
Pierre Michon jouissant en son palimpseste inspiré
Déjà du Michon deux ans à peine après Le deux beune, mais qu’est-ce qui lui a pris lui qu’on dit si empêché dans son écriture ? Allez savoir ! J’écris l’Iliade(268 pages, 21 euros, Gallimard), excusez du peu, est une entreprise de réécriture du roman des romans, rien que ça. Il s’est emparé de l’Iliade afin d’y tramer son propre livre. Et pourquoi pas, l’écrivain a tous les droits. Mais contrairement à ce qu’il prétend, ce n’est pas son livre qui est mégalomane : c’est lui, fut-ce sans la moindre trace de paranoïa. Homère, c’est lui. Homère parce que, pour un amant de la littérature, il est le début et la fin. Homère est bien davantage qu’Homère. A ses yeux, il est tout simplement l’autre nom de la littérature puisque toutes nos histoires procèdent de ses histoires. Dans la dernière livraison de la Nouvelle revue française, Michon a accordé un entretien à Yannick Haenel subtilement intitulé « Pierre Michon dans le rétroviseur d’Homère ». Son livre est le palimpseste inspiré d’un fou de fictions qui s’est lové dans l’Iliade.
Quatorze histoires comme des nouvelles, tissées entre elles de manière à constituer un récit, y sont logées, aussi épiques qu’érotiques, ne mégotant pas sur l’autodérision. Il y a ici comme jamais chez Michon un ton familier sinon argotique qui rapproche le lecteur de l’auteur mais tout en restant très tenu qu’il rapporte ses voyages en Sicile dans les années soixante-dix avec sa petite bande. Avec « les gros bidules reconstitués du musée de Sélinonte », il nous met dans sa poche. Les femmes, le sexe, la copulation souvent bestiale dans le prolongement du désir du corps féminin. Il en est obsédé. Il a d’ailleurs posé le principe d’un coït dans chaque histoire, programme et cahier des décharges auxquels il s’est largement tenu sauf dans la dernière. Ça baise davantage que dans les pages de Borges, son maitre révéré. Ca bande à rompre et ce n’est Actéon, c’est Michon. Ça rêve beaucoup aussi.
La remémoration de la route vers l’orgasme est le moteur et le carburant de son écriture. C’est charnel, sauvage, tellurique, viandard, animal, végétal, minéral, sensible, tellement malin sinon calculateur ce qui serait de nature à diminuer notre admiration, bourré d’humour sans que jamais ne s’estompe le fil rouge de la haute figure d’Homère, le patron avant Flaubert et Faulkner. Voilà bien un livre foutraque (on y trouve même Shakespeare en Borges et inversement) et réjouissant qui exhale autant d’odeurs âcres que de parfums veloutés. De quoi nous enivrer. C’est aussi très géographique, on est vraiment dans le motif avec lui, de plain-pied dans une Grèce assez différente de celle de Jacques Lacarrière car là, c’est plein de sueur, de sang, de foutre et de miel fut-ce dans la description d’un accouplement entre des libellules bleues.
Pierre Michon s’est rarement empoigné avec la littérature avec autant d’intensité. Une écriture directe, cash, sans filtre, à l’os. « Je crois qu’il me manque un surmoi » confie-t-il avec un sens consommé de la litote. Hélène, Achille, Pasiphaé, Circée, Diomède, Ajax, Priam, Leukos, Actéon, Mélas, Artémis, Mélampus, Hybris, Alexandre, rien que ça ! Une rafle chez les Anciens. Les dieux déboulent sans prévenir. Il s’est payé un sacré casting pour sa dernière microproduction. Conscient de n’être que le laquais de la langue, laquelle ne sera jamais aussi pure dans l’absolu qu’il le voudrait, on le voit heureux de cet esclavage. Il se présente en autodidacte ignorant de la langue grecque de jadis, grand lecteur éclectique, gentiment ironique et moqueur envers les cultureux labellisés lorsqu’il évoque ses débuts misérabilistes, clochardisants et alcoolisés :
« Quoique je n’en eusse pas les moyens, je désirais passionnément entrer dans la vie vivante par la voie royale de l’écriture, et ceci sans efforts, par miracle. L’occasion m’a manqué alors, le passage par une grande école, l’entregent, la chance. J’ignorais encore qu’il fallait être passé par l’ENS pour écrire Une saison en enfer. »
Dans ce même numéro de la Nouvelle revue française décidément michonissime, Olivier Rolin rappelle une distinction qu’opérait l’helléniste Pierre Vidal-Naquet entre les partisans de L’Iliade et ceux de l’Odyssée, les deux ne se mélangeant guère lorsqu’ils ne se regardaient pas en chiens de faïence ; à l’image de ces stendhaliens qui se partagent entre « Rougistes » et « Chartreux ». Le grand critique italien Pietro Citati, qui admirait également les deux épopées d’Homère tout en les dissociant, allait jusqu’à se demander si elles n’avaient pas deux auteurs distincts tant elles différaient. Pierre Michon dit que « J’écris l’Odyssée » ça ne fait pas sérieux ». Certes, mais J’écris l’Iliade non plus c’est tant mieux si cela permet à un écrivain désinhibé comme jamais d’être à son meilleur, entre chrysalide et arbre à couilles, dans la parfaite lucidité que le temps presse, qu’il lui faut se débarrasser encore de quelques fardeaux car la fin de son histoire se rapproche.
