Pontalis dit « J-B » entre deux marées
Il y a deux manières de trouver des histoires à raconter : les inventer ou les écouter. La première relevant de la vocation du romancier, J-B. Pontalis s’est fait une spécialité de la seconde. D’autant que, dans le civil, lorsqu’il n’est pas éditeur, il est psychanalyste. Sa vie se divise en fonction de cette double dilection : le matin derrière son bureau chez Gallimard, l’après-midi derrière son divan chez lui. A moins que ce ne fut l’inverse, ce qui importe peu. Outre ses ouvrages sur l’inconscient, les fantasmes ou l’après-freudisme, il prend un vif plaisir à écrire de brefs récits où s’épanouit son tempérament de dormeur éveillé. Pas des nouvelles mais ce qu’il faudra bien appeler un jour des Pontalis. De discrets bijoux lus par une poignée de fidèles qui n’aspirent pas à faire foule. Son petit dernier Marée basse Marée haute (136 pages, 13,50 euros, Gallimard) est de cette encre. Plein d’histoires qu’il a vécues ou qu’on lui a racontées. Des amours et désamour.
Le thème ? Les choses de la vie, pour reprendre le titre qu’Antoine Blondin souffla à l’oreille de Paul Guimard. Des vies comme neuves plutôt que des résurrections. Un pas de côté suffit à passer à côté de son destin, d’une fuite en avant l’autre, avant d’envisager plus tôt qu’on ne l’a cru les choses de la mort. Quelle vanité de croire qu’on peut échapper à la chaîne du temps ! Gardons-nous de n’y voir qu’un catalogue des douleurs et un inventaire des souffrances même si c’est plein de gens qui ne sont plus là ; quant à ceux qui y sont encore, ils s’apprêtent à mourir. Accident cardio-vasculaire & rupture d’anévrisme. Enterrement & solitude. Pas de pathos, ni de tristesse. On ne peut même pas dire, une fois découverts les personnages, qu’il fait sombre à l’intérieur d’eux. Question de style qui réussit à être au fond chaleureux par l’empathie qui l’anime, tout en demeurant sec à force de dépouillement. Un ton qui s’annonce à pas feutrés.
C’est truffé de rencontres gouvernées par des hasards et des coïncidences, mais allez savoir. Chacun sa petite histoire magnifiée par lui-même sans qu’il soit nécessaire de transfigurer ces banalités en littérature. C’est que l’auteur a la délicatesse de ne pas prendre les drames au tragique. Parfois l’allusion à un film s’impose et les Oiseaux d’Hitchcock se posent sur la page. Un livre passe par là et c’est La Mort d’Ivan Illitch, le vrai chef d’œuvre de Tolstoï, qui permet de comprendre pourquoi un vivant au seuil du trépas a besoin à son chevet d’un paysan qui lui dise la vérité dans son atroce simplicité. Ainsi la mémoire par associations convoque-t-elle aux derniers instants des œuvres qu’elle avait jusqu’alors enfouies.
A la fin, on croit entendre la voix de l’auteur, éraillée par le tabac, dire à l’instar de ce vétérinaire : « Je ne sais pas pourquoi je vous ai raconté tout cela. Ca n’a aucun intérêt ». Justement, c’est aussi pour cela qu’on y a pris tant de plaisir : parce que c’était raconté gratuitement, sans autre but avoué, et sans désir de convaincre. Pas le genre d’un homme qui avoue rêver encore d’Oreste, son cocker au regard mélancolique, un demi-siècle après sa mort. Il n’est pas seulement solidaire de tous ses âges mais de toutes ses humeurs ; nostalgique d’un temps où régnait l’antique théorie des humeurs (sang, phlegme, bile, atrabile), il revendique pour son propre compte les délices de se livrer à l’humeur vagabonde, naviguant entre les deux pôles desdits bipolaires ; mais le jour n’est peut-être pas lointain où les psychiatres américains réussiront à médicaliser jusqu’à l’humeur vagabonde pour mieux l’enfermer dans leur DSM-5 et permettre à un laboratoire de proposer l’antidote au nomadisme moral, tenu pour un prétendu poison de l’âme. Peut-être M. Pontalis va-t-il finir par s’évader de J-B pour rejoindre la famille de papier de Gonçalo M. Tavares en bairro, entre M. Plume et M. Teste.
Il me faut arriver à la fin de ma lecture et de ce billet pour m’apercevoir que j’ai parlé de celui que nous appelions tous « J-B », à sa demande, plutôt que Jean-Bertrand, mais que je l’ai fait au présent alors qu’il nous a quittés il y a au début de cette année le jour même de ses 89 ans. C’est dire sa présence. Ce texte est son signe ultime et sa dernière trace. A croire qu’en se retirant au plus bas la marée a emporté le corps, et qu’en remontant au plus haut elle en a ramené le livre.
(« La cavalière inconnue, Tanger, début du siècle », photo Passou)
615 Réponses pour Pontalis dit « J-B » entre deux marées
Ben alors si vous avez cité de Kooning, les bramentombent! ça doit être que je suis moyennement cultivée. Dès qu’il est question de Willem, hélas je perds mes moyens. Mince alors.
@Soeur du précédent, ici chacun veut être le premier, d’où les querelles de chiffonniers, en oubliant que le spectacle est exclusivement collectif. Revenez-nous vite, car vous allez nous manquer, à l’instar du clou de girofle, au goût si particulier !
chacun veut être le premier,
c’est un « complexe très étrange », comme celui du second , et celui du tiers d’ailleurs !
mais enfin , les marées éant liées à la lune, qui dont les jeux dans le ceile sont moins simples !
Ma très chère Soeur,
« La pureté de cœur », dit Kierkegaard, « c’est vouloir une seule chose ».
Sur quoi de Kooning répond que déjà seulement l’idée le rend malade…
Et n.b. qu’à l’époque Woody Allen juste s’emmerder au collège…
ô pardon, dans le ciel !
Oups ! juste s’emmerder au collège… vous corrigez selon logique…
« chacun veut être le premier »
Ce n’est pas tout à fait ça. Disons que chacun suit ses chemins tenant pour implicite que les autres jouissent du même background, et que cela suscite quelques malentendus… ce qui est par ailleurs le côté amusant de la RdL…
Hitler qui ne voulait qu’un Reich millénaire et entièrement aryen, était certainement un coeur pur selon Kierkegaard, renato !?
Non, non, renato, chacun veut dominer de tout son éclat, avec ou sans bakground du tout, renato.
Voyez Daaphnée, qui s’acharne sans répit pour être la première d’entre toutes.
D’où l’invention des prix, même les veaux, vaches, cochons sont primées au salon de l’agriculture.
Tout le petit monde erdélien attend impatiemment que Passou distribue les médailles…
errata :
supprimer un renato dans la première phrase
lisez primés en place de primées dans la troisième
Tout le petit monde erdélien attend impatiemment que Passou distribue les médailles
là ça m’atonnerait que quelqu’un ait encore une illusion comparable!
dites un sourire de ses libraires , et même là, ce serait une erreur….. de perspective ?
ce matin , j’en étais à conclure que la lettre qui anvahit comme le lierre les blogs n’éyait pas le K mais le H , comme dans le nom de la psy
au destin si malheureux
Hermine von Hug-Hellmuth
« J-B » entre deux mariées ne reconnaissait toujours pas sa mère !
erratatouille : s’étonnerait
Un condensé de la culture selon le boug, depuis la publicité jusqu’à la playmate finale ?
http://www.aol.fr/video/julien-dor-dans-pop-redemption/517805061/
la lettre qui envahit :
je regardais l’heure la sénce est finie http://www.zeutch.com/cool/dominic-wilcox%E2%80%98s-27272
la séance
c’est pas ça mais il y en a qui ont lu J moins B et cherchent encore combien ça fait de psys
Ce désir de reconnaissance, d’être le premier.
