Passer l’hiver avec Schubert
Il y a quelques temps dans ces colonnes même, j’exhortais éditeurs et traducteurs (car c’est ce sont souvent ces derniers qui découvrent, révèlent et apportent les textes aux comités de lecture) de s’emparer d’un livre dont la lecture en anglais m’avait fasciné : le récit d’une obsession et de son anatomie par le grand ténor Ian Bostridge (Londres, 1964) dans Schubert’s Winter Journey publié par Faber and Faber en Grande-Bretagne et Knopf aux Etats-Unis. Et depuis, chaque fois qu’un micro m’était tendu notamment à France Musique et France Culture, quel que fut le sujet, je m’arrangeais pour placer mon petit couplet sur l’émerveillement que m’avait causé la lecture de ce livre, ce qui me valut à chaque fois courriers et courriels d’auditeurs pressés d’en savoir davantage. Gardons-nous de croire en notre influence, coupable pêché d’orgueil. Cela a dû alimenter le bouche-à-oreillece petit concert a peut-être eu sa part dans la parution aujourd’hui du Voyage d’hiver de Schubert (traduit de l’anglais et de l’allemand par Denis-Armand Canal, 440 pages, 29 euros, Actes sud). Une édition qui rend justice à l’édition originale non seulement la délicatesse de sa traduction (avec le souci de respecter leur musique en musique par Schubert lorsqu’il s’est agi de traduire les poèmes de Wilhelm Müller) mais encore par le soin apporté à la fabrication de l’objet ; car sans relever de la catégorie « Beaux-Livres », ce qu’il n’est en rien à commencer par le format courant, il est illustré selon le voeu de Ian Bostridge par des incrustations de tableaux bien sûr mais aussi de poèmes, portées, photos, dessins et même le logo de la Deutsche Post !
Cette enquête ne captivera pas seulement les interprètes, les férus d’histoire de la musique et les mélomanes mais tout autant ceux sur qui le romantisme allemand exerce une durable et profonde séduction. Ce livre est des rares à pouvoir modifier tant l’interprétation que l’écoute d’une oeuvre aussi célèbre, même si le récital de lieder n’occupe plus la place suprême qui était autrefois la sienne tant dans la vie privée quotidienne que dans les concerts publics. Ian Bostridge, lui, a grandi avec les enregistrement du pianiste Gerald Moore et la voix de Dietrich Fisher-Dieskau. Difficile de s’en déprendre, il l’admet. Son livre n’en demeure pas moins le fruit d’une intime fréquentation d’une grande oeuvre par son interprète, une rumination de vingt ans comme peu d’écrivains y consentent avant de coucher sur le papier le motif de leur tourment. On peut goûter ce voyage dans le voyage, plus allègre que l’austère beauté qu’il analyse, sans avoir en permanence dans le creux de l’oreille les vingt-quatre lieder qui constituent le Winterreise de Schubert, le grain de la voix du chanteur, les accords du piano ni même les poèmes de Wilhelm Müller qui disent l’amour, la perte, l’identité, la crise existentielle, le sens de la vie…
Au long de ses soliloques, un jeune homme abandonne l’amour de sa vie et se résigne lentement à l’idée de sa propre mort. Son désastre amoureux ne peut aboutir qu’à un départ car il sent dès lors un étranger dans ce qui fut le décor de sa passion. Au cours de son périple de retour, il fait d’étranges expériences avec des lieux et des choses de la nature, jusqu’à ce que dans le chant ultime, il rencontre le joueur de vielle (Der Leiermann ou The Hurdy-Gurdy Man, audacieusement rapproché de Mr Tambourine man). Ce voyageur est un exilé solitaire dont Bostridge invite à décrypter la lamentation enfouie au cœur de son secret. Dans son élan, il n’hésite pas à lui prêter des intentions, sinon une biographie, suggérant par exemple que le jeune homme avait dû être viré pour avoir commis le faux-pas d’avoir une liaison avec la jeune fille dont il était le précepteur. Et pourquoi pas ? Il se permet tout, jusqu’à nous faire part de son admiration pour Bob Dylan, Billie Holiday et Frank Sinatra.
Schubert a composé ce voyage d’hiver à la toute fin de sa courte vie, à 31 ans en 1828. C’était un vrai gentil, lui. Pas un faible : un homme profondément bon. Incroyable ce qu’il a pu donner, pour rien, naturellement. Bostridge a le mérite de le rappeler, ce qui ne l’empêche pas de nous entretenir de sa combinaison du Volkslied et du Kunstlied, de la simplicité de l’un et du raffinement de l’autre, ou de son culte de la nuit. Ou de ce que le voyage chez Schubert a quelque chose de fantastique, de surnaturel et même, osons le dire, de religieux. On ne célèbrera jamais assez le discret génie de celui qui a osé inscrire la trompe de chasse dans sa messe en la bémol majeur, et pas petitement puisqu’il lui a fait sonner le sanctus !
La lecture de ce livre est plus que mélancolique (il est vrai que le sous-titre « Anatomie d’une obsession » n’est pas sans résonance avec le fameux Anatomie de la mélancolie de Robert Burton), parfois joyeusement déprimante, et plus encore sur un fond de paysage enneigé, mais non sans humour, avec un je-ne-sais-quoi de sardonique. Bostridge fait d’ailleurs remarquer que Beckett était un grand fan de cette œuvre. N’empêche que, malgré la solitude du voyageur, on pense moins aux personnages de son théâtre qu’à un mot de Cioran assurant que « la musique est ce qui nous aide à être un peu mieux malheureux ». Pourtant, ces lieder de Schubert sont certes pleins de désespoir mais plus encore de passion, de sensualité et d’humour ; Bostridge ne va pas jusqu’à écrire que le silence qui clôt un concert du Voyage d’hiver est encore de la musique, mais il distingue la qualité de ce silence-là des autres. Et il sait parfois se taire dans son enquête, se lançant à lui-même et à nous autres lecteurs l’injonction « Assez de musicologie ! » quand il sent qu’il en fait trop sur l’assimilation du triolet ou la configuration rythmique. Ce même silence qui selon lui clôt tout récital du Voyage d’hiver :
« Un silence se fait, une fois éteints dans la salle les échos de la dernière phrase de la vielle- silence souvent prolongé et qui fait partie de l’expérience partagée pendant le cycle. Silence interprété autant par le public que par les artistes. Suivent habituellement les applaudissements « muets » qui peuvent se transformer en acclamations (…) Les règles normales du récital de chant sont ici suspendues. Aucun « bis » n’a été préparé : le public n’en attend pas, si enthousiaste qu’ait pu être sa réception du concert, et il n’y en aura pas de toute façon. Il règne un sentiment de gravité, d’avoir approché un univers supérieur quelque chose d’ineffable et d’intouchable »
C’est peu dire que cette œuvre (elle dure soixante-dix minutes en tout) jouit d’une discographie abondante. Dietrich Fischer-Dieskau l’a même en registrée à cinq reprises. Par des barytons donc (Schubert en avait tant écrit pour le baryton Vogl) mais aussi par des barytons-basse, des mezzo-sopranos, des ténors, des femmes aussi donc (Christina Schaefer) car l’œuvre ne propose pas un message mais une rencontre… Mais on ne sache pas qu’aucun d’entre eux ait jamais consacré des centaines de pages à creuser l’envoutement provoqué par le compagnonnage du Voyage d’hiver. C’est aussi que Ian Bostridge est un musicien atypique en ce qu’il n’a pas été formé dans les écoles de musiques et les conservatoires, mais plutôt du côté des historiens puisqu’il est diplômé d’histoire et de philosophie des sciences après avoir étudié à Oxford puis Cambridge et qu’il a un temps enseigné la théorie politique et l’histoire de l’Angleterre au XVIIIème siècle (il n’est chanteur professionnel que depuis l’âge de 30 ans). Et même parmi eux, il est marginal puisqu’il avoue que sans le moteur de recherche dans son ordinateur, il n’aurait pu mener ses recherches à bien.
Pour écrire ce qui apparaît comme un « Winterreise à travers les âges », il fait autant appel à la musicologie qu’à l’histoire culturelle et à la psychanalyse, mais sans excès car contrairement à tant d’universitaires, du moins des Américains, il ne passe pas son temps à conjecturer sur l’éventuelle homosexualité du compositeur (au milieu du XIXème siècle, il était courant de désigner la musique de Beethoven comme masculine, et celle de Schubert comme féminine !). Au fond, s’il a écrit ce livre, c’est aussi pour conserver en lui cette œuvre dans toute sa fraicheur alors qu’il l’a interprétée en public une centaine de fois, et qu’un nouveau pianiste, un nouveau public et une autre salle ne suffisent pas toujours à renouveler le bonheur des premières fois. En 1997 déjà, il avait ouvert une nouvelle voie en consacrant un documentaire au cycle romantique de Schubert que Channel 4 diffusa en Grande-Bretagne.
Digressif ? C’est peu dire. Il y est autant question de l’enseignement de Salieri ou du climat politique réactionnaire de l’Allemagne et de l’Autriche des années 1820 que de la formation et de la fonte des glaciers, de la fascination du compositeur pour les livres de James Fenimore Cooper, des effets de la syphilis sur le mental, de l’arbre magique au cœur de Des Lindenbaum ou de la culture teutonne. On s’en doute, les poèmes de Müller y sont passés au peigne fin tant pour eux-mêmes que dans une perspective comparatiste (Byron). C’est l’occasion pour l’auteur de payer sa dette à l’un de ses maîtres de jeunesse, son professeur d’allemand qui lui révéla la beauté poétique des lieder, et pas seulement ceux de Schubert.
