Les Lumières de cape et d’épée de Perez-Reverte
Un roman historique ? Vale ! Mais si différent des nôtres, bien formatés à la française, quand il est d’un Espagnol de la génération d’Arturo Perez-Reverte, romancier au long cours, correspondant de tant de guerres, journaliste dans l’âme, blogueur généreux et accueillant (il donne asile à nombre d’écrivains), polémiste à ses heures (contre Trump, la lâcheté occidentale face aux djihadistes, le fanatisme analphabète des féministes, l’Europe vieille et obsolète…) , né en 1951. Deux hommes de bien (Hombres buenos, traduit par Gabriel Iaculli, 512 pages, 22,50 euros, Seuil) s’inscrit dans la lignée de plusieurs de ses précédents livres au succès mondial, non pas tant Le Tableau du maître flamand, le Maitre d’escrime ou encore les aventures du capitaine Alatriste où se profile l’ombre portée d’Alexandre Dumas mais plutôt La Reine du sud (pour la plupart traduits par François Maspero qui s’était emballé pour son œuvre)
Cette fois, il est question de l’Encyclopédie et de l‘exfiltration clandestine, chahutée, haute en couleurs et en mystères de cette somme inouïe de 72 000 articles, 16 500 pages, 17 millions de mots vers l’Académie royale espagnole à Madrid. Une histoire vraie, basée sur des recherches en bibliothèque avant d’être mise en scène à la Perez-Reverte. Nous sommes à la fin du XVIIIème siècle. Deux académiciens, le bibliothécaire don Hermogenes Molina et l’Amiral don Pedro Zarate, bravent tous les dangers, à l’aller comme au retour, afin de ramener du Paris pré-révolutionnaire ici merveilleusement rendu, jusqu’à une Madrid plus paisible et moins effervescente, ces 28 volumes dont l’Eglise ne veut pas entendre parler.
Une partie de leurs collègues y étant hostiles, ceux-ci envoient un espion à leurs trousses chargé de faire échouer leur entreprise, laquelle est de toute façon rendue incertaine lorsqu’il s’avère que l’édition originale est épuisée. Sous la plume de Perez-Reverte, cette course-poursuite masque donc un combat entre Lumières et anti-Lumières d’un panache, d’une vivacité et d’une ardeur peu communes dans ce genre de débats. Autant dire que les aventures de la connaissance y sont saisis au sein d’un roman de cape et d’épée dans la grande tradition, mêlant aventures, duels et intrigue amoureuse, et on ne s’en plaint pas.
« Alors se tissaient déjà, au sein de l’Académie comme ailleurs, les fils de la corde avec laquelle les Espagnols allaient se garotter les uns les autres pendant les deux siècles suivants »
Derrière le culte du détail et la précision en toutes choses (ah, le bruissement du noble papier-chiffon et « son odeur sémillante »…), l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert est présentée comme le triomphe de la raison et du progrès sur les forces obscures du monde alors connu, parmi lesquelles les plus tenaces cultivent « la haine de la nouveauté ». Il en ressort l’idée que le XVIIIème espagnol fut vraiment un siècle d’occasions perdues, en raison notamment des résistances opposées par le christianocentrisme, la réaction l’ayant emporté alors que les idées nouvelles secouaient la vieille Europe.
Alors, en quoi sont-ils si différents des nôtres ces romanciers qui font de bonnes et de mauvaises manières à l’Histoire en injectant de la fiction née de leur imagination dans le passé le plus rigoureusement documenté ? Disons qu’ils relèvent d’un genre, improbable école sans maître ni disciple, baptisé « la transparence littéraire » ; celui-ci se distingue par l’intrusion de l’auteur de plein pied dans le récit, son rôle comme personnage de premier plan nous entrainant en temps réel dans les coulisses de la création romanesque et dans la fabrication de son enquête historique à mesure qu’elle progresse. Une tendance illustrée en France par le Hhhh de Laurent Binet et nombre de livres d’Emmanuel Carrère, notamment Le Royaume. Et cette fois pleinement par Arturo Perez-Reverte ! Cet écrivain-là est de ceux, les plus rares, que l’enquête sur le terrain passionne et excite plus encore que l’écriture.
Ainsi, puisque la fiction n’est pas consubstantielle au roman, rien n’empêche plus l’auteur de s’autoriser au mélange des genres. D’autres écrivains espagnols de cette génération agissent ainsi : Javier Marias, Javier Cercas, Antonio Munoz Molina notamment, signatures que l’on retrouve parfois sur le blog collectif Zenda cofondé l’an dernier pour permettre à des écrivains et des critiques littéraires d’y parler librement des livres, par un certain … Arturo Perez-Reverte. Des libertés que l’on s’accorde et des licences que l’on s’autorise sans jamais oublier de rendre hommage au plus moderne d’entre eux, celui qui s’était affranchi des règles avec un jubilation sans pareille, un certain Cervantès, il y a … quatre cents ans.
(« Gravure pour une planche de chirurgie extraite de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert »)
707 Réponses pour Les Lumières de cape et d’épée de Perez-Reverte
Demandez à Bouguereau qui le connait bien.
bérénice dit: 20 mai 2017 à 19 h 56 min
Un classique
https://www.youtube.com/watch?v=Q0utAHY3xo4
–
Ne me dites pas que vous aimez réellement cette cochonnerie sinon je ne vous parle plus jamais et pour toujours.
Ce soir j’ai mangé du saucisson Jean Rozé et je m’en félicite encore.
http://www.sva-jeanroze.com/demarche-responsable.php
Hier je suis allé faire un petit tour chez Annelise; je l’ai impressionnée par mes connaissances cinématographiques, elle n’en est pas encore revenue.
« La Suisse plaint la « pauvre France » et ses vieux philosophes ronchons »
La Suisse, ce pays qui a sur les mains le sang de tant de guerres, jouit-elle d’une vie intellectuelle ou philosophique si grande qu’elle puisse ainsi se moquer de la France ?
Malheureusement la conversation a viré chiffons à cause de Jazzi-quou qui a trouvé le moyen de parler maillot de bain.
Delaporte dit: 20 mai 2017 à 21 h 28 min
« La Suisse plaint la « pauvre France » et ses vieux philosophes ronchons »
La Suisse, ce pays qui a sur les mains le sang de tant de guerres, jouit-elle d’une vie intellectuelle ou philosophique si grande qu’elle puisse ainsi se moquer de la France ?
–
La réponse est clairement non.
Aimez-vous le saucisson écoresponsable, Bérénice ?
Janssen J-J, pour parler musique, il faut y connoistre quelque chose.
Ecoutez-donc cela : http://www.youtube.com/watch?v=60KXzyvMiZU
J’ai toujours été d’avis d’annexer la Suisse à la France. Ce qui serait un acte héroïque, compte-tenu de l’affreuse déformation géométrique qui en découlerait pour notre hexagone.
Bon je vais regarder Sébastien sur la 2.
d fait de l’orthorexie !
21h31 D si vous m’offriez un choix bien sûr je préfèrerais l’andouille de Vire si elle aussi éco responsable, en ce qui concerne la nouvelle carte de France après annexion qu’importe, passons sur cette disgrâce, le bénéfice est indéniable, tout de suite nous enregistrons l’effacement de la dette de l’état et cela vaut bien une carte dysmorphique.
Pour Led Zep, je n’ai jamais trop cherché à comprendre le texte, il s’agit d’amour, avec une dimension physique, j’aime cette pulsion intense, cette sauvagerie, cette animalité cette façon qu’ils ont eu de régler leurs comptes avec le socialement-correct, c’est une musique anti-bourgeoise comme souvent la pop de cette période qui avait à déboulonner les vieux schémas.
un début de catalogue « Actes Sud » le 20 mai à 20h35, pour qui, pour quoi ?
Il manque un EVNI, ecrivain volant non identifié : Joseph Andras. Qui l’a lu l’oublie difficilement.
« Actes Sud » a surtout quelques » one shot » remarquables, pour ce qui est de la littérature non francophone.
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Il m’est arrivé une aventure, qui est très étrange.
Tout part d’une dédicace malicieuse sur un livre, où l’auteure -très jeune- souhaite à ses lecteurs de trouver – un jour peut-être- l’écrivain qui a écrit un livre qui ne figure pas sur le catalogue de l’éditeur, et que pourtant il a écrit.
Un peu plus tard, ou un peu avant, un hasard, toujours le même, qui fait que le regard accroche sur une couverture de livre, un titre, une quatrième de couv’, je croise un autre écrivain. Qui n’a écrit qu’un seul roman. Il est là sous mes yeux. Et l’écrivain, aussi qui écrit en guise de dédicace une phrase énigmatique, très belle sur là où l’obscurité tutoie la lumière. Comme son livre est à l’entame d’une rare densité, je fais quelques recherches internet, pour approcher cette lecture. Et l’énigme est là aussi, puisque selon toute vraisemblance, celui qui a tutoyé cette obscurité, écrit sous pseudonyme.
Une belle expérience de lecteur, vraiment.
