Quand Paul Veyne se porte un intérêt désintéressé
« Sa physionomie annonçait son âme ». C’est de Candide dont parlait Voltaire dès la première page, autrement dit tout à chacun dont Paul Veyne, professeur honoraire d’histoire romaine au Collège de France, 4800 euros de retraite par mois, quelques droits d’auteur en prime, un trois-pièces, une petite auto, des dizaines de milliers de livres dans sa bibliothèque. Vit de longue date dans un paysage cézannien, au pied du mont Ventoux. Un homme précédé par son visage qu’il dit très laid car affecté d’une malformation congénitale dite Leontiasis ossea qui lui relève en bosse la joue gauche. De cette physionomie dissymétrique on pourrait déduire une âme excentrique ; d’où un tempérament non-conformiste porté à la provocation, au goût de la marge, à la tendance au pas de côté, le tout mû par une formidable curiosité. Il y a de cela chez l’un des plus atypiques de nos historiens, ce Veyne dont le nom vient d’une veine de la Drôme par laquelle ses aïeux paysans désignaient un filon de bonne terre arable avant de se dire d’un filon minier.
Etant en âge de sacrifier, après nombre de ses confrères, à l’exercice de l’ego-histoire, il publie ses souvenirs sous le titre Et dans l’éternité je ne m’ennuierai pas (Albin Michel). Ils recèlent une belle leçon de liberté qui ne se pousse pas du col, juste assez pour assimiler le Collège de France à « une royale voie de garage », le tout dans un joyeux charivari chronologique ne reculant devant aucune analogie, parvenant même à accoupler Montaigne et Carla Bruni dans la même phrase, à amalgamer les gladiateurs aux skinheads et les deux aux toréros. Tout est parti de la découverte à 8 ans d’une pointe d’amphore romaine gisant dans la terre près de Cavaillon. Un choc révélateur non pas tant du monde d’avant mais d’un monde aboli. Comme il se rêvait archéologue, une fois intégré le monastère laïc de la rue d’Ulm, il a passé une agrégation de grammaire. Les livres jaunes de la collections Budé, éditée par la librairie des Belles Lettres, sont son rosebud depuis l’adolescence. A 84 ans, il y accède enfin en publiant sa traduction de Virgile. Bouclée, la boucle !
Un attachant autoportrait chinois émerge de ce vrac de mémoires : deux ans à l’Ecole française de Rome tout à son bonheur d’examiner les bas-reliefs ; communiste indiscipliné, d’une inépuisable énergie dans son avidité à séduire les dames ; militant anticolonialiste sans trop d’états d’âme ; rat de bibliothèque, aussi proustien et claudélien que célinophobe ; ingrat autoproclamé, horrifié à la perspective de ne jamais être un disciple, Raymond Aron eut-il à en souffrir ; un homme sans religion mais convaincu de l’immortalité de l’âme ; au fond un religionnaire de l’amitié, ne reculant jamais devant l’exercice d’admiration vis à vis de ceux qu’il aime, Michel Foucault en premier lieu, mais aussi René Char, le charisme fait homme, dit « le général de Gaulle de la poésie », Claude Roy, Michel Piccoli, des maîtres, des professeurs, des anonymes ; sur le plan conjugal, proche de Cicéron, César et Ovide en ceci que ce grand solitaire s’est marié trois fois ; trouve également son plaisir dans la recherche savante par goût de l’enquête ; voit dans l’histoire un processus qui obéit moins à des lois qu’à des intrigues ; c’est à se demander s’il ne la tient pas pour une branche de la poésie ; peut d’ailleurs réciter des milliers de vers en vertu d’une implacable mémoire poétique, de l’Odyssée par les mots de Victor Bérard au Mireille de Mistral dans le texte, mais a presque tout oublié de son histoire romaine ; voix puissante avec un reste d’accent imprégné du mistral ; s’exprime en français académique comme si c’était une langue étrangère ; concède qu’il est excentrique à condition que de considérer que rien ne l’est davantage que l’appel du 18-juin ; use volontiers de « contrairement à la légende » et de « quoi qu’on ait dit » ce qui trahit un goût certain pour l’art du contrepied jusqu’à voir dans les Français de l’Occupation une population patriote plutôt qu’attentiste ; semble encore regretter d’avoir cédé à la pression de son éditeur Michel Winock qui intitula son essai d’épistémologie Comment on écrit l’histoire (1971) plutôt que Intrigues dans le sublunaire ; n’hésite pas à juger à la télévision Le Royaume d’Emmanuel Carrère d’excellente qualité sur le plan historique, et pour cause, puisqu’il en est la source principale… Ecce homo !
Une phrase résume l’intellectuel en lui : « L’intérêt désintéressé est peut-être le point le plus élevé que puissent atteindre les animaux supérieurs ». L’exercice de l’autoportrait y conduit nécessairement. Mais c’est un alexandrin qui reflète l’homme, hanté depuis cinquante-trois ans par l’un des Sonnets de la mort de Jean de Sponde : « J’ai vu la neige fondre, et ses torrents tarir… A la fin, s’agissant de ses femmes, ses fils et beau-fils, ses proches, c’est un inventaire de malheurs : anorexie, dépression, alcoolisme, suicide, dépression, euthanasie, désintoxication. N’en jetez plus ! Et pourtant, il en faudrait davantage pour l’assombrir, on se demande bien quoi.
Désormais obsédé par les nuages, il consacre tout le temps nécessaire à la contemplation des stratus jusqu’à ce qu’ils lui racontent des histoires.
(« Au musée archéologique de Naples » photo Passou ; « Paul Veyne » photo de Frédéric Poletti)
795 Réponses pour Quand Paul Veyne se porte un intérêt désintéressé
Veyne qu’il vive encore; sa lecture apprendrait aux défilants et contre-défilants du jour que les Chrétiens n’ont pas plus inventé le mariage qu’ils ont circonscrit la propagande sodomite.
Les sénateurs de caput mundi avaient déjà tout inscrit sur leurs tablettes et sortaient couverts sous les voutes considérables des thermes de Caracalla.
euh, j’évoquais aussi azerty, Malicorne, Racine. Ce sont ces mots-là qui bloquent ?
Daaphnée se doute-t-elle que tout le monde sait depuis longtemps que Rôôô, c’est elle ?
Est-ce alors, « Jacues le F, quelle impatience de me voir corriger ma faute sur mon blog » ?
Parce que si une phrase aussi anodine bloque le com, comme diantre les phrases autrement assassines des blogueurs patentés peuvent-elles passer ?
Pfff ..
bouguereau est une lavette lavette lavette lavette
une phrase aussi anodine bloque le com, comme diantre
diantre, ça fait kulture extensive mais ça fait pas une phrase.
Qu’est-ce qui bloque?
Clopine
Fuca, la dragée qui débloque.
blogueurs patentés
– t’as payé la cotis?
– non, et toi?
– non
– Hé bé.
Clopine dit: 5 octobre 2014 à 15 h 43 min
« mac »
C’est de l’Unix Berkeley, donc hautement recommandable ; si les Windows nous cherchent, hon leur fait un tarin…
Quelques centaines de sous-parents Place de la République ! Honteux … aucune pudeur ces crapules humanistes de MERDE !
