L’un et l’autre en Maurice Barrès
Qui ça ? Maurice Barrès. Les jeunes générations de lecteurs, et même de plus âgées, n’imaginent pas l’empire considérable que Charles Maurras et Maurice Barrès ont exercé sur les esprits dans la France de la première moitié du XXème siècle. Aujourd’hui en librairie, il n’en reste rien, ou presque. Il faut bien chercher. Le fait est que Maurras est illisible et que Barrès n’est pas lu.
Ni défense, ni illustration, Antoine Billot a conçu son Barrès ou la volupté des larmes (210 pages, 19,50 euros, Gallimard) comme une visite. De celles qu’un jeune écrivain rendait autrefois à un glorieux aîné admiré dans l’espoir d’en ramener un improbable adoubement. De quelles larmes s’agit-il ? « L’éclat des larmes que l’esprit répand transfigure l’univers qu’il contemple » notait Barrès dans Un homme libre. Cinq chapitres, cinq moments de son passage sur terre, de l’âge de 8 ans à l’année de sa mort en 1923.
Une biographie est une enquête, un portrait est une quête. Ce n’est pas affaire d’archives, de sources et de témoignages mais d’hésitations, de vacillements, d’incertitudes, de frémissements et d’instants décisifs. Qu’importe l’exactitude des situations du moment qu’en jaillit la moelle d’une existence, la vérité de l’homme. Le portraitiste a le verbe précis, le trait aigu. Au physique, il ne l’a pas raté : peau couleur mauresque, regard de corbeau espagnol, allure de grand étudiant gauche. Il ressemble au capitaine Dreyfus. Un comble ! Dur à avaler pour la Ligue des patriotes.
Il s’autorise l’ellipse sur des pans entiers de sa vie politique, préférant s’attarder sur la charge de paradis perdu qu’il y a dans le « jadis » lorsque c’est Barrès qui en use et abuse au point d’en faire une signature. Ainsi peut-on évoquer son propre pays comme un pays lointain, la gorge nouée de regrets pour un temps révolu. Mais lui-même mettait en garde contre la toxicité de cette nostalgie, la mélancolie qui lui faisait cortège, en prévenant que rien n’empêche le bonheur comme le souvenir du bonheur. « Maurice » comme il l’appelle ne se débarrassera jamais du lumineux fardeau constitué par un glorieux grand-père, le spleen mosellan, le souvenir d’une enfance provinciale entre colline de Sion et cimetière de Vaudémont. Il n’eut de cesse de consulter ses morts, et de se livrer à un entretien infini avec eux. Jamais il ne fut déçu dans son amour des disparus. Ce qui ne l’empêcha pas de se rendre régulièrement au boxon, mais pour s’y mettre à l’écoute de la rumeur du monde, qu’alliez-vous imaginer ! De quoi le changer un peu des nécropoles à baldaquin. L’amoureux en lui a l’envolée facile. Anna de Noailles, poétesse admirée de Proust et femme au cœur innombrable, en sait quelque chose : « cristal », « vase d’or », « ruche de verre », « folie avisée », voire, « jeune Ulyssse frigide »…
De toute façon, le Lorraine était sa mère, sa femme et sa maîtresse. Il couchait avec la terre où les siens étaient couchés. Les derniers grands barrésiens ? Aragon, Malraux… Et même Breton et d’autres encore qui l’avaient pourtant condamné en le déférant au tribunal de Dada et finirent par reconnaître, toutes comptes faits, l’éclat sans pareil du poète en prose. Pas étonnant que celui-ci se soit si bien entendu avec le général de Gaulle. Ils avaient en commun avec leur maître le goût des forêts (« Sylvas inter reptare salubres”) et la splendide désinvolture avec laquelle il a habillé son désespoir.
De temps en temps, une courte citation s’insinue en italiques. Présence de Barrès. Juste assez pour donner à nouveau envie d’y aller voir, jusqu’à reprendre Mes cahiers ou Sous l’œil des barbares. Sa mystique du cimetière français réussit à ne pas verser dans le morbide. Ce besoin de terre, de racines, d’aïeux, cette constante nécessité de galerie d’ancêtres, de passé immémorial, c’était sa manière de se rassurer en prenant la mesure de la permanence de toutes choses essentielles autour de lui. Ce qui distingue la terre du sable, le plein du vide, c’est justement la présence des morts. Ce doit être lourd de porter ses morts en bandoulière, quand bien même les eût-on sublimés. Toute une vie à l’écoute de leurs voix… Grâce à eux, tout est bien là comme autrefois, intangible. Pour ceux qui en douteraient encore, notre irrépressible désir de repères ne date pas du début des années 2000.
Les Déracinés (1897) proposait de faire du mot « tumulte » l’oriflamme de la langue et de la légende nationales. Mais comme le fait justement remarquer Laurence Campa dans le passionnant dossier que la Revue des deux mondes vient de consacrer à « 1914-1918, la fin d’un monde » : « On n’en pouvait plus, au front, de la propagande de guerre à la Barrès, on voulait des textes dans lesquels on pouvait se reconnaître comme dans Le Feu d’Henri Barbusse ». A défaut de s’y être replongé récemment, on fait confiance à Antoine Billot, qui semble avoir vécu en Barrès de tous temps et à tous âges. Il a peut-être trouvé le Maurice qui, en Barrès, avait passé sa vie à chercher la personne qu’était la France, celle à laquelle Michelet l’avait identifiée, après avoir précisé que l’Allemagne était une race, et l’Angleterre un empire. Son texte ailé, modeste et précieux paraît dans la collection « L’un et l’autre » que créa et dirigea J.B. Pontalis. Son écriture a été achevée entre sa mort et celle du père de l’auteur, pilier de la collection à laquelle il avait déjà donné quatre livres. L’un et l’autre veillent sur ce livre. M. Calet eut conseillé de ne pas trop le secouer car il est plein de larmes invisibles.
On croise le pascalien, le péguyste, l’antidreyfusard. Alors Dreyfus, bien sûr. La question incontournable, comme on ne disait pas. On disait plutôt « l’Affaire » comme s’il n’y en eut et il n’y en aurait jamais qu’une susceptible de déchirer les Français. Billot tient que Barrès ne s’est même pas posé la question de l’innocence du capitaine tant cela lui paraissait déplacé en regard de l’honneur de l’armée française. Et puis quoi ! Malgré cette obstination à passer outre le sort d’un individu quand celui de l’institution était en péril, il y eut dans les Familles spirituelles de la France (1917) non un repentir mais cet aveu par lequel il reconnaissait les israélites français comme des membres naturels du corps national – ce qui revenait à manger son chapeau après le torrent de boue et de calomnies sur eux déversé pendant tant d’années.
On s’en doute, les pages que l’historien de la littérature Uri Eisenzweig consacre au cas Barrès dans Naissance littéraire du fascisme (166 pages, 19 euros, Seuil) rendent un son plutôt différent. Ces deux livres sont de facture très différente. Mais il est une scène, sur laquelle le second focalise de manière aiguë, qui pourrait se trouver dans les deux : le récit par Léon Blum de sa visite à Maurice Barrès. Il savait certes que ce « frère aîné » était antisémite mais ne jugeait pas, de même que tant d’autres, que cela le prédestinait à basculer ainsi.
Uri Eisenzweig propose de voir les prodromes du fascisme dans le refus de l’universel et l’affirmation d’un déterminisme racial tels qu’ils s’expriment chez le Barrès chef de file de l’antidreyfusisme militant. Il invite à relire Les Déracinés sous une autre loupe, roman balzacien qui se veut également un antiroman, pour conclure qu’il n’y pas de plan chez Barrès : « Pas d’intention claire ou une vue d’ensemble qui expliqueraient ses prises de position ». De quoi revoir le concept de culpabilité à l’aune de l’attitude de Barrès durant l’Affaire. Un cas extrême d’obstination dans l’absurde. Car il tient le capitaine condamné non pour un officier mais pour un personnage, une fiction. Il le nie comme homme. L’écrivain ne veut même pas qu’on lui raconte l’injustice commise : la trahison de Dreyfus, il la déduit de « sa race ». C’est assez pour récuser par avance tout récit de son innocence car il serait stricto sensu empoisonnant.
801 Réponses pour L’un et l’autre en Maurice Barrès
Bougreau a de la chienlit à discipliner mais il ferait un bon écrivain de droite.
Raté, tant que la partie n’est pas finie… Il y a deux choses que j’ai vraiment ratées -trois, plutôt : « négligées « par manque de temps- et que je voudrais non pas réussir, mais ré-entreprendre. En revanche quand la partie s’achève, ce n’est plus l’individu qui s’exprime mais son incommensurable (dans le cas dont je parle) dépit.
je suggère une pétition ; qui va répondre OUI ??? (curiosa)
Nous répondons NON.