(« Apothéose d’Homére » collection Hamilton, British Museum » ; « Pierre Michon » photo Passou)
1 491 Réponses pour Pierre Michon jouissant en son palimpseste inspiré
Toutes les extravagances au sujet des extra- terrestres des « elohim » trouvées chez l’Ezéchiel ne nous feront jamais oublier les railleries voltairiennes au sujet des visions étranges et insolites du fameux prophète, sujet à des transes, voire à de la catalepsie. Fameuse est restée « la confiture d’Ezechiel », cette coprophagie dont se régalent encore certains erdéliens (raéliens ?) en assaisonnant leurs plats d’endives.
Petit rappel, lcé, fragment trouvé sur la toile de l’ironie voltairienne…
« La joute verbale, le choc des discours sont ramenés à une absurde et dérisoire coprophagie, qu’on retrouve à l’article Ézéchiel : Voltaire y prétend que le Seigneur aurait commandé au prophète de manger du pain couvert d’excréments humains « Comme il n’est point d’usage de manger de telles confitures sur son pain, la plupart des hommes trouvent ces commandements indignes de la majesté divine » Les confitures d’Ézéchiel, dont Voltaire ressasse l’image dans sa correspondance et dans ses écrits pendant plus de vingt ans, sont le prétexte à une lecture iconoclaste d’Ézéchiel comme contradicteur de Moïse, qui aurait « donné aux Juifs des préceptes qui ne sont pas bons ». Les ordures que Voltaire repère complaisamment dans le texte sont le prétexte à une désacralisation généralisée de la parole biblique. Et l’article de se conclure par cette pointe célèbre : « Quiconque aime les prophéties d’Ézéchiel mérite de déjeuner avec lui. »
—
Nous en sommes restés là avec l’Arouet… Un grand éclat de rire réactivé face aux mêmes absurdités parcourant les réseaux sociaux, trois siècles plus tard.—
@Nous en sommes restés là avec l’Arouet…
A table :
https://fr.m.wikisource.org/wiki/Bible_Segond_1910/Livre_d%E2%80%99%C3%89z%C3%A9chiel
en lisant cette vision de minotores montés sur roues, j’ai surtout pensé aux récits de Robert Ervin Howard. Chacun ses références.
Plutôt minotaures, d’ailleurs.
Salut salut les Paperback Writers
Anatole Litvak est un réalisateur, producteur et scénariste américain d’origine ukrainienne, né le 21 mai 19021 à Kiev (Ukraine) et mort le 15 décembre 1974 à Neuilly-sur-Seine (France).
De la crise au schisme ; Marion Maréchal et Jordan Bardella réunis en Israël à un sommet sur l’antisémitisme
C’est peut-être dans sa critique du Christianisme et de la Bible que Voltaire, dont j’apprécie à sa juste valeur la Correspondance, est le plus faible et le moins mordant et, disons-le, le plus sot. Pas étonnant que les plus médiocres d’ici y trouvent leur compte.
C’est Blanche Gadin.
Les manifestations angéliques bonnes ou mauvaises sont une réalité, tout comme celles d’entités extra ou intraterestres. Il n’y a rien de loufoque ou de risible à cela. Ni aucune raison de l’associer spontanément à une secte.
Vous croyez tout connaître mais manifestement vous connaissez très peu. Je vous rappelle que le credo de Nicée-Constantinople parle du monde visible et invisible.
L’absurde, ce soir, c’est JJJ.
Le gros malin qui sait tout et qui ne sait rien en réalité.
Taillés à l’antique.
N’attendent pas d’une femme comment se comporter. L’horreur des hommes inféodés.
L’horreur des femmes qui s’approprient les hommes. J’en connais trois, cauchemardesques : une lucide sur les trois. Mi-lucide.
Ai connu une Esther aussi, pas juive, pensais-je. Une mère poule.
Sinon, époque passionnante : on voit où mène l’absence totale de tabous, couplée à l’élection de n’importe qui, sous couvert d’un passé, révolu, à réinstaurer. On assiste surtout à une époque décomplexée qui amène direct au marasme total.
Moi, j’m bcp.
Franchement Rose, tes histoires de bonnes femmes… Fais pas ta Clopine toi aussi. Sans les hommes et toutes leurs belles trouvailles et inventions, les femmes vivraient à l’âge de pierre.
Vive les gonzesses !
L’horreur des femmes qui s’approprient les hommes.croyez vous vraiment que les hommesn’ont joué aucun rôle dans la manoeuvre d’appropriation?
Le niveau de l’Arno monte dangereusement.
Ah, on prévoit une crue à Florence?
.croyez vous vraiment que les hommes n’ont joué aucun rôle dans la manoeuvre d’appropriation ?
Et alii
Je ne m’étais pas posé cette question.
Ils y gagnent un confort.
Et un jour, ils décanillent fissa.