D. ne cesse de répéter : « Avouez que je suis le plus intelligent, j’ai le plus fort QI, etc… » Pour ajouter aussitôt après : « Oui, vous avez raison, je suis nul, je suis une merde, je n’ai lu aucun livre, etc… »
Chez ML ça donne : « Vous me réclamiez, je vous manquais mes petits chéris, etc… » En revanche, jamais de remise en question chez lui.
L’un serait-il bipolaire et l’autre pas ?
Le cas de JB est encore différent. C’est un tégnieux, Il a besoin de s’affirmer contre… A commencer par Passou. N’aurait-il pas achevé son oedipe ? Le boug dirait qu’il en est resté au stade anal, dans son châlet d’aisance.
renato, lui, il s’est placé d’emblée au plus haut, et il s’agace quand d’aucun prétend le rejoindre !
Quant au boug, il se complet dans le ruisseau, et met tout son talent à ne pas dépasser le niveau de sa ceinture.
Est-ce un poseur ou un maso ?
cardo c’est crado, confusion à tous les étages…
Erreur : à côté (sans pas), pas au plus haut. On ne peut toutefois pas empêcher les interprétations des spectateurs…
Le travail du gardien-chef Passou ? Juste entrouvrir la porte : les gamins arrivent en courant, gueulent pour rien, histoire de chauffer la machine, amenant eux-mêmes et le bac, et le sable d’hier, déjà souillé.
Et le mini-jeu des perles de verre, modèle pour maternelle, peut reprendre dans les cris, les insultes et les bombés de torse suffisants.
Bonjour Jacques, »d’aucuns » s’emploie toujours au pluriel,pour votre peine vous communiquerez la recette des lasagnes à la sicilienne…
et baroz de faire ses efforts pour qu’on lui flatte le derche ou qu’on lui fesse ou les deux mon capitaine..
les recettes c’est pour faire cuisinier cul
nu..cul nu
La Mauvaise Langue : Sérénade en quatre mouvements (voir plus haut) pour hélicon et braiements obligés, La Mauvaise Langue (hélicon bouché et braiements)
A l’intention des mélomanes amis des bêtes, on signale cet enregistrement, le seul à notre connaissance où un âne bâté assure à la fois la partie d’hélicon et les braiements.
Précisions que cette sérénade restera l’unique opus de La Mauvaise Langue, récemment décédé d’une indigestion de foin.
Essaye plutôt ça, de nota, plus roboratif :
RECETTE DE LA DAUBE NIÇOISE
Pour quatre personnes, comptez environ 1 kilo et demi de boeuf (joue, galinette, paleron, seuls ou mélangés). Faites mariner la viande, coupée en cubes (de 80 à 100 g), au moins douze heures dans du bon vin rouge (côtes-du-Rhône, côtes-de-Provence ou vins de Bellet niçois sont tout à fait recommandés). Agrémentez la marinade d’une carotte tranchée en rondelles, d’un oignon, de deux belles gousses d’ail, de thym, de laurier et de persil plat. Attention, ne salez pas la marinade ! Au moment de la préparation, mettez les morceaux de viande à égoutter dans une passoire, quelques minutes, puis faites-les revenir seuls dans une cocotte avec de l’huile d’olive afin qu’ils roussissent légèrement. Retirez alors la viande et mettez dans la cocotte un oignon débité en lamelles et environ 150 g de lard (petit salé ou lardons). Faites-les revenir sans brûler. Ensuite remettez la viande, ajoutez des herbes de Provence, du sel, du poivre et un… zeste d’orange (le petit détail qui met la touche finale !). Versez enfin le jus de la marinade et faites mijoter le tout durant 1h à 1h et demie, à feu moyen, en surveillant régulièrement la cuisson. Servir la daube de préférence avec de grosses pâtes, style penne ou rigatone.
voici une histoire vraie un jour que je traînais dans l cour de la Sorbonne , voilà que je bavarde avec un ancien condisciple qui me parle d’un professeur renommé et aussi sous l’angle psy , lequel condisciple me parle de la femme avec le professeur comme sa fille
à quoi je rétorque, non c’est on épouse , et mon iterlocuteur d’insister que c’était sa fille or j’avais entendu le professeur présenter publiquement devant une pleine salle cette femme à laquelle son nom est associé dans des publications comme son épouse , et comme psy .
or je ne pense pas que mon ibterlocuteur tenait encore beaucoup à me tromper mais il me sembleplutôt qu’il essayait de tester sa force de persuasion : et je l’ai laissé sur le anc de pierre à regarder l’horloge , en rejoignant pour ma part une copine qui passait et m’avait lancé un sourire radieux comme un sort de bonheur pour l’heure ! je ne suis pas plus optimiste que ça !
pour ce condisciple, je n’ai aucun avis je suppose que les analysants de Pontalis se sont manifestés ici ou là sur leur cure . nous avons ses
..et keupu qui fait son coquelet bombés suffisants pour sonner midi..
‘d’aucuns’, c’est le contraire de ‘aucun’.
‘de nota’, le contraire de ‘nota’,
‘de glass’, le contraire de ‘glass’ (à l’entre deux mers / marées, qu’on sert à l’huitre russe ou à la moule marinière,
Ca papillonne.
style penienne tu veux dire
pour les autres, ils ont ses livres .;et c’est bien ainsi
par pro toto je corrige juste le banc avec un b comme dans J.B
les autres coquilles , ce sera pour une autre marée !
Mauvaise Langue, récemment décédé d’une indigestion de foin
point point..c’est son régime ordinaire jean marron..l’est pas comme nous
Vends (sur eBay) :
» Portrait de La Mauvaise Langue jouant de l’hélicon sous la lune » (dit aussi « LML aux longues oreilles »), par Hyacinthe Bouguereau.
Mise à prix : un euro
Attention, ne salez pas la marinade !
jamais une marinade..et pour la cuisson compte 3 à 4 heures..1 h 30 c’est pas cuit épicétou
Déjà 12h22.
Michael Douglas est une Mauvaise Langue. Les « on dit » qui ne sont que murmures derrière leur dos courbé.
Renato merci de votre dernier lien, la nuit dernière. Tout à coté il y avait aussi:
http://www.youtube.com/watch?v=Vbkbt8g2kSs
Le nouveau roman de Colum McCann sort aujourd’hui dans les pays anglophones
.
En manière d’avertissement, on peut y lire la note suivante, qui me laisse plutôt songeur:
TransAtlantic is a work of fiction. All incidents and dialogue, and all characters with the exception of some well-known historical and public figures, are products of the author’s imagination. Where real-life historical or public figures appear, the situations, incidents, and dialogues concerning those persons are fictional and are not intended to change the imagined nature of the work. In all other respects, any resemblance to persons living or dead is entirely coincidental.
En d’autres termes, la présence de personnages historiques n’est pas censée trahir le contenu fictionnel.
J’aurais pensé que le contenu fictionnel n’était pas à même de trahir le récit historique.
