de Pierre Assouline

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La République des livres
Patrick Modiano à Stockholm ou le discours d’un roi

Patrick Modiano à Stockholm ou le discours d’un roi

Une ovation debout, d’une durée inhabituelle en de tels lieux, a salué le discours de réception du prix Nobel de littérature prononcé par Patrick Modiano ce dimanche en fin d’après-midi dans les locaux de l’Académie suédoise à Stockholm. Il est vrai que l’exercice a rarement donné lieu à tant d’humilité dans l’expression de la pensée, mêlée à une telle qualité dans l’écriture. Il se déroula selon la tradition, c’est à dire sans protocole particulier ni lambris ostentatoires, l’écrivain se tenant debout derrière un pupitre sur une estrade, face à quelques centaines d’invités, de personnalités suédoises et de journalistes venus de partout, les uns et les autres suivant sur une copie du texte dans leur langue remise juste avant à l’entrée (vous pouvez voir et écouter ce discours dans son intégralité ici ou si vous préférez le lire ici)

Aussi émouvant qu’ému, éprouvant une puissante appréhension à l’idée de se retrouver pour la première fois devant une si nombreuse assemblée (généralement, son bégaiement et le processus d’inachèvement de ses phrases s’enclenchent dès qu’il doit faire société avec plus de deux personnes à la fois), il s’avoua d’emblée comme relevant de la catégorie des romanciers plus doués à l’écrit qu’à l’oral, ce qui est un euphémisme s’agissant du plus célèbre hésitant de France. Lui qui a une forte conscience d’appartenir à ce qu’il appelle « une génération intermédiaire« , il s’est dit d’une époque au sein de laquelle on ne laissait pas parler les enfants ; et quand on les laissait, on ne les écoutait pas ; d’où sa volonté d’écrire. Puis il a évoqué le travail du romancier, s’aidant de nombreuses métaphores, picturales, musicales, artisanales, en tout cas artistiques, un travail proche de celui du fresquiste, solitaire et haut perché.

Il fut question du livre comme d’une longue fuite en avant, de la distance à laquelle se tient le romancier, de son pouvoir d’identification à ses personnages (et tant pis si Flaubert n’a jamais vraiment dit « Mme Bovary, c’est moi »), de l’invisible complicité entre le lecteur et l’auteur, de sa propre vocation de poète raté (« c’est avec de mauvais poètes que l’on fait de bons prosateurs »), de la topographie des métropoles et de l’influence des « plis sinueux des grandes capitales « (Baudelaire) sur l’imaginaire des écrivains, de son enfance énigmatique avec ses lieux et ses personnes mystérieuses qui constituèrent la matrice de son oeuvre, de la rêverie et du somnambulisme, des nouvelles incertitudes de la mémoire d’aujourd’hui, et de sa propre naissance due au Paris de l’Occupation. Outre Mandelstam et Edgar Allan Poe, il cita « Les cygnes sauvages à Coole » (The Wild Swans at Coole, 1916), un poème de Yeats, l’une de ses grandes admirations :

« Le dix-neuvième automne est descendu sur moi/ Depuis que je les ai comptés pour la première fois ;/ Je les vis, avant d’en avoir pu finir le compte/ Qui (et non : ils) s’élevaient soudain/ Et s’égayaient en tournoyant en grands cercles brisés/ Sur leurs ailes tumultueuses/ Mais maintenant ils glissent sur les eaux tranquilles/ Majestueux et pleins de beauté./ Parmi quels joncs feront-ils leur nid,/ Sur la rive de quel lac, de quel étang/ Enchanteront-ils d’autres yeux lorsque je m’éveillerai/ Et trouverai, un jour, qu’ils se sont envolés ? Le dix-neuvième automne est descendu sur moi/ Depuis que je les ai comptés pour la première fois ;/ Je les vis, avant d’en avoir pu finir le compte/ Ils s’élevaient soudain/ Et s’égayaient en tournoyant en grands cercles brisés/ Sur leurs ailes tumultueuses/ Mais maintenant ils glissent sur les eaux tranquilles/ Majestueux et pleins de beauté./ Parmi quels joncs feront-ils leur nid,/ Sur la rive de quel lac, de quel étang/ Enchanteront-ils d’autres yeux lorsque je m’éveillerai/ Et trouverai, un jour, qu’ils se sont envolés ? » (Traduction de Jean-Yves Masson, tirée de l' »Anthologie bilingue de la poésie anglaise », La Pléiade)modiano-diploma

Il eut également une pensée pour « mon cousin lointain Amedeo Modigliani », parenté dont on se souvient pas qu’il l’ait souvent citée, peut-être parce que cela le ramène à son propre frère disparu, Rudy Modiano, sa blessure la plus intime, enterré à quelques tombes du peintre : on ne peut regarder l’une sans apercevoir l’autre dans la perspective. Patrick Modiano n’aura jamais été aussi loin dans le dévoilement de son art poétique. Il l’a fait avec un luxe de détails, une précision, une finesse, une discrète culture et une intelligence rares dans ce genre d’intervention officielle.

Au fond, et c’est lui qui la premier qui en a fourni la clef  en rendant hommage à Eugène Sue, on pourrait ceindre l’ensemble de son oeuvre d’un bandeau « Les mystères de Paris ». Une vingtaine de romans pour dire la forme d’une vie à travers la forme d’une ville, les siennes, ville à laquelle il doit tout et qui lui devra tant. Vêtu d’un strict costume noir, le cou noué d’une cravate noire sur sa chemise blanche, il lut son texte calmement, d’un trait, face à un public au premier rang duquel on reconnaissait sa femme, ses filles, les Gallimard, Bernard Pivot…. « Confusion » et « brouillard » furent bien prononcés, mais pas un seul « c’est bizarre… ». Et pas la moindre hésitation. Le roi Modiano avait réussi son premier et dernier grand discours.

Samedi, lors de la traditionnelle conférence de presse, le 15 ème Français récompensé par le prix Nobel de littérature, 69 ans, s’était lancé dans une surprenante digression sur les rapports entre la littérature et l’internet. Se montrant optimiste sur la capacité des lecteurs à trouver « des choses romanesques » sur la Toile, il a rappelé son appartenance à une génération de l’immédiat après-guerre pour laquelle la lecture était plus facile car « le temps était interminable », situation plus propice à la rêverie dont on sait qu’elle s’harmonise mieux avec l’imaginaire, donc la littérature. Les réseaux sociaux n’étaient d’ailleurs pas absent de cette analyse dont il n’est guère coutumier, du moins publiquement, en estimant que la part de mystère propre à leur imaginaire avait partie liée avec … le roman policier ! (et pourquoi pas…). On ne voit guère Patrick Modiano face à un ordinateur. Lui-même reconnaît que l’instrument lui oppose une certaine résistance : « J’ai cherché à savoir ce que quelqu’un était devenu, mais Internet ne me donnait pas de réponse», a-t-il avoué avant de se lancer dans un développement bien dans sa manière sur le rôle à venir de la mémoire dans un monde dominé par le culte de l’immédiat où tout disparaît tout le temps avant de réapparaître sous forme fragmentée. .

Prochaine étape : mercredi toujours à Stockholm pour recevoir le prix des mains du roi de Suède, Carl XVI Gustaf, en même temps que les autres lauréats 2014, à l’exception de ceux de la paix qui le reçoivent à Oslo. Une mondanité après le plus difficile : l’écriture de ce qui demeurera comme l’un des plus beaux « Discours de Suède ».

(Photo  ANDERS WIKLUND )

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

700 Réponses pour Patrick Modiano à Stockholm ou le discours d’un roi

Changin' Time...... dit: à

Phildar does livestock now

Gprout dit: à

Google croit au Père Noël……

Je résume dit: à

Au pilori !

Daaphnée dit: à

Oui, bon …
Un Nobel pour une découverte qui concourt au mieux être de l’humanité . Oui .
Mais dans le domaine de la littérature, quels sont ceux dont l’oeuvre impulserait un élan propre à dépasser leur malaise existentiel et tout personnel ?
La question est ouverte ..

D. dit: à

Quelqu’un a-t-il des nouvelles de Bougureau ? Il me manque terriblement.

Widergänger dit: à

Pov Daaf !

C’est bien la sottise incarnée !

Daaphnée dit: à

Non, j’ai l’impression qu’il y a un problème réel.
Les écrivains ne sont pas nécessairement des intellectuels, soit. Mais alors, où concourent-ils – dans ce Nobel -ceux des sciences « humaines et sociales » qui savent à propos soulever les bonnes questions ?

la vie dans les bois dit: à

Ah, c’est sûr, Jean Tirole dérange.
« Les idéologues de tout bord vont détester cette vision du juste milieu. »

Daaphnée dit: à

Notre Wiwi,
vous avez fait de gros efforts pour que je me distraie à vous répondre.
N’en abusez pas ..

la vie dans les bois dit: à

JB, cette histoire de modiano que vous vous êtes infligée, somme toute tellement  » vaporisée », me fait penser à un truc.
Est-ce qu’il sait vraiment conduire sur routes enneigées et glacées, genre trophée Andros, ou c’est du flan ?

