M. Gallot nous fait encore marcher
Vous croyez que vous savez marcher : c’est une illusion. Il ne suffit pas de mettre un pied devant l’autre. En vérité, l’opération s’avère bien plus compliquée. Ce n’est pas une science exacte mais elle relève certainement des sciences humaines. L’air de rien, nonobstant son caractère anodin, certains diraient même : trivial, l’affaire vaut qu’on s’y arrête ; car outre que la marche est la plus complète des activités physiques (je n’ose dire : sportives, pour ne pas provoquer la fuite des lecteurs) avec la natation et l’aviron, elle est sans aucun doute un art de vivre ; de ceux, rares, qui provoquent une sensation du monde inédite chez ses religionnaires. On aura compris que j’en suis, croyant et pratiquant. Aussi me suis-je précipité d’un pas alerte vers la réédition fort opportune en format de poche (ne jamais emmener de gros livres quand on prend la route) de L’Art de marcher. Les conseils pratiques du roi des marcheurs (87 pages, 5,10 euros Petite bibliothèque Payot).
Yves Gallot (1863-1936) est son auteur. Si son nom vous est inconnu alors que vous marchez volontiers, c’est que vous connaissez mal vos classiques. Ce n’était peut-être pas Fargue ni Apollinaire, mais c’était quelqu’un. Rousseau l’eut aimé. Rien d’un piéton de Paris ou d’un flâneur des deux rives car il y avait en lui quelque chose de volontaire, et plus encore de volontariste, de forcené, de compulsif, auquel il manquait, convenons-en, un surcroît de légèreté et de détachement. Il est vrai que nous parlons de marche athlétique, en extension, à la vitesse de 8kms/h en moyenne. Seule condition de ce pas à pas : le contact ininterrompu maintenu avec le sol avec un talon au moins ; on ne vole pas au-dessus du macadam ; d’où le déhanchement légèrement obscène des professionnels.
Dans une préface aussi érudite que fervente, l’historien Antoine de Baecque dit qui fut ce Français très populaire qui arpenta la terre au grand gallot, rien que la terre eut dit Morand qui roulait plutôt. Il se présentait sous la forme, assez répandue dans notre pays, d’un bipède coiffé d’une casquette ; sauf qu’il portait toujours, en toutes circonstances, son fusil orné d’un drapeau tricolore à l’épaule droite (habitude contractée au 141ème de ligne, et l’on sait comme il est malaisé de se défaire de ses habitudes), son sac sur le dos, le chef coiffé d’un béret de chasseur, le pantalon bouclé au-dessus du genou, et que l’allonge de son pas couvrait un mètre.
Franchouillard, Gallot ? N’empêche que ce pauvre fils de pauvre, qui s’était enfui de chez lui à 17 ans tant il y était battu et martyrisé, s’était embarqué comme marin au Havre et était allé marcher dans cette tenue ou à peu près à New York ; là, le chemineau parisien livra des journaux pedibus cum jambis dans toute la ville pendant des mois ; puis il marcha à travers les Etats-Unis et le Canada, désireux d’être fidèle à l’esprit de Emerson, Whitman et Thoreau, et à la lettre des Feuilles d’herbe et d’Eloge de la vie sauvage. D’après le préfacier, il doit à ces poètes sa conception de la dynamique pédestre, et son âme de marcheur à l’intime fréquentation des Sioux du lac de Winnipeg, ce qui n’est pas courant chez les franchouillards.
Ses exploits occupaient la « une » des gazettes ; on se pressait sur son passage lors de ses marches-exhibitions comme s’il était à lui tout seul la caravane du Tour de France cycliste ; les enfants lui emboitaient le pas en le fêtant à l’égal d’un héros familier ; lui n’était ni dopé ni payé, les gens remplissant sa bourse lorsqu’ils ralentissait pour bavarder. Une fois, il marcha 2000 kms en vingt-huit jours ; une autre fois, il effectua soixante-deux fois le tour de Paris pendant 31 jours ce qui lui fit parcourir près de 2500 kms…
Avec un certain bonheur mais non sans souffrance. Prenons-en de la graine. En temps de crise, seule la tyrannie des marcheurs peut faire oublier la dictature des marchés. C’était un saint laïque de l’ère vétérodécathlonienne ; son équipement n’était pas fluo, ses souliers n’étaient pas aérodynamiques ; et surtout, il n’avait pas de casque à écouteurs autour des oreilles. Car si le roi des marcheurs a laissé un testament moral, qui permet d’identifier ses rares fidèles et héritiers dans les bois, parcs et jardins, c’est bien celui-ci : on ne marche pas seulement pour se dépasser, pour produire un effort, pour se vider l’esprit, pour se débarrasser du stress accumulé, voire, par extraordinaire mais sait-on jamais, pour se rendre d’un point à un autre : on marche aussi pour se mettre à l’écoute de la rumeur du monde, des bruits de la ville, du fond de l’air et des petits oiseaux.
Pour marcher comme le roi des marcheurs, voici en condensé ses conseils pratiques (N.D.L.R. Le fusil n’est pas indispensable, en fait.), prolégomènes à toute mise au pas de la société :
– Graissez de suif vos espadrilles, bien ondées, sans brase intérieure et lacée au-dessus de la cheville, goudronnez bien la semelle,
– Imperméabilisez votre pantalon en le trempant dans l’huile,
– Pour vos ablutions, imbibez votre mouchoir de vinaigre étendu d’eau,
– Pour toute nourriture, bouillon, potage, œuf cru et surtout ce kola de sa composition (40 gr de kola pulvérisé + 500 gr d’alcool à 90°) qu’il faut laisser macérer quatre jours et passer au papier tournesol, rien de tel dans les moments de dépression pédestre propre à la solitude du marcheur de fond.
– Aux arrêts, prenez des douches à la lance, jamais sur la tête, et évitez de mettre les pieds dans l’eau malgré le désir profond qui vous assaille,
– En cas de problèmes aux pieds, préparez un mélange (60 grammes d’acide tonique + 1 litre d’alcool à 90°) et badigeonnez à l’aide d’un pinceau,
– En cas de crampe, serrez immédiatement la partie atteinte avec un mouchoir ou une courroie jusqu’à ce que ça passe,
– N’oubliez jamais de laisser vos muscles agir en harmonie
– Prenez l’habitude d’une allure cadencée,
– Autorisez-vous un léger balancement des bras,
– N’hésitez pas à chanter en marchant, il n’est pas de meilleur soutien.
– Allez-y progressivement mais franchement
Voilà. C’est peu dire que cet exquis bréviaire vaut le détour. Mais si vous marchez désormais, ce qui s’appelle : marcher, rappelez-vous qu’il en est de la marche comme du reste : il y a des jours avec et des jours sans. Quand ça ne marche pas, inutile d’insister : prenez les transports en commun. Prousterie suit :
« Dans notre vie les jours ne sont pas égaux. Il y a des jours montueux et malaisés qu’on met un temps infini à gravir et des jours en pente qui se laissent descendre à fond de train en chantant. (Du côté de chez Swann, 1913)
(« Marche ou rêve » photo Jean-Pierre Bertin-Maghit ; « Yves Gallot, à pied » photo Bnf)
650 Réponses pour M. Gallot nous fait encore marcher
Bon papier, et bonnes variations.
« Warner Bros a annoncé le lancement d’un service sur abonnement pour visionner en ligne des films et des séries télévisées issus de ses archives remontant jusqu’aux années 1920. »
On reçoit aujourd’hui tellement de conseils inutiles, de leçons idiotes, d’ordres stupides à appliquer sans réserve, qu’un de plus, pas méchant, venant du passé…
Elles nous distrairont peut-être les recettes de ce pauvre cinglé !
