Pierre Herbart, une biographie plus grande que lui
Le paradoxe est assez rare pour être examiné : on peut admirer le travail d’un biographe tout en se demandant si l’objet de ses recherches valaient que tant de talent, d’opiniâtreté, d’efforts fussent déployés. Un cas d’espèce que ce Pierre Herbart (616 pages, 29 euros, Grasset) de Jean-Luc Moreau, auteur d’essais autour de Camus, Sartre, Beauvoir, Dominique de Roux. On chemine agréablement dans la lecture de cette enquête fouillée, dense et fluide. Mais plus on avance, plus le doute nous envahit sur la personnalité du héros. N’eût été la curiosité persévérante et nostalgique de quelques éditeurs parisiens, autrefois celle de Guégan & Sorin (ce dernier juge toujours l’ensemble de son oeuvre « inoubliable ») et désormais celle essentielle de Patrick Mauriès en son cabinet des Lettrés du Promeneur, seuls de rares historiens de la littérature du côté de Cuverville se souviendraient que Pierre Herbart a écrit.
Longtemps, il a vécu couché. Non qu’il fût prématurément grabataire, mais il avait conservé le goût de vivre allongé le plus souvent possible depuis que, tout enfant, les bombes pleuvaient sur Dunkerque (il est né en 1903). On ne peut rêver meilleur tropisme pour un littéraire qui ne place rien au-dessus de la littérature, pas même la politique, en dépit de ses engagements antifascistes. L’amitié, peut-être, mais lorsqu’elle lie avant tout à des écrivains, elle est encore littérature. Après cela le Bœuf sur le toit de Moysés rue Boissy d’Anglas, la petite dame Van Rysselbergue en sa propriété, ces messieurs de la Nrf du côté de Sébastien-Bottin et tournez manège ! Cocteau et Gide furent si déterminants dans sa vie que le biographe peut aisément chapitrer « Les années Cocteau » (1924-1929) et « Les années Gide » (1929 à sa mort). L’influence fut telle que certains critiques de son Rôdeur (1931) le clouèrent comme un « sous-Cocteau » et que son Âge d’or (1953) semble n’exister que par rapport à Corydon. L’Âge d’or dont l’auteur nous dit bien que, contrairement à Corydon, il ne s’agit pas d’une justification de l’amour des garçons mais d’un hommage aux garçons aimés exempt de toute revendication. Mais que cette amitié fut vécue comme un esclavage ! Et après 1952, il y aura même « Les années Roger Martin du Gard » ! Herbart est le type d’homme qui ne semble avoir vécu qu’à travers de glorieux pairs. Le cercle de la rue Vaneau fut sa famille élective. On n’est pas forcé de haïr toutes les familles. Il y a acéré son regard de lecteur que l’on disait d’une grande intégrité critique.
Militant de terrain du Parti, agent d’influence et tour operator du fameux voyage en Union soviétique de Gide, Dabit and co en 1935-1936, son philostalinisme décille même son biographe lorsque celui-ci découvre ses lettres à sa femme- mais oui, il lui arriva même de convoler. Un très bel homme que ce Herbart, le cahier photo en témoigne. Physique nordique, impeccablement mis jusque dans son absolue pauvreté des derniers temps, regard bleu porcelaine haut perché, une certaine morgue, l’élégance naturelle, la gestuelle d’une vraie grâce, le sourire impénétrable. Avec cela un mélange de courage, de dandysme, de dégoût de soi et de scepticisme, le tout mâtiné du plaisir aristocratique de déplaire. Des voyages au long cours du côté de l’Indochine, la Chine, l’Union soviétique, l’Afrique. Bien le moins pour un aventurier doublé d’un conteur. Mais rien d’un Henry de Monfreid. Celui-ci ne semble bourlinguer que pour faire changer de latitude à sa nonchalance et goûter d’autres ivresses. Les garçons, toujours. Les drogues aussi : cocaïne, haschich, opium –sainte-trinité. Cela n’eut pas suffi à le ranger aux côtés d’un T.E. Lawrence dans la galerie organisée par son ami Roger Stéphane au cœur du Portrait de l’aventurier. Il a agi pourtant. Résistant sous l’Occupation, passeur via les Pyrénées, organisateur de la désertion des garçons des Chantiers de jeunesse promis au STO, et à la Libération délégué général régional du Mouvement de libération nationale pour la Bretagne, chargé d’y préparer l’insurrection, il y dirige Défense de la France.
Contre-ordre (1935) et Alcyon (1945) sont des romans de la révolte. Pas sûrs qu’ils étaient compris comme tels. A la recherche d’André Gide (1952) n’a pas plus à tout le monde. Trop iconoclaste. Le mystère le fascine, l’énigme l’attire. C’est sa ligne de force, pour reprendre le titre de son autre grand livre avec L’Âge d’or. Un tel homme est continuellement aux aguets, en position d’attente. Il n’aura eu de cesse de « guetter les visages, en espérant y voir fulgurer tel ou tel éclat d’une réalité enfin sans masque » écrit Jean-Luc Moreau, qui y voit même l’une des activités principales de son existence. Quel ratage que la vie de celui qui n’aura rien su ni pu mener à bout ! Mais valait-il ces quelque six cents pages et que les différents états de la rédaction de l’Âge d’or fussent examinés comme s’il s’agissait de Ulysses ? Alors oui, certes, que Jean Schlumberger n’ait pas eu un préjugé favorable à son endroit, mon Dieu…
In fine, après avoir ratissé tous les papiers et suivi toutes les traces, le biographe rend les armes, avoue son impuissance à percer cette existence vécue à moitié sous anesthésie, reconnaissant ignorer « à quelle date et sous quelle forme a été porté le coup mortel ayant donné naissance à ce spectre » ayant nom Pierre Herbart. Qu’il se rassure, nul ne lui en voudra d’avoir parfois présenté comme tangibles des spéculations, faute de mieux. Ainsi procède-t-on avec les apparitions. Pierre Herbart a fini en indigent à la fosse commune, mais non abandonné de tous. Cette biographie majuscule sur une œuvre minuscule tire son sous-titre « L’orgueil du dépouillement » de Pierre Herbart lui-même : « Notre orgueil est illimité. Il dépasse tellement la personnalité qu’il revêt la forme d’un total dépouillement ». Peut-être un tombeau ou un portrait eût-il mieux convenu.
(« Pierre Herbart » photo D.R.; « Pierre Herbart et André Gide en URSS » photo D.R. ; Andre Gide pendant la tournée en URSS avec Jacques Schiffrin, Pierre Herbart, Eugene Dabit, Louis Guilloux et Elisabeth van Rysselberghe, photo D.R. ; « Pierre Herbart face à Gide aux échecs » photo D.R.)
743 Réponses pour Pierre Herbart, une biographie plus grande que lui
FILIPETTI A FRAPPE : LA MORALE EST SAUVE …
Vente « obscène » de matériau historique WWII
Ces enchères sont loin d’être du goût de tous. Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) estime la vente « obscène », « de nature à offenser les victimes » du nazisme. Il demande aux ministres de l’Intérieur et de la Culture et au préfet de police de Paris de tout mettre en oeuvre pour « interdire cette vente et faire saisir les objets ».
Bravo les fascistes, continuez à interdire….!
l’amateur de chèvres fait sa propagande naze
JC il a déjà toutes insignes à Göring que boudegras lui a refilé
Ce n’était pas Christian mais François Augerias.
Sur la photo du haut on dirait Céline !.
jacquot, Augiéras.
Herbart ici, Perros chez Popaul : ça ne nous r
…. ça ne nous rajeunit pas… pendant ce temps de jeunes écrivains talentueuxattendent qu’on parle d’eux dans 50 ans
Adieu JC…
l’autre jour j’étais en état d’insomnie.
J’ai songé d’un, enterré sous le portique sur le côté, dos à la rue, peu passante. Une main sur le cœur, l’autre prête à être posée sur mon flanc.
Puis, je me suis songée moi, couchée face à lui, une main sur mon cœur et l’autre posée sur son flanc.
Nous deux, face à face, conversant dans l’au-delà.
Enterrés dans le jardin.
J’ai trouvé alors le sommeil.
Le grand sommeil.
Hier soir…
mais hier soir était un autre jour.
Oui-Oui dit: 14 avril 2014 à 18 h 31 min
pendant ce temps de jeunes écrivains talentueuxattendent qu’on parle d’eux dans 50 ans
Sais-tu mon lapin qu’il existe une grande variété de blogs qui ne parlent QUE des jeunes écrivains talentueux (ou pas) alors arrête de nous gonfler avec la même réflexion toutes les semaines et vas-y.
Ou alors ton petit vice secret, lire et insulter le boug’, est plus fort que tout.
Tu ne peux résister, ton doudou à toi.