Daaphnée dit: à

( Mon Bouboug’,
si vous passez par ici – je me joins à D. dans une chaste mais audacieuse, téméraire et inhabituelle intention qui ne manquera pas de vous émouvoir .. – il serait temps de saillir ..
SI. )

J.-C. Azerty dit: à

« Oune giorne en pleiné merigge, ié saille sulla plataforme d’oune otobousse et là quel ouome ié vidis? ié vidis oune djiovanouome au longué col avé de la treccie otour dou cappel. (La Vie dans les bois)

C’était pas moi, je vous assure !

Widergänger dit: à

Le problème, il est surtout dans votre manque de maturité, ma pov Daaf ! Une petite fille insolente et immature, voilà ce que vous êtes.

J.-C. Azerty dit: à

(heu, JB, dans l’index de « la vie mode d’emploi », dans l’index les histoires racontées, le chiffre renvoie aux N° de chapitre et pas au N° de page, c’est pourtant bien expliqué) (La Vie dans les bois)

Gzact. Autant pour moi. Donc mon chapitre fantôme n’en serait pas un et ferait partie du chapitre 73 ? Pourtant, dans mon édition, il est très nettement individualisé.

J.-C. Azerty dit: à

(heu, JB, dans l’index de « la vie mode d’emploi », dans l’index les histoires racontées, le chiffre renvoie aux N° de chapitre et pas au N° de page, c’est pourtant bien expliqué) (La Vie dans les bois)

Gzact. Autant pour moi. Donc mon chapitre fantôme n’en serait pas un et ferait partie du chapitre 73 ? Pourtant, dans mon édition, il est très nettement individualisé. (moi)

Donc il y aurait bien 99 chapitres, ce qui me paraît signaler un hommage en forme de clin d’oeil à Raymond Q.-Cétydupoulet, auquel l’ouvrage, rappelons-le, est dédié.

la vie dans les bois dit: à

Yes, dans mon exemplaire aussi,JB, avec une petite illustration et une calligraphie particulière.
Et vous avez quand même retrouvé Josette dans son atelier de couture, après tout ce que vous lui avez fait subir!

J.-C. Azerty dit: à

(heu, JB, dans l’index de « la vie mode d’emploi », dans l’index les histoires racontées, le chiffre renvoie aux N° de chapitre et pas au N° de page, c’est pourtant bien expliqué) (La Vie dans les bois)

Gzact. Autant pour moi. Donc mon chapitre fantôme n’en serait pas un et ferait partie du chapitre 73 ? Pourtant, dans mon édition, il est très nettement individualisé. (moi)

Considérons donc ce chapitre 73 bis comme un faux-vrai chapitre et n’en parlons plus.

Edmond dit: à

Mais que fait Josette dans la Pléïade??????????
Ah, la salope!!!!!!!

renato dit: à

(le mec des whirlpool)

J.-C. Azerty dit: à

Et vous avez quand même retrouvé Josette dans son atelier de couture, après tout ce que vous lui avez fait subir! (La Vie dans les bois)

Oui, mais j’ai eu l’élégance de la refiler à Lino Margay quand il est revenu refait à neuf. Pauvre Lino, vous vous souvenez comme il avait souffert (par ma faute) :

 » Il ne mourut pas, mais quand il sortit de l’hôpital, six mois plus tard, il était atrocement défiguré. Le bois de la piste lui avait arraché toute la moitié droite du visage : il n’avait plus qu’une oreille et plus qu’un oeil, plus de nez, plus de dents, plus de mâchoire inférieure. Tout le bas de sa figure était un horrible magma rosâtre agité de tremblements irrépressibles ou au contraire figé dans des rictus innommables.  »

Eh bien, vous me croirez si vous voulez, chaque fois que je relis cette horrible description, je rigole comme l’atroce bossu que je suis. Je connais pourtant assez Perec pour être sûr qu’il ne visait pas à exercer un pareil effet sur son lecteur. Ce que c’est que d’avoir mauvais fond.

Daaphnée dit: à

[[[[[[[[[[[[ Bon, U., je profite de ce que mes petits camarades se préparent à hiberner pour vous dire – entre nous – que vous abusez de la sieste.
Si.
mmm .. ?
Vos geishas providentielles ?
Je crains que vous n’ayez tort de vous abandonner corps et âmes à leurs massages savamment .. )))]

closer dit: à

« Modiano est aussi un homme d’un grand courage, qualité encore plus rare aujourd’hui qu’à aucun autre moment de l’histoire nationale. »

Bloom, quand j’ai lu cette phrase, je me suis demandé si vous plaisantiez ou si étiez sérieux…Comment juger du courage de quelqu’un qui ne court aucun risque? Quel risque y avait-il à fustiger la collaboration en 1968? C’est plutôt le contraire qui eût été risqué!

Modiano est probablement la personnalité littéraire très connue la moins capable de susciter des sentiments extrêmes dans un sens ou dans l’autre, en sa faveur ou contre lui…Il est peut-être très courageux mais comment le savoir?

J.-C. Azerty dit: à

Donc il y aurait bien 99 chapitres, ce qui me paraît signaler un hommage en forme de clin d’oeil à Raymond Q.-Cétydupoulet, auquel l’ouvrage, rappelons-le, est dédié. (moi)

J’avoue que cette histoire de faux-vrai chapitre m’enchante. Perec dédie  » La Vie mode d’emploi » à Raymond Queneau, et sans doute plus précisément à l’auteur des « Exercices de style ». On sait que les « Exercices de style » comportent 99 variations, auxquelles les 99 chapitres de « la Vie mode d’emploi » font vraisemblablement écho. Mais justement, il y a ce fameux faux-vrai chapitre qui dédouble le chapitre 73. Il y a aussi un « Epilogue » qui, tout en ayant la consistance d’un vrai chapitre, n’est pas répertorié comme tel. Si bien qu’on peut diviser l’ouvrage, au choix, en 99 sections, ou en 100, ou en 101. Perec aurait pu aussi bien intituler son livre « Romans mode d’emploi », car, à l’instar des « Exercices de style », les histoires racontées dans « la Vie mode d’emploi » sont autant de variations sur le thème du roman. Cette petite histoire de numérotation dit l’esprit dans lequel Perec rendait hommage au maître qu’était à ses yeux Queneau : imitation, non; innutrition, oui.

renato dit: à

Tout lu de Perec, rien de Modiano… et ce n’est pas maintenant que je vais faire du stoppage.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…bon,!…remontez-vous les bretelles,!…y a rien à voir,!…

…même si je fais rien avec mon pinceau, çà reste génial, de se mette à l’oseille & ses parfums,!…
…au bic, au crayon, aux marqueurs rien n’y fait,!…avec une touche d’aquarelle,!…relax c’est génial,!…

…autant, continuer mes sketches graphiques, mes peintures,!…pour s’entendre dire du matin au soir,!…combien,!…combien,!…avant même d’exposer,!…tout est vendu,!…
…en garder quelques échantillons tout de même,!…
…avec çà des dessins à refaire, retrouver en lambeaux,!…sur des centaines, cinq à compléter,…avec la part des anges partis au 2 sur 6,…enfin un travail, me restaurer mes références-créatifs,!…
…c’est pas facile,!…revoir les diapositives et réorienter les liens avec exactitudes,!…
…çà risque de me relancer à bâton rompus, dans une nouvelles phase ou période,!…
…déjà, limiter les visites,!…et travailler,!…comme sur divers plans d’échiquiers,!…etc,!…
…l’essentiel le travail achever,…mais comment s’y prend t’il,!…d’abord travaillé tout nu,!…près d’une source de chaleur appropriée à la saison, of course,!…
…et ensuite, garder un ordre dans le cycle des techniques pour déjà,…mettre en valeur les reliefs les plus prononcés,!…
…Oui,!…trop d’explications nuit aux oeuvres dans leurs mystères,!…

…je vais, probablement, réveiller,!…le fauvisme qui dort en moi,!…
…y a du boulot,!…pas tant que cela,!…
…etc,!…

Sergio dit: à

Remarque faut dire, l’intérêt, s’il fait tout le temps le même ours, eh bien justement c’est qu’il n’y en a qu’un à lire…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…c’est pas question de chèque,!…
…en être à maîtrisez l’art,!…
…et, ensuite de faire, le difficile avec son savoir faire,!…
…bon,!…il y a limite, à offrir plutôt, une genèse de subtilités propre…pour offrir un choix en plus à ce qui existe dans ce raffinement d’appréciation,!…
…quelque soit, le niveau de culture dans lequel,…mon influence peut rassurer la clientèle dans leurs vies variées à leurs gestions du quotidien,!…
…etc,!…
…du moment, que je ruine personne,!…c’est O.K.,…les créations pour des budgets conséquents, c’est tout,!…
…à prendre ou à laisser,!…aucun problèmes,!…le moins d’intermédiaires possibles,!…pour se remplir les poches,!…
…Prix, avec ou sans T.V.A.,…
…pour les oeuvres, la T.V.A.,…c’est pas 20 % en plus,!…pas de conflit d’intérêt avec l’état,!…la T.V.A.,pour l’état,!…pas le choix,!…etc,!…O.K.!,…

Sergio dit: à

Daaphnée dit: 9 décembre 2014 à 21 h 35 min
mes petits camarades se préparent à hiberner

… dans les wagons pullwoman du transhibernien…

N.D.L.R. Trado Larbaud…

D. dit: à

Pour recentrer le débat sur le sujet, c’est à dire le prix Nobel attribué à Modiano, il serait enfin utile de dévoiler ce que tout le monde pense mais n’ose pas dire : Modiano n’est pas du tout le meilleur exemple de la bonne littérature française.