Formidable prise de pouvoir de la fiction…
« jamais une marinade..et pour la cuisson compte 3 à 4 heures.. »
Il est toujours bon de le rappeler, le boug, et je retranscris là les recettes de ma mère, qui utilisait, en bonne ménagère économe, une cocottte-minute…
à côté au sommet, renato, on connait votre goût de la montagne…
Et le zeste d’orange, tu y avais pensé, le boug, au zeste d’orange dans la marinade ?
n’était à même de > de nature à
de natura, raie Rome
Pour être heureux, l’homme doit aller en Laponie car là-bas, la nature est encore intacte et ses désirs ne sont donc pas influencés par les autres (pour Épicure, l’homme doit tendre vers l’aponie = la paix du corps et vers l’ataraxie = la paix de l’esprit).»
ah,c’est pas de moi,c’est une perle du bac!
Le boug dirait qu’il en est resté au stade anal, dans son châlet d’aisance.Jacques Barozzi
Ouais, mais la reine à taux invariable, veille au pourboire à la sortie!
Bravo au président de la République des livres pour la belle icone (un R blanc sur un cercle au fond noir) qui représente maintenant son site lorsqu’on le met en position de choix dans la barre des favoris. L’ancien truc windows par défaut était assez pénible à regarder et à cliquer,
@xlew.m
C’est comme un drapeau corsaire, j’aime cela!
C’est justifié, de la base et du sommet, car après usage par JB, il y a à nettoyer ! Et les pourboires servent à aller respirer l’air des cimes !
(un R blanc sur un cercle au fond noir)
A ne pas confondre avec la maison Roblot, xlew.m !
Dans l’itinéraire d’écrivain choisi par J-B Pontalis il y a cet amour des petits chemins chers à Mireille, ceux qui sentent la noisette, dans l’absence d’accotements desquels chante la fauvette, où parfois les reflets de quelques sourires d’Emmanuel Berl s’entrevoient à la sauvette, entre deux platanes par la fenêtre de la Lancia ou le vent en plein dans les mirettes si l’on voyage en cabriolet Corvette. Mais voilà qu’on ne sent plus les odeurs d’antan ni les parfums d’hier, la francosphère de Jean Nohain et l’anglosphère de Noel Coward sont définitivement effacées des pages blanches des Baedeker et des Michelin comme du ruban de la Nationale 7. Chez Pontalis, on dirait que c’est la mer qui ne ment pas, celle vers laquelle on se dirigeait en voiture, par la porte d’Italie (sa préférée nous dit-il dans un texte intitulé « Cauchemars diurnes »), dans l’allégresse d’une parfaite assurance de mobilité, celle qu’apportait jadis « l’automobile », tant persécutée aujourd’hui par une infinie variété d’embouteillages et une multitude de genres de goulots. On détecte bien vrombir chez lui l’expression d’une pointe de nostalgie (déjà entendue chez Céline-l’asphalte-brûle) qui pourrait indisposer certains, mais l’analogie avec la littérature paraît assez claire ; Pontalis, en regrettant qu’il est désormais impossible de partir sur la route à l’aventure sans avoir à réserver en amont son passage dans une auberge, sans l’avoir gépéisée à l’avance, en prend acte et l’inscrit sur sa carte mentale ; la prodigalité éditoriale contemporaine certifierait à elle-seule qu’elle est le résultat d’une gestion digne des propriétaires d’une société d’autoroute. C’est devenu la règle de devoir subir les grosculs qui roulent le dimanche, de déplorer l’abandon général du conseil du « respect des distances. » Selon lui la littérature doit remonter sur un vélo pour retrouver les chemins de la liberté (pas forcément sartriens entendons-nous bien malgré le vacarme) pour pouvoir ne serait-ce qu’espérer re-goûter à la fraîcheur. Ses histoires de « marée basse/marée haute » ne sont pas si plates, on y sent le sel de la vie marner son esprit. Chez lui c’est la grande tradition humaine du rythme nycthéméral et du cycle circadien littéraires qui est en jeu. Zut à l’écologie de la littérature recyclée lisse, et vive Pontalis. Mais bon, c’est facile de jouer les jolis coeurs, tout cela ne se décrète pas.
C’est quand même pas si mal de pouvoir encore revenir en arrière et de contempler l’oeuvre majeure de Gyula Krudy restée bizarrement hors des sentiers battus jusque-là, écrasée sur la route, victime d’un roadkill inexpliqué.
la force tsonga dit: 5 juin 2013 à 13 h 23 min
Attention que ce ne soit pas le radeau de la méduse!
C’est devenu la règle de devoir subir les grosculs qui roulent le dimanche xlew.m
Et les camping-car toute la sainte semaine, de juin à septembre!?
Dans Tanger la verte
Pas un bateau qui végète,
Pas un pêcheur dans l’eau,
Pas un fallot.
C’est Venise à la tajine, Baroz?
J’aime les villes cosmopolites, la balle…, et Tanger en fut une, comme New York, Venise, Cannes, et Genet y est enterré…
Nuages de mousson bons comme une compresse fraîche
Au front enfiévré de la grande ville
Membres multiples qui ne cessent de battre et de bouger
Ce poème de Musset, plutôt vachard, s’adresse à quelqu’Une plus qu’à la cité des doges :
Mon pauvre coeur, l’as-tu trouvé
Sur le chemin, sous un pavé,
Au fond d’un verre ?
Ou dans ce grand palais Nani,
Dont tant de soleils ont jauni
La noble pierre ?
L’as-tu vu sur les fleurs des prés,
Ou sur les raisins empourprés
D’une tonnelle ?
Ou dans quelque frêle bateau,
Glissant à l’ombre et fendant l’eau
A tire-d’aile ?
L’as-tu trouvé tout en lambeaux
Sur la rive où sont les tombeaux ?
Il y doit être.
Je ne sais qui l’y cherchera,
Mais je crois bien qu’on ne pourra
L’y reconnaître.
Il était gai, jeune et hardi;
Il se jetait en étourdi
A l’aventure.
Librement il respirait l’air,
Et parfois il se montrait fier
D’une blessure.
Il fut crédule, étant loyal,
Se défendant de croire au mal
Comme d’un crime.
Puis tout à coup il s’est fondu
Ainsi qu’un glacier suspendu
Sur un abîme…
Voilà pourquoi Venise était rouge… sang !
j’aime les villes cosmopolites, la balle…, et Tanger en fut une,
—
Paul Bowles y fit de vésuviennes partouzes homos, comme maints autres.
Tanger la bien nommée, tout sauf « Noli me tangere »
« En fait, Pontalis ne veut rien savoir de la révolution du Nouveau roman tout tourné vers le monde extérieur pour dire l’intérieur. » (rédigé par LML)
Les élucubrations de LML sur la RdL sont révélatrices des tares intellectuelles (et probablement psychico-génétiques) de ce médiocre admirateur de Bresson : c’est vraiment Au hasard quel bazar ! Les vidéos des numéros d’équilibriste de LML devraient être passées dans les écoles du cirque : tout ce qu’il ne faut pas faire ou comment se casser la margoulette à tout coup. Reconnaissons-lui tout de même un attendrissant côté idiot du village à la Faulkner.
J’ai conscience que cela revele une certaine pauvreté de mon regard ,mais ce qui me fascine dans la photo du billet ce sont les reflets des chiens sur le sable mouillé
J’ai conscience que cela révèle une certaine perversité de mon regard, mais le deuxième chien n’a pas l’ombre d’une queue, DHH !
http://www.carnetpsy.com/Library/Applications/Article.aspx?cpaId=563
S’il fallait payer pour lire tout le travail indigent de ces remarquables commentateurs, il y aurait du licenciement dans l’air, faute de recettes !
J’ai conscience que cela révèle une certaine perversité de mon regard, mais le deuxième chien n’a pas l’ombre d’une queue, DHH ! (rédigé par jacques barozzi)
C’est à cause du cadrage. Assouline photographe castrateur. Pôv ptit chien !
