Pontalis dit « J-B » entre deux marées
Il y a deux manières de trouver des histoires à raconter : les inventer ou les écouter. La première relevant de la vocation du romancier, J-B. Pontalis s’est fait une spécialité de la seconde. D’autant que, dans le civil, lorsqu’il n’est pas éditeur, il est psychanalyste. Sa vie se divise en fonction de cette double dilection : le matin derrière son bureau chez Gallimard, l’après-midi derrière son divan chez lui. A moins que ce ne fut l’inverse, ce qui importe peu. Outre ses ouvrages sur l’inconscient, les fantasmes ou l’après-freudisme, il prend un vif plaisir à écrire de brefs récits où s’épanouit son tempérament de dormeur éveillé. Pas des nouvelles mais ce qu’il faudra bien appeler un jour des Pontalis. De discrets bijoux lus par une poignée de fidèles qui n’aspirent pas à faire foule. Son petit dernier Marée basse Marée haute (136 pages, 13,50 euros, Gallimard) est de cette encre. Plein d’histoires qu’il a vécues ou qu’on lui a racontées. Des amours et désamour.
Le thème ? Les choses de la vie, pour reprendre le titre qu’Antoine Blondin souffla à l’oreille de Paul Guimard. Des vies comme neuves plutôt que des résurrections. Un pas de côté suffit à passer à côté de son destin, d’une fuite en avant l’autre, avant d’envisager plus tôt qu’on ne l’a cru les choses de la mort. Quelle vanité de croire qu’on peut échapper à la chaîne du temps ! Gardons-nous de n’y voir qu’un catalogue des douleurs et un inventaire des souffrances même si c’est plein de gens qui ne sont plus là ; quant à ceux qui y sont encore, ils s’apprêtent à mourir. Accident cardio-vasculaire & rupture d’anévrisme. Enterrement & solitude. Pas de pathos, ni de tristesse. On ne peut même pas dire, une fois découverts les personnages, qu’il fait sombre à l’intérieur d’eux. Question de style qui réussit à être au fond chaleureux par l’empathie qui l’anime, tout en demeurant sec à force de dépouillement. Un ton qui s’annonce à pas feutrés.
C’est truffé de rencontres gouvernées par des hasards et des coïncidences, mais allez savoir. Chacun sa petite histoire magnifiée par lui-même sans qu’il soit nécessaire de transfigurer ces banalités en littérature. C’est que l’auteur a la délicatesse de ne pas prendre les drames au tragique. Parfois l’allusion à un film s’impose et les Oiseaux d’Hitchcock se posent sur la page. Un livre passe par là et c’est La Mort d’Ivan Illitch, le vrai chef d’œuvre de Tolstoï, qui permet de comprendre pourquoi un vivant au seuil du trépas a besoin à son chevet d’un paysan qui lui dise la vérité dans son atroce simplicité. Ainsi la mémoire par associations convoque-t-elle aux derniers instants des œuvres qu’elle avait jusqu’alors enfouies.
A la fin, on croit entendre la voix de l’auteur, éraillée par le tabac, dire à l’instar de ce vétérinaire : « Je ne sais pas pourquoi je vous ai raconté tout cela. Ca n’a aucun intérêt ». Justement, c’est aussi pour cela qu’on y a pris tant de plaisir : parce que c’était raconté gratuitement, sans autre but avoué, et sans désir de convaincre. Pas le genre d’un homme qui avoue rêver encore d’Oreste, son cocker au regard mélancolique, un demi-siècle après sa mort. Il n’est pas seulement solidaire de tous ses âges mais de toutes ses humeurs ; nostalgique d’un temps où régnait l’antique théorie des humeurs (sang, phlegme, bile, atrabile), il revendique pour son propre compte les délices de se livrer à l’humeur vagabonde, naviguant entre les deux pôles desdits bipolaires ; mais le jour n’est peut-être pas lointain où les psychiatres américains réussiront à médicaliser jusqu’à l’humeur vagabonde pour mieux l’enfermer dans leur DSM-5 et permettre à un laboratoire de proposer l’antidote au nomadisme moral, tenu pour un prétendu poison de l’âme. Peut-être M. Pontalis va-t-il finir par s’évader de J-B pour rejoindre la famille de papier de Gonçalo M. Tavares en bairro, entre M. Plume et M. Teste.
Il me faut arriver à la fin de ma lecture et de ce billet pour m’apercevoir que j’ai parlé de celui que nous appelions tous « J-B », à sa demande, plutôt que Jean-Bertrand, mais que je l’ai fait au présent alors qu’il nous a quittés il y a au début de cette année le jour même de ses 89 ans. C’est dire sa présence. Ce texte est son signe ultime et sa dernière trace. A croire qu’en se retirant au plus bas la marée a emporté le corps, et qu’en remontant au plus haut elle en a ramené le livre.
(« La cavalière inconnue, Tanger, début du siècle », photo Passou)
615 Réponses pour Pontalis dit « J-B » entre deux marées
@ cardo
Je me rappelle seulement un article de Masud Kh, sur ce qu’il appelait « la tendresse cannibalique ».
On sentait le vécu.
Chaloux dit: 4 juin 2013 à 17 h 54 min
ueda, j’aime beaucoup Quignard. Je viens de racheter les Petits Traités que j’avais donnés. Simplement, on est obligé d’aller voir par soi-même de quoi il retourne. Seul moyen à mon avis de comprendre ce qu’il écrit vraiment.
Marrant le Chachal, con mais marrant.
En tapant Quignard Platon sur mon moteur de recherche, je tombe sur ceci:
« Pascal Quignard citant Platon : « La musique pénètre à l’intérieur du corps et s’empare de l’âme…La proie de la musique est le corps humain. La musique est intrusion et capture de ce corps….La musique capte, elle captive dans le lieu où elle résonne et où l’humanité piétine vers son rythme, elle hypnotise et fait déserter l’homme de l’inexprimable. Dans l’audition, les hommes sont détenus. » République III, 401 d »
On dirait que Platon a dit un peu moins de sonneries qu’Onfray.
Ceux que ça étonne, à ma droite.
Les autres, où ils veulent.
Thomas dit: 4 juin 2013 à 17 h 59 min
C’est la première que je parviens à faire rire un pot de chambre.
On ne peut pas vraiment savoir ce que veut dire la fameuse phrase de Pascal Quignard, parce que le mot « langage » est très ambigu. Ce n’est pas un concept linguistique comme le couple Langue/parole. Il semble tout de même que le mot « langage » se réfère ici à la part sociale de la langue, pas la part intime. L’écriture serait plutôt la part intime, ce qu’il faudrait nommer l’ipséité du latin ipsum, le self anglais. Moi j’interprète cette phrase de Quignard comme voulant dire que l’écriture fait taire dans la langue la part sociale du langage, celle du sensus communis pour laisser place à une pratique intime du langage, la part tournée vers les rêves, la part singulière de chacun que chacun ignore même portée en soi, sauf les poètes et les artistes qui la cherche et la cultive.
C’est sans doute cette part singulière, cette ipséité, à laquelle se réfère Proust quand il dit que la vraie vie est celle révélée par la littérature, celle qui donne un sens à cette singularité irrationnelle par nature, qui la fait naître au monde par les mots, un véritable accouchement sans césarienne ni anesthésique.
Pour Pontalis, la pensée flottante de la cure analytique se rapprocherait de cet état du langage. J’émettrais pour ma part quelque doute à ce sujet. Anne Wiazemsky que j’écoutais hier parler de son livre sur son année studieuse avec Godard disait précisément qu’elle connaissait les deux types de langage, celui de la cure analytique et celui de l’écriture, et à ses yeux, c’était bien deux formes fort différentes du langage.
Je ne sais pas ce qu’il faut penser de la théorie du langage que fait Pontalis. C’est, à mon sens, plus une théorie pour lui qu’une théorie pour la littérature en général pour essayer de la penser.
En tout cas, ce qui est beau, voire sublime, dans la littérature, roman, récit ou poésie, c’est quand le langage réussit à faire entendre le silence, mais un silence éloquent, gorgé de mille mystères. Il y a ça dans un poème de Trakl, « Der Acker » à la fin, un silence qui renvoie à la cruauté du monde et à l’énigme du mal dans le monde. C’est un très grand poème, et en même temps un poème à bien des égard qui fait entendre la folie du monde et la terrible cruauté des hommes envers les bêtes et des bêtes entre elles et des hommes finalement entre eux, comme si Dieu avait je ne sais quel péché à se faire pardonner :
Der Acker
Der Acker leuchtet weiss und kalt.
Der Himmel ist einsam und ungeheuer.
Dohlen kreisen über dem Weiher
Und Jäger steigen nieder vom Wald.
usw…
Les labours luisent blanc et froid.
Le ciel est solitude et immensité.
