Morand, Chardonne et le dégoût des autres
On écrit toujours trop. Surtout des lettres. Désormais des courriels. Déconseillé aux écrivains. Même pour le courrier, n’écrivez que ce qui vous brûle les doigts. Ne gaspillez pas vos cartouches, économisez vos traces ! Sinon ne vous étonnez pas que d’autres cherchent ensuite à mettre leurs pas dans les vôtres. Cocteau avait prévenu : « Un auteur se fait grand tort en écrivant ».
Ce qui n’a pas découragé Jacques Chardonne et Paul Morand de se livrer à leur irrépressible épistolat presque chaque jour à partir de 1953. S’ensuit une manière de conversation, l’un dans le Val d’Oise, l’autre dans le canton de Vaud. Conservées à la bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, ces milliers de lettres ont été écrites sans la crainte d’une publication, puisqu’il était précisé que leur contenu ne devait pas être divulgué avant l’an 2000.
Le premier volume, paru il y a deux ans, couvrait les années 1949 à 1960. C’était déjà un ragoût puant traversé de fusées d’intelligence et d’éclairs de finesse. Le deuxième tome de cette Correspondance (éditée par Philippe Delpuech, 1153 pages, Gallimard), qui court de 1961 à 1963, est de la même encre, mais en plus dense et plus fourni. On y retrouve les mêmes vices et de semblables vertus.
L’arc-en-ciel de leur mépris couvre un large spectre puisqu’il englobe généreusement la Femme, les Juifs, la démocratie, les communistes, les pédés, les écrivains, les académiciens, les critiques, les Anglais, les nègres, les éditeurs, les bourgeois, les vivants, les morts, les gens… Une nouveauté cette fois : les Belges. On ne fait pas plus ridicules, et puis quoi, leur pays n’est-il pas « une fausse couche de l’Angleterre victorienne » ? Et une obsession, bien partagée, s’agissant de « la race élue » :
« Le parlement italien a protesté, aujourd’hui, contre « la conspiration du silence » qui entoura le massacre de 6 millions de juifs par les nazis ! Quand on pense que depuis 44, l’écran, les journaux, les prix littéraires, la radio, la TV, les défilés, les programmes politiques, les manuels scolaires etc. ne nous parlent pas d’autre chose, ne cessent de nous apitoyer sur le sort des juifs massacrés, on se demande si on rêve. Mon père disait: « Les juifs en mettent toujours trop; cela ne peut que finir mal ». (Morand à Chardonne, 21/4/1963)
Mais n’allez pas croire que son correspondant soit en reste sur le sujet:
« Hitler n’a point fait un beau travail. Il n’a pas exterminé les juifs. Ils les a rendus virulents. Il n’y avait pas de juifs avant lui. A présent, ils sont nombreux, bien conscient qu’ils sont juifs, et le feront sentir pendant des siècles. D’où ma phrase malheureuse, à Paris, mais que l’on a eu la bonté d’étouffer assez vite: »Depuis 40, je suis antisémite » (Chardonne à Morand, 20/9/1963)
Et encore, le même, trois semaines plus tard:
« Si je ne me trompe pas, votre bel hôtel de Paris est construit sur le terrain d’un juif. Comment pouvez-vous y dormir? »
De cette encre, il y en a beaucoup d’autres. De quoi fournir une anthologie sur les ravages de l’antisémitisme mondain, le pire en un certain sens, car distillé en levant le petit doigt, sans se soucier des conséquences alors qu’il a pénétré les esprits, et donc encouragé les actes, dans un certain monde inaccessible à la grossièreté d’un Céline, à la vulgarité d’un Darquier.
Au fond, les deux épistoliers ont le dégoût des autres, ce qui n’incline pas à la haine de soi. Pas le moindre soupçon de tendresse, de compassion, d’empathie. On n’imagine pas qu’ils aient jamais eu des amis. Ce dont ils se moquent bien. Roger Nimier ? Un fils plutôt. Les autres hussards ? Poivrots et compagnie ce qui est mal vu de la part de ces deux buveurs d’eau. .T.E Lawrence dit Lawrence d’Arabie ? Son histoire, Morand la résume ainsi :
« Un inverti qui, dans la journée représente l’Empire anglais encore au zénith, mais qui, la nuit (par une sorte de dédoublement du genre Dr Jekyll et Mr Hyde) devient la moukère de quelque arabe de grande tente.«
Manifestement, ça le travaille, d’autant qu’en ces années soixante, non seulement il est privé de bains de mer et d’alcools, mais aussi, selon son propre aveu, éloigné de toute vie sexuelle :
« Je lis Julien Green : les pédés ont le droit d’être plaints certes; mais j’ai aussi le droit d’être dégoûté ?«
Chardonne (il signe « JC », d’aucuns apprécieront…), qui se juge lui-même indifférent jusqu’à en être inhumain, tient l’amour pour « une maladie » et ignore jusqu’au prénom et à l’âge de ses petits-enfants :
« Je ne les ai jamais vus. Je suis rebelle à tout sentiment de famille ; ils me semblent tous faux, tous viciés par la parenté » .
Quant à Morand, que son cynisme protège de tout jugement moral, il se félicite de n’avoir d’autre postérité que sa chienne. Ils rivalisent d’esprit jusque dans l’abjection. Et pourtant, c’est passionnant dès lors que l’on prête un certain intérêt à la république bananière des Lettres.
Les amateurs d’histoire littéraire s’y régaleront de potins, d’anecdotes, de choses vues sur les coulisses de l’édition et du journalisme. A croire que la Frette-sur-Seine était souterainement reliée à Vevey par le boulevard à ragots. Ceux qui n’ont que mépris pour ce type de piapia dont la comédie littéraire a le secret seront dédommagés de leur lecture de ce pavé par de véritables critiques de livres parus à l’époque, analyses aiguës et d’autant plus libres qu’elles n’étaient pas destinées à une diffusion immédiate. De temps en temps, ils causent graines et jardins. Vilmorin mais sans Louise. Ou manières de table, avec ici ou là, quelques morceaux d’anthologie, telles les pages de Morand sur les différentes façons de saluer.
Morand, c’est le coupant des formules, le vif de l’ellipse, l’acidité des pointes, la cruauté des traits, la férocité des portraits ; et avec ça des jugements aussi expéditifs que définitifs, le tout rapide, sans effort.
« Si la République convenait à la France, il n’y en aurait pas eu cinq ».
Un style, quoi, toujours aussi étincelant. Louons le styliste en Morand et abandonnons les restes à ses admirateurs. Ce surplomb sur l’époque, Chardonne y parvient parfois. Il a compris que le naturel, cela s’apprend. Ce qui confère une certaine fluidité à la lecture de ces 855 lettres écrites en parfaite conscience qu’elles seraient un jour publiées. A croire c’était leur but premier.
« Tout ce que vous dites de la société littéraire française n’étant plus un univers littéraire est vrai et original. (…) Cela aurait continué, en France, si nous étions restés occupés par les Allemands. Nous les aurions dévorés, comme les Grecs, les Romains, en moins de dix ans, et ils nous auraient conservé notre empire colonial; on l’aurait gardé pour eux, ce qui valait mieux que de le donner aux nègres » (Morand à Chardonne, 17/1/1961)
Le cavalier en Morand a conservé le coup de cravache ferme et élégant. Chardonne paraît bien faible à côté, et si peu perspicace. Le premier publie alors sa biographie de Fouquet ou le Soleil offusqué, l’un de ses livres les plus étincelants, un charmant Bains de mer, bains de rêve, une anthologie du Prince de Ligne ; le second, Femmes et Détachements. On suit leurs carrières en librairie, ce qui ne va pas sans aigreur et désenchantements, comme il se doit entre réprouvés autoconsacrés. Surtout lorsque l’un reconnaît sa misanthropie :
« Vous avez bien de la chance de pouvoir réduire aux juifs votre dose de mépris. c’est un paratonnerre. pour moi, il s’étend à peu près à tous les gens que je connais ; je n’en suis pas fier, et je le montre le moins possible » (Chardonne à Morand, 25 juillet 1963)
Il est vrai que ces deux écrivains paraissent d’époque en un temps où triomphe le Nouveau Roman. C’était en 1960 av. A.G. (Amazon Google). Un temps où on entrait encore « aux Sciences Po » avec les lettres de Talleyrand à Louis XVIII comme bréviaire.
