Bonne année 2016 ! Meilleurs voeux d’amitié…
Y a-t-il plus beau titre pour un roman que Mes amis ? N’essayez pas, c’est déjà pris et bien pris. Il orne la couverture d’un livre inoubliable d’Emmanuel Bove (240 pages, 17 euros, L’arbre vengeur), que le dernier carré de ses fidèles lecteurs s’échangent comme un mot de passe, longtemps après sa parution en 1924, encouragés par la récente et soignée réédition à l’initiative de L’arbre vengeur, maison sise à Talence en Gironde. C’est un livre doux et mélancolique, pathétique sans misérabilisme, écrit dans une langue oubliée. Bove avait le génie de parler de soi sans parler de lui. On ne fait pas plus discret. Pas la moindre tentation de draper ses réflexions sur les choses de la vie pour en faire des vérités universelles. Un chapitre par ami. On dirait des nouvelles. Ils s’appellent Lucie Dunois, Henri Billard, Neveu le marinier, Monsieur Lacaze, Blanche. Des héros typiques d’une littérature arrondissementière qui promènent leur mélancolie d’une terrasse de café l’autre, leurs châteaux à eux. Vus par le narrateur, un certain Victor Bâton qui est le double de l’auteur, ils sont souvent réduits à une émeute de détails, mais si aigus et précis, et même « touchants » selon Beckett qui l’admirait, quand c’est Bove qui tient la plume. Son don d’observation est à son meilleur dans leur évocation : une épicier si gras que son tablier est plus court devant que derrière ; un Bottin dont quelques pages dépassent la tranche imprimée ; un manteau sur lequel on souffle pour savoir si c’est de la loutre ; des lèvres qui, à force d’être séparées, n’ont plus l’air d’appartenir à la même bouche ; une femme pour la première fois dénudée dont son amant d’un soir remarque le vaccin sur le bras ; un inconnu qui marche en posant le talon avant la semelle comme un nègre ; un homme ivre qui se regarde dans la glace et se reconnaît tout de même bien qu’il ait l’air d’être en cour d’assises ; la laideur des cheveux qui sèchent sous un chapeau. Et lui, le narrateur, qui sillonne la ville dans l’espoir qu’un événement bouleverse enfin sa vie, emprunte toujours les escaliers de service pour mieux respirer, pauvre et ne connaissant personne sans savoir laquelle de ces deux misères lui pèse le plus. Sa langue est sobre ; dépouillée mais sans sécheresse, elle ne recherche pas l’effet ; c’est l’art de dire presque tout avec presque rien ; on dirait du français du monde d’avant et pas seulement en raison d’un emploi naturel et abondant de cet imparfait du subjonctif que nous ne lisons plus sans nostalgie.
Humilité, insécurité, précarité, intranquillité : voilà dans quoi baigne l’atmosphère de cette galerie de portraits qui ne sont pas d’ancêtres. Avec la solitude pour leur faire cortège. La cruelle solitude, celle qu’on subit, et non la clémente, celle qu’on choisit. Dans une préface pleine d’empathie, Jean-Luc Bitton rappelle à quel point les maux de ses héros de la vie quotidienne, des personnages qu’il ne méprisait jamais, reflétaient les tourments d’Emmanuel Bove. Un absent, un inadapté, un à part. « Triste, mais jamais désespéré ». On le disait taciturne alors qu’il pensait juste à autre chose. C’est rare, un écrivain qui a du cœur. Mes amis est l’histoire de leur quête éperdue à travers la ville par un homme qui crève de ne pas en avoir. Juste pour leur confier ses peines. A défaut, nous en sommes les heureux destinataires.
Parfois, on les croirait échappés d’un aussi beau recueil consacré par Bernard Morlino aux amitiés littéraires sous le titre Parce que c’était lui (368 pages, 24,95 euros, Ecriture), et pas seulement parce qu’il est dédié « aux amis » ! Cela commence, on s’en doute sous un tel titre, par Montaigne et La Boétie pour s’achever, on s’en doute moins, par Alphonse Boudard et Louis Nucéra. L’auteur est parfaitement à son affaire avec les trente-cinq liaisons fraternelles qu’il a choisi de raconter : Valéry et Mallarmé, Cocteau et Max Jacob, , Queneau et Pérec, bien sûr ; mais aussi Proust et Lucien Daudet, Apollinaire et Rouveyre, Saint Ex et Léon Werth, Céline et Marcel Aymé, Georges Brassens et René Fallet, Char et Camus, Morand et Chardonne, Drieu et Rigaut, Guitry et Willemetz, Cabu et Wolinski… Si l’amitié est une grâce, un don peut-être tant certains ne sont vraiment pas doués pour faire l’amitié, on ne nait pas ami, on le devient. Non par l’effort, quelle horreur en cette circonstance, mais par l’attention, la disponibilité, la bienveillance critique et autres petites grâces qui donnent le goût des autres. Cela se fait à coups de téléphonages, de lettres, de dédicaces, de raccompagnements à pied, toutes choses constitutives de la conversation. Entre écrivains aussi. Entre écrivains surtout dans la mesure où l’amitié, c’est deux solitaires ensemble.
Morlino a lu quantité de correspondances et de journaux intimes d’où il a su extraire des lueurs éblouissantes. Toutes ces amitiés n’ont pas duré, certaines ont été aussi brèves qu’intenses, quelques-unes ont été fertiles en jalousies orageuses ; car, en amitié comme en amour, l’exclusivité est un poison. Bernard Morlino rend tout cela avec une joyeuse érudition, un réjouissant sens de la formule et un humour teinté de mélancolie car ces hommes à plume, dont certains furent ses propres amis (Soupault, Berl, Nucéra) ne sont plus. Tiens, il n’y a que trois femmes : Mme du Deffand, George Sand et, au siècle suivant, Anne Philippe. Serait-ce que… Allons ! Il a certainement un « Parce que c’était elle » qui ronge son frein sous sa plume.
Parfois aussi, on se croirait dans un album de Sempé. N’importe lequel et plus encore le nouveau Sincères amitiés (152 pages, 32 euros, Editions Martine Gossieaux/ Denoël). L’ambiance est plus gaie que chez Bove. Plus proche de l’univers de Jacques Tati auquel Arte vient de rendre un juste hommage (il l’a connu, l’admire et a même dessiné l’affiche d’un de ses films). Franchement souriante, mais tout aussi aiguë. Des gens si petits dans un monde si grand. C’est ce petit bonhomme, sa veste dans une main, une branche dans l’autre, qui toise le ciel du haut du talus sur lequel il est juché :
« J’ai toujours pardonné à ceux qui m’ont offensé. Mais j’ai la liste »
La chose est évoquée comme un pacte qui ne serait jamais énoncé, ce qui prête naturellement aux pires malentendus. Interrogé, le dessinateur peine à la définir autrement qu’en la dessinant. Ce serait deux petits garçons qui ne cesseraient de se raccompagner à leurs domiciles sans se résigner à se quitter. Seulement voilà : ce dessin, il l’a juste rêvé. Impossible d’aller au-delà : « Je ne sais pas comment terminer ». Tant mieux parce que s’il savait, ce ne serait pas de l’amitié. Avec Sempé, elle est toujours délicate, subtile, pudique et se nourrit non de silences mais de peu de mots, juste que ce qu’il faut. Jusqu’à l’aveu : « L’énorme et insoluble problème, c’est la solitude ».
J’ignore si Dieu est amour mais ce serait déjà bien qu’il soit amitié.
(Dessins de Sempé extraits de son album Sincères amitiés (entretien avec Marc Lecarpentier, 154 pages, 32 euros, Denoël/ éditions Martine Gossieaux) et exposés à la galerie Martine Gossieaux jusqu’au 31 mars)
699 Réponses pour Bonne année 2016 ! Meilleurs voeux d’amitié…
Je vais être en retard à la messe !
5 h 39 : ‘tain la prose de JC, à tomber… dans le gnangnan, on dirait Dupont-Aignan encore plus rigolo
Bien d’accord avec vous Lacenaire !
Dès que j’ai le dos tourné, ce crétin de JC en profite. Ce pervers est d’un gnangnan !
Ah ! tout le monde ne peux jouir d’une finesse d’esprit, d’une culture de balcon, ou de vrai d’ailleurs, comme la vôtre… bien à vous.
Tu as perdu si tu es toi, JC…
Je ne suis jamais moi…. trop dangereux.
La France fout le camp !… Votez pour moi.
… c’est parfait comme ça… touchez à rien !
