Pour saluer Pierre Ryckmans et Simon Leys
On commettrait une erreur de jugement en ne voyant en Simon Leys qu’un grand sinologue. Ou uniquement l’expert qui a pourfendu les illusions meurtrières des maoïstes occidentaux. Ou le lanceur d’alertes des China watchers. Celui qui vient de disparaître à l’âge de 78 ans des suites d’un cancer était tout cela, bien sûr, mais c’est celui qu’il était en sus et au-delà de ces qualités de spécialiste qui nous manquera. Entendez : un intellectuel d’une remarquable tenue intellectuelle et d’une rare exigence morale. De ceux qui mettent leurs actes en accord avec leurs idées, espèce en voie de disparition. Quelque chose de voltairien en lui dans l’ironie, la causticité, la férocité parfois, la curiosité toujours. Ses prises de position, appuyées sur une connaissance tant des textes que du terrain jamais prise en défaut, étaient gouvernées non par l’idéologie mais par sa conscience d’intellectuel, d’une rectitude parfois métallique.
Elevé au sein d’une grande famille belge, fils d’un sénateur et échevin, neveu d’un spécialiste d’épigraphie arabique, orné en droit et en histoire de l’art à l’Université catholique de Louvain, Pierre Ryckmans, son identité à la ville, avait découvert la Chine à 19 ans lors d’un voyage d’étudiants belges en délégation durant un mois. Quelques années après, il se mit à les étudier, langue, littérature, art et civilisation, au cours de longs séjours à Singapour, Taiwan et Hong-Kong. Pour n’être pas blacklisté en Chine, et espérer y retourner aussi souvent que possible afin d’y étudier « sur le motif », il avait, dès son premier essai sur Les habits neufs du président Mao publié en 1971 à l’instigation des situationnistes de Champ libre, adopté le pseudonyme de Simon (comme l’apôtre Pierre à l’origine) Leys (comme le personnage de Victor Segalen, mais aussi en hommage à un peintre anversois, comme le révèle Philippe Paquet dans sa nécrologie de la Libre Belgique, la plus complète qui lui ait été consacrée).
Las ! Il s’en trouva parmi les intellectuels maolâtres (la bande de la revue Tel Quel), dont il avait dénoncé l’aveuglement dans un pamphlet, pour le dénoncer, lui, mais autrement, dans un registre plus policier, en diffusant sa véritable identité. L’intelligentsia, à l’époque largement dominée par une gauche qui avait encore du mal à juger les totalitarismes communistes, ne lui pardonnait pas son entreprise de démythification de la Révolution culturelle, ne pouvant s’empêcher d’y voir la main de la CIA. Aux intellectuels occidentaux qui se laissaient berner par la propagande chinoise, convaincus de sa qualité de révolutionnaire et de culturelle, il martelait qu’en réalité ce n’était qu’ « une lutte pour le pouvoir, menée au sommet entre une poignée d’individus, derrière le rideau de fumée d’un fictif mouvement de masses”. Leur aveuglement le stupéfiait. Ce qui ne fit qu’augmenter l’ire de ses détracteurs. Cela avait plutôt pour effet de dynamiser son esprit iconoclaste, d’autant que, dans ces moments-là, rien ne lui importait comme une certaine idée du primat du politique, puisé dans sa lecture passionnée de l’oeuvre de George Orwell.
Piqué au vif, il poursuivit dans la même veine avec Ombres chinoises (1974) et Images brisées (1976), n’hésitant pas à croiser le fer aussi souvent que nécessaire. Traîné dans la boue par une certaine presse de gauche, notamment par Le Monde, il fut soutenu dès le début par des intellectuels tels que Etiemble et Jean-François Revel, lequel préfaça par la suite la réédition d’un volume de ses grands essais chez Bouquins/ Laffont. Le grand public découvrit la vigueur de son esprit critique lors d’un « Apostrophes » d’anthologie au cours duquel, faits, dates, noms, chiffres, arguments à l’appui, mais sans cuistrerie, il étrilla calmement mais implacablement la communiste italienne Maria-Antonietta Macciocchi dont le livre De la Chine s’écroula dès le lendemain en librairie, et dont la réputation ne se remit jamais de cette exécution en direct :
« De la Chine, c’est … ce qu’on peut dire de plus charitable, c’est que c’est d’une stupidité totale, parce que si on ne l’accusait pas d’être stupide, il faudrait dire que c’est une escroquerie”
Puis il revint à ses chères études, toutes d’érudition, sur la poésie chinoise notamment qu’il connaissait de l’intérieur pour la pratiquer. Il y a deux ans toutefois, dans le Studio de l’inutilité, le pamphlétaire se souvint de ce phénomène dont il ne se lassait pas de s’étonner, à savoir la cécité des Sartre, Foucault, Barthes, Kristeva, Sollers, alors qu’une partie d’entre eux avaient séjourné en délégation d’intellectuels invités en Chine en 1974 tandis qu’une purge sanglante s’y déroulait. « Une erreur de jeunesse » commentera Sollers plus tard en espérant n’avoir plus à y revenir.
Il enseignait la pensée chinoise dans des universités australiennes depuis les années 70 sans se limiter à la production de pamphlets politiques ; son œuvre de traducteur, non professionnel mais assidu, témoigne d’une authentique vocation de passeur avec ce que cela suppose de générosité ; Les Propos sur la peinture du moine Citrouille-amère de Shitao, penseur du pinceau et disciple de la grande pureté, lettré du XVIIème siècle auquel il consacra sa thèse, que Pierre Bérès avait tenu à publier chez Hermann en 1984, demeurent un souvenir puissant dans la mémoire de ses lecteurs d’alors. Mais sa curiosité dépassait son univers de prédilection, sa passion de la mer lui ayant permis par exemple d’exhumer, tout aussi inoubliable quoique de portée plus modeste, Deux années sur le gaillard d’avant (1990) de Richard Henry Dana. Grand lecteur tous azimuts, critique littéraire sans concession d’autant qu’il vivait loin de tous les milieux littéraires possibles, il assurait n’avoir jamais aussi bien lu qu’en Australie, même s’il enseignait à l’université, car là-bas, disait-il, il avait le temps. Quand il s’emparait d’un classique, comme il le fit du Quichotte, c’était pour le revisiter de fond en comble et lui consacrer cinquante pages dans l’espoir d’enrichir notre intelligence de l’oeuvre. Cette mise à distance encourageait également un humour et une ironie qui lui faisaient souvent tourner en dérision non le sérieux mais l’esprit de sérieux.
Un jour, il y a longtemps, de passage à Paris, il avait demandé à un ami commun à me rencontrer. J’en étais flatté en me demandant bien ce que je pouvais lui apporter. Peut-être par rapport à la biographie de tel marchand de tableaux car je savais qu’il avait rêvé d’être peintre et qu’il refoula cette vocation. Dès le début du dîner, nous évoquâmes son compatriote Simenon, sur qui je n’avais encore rien écrit, et à l’œuvre duquel il vouait une admiration sévère et critique, comme en témoignera son discours devant l’Académie royale de Belgique lorsqu’il fut élu au fauteuil du romancier. Mais tel n’était pas son objet.
Il avait écouté toute une semaine sur France-Culture un « A voix nue » que j’avais fait avec Antoine Blondin et voulait partager sa passion pour cette prose lumineuse et généreuse, ses éclairs de joie enivrée et ses mélancolies les plus sombres. Il était ravi de trouver quelqu’un avec qui s’enchantait toute une soirée de Monsieur Jadis et de Un singe en hiver, romans dont il pouvait réciter des pages avec un rare bonheur dans le regard et une passion intacte pour la langue française dès lors que sa littérature faisait chanter la poésie en elle. Alors Simon Leys redevenait Pierre Ryckmans sans que jamais l’un n’ait porté ombrage à l’autre.