S’il fallait payer pour lire tout le travail indigent de ces remarquables commentateurs, il y aurait du licenciement dans l’air, faute de recettes ! (rédigé par Bienvenue…)
C’est passe qu’on s’amuse, mon lapin. Il n’y a guère que LML ici qui se prenne au sérieux.
« C’est passe qu’on s’amuse, mon lapin. »
Que les chasseurs, de prime, épargnent les rentiers !
Il n’y a guère que LML ici qui se prenne au sérieux.
avec DHH ça fait la paire et tu pourras jouer cochonnet jonny
Reflets du reflux.
Bord cadre, le clébard.
Aucune ombre dans la scène.
Phototraquement.
Tout le petit monde erdélien attend impatiemment que Passou distribue les médailles…
Barrozzi attend toujours son gode à Mickey
couleur doré
Jacques Barozzi dit: 5 juin 2013 à 13 h 42 min
J’aime les villes cosmopolites, la balle…, et Tanger en fut une [ ]et Genet y est enterré…
Pas exactement. Jean Genet est enterré dans le cimetière espagnol de Larache.
Le pont Thalys est bien long à passer. ville de tous les tanger, comme on dit chez renato
genet.. le popeye gay vous aurait fait des confettis avec le weddingforeverebody…y’a queue le body qui compte
hurkhurk
~le deuxième chien n’a pas l’ombre d’une queue~
Mr P. Assouline a un oeil fer, donc un cadrage de pro. Il voulait simplement que le chien se sente en bonne compagnie avec les commentateurs. Bien joué l’ami Pierre!
genet.. le popeye gay
..avec du beurre dans les épinards alors
et Olive sans noyau
Mr P. Assouline a un oeil fer, donc un cadrage de pro. Il voulait simplement que le chien se sente en bonne compagnie avec les commentateurs. Bien joué l’ami Pierre! (rédigé par Chien perdu sans collier)
Tous ces culs s’éloignant irrémédiablement à l’horizon… L’ami Pierre ferait bien de se faire psychanalyser, oui… encore qu’ y a pas besoin d’être Lacan pour proposer une interprétation. A partir de 50 piges, la testostérone du mâle moyen baisse en flèche; de là certaines nostalgies. A défaut d’effet Godwin, l’effet Douglas n’est pas loin.
La photo propose clairement une hiérarchie d’accessibilité des culs : le plus éloigné est celui de la dame : classique. Le plus proche est celui du clebs noir. Je me suis laissé dire qu’Assouline partageait avec feu Mitterrand la passion des labradors…
Le seul JB que je connais est celui de Torrente Ballester.
Ni la couleur de l’eau ni la texture du sable ne s’apparentent de près ou de loin à une plage de Tanger. Cette photo a manifestement été prise près de Saint-Trojan, dans l’île d’Oléron. C’est sans doute moins exotique, mais bien plus plausible. Quoi qu’il en soit, elle fait rêver de la même manière. Encore que…
Bon mais le clébard il est rachepec…
« C’est sans doute moins exotique… »
Faut voir. Pour un Japonais ou un Kényan Saint-Trojan, dans l’île d’Oléron est autant exotique que pour nous le sont Tanger, Kyoto, Eldoret.
En plus de tout évisiblement il trotte tordu que c’en est une pitié…
« … que c’en est une pitié… »
Il est gros, et pas bien enveloppé, il est carrément obèse…
Bon enfin finalement ça peut être où on veut même au détroit de Bering depuis le temps on a dû déminer…
» Cette photo a manifestement été prise près de Saint-Trojan, dans l’île d’Oléron. » (rédigé par Alain Corbin)
J’aurais bien dit, moi aussi : quelque part entre Oléron et Noirmoutier. Mais là, Saint-Trojan, pile-poil, vous m’estomaquez. Vous êtes sûr que la texture du sable… ?
» Cette photo a manifestement été prise près de Saint-Trojan, dans l’île d’Oléron. » (rédigé par Alain Corbin)
Eh bien, je soutiens, moi, que cette photo a été prise à la limite entre les communes de Brétignolles-sur-Mer et de Brem-sur-Mer, en direction des Sables, vers 15h30, entre le 12 et le 17 mai derniers. Je suis formel. J’ai suffisamment moulé mon cul dans le sable de ces parages pour en reconnaître la texture au premier coup d’oeil.
« La cavalière inconnue, Tanger, début du siècle »
… « début du millénaire » aurait été vachement plus chic…
Tanger ça doit être comme Lugano ça fait très Orient-express mais en réalité maintenant ça doit être que uniquement des clapiers amorphes sans même de barres de fer qui sortent du béton comme les villes qui ont la noblesse d’être bombardées par instants prodigues…
Le noir et blanc fait plutôt clébard de gauche.
Le noir par derrière fait plutôt clébard de droite.
Je sais, ça a l’air arbitraire, mais je suis sûr de mon fait.
La prose pontalissienne peut aboutir à ce genre moderne de la bondieuserie saint-sulpicienne :
(conclusion de la nouvelle « S’exiler de l’exil »)
Octavio a deux patries, son pays d’origine et la France où il se sent comme chez lui :
« Il n’aime pas qu’on lui parle de ses « racines ». Je partage son aversion. C’est le monde entier qui est notre racine ! »
Tout ça pour ça ! que de vanité et d’orgueil mal placé dans cette affèterie qui ne correspond à rien d’humain. On peut se sentir citoyen du monde et en même temps reconnaître qu’on est forcément de quelque part. Il n’y a d’universel que le singulier. Lui, Pontalis, adorateur de Sartre dans sa jeunesse, devrait le savoir. Ce ton saint-sulpicien à la sauce moderne genre Le Clézio est tout à fait détestable et typique d’une Europe qui sombre, d’une Europe qui a perdu ses repères, d’une Europe qui refuse le monde réel pour se réfugier dans une fiction abstraite et mortifère. Cette Europe-là est haïssable car morbide !
« une Europe qui sombre, d’une Europe qui a perdu ses repères, d’une Europe qui refuse le monde réel pour se réfugier dans une fiction abstraite et mortifère. Cette Europe-là est haïssable car morbide ! »
Pourquoi toutes ces périphrases?
Europe moisie, et tout est dit.
Et en plus quand on aura annexé des planètes, ou qu’il y a des types qui naîtront dans des satellites en métal, ça va encore se compliquer pour les racines…
« Il y a ce que nul n’a vu ni connu sauf celui qui cherche dans le tourment des mots à traduire le secret que sa mémoire lui refuse. » (Ostinato, Louis-René des Forêts)
C’est tout de même autre chose que Pontalis ! C’est une phrase d’une profondeur infinie.
Europe moisie, bien sûr. J’ai lu hier que la France était moins attractive pour les entreprises en plus. France moisie, vous voyez bien !
u. dit: 5 juin 2013 à 18 h 19 min
Le noir et blanc fait plutôt clébard de gauche.
Le noir par derrière fait plutôt clébard de droite.
La gauche caracole donc devant la droite prise par la vague.
racines ?
etntre le dentite et lelinguiste, les considérations sur les racines aujourd’hui feraient délirer des fromagers
http://miccris.bloguez.com/miccris/991605/Angkor-racines-du-fromager-Cambodge-
« Je sais, ça a l’air arbitraire, mais je suis sûr de mon fait. »
A la réflexion, je suis moins sûr de mon fait.
Et puis, tiens, je maintiens.
C’est seulement une image un peu datée.
Le noir-et-blanc est un peu con-con mais joueur.