Un troisième volume de cette correspondance couvrant la période de 1964 à 1968, doit encore paraître. L’ensemble comptera 5000 pages. Tour à tour brillant et infect, c’est enlevé, aussi bien écrit que décrit ; mais on ressort de cette immersion dans leur monde défunt avec l’étrange sentiment d’avoir lu un pêle-mêle écrit non dans une langue étrangère, comme Proust le disait des beaux livres, mais dans une langue morte, comme on le dirait de recueils qui sentent la naphtaline quand on les ouvre, et puent la mort quand on les referme.
(« Mur des noms à Prague » photo Passou ; « Paul Morand en 1969 » photo Henri Cartier-Bresson ; « Jacques Chardonne chez lui » photo D.R.)
631 Réponses pour Morand, Chardonne et le dégoût des autres
il y a aussi JC et bouguereau dans le même cas (cas)
« C’était déjà un ragoût puant traversé de fusées d’intelligence et d’éclairs de finesse. »
Sacré Passou ! tous les extraits qu’il nous donne, nous font apprécier la sincérité y compris antisémite façon « mode d’époque » de leurs échanges : ils sont empreints de vérité sur bien des sujets…
Et puis, entre nous… les autres que nous, ils sont abjects, non ? Lire Morand, celui de Bucuresti et d’ailleurs, c’est autre chose que la fiente* littéraire actuelle, n’est il pas ?…
Je m’en va acheter ce ragoût puant !
* non ! ce n’est pas une allusion à Reinhardt
Avec tous ces déterrés un vampire n’y retrouverait plus ses petits.
Le dégoût des autres propres à ces gens-là valait-il vraiment une messe aussi complaisante de la part de la RDL, quand il y a tant d’autres gens plus intéressants à redécouvrir aujourd’hui ? On se salit à lire de telles ordures si complaisamment relayées…
« On se salit à lire de telles ordures si complaisamment relayées… »
C’était la tribune de Diagonal : « Lire est salissant »
Ce billet est déjà paru sous la forme d’un édito dans le dernier « Magazine littéraire ». Assouline, la paresse est un vilain défaut ! Mais enfin, ça permet de réagir.
De cette encre, il y en a beaucoup d’autres. De quoi fournir une anthologie sur les ravages de l’antisémitisme mondain, le pire en un certain sens, car distillé en levant le petit doigt, sans se soucier des conséquences alors qu’il a pénétré les esprits, et donc encouragé les actes, dans un certain monde inaccessible à la grossièreté d’un Céline, à la vulgarité d’un Darquier.
Certainement. Ainsi cette correspondance vaut comme document d’époque. Mais, si l’on ajoute à ces nauséabondes considérations les jugements à l’emporte-pièce et à la va-vite sur les oeuvres et sur les hommes, en quoi cette correspondance méritait-elle d’être rééditée et, surtout, valait-elle qu’on en parlât ? Ce livre ne semble guère devoir intéresser que les inconditionnels des deux zèbres ou que les historiens des mentalités. je trouve qu’Assouline est trop jeune pour perdre trop de temps à évoquer ces gens qui furent (Morand, Chardonne, Le Corbusier, j’en oublie, comme s’il était fasciné par des propos et des prises de position douteux formulés, de surcroît, comme il le note, dans une langue morte.
Le dégoût des autres propres à ces gens-là valait-il vraiment une messe aussi complaisante de la part de la RDL, quand il y a tant d’autres gens plus intéressants à redécouvrir aujourd’hui ? (Diagonal)
Entièrement d’accord avec Diagonal. Des gens à redécouvrir, mais aussi des gens ou des oeuvres à découvrir. Et d’ailleurs, Morand ou Chardonne, pourquoi pas ? Mais alors « Venises » ou « L’homme pressé » ou « Le bonheur à Barbezieux » : ce serait une grave erreur de croire que tout a été dit sur ces oeuvres et que tous les lecteurs de la RdL les ont lus.
la machine a bouffé mon post. Tant mieux. PA, si vous le retrouvez merci de ne pas le publier. Sa présence dans mes notes me suffit.
Bonne continuation,
Ils rivalisent d’esprit jusque dans l’abjection.
eh oui. l’abjection, quand elle est brilla
Ils rivalisent d’esprit jusque dans l’abjection.
Eh oui. l’abjection, quand elle est brillamment défendue, est fascinante. Mais encore faut-il que ce soit vraiment brillant; or le brillant trop facilement obtenu de Morand/Chardonne n’est qu’un brillant de qualité inférieure. Il semble qu’ici, on ne dépasse pas le niveau des confidences complaisantes échangées entre deux grands bourgeois sur le retour, définitivement incapable de s’élever au-dessus de leurs marottes. Se dire que, peut-être, un demi-siècle après votre mort, des gens trouveront à leur goût vos nostalgies vichystes, quelle volupté, quelle revanche, ô ma maman !
Eh oui, j’ai déjà lu ce papier dans le Magazine Littéraire – sauf, à mon avis, (mais je vérifierai ce soir), que l’allusion « Chardonne signe JC, d’aucuns apprécieront » n’y figurait pas, of course.
Même sans cette allusion directe à ce qui se passe ici, je dois dire que ma réaction solitaire a été d’assimiler les « débats » de la Rdl à la « correspondance » ici analysée.
Une phrase comme :
» C’était déjà un ragoût puant traversé de fusées d’intelligence et d’éclairs de finesse. »
peut à la fois qualifier les unes et l’autre.
La mise en ligne de ce fier billet va rompre, j’en suis sûre, la solitude de ma réactions… Mais hélas, certains vont très certainement y puiser un sujet de gloriole, tant les esprits sont ici déformés…
Soupir.
certains vont très certainement y puiser un sujet de gloriole
Faudrait poster sur Amazon ???
Je n’ai rien de prévu pour le 1.5.15 et j’en suis fort aise. Voilà. Bonne suite. Dans les idées…
Même sans cette allusion directe à ce qui se passe ici (Ann O’Neam)
Perso, je n’y vois aucune allusion. JC, c’est aussi Jésus-Christ. Il est vrai que l’autre se prend pour Zeus. Quant à moi, que ce soit l’un ou l’autre, je prends l’un et l’autre pour de sacrés… pour de sacrés…
, je dois dire que ma réaction solitaire a été d’assimiler les « débats » de la Rdl à la « correspondance » ici analysée. (Anne O’Neam)
C’est intéressant. La question est de savoir si cela rabaisse les uns et rehausse les autres. Ou rabaisse les deux.
Clopine est la plupart du temps abjecte.
Les débats en RdL sont aussi abjects que possible, grâce à Dieu.
L’abjection Chardonne/Morand a toute sa place ici, où règnent, stupre, luxure et vices divers !
Eh bien, M. ou MME, notre hôte, fermement, estime que cette correspondance « pue la mort ». Donc, d’après vous ???
A mon sens, c’est ce qui la rapproche de certaines interventions grimées, dont les masques cachent de véritables haines. Entre deux remarques littérairement solides de WGG, une fine précision stylistique de DHH, quelques comptes rendus de lecture de Bloom, un lien musical de Chaloux, ou les rigolos et primesautiers propos d’un Dexter, j’en oublie bien sûr… (même certaines interventions de M. Court, si elles sont ennuyeuses comme la pluie et n’allègent certes pas les tartines volantes qu’on voit passer ici, peuvent cependant nous apprendre de temps en temps quelques trucs) ; mais le terrible, ici, ce n’est pas qu’on puisse si peu goûter à ces « fusées ». C’est que la fange y soit banale, convenue, en un mot : quotidienne.
