de Pierre Assouline

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La République des livres
Oyez oyez, les lanceurs d’alerte !

Oyez oyez, les lanceurs d’alerte !

Mais non, pas Julien Assange et consorts ! D’autres, authentiquement pionniers dans le genre, écrivains, chroniqueurs et essayistes, il y a quelques dizaines d’années, dont les exhortations sont redevenues furieusement actuelles. Le premier d’entre eux, l’esprit le plus noble, le plus sincère et le plus fervent qui soit, un Français du nom d’André Suarès. C’est à peine si son nom a surnagé et c’est une misère de le voir si souvent confondu, même par des historiens, avec celui du journaliste Georges Suarez, fusillé à la Libération devinez pourquoi. Un éditeur inspiré a réuni les textes politiques publiés de son vivant à partir de 1920 et jamais repris en volume depuis sa mort en 1948. Cela s’intitule Contre le totalitarisme (224 pages, 15 euros, Les Belles lettres). Dans son esprit, cette initiative ressemble à ce que l’on pourrait appeler de l’édition d’urgence. Ou de première nécessité. Quelque chose de militant mais dans la meilleure acception du terme (la pire, on la connaît : systématisme, sectarisme etc). S’il existait des librairies de garde comme il en va des pharmacies, on devrait pouvoir se le procurer au coin de la rue la nuit tombée après avoir écouté le journal télévisé, suivi certains débats de la campagne électorale et découvert les derniers sondages d’opinion qui nous promettent pour la fin de partie les représentants des deux extrêmes, démagogues à la rhétorique populiste si bien rodée qu’un certain nombre de leurs électeurs passeront sans mal de l’un à l’autre en fonction des circonstances.

On devine vite l’intention du livre ou son ambition : être perçu comme la protestation continue de l’esprit de liberté contre toutes les formes de tyrannies. Ennemi du mensonge, libre penseur, visionnaire méconnu, Suarès était ce qu’on appelle communément un emmerdeur : ce tempérament ombrageux, notoirement asocial n’en fut pas moins une Indispensable vigie d’un siècle de fer et de sang. Insurgé permanent hanté autant qu’habité, ce qui n’a pas facilité la diffusion de son oeuvre. Ecrivain et poète, pilier de la NRF, biographe inspiré de nombre d’écrivains et ardent dreyfusard, il était également un polémiste au ton volontiers prophétique, que l’on finissait par prendre pour un Cassandre de plus alors que l’Histoire donnait souvent raison à l’exceptionnelle acuité de son intelligence. Mais on sait à quel point il est inconfortable d’avoir souvent raison trop tôt. Il eut ses moments de découragement, tel un Cassandre inutile, lorsqu’il se sentait rejeté tant ses philippiques effrayaient le bourgeois munichois.

« C’est peu de n’être cru : mais n’être pas ouï ? »

N’empêche que même dans le désert, au plus profond de sa nuit, il ne sentait d’autre devoir que de ne pas s’abaisser. Quelle leçon ! Ce livre recèle des pépites interdites, inconnues des connaisseurs et pour cause, telles En marge d’un livre, censuré par Grasset et édité à tirage limité hors commerce en 1936, la Chronique de Caërdal publiée dans la NRF entre 1939 et 1940 avec des papiers magnifiques d’intelligence critique sur Baudelaire, Unamuno, Leopardi, La Bruyère, les Brontë. Europe fraternelle, culte des grands esprits de tous les pays, obsession du rang de la France et de son esprit dans le concert des nations, virulente hostilité à l’endroit du pacifisme noble mais infirme, du désarmement funeste et irréaliste … A travers ses thèmes de prédilection, on retrouve malgré tout, c’est à dire malgré ses promesses d’apocalypse, un certain optimisme tant il décèle dans l’âme de la France toutes les ressources pour lutter sur tous les plans contre les totalitarismes (le pluriel n’aurait pas été de trop dans le titre en couverture) : communiste, fasciste, nazi.

Sa plume que l’on dirait trempée dans le flacon de vitriol dont se servait Léon Bloy, n’épargnait pas plus les fauteurs de guerre que les dictateurs. Dès 1930, il est l’un des tous premiers à hurler dans toutes les tribunes qui l’accueillent que « M. Hitler » est diabolique et qu’on ne dîne pas avec lui fût-ce avec une longue cuillère. Alors au sommet de sa réputation, il a pris tous les risques. Dès 1936, il annonçait le cortège d’horreur de la guerre totale à venir : meurtres collectifs au nom de la race, génocides etc Ne lui a manqué que d’avoir envisagé la performance technique de la mort industrielle lorsqu’elle est servie par une organisation sans faille (les camps d’extermination et les chambres à gaz).

« Le club est votre église ; le bar, votre sanctuaire ; l’urne, votre ciboire ; le bulletin de vote, trempé dans la vinasse, votre eucharistie ; et le mastroquet, votre cathédrale. »grosz-beautyiwillcherish-m1349570756633

Michel Drouin, à qui notre connaissance de son œuvre doit tant, disait que, isolé, n’ayant pour tout bagage que son génie d’écrivain, son instinct, sa raison, son « ardeur pensante », André Suarès aura mené en plein accord avec le mouvement de l’Histoire, « l’instruction de nos désastres ». A noter également qu’on ne trouve rien de comparable, de cette encre et de cette force, ni même rien dans le même ordre d’idées, chez les autres «  »grands » » de sa génération, les Gide, Claudel, Valéry, Giraudoux, Rolland, Bernanos. « « Et dire qu’il se voulait avant tout poète et musicien… » » Ce n’est pas tant qu’André Suarès nous manque, à nous qui le connaissons si peu; c’est surtout qu’il nous manque un André Suarès.

Rares sont les intellectuels français de cette époque dont on pourrait en faire les frères en pugnacité. Il faut aller voir ailleurs, en Allemagne justement. Erich Kästner fut à sa manière un « romancier d’alerte » . Un autre nom vient spontanément à l’esprit, pas des plus connus, hélas, mais des plus puissants par le souvenir qu’il a laissé dans la mémoire de ceux qui l’ont lu et le lisent encore, celui de Klaus Mann. Il y a comme une parenté en prophétisme politique entre ces hommes au destin de Cassandres. Ils avaient un trait de caractère en partage, beaucoup moins répandu qu’on ne le croit, la lucidité.

A croire que l’administrateur général de la Comédie-Française et l’éditrice des Belles-Lettres se sont donnés le mot, le fait est que Contre le totalitarisme produit sur le lecteur en effet d’autant plus puissant s’il sort de la représentation La résistible ascension d’Arturo Ui (traduit de l’allemand par Hélène Mauler et René Zahnd, édité par L’Arche). Cela se passe à Chicago autour d’un trust contrôlant le marché du chou-fleur sur fond de corruption, détournement de fonds d’Etat, chantage, pressions, racket, démagogie, voyoucratie de la politique (ne manque que les emplois fictifs !) mais on sait de quoi il en retourne et l’identification des personnages à Hitler, homme d’Etat aux allures de malfrat, Hindenbourg, Göring, Röhm, Goebbels, Dollfuss est telle qu’il ne s’agit évidemment pas de personnages à clé. Le dramaturge, qui avait en tête une histoire sur l’ascension sociale par le crime, avait la mémoire pleine des films noirs américains Little Caesar, Scarface, The Public Ennemy ainsi que les romans tout aussi noirs de Horace Mac Coy et James Cain. Dans son Journal de travail à la date de mars-avril 1941, Brecht prévenait depuis son exil finlandais :

« Une conjonction trop étroite des deux intrigues (l’intrigue des gangsters et l’intrigue des nazis), dons une forme qui prendrait la première intrigue comme une symbolisation de la seconde, serait insupportable, »

Le spectacle est réussi en ce qu’il met parfaitement à nu la théâtralité du fascisme et déconstruit le spectacle du pouvoir, même si, une fois de plus, on admire la voix de bronze de Bakary Sangaré dans le rôle du bonimenteur sans comprendre la moitié de ce qu’il dit. Emballé par ce que j’avais vu et entendu, j’ai prêté l’oreille à une conversation de critiques sur le parvis du théâtre. L’un d’eux, qui disait avoir perdu sa soirée, comparait la mise en scène de l’allemande Katharina Thalbach (qui est « née » et a grandi dans les années 60 parmi les Berliner Ensemble du temps de la RDA)  avec celle, à ses yeux bien supérieure de Jean Vilar et Georges Wilson en 1960 au théâtre de Chaillot. Après tout, pourquoi pas, de toute façon, nous n’en n’étions pas pour pouvoir aujourd’hui en juger et comme le dit Eric Ruf, le patron du Français, « la forêt d’intentions » des exégètes de Bertolt Brecht est d’une densité insoupçonnable. Cette fois, il s’agit de montrer en quoi l’auteur « vise à détruire le respect dangereux qu’inspirent les grands criminels au commun des mortels ».