Le noirot est plus circonspect, il a une gueule de propriétaire.
u. dit: 5 juin 2013 à 18 h 59 min
Le noirot est plus circonspect
Oui, le noir soulage bon je sors comme dirait MàC…
Le dentiste
Pontalis mit fin à une querelle avec A.Beraman en lui rétorquant entre des histoires de plomberie que Lacan aimait les arbres (sic)
antoine Berman excuses
« Il n’aime pas qu’on lui parle de ses « racines ». Je partage son aversion. C’est le monde entier qui est notre racine ! »
Tout ça pour ça ! que de vanité et d’orgueil mal placé dans cette affèterie qui ne correspond à rien d’humain. (cité et commenté par LML)
« afféterie » s’écrit un accent aigu.
» afféterie » : manière pleine d’affectation par laquelle, dans le dessein de plaire, on s’éloigne du naturel et tombe dans un excès de recherche superficielle et contraire au bon goût » (TLF)
De l’afféterie dans ce bref passage d’un texte de Pontalis ? Mmmouais. Comme l’indique l’article du TLF, l’afféterie concerne la manière, la forme, non le fond. Je ne vois ici aucune afféterie mais suis plutôt frappé de la simplicité sobre de l’écriture. LML (dont je me suis laissé dire qu’il enseigne le français à des collégiens) ne me semble pleinement maîtriser ni l’orthographe ni le sens précis de ce mot. J’imagine le rapport d’inspection. » Monsieur LML est un professeur imaginatif, parfois trop. Ainsi, nous apprenons, en même temps que ses élèves, une orthographe inédite du mot « afféterie », qu’il écrit au tableau « affèterie », en l’assortissant d’une explication quelque peu fantaisiste…. etc… ».
Pour ma part, je ne reprocherais ici à Pontalis aucune afféterie, mais plutôt de la banalité, ce qu’il dit ici ayant été déjà si souvent dit avant lui…
L’appréciation de LML — » cette affèterie qui ne correspond à rien d’humain » — illustre son goût coupable pour l’anathème, au mépris de la vérité. Il me semble en effet que d’autres, bien avant Pontalis, se sont sentis et préférés citoyens du monde plutôt que citoyens d’un pays particulier. C’était déjà le cas, je crois, de Montesquieu (dont un texte célèbre illustre cette position), et l’on sait que Gide a fait le procès, de façon amusante et convaincante, de l’enracinement barrésien. Les jugements tranchants de LML sont malheureusement fragilisés par un certain manque de culture. On a pu déjà s’en rendre compte hier soir, en lisant avec stupeur quelques assertions de lui sur le Nouveau Roman, malheureusement démenties par la réalité des textes. Nous ne saurions trop recommander à LML de cultiver la précision, la nuance et la modestie. Son enseignement y gagnerait en qualité et sa fréquentation en agrément.
« afféterie » s’écrit un accent aigu. » (rédigé par mézigue)
« afféterie » s’écrit avec un accent aigu.
Langue Moisie, Peter Handke,avec un d au milieu. La lettre D vous fait peur ?
« Nous ne saurions trop recommander à LML de cultiver la précision, la nuance et la modestie. Son enseignement y gagnerait en qualité et sa fréquentation en agrément. » (rédigé par mézigue)
J’avoue que j’éprouve un plaisir sans mélange à cartonner ce con. Mea culpa. Je ne recommencerai plus. Promis, juré.
Ah ! et puis, LML est un cuistre mal embouché, hypocondriaque, certes, mais c’est probablement un brave type qui, de surcroît, a le mérite de gagner sa croûte dans des conditions difficiles, alors que moi, infâme retraité, je passe mes journées à me palper le jonc aux frais de la collectivité (en partie grâce aux retenues sur son salaire ! tu parles si j’en jubile rien que d’y penser). Allez, un pas de plus sur le chemin de l’autorepentance : je concède qu’il lui arrive de ne pas dire que des conneries. Ainsi (avec quelque solennité, et un brin de regret), j’enterre la hache de guerre. Cochon qui s’en dédit (ou qui s’en dédie ? TLF, à moi !).
Essai
John Brown dit: 5 juin 2013 à 19 h 33 min
l’enracinement barrésien
Ca dépend faut voir par exemple à Mandelieu-La Napoule c’est pas le même enracinement qu’à Sion-Vaudémont…
Je disais donc, mon premier post étant passé aux oubliettes que je trouvais bien étrange cet éternel besoin d’être médaillé et noté. Pierre Assouline, d’ailleurs serait-il tellement tenté de nous décorer? Tout autant que le Boug, je suppose, de distribuer à ses morpions des accessits, des filets garnis et des prix de vertu. Car nous ne sommes rien d’autre, en définitive, que les morpions littéraires du grand homme. Quel destin…
C’est vrai que Mauvaise Langue a beaucoup de qualités. Pourquoi ne pas le reconnaître? On lit toujours ses traductions avec beaucoup d’intérêt et même une certaine gratitude. Pour le reste, voyez ci-dessus et je ne m’excepte pas.
Ah John ça fait plaisir de vous savoir là, j’ai honte je ne connais quasi aucun auteur aucune référence il parait que ce genre de broutille est pardonnable quand on est née femme et dotée d’un 95B? Suis condamnable
L’enracinement barrèsien a été assez tardif, mais en dehors de la colline inspirée, il n’est vraiment sublime que quand il est loin de chez lui. Tolède et le Gréco, Amori et Dolori sacrum, La mort de Venise (qui doit se trouver dans Amori), Du Sang de la Volupté et de la Mort etc.
Rien sur le cheval ?
Car nous ne sommes rien d’autre, en définitive, que les morpions littéraires du grand homme
moi un grantom..et toi un morpion littéraire..on a toujours besoin d’un..on peut s’en servir de vecteur pour vacciner contre la rage..c’est certain
Pierre Assouline, d’ailleurs serait-il tellement tenté de nous décorer?
j’en doute d’autant qu’il proposa un jour un jeu proposant d’identifier le caricaturé avec des caricatures de david Levine en assurant le vainqueur de sa considération !
bilet qui n’est pas très ancien , mais d’une époque où je ne suivais guère (aujourd’hui des questions de santé m’immobilisent avec des souffrances assez rudes)
mais cette folie des notations n’est certaiement pas indépendantes du support (internet qui demande,propose -soyez le premier etc- ce qui est repris allègrement par les blogsdevenus pourvoyeurs de données « l’or numérique ai-je lu sur un blog du monde !)
je te décore de l’ordre du mérite chaloux..sergio de l’enseineskreutz..motocycliste oblige
Non, le Boug, le grand homme c’est pas toi, c’est Assouline.
Quoique tu aies certainement de conséquentes réserves car tu n’écris jamais de sonneries.
J’ai lu hier que la France était moins attractive pour les entreprises en plus. France moisie, vous voyez bien !
dsk..vdqs..vsop et disse de dère
… J’échappe au filet garni. Merci, Le Boug…
Cardo,
Je vous offre ce soir une histoire belge.
Comme j’aime.
http://www.youtube.com/watch?v=GTT8rpS8jhM
billet
n’est pas indépendante sans s (c’est la folie)
car tu n’écris jamais de sonneries
..pourra être retenu contre toi
John Brown, je crois tout de même que la vraie grande révolution ce serait plutôt Manhattan-Transfer de Dos Passos.
J’ai étudié ça dans le temps en Sorbonne (avec le génial Berlin Alexander-Platz de Doblin qui lui m’est resté).