Oserais-je l’avouer, si je me suis laissé emporter par cette exploration inouïe d’une œuvre musicale, c’est aussi parce que les Lieder de Schubert sont une de mes madeleines. Pas seulement le Voyage d’hiver , car il y en a près de six cents. Je n’ai pu m’empêcher d’en placer certains au cœur de mon roman Sigmaringen ; et si mon héros s’appelle Julius, c’est sans doute parce que j’avais en permanence sous les yeux la couverture du CD des lieder de Schubert interprétés par Ian Bostridge accompagné au piano par … Julius Drake. Mes préférés sont An Den Mond ou Auf Dem Wasser Zu Singen, ou encore Nacht und Traüme. Que des chants d’une pureté cristalline qui ont le pouvoir d’ouvrir plus largement l’âme toutes passions abolies.
C’est peu dire que l’on quitte ce livre à regret. En fait, on s’en sépare comme on abandonne une salle de concert après un récital du Winterreise. A la fin de son récit, Ian Bostridge dit que, contrairement aux autres concerts de musique classique, ic il n’y a pas de distance d’ébahissement entre le public et le chanteur, la virtuosité étant dissimulée, discrète, tant le public est invité à s’identifier au personnage habité par le chanteur.
« Dans ces conditions, après avoir pénétré si profondément des arcanes aussi intimes; après cette confrontation mutuelle de part et d’autre de la rampe; après avoir dévoilé nos fragilités réciproques pendant soixante-dix minutes (ce qui est une durée considérable), un retour à la « normalité » peut poser quelques problèmes. Les rituels de fins de concert peuvent aider tout bien que gêner : il est parfois impossible de faire les choses habituelles -retrouver des amis, prendre un verre, souper. La solitude est souvent plus attirante -et préférable »
Etrange comme il en va parfois de même avec les rituels de fin de lecture, de certaines lectures, d’une telle lecture.
(« Cantonnement d’étape devant Paris, 24 octobre 1870 » huile sur toile, 1894, de Anton von Werner, BPK/nationalgalerie ; « Ian Bostridge » photo D.R. ;
2 377 Réponses pour Passer l’hiver avec Schubert
Je vous teste, Ed, et si je vous teste c’est que je vous trouve intéressante.
Bonne fin de soirée,
@C’est D.ieu qui décide, on n’y peut rien.
Et le qualificatif de foutriquet vous colle à la peau depuis un certain jour chez Paul Edel ; c’est ainsi et peut-être injuste, mais on n’y peut plus grand chose
Stink-Foot
https://www.youtube.com/watch?v=D9FBQ1O5F8k
Ou que vous êtes sadique, Chaloux. Toutefois, l’un n’empêche pas l’autre.
Bonne soirée à vous
@Chaloux dit: 12 janvier 2018 à 23 h 18 min
Je préfère cela, Chaloux. Le hasard de cette association m’a rappelé des pratiques criminelles. Nul besoin de les préciser.
Ceci étant dit, mon prénom m’a souvent intriguée car il porte en lui une présence.
Blabla : »Je considère Passou comme mon frère humain mais ça ne m’empêchera pas de lui dire ce que je pense vraiment de son livre en toute humanité. »
Quand un cuistre vous impose sa fraternité, c’est toujours un moment délicat que celui où il va falloir lui faire comprendre, avec toutes les précautions nécessaires, qu’on est déjà bien pourvu en fraternités, que sa fraternité serait pour nous un meuble inutile.
@Je considère Passou comme mon frère humain mais ça ne m’empêchera pas de lui dire ce que je pense vraiment de son livre en toute humanité
Pas mal. Tous ici, leur coquetterie dut-elle en souffrir, devrait adopter cette ligne de conduite
devrait > devraient [ils sont nombreux]
Il y a ceux qui considèrent que c’est une maison, et ceux qui considèrent que c’est un meuble. Entre les deux, aucune communication n’est possible.
Christiane, je ne vous en veux pas à ce point-là! Que voulez-vous, beaucoup d’entre nous sont crucifiés au Christianisme, beaucoup plus à mon avis qu’on ne le dit. Vous me faites penser qu’il faut que je cherche Là-Bas…
Ed, je ne suis pas sadique, je suis intéressé, il y a quelque chose dans ce que vous manifestez qui retient mon attention, qui me semble rare, mais je ne sais pas ce que c’est. Peut-être êtes-vous vivante.
ici, SK pourrait s’assimiler à un meuble meublant. Dites le lui
@Widergänger dit: 12 janvier 2018 à 23 h 37 min
Il est beau votre commentaire, W.
Lisant le livre de Passou, je pense souvent à vous. Tous les deux, comme il l’écrit page 265, savaient ce qu’est « le bruit du silence » Oxymore bruissant, « murmure sourd et léger » des voix de ceux qui vous ont précédés. Non, ça ne porte ni à moquerie, ni à indifférence. Courage et obstination. Continuez.
J’ignore qui est ce Paccaud mais pour une fois je suis d’accord avec Blabla. Ses propos sur Serge Klarsfeld sont absolument ignobles.
@Chaloux dit: 12 janvier 2018 à 23 h 58 min
Comme elle est belle cette pensée :
« Vous me faites penser qu’il faut que je cherche Là-Bas…«
@Comme elle est belle cette pensée
Surtout dans ces circonstances
Ce que je voulais dire, ne vous déplaise, Christiane, c’est que rien n’est plus rare (à part ceux qui durent deux minutes dans le hasard des rues), et certainement plus volatile, que le sentiment d’une fraternité entière et complète entre deux êtres (j’écarte de mon propos le sentiment amoureux qui a des qualités à lui). Qu’elle est constatée bilatéralement, généralement sur le mode l’étonnement. Je ne suis pas persuadé, loin de là, que la critique littéraire sauvage d’un soi-disant écrivain, grumeleux, raté comme la pire des pâtes à crêpes, lancée à un second qui peut avoir des doutes, entre nécessairement dans ce cadre. Blabla qui ne maîtrise ni l’art d’écrire, ni celui de traduire, et probablement moins encore celui de vivre, possède au contraire parfaitement celui d’être rampant dans l’intention.
Et une pensée pour les myosotis.
@Ses propos sur Serge Klarsfeld sont absolument ignobles.
absolument.
@Chaloux dit: 13 janvier 2018 à 0 h 13 min
Ah, ce n’est que cette vieille querelle entre vous deux…
Je préfère garder votre phrase telle que je l’ai reçue avec tout son mystère…
Oui, christiane, mais faire vivre ce silence par l’écriture est une tâche démentielle. C’est pourtant mon ambition.
En lisant aujourd’hui le livre de Jeanne Ancelet-Hustache (qui rmonte à 1955 !) sur Gœthe, j’ai appris qu’à l’époque de Gœthe l’Allemagne était constituée, héritage du Saint-Empire romain germanique, de 540 principautés et princes ! Pas tous princes électeurs bien sûr, mais quand même !
On n comprend rien au destin tragique de l’Allemagne si on n prend pas en compte cette donnée absolument fondamentale et qui explique tant de choses du destin moderne de l’Allemagne et du nazisme.
La France c’est exactement l’inverse, un centralisme administratif engagé par les rois depuis le XIIè siècle, un centralisme de la langue française aussi depuis la même époque avec la domination du français du nord sur le sud qui restera malgré tout toujours différent en raison aussi de l’ancienneté de l’influence de Rome dès l’Antiquité. On comprend que Napoléon et l’unité française, sans parler de la révolution, aient pu si fortement impressionner les Allemands, la génération de Gœthe et celle plus jeune surtout de Hölderlin, de Schelling et de Hegel.
Il n’y a pas de mystère, Christiane. J’ai fait lire quelques livres de Huysmans à une jeune femme extraordinaire. Le retour que j’ai eu sur Là-Bas était si enthousiaste que j’ai très envie de le relire.
@un centralisme administratif engagé par les rois depuis le XIIè siècle
Bon, le juge civil, gardien des libertés individuelles, dira ce qu’il en est des prétentions des uns et des autres
Blabla :En lisant aujourd’hui le livre de Jeanne Ancelet-Hustache (qui rmonte à 1955 !) sur Gœthe, j’ai appris qu’à l’époque de Gœthe l’Allemagne était constituée, héritage du Saint-Empire romain germanique, de 540 principautés et princes : .
Pour un si grand spécialiste de la littérature allemande, on peut dire que c’est pas trop tôt!…
@Ed dit: 12 janvier 2018 à 0 h 33 min
L’écrasante majorité des hommes divorcés ne souhaitent pas la garde alternée. Just sayin…
Selon quelle source ?
Symétrie n’es pas parallélisme, soit dit en passant.
Un coin du monde :
https://www.google.fr/maps/@-78.2076154,166.3916065,3a,63.9y,257.24h,83.62t/data=!3m6!1e1!3m4!1soq32YtFKKCNUMqOPNpfkZQ!2e0!7i13312!8i6656
Le malheur de l’Allemagne, c’est la conjonction, à mon avis, de deux éléments fondamentaux :
1°) Cet éparpillement de l’autorité dans les principautés;
2°) l’emprise d’une idéologie aussi destructrice de toute unité spirituelle que celle du Romantisme allemand dans ce contexte historique, territorial et politique.
On ne comprend pas Fichte et ses délires sans cela. On ne comprnd rien à Schelling et à sa communauté des cœurs sans cela.
Mais c’est dans un tel contexte que naît cette idéologie folle qu’est le Romantisme qui prône ce retour névrotique à la Nature comme à la Mère fantasmatique dans tout ce qu’elle peut aussi avoir de destructrice pour le Moi, et avec ce culte du génie, du « titan » qui n’obéit qu’à son intuition, qui n’a que faire des règles de la morale ordinaire et de la sociabilité, qui s’enferme dans le culte de sa Bildung et réduit sa participation à la société à une obéissance plate et sans âme. C’est de là qu’est née la terreur nazie. Hitler est, d’une certaine façon, un homme politique essentiellement romantique. C’est aussi en cela qu’il a séduit, en dehors de ses dons d’orateurs ; chez lui, comme chez les romantiques, les paroles sont des actes. Il y a une intimité profonde, même si les forms extérieures le démentent, entre l’esprit du romantisme allemand et le nazisme. Même culte de la Grèce aussi, comme chez Heidegger.