Avoue que tu l’aimes et n’en parlons plus.
sdf absolu
sdf sans âme
libre dans la bibliothèque en ligne de la Fondation
Dans les semaines et mois qui viennent je vais parler du délicat Reynolds Price, d’ignazio Silone,de René Crevel, de Fred Chappell, de Claude Roy, de David Mamet, et de david Storey ça va pas du tout te rajeunir mon cher oui oui..
Phil, vous pensez quoi de ce « Libertad » de Dan Franck ?
Herbart est bien proche d’Aragon, d’enfant illégitime aux coucheries avec l’héritière Cunard et Staline, jusqu’à l’appel à fusiller Gide en vrai ou en littérature, pour finir, l’un dans la fosse commune, l’autre dans les bras de Renaud Camus sur la piste du Palace. Né vingt ans plus tard, probable que Herbart eût marié Sagan. Tout ça n’a vraiment pas de sens sinon celui du charme d’une certaine impuissance des sociétés.
Je voulais préciser Phil, à propos de Herbart et Gide, de » à la recherche d’André Gide »
Un mal, faisan, vraiment !
Faut oser, des fois, non ?
On pourrait s’insulter gratuitement des journées entières…
Vous osez (comme ils disent) ?
Phil, c’est assez drôle, cettte emprise du gourou Gide.
C’est un académicien Goncourt qui le dit :
« Il n’y a pas de grands hommes pour leurs valets de chambre »
http://e-gide.blogspot.fr/2014/01/andre-billy-sur-la-recherche-dandre-gide.html
Desjournées, Gide est puissamment méandreux. Ceux qui ont résisté sont morts…de boue.
« Herbart est bien proche d’Aragon »
Ah, mais je pense que Dan Franck a de bien meilleures « révélations ».
http://books.google.fr/books?id=Sm1h-WpvOqYC&pg=PT206&lpg=PT206&dq=dan+franck+gide+herbart&source=bl&ots=HTsEKCh8ND&sig=fyleN9ZLkDCipLecKFDV82jZhMQ&hl=fr&sa=X&ei=uCZMU4mPLeGd0QXG94Fg&ved=0CC4Q6AEwAA#v=onepage&q=dan%20franck%20gide%20herbart&f=false
desjournées, Dan Frank a sûrement oublié de préciser que les retours de guerre finissaient par une partie de crapette avec Gide au Vaneau.
baroz, mandez-nous la température. côté atlantique, ou façade Afrique pour complaire votre goût ?
Bien. Je sais ce qui me reste à faire.
Phil, votre art d’expédier » l’affaire ».
Je déteste les pompiers pyromanes, vous le saurez.
Bref, oui, appelez Barozzi. Ou n’importe quelle autre diversion. C’est une bonne idée.
Gide était d’abord et avant tout « homo comme ils disent », n’est-ce pas, Phil ( p’t’ être même un peu pédéraste sur les bords, non ?) ?
Desjournées, j’expédie moins que vous raccourcissez. Lestringant a consacré deux mille pages à Gide, une quantité que passouline dans sa balance biographique n’a pas jugé excessive.
Phil, si Herbart a eu assez de talent jivaro pour réduire la tête de Gide, le « ratage » aura été de moindre mesure, finalement.
Sinon, Phil, l’histoire du journal « France Soir », ça se développe aussi.
Citer comme référence la bio de Gide par Lestringant, qui est assurément que ce qui peut se faire de pire en la matière, faut quand même oser
Donna Tartt Pulitzer pour « The Goldfinch ».
Houellebecq, acteur.
La bonne question est posée là :
« In fine, après avoir ratissé tous les papiers et suivi toutes les traces, le biographe rend les armes, avoue son impuissance à percer cette existence vécue à moitié sous anesthésie, reconnaissant ignorer « à quelle date et sous quelle forme a été porté le coup mortel ayant donné naissance à ce spectre » ayant nom Pierre Herbart. »
A connaître deux autres essais biographiques : « Camus l’intouchable » et « Sartre voyageur sans billet« , on peut se souvenir de la façon avec laquelle Jean-Luc Moreau interroge et précise les ombres de ces écrivains, sans désir de démolition mais avec une analyse formidablement étayée. De l’un, il précise la lecture un peu hâtive de certains auteurs (Bakouline), de l’autre il note les contradictions, son rapport avec Nizan.
J-L. Moreau écrit peu mais ses biographies si étonnantes, révèlent bien des failles de ces écrivains que nous croyions connaitre.
Dans celle-ci « Pierre Herbart« (encore non lue), il semblerait qu’il n’ait pas compris la chute, le laisser-faire désabusé des dernières années. Plusieurs, ici, éclairent les fissures qui ont précédé ce désastre. Peut-être s’est-il trompé de vie ? La remarque de B. 16:03 ressemble à un aphorisme qui aurait bien convenu à ce travail de biographie s’il avait été pré-posthume… et si Pierre Herbart l’avait lue tant qu’il était encore temps de faire d’autres choix de vie ! L’écriture, son combat, si elle exprimait son incapacité à accepter des compromis serviles n’efface pas ceux qu’il semble avoir acceptés dans la vie…
Peut-être, a-t-il choisi l’anonymat impersonnel et la misère de la fin de sa vie pour devenir inaudible ?
Pierre Herbart
Né à Dunkerque en 1904, Pierre Herbart est profondément marqué par la liberté acquise par son père lorsque celui-ci décide de « se faire clochard ». En 1924, Jean Cocteau, lui est présenté . Il en sera un ami très proche jusqu’à sa rencontre avec André Gide, en 1929. Celui-ci s’occupe de la publication de son premier roman, le Rôdeur, chez Gallimard.
Herbart part alors en Indochine, et écrit à son retour en 1932, un récit mettant explicitement en scène la nécessité et l’évidence du communisme, Contre-ordre, et signe un contrat avec Gallimard. Il part en URSS en décembre 1935 pour prendre la direction de Littérature Internationale. Il y subit, la bêtise d’une censure ubuesque qu’il évoquera des années plus tard dans La Ligne de force. Accompagné d’André Gide, il assistera à Moscou aux funérailles de Maxime Gorki. Alors que la guerre d’Espagne vient d’éclater, Herbart part à Barcelone avec les épreuves du pamphlet d’André Gide – Retour de l’URSS – pour rencontrer André Malraux. Herbart est arrêté, menacé de mort et ne doit sa libération qu’à l’intervention d’André Malraux. L’année suivante, il accompagne André Gide en Afrique. Il publie en 1939 un témoignage sur « la malveillance d’un homme et d’un système », le Chancre du Niger, dont André Gide rédige la préface. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il s’engage dans la résistance. Il collabore à différentes revues résistantes et participe à la création de Défense de la France, qui deviendra France Soir. À la libération, Albert Camus l’invite à participer au journal Combat. Il parachève parallèlement l’écriture d’Alcyon (1945), aide Camus à écrire un premier scénario de la Peste, repart pour quelques mois en Afrique et engage la création d’un hebdomadaire, Terre des Hommes, qui s’arrêtera au bout de 23 numéros. En 1949, le frère d’Herbart meurt, suivi en 1951 par André Gide. Il perd ainsi, en deux ans, deux proches mais aussi deux soutiens financiers. Pour Gallimard, il écrit un petit portrait vitriolé d’André Gide, À la recherche d’André Gide, publié en 1952, et qui lui vaudra de s’attirer les foudres des admirateurs et de certains proches d’André Gide. En 1952, il écrit l’Âge d’or, livre dans lequel il évoque ses amours homosexuelles. Il fait plusieurs voyages avec son épouse et écrit un livre sur son parcours politique, la Ligne de force, qui sort en 1958. En 1964, paraît son nouveau roman, la Licorne. Il publie, en 1968, Souvenirs imaginaires puis un recueil de nouvelles, Histoires confidentielles, en 1970. Affaibli, dans une situation financière plus que précaire, il est victime d’une attaque d’hémiplégie et meurt à Grasse en 1974.
pardon
lui
@Olivier Rolin dit: 14 avril 2014 à 22 h 47 min
C’est plus « court » comme biographie mais cela remet des pendules à l’heure. Merci.
pardon
Pour certains, c’est la rate qui se dilate,
pour d’autres, le cul…
Raté pour raté,
ce ne sont toujours que des ratés !.
Le seul mec de Paris que je connaisse, il habite au dessus du Lutèce, vous savez, avec les armures
Olivier Rolin dit: 14 avril 2014 à 22 h 47 min
André Gide, en 1929. Celui-ci s’occupe de la publication de son premier roman, le Rôdeur, chez Gallimard.
Etre présenté à Gide, chez Gallimard, c’était déjà balèze ainsi que le narre Roger Martin du Gard. Un vrai père Joseph… Avec un seul regard les atomes s’écartaient…
Le Lutèce, 08 Bd St Michel ?