Enfin, c’est très laid. La relation est très laide. Mais aucune honte à être comparée à Clopine qui est une femme de tête. Ni avec Mélina Gates, que Bill regrette après ses nombreuses frasques. Ouaip.
L’Arno.
Chez moi, passant par de toutes petites routes, paysages d’une beauté surprenante, les petits ruisseaux sont devenus de grandes rivières, ROUTE BARRÉE à l’entrée, j’ai essayé de passer et ai fait demi-tour. Le flux est rapide. La hauteur a quadruplé.
En est-on encore au déficit hydrique ?
Et alii
Ce qui a entraîné cette réflexion sur les hommes est puck paraphrasant Groucho Marx. Ce qu’il s’autorise, lui, il n’accepterait pas qu’une femme le tolère deux minutes.
In fine, je m’en fous, c’est sa vie, pas la mienne, je ne me comporte pas avec les hommes ainsi.Mon com.précédent à vous adressé, et alii, a sauté -sur mon papa- et c’est tant mieux.
Dans la diatribe virulente opposant Blanche Gardin et Delphine Horvilleur, la première découvre un lobby qui va influencer sa carrière. La seconde met en exergue la haine générale contre les juifs. Qu’en est-il de la populiste contre les arabes ? Mesurable ? Quantifiable ?
La haine reste la haine quel que soit l’individu contre qui elle s’exerce : pire que la rouille pour l’individu qui s’en nourrit.
Et alii
Ce qui a entraîné cette réflexion sur les hommes est en parallèle, la constatation, récente, que j’ai vue de mes propres yeux, (anciennement, un m’avait parlé de l’appropriation), de femme qui s’approprie les hommes.
Incise.
Écrire une incise quatre fois plus longue que la chose que l’on a à dire :
– faut-il que la chose soit difficile à dire.
– accroche-toi Jeannot (qui ne vient plus le dimanche) à suivre le fil.
– l’incise n’est-elle pas plus intéressante que ne l’est le corpus sus-nommé ?
C’est une question d’équilibre.
Les hommes.
Il me rappelle comment untel menaçait en aboyant, geste à l’appui, toute femme qui passait sur son chemin.
Et lui qui jaspait et te touchait le sein ?
Combien de claques a-t-il évité ?
Rien ne s’oublie des actes délictueux. Si tu soulignes ceux des autres, rappelle-toi des tiens.
Alors que je le souvenais depuis quelques jours de trente cinq ans qui ne se rattrapent pas, hier, m’a sauté à la figure que presque quarante ans, cela ne se rattrape pas non plus. Et toc.
Si ce n’est que la suite peut être meilleure.
Souhaitons le à chacun.
Voilà.
Ça va.
Bien.
Il pleut tout le temps, mais on gère.
J’ai une martre qui vient chez moi, dans mon grenier.
Quel mustelidé magnifique ! Sa queue surtout.
Nota : j’aime beaucoup Clopine.
Une femme courageuse et déterminée.
Métaphore :
Puck il est comme ça
Très grand
https://www.instagram.com/reel/DE2cHYzMi1D/?igsh=MWF6M241cHJ5dm9yOQ==
Personne ne lui arrive à la cheville. Surtout en terme de discussions.
Et très petit.
Mais il comprend tout, rapidement, et est capable d’évolution.
Pourtant, il est à l’étroit dans son environnement.
Il s’ennuie, il s’emmerde, il est dans un asile psychiatrique.
Hier, ai vu un bref film tourné à l’IMA -hommage à Sansal- avec un com. stupéfiant « Lang et sa femme sont en train de devenir jumeaux ».
Lui se touche le nez subrepticement.
Elle a un tic (toc ?) nerveux avec sa bouche. Ils paraissent, chacun, vingt ans de moins que leur âge.
—-
Dans la vidéo de Pierre Desproges, trouvée dans le commentarium sur l’agression mal vécue par Blanche Gardin, ai aimé la toute fin.
Pas quand il agresse verbalement cette journaliste avec son placenta (me suis reconnue parlant de ma mère), non ; lorsqu’il parle de lui. De l’échec de son mariage, à lui limousin, qui a commis l’irréparable erreur d’épouser une vendéenne. Un chouan au féminin, quoi.
Il est là, pire que ce type qui t’a arraché des larmes des années durant et que c’est bien définitivement fini maintenant, fête acteur pour midinettes larmoyantes, Mathieu Almaric.
Moi, je, le père de mes enfants, sous la dalle depuis presque vingt et un, kiffait grave Pierre Desproges. L’ancêtre parfait de Blanche Gardin. Du temps où on riait caustique, mais on avait le droit.
Comment voulez-vous qu’un gars du Berry de la France profonde, s’acoquine avec une marseillaise invétérée tout à la fois sardine et coincée dans le vieux port ? Ça l’a pas fait : trop de distance infranchissable.
Bonne nuit, les repus.
C’est Marseille,bb, jlui ai jamais dit.