Bouguereau 18h57
Seconde superiorité masculine évidente même si difficile à admettre : les garçons lorsqu’ils dansent bien sont complètement géniaux.
Ouaip, j’y ñensais à la tendinite à l’épaule pour faire le roulé boulé apŕès la volte-face. Avec une prothèse ce serait plus facile. Non ?
Ne pas oublier La Pomme, du truc E.Batur, traduit par mon copain Ferda. Le passage stambouliote de La naissance du monde de Courbet – grandiose.
Les pratiques d’Actes Sud envers leurs traducteurs sont plus honorables que certaines d’autres maisons d’édition.
Les pratiques d’Actes Sud envers leurs traducteurs sont plus honorables que CELLES DE certaines autres maisons d’édition.
http://ffdanse.fr/index.php/rock/presentation
Que ton gars te regarde lors de ton triple salto arrière, va bien, mais, si lors de ta réception, il est à Trébizonde avec la funambule unijambiste, alors bonjour tristesse et bleus partout.
Les saltos avant et arrière (qui sont devenus doubles saltos avant et arrière) les danseuses gravitent aux alentours de 5 mètres du sol et ne sont plus tenues par le danseur.
Ce sont les Lyonnais qui en 1972 inventent le rock acrobatique chouchou double salto pas triple
Mon bébé tu as bien du mal à restaurer ton capital confiance pas vrai ? Faudrait bien sortir du cimetière des éléphants.
La justice française enquête sur des soupçons de pots-de-vin qui pourraient avoir permis à la France de décrocher fin 2008 une importante commande de sous-marins au Brésil, pour plusieurs milliards d’euros, rapporte samedi Le Parisien. Le parquet national financier (PNF) a ouvert en octobre une enquête préliminaire pour « corruption d’agents publics étrangers » autour de ce contrat signé le 23 décembre 2008, à l’occasion d’une visite de Nicolas Sarkozy, alors président de la République, à son homologue Lula, selon le site internet du journal.
AVIS DE RAFALE….qui à la défense et au AE en 2008?
Quoi ?! Qu’ouïe-je ?! Qu’apprend-je ?!!
Il pourrait y avoir des pots de vin versés à des responsables étrangers lors de transaction du type vente d’armes ?!!!!
Quelle horreur ! Mais quelle horreur !
« RT @ArianeChemin: Debray, Onfray, Finkielkraut, Todd… La Suisse plaint la « pauvre France » et ses vieux philosophes ronchons https://t.c… »
Toute l’hilarante rigueur intellectuelle d’Ariane Chemin.
Notons tout de même qu’il y a des moments où il vaut mieux être « ringardisé » pour trois mois.
Quant à la Suisse, pays adorable que je révère et respecte, on aimerait savoir quels membres de son intelligentsia elle aurait à opposer à « Debray, Onfray, Finkielkraut, Todd… ».
Ravages du Siècle?
Hurkhurkhurk!
Un de mes amis, génial écrivain canadien, ne voulait pas aller chez Actes-Sud, m’affirmant qu’ils ne payaient pas leurs petits auteurs, seulement les gros.
Cela dit, Françoise Nyssen semble un personnage d’une rare intelligence.
« Les fesses ne lisent pas. Comment les séduire ? »
Ce matin, opération séduction tous azimuts pour Chevillard, qui, tel l’écrivain raté qu’il demeure, se demande comment avoir davantage de lecteurs. Il en est à s’intéresser aux derrières. C’est gentil d’y penser, mais ce n’est pas comme ça qu’il a une chance de réussir un jour.
« Seconde superiorité masculine évidente même si difficile à admettre : les garçons lorsqu’ils dansent bien sont complètement géniaux. »
Complétement absurde! A talent égal bien sûr, Les danseurs ont toujours l’air de faire de la gymnastique acrobatique. Ils sont trop musclés, trop athlétiques. Les danseuses au contraire ont une grâce aérienne incomparable.
Delaporte, vos merdailles quotidiennes sont-elles destinées à faire concurrence à L’autofictif?
« Delaporte, vos merdailles quotidiennes sont-elles destinées à faire concurrence à L’autofictif? »
Non, mais ça pourrait s’appeler « l’anti-fictif ». Et ce n’est pas des merdailles, ne me confondez pas pas avec Chevillard, svp.
Delaporte, relisez-vous, c’est de la merdaille pur jus. Votre orgueil littéraire irait se nicher jusqu’au fond des cabinets.
@Bloom vous dites: « Les pratiques d’Actes Sud envers leurs traducteurs sont plus honorables que CELLES DE certaines autres maisons d’édition. »
Je ne peux en juger mais j’ai mis à 20h35 la liste des auteurs que ces éditions m’ont fait découvrir. Et pour certains, plusieurs ouvrages. Cela a été des moments forts de lecture sur des supports agréables à tenir en main (beauté des livres).
Je pense aussi que dans ce monde de l’édition c’est parfois, la jungle…
J’ai beaucoup d’estime pour celui du roman (« Un américain bien tranquille » de G.Greene) que vous m’avez incité à lire : Robert Laffont et pour cette collection de littérature étrangère dirigée à l’époque par Armand Pierhal, traducteur (Greene mais aussi Salinger, Casares, Brancati…)
Alors, le logo du dauphin, pouvez-vous me l’expliquer ?
Lucienne nous a confié : avec bouguereau et JC c’est la RdM ou République des Mous : boumou et bandemou
Christiane, Robert Laffont était marseillais, très attaché à sa ville, à sa mer… Quand il y a créé sa maison d’édition, il a trouvé naturel de se choisir le dauphin comme emblème afin de conserver cette identité méditerranéenne en montant à Paris, voilà tout.
Les danseuses au contraire ont une grâce aérienne incomparable
cloclo s’il havait eu des ronds et s’il havait pas peur des gendarmes y s’en srait bien payé une petite de 12 ans..pour être esthéte faut trop dcourage épicétou
Bloom dit: 21 mai 2017 à 6 h 31 min
Beaucoup d’hypocrisie. Tout le monde sait que les pratiques commerciales à ce haut niveau s’accompagnent de pots de vin. La corruption fait partie du système. Qu’on change alors le système politique qui s’en accomode mais qu’on ne laisse plus aux juges la gouvernance du monde ! Il y a là une dérive gravissime du droit et du pouvoir des juges qui prend le pas sur la politique alors que les juges n’ont pas à faire de la politique. Ce n’est pas le rôle de la justice.
« Seconde superiorité masculine évidente même si difficile à admettre : les garçons lorsqu’ils dansent bien sont complètement géniaux. »
t’es hune fille rose..c’est pour ça..mais la vérité dla danse c’est pourtant que la transformation..c’est odlà et y sont parfaitment égaux..tiens preuve..les meilleurs danseur du ventre sont des hommes..y’en a des grassouilles a pas croire ses noeils
« La Pomme, du truc E.Batur » (Bloom)
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Très drôle, Bloom. Merci pour ce moment d’humour très british…
fort vrai dracul..kabloom y veut dire que les machines a tuer françaises sont telment mauvaises qu’ils faut les fourguer havec du mauvais whisky..les angliches eux c’est havec le sourire et une édition compléte de béquète
Ouaip, j’y ñensais à la tendinite à l’épaule pour faire le roulé boulé apŕès la volte-face. Avec une prothèse ce serait plus facile. Non ?
hau moins y srait pas pensé a rester sur son cul comme a pléyelle..la musique sans la danse est quand même une bétise..faut pas chercher plus loin la vulgarité du rock à dracul..la vulgarité c’est le classique en vrac
marseillais, très attaché à sa ville, à sa mer…
c’est pas des consanguins alcoliques qui votent le pen..sapré lassouline
J’ai toujours été d’avis d’annexer la Suisse à la France. Ce qui serait un acte héroïque, compte-tenu de l’affreuse déformation géométrique qui en découlerait pour notre hexagone
t’as du courage dédé..et tu fais la preuve que la vulgarité c’est bien le sens classique..dracul havec son jéruzalème qui date d’hier soir fait un peu blinbling..faut pas lui en vouloir
Aimez-vous le saucisson écoresponsable, Bérénice ?
dédé il a pas que d’loreille et du courage..il a du gout haussi..une espèce de caton l’hancien havec un gros robinet épicétou
Me voilà tête de Truc…
Yes, mais plus maintenant, ML. Vous vous souvenez de l’attentat de Karachi, le 8 mai 2002; 11 ingénieurs de DCT Cherboug déchiquetés par une bombe dans la cour de l’hôtel Marriott? Les rétro-commissions, Sarko, déjà, trésorier de la campagne de Balladur. Le maire de Cherbourg à l’époque? B. Cazeneuve, bien décidé à aller jusqu’au bout de l’enquête.
Plus maintenant parce que les médias veillent: je ne sache pas que la vente des Rafales ait fait l’objet de pots de pif.
En revanche, le cimentier Lafarge Holcim (franco-suisse) a ouvertement dealé avec Daesch, ce qui n’est pas acceptable.
Comme l’Arabie Saoudite & le Qatar, d’ailleurs.