Madame Pessoa, la poissonnière favorite de JC trouve son nouveau pseudo très bien, il correspond bien au ridicucule de l’impétrant (mot qu’il va chercher dans le dictionnaire pasque trop compliqué pour lui)
Poursuivant, en vain, une carrière de bedeau dans une des meilleures madrasa du 93, nous avons appris que William Legrand, le bedeau dont on cause, était né William Legland, nom qu’il refusait depuis la maternelle où il était entré par piston, n’ayant pas le niveau.
Il est des dissimulations qui révèlent la personnalité, plutôt qu’elles ne la cachent. Tous nos vœux, Legland !
Oui bon, on ne vous a pas demandé si vous aviez honte du changement de classe de salaire en devenant porte-parole du ministre de la défense, hein. Déjà que le faux gratuit des professionnels de la profession du culte geeko vaut son pesant de cacahuètes là où l’on se vente plein gaz de se battre jusqu’au sang pour la liberté d’expression!
Question à laquelle Bourdieu n’a jamais répondu : quelle différence entre un champ des luttes et un champ de patates ?
Bonjour à « l’amitié 2016 ».
J’aimerais bien être plus régulier sur ce blog, mais il y a tellement d’autres choses plus urgentes à satisfaire que de prendre parti sur les tristes différends stendhalo-flaubertiens de WGG et alter, et tant de livres à lire ! Très curieusement, j’ai arrêté le lecture d’Emmanuel Bove le jour où j’ai découvert Pérec, et maintenant je me rends compte de la nécessité de réparer l’oubli de « Mes amis », grand plaisir à venir, je le pressens. .
J’aimerais tant pouvoir discuter des lectures de Passoul en temps réel, mais il faut bien convenir que c’est toujours trop tard ou trop tôt, de la frustratio rdélienne permanente. Il ne parle pas des bouquins de mon actualité, et les bouquins de son ‘actualité’ (médiatique) me sont souvent incompréhensibles voire indifférents.
Or, il faut quand même rester un poil en osmose, sinon, à quoi bon sévir par ici ? Autant alors évoquer la mémoire des premiers disparus de l’an 2016, par exemple celle de ce lecteur assidu et silencieux du blog, qui se plaignait de ses amis : « on dirait que t’as peur de marcher dans la boue ».
En dépit et s’il se peut, à nouveau : bonne année à toutes et à chacun.
Le notaire est folle de la messe.
11.45 Question à laquelle Bourdieu n’a jamais répondu : quelle différence entre un champ des luttes et un champ de patates ?
Erreur, une réponse explicite un peu moins triviale que la question se trouve dans « Le bal des célibataires », aux pages 92-96.
A quelle date est prévue la parution du nouveau roman de Pierre Assouline, Golem ?
J’ai consulté dans ma bibliothèque « Le bal des bacheliers », ouvrage qui ne comporte que 90 pages !
Il est exact que j’avais acheté cet ouvrage à moitié prix. D’un autre côté, j’avais consacré à sa lecture moitié moins de temps. Certains livres saints y trouveraient avantages certains.
Lacenaire dit: 3 janvier 2016 à 9 h 55 min
5 h 39 : « ‘tain la prose de JC, à tomber… dans le gnangnan,
il va de mal en pis
a 5.39 mais c’est très magnifique ce que vous dites sur le lecteur qui a tous les droits sur la critique, coryphée. Je suis d’accord.
12.09 vous vous êtes trompais de livre, pas étonnant que vous y arrivé pas, corifore.
…
…le travail,!…en conjecture,!…à finaliser,…une passe en » or « , pour faire ses buts,!…
…
…tout ces bijoux en or,…avec d’authentiques pierres précieuses de raretés comme prétextes,!…pour hisser les prix,…of course,…
…en compagnie de monnaies antiques détachables à la scie d’orfèvre,!…
…déjà à la cire injectée,…perdue,…
…préparé sa sortie de pension,…
…déjà, sur un autre » travail « , libre, suivant son agrement, personnel,…
…le style, parce que l’or en lingot, c’est d’un courant d’Ö,…sous les pont à Lune’s,!…
…reflets d’apparences, les états sur des ordonnances,…etc,…
…
…des » amis « , pour se faire copier/coller,…
…
Ne vous exposerai pas en détail l’effet éprouvé par la dernière vision et audition de gueules francophones assistées par une boîte à moyens allemands, ça fait déjà un bout de temps, celui du replay chez arte est dépassé. Et puis enfin ma bonne dame, il y a urgence à envahir la Pologne chez les nazillons. Les problèmes de tuyauterie c’est toujours chez les autres, évidemment.
Cristiane dit: 3 janvier 2016 à 12 h 39 min
a 5.39 mais c’est très magnifique ce que vous dites sur le lecteur qui a tous les droits sur la critique, coryphée. Je suis d’accord.
oui, je l’ai pensé !
…
…la recherche d’emplois,!…laisser courrir le bruit de travail précis en boîtes,!…
…Oui,! baisser votre culotte, nous sommes en Finlande,…
…les aristo d’héritiers en vadrouille,!…
…avec une loupe Gargantua à papillons,!…
…pas mieux au coffre,!…etc,!…
…
Bon, le téléchargement sur ma liseuse merdoie passablement (une histoire de mise à jour de logiciel que je ne sais pas installer). Donc, la lecture de Louis (que je serai seule ici à opérer, d’après ce bon WGG…) va être reportée.
Quand même, dire tout de suite que quelque chose éveille ma curiosité : le titre. « Histoire de la violence ». On pense bien entendu à l’histoire de la folie de Foucault, on visualise un livre-thèse, quelque chose comme le deuxième sexe de Beauvoir qui synthétise histoire mythologique, évènements historiques, thèses scientifiques ou philosophiques sur un sujet : ici le concept de féminité, là le concept de violence, par exemple…
Ce titre apparaît donc en formelle opposition avec l’intitulé « roman » apposé en dessous. J’espère trouver l’explication de cette surprenante et apparente contradiction à l’intérieur – mais si le livre est aussi nul que le pense le Magazine Littéraire, je risque d’être déçue.
Le but de ma lecture n’est d’ailleurs pas de contredire l’opinion du Magazine Littéraire, mais de mettre en examen le texte critique, si violent, radical, si peu argumenté selon moi (parce qu’enfin, qu’est-ce que ce « Bourdieu mal digéré » ? Qu’est ce que ce genre, l’autofiction, qui serait « bâtard » ??? Et qu’est ce que ces jugements sur les intentions de l’auteur – le critique affirme posément que Louis aurait racolé le client, en quelque sorte, sans même envisager qu’il puisse y avoir une sincérité quelconque là-dedans. Et puis, le pire de tout : le critique qui soupire : « Louis a toujours le même rôle : celui de la victime ». Sauf qu’à mon sens, avoir été victime d’homophobie pendant son enfance ne conduit pas forcément à se faire agresser sexuellement en plein Paris, mais être agressé vous transforme bel et bien en « victime ». Je ne comprends pas l’accusation, ici, du critique. Mais peut-être qu’à la « mauvaise » lecture à laquelle je vais m’astreindre, j’y verrai plus clair ? )
Opposer le lecteur au critique quelle idiotie car un critique est un simple lecteur qui pose quelques arguments recevables dans une histoire d amour ou de déception devant un texte Christiane on vous connaît plus inspirée
Ben jsutement, Paul Edel, je ne trouve pas du tout que les arguments du critique du Magazine Littéraire, (je ne mets pas son nom, parce qu’il semble qu’au-delà du critique, ce soit la rubrique de la page 48 qui soit conçue ainsi) soient recevables. Affirmations gratuites, manques d’explication, retour sur l’histoire je le veux bien (ainsi que l’a noté notre hôte) mais avec quelle parti-pris de déglingage systématique… Et pas un mot sur les innombrables et lamentables attaques homophobes (ici même, tenez) que Louis a essuyées de toute part.
De la part d’un critique, ce serait d’ailleurs la première chose à faire, à mon sens. Mettre en perspective la façon dont le premier livre a été reçu avec l’homophobie ambiante, d’une part, et analyser le style du second livre en perspective avec le style du premier (car il y en avait un, et au moins pour moi, c’était la première fois qu’on mélangeait ainsi récit personnel et analyse socio).
Perso, je m’en tape un peu total du gay d’Hallencourt. Que sont devenus ses potes, au fait, ceux, que chochotte, il regardait de biais ?