Le principal argument du critique tenait à ceci que Vilar avait eu l’intelligence de montrer de bout en bout un Arturo Ui effrayant quand celui de Thalbach ne l’est que par moment, le comique, le burlesque et le ridicule dominant la mise en scène, ce qui rend justice à l’humour de Brecht jusqu’en sa dimension clownesque (que dire alors du Dictateur de Chaplin ?). Toutes choses qui confèrent au personnage un côté humain (trop humain ?) quand l’effroi le tirait du côté du monstre. Il est vrai que, de son propre aveu, Katharina Thalbach a voulu réussir l’alliance du théâtre populaire et du grand style et… :

« … la traiter comme un de ces grands spectacles de foires annuelles – presque sous la forme d’une complainte, voire d’un mystère – en soulignant l’héritage des grands drames shakespeariens »

Or c’est justement pour cela que cette fable (à l’affiche jusqu’au 30 juin en alternance) m’a paru être une parabole d’une remarquable actualité, elle aussi, au-delà des talents conjugués des membres de la troupe, outrageusement maquillés comme dans un tableau de George Grosz, pas seulement heureux mais manifestement fiers de la jouer.

La majorité des électeurs allemands a confirmé la position du NSDAP comme premier parti d’Allemagne aux élections législatives de juillet 1932 avec 37,3 % des voix. Celles qui ont porté légalement « M. Hitler » au pouvoir, non par la force mais par adhésion à sa personne et ses idées, des gens des classes moyennes, des fonctionnaires, des professions libérales etc en poussant le président à le nommer chancelier de la République de Weimar, n’étaient pas effrayées. Plutôt rassurées, confiantes sinon envoûtées. Seuls, si l’on peut dire, les militants démocrates, les opposants de la première heure, les communistes, les Juifs, qui les premiers firent les frais de la répression et de la censure, étaient plongés dans l’inquiétude, le désarroi, la terreur (l’œuvre de Brecht fut brûlée dans l’autodafé du 10 mai 1933 et il partit sur les routes de l’exil). Mais les autres, tous les autres qui constituaient la majorité (mais pas absolue), n’étaient en rien dans la peur et l’effroi, tout au contraire, hélas.

(« Une scène de la pièce à la Comédie-Française » photo Brigitte Enguerand ;  » Beauté, je veux te chanter » de George Grosz, 1919, Galerie Nierendorf, Berlin)

Cette entrée a été publiée dans Essais, Histoire, Théâtre.

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commentaires

955 Réponses pour Oyez oyez, les lanceurs d’alerte !

bouguereau dit: à

..c’est pas un sans dents..il en reste quelques une pour tenir le couteau baroz..si tu meurs pas saigné a blanc ça sra de septicémie épicétou

JC..... dit: à

Mais si ! La politique est un amusement, une plaisanterie, une farce où plus tu es bouffon, plus tu plais !

« Je vous aime farouchement ! »

N’est ce pas plaisant, n’est il pas admirable ce propos de jeune crétin de cirque ?…

JAZZI dit: à

Lassalle, dans le genre grand couillon sympa, à toutes ses chances, alors, JC ?

bouguereau dit: à

Mais si ! La politique est un amusement, une plaisanterie, une farce où plus tu es bouffon, plus tu plais !

ainsi va la vie jicé..la démocratie française c’est tout le monde se prend pour adalbert duc de perigord..c’est beau le périgord

bouguereau dit: à

Le feu prit un jour dans les coulisses d’un théâtre. Le bouffon vint en avertir le public. On crut à un mot plaisant et l’on applaudit il répéta

tlé joli..le lanceur d’alerte n’est ce pas celui qui fait de note fin dernière une fête baroz

JAZZI dit: à

Je ne sais pas si Mélenchon a déjà eu recours à la chirurgie esthétique, le boug. Mais son allure et ses costumes sont taillés sur mesure : le chic du gentleman farmer et le look new âge d’Aristitide Bruant !

bouguereau dit: à

look new âge d’Aristitide Bruant !

pas mal vu

JC..... dit: à

Si les Français étaient des Christophe Colomb à la recherche d’un nouveau monde, ils voteraient Lassalle ou Coluche ou Hamon, bref pour le risque, mais ils sont dans leur fortin assiégés par des cannibales islamistes, sérieux, communautaristes, terroristes pour certains…. ils ont peur.

Et quand tu as peur de mourir, tu raisonnes !

Alors ils vont voter pour un bébé hollandais qui se croit libre d’agir, le pauvre naïf ! Ils vont psalmodier leur :
« Voter est un droit imprescriptible »

…. pauvres gens !

bouguereau dit: à

« Chez nous, on se serait cru à la campagne. Pas d’autobus, pas de grands immeubles, pas de trottoirs encombrés. Chaque carrefour avait sa borne fontaine, chaque maison son bout de jardin […] Pas de magasins non plus : qu’en ferait-on dans un village ? Juste ce qu’il faut de boutiques pour rendre service aux ménagères : une boulangerie et un fruitier. Quand on voulait d’autres provisions, on descendait rue Lepic, où les marchandes poussaient leurs petites voitures, et l’on rentrait du marché avec des filets pleins5. »

bouguereau dit: à

…. pauvres gens !

ha on est pas toujours beau jicé..quelquefois faut havoir pitché de nous même..sois délicat

JAZZI dit: à

Macron, c’est plutôt le look gendre idéal, les femmes en raffolent !

JC..... dit: à

Alors que, pour échapper à la Terreur Islamique, c’est simple : il suffit de se convertir !

bouguereau dit: à

Déjà, avant Mélenchon, Mitterrand !

non il en avait pas le brio..un rat de librairie va seulabre

bouguereau dit: à

pour échapper à la Terreur Islamique, c’est simple : il suffit de se convertir !

voilà c’est trop simple..hon aime les chalenges en france

JAZZI dit: à

« ..quelquefois faut havoir pitché de nous même.. »

Ballade des pendus

Frères humains, qui après nous vivez,
N’ayez les coeurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis.
Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :
Quant à la chair, que trop avons nourrie,
Elle est piéça dévorée et pourrie,
Et nous, les os, devenons cendre et poudre.
De notre mal personne ne s’en rie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

Se frères vous clamons, pas n’en devez
Avoir dédain, quoique fûmes occis
Par justice. Toutefois, vous savez
Que tous hommes n’ont pas bon sens rassis.
Excusez-nous, puisque sommes transis,
Envers le fils de la Vierge Marie,
Que sa grâce ne soit pour nous tarie,
Nous préservant de l’infernale foudre.
Nous sommes morts, âme ne nous harie,
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

La pluie nous a débués et lavés,
Et le soleil desséchés et noircis.
Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés,
Et arraché la barbe et les sourcils.
Jamais nul temps nous ne sommes assis
Puis çà, puis là, comme le vent varie,
A son plaisir sans cesser nous charrie,
Plus becquetés d’oiseaux que dés à coudre.
Ne soyez donc de notre confrérie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

Prince Jésus, qui sur tous a maistrie,
Garde qu’Enfer n’ait de nous seigneurie :
A lui n’ayons que faire ne que soudre.
Hommes, ici n’a point de moquerie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

JC..... dit: à

Moi, je me suis converti trois fois :

– fin des années 30, au nazisme vichyssois du Vieux
– fin des années 44, à l’american way of life FFI, plan Marshall
– fin des années 68, au capitalisme qui enrichit l’esprit, et le porte-money

Projet : après les élections, si Marraine n’est pas élue, je prend ma carte de sunnite, chiite, soufi, BCBG …

bouguereau dit: à

les femmes en raffolent !

..et les pédés!..là le chalenge il est trop fort

JC..... dit: à

« Macron, c’est plutôt le look gendre idéal, les femmes en raffolent ! »

Tu confonds : elles n’aiment pas l’homme, mais l’enfant qu’elles auraient aimé avoir.

Des ventres, crois moi ! ….

Pat V dit: à

Les mots du poète sont des lanceurs d’ alerte, ils se refusent la propagande…

JC..... dit: à

On doit considérer qu’un poète est un malade mental, aliéné par des hallucinations néfastes !

On doit SAUVER les poètes… malgré eux !

