Pas de côté
Il doit sa réussite à sa capacité à amuser et à faire le show, sa réussite médiatique est la clef de son succès, sa rhétorique est celle d’un télé-évangéliste, on ne compte plus ses outrances et ses approximations, il n’a de cesse de faire appel au bons sens de ses auditeurs, son charisme de tribun est indéniable, il a ce quelque chose de tapageur auquel on se plaît à s’identifier, il n’y a pas meilleur vendeur, son culte de la personnalité n’effraie même plus, il fait de l’audience, il faudrait être aveugle pour ne pas déceler dans ses discours les recettes éprouvées du populisme avec tout ce que cela suppose de démagogie, on le voit pérorer aux tribunes ivre de son succès et ça plait, il adopte l’allure vestimentaire d’un homme du peuple, sa dénonciation permanente du système est si habile qu’il réussit même à faire oublier qu’il est un salarié de la politique depuis des années, nul ne sait comme lui être l’acteur de sa propre légende, les organisations internationales reçoivent ses flèches les plus acérées, on n’en revient pas qu’un peuple dans sa maturité politique puisse abdiquer toute intelligence critique pour se laisser conquérir par un tel personnage, bref,
« c’était l’un de ces imposteurs magnifiques capables de s’engloutir eux-mêmes dans leur propre sincérité »
Vous l’aviez deviné, il s’agit de… mais non, pas lui… ni lui… ni elle… qu’alliez-vous imaginer, faut-il avoir l’esprit tordu et vissé à l’actualité. Mais non, c’est de Lonesome Rhodes qu’il s’agit, un animateur de radio dans le Wyoming passé du divertissement à la politique, ce qui, désormais, revient à rester dans le même univers puisque les mêmes ressorts y sont actionnés pour conquérir le public.
Avec une manière très américaine de prendre le lecteur à témoin en l’embarquant dans la narration, le scénariste et romancier américain Budd Shulberg a raconté son ascension dans Un Homme dans la foule (Your Arkansas Traveler, traduit de l’anglais par Christophe Mercier, 92 pages, 9 euros, éditions des Equateurs) en 1953. Quatre ans après, Elia Kazan a porté cette nouvelle à l’écran sous le titre A Face in the Crowd. Le livre vient d’être réédité opportunément ; les chaines de télévision qui jouent ce soir la contre-programmation (merci Arte pour La Porte du paradis du grand Cimino) auraient été bien inspirées de rediffuser le film. Car ces temps-ci en France, il n’est pas interdit de reconnaître cette personne dans la foule des prétendants. Tout ressemblance ne serait pas pure coïncidence.
Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, l’actualité de la librairie a fait tomber en même temps dans ma boite une autre réédition toute aussi salutaire, celle de La désobéissance civile (Civil Disobedience, traduit de l’anglais par Jacques Maillot, 38 pages, 3 euros, Gallmeister). Le fameux bréviaire de Henry David Thoreau inspira naguère des activistes aussi éminents que Gandhi, Martin Luther King ou Nelson Mandela. On y réapprend que la politique est l’affaire de tous et pas seulement celle des gouvernants, qu’il y a des lois injustes et à considérer comme telles en en tirant les conclusions, qu’on peut décider en son âme et conscience de dissoudre sa propre union avec l’Etat en refusant de payer un impôt. Ce qu’avait fait l’auteur, révolté tant par l’esclavagisme que par la guerre au Mexique.
C’était dans l’Amérique de 1846. On l’envoya en prison. Il n’y passa qu’une nuit mais elle fut féconde pour sa réflexion. Trois ans après, il publiait ce court essai qui n’a jamais perdu de son ardente actualité tant sont envisageables sous toutes les latitudes les cas où le citoyen ne veut plus faire allégeance à un Etat dans lequel il ne se reconnait plus tant il ne le reconnait pas. Juste se désister et prendre ses distances de manière très concrète. Une certaine manière de dire qu’on ne peut plus aimer son pays dès lors qu’il a cessé d’être aimable.
(Photo D.R.)
1 160 Réponses pour Pas de côté
leur.
Là où il fallait Charles MARTEL à Poitiers, nous aurons le jeune HANNIBAL à Capoue, nourrissant ses éléphants exténués aux délices de cette ville aux plaisirs mortels…
Le jour se lève, le ciel gris laisse présager un orage… sortons la tête du sac et courrons respirer un peu d’air frais.
leur éviter de s’enfoncer( sorry) … Salut à tous! A la saint glinglin, je m’absente lâchement de ces lieux qui dans les semaines à venirvont voir éclore nombre querelles palliatives.
C’est cela, rendez-vous à la Trinité, qui tombe un dimanche cette année. Un troisième tour où la hollandie défigurée va se reformer. Pour la Liberté menacée, c’est plutôt une bonne nouvelle. Celle de se refaire une santé.
J’ai hâte de voir la tête de Manu à la fête des pères. Qui tombe cette année, un 18 juin.
Ici, « Le jour se lève » aussi, et le ciel est immensément bleu.
Voilà que le le doc continue de prescrire des piqûres de rappel.
Contre le bcbg ?
J’ai téléphoné à Manuel Valls, on a parlé de Benoit Hamon, le Petit Ben. Manu, il était mort de rire : quel sadique … !
La politique est une activité cruelle où dès que tu as sorti ton éthique, il faut la remettre dans ta culotte…
Melenchon ou l’archi-pelle du goulag. On a echappe au laogai.
On a échappé au Laogai le camp de rééducation par le travail, mais on échappera pas à Gala, le camp de la distraction par la futilité : l’exception culturelle française s’habille « chic » ….
On est pas en Syrie, djellaba et babouches, merbe alors !
L’élection de Macron avec 24%, ça va être quoi? Une vicfaite ou une déctoire? On est repartis pour cinq ans de merdier. Quant à l’Attila en chaussons qui nous a concocté tout ça, on imagine ce qui restera de l’Europe au bout de son mandat, s’il accède à la présidence de la commission européenne.
Un air de déjà vu :
« En soi, rien de scandaleux, sauf que trois semaines plus tôt, à Charleville-Mézières, le même homme, à l’évidence sincère, a fait pleurer d’émotion un ouvrier dans un discours « à la France qui souffre ». Un sentiment de duperie a dominé alors, en même temps qu’un signe d’adhésion à des codes sociaux différents de ceux défendus durant des mois. Voici donc que, même pas élu, Macron, candidat du renouveau, y compris dans les pratiques, s’est rendu à La Rotonde, où l’y ont retrouvé nombre de convives, lesquels avaient reçu un SMS d’invitation signé « Brigitte et Emmanuel ». »
Bébé MACRON, à la Rotonde, fêtant sa première place avec ses bailleurs de fondement :
« Je vous aime farouchement, mes petits chéris !…. Vous, les marcheurs, les marcheuses ! …Vous, les riches bourgeois bling-bling germanopratins ! »
La droite la plus bête du monde, la gauche la plus éclatée d’Europe, l’extreme droite loser perpétuel. La voilà bien, la Vrounze éternelle!
23 avril 2017 à 23 h 38 min
Mais Jazzi elle n’a aucune fonction ! Imagine-t-on Tante Yvonne …
JAZZI « Il ne faudrait pas que l’élection « présidentielle ne tourne au référendum sur le Frexit »
C’est pourtant le cas non ?
Thoreau réapparaît ; il faudrait le lire vraiment, ou « tailler des crayons »…
Macron – LePen.
Le gamin fringant et la vieille enragée.