(« Simon Leys en 1994 » photo William West et dix ans avant, photo Reporters)
1 047 Réponses pour Pour saluer Pierre Ryckmans et Simon Leys
Je ne sais rien à propos de Marc Court, mais Paul Edel a quand même décroché le Goncourt, il a donc fait quelque chose de sa vie…
Si vous saviez comme je m’en tape de votre compassion ma pauvre Clopine ! Vous n’êtes pour moi qu’un objet de risée. Rien d’autre.
Widergänger dit: 14 août 2014 à 11 h 32 min
Dans les dents selfiette
Oui, il a décroché le Goncourt avec un roman de merde sur Brecht et les femmes. C’est à pisser, son roman. Typique du genre prix Goncourt. Bon pour les poubelles de l’histoire littéraire. Ça en dit autant sur le lauréat que sur ceux qui l’ont lauré. Aussi médiocres les uns que l’autre ! J’ai horreur de la médiocrité. Je ne supporte pas, c’est physique.
De tempérament, de goût, de pensée, je me sens très proche de Thomas Bernhard. C’est l’écrivain avec lequel sans nul doute je me sens le plus d’affinité. Et puis quelqu’un comme Kleist aussi. Je me sens très proche de sa façon d’être à Kleist. Sa conception du théâtre aussi me fascine, si j’écrivais du théâtre c’est le théâtre kleistien qui m’inspirerait, un théâtre de marionnettes. J’y pense d’ailleurs…
Par curiosité, allant jeter un œil sur les clopineries, j’ai repensé aux toilettes paysannes merdiques, collectives, sales, en plein centre de Beijing. Puanteurs.
Il semble que cette dame n’ait pas le sens du ridicule.
« J’ai horreur de la médiocrité. Je ne supporte pas, c’est physique ».
Même remarque que précédemment! Prudence avec l’autoflagellation!
Enfin, j’ai bien dit « il a donc fait quelque chose de sa vie » ou pas ? mais les nuances ! les nuances !
renato dit: 14 août 2014 à 11 h 55 min
Bravo toto.
« De tempérament, de goût, de pensée, je me sens très proche de Thomas Bernhard. » Widergag
Vous m’en direz tant !
Widergänger dit: 14 août 2014 à 11 h 56 min
ma pauvre Clopine ! Vous n’êtes pour moi qu’un objet de risée. Rien d’autre.
Celle-là je la garde.
Prudence avec l’autoflagellation!
C’est vrai qu’un mec regardant dans le vide comme dans son miroir…
Widergag, vous êtes une sorte de ridicule Narcisse qui contemple son reflet dans l’eau excrémentielle d’une mare aux canards.
« Typique du genre prix Goncourt. Bon pour les poubelles de l’histoire littéraire. Ça en dit autant sur le lauréat que sur ceux qui l’ont lauré. Aussi médiocres les uns que l’autre ! » (Wider)
Les raisins sont trop verts…
Widergänger dit: 14 août 2014 à 11 h 59 min
Quand tu veux faire con Mimi tu ne t’arrêtes pas au bord du trou, tu creuses très très profond, au risque de t’engloutir.
Marc Court, Paul Edel, ueda, Bloom nous donnent souvent des commentaires intéressants, renato. Vous aussi si vous étiez un peu moins paresseux ou un peu plus généreux. ML, il pourrait être passionnant, mais hélas il ne sait pas contrôler ses émotions : vient toujours le moment où, après avoir bien monté, le soufflet retombe lamentablement. Comment faire confiance au jugement, à l’analyse, de quelqu’un qui un jour crie au génie à propos du dernier roman de Paul Edel, puis le lendemain le traite de merde ?
Si vous saviez qui est ST, vous seriez surpris.
Widergänger dit: 14 août 2014 à 12 h 03 min
De tempérament, de goût, de pensée, je me sens très proche de Thomas Bernhard.
Au moins un point commun avec Paul Edel.
Pour insulter clopine, ou quiconque d’ailleurs, merci de ne pas user du nom Simon Leys, c’est lui faire offense.
Trop verts pour vous ! Trop mûrs et déjà pourris pour moi…! C’est ce qui fait notre différence.
Merci d’avoir la correction de ne pas utiliser le pseudo Simon Leys.
L’échange entre Phil et Widergänger me fait penser qu’une espèce d’Atlantic City croulant sous sa dette publique, presque déjà en ruines, qu’un Detroit dont tous les trottoirs changeraient de pavés pour éviter de se croiser sur les bitumes du présent déchaussés par l’effroi du passé, qu’une sorte de grande Ostende délabrée (enfouie sous les sables du Taklamakan Shâmô), c’est peut-être un peu ce que représentait, pour Pierre Rickmans, l’Empire du milieu du bonheur pour tous empoussiéré par le tartre invisible qui suintait des dents du sourire blanc impeccablement énigmatique du gros Mao, affiché partout. L’éternel bel aujourd’hui de sa « Chine intérieure » demeurait intact, comme une momie de Tarim. C’était une « Chine de l’esprit », celle léguée par Pound dont Leys a entretenu le foyer en quelque sorte (c’est en partie lui qui a infléchi le balancier en sa faveur lorsque la philologie officielle faisait des gorges chaudes de ses traductions, « inspirée par les étiquettes de paquets de thé et copiées depuis les inscriptions gravées sur des théières en cuivre », comme le dit avec humour un autre gars célèbre.) Je pense que les leaders politiques actuels (et leurs petits Princes rouges qui attendent sagement leur tour), ceux qui détournent les fleuves pour abreuver une industrie métallifère toujours auss dépensière (19 m3 d’eau pour produire une tonne d’acier, presque dix fois plus qu’en Europe ou aux States), en ont conscience, le Grand Shrink en arrière de la révolution culturelle les tenaille toujours (l’état chinois rachète à prix d’or tous les vestiges de leur glorieux passé artistique sur les marché privés des antiquités, vases, porcelaines, statues.) Posée sur le sol la Pierre de jade rit de l’immense legs que Simon laisse.
Non, rien ne peut me surprendre. ST je le connais très bien. J’en ai rencontré des dizaines par ici. Tous sur le même modèle. Rien de nouveau sous le soleil. Comme le dit si bien Simon Leys : Un pommier donne des pommes, un con pond des conneries. La preuve : lisez ST.
« quelqu’un qui un jour crie au génie à propos du dernier roman de Paul Edel, puis le lendemain le traite de merde ? » (Barozzi)
Vous avez raison, Jacques. Mais maints commentateurs ont trouvé génial votre Goût de Montpellier et vous vous prennent néanmoins pour une merde.
Tu parles, Charles. Ca prend dix minutes à tout casser, d’écrire un article sur un blog. Sauf, évidemment, si l’on se prend pour le nombril du monde, et qu’on en passe par l’alpha et l’omega de son savoir copieusement étalé…
Ah ben tiens, ça me rappelle quelque chose…
L’Œil dit: 14 août 2014 à 12 h 12 min
Si vous saviez qui est ST, vous seriez surpris
plein de barons nouveaux riches qui n’ont pas encore appris à perdre
jicévédé il ne perdra jamais!..non faut leur mettre les poings sur les hi
Eh bien, il manquait quelque chose à ma description : à l’intérieur des armoires ventrues de W., on ne trouve, finalement, que des confitures moisies, des restes desséchés et d’aigres conserves. Doit peut-être y avoir, au fond d’un placard sentant le vieux fromage, un cadavre abandonné : la jeunesse généreuse qui a bien dû habiter W. (au moins, on peut l’espérer).