Une des promesses du candidat Macron: revoir les rapports avec les Saoudiens et le Qatar. Lire les articles et livres de Pierre Conessa sur les fourriers de l’islamo-fascisme, les potes à Trump.
Bon, j’apprécie ce matin que la maison Nyssen, après la volée de bois vert subie hier, ait trouvé depuis quelques défenseurs. Bien sûr qu’on n’ira jamais lui chipoter l’immensité de ses découvertes et des bonheurs de lectures qu’elle nous aura procurés durant ces dernières décennies… C’est qu’il faudrait toujours pouvoir dissocier le tête et les jambes, or parfois, cela se rejoint par inadvertance (l’ékonomie qui rattrape la kulture). Cela dit, qu’on ne vienne pas nous apprendre maintenant quelque malversation ou compromission de cette maison avec l’immense Svletana Alexievitch, que nous nous avez oubliée au palmarès de ses découvertes bouleversantes, chère Ch., avec ses traducteurs très correctement rétribués (Berelowitch, Coldefy-Faucart, etc.)! sans quoi je fais un malheur.
@22.52, la narration de cette aventure promettait…, mais hélas, comme très souvent, le rendu en est resté tellement obscur qu’elle n’a pas réussi à illuminer notre soirée. Bizarre, la compulsion de cette sympathique internaute à se rendre à ce point incompréhensible à ses compatriotes augmentés par michel houellebecq : pose de star en grande incomprise, ou handicap communicationnel intrinsecte ? Le dilemme insoluble perdure.
Oui, je m’en souviens très bien. Mais les pratiques demeurent.
Macron luttant contre le Qatar, l’Arabie Saoudite. Ne soyons pas naïfs…!
9h55 -Bouguereau, ne déplorait-il pas il y a peu un bas débit en dépit du calibre revendiqué? Je doute de ses déclarations et n’envisageons même pas son patrimoine que comme tant d’autres il dissimule sous des apparences trompeuses allant jusqu’à emprunter au catalogue d’actes sud des noms et de fausses adresses pour échapper à la pression médiatique , par exemple sur la république voisine je le soupçonne de s’exprimer sous des masques divers, ici il se contente de faire le clown soit pour amuser l’auditoire soit pour se divertir tant il s’ennuie. J’ai renoncé quant à moi à la RDC parce que je n’y comprends rien. Il me faut du simple, du clair, du commercialement intelligible sans quoi je coule telle une pierre au fond du lac du sens qui chatoie, brille, éblouit et parfois s’ombre d’un mouvement de nuages frères, qui s’égarent, s’amoncellent, s’accumulent s’offrant de la vapeur en s’effilochant la couleur, allant visiter tous les tons jusqu’au gris de Payne, si l’on consent aux sentiers qui sertissent le joyau de ne pas négliger de s’y hasarder .
Bonjour M. Bloom, Pierre Conesa est un de mes potes et il déteste qu’on écorche son patronyme qui ne comporte qu’un S., et moi je comprends ça. Je vous salue bien d’avoir pensé à le citer. Son meilleur opus reste de loin « La Fabrication de l’ennemi ou Comment tuer avec sa conscience pour soi (préf. Michel Wieviorka), Paris, Robert Laffont.
Six ans après…, l’a pas pris une ride !
« Je pense aussi que dans ce monde de l’édition c’est parfois, la jungle… » (Christiane)
Je vais te faire une confidence, ô chère Cricri, le monde tout court est une jungle où des missionnaires, idiots utiles de l’humanisme, se feront toujours dévorés par les prédateurs, rats, tigres, vautours sur entrainés.
Et c’est bien comme ça : on devrait ne jamais oublier cette animalité naturelle…
Le cinématographe, art mineur abrutissant, n’a besoin que de petites gens. Allez voir en RDC !
En tout cas, je rappelle à notre bon Passou que Regimbart avait l’habitude, le soir, de manger dans un petit café de la place Gaillon. Regimbart, Passou ? Allons ! Dans l’ES, du divin Flaubert. Seriez-vous un héritier de Regimbart, notre divin Passou…?
« Après la séance chez Arnoux, il entrait à l’estaminet Bordelais, pour prendre le vermouth ; puis au lieu de rjoindre sa femme, souvent il préférait dîner seul, dans un petit café de la place Gaillon où il voulait qu’on lui servit « des plats de ménage, des choses naturelles » ! (chapitre IV, 1ère partie).
J’ai pensé à vous en relisant le passage. Le Drouant existait-il déjà ? Non, mais Flaubert en avait eu comme l’intuition.
@Passou dit: 21 mai 2017 à 9 h 28 min
Ah, merci !
« Aimez-vous le saucisson écoresponsable, Bérénice ? » (Bougboug)
J’adore Bloom !
Conesa, je connais ça ! Il a aussi commis un livre sur les fantômes qui habitent le Moi. Notamment Rimbaud et son père.
@ « Il me faut du simple, du clair, du commercialement intelligible sans quoi je coule telle une pierre au fond du lac du sens qui chatoie, brille, éblouit et parfois s’ombre d’un mouvement de nuages frères, qui s’égarent, s’amoncellent, s’accumulent s’offrant de la vapeur en s’effilochant la couleur, allant visiter tous les tons jusqu’au gris de Payne, si l’on consent aux sentiers qui sertissent le joyau de ne pas négliger de s’y hasarder » .
oui, c’est ce qu’il nous faut aussi, du simple, du clair, et du commercialement poétique. Contrat bin rempli, mheu 🙂
dracul y boit trois whiski à l’alcool de bois et y se sent comme un chateau en écosse..l’heureux homme
JJJ – 10h10
« l’immense Svletana Alexievitch »… Mais oui, bien sûr… Je ne me souvenais pas de la maison d’édition pour ce livre bouleversant.
« Aimez-vous le saucisson écoresponsable, Bérénice ? » (Bougboug)
dédé..il faut rende a césar
@10.36, c’est pas le même et tu connais rin des fantômes qui t’habitent.
PAROLES D ECOSAUCISSON
« Plus maintenant parce que les médias veillent: je ne sache pas que la vente des Rafales ait fait l’objet de pots de pif. »
Sacré Bloom !….les médias veillent ! Alors qu’ils ne font, depuis toujours, qu’obéir aux puissants.
je dois aussi à Actes Sud de très beaux moments.
comme l’achat d’une magnifique maison de village dans le centre de Saint Remy de Provence, sur deux niveaux avec une terrasse tropézienne et à l’arrière un petit jardin de curé.
merci Actes Sud !
ne déplorait-il pas il y a peu un bas débit en dépit du calibre revendiqué?
tu lui dis ‘viens donc l’framasson au pied dmon mur que je vois ta tonsure’..tu sras fixée
@ « j’apprécie ce matin que la maison Nyssen, après la volée de bois vert subie hier, ait trouvé depuis quelques défenseurs. »
T’es un peu tarte, twas, à donner des liens pourris pour exciter la meute.
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@22.52, la narration de cette aventure promettait…
Et l’aventure a tenu toutes ses promesses.
Tu ne t’attendais quand même pas à ce que j’en fasse une rédaction pour les keufs.
Il y a des écrivains qui méritent leurs lecteurs 😉
Puisqu’il est question d’editeurs, préciser que dans l’aventure, sont mêlés à l’affaire: Buchet-Chastel, et Equateurs…
Sur ce, je repars, bon dimanche.
3J, désolée , je n’ai jamais eu le sens des affaires, j’aurais du faire fortune?
des fantômes qui t’habitent
la sologne..c’est à combien de kilomètre de tours au fait ?
Les médias sont encore plus puissants que les puissants eux-mêmes.
« Dura media lex, sed lex ».
La loi des médias est dure mais c’est la loi des médias.
..radio tarzoune qui drone
Il y a des écrivains qui méritent leurs lecteurs
Tous les écrivains ont le lectorat qu’ils méritent, l’inverse est vrai également. Cela dit, la phrase a des relents punitifs et méprisants.
@Cela dit, la phrase a des relents punitifs et méprisants.
uniquement dans la tronche merdique et perverse de la vieille chatbot amorphe, de 10h48.
Vos circuits sont envasés, lvdlb, vous devriez purger et renouveler le registre de l’invective, créativité: zéro en dehors d’un goût certain pour une mythomanie à clé sans double qui ne réussit plus à créer le mystère à tous les coups. Le propre du pervers narcissique dont je crois vous pouvez vous revendiquer consiste à projeter sur autrui ses défauts, dans le but de le déstabiliser ou de le faire culpabiliser par jeu, n’auriez vous pas encore saisi votre fonctionnement personnel? dans ce cas, c’est encore plus grave.
Bérénice, si vous avez l’intention de nuire à notre chère LVDB, il faudra me passer sur le corps…
Ceci dit, rien ne presse.
Trouvez Roméo et passez un bon dimanche.
https://youtu.be/WlyPfBrZr3s
@ »la phrase a des relents punitifs et méprisants ».
