Pour saluer aussi d’autres Pauvert
« Quel est aujourd’hui l’éditeur qui fait ce job ? » se demande Paul Edel sur son blog dans la chute de son hommage à Jean-Jacques Pauvert qui vient de disparaître à 88 ans. La question, posée ès-qualités par un critique littéraire doublé d’un écrivain, vaut d’être méditée car on la retrouve un peu partout dans les nécrologies du grand-éditeur-de-Sade qui fut aussi celui d’André Hardellet (il se retrouva au tribunal pour Lourdes, lentes), Siné, Topor, Mandiargues, Breton, Bataille, Albertine Sarrazin, Brigitte Lozerec’h, Hortense Dufour et l’exhumateur de textes d’Oscar Panizza, Georges Darien, Alfred Jarry, Léon Bloy, Raymond Roussel…
Paul Edel cite à juste titre les fleurons du catalogue Pauvert, mais aussi, chose plus curieuse, La Littérature à l’estomac de Julien Gracq dont le blogueur nous dit qu’il s’est « empressé » de le publier. Or on sait que ce pamphlet, paru dans un premier temps en janvier 1950 dans la revue Empédocle, a été repris aussitôt après en un mince volume par son éditeur de toujours José Corti, ainsi que onze ans après au sein du recueil Préférences. Mais par quel miracle a-t-il pu faire également l’objet d’une édition chez Jean-Jacques Pauvert sous le même titre en 1964 ? On aimerait le savoir. Cela nous renseignerait peut-être sur les limites du style Pauvert, des méthodes qui, si elles n’enlèvent rien au courage, à l’audace, à l’indépendance du « grand décalé », autorisent à mettre un bémol sur l’admiration.
On peut comprendre que certains imprimeurs jadis acculés à la faillite ou au dépôt de bilan par ceux des éditions Pauvert aient conservé un souvenir plus contrasté du « non-conformiste de l’édition ». Certains auteurs ou ayant-droits également marqués par sa désinvolture. Car c’est aussi cela un éditeur, et pas seulement celui qui laisse un beau catalogue. Ou des Mémoires. Ceux de Jean-Jacques Pauvert ont laissé la trace d’un exercice d’autosatisfaction sans mélange. A croire qu’il avait inventé le métier et que celui-ci allait mourir avec lui. Il est vrai qu’il avait tout fait dans ce milieu, avec une force de conviction exaltée par son goût de la provocation, et qu’il était des rares à savoir chercher, découvrir et surtout lire, ce qui s’appelle lire, à défaut de savoir compter.
Alors, quel éditeur fait aujourd’hui le « job » ? La plupart, tout simplement. En assumant les risques, lesquels ne consistent pas nécessairement à affronter les juges de la XVIIème chambre. Certains, de moyenne ou de petite taille, le font à leur compte en province ; d’autres, un peu moins indépendants parfois, à Paris ; mais leur personnalité étant moins flamboyante que celle de Pauvert, on en parle moins voilà tout ; leur discret catalogue en témoigne, qu’il s’agisse d’auteurs contemporains, inédits et inconnus, ou d’oubliés du siècle échu qu’ils ont à cœur de rééditer, mais à bas bruit. Car contrairement à une idée reçue devenue un poncif de toute réflexion sur ce métier, répandu par le pamphlet d’André Schiffrin L’édition sans éditeurs (La Fabrique, 1999), il n’est pas exclusivement aux mains de managers analphabètes, il s’en faut. Le fait est, aussi, que les temps ont changé et qu’il faut vraiment aller la chercher pour trouver la censure. Elle concerne essentiellement la pédophilie, le négationnisme et les appels à la haine raciale, dans la presse surtout car l’écrivain, lui, peut s’abriter derrière les exigences de la fiction.
De toute façon, le mot même de « censure » perd de sa substance dès lors que l’on veut bien lire en ligne. Des livres d’Henry Miller, Léon Degrelle avaient bien été interdits dans les années 50, et même L’homme de gingembre de JP. Donleavy, la Lolita de Nabokov sous Guy Mollet. Depuis, ils sont disponibles en format de poche et dans les plus prestigieuses collections. Quant à Sade, cela fait déjà longtemps qu’il dépucèle, viole, déchire, écartèle, torture et trucide en format de poche dans les meilleures éditions critiques. Ces jours-ci encore, un volume Sade paraît dans la Pléiade (le marquis s’y divinise depuis un quart de siècle déjà) sous la direction experte de Michel Delon : Les cent vingt journées de Sodome, Justine ou les malheurs de la vertu, La philosophie dans le boudoir… Quand Sade fit son entrée dans la fameuse collection, l’éditeur lança une campagne publicitaire avec le slogan :
« L’Enfer sur papier bible ».
La formule a disparu depuis, et pour cause : elle ferait sourire. Sauf peut-être le grand critique américain Roger Shattuck, le philosophe Michel Onfray et d’autres qui estiment qu’une telle horreur n’a pas sa place sous de si prestigieux auspices. A quoi Michel Delon répond dans sa présentation :
« Nous proposions en 1990 de donner à Sade sa place dans la Bibliothèque de la Pléiade « sans banalisation ni provocation ». Il l’occupe désormais, mais ne se laisse pas facilement ranger, quelque part entre Rousseau et les sagas islandaises. C’est la fonction de la littérature de ne pas se réduire à un classement préalable, de ne jamais se reposer sur la certitude de valeurs intangibles. Sade incarne un principe d’inquiétude et de dérangement qui nous oblige à le relire et à nous demander ce que lire veut dire ».
Il fallut autrefois un Pauvert, à la suite de Maurice Heine et de Gilbert Lely, pour sortir les romans de Sade de l’enfer. Mais aujourd’hui, ce n’est pas la censure qui envoie les textes en enfer : c’est l’indifférence, l’oubli, la méconnaissance, l’inculture et surtout, l’autocensure, le fléau qui ne dit pas son nom.
(illustration Gray)
1 054 Réponses pour Pour saluer aussi d’autres Pauvert
Mais c’est toi, connard, troll de merde, qui ne veut pas lire ce que j’écris. Faites partie des gens qui ne pense qu’à salir les autres. Une ordure, un nazi des blogs.
Mais je vous trouve plutôt sympathique,WGG.
Excessif et monomaniaque aussi.
Relisez ce que dit de Sade Annie Lebrun sur la philosophie libertine et le XVIIIème siècle.
Et on en parle après…
Relisez ou lisez…
( On vous connait grand lecteur.)