L’inexpérience du premier et le chaos de la seconde.
Entre la grippe bénigne et la peste mortelle, il faut choisir.
C’est Mélenchon, le vrai dindon de la farce – bonne campagne, adoubé par les médias, antisémite & numérique, donc tendance…
comme torquemada kabloom tu trouves cque t’apportes..l’mieux ça srait carrément d’dire que walter benjamin aurait voté macron..’et quil a pas pu c’est pour ça qu’il est mort’ aurait dit ton copin berthold..
On a échappé au Laogai le camp de rééducation par le travail
t’as trop dtruc a treprocher jicé..
La droite la plus bête du monde, la gauche la plus éclatée d’Europe, l’extreme droite loser perpétuel. La voilà bien, la Vrounze éternelle!
t’as vu ta gueule haussi..c’est un trope
. Qui tombe cette année, un 18 juin.
Si on élimine tous ceux qui ont des affaires en suspens il ne va plus rester beaucoup de Gaullistes purs pour satisfaire vote désir de vengeance ou de revanche. Je m’en vais, comme Jean.!
« Entre la grippe bénigne et la peste mortelle, il faut choisir. »
C’est tout choisi ! Que la peste mortelle règne enfin sur de vastes territoires, que les bubons explosent tout joyeux, et qu’elle t’emporte, toi aussi, raclure pestiférée d’OZYZY !
La Mélenche, petit pétard mouillé à grosse mèche radotante, a fait pschiiiiit ! Pic épique et hologramme…
Adieu, l’artiste !
OZYZY !
..pasqu’il a la grande vérole..celle de françois premier..y connait pus personne
En tous cas pour une fois que l’air de chien battu de Fillon lui sert vraiment à quelque chose.
Maintenant attention, n’oubliez pas qu’il mord, même ses maîtres.
pschiiiiit !
t’es véxé pasque t’as pas eu paméla au goulag malibou pour te fesser..
JC….. dit: 24 avril 2017 à 7 h 42 min
J’ai téléphoné à Manuel Valls, on a parlé de Benoit Hamon, le Petit Ben. Manu, il était mort de rire : quel sadique … !
–
Dumbo ? M’enfin, un éléphanteau à grandes oreilles ne vole pas. Tout au plus il plane un peu puis s’écrase.
la rage c’est moins classe que la vérole dédé..mais hon peut havoir les deux
la magnagna et ses « désirs’. Pauvre ‘bot.
Beaucoup trop vont maintenant marche à l’ombre. Et djavert va se faire mettre. C’est juste.
Par Brigitte ! La Bourse monte ! Strogneugneux !
les marchés bondissent, la finance est contente, les jeunes gens bien propres sur eux, aussi. le pauvre lonesome rhodes à passou va trinquer. tout ça rappelle la sortie du film « Le Magnifique » à bebel qui éclipsa une opérette de meilleur goût parue sur les écrans français le même jour.
Ah bah oui, je roule sport , depuis que j’ai mon permis. Ce qui me mettrait vraiment en joie, c’est qu’un François n’en cache pas un autre. On en saura plus tres vite. Reste branché, djavert, même si tu as mal au derrière.
Pamela Anderson me laissera de marbre, là où Gong Li me fera frétiller du petit bambou : l’érotisme c’est culturel.
quel plaisir immense de lire les frustations, récriminations et pleurnicheries des gens que je n’aime pas ici, c’est réconfortant
Tous les commentateurs voient Macron élu au second tour, y compris certains responsables du FN assommés par le score en deçà des espérances de Marine Le Pen. Mais si l’on additionne tous les votes « protestataires » et anti-système du premier tour, Marine Le Pen arrive en tête très largement. A mon avis, Macron va avoir du mal a faire barrage à la peste brune. Il est optimiste comme un cabri, et son score a même galvanisé la finance, mais rien n’est joué et le pire pourrait très bien se profiler. Et cela, les sondages ne nous le diront qu’imparfaitement.
La mélenche, la mélenche. Observez quand même qu’il n’est qu’à 5 point de Macron. C’est bien peu.
En fait si Macron s’était pris lui aussi une grosse peau de banane 2 semaines avant le premier tour, Mélechon passait. Avec des si…comme disait l’autre…j’ai bien compris.
Plus il y aura d’électeurs à aller voter, et plus Marine Le Pen a des chances d’être élue : entre deux « pires », l’électeur choisira le moins détestable. C’est vrai que Macron porte sur ses épaules le poids d’une réputation qui peut paraître à beaucoup rédhibitoire : celle d’un représentant des nouveaux bobos, comme Fillon était celui des anciens. Tout cela va crever comme la grenouille de La Fontaine…
….la peste brune….rien que ça…vous délirez, Delaporte. Être patriote c’est être nazi, chez vous ?
Dans ce GUIGNOL’S GANG délétère, le matamore gérontophile MACRON se prend, joyeux, rayonnant de suffisance, innocent sorti d’usine, infirme non diagnostiqué, … pour le marionnettiste.
Or, il n’est que la marionnette-vedette du spectacle ! Misère….
Macron est le candidat qui fait illusion, un prestidigitateur séduisant dont on va cependant bien vite voir les limites, face à Marine Le Pen et à sa force terroriste du terroir.
« vous délirez, Delaporte. Être patriote c’est être nazi, chez vous ? »
La droite extrême a toujours été, en France, le parti de l’étranger, comme sous Pétain avec les Allemands. Marine Le Pen donne très clairement prise à cette critique lucide. Elle trouve ses forces et ses piliers ailleurs, trahissant les Français honnêtes et patriotes.
Delaporte, Macron est moins le représentant des bobos que des banquiers. Les gens s’attachent trop aux apparences.
Pourquoi croyez-vous que Paris à pris 4 pour cent ? D’ailleurs c’est le moment de vendre, c’est un tuyau que je vous donne.
Ne délirez pas, dans vos chiottes crottées, Delaporte !
Animé comme un golem par Sainte Brigantine STROGNEUGNEUX, le diabolique MACRON est bien plus dangereux, cet islamophile connu, que la délicate Walkyrie Le PEN qui rendra à la Nation le lustre que lui a confisqué cette atroce sorcière Mondialisation qui nous pourrit nos Services Publics…
Votez, et faites voter, pour le Parti des Justes Croisés islamophobes : vive le Tronc National !
JLM a demandé a son hologramme s’il avait gagné qqs % supplementaires?
11h 30
Le pauvre homme. Il a perdu la raison. Sans doute une fléchette empoisonnée.
(et maintenant il va simplement nous couper la tête).
« Ne délirez pas, dans vos chiottes crottées, Delaporte ! »
Moi au moins, je suis honnête, par rapport à ceux qui s’ébrouent dans les eaux usées du pétainisme, trahissant la France et l’héritage gaulliste, qui fut notre dernière heure de gloire ! Tout ce que je demande, en effet, c’est des idées politiques qui soient à peu près propres. Et aujourd’hui, après ce scrutin abominable, c’est devenu rare !
Il y a un texte lumineux de Marc Bloch, où il fait le procès de l’extrême droite en France, depuis Louis XVI pendant la Révolution, en disant que cette extrême droite a toujours été vendue au parti de l’étranger. Aujourd’hui, avec Marine Le Pen, et les nostalgies pétainistes du FN, on pourrait reprendre cette accusation, qui montre de toute façon l’ordure profonde et anti-française de ce parti politique.
Excellent, Delaporte, vous appuyez ou ça fait mal. Continuez!