J’échappe au filet
tu ferais gordini..avec la volvo on dira steve macqueen dans boulit
…M’en fous…
Avec un trait de vinaigre de Modena pour déglacer…
Je vous offre ce soir une histoire belge
elles sont toutes formidable..lacan gagne vachement sur internet..la gueule..les cheveux..la photo est toujours bonne..ce mec est prodigieux, la preuve faite du génie français dirait renato
..ma parole..et la chemise de la mort qui tue..même sans le son c’est estra..c’estra..aaa..a
le 13 octobre 1972, c’était le jour de mes six ans…
Bonne soirée,
…M’en fous…
c’est la prérogative principal du morpion..c’est un grand jean foutre..un colosse..enfin a cheval sur
M’en fous que ce soit retenu contre moi, Le Boug.
des journées entières dans les arbres dit: 5 juin 2013 à 20 h 16 min
c’est quand même une très binne idée ,votre envoi, parce qu’il a ltttéralement subjugué et des familles entières de « psys » .quel acteur ce Lacan !et il était sacrément bosseur !
Jacques avez-vous La Liaison Musset-Sand de Guillemin?
ton biotope est réduit au ticket de métro quand il t’en reste..tu peux pas aller bien loin
..pas étonnant que tu trouves « des qualités » a dracul..tout flatteur vit aux dépends de celui qui.. »un morpion sur une biroute perchée.. »
é c’est le morpion qui est perché..dracul lui il l’a toujours dans l’cul..c’est autoréférent son affaire
Chaloux dit: 5 juin 2013 à 19 h 52 min
Essai
Padepo ça a marché, il va encore falloir se le farcir toute la soirée.
La technique n’est plus ce qu’elle était.
mais ça ne veut pas dire que je n’ai pas préférer relire the homecoming de Pinter que j’avais vu monter par deux jeunes acteurs américains et anglais , avec un futur jeune couple américano(le journalite) français (la pubarde)!et que j’ai bien pensé à la RdL cette fois-ci !
et zut !
je n’ai pas préféré sans r !ils vont m’écorcher
!homecoming a été créé le 3 juin 65 , il y a 48 ans
Lacan bosseur, je ne sais pas Cardo.
Ce que je sais c’est qu’une copine psychiatre ne jure que par lui. Subjuguée. Médecin spécialité psychiatrie,je connais sa famille, un peu de sa vie. C’est un mystère cet envoûtement. je ne comprends toujours pas sa subjucation ni ne cherche plus à comprendre.
Mais je crois qu’elle m’a dit cela aussi, oui, qu’il avait fait un boulot énorme.
Le boulot de Lacan a été bien élagué dans un livre tout noir, que j’ai amicalement proposé de lui offrir. Ce qu’elle a refusé.
Peu avertie des nouvelles technologies, je pense que si je lui envoie Lacan en live, elle va rester des mois à bouder.
Déjà la dernière fois qu’on a causé du grand Jacques ça a été limite.
subjugation, erreur de langage !
le journaliste
l’un des acteurs (l’anglais faisait aussi barman dans la vie quotidienne ; l’américain était un dessinateur dont j’aimais bien le travail )
des journées entières dans les arbres dit: 5 juin 2013 à 21 h 03 min
quelqu’un qui le met en valeur ce boulot , c’est aussi Milner !
mais il y a eu tant de témoignages (par exemple celui de Gérard Haddad qui y emmena sa femme , femme avec laquelle il s’est marié trois fois !
http://www.psychanalyse-in-situ.fr/livres/GHaddadLe%20jourOu.html
tu mouilles ???
John Brown, je crois tout de même que la vraie grande révolution ce serait plutôt Manhattan-Transfer de Dos Passos. (rédigé par Chaloux)
C’est du moins la réputation qu’on a faite à ce roman, resté fameux pour son recours à la technique du « courant de conscience »; personnellement, il m’est par deux fois tombé des mains. Dos Passos n’avait pas le génie romanesque d’un Joyce ou d’un Faulkner, qui ont mené des recherches parentes de la sienne. En France, on ne doit guère lire aujourd’hui son abondante production romanesque; c’est sans doute dommage,mais, en plus, les traductions doivent avoir vieilli.
La mauvaise langue dit: 5 juin 2013 à 18 h 42 min
C’est une phrase d’une profondeur infinie.
Certes, une promenade jusqu’à la glotte,
et se servir de la bile pour :
laminer un fion…
Pourrie est l’Europe !!!.
Cardo,
Je découvre à l’instant qu’en France il y a un diplôme Master de psychanalyse.
Par exemple à Paris VIII, la chaire en est tenue par un ancien ouvrier agricole.
Bonne soirée
(ça va dégénérer si je ne m’arrête pas là)
Why not :
Manhattan-Transfer de Dos Passos.
Last exit to Brooklin !!!.
Y en a ici qui (mais faut-il s’en étonner étant donné le niveau général ?) réduisent les racines qu’on peut avoir de ses origines à la conception moisie que s’en faisait Barrès ! C’est une preuve soit d’une imagination quelque peu limitée soit d’un extrémisme de droite inavoué ou inconscient.
Les Juifs d’Espagne, quand ils furent chassés d’Espagne, parfois emportèrent avec eux la clef de leur demeure car là étaient leurs racines bien qu’ils fussent juifs. Il leur aurait semblé criminel à leur encontre d’aller leur dire qu’ils n’avaient pas de racines et qu’ils auraient pu s’en glorifier comme le fait Pontalis. Plus profondément encore un Juif qui ne se sentiraient pas de racines à Jérusalem serait-il encore Juif ? Jérusalem est la Ville de sainteté comme dit si bien Armand Abeccassis, et il viendrait à l’idée d’aucun juif de s’en dédire, même le plus athée d’entre eux. Là sont ses racines. Le discours de Pontalis est typique de cette gauche européenne déracinée, décervelée, qui a subi le lavage de cerveau de la bêtise européenne, c’est une façon de penser hostile aux Juifs par nature, qui refuse de reconnaître qu’on est de quelque part, que nous sommes, chacun d’entre nous, redevable d’une singularité qui définit toute notre identité ou une part de notre identité, même si par ailleurs — ce qui n’est nullement contradictoire — on peut se sentir citoyen du monde. C’est précisément le cas des Juifs qui sont à la fois sédentaires et nomades, d’ici et de partout.
Le thème de la ville en littérature ne remonte ni à Dos Passos ni à Döblin, ni à Céline avec New York et Paris au début et à la fin. Il remonte à la fin du 19ème siècle. N’oubliez pas, mes petits chéris légèrement limités, que Monet a peint La gare Saint-Lazare, expression emblématique du thème de la ville résultant de la révolution industrielle.
Il commence dans la poésie de Rimbaud, trois Illuminations portent le titre de Ville(s), des villes aux allures mythiques ; Emile Verhaeren a écrit de forts beaux poèmes sur les villes et notamment « L’âme de la ville », poème épique, que j’ai récemment étudié avec mes élèves d’ailleurs en liaison avec le tableau de Monet dont le poème de Verhaeren peut, à bien des égards, servir de commentaire poétique pour en comprendre les enjeux picturaux. C’est un thème qui devient proprement européen et universel au tournant du siècle, un grand thème de tous les arts. Pensons encore au poème de Rilke, Le Livre de la pauvreté et de la mort, qui brosse de Paris un tableau presque apocalyptique, ainsi que son roman, si envoûtant, si beau, Les Chahiers de Malte Laurids Brigge. Justement, le thème de la ville remonte aux saintes écritures, au thème de la Prostituée Babylone comme au thème de la Jérusalem céleste dans l’Apocalypse de Jean. C’est tout le thème prophétique qui anime de manière admirable le très beau poème épique de Verhaeren. Chez Baudelaire, on trouve aussi le même thème, c’est idem… mais dans une vision désastreuse propre à Baudelaire avec même les modification du Paris de l’époque hausmannienne. Tout le courant futuriste italien est habité par le thème de la Cité moderne, comme d’ailleurs le cinéma de Friz Lang, Métropolis, que je vais passer demain à mes élèves de 4ème.