Il y en a une qui, grossier boulet de charbon, se prend pour un diamant de grande pureté : quelle rigolade !
« Entre deux remarques littérairement solides de WGG »
Clopine, vous ne pouvez pas être aussi bêtasse.
Votre diagnostic est à se tordre.
les tartines volantes qu’on voit passer ici (Anne O’Neam)
Qu’est-ce que vous espériez ? Vous retrouver dans le salon de Madame Du Deffand ? Ici, l’entrée est libre, ou quasiment. On peut sans inconvénient y éructer n’importe quelle insanité. Vous confondez le Café du commerce avec l’Académie française. Si Assouline voulait que ça change (mais il n’en a aucune envie, je crois, car ces libres échanges font l’originalité de cet espace de commentaires), il filtrerait soigneusement les entrées, comme le font certains de ses confrères, quitte à se retrouver avec un nombre de posts misérable, sans que cela élève nécessairement le niveau.
Plus que le contenu,- le tome 1er est en partie lisible sur le site google books, avec préface et notes dur le texte et avertissement de l’éditeur français- c’est l’histoire de ces manuscrits qui est intrigante.
Rien n’est plus persistant que le goût de l’imposture. Ils en redemandent.
lire note sur le texte, de Ph. Delpuech.
L’édition est très mal établie, P. Assouline l’avait déjà fait remarquer. L’éditeur est mort. Paix à ses cendres.
« Entre deux remarques littérairement solides de WGG » (Anne O’Neam)
« J’en parlerai à mon cheval » (Montaigne)
Mais l’âne qui braye n’amasse pas mousse. Proverbe toucouleur.
Me souviens d’un libraire à Bucarest qui lisait le premier tome de la correspondance morand chardonne, in french of course. rigolait bien dans sa moustache de boyard, un oeil sur les touristes tatoués qui repartiront sans rien comprendre au Joffre en chocolat de chez Capsa. Sapré passou, voilà de bonnes nouvelles ! vous faites bien de nous informer, on laisse le Magazine Littéraire aux tourmentés.
va-t-on apprendre qui a ordonné la destruction de la villa sur la rue Floquet ?
Notez que la fixette de Morand sur les juifs n’a jamais défrisé Nathalie Rheims.
M OU MME, je suis d’accord avec vous : notre hôte n’a aucune envie que cela change. Et c’est vrai : je suis d’une naïveté abyssale, qui confine à la bêtise, certainement. Néanmoins, le phénomène d’addiction (dont vous souffrez vous aussi) n’occulte pas la violence haineuse de certains propos, non ?
Clopine, si vous réfléchissiez avant d’écrire… Et même avant de penser, mais on finit par se demander si vous ne vous en tenez pas à un perpétuel avant.
Ces deux écrivains, ayant le dégoût des autres, doivent nous servir d’exemple à suivre…
Ah, les braves gens !
Soyons réalistes ! L’humanité entière est abjecte … Frères, je vous hais !
C’est qu’elle vient encore ramasser de basses raisons de lui en vouloir, la pauvre…
En Normandie, monsieur, on ne pense pas, monsieur, on ne réfléchit pas : on s’entre-trait !
Occulte ! Occulte ! l’œil de Satan, du fond de ta culotte merlieuse, t’observe d’un regard sombre …
chronique de la haine ordinaire : Benito JC le Fourbe ici pendant que bougeureau vomit chez Popaul, les deux font la paire
on s’entre-trait !
après d’Ormesson, Clopine dans la Pléiade?
De mal en pis.
Faut que j’y aille : bonne nuit les petits dégoûtants !
Clopine et Mr et Mme, Il ne vous pas échappé que je reprends ici régulièrement des articles que j’ai publiés ailleurs, et pourquoi pas. Mais outre qu’ils sont intitulés et illustrés différemment, ils sont enrichis de liens. Celui-ci n’est pas le même que celui paru dans le Magazine littéraire pour une raison qui aurait dû vous sauter aux yeux : non seulement il contient de nombreuses phrases qui n’y étaient pas mais il est deux fois plus long en raison des citations et extraits.
Valls, Jamel Debbouze, la culture et l’école : le premier ministre mérite zéro en improvisation
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/04/20/31001-20150420ARTFIG00265-valls-jamel-debbouze-la-culture-et-l-ecole-un-concentre-de-snobisme-et-de-betise.php?redirect_premium
On a vraiment touché le fond.
Le pauvre bouguereau est complètement cuit.
Passou, et puis vous ne faites pas allusion à « notre » Jc, là-bas, ce qui est tout de même rassurant…
Bon, je vois que vous préférez le sulfureux « Clopine » (qui prête le flanc à tant de jeux de mots foireux) à la sage « Anne », O’Neam qui plus est, ( ce qui te m’avait pourtant un petit côté irlandais, je trouve, et donnait « une bouffée d’Eire »)
Tant pis. Je vais nous mettre d’accord en employant un troisième pseudo !!!
Clopine, la « sulfureuse »… j’aurais pas dit.
Clopine la sulfureuse qui prête ses flans…
« l’homme pressé » n’est pas le meilleur des Morand. Sûrement pour cette raison qu’il a fini au cinéma;
Morand comme Chardonne annonçait déjà le suicide de la France. Leur correspondance en est un signe prémonitoire.
Ils sont malheureusement plus vivants que jamais :
« Un juif a encore été violemment agressé, en sortant de la synagogue, par trois musulmans, en France, pays qui compte le plus d’agressions violentes contre les juifs au monde, pendant que le gouvernement fait diversion en inventant un problème d’islamophobie très symbolique.
«Ils m’ont tabassé. Ils m’ont donné des coups à la jambe, au dos et c’est là que mon premier agresseur a sorti un couteau» explique Salomon, qui ajoute, « je suis déboussolé, angoissé, j’ai peur de sortir de chez moi, cela m’a complètement traumatisé ».
http://www.dreuz.info/2015/04/st-ouen-encore-un-juif-roue-de-coups-par-des-musulmans-a-la-sortie-de-la-synagogue/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
Phil, je viens de voir qu’au moins 70 lettres du tome II sont lisibles en ligne.
Rien de bien profond; du commérage de la planète des Lettres. Il y a bien un « chez Josette » à Crans.
http://www.youscribe.com/catalogue/livres/savoirs/biographies/correspondance-tome-2-1961-1963-2569984
Depuis 40, je suis antisémite
—
A d’autres. 1840, oui…
Il aurait fallu leur chatouiller les pieds à ces deux crapules. A la fripouille Destouches aussi. Bon écrivain, pauv’type, disait le Colonel Berger.
Tout juste bon à utiliser pour l’essuyage, comme les médiocres pitreries de certains ici.
Sarkozy la Fripouille avait son BHL en chemise, Hollandouille a son Debbouze au bras mort …!
Aux chiottes, les abjects !
On voit le niveau de l’édition « ce que dit Fraigneau est faux », mais on ne saura jamais de quoi il s’agit, la note n’en dit rien. Ni fait ni à faire, comme on disait de leur temps. RIP.
« […] Laval ne lui demandait même pas de rentrer […]. Il est parti par le même bateau que l’ambassade. On ne voulait pas de lui à Vichy et on lui a tenu rigueur de son abandon de poste. Il était victime des richesses de sa femme. Pour les récupérer, il s’est fait nommer ministre de Vichy à Bucarest. Puis, quand les troupes russes se sont approchées, il a chargé un train entier de tableaux et d’objets d’art et l’a envoyé en Suisse. Il s’est fait ensuite nommer à Berne, pour s’occuper du déchargement. » (Charles de Gaulle, 20 mai 1962)
Parfaite de Saligny, c’est très bien.
Pour ceux qui voudraient se reporter à la page complète d’où Michel Alba tire sa citation de de gaulle (« Entre deux remarques littérairement solides de WGG » (Anne O’Neam), Hurkhurkhurk), voir ci-dessous.