JAZZI dit: à

« elles n’aiment pas l’homme, mais l’enfant qu’elles auraient aimé avoir. »

C’est la définition parfaite du gendre idéal, JC, avec un zeste d’inceste !

gardel dit: à

A propos du sujet hebdomadaire proposé par Passou, je me suis laissé dire que Fillon – non, non, pas celui-là, l’autre : Macron. Pardon, c’est déjà une habitude… Ce dernier, donc, à la fin de son séjour chez Rothschild, avait été suspecté d’entretenir des relations bizarres avec des garçons comme Julian Assange et Edward Snowden. La présidence de la dite banque, très discrètement et d’un commun accord avec l’intéressé, a mis un terme à son contrat – fallait pas faire de vagues. Ce sont des rumeurs, d’accord. Mais la gravité du cas devrait au moins réveiller les limiers du Canard Enchaîné – imaginez-vous, « un lanceur d’alerte »! -, même si son statut est longuement en-dessous d’un Klaus Mann. Allez les gars, il reste à peine une semaine, prochain N° mercredi 19. Après il va falloir nettoyer les écuries d’Augias, comme ont dit au comptoir de Chez Papa.

JC..... dit: à

Je ne comprends pas qu’on libère la distribution du cannabis devant les lycées de l’EN pédagogique, et pas l’inceste dans les familles ?!

Pensez aux grand pères qui voient grandir la petite Emilie et subissent la condamnation morale de leurs efforts pédagogiques d’insertion … bien compréhensibles !

D. dit: à

Une ancienne clause des statuts de l’établissement précisait que les groupes d’élèves issus des zones d’éducation prioritaires devaient être moins nombreux que ceux des autres écoles. Les Ministres Audrey Azoulay et Najat Vallaud- Belkacem, indignées, ont depuis obtenu sa suppression. (Le Figaro.fr)

–> ô stupidité du pouvoir socialo-communiste, quand tu nous tiens…
Si dans les zep les effectifs par classe sont évidemment diminués, ils doivent l’être aussi lors des visites.
Dès lors, de façon à obtenir le même débit qu’ailleurs, il suffit d’augmenter la fréquence de celles-ci.
Ces notions élémentaires qui s’apprennent en 3ème, semblent avoir complètement échappé aux deux indignées déjà toutes occupées à faire leurs cartons, pour le plus grand bien de tous.

Lacenaire dit: à

Je suis étonnée de de voir le sensible et sensé Baroz discuter avec des gros ploucs somme JC et bouguereau

JC..... dit: à

Chaque fois que je me suis marié, JiBé, j’ai soigné le relationnel belle-mère. Dieu ! qu’elles sont exigeantes, mais facile à séduire ….

D. dit: à

Le début de mon commentaire ayant mystérieusement disparu, je restitue le contexte :

Une ancienne clause des statuts du Musée d’Orsay précisait que les groupes d’élèves issus des zones d’éducation prioritaires devaient être moins nombreux que ceux des autres écoles. Les Ministres Audrey Azoulay et Najat Vallaud- Belkacem, indignées, ont depuis obtenu sa suppression.

JC..... dit: à

« Je suis étonnée de de voir le sensible et sensé Baroz discuter avec des gros ploucs somme JC et bouguereau ».

C’est plus intéressant que de « causer » avec le sensible et censé Lacenaire, la raclure de l’année 2017.

D. dit: à

Le look de Mélenchon, et même sa coiffure, m’aparaissent bien plus proche de celui de Mao.

D. dit: à

keupu dit: 13 avril 2017 à 9 h 37 min
bouguereau est content, il a réussi à bander pendant une seconde, youpi !

Moi plus j’avance en âge, bientot 44, plus j’ai du mal. Je prends ça comme un avantage, la pulsion sexuelle m’a toujours paru dégradante, j’espère que dans quelques dizaines de milliers d’années l’espèce humaine aura totalement été débarrassée de ce démon organique qui la mène par le bout du nez depuis ses origines.

D. dit: à

Le Christ nous dit d’être comme des enfants et cela s’applique aussi au sexe. Les enfants, faute d’hormones, ne sont pas dépendants au sexe.
Ils sont certes issus du péché originel et en porient tous la marque, sauf le Christ lui-même et sa Mère.

Lacenaire dit: à

JC évoque souvent le ventre, normal pour quelqu’un qui a du bide, gros

JC..... dit: à

La sexualité est un drame à vivre pour ceux qui ont une âme. Les autres sont bienheureux d’être épargné de cette invention irrationnelle .

Delaporte dit: à

Chevillard note bien la nouvelle atmosphère des néo-bibliothèques d’aujourd’hui, qui sont devenues des centres de loisirs sous le nom de « médiathèque » :

« La bibliothèque où j’ai mes habitudes, sise dans une ancienne église, attire souvent des groupes de visiteurs dont la curiosité se porte aussi sur les personnes studieusement attablées, étrange peuplade aux mœurs et aux rites si déconcertants. Quelquefois, comme si ça allait de soi, je me scarifie la joue au cutter. »

Il y a peu, de passage dans une bibliothèque envahie par des visiteurs désoeuvrés, j’ai même vu une bagarre de jeunes, comme si nous étions dans une cité. C’est à ces marques d’une déliquescence dans les moeurs culturelles qu’on voit clairement la décadence morale d’un monde qui crève.

JC..... dit: à

Les athées lubriques dans mon genre propagent des rumeurs du type :

« Le menuisier Joseph, patron des cocus, n’est il pas le concierge complice d’un enfantement divin où l’Archange Gabriel ne serait autre que Joseph d’Arimathie …déguisé et amoureux de Marie… et le père véritable de notre Seigneur Jésus-Christ ?

Delaporte dit: à

De même, quand ce ne sont pas des médiathèques qui deviennent des lieux de spectacle, ce sont des écoles que l’on ferme. D’où un nouveau combat pour le philosophe Alain Badiou, qui a raison de ne pas être content, une fois de plus :

« Le philosophe Alain Badiou s’inquiète de la disparition programmée du collège de la Reynerie qui porte le nom de son père : Raymond Badiou. »

Delaporte dit: à

Malheur à ceux par qui le scandale arrive !

JC..... dit: à

« Le philosophe Alain Badiou s’inquiète de la disparition programmée du collège de la Reynerie qui porte le nom de son père : Raymond Badiou. »

Quelle horreur : un nom qui disparaît…

JC..... dit: à

Delaporte dit: 13 avril 2017 à 11 h 16 min

La bagarre a été déclenchée par des racailles proustiennes en provenance du Moyen Orient !

Widergänger dit: à

Mélenchon n’est pas seulement un bouffon. C’est un type sincère, il croit à ce qu’il dit, et donc c’est un type extrêmement dangereux. Il peut nous fooutre notre vie en l’air avec ses convictions de m… Comme Dit J. Attali, Mélenchon c’est la version Corée du Nord de la gauche. Pas ça, pitié, non merci ! Assez de malheurs comme ça !

JC..... dit: à

Table rase !
Votez pour les NULS !!!

bouguereau dit: à

Après il va falloir nettoyer les écuries d’Augias, comme ont dit au comptoir de Chez Papa

il veulent dire que tu dois haller tlaver lcul gardel..

Delaporte dit: à

Mélanchon lui-même ne croit pas qu’il va être élu. C’est la grande différence avec Hamon, qui partait avec la conviction que, s’il était élu, il devrait appliquer son projet. D’où quasiment cette unique réforme sur le travail, mais essentielle et ramenant tout à la surface comme une vague immense : l’abolition légale du travail.

bouguereau dit: à

Mélenchon n’est pas seulement un bouffon. C’est un type sincère

t’as hencore du boulot pour faire un jésuite prope sur toi dracul

bouguereau dit: à

Il y a peu, de passage dans une bibliothèque envahie par des visiteurs désoeuvrés, j’ai même vu une bagarre de jeunes, comme si nous étions dans une cité. C’est à ces marques d’une déliquescence dans les moeurs culturelles qu’on voit clairement la décadence morale d’un monde qui crève

raclure de delaporte

JC..... dit: à

L’abolition légale du travail !!

Ahahahaha !

Y a t il un bolo, ici, minimum Bac +2, pour parler de néguentropie à ce connnard éligible ?

bouguereau dit: à

Regarde, le boug !

un meneur de fromage de chêve baroz..mélanchon c’est dla montbéliarde..les grands espaces

JAZZI dit: à

Espérons que les bibliothèques-médiathèques ne suivent pas la tendance amorcée par les FNAC, où les livres sont relégués dans les derniers étages !

bouguereau dit: à

m’aparaissent bien plus proche de celui de Mao

pour les gonzesses mélanchon l’a meilleur gout

bouguereau dit: à

mino j’ai vu une bataille rangé dans une macul à coup de canettes..c’était pas pour dla chnouf qu’il aurait dit malraux..il pouvait ête fier de lui

Delaporte dit: à

En effet, les nouvelles médiathèques ressemblent à des Fnac, et tel est leur usage par des populations analphabètes hypnotisées par le consumérisme.