MAIS JE N’AI RIEN À VOIR AVEC L’IMAGE QUE LES GROSSES MERDES DANS TON GENRE SE FONT DE MOI. RIEN. TOUT CE QUE TU PEUX DIRE EST PAR DÉFINITION INSIGNIFIANT. T’ES SIMPLEMENT UN PAUVRE TYPE QUI VEUT SE MESURER AVEC UN TYPE COMME MOI QUE TU ENVIES, QUE TU JALOUSE, QUE T’ES PRÊT À SALIR TELLEMENT T’ES MINABLE; C’EST LE SEUL MOYEN QUE T’A TROUVER POUR EXISTER. MÉPRISABLE.
Mais non, WGG, ne soyez pas excessif, cela vous rend, vous, insignifiant.
Vous traiter de pignouf, c’est gentil à côté de vos « énormités » à mon encontre.
Parlons de Sade.
Parlez de Sade, tout seul, comme vous le faite ici d’ habitude sur tous les sujets en les rapportant essentiellement à la pensée d’ Attali et de Rosset.
Ils vous doivent une fière chandelle, ma foi!
MAIS JE N’AI RIEN À VOIR AVEC L’IMAGE
Je ne fais que réagir à ce que vous donnez ici de vous-même.Et c’est plus qu’une image!
On a l’ impression que ce blog est votre chambre à coucher et que vous rêvez à haute voix…et que vous grognez souvent très fort aussi!
je ne serais pas si sur que cela W.; BOA est incollable vous aurez beau jouer les petits martyrs, il vous lacérera savamment et vous retournera façon crêpe molle et l’on vous entendra gémir : je t’aime, encore BOA encore .. petite langue de feu !
Bon, les suffragettes, au plumard
sipien dit: 1 octobre 2014 à 23 h 57 min
Bon, les suffragettes, au plumard
à peu près ; elles s’appelaient faits divers
NON
Hello mum
j’ai pris leur num, oui… CONNARD
: je t’aime, encore BOA encore .. petite langue de feu !
Eussiez-vous été la nièce d’angelo que je la serrerais savamment…
Constrictor!
Mais qu’est-ce qu’il a à toujours crier comme ça ?
Ah ! 3 – 0 pour la vieilli dame, et dans le quartier tout va bien…
D,
si mes souvenirs sont bon’sss,
vous devez apparaître sur la RDL,
dans 01h12 !!!.
« ueda dit: 1 octobre 2014 à 20 h 00 min »,
Un RDV qui se présente mal ???.
« beaux débuts dit: 1 octobre 2014 à 20 h 57 min
Tenez, de Gilbert Lély, l’ Épouse infidèle J.J. Pauvert 1966 in-8 en ff, couv. remp.29p. non coupé. E.O.1/74 ex. num.sur vélin d’Arches orné de deux eaux-fortes originales signées de Léonor Fini
500 euros… »;…
C’est pour cela que j’ai toujours essayé d’éviter les vierges…
Un livre non coupé,
qui n’a jamais donné de plaisir ?… .. .
D,
arrêtez vos dévotions,
dans 05′ vous êtes à l’antenne.
TOC, TOC, TOC,…
D,
êtes-vous là ???
Ah, vous êtes aux bois,
de brandiller***…
Pourtant,point de muguet en cette saison.
Veuillez attendre que le feu passe au rouge.
WGG,
je ne savais pas que vous étiez payé comme les ouvriers de Berlin.
Le 1er, sûr et certain.
Qu’ils puissent payer leurs dettes,
pour en recommencer d’autres.
C’est amusant,
le premier de chaque mois,
les berlinoises se lâchent,
claquent leurs sur-plus,
après avoir mis de côté l’important.
(Les mioches et le mari, il faut tout assurer).
Bonne récupération.
Au lever, l’entrebâillement de la fosse me rend sceptique : vite, refermer la trappe d’aération, c’est intenable.
Point de vues et image du monde. Etonnante, cette république folâtre, fofolle, folichonne …
Le peu que j’ai lu de Sade, de sa vie, de ses idées, me fait penser qu’avant d’être un « grand écrivain », c’est essentiellement un magnifique cinglé pataugeant bêtement dans la flaque de son malheur …!
Erotisme du voile qui isole ? du hijab qui insulte ? du niqab qui soustrait au monde ?
Etes vous devenus aussi fous que ces fous …?!
Un type comme ça on peut même le rencontrer… et personne ne fait rien ? Le voisins, la police, les collègues… Même la famille, tiens… Enfin, quelqu’un devrait faire quelque chose…
Et il crie, comme un fou… c’est un marchand de quoi ? Il veut vendre quoi au fond ?
Voyons,renato, on ne peux pas reprocher à l’ami Wanderer d’avoir l’espièglerie bruyante !
Es… quoi ?! Il faudrait revoir l’usage des mots… « Espièglerie » pour un banal … Non, mais…
ML devrait varier son stock d’insultes, la lecture de ses posts serait d’autant plus génialement frappante
Bernadette préfère Nicolas à Alain parce qu’il est meilleur « sur les planches ».
Va dodo, Mémé.
Il avait une tête de contravention fâchée avec un ticket de parking, de grand matin il se levait pour exécuter une panoplie d’exercices et de figures puisées dans un almanach qui n’aurait pas tenu compte de la faiblesse de ses articulations. Il quittait sa chambre sur une impulsion brusque s’arrachant aux délices de la contemplation d’une femme dévêtue d’aurores qui marmonnait dans les draps un prénom qui n’était vraisemblablement pas le sien. Il descendait alors en majesté l’escalier en colimaçon en fer forgé qui le déposait après une double vrille sur le linoléum ondulant de la petite cuisine – cave qui lui servait à la fois d’atelier de manducation et de débarras d’idées. Sur la commode un napperon de coton jauni qui s’égayait
le neveu d’Angelo dit: 2 octobre 2014 à 8 h 59 min
C’est tout chantourné et très mauvais. C’est de qui?
Si c’est chantourné et mauvais, c’est du Reinhardt ! Sans le moindre doute …
à JC le Fourbe : tu sais ce qu’il te dit Reinhardt :
t’es qu’une grosse merde bâtarde et inculte
Sur la commode un napperon de coton jauni qui s’égayait
plus loin quelques pets se mourraient sur la toile cirée..de l' »établi de manducation » ha c’est bien
du niqab qui soustrait au monde ?
une femme qui s’enfile des perles clopine elle dit que c’est pas érotique non pus..on ne sait plus quoi penser
bouguereau dit: 2 octobre 2014 à 9 h 27 min
Un nouveau jour commence pour Latrino.
c’est essentiellement un magnifique cinglé pataugeant bêtement dans la flaque de son malheur …!
bêtement..bêtement..en tout cas c’est le premier qui ait expérimenté les mondes virtuels au moyens de la technique..l’écriture..car c’est un bousin pour lui « l’écriture » un genre d’html12..je vois assez bien sade comme un magnéto dans les xmen..enfermé dans une cage de verre..en moins con attation
à Il s’éveille : eh oui, va falloir passer la serpillière encore combien de fois
bouguereau dit: 2 octobre 2014 à 9 h 35 min
aujourd’hui Latrino fait des efforts.
oui oui..fais moi mèmère bougros mon scrétaire..
bouguereau dit: 2 octobre 2014 à 9 h 39 min
Latrino tape à côté.