Comme d’hab., voui, l’se méprise et se puniche. Voit pas qu’en matière d’excitation de meute, parle d’elle-même, le ‘lien pourri’ demandé pour savoir de quoi on causait, en a fait son miel. L’a pas de suite dans les idées keuf, c tout et n’importe quoi, du pur chaos mental ; quand l’veut êt’sympa, y arrive jamais, syndrome d’raymond aron, sait pas rire de soi, viv’ dans les woods rend un brin dingo faut dire, on n’y peut rin.
Sinon, j’avions point non p’us la bosse du commerce, l’en faut des comm’ça pour justifier l’existence des chacals.
Pierre Conesa est un de mes potes et il déteste qu’on écorche son patronyme qui ne comporte qu’un S.,
Et il a bien raison. Toutes mes excuses ( je l’ai édité, naguère, je devrais le savoir).
Comment je viens de découvrir que Prince est dispo sur Spotify https://open.spotify.com/track/6Q8s3YuAWkx0Qui0Jgkr5m
Bon dimanche
Il faudrait vraiment remplacer, la saison prochaine, Vanessa Burggraf. Ce ne sont pas les candidates capables de relever le défi qui manquent, on l’a vu récemment. Mais elle, elle est incompétente, comme l’émission d’hier soir l’a montré :
« Vanessa Burggraf aurait dû réviser ses fiches avant de titiller l’ancienne ministre de l’Education. La chroniqueuse d’«On n’est pas couché» (ONPC) sur France 2, a provoqué l’ire de Najat Vallaud-Belkacem, samedi soir, en mentionnant sa prétendue «réforme de l’orthographe». «Fake news», a bondi, visiblement choquée, l’invitée politique. »
ONPC, c’est déjà la falsification constante de la réalité. Si en plus Vanessa se met à distiller des « fake news », alors ça ne va plus du tout. Mais, vous me direz, c’est peut-être le but. Oui, peut-être…
On comprend qu’après avoir regardé trois ou quatre heures de ONPC dans la nuit de samedi à dimanche, les téléspectateurs aient envie de se suicider…
« Pierre Conesa est un de mes potes et il déteste qu’on écorche son patronyme qui ne comporte qu’un S. » (JJJ)
Et il a bien raison. Toutes mes excuses ( je l’ai édité, naguère, je devrais le savoir)
(Bloom; 11h21)
STOP ! BLOOM & JJJ !
VOUES ETES RIDICULES … DEUX BOUFFONS DE COUR AU CHOMAGE ! N’avez vous aucune pudeur ? Pensez aux agonisants qui vous lisent ….
@Pensez aux agonisants qui vous lisent
On y pense justement, faisant œuvre de salubrité publique, on cherche à ce qu’ils puissent agonir plus vite !
Thétys, le dauphin de la mythologie grecque
chaloux 8h22 j’aimerai bien m’en rendre compte moi-même
closer dit: 21 mai 2017 à 9 h 05 min
ce n’est pas mon point de vue : lorsque les garçons sont bons ils sont incomparables aux filles et infiniment supérieurs : leur grâce féline, leur déhanchement sensuel, leur force alliée subtilement à leur élégance; les garçons, en danse sont excellents. Les filles, il leur reste le lac des cygnes. Pas de quoi pleurer, (ben si au contraire) mais elles n’allient pas la puissance physique à une grâce inouïe.
deux point sur lesquels nous discordons : le saucisson jean rozé (la pub d’hier est outrageusement mensongère : les vaches courent vers le hangar : ensuite, elles n’en sortent plus ; ce n’est pas une vie !), et les danseurs au masculin. C’est beaucoup.
« on cherche à ce qu’ils puissent agonir plus vite ! »
Pour ça, un seul conseil : il faut regarder ONPC chaque fin de semaine. Vanessa et toute la bande de crétins vous achèveront au plus vite.
bouguereau dit: 21 mai 2017 à 9 h 48 min
la musique sans la danse est quand même une bêtise.
voui, je plussoie, je verdoie (et souvent je merdois tambien) : on sait pas où mettre les yeux, la musique sans la danse.
. Vous vous souvenez de l’attentat de Karachi, le 8 mai 2002
oui bloom, je m’en souviens : mourir au boulot c’est la chose la plus épouvantable qui puisse arriver.
il y a tant d’autres bonnes choses à faire les samedis soir que de regarder ces marioles !
Ce que j’avais trouvé très drôle dans la réforme de l’orthographe de 1990, c’est d’abord qu’elle ait mis quelque 27 années pour être mise en place…, ensuite que les modifications proposées par nos éminents linguistes et académiciens rendent l’apprentissage de l’orthographe par nos malheureuses têtes blodes encore plus difficile. Déjà que l’immense majorité ne maîtrise plus du tout l’orthographe. Dire qu’ils sont nuls est encore trop positifs…! Ils ne savent même plus accorder un sujet et un verbe au présent de l’indicatif ! Parfois ils ne savent même plus où se trouve au juste le sujet dans la phrase voire même ce qu’est le sujet dans une phrase… Je ne parle pas de cancre ! Je parle d’élèves très ordinaires, qui par ailleurs peuvent avoir de bonnes notes. La langue française se meurt doucement avec la bonne conscience de nos ministres, qui se dégagent de leur responsabilité en se reposant sur celle de l’Académie française. Une histoire bien française, me direz-vous ! En effet. Comme disait Nietzsche, la France c’est la chienlit comme en Russie mais avec une certaine élégance.
Rappelons l’article qu’avait fait paraître le professeur Michel Zink du collège de France en septembre dernier dans Le Figaro, disant en résumé que la langue française était désormais une langue morte, qui était en train de subir le même sort que le latin deux mille ans auparavant.
Certains parents de mes élèves de l’époque ont été scandalisés que le professeur de lettres de leurs enfants ose énoncer une telle vérité qui ont téléphoné à la direction pour dénoncer de tels propos inadmissibles.… À la décadence de la France se mêle l’ignominie des Français…! Voilà ce qu’est devenu notre bon Pays.
Et c’est pas Macron ni le nouveau ministre qui y changeront grand-chose. Tout est pourri au royaume de Clovis…!
La dyslexie est une maladie qui s’est répandue comme une traînée de poudre dans les nouvelles générations. Je n’ai pas lesentiment qu’avant il y en ait eu autant. Mais le nombre de tarés a visiblement pris une ampleur considérable : dysorthographie patente, dyscalculie, dysfonctionnement du cerveau ous azimuts… Ils sont tous plus ou moins « dys » quelque chose… Quand on est prof, on a parfois le sentiment d’être plutôt infirmier que prof dans un hôpital de fous… Et prendre garde que l’un des parents ne vous sautent pas à la gorge si vous avez le malheur de parler franc…
goering y te mettrait tout ça au stalag dracul..que ça te corijrait tous ces chaïzeu de rechton de dsouzoms
c’est pas a jéruzalème que ça arrivrait..yavé il leur frait pleuvoir des fessées comme à béré un ventredi soir
l y a tant d’autres bonnes choses à faire les samedis soir
le samdi haussi ?..ldimanche béré elle peut pus s’assoir
Comment je viens de découvrir
..que nico est un vendu à pas cher au gafa comme tarzoune
les garçons, en danse sont excellents. Les filles, il leur reste le lac des cygnes
dracul havec sa chaine en or quand qui rvient du mur il aime qule twerk
les garçons, en danse sont excellents. Les filles, il leur reste le lac des cygnes
t’as raison là les mecs sont minces et bougent bien..la ptite gonzesse..un pti boudin épicétou..y méritent mieux..get loose dracul
https://www.youtube.com/watch?v=m-glMLXWHPU
Génial https://open.spotify.com/track/04MjaNej8XUHI8jbz2THez
rose dit: 21 mai 2017 à 14 h 07 min
on sait pas où mettre les yeux, la musique sans la danse.
Ha mais si passeque nous à Nancy l’orchestre y a certaine violoniste… Et puis des fois des nouvelles qui harrivent !
@ rose 21mai 2017 à 13 h 57 min
vous ecivez
« Thétys, le dauphin de la mythologie grecque »
en êtes vous sure ?
pour moi c’etait là le nom de cette déesse à qui on avait prédit un fils plus brave que son père , qui de ce fait n’a pu trouver de mari parmi les dieux, aucun ne souhaitant être surpassé par son fils , et qui a fini par épouser un mortel Pelée dont elle a eu un fils ,brave parmi les braves Achille
Tétis DHH une créature marine déesse grecque ?
DHH
Le dauphin de Thétis bleu et blanc de Méditerrannée
Le mec il est en train d’opérer Henri II ou quoi ?
C’était quand même Ambroise Paré ; mais cela n’a pas suffi…
@WGG
vous écrivez:
» La dyslexie est une maladie qui s’est répandue comme une traînée de poudre dans les nouvelles générations. Je n’ai pas le sentiment qu’avant il y en ait eu autant »
En realité c’est que cette maladie etait peu connue et rarement diagnostiquée
Mon fils âgé aujourd’hui de 54 ans lisait très mal en fin de CP , mais la maîtresse m’avait rassurée en me disant que comme il etait tres intelligent cela ne pouvait que s’arranger
Ne m’accommodant pas de cette assurance j’ai cherché tous azimuts et découvert enfin que la maladie qu’on appelle dyslexie existait ; j’ai pris alors contact avec l’un des rares services hospitaliers de pédiatrie qui s’y intéressait. (Debray Ritzen à Bichat)
Mon fils a subit des tests qui on mis en évidence un decalage flagrant et pathologique entre son âge intellectuel général(12 ans) et son âge lexique (5ans),ce qui signait la dyslexie.