C’est koi le sommaire du mag litt’ de janvier ?
http://www.magazine-litteraire.com/mensuel/563#sommaire
Saint Ch.ant, parlez de Père Noël si ça vous chante…
Après tout on appelle bien fils de l’homme celui d’une vierge en contraste étrange avec les traditions judéo-grecques où la femme est engendrée par une partie de l’homme. Tordant…
Mais peut-être qu’à la « mauvaise » lecture à laquelle je vais m’astreindre, j’y verrai plus clair ? (Clopine)
Je vous le souhaite.
Il est tentant de jouer simultanément un double rôle mais il est exceptionnel qu’on soit également bon dans chaque partie.
J’ai toujours aimé ce début de Misère de la Philosophie par le jeune KM:
« M. Proudhon a le malheur d’être singulièrement méconnu en Europe. En France, il a le droit d’être mauvais économiste, parce qu’il passe pour être bon philosophe allemand. En Allemagne, il a le droit d’être mauvais philosophe, parce qu’il passe pour être économiste français des plus forts. Nous, en notre qualité d’Allemand et d’économiste à la fois, nous avons voulu protester contre cette double erreur. »
Vous remarquerez qu’il n’endosse pas explicitement la toge du philosophe, ce serait opposer à P. une critique symétrique. Il préfère se présenter en modeste Chleuh.
Il est naturellement très injuste avec Proudhon mais quoi, il est plus brillant
(il y a une lettre de lui à la mort de P. où il reconnait le caractère epochemachend de certains de ses écrits).
Il y a comme ça des écrivains/psychanalystes, des sinologues/philosophes, des économistes/historiens (comme Attali-Riz)…
Louis est aimé des sociologues bourdeusiens parce qu’il passe pour écrivain, il est admiré par les littéraires amateurs d’ego-fiction parce qu’ils saluent en lui l’ambition de l’ (auto-)sociologue.
Les deux populations réunies, ça fait du nombre!
le style du premier (car il y en avait un, et au moins pour moi, c’était la première fois qu’on mélangeait ainsi récit personnel et analyse socio). (Cl.)
Voilà.
a vie dans les bois dit: 3 janvier 2016 à 13 h 57 min
Perso, je m’en tape un peu total du gay d’Hallencourt. Que sont devenus ses potes, au fait, ceux, que chochotte
C’est pas un chouia vulgaire, pour un magnifique début d’année?
Je ne savais pas qu’il existait un Miochel Delpech.
Ah ça rend modeste.
« Bourdieu mal digéré »
Après les fêtes de l’ esprit, c’ est d’ une évidence!
Oh, P.Edel, retournez à votre dialogue avec… Charlus et laissez-moi citer quelqu’un qui me prêtait une pensée très proche de la mienne.
Bien sûr que les critiques littéraires sont des lecteurs mais bien sûr aussi que souvent ils se trompent et restent enfermés dans leurs attirances ou l’inverse.
Ci-dessous, entre … et …. ce n’était pas de la critique littéraire mais l’art de l’escrime avec une badine bien effilée.
Lisez d abord le roman clopine sans préjugés et Assouline vous publiera dans le magazine littéraire il y a une certaine influence ou bien un journal normand ou bien prenez votre temps pour rédiger un grand article sur ce Louis et vous aurez reconnaissance et admiration car les blogs ne demandent que ça,decouvrir de nouveaux Roland Barthes
Critique, lis tes ratures!
Critique dard, tu m’ es une écharde à mon regard.
Relisez Christiane un Gaëtan Picon ou un Roland Barthes ou un Baudelaire avant de bêtement vous acharner sur la critique littéraire
« L’écrivain » du blog y écrit aussi mal qu’un toubib. Snobisme? Mépris? La prose de Passou, impeccable toujours.
Etre homophobe, c’est être sain. Etre homophile, c’est être malsain … voilà la leçon des Livres Saints ! Rompez !
Le Magazine littéraire, sur son site, retranscrit la première phrase du roman d’E. Louis ; a-t-on envie d’aller plus loin ? Je réponds : oui :
« Elle dit que quelques heures après ce que la copie de la plainte que je garde pliée en quatre dans un tiroir appelle la tentative d’homicide, et que je continue d’appeler comme ça, faute d’autre mot, parce qu’il n’y a pas de terme plus approprié à ce qui est arrivé et qu’à cause de ça je traîne la sensation pénible et désagréable qu’aussitôt énoncée, par moi ou n’importe qui d’autre, mon histoire est falsifiée, je suis sorti de chez moi et j’ai descendu l’escalier. »
Bloom dit: 3 janvier 2016 à 14 h 32 min
« L’écrivain » du blog y écrit aussi mal qu’un toubib. Snobisme? Mépris? La prose de Passou, impeccable toujours.
Un Maître de Blog n’aime pas les lèche-culs!
(Enfin, j’y connais rien, on m’a dit ça)
Ah ça rend modeste.
c’est que marx étouye un grand polémiss zouz..faire la fine doublure là ou ya eu cautèle c’est gratter les ors..et pis proudhon avec bakounine ton copin a sorti aussi les premières pages maous sur le totaltitarisme..het houi elles sont pas de droite..ils auraient cru se tirer au tromblon dans les arpions
bouguereau dit: 3 janvier 2016 à 14 h 36 min
proudhon avec bakounine ton copin a sorti aussi les premières pages maous sur le totalitarisme
Avec Bakou?
C’est parfaitement juste.
En ce début d’année, la vulgarité langagière d’un uhuh , toquard en chef -qui fait sur la rdl sa pige islamophobe et ménardienne, verbeux plein de vide- ne ternira ce panorama magnifique, sous le ciel annonciateur de joies pleines de puff à venir; et qui s’offre, là, tellement proche, comme un « souvenir déterminant », cher à Daumal.
Lisez d abord le roman clopine sans préjugés et Assouline vous publiera dans le magazine littéraire
polo y veut nous faire acheter et lémile et le magazine litteraie..jicé t’as pas bon : le critique c’est le biznèce..haprés hon peut dire qu’on s’est fait henflé..mais hon est dans l’commerce
Un Maître de Blog n’aime pas les lèche-culs!
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Passou sait très bien à qui il a affaire, Herr Hauptmann. Il existe une vie hors ce blog où il nous arrive d’échanger. Mais, chut!
emile louis est un symptome..c’est dla jeunesse un peu ringarde de province rélégué même pas noir kamini au pot d’échappement qui sfait dauber par du vieux parisien..parcequ’à force de sêtre prise par le cul la critique est un peu parisienne..ça n’a rien d’essentialiss lassouline
..évidemment haprés hon va dire que j’ai des obsessions..fastoche
Les critiques, on s’en tape ! Y font rien qu’à enlever de la fraicheur à nos jugements de bons lecteurs libres. Liberté ! Les critiques au four, tous au moulin ! Eddie, c’est un p’tit c.on, qu’écrit comme un cochon …
a vie dans les bois dit: 3 janvier 2016 à 14 h 39 min
En ce début d’année, la vulgarité langagière d’un uhuh , toquard en chef -qui fait sur la rdl sa pige islamophobe et ménardienne, verbeux plein de vide- ne ternira ce panorama magnifique, sous le ciel annonciateur de joies pleines de puff à venir, etc.
C’est une phrase bien encombrée.
Elle m’évoque à nouveau ce que disait KM sur le style de Proudhon:
Der Stil ist oft, was die Franzosen ampoulé |schwülstig| nennen. Hochtrabend spekulatives Kauderwelsch, deutsch-philosophisch sein sollend, tritt regelrecht ein, wo ihm die gallische Verstandesschärfe ausgeht…
Vous ne trouvez pas, Sylvette (if I may), que Karl Marx était souvent insupportablement arrogant?
Vive Ménard !
Bloom dit: 3 janvier 2016 à 14 h 45 min
Mais, chut!
Chut!
le critique c’est le biznèce..haprés hon peut dire qu’on s’est fait henflé..mais hon est dans l’commerce
..cqui est fort normal « au demeurant »..j’aime bien au demeurant mais jai jamais bien compris..tiens toi kabloom tu dois savoir ça veut d’où « au demeurant »
La France de la Critique a peur…uhuhu !
Ce serait deux petits garçons qui ne cesseraient de se raccompagner à leurs domiciles sans se résigner à se quitter. Seulement voilà : ce dessin, il l’a juste rêvé. Impossible d’aller au-delà : »Je ne sais pas comment terminer ».
Ça peut arriver sur ce blog!