D. dit: à

En d’autres termes, on aurait préféré qu’un autre que lui soit récompensé. Et ce choix des suédois est une sorte de trahison sans en être vraiment une puisque il ne s’agit après tout que du prix Nobel.

D. dit: à

Mais il est certain que jamais Modiano n’aurait pu recevoir le Goncourt.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…les prix, les prix,…au Nobel,!…

…versions  » sacristies viking « , à nos diversions stables, en ajouter du soufre des discordes à nos  » opus interrasile « ,!…
…etc,!…

Gare Lyon-Bangkok dit: à

Je viens juste de lire l’article à Zemour consacré. Enfin une réponse avec de la tenue : claire,culturelle,intellectuelle, référencée et paisible. Merci . Comme le dit souvent notre hôte, il faut ‘’séparer un livre du bruit qu’il fait’’. Cordialement.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pourvu déjà,…que la loi  » macron  » de travailler même le dimanche, pour rien,!…
…ne risque pas de passer avec le soutien en nombre de l’opposition en bloc,!…une fois,!…

…on n’a pas fini, de rire,!…sur la république , Ah,!Ah,!Ah,!…
…& l’otage,!…çà va , çà vient, çà repart et çà revient,!…miss  » Otage  » la Top-less du monde,!…Stop,!…Ah,!…
…etc,!…

Bloom dit: à

Bloom, quand j’ai lu cette phrase, je me suis demandé si vous plaisantiez ou si étiez sérieux…Comment juger du courage de quelqu’un qui ne court aucun risque? Quel risque y avait-il à fustiger la collaboration en 1968? C’est plutôt le contraire qui eût été risqué!

Un conseil, revoyez votre histoire culturelle.
Ci-dessous le discours de Chirac..juillet 1995:

Il est, dans la vie d’une nation, des moments qui blessent la mémoire et l’idée que l’on se fait de son pays. Ces moments, il est difficile de les évoquer, […] parce que ces heures noires souillent à jamais notre histoire, et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l’occupant a été secondée par des Français, par l’État français. Il y a cinquante-trois ans, le 16 juillet 1942, 450 policiers et gendarmes français, sous l’autorité de leurs chefs, répondaient aux exigences des nazis. Ce jour-là, dans la capitale et en région parisienne, près de 10 000 hommes, femmes et enfants juifs furent arrêtés à leur domicile, au petit matin, et rassemblés dans les commissariats de police. […] La France, patrie des Lumières et des droits de l’homme, terre d’accueil et d’asile, la France, ce jour-là, accomplissait l’irréparable. Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux. Conduites au Vélodrome d’Hiver, les victimes devaient attendre plusieurs jours, dans les conditions terribles que l’on sait, d’être dirigées sur l’un des camps de transit – Pithiviers ou Beaune-la-Rolande – ouverts par les autorités de Vichy. L’horreur, pourtant, ne faisait que commencer. Suivront d’autres rafles, d’autres arrestations. À Paris et en province. Soixante-quatorze trains partiront vers Auschwitz. 76 000 déportés juifs de France n’en reviendront pas. Nous conservons à leur égard une dette imprescriptible. […] Transmettre la mémoire du peuple juif, des souffrances et des camps. Témoigner encore et encore. Reconnaître les fautes du passé, et les fautes commises par l’État. Ne rien occulter des heures sombres de notre histoire, c’est tout simplement défendre une idée de l’Homme, de sa liberté et de sa dignité.

JC..... dit: à

« Ne rien occulter des heures sombres de notre histoire, c’est tout simplement défendre une idée de l’Homme, de sa liberté et de sa dignité. » (Chirac, homme d’Etat corrézien)

Ce que l’on est capable de bredouiller comme couillonnades trempées dans la plus délicate banalité lorsqu’on est Président, c’est pas Dieu possible !

La vieillesse est un naufrage qui a frappé notre corrézien gaullo-girouette… très tôt.

Bloom dit: à

La vieillesse est un naufrage

Rare exemple de lucidité sur soi-même.

JC..... dit: à

Enfin Bloomie !

Ce texte de Chirac est inconvenant.
Et votre réflexion à mon égard, déplacée …

Maitrisez vous ! ne vous laissez pas abattre par l’âge et les ennuis existentiels.

PMB dit: à

Pas mal, le Bergé. Le maître du Monde se prend vraiment pour le Maître du monde, et les gens du quotidien jadis de référence pour ses valets. Comme disait mon père : les gueux* enrichis ne valent rien.

Mais il n’est pas encore le maître de l’orthographe dans son touite offensé : une majuscule à un nom commun en cours de phrase, accent oublié sur « littérature » et mal orienté sur « assurément ».

* Notre milliassaire n’est pas né dans la crotte mais guère loin : mère instit, père gratte-papier.

PS On peut être d’extraction modeste et monter plus haut, à condition de ne jamais oublier d’où on sort.

J.-C. Azerty dit: à

76 000 déportés juifs de France n’en reviendront pas. Nous conservons à leur égard une dette imprescriptible (Chirac)

Qui Chirac désigne-t-il par ce « nous » ? Pas moi, en tout cas. N’étant pas Juif, je ne me sens aucune dette, imprescriptible ou pas, envers ces gens-là. D’autant qu’à l’époque des faits, j’étais encore dans les limbes et ne suis disposé à me reconnaître aucune responsabilité dans ce qui leur est arrivé. C’est bien regrettable, mais ce n’est, d’aucune façon, mon affaire.

Les deux font la paire dit: à

JC…. et J.-C. Azerty font Alliance.
Le pétainiste et l’antisiosémite se congratulent sur le dos de Chirac.
Rien de plus normal vu de PACA.

Sous-jacent dit: à

PMB dit: 10 décembre 2014 à 8 h 58 min

Dans sa détestation du Monde notre vieux prof de français s’égare.
En plus d’être riche, il ne serait pas un peu homo ce Bergé ?

PMB dit: à

Sous-jacent,

Je ne déteste pas le Monde, même si je fais partie des gens, nombreux, que son évolution déçoit. On y trouve pas mal de plumes de qualité, j’y ai même des amis.

Être homo n’est pas un défaut (ni une qualité) mais un état.

Tout comme « vieux prof de français ».

JC..... dit: à

La France, peuplée de Français, n’a aucune dette à avoir pour le drame résultant de l’invasion nazie.
Aucune.

Va faire comprendre ça à Chirac ! Peine perdue, il fallait qu’il se lamente à ce moment là, il l’a fait ; puis est passé à autre chose … Bouffon !

J.-C. Azerty dit: à

Le pétainiste et l’antisiosémite se congratulent sur le dos de Chirac. (Les deux font la paire)

Que l’on comprenne bien que ma position n’a rien à voir avec un quelconque antisémitisme. Je comprends parfaitement qu’un Bloom, par exemple, se sente concerné par la mort de ces gens et soucieux de perpétuer leur mémoire. Et je respecte tout-à-fait son sentiment. Mais moi, qu’aucun lien d’aucune sorte ne relie à eux, en quoi me sentirais-je concerné ? Ces vieux morts d’une autre époque me sont aussi indifférents que les morts de 14/18, les grognards de Napoléon, les guillotinés de 93 et, pourquoi pas, les victimes de la Saint-Barthélémy. Une approche saine de l’Histoire implique à mes yeux l’absence de toute pollution d’ordre affectif, éthique ou idéologique. Le regard historique doit être un regard froid, détaché. L’authentique approche historique est une approche comptable. Par ailleurs, le devoir de mémoire est une foutaise à mes yeux. On ne se souvient que de ce qu’on a envie de se souvenir. Les morts d’Auschwitz et leurs persécuteurs appartiennent à un passé révolu, un passé anéanti, puisqu’ils sont tous morts. Cela n’a aucun sens à mes yeux de se sentir solidaire d’un passé dont tous les acteurs sont morts. Est-ce que je me sens solidaire de ce qui se passe dans une galaxie située à des millions d’années-lumière de nous ? Du passé, la mort fait table rase. La France et le monde du temps de grand papa Pétain, c’est comme si ça n’avait jamais existé.