Parce que je voulais être sympa avec ce brave Paul Edel. Bien mal m’en a prit ! Son dernier roman est aussi nuls que les précédents. Ça vous va comme explication. Vous voyez, je suis moins méchant que j’en ai l’air…
Ca prend dix minutes à tout casser, d’écrire un article sur un blog.
Pas sûr que « ton hôte » soit d’accord, Clo.
A moins que tu ne sous-entendes qu’il les torche…
xlew.m dit: 14 août 2014 à 12 h 15 min
Bendidon ma Bobine, tu nous manquais.
J’espère que tout va bien.
Clopine, votre besoin d’aigreur coule entre vos membres…
Non, je n’ai jamais été généreux avec les connasses de votre genre, Clopine ! Jamais. J’ai au contraire toujours été atroce.
le Grand Shrink en arrière de la révolution culturelle les tenaille toujours
c’t’a dire le libéralisme a gagné tant de thune avec eux et a mis au pas tant de prolo..que faudrait que ça dure encore un peu..mais voilà on sait qufaudra s’arréter et dire au bon moment qu’ils ont la rage..mais quand
à Baroz : mieux vaut mal contrôler ses émotions que de ne pas en avoir du tout comme chez ce MCourt
Les fautes d’orthographe de Widergänger créent un malaise.
Même bouguereau a les cheveux qui se dressent.
Ca prend dix minutes à tout casser, d’écrire un article sur un blog
faux..évidemment on est tellement saturé des cliché de la facilité que ça sra toujours à la fellation dans l’izi
« Si vous saviez qui est ST, vous seriez surpris. »
Tout le monde s’en fout, je crois.
…
…c’est trop bien connu,…que c’est sur le négatif » inversé » de la photo ( à couches de gélatine argentique ),…
…que l’on opère les corrections utiles, pour un rendu parfait aux parfums adéquats,…
… et qui nous finalise le positif de la photo » bon à tirer sur le banc de la reproduction « ,…
…
…pas de quoi en faire un traité des blanches,…avec des chartes des couleurs,…pour chaque saison,…
…
…vous changer de métier en berne,…qu’à cela ne tienne, la passion humaine enrichir son homme,…
…les processus des corporations en place,!…une technique de reproduction,…
…
…
…mais, disait!il, le fin connaisseur,…
…avec toutes ces couleurs sur tes tableaux,…et les seuls mélanges aux quatre couleurs,…en héliogravure,…
…ou mêmes avec la technique lithographique à plusieurs passages en nombres comme des estampes japonaise,…
…jamais, le rendu imprimé ne vaudra l’original,…
…
…et, toute ces bibles à Gutemberg,…plus vrais que l’original,…à ce partager en groupe,!…
…
…mon profit,…la culture, l’administration,…des sermons, des scénarios aux jouissances en bières,…la garantis,!…
…
…les rénovations,…les nouvelles bonnes aux nettoyages aux lasers,…la restauration,…mes poupées,…à Fanto’miss – glamour,…corsés,!…
…
…quand le vin est tirer, il faut en boire,…Oui,!…mais alors, juste une goutte,!…voilà,…même pas deux doigts,!…
…Ah,!Ah,!,…Bip,!Bip,!…etc,!…
…
« Il y a toujours plus d’herbage pour le philosophe dans les vallées de la bêtise que sur les hauteurs arides de l’intelligence »
Baroz de toute façon, c’est un pauvre diable, qui croit réinventer le reader digest…! Tu parles…
(19 m3 d’eau pour produire une tonne d’acier, presque dix fois plus qu’en Europe ou aux States)
le métal était une obsession du grand bon en avant..je crois que la mère suyin dans le lien de zouz a bon : c’était à la recherche d’un modèle économique, le grand bon en avant qui marche c’est maintenant? hurkurkurkurkurk..ou qu’il est le ryckmans?..hurkurkurkurk..
ueda dit: 14 août 2014 à 12 h 15 min
Reprends, mon enfant.
Même bouguereau a les cheveux qui se dressent
comme phil!..(spector)
bouguereau dit: 14 août 2014 à 12 h 26 min
petite merde de keupu
bouguereau dit: 14 août 2014 à 12 h 26 min
ferme la raclure de keupu.
lever des foules en jouant le difficile.. non mais quel chochotte..
…
…la classe,… » en attente de modération « ,…
…
…une collection,…combien,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
l’immense legs que Simon laisse.
—
Pas mal… Ses très longues jambes le menaient effectivement très loin.
Pierre Rikcmans dit: 14 août 2014 à 12 h 13 min
RYCKMANS … Commencez, mon ami, mon frère, a écrire correctement mon nom avant de regimber, puis lisez moi, et vous verrez que je resterai vivant longtemps.
Vous, hélas, ML, vous seriez plutôt de genre reader indigeste !
Jacques Barozzi dit: 14 août 2014 à 12 h 56 min
Vous, hélas, ML, vous seriez plutôt de genre reader indigeste
Un reader indigeste est beaucoup moins gênant pour nous tous ici qu’un writer illisible.
J’ignore si le commentateur nommé Widergänger m’apprécie. Peut-être n’a-t-il rien lu de mon ouvrage ?
« Peut-être n’a-t-il rien lu de mon ouvrage ? »
Pas la moindre ligne, sinon vous le sauriez.
Moi aussi j’ai eu le prix Goncourt. Et voyez comment on me jalouse et m’envie.
En quelle année, Dened Star ?
1984, sauf erreur de ma part. Ça fait un bail.
Vous êtes donc l’Amant mort de Marguerite Duras, Dened ?
Qu’est-ce que c’est que ces balivernes, Jacques ?. Vous auriez décider de me ridiculiser vous n’auriez pas trouvé mieux.
Et d’abord je suis DeneB, pas Dened.
Il s’agissait du Goncourt des Cantalou, qui m’a été décerné le 28 novembre 84 à Aurillac. C’est ce qui m’a permis de monter à Paris.
« Et d’abord je suis DeneB, pas Dened »
Je rectifie le palindrome de votre double identité D.D.
Je sais que vous jouez aussi le rôle de mon trol favori. Vous ne changez jamais le disque rayé ?
Là j’ai pu faire la connaissance d’un autre jeune premier, un certain Bouguereau, qui, affalé devant un demi à une terrasse de café m’a reconnu et hélé.
Dened
D. encadrant la « ene », tout à la fois Dieu et Diable
hélé ?
Vous voulez dire enculé !
« De tempérament, de goût, de pensée, je me sens très proche de Thomas Bernhard. C’est l’écrivain avec lequel sans nul doute je me sens le plus d’affinité. Et puis quelqu’un comme Kleist aussi. Je me sens très proche de sa façon d’être à Kleist. Sa conception du théâtre aussi me fascine, si j’écrivais du théâtre c’est le théâtre kleistien qui m’inspirerait, un théâtre de marionnettes. J’y pense d’ailleurs… »
N’en faites rien WG, vous feriez de l’ombre à sa mémoire.
Je ne voudrais pas qu’on revienne sur le passé car je suis au fond un sentimental qui pleure facilement et là déjà j’ai les yeux rougis.
« Soufflet » ou « soufflé » Baroze…il faudrait savoir.
