Lydie Dattas dans sa nuit outrenoire
Ceux qui cherchaient à définir la couleur propre à La Nuit spirituelle (2013) de Lydie Dattas savent désormais qu’elle était non pas noire mais outrenoire. Pierre Soulages n’y était pas nommé alors qu’il éclate cette fois en toutes lettres, comme un aveu comme une confession, dans La Blonde (92 pages, 9,50 euros, Gallimard). Ce court texte ne lui est pas dédié directement mais à Celui qui est au-dessus de lui, et qui gouverne les jours et les nuits « Pour le Maître du maître du noir, in saecula saeculorum ».
On sait que Lydie Dattas ne fait pas dans la nuance, le relatif ou la demi-mesure, mais dans un lyrisme qui ne craint pas l’hyperbole, le superlatif et l’apocalypse. Ses exercices d’admiration baignant dans l’excès, elle tient Soulages pour un Barbare éclairé, étant entendu que ce type de barbares a la marque du vrai civilisé en ce qu’il sacralise les ténèbres, l’un de ceux qui ont fait table rase (mais est-si sûr, même si « sa brosse est plus savante que lui » ?) pour donner au monde des présences anthracite, des murs de mélanite, des noirs cambrés qui font de cet artiste magnétique « le seul prophète de toute l’histoire de la peinture », ce qui est peut-être légèrement exagéré, quand bien même l’outrenoir, ce noir au-delà du noir dont Soulages a fait « sa » couleur comme Yves Klein s’est approprié son propre bleu (IKB), ce noir dont il vêt en permanence (j’imagine que lorsque personne ne le voit et qu’il s’enferme dans sa grande maison, il s’habille en blanc des pieds à la tête pour passer à table) serait supposé conférer à la peinture « une dignité prophétique ».
Elle est ainsi, cette poétesse née en 1949, mais quand elle nous prend avec une sincérité et une authenticité à fleur de peau, et qu’on rend les armes (c’est mon cas), on peut très bien comprendre pourquoi elle en exaspère tant d’autres. Il est vrai qu’elle assène ses vérités sans crainte de leur réception. Elle écrit des choses comme cela :
« Sentant monter la menace nihiliste, Dieu a envoyé ce janissaire pour nous délivrer du progrès »
Sous sa plume, toute Illumination s’écrit nécessairement avec un I majuscule et rimbaldien, les stries sur la toile sont « les hiéroglyphes du sans-nom », les tranchées acryliques sont pleines de bavures jaunes qui font « une omelette onciale », et l’on comprend que le couchant en ait des hématomes ; le goût de la formule surgit là où ne l’attend pas (« La vérité ne se baigne jamais deux fois dans le même noir »), et celui du paradoxe n’est jamais en reste (« le siècle arriéré du progrès ») et l’on est invité à cavaler sur une selle où le soleil à laisser sa signature « comme la colombe du Saint-Esprit sur les étriers d’Attila ». Tout au long de cet éloge de l’outrenoir made in Soulages, elle ne peut s’empêcher, au point d’y revenir régulièrement, de dénoncer la puissance maléfique des écrans, de télévision ou d’ordinateur, ce n’est jamais précisé, leur idolâtrie, leur regard mort, leur fade palpitation, allant même jusqu’à évoquer « l’éclairage nazi des écrans » en classe. Rien n’est trop fort pour louer le génie iconoclaste du peintre qui, à ses yeux, a conféré une dimension divine à ses monstres d’humanité
Parfois, on ne comprend pas mais la musique qui s’en dégage n’en est pas moins envoûtante. Les accouplements de mots sont inattendus, ce qui correspond parfaitement à la définition de la poésie par Jean Tardieu : c’est quand un mot en rencontre un autre pour la première fois. Alors La Blonde, ode aux forces abrasives du noir, est poétique de bout en bout. A propos, la blonde en question est celle qui somnolait dans les grottes altaïques, Soulages-le-Barbare (qui a son musée en sa ville, tout de même) lui rendant un secret hommage en refusant d’encadrer ses toiles afin que « rien ne les distingue des parois des cavernes ».
« Les yeux crevés de noir le Voyant multiplie ses victoires, faisant reculer le chaos des images. Architecte de son propre temple intérieur, il a élevé, défiant les irruptions cramoisies du soleil, un promontoire de béton aérien. Dans ce bunker angélique conçu par un dieu claustrophobe pour mieux respirer l’absolu, tout porte le sceau du divin. Même le lourd cube du savon olivâtre derrière le voile plastifié de la douche a la puissance d’une divinité dans sa niche de jade. Reçu par l’empereur du Japon, tandis qu’un cerisier en fleur secoue sa chevelure rose de punk, le géant écoute sans broncher tinter le métal servile des médailles. Fléchissant la nuque pour recevoir l’injure du ruban vermillon, il a la modestie rayonnante d’un peintre en bâtiment. Quand il relève la tête, ses yeux naufragés de meilleur ouvrier de France éblouissent la cour… »
La Blonde est faite de brefs chapitres de cette encre. Une centaine de petites pages et c’est un maximum. Heureusement, l’auteur connaît sa distance. Elle sait qu’au-delà, cela peut devenir irrespirable quand en-deçà, cet enténèbrement est parfois si lumineux (et voilà que je me mets à réagir comme elle écrit !)
De livre en livre, Lydie Dattas confirme sa prédisposition au malheur radieux. Dieu l’avait cueillie dans l’enfance. Deux mois durant elle fut veillée de jour et de nuit dans une chambre de l’hôpital de Heinlex, près de St Nazaire par Sœur Suzanne Marie du Carmel. Jamais le voile blanc de cette Fille de la Sagesse ne déserta sa mémoire. Aucune silhouette vivante ne put rivaliser avec cette ombre muette. La poétesse le murmura d’une voix bouleversante dans les cent-soixante dix-huit fragments de L’Expérience de bonté (1999). Depuis, elle se sent tirée par le ciel mais nul ne saura ce que le ciel lui veut. Une expression vient à l’esprit : « racheter le ciel ». Ainsi les architectes s’expriment-ils lorsqu’ils surélèvent le dernier étage d’un immeuble.
Ses vers la montrent heureuse en dépit du bonheur. Elle dit rire à la pensée de sa souffrance et rencontrer Dieu chez ses ennemis. Un mot revient régulièrement sous sa plume : beauté. Ou plutôt son absence, qui n’est pas la laideur, mais ce qui reste de la beauté lorsqu’elle s’est retirée : la trace de Dieu après que la foudre se soit abattu sur son âme. Rimbaud l’a mise sur la voie du poème. Ses mots sont sortis de sa plume jusqu’à La Nuit spirituelle, une dizaine de pages incandescentes, éclat de prose poétique écrit en 1977 et publié par Jean Grosjean dans la Nouvelle revue française en 1985. Les seuls textes auxquels un lecteur ne saurait se dérober sont ceux auxquels l’auteur a été contraint. Ceux-ci sont une lueur dans ses ténèbres mais d’une puissance telle qu’elle éteint ce qui a été écrit avant et après. Elle y transmet la trace humiliée de sa misère spirituelle du fond de sa nuit, son désert. A la fin, on rend les âmes.
La foudre (Mercure de France), paru en 2011, était une suite de brefs chapitres sans titre, deux pages à peine chacun, mais si puissamment tressés, où les phrases sont nouées entre elles avec une telle intensité, que l’on ralentit la lecture pour retarder l’instant de la fin. Ces éclats sont peut-être ce qu’elle a écrit de plus accompli. On l’y retrouve en hallucinée congénitale pour avoir reçu la boule de feu à sa naissance, et en rimbaldienne absolue ; mais on la découvre dans sa vie derrière la vie. Celle d’une femme éblouie par sa rencontre avec le dompteur Alexandre Bouglione, dont elle partagea la vie durant vingt ans avant de lancer avec lui le cirque Romanès. Dans sa mémoire : une saison en enfer. Sous sa plume, le chapiteau des Bouglione est un monastère pourpre, toute apparition nécessairement médusante, les délinquants mystiques, les mains coléreuses, les sonorités seigneuriales, le doigt métèque, les improvisations jupitériennes, le chantage immémorial, et toute sensibilité effarante… Jusqu’à l’Arthur Rimbaud dont elle ne fit pas connaissance comme tout le monde au lycée en récitant ses poèmes : à 9 ans, il lui roula « un patin métaphysique ». On a vraiment l’impression qu’avec elle, un mot en rencontre un autre pour la première fois tant certaines de ses associations demeurent énigmatiques. Il faut voir comment elle évoque sa fratrie pour avoir idée du son que rendent ces phrases
Son père, un musicien, avait pu maîtriser les cinq claviers de Notre-Dame, mais pas les grandes orgues de la folie de sa femme, comédienne assez frappée à ce qu’il semble. L’auteur ne dit pas qu’elle était belle mais qu’elle avait la splendeur de la Grande Chartreuse en hiver. Vous voyez ? On ne grandit pas impunément sous un buffet d’orgue : qui a l’âme bien préparée peut reconnaître « un orgasme divin » dans un « tutti », quitte à affronter le regard d’athée d’une mère venue vérifier sa puissance.
On en connaît que ce ton de hauteurs béantes saoûlent, mais dans le mauvais sens du terme ; les mêmes n’ont pas à leur chevet les oeuvres complètes de Christian Bobin dont elle se sent proche. L’envie nous prend parfois de secouer le texte pour en faire tomber les adjectifs. Et pourtant, ce léger dévoilement autobiographique, à peine esquissé, jamais impudique, est poignant de bout en bout. Lorsqu’elle lit une histoire de l’art et qu’elle n’y trouve guère de femmes, Lydie Dattas en conclut que lorsqu’une femme surgit tout de même, ce ne peut être qu’un monstre. Elle rêve que le ciel lui réserve une place au-dessus des mères, à la droite du verbe.
(Photo JM de Valviala, oeuvres de Pierre Soulages)
505 Réponses pour Lydie Dattas dans sa nuit outrenoire
Ce qui n’empêche peut-être pas ce livre d’être un bon livre, ça n’a rien à voir.
dont acte dit: 15 juillet 2015 à 8 h 43 min
Rien d’impossible, Pierre Assouline me fait souvent penser à Carmen Tessier.