Eléments de langage d’un prochain dialogue, à la sortie de classe :
– bonjour mon petit !
– bonjour monsieur Hétéro
– tu sais que ta maman, c’est un homme ? t’as pas honte ?
– c’est vrai ?
– oui, c’est vrai !
(pleurs du jouet, acheté à l’étranger…)
–
Je suis comme ueda, j’éprouve une profonde sympathie pour le camarade JC.
Et je suis bien d’accord avec lui : c’était mieux avant. Le présent est MERDIQUE. Revenons aux valeurs d’antan.
@ Clopine
Si je comprends bien, votre système informatique débloque quelque peu et vous interdit d’accéder à votre blog.
Le rapprochement Sartre/Bocages jette le discrédit sur Vian si c’était lui qui l’avait fait ou sur vous si vous avez cru qu’il ait pu le faire. Voilà pourquoi je vous incite à corriger.
Nous sommes résolument contre toute forme d’évolution de la société. Rendez-nous le passé.
Refusons à la fois le présent et l’avenir, le présent parce qu’il est moins bien que le passé, et l’avenir parce qu’il est incertain.
Cher Dugommeau, votre pseudo respire l’intelligence. On le sent tout de suite …
Je crois que nous apportons énormément à ce blog prestigieux, surtout en ce qui concerne la pensée exemplaire de ce vieux monsieur de 84 ans qui nous passionne …
EXIGEONS L’ABROGATION DU TEMPS PRÉSENT !
Dugommeau !
Vous me permettrez, dans un an ou deux, de vous appeler Roger ?
Euh, Dugommeau…
le présent est abrogé en permanence, non ?…
EXCLUSION DE JACQUES BAROZZI !
Boutons l’infâme, vous et moi, JC.
LES INVERTIS HORS DU BLOG !
Barozzi se prétend de droite, mais tout en lui pue la morale de gauche. Virons-le !
Je propose que l’accès de ce blog soit réservé en priorité à : JC, ueda, Court, Daaphnée et moi-même.
Rôôô dit: 5 octobre 2014 à 15 h 11 min
Clocloche
On se demande comment boumou peut encore croire qu’il existe plus con que lui…
Oui aux valeurs bourgeoises !
Non ! Dugommeau, non ! Nous devons les aider à retrouver le bon chemin ! Ce sera difficile car une mauvaise habitude nous attache à l’arbre du péché !
Evidement, si nous échouons, dans le cadre du budget réduit c’est possible, ils auront droit au napalm …
Ils recevront avant l’extrême onction, on n’est pas des sauvages guyanais !
A bas les fornicateurs gauchistes !
Nous proposons la canonisation de Bernard Tapie.
« Oui aux valeurs bourgeoises ! »
Est-ce que vous possédez vos moyens de production ?
VIRONS RENATO !
Barozzi et renato : deux agents de la subversion.
Non à Paul Veyne ! Refusons le virage rouge de la RdL.
Voilà, vous ne possédez pas vos moyens de production, vous n’êtes donc pas un bourgeois, et une question s’impose : quels valeurs défendez-vous vraiment ? Classe moyenne ? Communiste à la recherche d’une nouvelle identité ? Autre ?
JC le Fourbe est aussi JC le Péteux (voir chez Popaul)
Nos moyens de production sont dans nos chausses, Renato. De reproduction, itou !
Se le cose stanno così : Il faudrait se laver les pieds de temps à autre, JC.
« la morale de gauche. »
il est plus exact de dire: l’immoralité de gauche
…
…la légende de l’oeuf cuit en cage,!,…
…comme les christs sur leurs claviers,…à se faire gaver,…les péchés en nombres,!…sans partages,!…
…
…encore vierge des esprits,!…déjà las des bondages quotidiens,!…les positions préférées des P.D.G., victimes en positions sado-maso,!…
…Non,!…chérie,…( sur le portable ),…le vison,…ç’est pas mas peau, que tu veux,!…qu’est ce que tu dit,!…Oui,!…c’est pour mes soins esthétiques, au Gladio-Servage Cool,!…
…
…Oui,!…tu vas à l’église romaine prier à 18 h,…pour les huiles à l’€uro,…
…Si,!…les pensions des divorces est payez, of course,!…
…
…étudier Rome aujourd’hui,!…c’est bafouer la démocratie et l’année ou nous vivons,!…
…le Royaume,!…des culs en Christ’s,…combien,!…le service » Bondage « ,!…Ah,!…un prix Cardinal,!…romain,…n’est pas Mazarin qui veux,!…à nos masseuses protestantes ,!…
…encore un effort de Hollande,!…
…Ah,!…tous ces pays-bas chrétiens d’esclaves volontaires,!…Ah,!Ah,!Bip,!Bip,!…etc,!…Go,!…
…
Nous pourrions, c’est vrai, recréer ici même une Nouvelle République des Salo !
JC….. 5 octobre 2014 à 16 h 16 min
de MERDE !
Jc toujours à plagier soit ml soit bougros
JC
ton père et ton grand-père ne sont pas ton père ni ton grand-père mais ton père et ton grand-père le savent pas, l’ont jamais su
Je perçois, bon an mal an, entre 450 000 et 500 000 € de revenus financiers, j’ai un appartement de 300 mètres carrés dans le 7ème, une maison sur 3 ha de terrain dans le Luberon, un chalet à St-Moritz et, selon renato, je ne suis pas bourgeois parce que je ne possède pas mes moyens de production (ce qui va de soi, puisque je ne produis rien) !
Même mon épouse ne possède pas ses moyens de production, elle ne détient que 25% de l’usine de son père, mais allez lui dire qu’elle n’est pas bourgeoise !
En plein travail avec des historiens, je suis admiratif du travail sur les sources. Patient travail d’identification, de recherche au sens propre, puis mise en forme, et à la clé, en français et en anglais, souvent, une prose plus fluide, riche et déniaisante. Les lecteurs en ont, de la veine…
« … recréer ici même une Nouvelle République des Salo ! »
Vu le développement de « l’affaire » l’idée me semble mauvaise.
…plus fluide riche et déniaisante
que chez bien des littérateurs.
Allons bon ! Bloom a besoin d’être déniaisé, à présent !
Le grand JC a bien raison de le tenir pour une petite chose.
VIRONS BLOOM !
dernier souffle,
vous êtes bien renseigné : vos infos sont bonnes !
Toutes des salopes ! surtout Maman et Mamy. Je te foutrais toute cette viande en burqa, coincée derrière des belles grilles, moi.
Y ont raison, les frérots islamiques, elles ne pensent qu’à ça, ces chiennes !
« elle ne détient que 25% de l’usine de son père, mais allez lui dire qu’elle n’est pas bourgeoise »
Josette n’est pas bourge
Vous avez un gros défaut, renato : quand une idée ne vient pas de vous, elle est mauvaise !
Ce n’est pas de ma faute si suite à un mauvais usage politique du mot vous croyez être un bourgeois… Classe aisée et bourgeoisie ce n’est pas la même chose… Ce malentendu est par ailleurs l’une des raisons de la faillite de la gauche marxiste.
Cela dit, permettez-moi de croire à une exagération relativement à vos revenus.