Ce qui rend Hölderlin différent c’est son syncrétisme, qui assimile par exemple le Christ et Héraklès. Il a une vision de l’Orient finalement très proche de la vision moderne qu’en a aujourd’hui J. Attali avec les rapprochement prtinent qu’il fait entre Athènes et Jérusalem. Hölderlin est à cet égard un précurseur passionnant à lire pour cela aussi !
Hölderlin et Attali maintenant …
Dites, Widegrenier, le blog d’Attali fut un temps florissant de commentaires intéressants mais depuis quelques temps ils sont réduits à zéro ; cela semble coïncider avec vos interventions mais n’étant pas un adepte du grand Jacques, je ne porterai aucun jugement définitif. Vous qui êtes un familier,vous nous en dites plus ?
http://blogs.lexpress.fr/attali/
D. dit: 13 janvier 2018 à 0 h 32 min
Symétrie n’es pas parallélisme, soit dit en passant.
Je voulais dire symétrie. Donc j’ai dit symétrie. Pas parallélisme.
WARNING: This video might shock you, and may even scare you! However this is not my reason for posting it. This video is about just what the title states. It’s about Moon, Nasa, and Bla Bla Bla
Les parents en accord souhaitent une résidence chez la mère pour 71% des
enfants, la résidence alternée est sollicitée pour 19% d’entre eux, la résidence chez le
père pour 10%
http://www.justice.gouv.fr/art_pix/1_rapportresidence_11_2013.pdf
Merci de ne pas toujours remettre en doute les propos des autres. Je ne suis pas Donald Trump.
@Exploitation des décisions définitives rendues par les juges aux affaires
familiales au cours de la période comprise entre le 4 juin et le 15 juin 2012
Parole d’évangile
et pour les parents « en désaccord », qu’on imagine être les plus nombreux à saisir le juge aux affaires familiales ?
on ne devrait en effet pas avoir à demander la source qui vient à l’appui d’affirmations ; elle devrait être indiquée d’embée
Roh je ne vais pas lire à votre place. C’est écrit noir sur blanc : la majorité des couples est en accord. Bon sang de bon soir.
d’emblée
mais c’est bien lorsqu’il y a un désaccord que le juge est saisi
On devrait. Mais quand on vous présente la source, vous la contestez. Donc bon. Polémiquer pour polémiquer, ne pas reconnaître qu’on a tord. Je n’ai pas le temps et surtout je m’en tamponne le coquillard puisque je refuse de me reproduire. Alors les histoires de mioches dont on ne sait plus quoi faire…
dans quel sens tranche-t-il alors ?
on peut discuter de questions qui dépassent son nombril mais on n’y est pas obligé ; c’est respectable; Moi-même …
on peut discuter de questions qui dépassent son nombril
Oui. Mais là, ça dépasse mes limites des bornes. Ces couples qui pondent, se déchirent, et ces petits poussins au milieu. Je suis trop sensible vous savez !
C’est sans doute la raison pour laquelle sous couvert de progressisme et d’émancipation vous vous faite le plus parfait soutien d’archaïsmes qui feraient de vous une caricature partout où le droit de la famille a connu quelque évolution depuis deux siècles.
Faites
le plus parfait soutien d’archaïsmes
Pardon ? Je soutiens quoi ? Je crois que vous vous méprenez sur mes opinions.
ouvrez l’oeil et le bon
Souci écologique bienvenu et activité reproductrice des… crapauds :
« Une route de Saint-Malo en Ille-et-Vilaine va être interdite à la circulation automobile pendant deux mois pour favoriser la reproduction des crapauds, a annoncé la mairie vendredi dans un communiqué. »
Pour que ce soit vraiment efficace, il faudrait diffuser par hauts-parleurs de la musique douce sur cette route, pour détendre les crapauds et rendre propices leurs copulations. On pourrait même leur proposer en divers endroits des écrans qui leur proposeraient des images pornographiques, afin de bouster leur libido. On serait aux petits soins avec la gent crapauds… Il serait même nécessaire de leur proposer des sandwichs après l’effort.
Certains réprouvent le jugement que l’on porte sur le Klarsfeld, personnage tout à fait critiquable, comme tout le monde, dans ses jugements… !
Pourquoi devrait on s’abstenir de le remettre à sa place ? SK serait il devenu un saint ! un intouchable ? un surhomme ?… Ridicule.
Quand on n’est pas d’accord avec ses jugements excessifs, sectaires, on le dit : il est un homme comme un autre. Ni meilleur, ni pire.
je n’admets pas que Serge Klarsfeld s’arroge le droit de me dire ce que je peux lire et ce que je ne peux pas lire.
—
1. Si vous avez internet, vous pouvez lire les déjections céliniennes, y compris en version anglaise. Argument nul et non avenu, donc.
2. Klarsfeld ne s’arroge aucun droit, c’est un personnage public. Faites- vous inviter sur un plateau ou dans un studio, et exprimez-vous. A l’heure qu’il est, la pétition de la Licra a recueilli 18 000 signatures, 17999 + SK. La méthode du ciblage ad hominem est le premier chapitre du Petit cagoulard pour les Nuls.
3. Il va falloir vous y faire, ni les juifs, ni les anti-nazis de tous bords (car les pamphlets sont à la fois antisémites et pro-nazis) ne se laisseront faire désormais.
La partie est gagnée, mais la paix est armée.
Cette édition des pamphlets était mal engagée. Il aurait fallu proposer une édition scientifique inédite, qui n’aurait pas alourdi le texte, et une préface par contre nourrie, qui aurait replacer ces textes dans le contexte de l’antisémitisme au XXe siècle. C’est ce que l’historien Zev Sternhell suggérait dans le monde, à mon avis très justement. On aurait pu en plus donner cette édition dans la Pléiade, qui a vocation à recevoir l’oeuvre complète de Céline, manière d’éviter le tout-venant, jamais bon en littérature. Gallimard n’a pas fait son travail d’éditeur, sur ce coup-là, et c’est bien dommage. N’en déplaise à Klarsfeld…
« Je n’admets pas que Serge Klarsfeld s’arroge le droit de me dire ce que je peux lire et ce que je ne peux pas lire. »
Juste réflexion que je partage tout à fait ! Bien au delà des balbutiements de Bloomie le Froggie, propos navrants comme d’habitude.
Klarsfeld aurait mieux fait de se taire, nous n’avons pas besoin de lui pour savoir ce qui nous est PERMIS de lire !….
«… mais que ça soit halors au discrédit des autres..car en voilà hune de generation de vrai phantasme contrario»
… puisque je ne veux pas faire de jaloux, bouguereau, et parce que les monothéistes ce ne sont pas les seuls à bénéficier de coutumes aberrants, on rappellera l’anecdote de la nonne bouddhiste (zen) défigurée parce que sa beauté aurait distrait les moines.
Pourtant tout le monde le sait : on censure un pamphlet aujourd’hui et on ne sait pas quelle opinion sera censurée demain.
SK est un personnage public, oui, et JC n’est même pas une sous-merde, alors…
Tiens ! le garçonnet mal élevé s’est déchainé…
Widerganger de 18.04,Vous écrivez que les « les lois de la République l’interdisent ». Pourriez-vous développer car à ce jour, jamais les pamphlets de Céline n’ont été interdits. Seul l’auteur, puis son ayant-droit, en ont retenu la diffusion. Ils peuvent se retrouver demain en librairie dans leur plus simple appareil, si un éditeur et un diffuseur le décident, sans que les tribunaux n’aient à s’en inquiéter. La seule censure ne peut venir que d’associations ou d’individus qui saisiraient la justice.
Observation relative au Milvus milvus :
http://blogfigures.blogspot.fr/2012/01/carlo-emilio-gadda.html
Au-delà du commentaire maladroit et un rien flagorneur de Christiane,ne serait-il pas intéressant que des lecteurs et lectrices « habilités », tels Paul Edel, Bloom, WGG, Clopine, renato… donnassent leur sentiment sur le dernier livre de Passou ?
Car il le vaut bien et nous de même…
« Seul l’auteur, puis son ayant-droit, en ont retenu la diffusion ». Vrai :
Publiées en 1981 par l’éditeur Guanda, L’École des cadavres et Les Beaux draps ; retiré tout juste débarqué en librairie à la demande des héritiers de Céline.
Son Evidence, je vous interdis de tenter de me diminuer aux yeux des Erdéeliens et de notre cher Commandatore Passou !
Je ne suis pas une sous-merde !