La revue d’Esthétique y a jadis consacré deux numéros (n°3-4, 1977, « La ville n’est pas un lieu ») avec des articles passionnants dont certains n’ont vraiment pas pris une ride. Bref, c’est un thème très porteur de mille fantasmes, riche et fructueux.
(Vous avouerez que c’est quand mieux qu’une fiche wikipédia, hein ! Tas d’ingrats)
bouguereau dit: 5 juin 2013 à 20 h 10 min
l’enseineskreutz..motocycliste
Ha justement elle vient de rouler énormément…
…
…la le-con de la photo,…pour faire descendre la cavalière de son chameau à rêves saccadée,…
…
…se promener avec deux godes-ceinture en Or massif,…avec les couilles sertis de diamants,…de la maison » J.B.,Poings et Pieds Liés dans les Flammes « ,…succursales des » Rapetouts » connection Trust& C°,…
…
…touche pas à la biroute de mon pote,…
… » association de la protection de la nature « ,…etc,…c’est pas l’Or,…tout ce qui brille de deux milles feux de croix de bois,…etc,…le point Godwin déjà,…
…
a propos, LML,
avez-vous le numéro de la revue d’esthétique intitulé « L’objet local » de la même année 1977?
Non.
Eh ML, encore une louchonnerie. L’inventeur de la ville c’est Balzac, et même avant lui un écrivain qu’il appréciait particulièrement, Louis Sébastien Mercier. Et quid de Restif? sans oublier les sublimes descriptions de Londres qu’on trouve chez Dickens. « Fin XIXe », non !
A la fin du XIXe, en France, c’est surtout Huysmans que vous ne citez pas non plus…
ML, Leçons, leçons… Ce qui est vrai un soir l’est aussi les autres jours… Réfléchissez avant d’écrire, même pour des lecteurs « légèrement limités » qui ne sont peut-être pas si bêtes que vous croyez.
Chaloux, vous êtes infantiles. Vous me faites penser à ceux qui relèvent les fautes d’orthographe.
L’invention de la ville n’est ni dans Balzac, ni dans Dickens ni dans Louis Sébastien Mercier. La ville n’y est pas le personnage principale, elle reste encore un décor, une géographie morale et politique.
L’invention de la ville à proprement parler qui fait d’elle le centre de la représentation ne relève que de la fin du XIXè siècle. Le tableau de Monet, La gare Saint-Lazare est emblématique à cet égard.
Vous êtes toujours dans l’objection bâtarde, Chaloux. Simplement pour contredire comme les enfants qui ne savent que dirent non à leurs parents. Apprnez un peu à grandir, à construire avec vos interlocuteurs une pensée digne de ce nom au lieu des ces objections qui ne servent qu’à envenimer un débat auquel au fond vous ne voulez pas participer mais seulement venir déposer votre petite crotte. C’est votre niveau ordinaire. Lisez plutôt l’article de Blumenkranz dans la Revue d’esthétique sur le futurisme italien ou le bouquin de Pierre Sansot, ça vous mettra un peu de plomb dans le bulbe rachidien.
Si, je suis en-dessous de la vérité quand je dis que vous êtes bête. En réalité, vous êtes bête et méchant. Et comme dit Clément Rosset, y a-t-il une différence entre la bêtise et la méchanceté ?
Dans la poésie des villes, il faudrait aussi compter Joyce, les Poésie de A. O. Barnabooth, de Larbaud dont Robert Mallet dit avec sensibilité que « c’est à lui qu’on doit, rien qu’à lui, cette extraordinaire façon de mêler les visages des villes aux paysages féminins, les visages de femmes aux sensualités des villes, ce ton de confidence chuchotée qui contient la grandeur d’un lyrisme prodigue, et cette versification de l’impuissance avouée qui, précisément, crée le mystère de la sincérité dans ses difficiles rapports avec le Verbe. »
Ça c’est de la critique dense !
Mauvaise Langue, vous ne maîtrisez pas le quart de ce dont vous parlez. Votre réponse est grotesque.
Ceci : »L’invention de la ville n’est ni dans Balzac, ni dans Dickens ni dans Louis Sébastien Mercier. La ville n’y est pas le personnage principale, elle reste encore un décor, une géographie morale et politique. » C’est absolument n’importe quoi.
ce que je me demande c’est pourquoi à chaque fois qu’on corrige vos absurdes propos, vous dérivez automatiquement sur « la bêtise » ou la « méchanceté », c’est incroyable, et vraiment « infantile », comme vous dites.
De plus, votre incompréhensible propos cité plus haut démontre que vous ne connaissez aucun des trois auteurs cités. La ville de Balzac « un décor »…, le Londres de Dickens (ou la ville industrielle des Temps Difficiles) un décor. Tout cela est d’une telle niaiserie.
Mais après tout, je m’en fous. Que ceux qui en savent encore moins que vous s’imaginent, en vous lisant, lire un texte de qualité. L’ignorance doit être bien amusante, sans doute, pour qu’il y ait tant d’ignorants.
Et je suis bien persuadé de ne pas être ni plus « bête » ni plus « méchant » que vous qui êtes indécent.
Je ne vous lirai plus.
Ne dit-on pas du grand oeuvre? un hors d’oeuvre?un surhomme? Je serai votre dame de carreau dans ces conditions inéluctables donc
ODE
Prête-moi ton grand bruit, la grande allure si douce,
Ton glissement nocturne à travers l’Europe illuminée,
O train de luxe ! et l’angoissante musique
Qui bruit le long de tes couloirs de cuir doré,
Tandis que derrière les portes laquées, aux loquets de cuivre lourd,
Dorment les millionnaires.
Je parcours en chantonnant tes couloirs
Et je suis ta course vers Vienne et Budapesth,
Mêlant ma voix à tes cent mille voix,
O Harmonika-Zug !
J’ai senti pour la première fois toute la douceur de vivre,
Dans une cabine du Nord-Express, entre Wirballen et Pskov.
On glissait à travers des prairies où des bergers,
Au pied de groupes de grands arbres pareils à des collines,
Étaient vêtus de peaux de moutons crues et sales…
(Huit heures du matin en automne, et la belle cantarice
Aux yeux violets chantait dans la cabine à côté.)
Et vous, grandes places à travers lesquelles j’ai vu passer la Sibérie et lkes monts du Samnium,
La Catsille âpre et sans fleurs, et la mer de Marmara sous une pluie tiède !
Prêtez-moi, ô Orient-Express, Sud-Brenner-Bahn, prêtez-moi
Vos miraculeurx bruits sourds et
Vos vibrantes voix de chanderelle ;
Prêtez-moi la respiration légère et facile
Des locomotives hautes et minces, aux mouvements
Si aisées, les locoimotives des rapides,
Précédant sans effort quatre wagons jaunes à lettres d’or
Dans les solitudes montagnardes de la Serbie,
Et, plus loin, à travers la Bulgarie pleine de roses…
Ah ! il faut que ces bruits et que ce mouvement
Entrent dans mes poèmes et disent
Pour moi ma vie indicible, ma vie
D’enfant qui ne veut rien savoir, sinon
Espérer éternellement des choses vagues.