Grâce à ce diagnostic, précoce il a pu subir assez tôt une reeducation qui lui a permis de poursuivre une scolarité primaire normale sans supporter de consequences dommageables du fait de son handicap
Combien d’enfants de sa génération ,dyslexiques comme lui et méconnus qui n’ont pas eu la chance d’être dépistés assez tôt sont restés en panne accumulant les retards et les échecs scolaires !
En realité ce qui vous semble une inflation artificielle de ce mal tient me semble-t-il au fait que maintenant la connaissance de la maladie est bien installée et que les enfants qui en sont atteints sont tres vite repérés et rééduqués
@rose
nous parlons bien de la même la Néreide Thétis, mere d’achille
c’est elle qui va trouver Vulcain dans l’Iliade pour lui demander de forger un bouclier pour son fils lorsqu’il decide de sortir de sa tente pour venger Patrocle ;je ne la savais pas associée au dauphin
Oui DHH nous parlons de la même.
Moi je ne savais pas que c’était elle la mère d’Achille. L’espèce a sans doute été nommée ainsi en hommage à la déesse marine.
C’est elle aussi qui a trempé son fils pour le rendre invincible en le tenant par le talon ?
@Rose
oui c’est bien elle qui a cru rendre ainsi son fils invulnérable.
le pere d’Achille s’appelait Pelée ;c’est pourquoi son fils est souvent désigné dans les textes homériques comme le « péleide Achille »
Certes, DHH, mais le problème demeure de savoir pourquoi tant d’enfants sont atteints de cette maladie de la dyslexie. C’est quand même bizarre, non !
Voilà 2500 ans que la tragédie grecque nous sert de grille de lecture pour mieux comprendre la violence politique. Déjà Racine au XVIIè siècle s’en était servie pour écrire Athalie, sa dernière grande tragédie, qui renouvelle le genre.
Mais a-t-on pour autant mieux compris la violence politique ? La violence politique a-t-elle changé de nature ? A-t-elle diminué ? Pas le moins du monde, hélas ! Aucun progrès.
Widergänger dit: 21 mai 2017 à 15 h 16 min
dysfonctionnement du cerveau ous azimuts…
–
Comment nommer cette maladie du t manquant ?
Le concept de progrès est bien trouvé. Il ne reste plus qu’à…..
DHH 17h53 . Il serait plus juste de dire : c’est elle Thétis,qui, dans l’Iliade, va trouver Héphaïstos pour lui demander…
Vulcain n’existe pas pour les grecs, vous le savez bien…
( Achille a échappé au feu, sa mère le trempe dans le Styx)
DHH
Je ne savais pas plus le nom du père. Et l’épithète homérique, quelle est’elle ?
Merci pour le Styx. La fille à la voilette.
Héphaístos, Vulvain les deux forgent. Chez les grecs, chez les romains.
Neptune, Poséidon.
>Widergänger
Ce que vous décrivez, je l’ai vécu de plein fouet.
Avec qq variations : chez moi c’était l’adjectif qualificatif inconnu total des collégiens. Je ne vais pas vous la jouer qui manient très bien la tablette. Ils savent faire ce que nous adultes ne savons pas faire.
Un sait gagner un an de nuggets de poulet.
Un autre sait résoudre un bug informatique sur lequel douze adultes compétents bloquent.
Une autre de huit ans a tenu avec moi une conversation politique impensable lorsque j’avais cet âge là.
Vous les aimez, quelle chance. Donnez leur le meilleur. Il y a un décalage entre eux et nous c’est bien normal.
La dyslexie c’est peut-être qu’ils sont trop rapides. Ou qu’ on leur demande trop.
DHH vous l’a dit. Aucune lacune dans l’intelligence même chez les enfants dyslexiques.
Dys, dys, dys.
Mon meilleur copain, bosseur et passionné m’a raconté l’autre jour qu’une maman déscolarise son fils. 5 ème.
Une autre mère, l’an dernier, a autorisé son fils à faire sa seconde avec le CNED.
Je suis la seule courageuse de mon ex établissement à lui avoir dit que c’était une grosse erreur.
Je connaissais le môme. Paresseux comme pas deux. Rencontrés en décembre dernier, lors d’une maifestation culturelle, les deux, mère et fils m’ont dit combien c’était difficile de travailler en autonomie seul chez soi.
Que reste’il lorsqu’on cesse ?
Il reste comment on a vécu le métier.
Systématiquement, je dis retraitée aux questions posées. Les gens insistent, et avant. Je raconte mon parcours. Instit.Prof. ils veulent savoir de quoi. De Lettres.
Widergänger
Il me reste que j’ai fait le plus beau métier du monde.
Il me reste l’amour des enfants et de la jeunesse.
Les trois dernières années, j’ai souffert l’enfer. Le grand n’importe quou m’a insupportée. Les réformes de m….toujours présentées comme si nous étions de grands branleurs. Alors que nous sommes, pour la plupart de grands bosseurs.
Le fait qu’il faille nous mettre au boulot alors que nous n’arrêtons pas de bosser pour faire progresser nos élèves. Et que ce sont nos élèves qu’il faudrait mettre au boulot.
Le fait que l’on déguise tout ce qui est travail, ardu, en jeu.
Tout le monde joue au boulot. Pour transmettre un travail ardu en jouant.
Lorsque vous cesserez, vous verrez que le meilleur l’emporte largement sur le pénible.
Les dernières années sont excessivement difficiles.
N’est ce pas aussi parce que l’on va s’arrêter ?
n’importe quoi
Pour Guy Bertrand Ba…. Bo……
> Guy Bertrand, tu sais Otzi, on a découvert qu’il avait les dents du bonheur. Et l’estomac plein lorsqu’il s’est fait assassiner.
M’dme, il existe pour de vrai ou vous nous racontez des histoires ?
Vous me.foutez le cafard W. Je n’ai plus mes petits chéris.
Je vais m’occuper de mes pommes de terre. Qui ne me posent jamais de questions.
Et Dimitri, papa aujourd’hui qui, le premier avril 1998 a mis une punaise sur ma chaise, alors que, quelques jours plus tard, je leur annonçais que Zinedine Z. serait un très grand champion.
Savourez Widergänger, savourez.
notre actuelle ministre de la culture a aussi une oinion sur l’enseignement et l’école :une video sur actualitté d’un entretien à thé ou café
https://www.youtube.com/watch?v=fZy6B6pa1KE
une opinion (excuses)
@rose
l’adjectif dont je parlais est précisément PELEIDES formé sur le nom du pere PELEE
l’interet de cette designation est qu’elle colle parfaitement avec un demi hexamètre.
quant a l’adjectif dit homérique qui accompagne habituellement tous les noms propres et qui forme également avec chacun d’eux un demi hexametre il est poir Achille : »aux pieds légers », pour Ulysse: »aux mille ruses » pour l’aurore: « aux doigts de rose » pour Athéna: « aux yeux de chouette ».
Ces éléments ainsi que la variation permanente dans les poèmes homériques entre la forme dialectale,ionienne ,dorienne ou eolienne retenue pour un cas cas ou une forme verbale en fonction des exigences de la scansion , ont fait dire que « la langue d’Homere est fille de l’hexametre
je suis aussi très reconnaissant vis à vis d’Actes Sud, de tous les auteurs, les traducteurs, les lecteurs, et de son agent immobilier JP Capitani grâce à eux tous j’ai pu acquérir une petite maison de village dans les Alpilles, à deux pas des Baux de Provence, sur deux niveaux, bel escalier en chêne tout comme les parquets, une terrasse tropézienne et un petit patio intérieur avec un petit jardin de curé, le tout pour un prix très intéressant…
merci à Actes Sud, ses auteurs, ses traducteurs, ses lecteurs et son agence immobilière !
>DHH
merci pour le rappel des épithètes homériques ;
question idiote (pardon ) y a’t’il un lien entre dorienne (la forme dorienne) et dorique (des colonnes doriques)?
Merci
euh hamlet, si le prix est très intéressant c’est que vous êtes dans le désert, quelque part. Enfin, grand bien vous fasse.
enfin, étonnante cette appellation le péléide Achille.
Les énéides
etc.
nota : la feuille d’acanthe sur les chapiteaux corinthiens.
hamlet, vous avez bien de la chance, tout proche des carrières des Baux.
« hamlet dit: 21 mai 2017 à 21 h 26 min »
Excellent, hamlet, c’est tout à fait ce que je pense des éditions Acte Sud !
