accord pour être foutu dehors.
@DHH dit: 20 janvier 2014 à 13 h 21 min
Oui, DHH, certainement mais pas seulement… Risques aussi pour l’enfant à naître si la grossesse est menée à terme. On parle alors d’IVG « thérapeutique » ce qui n’ôte en rien, la détresse et la tristesse.
Où est cette nouvelle de Clopine ? J’aimerais bien la lire.
résumé, pire je les déteste et j’aime de moins en moins me sentir encombrée.
x.lew puisque c’est comme ça, je ne remets plus les pieds ici, contrairement à Chaloux je ne suis pas oiseau, je n’ai rien à déclarer qui puisse approcher votre munificence. On fait pas mieux que des post-ado qui croiraient influer sur la décision du monde en le démontant comme un moteur de mobylette pour mieux le commenter. J’imagine sans effort que vous continuerez de cracher vos valdas.
Jacques Barozzi dit: 20 janvier 2014 à 9 h 54 min
Marcel, j’ai achevé ton cadavre…
Cette phrase serre le coeur, ça fait cimetière sous la lune, désécration républicaine…
Pauvres nonnes…
Sur le mal-être que genererait dans le temps le souvenir d’une IVG ,et sur son effet culpabilisant ,c’est un vécu qui est variable selon les femmes ,mais il me semble que cet inconfort affecte essentiellement celles qui avortent pour répondre à une situation de detresse et qui peuvent des lors garder le regret d’un enfant qui leur a été refusé du seul fait de contraintes extérieures, à l’idée qu’elles ont manqué du courage de les affronter ;ce n’est apparemment pas le cas de celles qui le font par pur confort, du moins pour toutes celles que je connais et qui ont pris cette décision pour des raisons d’aménagement de carrière ,de confort matériel, de perspectives de voyages incompatibles avec une naissance et ses conséquences,d’ enfants elevés suscitant peu d’appetence pour repouponner etc…
Est-ce un paragraphe faussement en accord avec l’utilisation de la loi ou faut il le lire comme moralisateur et un rien culpabilisant?
Que penser des hommes qui eux n’y pensent pas, laissant aux femmes le choix de porter le fruit de la décision en cas d’impossibilité à vivre une paternité?
@tutut
ces femmes dont la frequentation vous semble douteuse ,ce sont elles qui constituent la majorité de celles qui recourent à l’IVG ;et si elles en parlent c’est pour dire leur sentiment de s’être senties »legeres »,au sortir de l’intervention .
Cette nuit, j’ai été visité par le Malin. J’ai rêvé que Jésus à mobylette, escorté par les agents de sécurité de Pilate, filait rejoindre Marie-Madeleine rue du Colisée. Dans une seconde séquence, elle lui annonçait qu’elle était enceinte. « Fais-toi donc avorter, pétasse », lui lançait-il avant de filer faire du ski nautique sur le lac de Tibériade. Dans une troisième séquence, contrainte d’élever seule le fruit de leurs amours, elle obtenait une saisie-arrêt sur le salaire du père indigne, qui, comme de bien entendu, avait savamment organisé son insolvabilité. Dans une quatrième séquence, on apprenait que ce fils de… ce fils de…, se produisait dans un spectacle antisémite au théâtre de la Goutte-d’or-qui-fait-déborder-le-vase-de-nuit-sacré.
JC est intelligent mais celui qui écrit le mieux, c’est Chaloux.
Bouguereau, c’est une espèce de balayeur, à ceci près qu’au lieu de ramasser il étale. Souvent pas grand-chose.
Bousguereau si ta m… n’a pas de goût, cours chez le docteur….
DHH « ce sont elles qui constituent la majorité de celles qui recourent à l’IVG ; »
la majorité, vraiment?
« Ah, il y avait encore un peu de vie en lui ? »
C’est que ce vieux saligaud nonagénaire était particulièrement coriace, Marcel !
Tu ne nous dit pas s’il prenait du viagra ?
Un point de détail qui a son importance pour ce violeur de nymphette.
Mais toi aussi t’es un petit saligaud. Jusqu’à la fin je n’ai pas compris la raison de ton titre. Et ainsi tu balades le lecteur. Quand la cuisinière, grasse et plus que mûrissante, qui n’aime pas que monsieur le comte lui pince les fesses, nous avoue que durant ses heures de repos elle fait du tricot, j’ai cru qu’elle était la coupable.