Je revendique le grade plus élevé de véritable merde, entière, joyeuse, et fière de sentir fort, à savoir autrement que l’eau de rose humaniste débile de la gentry boboïdique…
le mieux fut que eintovène se taise lassouline..les causes défendues par lui sont perdues..les hommes?.. enculés en central..les femmes..battues!..c’est une espèce de rétrovauban
En attendant que Céline tombe dans le domaine public, un article qui fait le point sur la réédition des pamphlets
http://www.lesinrocks.com/2011/02/27/actualite/faut-il-publier-tout-celine-1119304/
Le landerneau connait-il au moins les bons moments littéraires des pamphlets ? La visite de Petrograd dans Bagatelles en est un.
lassouline cherche caution pour pas ête traité d’hantisémitisme auprés de dracul il sait pas qu’il est déjà jeté au fond d’une pissotière comme un vieux chingom..une phameuse truite à choubère
la nonne bouddhiste (zen) défigurée parce que sa beauté aurait distrait les moines
si les rligions se servent des hommes..quelquefois les hommes se servent des rligions..c’est pas toujours facile de savoir qui qu’a la première initiative
Ma chère Elisabeth Lévy met les choses au point:
L’édito d’Elisabeth Lévy
« Les masques n’ont pas mis longtemps à tomber. Voilà deux mois qu’on nous rebat les oreilles avec la libération de la parole de la femme. En vertu de ce nouvel impératif catégorique, toute parole sortant de la bouche des femmes (disons de certaines femmes) est encouragée comme on encourage les babillages d’enfants ou vénérée comme si elle témoignait d’un miracle. Sauf que, bien sûr, on avait oublié de lire les clauses additionnelles en vertu desquelles la parole libérée doit suivre strictement la partition établie par les garde-chiourmes du féminisme. Toutes les femmes sont donc priées de proclamer librement qu’elles sont des victimes, au moins potentielles, et de dénoncer librement leurs « bourreaux », ainsi que l’impayable Sandra Müller appelle l’homme qui lui a parlé de ses « gros nibards ». Et si elles ne le sont pas, en tant que femmes, elles sont instamment priées de se montrer solidaires de la grande vague. Autant dire que cette libération ressemble fortement à un embrigadement. Vive la parole libérée à condition que tout le monde parle au pas.
Mazette, quel vacarme !
À l’exception d’une « une » de Causeur (qui n’a pas fait le bruit mérité) et de quelques prises de position isolées, tout ce que la planète compte de peoples, de belles personnes et de grandes voix mâles et femelles avait annoncé urbi et orbi son allégeance au Parti unique des Femmes. Tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes néo-féministes quand un texte, écrit par une escouade de chipies emmenée par Catherine Millet et signée par quatre-vingt-dix-neuf autres, dont Catherine Deneuve, Ingrid Caven et votre servante, a troublé ce sympathique consensus victimaire. Mazette, quel vacarme !
Cette toute petite parole libérée dans la mauvaise direction a fait s’étrangler de rage les dames de la bonne société médiatiques et exploser le braillomètre: contre-pétitions, défilé de tweets indignés, débats innombrables, interviews dans les médias du monde entier des unes et des autres (Australie, Allemagne, Pays-Bas et Israël pour ma seule pomme), sans oublier un torrent d’injures, sans doute éprouvant pour celles qui n’ont pas l’habitude de ces batailles de chiffonnières.
Les insultes ne dégradent que ceux qui les profèrent
On me dit qu’une chroniqueuse, qui est à elle toute seule un concours très serré entre la bêtise et la méchanceté, m’insulte sur Europe 1 en me traitant d’alcoolique (cela va sans doute faire remonter les audiences d’Europe 1). Pas mal d’amis ont eu la bonté de s’en indigner. En vérité, cette indigence argumentative me met plutôt en joie car elle signale la faiblesse intellectuelle et psychologique de nos adversaires (il faut à l’inverse saluer la Charline de France Inter qui s’est payé ma modeste personne dans une imitation assez vacharde mais plutôt marrante, car reposant sur mes véritables ridicules, travers et autres tics de langage, d’écriture et de pensée. Pas mal vu, et au dessus de la ceinture. Dont acte.).
Espérons que madame Deneuve, qui a subi quant à elle un déluge d’une eau encore plus crasse, lui accorde autant d’importance, c’est-à-dire aucune. De même qu’un violeur n’attente pas à l’honneur de sa victime, il perd le sien, les insultes ne dégradent que ceux qui les profèrent et devraient les disqualifier. Que les insulteurs aient pignon sur rue est un signe supplémentaire du niveau consternant du débat public. Que, par la magie noire des réseaux sociaux, toute demi-gloire médiatique puisse en quelques clics lever une armée de médiocres pratiquant la chasse en meute, planqués derrière leur téléphone comme des pilotes de drones derrière leur console, voilà qui fiche carrément la trouille. À ce sujet, il n’y a qu’une foi irrationnelle en l’espèce humaine qui puisse sauver : une civilisation qui a produit Mozart et Freud ne peut pas se soumettre durablement à un pouvoir sans visage dont la légitimité se mesure au bruit qu’il fait.
Marlène, Ségo, Caro: le sommet des noms alignés
Il est un peu décourageant, quoiqu’habituel, que les vierges les plus bruyamment outragées n’aient pas pris la peine de lire le texte qu’elles ont couvert d’imprécations. Les saintes patronnes du féminisme gouvernemental, ex-gouvernemental et para-gouvernemental, Marlène, Ségo et Caro (Schiappa, Royal et de Haas), sans oublier l’ineffable Laurence Rossignol, ont donc, comme prévu, grimpé au rideau et expliqué que les signataires faisaient l’apologie du viol ou le légitimaient et que le texte était une permission d’agresser. Dans la foulée une cohorte d’hommes parfaitement domestiqués revendiquait sur le mode ricanant « le droit de mettre des mains au cul » (que les pétitionnaires leur auraient accordé).
A lire aussi: 2017, l’année des balances – Par Elisabeth Lévy
Rappelons que la pétition commence par les mots : « Le viol est un crime ». Quant à la fameuse phrase sur les frotteurs, qui a choqué beaucoup de partisans du texte, peut-être était-elle un brin subtile – et dans le monde du premier degré, la subtilité est souvent une faute politique. Tout en rappelant que le « frottage » est un délit, elle disait qu’on pouvait ne pas être traumatisée, ce qui signifie qu’on pouvait l’être, mais qu’on pouvait aussi s’en moquer royalement une fois le désagrément passé. Il est tout de même curieux que cette idée fasse scandale : sous prétexte que certaines femmes sont traumatisées par des propositions indécentes ou des blagues salaces, il serait interdit à toutes les autres de s’en moquer ? Certaines femmes aiment être draguées à la hussarde, d’autres courtisées avec de grandes manières, d’autres encore détestent être draguées. Faudra-t-il nous aligner toutes sur ces dernières ? Etant entendu que la pression physique est inacceptable, doit-on inscrire dans la loi qu’un homme (ou une femme car les harceleuses sont bien plus nombreuses qu’on le dit) doit s’arrêter au premier refus ? À ce régime, nombre de chefs d’œuvre du cinéma ou de la littérature auraient tourné court.
Sexe totem et tabou
L’historienne Michelle Perrot se dit sidérée qu’on puisse manquer à la solidarité féminine. En somme, puisque des femmes sont victimes, nous sommes toutes des victimes. Nul ne nie que des femmes soient violées, battues, ou soumises au chantage d’hommes. Il est faux en revanche que cette souffrance soit la règle dans notre société. Ajoutons qu’une femme qui subit une insulte ou une mauvaise blague d’un homme n’est pas plus en situation d’infériorité qu’un homme subissant la même chose d’une femme, sauf à considérer que les hommes sont structurellement plus forts, même en insulte, ce qu’il est difficile de soutenir.
La pétition Millet rappelle que les relations entre les sexes ne sont pas une promenade de santé et que le désir n’est pas le domaine de la règle, de la codification et du contrat, mais celui du trouble, du tourment, de l’ambiguïté et du rapport de force, bref qu’entre adultes consentants tous les jeux sont permis et que nul ne saurait s’arroger le droit d’édicter une norme. Oui, la plupart des histoires commencent par un geste, un mot, un regard qui pourrait être considéré comme importun. La vision de la sexualité de nos dames-patronnesses est confondante de naïveté, convaincues qu’elles sont de savoir comment ça marche. À les entendre, nous sommes toutes des Cécile de Volanges, l’oie blanche déniaisée par Valmont dans Les Liaisons dangereuses. Peut-être n’ont-elles jamais entendu parler de la marquise de Merteuil pour croire ainsi tout ce que disent les femmes ? Quant à l’idée qu’on peut jouer avec la domination ou y prendre du plaisir, elle ne semble pas les effleurer.
En attendant, la violence des réactions à ce qui n’est qu’un texte parmi des centaines affirmant le contraire a de quoi surprendre. Il faut croire que le nouvel archevêque de Paris, monseigneur Michel Aupetit, se trompe quand il dit : « aujourd’hui, le tabou n’est plus le sexe, mais Dieu ». En réalité, aucun autre sujet ne suscite une telle montée aux extrêmes dans le débat. Il faut croire au contraire que le sexe reste le grand tabou, voire l’ultime refuge de la subversion. Le bazar qu’a mis notre petit poulet montre que, malgré leur infatigable activisme, les reines du contrôle, de l’interdit et de la sanction ne parviennent pas à normaliser le désir. Alors que des nuages noirs s’accumulent sur nos libertés, c’est une bonne nouvelle. »
3. Il va falloir vous y faire, ni les juifs, ni les anti-nazis de tous bords (car les pamphlets sont à la fois antisémites et pro-nazis) ne se laisseront faire désormais.
les juifs sont le parti du bien..sapré dsapré kabloom..les uzi c’était fait pour ête caché surtout entre juif kabloom..entr’autres il se font hencore hillusion
Klarsfeld-fils aurait muselé la pétition à Deneuve, si le prestigieux passou en avait écrit la préface. mesquineries et vengeances.
PAYS DE MERDE
Après une réunion d’urgence qui a duré quatre heures, le groupe de 54 ambassadeurs s’est dit « extrêmement choqué » et « condamne les remarques scandaleuses, racistes et xénophobes » de Donald Trump « telles que rapportées par les médias ». Le groupe exige ainsi « rétractation et excuses ». Il se dit « préoccupé par la tendance continue et grandissante de l’administration américaine vis-à-vis de l’Afrique et des personnes d’origine africaine à dénigrer le continent, et les gens de couleur. »
J’adore DONALD TRUMP, Président élu d’un pays qui n’a pas la chance d’être un pays africain … uhuhu !