Vous admettrez JC que la République de Salo ne fut pas une réussite… Une mauvaise idée, donc…
vous avez raison, JC le Fourbe et le Péteux, quand une idée est mauvaise elle vient bien de vous
500.000 MANIFESTANTS !
Un succès que la police de Cazepadesbrique évaluera à 70.000, comme d’habitude tant ces socialistes pervertis sont d’infâmes crapules !
Vas-y, Ludovine, on est derrière toi ! Euh … à tes côtés !
« permettez-moi de croire à une exagération relativement à vos revenus. »
Vous avez tort. Grâce à la crise, je prévois une forte augmentation pour l’an prochain.
JC….. dit: 5 octobre 2014 à 17 h 24 min
500.000 MANIFESTANTS !
Beaucoup plus, mon ami ! C’est un raz-de-marée ! La révolution nationale est en marche !
JC le Fourbe Péteux est tellement aveuglé qu’il confond Ludivine qu’il prénomme LudOvine, quel couillon cong en plus
150.000 selon le F-Haine de JC
…
…elles ne pensent qu’à çà ces chiennes,…
…
…les derniers modèles tout en un,…tous les instruments reliées au P.C.,…toujours propres,!…auto-lubrifiants,…
…
…suivant l’adage,…les françaises ne dorment jamais seules,…l’électro-nique, à la hauteur à porter de mais,!…
…
…chérie,…un Mec,!…qui te réserve à la romaine,!…Oui,!…à l’ancienne,!…tu peux le chevauché en selle,!…en éléphant çà trompe énormément,!…
…c’est rare,!…pourvu que sa tour Effel tienne au moins les premières ébauches,…
…il a du crayon à blanchir ses bourses,!…
…aidons le,!…of course,!…
…sans prise de vue, comme c’est dommage,!…une mini-caméra, gros-plan-hot,…sur les dents,!…Allo,!…la présidence en action-française,…un peu la résistance du sur-place,!…à dégommer,!…
…Allo,!…encore un peu court,!…Allonger,…of course,!…Ah,!Ah,!…c’est hors-taxes,…plus profond,!…of course,!…
…elle est bonne celle-là,!…Bip,!…Bip,!…etc,!…Go,!…
…ou est la Lune,!…etc,!…
….
Dès que la technique le permettra, nous remplacerons l’ensemble de la classe ouvrière par des machines. Certes, l’extermination nécessaire (pour raisons économiques et hygiéniques) des travailleurs posera un problème logistique. Mais je suis certain qu’avec des hommes de la trempe de JC et ueda, ce problème sera réglé.
« Grâce à la crise »
Quelle crise ?
JC….. dit: 5 octobre 2014 à 17 h 24 min
500.000 MANIFESTANTS !
Quoi !!!!
Même les organisateurs n’atteignent pas le chiffre des adeptes de Phiphi de Villiers.
Si on enlève les moins de 15 ans et les poussettes ça nous fait à peine le cinquième des fêtes de Bayonne.
La corrida et le patxaran pendant la messe ont encore de beaux jours devant eux.
Abrogation refusée.
JC, ueda, frères jumeaux dans le délire malsain
Môssieu renato, sachez que JC ne parle pas aux Italo-suisses.
vous me prenez tous pour un con, je sais, mais vous n’êtes pas obligés de me lire
et renatoto fait semblant mais il est de la même engeance que jc et ueda
Bien, si ça continue comme ça, je crois que je vais m’en mêler.
Mauvaise analyse keupu, faudrait affiner, sortir du poncif qui fait que vous n’êtes qu’un équivalent… Je ne dirais pas de ueda, mais sans doute de JC.
usurpation de pseudo par JC, C’EST REPARTI
JC affirme en loucedé que renato est un gros con
Je ne parle pas le loucedé, mais c’est bien. Cela dit, on est toujours le con de quelqu’un d’autre…
Chalouguereau dit: 5 octobre 2014 à 17 h 45 min
Allons-y.
Célinophobe, admirateur inconditionnel de René Char, auquel il a consacré un ouvrage à prétentions explicatives (« René Char en ses poèmes »), comme si les platitudes de ce froid cacographe nécessitaient une explication), on peut s’interroger sur le discernement de Paul Veyne en matière de littérature. Au fond, le grand titre de gloire de René Char aura été de prendre le maquis… Prendre le maquis en Provence, du côté de Lourmarin… Giono a justement relativisé la portée de l’exploit : « C’était facile, observe-t-il dans « Ennemonde », il suffisait de sortir. » Trente ans après, j’en ris encore.
On va déposer un projet: festival gay-trans-bi à PQ – les francofofolles de Porc-queue-roll.
Le fils de Pétain nous parle de révolution nationale. La glaise ne ment pas, elle pue.
Ce qui est chouette avec le faux keupu et ses avatars c’est qu’il arrive à se mélanger les pinceaux dans son besoin d’exister à tous prix.
Il enchaîne, il enchaîne, nous jouant les H.R. ou djedla du pauvre, sans le vocabulaire bien sûr.
N’est pas bouguereau qui veut dit: 5 octobre 2014 à 18 h 15 min
N’est pas « n’est pas bouguereau qui veut ».
Pour être aussi poussif, il faut un don.
N’est pas « n’est pas bouguereau qui veut »…qui veut…
Une grosse nullité qui bave pendant l’effort…Faut être très très fort…
Gros problème dit: 5 octobre 2014 à 18 h 23 min
Un ersatz de Chaloux, le goût, l’odeur, mais masqué, sans la volvo quoi.
Je ne pense pas que Dugommeau Roger soit ueda.
Ueda n’oserait jamais se foutre de la gueule de JC comme Dugommeau.
N’est pas bouguereau qui veut dit: 5 octobre
très joli, ce « quoi »… haute lisse… Le reste à l’avenant.
Va te coucher…
Très gros problème… dit: 5 octobre 2014 à 18 h 33 min
Va te coucher…
Attention !!!!!!!!
Chaloux passe en phase « mattage ».
Enfin nous en sommes aux insultes. J’ai failli attendre.
Ne sachant trop si Chaloux appartient à l’engeance bourgeoise et industrieuse remarquons toutefois son hétéroclisme en matière de choix et de véhicule, ce n’est chaque fois ni tout à fait une autre ni tout à fait la même, moi-même je l’ai surpris conduisant simples appareils pour ensuite se reproduire dans de luxueux attelages aux couleurs tapageuses. Un bourgeois défendant le bon goût oserait-il, pas si sûr qu’il ne craigne repérage et cancanage.
Bérénice, n’envenimez pas les choses, s’il vous plaît.
Artémise, les ouvrages de Paul Veyne doivent être trop subtils pour vous.
Je vous conseillerais dans un premier temps le dernier livre d’Eric Zemmour, « le suicide de la France », histoire de vous décrasser un peu le cervelet.
soyons exact : la collection Budé auteurs grecs est jaune ,la collection auteurs latins est rouge.
Veyne peut aussi apprécier le faible de Char pour Crevel. Tous les chemins mènent a Rome , bordel compris.
Photo 1
Je trouve que le gars au premier plan a un faux air de renato.