Il faut lire & relire le grand Marc Bloch, pas les torchons du présentisme.
Et l’ordure pétainiste s’enracine. Grâce à ceux qui voient la vie en rose.
Les lunettes pour voir la carte. Le president sortant , fuyant l’indignité qui lui était promise à l’issue d’un scrutin a bien découvert son « pays » en allant au ciné, voir un film belge, non ?
.
http://mobile.interieur.gouv.fr/Elections/Election-presidentielle-2017/Election-presidentielle-2017-resultats-globaux-du-premier-tour
Lire ça alors que le fédéralisme européen est déjà implicitement accepté par les socialo-« démocrates » (il faudrait que je mette 40 guillemets mais j’ai pas le temps), c’est pour le moins risible.
Et 60 autres guillemets pour « socialistes », bien entendu.
Maintenant je n’interviens plus.
Je suis sûr de la victoire de Marine, c’est l’essentiel. Il va y avoir des pleurs et des grincements de dents dans quinze jours, vous pouvez en être certains.
A Bucuresti, Romania, j’ai des intérêts dans une petite entreprise de montreur d’ours : le plus beau, un anneau dans le nez, se nomme …. Delaporte !
L’ordidouille de JC est aussi une ordure pétaniste
la magnagna et ses « désirs’. Pauvre ‘bot.
Ne vous vengez pas de votre acolyte Bloom qui pas plus tard qu’hier, dans l’euphorie de la victoire du camp qu’il défend vous a traitée plus bas que terre, je n’y suis pour rien ; vous devriez régler vos différends en privé, quant à moi je vis dans un tel dénuement affectif que mes désirs s’accrochent à des branches autres que politiques et bien que tout soit, paraît-il, politique: les fleurs des champs, la mouette rieuse, la couleur des bateaux, le bleu du ciel, notre vocabulaire, le mépris de classe, la bêtise atavique, la couleur des cheveux, les choix urbanistiques, la décoration intérieure, le lieu de résidence, l’altitude des montagnes, l’épaisseur des glaciers, le nombre d’enfants par couple, la messe quand elle est dite, le nom donné à nos chats, la marque de la litière, l’avenir de nos enfants, la cylindrée de notre véhicule, notre menu jusqu’à nos obsèques qui le seront également. J’interviendrai à chacune de vos insultes car jamais je ne me permets la pareille à votre encontre .
On est toujours surpris des touites de notre hôte au moment où il convient de battre sa coulpe pour bévues au sujet de nos pronostics électoraux. D’abord, total respect à benoit hamon et à son score, qui atteste rétrospectivement de la nécessité qu’il y avait à enterrer le parti socialiste.
Quant à l’impact de l’archipel du goulag en France en 1974, il ressemble à un événement inactuel comme un poil dans une soupière, dont passoul a le secret. Ce faisant, après walden, il signale un blog dont le titre a l’air fort sympathique et d’une profonde actualité d’avenir. Bonjour à toussent.
la magnagna aime bien les insultes. Ça aussi, c’est clair comme de l’eau de roche. C’est plus dur pr elle depuis que son maquereau defuncte, ne la drive plus.
Une petite plaisanterie qui montre que l’on n’oublie pas :
« Un billet de cinquante euros sur lequel est écrit « Pour Penelope ». Voici ce que les assesseurs d’un bureau de vote du XVe arrondissement de Paris ont découvert au moment du dépouillement »
Lacenaire…. mon pauvre pitchounet orphelin, quelle pitié vous suscitez chez les braves gens !
Vous confondez pétainiste et pétomane : je suis pétomane. Je n’ai pas à en rougir ! Boum ! Diplomé de l’ENA : l’Ecole Nationale des Autocrates pétomaniaques.
Cette fête privée à la Rotonde du couple Macron était inopportune et prématurée : le genre d’erreurs à éviter durant l’entre-deux tours et au-delà !
« D’abord, total respect à benoit hamon et à son score, qui atteste rétrospectivement de la nécessité qu’il y avait à enterrer le parti socialiste. » (JJJ)
Elle devient folle, la Gigi ! Elle rend hommage au fossoyeur, responsable du désastre socialiste….
une tradition de droite..celle de marquer l’coup pour la présignature de bon contrat..t’es dans la bétaillère baroz
En tout cas, Manu n’est pas près de remettre les pieds au Touquet.
La déculottée qu’il s’est prise est prophétique.
« le genre d’erreurs à éviter »
Si Macron est élu, de telles erreurs vont s’accumuler. Le nouveau président ne va plus se sentir pisser, comme Sarkozy jadis. C’est cela que les Français veulent, un type qui pourrira bien la fonction présidentielle ?
goulag en France
bhl à la mort de soljénitsine pouvant chopper le micro tout une soirée sur arté..
ta gueule delakeupu
c’est pour le moins risible
holala..t’hinsultes lprophète pour le plus
Marine Le Pen et à sa force terroriste du terroir
pauvre con
JAZZI dit: 24 avril 2017 à 13 h 09 min
petit enfant gâté capricieux, coaché en dehors de la réalité
quel plaisir immense de lire les frustations, récriminations et pleurnicheries des gens que je n’aime pas ici, c’est réconfortant
..de grive point de merle pas plus..le chacal jaffe surtout dla crotte de bique..pour le moins
coaché en dehors de la réalité
..quel con..pour le plus
Delaporte dit: 24 avril 2017 à 13 h 27 min
on dirait qu’il s’y voit déjà- ça craint avec l’ignoble impatiente . Mais quelle période !
Un ti clin d’oeil, c’est l’e-talonné qui nous donne la photo du jour d’hier. Hilarant.
delaporte
et son « le petit milieu parisien » ! de sa part …
Delaporte dit: 24 avril 2017 à 13 h 05 min
Une petite plaisanterie qui montre que l’on n’oublie pas :
« Un billet de cinquante euros sur lequel est écrit « Pour Penelope ». Voici ce que les assesseurs d’un bureau de vote du XVe arrondissement de Paris ont découvert au moment du dépouillement »
–
La mutilation volontaires des assignats émis par la banque centrale européenne est sévèrement punie par la Loi.
Et Martine Aubry dans tout ça. Qui pense à elle ? Qu’est-ce que vous en faites, Delaporte ?
Oui, cette victoire du nouveau président ivre de sa jeune gloire à la Coupole n’augure rien de bon pour la suite symbolique du Fouquet’s au Touquet’s. Mais quoi, 13.09 : Aviez-vous auguré quelque chose d’autre que cette « erreur » (on appréciera l’euphémisme) d’appréciation qui ne fait du reste que commencer ?
Je confirme @ 13.10 que BH a enterré avec panache le PS sans barguigner. Pris dans l’étau des lâches, des déserteurs et des opportunistes d’une primaire aux résultats imprévus, « il a fait le job » convenablement, comment dirait l’ex parturiente leila slalamé. En quoi serait-il irrationnel (ou foldingue) de rendre hommage à une noisette primaire broyée dans les mâchoires de deux casse-burnes secondaires ? Ce n’était pas lui le « fossoyeur », voyons donc. Et surtout, il avait mis sur la table la seule vraie idée intéressante pour l’avenir de la civilisation et de la transition écologique.
Je connais un club des doubles-mentons en devenir qui cherche une présidente.
Il faut lui proposer à Mémé.