Les critiques, on s’en tape ! Y font rien qu’à enlever de la fraicheur à nos jugements de bons lecteurs libres. Liberté !
aquoi sert le critique..à faire dépenser ton argent ou ha l’économiser ?
kabloom tu dois savoir ça veut d’où « au demeurant »
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Je peux te dresser une liste d' »Au demeuré », le Boug’, au débotté.
La France de la Critique a peur…uhuhu !
si c’était pour l’héconomiser elle aurait pas peur..
Je peux te dresser une liste d’ »Au demeuré »
..ça srait hantifoucaldien
..ça srait hantifoucaldien
—
Survoler et punir. 30 seconds over Tokyo…
@Paul edel dit: 3 janvier 2016 à 14 h 30 min
Déjà lu !
Vous tournez au donneur de leçons comme votre alter-ego… amusant ! Aussi fats l’un que l’autre !
Non, Paul Edel, même si vos billets et vos livres ont beaucoup de charme et d’impétuosité vous n’êtes pas, loin s’en faut, mon guide en lecture. Il y a longtemps du reste que mes coups de cœur chez les libraires se passent de votre profession.
Sur ce, bataillez avec clopine -sous ce nom ou sous un autre…(Bouguereau a bien saisi ce « je t’aime moi non plus ») et « arrêtez de me suivre ! »
Etre homophobe, c’est être sain
un touché rectal doit confirmer
« L’énorme et insoluble problème, c’est la solitude »
c’est bien un mot d’branleur
« au demeurant »
ça vient forcément de ‘demeuré'(çui qui est jamais sorti de son îlot, toujours demeuré dessur )
J’ignore si Dieu est amour mais ce serait déjà bien qu’il soit amitié
phil lui il le voudrait en cuir à la tom of finland..
christiane dit: 3 janvier 2016 à 15 h 03 min
Sur ce, bataillez avec clopine et « arrêtez de me suivre ! »
Même une sainte peut asséner un coup de parapluie.
faudrait que popol arrête de causer à clopine, ce qui indispose fort madame christiane
demeuré
habité ça veut dire..comme par le démon du sesque comme cricri..c’est un exemple
Il y a dans les critiques laudateurs, les journalistes littéraires complices, les commerciaux de l’édition faisans, ce côté « magister » qui s’avère la plus part du temps immérité !
Mais comme ces tordus vivent entre eux, ils ne s’en rendent plus compte.
Ce phénomène, vous le retrouvez chez les courtisans des rois Louis, vous le retrouvez dans les grands corps d’Etat, dans l’Education Nationale, naturellement. Bref, dans toute communauté qui se croit supérieure en jugement… et on vous vend du trouducult pour du Nouveau Balzac, de la fiotte perverse, pour un Nouveau Proust … Chienlit de ferme. Honte à vous, crapulets et crapulettes pourries …!
faudrait que popol arrête de causer à clopine
c’est un peu une emilienne..manqurait pus qu’elle soit goudou..un effort bonne clopine
Trotsky était arrogant comme Marx, Koba était brutal c’est pas pareil.
Illich était les deux, sur un mode mineur.
Ça fait du bien de parler de ces prophètes morts, on oublie un instant Baghdadi.
J’écris ces conneries en position horizontale en raison d’une fièvre asiatique.
On prend un peut de distance, on écrit en branlant comme dit bouguereau.
Travailleurs ! Travailleuses ! Ne lisez plus la littérature du grand capital ! Indignez-vous…. !
Il y a dans les critiques laudateurs, les journalistes littéraires complices, les commerciaux de l’édition faisans, ce côté « magister » qui s’avère la plus part du temps immérité ! Vivant entre eux, ils ne s’en rendent plus compte.
Ce phénomène, vous le retrouvez chez les courtisans des rois Louis, vous le retrouvez dans les grands corps d’Etat, dans l’Education Nationale, naturellement. Bref, dans toute communauté qui se croit supérieure en jugement…
..ou franchement zoophile..jconnais l’genre dhabitus des critiques a la polo et lassouline : du papier qui svend tout seul
@épicétout dit: 3 janvier 2016 à 15 h 13 min
Non, pas vraiment. Ça m’amuse plutôt ! Et je ne souhaite rien tant que l’indifférence venant de monsieur.
profites-en bouguereau, t’en aps plus pour longtemps sur ce blog… couic… et retourne chez ton larbin serdgio
Bref, dans toute communauté qui se croit supérieure en jugement…
mais non c’est de tle faire croire banane..et t’y as cru..c’est ça l’libéralisme..en économie planifié ça marchrait pas comme ça
mon défacé qui grimace dans son bouillon comme une gueule de décapité..t’es mignon
..j’lai fait avec un moutard.ça marche super
https://www.youtube.com/watch?v=Z1eQwNfvzoY
Achetez mon nouveau Balzac ! Venez tâter de mon nouveau Bellegueule pas frais ! Ne manquez pas mon Musso de porc ! Reprenez un peu de ce Levy trop cuit …. Littérature ! que de crime on commet en ton nom !
Paul Edel, votre lourde ironie de 14 h 25 n’est ni élégante, ni charitable. De toute façon, je rends les armes : le livre de Louis n’est pas au catalogue de la KOBO (la Fnac, et je n’ai ni le loisir ni l’argent d’aller l’acheter en ville (d’autant que mes mauvais yeux réclament désormais la lumière des écrans).
La première phrase citée ci-dessous n’est ni plus embrouillée ni plus abrupte qu’une de Céline – et elle peut être la première approche d’un style « littéraire », si on exclut l’hypothèse de la maladresse (elle serait un peu grosse, la maladresse, en l’occurrence…) Bon, faudrait voir à l’usage…
Vous savez, Paul Edel, je n’ai guère besoin du conseil de « lecture sans préjugés » : c’est ce que j’ai fait toute ma vie. Je ne me suis jamais laissée influencée par quiconque (et pas non plus par Télérama) en ce qui concerne mes lectures. Peut-être parce qu’au fur et à mesure que j’allais, je précisais mes attentes et mon dessein.
Mais il est vrai, Paul Edel, que Christiane et moi pourrions vous retourner le conseil : si vous cessiez de nous lire avec les lunettes de vos préjugés (le premier d’entre eux étant la certitude de votre supériorité), peut-être nous (ou au moins, moi) auriez-vous moins blessées.
« la leçon des Livres Saints ! Rompez ! »
Euh… ça fait beaucoup de reproducteurs châtrés en effet. Remercions le ciel…
Cher les Normandes égarées, Louis Beaufion serait le Nouveau Céline …. Au fou !…
« mon dessein »
Mon Dieu… La bouteille à encre nourrie à la sucette…
« La première phrase citée ci-dessous n’est ni plus embrouillée ni plus abrupte qu’une de Céline… »
Cette phrase ne me fait pas penser à Céline, mais plutôt à ce que certains romanciers d’avant-garde écrivaient dans les années 70. Un côté « Tel Quel »…
Sa Grandeur a un dessein, là où les autres ont des seins. La RdL ? Un champ de courges…
mais oui mon larbin un gout dvieille france moisie comme toi
mais ta gueule raclure
« Mais il est vrai, Paul Edel, que Christiane et moi pourrions vous retourner le conseil : si vous cessiez de nous lire avec les lunettes de vos préjugés (le premier d’entre eux étant la certitude de votre supériorité), peut-être nous… »
Clopine,
vous lire maintient en bonne santé !
Ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’ils nous sont support à rêveries mais que nous n’avons nul besoin qu’ils se mettent à habiter nos fantasmes avec leur lourde et égoïste réalité.
Alors, là, fuyons !
(d’autant que mes mauvais yeux réclament désormais la lumière des écrans)
femme à ecran fama..pauvre de nous polo !
quand bouguereau sort la raclure, c’est un significatif: il enrage et c’est tant mieux, ksss ksss boug’
Charmant endroit cette rdl je vais aller boire mon scotch ailleurs
Oui, je suis d’accord avec vous JEM . Un côté Sollers-Hedern, montés sur leurs grands chevaux. Faudrait voir la suite : si c’est seulement un procédé qui n’a rien à voir avec le fond, ça sera effectivement raté. Si au contraire, ce mélange d’actions et de paroles, cette quotidienneté du discours mélangé aux actions concrètes, signifie quelque chose sur la violence encourue par le héros-victime (quelque chose comme une prédétermination), alors là, oui, pourquoi pas ?