Phil dit: à

on peut jamais savoir, qwerty. un pet sur Mars peut rayonner fossile jusque dans votre chaumière. Le problème, ze key point dixit nos amis amerloques, c’est les indemnités.
Modiano a la généalogie qui donne le droit de causer sur le sujet et donner le frisson aux greluches de saint germain.

Observatoire du JC dit: à

JC….. dit: 10 décembre 2014 à 7 h 16 min

Pauvre type, qui insulte à tout va qui il veut ici, au besoin en termes grossiers, et ne supporte pas la moindre pique à son endroit.

On lui demanderait bien de se maîtriser un peu, de ne pas se laisser abattre par ceux qui osent lui rendre ses coups mais avec classe, mais ce serait inutile.

JC..... dit: à

Que Modiano cause, c’est son droit.

Mais que l’on ne se rende pas compte que le vaincu voit sa Loi dictée par le vainqueur … Qu’on dise que la France, le pays dans son ensemble, est coupable ! ça me la coupe en rondelles de 0,01 mm !

Pas question d’une quelconque repentance !

gerard dit: à

« comme si ça n’avait jamais existé »

t’as beau être lobotomisé, alzheimérisé, ça a existé

Les deux font la paire dit: à

JC….. dit: 10 décembre 2014 à 10 h 05 min

JC, absence de repentance ne veut pas dire justification, sauf manifestement pour vous.

J.-C. Azerty dit: à

Pas question d’une quelconque repentance ! (JC)

Entièrement d’accord avec JC, que j’assure de mon entière solidarité (sur ce point de détail, du moins)

Les deux font la paire dit: à

J.-C. Azerty dit: 10 décembre 2014 à 10 h 19 min
Pas question d’une quelconque repentance ! (JC)
Entièrement d’accord avec JC, que j’assure de mon entière solidarité (sur ce point de détail, du moins)

Cette petite pointe volontaire qui se voudrait de l’humour (et que vous justifirez ainsi, car vous savez justifier)) n’est qu’un nouvel exemple malheureux de cet antisiosémitisme que vous développez.
Ne soyons pas dupes.

JC..... dit: à

Tudieu, Azerty, cette solidarité est réciproque ! L’intersection de nos domaines intellectuels n’est pas vide, contrairement à ce que des malfaisants pouvaient espérer…

JC..... dit: à

Azerty, dont le génie éclate ce matin, a raison : tant de jeunes perles a enfiler au présent ! Pourquoi enfiler, toujours et encore, les vieilles datant de WWII ?!

J.-C. Azerty dit: à

t’as beau être lobotomisé, alzheimérisé, ça a existé (Gérard)

Et alors ? qu’est-ce que tu veux que ça me fasse, que ça ait existé ? Est-ce que tu crois par hasard que ça va troubler en quoi que ce soit ma digestion ?

cause moi pas dit: à

« Est-ce que tu crois par hasard que ça va troubler en quoi que ce soit ma digestion ? »

je cause pas aux tubes dugestifs

J.-C. Azerty dit: à

cet antisiosémitisme que vous développez. (Les deux font la paire)

« antiosémitisme » (TLF) : attitude de ceux qui manifestent leur hotilité aux Osémites. Attestés par quelques allusions (d’ailleurs obscures) d’un manuscrit de Flavius Josèphe (Vaticanus BB70001), les Osémites seraient été une tribu du Sinaï, qui se fondirent ultérieurement (à une date d’ailleurs discutée) dans les tribus bédouines du coinsteau.

Mangeons des laitages dit: à

J.-C. Azerty dit: 10 décembre 2014 à 10 h 34 min
que ça va troubler en quoi que ce soit ma digestion ?

Gaffe à ton ulcère Jambrun, déjà que tu n’es pas bien vaillant.

Philippe Pétun dit: à

Allons, il ne s’agit pas de battre sa coulpe pour des fautes commises par d’autres, mais de connaître son passé pour éviter qu’il se reproduise.

J.-C. Azerty dit: à

Allons, il ne s’agit pas de battre sa coulpe pour des fautes commises par d’autres, mais de connaître son passé pour éviter qu’il se reproduise. (Philippe pétun)

Eh bien voilà : dit comme ça, qui le contesterait ?

Les deux font la paire dit: à

J.-C. Azerty dit: 10 décembre 2014 à 10 h 49 min
Eh bien voilà : dit comme ça, qui le contesterait ?

Alors dites-le comme ça.
Absence de repentance ne veut dire ni oubli, ni justification sinon vous ouvrez les portes à toutes les lois mémorielles dont nos politiques sont déjà bien trop friands.

B comme BERLIN dit: à

Patrick Modiano est un vrai écrivain.

H comme .... dit: à

B comme BERLIN dit: 10 décembre 2014 à 11 h 06 min
Patrick Modiano est un vrai écrivain.

Connaître l’émetteur d’une opinion peut malheureusement parfois se retourner contre elle.

JC..... dit: à

« mais de connaître son passé pour éviter qu’il se reproduise. »

Quelle demi-connerie splendide !!!
– le connaître, le passé, c’est nécessaire et nous sommes d’accord sur ce point
– croire que cela peut servir à « éviter » la redite, ouarf ! ça c’est débile, bon pour les gamins en maternelle

JC..... dit: à

La presse étrangère est ignoble !

Le magazine culturel du KKK sudiste vient d’attribuer sa « Banane d’Or 2014  » à une négresse française non-identifiée, mais dont le prénom pourrait être Christiane…

Sales racistes ! Pourquoi nous, d’ailleurs ?…

J.-C. Azerty dit: à

Les mots « repentir » et « repentance » comptent parmi les plus ignobles de la langue française. Ils puent leur judéo-christianisme à des lieues. Et le judéo-christianisme, c’est vraiment pas mon truc. Si je me retenais pas, je te foutrais tout ce tas d’agenouillés, de prosternés, patouillant dans la repentance comme grenouilles dans un bénitier, dans des… dans des…Calmons-nous. Le repentir est incompatible avec la dignité humaine. On peut, on doit reconnaître qu’on s’est trompé. Errare humanum est. Mais se repentir, c’est vraiment dégueulasse. D’ailleurs, c’est bien simple : quand j’entends parler de repentir, je sors mon revolver à bouchon.

J.-C. Azerty dit: à

Mais se repentir, c’est vraiment dégueulasse. (moi)

Pourquoi pas demander pardon, pendant qu’on y est ?

J.-C. Azerty dit: à

Patrick Modiano est un vrai écrivain. (B comme Berlin)

C’est sûr ; ça doit même figurer sur sa carte d’identité. profession : écrivain. Il doit même payer des impôts pour les revenus (conséquents) qu’il en tire. Même Zemmour et Trierweiler sont de vrais écrivains.

J.-C. Azerty dit: à

Si je me retenais pas, je te foutrais tout ce tas d’agenouillés, de prosternés, patouillant dans la repentance comme grenouilles dans un bénitier, dans des… dans des… (moi)

Dans des centres de rééducation. Voilà. C’est les mots que je cherchais.

JC..... dit: à

Azerty, soyons sérieux !!!

Sur la carte d’identité de Modiano, la carte c’est l’étiquette, l’équivalent humain de « poulet fermier », on doit porter

– profession : écrivain
– taille : grand

JC..... dit: à

Fermons des prisons !
Ouvrons des centres de rééducation ! (Victor « Silvio » Plumo/ Mes prisons)

Guantanamo, Laogaï, Goulag, Education nationale, ces lieux ont fait leurs preuves, non ?!

JC répète ses gammes dit: à

JC….. dit: 10 décembre 2014 à 11 h 48 min
Le magazine culturel du KKK sudiste

Vous voulez parler d’un torchon édité au sud d’Avignon par vos camarades buissonniens ou c’est juste une de vos petites saloperies habituelles de lanceur de rumeurs bien pourries ?

Polémikoeur. dit: à

Qu’est-ce qu’un « discours de Suède » ?
Faut-il voir dans l’expression
une allusion au rôle ambigu
du pays face à l’Allemagne nazie
et, dès lors, une sorte d’hommage
(très) relatif au nobélisé ?
Blouswaidchouzement.

B comme benêt dit: à

Connaître son passé pour éviter qu’il ne se reproduise ?

