Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?
Ne vous êtes-vous jamais délecté du parfum subtil du paradoxe en lisant une étude très sérieuse aux plus hauts effets comiques ? Non que l’un exclue nécessairement l’autre, mais on ne s’attend pas nécessairement à éclater de rire, ou à rire sous cape si l’on se trouve dans le train, en lisant Coupole et dépendances (284 pages, 19,95 euros –sympa, ça, pour les libraires !- éditions du Moment), enquête sur le fonctionnement de l’Académie française. Ce n’est certes pas le premier livre qu’elle suscite. Mais dans cet esprit journalistique, il n’y avait guère que celui, amusant et informé, du plus parisien des Québécois, Louis-Bernard Robitaille (Le Salon des immortels, Denoël, 2002). Depuis, la chronique s’est enrichie des nouvelles aventures de la douairière du quai Conti, et ce n’est pas triste. C’est que le mythe est bien vivace. Songez donc qu’en 2001, lorsque la Ville a entrepris la réfection du parvis, les employés de la voirie n’ont pas eu à débarrasser les vieux pavés de granit (disjoints, Proust oblige !), des parisiens s’en chargeant personnellement, en souvenir !
L’enquête du journaliste littéraire Daniel Garcia, au ton serein et malicieux, est impeccable, nonobstant ses coups de griffe à tel ou tel écrivain (Angelo Rinaldi, Paule Constant) ou le recours répété aux mémoires du candidat malheureux Jacques Isorni qu’il épingle par ailleurs ; et tout n’y est pas neuf, notamment la partie historique maintes fois contée, de même qu’un certain nombre de rumeurs, ragots et bons mots ayant beaucoup circulé ; on savoure le plus souvent l’évocation de ces dérisoires batailles de gagas, tant d’académiciens consacrant leur temps à instrumentaliser non sans perversité les candidatures de ceux qui rêveraient d’en être, grâce à des témoignages inédits sur l’intact et inexplicable magnétisme exercé par « ce corps littéraire d’Etat » selon l’expression lancée par Fumerolles, ainsi que Philippe Sollers se plaît à appeler Marc Fumaroli.
On sait que l’Institut, dont l’Académie française n’est que l’une des composantes, est riche. La liste de ses propriétés foncières est impressionnante. Mais que c’est mal géré ! Façon de parler : ça ne l’est pas pour tout le monde. Certains s’y retrouvent. La Cour des comptes y a mis son nez. L’histoire est contée par le menu, chiffres à l’appui. Accablant, surtout pour le chancelier Gabriel de Broglie. Comme le sont les quelques pages consacrées aux intérêts africains « suprafrancophonie » de l’ancien directeur de cabinet du perpétuel Maurice Druon.
Au chapitre des visites du candidat, on se rend compte que Fontenelle n’avait pas réglé la question, son trait fut-il célèbre : « Sommes-nous trente-neuf, on est à nos genoux, et sommes-nous quarante, on se moque de nous ». On apprend ici que Valéry Giscard d’Estaing, qui ne s’abaisse guère à recevoir les victimes de la fièvre verte, avait fait une exception pour le romancier François Taillandier « parce qu’il avait vu que j’étais né à Chamalières ». Le linguiste Claude Hagège, qui avait ses chances, s’est coulé tout seul par ses visites : non seulement il les a saoulés de son verbe polyglotte et noyé sous le flot interrompu de son babil, mais il n’a parlé que de lui et de son oeuvre ; même ceux qui soutenaient sa candidature y renoncèrent lorsqu’ils comprirent qu’ils auraient à le supporter à vie. Forcément, il n’est pas convenable de faire sentir aux Quarante qu’ils ont de l’esprit comme quatre. Cela dit, à ce jeu, les authentiques écrivains sont désavantagés par rapport aux médecins : la tournée de visite de l’hématologue Jean Bernard fut une consultation ininterrompue et l’ophtalmologue Yves Pouliquen ne dément pas avoir opéré plusieurs académiciens de la cataracte. Disons que, s’il est vrai qu’une élection est imprévisible avant et inexplicable après, certaines le sont moins que d’autres.
Dans un registre sensiblement différent, on découvre qu’il y a 10% de gays parmi les académiciens (mais comment Daniel Garcia est-il parvenu à l’établir ?), qu’un couple d’hommes (mon Dieu !) siégea même sous la Coupole entre 2001 et 2012 (avis aux amateurs de recoupements) mais qu’un « lobby gay » aussi vert que rose relève du fantasme.