Cette fois, il est temps de filer.
Bonnes vacances, dear Chaloux. Evitez les plages près des cuves à mazout.
A en croire Lidye Dattas, Soulages, c’est le prophète du noir absolu. Mais comme il le soulignait lui-même dans un texte cité plus haut par Widergänger, le noir n’est rien sans la lumière ; c’est elle qui fait exister les noirs de Soulages dans leur singularité, et d’autant plus qu’aucun noir de Soulages ne ressemble à un autre noir de Soulages. S’il était ce que Lidye Dattas écrit de lui, il n’aurait jamais conçu les vitraux de Conques, subtils jeux du noir (et surtout de gris subtils) avec la lumière. Comme celui de tout peintre, le travail de Soulages est artisanal : au coup par coup. Ce serait rigolo si, sur le tard, il se convertissait au rouge, au bleu ou au jaune (couleur qu’il employa beaucoup naguère) : quelle déroute chez quelques uns de ses thuriféraires !
@ Lola – 17h34
Vous m’avez étonnée avec votre évocation de Marc Fumaroli. Ce lion à la crinière blanche a une sacrée plume et sait se battre. Érudit et vachard. (Ne dirait-on pas que vous évoquez M.Court ?)
Il s’est exprimé dans bien des domaines relatifs à la Culture. Quand il parle de l’art, c’est vraiment matière à penser. Tenez j’ai picoré sur internet.
C’était à propos de la parution de son livre : Paris-New-York et retour – Voyage dans les arts et les images.
Dans un grand entretien publié sur Causeur.fr, il est invité à s’exprimer sur la « guerre » qui oppose le modernisme (vulgarisation / produit du système) à l’art classique.
(JC a résumé ce sentiment de toute puissance de ce siècle (technologie) avec son humour grinçant par sa citation du coq aux deux perchoirs prise dans Le Livre de l’Intranquillité de Pessoa)
Voici donc un extrait de cet entretien en date, je crois, de 1989…) :
Q : -“Je vois les Vénitiens de 1770 plus heureux que les gens de Philadelphie d’aujourd’hui”, a écrit Stendhal que vous citez. Mais quels Vénitiens ?
M.F : – La beauté est une expérience physique qui n’est pas nécessairement aristocratique. J’ai tout de même l’impression que même les Vénitiens de condition modeste étaient bien dans leur vie. La paysannerie a toujours eu un sens aigu de l’emplacement de ses villages des proportions de ses fermes, de l’agrément et de la commodité de ses mobiliers. Cela n’avait peut-être rien à voir avec la grande architecture royale mais il y avait dans toutes les couches de la société un souci de l’équilibre, de l’élégance et de l’agrément à vivre. Et on fait cette observation à chaque fois que l’on s’intéresse à une société traditionnelle. Aussi les ethnologues sont-ils bien obligés de l’admettre, ce qui les rend souvent réactionnaires ou irascibles.(…) Une belle ville, une ville habitable où l’on se sent chez soi, est l’une des conditions de la démocratie libérale. En revanche les villes à géométrie brutale qui n’ont pas de considération pour la variété de ses habitants ont quelque chose de totalitaire.
La beauté n’est pas le privilège de l’aristocratie mais un droit et un besoin qui habite tous les êtres. Ignorer ce besoin profond revient à encourager une militarisation de l’existence qui n’est pas favorable à la démocratie libérale et qui n’est pas digne d’elle. Le grand art est universel. Personne ne résiste à Mozart ou à Vermeer.(…)
Il est vrai que la littérature et la poésie sont plus élitistes car elles ne mobilisent pas seulement les sens.(…)
Si Paris qui, malgré pas mal de crimes architecturaux et urbanistiques, reste mieux conservée que nombre de capitales, parvenait à ne pas aggraver les choses et à rester cette capitale ancienne, dans cinquante ans, elle serait la reine du monde. Car au train où vont les destructions, les constructions idiotes, les saccages, les modernisations ridicules, ce ne sont pas des voyages touristiques mais des pèlerinages qu’on fera vers les lieux préservés qui apparaîtront comme autant de trésors. Le problème, c’est que nos gouvernants ne comprennent rien à tout cela. Le bâtiment magnifique qui a autrefois accueilli le ministère de la Marine sera, paraît-il, bientôt à vendre. Que va-t-on y construire, un hôtel de luxe ? Quel désastre ! L’Hôtel de la Monnaie, où l’on expose actuellement David de la Chapelle, est également menacé. Alors, on me dira que des édifices inutilisés retrouvent vie et que c’est l’éveil de la belle au bois dormant. Le risque, c’est qu’elle devienne une putain.(…)
Il ne suffit pas de se promener dans un musée pour être initié. Ce sont les médiations, les mœurs, les manières, la lecture, qui peuvent vous amener à comprendre que telle ou telle œuvre a un sens pour vous. Il y a un art de regarder. Et bien regarder n’est pas tellement plus difficile que regarder en passant. Ce dont j’aimerais convaincre les lecteurs, c’est que ça vaut la peine. »
Voilà, Lola, on frôle les réflexions exprimées , ici et là, dans la suite des commentaires dans cette réflexion sur les villes, les civilisations, les mémoires. le livre est passionnant (Baudelaire… Bacon… Stendhal… Malraux… le MOMA (Wharhol)…
Une belle réflexion, aussi, sur l’image. Celle approchable dans les musées et celles de la rue, des écrans. l’art contemporain ? Ce qu’on en fait. Ironie et désenchantement. Silence…
…
…à mon avis,!…la zone €uro est de nouveau tranquille,!…
…la Grèce – Exit,!…de tout accords,!…au moins dans plusieurs parlements aux €uro,!…
…
…rien à marchander,!…la 6° flotte en Sicile,!…tout aussi près des opérations aéroportées,!…
…
…l’un signe l’autre ratifie, suivant,!…et les milliards s’envole aux coups de soleil,!…
…rien à voir avec l’Allemagne,!…c’est un constat des conjectures les plus conventionnels,!…
…sans bac +10,…Ah,!Ah,!…
…que faire avec un €uro fort, le tremper dans le lard grec,!…
…des fondus aux oiseaux,!…
…retournement d’opinions,!…comme de ma veste, toujours du bon côté, improvisé,!…Na,!…etc,!…
…la raison du plus simple appareil,!…
…crédits, au suivant,!…
Alexis Tsipras : «J’ai signé un accord auquel je ne crois pas»
Consternant…Comment ce type a-t-il pu être pris au sérieux?
+ 10 ans !
L’entretien publié par causeur.fr date du 9 avril 2009.
Alexis Tsipras : «J’ai signé un accord auquel je ne crois pas»
Un contrat de mariage ?
Sympa pour sa femme !
« Si Paris qui, malgré pas mal de crimes architecturaux et urbanistiques, reste mieux conservée que nombre de capitales, parvenait à ne pas aggraver les choses et à rester cette capitale ancienne, dans cinquante ans, elle serait la reine du monde. »
Elle l’est déjà, première destination mondiale, avec néanmoins une tendance à la « muséification », Christiane ! Attention de ne pas transformer Paris en un vaste musée Grévin dont M. Court serait le gardien…
Venise 1770, ce n’est pas la meilleure période, plutôt le début de la fin…
Alexis Tsipras : «J’ai signé un accord auquel je ne crois pas»
Retournons à ce gamin politique un compliment qu’il fit et qui était déplacé à propos de Mme Merkel…
« Hitler, comme vous, signait des accords auxquels il ne croyait pas »
Jean-Gérard dit le 15 juillet 2015 à 9h21 :
« le noir n’est rien sans la lumière ; c’est elle qui fait exister les noirs de Soulages dans leur singularité
… aucun noir de Soulages ne ressemble à un autre noir de Soulages.
…les vitraux de Conques, subtils jeux du noir (et surtout de gris subtils) avec la lumière. (…)
Comme celui de tout peintre, le travail de Soulages est artisanal (…) »
Continuez, c’est passionnant.
Attila dit le 15 juillet 2015 à 10h26
Venise au XVIII e siècle…
Avant ?
Vous pourriez préciser votre regard ?
…
…attention aux météores déjà,!…
…
…Paris, dans une cuvette,…à porter de tout les cataclysmes,!…à évités,!…
…
…la liste est longue, pour l’éternité,…
…revenir à ses souliers,!…
…d’abord les chaussettes,!…etc,…
…
« Polémique : réponse à Pierre Jourde sur « Michel Onfray, l’escroc intellectuel » »
Le genre de polémique stérile, qui n’intéresse personne, à part les intéressés, et dont pourtant la France s’est fait la spécialité ???
A Christiane 09h51.Je découvre votre post à l’instant,dans 30mn je dois être chez l’opht(long exam)puis chez le kiné(nombreux exercices pénibles)Tout cela pour dire que mon post va être court et imprécis,mais avec un peu de chance,vous ne serez pas partie!
-je ne connais pas M.Court,je lis ses posts ,sûrs,intéressants;un universitaire sans nul doute.Il se trouve que j’ai rencontré M.Fumaroli,dans ma jeunesse; le port de tête,la chevelure,presque rien n’a changé;je n’ai pas travaillé avec lui,des amis,si.Puissance de travail,connaissances etc..Très vite,un parcours fabuleux(sans jeu de mot),des livres que j’ai immédiatement lus,ultra documentés ET passionnants par la hauteur de vue & par l’écriture;styliste hors pair est une expression trop banale.Sous l’habit d’un Grand Universitaire,un penseur,un philosophe,d’une grande finesse et d’une vraie originalité.Pourquoi vous étonner que j’aie eu envie et besoin de battre en brèche une opinion formulée ici par un posteur qui ne l’a pas lu ou trop superficiellement ? mes posts sont rares,banals,je n’appartiens à aucune coterie et je passe à grande vitesse sur les plaisanteries habituelles du groupe ou des groupes.Je n’ai pas le temps ou peut-être pas l’envie de développer;j’admire la précision de vos réactions et de vos citations(celle d’aujourd’hui,remarquable).Lorsque A.Compagnon est entré au Collège de France,c’est Fumaroli qui était à ses côtés.