Chaloux dit : Il y a deux choses que j’ai vraiment ratées -trois, plutôt : « négligées « par manque de temps-
mais on s’en fout, bon Dieu, c’est pas un confessionnal, ici !
« qui va répondre OUI ??? »
nous répondons oui
Nous répondons OUI OUI OUI
Le petit Marseillais dit: 20 janvier 2014 à 15 h 17 min
« J’en rigole derrière mon clavier. »
Il en « rigole » (des larmes?) derrière son clavier, mais ce qu’il jette sur nos écrans ne rit point.
« Est-ce que Bouguereau pourrait nous dire ce qu’a bouffé Chaloux à midi ? Je sens bien qu’il saurait trouver l’inspiration qui, là, me fait défaut. »
Et il le dit lui-même, il en demeure sans voix.
Ce pauvre John Brown est plus facile à déchiffrer que le premier fascicule (!) de la méthode Shmoll…
Chaloux dit: 20 janvier 2014 à 15 h 16 min
La naïveté à travers les âges dit: 20 janvier 2014 à 15 h 08 min
John Brown, j’ai dû toucher une blessure bien vive pour que tu perdes à ce point ton sang froid.
Et voilà ! Chaloux fait son TKT. S’il y a deux posts contre lui, c’est forcément deux fois la même personne. Peut pas imaginer qu’on soit plusieurs à le trouver ridicule.
En ben non, mon Chaloux, je suis pas Jambrun.
Le mieux serait tout de même que Bouguereau s’en aille de lui-même. Ce serait plus noble.
mais si, petit marseillais, tu es Jambrun. Tu cherches à disparaître derrière un inconnu pour éviter mes flèches. Peine perdue…Elles te toucheront.
Curiosa dit: 20 janvier 2014 à 15 h 18 min
là, chaloux, tu exagères.
noble bouguereau, boudegras boudegros, vous rigolez, c’est juste un gros mot pour lui, un de ceux qu’employait son copain Goering qu’il aime citer si souvent, en attendant Goebbels
Tout à fait, bouguerau en panzerfûrher, chiant violet, avec une ponctuation à la sant’angelo, je commence à l’intégrer, mon éditeur n’a jamais autant rigolé, la commémoration ne fait que commencer, je retourne au front me gratter…
Chaloux dit: 20 janvier 2014 à 15 h 31 min
T’es vraiment trop con, toi. Petit Marseillais n’a jamais caché son identité, il la donne dans le lien rouge.
TPR dit: 20 janvier 2014 à 15 h 34 min
Curiosa dit: 20 janvier 2014 à 15 h 18 min
là, chaloux, tu exagères.
Pas moi.
Le navet à travers les âges dit: 20 janvier 2014 à 15 h 36 min
T’occupes.
Jacques Barozzi dit: 20 janvier 2014 à 14 h 23 min
« Ah, il y avait encore un peu de vie en lui ? »
C’est que ce vieux saligaud nonagénaire était particulièrement coriace, Marcel !
Tu ne nous dit pas s’il prenait du viagra ?
Un point de détail qui a son importance pour ce violeur de nymphette.
Mais toi aussi t’es un petit saligaud. Jusqu’à la fin je n’ai pas compris la raison de ton titre. Et ainsi tu balades le lecteur. Quand la cuisinière, grasse et plus que mûrissante, qui n’aime pas que monsieur le comte lui pince les fesses, nous avoue que durant ses heures de repos elle fait du tricot, j’ai cru qu’elle était la coupable.
Nenni !
Le plus amusant dans cette affaire, Jacques, c’est qu’à ce stade, je ne sais pas moi-même qui est coupable ! J’introduis mes personnages au fur et à mesure. C’est la période la plus difficile. Puis au bout de trente pages, je me lâche car j’ai tout un passé derrière moi. Evidemment cela demande de nombreux retours en arrière pour éviter les incohérences.
keupu ou quelque autre dit: 20 janvier 2014 à 15 h 35 min
en attendant Goebbels
Non mais il remplissait même pas son Hugo Boss, celui-là… Huit enfants quand même pas besoin d’être aryen… Finalement c’est comme en art la différenciation c’est la laideur…
Marcel dit: 20 janvier 2014 à 15 h 42 min
« Evidemment cela demande de nombreux retours en arrière pour éviter les incohérences. »
C’est comme pour Bouguereau. Quoique lui ne les évite jamais.
Dis châlous, la guerre c’est le chaos, bouguereau est incohérent .. moi je trouve que c’est raccord.
Le massacre des dauphins de Taiji a commencé.
Chaque année, les pêcheurs du village de Taiji, au Japon, rassemblent des centaines de dauphins et les attirent dans une baie dont les mammifères ne peuvent s’échapper, afin de sélectionner quelques dizaines de specimens pour des parcs aquatiques et de tuer les autres pour vendre leur chair. (lemonde)
c’est rien à côté de la guerre qui sévit ici
Oukase du 20 janvier 2014.
Au Camarade livreur de plateaux.
Le pauvre agent administratif-surveillant Bouguereau me semble bien mal en point. Il faudrait lui faire prendre un purgatif. Et lui confisquer ces instruments répugnants avec lesquels il passe ses journées à s’offusquer le fondement.
La Camarade superviseuse des plateaux.
Marie-George.
Mahler Symphony No 9 Claudio Abbado Mahler Jugendorchester
Des fois faut s’y reprendre à trois ou quatre fois pour poster un com sur ton gueublo, Sergio.
C’est pas très sérieux.
(J’ai renoncé.)
Eh, renato, on va quand même pas écouter une symphonie de Mahler sur YouTube !
Vous dites tous que Chaloux est un con, c’est possible, je ne suis pas capable d’en juger, mais qu’est-ce qu’il écrit bien !
Mollo, ils le disent pas tous…
Molo, francette…
Assouline a dit un truc à la télé, l’autre jour… je me rappelle pas… ça va me revenir.
Ah ça y est, ça me revient. Il a dit : Chaloux est plus con que bouguereau mais moins con que Phil.
A moins que ce ne soit sur France Culture… j’ai un doute.
Je suit nouvele sur se blog est je trouve que presque tous le monde écris drollemant bien. Quelques fois s’est un peut grossié quant meme.
« Eh, renato, on va quand même pas écouter une symphonie de Mahler sur YouTube ! »
Ce n’est qu’une suggestion… après chacun fait come bon lui semble…
Et il a ajouté : Il écrivait mieux il y a trois ans.
Ah John Brown, on s’en sort comme on peut, d’une série de baffes.
Mais ça manque un peu de panache tout de même.
Fais un effort.
Pousse…
Celui de marseille, il n’aime pas les femme. Moi je croit qu’il est pédé, s’est pas une raison de craché comme il fait sur nous.
que ferais-je dans le hibou d’un u. ?
pardon
> dans la hulotte d’un zou.
Le e-boudin U ?
GV
Il a dit, Assouline,avec une grande rigueur, dans cette belle émission tres douce , qu’à Sigmaringen ce n’était pas la vie de chateau. .On avait beau faire semblant de nommer des prefets dans une république en carton pâte,les escaliers étaient humides et mauvais pour les rhumatismes,et de la moisissure dans les lavabos.
Il a dit auussi et que s’il était doux,le premier soir de manger des saucisses fumées devant un majordome en courbettes, et le matin, de la confiture de myrtilles ,les chambres avec des hauteurs de plafond vertigineuses rendaient les nuits fievreuses; le deuxième jour, on s ‘ennuyait comme dans un traité de Bourdieu,les jours sans bruit de bombardiers vers Ulm .ca ressemblait à un lundi.tout le monde était commissaire de quelque chose ou directeur de cabinet.voilà exactement ce qui s’est dit.ensuite il y eut ,dans cette importante émission, un type assez gros qui dessine nerveusement , il s’est souvenu de tout ce qui lui tait arivé , il avait de solides connaissances générales en philosophie, en sciences exactes et en polonais;il parla énormement,alors je me suis endormi,j’ai raté la romancière qui parle de transplantation cardiaque,dommage.
@ la main de ma sœur dans la hulotte d’un zou
Ave, Calbrix !
la romancière qui parle de transplantation cardiaque,dommage. (athalie de madagascar)
Elle a dit, dans cette émission douce, que c’était bien de réparer les vivants avec les organes des morts qui sont encore vivants dans leur corps mais pas dans leur tête parce que en 1959 on a expliqué à ceux qui savaient pas qu’on peut être mort même avec le cœur qui bat si on n’a plus d’activité cérébrale et que les organes, il faut pas que ça se perde pour tout le monde.
Voilà, c’est ça que vous avez raté.
« la main de ma sœur dans la culotte d’un zou »
C’est d’accord, mais seulement après lui avoir courtoisement demandé son avis, et lui avoir donné l’assurance qu’elle avait affaire à un garçon propre, sérieux et discret.