PERLES PLASTIQUE
Voltaire, dont j’apprécie à sa juste valeur la Correspondance, est le plus faible et le moins mordant et, disons-le, le plus sot (Chaloux, 20h29)
Mais aucune honte à être comparée à Clopine qui est une femme de tête. (Rose, 2h32)
….Euh, NON ! non Rien !…
« Nota : j’aime beaucoup Clopine. »
Moi j’aimais beaucoup di Nota, notre libraire passionné de littérature, que devient-il ?
Le premier commandement est d’aimer Dieu.
Qui aime Dieu, ici ?
Qui c’est cet Arnaud et cette Florence ?
Et le second c’est d’aimer D. ?
Florence Arthaud, la petite fiancée de l’Atlantique, sinon niet.
Les villes s’enroulent quasiment toujours autour des fleuves, ou dans une conque, protégée au bord des mers.
Palerme tire son nom du mot grec Panormos qui signifie « tout mouillage ». C’est justement le vaste port naturel qui favorisa les premières implantations et la naissance de la ville sur une colline oblongue délimitée au Nord par la dépression du fleuve Papireto et au Sud par le fleuve Kemonia. L’ancien port, qui est aujourd’hui réduit à l’actuelle Cala, se développait aux embouchures des deux fleuves.
Cette nuit, j’ai refait le monde pendant qu’il tombait des trombes d’eau. J’ai encore vu un néonazi condamné en Finlande pour ses crimes de guerre commis en 2014, alors qu’il avait 28 ans. Les actualités correspondent à un monde en grande agitation, en ébullition.
Déjà que, grâce à B., nous apprîmes ici, que la Volkswagen- voiture du peuple- a été conçue par le même type que la Porsche au nom éponyme. L’autre allumé du bocal, à la progéniture nombreuse, pourrait en prendre de la graine, avec sa production relocaliser en Amérique.
protégées
relocalisée
Aimer, c’est mon viatique. Pas sûre du tout que D.le partage.
Aimer Dieu. Premier commandement. De toute sa force.
Le Fils de Dieu, crucifié sauvagement sans que son Père lève le petit doigt pour le sauver, mais c’est l’Elon Musk de l’époque !!!
Sans plus….
Christine Ockrent, la journaliste laminée par Pierre Desproges, mort trop jeune, injustement. Pourquoi lui ? Impliquée de loin dans la grande familia, à la sexualité douteuse.
Dans ces mafias dynastiques, une fille Arnault épousant Xavier Niel, le père fait changer les lois au conseil d’administration pour repousser l’âge de son départ à 80 ans. Il a déjà fait repousser à 70, puis à 75. Après lui, le déluge.
Rima Hassan remise dans le premier avion pour Paris à Tel Aviv.
Tapis rouge pour Jordan Bardella et Marion Maréchal.
Schadenfreude…
« c’est une grande part de liberté qu’un vente bien réglé ».
Sénèque
In Lettres à Lucilius.
@ D… Le gros malin qui sait tout et qui ne sait rien en réalité….- Qui aime Dieu, ici ?
——–
Laissez-moi vous expliquer ceci, SVP, à RPTV notamment. Je suis devenu athée à 15 ans après avoir été gavé de catéchisme biblique dans mon enfance. J’ai été raffermi dans mes convictions par Voltaire, Sade et Nietzsche à mon adolescence… Plus tard, j’ai relu des passages de l’Ancien Testament par le regard d’historiens comme celui d’un Jean Bottero. Je viens de relire mes notes datant de 1986 sur « Naissance de Dieu, la bible et l’historien » (Gallimard, Bibli des histoires, NRF, 1986).
Je ne dirais pas que je me sente « proche » de son entreprise, mais je la respecte infiniment. La thèse de Bottero consistait à mettre en évidence le message par lequel on assista à la naissance de Dieu dans l’esprit des hommes, un Etre inconnu qui se découvrit graduellement à eux. Bottero voyait, en tant qu’historien, dans les textes de la bible de l’Ancien Testament, une ‘weltanschauung’ empreinte d’une sentimentalité et une idéologie religieuse située au cours d’une longue époque dans un espace précis. Il eut la grande honnêteté d’expliquer ad libitum comment son approche méthodologique était inspirée par une « profonde sympathie avec les vieux auteurs de la Bible en essayant de se mettre dans leur peau (…), de retrouver les hommes qui avaient ruminé et couché par écrit les textes et ceux auxquels ils pensaient en les écrivant ».
Il consacra son ouvrage à quatre études de textes, dont notamment le récit de la Genèse, à partir de deux sources : le Document sacerdotal et le récit du Yahviste (notamment dans le Livre de Job).
Or, dans l’exégèse très pénétrante de cet historien profondément empathique, … à propos d’Elohim, il n’est à aucun moment question d’un pluriel dans la figure de l’élaboration progressive du Créateur ou de l’Eternel… De la cosmogonie induite par les diverses sources étudiées, Bottero montre comment découla la consolidation d’un monothéisme absolu basé sur cet axiome devenu fondamental de la religion d’Israël :
« Avant Moi, nul Dieu n’avait été formé,
Après Moi, il n’y en aura plus !