Il y a quelques années,
lors, les billards existaient encore,
la Patronne, sur le tapis vert,
voyage existentialiste !.
ici je pense qu’il disait http://atheisme.org/templiers.html, le bar tabac des templiers !.
Dites-moi aussi que c’est une blague cette ville
Cette ville est une blague. Tenez, pour compenser la perte, un tableau dont je ne ferai pas l’analyse http://www.apophtegme.com/COUPS%20DE%20COEUR/images/bonneteau.jpg
Papillon
Papillon vole en mon jardin,
Juste au-dessus de la tulipe,
Frou-frou volage incarnadin,
Papillon vole en mon jardin.
Il va, s’en vient, le paladin,
Faisant des fleurs son municipe.
Papillon vole en mon jardin,
Juste au-dessus de la tulipe.
Jean Calbrix, le 15/04/14
Je tombe sur le lien filé innocemment par Pablo75 vers 22:14 représentant deux pauvres adolescents détruits, Houellebecq et Aubert, devisant gentiment comme alcooliques au comptoir, en attendant les infirmiers de l’asile et la camisole haute couture.
Putain, les gueules !!! Pablo75 est un sadique sans cœur… Ils sont mûrs pour Charon, les drogués ! Trognes esquintées au delà du possible, cour des miracles, cadavres encore tièdes… Les excitants les ont débranchés définitivement !
Certes, ils continuent à causer mais on dirait du Najat Vallaud-Belkacem. Du blanc. Pas de signal… Le vide, avec la mauvaise haleine du fumeur captif.
Rien qu’à voir ces gueules détruites, tu te dis que l’état de la chansonnette et de la littérature est à désespérer. A moins que tu n’aies rien compris à ce que sont de grands artistes contemporains …!
…ça doit être ça…
Le jour se lève. Une question économique avant le départ.
Admettons que GRASSET tire la bio d’Herbart à 2.000 exemplaires, les ventes de ces 2.000 livres vont représenter 58.000 euros.
On enlève les rémunérations des librairies, les coûts de distribution, les coûts de fabrication …. que reste-il, in fine, à ce pauvre Jean-Luc Moreau* ?
* à part la gloire, naturellement…
Souhaitons lui d’en vendre 10.000 exemplaires.
« Tout ça n’a vraiment pas de sens sinon celui du charme d’une certaine impuissance des sociétés. »
l’impuissance d’une société commerciale, Phil ?
« À l’automne 1969, Herbart propose aux éditions Gallimard de publier, sous le titre Histoires confidentielles, l’ensemble de ses nouvelles, déjà parues en revues, mais encore jamais réunies en volume. C’est un très vieux projet. Il en avait déjà parlé à Brenner, peut-être deux décennies auparavant, en imaginant un autre titre : Histoires d’enfants et de vieillards. Gaston Gallimard lit et fait lire le manuscrit qui lui a été transmis par Georges Lambrichs. Il a certes à nouveau apprécié la sensibilité, la netteté, l’élégance du ton d’Herbart, ainsi que « l’art particulier », qui reste le sien, « de conter une histoire ». Mais il manquerait de loyauté à son égard, lui écrit-il le 14 novembre, s’il ne lui disait pas en toute franchise sa « déception ». Le tout ne forme pas un véritable ensemble, paraît inachevé, comme les chapitres isolés d’un roman resté à l’état de projet. Publier ces nouvelles ne serait pas un service à lui rendre. Ses lecteurs habituels s’en trouveraient désappointés. Ce serait aller au-devant d’un échec commercial cuisant. Une note interne du 10 janvier revient sur ce refus en prenant moins de gants. Il s’agit d’un invendable « ramassis de fonds de tiroirs ».
La réponse d’Herbart se fait attendre. Elle n’arrive que le 14 janvier, quatre jours après la rédaction de cette note qui comporte surtout le détail de l’état de son compte. Aurait-on voulu se préparer à répondre à une sollicitation d’aide financière de sa part qu’on ne s’y serait pas pris autrement. Belle prémonition, si tel était en effet le but ! Herbart a reçu le refus de Gaston Gallimard alors qu’il se trouvait à l’hôpital Foch. Il en a été d’autant plus affecté que cette nouvelle maladie l’a laissé dans « un extrême embarras financier ». Claude Gallimard, auquel il s’adresse, pourrait-il l’aider ? Il lui demande l’état de son compte, n’ayant aucune idée de sa situation, puisqu’il ne reçoit plus de relevés depuis dix ans. La réponse est brutale. Gaston Gallimard l’avait bel et bien prévenu, en 1967, de sa dette importante envers la maison, que les ventes de La Licorne (1 938 exemplaires pour un tirage de 5 500) et de Souvenirs imaginaires (698 pour un tirage de 3 500) ne sont pas parvenues à couvrir. La situation est désastreuse. Il comprendra qu’il est impossible d’accroître un débit de plus de 32 000 francs par une nouvelle avance. »
« Je me félicite de cette décision, nécessaire au regard de l’Histoire et de la morale », a déclaré lundi à l’AFP la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, qui avait saisi ce même jour le commissaire du gouvernement près du Conseil des ventes volontaires (CVV), autorité de régulation des ventes publiques, pour lui demander l’annulation de cette vente « moralement répréhensible » (Libération)
Et si la pétasse gourdissime faisait son job et seulement son job, c’est à dire de la Culture ? Sans se mêler de ce qui ne la regarde pas : la Morale ?!
Les autorités de l’Etat ont pour rôle de faire respecter la loi, en aucun cas de faire de la « morale » dont on sait bien que cela n’a pas de sens.
Que dit la Loi ? La loi dit, on peut vendre un napperon brodé AH (!), mais pas l’exposer.
Interdire la vente est donc un abus de pouvoir ! Abus de pouvoir de la part de l’Etat, en la personne de son ministre.
Comme il y a eu déjà abus de pouvoir du coquelet catalan à propos de l’interdiction « préventive » d’un spectacle de cette crapule de Dieudonné !
Bref, on est mal barrés avec ces moralistes silicosés depuis l’enfance au communisme le plus stalinien…, une idéologie morale comme on le sait digne du totalitarisme nazi …
PS : Même un sioniste goy comme moi ne comprend pas la pression du CRIF tout à fait malencontreuse dans ce cas d’interdiction injustifiée ! Mauvais travail …
« La bonne question est posée là »
Où ça, au juste ?
C’est drôle, il me semble qu’Herbart n’est pas le seul futur grand écrivain potentiel de l’entourage de Gide à finir clochard, ou tout comme.
Je ne me souviens plus du nom de l’autre.
Ah des journées ces histoires d’argent qui déterminent l’itinéraire et la pensée, le devenir le paraitre, c’est dommageable, rien de nouveau sous le soleil, que dire de ces belles intelligences qui en souffrent ou qui se vendent, un peu Faust, en être ou pas, that’s the question.
l’impuissance d’une société commerciale, Phil ?
D’un autre coté, le fait que vous rameniez ce questionnement ce matin, s’emboite parfaitement dans votre fonctionnement, des journées, un mathématicien dirait que la probabilité était forte , étincelant à la rosée, une perle parmi les perles.
petit déjeuner ludique dit: 15 avril 2014 à 7 h 57 min
En fait je viens de voir, à la suite du lien précédent, que Grasset sort en 2014 ce livre d’Herbart, refusé par Gallimard.
Il semble que ces » histoires confidentielles » sont de la littérature pour adultes. Et encore, pas vraiment du genre littérature tout public.
Un peu genre sado-maso, pour faire raccourci.
de la littéraure pour vous, « petit déjeuner » lubrique.
Bonne journée.
@ JC….. dit:15 avril 2014 à 7 h 52: JCouille, il ne faut jamais vous prendre au premier degré, n’est-ce-pas ?
Donc il faut comprendre, que vous trouvez cette interdiction comme une décision saine, pour empêcher des nazillons de collectionner des objets qui sont interdits (ou plus ou moins).
Vous traitez tout le monde de burne, il faut donc comprendre, que la seule burne c’est vous, donc que JCouille vous honore !
Vos propos sur Madame Taubira, sont-ils à prendre aussi à l’envers ?
C’es vous le ouistiti qui mangez, des bananes et votre vomis ?
Je vous considère comme un cafard à écraser, ceci JCouille est à prendre au énième degré…
« littérature »
Petit-déjeuner lubrique, vous avez des intérêts à défendre ici ?
Et si vous exposiez lesquels ?
Combien Jean-Luc Moreau peut-il espérer vendre d’exemplaires de sa bio d’Herbart ? Je vous avoue que je n’ai aucune idée du public visé et de l’audience possible.
PS : vous remarquerez que je ne répond par à mon ami Traube : je suis magnanime, là, hein !?