ML devrait varier son stock d’insultes, la lecture de ses posts serait d’autant plus génialement frappante (djack etc.)
On ne peut pas être à la fois frappant et frappé.
..pas bouger..j’apparaitrais à l’improviss et gare..et tu notes surtout!
On ne peut pas être à la fois frappant et frappé
..ben mon colon..là c’est moi qui note
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tol%C3%A9rance
desjournées je n’ai jamais douté de votre plasticité jusqu’à l’élasticité à digérer ce type de contenu mais avouez qu’il est des circonstances où vous perdez votre sang froid et ce qu’on attendrait d’une femme érudite qui comme vous possède tant de classe reste comme momentanément ou durablement inaccessible, c’est une perte inestimable pour les humanités qui comme vous ont a déplorer la viduité de centaines de cerveaux qui pour vendre le fruit de leur matière n’en sont pas pour autant des phares (encore)des minarets des flèches qui brillent dans la nuit pour éclairer le campement de réfugiés que tous ou presque figurons en ce monde dévasté de l’édition tel qu’il se présente à ceux qui n’écrivent pas essais romans fictions compte-rendu de recherche réflexion philosophique scientifique théologique politique sociologique, recueil de poésie, biographie, etc etc
complètement désemparé ce matin le bougue-rototo, déjà
Scapin dit: 2 octobre 2014 à 9 h 22 min
à JC le Fourbe : tu sais ce qu’il te dit Reinhardt : « t’es qu’une grosse merde bâtarde et inculte »
Je retrouve dans cette citation toute la nullité romanesque de ce pauvre blablateur d’Eric Reinhardt qui m’a tellement ennuyé dans son dernier ouvrage, lequel n’est qu’une GROSSE MERDE LITTERAIRE !!!
Que fait la police ? Et bien vous voyez, elle amplifie, donne plus de corps, muscle le point de vue, affirme le jugement, violente les couilles molles, raffermit la mentule neuronale.
C’est tout de même mieux que « le dernier ouvrage de Reinhardt n’est qu’une grosse merde littéraire », tout écrit en minuscule, hein ?! C’est le Wanderer qui a, une fois de plus, raison mes petits choux !
bouguereau dit: 2 octobre 2014 à 9 h 41 min
..j’apparaitrais à l’improviss …
dit Latrino à ses disciples, enfermé dans ses gogues…
Erotisme du voile qui isole ? du hijab qui insulte ? du niqab qui soustrait au monde ? (JC)
Mais de quoi tu te mêles, connard ? Ta misérable connaissance de l’Islam t’autorise sans doute à porter des jugements de ce genre ? Tu as enquêté auprès des millions de femmes concernées, pour recueillir leur avis? Non ? Alors, aie au moins la pudeur de fermer ta sale gueule. Tu n’es qu’une chiennerie d’occidental confit dans ses préjugés. ça doit te faire chier, hein , immonde sous-merde, de croiser dans nos rues des femmes voilées, de plus en plus nombreuses. J’en croise moi aussi, chaque jour, j’en connais plus d’une, je les salue, je leur parle, on rit ensemble; elles ne m’ont pas l’air tyrannisées par leur mari ou leur père. Elles se voilent parce que ça leur paraît en accord avec leur foi. Alors enfonce-toi tes clichés dans le trou de ton cul, sale con.
Eric Reinhardt
JC, moins rien que la coiffure de Reïhnatarte, j’aurais pas acheté le bouquin. N’êtes pas prudent.
JC il devrait vous être interdit de faire de la contre publicité en revanche vous pourriez commettre une critique étayée du dernier ER. Aura-t-il été l’auteur d’un pamphlet ravageur et concernant votre dernière publication?
Artémise, ma vieille bique sèche, vous postillonnez des glaviots religieux fétides dans votre burqa !
Achtung ! …vous salissez le grillage qui pue votre haleine salafiste …. uhuhuhu !
alzépépère est déjà reparti, l’est cuit le bougue-rototo
oui, bérénice, vous avez raison, mais JC, en dehors des insultes, est incapable d’aligner deux mots intelligents à la suite… alors
Ma pauvre Contance,
Décidément ! maniatis la vicieuse raciste et hystérique, vieille peau de veuve noire inféconde, en veut à ma vertu.
Bérénice,
Je n’ai pas compétence à faire de la « critique étayée » ! J’en ai rien à foutre d’expliquer un plaisir littéraire, je ne suis pas du milieu…
Pour ce malheureux Reinhardt, la merde se reconnaît à l’odeur et son « L’amour et les forêts », c’est de la merde trafiquée pour les ménagères qui ont souffert de leur mariage raté et qui la dégustent à la petite cuiller !
Constance ! bonne journée.
Artémise, ma vieille bique sèche, vous postillonnez des glaviots religieux fétides dans votre burqa !( JC)
N’étant pas musulmane et encore moins salafiste, je ne me sens pas concernée par tes insanités, Duchemolle ! La tolérance, ça s’apprend et ça se cultive. A lire tes posts sur le voile ou sur les Palestiniens, on doute que tu saches seulement que ça existe.
« J’en croise moi aussi, chaque jour, j’en connais plus d’une, je les salue, je leur parle, on rit ensemble; elles ne m’ont pas l’air tyrannisées par leur mari ou leur père. Elles se voilent parce que ça leur paraît en accord avec leur foi »
….. pitoyable de bêtise, Artémimise ! ….
On perd l’essentiel
« La tolérance, ça s’apprend et ça se cultive. »
….encore plus beau ! décidément, elle a rien dans le crane, la vieille chèvre ….
JC quand bien même mais dans ce cas fournissez un listing de ce que vous considérez de la sorte, il en faut pour tous les goûts et les écrivains n’ont pas en ce monde vocation à édifier les foules, depuis le temps… Il a été retenu dans une des sélections pour un des nombreux prix qui achalandent la rentrée littéraire, je ne comprends pas pourquoi vous vous en prenez précisément à ce livre ci.
Bérénice, je l’ai expliqué, je le répète volontiers : j’ai cru, à tort, les conseils élogieux de Passou … il me le paiera en confiance perdue.