Wiki, comme d’hab.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Morand
Alba, les guillemets…
Josette Day, la viedesbois, veuve Solvay dont Matthieu Galey (plus éclairé que l’amateur de pallisandre) fut le secrétaire. et qui n’a toujours pas d’anthologie.
Vous faites erreur sur le médium, dear viedesbois, morand/chardonne ne se lisent pas à coups de cliquages de oueb. C’est de la patate à l’auvergnate: cuite lentement sous un rôti de porc qui sera jeté après avoir rissolé.
Pauvre Caloux ! Le pauvre homme ! Gâteux déjà !
La mort ne pue pas, on enterre les morts.
Ceux qui puent sont ceux qui restent vivants, aux affaires, ceux aux dents longues, ceux à l’haleine pas fraiche, ceux que l’on devrait enterrer vivants …
Abjection ! La mort est belle, la vie infecte !
Chaloux, L’édition de l’ouvrage est effectivement catastrophique. les notes… Mais comme le responsable est décédé il y a quelques années, comment Gallimard n’a-t-il pas confié le second tome à la révision d’un autre ?
Dans sa biographie d’Antoine Blondin, Yvan Audouard raconte comment la dernière missive de Morand à Kléber Haedens, écrite quelques jours avant sa mort, l’informant qu’il lui léguait sa cave, parvint avec le camion transportant celle-ci au moment même où le cercueil de Haedens quittait sa maison de Labourdette, en Haute-Garonne… (Monsieur Jadis est de retour, La Table Ronde, 1994, p. 69 et 70).
Le seul truc profond chez toi, Alba, c’est que tu as certainement très tôt identifié la facilité avec les laquelle on peut tromper tant de pauvres gens, leur complaisance aux imposteurs, et tes incontestables dons en la matière. Un petit mage de bas-quartier. Pas grand-chose.
annotez morand-chardonne n’est pas sans risque pour l’annoteur. mieux vaut clamser assez vite aprsè publication. Catherine Douzou, auteure d’une thèse (honoré(e) Champion) sur la nouvelle morandienne en sait quelque chose. n’a jamais pas pu profiter des studios palissandre de radio france.
comment Gallimard n’a-t-il pas confié le second tome à la révision d’un autre ? (Passou)
Il aurait fallu le payer…
Je préfère te laisser à tes billevesées malodorantes, mon pauvre Chaloux ! Tu fantasmes trop facilement…
T.E Lawrence dit Lawrence d’Arabie ? Son histoire, Morand la résume ainsi :
« Un inverti qui, dans la journée représente l’Empire anglais encore au zénith, mais qui, la nuit (par une sorte de dédoublement du genre Dr Jekyll et Mr Hyde) devient la moukère de quelque arabe de grande tente. »
Voilà qui est fort bien dit sur cette grande folle de Laurence, la petite fiancée du désert, si sensible aux interrogatoires ottomans …
« Pour…, la vie est dure: chez les duchesses, il regrette les bistrots, mais au bistrot il regrette les duchesses »
Citation de …
au sujet de …
Phil, merci, j’avais vu pour Josette. Elle était actrice, non ? Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas écrit. Les deux correspondants furent de grands lecteurs. Leurs tacles littéraires, registre du ton pamphlétaire, feront peut-être plaisir à lire; courtois, en plus. Mais pour le reste, petits compte-rendus. J’aime pas trop quand ça mijote dans le gras.
Jamel Debbouze, qui a récemment réaffirmé son soutien au président Hollande, a ancré l’intrigue de sa première improvisation simiesque en milieu scolaire avec la Belle Kacem dans le rôle de la guenon.
Oui, c’est incroyable, Pierre Assouline. Dans le même temps, je ne sais pas si vous lisez les tomes de la Correspondance de Yourcenar en cours de parution, et l’extraordinaire éclairage que ses éditeurs lui donnent. Gallimard a peut-être pensé que le jeu n’en valait pas la chandelle. Étonnant tout de même, de laisser circuler un texte aussi monstrueux -dont je vais tout de même continuer la lecture- sans même la précaution d’une édition digne de ce nom. Mais comment s’en explique-t-on rue Gaston? Mystère… Mystère pour moi, peut-être pas pour vous.
Maintenant, il faut dire ce qui est : ce n’est pas non plus le monument littéraire auquel on aurait pu -peut-être naïvement- s’attendre.
Pourquoi Venise ? Pourquoi cette ville en particulier attire-t-elle les penseurs et les poètes ? Cette semaine, les Nouveaux chemins de la connaissance se posent cette question et vous proposent les réponses de quatre amoureux de Venise.
Pour ouvrir la semaine, Adèle Van Reeth reçoit Catherine Douzou à propos de Venises de Paul Morand.
http://www.franceculture.fr/emission-les-nouveaux-chemins-de-la-connaissance-pourquoi-venise-14-venises-de-paul-morand-2012-01-2
Génial !….. dit: 27 avril 2015 à 16 h 44 min
« Un inverti qui, dans la journée représente l’Empire anglais encore au zénith, mais qui, la nuit (par une sorte de dédoublement du genre Dr Jekyll et Mr Hyde) devient la moukère de quelque arabe de grande tente. »
Boh on avait bien Jules César, « l’homme de toutes les femmes, la femme de tous les hommes » ! En latin ça serait mieux, mais euh… J’ai pas le clavier !
Peyrefitte évoque également l’hôtel appartenant à sa richissime épouse, qui, n’en occupant que le rez-de-chaussée, en avait loué les étages — son petit-fils et héritier auto-désigné Charles-Albert de Broglie en occupant une chambre — lors d’une réception donnée par Alberto Pinto, Elsa Martinelli et leur ami commun Anthony Tannoury, quelques années après la mort du couple Morand (hiver 1979 ?) : « […] des pièces ouvrant sur le Champ-de-Mars, ornée de palmiers et de yuccas, aux plafonds les plus hauts de Paris, aux murs recouverts de faience bleue ou laqués blanc : (dans) ce palais marocain ne restait de Morand que deux grandes armoires chinoises. Ce qui avait été l’endroit le plus sombre, où semblait flotter une éternelle brume 1900, était maintenant le plus lumineux. Ainsi va la vie…et la mort, car, de toutes les personnes que j’avais vues là, aucune n’était plus de ce monde. » Le magazine Maison et Jardin a publié un reportage sur cet intérieur à cette époque.
« L’émir Aurens », dans le texte. Pertinence anthropologique remarquable. Autre chose que le ricanement imbécile plus bas ( « Qu’importe », devise de sa demeure de Clouds Hill):
« When looked at from this torrid East, our British conception of woman seemed to partake of the northern climate which had also contracted our faith. In the Mediterranean, woman’s influence and supposed purpose were made cogent by an understanding in which she was accorded the physical world in simplicity, unchallenged, like the poor in spirit. Yet this same agreement, by denying equality of sex, made love, companionship and friendliness impossible between man and woman. Woman became a machine for muscular exercise, while man’s psychic side could be slaked only amongst his peers. Whence arose these partnerships of man and man, to supply human nature with more than the contact of flesh with flesh. »
-The Seven Pillars of wisdom, ch. XCII
Le propos de Morand sur cette fiotte de Laurence, la petite fiancée du désert, gêne Bloom …. Etonnant, non ?
Laurence fut un superbe et actif trouduc, suceur d’épines, comme tant de britanniques ambivalents !
« Widergänger dit: 19 avril 2015 à 21 h 08 min
La Sologne, c’est au nord du Berry, mon petit chéri ! Va te falloir réviser tes classiques… »
…ça fait deux (2).
La Frette sur Seine est bien à l’image de Chardonne; un village-rue boursouflé & disgracieux, des façades mornes comme un weekend avec Marc Lévy. C’est la commune la plus laide de la région. Rien du charme champêtre de Villers Adam, des douces ondulations de Méry…Un non- lieu parfait pour un non-être.