Nenni !
si elles en parlent c’est pour dire leur sentiment de s’être senties »legeres »,au sortir de l’intervention
tu confond avec le beau rêve de l’ablation de cette connerie que tu portes en bandoulière
Je ne sais pas si les écrivains de droite ont plus de talent que les autres mais ce qui est certain c’est qu’ils provoquent le vôtre (sauf pour ce qui est de l’aptère Boug, trop abruti par le pornos, – mais pas par le Parnasse, hélas). Grâce à Barrès, on retrouve un peu de la vieille RDL, même si ce n’est que son ombre c’est déjà beaucoup.
DHH scotch double-face, je me souviens d’une belle affiche qui trônait au milieu de la gare de l’est quand cette gare ressemblait à autre chose qu’une immonde galerie marchande et qui montrait une jeune femme belle habillée d’une rode de satin clair genre crinoline, d’où sortait une multitude de bébés, à l’opposé une autre photo géante d’une autre femme avec les bois d’un cerf en parure, je me souviens qu’à l’époque la première paradoxalement m’avait conduite à penser aux femmes qui utilisaient l’IVG comme moyen de contraception et pratiquaient l’IVG en nombre un peu comme on se débarrasserait d’un sac poubelle en sortant de son immeuble, ce qui hélas a lieu quoique rarement et ne devrait pas.
Le petit Marseillais ne devrait-il pas écrire des polars ?
robe
Bousguereau si ta m… n’a pas de goût, cours chez le docteur….
en taste merde de l’ancien régime mon cheuloux..avec peut être une petite pension, mais de droite attation
« Gare de l’Est » « femmes qui utilisaient l’IVG »
Vous voulez dire le TGV, Bérénice ?
Le petit Marseillais ne devrait-il pas écrire des polars ? (Baroz)
En tout cas, Chaloux devrait, il écrit tellement bien !
@tutut
en tout cas la quasi totalité de celles que je connais.
je vous mets d’ailleurs au defi d’en trouver beaucoup , parmi les femmes de ma generation, suffisamment nanties pour envisager cette solution, qui n’aient pas fait un jour le voyage en suisse ,en Angleterre ou en tunisie pour obtenir ce qui leur etait refusé par la loi en France
je me souviens qu’à l’époque la première paradoxalement m’avait conduite à penser aux femmes qui utilisaient l’IVG comme moyen de contraception et pratiquaient l’IVG en nombre un peu comme on se débarrasserait d’un sac poubelle en sortant de son immeuble, ce qui hélas a lieu quoique rarement et ne devrait pas
gaffe..t’as trop lu l’figaro
« Que penser des hommes qui eux n’y pensent pas, » (bérénice)
On aimerait bien avoir connu ça de l’intérieur pour pouvoir en causer avec sensibilité, mais on n’a que des ignobles histoires de prostate à mettre en parallèle, c’est le degré zéro de la théologie.
Le petit Marseillais ne devrait-il pas écrire des polars ? (Jacques Barozzi)
J’ai déjà quatre scènes très fortes pour un scénario qui s’annonce d’enfer. Pour la mise en scène, j’hésite entre Haneke et Bertrand Blier.
bouguereau dit: 20 janvier 2014 à 14 h 24 min
« tu confond avec le beau rêve de l’ablation de cette connerie que tu portes en bandoulière »
On ne sait même plus à qui il cause. Insultes au petit bonheur le rance. Mais pas d’inquiétude. Il y a beau temps que ce pauvre type ne la « porte plus en bandoulière ». Il est suivi en permanence par un semi-remorque.
Ton chemin de croix, bouguereau, c’est la destruction des Halles
hof..tous les bobos les regrettent zouzou..comme quoi les symboles existent puisqu’ils peuvent mourir..encore un peu et lvmh les reconstruirait presque
Bouguereau je lis plus que rarement les journaux, possible d’avoir une opinion qui ne soit pas irriguée par la presse de droite de gauche du centre droit gauche, j’exclue minute.
parlez de connerie en bandoulière et cheuloux rentre le ventre
« Chaloux devrait, il écrit tellement bien ! »
Exact, il y a du génie chez cet homme-là. Et quelle culture ! Un exemple pour tous les contributeurs.
pas besoin de goûter, je te sens d’ici.