Et ce livre est vraiment mauvais ! Très mauvais ! Je n’ai jamais lu un livre aussi mauvais dans les dernières dix années de lecture, et j’en ai lu beaucoup… !
C’est simple à comprendre, un dégoût d’ouvrage, non ?
Merde aux belges, et vive la république de la france libre
Le Fazntome dre Mollahmesh reviendrait-il hanter ce blog?
Accord avec Fumaroli et W pour l’écrivain de second rang. Les livres du second rayon, disait Emile Henriot, qui s’y connaissait…
MC
VOUS AS UN ACCORD DANS VOTRE ASSIETTE DE POT CASSE
« De toute façon, le mot même de « censure » perd de sa substance dès lors que l’on veut bien lire en ligne. »
Encore faut-il donner l’exemple.
Première partie
Le chef-d’œuvre de la philosophie serait de développer les moyens dont la Providence se sert pour parvenir aux fins qu’elle se propose sur l’homme, et de tracer, d’après cela, quelques plans de conduite qui pussent faire connaître à ce malheureux individu bipède la manière dont il faut qu’il marche dans la carrière épineuse de la vie, afin de prévenir les caprices bizarres de cette fatalité à laquelle on donne vingt noms différents, sans être encore parvenu ni à la connaître, ni à la définir.
Si, plein de respect pour nos conventions sociales, et ne s’écartant jamais des digues qu’elles nous imposent, il arrive, malgré cela, que nous n’ayons rencontré que des ronces, quand les méchants ne cueillaient que des roses, des gens privés d’un fond de vertus assez constaté pour se mettre au-dessus de ces remarques ne calculeront-ils pas alors qu’il vaut mieux s’abandonner au torrent que d’y résister ? Ne diront-ils pas que la vertu, quelque belle qu’elle soit, devient pourtant le plus mauvais parti qu’on puisse prendre, quand elle se trouve trop faible pour lutter contre le vice, et que dans un siècle entièrement corrompu, le plus sûr est de faire comme les autres ? Un peu plus instruits, si l’on veut, et abusant des lumières qu’ils ont acquises, ne diront-ils pas avec l’ange Jesrad, de Zadig, qu’il n’y a aucun mal dont il ne naisse un bien, et qu’ils peuvent, d’après cela, se livrer au mal, puisqu’il n’est dans le fait qu’une des façons de produire le bien ? N’ajouteront-ils pas qu’il est indifférent au plan général, que tel ou tel soit bon ou méchant de préférence ; que si le malheur persécute la vertu et que la prospérité accompagne le crime, les choses étant égales aux vues de la nature, il vaut infiniment mieux prendre parti parmi les méchants qui prospèrent, que parmi les vertueux qui échouent ? Il est donc important de prévenir ces sophismes dangereux d’une fausse philosophie ; essentiel de faire voir que les exemples de vertu malheureuse, présentés à une âme corrompue, dans laquelle il reste pourtant quelques bons principes, peuvent ramener cette âme au bien tout aussi sûrement que si on lui eût montré dans cette route de la vertu les palmes les plus brillantes et les plus flatteuses récompenses. Il est cruel sans doute d’avoir à peindre une foule de malheurs accablant la femme douce et sensible qui respecte le mieux la vertu, et d’une autre part l’affluence des prospérités sur ceux qui écrasent ou mortifient cette même femme. Mais s’il naît cependant un bien du tableau de ces fatalités, aura-t-on des remords de les avoir offertes ? Pourra-t-on être fâché d’avoir établi un fait, d’où il résultera pour le sage qui lit avec fruit la leçon si utile de la soumission aux ordres de la Providence, et l’avertissement fatal que c’est souvent pour nous ramener à nos devoirs que le Ciel frappe à côté de nous l’être qui nous paraît le mieux avoir rempli les siens ?
à JC le Fourbe :mais, bordel, dis au moins POURQUOI tu détestes ce livre, POURQUOI, POUR QUELLES RAISONS, peux-tu le faire… sans doute non hélas car tu n’as rien dans le cigare, RIEN, RIEN DE RIEN
jc, vous verrez, un jour, vous me ferez confiance en ce qui concerne la littérature. Vous avez raison, et notre hôte à tort (je l’ai dit la première, d’ailleurs !) : le Reinhardt est mauvais, indubitablement. Et j’ai raison, tout aussi sûrement : vous êtes un individu nuisible et superfétatoire.
et encore quelques mots d’acidité avec le p’tit Court
Mais bien entendu, Artémise, aucun problème avec le voile : il ne recouvre que de gracieuses jeunes filles tout-à-fait consentantes et gaies, animées par la foi muslmane, sans aucune oppression là-dedans, ben voyons. Je vous conseille donc de filer directos dans les pays où la « loi islamique », c’est appliquer la charia (l’Iran, l’Arabie Saoudite, l’Irak, l’Afghanistan, le Pakistan, le Yemen, Oman et les émirats). Ce que vous allez rigoler, petite veinarde !
Obsession coprographique sur ce blog.
Mais attention, l’exemple vient de haut!
Eric Le Boucher, « Les saboteurs, Quand les politiques bloquent une France qui veut avancer » (2014):
« Ils ont maintenu le «modèle français» à coups d’impôts et de déficit. François Mitterrand s’est fait réélire en 1988 sur un programme «ni-ni», ni privatisation ni nationalisation, autrement dit, ni libéralisme ni socialisme, la France depuis n’a plus avancé.
Son successeur Jacques Chirac, après l’échec des tentatives d’Alain Juppé de réformer les régimes spéciaux de retraite en 1995, n’a plus jamais voulu toucher à rien. Surtout à rien! Un de ses ministres de la Justice qui proposait une nouvelle organisation m’a raconté les coups de fil du Président:
«Tu me fais ch… avec tes réformes. Arrête tout de suite! Et viens boire une bière.»
Je réclame la bière!
jc, vous verrez, un jour, vous me ferez confiance en ce qui concerne la littérature.
–
Ah ben celle là je l’encadre aussi. Ça m’en fait déjà deux.
Le voile comme tout uniforme est un embrigadement sociétal, même les culs nus sont tous différents!
Sinon, sur la Censure et comme bon exemple du fonctionnement intérieur du censeur, les Mémoires d’Hallays-Dabot,le nom ne s’invente pas, qui exerça son magistère sous le Second Empire, et qui y juge en outre ses prédécesseurs. Monument de l’ordre bourgeois pour qui les livres valent quand
« La mère en permettra la lecture à sa fille »
selon le fameux vers de Piron!
Bien à vous.
MC
JC le Fourbe : on voit ses limites, il se débine, il ne répond pas
Clopine Trouillefou, agitée du bocage… dit: 2 octobre 2014 à 10 h 38 min
Mais bien entendu, Artémise, aucun problème avec le voile
Artémise, c’est le triomphe de la volonté (hats off).