Moi, Moi (seul) Je suis Yahvé…
Moi (seul) Je suis Dieu,
Je le suis, Moi, depuis l’éternité ! »…
Pour le reste de la glose depuis plus de 2000 ans, on peut tout justifier et puiser ce qui nous conviendra… J’ai juste essayé de justifier mon point de vue, et si l’on s’est senti agressé ou vexé par mes propos mécréants, je trouve cela bien dommage. Ce n’était pas mon intention véritable…
Je reconnais souvent une certaine brutalité et pas mal d’humeur… à l’égard des témoins de Jéhovah ou autres sectateurs de tous poils toujours désireux de propager ou d’assainer « leur bonne parole », et souvent sans beaucoup d’humour, y compris sur les blogs littéraires… Voilà tout.
Bonne journée à tous.tes, et notamment à r^z gardin / desproges, aimable et juste filiation.
asséner, bin sûr…
rose
L’horreur des femmes qui s’approprient les hommes.
j’en ai connu une;
à sa mort, toutes les femmes et les hommes de sa (ses)copropriétés sont venues me raconter;ça les avait bien occupés quand même, même les concierges ;
des hommes de tous les âges, les pères, les fils, même les petits (fils) ;mais à sa mort, ils m’ont dit qu’elle était la seule à qui ils n’ont pas envoyé de couronne!(ils avaient fait les rois et les reines)
il me semble que les femmes qui cherchent à dominer commencent par l’appropriation de quelques hommes
et tenir un salon littéraire, est ce de l’ordre de l’appropriation?
UN HOMME S ‘OFFRE A VOUS/
L.Cohen
https://fr.video.search.yahoo.com/yhs/search?fr=yhs-fc-1_15&ei=UTF-8&hsimp=yhs-1_15&hspart=fc¶m1=7¶m2=eJwtTs2KgzAYfJXv2IKJXxITTXNqUR9g2dOGHFxNbfAXtbjs0y92yzDMMMzAtKGxxn3kDFGi0DZyozXORq75l9oap%2FWRh9kaJ1LK1MGMsiyxkWv9ZI27LzZyz8oaN0y%2Foe%2BrWFKE0x7GZtpXGDdgSNHAHkaVGPhRyRmqee797r%2B7sMVSpFQoOHWPbegj6EPnofV1N52hfizT4GMmEooHYK3u1RLek%2BPXGt5fn6tfXp5fhb4VEklZipwwVpTkqktJkvyWocozUfD06NevMnJJUBDGPxm%2FcHVBQTOuv%2F4AlItRXA%3D%3D&p=I+AM+YOUT+MAN+COHEN+L2ONATD&type=fc_A23B324045A_s69_g_e_d_n_c999#id=3&vid=e2f510a474714ed9186a72c7794e07f1&action=view
Le monothéisme est une solution parmi d’autres, suffisamment primaire pour tenter de résoudre un problème grave, à Terre : comment donner de l’espoir à un animal humain si tordu, si intelligent ?
Facile ! Lui tordre le cou pour qu’il lève les yeux au Ciel ! Ah ! le Ciel….
Pratique, non ?!
La beauté suffira t-elle à sauver le cinéma italien ?
Cher Barozzi, le cinéma n’est pas nécessaire au bolo standard actuel car la mode a changé : la pensée s’est réfugiée dans les Réseaux Sociaux (!)
FIN
@ »J’ai été raffermi dans mes convictions par Voltaire, Sade et Nietzsche à mon adolescence. »
Il y en au moins un dans la liste qui était ouvertement deiste, comme quoi le keuf se met à table n’importe comment.
deiste
en fait ces histoires de Dieu c’est toujours plus compliqué qu’il n’y paraît.
par exemple si on prend un truc comme le nihilisme on voit qu’il prend des formes hyper diverses en fonction des époques.
le nihilisme des grecs n’est pas celui des premiers penseurs libéraux comme Hobbes ou Locke, les trucs liés à l’hyper rationalisme un peu dément des Lumières, ou le nihilisme de la période romantique sachant que le romantisme (cf idéalisme allemand) représente en soi une forme de nihilisme, jusqu’au nihilisme de Nietzsche et de Heidegger.
tout ça pour aboutir au nihilisme en Europe tel qu’il apparaît à travers le conflit en Ukraine.
par exemple quand l’Europe commence tous ses discours avec les trucs du genre les valeurs ou les droits de l’Homme et se sert de ces suce dites valeurs pour permettre à un pays d’interdire à une partie de sa population de parler sa langue.
je veux dire que quand les ukrainiens promulgue une loi interdisant de parler le russe c’est un truc qui devrait faire bondir tous nos humanisme défenseurs des droits de l’homme.
sauf que l’Europe a inventé une nouvelle forme de droits de l’homme à géométrie variable.
et ça c’est une des formes modernes du nihilisme.
parce que dire qu’on défend les droits de l’homme tout en défendant en même temps des gens qui interdisent de parler une langue dans leur pays c’est une façon de se mélanger les pinceaux dans ses valeurs.
cette confusion mentale est en soi certainement la forme la plus destructrice du nihilisme, je veux dire destructrice pour elle-même.
les mots?
nous n’évoquerons rien des affrontements entre féministes et réactionnaires, ni des questions de genre. Il vaut mieux, aux Etats-Unis, ne plus parler de ces sujets, à cause de l’épuration sémantique en cours…
L’Express : Vous nous disiez, lors de notre première prise de contact, qu’on pouvait parler des grands débats d’idées sur le sexe, le genre et les comportements instinctifs. Ce n’est plus le cas. Pourquoi ?