Mon roman s’appelait « La gloire des Arlatan ». Il est épuisé depuis belle lurette.
ou plutôt engodeceinturé, car y a longtemps qu’il bande plus, le boug.
Ami, entends-tu ces grognements porcins en provenance d’une terrasse de Monmartre : silence, c’est ML qui fait sa sieste.
Non seulement je l’ai lu, le grand Simon, mais je le cite dans mon article paru dans L’Info littéraire à destination des profs. Ce qui m’intéresse chez lui essentiellement, ce n’est pas les écrits politiques. Mais la culture chinoise, la grande culture chinoise où je me suis plongé il y a quelques années, la littérature, la pensée chinoise, la peinture chinoise, le taoïsme, y compris à travers les bouquins de Max Weber mais surtout le gros bouquin paru chez Gallimard sur le taoïsme. La culture chinoise est fondée sur l’harmonie, dit François Cheng. Mais aussi sur l’idée que le monde demande à être complété par l’homme. Et ça c’est profondément juif. Mais autrement, je sais que je suis un occidental et pas du tout un oriental.
« Soufflet » ou « soufflé »
Les deux en un : ça retombe au fond du plat et ça lui pète à la gueule en même temps, closer !
Jacques Barozzi dit: 14 août 2014 à 13 h 38 min
Mais quel burne ce pipilet.
Jacques Barozzi dit: 14 août 2014 à 13 h 44 min
Je sais que vous jouez aussi le rôle de mon trol favori
Ah mais non, je revendique moi.
Il se réveille en pleine forme : la pensée chinoise = la pensée juive !
Oui, mais qui fait la poule et qui fait l’oeuf, ML ?
« Ce qui m’intéresse chez lui essentiellement, ce n’est pas les écrits politiques. » W
On s’en serait légèrement douté…
En conclusion, continuez allègrement à militer pour un monde où n’importe quel connard pourra vous dire « t’aimes ça salope »…
En résumé c’est l’histoire d’un petit garçon qui part chercher des champignons sous les sapins, qui remplit tout un panier de beaux petits cèpes d’été et qui rencontre des lutins qui veulent faire un deal avec lui : s’il leur donne ses champignons ils lui révèleront le grand secret des lutins, sinon ils le changeront en un personnage hideux, obèse grincheux et barbu, et con comme ses pieds par dessus le marché.
Puis une fée nommée Bérénice, s’étant apitoyé du sort de ce jeune enfant somme toute innocent, le transforme d’un coup de baguette magique en un grand blond bronzé et athlétique, puis lui dit : va-t-en, retourne chez tes parents, et surtout ne dit rien de tout ce qui s’est passé.
Jacques Barozzi dit: 14 août 2014 à 13 h 48 min
Fin, subtil, pas étonnant que Clopine passe ses après-midi avec lui.
« Oui, mais qui fait la poule et qui fait l’oeuf, ML ? »
Des confusionnistes de cette envergure ne se posent pas même ce genre de question, voyons !
Euh, en conclusion de quoi, Mme Michu ?
« va-t-en, retourne chez tes parents, et surtout ne dit rien de tout ce qui s’est passé. »
Et tandis qu’il se met en route, il est soudain hélé par le boug…
…
…un prix » Con-court « ,…tout les jours,…
…
…le parachute doré aux Bourses des » miss » en cours,!…
…
…en avaler en ris-tourne ses croissants du jour,…à nos Béguins aux Lauren’s,…Bancall les mises en plis de nos » Con-court’s » roquettes aux dis-amants,!…
…à nos durs de la feuilles, dont moi-même m’est égarer le gland,…une tarte de chêne à grands glands,!…
…vous chausser du combien,!…pour une mise en plis en bière,…à deux poids,…deux mesures,…
…le code Lombard des Con-court,!…
…plus c’est haut en jambe, & plus c’est court,…à l’humour des shampooings en court,!…biodégradables,…au cours d’Ô,…
…inutile d’en rire c’est plus sérieux que la panse,!…altruiste en laisse,!…
…pas de traité d’analogie en cours,!…
…juste me mettre à rire, pour rien,…
…la totale des cons à me mettre en plis,!…l’averse écossaise,!…à la mode,!…
…etc,!…
ST dit: 14 août 2014 à 14 h 03 min
Des confusionnistes de cette envergure
Vous parlez bien de Jacques Barozzi là ?
« Vous parlez bien de Jacques Barozzi là ? »
Non, de Widergang.
J’ai évidemment plus d’estime pour Barozzi.
« il est soudain hélé par le boug… » (autocopyright)
C’est là qu’entre en scène le tronc d’arbre de l’abbaye de Lagrasse. Pas besoin de dessin !
Moi je suis plutôt un contorsionniste qu’un confusionniste, trolinet, tu veux voir tâter de mon envergure ?
Barozzi, vous êtes un contorsionniste très stoïque, un modèle pour nous tous !
« J’ai évidemment plus d’estime pour Barozzi. »
Vous me flattez, ST, d’autant plus qu’il parait que si l’on savait qui vous étiez on serait fort étonné !
Oh non ! Barozzi… Il n’y a pas plus anonyme que moi !
Ce n’est même pas la peine de vous dire des trucs intelligents et profonds, vous tournez tout en dérision. Autant se taire.
Vous n’aurez jamais que l’estime des pauvres en esprit, mon pauvre Baroz ! Que D.ieu vous protège de la vérité !
ST dit: 14 août 2014 à 14 h 09 min
J’ai évidemment plus d’estime pour Barozzi.
Je me disais bien que ce Dupont était d’une stupidité rare.
Jacques Barozzi dit: 14 août 2014 à 14 h 14 min
tu veux voir tâter de mon envergure ?
Te vante Jacky, le boug le dit toujours, sans gode-ceinture tu n’es rien.
« Autant se taire. » W
Vous ne tenez pas vos promesses !
se taire ou aller au cinéma ?
Allons voir le film chaudement recommandé par Sophie Avon : la bande annonce vue en salle avait l’air bien gentillette mais son article donne envie !
http://larepubliqueducinema.com
« J’ai voulu etre sympa avec ce brave Paul Edel »
Clopine est un modèle d’exactitude et d’impartialité en face de ce monument de Mauvaise Foi . Vouis avez léché au delà du supportable les pieds d’Opitz,balancé sur son blog une analyse niveau lycée d’un passage de son roman, remis le couvert avec le dernier opus. Vous avez » la sympathie longue, Ml, malgré les apparences.
« Ces Cons de PE et de MC . Mes analyses portent, et ils le savent »
Comme dit l’autre, faudrait savoir.
Ou nous le sommes, et ne pouvons saisir par définition l’ampleur de vos réflexions. Ou nous ne le sommes pas, et nous nous en rendons compte.
Dans les deux cas, le qualificatif est inapproprié.Vous avez saisi?
Pour le reste, il se peut que PE-pardon de parler en son nom- et moi-même développions avec le temps une certaine allergie à l’encontre d’un Danube de la Pensée autoproclamé.Cela rappelle quelques souvenirs de l’Est, et pas les meilleurs. Vous ne nous en voudrez pas, j’espère?
Bonne journée.
MC.
PS
Si vous n’existiez pas, il faudrait vous inventer. C’est peut etre déjà fait, d’ailleurs…
Oui, on me l’a toujours. M. Alba vous êtes trop bon ! On me le dit sans arrêt. Mais on ne se refait pas.
Clopine, je t’aime!
http://writerpictures.photoshelter.com/gallery/LOUIS-Edouard/G0000xh3kxBNWrpU/C00002lsEuimz.WE
( Baroz patouche!)