-Bref,j’espère être moins ringarde qu’il n’y paraît !!ma biblio est dans un état de décomposition avancée,des caisses partout,même dans les escaliers et des souris qui se baladent,venues du jardin,mais qui préfèrent les broderies de mes savates au papier!
-j’ai aimé le billet sur Lydie Dattas,j’aime moins ce qu’elle écrit maintenant; lire les posts-quand ils ont trait au sujet-est essentiel,découvrir une autre forme de pensée ……
je file et vers les 5h je rentrerai et aurai le temps d’ouvrir mon PC qui a des crises de chaleur et un écran biscornu.Lisons et lisons-nous les uns les autres,sans oublier que le rire est la meilleure chose du monde.Lola
1770, c’et la fin du 18e siècle, Christiane, Venise avait perdu depuis longtemps son hégémonie sur les mers et les Autrichiens puis les Français s’apprêtent à envahir la place, suivis bientôt par la horde des touristes.
La grande époque 16e, 17e siècles…
v’là Zeus la branlette qui la ramène : il y a Lariboisière et JC/Benitoto la risée de tous
Court, universitaire ou uni vers Cythère ?
Oui, JC, le résultat est acceptable à Conques, parce que le Roman ne fait pas appel au symbolisme et notamment au symbolisme pictural, au contraire du vitrail gothique. Dans l’absolu, à Concques, les baies devraient être telles qu’elles, ouvertes. Afin de protéger le bâtiment ont peut admettre des baies vitrées discrètes, ce qu’a fait Soulage en apparence. Le problème c’est qu’on ne devrait plus en parler et qu’on en parle, au détriment de Dieu. Voilà pourquoi j’ai écrit « en apparence ».
Le Gothique du Haut Moyen-Âge est radicalement différent sans l’esprit. Le vitrail doit figurer quelque chose, et de préférence a deux degrés : l’un purement figuratif, l’autre occulte.
Nous refusons de débattre avec Sally Mara dont l’esprit semble bien confus…jusqu’à nous donner de la branlette !
Puisque nous sommes dans la confusion, rendons hommage à la justice allemande qui ne mollit pas, quitte à prendre son temps : « Oskar Gröning, l’ancien comptable d’Auschwitz âgé de 94 ans, a été condamné, mercredi 15 juillet, par le tribunal de Lunebourg, dans le Land de Basse-Saxe, dans le nord de l’Allemagne, à quatre ans de prison pour « complicité » dans le meurtre de 300 000 juifs. »
Quel sens de l’humour…. ! Quatre ans !
Nous avons donné à nos chers Grecs un conseil de bonne qualité, nous semble t il, afin de les libérer de la situation dans laquelle les familles mafieuses et leur démesure de clients les ont plongé : « ATTAQUEZ MILITAIREMENT LA TURQUIE ! »…
C’est une approche tout à fait intéressante : un win/win à plusieurs, une partouze géopolitique, culturelle, économique… LOVE !
Zeus/Benitoto, c’est Sarko en encore plus petit, un nabot de la non-pensée qui se débine et se réfugie dans ses nimbus, dukipudonktan
Lola
« Je m’étonne » voulait signifiait mon intérêt pour votre incise ouvrant de nouvelles perspectives.
Verbe à prendre au sens propre. Comme ouvrir les yeux sur quelque chose de nouveau qui relance la recherche.
Vos commentaires ont souvent cet effet pour moi.Une incitation à creuser davantage la discussion, la réflexion.
Vous avez eu bien de la chance de côtoyer Marc Fumaroli. Moi non plus, je ne connais pas M. Court. (Si ce n’est en le lisant ici, ou là-bas…)
Mais fugitivement, ces deux chercheurs m’ont paru proches.
Bravo pour votre combat personnel.
Il me semblait pourtant qu’un vitrail devait etre, qu’il soit figuratif ou abstrait polychrome, que la tradition ne s’en était pas perdue. Qu’on pense , en figuratif, à ce que fit Max Ingrand , à Notre Dame de Joie après les destructions de 1945. Mais infliger à Conques une grisaille est à mon humble avis un contresens historique en meme temps qu’une ahurissante Jansenisation de l’édifice. Ce n’est pas la première fois qu’un grand peintre accouche d’une croute vitraillesque, Bazaine et le chœur de Saint Séverin en savent quelque chose. Ce sont des vitraux pour touristes.Pas pour prier.
Madame Dattas semble écrire comme du mauvais Léon Bloy après une cuite au Chat Noir.C’est assez comique.
Bien à vous.
MC
D. dit le 15 juillet 2015 à 11h
Remarquable !
Attila dit le 15 juillet 2015 à 10h42
Oui, Attila.
Marc Fumaroli explore plutôt les siècles suivants et là, m’a-t-il semblé l’ambiance d’une ville encore préservée de ce qu’elle est devenue aujourd’hui.
Je me souviens des fontaines… de vos livres, de votre regard sur les rues, les pierres, les hôtes prestigieux de certaines maisons. Vous aussi, êtes amoureux du passé des villes avec, toutefois, cette ouverture humaniste au métissage.
Bonne route dans votre prochain livre.
« Aaah, non, pas ça ! pas Lui ! », se sont écrié nos Elus olympiens après voir lu Court et son scandaleux : » …grand peintre accouche d’une croute vitraillesque, … Ce sont des vitraux pour touristes. Pas pour prier. »
Prier ? mais que voila un mot qui mène droit au crime …. !
un vitrail fait pour prier… plutôt comique en effet, l’uni vers Cythère se prend pour Coluche
Qu’est-ce qui est remarquable, Christiane ?
D.
Cette intuition que seule la transparence pouvait être un filtre souhaité entre l’extérieur et l’intérieur de l’abbatiale afin de laisser vibrer la seule beauté des pierres.
Je crois que c’est ce qui a guidé Soulages dans la mise au point de ce verre transparent se rapprochant d’un parchemin translucide.
Ces stries grisées portent bien sûr sa signature et sont à déchiffrer dans une recherche architecturale, picturale. Là, il me faudrait de l’aide…
Je n’ai pas cité la fin de votre commentaire car je crois qu’on peut entrer et s’attarder dans ces lieux pour leur seule beauté, pour le repos, la songerie.
La prière n’a pas d’habitacle prédestiné. Elle peut, pour les croyants, vous traverser n’importe où. Dialogue ou monologue mystérieux. Parole jetée dans le vide (ou le trop-plein du monde) comme on lance une bouteille contenant un message à la mer. Qu’importe le voyage de ces paroles et le destinataire. Elles sont comme un soubresaut, un frisson, un aparté… Elles n’ont pas besoin d’être justifiées, c’est comme une respiration. Puis on revient au réel…
@ Court
Si je peux me permettre, cher M.Court, je ne crois pas qu’à l’origine le vitrail n’ait eu d’autre vocation que celle d’instruire le peuple de l’histoire, des histoires de l’ancien et du nouveau testament. Ce que vous esquissez est d’un autre ordre : la lumière. La lumière somptueuse obtenue par les maîtres verriers qui ont su au fil des siècles créer ces mirages fugitifs, ces bleus, ces rouges et ors se posant le temps d’un rayon de soleil sur les pierres des églises. L’ambiance féerique peut alors être propice à la prière mais aussi à la contemplation de ces beautés éphémères.
Les grisailles ou transparences ou… rien me font penser à Sénanque. Autre beauté plus austère où là aussi on est un peu hors de soi, en apesanteur, le regard ricochant sur les ombres et lumières, parfaites, les arcs, les voûtes.
Ce n’est pas au fin connaisseur de Kiyoshi Nakagami que je vais démontrer cela.
Souvenez-vous (page 2) :
« On aperçoit une ligne fine mais lumineuse. d’où sort ce rayon de lumière ? Du ciel ? Où d’une source intérieure cachée ? La lumière luit, mais son origine est ambiguë… »
Pardon,il m’importe peu qu’elle soit humble ou grandiose, moderne ou romane, mais une église est un lieu sacré et tout doit y etre au service de Dieu. On n’y met pas n’importe quoi, n’est-ce pas, Boubakeur, on n’y suit pas les caprices de la mode, on ne devrait peut-etre pas y suivre les modes des commissions des arts sacrés, encore qu’il y ait des réussites… ça, c’est ce que tous les Christians de ce monde ne peuvent comprendre, englués dans leur médiocrité anti-métaphysique et anti-chrétienne… O la grandiose référence au Coluche de service .On à la culture qu’on mérite.Pitoyable spectacle. Et triste Sire. Ceci dit une fois pour toutes.
MC
Christiane, accoupler Marc Fumaroli et Marc Court, n’est-ce pas un peu excessif, à moins que ce soit de l’humour… vache ?
C’est vraiment un vraiment un pauvre homme, ce Court. Enfin, il confirme ce qu’il a toujours été ici. Un type qui en est resté à l’époque de Louis XIV. Il y en a toujours un comme ça. Quand j’étais en khâgne, il y en avait aussi un comme ça qui ne comprenait rien à tout ce qui était advenu au monde après Malherbe… C’est drôle, quand même, la nature humaine, comme elle est faite ! Court doit être un Néandertalien qui s’est égaré chez les homos sapiens… Il fait un peu pitié quand même…
Faut-il avoir l’esprit sec et un cœur de pierre, une âme morte, pour ne pas être sensible à la beauté sobre et splendide des vitraux de Soulages !
Il y a en effet, Christiane, une fonction d’instruction. Mais on peut difficilement séparer, du point de vue de la réception, la représentation de l’identification, sinon on ne comprendrait pas la violence de l’iconoclasme Réformé.