M OU MME, je suis d’accord avec vous : notre hôte n’a aucune envie que cela change. (Anne O’Neam)
Je crois qu’il a raison. Que ce long ruban de commentaires accroché à son éphémère ballon porte toute une litanie de sottises, de demi-sottises et d’éructations haineuses n’a rien que de très prévisible; mais que, parfois, une pépite se mette à briller dans ce flot boueux, cela peut arriver, cela arrive, de façon assez imprévisible. L’inspiration, la faim, l’occasion, l’herbe tendre… Il ne faut pas désespérer de Billancourt.
dear Bloom, la Frette est certes mochisée mais la maison de Chardonne tient la route.
Génial !….. dit: 27 avril 2015 à 17 h 27 min
Le propos de Morand sur cette fiotte de Laurence, la petite fiancée du désert, gêne Bloom ….
Pourtant Morand n’a pas connu Bloom.
Pas besoin d’être Morand pour comprendre que Bloom a la miche chatouilleuse.
Clopine et Mr et Mme, Il ne vous pas échappé que je reprends ici régulièrement des articles que j’ai publiés ailleurs, et pourquoi pas. Mais outre qu’ils sont intitulés et illustrés différemment, ils sont enrichis de liens.
Ce que c’est que de lire en travers. Dont acte. Je n’achèterai plus le « Magazine littéraire », voilà.
Il y a du Hugo chez Lawrence, dans l’oscillation périodique:
« In the regular Arab Army there was no power of punishment whatever: this vital difference showed itself in all our troops. They had no formality of discipline; there was no subordination. Service was active; attack always imminent: and, like the Army of Italy, men recognized the duty of defeating the enemy. For the rest they were not soldiers, but pilgrims, intent always to go the little farther. » – ditto.
Lawrence par Roger Stéphane, autre grand « pédéraste » (comme on disait) devant l’éternel, dans Portrait de l’aventurier- inégalé, même par le Malraux des Antimémoires.
Si vous le dites, Phil…
Lors de nos escapades dominicales entre St Leu et Auvers, la Reine Hortense et Van Gogh, La Frette nous foutait régulièrement le cafard. Pas un troquet, pas un dépanneur…
Quel con, ce Bloom. C’était très beau, la Frette, un belvédère au-dessus de la forêt de Saint-Germain qui courait sur l’autre rive. Liszt et Marie d’Agoult, Hortense Allard qui s’en allait déclamer du Chateaubriand un peu plus loin, dans l’île aux oiseaux, n’ont pas trouvé le coin trop laid. Albert Marquet a peint La Frette, où il vivait dans une petite maison située du côté de l’église, toute sa vie.
Problème aujourd’hui, l’odeur de la plus grosse usine de décantation d’Europe plantée juste en face. L’Île de France a été et continue d’être massacrée mais pourquoi écrire des imbécillités à propos de ce qu’on ne connait pas?
right, Bloom. Mais le bras de la Seine, observable depuis la terrasse Chardonne années 30 (payée par l’épithalame) is still quite a thing.
Nimier débarquait à la Frette en aston martin et n’a jamais eu besoin de dépanneur.
Dans ce même numéro du magazine littéraire un dossier très bien documenté : Les pervers dans lequel l’article de Mathieu Larnaudie (« Bataille et Genet : jusqu’où aller trop loin ? » explore la « transgression illimitée » qui ne met plus en cause la morale commune… »).
Passionnant !
Il éclaire les lettres de Chardonne et Morand désignées par l’ouvrage cité par le billet de Mr. Assouline (dont j’apprécie les derniers mots : « Tour à tour brillant et infect, c’est enlevé, aussi bien écrit que décrit ; mais on ressort de l’immersion dans ce monde défunt avec l’étrange sentiment d’avoir lu un pêle-mêle écrit (…) dans une langue morte. »)
Évoquant Genet, il écrit quelques lignes qui pourraient également s’adapter à certain commentateur qui sévit ici, faisant l’unanimité contre lui :
« Genet s’extrait de la « communauté morale ». Il largue les amarres. Il fait un pas supplémentaire dans l’opprobre, où nul ne peut le suivre. Il rompt, par là-même, la « communication » avec le lecteur. (…) Genet fait sauter l’instance de séparation et de distinction entre le bien et le mal, que l’on choisisse d’appeler celle-ci limite, règle ou interdit. (…) S’il n’y a plus d’interdit, il n’y a plus de transgression. »
Et plus loin :
« Il y une composante perverse de l’écriture qui permet de s’aventurer dans l’exploration des régions morales insoupçonnées.(…) la littérature peut ainsi être le lieu où faire l’expérience de virtualités perverses qui ne s’actualiseront jamais « dans la vie ». »
Plus que jamais, je pense que les écrits de ce commentateur sont l’expérience littéraire ambiguë d’un écrivain… Une sorte de création : Docteur Jekyll et Mr. Hyde.
Benito JC le Fourbe : il y a des silences qui en disent long comme il y a des paroles qui ne signifient rien
and, like the Army of Italy, men recognized the duty of defeating the enemy. (cité par Bloom)
C’est vrai qu’une armée résignée dès le départ à prendre sa pâtée, ça augure mal de la suite. Il est vital d’y croire : c’est ce que montrait fort bien, hier soir, le beau « Jeremiah Johnson » de Sidney Pollack, même si l’armée était réduite à un seul homme.
Plus que jamais, je pense que les écrits de ce commentateur sont l’expérience littéraire ambiguë d’un écrivain… Une sorte de création : Docteur Jekyll et Mr. Hyde.
Ouais. Faudrait voir à pas confondre les enfants du bon dieu avec les canards sauvages. La révolte perverse de Genet, qui effrayait Georges Bataille, est tout de même d’une autre envergure.
Marquet, La Frette,
http://catalogue.drouot.com/ref-drouot/lot-ventes-aux-encheres-drouot.jsp?id=1839463
Pauvre Chaoux, il ne sait pas écrire un commentaire sans éructer. Et il vient récriminer contre ceux qui savent que la Sologne est au nord du Berry. Pauvre homme !
On pourrait en dire autant de Sade. Tout ça ne veut pas dire grand chose.
Quand je lis Genet, je n’ai nullement l’impression de m’aventurer dans des régions morales insoupçonnées. Je décroche de ce que je lis, c’est tout.
Chaloux nous ressort l’amère Yourcenar, beurk !
Le volume vous en coûtera 46,50 €. C’est cher pour une édition bâclée. Ce prix excessif indiquant également que Gallimard estime que ce livre se vendra très peu. Autant que, de nos jours, les romans surannés de ces deux papys, qui, à leur manière et de façon posthume, font de la « résistance ».
Oulala !
Les garçons s’énervent ..
Bon, le Boug’ s’est exilé chez Paul,
Hacheucheu est KO.
Trouillonime ne capte toujours rien à l’antenne,
Bérénice brame au loin pendant que les cerfs batifolent,
Jaunie Brownie fait son gamin,
Notre Wiwi n’a toujours pas compris qu’on ne lui demande pas de se mettre en scène, lui-même-face-au-tableau pendant que de joyeux drilles lui constellent le dos de boulettes, et son prétendu savoir,
mais bon ..
Rien de neuf.
Avec cela, Pierre Assouline, Chardonne-Morand … est-ce une bonne idée ?
Il n’y a pas que des plus sinistres que la mort, chez les misanthropes ..
giulietta massina dit: 27 avril 2015 à 18 h 35 min
Chaloux nous ressort l’amère Yourcenar, beurk !
Tout de vache normande cette giulietta massive, sauf la crème.
L’heure du laitier dit: 27 avril 2015 à 18 h 51 min
Tout de vache normande cette giulietta massive, sauf la crème.