Je viens de comprendre votre insistance, petit déjeuner lubrique, votre langage structure votre pensée. Enfin, si on peut appeler ça « pensée ».
Faites vite, petit déjeuner lubrique, il n’y en aura pas pour tout le monde, des narcisses.
http://salon-litteraire.com/fr/la-selection/content/1872238-yves-michaud-extrait-de-narcisse-et-ses-avatars
@ Renato – 7:53
3e et- 4e ligne de la citation (billet de P. Assouline) dans mon commentaire. (je la remets pour vous :
« à quelle date et sous quelle forme a été porté le coup mortel ayant donné naissance à ce spectre » ayant nom Pierre Herbart ? »
« Seuls les pédophiles et les zoophiles sont encore condamnés à l’ombre – j’y reviendrai in fine. » (Yves Michaud, dans les Narcisses)
Non ! les zoophiles ne restent pas cachés ! Cela fait bien longtemps que j’ai fait, dans l’isle merveilleuse, mon zooming out. J’adore mes chevrettes, bêlant comme universitaires jouissives, lorsque je leur parle de Bourdieu …
Bref, je suis zoophile depuis que j’ai cessé d’être zoophage. Pour la pédophilie, je ne sais pas vraiment où placer le curseur. Comme Mahomet ? Comme DSK ? Comme Moscovici ? j’hésite encore…
TKT 8h11
Merci. Bien envoyé!
Yves Michaud. Extrait de : Narcisse et ses avatars
tissu d’aproximation , minabe jus de cerveau :
xavier niel n’a pas fait son argent sur la pornographie mais sur le « minitel rose », i.e. sur la taxation, le concours de l’état,le blog à passou en aurait été, sans cette taxation il est probable qu’un réseau web français aurait vu le jour avant les autres..on comprend tout doucement ce qu’est peut être la pornographie : et « directement » son chiffre d’affaire est en baisse..qu’a donc a y faire un dsk ?..on comprends tout doucement ce qu’est la pornographie..yves michaud est un pauvre con dangeureux
Comprendre une chose est un pont et une possibilité de revenir sur le chemin. Par contre expliquer une chose est un acte arbitraire et parfois même un assassinat.
au moins foucald prenait son sujet au sérieux et savait le tenir à sa hauteur..c’est ça qui fait un grand penseur
Michel Foucault est un maître à penser qui nous a tous détruit. Il n’a laissé derrière lui que ruines. Un génie ruineux : l’âme, le système scolaire, l’homme, etc.
t’es une petite nature keupu et t’as surtout besoin de flic et d’infirmier psychiatrique pas de livres
il est juste de considérer xavier niels comme un « oligarque »..l’état lui a vendu une rente à pas cher : le désir de se parler, que les gens parlassent de cul pour si cher est une conséquence de cette contention pornographique..yves michaux est un idiot, un triste larbin qui prostitue sa cervelle, et pour pas cher..
ça donne une idée jicé de ce que sont les 1000 acceptions du mot « libéralisme » jicé, il en est un qui est un boneteau, qui plutot tot que tard a besoin de la morale pour cacher lextorsion
..et sincérement qu’a à faire dsk avec la pornographie sinon avec le tractatus tellement convenu des « rédactionnel » de journaux people, qui sont je le rappelle la pire forme de « pornographie » : de la pub payé par des annonceurs mais caché au lecteur
monsieur boudegras, puis-je vous demander poliment de fermer votre sale gueule car y en a vraiment marre de vos conneries sur ce blog
respectueusement
votre keupu chéri
Ça ressemble à un asile psychiatrique ici, avec des manches qui veulent rouler des pelles, de pauvres bougres pas très frais qui jouent aux penseurs, ronds comme un queue qui sont, dès le matin.
Niel, Bergé, Pigasse … voilà des réussites dont on peut se réjouir dans la France du bon Roy François la Faillite (2012-2017)!
Vive le libéralisme ! vive le désir ! vive le Désir ! vive la fornication littéraire !
Dernières nouvelles de bouguereau :
Vache folle : le parquet a requis un non lieu. Bouguereau n’a jamais eu lieu. C’est l’anti-mallarmé par excellence.
pauvres bougres pas très frais qui jouent aux penseurs
ha c’est christian..on « ne joue pas » au penseur christian..sauf quand on évite de réponde à des arguments..et les miens sont bien trop simpes et imparabe pour ça..vdqs..et t’es de la haute époque..enfoncé dans l’trou dbal de ton temps
Cette biographie d’Herbart a été tirée à combien d’exemplaires ? ….
Vive le libéralisme !
..vive l’amérique où qu’on peut acheter le chiotte du bounquère a adolf..les hancuff de dsk..il ne faut pas bouder son plaisir
Il faudrait se décider, nous sommes ici dans un hôpital psychiatrique, dans un hôpital gériatrique, dans une maison de retraite, dans un bistrot littéraire ? Non, parce que à force de vouloir définir un lieu on tombe dans le ridicule…
Renato, il se pourrait que nous soyons dans une maison de tolérance : un blog de passes littéraires, si vous préférez…
c’était de la « pornographie »
trop court trop insufisant mais ici clopine peut envoyer des collier de perle infini dans des trou bal
pauvre pauvre yves michaud
..c’était combien déjà? 1 f la minute ?
la honte française..
La notion de collier de perles* infini, au sens où l’entend l’immonde bouguereau, implique un troudbal immortellement accueillant et disponible, façon Académie Française.
*détails fournis à la demande par notre correspondante normande …
Hier après-midi, dans un bois situé à 32 km d’Aurillac, je me suis promené dans de petites allées forestières bordées de jeunes sapins.
Soudain, ayant aperçu une forme bouger, je me suis engagé sous ces petits arbres et après avoir parcouru une cinquantaine de mètres plié en deux, quelle n’a pas été ma surprise de me trouver nez-à-nez avec deux petits êtres mesurant environ 1,20 mètres que j’avais déjà rencontrés l’année passée.
De façon amicale, l’un d’entre eux a gazouillé quelque chose que je n’ai pas compris. J’ai manifesté par une mimique que j’étais désolé, ils ont alors tous deux reproduit cette mimique et ce sont curieusement évaporé comme s’ils n’avaient jamais existé.
à D. 10:47 : JC et boudegras, ouais
TKT dit: 15 avril 2014 à 8 h 11 min
rose, ma chère rose, j’espère que vous serez dans un état de santé exceptionnel le jour où vous témoignerez devant un tribunal que TKT n’est jamais l’agresseur car il vous faudra une grande force de caractère.
Mon cher D.
Je pensais que vos deux petits gazouilleurs batifolant dans la forêt pouvaient être les deux joyeux et gais compères* Montherlant et Peyrefitte, causant de leurs conquêtes dans les salles obscures de l’année 41…
Soyez prudent !
*
« Brins d’osier, brins d’osier,
Courbez vous, courbez vous assouplis
Sous les doigts du vannier
Bobines, bobines**
Tressez vos nœuds
Dressez vos nœuds
Sous les doigts des libi
Sous les doigts des libi
Sous les doigts des libidineux »
(Roger Peyrefitte, ** codifidation =garçons)
JCouille, Boulevard du palais dit: 15 avril 2014 à 11 h 07 min
« rose, ma chère rose, j’espère que vous serez dans un état de santé exceptionnel le jour où vous témoignerez devant un tribunal que TKT n’est jamais l’agresseur car il vous faudra une grande force de caractère »:
JCouille, vous me faites penser aux Boches, qui pendant WW2 prenaient les bombardements anglais et US, pour de l’agression irraisonnée, en réponse à une politique de paix de Herr Hitler. Votre alter-ego, D.bile, ne supporte pas non plus « le droit de réponse » à ses saloperies.
TKT dit: 15 avril 2014 à 11 h 39 min
rose ma chère rose, quel merveilleux témoin vous faites (ou ferez)
« Oui, lamentables temps. Disparition d’un monde : c’est vite dit ! mais quand on en ressent les douloureux effets quotidiens c’est minutieusement senti. Un monde s’effrite, c’est une douloureuse saignée quotidienne. (…) On m’a fait parler aux enfants du Patronage sur la chanson de Roland. J’ai dû lire cet admirable poème que j’ai donc découvert. Ah ! quel chef-d’œuvre ! il y a de pareilles merveilles et on lit du Victor Hugo ! c’est juste le contraire, le contraire de la littérature : je suis enthousiasmé. Oui voilà la vérité de la poésie. »
(Lettre de Max Jacob à Jean Paulhan, le 1er octobre 41, St Benoît s/Loire).
Desjournées, Herbart n’est pas de ceux qu’on regarde par la lorgnette pour le finir en dutroux. Passez au laser.
Plus haut, un avisé juge Lestringant mauvais alors qu’aucune biographie n’existait sur l’ensemble de la vie de Gide.