Si les morpions de boumou se mettent à causer…
(Bérénice, je suis le produit de traditions contradictoires, mais il ne faut pas trop se laisser charger par l’héritage sociologique, quel qu’il soit. En définitive, ma seule origine et mon seul but, ces sont des livres -pas tellement nombreux, finalement, peut-être pas plus d’une trentaine-, des voyages, des musiciens, et quelques êtres. Le reste ne m’intéresse pas).
Tweet : Un entretien-fleuve réalisé dans sa voiture avec David Foster Wallace sort en librairie six ans après son suicide.
Malheureusement, le lien renvoie à un article réservé aux abonnés du Temps.
Faux air de renato.
Un renato avec lentilles alors.
Comment occuper une Belge pendant des heures? Pour la réponse voir ci-dessous.
Comment occuper une Belge pendant des heures? Pour la réponse voir ci-dessus.
Le « reste » en fait d’origines, évidemment. Pas tout le reste…
Enfin quoi, ce trait d’union littéraire qui vous unit en son calice toutes tendances confondues et en débat constant n’ayant jusqu’à présent à déplorer de victimes de chair et d’os si ne fusaient quelques perfides propos, la république des livres représente l’esprit qui anime l’humanité dans son ensemble, là tout est calme luxe et volupté.
Personne n’ose le dire, mais Paul Veyne est beaucoup plus calé que Court.
Dédé, vous êtes démasqué.
JC….. dit: 5 octobre 2014 à 17 h 24 min
500.000 MANIFESTANTS !
c’est 5 millions!
tu t’es encore embrouillé avec les zéros
Ils étaient 500.000 à Paris selon les organisateurs, 70.000 selon la police.
« ma seule origine et mon seul but, ces sont des livres »
Chaloux
Aussi mou qu’une pâte à papier.
Cenpa dit: 5 octobre 2014 à 18 h 58 min
Aussi mou qu’une pâte à papier.
les morpions de boumou sont aussi insignifiants que leur maître.
(Celui-là, j’arrive pas à le reconnaître. C’est Microcéphalo ou Rondello?).
« L’intérêt désintéressé est peut-être le point le plus élevé que puissent atteindre les animaux supérieurs »
« Désormais obsédé par les nuages, il consacre tout le temps nécessaire à la contemplation des stratus jusqu’à ce qu’ils lui racontent des histoires. »
L’obsession désintéressée n’existe pas, il faut en faire toute une histoire.
Le pourcentage d’homos désirant fonder un foyer dépasse-t-il le tiers du pourcentage d’électeurs FN ?
(Excusez ce moment de faiblesse face à la dictature jicéenne)
Chaloux dit: 5 octobre 2014 à 19 h 01 min
les morpions de boumou sont aussi insignifiants que leur maître.
(Celui-là, j’arrive pas à le reconnaître. C’est Microcéphalo ou Rondello?).
Entre une tête vide et un vieux trou du cul… Pas la peine de chercher à savoir…
(autant varié que l’infatigable émerveillement des mamies pour les écoles par ici…)
plus court que Court ? c..
« Malheureusement, le lien renvoie à un article réservé aux abonnés du Temps. »
« Il disait [David Foster Wallace]
que vous pouvez entendre une chanson terrible à la radio, une ballade country à propos d’une fille en jean moulant qui vous a quitté, et que tout à coup cela devient génial et profond si on imagine que le chanteur évoque, métaphoriquement, une perte de sens existentiel… »
Le Temps
Célinophobe attendant en vain que les nuages (surtout les stratus, faut le faire ; les cumulo-nimbus, j’aurais admis, à la rigueur) lui racontent d’hypothétiques histoires, Paul Veyne est décidément l’archétype du vieux con.
Artémise dit: 5 octobre 2014 à 21 h 44 min
Artémise, pourquoi vous déconsidérer à ce point et passer pour une grosse buse en insultant un homme de ce niveau?
Un an et demi après le vote de la loi sur le mariage homosexuel, c’est «une immense lame de fond», selon Ludovine de la Rochère, sa présidente, qui a lancé dimanche «un cri d’alarme: que faisons-nous de notre humanité?».
Environ 500.000 personnes selon les organisateurs, 70.000 selon la police, ont défilé dans les rues de Paris. À Bordeaux, ils étaient 30.000 d’après le collectif, 7500 pour la police.
Sur les pancartes, «nos ventres ne sont pas des caddies»(Fibougro)
GENIAL !
« la république des livres représente l’esprit qui anime l’humanité dans son ensemble, là tout est calme luxe et volupté. » (Bérénice)
Chez les sans-dents, tout est came, puces et feuilleton télé….
A Porquerolles, j’étais tout seul à « manifester pour tous » mon intérêt désintéressé pour le respect des sexes.
Je me suis planté devant le Bar des Sportifs en hurlant comme un bon petit soldat de la civilisation : « Mon ventre n’est pas un caddie ! Mon ventre n’est pas un caddie ! »
Le Titin m’a vu, en plein soleil et m’a interpellé :
– JC, arrête de faire le couillon solitaire, l’affolé du rouage ! Viens boire un coup à l’ombre avec nous. En famille …
J’ai répondu :
– j’arrive les gars. Je passe d’abord à l’église : une petite prière pour laver mes mauvaises pensées … C’est vrai que la nouvelle petite serveuse, elle incite à folâtrer hétéro dans la pinède, hors mariage !
– mais non, chérie ! je plaisante !… elle n’est pas si terrible, la nouvelle serveuse, et tu sais bien que je n’aime que toi…
Il ne faut pas croire tout ce qui se dit en RdL ! Oui, même dans le billet. Reinhardt…
A Face on Which Time Makes but Little Impression
A Saturday afternoon in November was approaching the time of twilight, and the vast tract of unenclosed wild known as Egdon Heath embrowned itself moment by moment. Overhead the hollow stretch of whitish cloud shutting out the sky was as a tent which had the whole heath for its floor.
The heaven being spread with this pallid screen and the earth with the darkest vegetation, their meeting-line at the horizon was clearly marked. In such contrast the heath wore the appearance of an instalment of night which had taken up its place before its astronomical hour was come: darkness had to a great extent arrived hereon, while day stood distinct in the sky. Looking upwards, a furze-cutter would have been inclined to continue work; looking down, he would have decided to finish his faggot and go home. The distant rims of the world and of the firmament seemed to be a division in time no less than a division in matter. The face of the heath by its mere complexion added half an hour to evening; it could in like manner retard the dawn, sadden noon, anticipate the frowning of storms scarcely generated, and intensify the opacity of a moonless midnight to a cause of shaking and dread.
In fact, precisely at this transitional point of its nightly roll into darkness the great and particular glory of the Egdon waste began, and nobody could be said to understand the heath who had not been there at such a time. It could best be felt when it could not clearly be seen, its complete effect and explanation lying in this and the succeeding hours before the next dawn; then, and only then, did it tell its true tale. The spot was, indeed, a near relation of night, and when night showed itself an apparent tendency to gravitate together could be perceived in its shades and the scene. The sombre stretch of rounds and hollows seemed to rise and meet the evening gloom in pure sympathy, the heath exhaling darkness as rapidly as the heavens precipitated it. And so the obscurity in the air and the obscurity in the land closed together in a black fraternization towards which each advanced halfway.
« The return of the native », by Thomas Hardy.