Les corneilles tournent au-dessus de la mare
Et les chasseurs descendent de la forêt.
etc.
Très très grand poème, poème sublime, épouvantable, tragique, d’une beauté à se damner, à se flinguer.
L’écriture serait plutôt une remise en voix
Ta gueule loucha
langage c’est le silence de JoB
..ta gueule keupu
« Dans l’audition, les hommes sont détenus. »
Évidemment, on y échappe pas (voir l’exemple du train sous le fil précèdent).
Chaloux dit: 4 juin 2013 à 18 h 01 min
C’est la première que je parviens à faire rire un pot de chambre
A pisser de rire.
u, j’ai lu masud khan dans ce temps où ses livres sont sortis ils me parlèrent comme à beaucoup d’autres. mais voici un lien pour comencer de découvrir
i est bien et que M.K. ait été publié ; et peut-être que des recherches pourraient inspirer un romancier ou un dramturge ?
http://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2003-3-page-1006.htm
(Et les grecs aussi probablement). Il n’y a pas de mise au silence
les régles des monastères interdisaient de lire aprés une certaine heure..rapport au bruit chaloux..et des arsouilles sont entrain de savoir si l’on ne pourrait pas selon les contraction des cordes vocale piquer le numéro de ta carte bleue..que tu te « prononces » à part toi même en lousdé comme un riche
Dohlen, je crois que c’est plutôt « choucas ».
» Un pas de côté suffit à passer à côté de son destin, » Assouline, vraiment…Un pas de côté pour passer à côté, votre papier n’est pas mal mais faites un effort.
côté écriture , l’article signale ce que ne connaît peut-être pas le nouveau manuel de psychiatres:
» Brett Kahr[6] [6]Ibid. …
suite parle à ce sujet de « la névrose secrétariale » qui pousse les patients à devenir les secrétaires ou éditeurs de leurs analystes, comme cela a été le cas de Strachey vis-à-vis de Freud, Strachey analyste de Winnicott, lequel, comme Freud, aurait trouvé en Masud Khan « son » Strachey.
à la part sociale de la langue, pas la part intime. L’écriture serait plutôt la part intime
nan chtement biroute..c’est lcontraire..évidemment toi quand tu « lis » un bouquin d’cul t’es l’genre a demander l’adresse de la gonzesse au rédacteur « elle m’a enfin trouvé la salope »
Im Winter
Der Acker leuchtet weiß und kalt.
2 Der Himmel ist einsam und ungeheuer.
3 Dohlen kreisen über dem Weiher
4 Und Jäger steigen nieder vom Wald.
5 Ein Schweigen in schwarzen Wipfeln wohnt.
6 Ein Feuerschein huscht aus den Hütten.
7 Bisweilen schellt sehr fern ein Schlitten
8 Und langsam steigt der graue Mond.
9 Ein Wild verblutet sanft am Rain1
10 Und Raben plätschern in blutigen Gossen.
11 Das Rohr bebt gelb und aufgeschossen.
12 Frost, Rauch, ein Schritt im leeren Hain.
C’est le dernier vers qui est proprement génial, il laisse entendre le silence entre les mots, et le dernier mot est d’une beauté folle « Hain ». Enfin bref, c’est très beau.
pour commencer !
« la névrose secrétariale » qui pousse les patients à devenir les secrétaires
du pilppoul de clecture de bouquin de cul.. crado y’a pas c’est l’king
ML, Quignard dit « écriture », pas « langage ».
En un sens, l’écriture est ce qui nous détourne du dialogue avec autrui, du dialogue immédiat, pour faire entrer la conscience dans le secret du dialogue intérieur. Elle en détourne non seulement l’écrivain ou le poète mais aussi le lecteur. L’écriture détourne du proche et de l’immédiat.
Je me demande aussi s’il n’y aurait pas derrière cette phrase une référence au « daïmon » d’Apulée. Quignard a d’ailleurs préfacé ce texte extraordinaire chez Payot (+ ou – 7 euros).
devant les livres des images (J.B. Pontalis) dit: 4 juin 2013 à 13 h 38 min
Vous tombez bien.
Je regrettais l’absence d’intervenant(e) doté(e) savoir conceptuel pour décrire cette photo.
Elle peut être aussi un acte manqué, vous ne trouvez pas ?
Je m’explique.
Le marcheur mû par un sentiment océanique avance d’un pas alerte, tout absorbé par ses pensées.
Lorsqu’il s’arrête, il est perdu.
Mais il se souvient de cette antienne: lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens.
Pour s’en souvenir il immortalise ce moment avec un Leica.
Et voilà comment vient s’incruster dans ce contenu onirique du passé, la représentation figurative de l’objet.
Objet sur lequel il n’y a aucune trace matérielle de transfert de libido. La photo en témoigne.
Alors pourquoi avoir gardé cette photo précieusement ?
Un sentiment aigu du destin ?
Avec un peu de savoir conceptuel, on peut penser que c’est une représentation d’un refoulement. Des traces mnésiques de l’enfance. Sa Maman peut-être. (ça c’est du pur conceptuel)
Voilà pourquoi c’est un acte manqué.
Le résultat n’est pas celui attendu.
ps: je fais naturellement cela de manière gratuite, merci de ne pas m’en demander le remboursement.
Le vers n°9 contient toute la tragédie de l’existence humaine et du monde.
Le « sanft » est terrible.
Enfin bref, c’est très beau
..sapré couillon de dracul..no kiss au cul du poème
Thomas dit: 4 juin 2013 à 18 h 05 min
C’est une tradition. Autrefois, dans les bonnes familles, on ne disait « pot de chambre », ni « seau de nuit ». On disait « Thomas » ou « Jules ».
La prochaine fois, choisissez autre chose…
poem nutz
Chaloux n’est pas bien réveillé, c’est pas grave, ça va venir, lisez, Chamoux, lisez encore une fois, vous verrez, vous finirez par le lire le mot « langage dans sa citation, si si :
Pascal Quignard : « L’invention de l’écriture est la mise au silence du langage. »
On disait « Thomas » ou « Jules »
..ben mon colon
En hiver
Le champ irradie une lumière blanche et froide.
Le ciel est solitaire et immense.
Des choucas tournent au-dessus de l’étang
Et des chasseurs descendent de la forêt.
Un silence habite les cimes noires.
L’éclat d’un feu se glisse hors des huttes.
De temps à autre un traineau tinte au loin
Et la lune grise se lève lentement.
À la lisière une bête se vide de son sang
Et des corbeaux barbotent dans des rigoles sanglantes.
Les roseaux tremblent, jaunes et élancés.
Gel, fumée, une trace de pas dans un bois désert.
Georg Trakl.
L’écriture, aux yeux de Platon, est une espèce de mensonge, de forfaiture. Seul le langage parlé est proche de la vérité. C’est au fond l’art de la conversation qui est proche de la vérité. L’écriture, c’est pour le secret.
Tous les grands écrivains sont des écrivains du secret. Henri Thomas est le grand écrivain du secret par exemple. Larbaud aussi quii a écrit « Le brûlant secret ».
« pot de chambre »
me rappelle que j’ai passé un reveillon de merde dans un chateau pas chauffé sans les « commodités »..mais putain le pot de chambre..enfin jules ou louise..on y a perdu chaloux..ça c’est du jaw droping comme dirait vontraube..bandant à mort..j’avais une lampe torche en plus..d’lélectricité nul part dans cte machin
Donc ML c’est vous qui lisez comme un gland, le problème c’est l’écriture, pas le langage. Vous embrouillez tout avec vos prétentions d’extracteur.
« Je regrettais l’absence d’intervenant(e) doté(e) savoir conceptuel pour décrire cette photo. »
Il se peut que l’image ne vaille pas la peine de perdre son temps… vous savez, Antonioni a fait un documentaire sur le roman-photo (L’amorosa menzogna, 1949), vous y trouverez toutes les réponses conceptuelles que vous pouvez désirer… et même plus…
les mecs pissaient par les fenêtre..les gonzesses gonflées aussi..c’était versailles et ses grandes euax qu’il aurait dit baroz..baron baronne 100%
Secret-écriture, ça vous émeuhhhh ML, mais tout le monde sait ça depuis l’âge de seize ans.
Ouais, mais c’est mal traduit. On ne retrouve pas l’effet à la fois magique et tragique du « sanft » au vers n°9.
Ce serait mieux :
Le ciel est solitude et immensité.
Parce que l’intensité de l’émotion en allemand mérite la nominalisation pour conserver cet effet en français, etc.
Le champ c’est pas bon, parce que Acker n’est pas Feld; c’est le champ en tant qu’il est labouré, donc plutôt les labours.
Les labours brûlent d’une lumière blanche et froide.
Le ciel est solitude et immensité.