Elle préfère ses « œuvres ».
jem, le premier tome s’est plutôt bien vendu à une population qui ne lit pas en low cost, alors why not un second tome; les scrupules de M. Gallimard sont apparemment dilués dans le compte de résultat.
quant aux notes, la plupart des annoteurs qualifiés sont morts. seul Déon aurait pu faire l’affaire mais il ne va pas finir sa vie en grenouillant en bas de page de vieux fascistoïdes, certes admirés.
Quand je lis Genet, je n’ai nullement l’impression de m’aventurer dans des régions morales insoupçonnées. Je décroche de ce que je lis, c’est tout.
En effet, notre Wiwi, il faut être plus souple et subtil voire allergique à ce à quoi vous forme un parcours de laborieux éteint, pour pouvoir apprécier.
Alba, point de vue de lecture, c’est le décrochement général : tout est dans le copier-coller.
Alors gros groin de porc de Chaloux, t’as vu sur la carte que le Berry est nettement au sud de soing-en-Sologne. Pauvre type !
Elle préfère ses « œuvres ».
Peut-être une affection particulière pour la tache de gras sur le papier .. la table de cuisine familiale ..
Genet est intéressant pour bien autre chose !
En vélo, le Wiwi, compte les kilomètres.
C’est inévitable ..
Genet est intéressant pour bien autre chose !
On se demande lesquelles vous auront touché ..
I sait même pas lire une carte, j’suis sûr !
T’as pas vu ta tronche !
Alba, grosse nullité mythomane, pauvre petit mage de bas-quartier, tu parlais de la Sologne et non pas de ce bled. Relis-toi, tapir. La Sologne profonde, dont tu ignores tout comme tu ignores toute chose à part tes délires mythomaniaques, se trouve dans le Cher, Nançay, La Chapelle d’Angillon, Henrichemont, etc., donc dans le Berry.
(A mon humble avis, ce verrat à point n’a jamais vu l’Espagne non plus.)
Alba, en fait de carte, je t’en avais adressé une qui ne t’a pas fait grand effet, à ce qu’il semble. Elle venait pourtant de Wikipedia, qui te sert à la fois de bibliothèque et de cerveau.
Mais Soing-en-Sologne est au cœur même de la Sologne, espèce de gros porc !
La Sologne est cette charmante région, nettement au nord du Berry qui commence à Blois comme chacun sait, sauf ce gros groin de porc chimérique.
ogresse avec la Daaphée…
Décidément, Wiwi, vous n’y connaissez rien, aux femmes . Vous vous y êtes mis trop tard ..
Je ne prend que les plus délicats.
En Sologne, y’a rien que des grenouilles.
Et des crapauds.
Allons, Alba, une fois de plus tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu ne vas jamais où tu prétends aller, tu ne vois rien autour de toi, et tu n’as rien lu. Tais-toi donc.
« Tout le monde ici s’en détourne tellement elle est laide ! »
elle fait ce quelle peut ( est au courant de la mode )
Non, y a aussi des vélos électriques, chez Matra. Et pis des fraises et pis du fromage de Selles sur Cher, porte du Berry, dans le sud de Selles, mes petits chéris !
Avec cela, on ferait bien d’en venir aux écrivains marcheurs .
Ceux qui ont arpenté le territoire et qui, d’une marche par monts et par vaux à une déambulation urbaine, ont laissé leur esprit librement s’envoler ..
( en fait, je suis en train de rechercher celui dont il avait été question lors d’une discussion – il y a un certain temps – sur Rousseau via Gracq – ou le contraire – et Goethe .. était-ce Goethe ? Hölderlin ?)
Widergänger dit: 27 avril 2015 à 19 h 42 min
Un génie pour le moins chaotique. Génie bouillu, génie foutu. Plutôt un brouillon de cours foireux. Et ton « roman », ma grosse?
Wiwi, vous êtes gros et complexé.
Mais ce n’est que votre problème, à vous.
Moi ?
Svèlte et souple comme le roseau ..
(c’est dans les gènes.
Daaphnée dit: 27 avril 2015 à 19 h 42 min
Avec cela, on ferait bien d’en venir aux écrivains marcheurs .
Lacarrière!
Tu sais même pas que le Berry est situé au sud de la Sologne, mon pauvre Chaloux ! C’est dire si t’es buse.
Et ça vient ensuite pérorer, le cul à l’air avec l’autre ogresse de Daaphnée ! Mais quelle horreur, ces deux pingoins, ou plutôt ce sinistre pingoin et cette pingouine poussive…
Pas Lacarrière, un du XVIII (ou XIX° ?)quand, encore, l’Europe est une réalité géo-physique même si politiquement les territoires revendiquent leur carte ..
Pauvre Wiwi, des efforts mais peu de résultats.
Oh, faut lire la pingouine dégoiser le fransouze, ça donne ! Les Solognots le dégoisent mieux que ça, dis donc !
Alba, c’est la géographie, personne n’y peut rien. Tu es une grosse mouche ignare à compulsion Contrôle-C Contrôle-V? Personne n’y peut rien non plus. C’est ainsi, voila tout.
Le nez dedans, il prétendrait encore que c’est du chocolat…
Magnifique arc-en-ciel au-dessus de Sitges qui tombe en plein sur l’église ! Le doigt de D.ieu !
C’est ce que je nous aurais pas fait dire, pauvre Wiwi, votre atavisme vous tire irrémédiablement vers le bas.
C’est ballot !
Tu ne convaincs que toi, mon pauvre Chaloux ! Tout le monde a compris que t’étais nul en géographie, sois tranquille ! T’es un petit dandy de la littérature, comme Morand. Même profil de pingoin.
Il y un anglais qui a traversé la Sibérie à pieds vers 1825, son nom m’échappe, mais je dois encore avoir son bouquin. Sinon, Ossendowski mais on n’est pas très sûr qu’il n’en ait pas inventé un peu.
c’est fini, l’entraînement à la stichomythie ?
Magnifique arc-en-ciel au-dessus de Sitges qui tombe en plein sur l’église ! Le doigt de D.ieu ! –
On lui désignait le soleil et l’idiot regardait le doigt ..
Widergänger dit: 27 avril 2015 à 19 h 57 min
Magnifique arc-en-ciel au-dessus de Sitges qui tombe en plein sur l’église ! Le doigt de D.ieu !
Le voila reparti. Et sur la rue Ramey, il fait quel temps?
Cherche pas à dévier ! Tu nul en géographie, c’est clair !
Sitges, Espagne
lundi 20:00
Couverture nuageuse partielle
Il est comique le bougre !
Alors est-ce que t’as bien vu que le sud c’est vers le bas sur la carte ?
…bien amusé, mais nous préparons un (vrai) voyage.
Bonne soirée dans ton cagibi,
Remarquez, quand les autre s’appellent Chaloux ou Daaphnée, on comprend fort bien qu’ils n’inspirent que le dégoût.
Ce n’est pas parce que vous être gros, Wiwi, qu’il faut en faire une maladie, voyons !
Quoique ..
Tant mieux si ça t’amuses, eh du chnock ! Raclure de bidet !
Tiens, je suis gentil, je te mets la carte du Berry en ligne… http://fr.wikipedia.org/wiki/Berry
Trissotin !
Avec ça, notre Wiwi, il n’est pas prêt à la trouver, sa casbah à Stigès .. Pfff !
DIRE QUE TOUT çA? C’ EST POuR LES BEAUX YEUX ET LES BELLES PHRASES DE CES DAMES DE LA RDL
Et dire que c’est ce genre d’abruti qui dirige la France !
Pauvre Alba, de quelle misère intellectuelle et personnelle tout cela procède-t-il…Abyssal.
Daaphnée dit: 27 avril 2015 à 20 h 16 min
Avec ça, notre Wiwi, il n’est pas prêt à la trouver, sa casbah à Stigès .. Pfff !
Délicat d’acheter une maison dans un endroit qu’on ne connait pas!
Si, y en a plein tout le long de la Costa Brava ! Mais ici celle qui me plairait valent 750 000 € ! Mais ça la dépasse, la pauvre ! Elle est tellement innocente ! Ça connaît rien ! Mais ça cause, ça cause !