Traduit d’ Engadine( non certain) par Marie Canavaggia.
http://www.gutenberg.org/files/122/122-h/122-h.htm
La plus belle réponse à la Manif pour tous a été donnée hier par le service public après le journal de 13h sur F2.
A regarder et à méditer, l’amour y répond à la haine et à la peur !
http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/13h15/13h15-du-dimanche-5-octobre-2014_705463.html
L’amour consiste à remettre dans le droit chemin les brebis égarées, comme ces deux couillons faisant leur courses homosexuelles :
– Tiens ! si on achetait un bébé, mon amour ?
– Oh…ouuuiiiiii, ça serait chouette, ma chatte !
Bref, l’amour des enfants acheté au supermarché des ventres pauvres. Acte ignoble ! Honteux …
Il ne s’agit pas de peur, ni de haine, mais de simple bon sens, denrée rare chez les invertis, semble t il … Pauvres gens !
Il n’existe pas plus de Bar des Sortifs que de JC à Porquerolles.
http://www.porquerolles.com/accueil/annuaire/activites-de-loisirs-a-porquerolles/
Bar des Sportifs
Regarde le reportage jusqu’au bout, JC, la mère porteuse américaine est fille de général Républicain et chrétienne, et considère qu’elle fait un don d’amour au nom de Dieu, le même que celui de Ludovine et ses affidés !
Que le caddie-ventru soit démocrate ou républicain ne change rien à l’enfant considéré comme un bibelot qu’on achète !
Pourquoi ne pas acheter un chat, plutôt qu’un bébé ? Peur de sombrer zoophile ?…Hurk hurk !
« Des milliers d’enfants sont ainsi devenus des fantômes de la république. » (France2)
« des fantômes »
Oui, ML, la faute à qui ?
Il serait certes excessif de dire que la GPA va faire des enfants des « bibelots » qu’on achète. Mais le danger à terme d’une réification de la vie existe bel et bien. Heidegger pense ce problème, c’est même son obsession dans toute sa pensée. Il ne serait pas très sérieux de le nier et de taxer ceux qui s’en soucie de tous les noms d’oiseaux qui viennent à l’esprit. Ce n’est qu’une marque d’intolérance de plus dans un blog qui a pris la mauvaise habitude de stigmatiser ceux qui ne pensent pas comme la masse qui, par définition, ne pense pas. Il existe un danger réel pour la conception que nous faisons encore de l’homme et de l’humanité. Cette conception humaniste est-elle en train d’agoniser sous nos yeux ? Ce n’est pas impossible. En tout cas, on vit une ère fantomatique. Il n’est pas impossible du tout que dans cinq mille ans on fabriquera des êtres humains dans des éprouvettes sans aucun besoin de mère porteuse sans trop se poser de questions métaphysiques. À mon avis, c’est ce qui se profile à l’horizon. On ne sait pas encore si l’humanité y perdra. Il faut attendre que grandisse la génération des enfants des mères porteuses pour comprendre ce qui est en train de se passer dans l’humanité toute entière. On est en train de franchir un cap.
Puisqu’on évoque la zoophilie, inutile de vous dire que je compte sur ce gouvernement imaginatif – inventant des sujets de division pour masquer son incompétence économique – pour légaliser les amours de nos compatriotes pour leurs bêtes de coeur !
Tant qu’à légaliser le contre-nature …
Vite ! Une Loi Taubira (elle est toujours en poste ?) autorisant le MARIAGE POUR TOUS LES ZOOPHILES !
Mais il faut bien comprendre que ces enfants de mères porteuses sont devenus des fantômes de la république au nom des valeurs de l’humanisme. Faut-il en conclure que l’humanisme comme fondement de nos valeurs est à rejeter désormais ? C’est la question qui se pose. Il va falloir choisir. Pas facile.
Ceux qui stigmatisent une minorité qui ne pense pas comme eux sont plutôt du côté de la Manif pour tous, ML.
Honnêtement, je ne crois pas qu’on puisse débattre de ce problème aigu, qui risque de mettre la république sans dessus dessous si on présente les termes du débat de cette manière : une majorité qui s’en prendrait à une minorité. Ce n’est pas comme ça que se pose réellement le problème.
La manif pour tous ne s’en prend pas aux homosexuels sauf à la marge, certains excités très marginaux. Cette manif revendique des valeurs. Ce sont ces valeurs qu’il faut entendre. Ce sont des valeurs humanistes traditionnelles. On ne peut pas les rejeter d’un revers de main comme si on réglait du même coup la question. Nous participons tous, y compris les homosexuels qui veulent cette GPA de ces valeurs humanistes. Mais la GPA les contredit. D’où le débat et le problème de société.
On est en train de franchir un cap. (Widergänger)
C’est probable, et la GPA n’est qu’une des options envisageables, avec les éprouvettes. En un temps où l’humanité compte sur terre plus de 7 milliards de représentants et où on en attend 9 milliards pour 2050, et où, parallèlement la Terre s’appauvrit et se dégrade à la vitesse grand V, il va falloir que notre espèce prenne vraiment à bras le corps le problème de sa fécondité et de sa reproduction selon des modalités autres que le traditionnel ah dans mes bras poupoule croissons et multiplions, Dieu pourvoira au reste. Sinon, c’est le droit dans le mur collectif, peut-être avant la fin du XXIe siècle.
Une loi restrictive, non-humaniste, dite de l’enfant unique, a conduit en Chine pendant des années au meurtre discret de fillettes, moins souhaitées que des garçons, créant un déséquilibre sexuel démographique, générant une demande forte et l’achat de jeunes femmes au Viet-nam, en Corée, etc …
La maitrise « technique » au plus bas niveau, l’évolution de la morale, de l’éthique, vont faire reculer le hasard, régulateur naturel courant, et l’humanité « progressera »….
Dans quelle direction ? Celle qui fut toujours le cas lorsque technique et éthique passent des arrangements pratiques entre eux : la démesure.
ah dans mes bras poupoule croissons et multiplions,
Nous sommes enfin prêts pour un eugénisme mondialisé.
Chacun fabriquera sa race avec ses attributs choisis, non de d’là!
« il va falloir que notre espèce prenne vraiment à bras le corps le problème de sa fécondité et de sa reproduction »
T’as toujours l’expression adéquate, Eugène ! Compliments…
(ce « à bras le corps » me touche au cœur !)
L’éternel combat entre les forces progressistes et conservatrices qui coexistent en chacun d’entre nous, ML et Artémise, et que les individus comme JC contribuent à brouiller plutôt qu’à éclaircir : il n’y a que lui pour parler de zoophilie ici !
Avec les premières avancées réelles de la contraception à partir du milieu du XXe siècle, nous sommes entrés, mais très lentement, dans une ère nouvelle de la gestion de sa fécondité par l’humanité , gestion nécessairement de plus en plus programmée, planifiée, contrôlée . Que ces avancées soulèvent des débats philosophiques et suscitent des oppositions religieuses, elles n’en sont pas moins essentielles pour l’avenir de l’humanité sur la Terre.
Les « valeurs humanistes » se résument exclusivement à des valeurs religieuses pour vous, ML ?
Il ne s’agit pas essentiellement de religion. JC n’est pas religieux du tout. Ne mélangeons pas tout.