Des choucas tournoient au-dessus de la mare
Et des chasseurs descendent de la forêt.
Quignard possède un I-phone, dixit P. Assouline, qu’il vienne donc expliquer lui-même sa phrase.
chaloux, vous l’avez lu dans une histoire de la sainteté .des urines ou vous le savez de tradition ?
À la lisière une bête se vide doucement de son sang
Il nous expliquera sans doute au passage que personne n’a rien compris, c’est un truc à lui.
L’écriture serait plutôt la part intime
..donc si chte suis dracul ton intime c’est un secret de merde..t’en dis des conneries dracul, tous les mots qu’on dit sront compté y parait
Mais ça n’a pas d’intérêt de l’expliquer, cette phrase. Elle est faite d’énigmes qui ne demandent pas à être réifiées par de grosses pattes grasses et velues. Chacun y projette sa rêverie.
Chaloux dit: 4 juin 2013 à 18 h 17 min
C’est une tradition. Autrefois, dans les bonnes familles
Petit bourgeois franchouillard et fier de l’être. Dire que ça finit en break volvo.
Je veux bien faire rire un pot de chambre, mais discuter avec lui, non.
Faut toujours qu’il soit bête, Chaloux. C’est triste.
xlew.m dit: 4 juin 2013 à 0 h 49 min
@ 23h35,
Novalis (que personnellement je me suis toujours permis d’appeler « G-P » dans l’intimité de notre amitié) l’avait déjà écrit. Lui, c’est entre deux mariées qu’il s’est retrouvé,
Bon du moment que c’est pas la mère et la fille comme Rodolphe les Vetsera… Enfin nous on avait Anne de Bretagne… Tous les cousaings !
ML l’écriture ne sert pas « à projeter des rêveries ». Sinon, elle ne sert à rien.
Bouguereau n’a pas d’âme, alors il est mal armé pour savoir de quoi est faite la part intime. Il l’assimile à sa merde. Rien là d’étonnant pour le malheureux Bouguereau qui en est resté au stade pipi caca comme on peut le sentir à longueur de ses commentaires.
ML vous m’insultez à chaque fois que je vous le mets le nez dans vos rêveries.
J’en ris, comme le pot de chambre de basse extraction.
Mais oui, mon Chaloux joli. Il est mignon, le Chaloux à sa mémère.
« À quoi sert l’écriture ?
— Faudrait faire une liste.
— Comme la liste des courses ?
— Voilà que vous faites tout de suite de la littérature ! »
réifiées par de grosses pattes grasses et velues
ma parole tu les a vu courir sur ton clavier .. ça doit faire un choc
Chaloux dit: 4 juin 2013 à 18 h 22 min
Chaloux, donner le nom du traducteur n’est-ce pas la moindre des choses pour un représentant des bonnes familles ?
Franchouillard dirait TKT.
Je voudrais être petite souris pour voir quand le Chaloux rit. Ça doit être assez désopilant à mon avis…
une gonzesse pissant par la fenêtre de ta volvo chaloux..ho sans prendre de risque hein..à 50 en traversant un petit bled un jour de marché..comme un silence..quignard srait fait aux pattes
De toute façon, contrairement à ce que pense notre connard de Chaloux de service, ni le mot « écriture », ni celui de « langage » ne sont clairs.
Mais allez faire comprendre ça à ce pauvre en esprit de Chaloux ! C’est pire que de faire avancer l’âne Balthasar !
Chaloux dit: 4 juin 2013 à 18 h 26 min
mais tout le monde sait ça depuis l’âge de seize ans.
Surtout dans les bonnes familles.
si U et Bloom s’inéressent à la philosophie , ils e rateront pas la page qui est sur la toile
Saving Masud Khan
Wynne Godley
On va lui mettre le feu au cul, à l’âne Chaloux, teins ! Ah, j’va d’l faire avancer, moué, le Chaloux !
Bon, je vous laisse à vos fanfaronnades, mes petits chéris. J’va lire Pontifex, moa !
Tiens, mon Chaloux, vlà de la paille pour te baffrer :
Analyse und Interpretation:
In dem Gedicht „Im Winter“ von Georg Trakl, der im Jahre 1887 geboren und im Jahre 1914 gestorben ist, geht es um die Landschaft und die Wirkung des Winters, wie grausam und tödlich er sein kann. Das Ziel dieser Analyse ist zu erklären warum dem Leser so eine düstere Stimmung durch das Gedicht vermittelt wird.
Das Gedicht besteht aus drei Strophen die alle vier Verse haben. Man kann es in zwei ungleiche Teile teilen. Der erste Teil besteht aus Strophe eins und zwei. Teil zwei besteht aus der letzten Strophe. Die Einteilung zeigt schon eine Spur von ungewohnten, schlechten.
Das Metrum ist ein Jambus, der in den Versen 2,3,4,5 und 10 mit einem Anapäst wechselt. Durch dies wirkt das Gedicht dynamischer.
Im ersten Teil wird zuerst die Landschaft düster beschrieben. Der zweite Teil grenzt sich von den andern durch seine immense Brutalität ab. Georg Trakl wählte in diesem Gedicht den umarmenden Reim mit unreinen Reimen als Reimschema um eine düstere Stimmung zu bewirken. „Der Acker leuchtet weiß und kalt“ klingt relativ neutral durch den Gebrauch von „weiß“ wird allerdings unangenehm durch kalt. Man kann eine weitere Steigerung im zweiten Vers beobachten. „Einsam“ betont einen sozialen Missstand und „ungeheuer“ ist Angst einflössend und brutal. Die „Dohlen“ in Vers drei ist ein kurzer Hauch von Leben, der trotzdem tödlich wirkt. Auch im vierten Vers werden „Jäger“ erwähnt die töten.
„Ein Schweigen in schwarzen Wipfeln wohnt.“, in der zweiten Strophe, ist durch „Schweigen“, was für Ruhe und Stille steht und durch schwarz was dunkel ist, ein Gegensatz zum sechsten Vers in der „Ein Feuerschein huscht aus den Hütten.“, da Feuerschein Wärme und Helligkeit ausstrahlt und „huscht“ eine fröhliche schnelle Bewegung ist, die gerne auch mit fröhlichen Tanzen in Verbindung gebracht wird. Genau in der Mitte des Gedichts gibt es doch eine menschliche Fühlungnahme. Doch der Schlitten ist nur sehr fern zu hören. Der letzte Vers dieser Strophe wirkt ziemlich düster durch den „grauen Mond“ der „langsam steigt“.
In der dritten Strophe sind besonders viele Gegensätze zu erkennen.
Sofort der erste Vers der dritten Strophe ist ein krasser Gegensatz, dort wird erzählt wie „Ein Wild verblutet sanft am Rain.“ Wenn jemand verblutet, stirbt er und so was kann nicht sanft sein. Auch, dass „Raben plätschern in blutigen Gossen“ ist ein Gegensatz. Raben, stehend für den Tod, plätschern, was eine fröhliche Bewegung ist, die kleine Kinder im Wasser machen, in blutigen Gossen, was wieder Brutalität äußert. Das sonst warme „gelb“ im dritten Vers der letzten Strophe bekommt durch das Verb „bebt“ eine bedrohende und abweisende Bedeutung.
Georg Trakl vergleicht in seinem Gedicht den Winter mit dem Pessimismus eines Menschen, dem es schlecht geht. In seiner beschriebenen Welt sind einzig Tod, Hass und umbarmherziger Tod vorhanden.
Chaloux dit: 4 juin 2013 à 18 h 36 min
ML vous m’insultez à chaque fois que je vous le mets le nez dans vos rêveries
Eh voilà encore une fois Chaloux a « matté » quelqu’un.
doit avoir un clavier ouaterproof de charcutier ce dracul..au bout d’un certain temps il doit passer le carshère sinon les service vétérinaire ferme son barnum
ML, regardez-vous (et je ne vous parle pas du minable pot de chambre de souche popu qui fait avec ses trois mots de vocabulaire, et qui vous ressemble comme un frère, avez-vous un jumeau?), et ce que vous faites d’un échange qui aurait pu être intéressant. Vous êtes vraiment lamentable.
ML, le surnom de de Jacques-Emile Blanche était : »La vipère sans queue ». Il vous va comme un gant, en serpent.
« Des choucas tournoient au-dessus de la mare »
Il est vraiment choucard en plein, Michel…
Puisqu’on te dit que « Weiher », c’est l’étang !
Pff… Mauvaise trad’, c’est vraiment le cochemare (copyright bouguereau)de la RdL !
Et Chaloux qui en rajoute une giclée, armé de son thomas des dimanches…Pas fameuse ta traduc, d’où tu sors ça ?
Trakl portait une attention toute particulière aux adjectifs, surtout employés adverbialement : il n’aurait pas aimé qu’on lui sucrât un « sanft » qui est particulièrement évocateur, à la fois du murmure léger du filet de sang, et de la douceur de l’agonie de la bête.