Les saintes patronnes du féminisme gouvernemental
entr’enthovène et élisabète c’est la connerie qui svoit entr’eux pas comme l’uzi..ma mère de ma mère..bon..il suffit de sfaire hinviter sur hun plateau télé qu’il dit kabloom..
Elle cause, elle cause, même très bien, mais est-ce qu’elle baise au moins, ta chère Elisabeth Levy, closer ?
J’adore DONALD TRUMP
t’as une trop grosse uzi jicé..mais tu peux pas ête du parti du mal si tu rconnais la crème de jéruzalème..havec un copin comme toi hon a pus bzoin d’ennemis ni de nazi..
Les saintes patronnes du féminisme gouvernemental
entr’enthovène et élisabète c’est la conrie qui svoit entr’eux pas comme l’uzi..ma mère de ma mère..bon..il suffit de sfaire hinviter sur hun plateau télé qu’il dit kabloom..
Klarsfeld-fils aurait muselé la pétition à Deneuve, si le prestigieux passou en avait écrit la préface. mesquineries et vengeances
t’en dis trop ou pas hassez..bref t’en dis que moyennement..fais nous du 5 sur 5 comme en ce2 phil..tu peux le faire
Elle cause, elle cause, même très bien, mais est-ce qu’elle baise au moins, ta chère Elisabeth Levy, closer ?
entr’une noyeuse de poasson et chouchère y hune différence qui t’es imperceptibe baroz..c’est ton dam..toute l’éducation du monde et tous les lecteur et lectrice habilités pas plus lassouline n’y pourront rien faire
une merde de qualité internationale… !
si tu l’écris pas en angliche c’est signé ça reste provincial et profondément goyim comme dirait drh..
Après la Guerre des Deux Roses, la Guerre des Deux-Merdes ! Et le boug comme arbitre (ou art bite) ?
..ose lassouline..un gros bandeau ‘et si céline havait..’ t’as ton artic dans le nyt..kabloom t’apelra meussieu..harvey signra des petitions avec polanski et dracul pour t’acuser de torture de femme nue dans les caves..la gloire lassouline la gloire!..la vraie
Mon cher Bougboug,
Oui, je l’avoue ! Je suis fou de rage, écrasé par la sombre jalousie, teigneux comme un cégétiste, envieux comme une lady que personne ne frotte dans le bus, lorsque je pense que l’Etat entretient à rien foultre un Bloom pareil, taré à l’or fin de nos impôts ….
En attendant, Philippe Régniez se fait toujours des c.ouilles en or au Paraguay !
http://www.editionsdelareconquete.com
Torturer une féministe liberticide dans une de mes caves en la traitant de « SALE DENEUVE ! SALE DENEUVE ! POURRIE DE LEVY ! POURRIE…. », j’avoue que ça me tente.
Mon éducation catholique, probablement, a laissé des traces céphalées.
vaut il mieux les avoir en or au paraguay ou en zinc au fond d’un caveau au père lachaise baroz ?
En attendant, Philippe Régniez
sans virgule
Camarade modérateur,
je te remercie et te souhaite un week-end agité ! Mieux vaut tard que jamais : un jour de décalage n’est rien pour le sage qui adore la bêtise lourde et la crasseuse vulgarité.
« JC….. dit: 12 janvier 2018 à 6 h 29 min
Vous redoutez un frottadou dans le métro aux heures où ça pointe ?
Equipez vous de notre petite culotte numérique connectée !
Le tissu, excité par le frottement, établira instantanément la connexion avec la Milice des Mœurs et le vicelard sera cueilli à la station suivante où un magistrat procèdera lui-même à la castration du coupable métropolite.
On n’arrête pas le progrès ! »
Annibal, je doute que le catalogue de Philippe Régniez lui permette de se faire des « c…. en or »!
Néanmoins, la controverse actuelle sur les pamphlets de LFC va certainement lui procurer quelques commandes supplémentaires…
« au père lachaise »
Les cimetières sont pleins d’anciens vivants que vont visiter de futurs morts, le boug…
« mais est-ce qu’elle baise au moins, ta chère Elisabeth Levy, closer ? »
Je ne peux malheureusement rien dire sur le sujet!
Façon de parler, closer. Mais sa petite entreprise ne doit pas connaitre la crise !
« LOUIS-FERDINAND CELINE
OFFRE BIBLIOPHILE EXCEPTIONNELLE
Réédition de APOLOGIE DE MORT A CREDIT à 100 exemplaires sur papier Polen Arena.
(Ouvrage rare coté à 400 euros pour l’édition originale par les libraires antiquaires) »
On m’a dit qu’avoir des amygdales externes en or, c’était gênant dans la vie de chaque jour !
Et que beaucoup d’amis frappés par ce malheur attendaient impatiemment leur délivrance par les médecins de Bercy, aptes à traiter ce fléau comme il convient.
« Je ne peux malheureusement rien dire sur le sujet ! » (closer)
Raison de plus pour en parler !
Il parait que le service trois pièces de closer l’a laissée sans voix, JC !
https://bestofactus.files.wordpress.com/2013/05/elisabeth-levy-clementine-autain-israel-debat-tv-hondelatte.jpg?w=300&h=181
Je voulais dire symétrie. Donc j’ai dit symétrie. Pas parallélisme.
–
ouich mais il se trouve qu’on trouve des fois du parallélisme dans la symétrie et vice-versa toujours.
Alors ça méritait précision.
Vous êtes nouvelle sur ce blog et vous ignorez manifestement que je suis un grand mathématicien et logicien.
On le savait mais c’est désormais officiel : les Etats-Unis ont un président de merde.
Grand suspens sur la RDL. Qui de D. ou de Cheloux va pecho Ed ?
@JAZZI dit: 13 janvier 2018 à 8 h 39 min
Tu es vraiment minable, Jazzi.
« On le savait mais c’est désormais officiel : les Etats-Unis ont un président de merde. » (Clopine)
On le savait, mais c’est confirmé : Clopine est une immense c.onne
rien ne vaut la lecture des pamphlets sur papier d’époque, le format choisi par Denoël (et Steele, bizarrement oublié mais toujours bien associé du temps de « Bagatelles ») idéal pour ce style imprécatoire. inutile d’aller chercher les éditions des picaros.
Chantal,
j’ai écouté ce bel entretien entre Pierre Assouline et Sylvie Tanette sur la RTS. Bien apprécié la façon dont Frédéric Lugon a lu les deux pages choisies. Beaucoup d’éclaircissements quant à cette proposition de donner la nationalité espagnole à tout Séfarade qui la demanderait et au fait que pour P.A c’est une démarche symbolique.
La présence du Quichotte plane sur les échanges. Un échange pertinent aussi sur l’humour.
Étant à la mi-temps du livre c’est plutôt sa veine tragique que j’ai perçue.
Merci, encore.
Je laisse la place à ceux qui se croient libres parce que méprisants alors qu’ils interviennent ici dans une flagornerie permanente… s’étalant dans cet espace avec des écritures qu’ils pensent être indispensables aux lecteurs…
Avec les Casanova de Passou affolants de séduction, la belle ED ne passera pas l’hiver sans chauffage organique gratuit …
Closer – 9h25
Merci pour cet article d’E.Lévy qui remet les pendules à l’heure !
« ceux qui se croient libres parce que méprisants alors qu’ils interviennent ici dans une flagornerie permanente… s’étalant dans cet espace avec des écritures qu’ils pensent être indispensables aux lecteurs… »
Ah bon ?! J’ai rien remarqué…. ceci dit, il en faut pour tous les goûts, Sœur Christiane !
Cet article des Inrocks du 4/01/2018 pose une question intéressante : ne pas publier ces pamphlets, n’est-ce pas blanchir L-F.Céline ? (ne pas oublier d’ouvrir le lien « dossier »)
https://www.lesinrocks.com/2018/01/04/actualite/reediter-les-pamphlets-de-celine-pour-mieux-denoncer-lantisemitisme-111028974/
Oui, il faut saisir la justice avec une plainte — c’est ce que s’apprête ou s’apprêtait à faire SK, et la justice en prenant acte reposera son jugement sur les lois de la République qui proscrive la haine raciale pour interdire les pamphlets. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute.
C’est la démarche habituelle, non !
Pourquoi en avez-vous après tout le monde, mon pauvre petit JC, personne pour compatir à votre immense solitude de vieillard libidineux et impuissant à qui ne reste qu’injures et imprécations tordues ???
un coin du monde
La raison est impuissante à en décider objectivement de toute façon. C’est un simple question de rapport de force. Et heureusement pour l’instant le rapport de force empêche que ces trucs répugnants et dangereux soient publiés officiellement. Et j’espère bien qu’ils ne le seront jamais.
Personne ne sait quel impact ils peuvent réellement avoir dans la société. Mais mieux vaut ne pas essayer de le savoir en ne les publiant pas ! Principe de précaution en quelque sorte.
Et que dirait Passou si le meurtrier du prochain juif en France se disait un jour avoir agi après lecture dudit pamphlet ? C’est un risque que je préfère ne pas courir.
Son Evidence, m’étant juré de ne jamais causer avec des gens stupides, il m’est impossible de vous…. etc, etc …
Wiwi,
S’il faut interdire la publication des Pamphlets tant le risque est grand que l’on tue des Juifs au nom de Céline, alors il faut interdire aussi l’impression de l’Alcoran pour les mêmes bonnes raisons, non ?…
Widergänger dit: 13 janvier 2018 à 10 h 48 min
Mon dieu …
Et interdire la production d’armes pour mettre fin à toute les guerres et permettre enfin que se développe sur la terre entière un “rapport de force” pacifique
« Ils peuvent se retrouver demain en librairie dans leur plus simple appareil, si un éditeur et un diffuseur le décident, sans que les tribunaux n’aient à s’en inquiéter »
ce sera vrai en France, à partir de 2031, date à laquelle ces « textes polémiques » ( gaffe à ne pas glisser !) seront libres de droit.