(En revanche, je n’ai pas encore saisi l’enjeu du débat de ce soir.
Je repasse, ASAP)
Alba, un vieux cochon qui ne veut pas se laisser saigner
C’est ta bêtise qu’est abyssal, ça tout le monde l’a comprit depuis longtemps, mon pauvre Chaloux !
Un gros porc vindicatf, hargneux, prétentieux, etc. Bref, tout pour plaire à la Daaphnée avec sa taille de guêpe ou de frelon…
« Widergänger dit: 27 avril 2015 à 20 h 22 min
Si, y en a plein tout le long de la Costa Brava ! Mais ici celle qui me plairait valent 750 000 € ! »
Où est bon temps où l’on pouvait enseigner le français avec une capacité en droit?
C’est ta bêtise qu’est abyssal, ça tout le monde l’a comprit
C’est le jeu des 7 erreurs?
Tiens, je m’en vais plutôt dîner en ville ! Mais surtout pas une côtelette de porc… Beurk !
d’accord mais l’a compris s<t votre mage st
En plus il y a une belle lumière ce soir sur Sitges. Ça me changera des ténèbres chaloussieux…
T’as raison, Alba, ouvre-toi donc une portion dinde-nouilles (deux aliments que tu connais bien) pour un, de chez Pricard…ça te consolera, pis ça népongéra un peu les apéritifs.
Le dégoût des autres semblerait y en avoir beaucoup à aller tout le temps le chercher…
On dit ça, on dit rien… dit: 27 avril 2015 à 20 h 38 min
Charabia le moraliste.
Petit amoraliste de supermarché, restez-le !
On dit ça, on dit rien… dit: 27 avril 2015 à 20 h 49 min
… Notre ami Charabia.
On dit ça, on dit rien… dit: 27 avril 2015 à 21 h 04 min
T’en fais pas grand, t’es tranquille et tu le resteras. Probablement toute ta grande vie de grand. Tu es fait pour ça.
Mouais. Deux mandarins moisis des lettres, l un avec sa princesse et son chien, l autre avec sa famille en Cognac. Mepris et mediocrite morales en commun. On n est pas chez Celine, dont le Bagatelles reste une ordure, mais dont l ensemble de l oeuvre avait une autre allure. Ni chez Blondin. La virtuosite, oui et apres? Un gout de cendres et d immondices, dont Genet lui aussi est loin.
Toujours a Alicante, Wider? je vous envie. Demain depart pour le Nepal. C est Vie du bois qui va etre decue, elle qui me pense abonne aux stations swiss and snob et que l Ifur n impressionne pas. Comme quoi on ne sait pas tout. Mon homologue du CEA Laurent Bollinger et moi servons egalement a ca… pas seulement a allumer les centrales nucleaires. J ai et nous avons peur de ce que nous nous preparons a decouvrir la-bas. C est pas les deux moisis que ca aurait preoccupes… Eux, a part la vie mondaine et germanopratine et leur nombril, il n y avait rien. Leur lecture, je m y suis adonne, elle ne m a jamais parue necessaire.
Excusez-moi, Chaloux, mais le sayté de dinde picard est vendu séparément des nouilles.
http://www.picard.fr/produits/saute-dinde-sans-os-sans-peau/000000000000007037,default,pd.html
Avant d’écrire, on vérifie ses sources.
Cette histoire ne vous concerne pas Bérénice. Ne vous sentez pas visée.
Dès qu’on est à même de regarder son nombril, il ne sert plus à grand chose. Alors on projette sur le nombril des autres
D., c’est du poulet!
WG répète « porc » de façon obsessionnelle dans ses commentaires de ce soir. Aurait-il abusé de délicieuses tapas au bellota??
aurélie tarot dit: 27 avril 2015 à 21 h 34 min
Alors on projette sur le nombril des autres
pas facile!
Faut bien viser!
Mouais, ta morgue édouard.
Reviens laisser un p’tit message à ton retour. Peut-être que si la lecture de « moisis » ne te sert à rien, -cela peut se comprendre, je tombe par hasard sur une lettre de Paul Morand du retour du Maroc, le 5 février 1961, on n’a pas vu le même- j’espère pour toi que ce » voyage » pour lequel tu t’es porté volontaire, te fera un beau CV. En plus de t’apprendre à vivre.
ainsi fut fait à 21h51
Le plus drôle c’est la réponse de Chardonne à Morand, le 7 février:
« Mon cher ami,
Je ne coucherai pas dans votre lit. »
et en fin:
« Je pars manger des huitres chez Prunier. En somme je n’ai jamais aimé que les coquillages. On sait cela à la fin de sa vie »
C’est sûr qu’au troisième degré, ça passe.
@ 22 h 08 min
je ne comprends pas cette obsession, la votre, à me lire. Malgré le dégoût évident que vous m’inspirez. Votre PNL n’est que l’un des aspect de ce dégout. Et s’il m’arrive de me salir les yeux sur votre » prose » c’est qu’elle s’étale, obscène, sous différents pseudos, alors que je pratique la lecture sélective, ici.
« Rien de plus laid que la femme parlant espagnol »
que pensez-vous de cette observation du voyageur Morand, dear Widergänger ? A Sitges les baigneurs doivent être du même avis mais pour d’autres raisons !
Pinpin dit: 27 avril 2015 à 19 h 34 min
En Sologne, y’a rien que des grenouilles.
Et des crapauds.
Ha non des émirs ! Avec des chasses extraordinaires… Des boutons… Des trompes de chasse comme sur le toit du Lutetia !
je sais pas trop ce qu’il veut chanter, celui qui nous bassine ici de ses obscénités. Ce doit être cette histoire de coquillages qui le perturbe. Il ne doit pas en manger souvent.
L’intégralité de la lettre de Chardonne est donnée en lien à 16h10, et sa vision du Maroc est à l’évidence pas moins raciste et antisémite que celle de P. Morand.
« l’Empire anglais encore au zénith » :
Oui enfin on sortait de la guerre des Bohaires…
Phil, ce qui serait intéressant c’est de remettre en parallèle les livres de Morand et sa correspondance, aux dates correspondantes.
Comme n’importe qui (enfin presque) dit: 27 avril 2015 à 23 h 00 min
sa bonbonne à oxygène sous sa combinaison.
Ha mais ben c’est sûr faut pas manquer d’air, hein ! Surtout que l’hypoxie ça fait voir des petits oiseaux, des éléphants comme dans le Concombre…
la vie dans les bois dit: 27 avril 2015 à 22 h 46 min
sa vision du Maroc est à l’évidence pas moins raciste
Oui mais là faut comprendre au Maroc c’est plein de Marocains ! Et en Afrique d’Africains…. Qui revenons de loin !
Dans ces cas-là Gide lui au moins il savait s’occuper…
Qu’est-ce que c’est une PNL ?
Je ne suis jamais allé au Maroc et je ne compte pas y aller mais je reconnais qu’un bon Ras-el-hanout dans le couscous peut transformer le plat.
Widergänger dit: 27 avril 2015 à 20 h 29 min
Tiens, je m’en vais plutôt dîner en ville ! Mais surtout pas une côtelette de porc… Beurk !
–
Religieusement, rien ne m’interdis de manger du porc mais plus les années passent et plus je dois admettre que le porc ne vaut pas grand chose, même dans les meilleurs jambons ibériques.
Je trouve que Chaloux est finalement un esthète romantique, comme renato.
D. dit: 27 avril 2015 à 23 h 45 min
Qu’est-ce que c’est une PNL ?
La Programmation Neuro-Linguistique, non ? Sinon chais pas…
Ce qui me dérangerait, en Afrique du Nord, c’est de voir se coucher le soleil à ma gauche en regardant la mer. Je ne m’y ferais pas.
La Programmation Neuro-Linguistique
–
de la couille de loup en barre pour occuper les intellos tout ça.