Dans son Journal non destiné à la publication, le Père Julien Maunoir cite ces propos d’ une femme ayant pris soin d’une statue délaissée:
« Grand Saint, je t’ai fait beau, c’est à toi de me rendre service à ton tour. »
Le mécanisme de la Prière selon l’ecole française de spiritualité est le meme en plus élaboré.Voyez Bérulle et la théorie des états.Il se trouve que cette prière se nourrit à l’origine de contemplation visuelle, et qu’il faut bien avoir quelque chose à contempler.
Personnellement, je n’aime pas trop les grisailles. C’est une solution de facilité qui à sévi au Dix-Huitième siècle à St Sulpice pour encadrer ou remplacer un vitrail plus ancien, ou son fragment. A Sénanque, si je ne m’abuse, il n’y a rien. Mais c’est un cas extreme de dépouillement.
Que la fonction d’un vitrail soit de représenter, je le veux bien, que la lumière ainsi obtenue participe ou fasse fuir le climat de recueillement, je le veux bien encore, reste que les sujets, quand il y en a ,sont des sujets sacrés, et qu’ils sont là pour chanter ad majorem dei gloriam. Ceci vaut pour l’Eglise de la Bastille comme pour la Sainte Chapelle, ou ND de Joie, citée plus bas.
Bien à vous.
MC
Les vitraux de Bazaine sont absolument magnifiques et propres à susciter le sacré !
Chapelle de la Madeleine à Penmarc’h : les vitraux de Jean Bazaine..
http://www.lavieb-aile.com/article-chapelle-de-la-madeleine-a-penmarc-h-les-vitraux-de-jean-bazaine-104010551.html
Il y a toujours eu des grisailles dans les églises catholiques ! Un vitrail ne vise pas forcément l’instruction.
Les vitraux de Manessier :
Autres grisailles splendides de Gérard Lardeur :
L’église St-Pierre et St-Paul de Langonnet :
Les vitraux de Gérard Lardeur et les chapiteaux romans.
http://www.lavieb-aile.com/article-les-vitraux-de-gerard-lareur-a-langonnet-104407243.html
Notre brave Court n’a vraiment pas l’esprit ouvert.
…
…Soulage pour moi,!…c’est de la merde,!…
…
…mettez en sur les églises et Dieux,!…çà leurs fait la peau,!…vlà,!…
…envoyez à nos avals de connaisseurs,!…
…l’Académie,…en chambre froide,!…of course,!…etc,!…
…suivant,!…Soulagé aussi,!…
…( cinéma & budget culturel, des oiseux,…),…les retombées aux particuliers,…Ah,!…je vois pas,!…
….
Et puis alors, (c’est d’ailleurs tout ce qu’il sait faire), il te recouvre toute sa pauvre âme morte d’une érudition accablante, qui n’est que l’expression même de sa mortitude…
L’érudition, mon pauvre Court, n’est intéressante que lorsqu’elle vient vivifier une âme sautillante et capable de s’extasier devant la beauté inconnue.
Je vais prier pour vous pour que D.ieu vous accorde un peu plus d’ouverture d’esprit et vivifie votre pauvre âme meurtie.
Court nous parle du « mécanisme de la prière » ! Mon D.ieu ! Quelle horreur ! Quelle insanité ! Mais la prière, mon sinistre Court, c’est tout sauf un « mécanisme ». C’est un élan du cœur ! Toute chose que vous ignorez. Vous n’êtes qu’une âme mécanique, une âme morte ! un gogol…sans majuscule…!
christiane dit: 15 juillet 2015 à 11 h 52 min
D.
Cette intuition que seule la transparence pouvait être un filtre souhaité entre l’extérieur et l’intérieur de l’abbatiale afin de laisser vibrer la seule beauté des pierres.
–
Je n’ai pas écrit cela. C’est une pure extrapolation de votre part. J’ai simplement écrit qu’il n’y avait pas lieu de mettre quelque chose dans ces vaiesn
Si on veut une explication des raisons profondes de la lutte des instances européennes contre « le grecs », lire ça :
http://information.tv5monde.com/info/grece-faux-compromis-vraie-vengeance-42850
qui change des couenneries du type au scooter.
Personnellement, je trouve que la beauté des vitraux de Soulages à Conques me font penser à la spiritualité sobre et élégante d’un jardin japonais, les raclures du râteau sur le sable dans un tel jardin. Il y en a un dans la banlieue de Berlin, avec tout un ensemble d’autres types de jardin, chinois, etc.
Très haute spiritualité qui relie l’Orient à l’Occident dans cette belle abbatiale de Conques. On peut en être fier.
j’ai consulté Monsieur Presle, il me dit que le gars Court n’est qu’un pauvre cacalotin conconfit en bnobondieuseries d’un autre ââââge
Révéré Wiederganger
J’avais oublié que vous étiez aussi une autorité en matière de mystique catholique et d’esthétique. Sachez que j’apprécie beaucoup votre humour, si peu répétitif, et votre largeur d’esprit, si libérale, si gracieuse dans le dialogue avec les autres. Dans une autre vie, vous auriez fait un très estimable Torquemada. Il vous reste le temps de devenir un honorable dictateur, avec tout ce qui s’attache d’érudition et de prestige à cette noble fonction. Quand un peuple aura pour lecture obligatoire jusqu’au décervelage Chrétien de Troyes, on saura ou vous trouver. Je vous laisse manier vos foudres de carton.
Bien à vous.
MC
Personne ne semble comprendre ici qu’à l’origine on ne fermait pas les baies avec du verre, que cela est venu bien plus tard. Il n’y a absolument rien en relation avec la prière dans cet état de faits. Cela n’empêchait pas qu’on décore les murs avec des polychromies. Conques tél qu’elle est aujourd’hui n’a absolument rien avoir avec ce qu’elle était à l’achèvement de sa construction, à savoir: une église sans laquelle pas un centimètre carré de Pierre n’avait pas été peint, et ou il n’y avait, naturellementaucun vitraux. Je vous souhaite une excellente après-midi boboestivoculturelle.
elle est marrante notre copine Sally Mara, on l’aime bien… le pète-sec Court est vraiment sinistre, un vieux schnock sans doute
Court, z’êtes un brave imb.écile…! D.ieu vous le rendra bien…
Un gogol sans majuscule… Je trouve qu’elle est pas mal celle-là, faudra que je le ressorte…
Les « foudres de carton », ça fait immanquablement penser à don Quichotte ! Là, Court m’honore…!
Court est en réalité un grand farfadet… Que D.ieu ait son âme, morte, pour la vivifier !
Quand un peuple aura pour lecture obligatoire jusqu’au décervelage Chrétien de Troyes, on saura ou vous trouver. (Court)
__________
Je vois que Court a raté tout l’épisode stendhalien…! Dommage.
Le vitrail, plus qu’un filtre pour la lumière ?
La prière, une grande part de réclamation, non ?
Bref, encore beaucoup (trop ?) de religion
égocentrée dans l’agitation de fourmi perdue
accordée à la condition humaine.
Essanciellement.
Cela est venu bien plus tard, nous dit l’autre gogol…!
Et la rosace de la Sainte Chapelle et de Notre-Dame, elle est venue bien plus tard ?!!
j’ai consulté Monsieur Presle
_______
Oui, une sacrée praline, notre Monsieur Court…! Petite friandise au chocolat fourré vendue dans des ballotins, très prisées en Belgique.
Don Alba ne sait plus où donner de la tête et guerroie contre les moulins à vents qui l’encerclent de toutes parts.
Les vitraux de bazaine, on dirait des motifs de foulards Hermès, c’est joliment colorié mais guère sacré !
Beau vitrail de Manessier:
http://www.lavieb-aile.com/article-les-vitraux-de-manessier-a-locronan-chapelle-de-bonne-nouvelle-103071184.html
Faut pas injurier D.ieu…! On va pas demander au grand Jacques d’avoir le sens du sacré !
Encore un beau vitrail de Bazaine :
http://www.maitrise-colmar.asso.fr/index.php?id=188
Le pire, Don Alba, ce sont les chapelles décorées par Cocteau sur la Côte d’Azur et jusque dans l’arrière pays et M. Court ne dit rien !
Les vitraux de Saint-Séverin ; on aime ou on n’aime pas (personnellement je préfère la sobriété de Soulages) :
http://paris-bise-art.blogspot.fr/2010/06/les-vitraux-de-saint-severin-jean.html
La Vie estBaile
Il me semble avoir cité ce blog, que j’aime bien et ou j’interviens parfois , sur un autre. Apparemment rien n’est perdu.
Ou avez-vous lu que je n’aimais pas le vitrail moderne? J’ai passé bien des heures dans un atelier de Maitre-Verrier contemporain. Et je n’y poussais pas des hurlements d’horreur. Je vous dis simplement que je n’aime pasc Conques « soulagé ».
Chapelle ou backroom ?
http://images.delcampe.com/img_large/auction/000/224/238/554_001.jpg
Court ne dit rien parce qu’il n’apprécie pas l’érudition…des autres… plus vivante que la sienne ! Court est un ringard.
Attila, je ne suis pas spécialiste de Cocteau.
« Une érudition accablante » cachant une « ame morte »…ça ne vous rappelle pas quelqu’un? Quant au « mécanisme de la prière », l’expression doit etre dans Marcel Mauss.
MC
On a le droit de ne pas aimer. Mais de là à en faire toute une théorie sur ce que doit être un vitrail et ce qu’il ne doit pas être, y a un monde !
Je plains simplement ceux qui ne sont pas sensibles à la beauté des vitraux de Conques par Soulages. Ils passent tout simplement à côté de la beauté de ce monde. C’est triste.
C’est pas parce qu’elle est de Marcel Mauss qu’elle est forcément à retenir…!
Les vitraux de Cocteau me gêne parce qu’on y sent trop qu’ils ont été faits par un homosexuel. Si si !
Ou avez-vous lu que je n’aimais pas le vitrail moderne? (Court)
________
Elle est bien bonne celle-là ! Voilà un type qui voue les vitraux de Soulages aux gémonies, sans parler de Bazaine, et qui s’étonne ensuite qu’on puisse le trouver insensible à l’art moderne du vitrail…!
Franchement, mes petits chéris, Court se moque de nous !