Les problèmes de société sont réductibles à une question d’attitude.
C’est bien utile dans une discussion, on peut dire ça:
« C’est votre avis, mais moi j’ai parlé avec une femme en foulard. Et j’ai ri ».
Après, il faut filer bien vite, pour que le murmure reste approbateur
(« Quelle ouverture… quelle absence de préjugés… une femme bien, Artémise »).
Il est là dans votre message de 10:32 votre immense défaut, Clopine ; le manque de mathématiques, l’absence de doute, la volonté de certitudes autoproclamées à toute force.
Vous avez, nous avons, raison pour ce torchon de Reinhardt. De la merde, décousue, mal foutue, un travail de vieille putain de chantier…
Un bon point pour nous deux ? une romance qui s’annonce ? Vous quittez Clopin qui couche avec la Guéguette, cette saleté de chèvre si douce, et vous le saviez, n’est ce pas ?! Et on s’aime … on se roule dans la boue normande…
Et pourquoi faut il que vous ayez raison à tout coup ? Quel besoin de sécurité, de reconnaissance de vertus qui sont mauvaises : vous devriez douter plus souvent de tout. De vous, d’abord !
Car vous vous trompez sur moi ! Vous comprendriez combien je vous aime, alors, combien je suis beau et intelligent … combien je vous désire lorsque j’admire votre coup de pelle en lifevest rouge, sur votre kayak si beau !
le garde-champete n’aime pas ce bouquin, parce qu’y a pas de photos dedans…puis y a beaucoup des mots avec 2 syllabes et parfois meme plus…
Tenez, ueda…Clopine aussi
« On ose déclamer contre les passions, on ose les enchaîner par des lois ; mais que l’on compare les unes et les autres; que l’on voie qui, des passions ou des lois, a fait le plus de bien aux hommes. Qui doute, comme le dit Helvétius, que les passions ne soient dans le moral ce qu’est le mouvement dans le physique ?[…] Les individus qui ne sont pas animés de passions fortes ne sont que des êtres médiocres. Il n’y aura jamais que les grandes passions qui pourront enfanter de grands hommes ; on devient stupide dès qu’on n’est plus passionné, ou dès qu’on cesse de l’être. Ces bases établies, je me demande de quel danger ne sont donc point des lois qui gênent les passions ? Que l’on compare les siècles d’anarchie avec ceux où les lois ont été le plus en vigueur, dans tel gouvernement que l’on voudra : on se convaincra facilement que ce n’est que dans cet instant du silence des lois qu’ont éclaté les plus grandes actions. »
Marquis de Sade.
Un mot de l’éditeur ?
Nos aïeux, pour intéresser, faisaient jadis usage de magiciens, de mauvais génies, de tous personnages fabuleux auxquels ils se croyaient permis, d’après cela, de prêter tous les vices dont ils avaient besoins pour le ressort de leurs romans. Mais puisque, malheureusement pour l’humanité, il existe une classe d’hommes chez laquelle le dangereux penchant au libertinage détermine des forfaits aussi effrayants que ceux dont les anciens auteurs noircissaient fabuleusement leurs ogres et leurs géants, pourquoi ne pas préférer la nature à la fable ? Redoutera-t-on de dévoiler des crimes qui paraissent faits pour ne jamais sortir des ténèbres ? Hélas ! qui les ignore de nos jours ? Les bonnes les content aux enfants, les filles de mauvaise vie en embrasent l’imagination de leurs sectateurs, et par une bien coupable imprudence, les magistrats, alléguant un très faux amour de l’ordre, osent en souiller les annales de Thémis. Qui retiendrait donc le romancier ? Toutes les espèces de vices imaginables, tous les crimes possibles ne sont-ils pas à sa disposition ? N’a-t-il pas le droit de les peindre tous pour les faire détester aux hommes ? Malheur à ceux que les tableaux de Justine pourraient corrompre ! Mais qu’on ne nous accuse pas ; quelque voie que nous eussions prise, ils n’en seraient pas devenus meilleurs : il est une sorte de gens pour qui la vertu même est un poison
Mais bien entendu, Artémise, aucun problème avec le voile (Clopine Trouillefou)
Mais de quel droit, chienne d’occidentale, te permets-tu de juger une culture qui t’es étrangère, que tu ignores et que tu ne comprends pas ? Décidément, sur ce blog, il y a quelques décapitations qui se perdent. Ah là là… bon, enfin, calmons-nous… Je me décapiterais bien un widergänger ce matin, je sens que ça me ferait du bien.
Reinhardt …Assouline a fait son gentil pour mieux nous le livrer tel une vierge effarouchée dans la fosse aux lions. Mœurs florentines de la (doublement défunte) rue Sébastien Bottin. les survivants s’entre-dévorent. Tous les coups sont permis.
Pas la peine de s’estriper pour ça.
Estripons plutôt le Latrino.
Artémise, la sainte dont on réclame la tête sur un plateau ne connait même pas ses classiques!
pour l’instant, Chaloux, alzépère le Latrino est k.O. debout, il est parti se recoucher, hihihi
Il s’agit bien de VOUS, Artémise!
Vieille chèvre d’Artémise, enfoirée de confessionnal, emburquée au préservatif, palpeuse d’amygdales externes, n’aurais tu pas, salope d’infidèle qui mérite le pal organique le plus conséquent, un frère connu sous le nom de : Marquis Eugène Onésifore de Jambrun-Prébois ?….
Artémise et JC le Fourbe : un beau couple, assurément
abdelkader dit: 2 octobre 2014 à 10 h 52 min
le garde-champete n’aime pas ce bouquin, parce qu’y a pas de photos dedans…puis y a beaucoup des mots avec 2 syllabes et parfois meme plus…
Riquiqui.
JB, ôtez cette sainte-coiffe, que je vous bise.
http://www.passionchateaux.com/ch_lacoste.htm
Je viens d’avoir une idée géniale : j’ai inventé une mini-machine à décapiter , façon Lego, avec des figurines à décapiter inspirées des JC, Clopine Trouillefou, Widergänger, bref toute l’engeance sioniste et anti-musulmane qui fleurit sur ce blog. J’y figure sous la forme d’une vengeresse voilée jusqu’au nombril, armée d’un cimeterre comac. Y aura même du sang (coulis de framboise, qu’on peut aspirer directement dans le corps de l’infidèle après décapitation. L’amusement des grands et des plus petits. Je compte commercialiser mon invention dans quelques pays du Moyen-Orient. L’entrée à Wall street ne devrait pas tarder.