Et à la fin, rien n’interdit de rendre ce « im » (leeren Hain) par un article défini, qui donne toute sa singularité à la scène.
Croasse, et surtout arrête de multiplier les énormités, ML…
Le traducteur est Pierre Mathé.
Tiens ! trouvé ça, u :
http://orphanwork.tumblr.com/post/52133296566/shoji-ueda-winter-3
La traduction vient d’Internet. Je ne suis pas germaniste, c’était juste histoire qu’on ait une idée d’ensemble du poème…
ce que vous faites d’un échange qui aurait pu être intéressant
c’est un désir qu’il a pas cette tête de ratafion chaloux..jean marron voudrait bien, il essaie, il se démène..et toi tu le vois pas..c’est l’écart qu’il y a entre « jules » et le chalet de necessité..ou il faut aller quelquefois par le froid à 2 heures du matin
Si, je le vois, Le Boug. ML c’est un déclamateur.
La mauvaise langue dit: 4 juin 2013 à 18 h 48 min
« Analyse und Interpretation:
In dem Gedicht „Im Winter“ von Georg Trakl,… » usw:
C’est vraiment de la prose de maître d’école, Mauvaise Langue, all common sense.
Une seule lettre, un seul mot de Trakl renverrait tout cela au néant.
Vous devriez ignorer l’arbalète de Chaloux et nous finir cette traduction!
(Ce foutu poème m’a détourné de mon travail..
On a envie de l’apprendre par coeur)
Pour aider Chaloux dans ses traductions
ueda, ce n’est pas moi qui ai commencé !
« Chaloux n’est pas bien réveillé, c’est pas grave, ça va venir, lisez, Chamoux, lisez encore… »etc.
Moi je matte peut-être (peut-être?) mais je commence rarement. Il faut tout de même rendre à César…
La trêve entre vous et Brown, c’était marrant!
Mais je l’adore John Brown, rien à voir.
u. dit: 4 juin 2013 à 19 h 10 min
La trêve entre vous et Brown, c’était marrant!
Tu vois bien que t’es marrant mon Chachal, et si zouzou le dit Daaphnée le pense.
Quelle belle journée, quelle bonne famille.
1) Thomas est un frustré.
renato dit: 4 juin 2013 à 18 h 24 min
Je m’adressais à quelqu’un qui a le savoir de Sigmund.
Mais je peux le refaire en forçant le trait si vous voulez.
Par exemple, je n’ai pas mentionné le surmoi. C’est un truc, ça le surmoi.
Ben oui mon Popot, je le vois bien.
Mais toi, pourquoi qu’t’écris toujours la même chose? Une vraie pendule.
Tu ferais mieux de nous donner l’heure…
Je suis en train de lire le Pkntalis. Ça ressemble à du Henri de Régnier simplifié.
Le Henri Régnier de Régnier non simplifié c’est comme le chinois normal.
Vous voyez un peu le style du roman La Pécheresse. C’est le style de Madame de Lafayette qui s’entortille autour d’elle même. Eh ben, vous prenez Madame de La Fayette, vous la déentortillez d’autour d’elle-même, et vous la mettez bien droit sur ses escarpins, et ben vous obtenez du Pontalis.
Pontalis écrit en fait comme on aurait rêvé qu’écrivît Madame de La Fayette, avec des phrases courtes, menant une analyse psychologique posée, sans excès ni débordement, avec toujours la ligne d’horizon sur le canapé. On aboutit au style Pontalis.
En fait, Pontalis ne veut rien savoir de la révolution du Nouveau roman tout tourné vers le monde extérieur pour dire l’intérieur. Lui, il préfère pousser sur la lancée de Madame de La Fayette. C’est feutré, c’est gentillet, c’est psychologique. Bref, tout ce que détestait le Nouveau roman.
Pour ma part, je préfère le style secret d’un Henri Thomas qui projette son intérieur mystérieux sur les choses extérieur mais dans un style feutré, mystérieux, secret. Ou le Louis-René Des Forêts d’Ostinato. C’est nettement plus excitant.
« Par exemple, je n’ai pas mentionné le surmoi. »
Pas besoin, c’était implicite…
« Je m’adressais à quelqu’un qui a le savoir de Sigmund. »
Est-ce que vous croyez vraiment que mon rappel de « L’amorosa menzogna » était cité sans fondement ?
Oups ! cité est de trop…
« En fait, Pontalis ne veut rien savoir de la révolution du Nouveau roman tout tourné vers le monde extérieur pour dire l’intérieur. » (rédigé par LML)
Je ne voudrais pas provoquer LML, marchons sur des oeufs. je lui ferai donc respectueusement — trrrès respectueusement — remarquer que la fameuse révolution du Nouveau Roman, elle avait déjà été faite par le roman américain des années 30. « Des souris et des hommes », de Steinbeck, eh bien, c’est déjà tout-à-fait ça, et avec une remarquable rigueur. J’oserai (très respectueusement) rappeler que, dans le langage de l’école (que j’avoue ne maîtriser qu’imparfaitement), cela s’appelle la focalisation externe.
Yves Bertrand s’était proposé comme gardien des secrets de Pontalis. Il ne lui a pas survécu longtemps, hélas. Mais il reste les fameux carnets. PA essaie de mettre la main dessus.
« En fait, Pontalis ne veut rien savoir de la révolution du Nouveau roman tout tourné vers le monde extérieur pour dire l’intérieur. » (rédigé par LML)
Hon, Mosieuye, oserai-je conseiller à l’honorable LML (eh merdre ! — au trrrès honorable LML) la lecture d’un petit ouvrage déjà ancien, où la problématique du Nouveau Roman se trouve fort intelligemment exposée par un de ses trrrrès honorables représentants, l’honorable Jean Ricardou ( « Le Nouveau roman », collection « Ecrivains de toujours » aux éditions du Seuil, 1973, eh oui déjà, ça ne nous rajeunit pas). avec tous mes rrrrespects, Monsieuye.
ce blog devient de plus en plus glauque, limite insupportable, on se demande vraiment ce que font les modérateurs :
keupu dit: 4 juin 2013 à 19 h 12 min
greubou tu les aimes mes mains
greubou dit: 4 juin 2013 à 19 h 14 min
oui keupu je les aime
keupu dit: 4 juin 2013 à 19 h 15 min
et mes bras tu les aimes
greubou dit: 4 juin 2013 à 19 h 16 min
oui arrête on va se faire repérer
keupu dit: 4 juin 2013 à 19 h 18 min
et mes pieds, ils te plaisent mes pieds
greubou dit: 4 juin 2013 à 19 h 21 min
oui keupu
keupu dit: 4 juin 2013 à 19 h 22 min
et mes cuisses tu les aimes
greubou dit: 4 juin 2013 à 19 h 26 min
oui je les aime
keupu dit: 4 juin 2013 à 19 h 27 min
et mes mains tu les aimes mes mains
greubou dit: 4 juin 2013 à 19 h 28 min
tu m’as déjà déjà demander, ta gueule keupu on on va se faire repérer
« Pour Pontalis, la pensée flottante de la cure analytique se rapprocherait de cet état du langage. »
Ml était bien parti et puis ce fut son « Oh que c’est beau! »
Et là, tout le monde descend!
merci aux modérateurs d’avoir supprimé ces messages sordides.
@des journées entières dans les arbresRien de « conceptuel » dans ma lecture de l’image en ce début d’après-midi…
oui Chaloux je partage votre opinion, mais que pourrait répondre Quignard à Blanchot quand à la question « où va la littérature » celui-ci dit « la réponse est facile… la littérature va vers elle-même, vers son essence qui est sa disparition ».
non c’est une question pour rire, pour rigoler, c’était juste pour me la péter.
pacekeu quand je suis sérieux après renato il me remonte les bretelles.
Chaloux, si vous connaissez personnellement Pascal Quignard je pense qu’il faudrait lui offrir pour son anniversaire un livre de Viteganchetaine, parce qu’à ce rythme, à force d’écrire n’importe quoi, j’ai peur qu’un jour il nous explose en plein vol.
amlet dit: 4 juin 2013 à 20 h 19 min
« Chaloux, si vous connaissez personnellement Pascal Quignard ».
Où avez-vous lu ça?
Quignard est une montagne sur mon chemin de lecteur.
Quant lui offrir « un livre » ce serait un exercice bien périlleux.
une montagne sur votre chemin de lecteur ?
ne le répétez pas mais moi-même, je ne le lis jamais sans m’équiper d’un piolet, une corde et des œillets, pour redescendre en rappel.
si ça vous intéresse vous pouvez trouver tous ces accessoires au vieux campeur, si vous leur dites que c’est pour escalader le mont Quignard (7846m) ils vous font une remise de 20% et ils vous offrent des cierges, pour vos proches, on sait jamais, au cazou, car comme vous le savez c’est une ascension hyper dangereuse.