Je donne le mien, d’avis : ça va être difficile ! …tant de petites marques.
Oui, je l’avoue ! je l’avoue…
Lors du 1er avril 2013 en RdL, j’ai été pris dans une spirale du mensonge et m’y suis fourvoyé ! J’ai pourtant mené une lutte intérieure taraudante pour tenter de résoudre le conflit entre le devoir de vérité auquel j’ai manqué et le souci de remplir les missions qui étaient les miennes ! ujourd’hui, le remords a fini par me dévaster et me pousse à tout avouer. Mes mauvaises blagues étaient des mensonges.
Que Dieu (càd Passou), et vous tous me pardonnent !
« le remords a fini par me dévaster et me pousse à tout avouer »
Même pas un million, même pas quand il était ministre:c’est trop nul – raymond et son gang, eux, au moins, décomplexés comme ils sont, avec leurs milliards, voilà du sérieux !
« En mars 1899, la presse locale annonce le passage à Montpellier du « célèbre marcheur Gallot », qui lance un défi aux cyclistes et cavaliers, sur la piste du vélodrome de Chaptal. Gallot marchera alourdi d’un sac à dos et d’un fusil.
Le compte-rendu paru dans La Vie Montpelliéraine et Régionale (VMR) du 26 explicite les termes du défi : il s’agit d’une course de 24 heures, durant laquelle les cyclistes ou cavaliers ayant relevé le défi doivent, pour l’emporter, parcourir une distance triple de celle du marcheur. En définitive, Gallot, qui marche 141 km (soit une moyenne de près de 6 km/h) est battu de 22 km par le cycliste Caizergues qui couvre 445 km.
Quatre ans plus tard, Gallot revient à Montpellier, et toujours au vélodrome Chaptal, se lance dans un tourniquet de 200 km, qu’il couvre en 34 heures. Il ne porte plus de sac, mais il « est équipé à la Boer, cartouches en bandoulière ». C’est l’époque où toute la France est prise d’une frénésie en faveur des sud-africains en lutte contre les Anglais pour leur indépendance, et Gallot participe de la mode Boer qui s’exprime dans tous les domaines.
Yves Gallot, « le roi des marcheurs » s’est rendu fameux en 1894 par son match de 50 heures contre l’Américain Cody, un parent de Buffalo Bill, avec un enjeu de 6000 francs. L’année suivante, il effectue soixante-deux fois le tour de Paris, soit 2 421 kilomètres, en trente et un jours et en ne s’arrêtant que toutes les six heures pour se reposer et se ravitailler. Puis Gallot prendra sa revanche sur Cody, en 1897 à Nice, dans les mêmes conditions qu’au cours de leur première rencontre, en le devançant cette fois de 1 000 mètres après avoir couvert 278,2 km dans les 50 heures. »
« En temps de crise, seule la tyrannie des marcheurs peut faire oublier la dictature des marchés. »
En verve Pierre Assouline, bravo!
Et si on remplaçait marcheurs par mâcheurs et marchés par mâchés…
Il ne reste plus qu’ à organiser la marche annuelle de la RDL. Je suis preneur!
«La croissance, je ne l’attends pas, je la stimule».
Et le redressement productif, comment tu fais, coco, tu chatouilles ou tu gratouilles ?
Vive le plagiat ! Vive le mensonge…!
« son équipement n’était pas fluo, ses souliers n’étaient pas aérodynamiques ; et surtout, il n’avait pas de casque à écouteurs autour des oreilles. »
C’ est votre tenue favorite Passou?
L’Elysée fait sa pub sur Fessebouc dit: 3 avril 2013 à 8 h 11 min
«Sa croissance, je ne l’attends pas, je la stimule».
C’ est un conseil porno ou quoi?
« lui n’était ni dopé ni payé »
« surtout ce kola de sa composition (40 gr de kola pulvérisé + 500 gr d’alcool à 90°) »
« Yves Gallot, « le roi des marcheurs » s’est rendu fameux en 1894 par son match de 50 heures contre l’Américain Cody, un parent de Buffalo Bill, avec un enjeu de 6000 francs. »
Cherchez l’erreur !
Gilles bernehim a envoyé une explication et des excuses pour le plagiat qu’il admet
« nom et à qui j’ai confié des travaux de recherche et de rédaction.
C’est la seule et unique fois que je me suis livré à un tel arrangement, dans un contexte, en 2011, où ma charge de travail et mes obligations ne me permettaient pas de porter toute l’attention nécessaire à la rédaction d’un livre.
Ce fut une terrible erreur. Ma confiance a été trahie. Les plagiats démasqués sur Internet sont avérés. Il y aurait, dans ce livre, d’autres plagiats qui n’ont pas été identifiés à ce stade.
J’ai été trompé. Pour autant, je suis responsable. » cité plus haut.
Courageuse et honorable mise au point.
« #GillesBernheim, qui fut philosophe avant de devenir grand rabbin de France, soupçonné d’avoir plagié J.F. Lyotard. »
Votre concept de la France moisie s’étend t-elle jusqu’au grand rabbin, ML ?
Et pas de « Courageuse et honorable mise au point » pour Jérôme Cahuzac, Daaphnée enmazoutée ?
Mon pauvre Jacounet, j’ai autre chose à faire que scruter les peopleries qui vous ravissent. Laissez faire la justice.
« à la fin du XIX siècle,un facteur employé dans le département de la Seine gagne 600 francs par an pour des tournées à pied de 28 kilomètres en moyenne (40 km pour certains) auxquels s’ajoute un vêtement et deux paires de chaussures. »
Vive le prolétariat en marche!
de nota dit: 3 avril 2013 à 8 h 45 min
Depuis, la mobylette et la voiture ont fait leur apparition… et les maladies cardio-vasculaires aussi!
Baroz
La droite et l’extrême droite ont toujours été garantes de la morale (jacques, tibé, nico/raymond, eric et cie et le pape sont innocents)
pour Jérôme Cahuzac, Daaphnée enmazoutée ?
Baroz, c’ est de la stratégie politico-judiciaire. Les larmes de crocodile, dit-on de par chez nous.
« Laissez faire la justice »
Si possible avant vingt ans surtout pour les plus gros poissons
Harlem le Désirable est un tueur !
Virer Jérome le Menteur du Parti Socialiste, c’est le condamner au suicide. Vous ne voyez tout de même pas notre chirurgien se remettre d’un tel affront et aller dépenser tout son fric en rigolades aux Bermudes, n’est ce pas….?
Révélez-moi des Saints innocents, Kate, Holly, que je m’initie à vos liturgies.
Il ne s’agit pas de justice mais de morale, vous connaissez Daaphnée préempaillée ?
Je vous demande de vous arrêter !
C’est toi qui parle de morale, Barozzi ? Toi qui cède au vice sodomite ?
Moi-je, suis dans la merdre.
Jacounet vous avez au moins dans les 15 ans de plus que moi et je m’en fiche que vous vous sentiez vieux, c’est votre problème!
Quant à la morale … produisez-nous un essai sur morale et politique ou éthique en politique et on en reparlera.
Vous pouvez aussi faire de l’aviron ou marcher, PA nous en dit le plus grand bien ..
Souriez!
Merci du conseil, Daaphnée, voici mon best-seller, dix fois réédité depuis sa sortie en 2008 et plus rigolo que le Gallot au galop !