Faut voir leurs stands fastueux chaque année au Salon du livre, où l’on voit comment le commercial prend le dessus dans l’édition contemporaine. Macron aurait dû nommer la fille Nyssen à l’Artisanat et au Commerce !
rose dit: 21 mai 2017 à 20 h 10 min
Le fait que l’on déguise tout ce qui est travail, ardu, en jeu.
En soi cela paraît pas fondamentalement idiot ; seulement il faut que cela soit bien fait, non puéril, et surtout que cela marche ; mais autant que cela soit un peu sympa, si dans tous les cas, par une méthode ou l’autre, il faut en faire beaucoup, je veux dire beaucoup de répétitions.
Et puis il y a l’inverse, par exemple dans les écoles de ski autrichiennes et suisses on attachait les chevilles des gamins pour les obliger à skier serré !
Ou le tapecul à cheval, mais ça honnêtement je crois que c’est le genre de truc qui sert à pas grand-chose, maso pour maso, quoi…
Le métier de prof, rose, est devenu un métier absurde. J’en discurais encore récement avec mes collègues. On ne veut surtout pas voir la vérité du niveau des élèves. Alors ils sont constamment surévalués. Les notes qu’ils ont ne correspondent plus à grand chose. Et je pense que c’est un véritable système mondial qui s’est mis en place il y a maintenant dix à quinze ans. M’avait frappé à cet égard une réflexion du grand archéologue israélien Amnon Ben-Tor qui avait abandonné de dégoût l’enseignement en Israël parce que ses étudiants étaient sans cesse en train de lui demander de hausser leurs notes et que l’administration l’obligeait quasiment à le faire. Des propos rapportés dans Une Bible pour deux peuples, publiés en 2006. Et c’est aussi ce que notre administration veut qu’on fasse, tout au long de l’année comme au Bac et aux examens post-Bac aussi. Et si on résiste, on se fait tapper sur les doigts et mal juger par notre administration. Toutes sortes de pression sont exercées sur les profs pour qu’ils surévaluent les élèves. Ça rend notre métier complètement idiot, absurde. Le système a installé le mensonge au pouvoir, l’hypocrisie, la duperie généralisée. Et tout le monde est content. Les parents y croit en plus, c’est ça le plus drôle ! Le niveau général baisse d’année en année, il ne faut pas s’en étonner. Le système scolaire est construit pour une toute petite élite qui intègre les grandes écoles et sont appelées à diriger le pays dans les postes clés de la haute fonction publique, des facultés, lycées et collèges comme profs. Les autres sont laminés et suivent comme ils peuvent, c’est-à-dire mal, voire très mal, avec une formation désastreuse qui creuse le chômage. Faut pas s’étonner si la France est le pays qui réussit le moins bien en Europe. C’est en fait la conséquence logique de cette politique de l’autruche par des dirigeants minables, lâches, veules, stupides et qui conduisent le pays au suicide collectif. Je ne suis pas convaincu que Macron puisse y changer grand-chose. Il y a une telle inertie dans ce pays pour changer les choses, il faudrait en réalité tout mettre par terre pour tout refaire à partir de zéro. Tout le système scolaire est complètement vermoulu, pourri comme la vieille coque d’un navire près à couler à la première tempête. Et ça va finir par arriver un de ces quatre. Et tout le monde en sera surpris…! La France est devenue un pays de crétins.
Sergio
En faire beaucoup de répétitions.
Pas contre.
Pas contre jouer non plus.
Mais, par moments, le travail est le travail et nécessite un effort.
Effort, j’ai dit un gros mot ?
Et puis il y a un tel esprit de démission qui règne partout que les plus faibles deviennent très facilement paresseux, ce qui aggrave leur situation scolaire déjà pas brillante.
Le gros problème c’est la motivation des élèves. La plupart sont là où ils sont simplement par défaut, et non pas parce qu’ils l’ont voulu par leurs efforts. Parce que le système est beaucoup trop élitiste et produit beaucoup trop de déchets. C’est ça qu’il faudrait changer. Mais les pesanteurs administratives, les parents de plus en plus stupides qui ne comprennent rien à rien et qui croient que leurs enfants sont bons parce qu’ils ont de bonnes notes, tout ce merrdier gluant de bons sentiments, de bêtises et de cynisme pour d’autres fait que ce système est voué à une catastrophe grandiose qui va nous tomber dessus un de ces jours.
>Widergänger
je ne crois pas, que la France soit un pays de crétins.
Nombre de gens intelligents, de jeunes enthousiastes.
Vous, peut-être éprouvez un grand sentiment de décalage parce que vous êtes très cultivé et les élèves en face de vous non. Ce décalage s’accroît parce que vos champs de compétences, les vôtres et ceux de vos élèves, ne se recoupent guère.
Je vois les problèmes ailleurs : dans l’énorme mésestime que nous avons subie, depuis longtemps déjà, les fonctionnaires, plus les profs, les deux combinés cela fait beaucoup.
La déshérence dans les programmes de ce qui constituait la base solide, stable et aujourd’hui ce crétinisme profond qui énonce lire écrire compter.
Une amie de 67 ans et son père t sa mère ne savaient pas lire; Les deux sont décédés, paix à leur âme.
On vit un grand recul à cause de ces bases là non acquises.
Et puis tout le blablabla inconsistant qui ne mène à rien.
Entre donner à l’enfant les possibilités d’acquérir un savoir solide et des connaissances détaillées grâce au matériel multi média à leur disposition et le discours lénifiant qui consiste à dire « han, han, ils vont construire eux-mêmes leurs apprentissages »il y a un monde.
Oui pour donner aux enfants les méthodes, les moyens pour construire un esprit critique & se servir des outils et chercher des informations etc. Non pour leur demander à eux-mêmes de construire leurs apprentissages.
Nous souffrons aujourd’hui d’un pégagogisme délirant qui a sévi trop longtemps et nous, les profs, il fallait qu’on se la boucle. Il me semble que c’est pour/de cela que vous souffrez aujourd’hui.
Tous les grands bosseurs ont beaucoup souffert, comme vous. Parce que c’est le règne du glandouillage édulcoré.
Toutefois, les enfants sont formidables, j’espère que vous le constatez encore…
et d’un ote coté rfaire du chval havec un plug hanal comme guillaume2 et c’est la guerre total au petit trot..faut y aller langsam
je ne crois pas, que la France soit un pays de crétins
je vois qu’y a du pour et du contre..décidément hon devrait haller au pas..ein zwei?
Sur la paresse, c’est le sujet de base : tel lycée accorde aux élèves de reprendre leurs études niveau BTS. Menace, ils doivent venir en cours. Sinon, leur bourse saute.
Ils viennent téléphone en mains, ils jouent tout le cours durant.
C’est l’arnaque. Ils touchent la bourse, ils ne bossent pas. C’est comme des allocs. Ils ont essayé en Angleterre, cela ne marche pas. On ne paye pas des élèves pour venir bosser.
On en revient à la motivation dont vous-même parlez.
Il me semble essentiel de prendre du plaisir à enseigner.
et nous, les profs, il fallait qu’on se la boucle
..nix arbeit..pas kartofeln..c’est que pour les profs attation..c’est les otes qui jaffent tout..les hanculés
Quant aux notes, tout le monde veut des bonnes notes. Elles conditionnent la suite.
Ce qui déraille, c’est l’hypocrisie.
Une solution, cesser de mentir.
Si on ne fait pas partie d l’élite, il est nécessaire d’avoir un bagage culturel solide.
Il me semble essentiel de prendre du plaisir à enseigner
..la grèce hantique dans le cagibi..vulgaire mais classique qu’il dirait macron
traduction
pour bouguereau
jaffer : manger
langsam : lentement
Kartoffeln : pommes de terre
nix : pas de
Ben franchement, j’ai beau être respectueux de la démocratie mais pour avoir laissé venir Macron là où il est, si ce n’est pas être crétin, c’est en tous cas fortement masochiste.
notre actuelle ministre de la culture a aussi une oinion
un onion..un..et oui..c’est bien déduit..chte mets un 10 tiens tu l’as pas volé
La déshérence dans les programmes
la ‘déshérence’ rose..la déhérence..c’est pas mal non pus..mais bon..c’est un peu téléphoné..chte mets 7
merci à Actes Sud, ses auteurs, ses traducteurs, ses lecteurs et son agence immobilière !
keupu y voit le positif dans le nul..jlui mets un 8+..il a un potentiel fou ce keupu
>bouguereau
remontez le moral à Widergänger, j’ai acheté Camus par lui-même de Morvan Lebesque c’est empli d’infos nouvelles et inédites, je vous laisse courageusement. C’est sur l’Algérie ; il se marie une première fois, divorce un an après. Sur Citadelle, je cale page 146, je crois.
De toutes manières, travailler c’est difficile, autant le faire volontiers ; sinon, c’est le goulag.
ce n’est pas le métier qui est absurde, c’est l’évolution de la société qui l’est.