« la femme, elle est tombée dans les escaliers »
J’exulte, j’enrage.
Et puis maigre salope, ça s’invente pas…
Et l’autre je me le coltine à coup d' »hé bein bon »…
Vieille putride, je te conseille la lecture des Livres Saints : ton âme – du mou pour les chats – est en danger ! On voit bien que tu es paumée, vieille peau ridée, à montrer tes ossements en actions, tes seins effondrés, ta gueule de dévote idiote, dans les couloirs désert du Centre Psychiatrique de Montfavet !
Artémise, malgré ce qui nous sépare intellectuellement, religieusement, palestiniennement, vous introduire en bourse serait plaisant, à dire vrai !….
On pourrait commercialiser dans la même entité les gode à Bougboug, votre Mini-décapiteur d’Infidèle, et pourquoi pas, inventer un dépuceleur de jeune fille entièrement automatisé, y compris musicalement ? Marre de cette corvée masculine…
Bien à vous !
(« business is business »)
Artémise et JC le Fourbe : ya de la brouille dans le ménage, ça sent le roussi pour les deux
« Je viens d’avoir une idée géniale : j’ai inventé une mini-machine à décapiter , façon Lego, avec des figurines à décapiter inspirées des JC, Clopine Trouillefou, Widergänger, bref toute l’engeance sioniste et anti-musulmane qui fleurit sur ce blog. »
( Artémise le 2 octobre 2014 à 11 h 10 min )
Ou vous voulez rire ou vous n’avez pas bien suivi.
Clopine Trouillefou est anti-sioniste, comme moi; c’est un de nos points communs.
Il fallait que cela fût dit.
Il a du écrire à Clément Rosset pour un canapé (prenez conseil de toute évidence)
manque plus que l’alzépère Latrino pour foutre son grain de… comme dab’
Marc (piège tendu à l’horizon?)
à l’évidence dit: 2 octobre 2014 à 11 h 27 min
Latrino révise sa latrinonomie au fond de la cour, veut être à la hauteur…
– Bon dieu, ce qu’on va aller se faire cuire un œuf maintenant
– oui
« Français, encore un effort si vous voulez être républicains »
(de qui est-ce ?)
Artemise, c’est Josette qui va être contente, tous les playmobils à la reinhardt sont HS. Le job est fait:
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Playmobil%C2%AE_en_vrac.JPG
Bientôt Marine Le pen, devenue notre « Grand Guide Éclairé » en 2017, fera le nécessaire pour rendre la France réservée aux Français de souche.
Nous sommes en train de préparer une alliance sacrée avec la Sainte Russie de Saint Vladimir Poutine. J’attends avec impatience le retour par la force de Saint Gérard D. et de tous les exilés fiscaux.
Lucien Rebatet, je pensais avoir fait déposé votre pseudo pour mon usage personnel. Je compte vous faire un procès, mon ami Mimi m’a donné l’adresse de son avocate. Elle est enfin revenue de vacances.
à dernières nouvelles de Latrino : ya du boulot pour l’alzépépère, l’est en perte de vitesse grave
ératoum: fait déposer
Dernières nouvelles de Latrino dit: 2 octobre 2014 à 11 h 34 min
à l’évidence dit: 2 octobre 2014 à 11 h 27 min
Latrino révise sa latrinonomie au fond de la cour, veut être à la hauteur…
Payé sans crédit…
à l’évidence dit: 2 octobre 2014 à 11 h 39 min
La latrinonomie est une matière (!) délicate qui peut facilement se retourner contre (ou sur?) celui qui en abuse.
sipien dit: 2 octobre 2014 à 11 h 39 min
boumoumou-latrino vient en suisse. L’odeur étant ce qu’elle est…
attention aux long tronçons en rentrant par la route, Ivilitch Pravda.
J’ai abusé d’un charme qui me dépasse : faux, pauvert me plaît pas.
(Allez, je vous dessine un radar pour vous plaire)
On dirait que certains pseudonymes sont utilisés par d’autres, soit pour les discréditer, soit pour leur prêter main-forte.
admettons.
le Latrino oh oh
il est pas bo oh oh
un peu bolcho oh oh
un peu facho oh oh
pas rigolo oh oh
une tête de veau oh oh
de jambonneau oh oh
de père Goriot oh oh
de bigorneau oh oh
c’est duconnaud oh oh
alzépépère le Latrino oh oh oh
« D. » (Deneb, etc), lepéniste incontinent, prête assistance à « j.c… » dont il écrit certains commentaires.
Ah ! Voilà la fragilité de mon esprit qui s’envenime
Il manquait à sa lettre quelques couleurs pastel.
Monsieur Lecote était son portraitiste attitré.
Le pauvre Latrino (boumou-bouguereau pour ceux qui suivraient pas) est vraiment très affecté par ce qui lui arrive.
Une blessure narcissique majeure.
Bouguereau insulté, Bouguereau, brimé, mais Bouguereau libéré* !
* des hyènes pseudo-lubriques, post-dactylographiques de la RdL
la grossiéreté de langage
hé connasse, les pétasses péplumesques sans couilles je leur dis merde..
Artemise, c’est Josette qui va être contente (Des Journées…)
Qui c’est Josette ? En plus je déteste ce prénom.
kicking dit: 2 octobre 2014 à 12 h 54 min
je leur dis merde..
Moi, je crois bien qu’elles te disent « mange ».
JC, boumou sera libéré… comme Le Havre…
oui bon, tu m’imagines me comparer à un mec de 70 ans ?….
oné6for ça c’est du gladiateur jicé..du lourd!..tu mets ta vie en jeux..ton âme même..moi je suis attaqué par des locdus..ha mon standing en prend un coup
Je suis sur le point de signer un contrat avec Playmobil pour ma machine à décapiter. J’ai prévu plusieurs séries, afin que chacun puisse se défouler suivant ses préférences : une série Flanby/Valls/Ségolène etc ; une série Sarko et un lot d’UMP / ; une série Le Clézio /Modiano/Ernaux/Houellebecq /; une série Onfray /BHL/Finkie/ (celle-là devrait faire un tabac) etc. etc. On pourra remplacer le coulis de framboise par du cognac, de la bénédictine etc. Je lance ça juste pour les fêtes ; ça devrait être le must de la Noël.
..mettons que keupu rime..c’est une thérapie..c’est bien mon keupu
bouguereau dit: 2 octobre 2014 à 13 h 03 min
Latrino, fait de la défense passive. Latrino est essentiellement passif…
…Le Havre…
Je suis sur le point de signer un contrat avec Playmobil
n’agis que pour le sport!..il a le pouvoir de te rendre beau..le commerce te rend laid..continue et tu vas avoir des avances de madame cheuloux la vraie
ho ma mère le sipien y prend mon scrétaire pour un tapis brosse..un torche cul! moi aussi je vais me faire payer..mais non non..je résiste!
bouguereau dit : « ..mettons que keupu rime..c’est une thérapie.. »
Si on dit « mettons que bouguereau rime avec flatulence », c’est pareil ?