Catherine Dulac : Si j’emploie certains mots, mon laboratoire, le Dulac Lab, risque d’être ciblé par les équipes de Donald Trump. Plusieurs scientifiques de mon entourage ont perdu leur financement ces derniers jours, parce que certains termes désormais interdits figuraient dans leurs écrits. L’administration en vigueur depuis le 20 janvier 2025 fonctionne par mot-clef, sans souci du contenu réel. Ils licencient des chercheurs, coupent des budgets sur la simple base d’une occurrence de mots analysée par l’intelligence artificielle, et non pas sur leurs travaux. Mon propos n’a jamais été politique, mais je ne peux pas me permettre de parler de la science autour de ces thématiques, au risque de subir le même sort.
https://www.lexpress.fr/sciences-sante/catherine-dulac-harvard-il-y-a-en-realite-peu-de-differences-entre-lisolement-et-la-privation-de-U5CWBUNCNJH7TCFVF5DA3NPPEY/?#at_medium=email&at_emailtype=retention&at_campaign=NL_A_LIRE_ABSOLUMENT&at_variant=retention&at_send_date=20250315&m_i=ApzEuLtZLQohf5bOxDiGoyOMqTDYsRHZv8hk7wZN4HpGFmDKZ7WWNZElbxE0cHGoMmmz1vnTyLdRne2mYOZg6PW8NcvwcT&m_i=Mf25bK52om5RzZBo9Dil5Gfx9awkKdMHt_wmIYeHX8KuAZxcjfM_ecygZ_Y7LjKalIfK51q0nw__f59zbb5cMEHFLKX8K_&M_BT=626038538462
Ils ont du se tromper au Figaro, à mon avis c’est du falsh.
des gens qui défendent à la fois les droits de l’homme et un pays qui fait une loi pour interdire une langue c’est la marque d’une confusion d’esprit chez des gens qui commencent à être un peu perdus dans leur tête.
to STET (a copyeditor’s term that means “let it stand”).
L’Oligarchie et ce qu’on appellera la Démocratie au sens moderne coexistaient déjà dans l’Athenes de Pericles….
Macron est un nihiliste sans doute dans sa pire forme.
c’est une opportuniste qui n’a pas de projet, pas d’idées, aucune valeur.
quand on entend ses derniers discours on s’aperçoit que plus le temps passe et plus ses propos deviennent totalement incohérents.
avec des aspects parfois assez drôles : par exemple il y a 15 jours il s’opposait au projet de Paix de Trump et aujourd’hui il reproche aux russes de ne pas y adhérer plus vite.
il s’opposait au plan de paix de Trump en répétant toujours la même phrase : je veux une paix juste et durable.
l’idée même de vouloir une paix « juste », vouloir la justice, sans définir exactement l’idée qu’il se fait de la « justice »…
sachant qu’il est responsable de la mort d’1 million d’ukrainiens il devrait s’interdire d’utiliser certains mots comme « juste » parce qu’il suffit de voir l’état de son pays pour voir qu’il n’a absolument aucune notion de ce qui est « juste ».
voilà ça c’est une des formes les plus destructrices du nihilisme.
Votes For Women Paperweight
This glass paperweight is based on a button, worn by marchers at the 1913 Women’s Suffrage Parade, now housed at the Smithsonian National Museum of American History. Historians later credited the event with invigorating the suffrage movement.
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgzQZTgVqgrRGNScsjLcvdpZkCDWN
« L’Oligarchie et ce qu’on appellera la Démocratie au sens moderne coexistaient déjà dans l’Athenes de Pericles…. »
pas que Péricles : Platon aussi défend l’oligarchie.
là encore on voit le dévoiement du vocabulaire : quand nos médias utilisent le mot « oligarque » c’est toujours pour parler des autres.
comme si en France il n’y avait pas d’oligarques.
là encore c’est gravissime parce que quand on démarre sur des préceptes d’emblée erronés ensuite rien ne tient.
d’autant que ces présupposés erronés proviennent toujours au départ d’une déconnexion avec le réel.
la déconnexion ou plutôt le refus du réel entraine ensuite forcément une fuite en avant où on s’enfonce dans l’absurde.
Élodie Chamblas-Montel serait sapiosexuelle.
Arrghhh.
En tout cas, elle est prof.
Crénom.
exemple : dans leur retrait de la région de Koursk les soldats ukrainiens ont commis des crimes sur les populations russes pires que celles commises par l’armée allemande lors de leur retraite de Russie.
à partir de là qui peut imaginer une seconde que les russes vont les laisser rentrer paisiblement chez eux sachant que pour les allemands ils les ont poursuivis jusqu’à Berlin pour leur faire payer leurs crimes ?
ça même un gamin de 6 ans le comprendrait.
Puck, je prenais un exemple pour Rose. Pas pour vous qui êtes etc etc.