(V. Larbaud)
C’est si beau ! Du temps où l’Europe n’était pas un mot creux ! Où l’Europe n’était pas moisie ! Ah ! j’aime cette époque dont on a la nostalgie sans même l’avoir jamais connue.
Non, ma réponse n’est nullement grotesque, mon brave Chaloux. Si vous étiez moins infatué de votre bêtise, vous le sauriez depuis longtemps que vous êtes un con.
Faut vraiment être le dernier des cons pour aller prétendre qu’un professeur de lettres qui enseigne tous les jours la littérature ignorerait tout de Balzac et qu’il ne maîtriserait pas ce dont il parle.
L’absurdité de vos propos vous dénonce comme con fini.
Mauvaise Langue Vous confondez discours et savoir. Vous imaginez que discourir c’est savoir. Vous discourez sans savoir. Vous êtes un imposteur logorrhéique doublé d’un perroquet crétin et au bout du compte ignare.
À destination du crétin professionnel (j’ai nommé le divin Chaloux), ces propos de Noémie Blumenkranz-Onimus dans le numéro de la revue Esthétique « La ville n’est pas un lieu » : Dès le milieu du XIXè siècle, la cité moderne dont les structures ont radicalement changé avec le développement de la société industrielle devient un thème de réflexion pour les philosophes, les esthéticiens, en même temps qu’une nouvelle source d’inspiration pour les romanciers, les poètes et les peintres. »
Voilà, gros con ! Là, tu vas la croire, Noémie Blumenkranz-Onimus ! Elle est estampillée dans une revue que tu respectes ! Alors que tu ne respectes pas les professeurs qui t’apparaissent comme des ignares qui ne maîtrisent pas leur siujet, comme des incultes prétentieux alors que je ne fais que dire ce que tout honnête homme est sensé savoir. C’est toi qui est un petit merdeux méprisant et ignare. Et il me faut une bienveillance hors du commun et une patience d’ange pour supporter tes grosses bourrades de paysan.
Quant aux profs de collège…mon Dieu… Trissotin…(Remarquez d’ailleurs que ce que vous devriez enseigner d’abord c’est l’orthographe et que vous n’en avez pas les plus élémentaires notions… Commencez donc par le commencement).
Et pauvre connard ! Les profs de collège ils te chient dessus et tous ceux de ton acabit ! Tu viens de signer : Je suis le gros con de service !
Encore une fois, tu ne sais pas lire. « La cité moderne », ce n’est pas la ville. C’est la cité moderne. C’est autre chose. La ville est un personnage bien plus ancien dans la littérature que « la cité moderne ». De même que tu lis Quignard en commençant par le dernier mot de la phrase, tu t’obstines en continuant à taper à côté. Tu ne sais pas lire.
Et franchement ce que « pense » de moi un prof de collège à la ramasse, sans aucune expérience de la vie, je n’en ai vraiment rien à foutre. Je tape un peu plus haut.
En fait, vraiment beaucoup plus haut… Pauvre pomme.
…
…la ville vaut mieux en être de la tête,…
…certain préfèrent en être de l’oignon,…
…
…a t’on vraiment le choix,…lez dispositions,…encore faut’il attendre son tour,…Ulysse à fait un long voyage,…
…etc,…encore un tour,…pour les » au mur de verre « ,…dans l’estomac des transcendances revigorées,…
…en être ou ne pas en être de la ville ou à sa périphérie,…à l’union des clans pour assurer un héritage des biens et services,…
…etc,…raisons d’état,…n’est pas coups de marteaux perpétuels,…etc,…
…
Là, tu vas la croire, Noémie Blumenkranz-Onimus ! Elle est estampillée dans une revue que tu respectes !
« Et franchement ce que « pense » de moi un prof de collège à la ramasse, sans aucune expérience de la vie, je n’en ai vraiment rien à foutre. Je tape un peu plus haut. »
Sacré Chaloux ! Il tape plus haut…
‘Estampillez’ ?! ‘estampillez’ ! ‘estampillez’… c’est quand même beau : ‘estampillez’… ah ! quelle fraicheur ! la chance qu’ils ont ces élevés de 5e…
Entre-temps Chaloux tape plus haut…
A la demande de l’ami Chaloux, qui ne supporte pas d’être soumis à la « pensée » vivifiante, pédagogique et moisie de l’épouvantable LML, nous organisons aujourd’hui un sondage exclusif en RdL :
« QUE PENSEZ-VOUS DE CHALOUX ? »
Le gagnant recevra la jolie cavalière en récompense. La gagnante, l’étalon paisible. Les indécis, les deux affreux clébards !
Et toujours rien sur le cheval… bon, je constate que l’on a reconnu qu’il est paisible… enfin, d’après la posture il me semble qu’il patauge dans l’ennui, plutôt, mais disons paisible…
renato dit: 6 juin 2013 à 6 h 30 min
renato dit: 6 juin 2013 à 6 h 33 min
Quand le Toto chauffe sa voix de bonne heure, il y a bien des chances pour que la journée tautologique soit supérieure.
Pour ses grâce, louons le Seigneur.
@dans les branches
bonne journée !
http://www.thisiscolossal.com/wp-content/uploads/2013/06/pablo-8.jpg
« … surdiplômé »
Et voilà le garçonnet qui se cache derrière le tablier de sa maman… Ah ! le courage et la force de caractère de ces grands anonymes !
‘as pas cent neurones ?….. dit: 6 juin 2013 à 6 h 56 min
« QUE PENSEZ-VOUS DE CHALOUX ? »
Civilisation des loisirs.
Vous avouerez que « taper plus haut », dit dans l’environnement de la RdL, vaut largement le beau « estampillée dans une revue »…
comme quoi tous erdéliens ont des chances !
Edgar Allan Poe : ce « cinglé » qui pollue l’histoire littéraireSur Goodreads, on n’a pas de complexes
http://www.actualitte.com/acteurs-numeriques/edgar-allan-poe-ce-cingle-qui-pollue-l-histoire-litteraire-42856.htm
renato dit: 6 juin 2013 à 8 h 26 min
Grande journée en perspective. Toto se prépare à un déchaînement d’esprit…tautologique.
Bon courage à ceux qui restent.
Tu viens de signer : Je suis le gros con de service !
Et rénato, en silence, sûrement acquiesce…
Pas mal qu’il y ait une plage
sur la Rdl le 6 juin !
Débarquement.
Le pauvre Mauvaise Langue est tellement vexé et désarçonné, qu’il essaie de détourner la conversation. Chut … J’ai rien dit.
aec une super adaptation sans complexe des mots su monde à l’orthographe et au style des erdéliens du supérieur
« . Pis : des joueurs rapportent leur exemplaire, frustrés par la pauvreté des graphiques et sa mauvaise jouabilité.
écrivez Joue- habilité ou joibilité
aec une super adaptation des mots de
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/06/05/archeologie-a-la-recherche-des-millions-de-cartouches-de-jeu-enterrees-dans-le-desert-americain/
Polémikoeur. dit: 6 juin 2013 à 8 h 38 min
Le poétaillon sénile débarque à 8H30.
La patrie est sauvée.
Toujours caché derrière le tablier de sa maman le petit anonyme frustré ?
renato dit: 6 juin 2013 à 6 h 30 min
‘ »la chance qu’ils ont ces élevés de 5e… »
Parole de rabattu de la 11e?…
Une pensée émue et sincère pour les petits gars qui sont morts sur les plages le 6 juin 1944 en visitant la France. Une dizaine de mille sur les 150.000 hommes débarqués ce jour là, essentiellement des Anglo-américains.
Il y a des anniversaires où l’on peut être tristes, mais heureux de ce qu’il advint grâce à eux.
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