Oulala !
Quel désordre !
C’est vrai le Boug’, il y a du laisser-aller dans le recrutement des gladiateurs ..
( Tiens, au hasard: notre luminosité albinoïde ..
Je me demande s’il ne cherche pas sa nouvelle Blandine .. )
Clopine Trouillefou est anti-sioniste, comme moi
et alors..torturer les amies dans sa cave pour siroter leur pleurs et obtenir des faveurs..on est sadien ou on l’est pas..
à demain rénateau..
Je me demande s’il ne cherche pas sa nouvelle Blandine ..
il est scatologue comme un bourrin a l’écurie..mais pour l’étalon sa prose vaut pas un horseradiche
bouguereau dit: 2 octobre 2014 à 13 h 14 min
il est scatologue comme un bourrin a l’écurie..mais pour l’étalon sa prose vaut pas un horseradiche
Critique « de style » effectuée par sous-couche merdoïde.
mais pour l’étalon
Le fait est qu’il ne doit pas avoir monté depuis très, très.. longtemps – s’en souvient même plus, le pauvre homme !
C’est magnifique ! Il y en a qui causent « torturer des amies dans une cave » (le parvenu des parvenus), et d’autre que plus modestement cherchent (conditionnel, peut-être) l’âme Blandine : la Blandine nouvelle est arrivée…
la prochaine fois quil hantera la rdl je ne manquerai pas de lui dire..quoique la russe en pijama..on dirait qu’off line il avait comme un regret..
Et dire que j’avais cru un temps qu’Artémise c’était Christiane !
Erreur sur toute la ligne…
le surmêle rénateau..le trol ultîîîîme
..tiens au fait rénateau..le troll ultime c’est quoi que je me présente avec un peu de conséquence
Bon, Clopine, tu nous la lâches ta cibiche?
renato dit: 2 octobre 2014 à 13 h 19 min
(le parvenu des parvenus),
le parvenu des parvenus à rien de rien
Erreur sur toute la ligne…
christiane va t’en coller une..double gaffe
mon scrétaire et rénateau faire alliance..? il vont s’poignarder dans ldos réciproquement..j’attends
Ta gueule, boumou, casse-toi de là… reste dehors…ripe…
« christiane va t’en coller une..double gaffe »
J’aimerais bien, verbalement s’entend, car je m’inquiète pour elle, le boug !
T’es pas au niveau, boumou, t’encombres, tu sens mauvais … Tu vas voir, de plus en plus de gens vont te le dire… Casse-toi…Mascotte de mes deux…
« le troll ultime c’est quoi que je me présente avec un peu de conséquence »
Le self-troll ? Imagine quelque chose comme le self-cleptomane de Picabia…
de quoi baroz..t’as pas son ipé ?
DEHORS BOUMOU!!!!!!!!!
..haaa c’est un compliment rénateau..petit cachotier
Le self troll c’est le troll de soi-même, autant dire le self contrôle, c’est plutôt bien !
moi c’est mon scrétaire qui m’inquiéte baroz..enfin pas trop..rénateau va bien s’occuper le lui
T’inquiète pas, Latrino, tout va bien.
Le Pauvert avait la tête à ça, comme disait ma concierge. La bonne bouille des pornos bavarois, années septante.
Degrelle n’est plus sous le manteau depuis que Littell en a fait des gorges profondes dans son « sec humide ».
Pauvert a voulu se faire Gobineau mais la couverture n’était pas terrible. Juste bon pour le vintage.
Non. Je ne suis pas anti-sioniste « comme Lucien Bergeret » : je n’ai tout simplement rien de commun, je ne peux avoir rien de commun, avec un sinistre troll, abject et lâche, comme lui. Merci donc de ne pas accoler mon pseudo au sien…
en tout cas Phil, Spectre de Gobineau de jean Gaulmier chez Pauvert, est un très bon livre.
Ah mais non, Chaloux, il faut savoir préserver l’équilibre instable ..
( au fait, dans le potée : combien de clous de girofle ? )
Et avec bouguereau, Clopine, est-ce que vous vous sentez des points communs?
En fait, c’était les années du flower Pauvert. Après, on est passés au Pauvert to the people, mais ça a moins bien marché…
Bon d’accord, je sors.
Daaphnée dit: 2 octobre 2014 à 13 h 39 min
Pas compris.
Une potée par 24°, pas commun…
On peut aussi lire ses nouvelles avec des notes du meme Gaulmier, en Garnier Jaune. Mademoiselle Irnois vaut le détour.
En revanche, Théatre terriblement daté, comme disait CP pour quelqu’un d’autre.
Bien à vous.
MC
oui Chaloux. mais je pensais à cette couverture jaune délavée pour un des Gobineau, qui seyait mal à la prose et pause du comte.
Bah, au début, (je l’ai déjà expliqué) le vocabulaire ordurier et les allusions sexuelles permanents de Bouguereau me paraissaient relever de cette sorte de « libération » qui s’est opéré dans les années 70 du siècle dernier, via Coluche par exemple.
Une sorte de provocation visant à dynamiter la bien-pensance : y’a des potes à moi qui sont comme ça, et si c’est drôle, pourquoi pas ?
Oui mais voilà. De même que la paillardise de Coluche a précédé la vulgarité de Bigard, de même je m’étais trompée sur la « truculence » du Boug’. Ce n’était ni drôle, ni vraiment provocateur : c’était juste ordurier, voilà tout.
Appeler une chatte une chatte, ça peut aider à sortir de la pudibonderie. Mais recourir à la pornographie comme moyen d’expression, désolée, ça ne passe pas par moi.
( Je réagissais à votre 13.32 .., Chaloux
Sinon, pour la potée .. 24° ? Oui, je ne sais pas ..
Je suis les conseils du Boug’, je cuisine en ce moment même ..
Je n’ai pas encore choisi le vin ..)
Mais recourir à la pornographie comme moyen d’expression
Surtout comme moyen de pression. C’est ce qui ne passe pas pour moi non plus.
Me fait toujours penser ce qu’a écrit Klemperer.
Il ne faudrait pas en faire tout un plat, Clopine. Le troll est utile… Déjà il donne à des gens sans imagination la possibilité de l’imprécation… et ce n’est pas peu de chose.
Pas de pb, Daaphnée. L’équilibre sera de moins en moins instable.