Bien sûr que je soupçonne le milieu intellectuel parisien, qui n’a certainement pas oublié l’épisode Gauchet, ni n’apprécie l’arrivée spectaculaire du jeune homme dans ses rangs (qu’il le veuille ou non…) de lui lessiver gentiment la planche. Mais que Louis soit un brave type ou un petit Rastignac pervers (comme nous le désigne le Magazine Littéraire) ne change rien à la façon dont on devrait appréhender son livre et sa tentative d’illustration de thèses sociologiques, vécues presque comme des actes thérapeutiques. Faire appel à la raison bourdieusienne pour tenter d’expliquer une violence sociale vécue dans sa chair, après tout, cela vaut mieux que d’aller s’épancher sur les plateaux télé de « c’est mon choix »…
Je voudrais qu’on juge Louis sur ce qu’il fait, et non sur sa légitimité. Car qui peut ainsi décerner les tickets d’entrée, décidant qu’ici il s’agit d’une écriture « bâtarde » ?
Le problème de la critique littéraire réside précisément dans cette posture gênante. Heureusement, notre hôte tombe rarement dans ce travers (mais ça lui arrive aussi, notez !) : quand il s’agit d’éreinter quelqu’un, Pierre Assouline n’a certes besoin de personne. Mais il le fait avec une suavité qui est bien plus efficace, à mon sens, que les borborygmes de la page 48. La rage rentrée vaut bien mieux que le mépris étalé. Question d’élégance, sans doute.
J’ajoute, Clopine – pour qu’il n’y ait pas méprise – que mon précédent post concerne cette boîte à fantasmes qu’est internet et ces blogs littéraires, où nous puisons toutes deux bien des joies hors du réel. Et vous avez eu bien raison de choisir comme compagnon cet homme (un vrai) qui est sûr, lent à parler parce qu’il réfléchit et n’use pas ses mots dans les salons. Un homme qui aime la terre et la respecte, sait la faire aimer aux jeunes et vous aime solidement. Continuez à écrire, « à fond la caisse » avec tous vos mots qui se bousculent et à aimer avec la même impertinence que la petite danseuse de Degas, vos écrivains préférés.
Popaul jette l’éponge, pas assez de répondant
Eh, les filles….!
Avant de parler des préjugés des mâles féroces, tueurs d’aurochs, si vous traitiez des vôtres, hein ?!
bouguereau le veau, le coryphée dans sa culotte, Popaul : tous cuits cuits cuits, vive Clopine et Christiane, de la grande classe
« Faire appel à la raison bourdieusienne pour tenter d’expliquer une violence sociale vécue dans sa chair »
La violence sociale, pour le niais Eddy qui invite affectueusement son bourreau comme tout bon masochiste, elle n’est pas bourdieusienne, eh patate ! elle est facile à expliquer : mentulaire, tricarde, dépravée, effet de sa passivité sexuelle aimant le viol… !
masud al-bukhari dit: 3 janvier 2016 à 15 h 11 min
Même une sainte peut asséner un coup de parapluie.
Hildegarde ? Bizarre… Y avait peut-être pas de pluie à c’t’époque…
Lacenaire dit: 3 janvier 2016 à 16 h 19 min
Le crétin est revit, depuis ce matin il était orphelin de son JC.
Il tournait en rond comme un écureuil sans noisette.
Sa journée est sauvée, il peut enfin crachouiller.
Hildegarde, elle tuait a coup de psaumes hurleurs gothiques : pas besoin de parapluie
2016
Foutons en l’air un bon sentiment par jour
C’était sympa, non, cette chaîne faite par des musulmans pour protéger une église le jour de Noel?
Fraternité, compréhension, vivre ensemble, attention à l’autre.
Certains Ravis de la crèche se sont émus devant le chagrin exprimé un de ces braves gens:
« Je suis très triste pour la communauté chrétienne et la communauté musulmane, pour tous ceux qui ce soir-là nous ont souri », a regretté le président de l’association Esprit libre et cultures solidaires, Mehdi Roland.
L’expérience du double langage stalinien n’a-t-elle servi à rien?
Une propagande grossière et facile à démonter abuse encore d’innombrables gogos.
Sottise ou lâcheté?
Chacun voit.
« Lorsque j’ai écrit la phrase suivante, “depuis quand les pyromanes protègent les incendies”, je visais expressément les deux chefs du groupe prétendument “protecteurs” de catholiques. Il est possible que Bernard Cazeneuve ignore leurs noms, mais son représentant dans l’Ouest de l’Hérault, le sous-préfet de Béziers, les connaît très bien puisque j’ai déjà eu l’occasion d’attirer publiquement son attention à leur sujet.
Le premier de ces individus est un converti, Mehdi Roland. Le second est un certain Omar Kathiri. A eux deux, ils dirigent sur Béziers plusieurs associations au développement groupusculaire et auxquelles n’adhère pas la grande majorité des musulmans de la ville. Il serait trop long de donner ici tous les détails sur les fréquentations douteuses, les déclarations anti-républicaines et les actions illégales de ces deux individus. Les services de l’Etat sont parfaitement au courant. Je me bornerai à en donner quelques exemples.
Lorsque voici quelques mois, un individu, converti lui aussi, connu sous le pseudonyme de “Toubib Burger”, a été arrêté à Béziers pour apologie de terrorisme, il a été découvert par la suite que le dénommé Mehdi Roland entretenait avec lui des relations sur les réseaux sociaux mais également dans la vie courante puisque “Toubib Burger” filmait les actions de rue de Mehdi Roland.
Ce même Mehdi Roland ornait volontiers jusqu’à peu sa page facebook de photos montrant une Marianne décapitée et la tête remplacée par le Coran. Photo que, depuis notre publication dans le journal de la ville, il a fait disparaître.
Il s’est également signalé par ses liens avec l’imam dit “de Brest” devenu tristement célèbre pour avoir expliqué à des enfants qu’écouter de la musique les transformerait en porcs et dont la mosquée a été perquisitionnée au lendemain des massacres du 13 novembre.
Omar Kathiri s’est distingué, lui, en tentant à deux reprises de perturber le conseil municipal. Son comportement lui valant d’être expulsé par la police. Une plainte est en cours suite à cette affaire.
Son activité principale est l’organisation et la participation, un peu partout en France, à des actions, souvent illégales, contre l’Etat d’Israël. »
C’est le maire de Béziers, un certain Robert Ménard, qui écrit ça.
Je lui serrerais volontiers la main.
On trouve cette prophétie chez Hildegarde von Bingen :
« De son tranchant, Michel, Lacenaire fendra,
Lorsque François déchu, du Trône chutera ! »
Attendons un peu….
Son activité principale est l’organisation et la participation, un peu partout en France, à des actions, souvent illégales, contre l’Etat d’Israël. » (Al-Bukhari)
Cela suffirait seul à me le rendre sympathique. Continuez, cher Omar. Nos voeux de nouvel an vous accompagnent.
« Ne craignez pas de tenir un double langage aux mécréants imbéciles, mes frères, vous le faites pour la gloire et le service de dieu ! »
al-bukhari dit: 3 janvier 2016 à 16 h 32 min
Je lui serrerais volontiers la main.
Mais vous la lui serrerez sûrement un jour, vous en mourez tellement d’envie.
Votre quart d’heure de gloire.
roger 2016
» Une propagande grossière « …
roger 2026
On n’savait pas.
Ecoutez, on n’POUVAIT pas savoir…
Même Roosevelt, il l’aurait pas cru!
Gégé dit: 3 janvier 2016 à 16 h 43 min
Mais vous la lui serrerez sûrement un jour
Ça c’est ma main droite, Gégé.
Et avec ma gauche à votre avis?
Paf!
vous le faites pour la gloire et le service de D.ieu ! » (le Coryphée Lahpute)
Ce « D.ieu » me rappelle quelqu’un ; mais qui ? mais qui ?
Ça c’est ma main droite, Gégé.
Et avec ma gauche à votre avis?
Paf! (Al-Bukhari)
Dans l’pif
Conseil du jour
Ne manquez pas le film « Salafistes » quand il sortira en salle!
C’est votre quotidien, imaginés par d’autres.
L’élégance faut l’avoir bien profond, même chez les femmes homophobes qu’existent pas, alors ça non, elles sont trop hoccuppées à raiespiré hein…
Mon cher Ueda retournez vite à vos défilés de civitas, vous aurez là l’occasion de prouver votre aptitude à la violence et à la haine.
Gégé dit: 3 janvier 2016 à 16 h 50 min
Mon cher Ueda retournez vite à vos défilés de civitas, vous aurez là l’occasion de prouver votre aptitude à la violence et à la haine.