Dans la nouvelle « Samsa amoureux », Murakami imagine une suite magnifique à l’histoire de Grégoire Samsa, d’une métamorphose bien connue. L’insecte repoussé de la table familiale comme une rognure renaît dans cette nouvelle émouvante sous une forme humanoïde, sans comprendre les perturbations de son corps qu’il convient désormais d’habiller pour pouvoir sortir de chez soi. Quand une de ses congénères bossues et handicapée par un soutien gorge mal seyant arrive chez lui pour réparer une serrure endommagée, elle se demande si cette « chose » demeurée n’est pas complètement à l’ouest, comme beaucoup d’icite. Il se trouve qu’à son contact, gregor est en érection permanente sans comprendre qu’il la désire, ni ce que cela signifie, quand la serrurière te lui fait une leçon de morale assez réjouissante à ce sujet. On sent bien que par delà le malentendu liminaire de la situation, ils vont finir par s’aimer dans une autre vie, si du moins ils échappent à la répression du printemps de Prague. Cette nouvelle de Murakami le laisse imaginer en tout cas…
Ce qui m’apparait très consolant chez l’auteur japonais, d’une manière plus générale, c’est son incurable capacité à entrer dans l’univers des personnages attachants de kafka et, par le biais de mécanismes de résilience propres à une imagination portée à l’optimisme relatif et à une insondable mélancolie, à leur redonner un second souffle littéraire ! Comme si, HM était relié à FK par un fil inaltérable au point qu’en prenant son relais, les personnages du premier eussent dû survive aux apocalypses plutôt que d’être anéantis à jamais dans l’oubli.
Murakami est un écrivain profondément généreux, étrange et farceur. Dommage qu’on ne puisse le lire dans sa langue maternelle.
L’erreur ne doit pas devenir une faute, JJJ. Macron s’est fait élire, au premier tour pour l’instant, sur la promesse d’une nouvelle pratique et d’un renouvellement complet du personnel politiques. Et il renoue avec une pratique sarkozienne fâcheuse, où a été convié toute l’arrière-garde mitterrandienne, dont deux de ses ex conseillers à l’Elysée : Jacques Attali et Erik Orsenna…
12h56 je ne sais trop à quoi vous occupez votre temps, d’où vous tenez vos ressources ni quel en est le niveau, je loge assez loin des réseaux de prostitution, soit de bas étage soit de luxe, j’admets vivre dans un pays de vignobles où l’on peut admirer toutes sortes de cépages mais hélas à mon âge il me faudrait consentir, même au milieu de ce beau vignoble, à commercer avec le troisième âge et j’avoue que cela, quelles qu’en soient les conditions, ne m’inspire guère de désir ou d’idée d’en profiter. J’ajoute que je mène ma barque en solo depuis plus de vingt années, ne suis ni veuve, ni divorcée, un faible pour l’indépendance et la tranquillité d’une solitude qui finalement n’a pas encore trouvé son remplaçant. Léo Ferré: – seul mais peinard – toujours possible au féminin.
La cérémonie de La Rotonde, baptême ou funérailles ?
Janssen J-J dit: 24 avril 2017 à 14 h 19 min
En effet, quelle débilitude que de s’en prendre à BH!
Et l’autre mégalo complexé, qui monte sur ses grands chevaux contre ceux qui le critiquent pour son pot du premier tour ( » ne comprennent rien à la vie » !! ) La belle affaire!! !
Balzac rigolerait bien
Mais arrêtez votre cinéma, Jacques B., Macron à parfaitement le droit d’aller bouffer dans une brasserie appartenant à un groupe de restauration connaissant de sérieuses difficultés et dont les employés ne savent pas ce qu’ils vont devenir.
Du moment qu’il n’y va pas en métro Alsthom, où est le problème, je vous le demande ?
Jazzi, ne confondez pas La Rotonde et La Coupole.
JAZZI dit: 24 avril 2017 à 14 h 46 min
ce n’est pas non plus très important. Un endroit dans un autre quartier aurait fait jaser de toute façon. c’est sa réaction qui est bizarre
Ignorant tout du gratin convié par macron à la coupole, vous nous foutez encore plus la trouille… Mais ça va déjà dans le sens de ce que vous dites, hyper centrisme bling-bling qui ne pourra rien changer aux habitudes trop enracinées de la gôche ou de la droite caviar.
Pour ma part, le 7 mai, ce sera un vote blanc, mais sans billet de 50 euros pour birgit, car j’ai pas les moyens d’halalli, horcénacle ou medellin, comme je l’ai déjà dit.
Mais, lvdlb, merci pour la photo de ce Juan qui parfois fait preuve d’humour, je lisais l’autre jour ses mésaventures avec les éditeurs qui lui reprochaient de faire trop long et pour lesquels il accepta de raccourcir sans jamais toutefois rencontrer d’approbation. Pour un type de ce genre ( physique) et si se présentait l’heur d’arrêter son regard je crois que j’oublierais volontiers un moment la tranquillité de mon ermitage. Qu’est-ce qu’il est beau!
Ah mais c’est moi qui confond.
Macron n’était pas à La Coupole qui va mal mais à La Rotonde. Ouf !
Jansen
La Coupole ou Rotonde n’est pas le Fouquet’s quand même! Bon, trêve de commérages
c quoi la différence entre la coupole et la rotonde, au juste ? Nous, on est aux fins fonds de la province de saintonge, ensuqués dans les lilas clos.
Janssen « vote blanc »
c’est irresponsable, étonnant, pas sympa de votre part (et ces préjugés sur des cafés anciens bastions de la bohème internationale ! rien à voir avec lefouquet’s)
14h52 tout à fait d’accord avec vous, comme si nous n’avions rien de plus que des cancans à inventorier.
« La Rotonde n’est pas le Fouquet’s quand même! Bon, trêve de commérages »
Bob, ce matin, les commentateurs politiques ne parlaient que de ça ! Grave erreur, selon eux. A l’heure où Pénélope Fillon va disparaitre discrètement par la porte de sortie, je crains que Brigitte Macron ne devienne le point de mire des médias. Bouc émissaire idéal ! A moins que son futur président de mari, une fois élu, nomme une femme Premier Ministre : le double fusible tout désigné pour préserver le couple élyséen, la pauvre ?
JAZZI dit: 24 avril 2017 à 13 h 09 min
Cette fête privée à la Rotonde du couple Macron était inopportune et prématurée : le genre d’erreurs à éviter durant l’entre-deux tours et au-delà !
Y a un directeur de campagne ? Ben faut le foute au gnouf…
Non mais Macron s’il repousse d’un an le prélèvement de l’IRPP faut lui faire un gros poutou !
Et puis qui recommence, après, hein…
Les brasseries de Montparnasse : Dôme, Sélect, Rotonde, Coupole, Closerie des Lilas…, depuis les artistes peintres de l’entre deux-guerres mondiales jusqu’aux écrivains existentialistes d’après la seconde, ont une connotation plus intellectuelle, plus bohème, que celles, plus bourgeoises des Champs-Elysées, notamment le Fouquet’s, devenu la cantine chic des producteurs et gens de cinéma.
« les commentateurs politiques ne parlaient que de ça »
Ils découvrent ?
15 h 18 min
Oui ça n’a rien à voir
Mais les bobos d’aujourd’hui fréquentent plutôt les cafés du XIe arrondissement : Bastille, Charonne, Oberkampf…
toujours en chaleur la magnagna. Va rivaliser avec brigitte-zira, ah ah.