Oui, WGG, dans la chapelle de Villefranche sur mer, on est en plein dans la sous culture homo.
Voyez la différence avec la chapelle du rosaire à Vence, par Matisse !
https://danetpierre.files.wordpress.com/2012/08/choeur-de-la-chapelle-du-rosaiire-de-matisse-c3a0-vence.jpg
Oui effectivement. J’aime beaucoup aussi Matisse.
Soulages est très proche de la spiritualité japonaise zen. Ses tableaux comme ses vitraux. C’est en tout cas comme ça que je les vois. La sobriété zen.
Tsipras est en butte à son parlement maintenant.
L’Allemagne est en train de foutre une merd.re du diable dans tuote l’Europe.
En France, les radicaux se divisent aussi, au grand plaisir de la mère Merkel qui s’en fout de toute façon.
L’Europe est bien morte mais elle va mettre au moins cinq ou six ans à agonir.
Ensuite, le chaos va s’installer de manière durable en Europe pour vingt ou trente ans.
Faut jamais oublier que la mère Merkel vient de l’Allemagne de l’Est ! Le protestantisme + le vieux fond prussien, ça fait des dégâts.
le poète-sec?
Pourquoi le Protestantisme ferait-il plus de dégâts que le Judaïsme?
Merci de développer.
Ces vitraux, on dirait un test de quotient intellectuel… Et ça marche ! Tout le monde le passe…
Nos amis allemands ont donné un roi à la Grèce et tout s’est bien passé. Schliemann, originaire de la même région que la Chancelière, est venu y mourir en grande pompe après avoir déterré Troie.
Le Judaïsme a inventé l’Europe, le protestantisme l’a détruite.
Alle Deutschen sind von nun an verantwortlich dafür, dass die grischiechen Kinder hungern !
Conques a été construite un siècle avant la Sainte Chapelle, à une époque où on ne faisait pas de vitraux, Monsieur Je sais tout.
Allemagne: l’ex-comptable d’Auschwitz condamné à 4 ans de prison
Oskar Gröning a été condamné pour « complicité » dans le meurtre de 300.000 Juifs
http://www.i24news.tv/fr/
Mimi 14h 22: faut quand même oser
Mais où c’est que t’as vu qu’on n’y avait pas fait des vitraux ?!!!!!!!!!!!!!!!
Court ne répond pas à la catapulte Wiederganguienne. il a d’autres chats à fouetter.
Pour la deuxième Ecole de Paris, si bien représentée sans ironie aucune par le Génie autoproclamé de ce blog je crois avoir fait visiter l’ exposition du Sénat plusieurs fois. De très beaux Bazaine, Fautrier, et Manessier,un De Stael de toute beauté, mais un pitoyable Léon Zack, façon Dripping qui a mal vieilli , typique du tableau invendable d’un stock de Galerie. Accessoirement, je pense m’etre intéressé à Jean Le Moal ou Singier bien avant qu’ils ne réapparaissent sur les cimaises.
Je ne parlerai pas des vivants . J’en ai parlé ailleurs.
MC
D. dit: 15 juillet 2015 à 14 h 29 min
Mimi 14h 22: faut quand même oser
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Ben, c’est la stricte vérité historique pourtant !
Deux mille ans de présence juive. Les protestants sont arrivés sur le tard et avec le capitalisme ont foutu la merdr.e ! L’Allemagne d’Hitler était un pays protestant.
Mimi ose tout et toujours, D!
C’est meme à ça qu’on le reconnait, comme disait l’autre.
MC
Le FMI avait demandé lui-même une renégociation de la dette grecque, qui va passer de 175% à 200% du PIB.
On est en plaine folie germanique !
Attila, désolé mais Paris n’est pas la première destination mondiale : en 2014, Londres fut première destination (~18m de visiteurs), suivie de Bangkok (~16m) et enfin de Paris (~15m)…sinon, pour la ‘muséification ‘, vous avez bon…pas étonnant d’ailleurs, avec des reacs comme le court d’esprit aux manettes…
Et Luther est bien connu pour ses diatribes antisémites !
Entendons-nous bien : que ceux qui essayent de me faire dire, avec une parfaite mauvaise foi, qu’il n’y avait pas de vitraux à l’époque romane cessent leur petit jeu.
Hitler voulait déjà transformer Paris en musée et en lieu de détente pour le repos du guerrier.
La technique du vitrail était maîtrisée dès le XI siècle( les plus anciens vitraux datent de 1100 et se trouvent dans la cathédrale d’Augsbourg) au XII siècle, l’iconographie du vitrail est très élaborée, ce raffinement sera combattu par les moines cisterciens qui prôneront un vitrail incolore à motifs géométriques.
J’ai dit qu’il n’y avait pas de vitraux à Conque a la construction, rien d’autre. On les a ajoutés après. Et je vous défie de me prouver le contraire.
ben, faudrait savoir, mon petit chéri !
Comme dit Corneille : Et le désir s’accroît quand les fesses reculent…
Faudrait d’abord que tu prouves que ce que tu dis est vrai…!!
dans le comptage des touriss, ne pas oublier les charretées pour mickey-pariss. londres est enfoncée. evidemment , c’est pas du tourisme à vitrail, comme dirait fumaroli.
Pour tout savoir des vitraux de Pierre Soulages :
http://www.tourisme-conques.fr/fr/histoire-patrimoine/eglise-abbatiale/vitraux-soulages.php
Écoute, Michel, quand tu construis tu ne commence pas par les fenêtres. C’est le même principe qui s’applique avec les vitraux : tu fais d’abord tes murs et ton toit, ensuite tu t’occupes du reste.
A l’origine puis au fil des siècles, étaient-ce des parchemins huilés ou de très fines feuilles d’albâtre translucide qui obstruaient les fenêtres ‘ « Nulle trace de cette époque ne permet de lever le doute », écrit le frère Jean-Régis Harmel, résidant au prieuré Sainte-Foy de Conques, dans un fascicule de 2013. A notre « époque saturée d’images », le religieux vante le choix fait par Soulages de vitraux non transparents et non figuratifs, qui donnent à voir l’architecture d’origine et sont propices à la méditation.
Classée au patrimoine mondial de l’Unesco au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle, l’abbatiale, l’un des plus édifices romans les plus remarquables, reçoit chaque année des centaines de milliers de visiteurs français et étrangers.
– Des pèlerins frappés par l’émotion –
« Une moitié se montre réticente (vis-à-vis des nouveaux vitraux, ndlr), l’autre se laisse conquérir par cette lumière » qui magnifie la beauté du lieu, estime la guide-conférencière Anne Romiguière. Elle conseille de revenir « en nocturne » dans le déambulatoire, quand les projecteurs s’allument face au chevet et que les vitraux se teintent d’orange violent ou de bleu nuit. Au son des orgues, dit-elle, « des pèlerins fatigués tombent en larmes, tellement ça les touche, cette harmonie ».
Oui, mais c’est pas un argument, ça, mon petit chéri.
« Court doit être un Néandertalien qui s’est égaré chez les homos sapiens… »
Attention à pas insulter les néandertaliens
« Faut jamais oublier que la mère Merkel vient de l’Allemagne de l’Est ! Le protestantisme + le vieux fond prussien, ça fait des dégâts. »
Elle est harcelée par Schaüble, qu’elle essaie de calmer
« L’Allemagne d’Hitler était un pays protestant. »
Hitler était catho et s’inspirait du fascisme de l’église catho
« On est en plaine folie germanique ! »
Si les autres n’approuvaient pas, ça se saurait
Luther est bien connu pour ses diatribes antisémites !
Et l’inquisition catho, qui a duré jusqu’en 1834 …
Jean-Régis Harmel qui s’y connaît te dit qu’il n’en sait fichtre rien. Ce qui est sûr, c’est que très vite, étant donné tous les trésors que recélait l’abbaye de Conques, des vitraux ornaient ses fenêtres.
Sally Mara dit: 15 juillet 2015 à 11 h 20 min
Zeus/Benitoto, c’est Sarko en encore plus petit, un nabot de la non-pensée qui se débine et se réfugie dans ses nimbus, dukipudonktan
le pervers était la risée de la cour de récré- il se défoule, avec les applaudissements de débiles
La Vierge de Conques était une des sculptures préférées de Paul Morand, ce qui risque de refroidir Christiane. L’auteur, aussi apprécié de Fumaroli, la comparait au Bamberger Reiter, précieusement conservé dans la cathédrale de Bamberg chez nos amis allemands (quatre tours inspirées de celles de Laon).
y sort de quelle fosse à purin « arrête ton char » ?
C’est drôle, non ?
Phil, si vous le dites hein…sinon, puisqu’on parle de vitraux, je voudrais mentionner les fresques de la French Church – Notre Dame de France- a Leicester Square dans Soho, qui sont l’œuvre de Jean Cocteau…
http://www.ndfchurch.org/fr/wp-content/uploads/2011/03/New-Cocteau-leaflet-FR.pdf
sinon, les vitraux de la cathédrale de Reims ont été faits par Chagall… assurément, un artiste ni catholique ni même chrétien, mais qui a ajouté une autre dimension a ce temple…perso, je ne manque jamais d’aller y faire un tour quand je descends dans le sud…
je me demande d’ailleurs ce qu’on pense le gardien du Musée de France, le court sur pattes? Lui qui pestait plus tot:’…Pardon,il m’importe peu qu’elle soit humble ou grandiose, moderne ou romane, mais une église est un lieu sacré et tout doit y etre au service de Dieu. On n’y met pas n’importe quoi, n’est-ce pas, Boubakeur, on n’y suit pas les caprices de la mode…’
euh…pas tous les vitraux hein…quelques uns…
Autres exemples de vitraux de Chagall :
http://lacorreze.com/villages/le_saillant/les_vitraux.htm
plumedelatante, indeed il en faut pour tous les goûts. à Graz (österreich), un vitrail d’une des églises de la ville montre hitler et mussolini. Toutes les deux en fâcheuses postures, of course.