Déjà que les pantalons des zouaves sont bouffants on voit pas très bien ce qui va rester…
que les organes soient pas perdus pour tout le monde
sauf les yeux, ça les parents du mort veulent pas, parce que c’est les fenêtres de l’âme, a dit JC.
bon, je me suis dévoué: le père d’Assouline a fait la campagne d’Allemagne en 40, Sigmaringen lui est dédicacé. Clopine devrait être satisfaite pour ses curiosités.
Quand à Julius, il ne m’a pas répondu sur Le Vigan/ Dieudonné … cela ne doit pas faire partie du protocole.
vu sur Google :
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Bien à vous,
MC.
Si chacun des intervenautes sur ce blog gérait ses interventions en bon père de famille, on ne connaîtrait plus ces navrants dérapages dont un Chaloux (parmi d’autres, je le cite presque au hasard) se sont fait une malheureuse spécialité.
Vous avez raison, petit Marseillais, les dérapages de Chaloux deviennent difficiles à supporter.
« dont un Chaloux […] se sont fait une malheureuse spécialité » (mézigue)
Je m’excuse : en fin de journée, entre chat et loup, je vois des Chaloux partout.
…
…être dedans et dehors,…pour en être dehors et dedans,…
…
…Ding, dingue, dong,…sonnez les matines!,…frère Jacques,…
…
…tous des salauds,…forcément avec les phalanges macédoines ,…très profondes dans la république,…
…
…mais c’est qu’il aime çà,… » notre dix-version « ,…l’école des biches,…notre boîte à Pandore,…
…
…sur tout les terrains d’opérations des manoeuvres,… » fuyons « ,…les french’s gay’s attaquent,…le nouveau Jammes Boonddy 003637,…sur la tarte et le pudding,…etc,…
…
…sérieux s’abstenir,…
Celui que je trouve ennervant le plus que les autre, c’est Chaloux qui ma beaucoup choquer. Il doit avoir des égreures d’estomat mais ce nait pas une raison pour dire des choses pareil.
les french’s gay’s attaquent,…le nouveau Jammes Boonddy 003637,…sur la tarte et le pudding,…etc,…
C’est vrai ou vous inventez, GIovanni Sant’Angelo ?
Giovanni Sant’Angelo dit: 20 janvier 2014 à 18 h 27 min
les french’s gay’s attaquent,…le nouveau Jammes Boonddy 003637,…
Jacques Barozzi, une telle audace frise l’inconscience !
Excellent billet, Passou. Vous vous surpassez. Pas étonnant que le compteur explose régulièrement.
Proficiat!
J’ai raté la marche sur le métal hurlant, mais quant à toi, Druillet, tout fils de collabos que tu sois, avec tes albums tu as coupé comme il faut le cordon ombilical pourri. (Je n’ose pas te dire de « continuer à suivre la ligne », avec les assiettes profondes de coke que tu t’es apparemment fourré dans les sinus, ce serait ni raisonnable, ni bon pour ta santé…) Tiens bon la rampe, plutôt.
C.D.
Desmedt dit: 20 janvier 2014 à 18 h 35 min
Excellent billet, Passou. Vous vous surpassez. métal hurlant
C’était pas si extraordinaire que cela. Actuel, oui…
http://www.nonfiction.fr/article-6839-naissance_litteraire_dun_fascisme_a_la_francaise.htm
Je daube sur Chaloux, mais au moins ses posts sont-ils compréhensibles, ce qui est loin d’être toujours le cas. C’est ainsi que j’ai réussi à dissuader une amie à moi de poster sur ce blog le message suivant :
» Le concept moderne d’un processus pénétrant l’histoire comme la nature sépare l’âge moderne du passé plus profondément qu’aucune autre idée. Pour notre manière moderne de penser, rien n’est significatif en et par soi-même, pas même l’histoire et la nature prises chacun comme un tout, et certainement pas les événements particuliers dans l’ordre physique ni les événements historiques spécifiques. Il y a une énormité décisive dans cet état de choses. Des processus invisibles ont englouti toute chose tangible, tout étant individuel visible par nous, les dégradant en fonction d’un processus auquel rien n’échappe. L’énormité de ce changement est susceptible de nous échapper si nous nous laissons égarer par des généralités comme le désenchantement du monde et l’aliénation de l’homme, généralités qui impliquent souvent une notion du passé teintée de romantisme. Ce qu’implique le concept de processus est que le concret et le général, la chose ou l’événement singuliers et le sens universel, se sont disjoints. le processus, qui seul rend significatif tout ce qu’il lui arrive de charrier, a ainsi acquis un monopole d’universalité et de signification. »
» Tu vas pas poster ça chez Assouline, je lui ai dit. Outre que le rapport avec Barrès ne me paraît pas clair, tu vas pas ajouter à la confusion du débat en versant au dossier une contribution à laquelle, moi déjà, qui te pratique, je n’entrave que pouic, alors eux, tu imagines. — T’occupe, m’a-t-elle répondu, tu n’as pas la tête philosophique. Normal d’ailleurs que tu y perdes ton latin, c’est une langue qui n’a pas la cote par ces temps de crise de la culture. »
…
…tout est vrai,…juste avoir l’oeil,…des détails sur l’ensemble,…
…& puis, c’est top secret,…les résultats après 5 ans de pouvoir pour Lady Le Pénis,…
…
…le pouvoir,…tout en l’un,…
…groupir!, groupir!,…l’arrière garde contre-attaque,…
…l’€ros bien en mains des professionnelles!,…etc,…
…et, puis encore cinq ans,…pour durer le plaisir,…
…le gant de velours de la Jeanne d’Arc de fer,…en plus du beurre,…les coccinelles !,…à l’anchois !;…
…
Phil dit: 20 janvier 2014 à 15 h 18 min
C’est juste Phil, je m’incline devant le régional de l’étape. La croix d’Anjou, c’était aut’chose.
Sortir sans son Barrès portable, c’est une idée amusante.
Il y a un abbé qui a pratiqué l’exorcisme de la secte.
C’est savoureux.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1913_num_4_22_2076?luceneQuery=%2B%28authorId%3Apersee_144694+authorId%3A%22auteur+rhef_438%22%29&words=persee_144694&words=auteur rhef_438
Vous avez eu raison de dissuader votre amie, petit Marseillais, car l’énormité subsumée n’a pas la profondeur horizontale d’une argumentation apophatique (comme les aime u., par exemple) et l’on peut inférer, partant, sans risque de méprise, qu’elle parle d’un lieu hors-lignage que vous seriez bien en peine de justifier par une discursivité, même discontinue dans son rapport au réel, topologique au sens large. Nonobstant, le substrat induit se situe adéquatement dans l’axe barresien débarrassé du prédicat postancien.
« moi déjà, qui te pratique, je n’entrave que pouic, alors eux, tu imagines » (Brown)
C’est sûr qu’on écoute ça le front plissé.
Réflexion faite, je prends le discours de l’amie plutôt que la main de la soeur.
Au moins on peut picoler son blanc sec en faisant semblant de comprendre.
Alors que celui qui boit au lieu de jouir se fait facilement traiter de goujat, ce qui est injuste.
A la veille du 21 janvier, ayons une pensée émue pour la décapétation.
l’énormité subsumée n’a pas la profondeur horizontale d’une argumentation apophatique (Erwan Le Grodec)
Je vous reçois 5/5. Mon esprit s’éclaire. Je comprends enfin le propos de mon amie Hannah.
http://www.theartnewspaper.com/articles/VA-to-publish-Nazis-degenerate-art-inventory-online/31569
« Je comprends enfin le propos de mon amie Hannah. »
C’est vrai?
J’ai honte.
u. dit: 20 janvier 2014 à 19 h 01 min
J’ai honte.
Pas trop tôt !
Je voudrais remercier DHH d’apprécier mon petit livre, et indiquer à Christiane (et les autres, ahaha) qu’on peut le télécharger via internet. Soit sur amazon le vilain, ou bien « leséditionsdunet.fr » ! On peut aussi l’acheter « papier », mais il est cher !
Nonobstant, le substrat induit se situe adéquatement dans l’axe barresien débarrassé du prédicat postancien
c’est toujours dans lcul qu’on la lui met a cheuloux
Vous savez, petit Marseillais, quand Hannah Arendt parle d’une disparition de l’autorité au début de son article « Qu’est-ce que l’autorité ? », elle convoque l’autorité en tant qu’elle exclut la violence et la domination, dans la mesure où l’autorité se disloque de la question du pouvoir. La fin du pouvoir signale pour Arendt un abus d’autorité, la présence de la coercition se substitue au pouvoir lorsqu’elle mime son trajet propre. Là où échoue le pouvoir, l’autorité prend le relai. L’autorité se distingue de la violence comme la légitimité de l’illégitimité. L’autorité « perdue » serait la véritable mesure du pouvoir, contre ses excès et ses atteintes à la liberté. Il est intéressant ici d’examiner la différence arendtienne entre autorité (Autorität) et domination (Herrschaft), qui diffèrent toutes deux du pouvoir.