Delaporte dit: 24 avril 2017 à 11 h 43 min
les eaux usées du pétainisme
Ce qui se passe, c’est que ça a l’air pas mal recyclable, ces eaux usées…
« Oui ça n’a rien à voir »
La grande majorité des électeurs, notamment provinciaux, ne fait pas la différence entre La Rotonde et le Fouquet’s, Bob.
Non mais les Parigots tous vos bistrots de coin noir valent pas je Jean Lame* et le Cinq de la place Stan, nom de dela !
* Jean Lamour, çui des grilles.
Y a que le bar-tabac de la rue des Martyrs, à la rigueur…
notamment provinciaux,
Jazzi, très honnêtement, je suis provinciale et je m’en tape. Comme s’il était absolument indispensable d’adopter la mode médiatique qui d’une chiure de mouche réussit à distiller un dossier, marre de ces détails artificiellement transformés en info pour divertir de la gravité de la situation . blabla.
« Rends l’argent »
15h23, non, désolée de vous décevoir mais mon traitement est équilibré et m’évite l’inconfort de la ménopause, j’ai supporté deux ans , c’est exténuant alors j’ai demandé à mon médecin s’il n’existait rien d’autre que la poudre de perlimpinpin qu’il m’avait prescrite.
Non, moi j’ai une amie qui habite à Charonne et qui n’est point Bobo du tout ! Méfions-nous des petits clichetons, mes petits chéris…
La grande majorité des électeurs, notamment provinciaux, ne fait pas la différence entre La Rotonde et le Fouquet’s, Bob
mais ils savent qu’une bétaillère en vaut une autre baroz
l’air pas mal recyclable, ces eaux usées…
c’est leur propre
Brigitte Macron ne devienne le point de mire des médias. Bouc émissaire idéal !
est ce le prop des désirs de baroz d’ête recyclabe..pas sûr
Les terrasses des cafés du XIe arr. et notamment ceux de la rue de Charonne furent les cibles privilégiées des kamikazes du Bataclan, WGG.
Non mais Paname faut pas exagérer on y vient au moins pour le salon de l’agriculture qui ment pas ; mais alors quand on se pointe avec tous nos bovidés et même parfois des moutons au check-point de Pontault-Combault… C’est comme l’Exode, mais dans l’aute sens, quoi !
Petite histoire des cafés parisiens.
Après Montmartre, Montparnasse fut le point de ralliement de la bohème internationale, notamment des peintres : La Coupole, le Sélect, le Dôme, la Rotonde, la Closerie des Lilas… furent autant de centres où les artistes aimaient à se retrouver. Mais juste avant la Seconde Guerre mondiale, un mouvement migratoire vers Saint-Germain-des-Prés commença à s’esquisser. Dès l’hiver 1938-1939, parmi les fidèles du Flore et des Deux Magots n’appartenant « ni tout à fait à la bohème ni tout à fait à la bourgeoisie », on pouvait déjà apercevoir Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, alors tout deux en plein anonymat.
Durant la guerre, notamment parce que les cafés étaient les seuls endroits convenablement chauffés, Sartre et Beauvoir y écriront leurs premières œuvres. Et c’est parmi cette jeunesse désoeuvrée, pour laquelle ils éprouvaient une « sympathie nuancé », que se recrutèrent, après la guerre, les « existentialistes », dont Sartre, à son corps défendant ( ?), fut le principal maître à penser ! A la fin du millénaire, environ un siècle après avoir occupé les cafés de la rive gauche, la jeunesse branchée, a retraversée la Seine, pour envahir cette fois-ci l’Est de la capitale. Aujourd’hui, les « bobos », qui se recrutent principalement dans les métiers de la communication, se concentrent du côté de la Bastille et des rues de la Roquette, de Charonne, Saint-Maur ou d’Oberkampf, dans le XIe arrondissement. Leurs points de rencontre : le café Charbon, Chez Justine, la Mercerie, le Barracao, l’Estaminet, le Cithéa, le Public, le Styx ou encore le Zabar café. Pour la plupart, d’anciens bistros de quartier, où l’on peut boire et manger désormais dans une ambiance métissée, noyée de sons arabo-africains ou latino-américains.
Ceux qui votent pour Macron vont se coltiner également sa femme, dont le candidat annonce :
«Elle aura, à ce moment-là, ce rôle, cette place, cette exigence, pas dissimulée, pas derrière un tweet ou une cachette. Elle l’aura à mes côtés», a-t-il déclaré le 7 mars dernier, à l’occasion d’un meeting.
En votant Macron, attention, on vote pour les deux ! Ce n’est par parenthèse pas très conforme à la constitution.
Durant la guerre, notamment parce que les cafés étaient les seuls endroits convenablement chauffés, Sartre et Beauvoir y écriront leurs premières œuvres
j’ai oui qu’ils avaient et de quoi bouffer et de se chauffer..pas chiens ils invitaient le soir quelques vieux fameux..qui crevaient de faim
JAZZI dit: 24 avril 2017 à 15 h 25 min
ce sont pourtant des lieux (cafés) chargés d’histoire
Pour ceux que le café, la plante et le lieu du même nom, intéresse, ils liront avec profit cet ouvrage !
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_du_café-136-1-1-0-1.html
Delaporte 16 h 01 min
Tant pis !
« Bouc émissaire idéal ! »
Au contraire elle fait déjà depuis un moment l’unanimité de la presse pipeule d’après les Unes placardées un peu partout, ça fait vendre
Très tôt, dès qu’ils en ont eu les moyens, le boug, Sartre et Beauvoir, avant même leurs premiers droits d’auteurs, mais déjà avec leurs seuls salaires de professeurs de lettres et de philo, subvenaient aux besoins d’une famille recomposée qu’ils n’ont cessé de développer autour d’eux leur vie durant.
Pas profs de lettres. Ils étaient tous les deux agrégés de philo. Sartre est arrivé premier à l’agrégagtion et Simone seconde comme Poulidor…
Profs de philo en Terminal, tous les deux au départ, dans un lycée comme tous les profs qui débutent comme profs de philo… Simone chez les jeunes filles qu’elle a même trouvé à son goût. Elle en a même partagé avec Jean-Paul… C’était mignon…
j’vais pas ragotter baroz..ça a été hassez fait
..ta gueule delabob
Oui enfin ces Narabs on a rien contre mais enfin ils pourraient pas apprendre la musique une fois pour toutes ?
Sinon la leur le seul truc ça fait pays chauds ça remonte le moral…
Mitterrand au moins, il avait deux femmes, mais il ne les mettait pas en avant.
..au salon qui ment pas dracul il faisait un malheur..un front dtoro comac
Et le général de Gaulle ne mettait pas non plus en avant tante Yvonne. C’était un discret, malgré sa grande gueule et sa propension aux coups d’Etat. On a vraiment changer d’époque. Maintenant, le bobo impose sa femme, pour faire couple. On va avoir un « couple » à l’Elysée ! Est-ce que pour autant la situation sera meilleure ? Sans doute non.
Entendu à la radio le president sortant faire campagne par procuration. Voilà qu’il espère que son fiasco économique et social soit dans le vote macron, une rédemption. Sa derniere contrition. Quand on voit le panel des frontistes, il m’à toujours rien compris au film. Non, la lutte pour la liberté , les valeurs democratiques de la France et le combat de l’idéologie populiste du FN ne passent pas de fait par un vote d’urgence et en catastrophe, pour le televangeliste Manu. Faut arreter de penser que les français sont des veaux.
Vous êtes déjà ménopausée Bérénice ?