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_de_la_marche-299-1-1-0-1.html
Lorsqu’on pense à la pureté, l’innocence, l’éthique, la lutte contre les magouilles, les élections honnêtes, les crédits et subventions pour les copains-coquins au PS, les branleurs permanents, les privilégiés parasitaires…on se dit que, vraiment, Jérôme ce n’est pas bien ce qu’il a fait ! Voilà le PS devenu un parti comme les autres.
Pous Tourris !
Ce n’est pas une science exacte mais elle relève certainement des sciences humaines. L’air de rien, nonobstant son caractère anodin, certains diraient même : trivial, l’affaire vaut qu’on s’y arrête
tzz bientôt y va se gratter l’cul comme keupu
https://www.youtube.com/watch?v=aqCmX5dMYHg
petman..c’t’un blaze qui lui te va comme un doigt dans l’fion..et prends en de la graine keupu..lui il sait fermer sa gueule
dix fois réédité.
baroz, vous êtes un homme heureux.
Moi-je, sais tout sur tout. Normal. Edwy, comte de Mediapart a raison : je savais. Les autres, aussi, savaient.
Edwy, comte de Mediapart
ho..c’est pas au vilain d’anoblir les maitres jicé..
Une des plus puissantes évocations de la marche en littérature, Jude The Obscure de Thomas Hardy, où l’homme qui marche à sa perte:
» To get to Marygreen, therefore, his only course was walking; and the distance being nearly twenty miles, he had ample time to complete on the way the sobering process begun in him.
At some hour of the evening he reached Alfredston. Here he pawned his waistcoat, and having gone out of the town a mile or two, slept under a rick that night. At dawn he rose, shook off the hayseeds and stems from his clothes, and started again, breasting the long white road up the hill to the downs, which had been visible to him a long way off, and passing the milestone at the top, whereon he had carved his hopes years ago.
He reached the ancient hamlet while the people were at breakfast. Weary and mud-bespattered, but quite possessed of his ordinary clearness of brain, he sat down by the well, thinking as he did so what a poor Christ he made. Seeing a trough of water near he bathed his face, and went on to the cottage of his great-aunt, whom he found breakfasting in bed, attended by the woman who lived with her.
« What—out o’ work? » asked his relative, regarding him through eyes sunken deep, under lids heavy as pot-covers, no other cause for his tumbled appearance suggesting itself to one whose whole life had been a struggle with material things.
« Yes, » said Jude heavily. « I think I must have a little rest. »
oué le-pervers-depq, c’est rien que des lavettes en comparaison des muscles de l’extrême droite et droite qui enchantent la m. qui te sert de cerveau
camembert kabloom..si le marcheur est franchouillard c’est qu’il parle la france comme jeahanne qui boute et le bon dieu, qui opine, de chval
keupu cause la connerie..
« Marcher est peut-être – mythologiquement – le geste le plus trivial, donc le plus humain », écrivait Roland Barthes. (préface du « Goût de la marche »)
» certains diraient même : trivial, l’affaire vaut qu’on s’y arrête », reprend Passou.
Citation ne vaut pas plagiat !
Marcher n’est qu’une question orthopédique.
L’action de marcher, la marche, elle,
en appelle au sens d’abord,
ensuite aux sens.
Epiétinement.
boudegras est de plus en plus radoteur avec ses keupu, lui qui ne peut plus et qui se venge en débitant des conchoncetés à tare très larigot
Combats de coqs avec poule.
Hier, Bloom et ML,
aujourd’hui, le boug et keupu,
entre temps, Daaphnée and me…
Jacques Barozzi dit: 3 avril 2013 à 11 h 16 min
Ce matin le Pipilet se déchaine, même qu’il évoque la morale, lui qui passe son temps (écrire dit-il) à emprunter aux autres
D. est déjà dans l’escalier de Daaphnée ?
Tout est fait pour pousser Cahuzac au suicide. Hollande veut-il renouer avec l’Elysée du temps de François le Grand ?
Jacques Barozzi dit: 3 avril 2013 à 11 h 40 min
D. est déjà dans l’escalier de Daaphnée ?
Pauvre émule de TKT le Pipilet voit Dédé partout, un peu comme le boug’ voit son peuku.
Quelle reconnaissance pour pour le meilleur d’entre nous.
fidèle à l’esprit de Emerson, Whitman et Thoreau, et à la lettre des Feuilles d’herbe et d’Eloge de la vie sauvage.
—
Dea marcheurs, bien sûr, ces trois-là: Emerson sur les plages de Floride pour des raisons de santé; Whitman pour porter témoignage du foisonnement et de la diversité de l’humanité* (les catalogues) et Thoreau pour aller porter son linge sale à sa mère un demi-mille de son étang de Walden.
Des penseurs en marche, en plein accord avec leur milieu, à l’exact moment où les US basculent avec optimisme dans l’ère industrielle, que leurs successeurs n’auront de cesse de dénoncer, à jamais à la recherche de la prairie perdue des commencements.
* AS I walk, solitary, unattended,
Around me I hear that eclat of the world—politics,
produce,
The announcements of recognized things—science,
The approved growth of cities, and the spread of
inventions.
en apprenant la
« Mort de l’auteur de BD Fred, papa de Philémon »
je fais une halte
» pour pour le meilleur d’entre nous. »
D. s’essouffle d’émotion à l’idée de retrouver Daaphnée en nuisette ?
Jacques Barozzi dit: 3 avril 2013 à 12 h 04 min
Vous n’aimez pas les nuisettes Jacky ?
Vous préférez le gode-ceinture ?
Y-avait-il une madame Gallot dans la vie de monsieur Gallot ? Parce que marcher marcher marcher pendant des heures, c’est connu, çà forge un moral, une condition physique, un tonus, un animus, une anima d’amoureux d’enfer (tous les marcheurs même d’occasion en auront fait l’expérience, après une longue marche le guerrier-trotteur n’a plus qu’une tumescente envie ; retrouver sa blonde), mais à trop marcher (tout donner à la marche, tout mettre dans le panier du vouloir-marcher, de l’être-marchant) on tue le précieux marcheur en soi (le flâneur, le notateur d’émotions respirant les parfums, le regardeur de femmes qui parfois marchent elles-aussi, le haïkiste amateur, captant le souffle intime des détails de la vie qui passe, etc., il y a sans doute quantité de descriptions de « meilleure façon de marcher », il faudrait demander à Patrick Dewaere, hélas certains sont prompts à utiliser le tromblon de Gallot pour se faire sauter le caisson, quand ils ne « marchent » plus), ou alors cela marque quelque chose de plus profond dans la psychologie du bonhomme qui s’adonne à cette sur-marche insensée. Marcher, faire du « running », cela rendrait plus plastique le cerveau et développerait les neurones paraît-il (comme le sport en général), mais les adeptes compulsifs de l’activité ne sont peut-être pas autre chose que des cinoques inoffensifs, des gentils neuneus, des marcheurs qui tournent à vide et en rond, qui n’ont rien à voir avec les prêtres chrétiens qui crapahutèrent en Chine ou au Canada, au temps de l’évangélisation marchante et non marchande, ou lors du grand moment historique où les sages taoïstes, sans parles des peintres ou des poètes japonais, parcouraient les vestes, les archines et les lignes de vastes paysages sauvages. Gallot semble n’être point d’accord avec l’idée de la « dépense » autre que purement physique, on sent bien que l’émission de sperme, au lit avec une jolie rousse, n’est pas une activité familière chez lui (pas plus que la pratique onaniste, la perte d’énergie spermatique ne semble pas au programme de l’agenda de ses jours comme de celui de ses nuits). Et cette manière de défiler avec l’ancêtre du Lebel sur l’épaule, c’est presque un très étrange commentaire de ce qui se passera plus tard dans les boyaux terreux de 1914 ; les poilus ne marcheront plus, ils seront tous enterrés en train de soigner leur « pied de tranchées », leur trench-foot. Si jamais Gallot se désespérait de ne pas avoir d’amie, il aurait dû lire Proust, comme lui conseille aujourd’hui P. Assouline ; Albertine n’aimait que les cyclistes. Mais encore une fois, refuser le repos de l’amour, c’est une manière de se doper, en marchant sans cesse, marche-t-on si loin ?
peut-être que Jacques est amoureux de Dédé.