Enfin, un anniversaire : Georges Prêtre :
Ben c’est surtout que Jacques Barrozi possède ce qu’un M. Court ou un W. n’auront jamais, et qu’en anglais on nomme « sense of humor » ; les deux autres, je les renvoie dos à dos dans les couloirs de la pédanterie, où, accrochés à leurs patères (austères) (*), ils continueront à croire qu’ils regardent le monde de haut.
(*) : eh oui, chez moi, la patère est austère et l’ibère, rigoureux.
… Et les promises ? Cuitées.
On ne savait pas MCourt contorsionniste !
@Louisounet
Extraordinaire de ressentir dans son regard tout le charme de ses fesses!
( Baroz patouche!)
il fait bien mousse de l’atalante sur la deule tient..ha c’est autre chose que les tubars chinois d’oostende à dracul
ta gueule raclure
Clopine dit: 14 août 2014 à 14 h 48 min
les couloirs
Ceux du métro à Moscou sont magnifiques… Quel que soit le régime ! Avec de la porcelaine Barnery…
Clopine est un modèle d’exactitude et d’impartialité en face de ce monument de Mauvaise Foi
c’est une blonde a forte poitrine épilée en regard d’un gorile..ça mange pas de cacaouète
Mais t’es qu’une bouffonne, ma pauvre Clopine ! De l’humour j’en ai à revendre, mais pas avec les connards de ton genre ! Ça jamais ! (comme dirait l’autre).
Il y a aussi que mon humour est si fin que t’es même pas capable de le lire, bien souvent ! Comme l’autre folle dingue de Baroz qui prend tout au pied de la lettre. Vous êtes des ploucs, mes pauvres enfants. J’y peux rien.
Oui, mais alors le métro de Moscou, quel vacarme ! On se croirait en enfer…
Ceux du métro à Moscou sont magnifiques…
des palais des glaces pour le populo..des clous en or pour leur pompe comme disait un musicos célébe..
C’est vrai que WG à de l’humour à revendre, en tant que lecteur anonyme, je peux ici en témoigner.
Et je suis très sérieux!
Clopine dit: 14 août 2014 à 14 h 48 min
Ben c’est surtout que Jacques Barrozi possède ce qu’un M. Court ou un W. n’auront jamais, et qu’en anglais on nomme « sense of humor »
Ouarf, Barozzi le sens de l’humour et pas M. Court.
M’étonne pas que la courge apprécie Chevillard et la conne aux paquets de chips.
« eh oui, chez moi, la patère est austère et l’ibère, rigoureux »
Vermot quand tu nous tiens.
C’est vrai que WG à de l’humour à revendre
Tout le contraire de renato, ses pompes et ses liens.
Vous n’aurez jamais que l’estime des pauvres en esprit, mon pauvre Baroz !
c’est ça qu’est autant chinois que juif?..sapré dracul! mais qu’on voudrait l’inventer on saurait pas meusieu courte
l’ibère au sana, ouais!
en tant que lecteur anonyme, je peux ici en témoigner.
t’es juif ou t’es chinois..ou les deux
l’ibère, teen age, yep!
l’ ibère?
Ah, Sion!
l’ ibère…Tango!
t’es juif ou bien chinois, toi t’es super con bouguereau, comme dirait keupu
t’es juif ou bien chinois, toi t’es super con bouguereau
Il ne sait plus où donner de la langue!
Ce qui est bien dans l’édition allemande, c’est qu’elle est capable de fournir des recueils de nouvelels de très nombreux auteurs, comme chez Luchterhand, où on trouve par exemple : Geschichten aus der Geschichte der Bundesrepublick Deutschland 1949-1979, avec pas moins de 41 auteurs. On ne trouve pas ce genre de bouquins dans l’édition française. Faudrait peut-être le proposer. Ça marcherait peut-être. Comme recueil de textes d’écrivains étrangers ou français. Je ne crois pas que ça existe en France ou je me trompe ?
« Comme recueil de textes d’écrivains étrangers ou français. Je ne crois pas que ça existe en France ou je me trompe ? »
Vous oubliez les célébrissimes goûts de tout et de rien du non moins célébrissime Barozizi.
On dit toujours que les lecteurs français n’aiment pas les nouvelles. Surtout quand les auteurs sont eux-mêmes français. Par contre, on publie souvent en France des gros livres de nouvelles d’auteurs étrangers, et là les lecteurs français s’y intéressent. Peut-être que ça marcherait avec des auteurs allemands, comme ça marche déjà avec des auteurs en langue espagnole, par ex. Cortazar, un maître du genre, dont, je le dis en passant, on fête le centenaire cet été, et dont Assouline devrait bien nous parler, s’il a le temps !
…
…que devient la drogue saisie,!…de la tarte en familles,…de la Blédina d’holland aise,!…
…un moteur des gay’s re-con-versions,!…
…
…les affaires sur patins à glace,…vanillés,!…du schout-mackers au réveil,…Banania au curry,…version Glasgow bien ranger les glisse-aux-patins,…
…
…continuons le compas,…d’un dial-mètre aux tangentes,!…
…les cheveux-longs d’élus-cubrations,…la soeur à Toine,!…
…la cerise sur le gibet,!…of course,!…
…etc,!…envoyez le clin d’oeil,!…encore rose du bouchon,!…
…
Widergänger dit: 14 août 2014 à 15 h 01 min
Oui, mais alors le métro de Moscou, quel vacarme ! On se croirait en enfer…
C’est vrai. Si ça n’a pas changé depuis que j’y suis allé sous le président Fallières…
qui lit les « commentaires » (comment taire) de ce Giovanno Sant’Angeline ???
Bah, vous savez, je préfère faire de l’humour à l’almanach Vermot que faire gazouiller les gazaouis, dans un texte hallucinant de bêtise.
M’enfin, l’humour peut s’appliquer à tout, on le sait bien.
Je le disais encore à Clopin l’autre jour. Nous étions en Angleterre, à Bath, et nous mangions un kebab au « Mahmoud’kitchen ».
Ce qui était la preuve qu’il y a bien un Mahmoud, à Bath.
bon d’accord, je sors.
Moi, de temps en temps, mais après, j’ai comme des hallus. Je vois des petits points partout. Des petits points, comme des petits trous. (Je le soupçonne d’avoir trop écouté le poinçonneur des Lilas).
Mais bon, l’Angleterre n’est pas la seule en cause. Lors de notre voyage en Croatie, on n’arrêtait pas de déconner, Clopin et moi. A Split, surtout – ce que j’ai pu rigoler.
soupir.
Ah oui, j’avais la banane, à Split.
Clopine, vos blagues à deux balles, ça ressemble à la chanson de Dutronc, « L’Aventurier »… Vous vous rappelez ?
Ah non, ST. Pourtant, Dutronc…
(vous savez, je me rends compte que je batifole sous un fil de deuil. Je vais me reprendre, je vous jure. Mais vous savez ce que c’est, on commence par une vanne, et puis on se met à raconter ces « histoires drôles » de fin de banquet, aussi lourdes que le menu que l’on vient d’ingérer. Or, ici, notre hôte fait plutôt dans la nouvelle cuisine. Mais ses commentateurs, par contre. Purée de nous autres. Ca te pédale sec dans la mayonnaise !)
WG…WOHNGEMEINSCHAFT EN ALLEMAND, EN ABRÉGÉ AGRÉGÉ…colocation, quoi. Dieu me garde de ne jamais devoir cohabiter avec ce con.