Pareille expertise peut encore servir dans l’agriculture.
C’est bien, Phil, vous avez lâché votre petite crotte quotidienne. Vous pouvez regagner la maison de retraite
ah oui, l’armée des gérontophiles du prestigieux blog à passou
La biographie de Lestringant sur Gide est excellente. Outre que Lestringant est un authentique savant, grand seisiémiste devant l’éternel (lire notamment Le Cannibal Grandeur et décadence, Perrin, 1994, ou Le Huguenot et le sauvage, 1990, sans parler de ses études sur Agrippa d’Aubigné, André Thévet, Rabelais, Jean de Léry, Marot, Postel, Bodin, etc.) Grand professeur avec son ami Claude Blum, et j’ai eu la chance d’avoir les deux comme profs. C’est aussi un parpaillot qui s’intéresse à Gide aussi sous cet angle. Ce qui ne manque pas de renforcer l’intérêt de sa biographie.
Je ne suis pas contre quelques aventures en Tchétchénie
Ce genre de jugement, Widergänger, de la part de quelqu’un qui usurpe le titre d’agrégé sur internet…
Phil a bien raison de s’en prendre à ce petit trou du cul merdeux qui conchie Le grand Lestringant ! C’est le genre typique de ce blog pollué par de gros connards plus illettrés les uns que les autres.
Spießbürger !
J’pisse dessus !
oui Widergänger, Finkielkraut va embrocher tous ces trouducs avec plaisir.
Effectivement, Lestringant aborde Gide comme un Léry moderne, défricheur parpaillot de nouveaux mondes.
Il faudrait se décider, nous sommes ici dans un hôpital psychiatrique, dans un hôpital gériatrique, dans une maison de retraite, dans un bistrot littéraire ? (Renato)
L’unité de soins lourds gériatriques intégrée à la section psychiatrique de la maison de retraite dont je suis pensionnaire a ouvert un bistro littéraire très couru (enfin couru, c’est une façon de dire). Nous communiquons essentiellement par gestes et par signes. L’autre jour, on a été à deux moignons d’en venir aux mains à cause d’un certain Lestringant que d’aucuns trouvaient trop astringent.
Phil, il fait un temps divin et il y a toujours un fond de vent marin en toute saison aux Canaries. Avis de coup de soleil sur les parties les plus tendres de nos anatomies : ciel, je ne retrouve plus mon maillot de bain !
ciel, je ne retrouve plus mon maillot de bain !
Mon pauvre Jacounet !
Attention aux abeilles !
Celui qui gagne 11 pour une coupe, c’est celui qui gagne tout
Les derniers commentaires de Widergänger sont bien du ML pur jus.
Un doute me ronge cependant: sommes-nous bien encore « ses petits chéris »???
Rassure nous Widergänger! Ne nous retire pas ton amûûûr, ce serait trop cruel.
Herr Hitler, chancelier du Reich, fut un grand européen arrivant à deux encablures de Napoleone Buonaparte qui avait tenté de fédérer l’Europe, lui aussi !
…Angela réussira, là où ils ont tous deux échoué….
Comme fasciste diplômé, j’ai dans mon bunker de Porquerolles un costume nazi piqué par une femme de chambre d’Eva Braun à Berchtesgaden, qui me va (le costume) comme un gland.
Mon bonheur est intense ! Il me manque juste le petit napperon brodé AH … Ah ! je me vois déjà prendre mon café le petit doigt en l’air comme le Grand Teuton Européen le faisait, ce couillon à moustache …
Widergänger :
grand seisiémiste
Le Cannibal Grandeur et décadence
AFP Gattaz pour l’instauration d’un salaire transitoire en-dessous du Smic
Phil dit: 15 avril 2014 à 11 h 58 min
Vous pensez bien que j’ai d’autres friandises à goûter qu’une bio de Gide.
(Vous a pas plus ce qu’en disent D. Franck et A. Billy, faut obligatoirement en passer par une bio non dégradable,d’ailleurs ça existe, ça, la bio définitive ?)
Sinon, ce qui interpelle dans une maison d’édition comme Gallimard qui n’est pas une association à but non lucratif, ce sont les méthodes de recrutement de l’employé Gide.
Cela ne vous a pas plu ?
Phil dit: 15 avril 2014 à 12 h 21 min
Effectivement, Lestringant aborde Gide comme un Léry moderne
(enfin couru, c’est une façon de dire)
c’est exactement ça une pensée litteraire..tu cours..tu baises..t’es sémite..
Widergänger
blutwurst ça aurait été mieux dracul
tu cours..tu baises..t’es sémite..
ou antisémite..et tu cours tu baises..c’est une autre pensée litteraire..c’est historique épicétou
Excellente idée de Gattaz ! En temps de crise, les règles changent et il vaut mieux un travail noble qu’une obole chômage dégradante !
Napoleone Buonaparte qui avait tenté de fédérer l’Europe, lui aussi !
il a merdé avec les anglais..mais grace à nos tradeur en chemise à fleur on va les niquer ! surtout que nos tradeurs se reproduisent entr’eux..gaga a essayé « bas les pattes sale bouffeur de sandwiche aux concombre » qu’elle lui a dit la belle française..véxé qu’il est gaga
Avis de coup de soleil sur les parties les plus tendres de nos anatomies : ciel, je ne retrouve plus mon maillot de bain !
un bon français n’oublie pas sa boite de gras de canard baroz..quand y’a pus de graisse a traire ça aide
Dans ce hameau privée où les seules personnes de l’autre sexe sont les peu farouches femmes de ménages, il y a des hommes de tous les âges et de toutes les nationalités. Ce matin, un vieillard anglais, maigre et à la chair pendante, les fesses aussi parcheminées que le visage de Duras des derniers jours, passe droit et fier devant les corps musculeux et lisses des jeunes corps répandus autour de la piscine, telle une illustration salutaire d’un ver de Ronsart : ce que je suis vous le serez…
Phil
– Finkielkraut va embrocher tous ces trouducs avec plaisir.
bouguereau
– c’est exactement ça ..tu cours..tu baises..t’es sémite..
Bougboug,
Châtie ton langage ! Ce cul-pincé de PMB, te casse du sucre dessus chez Popaul le Goncourt anastasien. Gaffe, c’est une terreur …
dracul c’est un sémite sur vélo électrique..c’est pas une pensée litteraire ça..ça fait jean foutre
Mort de Richard Hoggart, auteur de ‘The Uses of Literacy ‘(1957) – en français « La culture du pauvre’, Editions de Minuit – livre fondateur de la critique culturelle anglo-saxonne (Benedict Anderson, Raymond Williams, Stuart Hall, disparu lui aussi il y a peu, etc.). Né dans une famille ouvrière de Leeds, ce sociologue au tropisme littéraire très prononcé (qui lui permit d’obtenir une bourse d’études) laisse également une autobiographie de très haute tenue en 3 volumes, dont le premier est traduit en français (« 33, Newport Street »):
A Local Habitation, 1918-40; A Sort of Clowning: Life and Times, 1940-59;
An Imagined Life: Life and Times 1959-91
http://www.theguardian.com/books/2014/apr/13/late-great-richard-hoggart
Les shakespériens émérites de ce blog auront sans reconnu la citation (tronquée) du Songe, sans l’aide de l’ami Wiki.
‘AFP Gattaz pour l’instauration d’un salaire transitoire en-dessous du Smic’
l’esclavage ruine le boss: pas de salaire du tout c’est mieux en temps de pas crise aussi: à bas les assistés
– Docteur, je me sens mal !
– Ah, bon ! Qu’est ce qui ne va pas, cher ami ?
– Une pensée littéraire qui ne passe pas …
– Mais où avez vous attrapé ça, bon sang ? c’est pas courant …
– A un carrefour, je me suis trompé et j’ai atterri dans le Bray malgré moi
– Ah ! Malheureux ! Il ne faut pas aller dans ce coin là : c’est plein de pensées littéraires !
l’employé Gide…
Comme vous y allez, Desjournées. Gaston G. n’a eu accès au comptoir d’éditeur qu’avec l’adoubement de « l’employé Gide » et l’argent de Schlumberger.
Quant aux méthodes de recrutement, Gide n’appréciait pas les vieux, les moches et les incapables à subjonctiver au débotté. Herbart ne l’a pas décu.
Dan Franck: lu autrefois sa « Dame de Berlin ». D’un tropisme qui entame le crédit.
Bon c’est une corvette, ce gus, alors ?
Pardonnez-moi, j’ai un peu pas suivi là
Dear Baroz, la fesse fripée reprend du poil de la bête depuis le mariage pour tous; les canaries ne sont plus le refuge des homossessuels fatigués et les cunardiers débarquent à nouveau du frais. o tempora o maures, disaient les guanches qui ne connaissaient ni l’écriture ni le caleçon de bain.