L’Amour Avec Toi, Polnareff
Il est des mots qu’on peut penser
Mais a pas dire en societé
moi je me fou de la societé
et de sa prétendue moralité
j’aimerais simplement faire l’amour avec toi
j’aimerais simplement faire l’amour avec toi
ohohoh oh oh oh ohoh
Bien sur moi je pourais te dire
Que je n’vis que par ton sourire
Que tes yeux sont de tous les yeux les plus bleus
Nanana na na na nana
Moi je veux faire l’amour avec toi
Moi je veux faire l’amour avec toi
ou
Love me,
https://www.youtube.com/watch?v=zrlWXhSSgHk
Et on dit running gag parce qu’il était walking,le gag, ça ne marcherait pas ?
parce que s’il
( Tiens, Jacques, comme je vois que vous êtes énervé je vous mets « Georgia » de Ray Charles que reprend, en fait, Polnareff dans « Love me »
http://www.youtube.com/watch?v=glggureA_Kk
Il fait beau à ne pas rester dedans ..)
Pas sûr qu’on souhaite serrer de trop près le soir, au gîte d’étape, un mec aux godasses de suif et goudron, au futal trempé dans l’huile de phoque et qui refuse par principe de se laver les arpions.
en revanche, baroz, d’un point de vue strictement olfactif… ouh là.
d’ailleurs il intitule ses bouquins « le goût de » et pas « l’odeur de » parce que là l’éditeur se serait plié en 4. c’est connu dans le milieu.
Allons, keupu ! Je comprends que vous soyez vexé, mais Jacques Barozzi a une odeur presque supportable, vous exagérez. Disons que c’est une odeur caractéristique, sans plus, qui fait qu’on le reconnaît de loin. C’est parfois un avantage.
et pas d’ampoules ? mettez quand même une aiguille et une fiole d’alcool -et celle là ne la buvez pas
une odeur caractéristique, sans plus, qui fait qu’on le reconnaît de loin.
Une odeur forte, vous voulez dire ?
Fred naît le 5 mars 1931 à Paris2. Il aime à raconter qu’en 1917, alors que sa grand-mère fuyait la guerre en Grèce avec ses enfants, elle s’arrêta à plusieurs reprises pour boire des coups avec ses amis, et de ce fait manqua son train qui explosa sur une mine, ne laissant aucun survivant
L ‘histoire ne dit pzs ce que buvait la
grand -mère .
L’audition de Jacques-Alain Miller devant la commission des lois du Sénat sur le Mariage pour tous est en ligne
Son propos liminaire et les questions/réponses en dessous :
http://videos.senat.fr/video/videos/2013/video17031.html
J e m’étonne qu ‘aucun contributeur savant n’ ait encore évoqué » la marche nuptiale « .C’est aussi une chanson de Georges Brassens!
La Marche de l’empereur est un film documentaire français réalisé en 2004 par Luc Jacquet et sorti en 2005.
Premier long métrage cinématographique de Luc Jacquet, ce film a connu un grand succès mondial et obtenu de nombreuses distinctions dont l’Oscar du meilleur film documentaire en 2006. Tourné en Antarctique, La Marche de l’empereur traite des manchots empereurs (Aptenodytes forsteri) et de leur mode de reproduction.
du tout cuit cuit pourl ‘anthologiste olfacteur-est-ceun néologisme?
Contre les odeurs de friture
Pour diminuer l’odeur de la friture, ajoutez quelques gouttes de vanille dans l’huile. De plus, cet ajout empêchera les pommes de terre de brunir.
Plenel n’est pas Béraud. des histoires d’affairistes. Martinez au louvre, c’est plus important. Les collections pour Abu dhabi, point de lendemain.
L’odeur urinaire peut être un symptôme d’une variété de conditions, y compris l’infection, l’inflammation, ou d’autres conditions de l’appareil urinaire (reins, les uretères, la vessie et l’urètre). L’odeur urinaire peut aussi être causée par des maladies comme le diabète et la déshydratation, qui affectent les voies urinaires ainsi que les systèmes du corps.
L’odeur urinaire peut se produire dans tous les groupes d’âge et les populations, et il peut ou ne peut pas se produire avec d’autres symptômes, comme une urine trouble, sang dans l’urine, et brûlures à la miction.
Il y a peu, un article sur le grand Kipling, relisons donc, à l’occasion de ce billet, son « Boots ».
si Jacques barozi se » sent » mal , qu’il enparle à sa narine .
…
…je me souvient,…d’avoir voyager en calèche,…
…c’est quand même autre chose,…que le petit Poucet,…enfui de chez lui,…tant il y était battu et martyrisé,…
…
…encore un fils de l’état riche,…en fuite à deux balles dans le mousse-quêtte à se libérer de sa charge familiale et glander à corps perdus l’aventure socialo-pédéraste,…
…l’exquis bréviaire dur an donneur en manque de pousse-pousse à chiner l(antiquaire.
…etc,…atmosphère d’hémisphère,…en cale-sèche,…
…
trouvé sur la toile:
Lorsqu’on n’aime pas quelqu’un, on dit aussi « ne pas pouvoir le sentir » ou « ne pas pouvoir le piffer », issu du ‘pif’ argotique[1] qui désigne encore le ‘nez’.
Il est donc facile d’extrapoler en supposant que l’odeur de l’insupporté ou l’air qu’il respire aussi est là, dans le nez, et qu’on n’arrive pas à s’en débarrasser alors qu’on le voudrait par-dessus tout.
mais sur la RdL, autant que j’ai compris, on y apprend à démarcher , sous la très haute direction de P.Asssouline !
mais sur la RdL, autant que j’ai compris, on y apprend à démarcher , sous la très haute direction de P.Asssouline !
(psz et son plus BÖ 6)
Avez-vous pris vos medicaments ?
à là+ !!! qui en a oublié je ne sais combien
en 1966, Nancy Sinatra chantait These Boots Are Made For Walking
http://www.youtube.com/watch?v=yRkovnss7s
47 ans après this bout is for my wall, king kong
> sauter le caisson
La section dédiée à la disposition volumétrique de l’habitat rénové est appelée à s’étendre.
Chez nous, un Gallot comme ça, on l’appelle un parisien, un qui ne sait pas utiliser une chaise-longue … bref, un instable.
Le Roi des Marcheurs ? Le Roi des Fadas, ça oui !
Bel hommage aux poilus de la part du Nouvel Obs.
Rapide bonjour, pas lu les commentaires donc pardon si vous en avez parlé et vous êtes archi au courant : ne pas manquer le doc sur google et la numérisation des livres (7 jours pour le voir sur arte replay)
http://videos.arte.tv/fr/videos/le-livre-selon-google–7415436.html
‘bye
L’INTERNATIONALE FISCALISTE
Debout! l’âme des proprios
Travailleurs, groupons nous ici.
Debout! les damnés de l’impôt!
Debout! les forçats de Bercy !
Pour vaincre la misère et l’ombre,
Contribuables esclaves, debout!
C’est nous le droit, c’est nous le nombre:
Nous qui avons tout, gardons tout !