Arrêtez de me faire envie!
Je ne les connais pas mais vous me les rendrez très sympathiques…
Les femmes sont plus belles que chez les salsifistes?
La rencontre entre Volvic et Ajaccio a été retardée d’une demi-heure car le chauffeur du bus corse avait quitté le stade avec le jeu de maillots de l’équipe corse.
Préférence nationale!
adolf de pq et son compère petit ueda les gros débiles frustrés font leur djihad bleu-marine, c’est exactement ce que veut leurs homologues daechiens
veuLENt
A Jewish husband means Chinese food on Christmas Eve & Holocaust film on New Year’s Day.
Point déniché cet aphorisme sur le compte twitter de Joyce. Tombé en revanche sur celui-ci, qui m’a paru fort sage :
» Happiest people are those (of us) whose expectations are lowered. Recommend for 2016.
Je suis dans ce cas et m’en réjouis. A vrai dire, nihil novi sub sole. Qui a dit ,il y a longtemps déjà :
O miseras hominum mentes, o pectora caeca !
Qualibus in tenebris vitae quantisque periclis
degitur hoc aevi quodcumquest ! Nonne videre
nil aliud sibi naturam latrare, nisi utqui
corpore seiunctus dolor absit, mensque fruatur
iucundo sensu cura semota metuque ?
Le Coryphée Prophète….. dit: 3 janvier 2016 à 16 h 34 min
Attendons un peu….
Passeque la pluie, finalement, qui c’est qui l’a inventée ? Encore un irresponsable… Ils en avaient déjà !
Nonne videre
nil aliud sibi naturam latrare, nisi utqui
corpore seiunctus dolor absit, mensque fruatur
iucundo sensu cura semota metuque ?
Ouais. A la réflexion je ne suis pas sûr du tout que le programme de Lucrèce entre dans le cas de figure défini par Joyce-Carol. Voilà un paquet d’espérances proprement démentiel.
Radio-Masud (pas celle qui dessouda le vrai Massood), c’est Al-Ménard.
C’est pour mieux tous vous Béziers, mes enfants!
Notez roger :
Pour vous aider à sortir de votre cambrouse perdue, on dit :
– der Kanzler Adolf von Porquerolles
– le divin Petit Bouddha d’Ueda…
BàV…n’oubliez pas de penser 5 fois par jour !
Rectification roger !
On me dit que 5 fois, c’est iréaliste : commencez par penser 3 fois par jour, pour débuter.
« Que mille Ménard investissent les temples municipes, et en chassent les gonades complices ! »
» Relisez Christiane un Gaëtan Picon ou un Roland Barthes ou un Baudelaire » P.E.
Pfuit, Clopine est son bréviaire!
Quittons nous sur une déclaration de circonstance, témoignant d’une morale lucide, vivace, et réaliste, au service d’une éthique sociale qui déteste le mensonge tranquilisant :
« Mauvaise année 2016 pour tous ! »
Picon, je bois ses paroles surtout depuis qu’ il est en bière.
« qui promènent leur mélancolie d’une terrasse de café l’autre, leurs châteaux à eux. »
C’est pour cela que l’on a hinventé le café-racer : pour aller plus vite se rafraîchir ; et après on l’est plus, mélancolique…
« C’est koi le sommaire du mag litt’ de janvier ? »
Donna Chochotte contre Roméo et Juliette Placard.
Sinon, d’après 20 Minutes en vieille Europe l’on vit tellement hobligatoirement sous speed qu’il faut aller en Colombie pour apprendre la lenteur.
‘tain, dire que yen a des qu’il faut aider à rigoler…
Chaloux dit que je ne semble pas savoir parler aux dames. Il se trouve qu’actuellement j’échange par mels avec une médiéviste, passionnée par les cultures méditerranéennes, aux origine semi-italiennes, pour qui je viens de dénicher un lien sur un auteur que je place haut :
Belle conférence, qui m’en a beaucoup
appris.
PMB sait parler aux dames, ça s’arrête là…
@14 h 46 min
« C’est une phrase bien encombrée. »
Tu veux encore troller uhuh ?
Alors allons-y, tu es prêt ?
Tu as vu cet encombrement à cette minute-même…14h46. C’est un signe du destin, note.
Et ne viens pas raconter ici tes salades insignifiantes, sous prétexte d’un éthylisme atavique, propre- enfin, le français a de ces impertinences- à un journaleux, vieux beau, à défaut d’être bel ami. Qui est à la linguistique et aux langues Ô ce que Cleyderman est à la musique classique. Et encore c’est trop généreux pour un gigolo. Tu saisis ?
Vois donc la suite:
C’est drôlement bien, la glU, que tu t’exposes sur un billet ayant pour sujet : l’amitié.
Et tu sais pkoi ?
Mais si !
Souviens-toi, ce « souvenir déterminant » te concernant », parce que c’était lui, parce que c’était toi. Toi, à l’heure de l’amitié du web zéro et sans la Boétie, « Nous nous cherchions avant que de nous être vus, et par des rapports que nous oyions l’un de l’autre, qui faisaient en notre affection plus d’effort que ne porte la raison des rapports, je crois par quelque ordonnance du ciel ; nous nous embrassions par nos noms. » et caetra.
Comment ça ?
Tu ne connais pas non plus cette citation de A. Camus ?:
« voulez-vous que cette heure soit celle de l’amitié »
Tu te rappelles ? Tu reçois un mail d’un ami rencontré sur le webrdl. Et puis tu nous fais part, à tous ici, courageux tu es ! que ce mail somme toute confidentiel, était du flan; que la personne te faisant part d’un état personnel,te prenais pour… pour ce que tu n’es pas, finalement.
Au mot amitié, dans le dico, il te faut chercher à la lettre o. O, comme ordure.
On en reste là ?
« Bécon les bruyères n’a point d’environs. A l’endroit où ils devraient commencer, on se trouve dans une autre commune semblable à celle que l’on quitte… »
Les urbains urbanistes devraient lire Bove.
a vie dans les bois dit: 3 janvier 2016 à 18 h 15 min
Diable, ça ne ressemble pas un chouia à de la haine?
Détendez-vous, Sylvette (d’accord?), je n’exige pas la mort du petit cheval!
à 18 h 25 min
Point de haine, la glU.
Tu trolles, je trolle.
Mais avec sens.
Moi pas comprendre
Enfin, Chaloux, Flaubert n’a pas à proprement parler souffert de la Troisième République. C’est La faillite de Commanville, le mari de Caroline, qui a provoqué la gene relative de ses dernières années. Le régime politique, si peu grisant fut-il, n’ y est pour rien.
MC
felix d dit: 3 janvier 2016 à 18 h 16 min
Bécon les Bruyères……………….lire Bove
Un écrivain de gare donc.
T’inquiète …
L’éthylisme a su vous séduire, sachez l’entretenir !
Bloom dit: 3 janvier 2016 à 17 h 31 min
C’est pour mieux tous vous Béziers, mes enfants!
C’est courbe…
Le fait est incontestable.
Abélard n’a pas été castré pour sa liaison avec la nonne frigide Héloïse, mais parce qu’il avait niqué subrepticement Hildegarde de Bingen, chanteuse de charme, musicienne douée, peintre, prophétesse de la fesse libre, bombe sexuelle inventive dans toutes les bonnes maisons moniales de l’époque.
Notre ouvrage savant, écrit sous la direction d’un historien porquerollais, sortira à la prochaine rentrée littéraire. Nous sommes certains que les critiques de valeur en parleront en bien, surtout après notre réunion de présentation à Phuket, Thaïlande, au printemps prochain, où …
Il se trouve qu’actuellement j’échange par mels avec une médiéviste, passionnée par les cultures méditerranéennes, aux origine semi-italiennes
Que ne la branlez-vous,
jean gilles mon gendre
Que ne la branlez-vous,
Ma fille est tout à vous.
Oui, mais si je la branle
On se foutra de nous
Oui, mais si je la branle
On se foutra de nous
Rocco S., acteur muet….. dit: 3 janvier 2016 à 18 h 09 min
Arrête de te faire du mal, Frère trois-points !
(Et ma pub)
Pour bouguereau :
L’éthylisme a su vous séduire, sachez l’entretenir !
jvas me quérir une chouffe
ha c’est bien pmb..l’entrain est bon, le ton de jeangilles bien chagrin mais cricri trouvrait que lassouline a censurer les paroles
et puis enfin pmb prendre mon larbin comme référent en conversation pour dame..il ne sait même pas ce que c’est le pauvre garçon
C’est courbe…
justement c’est idoine pour faire les hanches et pas que
Critique littéraire ?