Chaloux, et le boeuf et la grenouille ? vous connaissez ?
sans fondement
tu prends trop de plaisir à enculer tout le monde
Je crois que vous incarneriez avantageusement l’un et l’autre.
Renato, je vais aller voir pour les romans photos.
@devant les livres des images,
C’est le mot « objet », je ne sais pas, cela fait toujours un effet boeuf.
« Chaloux, si vous connaissez personnellement Pascal Quignard ».
Où avez-vous lu ça?
quand on aime un écrivain il faut aller à sa rencontre, aller chez lui pour discuter, vous faire offrir un café.
pourquoi les lecteurs sont-ils aussi frileux ?
si Swift était de ce monde je dormirais toutes les nuits sur le bas de sa porte, il m’apporterait un bol de soupe, je lui dirais « Jonathan je vous aime ! je veux vous serrer dans mes bras! » et vlan il me claquerait la porte au nez, appellerait la police pour dire qu’un pervers dingo dort devant sa porte… voilà comment un lecteur doit exprimer sa dévotion, comme un fan de Céline Dion !
le mot « objet », je ne sais pas, cela fait toujours un effet boeuf
obscurément…
Je crois surtout que quand on aime un écrivain il faut commencer par lui foutre la paix.
D’ailleurs, moi-même, qui ne suis pas écrivain, j’apprécie que ceux qui m’aiment me foutent la paix, c’est dire.
« Qui me rend visite me fait honneur. Qui ne me rend pas visite me fait plaisir ».
Montherlant.
J’ai décidé de changer définitivement de pseudonyme.
A partir de maintenant, je suis Firefox, le renard de feu. Je trouve que ça me va remarquablement. Je suis fin, solitaire et flamboyant.
La mauvaise langue dit: 4 juin 2013 à 18 h 35 min
Bouguereau n’a pas d’âme, alors il est mal armé…
ML je n’aime pas faire remarqué les fautes d’orthographe mais ‘mal armé’ ça s’écrit pas comme ça, ça prend 2 « l ».
Occasionnellement, vous me trouverez sous le pseudonyme F.
Il faut savoir évoluer dans la vie.
Il y a grande injustice à ne pas avoir sucré les allocations familiales à ceux qui gagnent 12000 euros/mois à deux. Figurez-vous que ce sont ceux qui gagnent 5000 euros/mois à deux qui vont leur payer, à raison de 500 euros d’impôts en plus par an.
C’est très logique après tout.
c’est une impression pénible que j’ai de cette photo et dont j’aimerais faire part à PAssouline, bien que rien ne m’y autorise, pas même la date « début du siècle » de la photo .
photo qui me donne donc l’impression d’avoir été faite sous la pression de la pensée du blog , « pour le blog » en quelue sorte .
Et meêms si l’on imagine une curiosité réciproque entre P.Assouline et ses lecteurs , -personnellement cela meplairait beaucoup que P.Assouine puisse faire une exposition (ou au moins un livre) de ses photos) , j’en ai une curiosité vive -cette ipresion de « contrainte » pour luiplustôt que de son plaisir m’est pénible , et me rappelle une scène que j’ai vécue entre un frère assis à côté de moi dans un car , et sa soeur , professeur d’histoire géo qui vint lui demander de filmer le déser qe nous traversion pour ses élèves ce qu’il refusa , si bien que plus tard, la soeur vint me demander de faire pression sur son frèe qui était reconnu comme celui qui faisait ferait les images pour la famille (finalement, je me fa^chai avec toute la famille sur 3 générations, et non sans chagrin pour moi )
impression ( etc pour les coquilles )
je corrige le mot désert
la littérature va vers elle-même, vers son essence qui est sa disparition ». (cité par Hamlet)
Et dire que c’est sur des vannes de balayeur comme celle-ci que le Blanchot a construit sa réputation. En attendant l’hypothétique disparition de la littérature (« soeur Anne, ne vois tu… »), le Blanchot, lui, n’a pas tardé à disparaître.
le désert sue nous traversions
Cardo, j’essaie de comprendre.
Si la soeur veut un film pour sa classe, pourquoi demande-t-elle à son frère de les faire, lui qui ne fait que des images de famille ?
La légende de la photo est une légende. Il me semble.
Les romanciers savent bien cela. Légender.
Bonne soirée Cardo.
(début de siècle, c’était il y a 8 ans, si je dis cela, c’est que ce n’est pas un secret)
« quand on aime un écrivain il faut aller à sa rencontre, aller chez lui pour discuter, vous faire offrir un café. » (rédigé par Hamlet)
J’aime mieux me faire offrir un café par ma poule, c’est tout de même plus excitant. je ne vois pas l’intérêt de connaître un écrivain dont j’aime les livres. ce n’est pas l’écrivain que j’aime, c’est ses livres. Sans compter que la rencontre peut mal tourner : « C’est vous qui avez écrit « Vits de Zob » ? Eh, ben,je ne vous fais pas mon compliment ! »; on imagine aisément la suite.
Je ne vous remonte pas les bretelles ham-let, je vous rend attentif au fait que vous vous faites du mal inutilement… non sans raison, peut-être, mais inutilement… il y a des grands moments et des moment moins grands. Toutefois, le monde étant ce qu’il est on ne va pas tatillonner… il est évident que il Piccio n’est pas le Pontormo, mais c’est comme ça et on fait avec… ou alors on angoisse et c’est plutôt con car ce n’est pas notre angoisse qui va changer les choses…
Tu imagines LML rencontrant Pontalis avant qu’il ne fût mouru ? « C’est vous qui écrivez comme une madame de La Fayette qu’aurait fauté avec Assouline ? » . Infractus de Pontalis. Oraison funèbre d’Assouline … non, oraison funèbre de Pontalis par Assouline, LML adressant un poulet au Figaro : comment j’ai tué Pontalis. Suicide de la mère Roubignolesco, etc.
John Brown, la suite, ça peut encore plus mal tourner.
R. Jauffret s’en souvient encore.
des journées entières dans les arbres dit: 4 juin 2013 à 21 h 47 min
photographe de la faille c’est à dire le seul de la famille à faire des photos et des films , à manipuler les appareils, caméras flashs , et même mettre en scène ses « personnages » ! personne ne rivalisait avec lui , bul ne lui contestait ces savoirs, et ce privilège .
je compris plus tard qu’il avait renoncé à être peintre , bien avant le temps de choisir une école de beaux arts .
« Roubignolesco », je garde !
de la famille !
« En fait, Pontalis ne veut rien savoir de la révolution du Nouveau roman tout tourné vers le monde extérieur pour dire l’intérieur. » (rédigé par LML)
Il dirait n’importe quoi, ce LML, pour se faire mousser. Admirez ma définition bidon, je te la gonfle, je te la gonfle, poum !
L’OVNI à géométrie variable nommé Nouveau Roman étant toujours, bien après sa transformation en Ancien Nouveau Roman, en quête d’une plate-forme doctrinale suffisamment consistante pour s’y poser sans avoir semé ses passagers à tous vents bien avant l’atterrissage, on peut le présenter aux gogos dans n’importe quel paquet-cadeau, en espérant qu’ils n’auront pas lu les bouquins censés être contenus dans ledit paquet-cadeau. Y mettre à la fois Robbe-Grillet, Simon, Pinget, Sarraute et Butor présente à peu près autant d’intérêt que d’empaqueter Truffaut, Godard, Varda Rohmer et Resnais sous l’étiquette Nouvelle Vague. LML est le spécialiste de ces généralités fourre-tout dont la pertinence ne résiste pas à la moindre tentative de vérification. Ce sont ses moulins à vent à lui.
est-il juste de penser que kardo fit un pas considérable à se débarrasser de son « K » pour retrouver un C sans se guérir de son narcissique impérialisme qui ressemble à de l’égocentrisme peut être même s’agit-il d’égotisme ou bien alors s’ennuie-t-il dur comme faire sous un ciel gris plombant le jour sans envoyer de lumière suffisant à ivoire qu’il devient inconcevable à toute personne professant honnêtement et vraisemblablement retraitée de ne pas diffuser pour infuser le lectorat aqueux du blog ici présent et attentif à la Manifestation.