DHH faut-il aussi lire de votre condition comme ces femmes de votre génération?
de figaro de l’époque évidemment béré..aujoudhui on y adore baltard aussi
Ce soir, Bouguereau, Marie-George sera super contente. Elle va te faire envoyer deux litres.
« Que penser des hommes qui eux n’y pensent pas, » (bérénice)
Alors là, ma puce, si tu savais comme on s’en balance. La psychologie féminine, moi, c’est un peu comme si on me demandait de partir explorer une exoplanète.
u. je voulais tout juste souligner que si les femmes peuvent se montrer irresponsables dans ce cas de figure, procréation non souhaitée, les hommes le sont souvent plus qu’elles.
raaah cheuloux tu causes faible et sous influence comme keupu..redresse la tête un peu..de la tenue
Ouais.
Chaloux écrit bien. Dont acte, comme disent nos valeureux notaires.
Mais il écrivait tellement mieux il y a trois ans, hein. La moisissure de l’âge agit sur les meilleurs d’entre nous.
Qu’on lui coupe la queue.
(Symboliquement, cela va sans dire, Daaphnée.)
Le petit Marseillais dit: 20 janvier 2014 à 14 h 38 min
John Brown n’a pas su plaire. Toute sa vie, il a fait rire des femmes sans jamais les séduire. il s’en venge petitement, maintenant que la tenir a relâché son étreinte. Ferait mieux de se taire.
cheuloux tu causes faible et sous influence comme keupu..
non, non, non, il écrit beaucoup mieux que moi.
DHH, bérénice, Daaphnée, Christiane…
Vos soeurs japonaises n’ont pas le choix.
L’IVG est le recours ordinaire, puisque leurs médecins ne leur prescrivent pas la pilule. Il y a trop d’effets secondaires, disent-ils, c’est l’humour nippon.
Elles s’habituent donc bravement à aller à la clinique privée du coin.
Ça n’empêche pas ensuite la fréquentation de ces petits temples dédiés aux « enfants de l’eau ».
Pour les bouddhistes, le karma des petiots se met en branle dès la conception.
Prêt à renier la dimension sacrée, métaphysique de la prostate pour complaire aux commères, ce u.
Quel démago !
le problème avec l’ivg c’est qu’il y a de plus en plus de jeunes qui ne prennent plus de moyens contraceptifs, leur famille est déjà déstructurée, parents divorcés gardes alternées, quand on a les sous en vue on peut rattraper les choses, une grand-mère dévouée, mais il y a une telle fracture qu’on ne compte plus les adolescentes de 16 ans, enceintes après des cuites, ou une joint party, qui choisissent parce qu’elles n’ont aucune attache affective de garder le bébé en pensant que la société aidera. La publicité présentant la famille et le bébé comme une douceur protectrice. Or c’est le début d’un long parcours, plus le petit monstre grandit, plus il faut s’adapter, mettre ses balises, dialoguer. Après il faut savoir lâcher prise, pas facile non plus. Il se produit parfois une éducation à l’envers, la venue de l’enfant bouleverse, change la donne dans le couple. Pour ceux qui malheureusement ne peuvent plus avoir d’enfant quand ils ont enfin les moyens économiques d’assurer leur avenir, il y a de douloureuses remises en question, parfois la femme a pratiqué plusieurs ivg, ce qui la rend stérile quand elle a trouvé la bonne personne. Il y a tant de cas de figure que c’est compliqué je trouve, cet état envahissant, scrutateur, la morale d’état si peu adéquate qui prétend lisser les comportements amoureux, fait de nous des bestiaux calculateurs.
femmes qui utilisaient l’IVG comme moyen de contraception et pratiquaient l’IVG en nombre un peu comme on se débarrasserait d’un sac poubelle en sortant de son immeuble, ce qui hélas a lieu quoique rarement et ne devrait pas.
il paraît qu’avant la loi Veil, les avortements dans les toilettes (aiguilles à tricoter, ce genre de trucs) des lieux de travail n’étaient pas rares.