« l’instauration d’un salaire transitoire en-dessous du Smic’ »
pas de salaire du tout, des tikets de rationnement
Oui, PMB se lâche et se fâche sur le blog à Poapaul et il n’a pas entièrement tort; n’empêche qu’à la lecture du commentaire de 13:23 en forme de brosse à reluire dégoulinant de flatterie, déférence et d’obséquiosité, on peut comprendre que parfois certains ont envie de foutre un bon coup de pied dans la fourmilière des bons sentiments à la manière réjouissante par exemple d’un Onésiphore ou (à retordre) d’un Phil… ce qui n’excuse pas le outrances du sieur bouguereau, de mon patron scootérisé et de qq autres
Elvira, vous êtes bien gentille comme secrétaire mais laissez tranquille monsieur PMB ! c’est un grand écrivain qui a beaucoup souffert dans sa jeunesse. Un peu de respect, je vous prie. La littérature est tout ce qui le retient à la vie … il va prendre les eaux limpides à la Source Popaul, ça peut se comprendre.
Herbart s’est rendu en Asie accompagnant Andrée Viollis partie étudier le communisme à l’oriental, comme Malraux s’est occupé de prélever des statues cambodgiennes à son époque « Clara ».
La grande bourgeoise défroquée entichée de sauce khmère a sûrement contribué à dégoûter Herbart, sorti cul nul des docks dunkerquois, de tout engagement politique.
« La ligne de force » commençait à se dessiner.
Phil, soignez la qualité de votre français (syntaxe incorrecte, fautes d’accord et de participe), ça vous rendra plus crédible. Il est pénible d’avoir à corriger sans cesse votre copie d’éternel redoublant
tenez, une pensée littéraire pour la route :
Christiane me fait penser à cet air de Fela Kuti.
http://www.deezer.com/track/63948316
Ah bé zut, c’est plutôt une pensée musicale !
vous êtes vraiment très perse et picace, chère Clopine
Il a l’air bien gentil, pourtant…
… j’ajouterai : et sûrement coincée de la zigounette, ahahah
Faut pas vous priver, capello. L’orthographite est la seule démangeaison du pisse-froid. Parlez-nous d’Herbart quand il tombera dans votre caddie.
en pensée litteraire y’a pas d’faute..it’s a perfect weulrd comme dirait clint
une pensée musicale !
t’as des propriété carminative clopine comme l’angélique
oh mon amour, mon bel amour, je te porte dans mon coeur comme on porte un oiseau blessé, il n’y a pas d’amour heureux
Il a l’air bien gentil, pourtant…
c’est un contremploi..gide par exemple tu te demandes comment il faisait pour les mettre dans son pieu..le contremploi..c’est litteraire
Pardonnez-moi, j’ai un peu pas suivi là
c’est pas grave keupu..t’es le sac a foutre
Ce cul-pincé de PMB
hof..c’est juste un boot que dédé a écrit en c++
..christian bosse pas beaucoup, toujours a lorgner comme dab
boudegras et la pensée littéraire : une nouvelle lubie avant de revenir bientôt à Göring et son gode ceinture en peau de léopard
Ben la Madame elle elle a jamais des lubies neuves.
Sa lubie à elle c’est Monsieur Bouguereau et rien d’autre.
Même en se rasant (eh oui, la nature) elle y pense.
Je crois qu’elle rêve de son gode-ceinture.
Boh Göring, c’était un excellent pilote ; simplement il a fallu des avions de plus en plus gros… Evidemment c’était pas furtif… Heil der Dicke !
Bouguereau dit: 15 avril 2014 à 17 h 04 min
en c++
Non mais le C le compilateur passe tout ! Même un article de journal ou l’annuaire des téléphones… C’est en Ada qu’y faut se colleter là on vit la vraie vie…
oh mon amour, mon bel amour, je te porte dans mon coeur comme on porte un oiseau blessé, il n’y a pas d’amour heureux (Samu Social Club)
Mon bel amour, mon cher amour, ma déchirure
N’écorchons pas les classiques
Pour comprendre pourquoi Max Jacob a été traité comme une pauvre merde par nos élites qui se foutent pas mal de la poésie :
http://www.polemixetlavoixoff.com/avec-lhistorienne-annie-lacroix-riz-13-les-archives-sont-impitoyables/
Il y en a qui aiment les cours particuliers
Pour comprendre pourquoi Max Jacob a été traité comme une pauvre merde par nos élites qui se foutent pas mal de la poésie : (Widergänger)
Une formule comme « pourquoi l’intérêt des textes de Max Jacob n’a pas été immédiatement saisi par certaines personnes, pourtant cultivées » serait peut-être un peu plus proche de la vérité, sans pour autant verser dans l’euphémisme… Non? Enfin, moi, ce que j’en dis…
Je regardais les Masters d’Augusta
@lasecrétaire de JC :
Où peut-on faire la lecture du commentaire de 13:23 ?
à heu… chez Popaul
le secrétariat de JC… dit: 15 avril 2014 à 18 h 40 min
Dans le genre lèche, elle a fait dix fois pire…
JCouille utilise « la méthode D.bile », écrire coup sur coup sous divers pseudos des commentaires désobligeants, pas tellement pour se sentir membre d’un collectif, mais pour assoir ses harcèlements.
…
…plein gaz,…
…
…donc,…les romans se sciences sociales,…
…bref,…mon Pépin,…
…
…donc,…à comparez,…les patrons et directions d’entreprises, pour licencier leurs ouvriers, en accord avec une production mondialiste des monarch-èxtrème droite,…des Pen à 50.000 Millions d’Euro’s,…
…
…les sciences_sociales à Mr Flagaga _Royale,…en comparaison,…l’état licencie son peuple à l’échelle du chômage cousue pour » gay’s « ,…
…
…un roman,…pour exclure les élites des connivences à nourrir des Cyclope’s de patrons aux girons politique à se branler du bon » peuple « ,…
…
…quand excluons-nous,…nos représentants du peuple,…aux » lois » , en formes de guillotines de douceurs de vivre,…
…quel chocolat,…ils parlent tous,…en crème fraîche,…aux pistaches moulues,…
…
…un nouveau » style » en face,…et de front ,…objectif,…toujours et constant,…sans l’apport de complicités du monde judiciaire » la honte « ,…payez pour en être toujours d’accord,…avec les guillotines des complicités des » revenues « ,…etc,…
…
…de l’artiste littéraire,…sinon » rien « ,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…
…en passant par l’Alsace et la Lorraine,…en mouvement » cinq étoiles « ,…
…les mains en poches,…etc,…d’un trait,…
…
Widergänger dit: 15 avril 2014 à 17 h 49 min
Vos passions, ML, vous conduisent parfois (pas toujours) à des choix extravagants.
Faire de l’insignifiant Yann Moix une sorte d’héritier de Sterne, on peut en sourire, c’est affaire de jugement littéraire, après tout.
Mais que vous vous référiez par deux fois sans aucune espèce de nuances à Mme Lacroix-Riz comme à une autorité incontestée, voilà qui laisse plus perplexe.
C’est une dame dont, comme on dit, tous les papiers (universitaires) sont en règle et dont les recherches sur les milieux financiers et patronaux des années 30 méritent d’être lues.
Mais c’est aussi un esprit qui semble sorti tout droit de la guerre froide et qu’un véritable fanatisme idéologique a conduit à une conception dogmatique et quelque peu primitive de la pratique historienne.
Vous renvoyez à une interview où elle nous déclare que les archives sont impitoyables. Elles le sont souvent contre elle.
Elle s’est illustrée, par exemple, en niant la gravité de la famine provoquée en Ukraine dans les années 30 (des millions de morts) sous prétexte que les archives du quai d’Orsay mentionnaient à peine une disette. Nos Français n’avaient rien vu…
C’est que ces archives russes, ukrainiennes, polonaises aujourd’hui ouvertes, elle n’y a pas accès.
Comparez par contraste avec (parmi d’autres) le Bloodlands de Timothy Snyder, qui est un authentique chef d’oeuvre.
Ça suffit à couper court.
Son admiration sans bornes pour Staline et les staliniens aurait dû vous inquiéter.
Ou plus encore, puisque vous êtes homme de goût, l’effroyable démagogie avec laquelle elle s’adresse à un public « populaire » pour leur faire part des secrets qu’ont leur aurait cachés (vidéos accessibles sur la toile).
Un Garaudy aurait semblé en comparaison de bonne foi, et un Kanapa rigoureux et nuancé…
Ressaisissez-vous!
Je ne souhaite pas vous ennuyer, ML, car votre passion en réalité n’a rien à voir avec ces débats historiographiques.