On peut aussi l’acheter « papier », mais il est cher !
foin de ton prédicat clopine
C’est vrai?
J’ai honte. (u.)
Comme, chaque fois qu’en début d’après-midi je relisais les confidences de mon amie Hannah, mes yeux se fermaient doucement, j’ai enfin compris mon fils cadet qui, âgé de neuf ans, avait entrepris de lire « Le Rouge et le noir » le soir avant de s’endormir. — Alors, ça te plaît ? ,lui demandai-je un jour en lorgnant vers le volume posé sur bien en évidence, toujours à la même place, sur la table de nuit. — Oh oui, papa, c’est vachement bien.
Hannah, c’est vachement bien aussi. D’ailleurs j’avance. C’est passionnant et je comprends presque tout. Lundi de la semaine dernière, j’en étais à la page 640, aujourd’hui j’ai atteint la page 647. Evidemment, si je lisais Barrès, j’irais plus vite, encore que. Mais faut dire que c’est pas le même niveau.
C’est savoureux.
coïtus interuptusse le lien marche pas
Quand D sort par la porte, Chaloux entre par la fenêtre. Y aurait-il un rapport de cause à effet ?
J’ai relu le texte de l’amie.
Je le trouve lumineux, profond, à la fois étayé et subtil.
(Le premier qui dit faux cul )
Quand D sort par la porte, Chaloux entre par la fenêtre. Y aurait-il un rapport de cause à effet ?
tu veux dire qu’ils auraient la même porte de derrière ?
le lien ne marche pas; alors littéralement:
« La Colline inspirée ». Un peu d’histoire à propos d’un roman (suite)
d’Eugène Mangenot sur le site Persée
bouguereau dit: 20 janvier 2014 à 19 h 09 min
c’est toujours dans lcul qu’on la lui met a cheuloux
Certes, mais, du côté des théoriciens critiques, on perçoit davantage une ignorance délibérée à la culification chaloupienne, sans doute du fait de l’appartenance d’Arendt au courant de la phénoménologie. On est cependant frappé de l’extraordinaire convergence des thématiques abordées dans les écrits des théoriciens critiques et d’Arendt, souvent liés à une convergence de destins, aux coïncidences biographiques et historiques de ces intellectuels juifs allemands exilés d’abord en Europe (Arendt part en 1933 à Paris, comme Benjamin, Horkheimer part à Genève, Adorno à Oxford puis à Londres), puis aux Etats-Unis (où Arendt restera, alors que Horkheimer et Adorno reviennent à Francfort en 1949). Le concept de culification de Chaloux est à prendre dans l’acception marseillaise de John Brown, évidemment, et non dans la typologie gode/ceinture arendtienne.
…
…pour le moment ,…
…j’achète plus rien,…ou presque,…
…
…en plus, je ne trouve pas,…les bons écrits de raisonnement qui seraient similaires aux miens,…
…le vide sidéral,…sur une invisible toile,…imaginé le concret par soi-même et se meubler par ses rêves!,…
…allez bonne chance à la » droite « ,…peux pas faire moins bien que la » gauche « ,…
…
…bonjours le terroir,…les gourges,…les olives,…etc,…Tintin et ses en-cas de malheur il faut s’y mettre au tapin-clos du Mes-docs!,…
…
@L’honneur perdu de Clopina Trouille
Pourquoi que on peut plus poster sur son blog ? Ou alors il y a un moyen mais faut sortir de l’X et y mettre six heures ? J’en suis comme deux ronds de flan mais du bon, hein ! Du Alsa, comme le driver son Linux… D’ailleurs alsaco c’est pratiquement dans le vent du billet, trente noeuds… Ou bon, pour le blog peut être que je suis le seul à pas avoir compris depuis le rattachement de la Lorraine Leszczinska à Louis XV…
de l’X., Trommelfeuer !
Excusez-moi, j’ai dû m’absenter pour uriner. Or, au plus fort de la miction, j’ai repensé à ce que disait bouguereau du cul où toujours on la met à Chaloux, selon ses propres termes, et je me suis interrogé sur la signification intrinsèque, quoique détournée de l’ordre strictement sceptique, de cette baisse de qualité dans la prose de Chaloux depuis trois ans. Il écrivait alors comme un Dieu, et comme une merde aujourd’hui. Est-ce par dépit, par découragement ou par effarement après l’affreuse blessure narcissique à lui infligée par l’impitoyable John Brown ? Eh bien, je pense que la troisième hypothèse est la seule valide. Face à un adversaire supérieur, Chaloux a perdu ses moyens.
…le vide sidéral,…
Rien à signaler du côté de Sils Maria non plus, pas un pet de vent, rien à signaler nulle part ailleurs non plus, la magie broie du noir…
Pourquoi que on peut plus poster sur son blog ?
ça eut payé mais ça paye pus.
Face à un adversaire supérieur, Chaloux a perdu ses moyens. (Erwan Le Grodec)
Ne dites pas ça, il va encore m’agresser. C’est vrai qu’on ne saurait badiner avec la vérité, mais des fois, il n’est pas tactiquement inutile de la réserver provisoirement aux initiés.
d’un pote à moi, plus récent, plus profond :
http://www.philomag.com/les-livres/notre-selection/theorie-du-trou-7168
So; … Je vous laisse, à vos vieux chambranles …; envoyez…& ect ..
Chaloux, que bouguereau qualifie, à tort selon moi, de raclure de keupu, en qui u. voit la bassesse purulente du crapaud servile — il se trompe également — et dont John Brown aime à extraire l’inanité langagière pour s’en gausser, a bien mérité de la RdL, disons-le haut et fort. Il a droit aux funérailles de première classe que son rang de comique exige.
j’ai repensé à ce que disait bouguereau du cul où toujours on la met à Chaloux, selon ses propres termes (Erwan Le Grodec)
Il me semblait bien l’avoir reconnu, l’autre soir, à la Main d’Or.
Pendant que le gros marseillais fait sa cagole, c’est Josette qui écope à la cave!
j’ai enfin compris mon fils cadet qui, âgé de neuf ans, avait entrepris de lire « Le Rouge et le noir » le soir avant de s’endormir
Des souvenirs de quarante ans, c’est beau.
« Qui ça ? Maurice Barrès »
faut revenir au sujet : le parapente !
Excellent Dr Lecter.
Justement, en repensant à quels derniers billets, il m’est venu à sourire, en me rappelant une histoire très animée entre jeunes, où ce qui devait se prendre comme une insulte grave était lancé: « va t’acheter un cerveau ! »
L’académie nationale de médecine a lancé un appel au don de cerveaux post-mortem pour aider le recherche sur le vieillissement cérébral et les démences.
C’est bien cela, de rappeler les différences esentielles entre don d’organe et faire don de son corps à la science.
essentielles
Un endroit de rencontre insolite ? un programme inédit ?
Au coeur de Paris, la philo vous attend, non magistrats s’abstenir.
http://www.ihej.org/ai1ec_event/seminaire-de-philosophie-politique-2/?instance_id=253
chantal dit: 20 janvier 2014 à 19 h 48 min
non, merci.
Déjà, juste l’éditeur, je fuis.
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 20 janvier 2014 à 19 h 08 min
Dont acte. Merci.
…
…faire son Cinéma!,…de parti,…du peuple,…ou de n’importe quoi d’abrutis,…pour n’importe qui,…
…c’est pas de l’obscurantisme,…
…
…à prétextes d’enlever ou supprimer des biens à une personne,…comme des voleurs avec la majorité du peuple conquis en voleur-législatif,…et participer de la haine comme forces,…
…c’est pas le » vide sidéral « ,…
…c’est le pot d’échappement qui tousse !,…
…
…la force du nombre,…pour faire n’importe quoi,…de misérables,…
…peut pas faire moins bien,…
…Bonjours les dégâts!,…etc,…
…
@ des journées entières dans les arbres, si l’éditeur ne vous plaît pas je m’en fout, cela vaut mieux que les manoeuvres oiseuses des éditions de la dégringolade, du culbuto et de la fritte mayo. Les éditeurs, çà court les rues .. surtout les tronikeux fauchés qui appâtent en slip au motif.
chantal dit: 20 janvier 2014 à 20 h 31 min
Que Barrès ne vous inspire pas, ne devrait pourtant faire votre raison s’envoler, comme les plus élémentaires règles de conjugaison.
…
…des élections,…comme jouer au » tiercé « ,…
…
…cinq ans,…c’est pour nous,…pour préparer le terrain en accord avec l’opposition,…
…
…qui casque,…les croyants en l’honnêteté du système dit,…de la nouvelle aristocratie – démocratique,…
…un jeux de passe-passe des cols blancs sur la tête des cultures loobyingste du néant,…
…
…les castes, les héritiers, et tous leurs lèche-culs apprivoisés!,…en corporations,…
…le » vide sidéral « ,…la » force » du moyen-âge est avec nous,!…etc,…
…
mais on s’en fout de la conjugaison élémentaire, qui se pose ici en madone du style ? Je n’ai as de leçon à recevoir ; …, youpeeee !!!