Au chapitre de l’ingratitude, Philippe Sollers occupe une place de choix. Passe encore qu’il veuille bien être de la compagnie à condition de ne pas faire de visites et d’être assuré d’être élu s’il consentait à se présenter (cela lui ressemble) ; mais se voir décerner le Grand Prix Paul Morand 1992 pour l’ensemble de son œuvre, l’accepter et sécher la séance solennelle de remise des prix, puis envoyer un relevé d’identité bancaire pour empocher les 300 000 francs (soit 45 000 euros), c’est là une goujaterie qui vaut bien de n’être plus appelé sous le coupole que « le vicomte de RIB ».
Parmi les morceaux de choix, on trouvera le récit détaillé du hold-up, il n’y a pas d’autre mot, monté par le tandem Léo Scheer/François Weyergans, l’éditeur et l’écrivain ayant comploté avec succès « pour se marrer » afin que le Goncourt 2005 soit attribué à Trois jours chez ma mère et que son auteur succède au fantomatique successeur de Maurice Rheims à son fauteuil de l’Académie française, Alain Robbe-Grillet, mort avant d’être intronisé immortel. Du grand art comme on en voit peu dans les coulisses de la république bananière des Lettres. Désopilant ! Leur tactique ? Des missives personnalisées, documentées, peaufinées, adressées à chacun des académiciens après étude approfondie de leurs œuvres y compris les plus anciennes, élevant la flagornerie au rang des beaux-arts. Tant et si bien que la plupart la lurent au premier degré. Aujourd’hui, ils disent l’avoir égarée. Dommage. On imagine l’anthologie ! Tout de même, il y en eut, tel Yves Pouliquen pour y voir plus clair que les autres. Forcément, l’un très ophtalmo, l’autre très myope : « Je me suis demandé s’il ne se foutait pas de ma gueule. Il me comparait à Diderot ! » Bien vu.
Alors pourquoi en être ? Pas pour l’argent. Avec l’indemnité forfaitaire à laquelle s’ajoutent des jetons de présence aux diverses commissions, le salaire de l’hâbleur n’excède pas les 4000 euros par an. Mais les compensations collatérales sont plus intéressantes. La Maison ne laissant jamais tomber ses membres encore actifs, non plus que ses malades et plus tard leurs veuves et orphelins, n’a pas volé sa réputation de « deuxième famille ». En être délivre de biens des soucis à commencer celui du logis. La Maison possède des immeubles de rapport boulevard Saint-Michel, rue Monsieur-le-Prince, rue Crébillon (Quartier latin), rue du Ranelagh et rue Davioud (XVIème) ainsi que rue Pasquier et boulevard Haussmann (quartier des Grands magasins).
La vanité étant répandue avec équanimité dans le petit monde des mains à plumes, les grandeurs d’établissement séduisent comme autrefois, bien plus qu’on ne l’imagine. Pour se dédouaner, les candidats rappelleront ce que Baudelaire en disait : « C’est le seul honneur qu’un vrai homme de lettres puisse solliciter sans rougir ». On dira qu’en ce temps-là, c’était autrement mieux fréquenté. Eh bien non, justement : en ce temps-là déjà, et même avant, des Dabadie y côtoyaient des Dumézil.
Et puis il y a le dictionnaire. Le grand alibi, dirait-on, même pour ceux qui ne participent pas à son élaboration. Les travaux de l’actuelle édition ont été lancés en 1936. Un service d’une dizaine d’agrégés (Lettres modernes, Lettres classiques, Grammaire et… Biologie) y travaillent à plein temps toute l’année, en amont d’une dizaine d’académiciens constituant la commission du dictionnaire « du français durable », sa vocation, même si le lexicographe Alain « Robert » Rey objecte cruellement que, par définition, le français n’est pas durable. Ce qui n’empêche pas les forçats du dico d’être beaucoup plus sollicités qu’avant par les usagers. C’est la société Nestlé demandant s’il faut écrire sur l’emballage d’un dessert « avec deux moules à chocolat » ou « avec deux moules à chocolats » ! Ou une psychiatre leur enlevant une épine du pied en suggérant l’adjectif « désenfanté » pour désigner celui qui perd un enfant, et que l’on ne peut dire ni veuf ni orphelin. Où l’on voit que, malgré de légères avancées sur la définition du mariage, l’Académie reste conservatrice sinon archaïque : elle préfère traduire binge drinking par « beuverie collective » (comme si ça se buvait le petit doigt en l’air !) plutôt que par « biture express », ce qui serait plus parlant.
Ce qui est durable en revanche, c’est le dur désir de durer en gravant son nom dans le marbre de crainte de ne pas l’inscrire dans la mémoire de ses contemporains. En 1878, le jour où le sort académique de Taine et de Renan se décidait, Flaubert se demandait dans une lettre à la princesse Mathilde en quoi l’Académie pouvait bien les honorer : « Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ? »
(photos D.R.)