JB je ne perçois pas concrètement à vous découvrir vivant? le bénéfice de tant de lecture, si l’on vous disséquez peut-être …
bérénice , si vous arriviez à imaginer à quel point je me fous devotre comédie ! fites donc une bibliographie sur Masud Khan et coencez de la lire, ça soulagera le vlog du cibéma de gens de votre faille d’esprit !
commencez de la lire ça soulagera le le blog du cinéma des gens de votre famille d’esprit
http://web.tiscali.it/tatianarosenthal/masudkhan2.htm
Non, nullement une plate-forme doctrinale pour le Nouveau Roman. C’est exactement ce qu’en dit Peter Hanke. John Brown, qui prétend « adorer » Peter Hanke aurait dû s’en souvenir. En fait preuve est faite que John Brown n’entrave que quick à ce qui fait le renouveau du Nouveau Roman. C’est un crachoteur, glavioteur, rien de plus. Rien que de banal au reste chez les gens vulgaires et ignorants qui au fond ne comprennent jamais grand-chose à ce qu’ils lisent. C’est le propre, me direz-vous, de la plupart des lecteurs. Certes, mais la plupart des lecteurs ne la ramène pas avec cette vulgarité ignorante et satisfaite d’elle-même qui caractérise ce lamentable John Brown qui ne sent rien quand il lit, qui est dénué de tout esprit, de toute capacité de bon lecteur.
D quel est l’équivalent de la pelade pour les gallinacées? Si j’avais au moins une plume pour m’habiller je tenterais de loger dans le poulailler convoité, ma situation continue de désespérer…
Choisir entre cultiver ses vices et cultiver sa connerie n’est jamais une bonne option. Les deux à la fois c’est par contre un bon moyen pour éviter les conflits : si on coupe la viande sans toucher l’os pas besoin d’aiguiser sans cesse le couteau.
ma comédie je crois que des lunettes et un sonotone vous seraient utiles, DÉSESPOIR toujours personne à manger!
Godard comme la Nouvelle Vague, c’est pareil. Ce qui caractérise ces auteurs, c’est le fait de sortir dehors, de projeter sur le monde, de faire dire au monde nos peurs, nos angoisses, nos joies au lieu d’entrer dans le fil sans fin des raffinements désuets et trop raffinés de l’analyse psychologique de grand-papa.
C’est pareil avec le Nouveau Roman. Peter Hanke l’explique d’ailleurs très bien dans la dernière émission de Laure Adler, en une phrase ou deux, au moment où Laure Adler lui passe un extrait de Robbe-Grillet expliquant avec le labyrinthe de pensées qui caractérisait son discours critique parfois. Peter Hanke dit Non, non, ce n’est pas ça, c’est beaucoup plus simple, c’est que l’analyse psychologique sortie de grosso modoi Madame de La Fayette était arrivée à un raffinement trop grand (ex : Henri de Régnier) et que l’écrivain devait fatalement se tourner vers le monde extérieur. C’est ce qui explique les longues phrases épopiques des uns et des autres et le thème de la marche, de l’errance. Mais notre John Brown est trop tordu, trop inconsistant pour comprendre ce discours critique de Peter Hanke. Alors il n’a plus pour lui que le crachat, le glaviotage, la haine farcie d’outrecuidance, la volonté de la ramener sans arrêt comme font tous les ignares, tous les esprits médiocres qui doivent bien compenser leur vacuité intellectuelle et spirituelle par le règne omniprésent du crachat. Notre John Brown est tout entier dans sa morve.
Faut vraiment pas prendre cardo, ou kardo qu’elle ou il soit, trop au sérieux…
il n’y aurait pas tant de problèmes entre les écoles de psy s’is avaient fait eux même un travail sur leurs demandes et leurs pratiques aveec plus d’honnêteté envres eux-mêmes et leurs désirs !
donc bosoir les petits chéris à La Machine Ludique
Par contre, juste al dente, sel, poivre, un chouia de jus de citron, un filet d’huile, c’est délicieux…
déjà dans les années 1980 s’enseignait que les causants psy faisaient des suicidés ! avant la date de la photo !
Ce qui manque aux récit de Pontalis, c’est une âme. On prend n’importe quel récit de Louis-René Des Forêts, de Henri Thomas, de Pascal Quignard, ils ont une âme, il respire dans le ciel. Pas Pontalis, qui ne respire nulle part.
Malgré tout, il y a parfois une réussite. Par exemple dans la nouvelle « L’enterrement ». L’ambiguité du dernier paragraphe où l’on ne peut déterminer qui parle, introduisant du coup une incertitude féconde sur le personnage (est-il devenu fou ? Parle-t-il simplement à une morte ? Prend-il réellement dans ses bras une morte réincarnée ou son fantôme ? La dernière phrase donne à relire toute la nouvelle. Ça c’est très bon. Il essaie de renouer avec le truc qu’il a sans doute découvert en l’écrivant dans la nouvelle suivante. Mais déjà ça sent le truc, le faisandé, l’artifice concocté spécialement pour.
Je crois que pour être un écrivain véritablement, la condition nécessaire (pas suffisante, mais nécessaire) c’est de sentir Dieu habiter en nous, du moins au moment où on écrit, et un je ne sais quoi qui se transmet au langage. Cela peut-être trompeur, on peut s’égarer en Dieu, certes. Il y faut aussi une maîtrise d’artisan, c’est la condition suffisante, suffisante étant bien sûr un pari, car on ne suffit jamais à cette tache immense. Mais d’abord sentir Dieu en nous. Qui ne sent aucun rapport avec le sacré, jamais ne sera écrivain. John Brown n’a bien sûr aucune chance de rencontrer Dieu ni dans la vie ni dans les mots à fortiori. Il ne sait même pas de quoi je suis en train de parler. C’est là où on sait qu’il existe une grande justice immanente. Seuls sont récompensées les cœurs purs !
http://www.oedipe.org/fr/mode=vitrine/livres/detail?n=4&id=1009
C’est d’ailleurs pour ça que l’on préfère causer cuisine, voitures, sport, filles (ou garçons si filles)…
cardo êtes vous psychanalyste ou docteur en psychiatrie? Dans ce cas vous vous plaindriez de vos pairs… Ce n’est pas possible.
LML si notre cœur s’est sali en cours de route a-t-on le droit d’inviter sa fille pour embrasser la justice et l’immanence?
Faut vraiment pas prendre cardo, ou kardo qu’elle ou il soit, trop au sérieux…
Mais lui, c’est du lourd, du très lourd!
bérénice , autant que je sache je vous ai donné de liens pour vous instruire , à partir de quoi vous en trouverez d’autres !ça suffit . la RdL est peutêtre un pédiluve distingué je ne vous l’envie pas! je vais prendre un café !
Ne me dites pas qu’il, ou elle, est en surpoids par-dessus le marché…
il faut dire que ce ‘est pas très léger de faire un cours sur le surmoi en sabots
On peut avoir le cœur le plus noir, sombre comme un puits sordide ainsi que le dit Baudelaire après Pascal, et sentir quand même Dieu en nous. C’est bien toute l’angoisse de Baudelaire ! Lui savait ce que le Dieu sacré qui l’habitait exigeait de lui.
« … pour vous instruire… »
C’est marrant… quand on dit que le roman-photo expliquerait largement l’ébranchage en cours…
« sentir Dieu habiter en nous »
Est-ce votre cri d’amour des lettres, LML, : » Dieu m’ habite? »
cardo le suicide progresse les enfants sont bénéficiaires si on considère qu’un ado est encore un enfant et je crois aussi que la violence progresse plus vite que le suicide c’est hallucinant si ça continue elle poussera plus encore de plus nombreux à en finir. délit délitement des conditions de vie.Il y a aussi l’inondation par la drogue l’alcool.
la psychanalyse vous itéresse voici un courrier
http://www.cpgf.fr/Congres/index.htmCongrès du 12 et 13 octobre 2013
Paul Claude Racamier
Une pensée vivante pour la clinique dʼaujourdʼhui
On voit à votre question que vous êtes comme John Brown, vous ignorez de quoi je parle.
Gombrowicz le dit lui aussi à sa manière quand il dit que l’art est foncièrement aristocratique. Il ne s’agit pas là bien sûr de considération d’ordre sociale, il est le premier à se moquer de la noblesse polonaise dont il est pourtant issu. Non, il s’agit de tout autre chose. Il s’agit de cet élan vers le sacré, vers Dieu, vers le Monde, il s’agit de cette âme qui l’habite, qui lui rend la vie infernale quand il n’écrit pas et aussi quand il écrit, et qui lui donne toute l’énergie de surmonter ces difficultés parce qu’il est habité par l’âme du monde. Et c’est quelque chose de terrible d’être dans ce cas-là. On est à la porté par ce qui nous dépasse et on doit obéir à ce qui nous dépasse. Tous les créateurs connaissent cette dichotomie, ce déchirement. Les poètes l’ont souvent exprimé avec des accents tragique comme Du Bellay :
Et les muses de moi comme étrange s’enfuient.