JAZZI dit: à

Non, Delaporte, à Paris, les médiathèques Marguerite Duras (20e) ou Françoise Sagan (10e), deux des dernières réalisations, sont superbes et confortables pour le lecteur !

Delaporte dit: à

« superbes et confortables pour le lecteur »

Mais quel lecteur ?

Widergänger dit: à

En tout cas, pas des lecteurs comme Delaporte qui, lui, relève de l’hôpital psychiatrique avec son obsession du travail aboli, monculsurlacommode.

D. dit: à

Widerganger, les malheureux c’est pas ceux qui se tapent 4 mois de congés payés dans l’année pour pianoter sur le clavier de la RDL.

Les malheureux sont dans les usines et aux caisses des supermarchés, à faire de trois-huit, des samedis et des dimanches. Et ces malheureux-là on va en doubler le nombre en dix ans avec des Attali et des Macrons soutenus par des pseudo-intellos de votre genre.
Alors Mélenchon, un danger ? un danger pour QUI ? Et moi qui vous parle je paye l’ISF. J’aurais pu la fermer mais y’à des limites, figurez-vous.

JAZZI dit: à

« Mais quel lecteur ? »

Moi, je suis un très gros client des bibliothèques-médiathèques de Paris, Delaporte, et notamment de sa réserve centrale !

Widergänger dit: à

D. qui se cogne la tête contre ses préjugés, faut voir ça pour comprendre ce qu’est devenu la France avec des D. prêts à nous fouutre au pouvoir la barbarie tranquille.

D. dit: à

Pour revenir à la sexualité, les occultistes s’accordent pour dire qu’elle est dévolue à Lucifer, et Lucifer est le principe contradicteur qui en realité est nécessaire au monde matériel, disons le cosmos.
Donc la sexualité est par essence vile, la parade sexuelle mensongère.
Le sexe masculin ou féminin est laid par nature et, non nettoyé, dégage comme par hasard en peu de temps une odeur infecte.

Delaporte dit: à

« En tout cas, pas des lecteurs comme Delaporte »

Au contraire, je vais régulièrement dans les bibliothèques, même si j’ai la chance de vivre dans un appartement déjà tapissé de quantité de livres.

D. dit: à

Widergänger dit: 13 avril 2017 à 12 h 59 min

C’est ça, oui. Va te promener à Prague et ensuite t’iras faire du vélo.
Pendant ce temps-là Nadia range les rayons chez Auchan. Elle aurait bien voulu prendre son week-end avec ses enfants, mais elle a besoin de travailler Dimanche, dommage pour elle.

D. dit: à

Et après tu viendras nous vendre Attali qui a trahi Mitterrand, et Macron l’uberiseur pro-européen.
Bravo, elle est belle la France, applaudissons.

Delaporte dit: à

Wgg, vous passez votre temps en vacances, et vous avez le culot de me critiquer parce que je parle du programme de Hamon sur le travail et les pauvres. En effet, cela ne vous concerne pas… Le malheur du monde n’est pas pour vous, vous vivez dans votre tour d’ivoire. Grand bien vous fasse !

D. dit: à

Bravo, Delaporte.

Widergänger dit: à

Dans ma tour d’ivoire sous prétexte que je prends des vacances normales de prof ? Mais c’est l’hôpital psychiatrique qu’il te faut, mon brave Delaporte, et en urgence…! T’es complètement marteau, mon pauvre ami. Complétment.

Widergänger dit: à

Et D. en a beaoin aussi… Comme si j’étais responsable de tout le malheur du monde ! Des malades bon pour HP !

Widergänger dit: à

Heureusement qu’il est là, Attali, pour protéger ta vie de kon avec ses préjugés de gros kon !

D. dit: à

Cela-dit, Delaporte, si vous comptez sur Hamon pour remettre de l’ordre dans tout ça, vous vous mettez le doigt dans l’oeil jusqu’au nerf optique, si vous me pardonnez l’expression.

Bob dit: à

JC 10 h 09 min «à la recherche d’un nouveau monde »
Plus exactement, il cherchait la voie la plus courte pour faire du fric

JAZZI dit: 13 avril 2017 à 10 h 13 min
‘gendre idéal ‘ ? flagorneur, pas contrariant : écoeurant et pitoyable…

Delaporte dit: 13 avril 2017 à 12 h 33 min
De moins en moins de livres, de plus en plus de gadgets électroniques dans les FNAC non ?

D. dit: 13 avril 2017 à 12 h 45 min
De plus en plus de machines à la place des caissiers dans les supermarchés ils n’ont quasiment plus de boulot

Bob dit: à

JAZZI dit: 13 avril 2017 à 10 h 06 min
Non, d’après des photos le montrant jeune

Widergänger dit: à

J’ai terminé de lire El punto ciego. Cest une théorie très claire et clairement limitée. C’est une mise au point utile et pertinente. Mais elle est de peu d’utilité pour se dépatouiller avec la complexité ambiguë des textes dont il parle. Comment Joseph K. peut-il être à la fois coupable et innocent ? C’est quand même une vraie question ! Y la teoria del punto ciego non es une respuesta !

Bob dit: à

WG « Il peut nous fooutre notre vie en l’air avec ses convictions de m… Comme Dit J. Attali,  »

le gendre idéal, lui, a de puissants appuis

D. dit: à

Mais bien sûr que les professeurs ont trop de vacances ! C’en est outrancièrement choquant ! Tout le monde le pense et trop peu le disent.
Je sais de quoi je parle, j’en ai plusieurs dans la famille. Le coup des copies, de la préparation des cours, ils essayent de me le faire tous les quatres matins entre deux arrêts-maladie de complaisance pour sauté d’humeur. La réalité ? 15 heures par semaines, des emplois du temps genre j’ai tout mes lundis parce que ça n’arrange que moi et que jai été pleurer chez le proviseur, partis à Rome, à Venise toutes les deux semaines en easy-jet reservés cinq mois à l’avance, débarquant dans des palaces en basse saison où ils pensent que tout leur est dû, trouvant anormal leurs 4000 euros mensuels. Je suis bien placé pour m’en rendre compte.

bouguereau dit: à

keupu dracul cheuteup

Delaporte dit: à

« Cela-dit, Delaporte, si vous comptez sur Hamon pour remettre de l’ordre »

Si insignifiant soit-il, Hamon a découvert le point central qui mine nos sociétés : le travail, et c’est pour ça que son programme est formidable. Lui seul, en abordant frontalement ce thème, a compris l’enjeu de notre crise actuelle.

bouguereau dit: à

Le sexe masculin ou féminin est laid par nature et, non nettoyé, dégage comme par hasard en peu de temps une odeur infecte

yavé n’est pas qu’un phumeur de havane dédé..mais le sesque est par essence une forme contesquetuelle aurait dit aristotote..hun peu comme la trancendance..seule elle est ridicule..elle n’existe tout bonnement pas

Widergänger dit: à

Faut consulter, mon petit D., t’es en plein délire.

bouguereau dit: à

Lui seul, en abordant frontalement ce thème

non bien sûr..et tu vas même jusqu’à travestir ses propos..en gros si dédé dit qu’t’es un agent des multinationales il manqurait des points de retraites

JAZZI dit: à

Et les vacances des élèves, scandaleux ou justifié, D. ?

bouguereau dit: à

sous prétexte que je prends des vacances normales de prof ?

t’es hun con qui vole et t’es soufifre..normal

JAZZI dit: à

« le point central qui mine nos sociétés : le travail »

Ils disent tous, Hamon y compris, que c’est le chômage ! Où tu as pêché ça, Delaporte ?

bouguereau dit: à

il manqurait des points de retraites

marquerait..voilà cqui faut promettre au lanceur d’alerte..haprés le soir hon les bourre de pizza spanghero..la morale srait sauve tu trouves pas dédé?

keupu dit: à

« t’es un con qui vole » écrit le pochtron débile… lui il vole pas il stagne dans ses détritussent

Delaporte dit: à

« Où tu as pêché ça, Delaporte ? »

Qui dit chômage dit grande question du travail. Sous le chômage endémique perce l’idéologie du travail qui s’impose à tous brutalement (comme un terrorisme véridique). Il faudrait changer ce mauvais réflexe, et c’est ce qu’a entrepris Hamon avec l’idée géniale, encore embryonnaire, de l’abolition légale du travail comme suite logique dans l’édifice social à construire enfin sur des bases saines et humaines.

bouguereau dit: à

Et les vacances des élèves, scandaleux ou justifié, D. ?