Je n’ai pas l’impression que les Israeliens se soucient du ghetto de Varsovie lorsqu’ils pillonnent Gaza, et pourtant, et pourtant… La chouette de Minerve s’envole au crépuscule, quand elle ne reste pas clouée aux portes.

JC..... dit: à

La Dame des 35 heures, notre Nabilla politique, Martine Aubry, àa parlé…

Fifille à papa, ayant fait une gigantesque carrière, protégée par son carnet d’adresse paternel, donne son point de vue sur une économie et un monde qu’elle connaît par ouïe dire ! Cocasse ….

Qu’est ce qu’on se marre ! heureusement, Modiano est là pour nous rassembler.

Gnondpom dit: à

JC….. dit: 10 décembre 2014 à 12 h 13 min
donne son point de vue sur une économie et un monde qu’elle connaît par ouïe dire

Comme quoi JC est aussi nul en vie économique qu’en économie.
M.A. est sûrement la seule politique française à avoir été membre du comité de direction d’une multinationale, ceci n’implique pas obligatoirement des compétences extraordinaires mais devrait éviter à certains de raconter n’importe quoi pour faire leur intéressant.

J.-C. Azerty dit: à

Sur la carte d’identité de Modiano, la carte c’est l’étiquette, l’équivalent humain de « poulet fermier », on doit porter

– profession : écrivain
– taille : grand (JC)

Et « élevé en plein air » ? Non ?

B comme BERLIN dit: à

Vous vous trouvez drôles ?

J.-C. Azerty dit: à

– profession : écrivain
– taille : grand (JC)

Et « élevé en plein air » ? Non ? (moi)

On rigole, on rigole, en attendant c’est le genre de renseignement qui pourrait guider le choix en librairie. Tiens, par exemple, la date de péremption. Pour un roman de Modiano, six mois ? Deux ans ?

Gnondpom dit: à

Ah oui, j’oubliais.
Son patron était un futur président du CNPF (une de vos idoles patronariales ?)

Office du tourisme dit: à

c’est le genre de renseignement qui pourrait guider le choix en librairie (onésiphore)

Mais le label rouge existe. Et dessus il y a la mention soit « Prix Machin » soit, si c’est par exemple Ma Petite cousine de Marc Dupont, « Marc Dupont ».

Office du tourisme dit: à

Et le label rouge signifie toujours implicitement une date de péremption proche. Quand le livre peut se conserver, genre Balzac, Flaubert, Dickens, Proust, etc., on ne met pas de label.

Polémikoeur. dit: à

Qu’est-ce qu’un « discours de Suède » ? (12h10).

plus fort que l'insttit dit: à

« date de péremption proche »

Ne pas confondre avec la date de rédemption (qui n’est pas nécessairement proche)

Gnondpom dit: à

Un futur président du CNPF (12 h 29 min)

B comme benêt dit: à

B comme Berlin est un vrai rdlien.
C’est mon avis à moi.
Mais euh.

Daaphnée dit: à

Et l’autre nullissime qui continue à usurper les pseudo (12.41)!
Rien dans sa vie, celui-là ..

blasé dit: à

« il ne s’agit pas de battre sa coulpe pour des fautes commises par d’autres, mais de connaître son passé pour éviter qu’il se reproduise. »

laissez !ils sont trop manipulés pour comprendre, et (ou) hyprocrites –
c’est comme le fameux « je confesse » au lieu de « j’avoue », à moins que dans ce cas il s’agisse d’un angliscisme, mais c’est peut-être les deux tiens

Daaphnée dit: à

Et l’autre nullissime (12 h 50)

gerard dit: à

nabila est moins co n ne que jc, c’est dire

JC..... dit: à

« M.A. est sûrement la seule politique française à avoir été membre du comité de direction d’une multinationale »

Propos qui témoigne de votre incompétence…. Vous vous figurez que dans les CA, il n’y a pas de « potiches » inutiles ??? Vous faites le con, ou c’est un don du ciel ?…

Réveillez-vous !

renato dit: à

Pour faire vraiment bistrot manquent trois ou quatre « sportifs » de fauteuil: ce serait extra, on gagnerait tous les matches et on aurait la meilleure politique du monde… près du comptoir… naturellement…

PMBt dit: à

A propos de Bergé et de son gros bâton.

Il paraît que la Société des rédacteurs du journal s’inquiète de son intrusion dans le contenu de sa danseuse.

Jadis, cette Société ne se serait pas inquiétée, elle se serait révoltée.

Quant à Hubert Beuve-Méry, il n’aurait même pas laissé cet affairiste s’approcher de la Rue des Italiens.

(On aimerait avoir le point de vue de notre hôte sur cette affaire emblématique du pouvoir des malotrus friqués)

JC..... dit: à

Cher renato,
Tout le monde n’a pas la chance, comme vous, de faire partie de la Section Culture Générale, de l’Académie de la Ligue du Nord …. uhuhuhu !

et ça se dit blasé dit: à

« il ne s’agit pas de battre sa coulpe pour des fautes commises par d’autres

Il s’agit exactement de ça, au contraire. Et on l’a vu encore avec cette histoire sordide d’indemnisation des victimes de la Shoah par la SNCF, 60 ans après les faits !
Exploiter Vichy pour culpabiliser les Français rétifs à un certain discours (de gauche, bingo), comme les Allemands furent culpabilisés, en tant que fils et petit-fils de nazis (par les communistes de la RDA, surtout) sur le modèle des malédictions bibliques. Et c’est ce à quoi s’est employé toute sa vie un homme comme BHL (« Zola à Paris, Barrès à Jérusalem ») à travers l’idéologie française, exécutée brillamment par Zemmour dans son livre.
Eh oui.

JC..... dit: à

PMB,
Sans la moindre once d’homophobie car cela n’est pas mon genre, tout le monde le sait :

« Toutes les fiottes sont des salopes ! », comme dirait Helmut le Berger.

Bloom dit: à

Exploiter Vichy

13h49 ou l’idéologie à l’état gazeux. Pince-nez de rigueur.

renato dit: à

Pauvre garçon, il cause sans aucun critère… mais… enfin… il faut bien que les frustrés se déchainent quelque part… et mieux vaut ici que dans le réel…

Pour ce qui est de votre stupide hypothèse (Ligue du Nord), je suis sans doute un peu con, mais pas à ce point…

et ça se dit blasé dit: à

Vous voulez un petit chèque, Bloom ?

Lisez Zemmour, plutôt. Mais faites attention : vous pourriez tomber d’accord avec lui.

Bloom dit: à

Vous voulez un petit chèque, Bloom ?

Un gros, tant qu’à faire. Aime pas les radins.

de nota dit: à

hé… je commence à bien la sentir, elle est de toi?

J.-C. Azerty dit: à

Il semble qu’Olivier Adam n’ait pas la carte et qu’il se demande pourquoi.

Intéressante, la chronique d’Olivier Adam, dans Libé. Il a au moins le mérite de mettre le doigt sur le pouvoir des réseaux (aux contours peu définis, il faut le reconnaître) qui font et défont les réputations,souvent éphémères, le temps que le vent dominant change. On dira que ce n’est pas nouveau. Sûrement.

Daaphnée dit: à

( Nota bene: Maintenant que ce fil est pourri, envisagez-vous un autre billet ?
Il m’a semblé observer que le nombre des commentaires baisse de billet en billet de 200 .. )

Daaphnée dit: à

le pouvoir des réseaux (aux contours peu définis, il faut le reconnaître)

Nous sommes bien placés ici pour voir que n’importe quel imbécile peut dire n’importe quoi . Je doute que ce soi-disant « pouvoir » perdure ..

conseil technique dit: à

Un IP ne signifie rien, Daphnée. Un même commentateur peut changer d’ordinateur ou de connexion.

B comme BERLIN dit: à

« B comme BERLIN dit: 10 décembre 2014 à 11 h 06 min »

Bizarre, je fais des petits sans m’en rendre compte !!! !! !.

JC..... dit: à

Je ne suis pas un imbécile ! J’ai les preuves de ce que j’avance…tout écrit… tout !

et j’aurai le Nobel, un jour !… je l’aurai… ou, au pire, le Goncourt de chez monsieur Drouant.

conseil technique dit: à

Techniquement, on peut être un petit con* sans être un imbécile, JC.

________
* ou un saligaud, un pauvre type, un enfoiré, etc.

de nota dit: à

Quand on est à une portée de gogol…

conseil technique dit: à

On vous a induit en erreur, JC. Le Goncourt n’est pas une récompense pour les cadres commerciaux. Mais il y en a d’autres, rassurez-vous. En vous appliquant, vous pourrez peut-être gagner la prime du meilleur vendeur ou être sacré meilleur employé du mois. Vous méritez certainement d’être distingué dans votre domaine. Tous nos vœux vous accompagnent.