Mais pas sûr, si les textes de loi en France restent inchangés, pour ce qui concerne l’antisémitisme, le racisme et tout ce qui contrevient à l’égalité des citoyens, avec des appels à la haine.
Et la justice peut s’auto-saisir dans bien des cas de ce qui contrevient au Droit français, il me semble.
Par ailleurs ce ne sont pas les deux torquemada, Duraffour et Taguieff, qui imposeront leur censure sur « tout Céline-son oeuvre ».
Serge Klarsfeld avait l’intention de poursuivre en justice pour interdiction préventive de republication, de tout ou partie de ces textes antisémites et collabos, écrits en temps de guerre.
Il n’empêche pas, de les lire.
Et qui veut lire actuellement ces pamplhets de Céline, le peut.
Qu’ils soient chercheurs en littérature, historiens de la littérature ou plus banalement ou antisémites-frendly flânant sur les quais…
____________________
Bas rosis, il faut quand même le temps de lecture, de ce nouveau livre de » Passou », lecture pratiquement terminée pour ce qui me concerne.
L’erreur serait de réagir « à chaud », car les motifs d’avoir une humeur » massacrante », ne manquent pas, et ils ont été bien identifiés par » Passou » qui a plusieurs coups d’avance, notez. Et puis surtout, beaucoup de sujets de ce livre ont déjà été abordés sur la RDL, par les commentateurs, enfin ceux qui commentent le billet…
Mais vous avez raison, Bas rosis, criri est toujours la première à de faire les douze stations au cimetière, pour faire » fermer le clapet »
tout comme vous dans d’autres positions.
« Passou » aussi, à sa manière.
Mais ça va barder quand même 😉
Le temps de laisser refroidir le » pot-au-feu », et surtout trier les morceaux.
Bonne journée, bon week-end !
@oeil pour œil
L’exercice du droit n’est pas un exercice de lobbying
Il me semble que les féministes activistes ont raison !
Pour lutter préventivement contre le harcèlement des femmes par les hommes, interdisons la naissance des garçons dès leur publication…
Pour ce faire n’hésitons pas à jeter les bébés mâles, en gardant – écologiquement c’est mieux -l’eau du bain.
Principe de précaution oblige….
la lecture des « Souffrances du jeune Werther » ayant entrainé à l’époque une vague de suicides, on aurait dû trainer Goethe devant les tribunaux.
Il est clair que l’amour aura un autre sens si on supprime la haine qui l’accompagnait depuis la nuit des temps !
Ne pas penser à 1984, please….
Le principe de précaution implique électoralement un « vote à liste unique » afin d’éviter l’élection du perdant, n’est il pas vrai ?
On n’arrête pas le progrès fasciste….
La lecture des « Souffrances du jeune Werther » avait entrainé à l’époque de sa publication en 1774 une vague de suicides de jeunes gens, a tel point que dans une poésie de 1775, Goethe avait déclaré à propos de son roman: « sois un homme et ne suis pas min exemple ». Si Goethe publiait aujourd’hui un roman qui entraine des suicides,ou même un seul suicide , Goethe serait trainé devant les tribunaux et condamné.
rien ne vaut la lecture des pamphlets sur papier d’époque, le format choisi par Denoël (et Steele, bizarrement oublié mais toujours bien associé du temps de « Bagatelles ») idéal pour ce style imprécatoire. inutile d’aller chercher les éditions des picaros
livré sur tablette havec des gants en caoutchouc un vieux cache nez et un stétoscope..et un ausweiss authentique signé par lassouline..ha en plus du bandeau c’est une hidée en or ça l’ausweiss lassouline..phil y cible que le vintage sobre et couture..c’est phinit tout ça
ne suis pas min exemple
gueute en chti..c’est pas con non pus ça polo
Aucun livre n’a jamais fabriqué un acte antisemite, aucun couteau n’a jamais fabriqué un assassin. Mais les actes antisemites comme les assassins existent et ils doivent être condamnés
On n’arrête pas le progrès fasciste….
hooo comme c’est puissamment dit
Mais les actes antisemites comme les assassins existent et ils doivent être condamnés
Un peu court. Hitler et ses lieut’ n’ont jamais tué un Juif de leurs mains, hein, hein.
Je viens d’apprendre quelque chose qui ne manquera pas d’intéresser les Erdéliens.
Kant avait remis au goût du jour l’antique notion d’Ether, âme du monde.
L’allusion à l’Ether était apparue chez Schelling en 1798 dans son ouvrage sur sa philosophie de la Nature (Idées pour une philosophie de la Nature) qui l’invoquait comme « les régions où les Anciens plaçaient la résidence des dieux » sous la caution de Lucrèce :
Quas neque concutiunt venti neque nubila nimbis
Adspergunt — semperque innubilus æther
Integit, et large diffuso lumine ridet.
Or, cette d’Âme du monde avait déjà été remise en circulation, avant Kant, par Salomon Maimon, un philosophe juif d’origine polonaise mais de langue allemande, auteur d’un Versuch über die Transzentalphilosophie (Essai de philosophie transcendantale ; Berlin, 1790), notion qui a connu un retentissement considérable à l’époque dans la littérature romantique, outre Hölderlin, chez Baader, Steffens, Friedrich Schlegel, puis Schubert, Eichendorff, préparée sans doute par Spinoza dans sa philosophie panthéiste, qui l’a lui-même trouvé chez Maïmonide dans son Guide des égarés et qui existe aussi dans la Kabbale où elle prend le nom de Ein Sof Or en hébreu.
Elle synthétise en somme le syncrétisme d’Athènes et de Jérusalem.
Einstein avait pensé l’avoir mise aux oubliettes de la pensée en 1905 en trouvant comme solution au problème de l’Ether la Relativité restreinte, mais la mécanique quantique l’a remise au goût du jour dans la notion d' »énergie noire ».
Pour ce faire n’hésitons pas à jeter les bébés mâles, en gardant – écologiquement c’est mieux -l’eau du bain
pour arroser les fleurs..la mémoire de l’eau est une vieille lune alchimiss dirait bonne clopine..ça pousse vachtement mieux
Argument spécieux. Ils les ont mis en œuvre.
dracul en urgence philosophique judéomaçonique c’est quelquechose..
Popaul,
Ach Goethe ! Un de mes plus cocasses souvenirs de lycée, j’en ris encore, fut celui-ci.
Un compagnon de galère, ayant raté le bac Maths Elem, prit le gun de son papounet chéri, s’allongea sur le lit conjugal de papa-maman et se tira une balle dans la tête. Raide mort ….
Un jeune con qui ne deviendra jamais un vieux con… excellente initiative !
C’est peu probable, Popaul. La preuve du lien de cause à effet serait fort difficile à établir.
Mais mieux vaut ne pas tenter le diable avec les pamphlets de Céline, qui ne méritent pas tant de publicité.
> les assassinats
Aucun livre n’a jamais fabriqué un acte antisemite, aucun couteau n’a jamais fabriqué un assassin
si bien sûr..c’est juste la preuve de leur effet possibe..et de leur hinteret..bien que reagan ait dit haprés son attentat..’il faut que je vous le dise a la phin ça me taraude trop..c’est la preuve que l’uzi ça rend hintelligent’
A l’époque de Goethe, plusieurs suicidés avaient laissé une lettre pour dire qu’ils étaient dans la même situation intenable que celle de Werther..
Wiwi, on se fout des pamphlets du toubib !
Ce qui est en cause, c’est le principe d’interdiction de publication d’un écrit, d’une pensée, d’une théorie, d’un point de vue, d’une opinion, quels qu’ils soient !
Fascismus !
les pamphlets de Céline, qui ne méritent pas tant de publicité
non seulement klasfeld a dit que céline havait du talent mais hen plus dracul a dit qu’il havait raison..chuttt..parlons de kant subjugué par la synagog..c’est complétement con mais ça ne mange pas de pain azyme
Les effets possibles et la responsabilité de ses actes, Monsieur Opinel
Wiwi, on se fout des pamphlets du toubib !
t’es un gacheur de métier épicétou
Certes, mais cela reste de l’ordre du suicide. Ils ne sont pas allés tuer leur prochain, que je sache ! Et le roman de Gœthe ne fait pas l’apologie de la haine raciale ni du meutre des Juifs.
Avec les pamphlets de Céline, il ne s’agit nullement de suicide, mais de meurtre. Ce n’est pas comparable.
…
…la question, que je me pose,…de l’Europe,…avec, les pays de l’est,!…Outre-Rhin,…
…
…c’est, le détail de l’Union Latine,…est ce sincère, de faire une Union Européenne,…avec les allemands et autres prussiens-autrichiens-roumains-bulgares-hongrois-croates-slovènes,…et dalmatiens slaves-bohèmes,…etc,…
…
…sur, quels pieds, veulent-ils, qu’on danse,…pour nous la jouer, en leurs Tartuffes à Molière,…des hérétiques de guerres sociales, des rôles pour leurs Ben-Huur,..