D. dit: 27 avril 2015 à 23 h 53 min
Religieusement, rien ne m’interdis de manger du porc
C’étaient des mesures prophylactiques ; maintenant il y a belle lurette qu’on n’a plus besoin de ça…
peu importe, ça ne vaut pas grand chose comparé au bœuf ou à l’agneau.
Je suis un peu troublé ce soir parce que ma chef qui doit avoir 10 ans de moins que moi m’a dit cet après-midi que j’étais beau, comme ça, en plein milieu d’une conversation professionnelle ordinaire et en me dévorant presque du regard.
Je ne sais pas comment le prendre. Sur le moment j’ai esquissé un petit sourire aimable.
Phil, en qualité d’Attaché à l’ambassade de France, Morand a suivi le procès de Sir Roger Casement, un des révolutionnaires irlandais de 1916. Déposé par un U-bot sur une plage du Kerry deux jours avant le lundi de Pâques. Capturé, puis emprisonné à Pentonville, il fut exécuté pour haute trahison, à l’instar des 15 autres rebelles. Il fait l’objet d’un honnête roman de Mario Vargas Llosa, « Le rêve du Celte », surtout consacré à sa dénonciation du système colonial au Congo belge (la « chicotte »).
Un des mes amis belfastois, Philip O., a puisé abondamment dans les notes du jeune diplomate pour la pièce que lui a commandé le comité d’organisation du Centenaire de 1916. Pas totalement inutile.
CHOMAGE
« Derniers chiffres : 5.590.600 avec les DOM. Un chiffre en progression de 0,5% sur un mois, et de 6,7% sur un an. »
Et vous voudriez que l’on s’intéressât à la littérature ?
Réveillez vous, mes amis ! les indigènes français, jeunes et vieux, attendent du boulot, les indigènes africains arrivent en bateaux de croisière pour en trouver ou se faire aider … ça craque, et le Clown Bedonnant continue son spectacle sous un chapiteau en flammes !
REVEILLEZ VOUS, NOM DE DIEU !!!
D. dit: 28 avril 2015 à 0 h 11 min
« Je suis un peu troublé ce soir parce que ma chef qui doit avoir 10 ans de moins que moi m’a dit cet après-midi que j’étais beau. Je ne sais pas comment le prendre. »
Cher ami, d’abord on dit « je ne sais pas comment LA prendre », puis on relis le Kâma-Sûtra ou on improvise : les solutions en 3D ne manquent pas…
Lire les échanges de cette nuit entre l’ami Chaloux et l’ami W. me donne le dégoût des autres. Genre dégoût morando-chardonnesque !
S’acharner à ce point ! …Lamentable !
Est ce que je m’acharne sur Clopine de Cheval, moi ?
« Agnès Saal, présidente de l’Institut national de l’Audiovisuel (INA), a dépensé 40.000 euros en frais de taxi au cours des dix derniers mois, notamment pour des déplacements le week-end, dont certains auraient été effectués à titre privé. » (Obs)
Contribuables, c’est vous qui payez cette fonctionnaire de haut niveau… de dépenses.
…
…en passant,!…
…
…tous coupables,!…tous, qui çà,!…
…
…les » Juifs – Nazis – Arabes( Venise ) « ,
…et des affaires,!…des crises à Wall Street,!…
…déjà, les marchands d’armes,!…& pour les soumis ( communautés d’obscurantismes )aux temples des églises,!…
…
…trop de » juifs X nazis « , de connivences,!…dans le zèle des marchés des affaires,!…
…avant – pendant – et après, ces show-alla,!…
…tout ces chèques en blanc 40-45, déjà, après 14-18,…
…la haine de rire, des soumis et d’ailleurs,!…de parvenir,!…l’Europe, c’était pas du Far-West,!…pousse encore avec des indiens de trop,!…
…trop de managements du conflit 40-45, pour s’entretuer les peuples,( tout les peuples ),!…
…
…des morts aussi, prisonniers dans les camps,!…Oui, mais combien de survivants, par rapport à la bataille de Stalingrad,!…
…ou l’armée du désert d’Erwin Rommel,!…
…
…des guerres fratricides, entre peuples unis de force,en moins de cents ans,!…en têtes-brûlées,!…dans des appellations de » ranchs « ,…Allemagne, Italie, France, Espagne, Royaumes-Unis, Pologne, Autriche déjà sans Hongrie, la Yougoslavie,!…etc,!…&,…U.R.S.S.,…depuis,…14-18,!…
…
…trop de morts innocents-européens, les armes à la mains,!…
…
…quelle stratégie, comme en 14-18,!…
…un retour au moyen-âge-forcée,…avec après, les années-folles,…avec les Diva à Métropolis,!…
…obéir, les armes en mains, sous les autorités à s’entretuer, nos intellos,!…
…
…des guerres, des guerres,!…pour la racaille au pouvoir,!…
…un pourcentage de juifs, pour chaque milliers d’européens entretuer entre-eux,!…
…une petite part de justice à St-Louis, de plus près,!…
…carte-postale, des croisades à Tunis,!…financer l’expédition, Oh,!…tout ces rois-cons,!…du jus, du blé,…pour juifs-des comptes » avec intérêts,!…
…et, Ohps,!…les commanderies des chevaliers de l’Ordre, » sophistes » aux pluriels,!…de l’Europe,!…en style » albigeois, ou protestants d’accordailles,!…
…libertés, aussi, pour en soumettre du peuple-unis, en batailles, Azincourt,!…etc,!…Churchill,!…
…prétextes de dots,!…( Normands aussi,!…retournez-chez-vous,!…en Scandinavie,!…
…au lieu, d’entre tuer l’Europe,!…par managements,!…la mondialisation,!…
…déjà, par la dernière croisade, du bouc émissaire,!…St-Louis des confesseurs,!…
…
…vivre heureux,…l’histoire pour de l’argent, des ranchs,…des monopoles, le capital des escrocs,!…
…à la soupe,!…y a des histoires,!…
…c’est encore chaud, les marrons, les haricots,!…quels vents,!…etc,!…
…en passant, la serviette,!…
…
Rappelons aux distraits que cette Dame* bénéficie d’une voiture avec chauffeur … payés** avec vos sous, chers contribuables !
* un mot en S… conviendrait mieux, je le reconnais
**un peu de populisme ne fait pas de mal, même chez Passou où la littérature élitiste se laisse effeuiller volontiers, la coquine
Pour ceux que cela intéresse : Porquerolles est en ce moment bien aéré, mistral coup de vent de Force 9, jogging écourté.
Je veux bien comprendre la nostalgie et les regrets qu’alourdissent le cœur, mais vivre entre le grainer et la poubelle ce n’est pas très sain.
Et l’autre qui rappelle les abus des fonctionnaires… j’avais cru comprendre que vous étiez fier de votre aristocratie républicaine… je n’ai jamais compris où se situe la différence entre cette aristocratie et la vieille… ou la soviétique… ou la fasciste… mais l’important c’est la fierté…
Puis, il y a ceux qui font dans la belle culture, un avait même mis bas une petite leçon où il était question de « sprezzatura », puis, dominé par l’impuissance, il n’arrive à sortir que des « gros porc » et autres aménités de cette force expressive.
« Gros porc » ? Mais c’est très affectueux, comme expression, ‘gros porc’… c’est comme ‘petit bedonnant casqué, c’est gentil… et si on mélange les deux… ouaah ! Super dément…Visez-moi ça :
« Le Petit Bedonnant Casqué se fout de nous, avec son inversion de la courbe du chômage : il y a sur le carreau 5.590.600 gros porcs sans emploi, invendus, qui pourrissent sur place ! »
Vous voyez comme c’est gentillet … Gros porc !
ils nous auraient conservé notre empire colonial; on l’aurait gardé pour eux, ce qui valait mieux que de le donner aux nègres
Chardonne, lui-même docile esclave des nazis, se rêve en possesseur d’empires et d’esclaves « nègres ». Tartuffe!
631
commentaires