JC..... dit: à

Etre « un petit con, un saligaud, un pauvre type, un enfoiré », ça me va comme un gant : j’accepte. C’est l’idée d’être un imbécile, comme tant d’autres ici, qui me soulevait le cœur !

Parlons littérature : 600.000 vendus par Valérie, 400.000 vendus par Eric, 290.000 vendus par Modiano … La culture se porte bien en France… le niveau monte !

conseil technique dit: à

Au troll de 16 h 24 :

Pourriez-vous emprunter un autre pseudo ? Parce que de nota est un commentateur apprécié ici. Prenez Daaphnée, ou JC, ou TKT, tout le monde s’en fout.

A maximum high, a maximum love dit: à

T’es à combien de fram quand tu t’enregistre faire du web?

JC..... dit: à

J’apprécie beaucoup JC, et je ne suis pas le seul !

Modiano..... dit: à

J’apprécie beaucoup JC ! S’il dit qu’il aura le Nobel, il l’aura car il ne connaît pas l’échec. Au besoin il achètera le Prix, et le jury, comme un vulgaire qatari un Club de foot …

B comme BERLIN dit: à

Aujourd’hui, mercredi, jour des enfants.

Tue Dieu, Bonux, tu es devenu polygraphe et somnambule… .. .

Sergio dit: à

Donc Modiano, Patrick, car enfin, comme on dit, il est toujours bon de savoir où l’on va, ils sont tous le même ; autant le lire, dans ces conditions, et là immanquablement on s’endort. Jusque-là ça passe, comme l’affirment les gars du Joe Bar Team, seulement si on se réveille, alors on se suicide ! Ca c’est du plan…

N.D.L.R. Si ça foire faut essayer avec Bernanos là c’est du solide…

JC..... dit: à

Camarade ueda, bonsoir ! même ici où nous pourrions espérer de la fraicheur, pure respiration, noble vertu, venues des terres du couchant, il nous parvient hélas la sordide chaleur du souffle des Enfers ! Misère …

JC..... dit: à

Comme je vous comprend, Daaphnée ! vous êtes une étoile de grande magnitude, je ne suis qu’un ver luisant !

Bihoreau de Bellerente dit: à

Monsieur Modiano travaille t-il le dimanche? Peut-être; que ceux qui savent répondent. Moi, qui n’ait jamais travaillé contre salaire mais qui s’est éreinté à m’occuper de mes héritages, il m’est arrivé de devoir aller visiter un agriculteur qui avait besoin de moi, enfin qui le croyait, car il eut été impensable de le faire attendre jusqu’au lundi. Jésus n’a t-il pas dit que le Sabbat était pour les humains, et pas le contraire? Les commerçants vont se rendre compte que les consommateurs ne consomment pas vraiment plus si leur échoppe est ouverte le dimanche, mais ils devront être là, payer du personnel, bref augmentation des damnés frais fixes.

Quant à la vie de famille, ou ce qu’il en reste, c’est un argument bien faible. J’ai vu à New-York des commerces ouverts 24/7 comme ils disent. Souvent, la famille s’y retrouve et va manger ensemble quand le quart de travail est terminé. Comme nos agriculteurs qui doivent parer à l’essentiel, dimanche ou pas. Les angoissés des grandes villes, qui passent leur temps devant l’ordi à se faire peur, devraient venir en région voir comment vivent le vrai monde.

Tiens, il va falloir prévoir le dîner. Confits de canard, pommes sautées, haricots.

B comme BERLIN dit: à

Je pense que nous avons bien des affinités, chère Daaphnée.

Sergio dit: à

Modiano….. dit: 10 décembre 2014 à 16 h un vulgaire qatari un Club de foot …

Ha ben si on pouvait leur faire un lot, après on serait bien tranquille…

Essayons de comprendre Bihoreau dit: à

Bihoreau de Bellerente dit: 10 décembre 2014 à 17 h 04 min
que le Sabbat était pour les humains, et pas le contraire?

Qu’entend-il par là ? Que les humains ne sont pas pour le Sabbat ?

Madame de Valognes dit: à

On trouve dans les dictionnaires de très bonnes définitions de « délire paranoïde » applicable à certain commentateur très envahissant et très atteint

et des grands mots aussi dit: à

ça changerait des petits fours faut dire…

felix d dit: à

Le bâton de Bergé n’est qu’un gros brigadier pour théâtre de patronage. Sa prétention à mettre au pas la critique littéraire dans son propre journal fait pitié.

Daaphnée dit: à

Non, minable petit troll, je n’apprécie pas JC .. Je le tiens pour un individu détestable, U le sait.

Pas le moins du monde, petit troll minable usurpateur.
JC – en son pseudo – fait de la provocation infantile, certes.
Cependant il atteste, parfois, d’une intelligence qui, comparativement au lot des interventions Clopino-Dhh-Berénissno-Roso-Wiwibouffe consternantes, égaient la catastrophique suite de parlottes insignifiantes.

Ah, le temps où les hommes ne craignaient pas la durée et l’ennui qu’ils savaient rendre fécond …. !

Daaphnée dit: à

Et j’ajoute qu’il est bel homme .. et pas insensible à mon charme ..

Daaphnée dit: à

Daaphnée dit: 10 décembre 2014 à 17 h 25 min
Et j’ajoute qu’il est bel homme .. et pas insensible à mon charme ..

Vous devez être bien seule dans votre vie de petit être limité en tout, pauvre petit troll usurpateur sans charme aucun.

l'usurpateur dit: à

Oui, Daaphnée, ma solitude est immense et mes limites me contraignent terriblement. Plaignez-moi au lieu de m’accabler. Car je souffre.

l'usurpateur dit: à

J’aimerais tant être digne de vous, Daaphnée. Vous êtes un peu mon modèle. Je m’efforce d’approcher votre hauteur, mais c’est très difficile. Laissez-moi une chance de m’améliorer.

Daaphnée dit: à

Plaindre ne sert à rien.
C’est même écoeurant.

l'usurpateur dit: à

Je signe « l’usurpateur », mais c’est un mensonge. Je suis de votre sexe. Et lesbienne. C’est pourquoi je ne vois en vous que la maîtresse-femme que vous devez être.
Autant le dire tout de go, je vous aime.

Daaphnée dit: à

Bon, Pierre Assouline, notre Patrick est un hésitant mais ce n’est pas une raison pour lanterner sur son cas …, si ?

l'usurpateur dit: à

Écœurant ? Oh non, est-ce bien de vous que vient cet adjectif ? Vous me fendez l’âme. Désormais, la mort seule est mon refuge.

JC..... dit: à

« Désormais, la mort seule est mon refuge. » (zuzurpateur)

Oh ! que c’est beau !
On dirait du Modiano …

JC..... dit: à

Basta Modiano ! J’attaque Mo Yan et son « La dure loi du karma ».

Est-ce que l’immense Passou, notre guide de haute montagne et de profondes vallées, en a parlé en son temps ?…

Observatoire du JC dit: à

JC : C’est l’idée d’être un imbécile, comme tant d’autres ici, qui me soulevait le cœur !

Mais tu ES un imbécile !

JC..... dit: à

En une minute, je ne suis plus moi-même : génial ! Bonne soirée, mes petits choux …

Sergio dit: à

Daaphnée dit: 10 décembre 2014 à 17 h 37 min
Bon, Pierre Assouline, notre Patrick est un hésitant mais ce n’est pas une raison pour lanterner sur son cas …, si ?

Tant qu’ils sont debout à applaudir un certain nombre et nombre certain de minutes comme au Soviet suprême on peut pas s’en aller, hein ! Ca va se voir y a des gars qui vérifient…

Madame de Valognes dit: à

Bonne soirée à toi, mon babouin d’amour.

Germaine Frouillac dit: à

Sergio, maintenant vous me décevez.

rien à voir dit: à

ah… qui toujours protège qui…

rien à voir dit: à

(d’ailleurs pas moyen de savoir qui)

Mam'zelle Nitouche dit: à

Daaphnée dit: 10 décembre 2014 à 17 h 37 min
Patrick est un hésitant mais ce n’est pas une raison pour lanterner sur son cas

Si vous n’aimez pas, n’en dégoûtez pas les autres. Allez commenter sur la République du cinéma, ça vous distraira.
(A moins que vous ne soyez jalouse de Sophie Avon, ce qu’on peut comprendre.)

Madame de Valognes dit: à

17 h 50 : usurpation de mon pseudo… ça continue… aussi chez Sophie, décidément !

J.-C. Azerty dit: à

De quelle épithète qualifier l’univers de Modiano ? Modianien ? Modianesque ? Modianique (ta mère) ?

Polémikoeur. dit: à

Permission de répéter :
Qu’est-ce qu’un « discours de Suède » ? (12h10).
Merci.

bérénice dit: à

Ah, le temps où les hommes ne craignaient pas la durée et l’ennui qu’ils savaient rendre fécond …. !