…
…à nous jouer, leurs dominations, en Stalag-13, des quatre-quartier de leurs noblesses, sur les camps des nations,…
…
…enfin, l’Union Latine,…Précision & Sécurité,…les vestiges en ruines, un mur d’Hadrien,!…pour se protéger, des scandinaves, slaves,…et ex, yougoslaves,…
…
…comme dirait, l’autre, un laps de temps, si tout le monde, pourrait rester, chez-soit, pour se reconstruire,…
…
…les flux-migratoires,…Oasis-Oasis,…à dos de chameaux,…
…une économie parallèle, gérer, par les unions européennes,…et nos chinois de Paris, à Jean Yanne, de Salisbury,!…
…
…de l’humour, d’à propos,…sur le vif,…
…Bip,!Bip,!…etc,…envoyez,!…
…
A l’époque de Goethe, plusieurs suicidés avaient laissé une lettre pour dire qu’ils étaient dans la même situation intenable que celle de Werther..
toi c’est pas pareil polo..t’as la grappa..retiens ton doigt de la gachette du 12 à pompe..c’est estrémement salissant dirait bonne clopine
Gœthe avait commencé à apprendre l’hébreu et le yiddish aussi. Hölderlin et sa génération apprenait l’hébreu en partie au Stift de Tübingen pour lire la Bible.
Le Stift de Tübingen c’était un peu l’équivalent de Normale Sup.
Hier, je suis allé voir un film, encensé par les pontes de la critique cinématographique, qui m’a profondément ennuyé (voir sur la RDC).
En sortant, j’ai fait un tour dans les librairies du quartier. A celle du BHV, je suis tombé sur une table où s’étalaient complaisamment la plupart des livres de Jean d’Omesson. Près de celle des prix littéraires, j’ai aperçu un grand rayonnage annonçant les livres de la rentrée d’hiver. Là, j’ai pris le gros pavé de 400 pages à couverture rouge et jaune et suis allé m’assoir confortablement dans un fauteuil club, puis j’ai lu… Ensuite, je suis passé par la section des livres sur Paris où dominaient, déclinés sous diverses formes, les ouvrages de Laurent Deutsch.
J’ai trop le goût de la lecture et du cinéma pour me laisser envahir par le dégoût.
J’aime trop à la vie pour me laisser gagner par la déprime.
Je choisi mes mots au plus juste et n’insulte personne.
ya pas de danger qu’on édite les sonneries de JC, personne ne les lirait, comme ici d’ailleurs, aucune réponse à ses saletés, même la vieille taupe de bougros reste muet le nez dans sa vinasse
C’est sans doute pour les besoins de la cause que SK a qualifié Céline de “bombe atomique” … Les antisemite devraient envoyer une belle édition des pamphlets à Kim, sait-on jamais
Avec les pamphlets de Céline, il ne s’agit nullement de suicide, mais de meurtre. Ce n’est pas comparable
pousser au suicide plutot que flinguer son voisin prouve de plus grand pouvoir dracul..tu comprendras jamais rien au concèpe..pas même ceux de polo..halte au feu polo!..deux trois coup ça va mais 4 ou 5 risque de te faire piedbot..les femmes aiment pas
tu devrais faire payer la lecture à keupu de tes posts en peau d’peti chiens jicé..ça te frait une yourte qui rendrait jaloux gengis
Moi, j’ai toujours le chargeur avec ses balles d’époque du pistolet que mon père avait comme arme personnelle pendant la Drôle de guerre. Il est devenu lieutenant bizarrement alors qu’en septembre 1939, à la mobilisation il était simple infirmier de 2ème classe.
Dans mon enfance (mais je ne m’en étais jamais rendu comlpte à l’époque), je jouais avec sa sacoche de pistolet et son ceinturon comme tenue de soldat des tuniques bleues avec mon frère cadet dans la maison de Sologne où nous allions en vacances à Contres.
Mon père s’était débarrassé du pistolet après la guerre en le jetant à la poubelle mais longtemps après la guerre. Mais il a gardé les balles, que j’ai en ma possession encore aujourd’hui…
Mais il a gardé les balles, que j’ai en ma possession encore aujourd’hui…
‘phoutre de phoutre à papa’ s’esclamrait zigmunt
On bande-annonce « La douleur » de Duras au cinéma prochainement !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19575874&cfilm=253410.html
Pas question que je te fournisse un revolver qui aille avec tes balles, ami ! Principe de précaution …. Quand on veut se suicider, les variantes rigolotes ne manquent pas !
Moi, je n’ai pas encore déposé ma demande de nationalité espagnole, mais mon nom figure sur une des listes d’admissibilité. Mais de là à être admis…?
Mais ça m’arrangerait bien pour prendre ma retraite à Sitges.
Je choisi mes mots au plus juste et n’insulte personne
tu dvrais écrire le b a ba du vrp baroz..’le gout de la vente’
Ta gueule, le boug !
On bande-annonce « La douleur » de Duras au cinéma prochainement !
je déclic d’hurgence
qu’est ce tu veux..j’ai lgout dla vérité baroz..c’est pas dma faute
JC, je croyais que t’étais un ami…
ça m’arrangerait bien pour prendre ma retraite à Sitges
havec les angliches plein de stout qui lisent dze seune..moi tu vois dracul..3 ou 4 jours par an en genre de spbringue bréque ça suffit
Le problème, c’est que je ne vais jamais pouvoir passer la frontière avec les balles de mon père… à moins que bien caché dans la valise…
tut tles carres dans l’fion dracul..ça dvrait passer a l’aise
Il y a les loques qui se suicident faute d’imagination, et les forts qui tiennent en coupe réglée les bastions de l’Education Nationale, attaqués par des hordes incultes !
Pas de problème pour toi, ami ! ….
WGG, la nationalité est une chose trop importante (pour les apatrides) pour qu’on la distribue dans des pochettes surprises.
Il y faut une nécessité impérative et un désir très fort. En feuilletant le »roman » de Passou, j’ai surtout senti le prétexte à un bon livre…
‘le prétexte à un bon livre’..vraiment baroz il a dces mots qui sont qu’a lui
Et on a un bon reportage, amusant, intéressant, parfois émouvant, mais pas un bon roman, le boug…
Trop de name dropping et d’étalage culturel, ce que ne fait jamais un bon romancier…
Quant aux têtes de chapitres à la Don Quichote, qui font se pâmer Christiane, mon dieu !
Il m’est arrivé de parler de mes ancêtres séfarades à l’hôtel à Sitges avec l’un des employés. Il était intéressé par la chose et trouvais comme merveilleux d’avoir en face de lui un lointain descendant de ces Juifs partis un jour.
Mes ancêtres n’ont pas attendus 1492, ils ont devancé l’appel… d’un demi-siècle. Ils ont sans doute attendu la fin de la guerre de Cent Ans pour partir d’Espagne, parce qu’ils sont arrivés à Bergerac trois ans après la signature du traité qui a mis fin à la guerre et qui a été signé d’ailleurs pas très loin de là du côté où habitait plus tard Montaigne. Enfin, c’est la lecture que je fais.
Il me reste à en découvrir les traces à Amsterdam à la fin du XVIIè siècle et celle des couins Levy à New York. Mais le saurais-je jamais ? Où chercher ?
le prestigieux passou vise l’Académie, costard lézard et son épée pour filer une sévère balafre à l’insolent fils Klarsfeld manière Burschenschaft époque Guillaume II. la reconquista séfarade
Quel est ton point de vue Jazzi, alors sur l’acquisition de cette nationalité espagnole ?
Tu n’as pas l’air d’accord avec le gouvernement espagnol qui en a fait une loi, à ce que je comprends. Pourquoi ?
De toute façon, aujourd’hui, on vit dans l’U.E. Vivre en France ou en Espagne, cla ne devrait pas poser plus de problèmes que ça ! Sauf pour (j’imagine) avoir un compte en banque là-bas, et tous ces petits tracas de la vie quotidienne, la santé et le reste. En tout cas, je n’aurais aucun problème d’adaptation à vivre en Espagne, surtout à Sitges où il fait beau quasiment toute l’année, c’est quand même autre chose que la grisaille parisienne.
« Aucun livre n’a jamais fabriqué un acte antisemite »
Quelle ânerie!
L’antisémitisme n’est pas dans les gènes. Il faut bien le recevoir d’une propagande quelconque, livres, articles, prêche, Facebook, etc. Le support importe peu.
Moi, je me plaît à me fantasmer des ancêtres kabbalistes à Girona…! Ce serait marrant qu’il y en ait eu…
Mais il faut absolument visiter le cimetière de Safed, en Galilée, où ils sont enterrés. C’est très impressionnant. Les hassidim viennent prier sur leurs tombes nuit et jour. Un cimetière construit sur une colline bien en pente.
@Le support importe peu
C’est vous qui le dites
Très dubitatif, WGG. Demanderais-tu la nationalité ukrainienne si le gouvernement faisait de même ? Il y a tant de points de chute en Europe de l’Est où les Juifs ont fait souche sur plusieurs générations et en ont été chassés, voire massacrés. Et que devient Israël dans tout ça ?
Dans le livre de Passou, tandis qu’il se balade dans les rues de Barcelone avec Mathias Enard, celui-ci lui fait valoir le cas des Mauresques, chassés pareillement d’Espagne. Pourquoi pas eux ? Passou à un argumentaire imparable à ce sujet. Mais pas complètement convaincant…
Comme je dis à mes élèves quand ils me rendent leurs copies : Rendez-moi vos chef-d’œuvre en péril… Je vais aller chercher aujourd’hui le chef-d’œuvre à Passou…
Je serais bien allé l’écouter à la fnac des Ternes mardi soir, mais malheureusement j’ai une réunion de conseil d’enseignement le soir même. Ce sera pour une autre fois.
ta gueule, le boug’ !
Doit-on condamner les Beatles et interdire leur titre Piggies car il risque de pousser au meurtre une hordes de petits Richard Manson en puissance ?
« L’antisémitisme n’est pas dans les gènes. » (closer)
Oui et non ! Qui peut dire avec certitude, càd au sens objectif, le pourquoi du fait que l’on est antisémite ou pas ?
J’ai en horreur les vieilles dames lubriques !
Pourquoi, au juste, suis-je antigéronte, alors que notre Bébé présidentiel est friand de la ride absolue, pédophile et possessive… hein ?