Dugommeau Roger dit: 20 janvier 2014 à 14 h 41 min
Cette parodie n’est pas très franche du collier.
c’est un peu comme si on me demandait de partir explorer une exoplanète.
fais gaffe on pourrait te prende au mot..tiens cheuloux par exempe tu lui mets un cax et un petard dans l’cul et tu lui dis qu’avant la mise a feu il doit faire un discours..et bien il le ferait chatié et chiadé
bouguereau dit: 20 janvier 2014 à 14 h 40 min
Bouguereau, j’aurai toujours moins de mal à redresser la tête que toi à redresser la queue.
En dehors de tes jugements, de quelques insultes qu’on a tous utilisées en classe élémentaire, dans tes posts il n’y a rien. Tu es un rien enrobé de
σκατός.
il paraît qu’avant la loi Veil, les avortements dans les toilettes (aiguilles à tricoter, ce genre de trucs) des lieux de travail n’étaient pas rares
et t’as encore l’aiguille dans l’cul..hin raclure de keupu
« Alors là, ma puce, si tu savais comme on s’en balance. La psychologie féminine, moi, c’est un peu comme si on me demandait de partir explorer une exoplanète. » (Phocéen)
C’est ça.
Tu bougonnnes, tu bougonnes, et tu te retrouves seul sur ton astre à n’avoir que des volcans à ramoner.
Si tu veux qu’elles te dessinent un mouton, tu peux te gratter!
(Un peu démago, Jacques, mais à peine, et le ciel est gris)
u. dit: 20 janvier 2014 à 14 h 51 min
Cette parodie est proche de la caricature.
Toute sa vie, il a fait rire des femmes sans jamais les séduire (Chaloux)
Ferait mieux de se taire, le Chaloux. Comme si on ne savait pas que la meilleure façon de les séduire…
« il y a de plus en plus de jeunes qui ne prennent plus de moyens contraceptifs, »
ah bon ?!
« vos soeurs japonaises n’ont pas le choix.
L’IVG est le recours ordinaire, puisque leurs médecins ne leur prescrivent pas la pilule. Il y a trop d’effets secondaires, disent-ils, c’est l’humour nippon.
Elles s’habituent donc bravement à aller à la clinique privée du coin »
au lieu de faire abstinence ! si c’est pas malheureux ! elles ont pas compris le motif de l’interdiction !
« Marie-George sera super contente. Elle va te faire envoyer deux litres. »
Il les mettra dans le buffet à marie-georges (houmor)
Pierre Assouline, pourriez pas le mettre en sourdine, Le microcéphale à intestin hypertrophié Bouguereau?.. Tous ces trous du culs explosés ça vous fatigue pas à la longue?
Le mieux serait évidemment qu’il retourne à l’office…
et t’as encore l’aiguille dans l’cul..hin raclure de keupu
ben non connard de raclure de me rde
Bouguereau, j’aurai toujours moins de mal à redresser la tête que toi à redresser la queue. (Chaloux)
Et c’est le même Chaloux qui s’émerveillait un peu plus tôt de la remontée du niveau de la RdL. Il y a des gens qui ne savent pas ce qu’ils veulent.
« au lieu de faire abstinence ! si c’est pas malheureux ! elles ont pas compris le motif de l’interdiction ! »
Pas de Jeannette chez elles.
Même Marcel, il ne la défend plus, la femme du gros Maurice.
« Une grande affaire d’Israël, c’est de se choisir une patrie.il ne la tient pas toujours de ses aïeux ;il l’acquiert par un acte de volonté et sa nationalité est sur lui comme une qualité dont il se préoccupe de prouver qu’il est digne »
Et le même sur les juifs d’Algérie :
« [Cremieux] les décréta citoyens français .La noblesse de ce titre, les prérogatives qui leur sont attachées et leur éducation semblent les avoir transformés en patriotes. Leurs peres ne connaissaient que le commerce mais eux vibrèrent à l’appel aux armes »
C’est de Barres dans le chapitre « Israelites » de son ouvrage « Les diverses familles spirituelles de la France » écrit à la fin de la première guerre mondiale
Une évolution dans le sens de la lucidité ,une maturation de l’écrivain qui invitent, certes à contrecœur, à un peu d’indulgence rétrospective pour son propos obscène sur la traitrise de Dreyfus conséquence évidente de sa race
Le petit Marseillais dit: 20 janvier 2014 à 14 h 54 min
Ben voui, John Brown, c’est exactement que je dis. Faire rire, tu savais, mais le reste non. Sans doute parce que tu les faisais rire à tes dépens.