Dire qu’ils sont nuls est encore trop positifs…!
voilà..faute..là dracul il a zéro..zéro pointé..c’était pourtant pas dur
bouguereau j’espère que vous êtes sur un total sur 10 sinon, on ne passera jamais dans la classe supérieure.
je ne savais pas que Camus n’était pas devenu enseignant à cause de ses problèmes de santé. Il s’est donc tourné vers le journalisme, par défaut. Son ambition eût été d’entrer rue d’Ulm. Comme Sartre et Beauvoir, ses contemporains.
Un roman historique ? Vale !
c’est pas trés bon..il aurait fallu écrire..un roman histroique ? yo!..là daccord..hon le sent bien..l’intro ça compte lassouline.c’est comme une calandre croquée..à l’argus..raf..moins 10%
>bouguereau
ils ne sont pas nuls : ce sont de grands glandus. S’ils ne bossent pas, ils n’apprennent pas. Faut avoir soif d’apprendre, pour apprendre. Je le vois bien avec la technologie, je n’ai pas soif, je n’apprends rien.
Pour le prof très courageux la situation est hyper frustrante, vous pourriez le comprendre cela.
j’espère que vous êtes sur un total sur 10
dracul il a zéro tfaçon..zéro..et pourtant pourtant c’est un hélu..et un gros qui passe pas aux portes..c’est yavé qui fout la merde..et partout!..et depuis l’début..faut lui casser la gueule a la récrée
La vraie difficulté Widergänger, un drame sans doute, ce sera le choc frontal avec le monde du travail. Sauf s’il n’y a plus de travail, ce qui serait alors une bonne nouvelle.
Parce que quelqu’un qui a pris l’habitude de ne rien faire, rien du tout, il aura du mal à changer de fonctionnement.
Bonne soirée,
Pour le prof très courageux la situation est hyper frustrante, vous pourriez le comprendre cela
sapré rose..
la clébarde du 21 mai 2017 à 11 h 01 min se trompe de destinataire. Mais depuis que sa » thérapie » a échoué avec son macreau, déjà veule, elle est maintenant complètement cinglée.
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En tweet, si FC vient au secours des candidats au bac, c’est que les profs ne font pas leur job ?
Avec l’échantillon non représentatif que l’on subit ici, ce n’est guère étonnant : entre cachetons et bibine, pauvres élèves.
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Sergio, essayez le monoski, cela devrait vous donner d’autres douleurs à l’entrejambe, on dirait que vous êtes amateur.
Sinon, pour la zique, tout à l’heure, j’ai fait une découverte :
mondial?
je ne crois pas ;
par contre, j’ai lu une info qur ces jeunes que wgg a surement vue et qu’i aura méditée :
À 14 ans, ce jeune surdoué australien s’est vu proposer une place à l’université, mais il a refusé, préférant suivre une scolarité normale pour ne pas être déconnecté de la réalité des jeunes de son âge. Il n’empêche que pour tuer le temps pendant ces années trop simples pour lui, Ivan Zelich a travaillé sur des théorèmes mathématiques. En collaboration avec Xuming Liang, un autre élève surdoué rencontré sur un forum de sciences, il vient de mettre au point un théorème possiblement révolutionnaire.
donc il y a le désir de certains qui rencontrent des « partenaires » de travail et là est la question , parce que beaucoup se joue dans la rencontre , comme i se voit dans cet exemple ;
j’ai des lettres faiblardes si je n’y prends garde; donc mes excuses ;voilà le lien pour l’info sur les surdoués en maths
http://www.slate.fr/story/109579/prodiges-theoreme-performant-ordinateur
De fait, on se dirige vers une société où le travail va devenir une denrée rare. Travailler ne sera réservé qu’à une toute petite fraction de la population, et cela ira sans cesse en diminuant, jusqu’à l’extinction proprement dit de tout travail. Il faut anticiper cet état de fait, et je suis catastrophé qu’aucun homme politique n’y pense – sauf le socialiste Hamon qui avait ébauché dans son programme l’abolition légale du travail, une mesure prophétique qui nous aurait mis sur la bonne voie. Il faut se faire à l’idée qu’un jour nous ne travaillerons plus. Il faut faire en sorte que ce passage se produise le plus doucement possible, comme une chose naturelle et bénéfique pour l’homme. Ce sera une avancée incroyable dans l’évolution humaine.
lvdb, de plus vous hallucinez, je suis comme vous bipède, au besoin il vous faudrait équilibrer votre traitement. Merci de me lâcher les baskets, je n’ai pas à subir votre délire d’interprétation.
Je réitère, les phrases suivantes: les auteurs ont le lectorat qu’ils méritent – les lecteurs les auteurs qu’ils méritent , (adressées à ma sensibilité )recèlent un caractère péjoratif. Voilà, rien de plus.
Vu pour la première fois – Le tambour – donné sur Arte hier soir.
Une société où le travail disparaît à la Delaporte des Chiottes ? Ben… mais nous y sommes en France, patrie de la société du chômage de masse !
Nous sommes même en avance sur les autres pays….
Je trouve les ouvrages de Colm Toibin très décevants, voire franchement rasoirs; son style est d’une platitude peu commune pour un écrivain irlandais. Le livre auquel il fait référence dans l’article du Guardian est peut-être son meilleur (Bad Blood: A Walk Along the Irish Border – bad blood = animosité). Si ses récits sont meilleurs que ses romans, il reste plusieurs crans en-dessous des autres auteurs de sa génération, Colm McCann, Roddy Doyle, Dermot Bolger, Joseph O’Connor, Anne Enright…
Le recours à la tragédie grecque pour évoquer les Troubles d’Irlande du nord n’est pas nouveau: les grands poètes du Nord de l’Irlande, Seamus Heaney & Michael Longley ont souvent fait appels aux mythes grecs pour souligner la dimension archétypale du conflit nord-irlandais.
J’ai tendance à préférer les textes qui font une large part à la spécificité concrète de ce conflit qui fit plus de 3000 morts à 1h30 d’avion de Paris. J’ai parlé de The Good Son/Un bon fils, de Paul McVeigh, vrai chef d’oeuvre, et ai récemment découvert « Resurrection Man », roman de Eoin McNamee, dont l’intrigue s’inspire des crimes perpétrées par un gang de loyalistes appelés les Bouchers du Shankhill (pas besoin de dessin), qui opérait, entre autres, dans le quartier où j’ai vécu pendant un an, off the Antrim Road, comme on dit là-bas.
Difficile de demander à un natif d’Enniscorthy (bien au sud de Dublin) exilé à Barcelone, d’affronter bille en tête le Mal absolu – Colm Toibin n’est pas Littell.
Tout à fait, c’est de moi, le 21 mai 2017 à 10 h 42 min: « Les écrivains ont les lecteurs qu’ils méritent ». Je persiste.
Pour ceux dont la lecture n’est pas un métier, comment choisir ses lectures, est un corollaire.
L’aventure relatée a aussi été permise par une volonté collégiale bien sympathique, de lecteurs anonymes.
Et peu me chaut la « sensibilité » de la clébarde de 6h12, qui n’apporte, ni n’a jamais rien apporté aux commentaires de la RDL, club de lecture. Du moins pour ma propre sensibilité.
Et peu me chaut la « sensibilité » de la clébarde de 6h12, qui n’apporte, ni n’a jamais rien apporté aux commentaires de la RDL, club de lecture. Du moins pour ma propre sensibilité.
Je note votre effort de correction et de cohérence, votre avis m’importe aussi peu que la qualité de mes commentaires vous concerne, vous pourriez d’ailleurs argumenter plutôt que répondre systématiquement par l’insulte, la vulgarité; que vous vous sentiez indispensable et supérieure ne surprend pas d’un ego qui ne se contient plus, ce qui devrait vous conduire aux règles élémentaires de civilité à moins que vous ayez là aussi le sentiment de devoir ou pouvoir par mission transgresser des règles obsolètes. Si je suis à vos yeux une clébarde sachez qu’aux miens vous resterez à jamais une catin cultivée et néanmoins toxique, détraquée.
de même que je n’ai pas de « sensibilité » suffisante pour considérer que J. Littell est un écrivain, qui fait du voyeurisme humanitaire son fonds de commerce psycho-rédempteur.
no way , la clébarde, je ne commente pas ici pour vous.
Dans ce cas cessez de répondre à des réactions motivées par votre immense capacité de réflexion et qui ne s’adressent pas uniquement à vous, qui ne rssemblent en rien à une attaque personnelle et ne devrait ouvrir qu’ à une autre approche du sens, nous ne sommes pas tous faits du même bois . Catin toxique et enragée, je persiste et signe.
La Catin traite la Clébarde de clébarde qui traite la Catin de catin … on se sent petit.
Je voudrais signaler à propos de la clébarde, quand même, que depuis le temps qu’elle harcèle tel ou tel ici, « on » sait à qui on a affaire. A fuir.
______________
Un homme cultivé.
Que devient le « cuistot » de Barcelone, dont le savoir » encyclopédique » a tellement impressionné ?