‘tention au rouge, Chantal; ça tache.
Des journées,
ne m’utilisez pas pour régler vos comptes avec le futal garance, ok ?
je sais me taire, mais comme tout le monde, j’ai mes limites, déterminez votre ligne de conduite au lieu de fayotter.
Bonne soirée, ne vous rongez pas les doigts,
chantal dit: 20 janvier 2014 à 21 h 03 min
Chantal, dans les cours de récré, l’insulte suprême est mainenant: intello.
Rassurez-moi, vous avez bien passé l’âge ?!
Votre dernier copinage éditorial et littéraire ne m’interesse pas. Si je vous le dis en belge, comprendrez-vous ?
Pour en revenir au billet, ben voui, c’est peut-être utile de faire valoir un combat qui n’est pas si décalé: celui contre les croyances.
Et malheureusement, les plus tenaces ont quitté les campagnes, -où elles avaient quand même cette indéfinissable légèreté- pour devenir un peu plus glauques et citadines.
Si je vous dis Bordeaux, vous tendez votre verre ?
on connaît la méthode poissonnière : dédaigner la marchandise pour faire baisser les prix, intimider, flatter la croupe de la bête, ne croyez-vous pas que les grands phraseurs du markettinge lourds, qui n’ont encore jamais vendu un fascicule soyent de bons amis ? Il y a franchement de quoi émettre un doute, les traducteurs pleurent, le navire coule, et voici qu’un bergeron qui bave de mirlitaire viendrait pousser une soudaine chansonette en regardant le calendrier, comme si les cruches n’y avaient pas fortement pensé comme en son fors intime, hein ? Non, j’ai bien mieux et depuis lontemps, you are stukk of prétentie.
C’est cela même, ma bonne dame paroissiale, mon collègue n’a pas votre condescendance, il a en effet laissé un ouvrage chez léo sheer, mais il est également directeur aux puff, mon neveux suit son cursus en histoire chez lui. Avant tout négoce je m’informe du prix. Vos vapeurs n’y feront rien. Allez crinolinez au pain d’épices et grottez, la méditation c’est chouette. vous devriez commencez à comprendre les chansonnettes avec votre comparse entoilé.
you are stukk of prétentie
Oui, assez de prétention pour penser que ce billet est un exercice de style.
On aime ou on n’aime pas. Je n’ai pas tout lu.
Ne changez pas la notice, pour jongler avec les apparences, je n’ai rien à redire sur le billet, je l’ai peut-être même lu, ce serait extraordinaire non ? Vous cherchez l’embrouille pour passer la soirée, appelez un autre cornette ..
chantal a mangé du cheval, le pauvre canasson débité, en tout cas viande aux hormones ou non, il en résulte une tension que je qualifierais d’agressivité si j’étais psychologue, je ne le suis pas, comme un désagrément à lire ce trouble de l’humeur qu’il serait possible d’attribuer à un manque d’origine indéterminée, en extrapolant si tout ce qui a précédé n’était pas gratuit comme le sont les sentiments de façon générale, je dirais que cette arythmie thymique pourrait s’enraciner dans une addiction frustrée et qui trouve comme dérivatif la canalisation présente en employant l’écrit pour faire partager et son carnet d’adresse presque et une dose d’animosité bien assortie à l’esprit qui plane tel un vautour sur ce lieu mal famé, mal fréquenté, enfumé insalubre.
on connaît la méthode poissonnière : dédaigner la marchandise pour faire baisser les prix, intimider, flatter la croupe de la bête,
La preuve en est qu’elle ne fait plus de différence entre les espèces, flatter la croupe du poisson, n’importe quoi à moins d’étendre le domaine du mépris jusque dans les poissonneries, passer derrière l’étalage sans déclencher l’alarme reliée aux services de police, enfiler vite fait bien fait sa cagoule ou son bas pour ne pas être reconnue par la caméra, non, pas crédible bien trop compliqué et tout ceci pour faire baisser le cours de la sardine ou du saumon d’un geste bien placé, quand on sait que le moindre commerçant est armé jusqu’aux dents, erreur de scénario, ça ne va pas!
C’est cela même, ma bonne dame paroissiale, mon collègue n’a pas votre condescendance, il a en effet laissé un ouvrage chez léo sheer,
Là ou vous nous en révélez trop ou pas assez, on veut des noms et des références, après la nature du lien qui vous unit ne nous regarde pas, bien entendu, nous sommes pour le respect de la vie privée de tout un chacun.
bon ben vu la foule en délire je me bornerai à signaler qu’à l’époque où je suis aller prendre une jeune chatte à la SPA ce n’était pas pour m’y installer
merci pour vos attentionsssss et bonne soirée comme qu’on dit
allé
saperlippopète
http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/L-un-et-l-autre
Éditeur d’essais destinés au public savant de sa discipline, J.-B. Pontalis fut lui-même auteur de récits et grand amateur de littérature ; a fortiori parce que, à ses yeux, « il n’y a aucune antinomie entre la littérature et la psychanalyse. Les romanciers sont simplement en avance sur les psychanalystes pour la compréhension des sentiments humains ».
mon carnet d’adresse et alors ? cela frustre surtout ceux qui n’en on pas…;
désormais je ne connais plus personne, chaque fois que quelqu’un vient ici me causer, j’ai les dames aigrelettes qui dégoisent .. à retardement .. tout simplement je n’aime pas les gens pas francs du col, qui demandent mon adresse par dessous. Un minimum de maturité serait de poser une vraie demande circonstanciée.
Laurent de Sutter défend le droit des auteurs, je doute qu’il apprécie ceux qui font fond de commerce de rééditions, bref se font de la thune sur des sans droits, et viennent faire les loqueteux, en débinant pierre assouline à longueur d’année. Je laisse les marchands de cimetière entre eux.
Confucius a dit:
« Quand les dames sont dans l’arène, il n’est pas conforme aux rites de s’en mêler ».
(Mais on apprécie, on apprécie!
Finies les odeurs fortes des odieux bouguereau, brown, chaloux, jc, u.
Que de bonnes effluves!
Ouaouh!
Un deuxième round avec rose et la chère Daaphnée?
À la fin, tout le monde s’embrasse, bien sûr)
@ chantal
La fin de la démocratie, ils ont mis quand même un point d’interrogation à la fin.
Mais c’est bien, même si Garapon est un peu bénisseur)
faire les loqueteux, en débinant […] à longueur d’année
tudieu, voilà qui me rappelle quelques choses..
la fréquentation de ma poissonnière, est bien plus utile à mon inspiration, que les chaissières qui poussent le toats framboise et refont le macaron; un peu de respect pour les humains, les dames à chat … qui vantent leurs oeuvres, ???, un bon geste ne demande pas louange, surtout si c’est posture. Quand à la psychanalyse, lire le pitre m’a amplement suffit.
En janvier 2013, suite au départ de Roland Jaccard, Laurent de Sutter reprend, toujours aux Puf, la direction de la collection « Perspectives Critiques », qui est refondue et reçoit une nouvelle maquette signée Philippe Apeloig. Global Burn-out de Pascal Chabot et L’Inséparé de Dominique Quessada sont les premiers titres de cette nouvelle mouture. Il publie aussi, deux mois plus tard, un essai sur « Une sale histoire » de Jean Eustache, aux éditions Léo Scheer : Théorie du trou, dont Slavoj Zizek, Vincent Dieutre, Elie During ou Jean-Marc Lalanne font l’éloge.
Soirée Nobel (qui rappelons-le n’a pas inventé la poudre), de trop haute tenue suis-je réduite à supposer étant donné que la nuit et la saison empêchent de voir les pâquerettes…
…
…un couple d’intello’s,…encore un,…
…
…déjà, avec le même âge, dans la même classe,…qu’est ce qu’une fille bien rangée c’est tapée comme complicité,…avec en prime la direction et tutti,…quanti,…
…alors , attendre un » Je t »aime « , c’est la cerise sur le gâteaux et des éclatements de rires difficile à contenir,…
…en lui demandant, qu’est ce qu’elle a,…l’émotion dit’elle,…avec cette joie,…et les yeux étincelant de charmes, d’en avoir cocufiée tout le monde,…à cette âge innocent,…comme une broderie,…
…çà vous mange tout cru à cette âge là!,…
…les yeux dans les yeux,…
…et , déjà,…elle pense,…avec un château c’est mieux,…
…et, d’attendre, la solitude et les souvenirs de jouer avec les flammes à consumer son monde,…un météore qui laisse des traces!,…etc,…
…
…et, donc, mon aménagement d’intérieur, un bienfait,…que de retrouvailles éparses,…un trésors de souvenirs, pour relancer la fusée aux étages réhabilités,…rien que çà!,…
…etc,…
Nobel n’a pas inventé l poudre certes, mais il a primé l’engrais chimique et le gaz moutarde, certains faux-culs se noient les lunettes pour ne pas le dire, et alors ?
j’ai relu votre prose chantal et il m’a paru que pour plus de clarté et faciliter la compréhension de votre oeuvre de consultante? vous devriez débarrasser le bonbon des couches successives qui bien que de cellophane transparent brouillent l’énoncé, trop de métaphores tuent le sens. Merci de l’effort que vous ne manquerez pas de fournir pour épurer dans ce but.