(Une potée avec ce temps, et du vin par là-dessus, ce n’est pas un menu, c’est une vengeance de femme…).
Vous
en arrivez à des extrêmes inutiles.
c’est une vengeance de femme…
Joli !
Mais je vous rassure, rien n’oblige à manger ou boire en quantité ..
renato, j’apprécie toujours vos ressources florentines. Et puis le veilleur de nuit est une figure émouvante…
sipien dit: 2 octobre 2014 à 13 h 55 min
c’est toi qui en arriveras à des extrêmes inutiles. Et là, crac!
Une odeur de boumou dit: 2 octobre 2014 à 14 h 00 min
sipien dit: 2 octobre 2014 à 13 h 55 min
c’est toi qui en arriveras à des extrêmes inutiles. Et là, crac!
Donc c’est moi qui et je tombe?
Oui, boumou, la troisième fois sera la bonne.
C’
e
s
t
a
u
p
ô
l
e
emploi que je devais m’inscrire
Recommence.
« Strange days », revu sur kat, mort d’ennui
avec Pauvert aussi
On est pas obligé de se poser des questions de zombies sur nos destinées.
Très dur, à vous.
« La première partie » est signée de qui? Zorro ou l’anonyme qui n’y tenant plus s’épancha sur la page blanche de son encre bienfaisante pour la prospérité, vous oubliez les guillemets, c’est un signe, les textes ont besoin de cerbères, la signature est une moindre chose mais indispensable à ce qu’il ne soit pas usurpés ou déclassés un peu comme ces migrants traités moins que des chiens par les polices du monde.
Et dire que j’avais cru un temps qu’Artémise c’était Christiane ! (Jacques Barozzi)
Chrstiane, c’est mon vrai prénom.
zaratustrâ
( au fait, dans le potée : combien de clous de girofle ?
Aucun pour ma part, des grains de coriandre lui donnent un croquant surprise délicat et inattendu qui ravissent l’invité mais je tombe d’accord avec chaloux, ce plat est déplacé par ces températures estivales, je vous croyais inappétente, cela vient contrarier l’idée qui importe peu d’ailleurs dans cette criée au marquis.
Hé oui ! les climats alentours
Ah, chaste bagnole, que ne m’attends tu pour que je parte
Victor Klemperer, Chaloux ? A propos de la pornographie du 3è reich, c’est cela ?
Pas de sa pornographie, de son langage. Tout ce qui use de près ou de loin des mêmes procédés me fait bondir. Le langage dont use boumou n’est ni plus ni moins qu’une tentative de prise de pouvoir. Il l’a dit lui-même, très naïvement quoique d’une manière atténuée, en s’auto-intronisant « mascotte ».
Ok avec Bérénice : pas de clous de girofle dans la potée. Multiplier les légumes anciens : panais, petit navet blanc, perso j’ajoute toujours un peu de chou de choucroute (à grosses côtes blanches). Or, tous ces légumes arrivent au jardin en novembre, comme par hasard…
Dans une période comme ce clément automne, et puisque les récoltes de pommes de terre sont effectuées, je préconise la purée de pommes de terre aux noisettes grillées.
Bon, évidemment, faut pas lésiner sur la calorie. Mais Daaphnée est (évidemment !) une sylphide, alors :
– bien cuire à l’eau les pommes de terre, les faire en purée avec de la crème et du fromage râpé. Sans aller jusqu’à la purée « moitié-patates, moitié-beurre », on peut vraiment réussir quelque chose d’onctueux et léger à la fois.
– se servir des noisettes du jardin, en les broyant au robot. Attention, faut faire très vite, sinon c’est de la poussière de noisettes, alors qu’il faut qu’elles soient plutôt en granulés.
– prendre un plat à gratin, mettre la purée dedans, répandre dessus les noisettes broyées, passer au grill.
Ca accompagne très très bien les côtes d’agneau.
Dans trois/quatre semaines, on pourra attaquer les potirons – pour les premières soupes de la saison, ça va être fameux.
(ce qu’il y a de bien avec un jardin, c’est que c’est lui qui dicte, en réalité, le menu. Suffit d’épouser son rythme. La potée, pas avant novembre.
t’y connais rin clocloche
Ingrédients (pour 8 personnes) :
– 10 carottes
– 5 navets moyens
– 1 gros chou vert
– 1 oignon
– 20 clous de girofles
– 1 bouquet garni
– 8 pommes de terre
– poivre en grain ou 5 baies
– 100 g de graisse canard
– 1 kg de palette salée
– 1 kg de petit salé
– 1 petit jambonneau
– 4 saucisses
– 5 navets moyens
boumou, faut dire, comme navet moyen tu te poses là
« Elles se voilent parce que ça leur paraît en accord avec leur foi »
c’est aussi par provoc des fois (on en voir de plus en plus, pas à pq bien sûr) ou pour obéir à des illuminés (trop sensibles pour ne pas succomber à la tentation des charmes de leur superbe chevelure et autres beautés de ces femmes) alors qu’aucun texte de leur livre ne les y oblige paraît-il
« Daaphnée est (évidemment !) une sylphide »
et une naine
quelqu’un a-t-il des nouvelles de Christiane complètement disparue, ici, chez Popaul et ailleurs… Jacques Barozzi, vous qui savez tout ?
le Latrino, l’alzépépère bougue-rototo est reparti faire dodo oh oh
http://www.marmiton.org/recettes/recette_une-potee-auvergnate_221229.aspx
Sur marmiton, ils disent 20 clous de girofle.
Daaphnée, allez directement sur marmiton, les copier-coller de boumou…
– 10 carottes
– 5 navets moyens
– 1 gros chou vert
– 1 oignon
– 20 clous de girofles
– 1 bouquet garni
– 8 pommes de terre
– poivre en grain ou 5 baies
– 100 g de graisse canard
– 1 kg de palette salée
– 1 kg de petit salé
– 1 petit jambonneau
– 1 saucisse de morteau
Il y’a deux ordres de raison, un besoin qui se crée, une ligne de tension qui se force. On peut à dessein savoir quel engin atterrit où et dès lors pourquoi pas le risque de passer pour un « frappadingue éberluée » pour un sujet qui aurait dû être réglé à la st glinglin.
Ensuite il y’a « ceux là eux qui ont eu l’idée moi », qui la défendent et qui l’obtiennent – Les décideurs, ils ne sont pas là, sauf votre respect -, leur jaillissement intellectuel.
C’est bien aux propriétaires de parler des changements. On dit, par avance, nous ne sommes pas concernés. full stop.
Christiane complètement disparue
Y paraît qu’elle s’est noyée dans le bênitier après l’annonce éhontée des obsèques de Wiwi à vélo
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