Il organise des croisières. C’est un bon plan market.
http://www.la-croix.com/Culture/Livres-et-idees/Mathias-Enard-lecrivain-chef-2016-10-27-1200799097
JC, vous n’allez pas vous y coller! Madame égocentrée interprète des réponses comme étant des affronts, tout part de sa « réflexion » hier à propos des auteurs qui auraient les lecteurs qu’ils méritent. Du vieil adage, nous n’obtenons jamais que ce que nous méritons, quoi qu’on entreprenne. Qui sème, récolte.
Cela vous va bien, vous insultez les uns et les autres de façon régulière, des esclandres à tout bout de champ, toujours perchée de votre hauteur présumée. Que les plaignants se prononcent.
Cela me fait rire, car je m’aperçois que vendredi, j’aurais pu prendre un billet pour la croisière ( private joke)
de la part de Vendredi.
bérénice dit: 22 mai 2017 à 8 h 14 min
« JC, vous n’allez pas vous y coller! »
Il est évident qu’entre une Catin et une Clébarde, dialoguant, il faut un interprète de qualité génétique* garantie.
Je m’y colle !
(*mon père était un vrai clebs, et ma mère une merveilleuse catinette de boudoir)
La Catin traite la Clébarde de clébarde qui traite la Catin de catin … on se sent petit
le lundi matin l’homme honnête doit l’avoir noueuse et musculeuse et pleine de jus même pour une mouche a merde jicé
Impressionnante interview de Belkacem, elle garde la tête bien vissée sur les épaules dans cette ambiance totalement phantasmagorique qui règne. Allez Belkacem!
Je ne sais qui a eu la bonne idée d’inventer l’école…
A propos de Vanesse et Najat.
« Cette fameuse réforme de l’orthographe a été décidée en 1990. Elle prévoit une disparition partielle de l’accent circonflexe sur le «i» et le «u». Mais ces modifications étaient très peu appliquées jusqu’ici. Elles renaissent de leurs cendres avec les programmes scolaires de 2008, concoctés sous l’égide du ministre Xavier Darcos. Sept ans plus tard, le Bulletin officiel de l’Éducation nationale précise à nouveau que «l’enseignement de l’orthographe a pour référence les rectifications orthographiques publiées par le Journal officiel de la République française le 6 décembre 1990».
À la rentrée 2016, sur décision des éditeurs, l’orthographe réformée fait finalement son entrée dans les manuels scolaires sur décision des éditeurs. »
sur décision des éditeurs ?
Le recours à la tragédie grecque pour évoquer les Troubles d’Irlande du nord n’est pas nouveau
ça..d’où qu’ça picole qu’ça hencule et qu’ça étouffe ton pognon c’est soit d’grèce de rome ou d’jéruzalème kabloom..c’est la mare nostroume à lassouline..que du bon du bien et du beau peut en sortir
Comme Saint Augustin le constatait : « Inter faeces et urinam nascimur » ! j’en suis resté à cette somptueuse vérité.
et d’où qu’ça fout rien c’est d’ovzedor..
Nous avions ce matin La Clébarde et La Catin… Avec Belkasem, nous avons désormais la Caunne.
C’est qui ce Chevillard ? S’il « ressemble à Sollers » sans talent me semble excessif : gâché, peut-être mais pas sans. D’ailleurs il faudrait prêter attention car il y a eu des génies sans talent… Donc, aigreurs d’estomac bien à part, pourquoi mettre en parallèle deux auteurs sans donner préalablement ses critères d’analyse ?
saint augustin y savait pas quoi hinventer pour pas payer sa golden shower..voilà la tragédie grec..hon la fait pas à kabloom
Dylan :
et on a comme chaque matin ducon la joie et son compagnon de chenil.
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Un dernier pour la route :
« Il est algérien, millionnaire et confortablement – car il est riche – installé sur le territoire français. Son nom : Rachid Nekkaz. Avec une incontestable maestria il fait le nécessaire pour qu’on parle de lui. »
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/festival-cannes-mettez-vos-burkinis-bande-salopes-benoit-rayski-3056043.html#FM3vYqWcz8TfjXkJ.99
« C’est qui ce Chevillard ? »
Un écrivain qui a trouvé son Nisard, ici 🙂
« Ce correcteur automatique m’insupporte. »
On peut encore faire sans…
« et on a comme chaque matin ducon la joie et son compagnon de chenil. » (lvdb)
Comme Bloom, Renato, Bouguereau, Des Chiottes Nicolas et moi-même, nous sommes de l’équipe du matin…. vous épargnez qui, au juste, très chère amie ?
« Inter faeces et urinam nascimur », attribuée à Agustin d’Hippone mais probablement tirée d’une homélie de Bernard de Clairvaux…
Le progrès a bon dos…
Dans quel désert de compétence se trouve ce pays hexagonal cher à nos coeurs pour avoir élu un Bébé MACRON, archéologue affectif infantile, parfaitement analysé par ce psychiatre italien dont j’ai oublié le nom ….
@Bloom dit: 22 mai 2017 à 6 h 33 min
Mais aussi…
Cet « américain bien tranquille », qui ne l’est pas vraiment… Histoire d’un triangle amoureux ? Fowler, vétéran désabusé, correspondant de guerre revenu de tout, opiomane à ses heures, attaché viscéralement à l’Indochine, Phuong, sa petite amie vietnamienne, et donc, Pyle, l’autre amoureux dont on apprend la mort au début du récit (on découvrira son histoire dans un long flashback). L’Indochine des années 50 ? L’action du roman se situe bien en 1952 mais l’histoire de cette guerre laisse place à ces trois personnages parce qu’elle est poreuse.(« La routine quotidienne continue : bien des hommes lui doivent de n’avoir pas perdu la raison. De même que lors d’un raid aérien il était impossible d’avoir peur tout le temps, de même sous le bombardement des tâches habituelles, des rencontres de hasard, l’on oublie pendant des heures de suite sa terreur personnelle. (…) A la guerre, on passe tant d’heures assis à ne rien faire, en attendant quelqu’un ! »).
Ainsi Fowler qui s’apprête à quitter l’Indochine s’interroge sur son avenir sans Phuong en assistant aux ennuyeuses conférences de Presse. Ce roman est traversé par l’incertitude, la solitude, l’attente d’un désastre, une absence d’avenir que ne calment pas ses étreintes sauvages avec Phuong proches parfois de la haine. La lutte entre deux hommes pour cette femme, jamais déclarée, est aussi meurtrière. Dans ce roman, s’ achevent les rêves d’Indochine coloniale.
L’atmosphère est lourde, moite, traversée par la fulgurance des explosions d’obus, des tirs de mortier, des marches furtives dans la nuit dans le sol spongieux et boueux des rizières ou dans Saigon ou Hanoï, aux lumières atténuées, les bars, les cyclo-pousses, le timbre des bicyclettes.
La guerre, le mal, la peur ne peuvent faire oublier la beauté des descriptions, presque photographiques (« Dans le morne soleil vertical, des petits garçons nus étaient juchés sur le dos de buffles pataugeant jusqu’au ventre dans les champs irrigués ; là où la moisson d’or était à point les paysans coiffés de leurs chapeaux en forme d’arapède vannaient le riz, appuyés contre de petits abris ronds en bambou tressé. »).
Les dialogues sont brillants, efficaces.
C’est aussi un roman philosophique sur le sens de la vie, l’amour (« Aimer, c’est se voir comme un autre être vous voit, c’est être amoureux de sa propre image déformée et sublimée. »), le sexe, la mort (« nous volâmes dans le sillage du soleil au-dessus de la Baie d’Along.(…) L’appareil pointa en flèche sur un petit sampan flottant sur l’eau jaune. le canon envoya un seul obus traçant et le sampan vola en miettes.(…) Je hais la guerre.(…) Ce dont j’ai horreur c’est du bombardement au napalm. On voit la forêt prendre feu. Les pauvres diables sont brûlés vifs, les flammes déferlent sur eux en vagues. Le feu les imbibe comme de l’eau ».).
Vous évoquiez Virgile, je pense à Ernest Hemingway, John Steinbeck, Martha Gellhorn, Susan Sontag, P. Schoendoerfer, J.Conrad…
Un très grand roman, oui. Merci Bloom.
Contrairement aux sobres asiatiques qui tiennent bon, même lorsqu’ils savent avoir tort, les occidentaux ont la fâcheuse tendance à situer l’horreur de la guerre d’abord dans leur camp. Le napalm permet d’oublier les cages ….
Quelqu’un pourrait me transmettre l’adresse de JC, d’avance merci.
Cher Nicolas, je peux le faire !
Institut Bartabacs, Place d’Armes, Bureau du Grand Maître de l’Ordre, Isle de Porquerolles, département du VAR.
Et comment vous vous appelez?
Ce soir je me fais une morteau-purée.
Avec un petit blanc du Jura pour faire glisser.
Cher Nicolas, je ne vous cacherai rien ! D’ascendance tchèque, je m’appelle Jan Culasek …
Content de savoir que vous aimez ce grand roman, Christiane;
Je faisais référence à Virgile comme guide, dans la Divine comédie. G.Greene est un guide magnifique qui n’a pas son pareil pour vous mener d’un cercle de l’enfer à l’autre.
Bien à vous
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