Celle-ci qui m’a orientée vers un livre vraiment intéressant : « Petite nuit » (P.O.L) de Marianne Alphant. (De plus je trouve Philippe Forest très subtil dans sa propre écriture). Je découvre donc cette mémoire-lecture de Marianne Alphant et c’est étourdissant !
« On connaît le célèbre texte de Proust intitulé Journées de lectures et qui commence ainsi : « Il n’y a peut-être pas de jours de notre enfance que nous ayons si pleinement vécus que ceux que nous avons cru laisser sans les vivre, ceux que nous avons passés avec un livre préféré. » En un sens, le propos de Marianne Alphant est le même. Il reconduit l’auteur et le lecteur vers le temps des premiers livres (ceux de l’enfance : la comtesse de Ségur, Hector Malot), puis les entraîne dans une traversée où c’est toute la bibliothèque qui se trouve visitée en vrac (de Virgile et Homère jusqu’à Virginia Woolf et Claude Simon). Pourtant, le beau livre de Marianne Alphant constitue tout sauf l’éloge humaniste et attendu des vertus de la lecture auquel de nombreux écrivains se sont souvent régressivement abandonnés. Car c’est dans la nuit que ce livre – roman plutôt qu’essais – nous attire : « Petite nuit du divan, de la lecture, grand silence, ombre où avancer soi-même en ombre. » La remémoration des livres lus se mêle à l’expérience de la cure analytique et, en un sens, se substitue à elle de telle sorte que c’est toute l’histoire personnelle et familiale d’un individu qui prend l’apparence exacte d’un long rêve à l’intérieur duquel se côtoient des bribes de textes, des fragments de souvenir. La référence insistante à Hugo est décisive. Elle dit cette plongée dans le soir où parlent les morts. A notre tour, nous errons obscurs sous la nuit solitaire : une nuit hantée de fantômes, visitée d’anges, où toutes les histoires sues finissent par n’en faire plus qu’une et où retentit dans le noir toujours la même voix d’enfant perdue. A quelle épave s’accrocher lorsque le naufrage a eu lieu et que l’on flotte ainsi parmi des débris tournoyant vers le vide ? « Prenez soin de vous. Et qui le fera sinon les livres ? »
Philippe Forest , (Art Press, Mars 2008) pour : « Petite nuit » (P.O.L) de Marianne Alphant
« Prenez soin de vous. Et qui le fera sinon les livres ? »
t’as été séduite, mais t’as mal entretenu tes relations avec la chouffe cricri..
« Prenez soin de vous. Et qui le fera sinon les livres ? »
Propaganda…
@M. Court. Ai-je écrit le contraire? La république n’était évidemment pas responsable de ses malheurs.
Christiane, de Marianne Alphant, j’ai beaucoup aimé le petit livre sur le XVIIIe siècle, est-ce « ces Choses-là »?
@Historia… à 19 h 23, vous écrivez
« Propaganda… ». Ce n’est ni le fond du livre ni celui de la critique citée. Je crois que les livres sont de bons compagnons, voire les meilleurs quand l’ami (thème de ce beau billet de P.Assouline) n’est plus. Et cette plongée dans les lectures qui nous ont construits ouvre à une belle mémoire intérieure qui, parfois, croise celle de Marianne Alphant.
(PS : pour Bouguereau – Qu’est-ce que la « chouffe » ? je ne connais pas ce mot et ne comprends pas votre remarque…)
@Chaloux dit: 3 janvier 2016 à 19 h 58 min
Merci, Chaloux. Affaire à suivre… J’aime son écriture, sa bataille avec les mots et la mémoire.
Comment se faire avoir par un Edouard Louis. Impossible à comprendre.
« Prenez soin de vous. Et qui le fera sinon les livres ? »
Euh ! Ma maîtresse ? Mon dentiste ? Mes enfants ? Le Casa ? Le Montrachet ?
Moi.
Quand on pense que le titre de ce beau billet de Passou est : Meilleurs Vœux d’AMITIÉ ??????????…
et que tout le monde se tire dans mes pattes…
quant au coryphée rien des conneries, pfffftttt
christiane dit: 3 janvier 2016 à 20 h 01 min
Merci, Chaloux.
Il est évident que cet instant nous prouve les limites de la sainteté.
Bon thé dit: 3 janvier 2016 à 20 h 15 min
Réduit à l’état de sachet.
Chaloux dit: 3 janvier 2016 à 20 h 20 min
Réduit à l’état de sachet.
Ah l’humour de Chaloux.
Bien sûr il est incapable de faire bouger les zygomatiques de qui que ce soit en première main.
Mais sur les pseudos quelle inventivité, un vrai sens de la répartie, loin de celui de TKT le roi incontesté du détournement de pseudo, mais quand même une belle créativité.
Comment est-ce possible qu’un tel gagman naturel puisse nous écrire des commentaires d’une telle ineptie.
Mystère du vent.
@Chaloux dit: 3 janvier 2016 à 19 h 58 min
J’ai commencé la lecture de « Ces choses-là ». Merci Chaloux, ce livre va me plaire. Troublant, vertigineux comme ce XVIIIe siècle.
Vu l’expo Fragonnard il y a peu ( » cet accoucheur de songes avec sa palette de nuages ») et voilà qu’elle tiraille son lecteur entre les soies miroitantes des dames qu’il a peintes fougueusement et la mort du dauphin. Cette « madame l’Histoire » vous saisit au collet et ne vous lâche plus. Et le carnet de moleskine contenant les « Confessions’ de Rousseau, la Terreur, la mort de Chénier, celle de Mirabeau, la fuite à Varennes, le rôle de Fersen.
Cette dame sait écrire.
« Il suffit d’un jeu de cligne-musette et on remonte en soi vers l’enfance »…
L’histoire est-elle « un surmoi » ?
@Christiane.Déroutant au début, mais très prenant, un peu comme Les Années d’Annie Ernaux.
…
…qu’est ce qu’on lit, dans le secret des livres,!…
…
…le café est meilleur, et à plus de 20 % supérieur,…si on y emploie de l’eau » distilé « ,!…à quel prix,!…
…etc,!…
Chaloux dit: 3 janvier 2016 à 21 h 38 min
Arrête, Alba, on va finir par croire que tu quémandes les baffes.
Mon Chachal, souviens-toi que tu n’as jamais matté qui que ce soit dans ta vie.
Ni tes petits copains de maternelle, ni les superbes filles du lycée que tu reluquais comme le malade que tu étais (et que tu es) ni tes collègues qui se foutent de ta gu.ule chaque matin à la machine à café, ni ta femme, ni tes enfants, ni bien sûr personne ici.
Tu es un petit, un qui aurait voulu et qui ne sera jamais.
Un raté.
Laissons-le purger sa bile…
…
…eau distilé,!…déjà récupérer la » glace « , fabriquer par le frigo,!…en dégel,!…etc,…
…
Mon Chachal, souviens-toi que tu n’as jamais matté qui que ce soit dans ta vie.
Albablabla, rends-toi compte qu’en me poursuivant aussi bassement, avec ces rodomontades d’après-boire, en trollant, tu exprimes exactement le contraire.
Je pense que tu es KO et que ton gros Ego en a un pris un sacré coup.
Va te coucher.
C’est pas demain la rentrée?
Chaloux dit: 2 janvier 2016 à 21 h 47 min
« A propos de Laurent Margantin, lisez L’Enfant Neutre. Il y a dans ce petit livre au moins trente pages qui sont d’un grand écrivain. »
Il m’est apparu, ô lecteur infortuné, que vous attendiez un peu plus de cette œuvrette écrite par une araignée réunionnaise…
Je vous embrasse avec ferveur.
Sant’Angelo Giovanni dit: 3 janvier 2016 à 21 h 52 min
…le café est meilleur, et à plus de 20 % supérieur,…si on y emploie de l’eau » distilé « ,!…à quel prix,!…
Y a toujours celle des batteries… Naturellement faut pas tout prendre, faut en laisser un fond… Et puis gaffe aux doigts, ça peut piquer un peu… Sinon c’est corsé, gouleyant, tout !
Chaloux dit: 3 janvier 2016 à 22 h 30 min
Chaloux, tu sais bien au fond de toi que je ne suis pas WG, mais il te faut un ennemi que tu puisses identifier, un que tu puisses nommer.
TKT avait D/JC, Clopine Bergeret et toi WG.