… En fait, je viens de découvrir un truc, c’est fou. A un certain degré de mépris des autres, on peut se fiche complètement de leur sensibilité. On peut balancer n’importe quoi sur n’importe qui, et hausser les épaules. Ne serait-ce pas cela qu’on vient chercher sur ce blog ? La réduction de l’autre à l’état de bouffon – et si je me mettais à ressembler à jc, tiens, ça pourrait donner quoi ?
Pour Clopine, la seule que ça peut éventuellement faire rigoler, un extrait de la chanson de Dutronc :
J´ai été pompette à Papeete.
J´ai bu de l´eau à Bordeaux.
J´ai dit tant pis à Tampico.
J´ai fait l´soldat à Bogola, etc., etc.
Le mépris ? L’on revient à Godard, enfin, à Moravia via Godard, et au métier de scénariste ?
…
…qui lit les commentaires,!…déjà moi,!…
…
…mais les conversations sont tellement insipides incolores inodores invisibles,…
…
…des guignols, un peu de relief pour s’y frotter les ongles,!…quels bonheurs,…à tout prendre de l’envers à l’endroit,…& vice versa,!…
…
…du chemin des marionnettes aux épouvantails des nations,…l’€urope des gang-moisis,…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
Dieu dit à Bernard-Henry : « Vois-le ! »
Et Bernard-Henry le vit.
Dieu dit à Jacques » Déride ! »
Et Jacques dérida
Dieu dit « Hélène s’égare ! »
Et Hélène s’égara
on a compris : Giovaninine c’est bouguereau mais à jeun ou bourré ???
renato dit: 14 août 2014 à 17 h 07 min
au métier de scénariste ?
Ah, c’est un métier !
Je me demandais pourquoi Jacques Barozzi n’avait jamais réussi, maintenant je sais.
…
…à notre chère Clopine, de chez nous d’ailleurs,!…
…votre Louis,…un air d’amis d’enfance,!…
…
…un genre immigré polonais,!…si,si,…
…
…c’est vrai,…de mes souvenirs, qu’ils sont pas vraiment gâtés dans leurs jeunesse,!…si,si,…
…c’est tellement vrai, que le mien polonais d’amis,…il rêvait de faire sa vie, dans les sous-marins,!…hormis le jeux de mots,!…
…
…beaucoup de peine,…à me souvenir de sa jeunesse à l’esprit défroqué,!…enfin,!…
…un échange de commentaires, avant le déluge,…heureux les aux » sous-marins « ,!…
…
…vous faite coccinelle aussi,!…à mes heures,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
Partir de Godard pour arriver à Moravia, c’est vraiment déchoir.
« …vous faite coccinelle aussi,!…à mes heures,!…Ah,!Ah,!…etc,!… » GSA
Il y en a un au moins que ça fait rire, c’est déjà ça !
Bon, il a ses fiches en désordre.
…
…@,…Qui?,…Giovanni c’est pas Bouguereau,…n’y l’inverse,!…ni bourré à jeun,!…
…l’espoir fait vivre,!…à mes châteaux et à mes cheikhs en blanc,…en crème chantilly ,!…Ah,!Ah,!…envoyez,…la tarte aux fraises of course,!…
…
Clopine dit: 14 août 2014 à 16 h 54 min
… En fait, je viens de découvrir un truc, c’est fou. A un certain degré de mépris des autres, on peut se fiche complètement de leur sensibilité. On peut balancer n’importe quoi sur n’importe qui, et hausser les épaules. Ne serait-ce pas cela qu’on vient chercher sur ce blog ? La réduction de l’autre à l’état de bouffon – et si je me mettais à ressembler à jc, tiens, ça pourrait donner quoi ?
… ce serait une curiosité intéressante…
… faites comme ce malheureux insulaire, lisez mes œuvres afin que je ne meure pas d’oubli …..
Commencez par mon « Orwell ou l’horreur de la politique », ouvrage court, une centaine de pages sur le pourquoi Blair devint Orwell dans un internat totalitaire.
« insipides incolores inodores invisibles »
Bon, les points de suspension pour simuler le désenchantement célinien bien à part, croyez-vous que les vôtres soient au paprika ?
Des tellement sans vécu que même leurs revanches sont cherchées ailleurs, baroz, mais je vais vous épargner la liste des délégués. Je vous laisse le standard…
Mes petits choux, ces putes -aux ordres mollahseux- de la presse iranienne, refusant le visage simple de leur compatriote féminine honorée d’une Médaille Fields, ont eu le culot de la voiler dans les journaux par un montage Photoshop digne de feu Beria !!!
Ecrasons l’infâme ! Quels enculés ! Qu’un gode-ceinture géant les akbarise tous …
JC….. dit: 14 août 2014 à 18 h 18 min
Comme sur le coup JC ne peut être accusé d’arabophobie ou de machisme que va nous trouver Clopine.
A moins que !!!
Comme elle voulait se mettre à la place de JC, ce commentaire est peut-être écrit par elle.
Bon ok, c’est un poil islamophobe, mais est-ce un véritable défaut ?
Etre déiphobe est plutôt salutaire.
Est ce islamiquement normal d’être con au point de « voiler » une mathématicienne de ce niveau, dans les journaux iraniens ?
Marre de la langue de bois, des décennies après Orwell !!!
Intervention de forces étrangères afin de protéger la population civile approuvée par le parlement libyen.
JC, bravo ! Marre de ces trouducs rétrogades ! et aucun risque qu’on vous taxe d’anti-arabisme pour la bonne raison que les iraniens ne sont pas arabes ! et l’Islam est une sorte d’aimant qui agrège tous les pires travers réactionnaires de la planète. Pourquoi, parce que l’Islam n’an jamais tenté sa sécularisation ! Tout s’est arrêté vers le XIème siècle. C’est un peu comme le processus de l’apparition de la vie qui a réussi sur Terre et raté ailleurs. Averroès, Avicenne, etc sont bien loin. Cet Islam qu’on voit devenir d’heure en heure de plus en plus fasciste est une calamité. mais ce n’est pas nouveau. En 1941, le grand Mufti de Jérusalem était allé en Bosnie bénir la légion Handschar, composée ne partie de SS musulmans ! Et Himmler jugeait que l’Islam était une « religion commode pour la Wehrmacht »;
Et aujourd’hui, les premiers à trinquer sont les Musulmans qui tentent de concilier leur foi et la vie réelle.
Alors, merde, je ne vois pas pourquoi on se priverait de dire ce qui est. Demandez aux Nigérians, avec les chiens de Boko-Haram !
Le président iranien a tweeté ses félications avec une photo sans voile.
Les arcanes de la politique iranienne ne sont pas toujours simples à suivre.
YAZIDI dit: 14 août 2014 à 18 h 46 min
et aucun risque qu’on vous taxe d’anti-arabisme pour la bonne raison que les iraniens ne sont pas arabes
Oh ben ça alors, quelle nouvelle !!!!!!!!!
@chantal, oui Chesterton est dans le top ten des citations de S. Leys.
Leys a dû retrouver chez Chesterton quelque chose de la sagesse chinoise ? le gout du paradoxe ? des contradictions ? sauf qu’il me semble qu’il n’y a aucune chinoiserie chez Chesterton.