MC je sais, j’ai juste repris votre idée d’oligarchie parce qu’elle illustre le refus du réel dans la façon dont on se refuse à appeler un chat un chat : nos oligarques on les appelle des « milliardaires », mais jamais des oligarques, alors que ce sont des oligarques.
et c’est bien dommage parce que si on appelait nos oligarques des oligarques de suite ça changerait notre rapport au réel parce qu’un milliardaire c’est un milliardaire alors qu’un oligarque c’est, comme dire ? un oligarque.
à la limite nos oligarques sont plus des oligarques que ce qu’on appelait les oligarques russes (qui ont tous été dégommés par Poutine pour nationaliser leurs activités).
par contre nos oligarques ressemblent plus aux oligarques ukrainiens dans la mesure où pour les russes c’était le pouvoir qui choisissait ses oligarques alors que notre cas et celui de l’Ukraine ce sont les oligarques qui ont la main mise sur le pouvoir et c’est eux qui choisissent les gouvernants et définissent les règles de pouvoir.
Les premières impressions du léZard en découvrant Paris !
Laissez-moi vous expliquer ceci, SVP, à RPTV notamment.
Vous ai-je parlé de religion?
Vive la philosophie et surtout pas celle des crypto-cathos à la B. Latour!
« Il me semblait que Dreyfus était un Dustan post-sida. »
Camus, Dustan, Dreyfus ont le même thème mais pas du tout le même regard.
Camus c’est ennuyeux et plat. Dustan c’est douloureux et tragique. Dreyfus c’est halluciné et chamanique.
« Camus, Dustan, Dreyfus ont le même thème mais pas du tout le même regard. »
C’est également trois générations successives.
Jjj, aimez-vous Dieu ?
Oui oui Non.
MATZNEFF
Matzneff est une des écrivains actuels -il ne va pas vivre très longtemps- qui me semblent écrire le mieux . J’ai lu de lui plusieurs livres. Je viens de lire, avec retard, « Le Consentement » de Vanessa Springora. Avant de parler d’elle et de lui, je veux commencer par parler de moi.
Très timide et peu séduisant, je n’ai eu de relations sexuelles avec une femme qu’à l’âge de…25 ans, ce qui n’indique pas une grande précocité. Quelques années plus tard, j’ai eu la chande de rencontrer la femme de ma vie. Coup de foudre et mariage en trois mois. En 45 ans, je l’ai aimé à la folie et ne l’ai jamais trompée. Dois-je ajouter que je n’ai jamais été attiré , pendant ce mariage, par un enfant, un ado, une ado ? N’ayant jamais compris comment on pouvait avoir recours à la prostitution, je n’y ai jamais recouru. Veuf depuis quatre ans, ma femme ne sera jamais remplacée.
Je reviens à Matzneff. Outre ses qualités d’expression, bien des choses chez lui m’ont intéressé.
Une seule chose me barbait : ses activités sexuelles, que je zappais.
J’en viens au livre de Vanessa Springora, accablant pour GM. Ce réquisitoire tue Matzneff, qui ne s’en relèvera pas. Le projet de cette dame ? « prendre au piège son chasseur, en l’enfermant dans un livre. » Ce qu’elle a fait. Au début, écrit-elle, elle se disait « 14ans et 50 ans. Et alors ? ». On y apprend qu’elle fut très lontemps sodomisée( J’y renviendrai). Pas seulement, à preuve ces mots : « Sa verge dans ma bouche à l’heure du goûter . » Sodomie et fellations. GM lui interdisait de lire certains de ses livres. Un jour, parti deux jours ailleurs, il lui laissa la clé du logis. Elle lut des livres « interdits ». Elle lut que son bien-aimé allait à Manille se taper, moyennant finance , je cite , « des culs frais » (!). On aura compris qu’il s’agissait de garçonnets philippins sodomisés (encore!). Retenons le mot. Ce fut un choc , pour elle, on le conçoit. D’autres faits ont lézardé son idole. Elle se sépara de lui. Vers la fin du livre, elle raconte une conversation avec une ancienne « rivale », et la conclussion de VS est que GM n’est pas pédophile, mais, elle est heureuse d’avoir trouvé le mot dans un livre, un « éphébophile ». Pourquoi pas? Aujourd’hui, toutes les dames parlent de « pédocriminel ». Pourquoi pas aussi ? Moi qui n’ai jamais sodomisé personne de ma vie, qui n’ai jamais demandé une fellation à qui que ce soit, je retiens surtout que , fondamentalement, sexuellement, GM est un sodomite, un sodomite obsessionel. Dans son livre « La diététique de lord Byron », on lit qu’il apprécie chez son auteur chéri cette même passion pour la sodomie, que sa cible soit masculine ou féminine.
Je ne suis pas chrétien , mais un athée de toujours. Quand je parle de sodomie, je ne parle pas d’un péché, je parle en « sexologue », et froidement. Tous les textes que j’ai lus sur GM n’insistent nullement sur cet aspect. J’en suis surpris.
Il n’y a pas que la droite trumpiste qui fait de la censure. La gauche woke s’en donne a coeur joie.