Daaphnée personne ne va jusqu’à revendiquer vos ailes de cygne cependant comme nul n’est sensé ignorer la loi il semble que concernant votre emploi du temps ne demeure aucune ombre, si vous étiez Stendhal vous pourriez poser je vis j’aime j’écris mais vous n’êtes pas de la même étoffe et vous devez ainsi vous résoudre à, vous dissoudre dans, d’autres verbes qui occupent votre vie à l’action, la réflexion, les pensées florissantes qui viennent, comme un plancton, fluorerescer dans les eaux claires du blog sans qu’il soit projetable d’en atteindre l’échéance . Est-ce un bien ou un mal, je ne cois pas que l’Histoire en prendra note pour statuer de l’inaltérabilité de vos interventions aussi incessantes qu’insistantes à explorer différentes directions vous accordant ainsi, s’il elle existait, une carte d’aventurière littéraire comme d’autres ont en leur possession une carte de presse. Avec cela vous voilà bien équipée pour vous introduire jusqu’au cœur des débats les plus passionnés , les closeries du salon.

Sergio dit: à

Germaine Frouillac dit: 10 décembre 2014 à 17 h 52 min
vous me décevez.

J’ai hésité, mais, il y a toujours une brechtienne distanciation rampante vis-à-vis d’une salle qui applaudit ; adonc j’ai servi ça, en souvenir du peuple à oreillettes…

Gnondpom dit: à

Gnondpom dit: 10 décembre 2014 à 12 h 46 min

Un usurpateur en pleine forme.

Bihoreau de Bellerente dit: à

«Corrigeons Bihoreau 17 h 10 min
EÛT (ah, la touche majuscule…..)

17 h 09 min
. Moi, qui n’AI jamais travaillé contre salaire mais qui ME SUIS éreinté à …, car il EÜT été impensable
… devraient venir en région voir comment VIT le vrai monde.»

Merci. Au moins en voilà un qui me lit…

Gnondpom dit: à

Gnondpom dit: 10 décembre 2014 à 14 h 25 min
Je pense que le de nota de 14 h 17 est un faux

Le Gnondprom de 14h25 c’est sûr.

closer dit: à

« Un conseil, revoyez votre histoire culturelle.
Ci-dessous le discours de Chirac..juillet 1995: »

Enfin, Bloom, soyons sérieux, Modiano n’a jamais été menacé par personne!

Gnondpom dit: à

JC….. dit: 10 décembre 2014 à 16 h 30 min
Parlons littérature : 600.000 vendus par Valérie, 400.000 vendus par Eric, 290.000 vendus par Modiano … La culture se porte bien en France… le niveau monte !

La preuve, vous avez acheté les deux premiers.

bérénice dit: à

Cependant il atteste, parfois, d’une intelligence qui, comparativement au lot des interventions Clopino-Dhh-Berénissno-Roso-Wiwibouffe consternantes, égaient la catastrophique suite de parlottes insignifiantes.

Et si vous deviez insister à m’affubler de ces dépréciatifs que vous tenez en affection et dont vous n’êtes pas avare au point que ce genre de persiflage vous échappe un peu comme une perspiration, je pourrais trouver l’énergie pour vous affecter d’un
Daaphpunk, Daaphnoz ou naze au choix afin de rester sur une onde sécante à votre sérénissime Suffisance malodorante et malséante .

M.Marcel, instituteur dit: à

Bérénice, ne t’occupe pas de Henri et apprends à faire des phrases, nom de Dieu! Sujet+verbe+complément.

J.-C. Azerty dit: à

Selon le voeu de son fondateur, le prix Nobel de littérature devrait récompenser un écrivain dont l’oeuvre  » a fait la preuve d’un puissant idéal « . C’est quoi au juste, le puissant idéal défendu par l’oeuvre de Modiano ? Voilà un beau sujet pour le prochain bac de français. Le nombre de copies blanches, j’ose pas l’imaginer.

Daaphnée dit: à

On saisit bien que Bérénice cherche à dire quelque chose ..

J.-C. Azerty dit: à

C’est quoi au juste, le puissant idéal défendu par l’oeuvre de Modiano ? (moi)

Tu me diras que le puissant idéal défendu par Samuel Beckett, je le vois pas non plus. Ce Nobel de littérature, c’est décidément n’importe quoi.

J.-C. Azerty dit: à

Selon le voeu de son fondateur, le prix Nobel de littérature devrait récompenser un écrivain dont l’oeuvre » a fait la preuve d’un puissant idéal « (moi)

Ni Beckett ni Modiano ne me paraissent correspondre au voeu du fondateur. En revanche, Zemmour ou Trierweiler, on voit bien qu’ils défendent un puissant idéal : empocher un max de pépètes. Voilà d’authentiques lauréats pour le Nobel.

Sergio dit: à

M.Marcel, instituteur dit: 10 décembre 2014 à 18 h 57 min
Sujet+verbe+complément.

Houi mais maintenant qu’on a l’ADN électrifié ça va bomber, hein ! Paralléliser, même… On va plus retrouver son veau !

faut suivre dit: à

@13h49

(à 12h51) j’avais mis des «  » car je citais une partie d’un commentaire

paul bé dit: à

un puissant idéal : empocher un max de pépètes.

what else

Ponctuons bérénice dit: à

Bérénice écrit très bien. Elle oublie simplement de ponctuer. Alors reprenons :

1) Daaphnée, personne ne va jusqu’à revendiquer vos ailes de cygne. Cependant, comme nul n’est censé ignorer la loi, il semble que, concernant votre emploi du temps, ne demeure aucune ombre ; si vous étiez Stendhal, vous pourriez poser : « Je vis j’aime j’écris ». Mais vous n’êtes pas de la même étoffe et vous devez ainsi vous résoudre à (vous dissoudre dans) d’autres verbes qui occupent votre vie à l’action, la réflexion, les pensées florissantes qui viennent, comme un plancton, fluorerescer dans les eaux claires du blog sans qu’il soit projetable d’en atteindre l’échéance . Est-ce un bien ou un mal ? Je ne cois pas que l’Histoire en prendra note pour statuer de l’inaltérabilité de vos interventions, aussi incessantes qu’insistantes à explorer différentes directions, vous accordant ainsi, s’il elle existait, une carte d’aventurière littéraire, comme d’autres ont en leur possession une carte de presse. Avec cela vous voilà bien équipée pour vous introduire jusqu’au cœur des débats les plus passionnés, les closeries du salon.

2) Et, si vous deviez insister à m’affubler de ces dépréciatifs que vous tenez en affection — et dont vous n’êtes pas avare, au point que ce genre de persiflage vous échappe un peu comme une perspiration —, je pourrais trouver l’énergie pour vous affecter d’un
Daaphpunk, Daaphnoz ou naze, au choix, afin de rester sur une onde sécante à votre sérénissime Suffisance malodorante et malséante.

On voit aussitôt, non seulement que bérénice n’écrit pas n’importe quoi, mais encore qu’elle vole cent coudées au-dessus de Daaphnée.

faut suivre dit: à

@et ça se dit blasé dit: 10 décembre 2014 à 13 h 49 min

de toute façon vous dites n’importe quoi

Daaphnée dit: à

Ô Socrate, je meurs !… Donne-moi de l’esprit ! Verse l’idée !

réponse à tout dit: à

J.-C. Azerty dit: 10 décembre 2014 à 19 h 10 min
Selon le voeu de son fondateur, le prix Nobel de littérature devrait récompenser un écrivain dont l’oeuvre » a fait la preuve d’un puissant idéal «

Ça, c’était au début. Et c’est ce qui explique les choix curieux des premières années. Mais l’académie Nobel a fini par se dispenser de cette clause, afin de pouvoir couronner des auteurs de moins bon ton mais de meilleure eau.

JC..... dit: à

Gnondpom dit: 10 décembre 2014 à 18 h 43 min

Tous ici, nous savons bien que JC n’est autre que Valeria Elena von Bank und Rottweiler, l’ex de la Mouillette de l’Elysée, devenue riche de ses déboires affectifs, témoignage de la vulgarité de l’un et de la crédulité de l’autre ….

JC..... dit: à

Ce n’est pas grave, ce n’est pas moi non plus : les commentaires deviennent probabilistes, comme le réel terrien !

de nota dit: à

Bon, le loustic usurpateur a encore utilisé mon pseudo!

Désormais, vous lirez mes commentaires
En décasyllabes, absolument.
Quant au zozo, à défaut de se taire,
Il lui faudra travailler plus avant
S’il veut toujours être ici « de nota ».
Caprice bien ridicule! ma foi,
Que de vouloir sur ce blog être moi.
Laissez-moi! et choisissez dans le tas
un pseudo bien plus glorieux! enfin.
Wider! ou clopine! le fin du fin.

un usurpateur dit: à

Le loustic n’est pas moi, de nota. J’ai usurpé des trolls, mais pas vous. Jamais.