Les contradictions chestertoniennes appartiennent à la modernité occidentale, la condition de l’homme moderne perdu dans ses paradoxes, fonçant tête baissée vers un avenir radieux, et comme cet avenir radieux tarde à pointer son nez l’homme moderne s’affole, il rajoute des tonnes d’idées nouvelles (qui n’en sont jamais), des institutions, des réformes, des conseils, des comités, des prix artistiques, des activités culturelles, des éditeurs, des éditions, des informations, des informations pour apprendre à lire les informations, des avis d’experts, de philosophes, d’historiens, de biographes, de journalistes, de philosophes biographes, des biographes édifiant la vie d’autres biographes ayant eux-mêmes tracé l’existence d’historiens ayant écrit l’histoire de ces philosophes biographes….
tout ça pour quoi ? simplement pour rendre notre monde plus compréhensible.
la planète est peuplée d’une minorité de gens cultivées et une majorité d’incultes mais comme la proportion de crétin reste la même dans les deux catégories.
je ne sais pas si les grands sages chinois sont des types optimistes et joviaux ce qui sûr c’est que Chesterton ne l’était pas, c’était un type stressé et inquiet qui se méfiait des artistes en général et des poètes en particulier comme de la peste.
Parce que la poésie est un art qui consiste à passer par artifices et des inventions débiles pour donner au monde une beauté qui était déjà là, non seulement cette beauté est déjà présente mais elle n’a pas besoin des écrivains et des poètes qui inventent des trucs inutiles et compliqués pour laisser croire qu’il faudrait passer par les méandres à la noixde l’expertise artistique et culturelle pour avoir accès à la beauté du monde, Chesterton n’aimait pas cette vision aristocratique et tarabiscotée.
LE paradoxe de l’homme moderne est qu’il est coincé dans son époque, sans savoir si cette époque se trouve au début, au milieu ou bien à la fin d’un processus, à la fin d’un cycle.
Chesterton nous manque, vous ne pouvez pas imaginer combien il nous manque, à la place on se tape une flopée de types plus crétins les une que les autres.
Chesterton aurait un tas de trucs à nous dire, il nous aurait dit ce qu’il pense de cette mode pour la philo, ce qu’il pense de la crise, de la spéculation, de la littérature, de l’art moderne, de la culture, de la politique, du socialisme, des religions, de la répartition des pouvoirs et de l’intelligence, du niveau prodigieux de l’intelligence de ces gamins qui spéculent sur les marchés des matières premières.
Chesterton aurait expliqué en deux mots à Eddouard louis qu’entre lui et Marcel Gauchet le plus rebelle n’est pas celui qu’on croit.
Chesterton aurait expliqué en deux mots pourquoi depuis que les gens ne vont plus à l’église à la place ils vont écouter Michel Onfray pour tenter de trouver des réponses à leurs questions… non seulement des réponses qu’ils ne trouveront jamais parce que ce crétin d’imposteur est incapapble de leur en donner le quart de la moitié d’une, mais en plus des réponses que ces gens auraient trouvé dans une église ! parce que là seule on peut trouver ces réponses, même ceux qui ne croient pas en Dieu.
quelle misère que ce monde. Chesterton nous manque énormément.
YAZIDI,
vous êtes nouveau ici ?
J’espère.
Alors dites vous bien que le mufti et tout ça, on maîtrise.
Donc, essayez quelques nouveautés sinon vous allez nous faire tout reprendre à zéro et on ne va pas s’en sortir.
Il n’a pas tort, le SIDI ! L’histoire du Mufti de WWII, c’est « pierre de touche »…
hamlet, trop de télé c’est dangereux pour la santé.
hamlet dit: 14 août 2014 à 18 h 54 min
ça fait sept ans que je me demande s’il meilleur en Chesterton ou en Musil.
j’arrive toujours pas à me décider.
Le silence des bien-pensants qui entoure le départ de Simon Leys, cette fausse absence d’intérêt, est un signe fort : cet homme, et son œuvre, vont durer ….
vont durer …
on dirait une pub à l’ancienne pour capote anglaise lavabe..faut arrêter de jeter jicé..c’est certain
radio keupu encore..pouah..au carchère !
bouguereau dit: 14 août 2014 à 19 h 25 min
radio keupu encore..pouah..au carchère !
Merci, Hamlet de ce bel hommage Chestertonien. Que citait Leys, au fait? Essais ou romans?
Bien à vous.
MC
tiens, ça pourrait donner quoi ?
des menaces clopine..des menaces..mieux qu’une baionnette on peut s’assoir dessus
Arrête Bougboug ! la situation est grave : Le fils cadet de ma copine Trierweiler a la RAGE ! Il attaque tout azimut !
(peut-être lui envoyer notre modèle de gode mohair et soie, « Inversion de la Courbe » , le calmera ?)
Chesterton dit, quelque part (traduit au pif) : « La femme moyenne dirige quelque chose dont elle peut faire ce qu’elle veut ; l’homme moyen doit obéir aux ordres et rien d’autre ».
Or, puisque je suppose que hamlet se voit lui-même comme homme moyen, je me demande à qui il obéit.
je me demande à qui il obéit
une sorte d’imbécilité maous qui ne le rend même pas heureux..pilpoul moderne
Le fils cadet de ma copine Trierweiler a la RAGE !
..c’est l’heure de sassoir par terre le majeur et le pouce se rejoignant sur le décapsuleur et l’autre sur une bière fraiche..et tu fais « aom » en communiant avec le grand tout épicétou
renato 19h30
Mon cul dit quelque part à ma tête (traduit à l’oeil de verre): « l’homme et la femme obéissent, et inversement »
Je me demande de qui renato tient ça ?
Les arcanes de la politique iranienne ne sont pas toujours simples à suivre
..le spectacle du doute qui étreint les autres est toujours trés communicatif
Attention ! humoriste incomparable à 19 h 43 min…
« Si vous vouliez dissuader quelqu’un de boire un deuxième whisky,vous pourriez fort bien lui donner une cordiale bourrade en lui disant:allons,courage,soyez un homme! »Mais en revanche,pour dissuader un crocodile de manger un dixième explorateur,personne ne songerait à lui donner une cordiale bourrade en lui disant: »Allons,courage,soyez un crocodile »
Commentaire de Chesterton sur le péché originel et l’innocence perdue de la nature humaine,cité par Simon Leys dans « le Studio de l’inutilité »
t’aimes bien cette radio, vieux schnock de bouguereau, t’en auras tous les jours comme dirait JC
On peut écrire un commentaire? Même si on n’est pas un savant?
Vague ressemblance entre Leys et Daumal.
14h02 Deneb il n’est pas dit qu’une version où la fée Bérénice, après transformation comme dans le Livre, se réserve le droit d’utiliser ce garçon comme secrétaire dans le but de parer aux aléas d’une ponctuation incertaine, ne soit en cours d’édition.
Pierre-Simon doit être heureux de certaines interventions (j’l’ai lu, ses chinoiseries surtout, et ce, dès milieu ’70 – rien à voir avec Clo’, les manifs étaient avant tout pour les sidérurgistes, le « programme commun », je crois, était dans tous les cortèges ; qq maoïstes trainaient; souvenir d’avoir lu un bbok, acheté en cachette, qui foutait en l’air les mao – n’m’suis jamais rappelé lequel, de qui, etc … Bref !
Clo’, sans vouloir t’agresser, hein, j’t’trouve souvent un peu … bégueule (terme qui date, j’sais bien, mais j’n’vois pas d’autre qualif t’attribuer, terme négatif, certes, mais … mérité)
SGA, je ne rate, je l’espère, aucune de ses réparties: sont judicieuses, espiègles, caustiques, dérangeantes, etc mais quel esprit, quelle musicalité aussi (j’assume, y a différentes rythmiques qui me laissent pantois ! Merci SGA
(merci aussi à – et à – sans oublier-&-&-&-&-
franche rigolade Pierre-Simon, que j’ai lu, pardi, apprécie, sûr & certain, le blog d’assouline, hop !