…
…en,…plus,…ne donner rien à la science,…ni corps, ni cerveau,…
…ils ( les spécialistes ) n’en ont rien à foutre,…déjà qu’ils ne savent pas s’ils en ont un,…ou plusieurs en retournant la veste,…etc,…
…
un peu de respect pour les humains, les dames à chat … qui vantent leurs oeuvres, ???
semblerait que cela cherchait à me viser, mais comme je suis un petit con (sans château) je comprends pas vraiment où, pas grave, même si ça viendra encore in-sister..
oh c’est rien les spécialistes, giovanni, ce ne sont pas des institutions tout de même !
A propos du bouquin de MDK, j’ai détesté l’entendre en parler comme s’il s’agissait d’un simple découpage aux ciseaux sur papier qu’il semble opportun d’exploiter pour instruire la foule de lecteurs avides de science et de ça voir, imaginé le jeune surfeur vidé de ses organes, vision d’horreur et grande tristesse, vider les blessés greffer les malades. Soit mais pas sans le scandale de la mort, là il m’a semblé que cette évocation était feutrée, réduite à une simple technique d’analyse transactionnelle avec les proches pour obtenir leur consentement , et puis je ne comprends ce qu’il y a à se repaître de ce genre d’événement pour en tirer une littérature non spécialisée.
je tiens compte de votre avis bérénice, j’ai lancé l’eau et le seau avec.
et alors ?
Rien
Ce n’était point sonneur de lilac-time chez les rats barbants, laisse ce genre de fun à d’autres, on aime perdre le contrôle, ou pas…
Un spécialiste, c’est un gars qui ne sait que sa spécialité… Mais cela il le fait absolument ! Faudrait des mines bondissantes pour l’arrêter… Alors y a pas intérêt à se gourer de spécialiste… Et lui répéter le bon côté sinon c’est une chance sur deux…
Nous sommes tous composés d’eau en pourcentage majoritaire, le seau pourrait figurer le calcium des os, jetez-vous donc avec, je ne crois pas que votre composition organique révèle un autre assemblage. Demandons une autopsie.
…
…kicking,…
…une grande bibliothèque,…privée,…c’est beaucoup mieux qu’internet,…
…bon,…çà m’a mis, plus de 35 ans,…en partant de rien,…et sans but,…
…
…et, dans un appartement,…comme un oiseau,…
…je pense que, vous faites ce qui vous plait,…
…de toute façon,…un point c’est tout,…
…la liberté de penser,…c’est pas donner à tout le monde,…etc,…
…
Et lui répéter le bon côté
le problème c’est qu’à force de jouer taupe partout.. mais faut pas trop me regarder comme la placeuse du cinoche remarque..
le scandale de la mort ( Bérénice)
Qu’est-ce au juste que « le scandale de la mort » ? qu’est-ce que c’est que cette ineptie ? Voilà où l’on en arrive quand les femmes se mettent à manier les idées générales.
Passou n’a pas touité sur le rachat des PUF? (combien de fois nous avons entendu »oui,y me faut l’interprétation des rêves aux éditions Pouf »)Rachat par l’assureur « Scor »,le réassureur,zactement,je ne savais même pas que ça existait un réassureur.Mais c’est un réassureur français,rassurant,non?
Il est évident que la mort choisit son age et qu’aucun ne peut crier au scandale. Je vous donne entièrement raison pour donner dans le « c’était écrit » ou autres fulgurances du style.
« quand les femmes se mettent à manier les idées générales. »
De l’intuition, malgré tout?
Scor rachète les PUF ?
« quand les femmes se mettent à manier les idées générales. »
pour u., c’est plutôt « quand les femmes génèrent des idées maniaques ».
bérénice dit: 21 janvier 2014 à 0 h 13 min
« c’était écrit »
Oui ça c’est dans Печорин mais le destin déjà faut le pousser un peu c’est comme les femmes il dit pas forcément non…
le scandale de la mort ( Bérénice)
Je crois qu’il serait plus que temps qu’on en revienne à notre bon vieux La Fontaine. Sur la question de la mort, comme sur quelques autres, il a tout dit, et il l’a dit, en plus, en des vers inoubliables. Que plus aucun professeur de collège ne fasse apprendre par coeur » La mort et le mourant » à ses élèves est un des signes les plus flagrants de la décadence de notre système éducatif (« système éducatif », quelle expression imbécile). Que plus personne ou presque ne lise Barrès n’a aucun effet négatif perceptible, mais que La Fontaine ne chante plus dans nos têtes, ça, c’est épouvantable.
@ Surian Duff
En vérité, on ne sait pas si u. est réellement obsédé sexuel ou s’il s’amuse à le faire croire (ce qui serait déjà en soi inquiétant).
Enfin, bérénice ! Sauf exceptions inconnues à ce jour, la mort est un événement inéluctable, heureusement…
« En vérité, on ne sait pas si u. est réellement obsédé sexuel ou s’il s’amuse à le faire croire »
Prêt pour la fouille.
(Femmes en gants blancs, if you please)
la mort est un événement inéluctable (renato)
On dit ça, on dit ça, mais j’attends toujours.
Nous savons au moins que D. est immortel.
Et nous savons également que c’est l’heure d’aller se coucher parce que demain c’est mardi.
Bonne nuit.
le scandale de la mort (Bérénice)
Même le scandale de la mort de Bérénice est dans « La Mort et le mourant » :
» J’ai beau te le crier ; mon zèle est indiscret :
Le plus semblable aux morts meurt le plus à regret. «
« On dit ça, on dit ça, mais j’attends toujours. »
Et on « voit » qu’une seule fois, et encore si sur ce coup là on n’est pas endormi…
…
…qui va lire aujourd’hui,…
…
…Pratiques de l’interdisciplinarité,…
…Dominique Vinck
…PUG(Grenoble), 2000,…
…Collection Génie Industriel,…
…
…la génération sacrifiée,…quels larrons en foire du travail,…si tout devient connivences,…pourquoi s’instruire,…si nous en somme à être déraciner de la pluralité des participations objectives,…
…Oui,…( c’est réservé!),…pour les génies en herbes à deux plumes dans le cul,…etc,…
…
« L’académie nationale de médecine a lancé un appel au don de cerveaux post-mortem pour aider le recherche sur le vieillissement cérébral et les démences. »
Bouguereau et John Brown, c’est pour vous !
Aujourd’hui, 21 janvier, je vous propose une journée de silence sur la RDL, à la mémoire du roi Louis XVI, assassiné par une bande de pignoufs dans le genre des petits révolutionnaires d’ici.
Je m’abstiendrai donc de tout commentaire.
(Mais avant de partir, Bouguereau et John Brown,laissez-moi vous dire que de la part de deux types qui ne ban… plus depuis la chute de Louis-Philippe, je vous trouve un peu bien présomptueux dans vos projets).
Chatteries
Quand tout est lourd, que tout s’éteint,
Ta chaleur est douce à ma peine.
Ton regard est d’amour empreint
Quand tout est lourd, que tout s’éteint.
Et mon giron est vite atteint
Pour te lover, petite reine.
Quand tout est lourd, que tout s’éteint,
Ta chaleur est douce à ma peine.
Jeau Calbrix, le 21/01/14
Bon, adieu la compagnie, j’m’en va faire un tour dans le midi.
Excuse his FRench: Kureishi a commencé par écrire des romans porno sous le pseudo d’Antonia French, et a eu de démêlés avec son biographe un certain Patrick French. Quand je l’ai rencontré, dans une libraire de StGermain, c’était no French et c’est en anglais que j’eu la confirmation que le professeur de musicologie indienne à l’université de Birmingham dont il parle and le livre sur son père (Tout contre son coeur) est bien mon copain Fahim Mazhar, ex-beau-frère de Naheed Siddiqui (voir le site du prochain Lahore Literature Festival.).
Avait l’air d’avoir du mal avec ses fistons ados qui foutaient le souk dans la librairies, le grand Hanif. Tu peux maitriser l’art de la fiction et avoir du mal assumer le reste. Les fées ont du discernement.
Garder le silence sur l’assassinat de ce brave géant de Louis Capet est une excellent idée, en ce 21 janvier !