Vitrail de Graz :
https://de.wikipedia.org/wiki/Grazer_Stadtpfarrkirche#/media/File:Graz_Stadtpfarrkirche_14.jpg
Phil, je ne suis pas plume de LA tante…je suis plume de MA tante…il y’ a une certaine nuance, n’est il pas?
Widergänger dit: 15 juillet 2015 à 15 h 14 min
y sort de quelle fosse à purin « arrête ton char » ?
Hitler et Himmler étaient cathos , un quart des SS, et 22 millions d’Allemands, étaient cathos
L’inquisition catho a duré plusieurs siècles, jusqu’en 1834 il ne reste quasime,nt pa sde Juifs en Espagne le pays le plus antisémite de l’Europe
Les conciles de tolède déjà s’en prenaient aux juifs . Bref ya pas que les protestants loin s’en faut
Personne n’a jamais dit le contraire, mon pauvre chéri. Mais n’empêche que l’Allemagne est un pays protestant. Même avec le sud catho, c’est un pays protestant.
Tu me fais rire avec ton « Hitler et Himmler étaient cathos ». Ça n’a strictement aucune importance. Ça ne joue aucun rôle dans l’histoire. Ça n’a pas empêcher les nazis de persécuter aussi des prêtres polonais. Dans le bloc 10 à Auschwitz I, à la cave, il y a même une plaque.
Notre cher HERAKLES trouve effectivement que votre petit président court sur pattes est fabuleusement « audacieux » à la TV.
Il ajoute que ce qu’il a fait à Merkel, il ne l’aurait pas tenté, lui. Oui, lui, Héraklès qui a saisi la Lionne de Mémée entre ses bras puissants pour la niquer en douce….!
Nous vérifions.
Qu’ils mangent de la brioche !
Ben oui, c’est bon, la brioche…
Ça ne joue aucun rôle dans l’histoire. Ça n’a pas empêcher les nazis de persécuter aussi des prêtres polonais. Dans le bloc 10 à Auschwitz I, à la cave, il y a même une plaque.
Le soutien du Vatican …
Même quand il y a les Hitlams aux portes comme dans le coup du sexe des anges, on s’occupe encore d’oncle Wolf le vrai…
Notre belle APHRODITE trouve que Alexis Tsipras a l’air de jouer à l’ahuri dans un des nombreux mauvais films de WOODY ALLEN !?
Elle s’inquiète pour son avenir …
Bonne question !
la beauté des vitraux de Soulages à Conques me font penser à la spiritualité sobre et élégante d’un jardin japonais, les raclures du râteau sur le sable dans un tel jardin (Widergänger)
Rapprochement éclairant. A Conques, les vitraux de Soulages procèdent au râtelage des grains de sable de la lumière.
Ah, oui les grains de sable… Au CERN, il semble que les dernières études de collisions prouveraient que l’antimatière serait contenue à l’intérieur de la matière.
Comme si nous l’ignorions !
ZEUS….. dit: 15 juillet 2015 à 16 h 06 min
l’antimatière serait contenue à l’intérieur de la matière.
Ben, il faut bien y mettre quelque chose, hein ! C’est comme un Tupperware…
Plus de 80 personnes ont été blessées au Maroc au cours d’une bousculade provoquée par une souris, qui s’était faufilée dans la mosquée Hassan II de Casablanca.
Le vitrail de l’Ascension du Mans est daté du XIeme siècle. Désolé pour D.
Je suggère que nos joyeux combattants suivent l’exemple de ces valeureux enfants et qu’ils se battent… tout nus
« La Guerre des boutons de Louis Pergaud, (1912) décrit la « guerre » que se livrent les bandes d’enfants de deux villages rivaux, Longeverne et Velrans, dans la campagne franc-comtoise de la fin du XIXe siècle.(L’auteur s’est inspiré de la vie dans le village de Landresse où il a enseigné deux ans).
Les enfants de Longeverne, Lebrac et son armée, et ceux de Velrans, la troupe de l’Aztec des Gués, se livrent une guerre sans merci, à coups de bâtons, de cailloux et surtout de coups de pieds et de poings.
L’humiliation est certaine pour les malheureux qui tombent aux mains de l’ennemi : ils sont en fait dépouillés de leurs boutons, agrafes, lacets, etc., afin de les obliger à rentrer dépenaillés chez eux et de risquer une engueulade parentale, qui se termine généralement par une correction.
Au fil des défaites et des revanches, des différentes idées de Lebrac pour éviter les désagréments de la défaite, les tactiques pour emporter la victoire, des scènes cocasses se succèdent. L’on voit notamment les enfants faire la guerre nus, pour éviter d’abimer leurs vêtements, puis se faire recoudre par les filles du village, sans oublier de jouer des tours pendables à leurs ennemis en dehors des batailles… »
Clopine recoudrait les boutons en servant cidre et fruits de son verger ; Attila, en esthète, apprécierait les musculatures ; Pierre Assouline inviterait ses étudiants de Sciences-Po à faire quelques croquis ou à relever les jurons échangésd !
Au malheureux crétin qui signe « ton char », je conseille de lire la notice wikipedia extrêmement complète et documentée sur Himmler. Un court extrait:
« Bien qu’issu d’une famille catholique, Himmler devient, au fil de sa conversion au national-socialisme, un adversaire acharné du christianisme. Peter Longerich, dans sa biographie du chef des SS, décrit en détail les multiples raisons de cette haine que Himmler théorisa dans de nombreux discours et écrits. D’un point de vue personnel, Himmler rejette avec violence la morale sexuelle de l’Église catholique dans laquelle il perçoit l’origine de plusieurs de ses incapacités, notamment son développement sexuel tardif et ses difficultés matrimoniales. Il l’accuse également d’engendrer des tentations homosexuelles auxquelles il aurait été lui-même soumis dans sa jeunesse.
À ses yeux, le christianisme est paré de nombreux inconvénients pour la race aryenne : tout d’abord, il a été prêché par un Juif. Ensuite, il est issu du monde méditerranéen, sorte de magma racial antique, opposé à la pureté nordique. Par tous ces défauts, le christianisme n’est pas compatible avec l’héritage germanique qu’il entend magnifier.
Ainsi, à partir du milieu des années 1930, il analyse le IIIe Reich comme un moment de confrontation ultime entre le christianisme et la germanité »…etc, etc.
Il avait par ailleurs beaucoup de sympathie pour l’islam dans lequel il voyait une religion de guerriers prêts à mourir au combat pour gagner le paradis.
Journal de Goebbels:
Le 6 janvier 1932 : « Je suis excommunié de l’Eglise catholique. Crétins de curés ! Je chie sur ces singeries stupides. J’ai coutume de révérer le Bon Dieu à ma façon à moi. »
Etc.
Tout cela est archi connu des gens de bonne foi.
Je partage le point de vue d’Himmler – un écrivain allemand que je ne connaissais pas, encore un – à savoir, qu’effectivement, les méditerranéens constituent un magma racial infect, alors que la pureté nordique est palpable et qu’il ne faut pas s’en priver ….
Bon ! une journée remarquable s’achève : ce n’est pas tous les jours que l’on traite l’ami Alba de Torquemada et le noble Court de Néanderthalien ! On verra de quoi demain sera fait.
Bonne soirée, ô combattants à boutons amovibles…
wikiedia est une référence plus fiable que fiable
bien vu, Christiane, Court en culottes courtes ça doit valoir son pesant de vitrail figuratif, olé
« Tout cela est archi connu des gens de bonne foi. »
Bien sûr . Cela va sans dire et explique tout
une pensée pour closer le nouveau croisé sauveur du vatican, il a rédigé la notice wiki
les raisons que vous citez ,et qui, selon vous, auraient motivé l’antipathie extrême de Himmler envers le Christianisme, s’appliqueraient tout aussi facilement a l’Islam…une autre religion de metèques…les arabes sont aussi sémites que les juifs…mais je ne vous apprends rien de nouveau hein…vous insistez a mêler l’Islam et le nazisme…c’est plus une réflexion sur l’état délabré et désolant de vos facultés cognitives que les prétendues affections de Himmler pour l’Islam ou le Taoïsme… closer to what or whom ? your little head couldn’t be closer to your #rsehole…
« Ça n’a pas empêcher les nazis de persécuter aussi des prêtres polonais. Dans le bloc 10 à Auschwitz I, à la cave, il y a même une plaque. »
et alors, ça ne prouve rien sinon qu’heureusement qu’il y a eu des opposants politiques parmi les cathos aussi !
« Entre la foi catholique et la pensée libérale il n’y a pas de compromis possible… Rien n’est plus contraire au catholicisme qu’une conception de l’être démocratique… Le sens de nouveau éveillé de l’autorité stricte rouvre le chemin d’une nouvelle intelligence de l’autorité ecclésiastique… Sur la doctrine catholique du péché originel se fonde la méfiance envers la liberté… Les Tables de la Loi national-socialiste et celles de l’impératif catholique indiquent la même direction… »
« Begegnungen zwichen Katholischen Christentum und nazional-sozialitischer Weltanchauung », par Michaele Schmaus, professeur à la Faculté de Théologie de Munich (Aschendorf, Münster 1933).
christiane dit: 15 juillet 2015 à 16 h 30 min
Je suggère que nos joyeux combattants suivent l’exemple de ces valeureux enfants et qu’ils se battent… tout nus
christina vole si haut
Ben c’est pas une finaude, la plume de ma tante ! C’est le grand widengeyr qui vous le rend.
Allez, ouste, à la vidange, la finaude !
Mais si, ça prouve tout mon pauvre chéri !
T’es un ignare, c’est tout.
Tout le monde sait que les nazis voulaient tout autant éradiquer de la planète les chrétiens après les Juifs.
On te donne ici deux ou trois preuves, mais y en a mille !
Et arrête un peu de nous bassiner avec tes arguments insignifiants.
Quand je te dis que l’Allemagne est un pays protestant qui a passé son temps depuis depuis 1870 à foutre le feu à l’Europe, je sais de quoi je parle, nom de Zeus !
Ecoute un peu au lieu de toujours rechigner à t’instruire !