s’ils pouvaient tous haller a sitgesse faire des sringbèque plein de bière comme dracul les prix des chambes srait prohibitif..la bibine j’en parle pas

bouguereau dit: à

qu’a entrepris Hamon avec l’idée géniale, encore embryonnaire, de l’abolition légale du travail

citation requise

D. dit: à

Delaporte, le travail il en faut raisonnablement pour tout le monde. Je suis absolument contre, par principe de justice sociale, au « vous allez être payé à rien foutre avec l’argent gagné par ceux qui bossent ». C’est profondément choquant et c’est un très mauvais exemple pour la jeunesse, autant que celui consistant à exonérer de tout, et en plus ça se sait très vite en dehors de nos frontières, bien qu’elles n’existent plus.
Le travail, il faut le créer avec raison et aussi le partager. Donc travailler 30 heures pour un cadre, en mettant en binôme avec lui un jeune qui en fera 30 aussi, ça me paraîtrait une très bonne solution, plutôt que de payez 20 heures sup au cadre.
Ensuite, inciter le dit-cadre à partir en pré-retraite, en combinant son épargne propre et une aide d’État, financée en parti sur le deltà de sa maire entre cadre senior partant et jeune cadre embauché.
Et pour tout vous dire je trouve ahurissant qu’aucun des 11 candidats n’ait proposé des mesures concrètes de ce genre. On préfère apparemment être dans l’excés dogmatique dans un sens comme dans l’autre sur un tel sujet ou alors se croiser les bras.
Ahurissant. Et les frontières doivent bien entendu être controlées.

bouguereau dit: à

springuebrêque..keupu lui tute à la maison

Delaporte dit: à

Qui abolit le travail abolit du même coup le chômage, qui est la partie visible de l’iceberg contre lequel viendra buter notre Titanic en perdition.

JAZZI dit: à

« Qui abolit le travail abolit du même coup le chômage »

Génial, fallait y penser !
Et pour tuer la grippe, faut-il tuer le patient ?

Delaporte dit: à

« Et pour tuer la grippe, faut-il tuer le patient ? »

Là, c’est le virus qu’il faut tuer.

D. dit: à

Delaporte, le travail il en faut raisonnablement pour tout le monde. Je suis absolument contre, par principe de justice sociale, au « vous allez être payé à rien f.outre avec l’argent gagné par ceux qui bossent ». C’est profondément choquant et c’est un très mauvais exemple pour la jeunesse, autant que celui consistant à exonérer de tout, et en plus ça se sait très vite en dehors de nos frontières, bien qu’elles n’existent plus.
Le travail, il faut le créer avec raison et aussi le partager. Donc travailler 30 heures pour un cadre, en mettant en binôme avec lui un jeune qui en fera 30 aussi, ça me paraîtrait une très bonne solution, plutôt que de payer 20 heures sup au cadre.
Ensuite, inciter le cadre senior à partir en pré-retraite, en combinant son épargne propre et une aide d’État, financée en partie sur le delta de salaire existant entre cadre senior partant et jeune cadre embauché.
Et pour tout vous dire je trouve ahurissant qu’aucun des 11 candidats n’ait proposé des mesures concrètes de ce genre. On préfère apparemment être dans l’excés dogmatique dans un sens comme dans l’autre ou alors se croiser les bras.
Ahurissant. Et les frontières doivent bien entendu être controlées.

D. dit: à

Un centenaire, résidant avec son épouse également centenaire en maison de retraite à Gennevilliers dans les Hauts-de-Seine, a créé l’émoi hier. Signalé « disparu » pendant plusieurs heures, il a finalement été retrouvé par la police « paisiblement endormi » dans le lit d’une autre résidente.

Euh…JC…on va vous supprimer Internet si vous continuez comme ça !

D. dit: à

Jazzi, il faut en finir abec les vacances demesurées données aux élèves. Déjà souvenons-nous des origines : congé estival accordé pour l’aide aux travaux agricoles, et ensuite les congés payés.
Je suis pour la supression de la première quinzaine de juillet de vacances, qui serait remplacée par des voyages cultutels encadrés par des professeurs (sauf élèves et professeurs concernés par le bac, bien entendu) ou bien par des sorties quotidiennes (visites de sites, d’univetsités, d’entreprises, théâtre, parcs animaliers, monuments, musées…).
Les vacances d’été seraient donc du 14 juillet à fin août.
Ensuite, réduction à 5 jours des vacances de la Toussaint.
Ensuite, 15 jours pour les élèves à Noël, mais 1 semaine pour les professeurs, l’autre semaine étant consacrée au recyclage pédagogique.
Ensuite les années paires 1 semaine en février pour tout le monde et 15 jours à Pâques pour tout le monde, et l’inverse les années impaires.

D. dit: à

Les congés des professeurs passeraient ainsi de 4 mois à 2 mois 1/2.
Cela resterait 1 mois de plus que n’importe quel salarié à plein temps.

Delaporte dit: à

« Delaporte, le travail il en faut raisonnablement pour tout le monde. »

Justement, aujourd’hui n’a-t-on pas dépasser le seuil du raisonnable ? N’y a -t-il pas une sorte de folie qui s’est instaurée dans l’humanité à propos du travail ? Le travail est à la source de toutes les inégalités, de tous les manquements à la liberté. Les hommes qui travaillent passent à côté de leur vie et font croire à ceux qui chôment qu’ils sont malheureux. L’abolition du travail se place dans ce constat alarmant d’une humanité prise de déraison. A l’inverse, un certain nombre prônent la décroissance. C’est un mouvement qui connaît un grand succès, qui est sérieux et qui dit des choses vraies. Nous n’allons pas laisser le dernier mot à la folie de quelques-uns. Nous allons, grâce à des hommes politiques comme Hamon, nous engager dans l’arrêt de cette sujétion millénaire, et abolir légalement le travail.

Pat V dit: à

On doit SAUVER les poètes… malgré eux !jc

Publication poétique obligatoire pour tous.
Futurs intermittents du spectacle à vie!
Poème aux ficelles, poèmes officiels!

Sergio dit: à

C’est-à-dire que normalement, j’ai eu à plusieurs reprises des professeurs d’allemand qui filaient un mois l’été là-bas pour se perfectionner dans le perfectionnement ; mais aussi c’étaient des gars passionnés (lycée ou après).

Y a qu’en russe… On avait encore pas mal de Russes blancs ! (professeur ou assistant). Là au rideau ahizeurneur ça aurait voulu barder…

– Il veut le dérouiller tout de suite !

(dans Ferdine)

Bob dit: à

ça le reprend ! delaporte fait son délire , et de plus en plus grave – il devrait arrêter les news s’il veut pas se retrouver aux urgences! qu’il s’en tienne aux images papier glacé de la « mémère » comme dirait JC

D. dit: à

Delaporte, le travail consiste en l’accomplisèment d’une tâche.
– Pour soi-même et ses proches (travail ménager, jardinage, bricolage, voire chasse, pêche, cueillette…)
– Pour d’autres, et alors il y a rémunération en argent ou nature, selon un contrat passé.

Chacun est libre, en fonction de ses convictions et souhaits, d’essayer de travailler ou pas.

Il ne vous aura pas echappé, j’espère, que le travail de A ne peut servir à remunérer B qui a choisi de ne pas travailler. Sinon A se fâche.
Sauf des cas particuliers propres à nos sociétés « évoluées » : les personnes présentant une inaptitude non choisie : handicapés, malades.

Delaporte dit: à

Bob dit: 13 avril 2017 à 15 h 15 min
Au lieu de me critiquer sottement, vous devriez me remercier de vous ouvrir l’esprit. Vous en avez bien besoin !

Bob dit: à

Delaporte
vous vous moquez

Sergio dit: à

D. dit: 13 avril 2017 à 14 h 44 min
Cela resterait 1 mois de plus que n’importe quel salarié à plein temps.

Mon père (et tout le monde à l’époque) avait un mois pas une nanoseconde de plus ; les grands-parents piquaient quinze jours, restait plus que quinze… Ca faisait pas des masses ! Ca faisait quinze, quoi…

Bob dit: à

Delaporte
certes marrantes, vos insistantes lumières philosophico-economico-socio- etc etc

Bob dit: à

delaporte pour résumer: on n’y connaît rien en décroissance et (ou) mais la décroissance n’est apparemment pas un projet au programme du candidat que vous mentionnez

Delaporte dit: à

Bob, vous connaissez mal le programme de Hamon, qui a en particulier déclaré, dans des interviews, qu’il se méfiait très fortement de la croissance. Voici par ailleurs ce qu’il dit sur l’état du travail dans notre société (interview à Politis) :

« Cela prendra du temps pour que nous comprenions que l’effort – une idée très ancrée, qui tient en partie à nos racines chrétiennes – n’a pas forcément à être au centre de la vie. Mais je crois que, dans un pays où il y a 20 % de surmenés et 10 % de chômeurs, il faut impérativement reconsidérer notre rapport au travail. C’est pour cela que la première chose que je ferai si je suis élu, c’est d’accorder le revenu universel aux 18-25 ans quelles que soient leurs ressources, afin de commencer à modifier le rapport au travail de cette génération. »

« Modifier le rapport au travail » : réforme capitale et révolutionnaire !