Bon père, bon époux, bon Roi, sachant choisir de bons ministres, il a fallu que ce brave homme tombe sous les coups des « amateurs d’hommes nouveaux », révolutionnaires révoltants, incapables de penser plus loin que leurs bourses ignobles ! Ah les cons ! Ah ! les sales trous du cul ! Ils nous ont divisé à jamais…
Et tout ça pour aboutir plusieurs siècles après leur forfait à notre roitelet Pépère Ier, le Nul de Tulle, l’amateur de pétasses nobles et de promesses mensongères ! Indignité !
Non !!! Aujourd’hui, nous pouvons et devons célébrer un évènement considérable.
Plus connue sous son nom anglais « Hug Day », la Journée Internationale des Câlins est célébrée le 21 janvier chaque année. Une journée dédiée à la tendresse, en plein coeur de l’hiver, ne peut que nous faire du bien !
En RdL, cette journée peut voir éclore de splendides fleurs nouvelles de Câlin Sincère : Chaloux câlinant Bouguereau câlinant John Brown câlinant Bérénice câlinant Chantal câlinant TKT câlinant Dédé câlinant Clopine câlinant Passou câlinant Judith câlinant U. câlinant Daaphnée câlinant Christiane câlinant Sergio câlinant Marcel câlinant sa muse Renato câlinant Bérénice câlinant Barozzi câlinant Phil câlinant De Nota câlinant Gianni câlinant Rose câlinant Bardamu câlinant Curiosa câlinant Bloom câlinant Lazarillo câlinant Abdel câlinant Anelka câlinant Dieudonné câlinant Valls câlinant Taubira câlinant Sanson….
Il faut y croire… Bons câlins, mes princes !
LEVY STRESS
Marc Levy reste attentif, n’ignorant pas que l’édition va mal. La fréquentation massive d’Internet est, selon lui, en train de ruiner le marché du livre.
Et cette situation préoccupante ne laisse pas insensible l’écrivain français le plus lu au monde.
Loin s’en faut, et sa métaphore est parlante: «Internet est le serial killer du livre».
Car l’amoureux des mots l’a constaté avec douleur: «Il y a cinq ou six ans, dans un wagon, je voyais facilement quinze personnes avec un livre entre les mains. Aujourd’hui ces mêmes quinze personnes sont sur Internet». Il y a donc lieu de s’alarmer. Dématérialisation des biens culturels oblige, le Web devient de jour en jour une menace de plus en plus concrète…
N’aie pas peur, Marc ! Viens…approche….ET UN CÂLIN POUR CE COUILLON DE LEVY !!!!!
chantal dit: 20 janvier 2014 à 22 h 23 min
c’est beau comme du chantal.
« Bien des doutes en vous vous limitent. Il est regrettable que vous ne preniez pas davantage conscience de vos superbes qualités. Notamment la douceur, la tendresse, le perfectionnisme, le dévouement… Vous souffrez de systématiquement avoir l’impression que les autres sont mieux que vous, pensant même qu’ils ont “ la ” clef ! L’expression théâtrale vous attire d’ailleurs parce qu’elle est thérapeutique en soi. Vous redoutez les conflits, les scènes et recherchez un compagnon expert en harmonie… Pas toujours facile pour vous de le rencontrer car vos exigences sont extrêmes. »
http://www.psychanalysemagazine.com/analyse-linguistique-gratuite-prenom-agnes.html
monarchie être moderne
JC,dans cette grande farandole des câlins,vous avez privilégié Passou qui est entre deux dames,je dois bien vous avouer que la perspective d’être câliné par phil et de câliner gianni…oh,ces deux camarades diraient certainement la même chose à mon endroit,et jacques,lui,le dirait à mon envers,quant à vous,vous n’y êtes pas…voyeur!
(Mais avant de partir, Bouguereau et John Brown,laissez-moi vous dire que de la part de deux types qui ne ban… plus depuis la chute de Louis-Philippe (Chaloux)
Je t’emmerde, Chaloux ! Tu entends ! Je t’emmerde !
Quand on aura fait le compte des insanités éructées sur ce blog par les uns et les autres, on se rendra compte que son audience est très surestimée.
la Journée Internationale des Câlins est célébrée le 21 janvier chaque année. Une journée dédiée à la tendresse, en plein coeur de l’hiver, ne peut que nous faire du bien ! (JC)
Je vais t’en foutre de la journée des câlins, moué ! Ma dextre sur la gueule à Chaloux et ma senestre dans la culotte à Christiane, oué !
Allons, ami de nota, allons ! J’en suis de cet assaut de câlins : je câlinais Marc Levy qui dans sa diligence ne voit pas l’intérêt de construire des lignes de chemin de fer, le « rail qui tue » comme dirait Arago …Encore un François !
PS : j’espère que votre rebond est contrôlé ?…
Mais non, foutu PM, utilise pour une fois tes battoirs en organes caressants …
Christiane, j’espère que vous ne m’en voudrez pas d’avoir recommandé à une brute immonde d’entreprendre des libertés câlinantes à votre égard….
Bon…. N’ayant rien lu de Barrès, je n’ai plus rien à faire ici…. Laissons la place ! Bonne journée !
Oh, et puis tiens, je m’en vas te la célébrer, moué, ta journée des câlins : ma dextre dans la gueule à Christiane, et ma senestre dans la culotte à Chaloux. Oué !
JC et mézigue : les inondations du Var comme si vous y étiez.
JC et mézigue : les inondations du Var comme si vous y étiez. (mézigue)
Qu’est-ce que je raconte, moué : les catastrophes naturelles du Var comme si vous y étiez.
« de ce brave géant de Louis Capet »
Les juristes exaltés de la Convention y voyait un symbole, mais pour le peuple, Boulanger, Boulangère et Mitron, c’était pratiquement Clopin, Clopine et Clopinou.
« Je t’emmerde, Chaloux ! Tu entends ! Je t’emmerde ! »
Il semble ne pas entendre.
Il faut parlez plus fort, Brown, au lieu de chuchoter!
JC quel dommage que votre dynamique de groupe dégénère à la fin de vos suggestions, un peu trop échangiste dans la formule, trop de monde tue l’intimité qui peut encore se présenter en valeur défendable.
» Ah les cons ! Ah ! les sales trous du cul ! Ils nous ont divisé à jamais… » (JC)
C’est très juste, mais ils nous ont scindé dans quel sens?
Si le corps politique était à l’image du corps du roi (c’est ce qu’on dit), on aurait aujourd’hui un camp de la tête et un camp du tronc, ça ne le fait pas: la coupe est longitudinale.
« Judith câlinant U. câlinant Daaphnée câlinant Christiane »…
C’est à ces détails qu’on voit le pervers raffiné.
Pas un voyeur, De nota, c’est le Dodo la saumure du blog.
Tenir la barre (& non tenir à Barrès), voilà la grande affaire:
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« In his infallible wake, though; but follow that wake, that’s all. Helm there; steady, as thou goest, and hast been going. What a lovely day again! were it a new-made world, and made for a summer-house to the angels, and this morning the first of its throwing open to them, a fairer day could not dawn upon that world. Here’s food for thought, had … time to think; but … never thinks; he only feels, feels, feels; that’s tingling enough for mortal man! to think’s audacity. God only has that right and privilege. Thinking is, or ought to be, a coolness and a calmness; and our poor hearts throb, and our poor brains beat too much for that. And yet, I’ve sometimes thought my brain was very calm-frozen calm, this old skull cracks so, like a glass in which the contents turned to ice, and shiver it. And still this hair is growing now; this moment growing, and heat must breed it; but no, it’s like that sort of common grass that will grow anywhere, between the earthy clefts of Greenland ice or in Vesuvius lava. How the wild winds blow it; they whip it about me as the torn shreds of split sails lash the tossed ship they cling to. A vile wind that has no doubt blown ere this through prison corridors and cells, and wards of hospitals, and ventilated them, and now comes blowing hither as innocent as fleeces. Out upon it!-it’s tainted. Were I the wind, I’d blow no more on such a wicked, miserable world. I’d crawl somewhere to a cave, and slink there. And yet, ’tis a noble and heroic thing, the wind! who ever conquered it? In every fight it has the last and bitterest blow. Run tilting at it, and you but run through it. Ha! a coward wind that strikes stark naked men, but will not stand to receive a single blow. Even …. is a braver thing-a nobler thing than that. Would now the wind but had a body; but all the things that most exasperate and outrage mortal man, all these things are bodiless, but only bodiless as objects, not as agents. There’s a most special, a most cunning, oh, a most malicious difference! And yet, I say again, and swear it now, that there’s something all glorious and gracious in the wind. These warm Trade Winds, at least, that in the clear heavens blow straight on, in strong and steadfast, vigorous mildness; and veer not from their mark, however the baser currents of the sea may turn and tack, and mightiest Mississippies of the land swift and swerve about, uncertain where to go at last. And by the eternal Poles! these same Trades that so directly blow my good ship on; these Trades, or something like them-something so unchangeable, and full as strong, blow my keeled soul along! To it! Aloft there! What d’ye see? »
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» Maints faciès lorrains permettent de catactériser in situ les différentes strates du barrésien. on distinguera le barrésien inférieur (très épais), le barrésien moyen (conséquent) et le barrésien supérieur (pratiquement inexistant dans la plupart des cas » (Debelmas, « Géologie de la France » )
Devant la violence des éructation répétées de M. John Brown, alias Petit Marseillais et je ne sais trop qui encore, je suis obligé de rompre un pacte de silence qui avait pourtant bien commencé.