Il s’agit de valeurs humanistes inventées en Europe occidentale. La GPA les remet en question. Si vous êtes pour la GPA, vous voulez les remttre en question. Il faut l’assumer.
La république rejette aujourd’hui la GPA. Elle ne la rejette pas du tout au nom de valeurs religieuses. Mais au nom des valeurs laïques de la république.
Il ne faut pas pervertir le débat.
Que ces avancées soulèvent des débats philosophiques
Cette artémise, avec la « pureté » de la technologie totalitaire qui ne serait pas agi par la pensée de l’ homme, on croit rêver!
Comme si nos dames romaines (et d’ autres civilisation ne pratiquaient pas la contraception…)
Oui, ML, laissons les valeurs de JC de côté, et tâchons de faire avancer le débat par le haut…
« les individus comme JC contribuent à brouiller plutôt qu’à éclaircir : il n’y a que lui pour parler de zoophilie ici ! »
Mauvais procès !
Y a Clopine (et ses ânes, sans compter Clopin) et tous ceux qui aiment les bêtes…
Artémise et son fascisme sociétal qui ne dit pas son nom.
Il est évident qu’il s’ agit d’éthique laïque, WG a raison.
« laissons les valeurs de JC de côté »
Pas question : elles ont plus de valeur que beaucoup de celles bien en Cour, défendues par des gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur mentule !
(non, Jacky, ce n’est pas une attaque personnelle) !
« La république rejette aujourd’hui la GPA »
Hier, elle rejetait le mariage entre personnes de même sexe, l’abolition de la peine de mort, le droit à l’avortement…
Ce n’est pas parce que j’ai lu les Livres Saints religieux, et ce qui tourne autour, que je ne suis pas agnostique pur et dur !
Arrêtez la déconnade, bande de malfaisants vipérins !
Les valeurs laïques ou religieuses évoluent, les secondes moins vites que les premières !
« et tous ceux qui aiment les bêtes… »
Mais ici il n’y a que JC qui songe à leur faire un enfant dans le dos…
pas plus loin que le bout de leur mentule !
C’est résumer un peut schématiquement, ou par image d’ épine mâle, la volonté minoritaire de désirs particuliers que l’ on veut imposer à la communauté humaine. C’ est un peu la question que pose l’œuvre de Sade.
Mon désir bien minoritaire et bien particulier , c’ est que la génétique parvienne ( et elle y parviendra!) à créer un chien sans dents pour que je puisse me permettre des fellations quand je le voudrais.
Médor, fellation!
Cet amour désirant à mon chien ne gène personne, aucune autre communauté humaine.
Pense à autre chose, Jacques ! Pense à autre chose !… à ton salut… à ta réincarnation !…
« un intérêt désintéressé »
C’est un oxymore ou l’un des fameux pas de côté de Passou ?
Mauvaise mise en page de la photo 2, qu’il faut pivoter
On ne comprend rien de la performance de l’athlète.
C’est la canne qui est verticale.
Un numéro d’avant mariage?
Jean-Marie,
Nous avons déjà beaucoup de sans-dents en France qui feraient l’affaire moyennant une indemnité convenable.
Laissons les chiens tranquilles, à s’occuper des chiennes en chaleur …
« Jacques ! Pense à autre chose !… à ton salut… »
Réponse :
« Dire à quelqu’un de « balayer devant sa porte », c’est lui demander de s’occuper de ses propres affaires avant d’essayer de régler les problèmes des autres. La porte représenterait la situation ou la personne elle-même, et le balai serait une image de la solution à ces problèmes. Il faut donc s’occuper de ce qui nous regarde avant d’essayer de s’immiscer dans la vie des autres. »
Il est vrai qu’il faut être vraiment bourré pour se servir de sa canne de cette façon là. Collégien français renommé, et néanmoins titubant le long des rues, ivre, à petits pas …
Photo 1 Black Athena
Soutien à travers les siècles à ceux qui défendent les humanités classiques
« No, not all of us were DWEM ».
C’est les deux vieux cons du fond qui sont des Dead White European Males.
Quand on lit les commentaires de JC, on se rend très vite que ce monsieur est complètement cinglé, malade du ciboulot, à soigner s’il est encore temps mais j’ai bien peur
Mais le camarade JC n’entend rien imposer à personne, Bernadette.
Quand on vient à la maison, on laisse sa queue à l’entrée, c’est tout.
On me soigne, Bernadette ! On me soigne ! Vous ne pouvez pas savoir comme c’est bon …
Vous avez un drôle de camarade, ueda ; vous approuvez tous ses propos ? si oui, c’est du joli
Eddy Bellegueule ou Farida Belghoul?
Mon camarade JC est contraint de défiler aux côtés de « Musulmans anti-homos ».
Ah, ça lui fait les pieds.
Camarade ueda,
Ayant lu, comme tout bon chrétien de souche, le funeste Alcoran, et par deux fois pour n’en rien rater, j’ai à ma disposition une sélection de sourates toutes prêtes qui favorisent le « vivre-ensemble-mais-séparé » !
« voix puissante avec un reste d’accent imprégné du mistral »
Lors de la parution du livre de PV sur Comment écrire l’histoire, le brillant Michel de Certeau qui en rendait compte dans les Annales était un peu ennuyé.
Il devait défendre sa maison, mais ne pouvait pas être moins plaisant que l’auteur. Car le charme était une arme de guerre, avec le modèle Foucault par derrière. Il ne fallait pas le laisser à l’adversaire.
Il commence donc par traiter l’essai de PV comme une sorte de galéjade provençale.
« Certes, le jeu de massacre sent le pastis »
l’article de de Certeau sur le livre de Paul Veyne.
Avec mes excuses.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1972_num_27_6_422547
« Malheureusement, le lien renvoie à un article réservé aux abonnés du Temps. »
En 1996, il [David Foster Wallace] vous enjoint de ne pas parler à ses parents. Vous respectez son souhait, mais vous allez les voir après sa mort…
David Lipsky. J’ai rencontré des gens charmants, chaleureux, intelligents, perceptifs, de la même façon que David l’était. Je voyais bien d’où venait sa mentalité… Le poète polonais Czesław Miłosz a écrit que «quand un écrivain naît dans une famille, cette famille est foutue». David montre une autre vérité: quand un écrivain voit le jour au sein d’une famille, il devient l’antenne de distribution de la vision du monde de cette famille – et celle – ci est préservée. La naissance de Proust a fait exister sa famille pour toujours et pour le monde entier… David capturait la voix particulière qui se rattachait à la manière dont sa famille voyait le monde. Quand j’ai parlé avec sa mère et avec sa sœur, j’ai entendu la voix qui était la sienne. La même manière comique, futée, exacte d’observer comment les choses prennent forme autour de soi. J’ai trouvé qu’il s’agissait là d’une très belle chose.
(Le Temps)
ceux qui connaissent un établissement psychiatrique dans les environs de Porquerolles sont priés de contacter JC d’urgence, merci
Bernadette dit: 6 octobre 2014 à 10 h 57 min
ceux qui connaissent un établissement psychiatrique dans les environs de Porquerolles sont priés de contacter JC d’urgence, merci
Ce conseil sent l’antipsychiatrie.