Dans peu de temps il sera impossible de voir un film avec au générique les noms de Gérard Depardieu, Polanski, Bertolucci.
On se rabattra sur les oeuvres complètes de Sandrine Rousseau.
Manifestement l’autrice de l’article ne trouve pas impossible de travailler un journal comme « Libération » qui a un passé. Lourd le passé. Très lourd.
* Manifestement l’autrice de l’article ne trouve pas impossible de travailler pour un journal comme « Libération » qui a un passé.
* La gauche woke s’en donne à coeur joie.
Arthur Dreyfus, que je n’ai jamais lu.
Bonne idée de lecture de vacances à venir, FL.
Autant commencer par « Histoire de ma sexualité », en folio ?
Aimez-vous Dieu, Patrice Charoulet ?
C’est beau la vie, malgré tout.
@ »Il n’y a pas que la droite trumpiste qui fait de la censure. »
sérieux ? faudrait pas toujours inverser les choses sinon ce monde va finir par sombrer dans la folie :
– Trump a été élu pour mettre fin à la censure mise en place par l’administration Biden.
– Musk a racheté Twitter dans l’unique but de mettre fin à la censure mise en place par l’administration Biden, par la suite il a été suivi par Facebook et Google.
– le discours de JD Vance à Munich porte essentiellement sur la censure : il dit que le danger pour l’Europe ce n’est pas la Chine et la Russie, mais l’Europe elle-même du fait de la censure imposée par l’UE.
charolais tombe le masque, après s’être plaint d’un enculage , le voilà qu’il fait l’apologie de la sodomie.
Ce fake de la ferme à trolls oublie juste un détail : Matzneff est un pedocriminel. Et tout ce qu’il a écrit est l’oeuvre d’un pedocriminel.
PEDOCRIMINEL, charolais, c’est dans le dico, cherchez bien.
J’écris ‘ Je n’ai jamais sodomisé personne ». Marie Sasseur écrit que je fais « l »apologie de la sodomie ».
J’écris être « un athée de toujours ». D me demande si « j’aime Dieu ».
Faut-il commnenter ?
« Faut-il commenter ? »
Non. Seulement comprendre que Marie Sasseur en rêve et que D; aimerait être sodomisé par Dieu !
à Jazzi
Lol
Terminer de commenter un billet cochon avec matzneff, c’est OK, mais finissez le bien alors, car sauf à vous en faire les complices il n’y a pas deux solutions.
@ 11.36 Déiste…. elle nous fait le coup de l’école primaire… Bon, alors disons que j’ai eu ma phase déiste, et puis une fois passé chez le dentiste, je suis devenu a-déiste… j’ai adhéré à la dentisterie et plus tellement cru aux elohim. Duras, sed leste… Il faut beaucoup aimer les meufes (?) de votre genre pour les supporter. Mais bon, hein…, on fait avecque. On s’empêche, nous autrds, les nouveaux incroyants du féminisme radical… Allo, allo ? Quid de vos ovaires et ovulations, ma soeur ? Cessez de nous mharceler !
sed lex.
@17.43, jzmn… c’était le fameux fantasme du président Schreiber…Maos le cas étudié par Freud était bien moins intéressant que le journal du président, édité plus tard en français, qui inspira manifestement et à juste titre notre Dédée national, l’enkulé de Dieu.
@ 13.09 quand je parle à RPTV, je ne parle pas votre pseudo, racontpatavi, mais à moi-même par prétérition pour dire : ‘je vais vous raconter quelque chose de ma propre vie pour expliquer mon opinion’… Voilà tout, c’est clair. Cela dit, je vous jalouse un peu d’avoir usé d’un pseudo qui m’émerveille constamment. C’est pourquoi pourquoi j’en ai fait cet acronyme… Je vous donne un bon point pour votre élégance… Ne le prenez surtout pas à mal. Pas de Bolibongo dans la foulée ???
je ne prétends pas découvrir à P.Charoulet le nouveau livre de Vanessa S dont le titre semble choisi pour lui:une critique sur la Règle du jeu
« Avec «Patronyme», Vanessa Springora sort les fantômes du placard où étaient murés les secrets d’un père toxique et d’un aïeul au passé trouble. »intéressera peut-=etre ceux qui sony encore curieux de cette histoire
https://laregledujeu.org/2025/02/10/41519/les-autres-en-nous/
et alii dit: 15 mars 2025 à 10h47
le bon lien cohen
https://fr.video.search.yahoo.com/yhs/search?fr=yhs-fc-1_15&ei=UTF-8&hsimp=yhs-1_15&hspart=fc¶m1=7&
Voilà, je l’ai trouvé ! Sous le e billet précédent. Encore merci, et Alii.
« Laissez-moi vous expliquer ceci, SVP, à RPTV notamment. »
Mais votre phrase indique une injonction directe,JJ-J
Merci de vous relire.
Bon dimanche.
c’est-à-dire que les crypto catho à la Latour n’avaient pas de vraies religions… Passons donc par pertes et profits les injonctions directes… Des injections létales feraient bien l’affaire. Merci de vous salir les mains de temps à autre.
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