Refrain :
C’est la lutte fiscale
Groupons-nous et demain
La fuite du Capital
Sera le genre humain !
Vous croyez que vous savez marcher : c’est une illusion.
et vous en avez surement d’autres !
« With each step you fall forward slightly. And then catch yourself from falling. » In Laurie Anderson’s quote, the everyday is paramount. Her observation on walking, on how we unconsciously are falling with every step, constitutes the point of departure for this exhibition, both as an observation and as a metaphor for life. Our sense of balance, the precondition for our ability to walk, also plays a central role in this exhibition.
WALKING & FALLING
11 FEBRUARY–28 MAY 2006
http://www.magasin3.com/v1/exhibitions/walkingfalling.html
Il semble que Moscovici nous ait fait marcher depuis des mois encore mieux que ne l’aurait fait ce pauvre dingue d’Yves Gallot.
« ne jamais emmener de gros livres quand on prend la route »
Le sac à dos ou (de préférence) la musette supporte bien le pléiade en coffret et même le format quarto ou bouquins. Pas de marche heureuse sans pause lecture.
« Une fois, il marcha 2000 kms en vingt-huit jours »
Cela donne des étapes de plus de 71 km en moyenne. Positivement monstrueux, surtout si l’on compte les pauses pipi. Il y a du stakhanoviste chez ce Gallot. Savoir s’arrêter de marcher, où et quand, c’est tout l’art de la marche; les arrêts vous font savourer le plaisir de marcher, un peu comme quand Montaigne se faisait réveiller pour savourer le plaisir de dormir.
« Cela donne des étapes de plus de 71 km en moyenne. Positivement monstrueux, surtout si l’on compte les pauses pipi. »
Pourquoi monstrueux ? Si l’on compte au moins ¾ du parcours en rase campagne il ne devait pas en avoir des masses des bistrots où boire un coup, inutile donc de s’arrêter.
get 1,000 participants walking 25km through London. There will be live music performances at refreshment stops along the route, including at Leadenhall Market, Conway Hall and the Roundhouse.
The Big London Night Walk
http://atelierpasquini.blogspot.fr/2011_09_01_archive.html
…..walser walser…..lé piés en seng, à s’angueuler par chauçures interpozées…..walser valsant de ses piés à sa tète…..valsant toujour, valsant, walser, juska crever dan la nège…..la mein tendu, le chapo à un mètre…..waltzant dan son dernié souffle et çou ses paupierres papillons…..
(gean çui à 5 poins…..je limasse affon la caisse! jvai biento ratraper Avanie et Bougro…..)
prousterie suie:
« en atandant, dige à jupiain, cète maizon est tou otre choze, pus kune maizon de fous, pisque la follie dé aliénez qui y abitent est mize en cène, reconstituée, vizible. cé un vré pandemonium*. » (marcel, le tant retrouvé)
*pendémeauniom, en bon francé…..
le flingue fait quand même comique troupier.
Je me lave les pieds une fois par semaine le dimanche, sauf de juillet à août où je le fais aussi le jeudi.
mais marcher sur l’eau ?
Pond Skating Insects Reveal Water-Walking Secrets
Oct. 31, 2012 — In a new article, science writer Stephen Ornes explains how pond skaters effortlessly skip across water leaving nothing but a small ripple in their wake
« Si son nom vous est inconnu alors que vous marchez volontiers, c’est que vous connaissez mal vos classiques »
Et grand bien nous fasse !…, car lire en galopant un prétendu classique du XIXe siècle, quoi de plus stupide et d’anti- péripathétique ? Des conseils à la mordmoilpied, comme d’hab, histoire de se mettre en scène… « Gallot nous fait encore marcher », alors que la RDL le connaissait pas il y a encore deux jours !… Passouline ment sur ses prétendues activités pédestres, il sera bien obligé de l’avouer bientôt quand il sera misà pied du prix Congourt !
É videmment Baroz !
On vit une époque formidable avec des vrais juifs athées déjudaïsés plus fanatiques que les ultraorthodoxes les plus fanatisés de Jérusalem, des demis juifs nommés goy comme une insulte à toutes les nations par les précédents, bien que petits fils de déportées à Auschwitz, des vrais rabbins qui produisent des ouvrages sur le judaïsme plagiés de philosophes de la postmodernité athée. Manquent plus que des Juifs antisémites, mais ça, hélas, on n’en connaît que trop bien par le passé.
En tous cas j’approuve à 100% cette décision de supprimer systématiquement les marques de produits en guise de pseudonymes.
la crampe de l’artiste
20-year-old Mayuko Kanazawa started scratching her head for ideas the minute she heard about the challenge. She remembered seeing all kinds of letters, words and designs shaved into people’s heads, so she knew she wanted to work with hair, but she came up with the ultimate crazy idea only after a friend complained about a pain in her leg. Somehow she found the inspiration she needed in her friend’s leg hair, and the rest is history…
http://www.odditycentral.com/tag/hair-art
et moi donc !
Le pseudonyme importe peu, l’essentiel est de faire le pois.
C’était après le drame de 1870.
L’ogre de Prusse avait posé ses griffes sur le sein pantelant de nos femmes lorraines et alsaciennes.
Tout seul, refusant de désarmer, un petit éditeur parcourait les campagnes, pour appeler à la reconquête.
Obstinément, il suivait son dieu.
Il s’appelait Loulou. Son corps était vert, le bout de ses ailes roses, son front bleu, et sa gorge dorée.
Quand il levait les yeux, Gallotl croyait voir, dans les cieux entrouverts, un perroquet gigantesque, planant au-dessus de sa tête.
Moi, j’ai cru un instant que Passou allait nous parler de Max Gallot… J’ai craint le pire… Un Gallot ça va, deux Gallot, bonjour les dégâts !
Ce qu’il fallait ici, c’était un bon coup de propre.
Certains se sont retrouvés chocolat, mais après tout c’est tant mieux.
A Huge Cross to Bear – Man Spends 26 Years Traveling the World with a Giant Crucifix on His Shoulderhttp://www.odditycentral.com/news/a-huge-cross-to-bear-man-spends-26-years-traveling-the-world-with-a-giant-crucifix-on-his-shoulder.html
en gallotage !
Si c’est pour faire meuble, ça ne vaut pas le coup de rester là.
Je suis pulpeuse à souhait.
John Brown dit: 3 avril 2013 à 18 h 44 min
Pas de marche heureuse sans pause lecture.
Il faut quand même choisir, face de groin. Quelle burne, mais quelle burne…
lecteurs , le nom du blog est le programme
Keep Moving Baskets
http://www.loisrussell.com/asset.asp?AssetID=4307&AKey=dfv93hpv
I spent ten years working off and on with Judy as I juggled basketmaking with the other parts of my life. Her patience in showing me over and over how to do a step up will always be appreciated.
La marche forcée (même sans fusil, quoique parfois ça pourrait servir…) c’est pas mon truc. Moi, je préfère la déambulation rêveuse et chercheuse.
Autrefois je marchais beaucoup dans Paris, quand j’étais en proie au « fantôme d’Auschwitz ». Je partais habillé tiré à quatre épingles cravate et parapluie en plein été sous la grande chaleur de la Madeleine jusqu’au bois de Boulogne. Ce n’était pas pour y rencontrer Baroz mais pour voir l’eau du lac ou plus exactement sans raison particulière. J’avais l’air fin avec mon parapluie et ma cravate quand tout le monde était en bras de chemise.