Vous voulez qu’il y foute le bordel?
Vol au dessus d’un nid de cocos?
Merci, secrétaire.
Pour ce qui est de l’augmentation, apprenons à vivre dans une pauvreté partagée.
GPA, clonage, surpopulation, perte des filiations biologiques: tout est annoncé et expliqué dans « le meilleur des mondes »(1932) d’aldous Huxley.5 euros en pocket.
« Pour ce qui est de l’augmentation, apprenons à vivre dans une pauvreté partagée. »
la pauvreté partagée c’est la misère!
Effectivement, certains visionnaires – bien connus – ont mesuré longtemps avant les autres la démesure humaine à l’œuvre dans le futur. En bien, et en mal…
Camarade ueda,
Lorsqu’on outrage sa secrétaire, on la paie ! C’est la moindre des politesses …
jc, le zoophile, c’est aussi celui qui aime les zoos. Ou les zozos. Donc, ni moi ni l’un des miens n’en faisons partie !
(j’espère que le lien vers mon blog fonctionne, parce que les photos y sont aujourd’hui superbes !)
(… et on récupère le fric en vendant 50% du lardon de la secrétaire, neuf mois plus tard…)
Clopine, vous accepterez toutes mes excuses … avec le cœur que vous avez.
la seule augmentation dont zouzou est encore un peu capable est toute organique, mais ça me dit trop rien…
« la pauvreté partagée c’est la misère! »,
Affirmatif, mais partagée !.
secrétaire(désinhibée) de zouzou dit: 6 octobre 2014 à 11 h 22 min
la seule augmentation dont zouzou est encore un peu capable est toute organique, mais ça me dit trop rien…
With moderation, please.
We are Asians.
c’est fou ce qu’on respire mieux quand bouguereau n’est pas là ; s’il pouvait en être de même avec ce JC, vœu pieux, amen
jc, 11 h 16 : pas d’ironie, s’il vous plaît. Vous me haïssez, comme Daaphnée. Court se contente de me détester !
Inspirez ! Expirez ! Respirez !
Clochards épuisés, vieillards lubriques, hyènes dactylographiques de Passou, nous sommes le sel de ce Collège, l’engrais de ce champs nourricier, les fumiers du terreau qui laisse pousser tant de fleurs aux couleurs délavées, hélas ! ….
Bon, faut y aller ! Adieu, chers amis … !
« Un homme précédé par son visage qu’il dit très laid »
« Très laid » est un euphémisme : il est carrément monstrueux. On comprend l’admiration jalouse de ueda : un prodigieusement hideux qui n’a pas arrêté de niquer, sa vie durant, grâce à son autorité professorale et un truc qui fait crac boum hue.
Allons, Clopine ! Allons !
Nous vous dévorons à belles dents car nous vous aimons !
(… il nous faut apprendre à manger de tout, les temps sont durs …)
N’en déplaise à Cléopâtre, une djihadette n’est pas autorisée à faire rectifier son nez.
http://www.karlremarks.com/2014/08/exclusive-isis-internal-memos-from.html
– Sur ces affiches, on a ajouté au feutre « (Etat islamique de l’Iraq et de Syrie) et du Liban ».
Bientôt, et de Jordanie?
…wa l ‘Urdun?
(suite)5
Tandis que je montais vers Bergün, je songeais que Marusa avait cherché toute sa vie à en descendre. Contrairement à son arrière grand-père qui, poussé par la misère, était monté de Como, d’abord jusqu’à Cazis, puis remontant encore la pente à travers la vallée de l’Albula qui pour je ne sais quelle raison prend le nom qui, d’après Virgile, est l’ancien nom du Tibre et des sources sulfureuses qui l’alimentent près de Tibur, s’était installé à Bergün définitivement, elle n’avait eu de cesse de chercher à descendre. Je redescends vers la civilisation, disait-elle souvent à son frère, me dit-il, en le quittant pour Zürich avant de regagner Montréal où elle était partie vivre avec son mari photographe qu’admirait déjà Aragon, au début des années soixante-dix. Il la protégerait, lui avait dit son père, pour autant qu’il vivrait. Son père était maçon mais jouait du violon. Un artiste rentré sans doute, qui avait sacrifié son art pour faire bouillir la marmite, un artiste à sa manière, un peu extravagant. C’était sans doute son désir que sa fille devienne une artiste. Le fait qu’il avait détecté en elle une nature artiste qui allait lui permettre de se réaliser à travers sa fille l’avait poussé à lui dire qu’il la protégerait. Il savait très certainement qu’un artiste, qu’une nature artiste a besoin de protection pour se développer parce qu’une nature artiste se développe toujours contre le monde et que le monde est violent, violemment hostile aux artistes par nature, que l’art est inéluctablement le produit d’une lutte acharnée contre le monde qui ne veut pas des artistes mais au contraire s’efforce par toutes sortes de moyens de détruire les artistes, au profit des bâtisseurs de chalets comme l’étaient son père et son frère, capables de travailler douze à quatorze heures par jour pour bâtir avec la tête totalement vide de tout autres préoccupations que les cailloux pour le ciment à extraire de la montagne, à transporter, à entasser en d’immenses montagnes de cailloux à bâtir des chalets qui résistent à l’usure du temps, à l’histoire alors qu’un artiste est la proie du temps en lutte contre la mort qui le détruit de l’intérieur à chaque moment qu’il s’acharne contre toute raison à vouloir élever au-dessus de la mort. C’était sans doute le désir de son père de faire d’elle une artiste, de lui permettre de s’échapper de la prison de Bergün où en hiver la nuit tombe trop tôt et trop vite et enserre toutes choses et surtout une nature artiste de ses ténèbres malfaisantes qui plombent tout élan artiste vers la beauté, vers l’extase devant la beauté incroyable du monde inaccessible aux bâtisseurs qui triment toute la journée et s’affalent comme son frère le soir qui roupille jusqu’à des heures sans nom, seul, devant la télévision toujours allumée, sans personne à la regarder depuis des heures. La dépression ne tarde pas à vous gagner si vous passez de longs hivers à Bergün, comme sa mère, toujours dépressive, disait-elle, qui était originaire de Bâle et n’était montée à Bergün que pour suivre son mari, qui s’était armée, m’avait-elle dit un jour, durant la guerre d’un revolver qui ne la quittait jamais de peur d’avoir à s’en servir contre on ne sait quoi, contre elle-même peut-être ou ce qu’elle ne savait au contraire que trop bien, contre les nazis qui prospéraient à Sankt-Moritz pendant la guerre, épisode qu’interrogeait encore sa fille quelque cinquante ans plus tard en demandant des comptes à sa mère dans de longues lettres alors qu’elle traversait une crise grave qui l’avait amenée au bord de la folie. Nous étions allés fleurir la tombe de ses parents dès notre arrivée à Bergün, cette année-là, où ses cendres, un an plus tard, à peine, seraient déposées. À Zürich, nous avions rendu visite à une de ses anciennes amies d’enfance, devenue coiffeuse. Elle était tombé manifestement loin du nid et son père l’avait vraisemblablement senti très tôt et voulu la protéger d’un tel destin, de l’hostilité du monde à l’égard des artistes, de l’hostilité de sa propre famille et de son propre frère et même contre elle-même. Elle serait protégée, lui avait-il dit, pour autant qu’il vivrait. Mais il était mort depuis longtemps, et elle n’avait eu de cesse de descendre toujours plus bas et de fuir toujours plus loin. À sa mort, la fortune en héritage avait été partagée, et elle avait reçu sa part en argent et en terrain tandis que le frère reprenait l’entreprise de bâtiment de leur père.