Prenez votre temps …
Oui, mais l’Ukraine, Jazzi, qui voudrait y vivre aujourd’hui des Juifs d’Europe occidentale ? Personne ! C’est un pays dangereux en plus où la mafia et les voyous peuvent transformer un séjour touristique en cauchemar très facilement. Kiev comme Oddessa sont des villes dangereuses. Et j peux te dire par expérience que les voyous, là-bas, sont extrêmement rusés pour te piquer ton fric !
Et en Ukraine, l’antisémitisme est très répandu. Les mentalités sont arriérées dans la classe moyenne même. Et les villes sont laides. Kiev c’est une ville laide, à part les monastères. Odessa pareille, c’est lépreux.
Richard > Charles
Certes, WGG, mais en Espagne, comme dit Passou, la guerre n’est jamais finie !
Midnight Rambler
Je ne vois pas ce que tu veux dire, Jazzi. Je n’ai jamais senti quelque guerre que ce soit en Espagne : Sitges, Madrid, Tolède, Séville, Cordou, où je suis passé.
Et Barcelone, est tout près. Vivre à Sitges au bord de la mer, c’est l’idéal, avec un appartement sur le front de mer, c’est génial. Je prend le petit déj en regardant le soleil se lever derrière l’église de Sitges, un moment toujours un peu magique. Et deux colombes qui vinnent souvent me tenir compagnie en quête d’un peu de pain ou de gâteau, la mer sous l balcon presque. C’est le paradis.
À Sitges il y a un monument pour les morts de la guerre civile sur la baie.
J’aime retourner à Girona chaque fois que je vais à Sitges. La vieille ville juive est tellement pittoresque. Je déjeune dans un petit restaurant près de l’ancienne synagogue et dans la rue qui monte vers la cathédrale il y a une super librairie où on peut trouver toutes sortes de livres anciens fascinants sur l’histoire des Juifs de Girona. J’y vais toujours feuilleter les bouquins. La dernière fois, je suis monté jusqu’à l’université qui est perché sur le haut de la colline. Mais c’est marrant, ça fait très provincial mais on se sent formidablement bien dans ce genre d’endroit.
« L’acte surréaliste le plus simple consiste, revolvers aux poings, à descendre dans la rue et à tirer au hasard, tant qu’on peut, dans la foule. »
Quelqu’ a-t-il jamais suivi cette injonction de Breton à la lettre ?
@bouguereau dit: 13 janvier 2018 à 11 h 55 min
Tellement juste, hélas !
Pour le reste il n’est pas plus fiable, n’hésitant pas à rapporter, ici, des propos confidentiels qui avaient été échangés chez un ami. MàC en a été meurtri et une certaine amie, aussi.
Mais comme on dit qui se ressemble s’assemble, le goût de la délation est contagieux… et fonde le clan et son leader.
J’aimerais bien aussi savoir ce qu’il en était des Juifs de la famille qui ont émigré d’espagne à Istambul. Je ne crois pas que ma cousine en sache quoi que ce soit. Mais sa famille est originaire de Tunisie, sa mère qui s’appelait Esther et portait mon nom a vécu très longtemps dans la communauté juive de Tunisie, puis elle s’est remariée avec un galeriste juif de New York, où elle a vécu à la fin de sa vie.
En Pologne, je sais qu’au XIXè siècle des membres de la famille étaient tanneurs à Raciaz, le stetl où est né mon grand-père. Les documents d’état civil que j’ai obtenus des archives de Plock l’attestent (en russe, en polonais et en yiddish, et souvent très difficiles à déchiffrer, car écrits à la main). Les Juifs étaient souvent tanneurs, c’était une profession très courante parmi les Juifs, je n’en connaît pas la raison.
hen général les livres hinfluence par la conséquence de leurs arguments..écrits langoncé..qui créent un corpus où qu’on peut sréférer..là où tu marques hun point c’est largument de serge klasfeld qui ne peut être largument..mais le talent..qu’est ce que rien que le talent au service d’une cause et en quoi est il dangeureux..la conséquence de considerer le style comme valeur antisémite est brûlant..brûlant haussi de conrie ? qu’importe..serait ce que les goyes ne raisonnent pas..et qu’il résonnent..oui cest des bêêêtes..donc là tu as de largument dans la culotte langoncé
C’est une question d’odeur WGG.
quant a toi dracul..il sufirait qu’on te donne 1000 ha en hukraine ou en pologne et tu y cours pour y faire des isolats de village de dracul..tu frais vnir des portoricains comme pédro comme agent de maison pour pas ha havoir a négocier havec le clampin profondément provincial..drh t’aurais briffé
mais qu’himporte dracul..lassouline viendra toquer a ta porte..y n’sait pas où aller
Oui, c’est aussi ce que je me suis dit… Mais je ne sais pas si des Polonais étaient aussi tanneurs. Pas sûr justement.
Tellement juste, hélas !
Pour le reste il n’est pas plus fiable
il est trés fiable..et je mangrais pas dton pain cricri pasque baroz est peut être un panier percé comme je suis surment un trépanné et que ça le presse ici et là..sur ce point précis je le crois sincère..j’ai l’oreille d’une demie vie..les plus coupables sont ceux qui spéculent la dessus..non cricri je ne suis pas meilleur que lui et je ne le juge pas..il me suffit qu’il me fasse rire
Non, je ne voudrais pour rien au monde vivre en Pologne. Et les Polonais dans les provinces sont pourris.
Les Juifs étaient souvent tanneurs, c’était une profession très courante parmi les Juifs, je n’en connaît pas la raison
ça rmonte au moyen age des écorcheurs de ptis chiens..des hinterdits urbains..et du gros biz que cela représentait..n’oublie pas que le colon français dans les hindes nouvelles était trappeur dracul..
Et les Polonais dans les provinces sont pourris
houi..c’est pour ça que lassouline sait pas hou aller sinon a ladresse que tu lui a donné dracul
Passou a des liens organiques avec l’Espagne. Pas moi.
Les liens organiques que je peux avoir, c’est avec la Pologne, la Russie, l’Ukraine, et encore uniquement avec Odessa où la famille de ma grand-mère a vécu, mais pas Kiev en dépit des massacres de Babi Yar où je suis allé me recueillir cet été.
WGG, je ne te donne pas trois mois à Sitgès pour t’y emmerder comme un rat mort. Ta patrie est là où tes parents adorés sont enterrés. Ta patrie c’est ta langue. Tout le reste n’est que fantasme et spéculation. Moi je ne retournerais pas vivre à Cannes, et encore moins à Venise, même dans un palais. Mais il arrive que, souvent, la mer me manque…
Je vois que tu en es revenu de l’Ukraine, pourtant ton ami Chaloux t’avait bien prévenu. C’est qu’il tient à toi, cet homme. Il compte bien s’installer à la campagne, à tes côtés…
L’herbe n’est jamais plus verte ailleurs et là où l’âne est attaché, il faut qu’il broute…
etc… go, dirait GS’A !
Tous ces pays de l’Est de l’Europe sont arriérés. Ils ont cinquante ans de retard. Heureusement que l’U.E. existe pour aider la Pologne à sortir de son bourbier catholique pourri et de son nationalisme pourri ! Mais pour l’Ukraine, je crains fort que Poutine soit un obstacle insurmontable pour le moment. Mais j’aimerais bien aller un jour à Czernowitz, ça a l’air joli. Mais il ne reste rien de la culture juive d’antan. Rien. Le nationalisme ukrainien dans toute son horreur…
Non, je ne crois m’ennuyer à Sitges, Barcelone n’est pas loin. Et puis on peut voyager en Espagne. Et Paris n’est jamais très loin. Non, tu te fais de fausses idées, Jazzi. Je me vois très bien vivre à Sitges. Ma cousine était en Espagne l’année dernière avec l’un de ses petits enfants au moment où j’y étais aussi. Elle viendra me voir.
Et puis Paris et la France me tapent sur le système nerveux central maintenant. Je trouve la France un pays de plus en plus con.
Bon, je pars pour la fnac saint-lazare acheter le pavé de Passou. Mais je sais que je vais être déçu par ce bouquin. Je crains fort que Jazzi n’ait raison, hélas !
L’autre jour, j’ai acheté un roman du frère Singer, Joshua, sur Varsovie pendant la Grande Guerre. Excellent (De fer et d’acier).
Passou dit: 13 janvier 2018 à 8 h 21 min
Widerganger de 18.04,Vous écrivez que les « les lois de la République l’interdisent ». Pourriez-vous développer car à ce jour, jamais les pamphlets de Céline n’ont été interdits. Seul l’auteur, puis son ayant-droit, en ont retenu la diffusion. Ils peuvent se retrouver demain en librairie dans leur plus simple appareil, si un éditeur et un diffuseur le décident, sans que les tribunaux n’aient à s’en inquiéter. La seule censure ne peut venir que d’associations ou d’individus qui saisiraient la justice.
* * * *
Faut-il répondre à ces arguties ?
Peut-on vraiment les laisser sans réponse ?
Les lois de la République interdisent bien évidemment la propagation de la haine antisémite…
« Pourquoi pas eux ? Passou à un argumentaire imparable à ce sujet. Mais pas complètement convaincant… »
Je ne connais pas l’argumentaire de Passou pour refuser une loi du retour pour les maures, mais je sais qu’il est extrêmement convaincant!
Pas un mauresque expulsé d’Espagne n’était imprégné d’une culture espagnole qu’il aimait au point de la préserver jusqu’à aujourd’hui! Cela me paraît un argument suffisant, outre le fait qu’il serait impossible d’en trouver les descendants pour cette simple raison…Et sans compter qu’ils ont comploté avec les turcs pour reprendre le pouvoir.
De toute façon, ils reviennent en masse, sans loi du retour.
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