Lorsque votre roman sera publié, je ne doute pas que l’on dise: on a eu tort de s’en prendre à sa conception rhapsodique de l’histoire et de la philosophie.
C’était la vision d’un romancier…
Voyez ceci, sans commentaires, sauf que cette « archiviste » ne connaît pas les archives russes depuis longtemps exploitées par d’autres qu’elle.
Et vérifiez les jugements qu’elle se permet d’émettre sur d’aussi honnêtes gens que Jean-Pierre Azema ou Nicolas Werth, ou sur des esprits plus grands qu’elle comme François Furet.
Baste.
Stradella road 2002 dit: 15 avril 2014 à 19 h 18 min
Bonsoir Thierry.
Phil dit: 15 avril 2014 à 14 h 38 min
Gide, l’employé aux écriture, Phil.
J’ai entre-temps relu le traité du Narcisse. Bref, comme lu de je ne sais plus qui: sur Gide, soit on dit la vérité, soit on se tait.
De Dan Franck, j’avais lu « la séparation ».
En le reprenant au fond de la bibli, le début:
Acte I, scène I: La tempête, de Shakespeare, aux Bouffes- du- Nord. Roman d’une génération qui n’est pas la mienne, mais si j’ai gardé ce livre c’est qu’il y avait une raison impérieuse de le faire.
Ce n’est pas le sujet.
Son « Libertad », les extraits disponibles sur la toile, montrent bien certains égarements de ces fans des voyages à l’Est, qui se disaient apolitiques. Comme Gide.
Mais bon Phil, nous en sommes à l’heure de la « réalité augmentée ». Et cela, sans les google glasses.
En fait le seul truc qui m’interesse chez Herbart, c’est le général Le Vigan.
…
…souverainistes et courtisans lèches-culs faisant » guillotines » du peuple,…
…
…nos franco lâches, de porcs collabo’s,…aux nazi’s-juifs de la raison d’état,…
…
…Vive nos complots d’aristo’s artistiques du » firmament » pour nous enrichir sur nos peuples abrutis et crédules à souhaits,… etc,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…etc,…
…
si le score en reste là…
C’est vous, mon pauvre u. qui nous laissez perplexe par votre suffisance et votre esprit limité !
Serviteur.
Il y aurait d’ailleurs à regarder Pierre Herbart sous l’angle de l’analyse des travaux d’Annie Lacroix-Riz, qui est notre grande historienne des années 1930 et 1940, notre Paxton française et qui a pu aller beaucoup plus loin que Paxton parce qu’elle a eu accès aux archives françaises alors que Paxton n’a eu accès qu’aux archives allemandes que les Américains avaient confisquées à la fin de la guerre.
Pierre Herbart était visiblement jugé comme un empêcheur de tourner en rond au Parti communiste. Il y aurait à éclairer sa relation avec Aragon à propos de la guerre d’Espagne. Aragon l’aurait dénoncé aux autorités soviétiques. Mais évidemment, Pierre Assouline, qui est toujours consensuel (surtout pas de vague, ne nous mettons personne pas à dos !) n’en parle absolument pas dans son papier.
Il y a là de vieilles querelles franco-françaises rances qui forment des abcès qui n’arrivent pas à crever par conformisme.
Spießbürger, comme on dit en allemand !
t’es cave zouzou, dracul en a marre d’être un idiot sans objectif alors que du temps de gide il aurait pus être non seulement utile..mais mis bien profond par qui tu sais..par les anneaux de saturne t’es un peu nul en pensée litteraire
ceci dit a bien ldroit de placer ses idées litteraires ou il veut..on est en république dans un pays libéral bordel de dieu
ne nous mettons personne pas à dos !
..c’est prudent
À signaler une étude du grand stendhalien Philippe Berthier (avec qui il m’est arrivé de voyager en Russie par hasard en 2005) sur Pierre Herbart :
— Philippe Berthier, Pierre Herbart, morale et style de la désinvolture, Centre d’études gidiennes, 1998.
Vos passions, ML, vous conduisent parfois (pas toujours) à des choix extravagants
mais si zouzou..tout ça pasque poour une foi c’est pas ton idiot mais celui d’un autre..t’es jaloux épicétou
Bouguereau, je te dispense de tes commentaires insignifiants. C’est un euphémisme. Les trous du cul de ton espèce, je les écrase sous mes semelles comme de vieilles merdes.
JCouille, pourquoi serais-je Stradella Road 2002 ? C’est un quartier où je ne suis plus allé depuis fort longtemps.
Non? Enfin, moi, ce que j’en dis…
jean marron pense que l’insoutenable légéreté c’est pour échapper au fisc et aux keufs..c’est une thèse forte
« Il y a là de vieilles querelles franco-françaises rances qui forment des abcès qui n’arrivent pas à crever par conformisme. »
Pas pas du tout.
J’ai une bonne nouvelle pour vous, ami ML.
Au fur et à mesure que les archives s’ouvrent, le débat historiographie s’enrichit.
Masters, doctorats, articles, monographies… En de multiples langues, japonais compris.
Vous n’êtes pas obligé de vous y intéresser, bien sûr.
Roman et poésie sont des arts majeurs (bravo).
Simplement, ne soyez pas si inquiet et pessimiste.
La butte-témoin de l’ancienne glaciation n’est nullement négligée.
C’est une petite voix appréciée à son prix.
Replacée aujourd’hui, depuis la fin du rideau de fer, dans un choeur immense et polyphonique.
Elle est à peine audible, mais en aucun cas inexistante.
Détendu?
Bouguereau, je te dispense de tes commentaires insignifiants
bon c’est vrai que c’est tellement à l’insu de mon plein gré que tu m’y forces..ce n’est pas moi c’est le logos que tu entends comme disais héraclite
« Pas pas du tout » > mais pas du tout.
C’est toi, nihiliste?
(Je parle à mon correcteur)
« une étude du grand stendhalien Philippe Berthier »
Ami Bloom?
Aidez nous à tuer dans l’oeuf ces qualificatifs boursouflés.
Le stendhalien Philippe Berthier.
Ça n’enlève absolument rien à M. Berthier (connais pas), c’est une question de… savoir-vivre?
Il est évident que Herbrat n’a joué aucun rôle important comme intellectuel parce que ceux qui détenaient le pouvoir, qui étaient très consensuels eux aussi bien évidemment (comme tous ceux qui ont le pouvoir et qui tiennent surtout à le garder tellement ils chient dans leur froc à l’idée de le perdre) ne l’ont pas laissé s’avancer sur le devant de la scène publique. Trop honnête, trop chiant, Herbart ! Pas assez consensuel !
Le fait qu’on lui consacre abusivement une biographie si épaisse n’est pas sans signification dans le contexte du consensus actuel. Non pas pour éclairer les intellectuels de moindre importance mais pour étouffer la saloperie des autres.
Le retour du prof de 5ème qui aurait aimé être agrégé:
« Les trous du cul de ton espèce, je les écrase sous mes semelles comme de vieilles merdes. » Style de haute tenue, pas un seul mot de trop et quel « contenance » (sens allemand du terme), quant au contenu, Langue Moisie ne désire pas être contredit.
Alba-Trost a-il raté sa vie, au sens que donne Pierre Assouline ?
Ou, a-t-il réussit à devenir un homme plein de sagesse, content des textes qu’il va laisser aux générations futures ?
Cet homme, grand érudit, traducteur privé, va laisser une montagne de projets qui seront comme la fameuse rapsodie.
Évidemment que vous ne connaissez pas Philippe Berthier, vous tellement boursoufflé de votre connerie, mon pauvre u. ! Le crétin du blog. C’est lui qui a fait la Pléiade de Stendhal, pauvre ignare.
Ami Bloom?
bloom y mange pas de tes fayots zouzou..mais de la mangue et du saint émilion
Vous n’êtes qu’un pauvre connard, u. Vous ne connaissez rien à rien, ni sur l’état de décomposition de la recherche contemporaine en histoire ni sur les archives. Vous êtes simplement un petit prétentieux qui nous fait chier ici par vos conneries insignifiantes.
ha toi t’es pas dispensé zouzou..ha t’as voulu ton idiot utile..il te construit des pyramide..c’est imotep et toi t’es son meusieu ramsés..il te soigne
Widergänger dit: 15 avril 2014 à 23 h 13 min
je les écrase sous mes semelles comme de vieilles merdes.
Oui enfin après faut décaper, hein ! A l’alcool liquide, au Fragonard pour tricher un peu… Et alors si en plus c’est des Berluti…
« ha t’as voulu ton idiot utile..il te construit des pyramide.. » (bouguereau)
Comme tu le sais, il n’est pas sans talent, même s’il est un peu navrant pour le débat public de le voir ainsi (à l’occasion, pas toujours!) comme bouffé de l’intérieur par ses passions…
His choice.