Macron et la Rotonde : que n’aurait-on entendu s’il était allé chez Mimile, le bistro du coin, tas de cons
Pour une fois, dans la Veme, où la democratie parlementaire pourra pleinement jouer son rôle, ce serait dommage de ne pas en faire état. Puisque les deux finalistes n’ont à ce jour aucune légitimité parlementaire.
Ha mais remember tante Yvonne elle s’est occupée des poulets au Petit Clamart ! Il a pas crevé de faim, au moins, dans la DS…
Des peintres…et des poètes…Apollinaire…La Closerie ce n’est déjà plus Montparnasse!
Elle tient son nom des centaines de lilas planté au Bal Bullier. Qu’est-ce que ça devait sentir bon !
Delaporte dit: 24 avril 2017 à 16 h 29 min
Surtout le fait des m’as-tu vu (= des complexés), pour faire ‘maison-blanche’. Sont pas tous comme ça
« Mitterrand au moins, il avait deux femmes, mais il ne les mettait pas en avant. »
Deux seulement?
(ta gu… , bouguereau )
« Sartre est arrivé premier à l’agrégagtion et Simone seconde comme Poulidor… »
Les membres du jury ont hésité entre la première et la deuxième places, WGG. L’un d’eux a même déclaré que Simone était la plus philosophe des deux. Sartre avait 27 ans, il avait fait Normal Sup et raté l’agrégation l’année précédente. Simone de Beauvoir, 23 ans, n’était passée seulement que par les institutions privées et, super bucheuse, avait décidé de réduire les quatre années réglementaires de la Sorbonne en trois seulement…
« que n’aurait-on entendu s’il était allé chez Mimile, le bistro du coin, »
C’est sûr
Plein de lilas et de glycines en fleurs actuellement dans les rues et les jardins de Paris, D. !
La Closerie est à l’angle du boulevard du Montparnasse et de l’avenue de l’Observatoire.
JAZZI dit: 24 avril 2017 à 16 h 13 min
lui (elle je sais pas)je crois a aidé pas mal de gens matériellement
JAZZI dit: 24 avril 2017 à 16 h 53 min
la végétalisation , grâce à Hidalgo
A la fin de sa vie, un journaliste a demandé à Simone de Beauvoir le lien commun entre la jeune fille rangée, la prof émancipée, la romancière existentialiste, la théoricienne du féminisme…
Montparnasse, a t-elle répondu.
Elle était née et habitait le superbe appartement haussmanniens de ses parents, au dessus de La Rotonde, 103, bd du Montparnasse. Après les revers de fortune de son père, la famille a déménagé dans un appartement plus modeste au n° 71 de la rue de Rennes, fréquentant le cour Désir, également rue de Rennes. Etudiante à la Sorbonne, elle louera une chambre chez sa grand-mère maternelle, du côté de Denfert-Rochereau. C’est là qu’elle offrira son pucelage à Jean-Paul Sartre, 1 m 57. Ensuite, vie d’hôtels entre Montparnasse et Saint-Germain-des-Près jusqu’à l’obtention du Goncourt, pour « Les Mandarins ». Elle achèta alors un studio-atelier, au 11bis rue Schoelcher, entre la place Denfert-Rochereau et le cimetière du Montparnasse, où elle a fini sa vie.
A droite de l’entrée principale du cimetière du Montparnasse, en première ligne, une simple tombe, en pierre blonde, conserve aujourd’hui les restes de ces deux enfants du quartier : Jean-Paul Sartre (1905-1980) et Simone de Beauvoir (1908-1986). Paradoxalement, ce couple d’écrivains notoires, qui vécut côte a côte sans jamais partager le même toit, est désormais réuni pour l’éternité.
réuni pour l’éternité
comme Saint Simon et sa femme, dear Baroz, mais le petit Duc écrivait mieux que Simone et Sartre réunis.
« C’est là qu’elle offre son pucelage à Sartre, 1,57m »
mon Dieu Jazzi, comme vs y allez…en pleine révision de giallos, vs réussissez à m’effrayer.. « Il rosso segno della follia »,librement traduit par « Une hache pour la lune de miel »..ou encore « Le foto proibite di una signora per bene », je me demande ce qui est le pire…la morte ha fatto l’uovo (ts titres authentiques)
Cosi dulce, cosi perversa ,ou La Frusta e il corpo… reviens Dario (Argento), Massimo Dellamano..
Mais oui, Jacques, mais c’est le tout début du boul’égard Montparnasse. C’est le quartier de l’Observatoire, du Val de Grâce et de Cochon. On est loin de Montparnasse, ne vous en déplaise.
C’est comme si vous me disiez que l’Assemblée nationale est à St Germain-des-près !
Put.ain d’enkhulé dkeupu de correcteur d’orthoographe de mes couuilles, booordel !!
Encore un peu et Paname sera aussi grand que l’Union Soviétique…
Y a des types qui tombent en panne d’essence intra muros !
D. dit: 24 avril 2017 à 17 h 37 min
Put.ain d’enkhulé dkeupu de correcteur d’orthoographe de mes couuilles, booordel !!
Une seule solution : upgrade to Linux…
Là y a tout qui marche !
Annelise, Simone était grande et belle, mais « mal attifée », quand elle a rencontré Sartre à la Sorbonne. Elle avait 21 ans et n’avait jamais embrassé un garçon auparavant. De la bande à Sartre, il était assurément le plus laid, mais incontestablement le plus intelligent, écrivit-elle. Et très vite, elle lui accorda toutes ses faveurs. Il lui proposa aussitôt un contrat de deux ans, renouvelable à terme. Entre nous se sera un « amour nécessaire », déclara-t-il, mais néanmoins nous aurons des « amours contingentes », rajouta-t-il. Elle en fut d’accord. Sartre et elle cessèrent d’être amants au bout de huit ou dix ans passés ensemble, expliqua-t-elle à Algren (avec qui elle connut l’extase !), parce qu’il « manquait d’ardeur au lit », mais leur amitié s’était renforcée et approfondie. Jusqu’à la fin…
Dans Révolution, le bouquin de Macron (par ailleurs fortement imprégné « d’Attalisme »), ce sont Aragon, Gide & Camus qui reviennent le plus souvent. On ne va pas bouder son plaisir.
Sartre, il était surtout bien au Havre. Je ne comprends pas qu’il n’y soit pas resté. Que cela reste entre nous.
On fait surtout ce qu’on veut, Bloom.
Si on a envie de bouder son plaisir on le boude. Et puis c’est tout.
D non , je suis née en 1977 ce qui nous donne la modique somme de 40 ans pile poil, je suis à l’apogée de mon règne et vieillir est le moindre de mes soucis, de plus comme j’ai toujours cultivé l’ambition, un goût pour la réussite sociale et les relations profitables que j’asservis à mes projets immobiliers, aucun souci d’ordre matériel ne viendra ternir ma retraite si j’atteins cet âge sans périr pour une raison ou une autre prématurément. Il faut savoir se débarrasser des hommes comme on le fait des produits obsolescents et sur ce point je ne souhaite aucune réforme, l’amour dure trois ans, le sexe se consomme de nos jours comme un met commandé et délivré ponctuellement, point barre, Carpe Diem et il n’y a pas de quoi en faire un plat alors même que le cinéma persévère dans ses propositions qui s’étendent de l’érotisme torride en passant par la tendresse, la rupture, l’éphémère, les destins brouillés ou soudainement illuminés par cette joie presque céleste que nous procure rarement une rencontre inattendue au beau milieu de la sombritude de l’époque.