Sergio dit: à

« M. Hitler » est diabolique et qu’on ne dîne pas avec lui fût-ce avec une longue cuillère.

Il arrivait que Hindenbourg l’invite en Prusse dans ses terres. Seulement pour les menus, un végétarien c’est pas l’euphorie ; alors il lui faisait monter d’énormes quantités d’un fromage qu’on y fabriquait…

Et oncle Wolf ouvrait un large bec !

Sergio dit: à

Non mais si on veut lancer nos fusées autrement qu’à la main comme les Shadoks, la croissance il en faut on va pas les construire en bois et toile…

D. dit: à

Avoir lié l’effort aux racines chrétiennes est une imbécilité tout à fait hamonesque.
Les indiens, les chinois, les japonais, et beaucoup de maghrébins qui ont là chance d’avoir un travail bossent comme des dingues toute la journée et apprécieront.
C’est sur des « détails » comme ça qu’on se rend compte que contre toute attente Hamon est plus dangereux que Mélenchon. Parce que Mélenchon, lui, au moins, veut voir les gens au boulot.

Bob dit: à

Delaporte
il ne parle pas d’abolir le travail

Sergio dit: à

Toutes manières le travail i va s’habolir tout seul par la technique ; il a déjà commencé depuis un bon paquet de décennies.

La vraie question, c’est de voir si, quand même, on peut ménager à tous les habitants de la planète que l’économie n’emploiera plus une contribution à la vie collective.

Ou halor tout le monde devient artiste mais, justement, si c »était vrai on en aurait déjà eu l’amorce…

Sergio dit: à

si c’était vrai, Trommelfeuer !

Delaporte dit: à

« Toutes manières le travail i va s’habolir tout seul »

Très juste. C’est un long processus qui a déjà commencé, et dont peu d’hommes politiques sont conscients. Le travail est une idée morte.

Widergänger dit: à

C’est drôle, mes petits chéris, je viens de découvrir que mon article sur André du Bouchet a été plagié par un thésard en Sorbonne qui faisait une thèse sur la voix chez André du Bouchet sous la direction de Michel Collot. Des passages entiers de mon article paru jadis dans la revue L’Ire des vents ont été plagiés. Va-t-il falloir que je porte plainte ? On a même mis en regrad la thèse et mon article. C’est la rançon de la gloire, mes pauvres chéris…!

Widergänger dit: à

Faut dire que cet article était tout simplement génial…! Si si ! Et c’est vrai en plus qu’il est génial; et il n’a pas pris une ride equi plus est. C’était une synthèse d’un travail universitaire pour mon mémoire de maîtrise. Il faut dire que j’avais eu mention très bien avec les félicitation de Claude Abastatdo, mon patron de l’époque.

Aujourd’hui, j’écoute L’Amour Sorcier, de Manuel de Falla, et je suis complètement bouleversé.

Phil dit: à

« Le dernier livre d’Hervé Le Bras est une ode aux migrations qui prouve paradoxalement que «l’invasion» n’est pas un fantasme de peuples apeurés mais une réalité statistique. »

Zemmour, qui lit aussi le prestigieux blog à passou, dans Le Figaro d’aujourd’hui.

Widergänger dit: à

Et que dit-il, Phil, on ne peut pas le lire sans être abonné.

Widergänger dit: à

On a dû lui dire qu’il y avait un type petit fils de déportés qui soutenait son idée sur la déportation des Juifs en France.

Bob dit: à

Delaporte dit: 13 avril 2017 à 17 h 20 min
« Le travail est une idée morte. »

évoluer n’est pas mourir

Delaporte dit: à

J’ai lu aussi cet article de Zemmour, mais pour se faire vraiment une idée il faudrait avoir le livre sous les yeux. Zemmour reste ambigu, contradictoire. Bref, on ne reconnaît pas du tout Le Bras sous sa plume obscure. C’est peut-être ce qui fait le charme de ces chroniques que Zemmour pond semaine après semaine dans son Figaro…

christiane dit: à

@rose dit: 13 avril 2017 à 9 h 22 min
Je voudrais ralentir le temps ! fusains, sanguine, encres crayons, aquarelle… Plénitude…

Nicolas dit: à

Un peu de stat ? Je suis francais de souche, plus que Zemmour, et vous ?

Widergänger dit: à

Ce n’est pas parce que des étrangers viennent s’installer chez nous qu’il y a automatiquement un phénomène de remplacement, enfin ! C’est une idée stupide. Elle traduit une angoisse mais pas une réalité. En réalité, comme je l’indiquais l’autre jour, c’est le phénomène d’assimilation qui s’exprime d’une manière violente parfois pour les étrangers avec une croissance des cas plus ou moins grave de folie dépressive, de désorganisation mentale causée par le choc de la tradition et de la modernité qui pour ces gens peut être ressenti de manière inouïe. Une violence littérature folle. Nous n’en avons pas conscience nous qui vivons dans la modernité depuis toujours en quelque sorte. Ce n’est pas pour autant qu’il n’y a pas une montée en puissance des problèmes d’assimilation. Mais pas au point de produire un vaste phénomène de remplacement. Certainement pas. L’Occident travers une crise profonde, tout le monde s’accorde sur ce point. Mais il ne sera pas remplacé. Il nous incombe de nous remplacer nous-mêmes, de mettre au monde des enfants qui nous remplaceront et de les éduquer le mieux possible. Et éduquer un petit bonhomme, c’est une tache immense qui réclame tous les dons les plus précieux de la terre. Et l’immense amour sans quoi rien n’est possible.

Widergänger dit: à

… une violence littéralement folle…

Widergänger dit: à

De toute façon, on est tous des immigrés, plus ou moins anciens, plus ou moins récents. Moi, je suis Européen d’origine essentiellement française, périgourdine, charentaise, parisienne, mais aussi espagnole, polonaise, russe, hollandaise, et lointainement judéenne. Tout ça, oui… Baroz, lui, il est italien d’origine, et tout ça, ça fait d’excellents Français !

JAZZI dit: à

La dernière génération remplace la précédente : le grand remplacement commence dans chaque famille. Après ça s’élargit, et, au bout du compte, tout cela donnera toujours de bons Français…

JAZZI dit: à

Italien par mon père, mais Provençal par ma mère, WGG.

closer dit: à

 » plutôt que de payer 20 heures sup au cadre. »

On ne paye pas d’heures sup aux cadres mon bon D.

Le cadre est censé travailler 7 jours par semaine toute l’année grâce aux e-mails et aux portables.

Tu rêves.

JAZZI dit: à

Mon Grand-Père s’appelait Prosper Dalmas et sa femme Joséphine Paul. Ma mère, épousant un italien, né en France, c’était comme épouser un maghrébin aujourd’hui, plutôt mal vu. Mais mon père avait mis son plus beau costume le jour où il est allé demander la main de ma mère et il était bel homme, presque un gendre idéal !

closer dit: à

« Qui dit chômage dit grande question du travail. Sous le chômage endémique perce l’idéologie du travail qui s’impose à tous brutalement  »

…Et diverses autres inepties de Delaporte.

Cher Delaporte, il faudra d’abord expliquer à tous les électeurs que si l’on supprime ou même simplement réduit le travail, il faudra aussi réduire à due concurrence la consommation…Adieu restau, fringues, sport d’hiver, bagnoles, i-phones, plages, appart’ confortables, spectacles, etc…

C’est tout simple, celui qui n’a rien à offrir en échange ne peut rien acheter.

Comme disait notre excellent Jean-Baptiste Say: « les produits s’échangent contre les produits ».

JAZZI dit: à

Dans l’antique cité de l’arrière-pays niçois, où se sont succédées, depuis l’origine, les générations de ma famille maternelle, ils étaient tous plus ou moins consanguins. Il fallait bien régénérer la race, ma mère n’y a pas manqué…

closer dit: à

« c’était comme épouser un maghrébin aujourd’hui »

Non, absolument pas Jibé. Le « caté » (catéchisme), le « patro » (patronage) et la « laïque » t’intégraient tous ces braves gens en une génération.

JAZZI dit: à

Alba, plagié, c’est Chaloux qui va en perdre son latin !

JAZZI dit: à

A.lba, plagié, c’est Chaloux qui va en perdre son latin !