C’est pas mal qu’il soit revenu, même vociférant, sur ce blog.
Des bras féminins se tendent déjà, je veux le croire, pour le dorloter.
Il le mérite, il le mérite.
Pauvre minable !
« regarder Pierre Herbart sous l’angle de l’analyse des travaux d’Annie Lacroix-Riz, qui est notre grande historienne des années 1930 et 1940, notre Paxton française et qui a pu aller beaucoup plus loin que Paxton parce qu’elle a eu accès aux archives françaises alors que Paxton n’a eu accès qu’aux archives allemandes que les Américains avaient confisquées à la fin de la guerre. »
ML, ML…
Ou (if I may) Michel, Michel…
Aviez-vous vraiment pensé, sur sa bonne foi, qu’elle était la seule à profiter de cette ouverture programmée de nos archives nationales?
Si c’est le cas, vous êtes pardonné.
Lisez ses travaux, bien sûr, mais avec un peu plus de malice (vous me semblez tout ignorer de l’establishment du Kominform et des ses relais nationaux).
Mais jetez aussi un coup d’oeuil sur ce qu’elle dit sur votre nation chérie, Israel (bravo).
C’est sans lien, c’est sans lien…
Question de jugement et style, c’est tout.
Vous jugerez vous-même.
Je vous en sais capable.
Mais taisez-vous, vous êtes une honte pour l’intelligence !
Allez donc plutôt lécher le cul de votre chérie, c’est encore ce que vous savez faire de mieux !
Vous êtes à vomir !
« Vous êtes simplement un petit prétentieux qui nous fait chier ici par vos conneries insignifiantes. »
Je comprends que la concurrence puisse déranger, mais à ce point c’est pathologique ; que cette étiole se rassure donc : pour ce qui est des conneries insignifiantes, son niveau est inattingible… mais il fait « quantité », ce qui est bon pour le prestige du blog…
Ah que le retour de LML !!!.
Desjournées, vous avez relu le Narcisse entre deux de vos posts, vous pourrez bien digérer la biographie de Lestringant en une nuit. Grand bien vous ferait, tout y est dit et plus que vous n’imaginez, au delà de vos efforts en jivarisation.
Garder le souvenir d’Herbart pour son Le Vigan vaut celui de Faulkner avec l’alcool. Un nom d’acteur célinien comme plat de Résistance devrait plutôt vous inciter à lire les œuvres littéraires du colonel.
Widergänger a bien martelé quelques vérités.
En plus vous avez la tête (façon de parler bien sûr…) bourrée des clichés les plus éculés à l’encontre d’Annie Lacroix-Riz. Et concernant ses positions à l’égard d’Israël, je m’en expliqué avec elle bien évidemment par courriels interposés. Sur son stalinisme aussi. Elle m’a répondu qu’elle était petite fille de déporté à Auschwitz-Birkenau, je lui ai répondu que moi aussi. Mais par ailleurs, c’est une très grande historienne, la plus importante historienne actuelle des années 30 et 40. Et je ne dis pas ça parce qu’elle est communiste, je ne suis pas du tout communiste. Et le fait qu’elle le soit ne joue strictement aucun rôle, sinon comme elle l’explique elle-même dans la rigueur de son approche du capitalisme des années 30 et 40, dans son travail d’historienne extrêmement rigoureux et très documenté contrairement aux autres historiens très consensuels qui la vomissent parce qu’elle met en question, par son simple travail scientifique, leur médiocrité d’historien et leur profonde veulerie et lâcheté comme responsables de la décomposition de l’enseignement de l’histoire dans notre pays. Mais elle a un public très fervent à juste titre et qui va s’accroissant grâce aux réseaux sociaux. On peut aussi s’abonner à son site et recevoir comme moi tous les renseignements sur ses livres et ses interventions très multiples un peu partout. La dictature qui s’installe a encore des failles. Il faut en profiter avant que tout ne soit définitivement verrouillé dans ce pays de merde.
« … a bien martelé quelques vérités »
Enfin, Phil, marteler quelques vérités est à la porté de tout le monde… même moi, s’il y avait des vérités martelables, je saurais le faire… après, convaincre, c’est un autre paire de manches… convaincre ou persuader, si vous préférez…
« Mais taisez-vous, vous êtes une honte pour l’intelligence ! »
Perspective toujours possible pour tout un chacun.
Sachons, vous et moi, l’accueillir avec humilité.
« Allez donc plutôt lécher le cul de votre chérie, c’est encore ce que vous savez faire de mieux ! »
Mais non, si je vous ai bien compris, car sachez que c’est une femme qui a horreur de amants complaisants.
Un Naïf, peut-être, changerait la donne?
(Elle a lu le père Guth).
Posez-lui la question, mais soyez délicat.
Délicat en changeant ce refroidissant pseudo de Mauvaise langue (de vous à moi: elles n’aiment pas, mettez-vous un instant à leur place).
« Vous êtes à vomir ! »
Je n’y crois pas.
Je regarde, sachez-le, avec beaucoup de sévérité tout intellectuel qui évoque la possibilité de son vomissement sans s’exécuter.
C’est comme un samurai tremblotant devant l’exécution correcte de son seppuku.
Dans le cas présent, tout adversaire du nauséabond qui n’a pas la cohérence de s’enfuir au plus vite en se bouchant le nez, tout « gerbeur » autoproclamé qui ne dépose pas publiquement les reliefs de son misérable repas, sachez, cher ML, qu’il n’aura jamais droit à mon indulgence.
En ce moment sur France2, on voit un documentaire sur Mai 1940. Toute cette détresse, toute cette misère ! La déroute de tout un pays. C’est le résultat de l’œuvre de pas plus de 50 familles françaises des années 30, l’élite capitaliste de la France, qui ont foutu cette merde en France puis dans toute l’Europe. Tout ça est déchirant. C’est ça la France.
Widergänger dit: 15 avril 2014 à 23 h 13 min
« Bouguereau, je te dispense de tes commentaires insignifiants. »
(((Pour une fois que je suis d’abord avec ML!))))
Je dirais même plus:
Bouguereau, je te dispense de tout commentaire.
Fous le camp.
Certes Renato. Il s’agit de Herbart. Consacrer six cents pages sans dire ni comprendre les raisons de la fosse commune incite à la poignée de main vigoureuse.
u. dit: 15 avril 2014 à 20 h 07 min
‘…Faire de l’insignifiant Yann Moix une sorte d’héritier de Sterne, on peut en sourire, c’est affaire de jugement littéraire, après tout…’
Euh non…d’abord, il a pas lu le Sterne ensuite même s’il l’a lu, il y a rien compris, c’qui essplique le pourquoi du comment…perso, je pense que Tristram Shandy est un peu au dessus de ses capacités de presque agrégable, éternelle victime de la RATP…get your facts right , man !
Avant de s’évanouir, l’un des petits êtres m’a dit qu’il pouvait vivre des dizaines de millions d’années en ne cessant de perfectionner philosophie et connaissance de l’Univers, que c’était ce cheminement qui l’avait conduit ici, sous les petits sapins et qu’il n’avait d’autre finalité que de gazouiller dessous.
« Sur son stalinisme aussi. Elle m’a répondu qu’elle était petite fille de déporté à Auschwitz-Birkenau, je lui ai répondu que moi aussi. » (ML)
Copains comme cochons, donc.
Mais encore?
Je comprends que lisiez avec intérêt les comptes-rendu de ce qu’elle compile dans les archives française (patrons = collabos). Moi aussi, nous aussi!
Mais sur la tragédie qui a surdéterminé sa propre vie de femme de bonne famille, par une sorte de crétinisme idéologique (elle n’était pas seule, elle n’était pas seule)?
La servitude intellectuelle des intellectuels post-staliniens, joyeux prêtres légitimant par peur de penser à haute voix, la pire des inhumanités programmées qui ait saigné à blanc l’est de notre continent?
« Vaste programme ».
Je crains, bon ML, que vos bibliographies soient un peu courtes.
J’au autre chose à foutre, mais veux bien me dévouer pour vous suggérer une liste (qui vous demanderait un effort linguistique, mais quoi, vous n’avez peur de rien!)
En attendant, je vous souhaite une bonne nuit.
Je frémis devant l’ampleur des travaux qui vous attendent.
Allons!
Bon courage!
Widergänger dit: 15 avril 2014 à 23 h 27 min
Vous n’êtes qu’un pauvre connard, u. Vous ne connaissez rien à rien .. Vous êtes simplement un petit prétentieux qui nous fait chier ici par vos conneries insignifiantes.
Euh..la, ca m’arrive rarement mais je suis obligé de me trouver en accord avec ML…c’est comme les horloges défectueuses…2 fois par jour, elles vous donnent l’heure exacte…
chez u, j’achète
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