Que cela reste entre nous.
Que craignez-vous?
bébénice, vous proposez à D. un contrat d’amour nécessaire ou d’amour contingente ? Je crains qu’il manque un peu d’ardeur au lit…
Pour essayer de survivre au tsunami des banalités électorales, lire « Macron, le spasme du système », de Frédéric Lordon (« Les blogs du Diplo », 12/4/2017).
D., Sartre détestait son métier de professeur. Au Havre ou a Neuilly. Il l’a quitté dès que possible !
Quoiqu’il en soit, Bloom, le carrefour Vavin, à Montparnasse, est le coeur géographique du couple Sartre et Beauvoir, enfants des jardins du Luxembourg. Et c’est là que, symboliquement, Macron est venu, prématurément, fêter sa victoire. Consciemment ou pas ? Brigitte n’a peut-être pas choisi cet endroit par hasard ?
« je suis née en 1977 ce qui nous donne la modique somme de 40 ans pile poil »
L’âge comme une monnaie sonnante et trébuchante, bérénice ?
gardel dit: 24 avril 2017 à 18 h 35 min
vous voulez nous achever?!!
bérénice dit: 24 avril 2017 à 18 h 30 min
le sexe se consomme de nos jours comme un met commandé
Faut faire livrer l’affaire par un pizzaiolo, au pire on garde le pizzaiolo on aura toujours à becqueter…
Et un v&lo…
JAZZI dit: 24 avril 2017 à 18 h 42 min
ça change d’amiens
vElo, Trommelfeuer !
Ne pas louper tout à l’heure : « La double vie de Véronique » de Kieslowski avec la sublime Irène Jacob (sur Arte)
Je connais l’histoire et les circonstances, cher Jacques 17h54..celle avec son croco l’amiral Nelson aussi..le contrat proposé de deux ans renouvelable, tjs trouvé ça aussi glamour que la souscription d’une police d’assurance vie de bon rapport réussie en ayant circonvenu le médecin, une planification anticipée d’obsèques prépayées. .je prefererai ad vitam aeternam la mauvaise certitude de soi, la maladresse d’un Perec amoureux de Catherine Binet..il ne sait pas y faire, hanté par ce qu’il considère comme sa laideur physique et ce faisant, pour résolution de sa timidité il est si donné, si affectif qu’il délivre un tt autre érotisme que l’ex sur civière du jardin du Luxembourg ..même Camus, aux amours héliotropisées.. autre sensualité que l’émission de pré-bilans prévisionnels à parapher après avoir stipulé « lu et approuvé ». .puis Albert C, comment voulez-vs qu’il s’émancipe facilement autrement avec cette image de mère si peu sexy, pourtant si prégnante, si forte?
Sergio, je ne vous connaissais pas ces goûts et vous déclarez sans ambages tout ceci, sans doute l’effet Schengen.
Bernard Plossu a fait une superbe photo de Perec accoudé à la table d’un café.. reflet à peine marqué ds le miroir, noir &bl of course..très Garrel
Binet
le blaze déjà tu triques..annelyz
noir &bl of course
binet en noir et blanc..tu déconnes
Il faut lire » sauve qui peut (la révolution) », de Thierry Froger, Actes Sud, 22 euros. Un livre bien sympathique qui rappelle excellemment le cinéaste facétieux et ses rapports aux « socialistes ».
Les coups bas commencent entre fn et pro anti-fn. Il parait que le père de la fille du borgne, réserve une petite surprise à Manu, pour le 1er mai. Il y a du rififi en préparation à Montretout ?
le sexe se consomme de nos jours comme un met commandé
si j’étais annelise je prendrais plutot du spanghero..y’a du chval inside
putain mais ta grosse gueule de chiotte tarzoune
40 ans pile poil
béré elle a un tablier d’forgeron
Sartre, il était surtout bien au Havre
avec aughuste..c’est comme hamiensse tiens..
Macron, le spasme du système
..ben mon colon qu’il dirait dracul
Si on a envie de bouder son plaisir on le boude
la moue est hun hornement sekçuel dédé..faut en user sans en abuser
je vois bien la scène, racontée par le père de fille du borgne pour leur dessert, en fin de repas du 1er mai.
Le jeune énarque ( pas Normale Sup, il a daubé son cv ?) s’ennuie mortel, dans un obscur cabinet du ministère des finances.
Il fait des yeux doux, à droite à gauche, sourit gauchement, comme il le ferait, sur scène, devant sa prof de théâtre.
Et puis, quoi, ça marche.
Mais il faut des sous. Un clic égale une adhésion ne suffit pas à financer l’abonnement téléphonique – 6 millions d’appels de dernière minute aux indécis-
Alors ce flambeur des vieilles dames a d’abord donné des diners festifs- 7500 euros le couvert, quand même !-
mais il a dû s’acoquiner avec des vieilles copines au père de la fille du borgne, en essayant de les taper, genre visiteur du soir…
Et là, j’imagine, mais vraiment odorant, le muguet de ce premier mai.
Je vous signale qu’il est en avance en forêt comme j’ai pu voir hier des vandales, saccager un joli sous-bois.
Macron est l’enfant spirituel d’Attali, qui est son mentor en politique. C’est Attali qui l’a propulsé au-devant de la scène politique et médiatique. On verra ce qu’il donne à l’usage. Mais c’est la moins mauvaise solution dans le contexte actuel. Tous les autres sont à côté de leurs pompes et des nains en politique. Attali, lui, est capable de voir loin, très loin même. Mais il n’a aucun carisme politique, il n’est pas fait pour ça. Il est dans la tradition très européenne du Juif de cour, et c’est tant mieux. C’est là qu’il est le plus pertinent, le plus utile au pays et souvent contre l’avis des gens qui ne comprennent pas quel trésor d’intelligence est Attali même en politique, bien qu’il lui arrive aussi de se tromper. Mais on lui doit énormément, et c’est un homme finalement très modeste. On peut être vraiment fier de l’avoir parmi nous pour nous sauver de la peste brune.
Ah oui, le jeu littéraire c’est de trouver « le nègre » qui a écrit le bouquin de macron et qui ne connait pas- non plus- la géographie de la France.
Car en terme de plagiat, sans parler de son enrichissement » spirituel », cet enfoiré de banquier est un master. Qui c’est ?
dommage d’avoir ainsi donné en pâture des éléments de biog aussi précis, à moinsse qu’ils ne soient qq peu inventés (de qu’on espère). On ne va plus pouvoir gamberger sur le sens de vos réactions…
Voilà ce que ne comprennent pas les internautes assez fidélisés et désormais reconnaissab’ entre tous…, A un moment donné, ils en ont marre du mystère et succombent pour ainsi dire à la « tentation jazzi »… Voilà le syndrome de faux aveu sur la toile qu’une étude approfondie devrait documenter. J’aurais bien qq idées mais plus trop la force de m’y atteler…. genre, « le mentir vrai sur les blogs littéraires au temps de la macronisation du monde ». Enfin breflon n’est pas là pour ça non pu. Il y a les calendres à astiquer…, et ça urgeassez !
Voir forcément un banquier comme si c’était le diable relève d’une pensée d’arriéré mental datant du Moyen-Âge. C’est grâce aux prêts bancaires que l’Occident a décollé au 12ème siècle, et les prêteurs juifs n’y sont pas pour rien, usant de taux usuraires bien plus modeste soit dit en passant que les banquiers italiens qui leur ont succédé.