« L’organisation des SS avait été constituée par Himmler suivant les principes de l’Ordre des Jésuites. Les règlements de service et les Exercices spirituels prescrits par Ignace de Loyola constituaient un modèle que Himmler chercha soigneusement à copier…
Le « Reichsführer SS » – titre de Himmler comme chef suprême des SS – devait correspondre au « Général » de l’Ordre des Jésuites et toute la structure de la direction était calquée sur l’ordre hiérarchique de l’Eglise catholique. »
Walter Schellenberg, « Le Chef du contre-espionnage nazi vous parle » (Julliard, Paris 1957, pp. 23-24).
http://esaie.free.fr/niveau1/hitler.htm
nouveau vitrail : Courte en culottes courtes essayant de chevaucher Uedada sous le regard envieux de Benitoto/JC faisant le salut fasciste, ça aurait de la gueule
« je sais de quoi je parle, »
trop drôle quoique trop simpliste binaire (c’est hélas l’influence du brêle varois)
Ben, si c’est pas une preuve de la destruction de l’Eglise catholique par les nazis, ça, je ne sais pas ce que c’est !
Et Sara Mally en costume de Marie Madeleine?
On pourrait aussi citer le Rauschnigg sur la haine d’Hitler pour l’Eglise.
Ai-je dit le contraire à un quelconque moment où endroit ?
bon…le point Godwin a ete atteint plus tot que prevu…soiree Jazz et pizzas en vue ce soir…ciao baby…
je lance ici un concours de vitrail : premier prix une nuit de rigolade avec meusieu courte
Le crâne de Friedrich Wilhelm Murnau, réalisateur de « Faust » et de « Nosferatu », a disparu du caveau familial
pour y avoir passé quelques heures, et souvent , y compris sur le chemin de Saint Jacques j’ai toujours eu la sensation que les vitraux de Soulages ne sont pas au niveau de l’abbatiale Sainte Foy. Mais bon c’est comme tout le reste
Hier a été signé à Vienne un accord sur le nucléaire iranien, qui traînait depuis longtemps, entre six pays dont la France, l’Allemagne, les EE.UU, la Chine, la Rusie et l’Iran. Netanyahu ne partage pas cette décision, il le fait savoir et c’est son droit. Il y a un petit détail, quand-même, qui peut changer toutes les données du problème, parce que personne ne lui avait demandé son avis. N’importe, Neta, qui peut-être se prend pour le roi du monde – et il n’a pas complètement tort, en tout cas d’une grande partie de ce monde – passe à la vitesse supérieure et brandit la menace d’une visite au Congrès des EE.UU (pas sa première), où il va essayer de convaincre les parlementaires de l’abérration que signifie le vote de leur pays sur cet accord. C’est comme si le Roi d’Espagne, vrai Roi celui-la, quoique d’Espagne, s’invitait lui même à la réunion de l’Assemblée Générale des parlementaires français pour leur faire connaître son mécontentement concernant l’adoption d’une décision officielle et souveraine. J’admets que cette comparaison, blague à part, ne tient pas, et qu’il faudrait surtout compter sur les forces deployées dans la bataille: d’un côté Israel et son répresentant Netanyahu (avec en plus, certes, le puissant ensemble des lobbys présents aux EE.UU et l’unanimité de ses amis congressistes Républicains), appuyés par les sourcilleux surveillants qui reniflent partout l’air éventuellement antisémite dans chaque conflit ou moindre desaccord, tandis que les grosses caisses résonnent dans les oreilles des infidèles; et de l’autre côté, ces mêmes stigmatisés ou simplement indifférents. Curieusement, et avec l’intention de relire dans Le Monde les récentes déclarations de Neta à la presse, j’ai feuilleté le journal (où je les avais lues peu de temps avant) sans retrouver un seul mot – même pas son nom. Peut-être quelq’un de la rédaction a trouvé que le sujet était déjà inactuel. Ou que lui-même était sensible à quelques recommandations.
à y : il y a des vitraux sur le chemin de Compostelle ?
Y a pas qu’Israël qui s’inquiète des accords avec l’Iran, mais aussi l’Arabie Saoudite, mon petit chéri !
Les Républicains ont déjà fait savoir qu’ils bloqueraient les accords au Congrès, dont dépend la levée des sanctions contre l’Iran.
Tu oublies par ailleurs, que l’Iran est le grand pourvoyeur de tous les terroristes dans le monde occidental notamment. Avec le Qatar, qui après vient s’inviter dans les défilés de protestation contre le terrorisme, invité par les chefs d’Etat dont les victimes sont les citoyens…
Conques, mon petit chéri, se trouve sur le chemin de Compostelle. Tous ces athées ignares, c’est fatiguant…
J’ai beaucoup aimé ce que dit y surtout : »Mais bon c’est comme tout le reste ». L’air de dire, j’en suis pas à une près…
Ah, tu sais, mon Passou, y sont comiques tes erdéliens !
Mais qu(‘)°elle heure est-elle?
A moins que tout cela ne soit qu’un leurre ou encore des l’heure(S)°???Qui sait?
C’est dit c’est fait il est 19h23 heure officielle de la R.D.L.
Certes WG, mais entre l’EI sunnite et l’Iran chiite et leurs alliés respectifs, quel est l’adversaire le plus dangereux pour la survie d’Israël? Vous êtes très fort si vous pouvez apporter une réponse simple à cette question.
la plume de ma tante dit: 15 juillet 2015 à 18 h 30 min
bon…le point Godwin a ete atteint plus tot que prevu…
Oui mais maintenant c’est l’origine des axes personne se retourne plus… Même dans un billet sur, je sais pas, moi, le bello gallico, on arrivera à parler de cézigue pâteux…
On verra ce que fera le Congrès. On est sur la corde raide de toute façon.
La stratégie américaine consiste à travailler avec l’Iran contre l’EI. Est-ce que ça tient la route ? J’en sais rien.
Conférence actuelle d’Obama devant la presse :
http://www.i24news.tv/fr/tv/live
19h48
…
…toute les religions, c’est de la m.rde,!…
…
…parce qu’elles se résument,!…simplement,!…à de » l’économie sociale et politique « ,!…
…les rouages des églises, tôt ou tard, soumettre les peuples à leurs profits, quand plus est,…les lignées des ordres de chevalerie,!…a se substituer aux rois, aux empereurs,!…
..semant l’autorité, la zizanie dans l’ordre naturel des choses, par des hérésies doctrinales,!…s’inventant des dieux des saints du matin et soir,!…pour leurs états » rapides « , en l’air,!…
…
…comme pouvait dire Himmler,Goebbels,Göring,…tout est bon, dans le cochon,!…les polonaises aussi,!…Vlà,!…les SS,…de la chrétienté, rien que de la baise,!…sous des artifices d’apparats,!…l’art d’économie rapide aux fesses,!…
…SS,…inquisitions d’obsédés sexuels,!…de niveaux basse-court,!…
…de la soldatesque collabos aux pouvoirs,!…
…pas de quoi en faire, un Brel, retord,!…
…ou morts à crédits,!…etc,!…
…à s’entre manger à tout les rateliers,!…
…des morbides du Christ au naturel,!…
…économie social et politique, quand tu nous tient,!…aux profits,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…les fesses en l’air,!…à Go, Go, Goth,!…de toutes les églises,!…etc,!…
…
…manger dans le même plat, avec ses doigts,!…c’est tout aussi,!…etc,!…
…ou cracher dans la soupe d’autrui,!…
…même combat,!…Ah,!Ah,!…Vlà,!…
…
…le concert,!…musique,!…
closer dit: 15 juillet 2015 à 19 h 25 min
Certes WG, mais entre l’EI sunnite et l’Iran chiite et leurs alliés respectifs, quel est l’adversaire le plus dangereux pour la survie d’Israël? Vous êtes très fort si vous pouvez apporter une réponse simple à cette question.????
Début de question/réponse :Regarder nos attitudes négatives avec toujours plus de perspicacité, c’est le travail de toute une vie, un travail dont on peut explorer sans fin les (sub-°)tilités et non plus l’utilités. Si l’on n’entreprend pas ce travail, comment voir les changements nécessaires, même si (ceux)°-làs(s)°) restent ordinaires, à apporter à sa vie?Lalalalalère…dorémifasolLaSido?°
En tout sur France Info TV c’est 20H02!
J’aime Jean Ferrat, mais bon encore un communiste, paul jorion un gourou et passouline pierre un au-to-dit-d’acte!https:
//www.youtube.com/watch?v=IQ6pKxuAaaA
Et pour Abdelkader « la Croix Gammée et le Croissant », qui lui expliquera bien des choses, s’il veut les connaitre.
Jean-Gerard vers 16h »à Conques,les vitraux de Soulages procèdent au ratelage des grains de sable de la lumière ».
Tellement de documents sur Soulages,sur l’art du vitail…j’habite dans une ville où les vitaux sont célèbres;vitraux historiés;selon les saisons,selon l’heure du jour,il y a de grandes polyphonies de couleurs qui jouent sur les colonnes, sur les tribunes,qui enferment le passant et l’isolent loin des tracasseries du monde;c’est très différent de la sobriété harmonieuse d’un jardin japonais et pourtant l’esprit peut y trouver le même calme.A Conques,tout est ‘sévère »et j’aime ces vitraux qui sont comme une médiation entre 2 mondes;le seul problème:comment concilier le monde intérieur et la foule des touristes qui viennent voir ?
J’aime le livre de F.Pouillon ,le grand classique « les pierres sauvages »,un livre remarquable de Valère-Marie Marchand (le pli) »l’invisible des pierres » et un Picquier-poche « mer d’encre » de Richard Weihe,traduit de l’allemand mais réflexion sur le noir de l’encre du génie du trait,chinois.Les pierres,le Noir,la lumière et l’homme au milieu.