Vers absolument admirable et si tragique. C’est autre chose que le mièvre Paul Claudel avec sa marée de Syzigie et sa barque qui revient le rechercher ! Il y a tellement plus d’âme, de sincérité, de grandeur d’âme, de beauté, de combat, de sueur, de vérité de l’art et de la poésie et de Dieu dans ce seul vers de Du Bellay que dans tout Claudel avec son Dieu dont il nous bassine
« On peut avoir le cœur le plus noir, sombre comme un puits sordide ainsi que le dit Baudelaire après Pascal, et sentir quand même Dieu en nous. »
Avez-vous lu ce livre LML?
http://www.amisdeportroyal.org/societe/?Pascal-et-Baudelaire-par-Jean.html
Non, je ne l’ai pas lu. Mais merci de la référence. Baudelaire est à biend es égards très très proche de Pascal, c’est évident.
Et là encore LML, est-ce cela que vous voulez précisément exprimer?
http://scjef.org/blog/?p=891
Baudelaire comme Pascal, ce sont des esprits qui brûlent. Et brûler est une chose terrible.
bérénice dit: 4 juin 2013 à 22 h 54 min
on savait pas tout ça vous l’vez dit à P.Assouline au moins , avec les rapports officiels, les neuêtes études … dépêchez-vous , il prépare un billet pour vos beaux yeux
L’auteur de cette thèse fut mon professeur de français en 4ème et 3ème, LML.Il y a bien longtemps…
Je suis sûr que vous aussi vous avez marqué des élèves, sans même le savoir peut-être?
Parlez-nous de Gantheret LML, vous étiez bien parti en l’adjoignant fort justement à l’univers de J.B. Pontalis.
Mais contrairement à vous je ne trouve pas qu’il écrive « sur le mode mineur ».
@Chaloux
Mon pseudo, c’est aussi pour que LML reste sage, comme en salle de classe et qu’il ne nous parle pas du sacré de manière aussi essentialiste.
les causants psy
l’ambiance colle-cause et kibootsim demeure trop lassamusant
l’ébranchage en cours…
souvenir du temps jadis, arracher les gourmands du pommier…
Non, je m’en vais parce qu’il y a un gros connard encore qui usurpe mon pseudo.
Vous êtes trop con ici. On ne peut parler de rien sérieusement.
Bonne nuit les tarés.
…
…pour mon éponge sur la toile comptable,…
…j’en saisit des vents d’esprit,…
…
…la littérature comme un frein à mes passions comptable,…et m’abonner à l’oisiveté,…
…en cas de produits non recyclables par la concurrence,…
…la lecture une case à débit, à crédit,… un parasite, un déchet, un voyeur, un souffre-douleur, un artiste au parfum, mousquetaire des diversions aux dégrossissages des états,…
…triste sort que l’état se complais d’édifier,…la guerre organisationnel et répressive contre le système d’après-guerre et ses structures de protection-sociale des tout et chacun remis en cause,…
…( pensions, etc, soins médicaux, enseignements à la tête du client,…les prédestinés abrutis,..),…
…vu, le décorticage des industries vers les pays du tiers-monde à l’import-export,…
…par nos » Rapetout » au pouvoir,…( tout pour nous ),…les familles les plus riches,…et leurs jaunes collabo’s,… » photo-auto-moto-télé,…copié-collé avec un zeste en plus +,…etc,…
…les innovations,… » comment rouler nos peuples avec ou sans ouvrages,… »,…
…changer de président, peut importe,…du moment que c’est les mêmes qui trinques,…
…nos héritiers usuriers,…
… » les maquereaux légitimes,…Du coursier des croisades au bidet de Rebecca,…par Comte A.de Puysegur, la Technique du livre. 1938.
…aussi,…les flirts de Rebecca,…Salonnards ET Gigolos,…
…etc,…
…
…Dieu, ma bite,…au pouvoir,…etc,…Ah,…Ah,…
…
…Dieu, ma bite,…au pouvoir,…
Le Giovanni plus honnête entre tous nous parle de la sienne
…
…l’alchimie du juge » inique « ,…à diversions aux abonnés tir au flanc de service,…
…etc,…c’est trop injuste de Calimero,…en attendant,…merci l’omelette,…du rédempteur,…etc,…Ah,…Ah,…vivons pauvres comme » Crésus « ,…etc,…
…
l’article est revenu!
http://www.nonfiction.fr/article-6567-autisme__le_packing_une_pratique_inhumaine_.htm
» Il expose sa théorie à Maud Mannoni (il y a 25 ans de cela), mais celle-ci la refuse en commentant : « On va faire comme si vous n’étiez pas venu. »
ou lé »noncé de théorie als ob entre préticiens
praticiens
dans l’hypothèse qu’un camouflage ad hoc soit exigé dites-moi donc s’il me faut acheter imper en tergal chapeau gris lunettes noires ou choisir comme fard bouchon noirci à la bougie
Bonne nuit :
…
…mon cher Firefox,…
…vous savez bien,…que vus la vitesse de la lumière, et l’emplacements des galaxies aujourd’hui,…
…on ne peut jurer de rien, de ce qui est,…et de ce qui n’est plus,…
…a priori, nous pouvons aussi bien obéir a des momies articulées des parfums des Louis XIV, XV,et C°,de Versailles Trust,…
…prend ton pied comme tu peux,…et fait toi une grosse tête, tout seul,…comme un grand » Alchimiste « ,…etc,…
…
…personne ne travaille ou réfléchit pour rien,…les bonnes têtes à la bonne place,…et les chefs d’états ordinaires comme lèche-culs du pouvoir à Dieu,…ma bite,…etc,…
…
Freud est-il dans le »panhéon »de quelu’un?
Vienne de freud fin de siècle ; internet, début de siècle!
et que de la joie demeure !
bonne journée
La « cité des violettes » est en deuil, tandis que l’écrivaine et psychiatre native de Toulouse, Patricia Parry, est décédée samedi dernier, emportée par la maladie à l’âge de 55 ans. Enfant surdouée, être animé tout au long de son existence par la passion de l’être humain, elle fut également romancière récompensée par divers prix littéraires. Elle laisse sur son bureau un ultime manuscrit d’une soixantaine de pages. Un livre inachevé qui aurait pu s’intituler Les aventures d’Antoine (ou ALT pour les intimes du héros).
http://www.actualitte.com/international/l-ecrivaine-et-psychiatre-patricia-parry-est-decedee-42827.htm
firefox c’est votre pas de mononymie pour une monodate ?
La mer (l’océan) descend.
Les deux traces croisées
sont pareillement ferrées
mais d’allures différentes,
peut-être un aller-retour.
Regard saisi du marcheur.
Photomatiquement.
Jacqueline Harpman est née le 5 juillet 1929 à Etterbeek (Bruxelles) de Jeanne Honorez et Andries Harpman2. En avril 1940, sa famille quitte Bruxelles pour aller au Maroc, dans la ville de Casablanca 2. En y allant, elle passe par Paris où elle écrit son premier roman qui sera long d’une demi-page. Elle vivra à Casablanca pendant cinq ans, elle y découvre la littérature grâce à la bibliothèque de la ville et Freud parce que sa mère lui avait interdit Flaubert rangé juste à côté. Une partie de sa famille, — qu’elle ne reverra jamais2 —, est déportée à Auschwitz lors de la Seconde Guerre mondiale.
c’est à l’âge de 47 ans que J.Harpamn s’est orienntée professeionnellement vers la psychanlyse
« En 1976, elle entre à la Société belge de psychanalyse et elle commence une analyse didactique pendant quelques années. En 1980, elle écrit des articles pour la Revue belge de psychanalyse. Psychanalyste confirmée, elle recommence ensuite à écrire et publie en 1987 son roman La Mémoire trouble.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacqueline_Harpman
J Harpman (J.H.) s’est orientée professionnellement
vers la psychanalyse
kicking dit: 4 juin 2013 à 20 h 49 min
c’est pour vous :
http://sergecar.perso.neuf.fr/cours/objetdes.htm
un dico avec des traductions!
. Un glossaire – où les notions sont traduites en cinq langues : anglais, allemand, italien, espagnol, portugais – et la liste des noms des chercheurs complètent l’ensemble. Sur les rédacteurs de cet ouvrage nous trouvons, pour la France, des membres de différentes associations, SPP, APF, Espace Analytique, École de la Cause, Jungiens, Kleiniens, etc. – mais il est vrai avec une majorité SPP et IPA. Des analystes du IVe Groupe ont participé à ce dictionnaire, en rédigeant de un à plusieurs articles
http://www.cemea.asso.fr/spip.php?article724
« En fait, Pontalis ne veut rien savoir de la révolution du Nouveau roman tout tourné vers le monde extérieur pour dire l’intérieur. » (rédigé par LML)
LML n’est jamais si content que quand ils’est trouvé un gros bidon vide pour taper dessus : plus ça sonne le creux, plus il est content. LML est le singe pseudo-savant de la RdL. Tiens, attrape-la, ta cacahuète !
en lisant le tweet parce que j’ai un certain goût des lumières
Voici une ampoule siphonnée du bocal que l’on doit à l’artiste Matt Johnson.
http://www.zeutch.com/cool/matt-johnson-28192
bonne journée
« un dico avec des traductions! »
Avec le roman-photo il n’y a pas de problème de dicos ni de traductions, et même un psychanalyste peut comprendre ce dont il s’agit.