Toujours les mêmes clichés chez les ânes bâtés et indécrottables qu’il semble impossible d’instruire et d’élever et… d’humaniser un peu.
« voir le banquier » ?
voir LE banquier Attali et ses « pauvres » européens, c’est du micro-macon-crédit pour initiés.
Quel tartuffe ce prof de 5ème qui croit leur donner une leçon.
On ne va recauser de « Jacques A.-en Afrique », car son petit protégé n’y est plus en » odeur » de sainteté. Lui non plus.
Il ne faudra pas non plus zapper , pour le biographe éventuel : Manu chez les jésuites.
Mon pauvre WGG, vous êtes complètement omnubilé par cet Attali avec lequel Macron n’a pas grand chose à voir soit dit en passant.
C’est tout-à-fait votre droit de défendre la mondialisation et un type d’économie astucieux qui sert celle-ci. Moi j’ai tout intérêt à vous laisser faire vu la manière dont vous vous y prenez !
il y a le charisme politique et puis il y’a l’autocarisme.
Et un banquier reste un banquier. Sa priorité c’est l’argent.
Surprenant, non ?
Ordonnances, casse du droit du travail, ce qui vient c’est un régime autoritaire qui, soit réussira à casser le peuple français, soit sera cassé par lui, sans doute assez rapidement. Macron, c’est un affrontement, rien d’autre, et qui va commencer dès l’été. Pendant ce temps, les Assurancetourix du régime pourront toujours pérorer sur l’engagement de l’écrivain.
coucou, comme on est dans l’entre deux tour et que je n’ai pas pu m’empêcher de regarder la télé tard hier soir, je viens jeter un oeil sur mes anciens amis de blog, merci pour les infos sur la Rotonde, je comprend mieux le symbole.
Depuis quelques temps voyant madame macron je me disais innocemment elle me rappelle quelque chose une époque ou quelqu’un allez savoir, cette nuit j’ai pigé je trouve qu’elle a un petit air à la mireille darc, ce qui m’a fait replonger dans sa cinématographie.
sur le fond je ne suis pas compétente on entend tant d’avis que … bon … marine le pen est cauchemardesque, son sourire et ses petites dents opérant un contraste saisissant avec sa grosse voix usée par la clope.
j’ai l’impression qu’on en prend pour des plombes pourtant avec un peu de recul côté spectacle on est gâtés …
les taux d’usurier modestes, le mont de piété généreux, les dames patronnesses bénévoles et le reste, quel beau paysage.
Et un salaire décent, des mets roboratifs, un logement salubre et des études enrichissantes, non ?
Moricaud a croisé Moravagine une fois, au café de la Rotonde.
Il semble que macron ne puisse pas non plus se rendre à Amiens, entre les deux tours. Une histoire de machines à laver Whirlpool.
Cette histoire du bourgeois d’ Amiens et de la petite de banlieue devenue ministre de l’ Educ’ Nat’ est une belle histoire, qui n’arrive qu’au Nord, où les gens du Nord, tcétera, tcétéra.
http://www.vanityfair.fr/actualites/pouvoir/articles/article-magazine-destins-croises-d-emmanuel-macron-et-najat-vallaud-belkacem-par-claude-askolovitch/49523
Et voici enfin son portrait dû au crayon de Conrad Moricand. Moricand a croisé Moravagine une fois, au café de la Rotonde.
« merci pour les infos sur la Rotonde, je comprend mieux le symbole. »
le symbole ?, mais c’est le patron… Un pote.
Je vous redis que Manu va sortir de l’ambiguïté à son détriment.
Dès son élection, beaucoup de français vont s’apercevoir qu’ils n’en veulent déjà plus. Il pourra difficilement en aller autrement pour cette marionnette de Hollande. Divorce express après mariage forcé.
Une grande voix montrant l’envers du théatre politique de son temps.
« La tyrannie abjecte du Nombre est une infection lente qui n’a jamais provoqué de fièvre. Le Nombre crée une société à son image, une société d’etres non pas égaux, mais pareils, seulement reconnaissables à leurs empreintes digitales. Il est fou d’opposer le Nombre à l’argent, car l’argent a toujours raison du Nombre ûisqu’il est plus facile et moins couteux d’acheter en gros qu’en détail. Or l’électeur s’achète en gros, les politiciens n’ayant d’autre raison d’etre que de toucher une commission sur l’affaire.
Avec une Radio, deux ou trois cinémas, et quelques journaux, le premier venu peut ramasser en un petit nombre de semaines cent mille partisans, bien encadrés par des techniciens experts en cette sorte d’industrie. Que pourraient bien rever de mieux, je vous le demande, les imbéciles des Trusts? »
Georges Bernanos.
La France contre les Robots.
rien la vie, jazzy n’a fait qu’expliquer que la Rotonde a un histoire liée à la vie littéraire et philosophique parisienne, pour une belge qui écoute les infos en boucle c’est bien de contextualiser.
je vais dormir et méditer.
Barozzi n’a fait que causer de la brasserie Rotonde que fréquentait momone de Beauvoir.
Qui dispose d’ailleurs aussi d’un couvert permanent, au mur celui-là, dans la brasserie existentialiste de Saint Germain des Prés, une fresque sur le mur du Café de Flore, où momone, comme une duègne, garde un oeil -vert ou bleu, ne sais plus- sur ses ouailles.
bérénice dit: 24 avril 2017 à 19 h 05 min
l’effet Schengen.
Non mais sérieux les pizzaiolos et les magasins Nicolas c’est des bienfaiteurs de la nation…
Les pizzaiolos on devrait leur faire des couloirs sur la chaussée !
Je suis en train d’écouter le commentaire de Michel Onfray sur la soirée électorale. L’annulation du referendum de 2005 est un coup d’état. Il continuera avec Macron. Quoi d’autre?…
Ah, le commentaire sur l’engagement de l’écrivain, ça va être quelque chose…
oui Sergio je tombe d’accord avec vous, un soir entre chiens et loups alors que je me disputais je ne sais pour quelles obscures raisons avec mon compagnon défunt je marquais le feu puis le céder le passage, mon regard balayant rapidement la victoire sans rien entrevoir circulant j’accélérais pour reprendre ma course et à ce moment, zut un livreur et sa pizza surgirent et atterrirent sur mon capot, le serveur vraisemblablement avait fumé une substance quant à moi j’étais passablement fatiguée mais néanmoins affolée après avoir pilé net de retrouver l’homme à terre et le scooter projeté non loin de la cime des platanes dangereux qui militent ici pour le FN, d’ailleurs hormis quelques branches le précédent maire UMP n’y toucha point trop content d’abandonner son territoire à une nouvelle vague qui le laissa sans son mandat, la mairie somnolente depuis lors est réveillée à grands coups d’emprunts qui viennent alourdir la dette des collectivités locales et donc celle de l’état. Le garçon n’avait rien, les pompiers la police étaient là sur les lieux, le constat fut remis au lendemain et je me fis comme à l’accoutumé enfumée, je ne sais d’où il était arrivé mais je portais la faute et le patron qui avait déjà envoyé la machine à réparer, s’est emparé du constat pour y ajouter sans que je le vois une croix à: non respect des signaux ou quelque chose de ce genre. Enfin, rien d’intéressant si ce n’est qu’il serait nécessaire d’ajouter une nouvelle signalétique pour avertir tous les chauffeurs du risque un peu comme pour les pierres qui tombent. Un détail vient clore l’anecdote, c’est un ami qui avait commandé et ne reçut point sa fichue pizza.
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