Il n’aura pas fallu longtemps à la piéta dolorosa pour manifester quelque velléité de ramener tout ce petit monde, en culotte courte, dans sa cour à elle, la maternelle. Un étouffoir ( en langage gastro de chez moi, on dit de sa prose: étouffe chrétien). Après avoir voulu l’entrainer à sa suite, renversant prie-dieu dans la chapelle – que dis-je, dans sa grotte- afin de mieux suivre, exaltée, la course d’un rayon de soleil sur les murs, à travers le vitrail. ( smiley. Plein de dents)
Rimbaud a bien eu raison de fuir cette sorte d’enfer bigot, aussi.
Il n’aura pas fallu longtemps non plus au bedeau casuiste, -pardon M. Court, je suis plus vache que d’autres, dans l’interpellation-, pour faire à 11h24, son petit coming out cartésien.
Lui qui avait dit son fait à l’architecte de Ronchamp. On s’en souvient.
Mais , mais, M. Court, car il y a un mais. Vous auriez presque emporté la mise en développant sur le cabaret du Chat Noir que fréquentait les surréalistes.
En faisant le distingo entre la » poésie » hallucinée de Dattas, une sorte de régression mentale ( par exemple, écrire un truc sur la bonté à l’age de 4 ans, -alitée à l’infirmerie de la colonie de vacances-, vous imaginez un peu ce qu’a manqué le psy qu’elle aurait du consulter ?) et ce qu’ont fait les surréalistes ?
D’un autre côté, à cause de la chute du billet, elle me fait maintenant penser à momone de Beauvoir.
Alors c’est en anglais. La version french est aux éditions Bartillat, 23 euros.
http://monoskop.org/images/f/fc/Corbusier_Le_When_the_Cathedrals_Were_White.pdf
Pages 145-149 , il y est question, dans le chapitre » recherches et manifestations de l’esprit » du Caravage et du surréalisme, d’une jeune étudiante qui patauge dans un cloaque, faisant des recherches sur le Caravage qui avait fait peindre son atelier en noir, où tombait d’un soupirail, une lumière de sépulcre.
( Corbu préfère les étudiantes, fraîches d’esprit, qui croquent des gâteaux)
Accessoirement vous y découvrirez ce qu’est pour le constructeur d’églises, la « loi fondamentale de la nature » ( c’est assez basique)
Sinon, j’ai pas eu le temps de regarder les infos.
Widergänger dit 15 juillet 2015 à 14 h 22 min
Le Judaïsme a inventé l’Europe, le protestantisme l’a détruite.
Passer devant une connerie isolée suscite au plus un coup de chapeau distrait.
Mais deux conneries soigneusement juxtaposées et comme enchâssées dans une même phrase rendent celle-ci belle et noire comme un vitrail…
On reste longuement en arrêt, on se recueille et, qui sait?, on sort de la chapelle en se sentant un peu meilleur.
– Mais bien sûr que je n’allais pas vous abandonner, mon bon, mon gros, mon excellent WGG!
Les typhons ont des queues et des yeux, on finit par en sortir.
Votre narcissisme m’est devenu nécessaire, c’est comme entendre des voix d’enfants au fond de l’appartement.
Quand c’est plus là ça manque!
I love you, mon petit chéri!
Quand je dis c’est assez basique, il faudrait ajouter: darwinien.
dont acte dit: 15 juillet 2015 à 19 h 05 min
à y : il y a des vitraux sur le chemin de Compostelle ?
et même des beaux Dont acte,à Moissac, dans une minuscule chapelle du pays basque à Burgos, vous êtes rassuré? En fait je suis un habitué de l’Aubrac alors Conques…… j’y suis aussi passé en allant à Saint Jacques un matin de pluie et je peux vous dire que la descente sur Conques est à risque!
pour Widangeur qui n’ira jamais à Saint Jacques « bon c’est comme tout le reste » c’est pour vous dire ce n’est que mon avis mais vous vous n’avez que des certitudes, c’est ce qui fait tout votre intérêt. je vous ai toujours classé dans les marins de petit temps
Où est la fabrique où l’on met à la porte une fille pour avoir eu un enfant ? (Flaubert à propos des Misérables, de V.H.)
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Flaubert se trompe. Que savait-il de cela d’ailleurs, lui le grand bourgeois qui disposait de l’équivalent de 50 millions d’euros de rente à vie !? A-t-il jamais fréquenté une fabrique et les ouvrières qui y travaillaient ?!!! M’fait rire, le Flaubert !
Les filles mères étaient stigmatisées dans la société du XIXè siècle. Relire à ce sujet la nouvelle de Maupassant « Le Papa de Simon » pour comprendre en quoi une fille mère est une paria au XIXè siècle, et jusque dans les années 1930 d’ailleurs ! Maupassant, le fils spirituel de Flaubert, le disciple littéraire de Flaubert ! Son élève quasiment en littérature.
Quel rapport peut-il y avoir entre le style de Flaubert fait d’objectivité qui répugne à s’impliquer et à juger ses personnages et le style de Hugo dans les Misérables, proche du style parlé, si moderne à bien des égards ?!! On pourrait en discuter pendant des heures !
Stendhal discute de la politique comme un mondain dans ses romans, un mondain qui méprise la politique, qui se déprend de ces compromis mesquins qui asphyxie les grandes âmes. Victor Hugo, c’est autre chose ! C’est la grandeur épique et révolutionnaire qui est à l’œuvre dans les passages sur les barricades de 1832/34. C’est la croyance au progrès, à l’invention technique comme source de richesse. Jean Valjean avec sa fabrique, c’est une sorte de Steve Job de l’époque ! Eh oui, mes petits chéris !
Bien sûr qu’il y a du roman populaire dans Les Misérables, du lyrisme, de la naïveté. Mais il y a aussi de la grandeur, ce qui est totalement incompatible avec Flaubert, c’est absolument certain. Flaubert est immensément grand par son désespoir et sa résignation, mais c’est une autre histoire.
Y, avez-vous laissé une prière ?
😉
https://www.youtube.com/watch?v=3U31u2Dg2jQ
Marins de petit temps, ben c’est déjà beaucoup, moi qui ne sait pas naviguer ! Me v’là promu ! Ya plus qu’à monter à l’échelle de la grand vergue.
Ce soir j’ai mangé du rognon.
Je n’arriverai jamais à être convaincu par Stendhal parce qu’il lui manque de tirer les conséquences de son analyse du réel. Celui qui le fera à sa place, qui aurait pu être son petit-fils, c’est évidemment Baudelaire. Baudelaire, lui, ne part pas de la période Louis-philipparde mais des conséquences de la révolution de 1848. Il a compris que l’histoire et la poésie sont à jamais séparées désormais. L’histoire n’est plus la sœur du rêve. Mais il en tire toutes les conséquences quant à l’invention d’une nouvelle forme de littérature, qu’il saura inscrire dans la modernité, et qui donnera ultimement les grands poèmes du Spleen de Paris, si ambigus, si difficiles à lire, un Stendhal qui aurait intégré totalement le désastre de l’histoire à son style ! Autant Stendhal, pour cette raison, me reste à jamais étranger, autant Baudelaire a toujours fait partie de mes dieux dans mon Panthéon. Parce qu’il réussit à en même temps, la grandeur de l’âme humaine et la tragédie de l’histoire de son temps. C’est pourquoi je tiens ses petits poèmes en prose pour le chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre de la deuxième moitié du XIXè siècle. Mais ce sont des textes d’une redoutable difficulté de lecture.
Des nouvelles du noir, celui cosmique ?
« C’est l’achèvement d’un voyage de 9 ans et de 4,78 milliards de km pour la sonde de la Nasa, qui a fait cette étonnante image de Pluton le 13 juillet. »
« Le passage de New Horizons au-dessus de l’astre baptisé du nom du Dieu des morts dans la mythologie romaine doit permettre d’engranger quantité d’informations scientifiques. »
http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20150714.OBS2586/14-juillet-2015-13h49-la-sonde-new-horizons-survole-la-planete-naine-pluton.html
Faut bien avoir présent à l’esprit que Flaubert, tout au long de sa vie, a dépensé par an, chaque année, l’équivalent de plus d’un million d’euros !
Que pouvait-il comprendre aux misérables ? Rien, évidemment. Il n’y a pas plus réactionnaire d’ailleurs que Flaubert ! Il n’a jamais rien compris aux pauvres, à la classe ouvrière, sauf à la fin de sa vie, grâce à la bienveillance de George Sand à son égard. Mais qu’a-t-il compris à la Commune de Paris ? Rien. Il n’a vu dans les Communards qu’un tas de barbares.
Et antisémite, le Flaubert…comme pas un. Cela dit, l’a choppé la syphilis à Beyrouth.
Bien fait…!
Là où Hugo est très critiquable et fort ambigu, c’est à propos de l’Algérie.
Lire pour cela le bouquin de Frank Laurent http://groupugo.div.jussieu.fr/Groupugo/Textes_et_documents/Hugo%20face%20%E0%20la%20conqu%EAte%20de%20l'Alg%E9rie.pdf
Hugo qui voit dans l’Algérie une « vieille terre romaine »… Ah, ça décoiffe…
la vie dans les bois dit: 15 juillet 2015 à « C’est l’achèvement d’un voyage de 9 ans et de 4,78 milliards de km
Au début ça va être comme ça, on va nous envoyer sans revenir ! N’importe où… Si on veut on pourra essayer de rentrer à la rame avec un petit propulseur à effet Hall… Ca fait du quatre à l’heure !
Sergio, ça fait combien exactement 4.78 milliards de km à 40000 Km/h, dans des conditions de temps où il compte pas, le temps ?
Sergio, un voisin à vous ?
« Né en 1961 en Lorraine, quelques semaines avant le vol de Youri Gagarine, Jacques Arnould a, par ses attaches familiales, encore de la paille dans ses sabots. »
http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/personnalites/d/aeronautique-jacques-arnould-842/
…
…il faut y laisser du jeux pour faire piston,!…les jeux aux huiles de la culture,!…sous vide hermétique,!…
…et de, bien entendu,!…
…
…la propulsion dans l’espace,!…lire des romans,…en absence de l’étouffoir chrétien de la pièta dolorosa,!…etc,!…
…envoyez,!…
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