C’est ça.
Tu bougonnnes, tu bougonnes (u.)
Je ne bougonne pas, je ris.
je partage votre dépit, petit Marseillais, Chaloux ne fait que décliner depuis trois ans.
(et pourtant Dieu sait qu’il écrivait bien à l’époque!)
Le petit Marseillais dit: 20 janvier 2014 à 14 h 56 min
C’est que je m’adresse à une créature très limitée. Il faut donc que j’use d’images à sa portée.
(Personne aurait une banane pour Bouguereau?)
bouguereau, il est comme ça, Chaloux.
« Anus », c’est lui, ça veut souvent dire « je t’aime ».
Si vous permettez, u., j’aimerais autant qu’il aille aimer ailleurs.
Ben voui, John Brown, c’est exactement que je dis. Faire rire, tu savais, mais le reste non. Sans doute parce que tu les faisais rire à tes dépens. (Chaloux)
Qu’il est con, ce Chaloux. C’est vraiment la teigne personnifiée, le roquet agressif. Et, pour couronner le tout, adjurant le maître de céans de dresser des listes de proscription. Tout pour plaire décidément. Cause Barrès et lâche nous, Chaloux. Hou !
cheuloux il couine et crache..l’a du coincer son pied dans une rail de tram..pisse sur ta botte cheuloux:
t’es en retard pour ton rencart avec le docteur maboul mon cheuloux..tu vas raquer double scéance ça va faire effet
« Le point commun entre Barrès et Céline c’est un style somptueux. Barrès masqué mais Barrès quand même? Allez savoir… »
Je ne disais pas le contraire dans mon post. Céline avait sans doute Barrès en tête (littérairement, la profondeur stratégique — chère à la conception militaire –, était quelque chose d’important chez lui, il avait la mémoire ultravive de tout ce qui s’était écrit) lorsqu’il recréait toutes les aventures de sa vie sur le papier. Le grand projet artistique de Barrès, (l’abandon des « explications psychologiques », le versement dans le fossé des « discussions psychiques ») fut suivi par lui à la lettre, je pense que cela n’est un secret pour personne. Barrès plaida plus d’une fois pour des romans où les « éjaculations » auraient la part belle (les mots entre guillemets sont de lui). C’était quelqu’un qui devait constamment vaincre certains reproches d’obscurité, d’illisibilité, comme Valéry pour la poésie il se démena pour faire resurgir les pouvoirs de l’émotion, du son pur, afin de rendre clair son propos. « Le vent se lève… » L’anémographe stylistique que s’est bricolé Céline dans son garage (à mots pas à bagnoles, qu’il détestait) lui permit de capter tout ça à son pur crédit.
Il me largue, il me largue, je le sens !
Bon dieu ! mais comment ai-je pu lui faire confiance à ce gros mou ? En plus il ronfle… et cette petite garce de Julie, elle pourrait être sa fille ! Quel salaud, non mais quel salaud ! Pauvre gland ! Solidaire, il me disait… Social démocrate, oui ! Pédophile ! vingt ans de plus qu’elle ! Tu ne l’emporteras pas en paradis …Crapule !
(Si je savais comment le joindre, je le tromperais bien avec Chaloux : il écrit si bien ! Et un homme qui écrit bien, parait-il… A la Lanterne, Chaloux !)
C’est là où on regrette l’absence de notre ami Mauvaise Langue, cet homme serein qui n’avait pas son pareil pour calmer le jeu.
On se demande pourquoi Chaloux insiste, d’ailleurs. Il ne doit pas se rendre compte que tout le monde, à une seule exception près, le prend pour un con vaniteux.
L’exception est Daaphnée, mais elle n’est pas là. Alors à quoi bon ?
t’es en retard pour ton rencart avec le docteur maboul mon cheuloux. (bouguereau)
C’est un tête-à-tête ? Chaloux au miroir.