John Brown, une âme bien née, soucieuse du rayonnement international de l’œuvre pie de Saint Pierre Assouline qu’il faudra bien canoniser (pas au sens bougueresque) un de ces jours, m’eût répondu par une haute parole dont l’écho harmonieux se serait fait entendre, mystérieux,- à peine voilé par le vent de mer, jusques aux Amériques, jusques en Chine, peut-être jusques au pays de Prêtre Jean.
Ceci, par exemple:
« Il n’est nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer ».
Citation bien connue, à laquelle la licence et le contexte t’eussent permis d’ajouter : »Avec des pauses ».
Mais non, au lieu de cela, les interjections d’une hyène de zoo qui commence à avoir faim.
Pauvre Pierre Assouline. Pauvre Louis XVI.
Dans le journal le Monde (passé de bobo à gogo), un certain Jean-Baptiste de Montvalon écrit sous le titre:
« Une droitisation des esprits qui témoigne de l’influence du FN »
Ce garçon ne semble pas se douter qu’il inverse ainsi la causalité.
Mais il a la clé:
« Lorsque l’Autre, quel qu’il soit – l’immigré, le voisin, l’Europe, le musulman, l’étranger, etc. – en prend pour son grade, l’extrême droite a des raisons d’espérer. »
Quel qu’il soit, même le voisin.
J’offre à toute personne coupable d’utiliser immodérément le mot Autre avec une majuscule un week-end détente à Taif ou à Pyongyang.
Louis XVI, assassiné par une bande de pignoufs dans le genre des petits révolutionnaires d’ici.
Je m’abstiendrai donc de tout commentaire.
rooh mon cheuloux se drapant dans ses silences êpets..
il a -déjà- causé, ce parjure est un incontrolable trouducul
Leo Bloom Pold dit: 21 janvier 2014 à 9 h 44 min
Je ne vais pas tricher.
C’est du bon, du très bon.
Mais c’est de qui?
« Je serais ce soir à 20h40 sur France 5 l’invité de François Busnel et de sa « Grande librairie » pour mon roman sur Sigmaringen, aux côtés de Philippe Druillet, Maylis de Kerangal et Denis Podalydès. A plus ! »
J’ai regardé l’émission, hier soir en différé sur mon ordinateur. Sympa, trop sympa peut-être ? Le ton consensuel instauré par l’animateur et accepté par les intervenants ne m’a pas vraiment donné envie de lire les livres évoqués. Et pourtant, comment faire autrement ? Remplacer les bisous collectifs par la castagne généralisée ne semble pas être non plus la bonne solution. Chaque auteur ne devrait-il pas être traité individuellement ?
bouguereau dit: 21 janvier 2014 à 10 h 03 min
Là, Bouguereau, tu confonds avec le tien.
Mais c’est de qui?
« Chaque auteur ne devrait-il pas être traité individuellement ? »
Hors la présence des autres auteurs et d’un public de figurants. Plutôt l’école Dumayet que celle de Bernard Pivot ?
bouguereau dit: 21 janvier 2014 à 10 h 08 min
Les goûts musicaux de Bouguereau sont à la hauteur de la profondeur de sa pensée.
Je ne sais pas comment il fait mais c’est ainsi.
C’est du bon, du très bon.
Mais c’est de qui? (u.)
Demande à renato, il te dira que c’est un extrait de Moby Dick.
La présentation télévisuelle des écrivains est l’équivalent intellectuel du défilé des miss candidates au titre vendeur de Miss France. Ni plus, ni moins…
Pivot, et les autres ? Des Geneviève de Fontenay pour intellos !
…
…le courant de la ligue de la digue,…le miroir télévisuel,…et donc,…j’ai fais tout cela!,…
…bien,!…c’est mieux ainsi!,…chéri tu revient des barricades !,…Oui, j’ai laissé le pavé !,…
…
…&,…les institutions et collectivités en » charnières » de l’état,…la noblesse des charges?,…publiques!,…
…
…&,…divisé pour régner,…et, çà c’est une rousse,…et les autres ont du poil au cul,…
…tout est trop moche pour toi ici,…prend donc ma soeur!,…elle est au baise du mérite national!,…
…
…d’une feuille en plastique pour farde à charnières, de l’état,…
…changer de partis-&-pris,…et vous vous retrouvez,…tout simplement dans une autre feuille,…des mêmes charnières et de la même farde de l’état en configuration de conformité » victimes consentantes pour prédateurs d’intérêts « ,…urbi et orbi,…
…
…elle sera belle là droite!,…autant que la gauche ou le centre,…dans les » charnières » de la farde à l’état,…
…
…marionnettes ou épouvantails,…
…
…un mythe,…un conte,…un jour que le Duce visitait une ville,…il s’en vient s’alarmer de sa sécurité dans cette bonne ville de » mafieux et délinquants aux cols blancs « ,…
…
…et tout le comité de la ville,…de s’écrier au balcon!,… » mais vous êtes en sécurité avec nous votre partis,…puisque nous sommes la mafia et délinquants de cette ville aussi « !,…même l’opposition est des vôtre!,…
…
…un Napoléon ou un Bourbon,…un Cognac!,…à la bonne heure!,…
…
…tout baigne,…aussi sans charnières, justes des connivences de bouches à oreilles,…pour des gens – honorables de ruffians,…Orangina , sinon l’Ô ,…etc,…
…
Les romancières écrivent désormais au scalpel.
Herman Melville, Moby Dick. J’ai sciemment remplacé le nom d’Ahab par des points de suspension.
Un certain snobisme réduit Melville à Bartleby en France, texte mineur mais qui a l’avantage d’être court. Avec Moby Dick, on côtoie le génie, ce qui est beaucoup plus dérangeant. On ne peut plus rien lire d’autre longtemps après. Comme avec les grands textes de Mishima, Faulkner, Coetzee, Nemirovski, Shakespeare, Marquez, Proust…
Précisément, quant au billet: jamais pu aller à Tolède sans me sentir imprégnée de Maurice Barrès et de son « Greco ». De la même manière que Lisbonne est indéfectiblement liée à Pessoa, Tolède, pour moi, c’est Barrès.
>chantal dit: 20 janvier 2014 à 22 h 23 min
N’importe quoi.
Du coup : confiance zéro.
Aucune importance.
J’ai rencontré tous ceux qui sont honnêtes et qui sont francs du collier.
C’est votre problème, pas le mien.
ou bien je vais rencontrer.
Quant aux mecs qui se font passer pour des femmes je les tiens en très basse estime.
Non mais nous, moi je, on a un soulagement énorme à ne pas la pratiquer et même à l’avoir à distance : vous ne pouvez vous imaginer combien.
Comme à la sortie du déluge quand, par une chance infinie tu as encore un toit sur la tête.
>Sur les attaques incessantes concernat « les femmes d evotre génération » et tout le toutim j’ai vu Jodorowsky, 84 ans, “La Danza de la Realidad” : un pied inouï.
Alors vous les jeunots, lorsque vous lui arrivez au bas de la cheville vers le métacarpe on en reparlera.
Du coup vous me faites rire, rire avec vos accusations ignominieuses envers les vieux. J’en suis et j’en suis fière.
Je pense à ton » rose vous êtes comme Ségolène et ça se voit ». Mais toi aussi Loulou ça se voit sur les photos de toi, autant te le dire puisque tu ne le sais pas.
Domage ceusses qui n’ont rien à signaler.
Le cinéma est au top. Heimat est de toute beauté. Pas fini encore.
Pierre Murat écrit magnifiquement bien. Le cinéma dans son entier du Chili à New-York est d’une richesse flamboyante.
Philippe Meyer se déchaîne sur les mères des futures mini Miss qui le dimanche matin sont à St Germain devant les vitrines des ex-libraires : il propose un grand congélateur pour parents incapables.
Un petit arrive d’Algérie, deux de Tchéchénie, le soleil est là au sommet.
On se fout de ceusses qui baisent et qui sont toujours aussi frustrés.
Nous allons vers le printemps.
Salut, bises collectives.
J’ai amené Ella Maillard au boulot, n’en ai pas lu deux pages, ni une ligne. Réintégration de la chambre de lecture.
Voilà.
Que peut-il arriver de mieux ?
Un champ de truffes, c’est vrai.
Les cinéastes aussi c’est au scalpel : Clio Barnard, pfff.
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