Enfin, ce machin à l’usage de charlatans pseudo-scientifiques fut une théorie littéraire d’un quelque intérêt jusqu’à 45, puis d’autres voies se sont ouvertes et ne restent que le ‘‘sauvages’’ pour prendre ce machin au sérieux…
Un goy aurait-il pu « inventer » la psychanalyse ?
C’est ma question du jour, car il semble, curieusement, que sur la note Pontalis, le point Godwin n’ait pas été atteint !
« En fait, Pontalis ne veut rien savoir de la révolution du Nouveau roman tout tourné vers le monde extérieur pour dire l’intérieur. » (rédigé par LML)
Dans l’espace des commentaires de la RdL, LML s’est aménagé son espace, à mi-chemin de Bedlam et du jardin zoologique. Il y tape sur des bidons, éructe ses insanités, crache sur tout ce qui bouge, lance ses fientes aux visiteurs. Outré que personne ne l’écoute, il injurie un auditoire absent, se récite sa dernière tirade sioniste ou pontifie dans le vide sur des livre qu’il n’a pas lus, sur d’autres qu’il a lus de travers. Il paraîtrait qu’on l’exhibe à des classes de collège, dans le cadre de matinées récréatives.
Ce qui induit ma seconde question : Du fait de sa « neutralité », la limpidité un peu fade de son style, J-B Pontalis serait-il un fédérateur intellectuel ?
(Depuis qu’il est devenu copain comme cochon avec Chaloux, JB s’est rabattu sur une autre victime, pas tout à fait innocente, il est vrai…)
RECETTE DE LA RATATOUILLE NIÇOISE
Je n’entrerai pas dans les querelles de chapelles concernant la ratatouille
niçoise, tout aussi universelle que la salade du même nom. Plus c’est simple et plus on veut faire compliqué ! D’aucuns disent qu’il n’y entrent jamais d’aubergines ? En tous cas ma mère en mettait. D’autres préconisent d’y ajouter une dose de safran et deux clous de girofle, ces épices étaient rarement utilisées chez nous, surtout la dernière, dont j’interdis à ma mère l’usage dans sa cuisine, après que j’en eusse croqué un par inadvertance, qui me souleva instantanément le cœur, planté dans un morceau de mouton, que ma grand-mère avait concocté en ragoût, délicieux au demeurant. Mais le plaisir en fut définitivement gâché. Comme on le voit, les variantes dépendent essentiellement des goûts de chacun. Transition entre le cru et le cuit, autour des principaux légumes d’été, la ratatouille comme la salade niçoise, exigent avant tout des aliments de grande saveur. A défaut d’un jardin potager, on ira les acheter au marché. C’est pour masquer leur insipidité que les mauvais cuisiniers en rajoutent toujours trop dans l’exotisme. Des tomates, des poivrons de toutes les couleurs, des aubergines et des courgettes longues, des oignons blancs, des gousses d’ail, du thym, du laurier, du persil et du basilic, de l’huile d’olive, du sel et du poivre. Et puis quoi encore ? Nul besoin de rien d’autre ! Si ce n’est qu’il est recommandé d’en préparer une grande quantité. Car il faut savoir que la ratatouille peut se déguster froide ou chaude, en entrée, en accompagnement de viande ou de poisson, ainsi qu’en omelette et que, comme la plupart des préparations locales, elle est encore meilleure réchauffée. Et pour finir, un détail d’importance à rappeler : le secret d’une ratatouille réussie réside dans la friture séparée des principaux légumes : dix minutes pour les aubergines et les poivrons et cinq minutes pour les courgettes, avant de les ajouter aux tomates et de laisser mijoter le tout à feu doux une petite demi-heure.
Jacques Barozzi, on avait dès potron minet les reliquats des poubelles de cardo, vous n’allez pas nous laisser les épluchures de vos légumes?!
C’est ma question du jour, car il semble, curieusement, que sur la note Pontalis, le point Godwin n’ait pas été atteint !
votre question du our a été soulevée par plusieurs historiens de la discipline , bien avant que n’existât le point godwin.
vous trouverez sans peine le récit explicatif que vous préférerez/ il me semble qu’i doit être mis en perspective avec la question des inventions et des trouvailles , de manière plus général, dans tous les champs, lesquelles ne sont pas toujours le fait des spécialistes et des experts, même en paléontologie, même en astronomie , ni même celui des adultes !
Mais si, ce que dit ML, sur Gombrowicz, ou sur le Dieu sacré et exigeant qui habite Baudelaire comme Pascal n’est pas mal! Puis qu’est-ce que vous voulez, quelqu’un capable de conclure une tirade sur les conditions pour être écrivain par « seuls sont récompensés les coeurs purs » n’est pas passé à côté de tout. Derrière cette sorte de pompe, de sérieux éventuellement excessif ou de légère cuistrerie, transparaissent comme une naïveté, une espèce d’innocence et de profession de foi envers la littérature vraiment pas mal, touchantes.
« En fait, Pontalis ne veut rien savoir de la révolution du Nouveau roman tout tourné vers le monde extérieur pour dire l’intérieur. » (rédigé par LML)
Les interventions de LML sur laRdL se réduisent à une sempiternelle sérénade en quatre mouvements:
1/ Allegro : Variations sur un thème (renouvelable ad libitum) de Lagarde-et-Michard
2/ Andante sostenuto : élégie sioniste
3/ Prestissimo : cirage des pompes du saint patron du jour
4/ Allegro furioso : injures à la cantonade.
L’ensemble a été écrit pour instrument à vent (un seul) : l’hélicon.
un auteur qui s’est intéressé aux science et découvertes, de manière un peu générale Isabelle Stengers
« Tiens, attrape-la, ta cacahuète ! »
C’est un peu roide.
« Veux-tu bien accepter cette arachide? »
« seuls sont récompensés les coeurs purs »
Ah ! la purezza di cuore ! la puritia des Romains… de Kooning dirait que déjà seulement l’idée le rend malade…
« Je n’entrerai pas dans les querelles de chapelles concernant la ratatouille »
C’est pas plutôt l’heure du café?
@cuisine sarila, il me semble que la recette de la ratatouille a beaucoup à voir avec le style de J-B Pontalis, non ?
« C’est pas plutôt l’heure du café ? »
La bonne ménagère se met en cuisine dès potron minet, u.
Bulletin trimestriel
Mauvaise Langue est un enfant irascible.
Songeur et trop savant pour son âge.
Il ne joue pas assez.
(Blague à part, c’est quand il s’affronte aux textes qu’il est dans son élément.
Les résultats sont inégaux, normal.
Mais il sait s’acharner quand il faut)
« Blague à part… »
Dans les limites du possible…
John Brown, j’avoue avoir souvent lu avec effarement cet « allegro furioso/injures à la cantonade » dont vous parlez. Mais vous me faites rire… vous-même ne donnez pas votre part au chien, hein?
Renato, il faut un sacré culot, je vous assure, pour oser flirter avec le ridicule, l’excès, la frange (avec un rrrr, je vous vois venir) « sentimentale ». C’est assez tiédasse, convenu et couard le cas échéant de se maintenir loin « a priori » de cette fameuse purezza pour avoir l’air rock n roll.
Jacques Barozzi, donnez-moi l’accolade, avant que je quitte à regret cette RdL bien animée, pour quelques semaines! (Donnez-moi l’accolade, mais rendez-vous à l’évidence pour l’inconnue à Tanger qui n’est ni le cow-boy Marlboro, ni Helmut Burgen, donc, mais Jean Seberg, ou bien peut-être une amie de Bowles venue chercher sur la plage un peu de quiétude alors que Paul s’éteint)
La ratatouille, ah oui. Avec le plus grand nombre de variétés de tomates possible. Encore plus joli comme ça.
Bien à vs tous – ciao
P.S Un des plus émouvants portraits de Bowles (âgé), celui de Bernard Plossu : la vieillesse lui fait un visage parcheminé d’une humanité poignante, magnifique
Ma très chère Soeur,
qu’est-ce que l’air rock n roll vient faire ici ? J’ai pourtant cité de Kooning, ce qui chez le lecteur-spectateur moyennement cultivé devrait susciter le phantasme de Kierkegaard… faute d’en rappeler les angoisses…
faute d’en rappeler les angoisses…
pourquoi faute de plutôt que à défaut de ?
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