Incapable de voir la réalité il te faut inventer un méchant pour pouvoir survivre, mais aussi et surtout pour savoir où évacuer ton trop-plein de haine face à la platitude de ta vie.
Un raté te dis-je.
Brrr… It’s gonna scare’em … Still …
J’espère que Pierre Assouline aura la gentillesse et la compassion de retirer ces posts « bon thé » dans lesquels ce pauvre Michel Alba exhibe si impudiquement sa misère. Quel tableau…
Isabella de Sainte Maresville dit: 3 janvier 2016 à 22 h 35 min
Difficile de répondre à un tel post!
Ah ça le vaccin sur l’épaule c’était bien ! La cuti-réaction… C’est contre les tuberculeux comme disait petit Gibus ! Naturellement c’est moins déco qu’une fleur de lys… Des catleyas !
Mieux:
Al-Ménard a droppé Masud. Fin d’une usurpation?
Le voilà réduit à Boukhara – pseudo qui invite à de belles prises d’Ouzbek.
Un ‘raté’ qui sait lire, écrire, compter, aimer, haïr, est un raté qui a réussi : autant dire un ‘raté’ raté.
Sur ordre venu d’En-Haut, on n’appellera pas « terrorisme » le fait de jeter sa voiture sur des militaires devant une mosquée, après avoir consulté des appels djihadistes à le faire, en bon muslim franco-tunisien anti-mécréant qui se soumet aux préceptes criminels nauséabonds qui nous rappellent…
Non ! Ce n’est pas du terrorisme : il ne s’agit que d’une distraction de déséquilibré, de dépressif, de loup solitaire, qui a mal tourné !
Prenez nous pour des congres, ô menteurs diplômés d’Etat. C’est réciproque !
Chers compatriotes, nous sommes à la veille d’un krach économique et financier majeur car mondial. Y a le feu aux banques centrales …
Courage, il nous reste la littérature pour nous distraire des réformes non conduites et des aveuglements politiques.
Espérons que cette littérature sera nourrissante…. nous en aurons besoin.
J’ai lu que le commissaire de police héroïque intervenu en première ligne au Bataclan n’avait pas été décoré de la Légion d’honneur contrairement à Vanessa Paradis.
Ce doit être une plaisanterie pour bien commencer l’année, la traditionnelle « blague du nouvel an »…
La Légion d’honneur a perdu son honneur en récompensant les copains et les coquins de la Nomenklatura. Récompense de carton-pâte pour tigres de papier…
Diez motivos para leer a Cervantes antes que a Shakespeare en 2016
—
Perso, une seule & unique raison pour lire & Cervantes & Shakespeare: le génie.
En plus de lire Shakespeare, on pourra voir/entendre ses pièces aux 4 coins du monde. Au Bangladesh, par exemple:
» Graeae Theatre Company has been working with Dhaka Theatre, Bangladesh since 2013 to create a long-term training programme with young disabled adults in Bangladesh that will lead to a new Shakespeare production of Romeo and Juliet in 2016, to mark the 400th anniversary of the playwright’s death. »
http://www.shakespearelives.org/explore/different-shakespeare
Résumons….. dit: 4 janvier 2016 à 7 h 59 min
Espérons que cette littérature sera nourrissante…. nous en aurons besoin.
Pourquoi pas une tranche d’Enard tous les matins?
Ça tient au corps pour la journée, comme le baclava!
JC enrage d’avoir été oublié par la Légion d’Honneur, lui le grand penseur de ce blog, quelle ingratitude !
J’ai entendu dire que le « Nouveau Balzac du Ridicule » est indigeste. Prudence ! Choisissons avec soin quelle tranche se payer…
@ »le commissaire de police héroïque intervenu en première ligne au Bataclan n’avait pas été décoré de la Légion d’honneur ».
Pour la simple et bonne raison, D., que son identité professionnelle et privée doit demeurer absolument anonyme jusqu’à ce qu’il puisse faire valoir ses droits à la retraite, à 55 ans, comme tout commissaire de police, simple ou divisionnaire qui se respecte. Vanessa Paradis est moins concernée par le besoin de rester dans l’ombre de sa décoration.
Plutôt qu’une tranche d’Enard, notre auteur cochonou un peu lourd, il me semble qu’une lamelle de Paradis conviendrait mieux à l’esthète haltérophile que je suis, ayant transféré du cerveau au muscle les vertus que vous savez…
Même avec les carottes archaïques il est possible de faire de bonnes soupes. Je connaissais pas, c’est amusant, en allemand ça sonne comme du polonais et en français ça porte tellement phonétiquement le nom d’un avorton qu’on croirait que ça a jamais existé. D’ailleurs d’après les hexplications j’avais cru à du potimarron, mais non…
Vous plaisantez, Diagonal, l’affectation des agents de la Bac, a fortiori un commissaire, faisant partie du premier niveau dintervention, est une donnée publique. Maintenant, qu’il soit préférable de de ne pas ajouter de publicité, je le comprends et vous avez raison sur ce point.
Ici Londres !
« Les lapins minoens se nourrissent de carottes archaïques ». Je répète : « »Les lapins minoens se nourrissent de carottes archaïques ! »….
C’était du panais, hein, pas du pavé mondame collector j’ai lu…
Ah ça, pour défendre le droit à la sphère privée il aura habsolument fallu en faire un problème public. Mais halors pendant combien de temps… Déjà que les excuses à la Peter Pan ça traîne et ça se fait trimbaler magiquement ailleurs!
Non, D., je ne plaisante jamais avec ces choses là, voyez. D’ailleurs… que le ministère ait pensé devoir communiquer très rapidement auprès des journalistes sur l’intervention de ce commissaire de la gridade anti criminalité du secteur nord-est de la DPProx de la PP au Bataclan, soit…, il n’a pas pu faire autrement pour rassurer un peu dans ce moment de panique généralisée. Non seulement il s’est bien gardé de révéler son nom, malgré l’héroïsme de sa conduite, mais surtout, il a su ne rien dévoiler à la presse au sujet de cette incroyable séquence, des faits exacts survenus entre le moment où cet agent a prétendument alerté son épouse dans le feu de l’action pour lui faire ses adieux, et le moment où il a réussi à s’exfiltrer de l’édifice. Or, d’après les sources de Javert, ces quelques secondes intensives (57 secondes) furent décisives en ce qu’elles ont permis de sauver un nombre de vies conséquent. Cet agent eut en effet le temps d’accomplir bien d’autres missions plus utiles que celle de laisser un ultime sms privé qui n’a d’ailleurs jamais été authentifié. Mais bon, tant qu’à rassurer les foules sentimentales au sujet de l’action policière préventive, hein, pourquoi pas ?
Hélas, pendant ce temps, sur ce blog policiaro-littéraire, allaient bon train d’autres escarmouches meurtrières, D…
Je crois donc à la nécessité de toujours relativiser les événements amicaux et inamicaux les uns par rapport aux autres, et de ne point confondre la réalité fictionnelle avec la fiction réaliste. Je vous souhaite une année astrologiquement faste.
Un jour peut-être, Bécon les Bruyères, qui, comme une île ne peut grandir, comme une île disparaîtra. La gare s’appellera Courbevoie-Asnières (…)Bécon aura rejoint les bruyères déjà mortes (…) Elle mourra peut-être dans quelques mois, un jour que je ne lirai pas le journal… Bove 1927.
Enfin, Diagonal ! les escarmouches meurtrières chez Passou ….hum !,…..c’est pas le Bataclan, hein !
Seuls, les congros et congrosses littéraires peuvent être « blessés » par ce qui se dit, ici, et qui reste une distraction amusante pour les rentiers.
Les blessés « virtuels », ce sont des gens qui n’ont jamais vu la mort en face, si ce n’est dans des « livres » pour enfants en fin de vie.
« de ne point confondre la réalité fictionnelle avec la fiction réaliste »
La mémère qui implore avec les yeux derrière le vitrage virtuel d’une couveuse virtuelle. La langue elle lui en tombe quand elle veut hein, de toute façon tout le bordel c’est à cause de mai 68, quand il y a eu de la pluie pour la dernière fois. C’est simple, hein…
Brève locale pour le commentarium :
« deux blaireaux immobilisent le trafic
sur la ligne ferroviaire Paris-Toulouse »…
Amicanémaliquement.
Si l’on recense les blaireaux qui bloquent les voies de communication, on va en trouver ici même … j’ai des noms
Va apprendre à te boucher le nez sans virus, Polé.
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