D’autres fois, je remontais la rue Auber, descendait l’avenue de l’Opéra, longeait sous les arcades la rue de Rivoli, puis retournais à la maison par la rue Royale, toujours le même parcours comme un rat tournant dans sa cage. Je me souviens qu’au coin de la rue de Rivoli, près de la statue de Jeanne d’Arc, juste au coin faisait souvent les cents pas comme moi mais sur place un clochard avec un sac à dos. On ne sait pas ce qu’il faisait là. Un jour, en lisant un récit de Paul Nizon, Stolz, (Paul Nizon habitait alors Paris et était lui-même un grand marcheur), je me suis rendu compte qu’il en avait fait un personnage de l’un de ses récits contenu dans Stolz, un des plus beaux, des plus émouvants, récit d’un amoureux qui devient fou à cause d’une femme et se retrouve clochard. Paul Nizon est parti de ce même clochard qui avait dû le frapper lui aussi. C’est l’époque où passant par là un jour, j’ai obliqué vers le Louvre et suis tombé par hasard devant le tableau de Rembrandt, l’autoportrait au chevalet, devant lequel j’ai soudain compris que ma vie était la proie du « fantôme d’Auschwitz ». Le clochard y était sans doute pour quelque chose. C’était une figure de Dieu en vérité…
C’est la foire aux poncifs ce soir.
Eh bien moi, pensant qu’un i avait peut-être été oublié, c’était de Monseigneur Gaillot que j’avais peur qu’il nous parle, notre hôte.
Non, ce n’est pas Stolz, mais dans le ventre de la baleine (Im bBauch des Walls) au style souvent flamboyant, génial, fascinant.
Beau morceau, ML…
lecteur affolé par tant de connerie dit: 3 avril 2013 à 21 h 13 min
Les gros c-ns ont fait un coup d’état à la RDL. Ils ont chassé les gens intelligents. Sauf que les gros c-ns ne peuvent s’assurer un règne relatif qu’à condition qu’ils soient environnés de gens intelligents qu’il puissent insulter et malmener (c’est le principal attribut de leur pouvoir). Seuls, ils sont nus, comme on peut le voir ici depuis quelque temps. Sint ut sunt.
J’avais l’air fin, j’ai l’air fin, j’aurai l’air fin.
Jacques Barozzi dit: 3 avril 2013 à 21 h 22 min
Beau morceau, ML…
Appréciation de connaisseur.
Je vais raconter tout ça dans mon roman. Ça sort de moi maintenant. J’ai déjà écrit une bonne dizaine de pages et je vois où je vais. Je suis en train de construire la montée de la présence de la mort dans ma famille, chez moi, rue Godot de Mauroy, où des copains qui venaient à la maison me disaient et disaient aussi à mon frère cadet qu’on y respirait la mort alors qu’ils ne savaient vraiment rien de cette histoire de fantôme que nous ignorions nous aussi. Une dramaturgie de la mort. Je ne rends que maintenant en l’écrivant combien cette atmosphère de l’époque était oppressante et traumatisante pour un enfant. Un cauchemar, je me demande comment j’ai fait pour traverser toutes ces années sans trop de dommage au final. Je faisais alors un cauchemar récurrent : je marchais dans un long couloir sombre et au bout du couloir se trouvaient des toilettes, de la cuvette des WC je retirais une chemise enduite de merde que j’enfilais… Et ça durant des années !
T’es sûr que la chemise enduite de merde ne soit qu’un cauchemar ?
au pied levé,
j’ai retrouvé l’anatomie du rêve de M.L.
« Areas of the vascular system of the brain are intricately embroidered into two pillow cases. The two pillows are positioned beside one another, suspended from the wall. Presence and absence are integral themes of the work as subconscious and relational states are alluded to within a psychological landscape.
http://www.jenineshereos.com/alchemy_anatomy.htm
Paul Nizon est aussi l’auteur d’un libvre intitulé « La morue Daphnée »… Mais je ne l’ai pas lu…
z’avez rate un truc la, ML…z’aurez-du continuer jusqu’au bois…a ce que je comprends, au bois de Boulogne, y’a des exotiques, specialistes en soulagement buco-manuel…Dieu sait que vous z’en avez grand besoin…
Cette marche forcée de Gallot, très peu pour moi également. On ne voit rien, on n’entend rien, le marcheur forcené est tout entier arquebouté sur sa folie, son hystérie, qu’il épuise méthodiquement. Il marche pour se calmer.
Il est vrai que l’on fait souvent le même parcours, suivant toujours les mêmes repères. Très tôt, je m’en suis aperçu. Et pour varier les itinéraires, tous les deux ou trois ans je déménageais. En changeant de quartiers je renouvelais ainsi mes itinéraires. Et puis je me suis débrouillé pour me faire engager par la mairie de Paris pour raconter l’histoire de ses jardins et de ses cimetières : des centaines de balades en perspectives durant lesquelles je pouvais rêver tout à loisir en étant rétribué. Cela a pris vingt ans de ma vie…
cauchemar récurrent dit: 3 avril 2013 à 21 h 40 min
T’es sûr que la chemise enduite de merde ne soit qu’un cauchemar ?
C’est la lessive qui doit en être un.
Je vais vous faire une révélation : vous êtes entièrement gouverné par les astres, totalement sous leur influence et vous n’y pouvez rien du tout.
Si à un moment de votre vie vous êtes énergique et spirituel, c’est en raison de la position d’un astre. Si à un moment différent vous êtes une loque bonne à rien, c’est pour la même raison. Mais il vous est demandé d’être dignement une loque, aussi dignement que vous le pourrez. Et à l’inverse, quand vous explosez d’énergie et de spiritualité, ce qui est un don des astres, donc de Dieu, cette explosion doit être aussi belle et travaillée qu’il vous est possible.
Oui, dans ce morceau du récit, ML, vous êtes dans le bon ton. L’un vous dit « poncifs ». D’autres diront autre chose. Mais tous vous auront lu. Et là vous aurez rempli votre contrat. C’est la seule chose qui compte…
D. tu es pour ta part régi par un autre influence. Celle de la collecte des objets encombrants. t’en es-tu déjà aperçu?
C’est beau, ce que vous écrivez, Michel. Et très imagé. J’aurais bien aimé vous voir.
@22h 14
je n’ai tout simplement pas compris.
D*, ce que tu écris n’est pas beau, mais je suis obligé de ne pas te quitter des yeux. c’est l’inconvénient de la fonction.
je n’ai tout simplement pas compris.
Tu le dis toi-même. tu es « tout simple ». Ne tente pas de percer ce mystère. (Perce plutôt l’affreux point noir que tu as sur le nez).
Pourriez-vous être plus précis sur ce fantôme, Michel ? Je pense que comme moi vous admettez leur réalité. Dites-en plus s’il vous plait. Je suis très sérieux.
22h14, 22h17… si quelqu’un a compris, qu’il veuille bien m’expliquer, parce que là ça me dépasse.
D, repends-toi. (Pas repents-toi, ni répands-toi).
Ce soir, tu sens le brie. Va te laver les mains.
D. dit: 3 avril 2013 à 22 h 19 min
» parce que là ça me dépasse. »
C’est un fait.
Va te faire enculer, D*.
Et encore je suis gentil en te disant ça. je veux dire par là que pour d’autres, c’est choquant,et je m’en excuse, mais pour toi c’est un minimum syndical.
Ça y est je lui ai rabattu son caquet, à ce morveux.
Pardon, D*., je me suis encore emporté. En vérité je t’aime, et comme cet amour est inaccessible, je deviens agressif.
D., sous ton apparente douceur perce le dard. Sous ta sagesse la folie. Tu ne peux pas m’atteindre. Je suis ton maître.