JC..... dit: à

Cette usurpation est délicieuse, et signifiante… j’adore !

Conclusion : il est impossible d’être singulier dans une foule normée.

Bonne nuit, petits choux adorés…

Gnondpom dit: à

Gnondpom dit: 10 décembre 2014 à 19 h 34 min

Gnondpom de 19h34 le crétinisme vous va à ravir.

D. dit: à

Ce soir je mange du rouget grillé. Le poissonnier me les a préparés. J’hasite pour l’accompagnement. Un riz Basmati ? Un flanc de courgette ?

JC ne s'en remettra pas (moi non plus) dit: à

D. dit: 10 décembre 2014 à 20 h 15 min

Basmati – Rouget grillé !
Les calanques frémissent.

DHH dit: à

@berenice
Vous dites avec brio des choses vraies sur la sauce à laquelle vous ,moi et d’autres sont mangées par Daphnée
Pour ajouter mon grain de sel, je dirais cela .
On peut être médiocre et inintelligent ,c’est triste et devant ces gens je compatis
Mais ce qui est insupportable ce sont les médiocres qui s’imaginent qu’ils sont des phenix , et qui forts de cette conviction , traitent de haut des gens qui les dépassent de manière évidente de cent coudées
Ils n’ont pas conscience de leur ridicule,
Ou alors ils savent en fait ce qu’ils valent et cette attitude est l’expression de leur jalousie

Chaloux dit: à

DHH, vous exprimez parfaitement ce que m’inspire ce pauvre Alba.

Chaloux ! Respire dit: à

Chaloux dit: 10 décembre 2014 à 20 h 47 min

Avant de pleurer sur les autres notre bon Chaloux ferait bien de pleurer sur lui-même.
Je suis sûr qu’il peut « s’inspirer ».

Chaloux dit: à

Très fort. Bravo.
Mais toi, grosse loche, il me semble que tu pourrais directement te « lamenter ».
Bonne foirée,

Une option dit: à

Chaloux dit: 10 décembre 2014 à 20 h 47 min
DHH, vous exprimez parfaitement ce que m’inspire ce pauvre Alba.

Chaloux, DHH parlait de Daaphnée.
Vous savez, votre idéal féminin.
Encore que ?
Seriez-vous l’usurpateur de son pseudo ?
Délateur c’est sûr.
Mais usurpateur ?
Pourquoi pas.

Chaloux dit: à

Sue la « délation », j’ai déjà répondu. Donc : va te faire foutre, – si c’est encore possible, ce dont il n’est pas interdit de douter.
Pour le reste, ma vie professionnelle, extrêmement chargée, ne me permet pas de m’amuser en journée. Je ne suis si agrégé ni à la retraite…

DHH dit: à

Puisqu’on a parlé de la Vie Mode d’Emploi un detail que certains ici n’ont peut-être pas relevé ;
Dans le chapitre où Perec récapitule en les résumant une par une en une phrase les histoires qu’il a racontées ,il s’arrange pour que chacune de ces phrases contienne le nom d’un membre de l’OULIPO
Ainsi (c’est l’exemple, pas le meilleur, qui me revient à l’esprit) : « les negociations avec le bey n’aboutissent pas » = :BENABOU
Je pense aussi à une frphrase qui se terminait par « …..sur le boulmich elle mette ailleurs ….=Michelle METAILLE

Chaloux dit: à

Sur ce, pas de temps pour dialoguer avec les pensionnaires de l’asile assoulinien…

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 10 décembre 2014 à 21 h 02 min
Je ne suis si agrégé ni à la retraite.
_________
Désagrégé peut-être alors ? Et sur le retrait ?

Madame de Valognes dit: à

en ce qui concerne l’usurpation de pseudo, voir ce qu’écrit JC chez Sophie, je cite : « les règles sont faites pour être contournées… au nom de la liberté » ! (commentaire à propos de Mr Turner, donc vérifiable), ceci constitue sans équivoque un aveu de vouloir mettre le bazar (je suis polie) et il ne se gêne pas

un faux Widergänger dit: à

Excusez-moi, je regarde le match.
Le PSG est en train de se faire mettre.

une fausse Madame de Valognes dit: à

Je suis conne mais j’ai une excuse : c’est congénital.

Chaloux dit: à

DHH, je conçois que Daaphnée puisse vous inspirer de la répugnance, mais elle exerce sur moi un attrait sexuel contre lequel je suis impuissant (enfin je veux dire… vous me comprenez.)

Chaloux dit: à

Pour tout dire, elle m’a envoyé une photo d’elle un peu… dénudée, et je n’en suis pas encore remis.

Madame de Valognes dit: à

Mon mari avocat me souffle que derrière un pseudo il y a une identité et que l’usurpation d’identité est un délit, JC s’en fiche… jusqu’à quand ?

Widergänger dit: à

@ l’intention de tous les ignares de ce blog (ignares et pervers et malveillants, mais c’est tout un) :

La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé cette semaine avoir octroyé le statut d’observateur à la « Palestine », ce qu’il ne faut pas confondre avec le statut d’État membre. Le représentant de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à New York, Riyad Mansour, a réagi à ce geste symbolique en déclarant que la prochaine étape sera l’adhésion de la « Palestine » comme État membre.

Mansour se porte ainsi en porte-à-faux de son collègue Ibrahim Khraishi, le représentant de l’OLP au Conseil des droits de l’homme des Nations unies à Genève. En effet, le 9 juillet dernier, Khraishi a déclaré à la télévision palestinienne que, si l' »État de Palestine » rejoignait la CPI, il s’exposerait à des poursuites pénales pour crimes de guerre.

Se référant à la guerre qui faisait alors rage entre Israël et le Hamas, Khraishi déclara que « chaque missile tiré par le Hamas contre Israël constitue un crime de guerre, qu’il atteigne ou pas sa cible, car le Hamas vise des cibles civiles (…) Beaucoup de nos gens à Gaza sont apparus à la télévision et ont déclaré que les Israéliens les avaient avertis d’évacuer leurs maisons avant les bombardements. Dans un tel cas, si quelqu’un est tué, le droit international considère cela comme un accident et non comme un crime parce [les Israéliens] ont suivi les règles du droit de la guerre (…) Par conséquent, nous n’avons pas intérêt à devenir membres de la CPI, et les gens feraient bien de réfléchir avant de parler ».

Chaloux dit: à

Il faut dire, le niveau des usurpateurs…

de nota dit: à

Ah, les raisons pour lesquelles Isaac Bashevis Singer a écrit pour les enfants…

Isaac Bashevis Singer’s speech at the Nobel Banquet, December 10, 1978

Your Majesties, Your Royal Highnesses, Ladies and Gentlemen,

People ask me often, ‘Why do you write in a dying language?’ And I want to explain it in a few words.

Firstly, I like to write ghost stories and nothing fits a ghost better than a dying language. The deader the language the more alive is the ghost. Ghosts love Yiddish and as far as I know, they all speak it.

Secondly, not only do I believe in ghosts, but also in resurrection. I am sure that millions of Yiddish speaking corpses will rise from their graves one day and their first question will be: « Is there any new Yiddish book to read? » For them Yiddish will not be dead.

Thirdly, for 2000 years Hebrew was considered a dead language. Suddenly it became strangely alive. What happened to Hebrew may also happen to Yiddish one day, (although I haven’t the slightest idea how this miracle can take place.)

There is still a fourth minor reason for not forsaking Yiddish and this is: Yiddish may be a dying language but it is the only language I know well. Yiddish is my mother language and a mother is never really dead.

Ladies and Gentlemen: There are five hundred reasons why I began to write for children, but to save time I will mention only ten of them. Number 1) Children read books, not reviews. They don’t give a hoot about the critics. Number 2) Children don’t read to find their identity. Number 3) They don’t read to free themselves of guilt, to quench the thirst for rebellion, or to get rid of alienation. Number 4) They have no use for psychology. Number 5) They detest sociology. Number 6) They don’t try to understand Kafka or Finnegans Wake. Number 7) They still believe in God, the family, angels, devils, witches, goblins, logic, clarity, punctuation, and other such obsolete stuff. Number 8) They love interesting stories, not commentary, guides, or footnotes. Number 9) When a book is boring, they yawn openly, without any shame or fear of authority. Number 10) They don’t expect their beloved writer to redeem humanity. Young as they are, they know that it is not in his power. Only the adults have such childish illusions.

Sergio dit: à

Chaloux dit: 10 décembre 2014 à 21 h 02 min
va te faire foutre, – si c’est encore possible

Ben si, on vide…

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