Bloom dit: à

‘Elle est si bruyante cette ville. Et elle pue un peu. Ça doit être le canal.’
‘Ce n’est pas le canal qui pue (…). C’est l’époque. Une époque pourrie, voilà ce qu’on vit. Pourrie, corrompue, dégénérée.’
– Robert Seethaler

JAZZI dit: à

Je vis avec un franco-tunisien et je ne porte pas le voile, closer !

Phil dit: à

trop de vapeur, baroz

Widergänger dit: à

Oui, Jazzi, ça va lui flanquer une migraine du diable…!

Widergänger dit: à

Oui, c’est vrai qu’elle pue cette époque. Drôle d’époque. D’un autre côté on a une chance inouïe de vivre cette grande époque de bouleversements mondiaux sans précédents. Personnellement je crois que les forces de l’amour finiront par l’emporter. Mais le combat est rude. C’est comme le combat de Jacob avec l’Ange pour devenir Israël, pour que le messie nous inonde enfin de lumière… Pourvu que cette lumière ne soit pas celle d’une bombe atomique, c’est tout ce qu’il faut souhaiter. Mais je suis sûr que nos prières aux uns et aux autres, quelle que soit la forme qu’elles prennent finiront par imposer la paix dans le monde. C’est la double causalité de la mécanique quantique qui le prédit, mes petits chéris… Il faut y croire à la mécanique quantique ! Il faut que je lise un jour prochain aussi les lettres que se sont échangés à ce propos KG Jung et le grand physicien Wolfgang Pauli sur la synchronicité. C’est un sujet épineux et dangereux parce qu’il est la face lumineuse dont le revers est la psychose. Donc à manier avec des pincettes. Mais c’est de là que viendra la lumière du monde, la réconciliation de l’humanité avec Dieu. On est fa^ché depuis trop longtemps avec lui. Il est grand temps de revenir vers Lui qui nous aime. J’en ai eu encore une preuve cette après-midi même ici à Sitges où il s’est manifesté à moi. Je ne peux pas raconter, vous me prendriez pour un dingue encore…

Phil dit: à

tout est possible, dear Widergänger, c’était sur la plage textile ?

Widergänger dit: à

Non, Jazzi a raison, les Italiens étaient vus comme des pestiférés à l’époque. Lino Ventura, notre grand Lino s’en est ouvert plus d’une fois à la téloche. Quand on pense à notre perception des Italiens aujourd’hui, on a du mal à réaliser cette hostilité d’autrefois.

C’est comme en 1848, les révolutionnaires criaient « À bas les Savoyards qui viennent nous prendre le pain de la bouche. » Il faut relativiser aussi la perception d’aujourd’hui des étrangers. La grande machinerie sociale à assimiler l’autre fonctionne en dépit de toutes les mauvaises nouvelles du contraire. De toute façon, c’est la modernité qui triomphera, ça c’est certain. Mais avec plus ou moins de dégâts latéraux…

Widergänger dit: à

Non c’était dans ma chambre. Le poste de télé s’est allumé tout seul en réponse à une question vitale que je lui avait posée. Et ça voulait dire OUI.

Widergänger dit: à

Et il se trouve que c’est effectivement OUI. Quelque chose qui va changer complètement ma vie.

Widergänger dit: à

Un grand bonheur, une vraie renaissance. L’Ange de ma grand-mère veille sur moi apparemment.

Widergänger dit: à

Non, je ne suis pas fou…!

Widergänger dit: à

Il y a un chiffre qui me poursuit depuis des années. Et ce chiffre a encore manifesté sa puissance. Je vais finir par vraiment croire à la Kabbale. D’ailleurs demain, je vais à Girona rendre visite aux kabbalistes dont les noms illustres figurent sur une liste d’or. Je vais faire une petite prière pour eux là-bas à la synagogue.

Phil dit: à

oui ritals et polacs n’ont pas eu la vie facile en France mais tout ce beau monde allait se réconcilier en choeur à la messe, dear Widergänger. laissons la suite aux renaud camus.

Phil dit: à

Baroz voudrait connaitre la marque de votre téléviseur à Sitges, Widergänger

Widergänger dit: à

Eh bien Phil, vous direz à Baroz que c’est un Samsung… Les meilleurs… En liaison directe avec le Très-Haut…!

Phil dit: à

vous crois volontiers dear Widergänger, le patron de Samsung accusé de corruption est en phase d’harakiri, risque bien d’aller causer au Très-Haut sans télécommande.

Chaloux dit: à

JAZZI dit: 13 avril 2017 à 19 h 23 min
A.lba, plagié, c’est Chaloux qui va en perdre son latin !

Pas tant que tu crois, Jacquot. L’article de Blabla était certainement un copier-coller.

Et comment perdre mon latin tant que Blabla croira à un miracle à chaque fois qu’il s’assoit sur une télécommande.

la vie dans les bois dit: à

Indeed, Phil. À ceci pres que des Italiens ont connu le premier pogrom français. Une histoire qui commence banalement à Aigues-Mortes, par un maillot plein de sel trempé dans un baquet d’eau potable…
https://criminocorpus.revues.org/2622

C’est du réchauffé cette histoire tweetee de plagiat à l’akademie, nan ?

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 13 avril 2017 à 20 h 10 min
« Il y a un chiffre qui me poursuit depuis des années. »

Probablement le zéro.

Widergänger dit: à

Il l’a bien attrapée, sa migraine, Baroz…

Chaloux dit: à

Jacquot, quand on voit le niveau de l’unique article accessible de Blabla, -dans lequel il dénonce deux collègues qui construisent une voiture-, on a quand même un doute sur le fait qu’une universitaire, même inconsciente, soit assez siphonnée pour le plagier.

On apprendra demain que Blabla s’est offert une robe à volants et une paire de castagnettes pour chanter Carmen sur sa terrasse.

et alii dit: à

wgg
pourquoi ne pas dire ce nombre , même si ce n’est pas 613; avez-vous lu aie mes aieux ?

rose dit: à

>christiane

L’art de créer.
Vous savez échapper aux conflits. De ce fait vous respirez calme et sérénité.

rose dit: à

>Widergänger
Ai lu sur le plagiat.
Tout dont votre travail.
À ce jour cette personne travaille’t’elle toujours à l’université ? Cela semble inouï.

Widergänger dit: à

« Videmus nunc per speculum et in aenigmate. »
(I, Corinthiens, 13, 12)

(Aujourd’hui, nous voyons au moyen d’un miroir, de manière obscure)

speculum (miroir), spéculation (idée), spéculer (argent), etc.

Le Miroir, de Tarkovsky, Зеркало en russe. Une œuvre d’une beauté envoutante, dont on ne se lasse pas. Pour moi, c’est le plus grand film de Tarkovsky, le plus bouleversant, le plus brûlant, le plus fascinant, le plus renversant, le plus émouvant, le plus intimiste, le plus poétique avec les poèmes de son père dit par son père, le plus terrible, le plus géniale par le montage, le plus secret qui contient ce fameux « punto ciego » que Henry James appelait autrement  » l’image dans le tapis » sans doute. Avec ce film, Dieu nous traverse assurément.

Widergänger dit: à

Non, il s’est fait virer de l’université et interdit d’y enseigner. C’est bien triste pour lui. Mon mémoire de maîtrise, j’y avait pensé pendant un an sans rien écrire, suivant les cours du séminaire bien sagement. Et puis je l’ai écrit très vite pendant les vacances d’été en juillet et août pour le présenter en septembre. Je crois que ça reflète bien ma façon assez habituelle de travailler, je m’y prends au dernier moment non sans y avoir pensé avant. J’ai essayé de travailler autrement, je n’y arrive pas. Parfois ça me réussit bien. C’est comme le tir à l’arc dans le bouddhisme zen… Il faut penser longtemps à la flèche avant de l’envoyer dans le mile.

rose dit: à

C’est une femme qui vous a plagié. Pourtant Joëlle Gardes Tamine du jury semble intègre. Elle est spécialiste de Saint John Perse.
Je comprends l’histoire de la concentration et de réfléchir longtemps avant.

Quand même la manière de plagier était sidérante. Et la dédicace à son directeur de thèse aussi.

Est ce que c’est une déstructuration complète de sa personnalité de s’imaginer en dehors des textes et des lois ?