Non tu n’es pas pardonné. Tu es damné.
D., le fondement de ton être est-il irrité?
Bon, je propose que l’on tire un trait sur cet incident.
______________________________________________
Michel, parlez-moi du fantôme. J’ai déjà eu moi-même à faire à un fantôme, qui s’est manifesté à moi par un parfum agréable.
Je crois que je vais laisser tomber définitivement ce blog. Je n’y sens plus une once d’amour. Les gens ne sont là que pour parler de leurs trucs, s’opposer les uns les autres, débattre d’idées vaines. Il n’y a plus aucun esprit, aucune charité, rien.
C’est décidé je m’en vais.
Pipelette joue le critique.
Moi aussi, je tire un trait.
DDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD
un arrêt sur le mot macadam , qui rime avec paname et madam’ et non avec Adam, bien que Mac
John Loudon McAdam est un ingénieur écossais
nom commun ici : par antonomase
sensible au sens des performances des contributeurs, je me permets de leur signaler que j’i bien trouvé sur wikipedia que
« Un podomètre est un dispositif sensible au mouvement permettant de mesurer en temps réel le nombre de pas d’une personne, lui évitant d’avoir à compter par elle même son nombre de pas ou d’utiliser un ergomètre. Il permet, également, par la calibration des pas du porteur, de donner une estimation de la distance parcourue correspondante.
Il est généralement conçu pour être porté au niveau de la ceinture, position qui confère la meilleure précision. »
…
…nous y voilà,…internet, le cinéma, la télé, l’enseignement, l’expérience de la vie,…par acteurs interposés,…
…
…conclusion,…partout des » je sais tout « ,…
…et l’opinion,…j’attend de lire les journaux,…je te dirais quoi,…en penser,…
…
…aucun schéma,…pas de plan,…Oui, mais des rêves comme des Pizzas,…
…en somme des ignorants refoulés,…à se masturber la matière grise, en fiction-réalité,…c’est plus économique Merlin,…
…etc,…amène ta viande, nous en feront du haché,…tu la met là, dans le goulot, et je tourne la manivelle,…c’est pour en refaire des saucisses,…plus fines d’esprit,…Ah,bon,…
…en tournante à la queue leu-leu,…Oui, que c’est génial,…c’est Bio-choux-croûte de saison,…
…on n’arrête pas le progrès,…on à bien fait Star Wars,…plus rien ne nous arrêteras,…of course Gallot,…my lady Poster,…
…
« Aux hommes qui, volontairement ou malgré eux, transgressent les limites, empruntent la voie de l’outrage ou de l’outrance et succombent, ce faisant, à l’hubris, les Grecs promettaient la vengeance de Némesis. Cette messagère de justice, nous disent Platon et les tragiques, sanctionne la démesure par un châtiment approprié. » Finky. LMdL, 05/10/12
Reste à savoir quelle voie suivra la catharsis, la purge des passions mauvaises.
Moi-je, Président, ne savais rien…. Euh !… je peux reprendre du couscous ?…
« Reste à savoir quelle voie suivra la catharsis, la purge des passions mauvaises. »
Cette voie sera toujours une impasse, Bloomie !
Nous pouvons encore sauver la paix en Corée !
Il nous suffit d’adopter un soldat nord-coréen, il y en a moins de 10 millions sur 25 millions d’habitants. Ils sont gentils comme tout, mignons dans leur beaux uniformes propres à casquette pizza… pas affamés du tout, polis et peu causants.
A Porquerolles, on a adopté le Gros couillu, le bébé cadum jaunâtre, le chef, il croit qu’il va devenir Roi de l’Ile ! Il est instruit mais con.
On leur donne le petit livre rouge de Gallot « La Marche pour les Nuls » et on les fait marcher en France, dans tout le pays, les départementales, un flingot à l’épaule, sous l’oeil intéressé des collégiennes françaises anticonceptionnellement équipées.
Ils chanteront le chant révolutionnaire nouveau, paroles Mosco, musique Zéro, « Ah, Cahuzac ! Cahuzac ! Cahuzac ! Les fraudeurs à la lanterne ! »… la Paix, enfin !
Seul point commun entre Jér. C. & Will Shakespeare: la fraude fiscale. Et on ne savait pas? A d’autres.
« As well as writing many of the world’s greatest plays, [Shakespeare] was a successful businessman and major landowner in his native Warwickshire who retired an extremely wealthy man. However, a new study has found that he was repeatedly prosecuted and fined for illegally hoarding food, and threatened with jail for failing to pay his taxes (…) »
telegraph.co.uk
« Il est instruit mais con »
jc de pq n’est ni instruit ni intelligent
« he was repeatedly prosecuted and fined for illegally hoarding food, and threatened with jail for failing to pay his taxes »
Ils ont des preuves?!
« failing to pay his taxes »
il avait autre chose à penser
Chère larve, vous devriez rajouter au portrait imaginaire que vous avez tant de peine à construire : « ni beau, ni riche, ni tendre, ni curieux, ni sociable, ni aimable etc, etc ..! » Bref, sans aucune de vos qualités.
Moi-je, ne savais pas qu’Augier, trésorier de ma campagne, ENA Voltaire, un pote, avait mis de l’argent dans les Iles Caïmans, paradis fiscal ..Euh ?… Non… un loukhoum, j’ai fini !
jc de pq ce n’est pas un portrait imaginaire au contraire c’est très réaliste,moche à tous points de vue
Dernières estimations : 16 millions d’euros. On progresse.
Gilles Bernheim reconnaît son plagiat et demande humblement pardon.
On ne peut pas laisser dire que cette réaction est digne et courageuse comme l’écrit un post d’hier(daphnée 8 h 37), car on oublie l’essentiel qui est beaucoup moins glorieux .
En effet, dans un premier temps devant les preuves évidentes de gémellité entre son texte et celui de Lyotard, Gilles Bernheim a nié et inventé à cette fin un mensonge selon lequel ce serait Lyotard qui aurait récupéré un de ses anciens cours polycopiés ,que lui Gilles Bernheim était donc tout à fait légitime à reprendre dans son œuvre récente :indécente contestation d’un grief de plagiat fondé, qui retourne l’accusation contre le plagié par le biais d’une contrevérité
Ensuite, devant la mise en évidence de l’inanité de son argumentation, immédiatement et solidement contestée par ses accusateurs, il a tenté de se disculper en faisant etat d’une vérité, celle-ci avérée, mais qui n’est pas glorieuse : l’écriture de ce livre qu’il a signé est de la plume d’un autre ;
C’est grave d’avoir recouru à un négre, mais c’est minable de se prévaloir de cette vilenie pour atténuer sa propre responsabilité.
Et tout cela qui serait condamnable de la part de n’importe quel ecrivaillon, devient tristement désolant de la part d’un homme sensé être porteur d’ une éthique exigeante et reconnu comme tel jusqu’au cœur de la Curie romaine.