J’ai pris tout mon temps parce que la question qui m’est posée plus haut (ou ici plus bas) mérite force réflexion: Dieu existe t-il ou non?
Dieu n’existe que pour ceux qui y croient. Comme l’amour, la délicatesse, et certaines autres choses qu’il vaut mieux garder secrètes.
« Dieu n’existe que pour ceux qui y croient. Comme l’amour, la délicatesse »
Bihoreau
Il faut le dire avec délicatesse, Dieu n’est pas forcément amour.
Vous auriez donc mieux fait de ne pas le mettre en jeu dans cet environnement là, non ?
Et une qui se la jouerait domina en mendiant qu’on lui botte le cul ? Entourée de morveux elle serait à sa place…
Marre de la langue de bois
Ah ben faudra penser à arrêter le fake circus alors. Mais bon, ce seront certainement quelques tonnes en plus rajoutées pour laisser croire que ce sont les rires qui font fuir bien plus que le fait de tirer la gueule… Ah faut voir!…
…
…de toute façon,…les plaisirs, les honneurs, çà use son homme d’esprit avant l’heure,!…
…
…çà ira,! çà ira,…vous garder la guillotine,…démembrée,…Oui,!…vous avez trouvée la pièce qui manque,!…Je vois pas,!…vous en êtes notre guide de la révolution,…mais, si,!…
…
…mais,!…il n’est pas à l’envers mon pantalon,…et mon chapeau non-plus,!…la révolution technologique,!…des puces partout,…
…elle s’est mariée hier,…déjà le film sur internet,…tu le vois, comme est bonne,!…Oui,!…Ah,!Ah,!…avec la technologique en partage,…la mise aux points,!…
…Ah,!…mais je la connais,…elle s’est mariée vingt fois sur internet,…Ah!,…& de toutes les coutures,!…c’est net sur le net,!…avec les éléments virtuels grossissants,!…c’est mieux que les Stars à Tsars,…du Vintage que j’te dis,!…
…
…c’est le mode d’emploi primaire, tout dans la récupération des » uncensored movies « ,…mais qu’est ce qu’on se blase,!…
…
…rien ne vaut,…un Pierre Ryckmans, dis le Simon Leys pour se mettre les boules aux pékinnoix,…
…las tu pousse,…les strates au godes-ceintures ,…Oh,!…le nouveau modèle pour lesbiches à gay’s toujours,!…
…çà entre d’un côté, & çà ressort de l’autre,…croire à Dieux,…c’est folles-d’Amour,…pour Lancelot du lac, à Camelot,!…
…mon Juras-site-pack,…en culture débouchée,…un grand-cru,!…juste une goutte,!…
…c’est le pied,!…des admissions académiques,…plus meilleurs que le canapé horizontal pour l’ascension des talents en crise,!…
…travailler plus,…pour gagner plus,…
…chérie met le au niveau débutante,…S.V.P.,…même mon bureau il vibre,!…c’est l’aéro-porc en vue,!…
…
…même que tu vole tout seul,…avec la crise,…pourvu que çà dure,…la Chine mondialiste,!…en porcelaine véritable,…la fraîcheur des éclats de joies,!…
… que grand bien vous fasse,…la nation,…et ses reliques du pouvoir d’échines,!…
…etc,!…c’est blasant,…Oui,!,…çà use aussi son homme,…à Dieux sur la poire juteuse,…etc,!…
…
Si vous n’existiez pas, il faudrait vous inventer. C’est peut etre déjà fait, d’ailleurs…
Et alors faudrait cafter ?
21h10
renato fait de plus en plus Oracle de Delphes.
Pour interpréter ses propos il faut une armée de prêtres, un troupeau de boeufs, des chèvres, des poulets et des litres de marc de café pour faire moderne.
…
…Michou à 21 h 31mn,…
…cafté,…mouchardé,…dénoncé,…
…
…déjà avec toute les puces insérer partout,…
…
…à la pensée unique,… » chè sera, sera,! « ,…Oui,!…des lois plus serrés pour en contenir, sur l’échiquier en partage,…
…& l’art,et cette crotte ,! combien,!…Oui,!…
…mais c’est du style » Vents Dieux « ,…aux parfums,!…etc,!…libérez-vous dessus,!…
…
Giovanni, gardons sagement sous silence qui se montre au niveau de mendier et plus souvent que parfois, n’est-ce pas…
Mme Michu dit: 14 août 2014 à 21 h 57 min
Giovanni, gardons sagement sous silence qui se montre au niveau de mendier et plus souvent que parfois, n’est-ce pas…
Tout laisse à croire que Mme Michu est un avatar de renato.
Bien, hamlet, j’ai un moment voyons donc un exemple.
Le marché de l’art est très actif et l’on y trouve de tout, mais soit comme spectateur que comme acheteur vous êtes un crétin si vous ne gardez pas en mémoire qu’environ le 90 % des choses en circulation aujourd’hui (14 août 2014) finiront à la poubelle d’ici 10, 20, max 30 ans (c’est selon l’investissement initial).
Cela vaut pour tout – littérature, philosophie… enfin, inutile d’établir une liste.
Et il ne faudrait pas croire que c’était mieux avant (il suffit de faire quelques petites recherches), seulement il y a aujourd’hui plus de consommateurs et donc une plus grande offre des produits éphémères…
Vous savez que je n’aime pas faire long, mais vous avez les instruments utiles pour développer, donc…
…
…plus souvent à mendier,!…
……………………., dans les états d’usuriers à cols blancs,…la répartie facile,…de concert aux connivences,…
…
…l’intelligence privé et personnel au dessus du sadisme-masochisme du corporatisme d’état de gouinfres avariés attachés aux pouvoirs,…n’est ce pas,!…
…la provoc,…fire,!…
…bonjours aux services décadents d’état dans les états,…
…toujours à votre service pour que vous y voir plus informée de toutes les coutures,…
…n’est ce pas,!…
…je n’ais rien à fléchir comme hontes à mon niveau,…il n’en est pas de même des classes à écraser de même,!…bien à vous,…etc,!…
…
Madame Soleil,
du marc de Champagne ce serait plus lisible… celui de Bourgogne se lit aussi très bien…
Giovanni, grand spectateur dans l’ombre… (elle est facile celle-là, niveau débutant…)
Un avatar, ou une occurrence ? Y a une nuance bon Dieu !
‘tain, si fallait se mettre aussi à décerner des diplômes pour planquer des noms d’oiseaux…
…
…Mne Michou,…
……………..Oui,! toujours sein & sauf,!…
…
…elle est, encore plus facile,…que vous ne pouvez imaginez,!…la candeur mature Plus,!…
…
…un spectateur prudent,…sans état d’âmes à m’en mêler les pinceaux,…
…de toutes les fournaises & conspirations pour des radis,…ou des laqués à foutres,!…etc,!…
…penser sans connaître,…vous marcher les yeux fermés sur les toits,!…
…
…pour qui me prenez-vous,!…au fond,!…du temps à perdre sur mon dos,!…etc,!…Ah,!Ah,!…
…
Mais je ne vous prends pour rien Giovanni, j’espère que vous ne le prendrez pas mal: vous avez l’air d’avoir tellement besoin de moi.
À part ça, vous ne trouvez pas dommage qu’il est devenu très compliqué de dénicher une Thérèse n’ayant pas besoin d’une secte moon pour se sentir canonisée ?
Non mais je vous le demande puisque vous vous posez en connaisseur des limites de mon imagination, et cela n’est pas très original…
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