Le petit Marseillais dit: 20 janvier 2014 à 15 h 04 min
John Brown, je suis bien fâché d’avoir touché si juste. Je t’en demande pardon, d’autant que tu n’as même pas le bon sens de le cacher. C’est deux fois te mettre face à toi-même. Ce que tu écris ici et ailleurs, tes « relations » avec les dames qui hantent Céans, tout prouve ton échec amoureux, perpétuel et sans répit,- tu en ruisselles encore, malgré ton grand âge, de colère et de dépit.
on reconnaît le raté à l’aigreur de ses commentaires, chaloux, fais attention, ça commence à se voir.
Barrès revit sous la forme d’une opération de marketing : à force de dire qu’il n’est plus lu il va terminer best-seller ! Pendant toute la commémo de quatorze jusqu’à vingt-deux… Ca fait de l’oseille…
« L’exception est Daaphnée, mais elle n’est pas là. Alors à quoi bon ? »
Chaloux est un lettré.
JC, c’est trop ou pas assez.
On est tous tendus ici, on vient en loucedé alors qu’on doit bosser, mais si tu as des informations précises sur la Grille du Coq ou la Lanterne, il faut les donner, le contraire serait inamical.
« Anus » veut souvent dire « je t’aime » (u.)
Ben mon colon !
La naïveté à travers les âges dit: 20 janvier 2014 à 15 h 08 min
John Brown, j’ai dû toucher une blessure bien vive pour que tu perdes à ce point ton sang froid. Ah toute-puissance de la rhétorique, hein? Pour ce qui de la vanité blessée, raclée jusqu’au sang, je crois que tu en restes tout de même le champion hors catégorie. Si tu ne veux pas que ça se sache, il ne faut pas écrire.
John Brown, je suis bien fâché d’avoir touché si juste. (Chaloux)
Il est vraiment trop con. J’en rigole derrière mon clavier. Est-ce que Bouguereau pourrait nous dire ce qu’a bouffé Chaloux à midi ? Je sens bien qu’il saurait trouver l’inspiration qui, là, me fait défaut.
« vingt ans de plus qu’elle ! Tu ne l’emporteras pas en paradis …Crapule ! »
jicé l’impotent en pleine crise de jalousie,ce fêtu de paille crâche son dentier, sa moumoute emportée par le vent furieux…bientôt une vague géante va déferler engloutissantle minuscule tas de fumier sur lequel il prospère
Monsieur Assouline, il est grand temps de calmer le jeu et de porcéder au plus vite à l’élimination de ce bouguereau qui envenime votre blog, cela devient vraiment insupportable ; je suggère une pétition ; qui va répondre OUI ???
journées dans les arbres,
la croix de Lorraine est passée en Hongrie et les trois alérions sont devenus crochus en partant à Vienne. Mais envers ou endroit, rien ne rappelle la svastika.
Tout ça est dit proprement au début de « la colline inspirée » quand Barrès pressent les incantations faites à Rosmertha. La même païenne a dû souffler dans les voiles du destin d’une fille née Royale, qui fit sa maternelle à Charmes, pour faussement convoler avec un brillant futur président. Personne ne devrait sortir sans son Barrès portable.
Nouvel envoi d’un post dont je voudrais qu’on m’explique pourquoi il a été retoqué par la moderation ;
« Une grande affaire d’Israël, c’est de se choisir une patrie.il ne la tient pas toujours de ses Aïeux ;il l’acquiert par un acte de volonté et sa nationalité est sur lui comme une qualité dont il se préoccupe de prouver qu’il est digne »
Et le même sur les juifs d’Algérie :
« [Cremieux] les décréta citoyens français .la noblesse de ce titre, les prérogatives qui leur sont attachées et leur éducation semblent les avoir transformés en patriotes. Leurs peres ne connaissaient que le commerce mais eux vibrèrent à l’appel aux armes » ecrit à la fin de la premiere guerre mondiale
C’est de Barres, dans le chapitre « Israelites » de son ouvrage « Les diverses familles spirituelles de la France » écrit à la fin de la première guerre mondiale
Une évolution,une maturation de l’écrivain qui invitent, certes à contrecœur, à un peu d’indulgence rétrospective pour son propos obscène sur la traitrise de Dreyfus conséquence évidente de sa race
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