Widergänger dit: à

Mais la problématique de la Voix est quelque chose d’important. Pas seulement chez André du Bouchet. Dans le roman de Conrad, Heart of Darkness, c’est fondamental aussi. Et dans sa réécriture chez G. Steiner, dans The Portage to sans Cristobal, où la voix de Hitler fait l’objet d’une très profonde spéculation philosophique dont je me très proche. Le roman de Conrad apparaît à cet égard très prémonitoire de tout le XXè siècle. C’est même assez sidérant quand on y pense. Mais il avait déjà tout compris, Conrad. Et que ce soit précisément un Polonais d’origine qui l’ait compris rajoute à la Voie impénétrable de Dieu qui à travers ce roman, en quelque sorte, nous avertissait. Mais nous étions étions trop aveugles pour le lire alors, et le comprendre. Mais assurément c’était un signe envoyé par Dieu, en 1902. La Voix des « hommes creux » qui peuplent aujourd’hui notre monde médiatique. Nous sommes en grand danger assurément. Seule la littérature peut nous sauver. Et la mécanique quantique…!

Widergänger dit: à

Elle s’est déjà assez punie elle-même de toute façon. On ne va pas en rajouter une couche, la pauvre. Je la plains. C’est une triste histoire.

Widergänger dit: à

D’ailleurs Kurtz, le nom du protagoniste, est un nom allemand, « court » en allemand. Un homme « creux » et « court ». Conrad avait compris le processus de destruction du langage à l’œuvre dans le monde occidental. C’est ça le sens le plus profond de son roman. C’est ce fond de destruction du langage, selon Steiner, qui a rendu Hitler possible. Analyse à mon avis tout à fait remarquable de Georges Steiner, que j’approuve. Mais c’est aussi ce qui a rendu la Voix d’André du Bouchet possible, un Juif d’origine russe. Ambiguité de l’histoire, dirait Javier Cercas. Ambivalence des signes. Il n’a pas tort avec son « punto ciego ».

D. dit: à

Qu’est-ce que c’est que ces salades, encore ?
La destruction du langage qui a rendu Hitler possible…ça n’a ni queue ni tête.

Bloom dit: à

Ce soir, à l’Abbey Theatre, haut lieu de la renaissance irlandaise où l’on croise les fantômes bienveillants de Yeats, Synge & d’O’Casey, The Train, comédie musicale iconoclaste basé sur le voyage que fit en 1971 un groupe de féministes de Dublin à Belfast pour y acheter des capotes, des pilules, des stérilets, du gel spermicide et les rapporter dans la très catholique République d’Irlande. Hilarant, provocateur, plein d’esprit, magnifiquement interprété et superbement. Bref, irlandais.
Soirée joliment conclue par une des meilleures pintes de Guinness de la ‘Fair city’, chez McDaid’s (un des lieux de Ulysses, où l’on boit sous les portraits de Joyce, de Bendan Behan, de Patrick Kavanagh…).
Comme dit mon collègue en poste depuis 5 ans à Dublin, l’Irlande, c’est le pays du talent et de l’intelligence au quotidien.
On croise de plus en plus d’Asiatiques établis en Irlande aussi, ce qui contient la promesse d’un renouvellement du pool génétique de ce peuple déjà très avantagé. Le renouvellement est encouragé par les gouvernements successifs – Brian McMahon, le juge qui prononce les naturalisations à Dublin n’est autre que l’actuel président de l’Abbey Theatre).

Bloom dit: à

superbement chanté.

christiane dit: à

@rose dit: 13 avril 2017 à 23 h 05 min
C’est plutôt que la main dessinant, on laisse remonter toutes nos émotions, nos interrogations. C’est loin du langage et c’est une langue qui prend ses signes dans les lumières et les ombres, dans le regard. De nombreuses séances de modèles vivants (comme on dit) où dessinant muscles, corps, attitudes on retrouve d’autres corps, d’autres silhouettes squattant notre mémoire. Hier, un d’entre eux m’évoquait la longue marche des migrants et une femme, cette paix, cette sérénité que vous évoquez. De plus, il se tisse des liens dans le groupe. Nous croisons les regards sur les travaux des uns et des autres, sur nos vies. A l’extérieur de l’atelier je regarde les gens plus intensément. W. a écrit cela, un jour, « le mystère de chacun »…
Un candidat, c’est un homme aussi qui a fait route… et l’électeur, un homme face à lui, qui a fait route aussi.
Toujours heureuse de vous lire.

rose dit: à

>christiane

Un lycéen me parlait d’un texte étudié pour le bac de français L’Atelier sans se souvenir du nom de l’auteur 🙂
Quel beau nom que celui de ce mot qui souligne le lieu de travaux multiples en voie d’achèvement…

Sur ce que vous dites entre les mains et la tête, je le vis dans mon jardin et pourtant, je suis toute à ce que je fais. Vous respirez c’était à vous totalement attribué. Comme si paix et sérénité suintaient des pores de votre peau.

Je n’en suis pas là, mais j’y arriverai.
Bon vendredi donc.

rose dit: à

Cet été, ai croisé un irlandais Christopber. Rouge comme un homard pck trop de plage surensoleillée pour sa peau blamche et diaphane.
Amoureux d’une estadis unidos, chicagodienne, émigrée en Californie pour l’idéal du mythe.
Lorsqu’ils sont partis, tous deux, explorer le canyon d’une vallée, de plusieurs en fait, sa vue m’a abalobée.
De fines rondes cerclées de fer.
Une casquette grise et plate.
Un sac à dos, beau, de moins de 5 kilos.
Quant à la tenue et au poids du sac, il me battait haut et fort.
Pour le reste, il était plutôt silencieux, mais souriant ; elle volubile et ayant appris si bien l’espagnol qu’elle semblait espagnole. Une fille en or avec cet irlandais qui avait une classe d’enfer.

L’Irlande, je la lierai à l’Écosse lorsque j’irai en ses châteaux et abbatiales.

rose dit: à

Christopher

De fines lunettes rondes

rose dit: à

chicagoane ou chicagolaise au choix

rose dit: à

J’ai cessé de plaindre. Surtout lorsque l’on creuse sa tombe avec ses dents.
Quand on arrive au doctorat, derière soi on a un paquet d’études.
Plagier à ce niveau là c’est de l’escroquerie.
Et de la part du prof de Paris 4 versus la prof française de Berlin c’est de la pure arrogance.
Ce serait correct qu’il soit destitué lui aussi.
Et puis, par rapport à la plainte, dand quelle mesure au fond, les gens ne sont pas satisfaits de leur sort ?

rose dit: à

Ai cherché, n’ai pas trouvé. Cyprien vient de Chypre.
Y a -t’ il un lien avec le cyprès ?

Il a fini décapité après le martyre avec son frère Savin. Où on leur a raclé la peau avec des fourchettes. Et planté un couteau dans les bras.

rose dit: à

Lorsque j’écris vous suintez, christiane, il n’y a pas de connotation péjorative.
J’avais en mémoire une vierge en bois rencontrée dans une abbaye qui suintait à telle période une larme de sang.
C’ était la conjonction entre deux facteurs climatiques qui faisait le bois pleurer. Et par métonymie, la Vierge.
Nous sommes vendredi Saint.

Nicolas dit: à

« A l’approche du premier tour de l’élection présidentielle de 2017, Jean-Luc Mélenchon devient la personnalité politique la plus appréciée des Français. »
http://www.ifop.com/?option=com_publication_list
On est dans la groche chmerde.

renato dit: à

Du cognomen romain Cyprianus d’origine ethnique — de Cypre — ; mais aussi de cypride appellation d’Aphrodite (venerée par les Cypriotes).

renato dit: à

Ah, une virgule !

cypride, appellation d’Aphrodite

renato dit: à

Pour cyprès voyez le mythe de Cyparisse — Ovide, Métamorphoses.

Bloom dit: à

Aujourd’hui Carlingford Lough & les Mourne Mountains avant de retrouver Belfast, ses montagnes (qui donnèrent à Swift l’idée du géant allongé) et les amis de plus de trente ans.
In this here place the craic is mighty and the sky’s the limit.

Phil dit: à

the craic is mighty, what does it mean,dear Bloom?

D. dit: à

Rose, sachez qu’un mage est capable de déplacer la matière d’un endroit à un autre et de la créer.
A fortiori les archanges, bons ou mauvais, le sont aussi, ainsi que les légions qui leur sont subordonnées lorsque ce pouvoir leur a été donné.
Ne cherchez pas des explications alambiquées à la « Science & vie » là où il y en a de beaucoup plus évidentes.

bouguereau dit: à

On est dans la groche chmerde

l’amour sauvra le monde

Bob dit: à

Nicolas dit: 14 avril 2017 à 8 h 36 min
le goulag puissance mille

bouguereau dit: à

C’est ce fond de destruction du langage, selon Steiner, qui a rendu Hitler possible

« je suis allemand. Les [nazis] ne le sont pas. Je dois m’y tenir […] le sionisme serait de ma part une comédie que le baptême n’a pas été »

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