Comme certains hommes politiques ces jours-ci il a surement déçu sa base militante
Nous confirmons que cet individu séduisant est doté des qualités suivantes :
Politesse
Sincérité
Ecoute
Sens des responsabilités
Gentillesse
Humour
Patience
Sens de l’effort
Humilité
Enthousiasme
Ambition
Débrouillardise
Curiosité
Esprit critique
Audace
Beauté
Force
Courage
Imagination
(liste non-exhaustive. Témoignages envoyés sous pli discret contre la somme forfaitaire de 100 euros)
Les hommes plient tous sous la charge d’une trop lourde éthique : il vaut mieux en choisir une légère…
Le Bernheim est remis a sa place, comme d’autres !
tres different mais sur le sujet du billet le petit livre que Joseph Klatzmann avait consacré à la marche rapide .
cela avait la solidité secheresse ,l’efficacité la precision des autres ecrits de style technocratique de cet universitaire ,aujourd’hui decede, qui jouissait d’ une notorieté mondiale comme specialiste incontesté de l’economie agricole israelienne .
de cette lecture me reste un souvenir ;il avait calculé ,que sur la base du prix des chaussures de marche qu’il utilisait et de leur rythme d’usure le kilometre parcouru lui revenait plus cher que s’il
DHH, vous retardez. Allez voir ce que les commentateurs ont écrit le 3 avril au fil « auteurs spoliés ».
(suite de mon mail parti trop vite)
….que s »il l’avait fait en mercedes
Lorsque les Femen topless sont allées caresser au bâton les cloches de Notre Dame, on en a parlé, on a vu des images, révoltantes évidemment.
Lorsque d’autres Femen topless sont allées récemment brûler sur le parvis de la grande Mosquée de Paris, un drapeau salafiste barré de la chahada portant soumission au prophète, on en a peu parlé, on a peu vu d’images, révoltantes évidemment.
Bizarre….
….que s »il l’avait fait en mercedes
encore un autre qui a copié sur vontraube..faut rendre ses bèrelouti à césar et leurs savates aux franchouillards
..mais ferme la petman keupu
il vaut mieux en choisir une légère…
allons t’es pas rabin ni miniss ni comte jicé..même une légère c’est trop cher pour un croquant
« certains hommes politiques ces jours-ci »
you tokine tou mi?
(liste non-exhaustive
..sûr que c’est plus cher qu’un merco
Who is Jean-Jacques Augier, personnage éclectique, ancien directeur de campagne de François Hollande, au coeur à gauche et au portefeuille aux iles Caïman ? Il vient de racheter pour un euro symbolique, le magazine Tétu à Pierre Berger…
« Polytechnicien, Jean-Jacques Augier est un énarque de la fameuse promotion Voltaire, celle de François Hollande. C’est depuis un intime du président de la République. Ex-inspecteur des Finances, il s’est par la suite reconverti dans les taxis. Il a ainsi été en 1986 directeur général des taxis G7, le groupe détenu par André Rousselet et sa famille. Au début des années 90, souhaitant se consacrer exclusivement à la présidence de la chaîne Canal Plus, André Rousselet avait confié la présidence des taxis G7 à Jean-Jacques Augier. Avant d’en reprendre les rênes en 1995.
Jean-Jacques Augier possède également plusieurs boucheries à Pékin et s’est reconverti plus récemment dans l’édition et la presse. Ce businessman littéraire, comme le définit un éditeur parisien, s’est offert les Editions Balland puis les éditions POL qu’il revendra par la suite à Gallimard. Depuis trois ans, il est le propriétaire du magazine intellectuel Books. »
« on en a peu parlé, on a peu vu d’images »
Vicelard! Voyeur!
Tout ce temps passé à marcher perdu pour bloguer !
Tout ce temps passé à bloguer perdu pour marcher !
Même pas : il est possible aujourd’hui de cumuler.
Terminal en poche, nœuds coulants de la Toile, nomades, connectés.
Multitachement.
« Il vient de racheter pour un euro symbolique, le magazine Tétu à Pierre Berger… »
il paraît qu’ya pas beaucoup de fille à poils dans ce magazine
« possède également plusieurs boucheries à Pékin »
encore un crypto coco
éditeur ? non, boucher à pékin.
Gide en pensait pas moins de Gallimard.
« Témoignages envoyés sous pli discret contre la somme forfaitaire de 100 euros) »
il manque la virilité et la finesse
Virilité ? Finesse ? J’y travaille… avec bougboug comme coach, mais je progresse peu…
Le lien
« Déclaration de Gilles Bernheim
Jérusalem, le 2 avril 2013, 22h00.
Pour le livre « Quarante méditations juives », je me suis appuyé, par manque de temps, sur un étudiant dont je tairai le nom et à qui j’ai confié des travaux de recherche et de rédaction. »
C’est pratique et élégant comme argumentation !
Franchement, ce n’est pas gravissime, le plagiat ! Il faut être un égocentrique forcené, un possessif maladif, pour ne pas être fier d’être plagié…
Rue89 va probablement connaitre une vague de nouveaux abonnés !
La presse informatique va t-elle remplacer la presse papier ?
Ban ki moon: « Il sera bientôt trop tard pour sauver la planète »
« pour ne pas être fier d’être plagié… »
En l’occurence, le plagié est au cimetière (du Montparnasse), JC !
Virilité ? Finesse ? J’y travaille… avec bougboug comme coach, mais je progresse peu…
Commence par les abdos pour te faire des tablettes de chocolat que les filles s’y feront mal dessus!
« que les filles s’y feront mal dessus! »
Pour ça, JC compte surtout sur le god ceinture, obligeamment mis à sa disposition par le boug !
Du même Klatzmann, et toujours comme une rencontre du style et de la construction technocratiques avec un sujet qui en est eloigné,un « que sais-je » sur l’humour juif
Pour la virilité, admettons que le god-ceinture, ça peut faire illusion… mais la finesse ? je ne vais tout de même pas payer un second coach spécialisé finesse ! Et puis, qui choisir ? Passou est si cher et B16, à temps plein sur un autre projet…
pour ne pas être fier d’être plagié…
« fier et en savate c’est mieux que faux jeton en benz »..tu devrais faire broder ça sur ta chemise bleu de chauffe jicé
Bougboug, je n’ai pas besoin d’un coach en broderie…
Baroz, c’est là un grand classique, notamment dans le monde universitaire. Combien de profs ont utilisés les travaux de leurs étudiants de maîtrise (master 1 now) ou DEA ‘master 2). J’ai découvert un jour l’analyse que j’avais faite sur la couverture de la grève la faim de 1981 en Irlande par les journaux français pour un séminaire à Paris 8, sous la plume de mon maitre et ami es-civilisation irlandaise. ‘Moishele’ ai-je pensé, ‘tu aurais tout de même pu me prévenir…’
Ici, c’est moi qui torche la plupart des discours ‘culturels’ de l’ambass.., et occasionnellement ceux des dignitaires de passage. Ecrivain fantôme, je connais.
Le plus étonnant à propos de GB, c’est qu’il n’ait pas lu ce qu’il n’avait pas écrit. Peut-être le rabbin était-il trop occupé à ferailler avec Dieu, comme le Bucky Cantor du dernier Philip Roth, « Nemesis », qui raconte aux enfants de Newark ravagé par une épidémie de polio que c’est Dieu, le responsable des malheurs des hommes. “The Indians believed that [God] was an evil
being, shooting them with an invisible arrow,
that caused certain of their diseases” (p.271)
Ecrivain, c’est un peu trop fort. ‘rédacteur ‘ fantôme, serait plus conforme à l’exercice.
Si un auteur a écrit un truc bien, on le pique et voilà … faut que ça serve à tout le monde, les bonnes choses !
Moi-je, ne savais pas qu’elle n’était pas divorcée, valérie… Euh ?…. si ! si! je savais pas !
Le monde ne serait-il plus peuplé que de fantômes ?
Après le « fantôme d’Auschwitz » de ML, auquel D. a vainement tenté de rattacher son propre fantôme, voilà maintenant le « rédacteur fantôme » de Bloom !
Sans parler des comptes fantômes des hauts cadres socialistes…
Et pendant ce temps-là, Passou nous propose de marcher à grande vitesse, mais vers quoi ?
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