Si tratta della deformazione che ha afflitto Roy Lee Dennis. Dalla storia di Roy è stato tratto il film drammatico Dietro la maschera di Peter Bogdanovich. Forse anche la storia di Joseph Merrick, narrata nel film biografico The Elephant Man di David Lynch, è basata su questa malattia, ma secondo altri nel caso di Merrick si trattava della Sindrome di Proteo o neurofibromatosi.
Widergänger dit: 6 octobre 2014 à 11 h 52 min
« son arrière grand-père QUI, poussé par la misère, était monté de Como, d’abord jusqu’à Cazis, puis remontant encore la pente à travers la vallée de l’Albula QUI pour je ne sais quelle raison prend le nom QUI, d’après Virgile, est l’ancien nom du Tibre et des sources sulfureuses QUI l’alimentent près de Tibur… Je redescends vers la civilisation, DISAIT-elle souvent à son frère, me DIT-il, etc. etc. »
Dieu que c’est mal écrit !
L’amour à crédit.
Cara Marie
La stringo al cuore e finiamola qui – Tutto questo bordello sentimentale mi fa venire la nausea, di lei, di tutti e di tutte… Dovrei semplicemente fottermene per dio! Vorrei vedere lei, nei miei panni e nella mia condizione, se le verrebbe voglia di perdere anche solo un minuto con queste stupidaggini! Averlo in culo, che bel divertimento!
http://www.ilgiornale.it/news/sono-davvero-nauseato-bordello-sentimentale.html
Ah, vous me faites changer d’opinion, WGG. Ce passage-là est plus que prometteur. Le mélange de « considérations » et de « reportage » fonctionne plutôt bien, à mon sens. Mais je bute encore (je suis sûre que c’en est « d’exprès », comme disent les enfants qui jouent, parce qu’une lecture trop facile, trop aisée, vous semblerait indigne de vous et de la profondeur de vos pensées. Soupir) sur certaines difficultés syntaxiques dont vous pourriez vous passer pour aboutir à une fluidité qui servirait votre propos. Surtout pour ce passage, où il est question de trajets, d’allers et de retours. La fluidité, dans ce cas, (enlever les aspérités de lecture) rapprocherait encore le fond de la forme. Contrairement à vos premiers chapitres, trop filandreux sous la dent.
(et je m’en fous, d’être autorisée ou non à donner mon avis ! Vous en faites ce que vous voulez. Je pourrais analyser très concrètement ce que je vous indique, mais comme vous n’en avez que faire…)
au profit des bâtisseurs de chalets… capables de travailler douze à quatorze heures par jour pour bâtir avec la tête totalement vide de tout autres préoccupations que les cailloux… à entasser en d’immenses montagnes de cailloux à bâtir des chalets…
Oh là là, quel charabia.
Ce n’est pas mal écrit, c’est étudié pour, et fait exprès ! Vous voyez bien que vous êtes un lecteur incompétent, UN CON PÉTANT…
ueda dit: 6 octobre 2014 à 11 h 48 min
Se non è vero…
Preuve est faite que les lecteur de ce blog, en partie, sont de vrais nullités en lecture. Pour une fois Clopine se démarque.
Widergänger est un génie.
Je ne vous le fait pas dire…!
Widergänger est un poète doublé d’un profond connaisseur de la psyché humaine, qu’il rend intelligible au moyen d’un style qui parvient à éblouir sans aveugler.
C’est remarquable.
Respect.
Tant de talent livré gratuitement aux lecteurs chanceux que nous sommes. Merci d’exister, Widergänger, vous êtes une lumière dans notre nuit.
dans les quelques lignes que nous livre ML, on reconnaît immédiatement la patte de l’écrivain.
il n’est pas impossible qu’un jour ou l’autre, s’il continue à travailler, il égale Clopine.
Chalouguereau, pour la succession de « que » et de « qui » voir l’extrait ci-dessous :
« Oui, dit le comédien du Burg en se levant de table et en s’apprêtant à partir après avoir pressé dans la main de la Auersberger qui s’était levée en même temps que lui, sa tasse à café vide, comme je hais au fond ce genre de réunion où l’on ne cesse de déprécier tout ce qui signifie quelque chose à mes yeux, de traîner effectivement dans la boue tout ce qui a du prix à mes yeux, et où l’on ne fait qu’exploiter mon nom et le fait que je suis comédien au Burg, et comme j’aspire effectivement non pas tant à la tranquillité qu’à être effectivement laissé tranquille. Oui, ai-je toujours pensé, si seulement j’avais pu naître autre que ce que je suis, et si seulement j’étais en somme devenu quelqu’un de tout à fait autre que celui que je suis devenu, si seulement j’étais finalement devenu un de ceux qu’on laisse tranquille. Mais pour cela, j’aurais dû être engendré par d’autres parents et j’aurais dû grandir dans des conditions tout à fait différentes, dans la nature sauvage, comme je l’ai toujours souhaité, et non dans la nature domestiquée, dans la nature tout bonnement, et non dans l’artifice. Car nous avons tous grandi dans l’artifice, dans l’irrémédiable folie de l’artifice, et non seulement moi qui ai toujours souffert de cela, dit tout à coup le comédien du Burg, mais vous tous, dit-il, et là-dessus, il chercha des yeux la Jeannie et lui dit, et vous aussi, ma chère, vous qui me poursuivez de votre haine, vous qui me méprisez. Il se tourna ensuite vers moi, mais sans rien me dire, puis vers Auersberger qui dormait, complètement saoul, dans son fauteuil, et à Auersberger, il dit que c’était un malheur d’être né, mais que le plus grand des malheurs, c’était d’être né pour devenir finalement quelqu’un comme ce M. Auersberg.
[…] Bien que tout le monde eût beaucoup bu, seul Auersberger avait finalement été complètement ivre, exactement comme il y a trente et comme il y a vingt-cinq et vingt ans. Complètement affaissé dans son fauteuil, il ne s’était même pas aperçu que tous les invités s’étaient levés et s’apprétaient à partir. »
Thomas Bernhard, Des arbres à abattre, traduction Bernard Kreiss, éd. Gallimard, pp. 217-219, 1987
« Je pourrais analyser très concrètement ce que je vous indique, mais comme vous n’en avez que faire… »
Elle « pourrait » ! Mieux vaut en fait qu’elle ne s’y risque pas !
« Mais il était mort depuis longtemps, et elle n’avait eu de cesse de descendre toujours plus bas et de fuir toujours plus loin. »
C’est beau.
Hats off.
je plaque zouzou et file faire la secrétaire chez Wid, le plus grand écrivain de la rdl avec clopine,j’en suis toute retournée, n’en profitez pas!
Camarade Alba, vous m’avez bluffé. Si le style c’est l’homme, alors quel homme ! quel style !
795
commentaires