1 371 Réponses pour Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?
des commentateurs opiniatres et rabougris
Ah mais ça c’est comme les constantes démographiques ma bonne dame, faut bien qu’elles commencent quelque part…
« Ou alors un Путин sur la plage arrière, qui hoche la tête et dont les yeux s’allument dès que les mâchoires des freins entament les disques…
Onésiphore de Prébois dit: 6 mars 2014 à 17 h 13 min
notre spécialiste du rétropédalage
Ha ça pour ça les vélos tudesques germaniques ça c’était bien… Ca se cassait jamais on freinait jamais remember !
Mme Michu dit: 6 mars 2014 à 17 h 27 min
des commentateurs opiniatres et rabougris
Ah mais ça c’est comme les constantes démographiques ma bonne dame, faut bien qu’elles commencent quelque part…
Oui : on peut pas prendre des sumos pour tout !
u. dit: 6 mars 2014 à 17 h 33 min
« Ou alors un Путин sur la plage arrière, qui hoche la tête et dont les yeux s’allument dès que les mâchoires des freins entament les disques…
Je me demande… On devrait retrouver les premiers projets de sa hure dans Bilal… Peut être dans Druillet… C’est vrai que c’est pas le genre qui déclenche l’enthousiasme…
J’en ai profité pour vérifier que l’étymologie donnée à plouc (TLF) y est toujours aussi vaseuse (j’aime pas qu’on touche aux Bretons).
En revanche, j’ai trouvé à côté pour boguereau une belle citation d’un prix Goncourt, Francis Ambrière:
« … Une note officielle nous avertissait sur le mode solennel que la Kommandantur ne tolérerait pas plus longtemps nos apostrophes, et que « les expressions chleuh, vautour, con, cocu et enculé seraient désormais considérées comme injurieuses et punies comme telles ». Ambrière, Les Grandes vacances,1946, p. 329.
Sauras-tu dans cette liste identifier l’ad verbum?
le doôôômm’
Oui : on peut pas prendre des sumos pour tout !
Sergio c’est quand même dommage car nonobstant le spectacle nous pourrions doubler voire tripler le volume de nos importations alimentaires ce qui majorerait notre déficit de la balance extérieure tout en restant sympathique au yeux du monde asiatique et quand on sait que les flux boursiers fonctionnent au psychologique plus que sur une réalité palpable, nous pourrions escompter au final enrichir un peu plus le CAC40 et les spéculateurs à la baisse.
Euh, le sub verbum.
(Pitié pour la piétaille)
bérénice dit: 6 mars 2014 à 17 h 51 min
doubler voire tripler le volume de nos importations alimentaires
Oui mais alors déjà que lorsque l’on s’enfuit par-dessous nos frontières où mugit plus rien, dès qu’on veut becqueter, hé bien c’est pas bon… On est des défas, quoi ! Et les autres pour eux en plus c’est le contraire… Des coups à se faire nationaliser dans un bled où ils bouffent genre des scorpions atomiques…
La Mégalo en Pédalo dit: 6 mars 2014 à 16 h 24 min
Bon, Court, je vais m’accordez avec vous sur un point : non, je ne pense pas qu’ »En finir avec Eddy Bellegueule » soit un roman
Ah bon ? mais alors, pourquoi le mort « roman » figure-t-il sur la couverture, juste sous le titre? Monsieur Edouard Louis s’est-il trompé de genre sans s’en rendre compte ? Ou bien a-t-il compté que les lecteurs le prendraient pour un roman ? Dans ce cas, a-t-il pris ses lecteurs pour des cons ? Qu’il est donc facile d’écrire des romans !
si les informations sur la toile sont exactes et que « Si Victor Hugo remplace le premier la culotte à la française avec bas de soie par le pantalon (1848), »
c’est donc 47 ans après l arrêté du Consulat (13 mai 1801), dans son article II,
ce qui m’impressionne, quand même dans la tenue du rituel, c’est l’épée
http://www.bibliotheque-institutdefrance.fr/archives/precedentes/EPEES.pdf
Deux ou trois choses que Jean Echenoz sait de Christian Gailly, son ami disparu
Rouaud, Delacomptée, Echenoz… La littérature contemporaine renouerait-elle avec un genre musical qui eut ses riches heures de Marin Marais à Ravel, mais aussi en poésie (Baudelaire, Mallarmé, Hugo) : celui du Tombeau ?
Hé ben c’est pas dur, il s’agit d’un roman qui est… Comment dire ? Romancé…
Sur la photo, les vilains toits, antennes et cheminées bousillent vraiment la noble ordonnance des balustrades à la française. Il aurait fallu prendre le cliché d’un peu plus près.
813 commentaires et une écrasante majorité qui n’a rien à voir avec les sujet raité par PA! Que des bavardages, des trucs à dormir debout et encore, à condition d’âtre très fatiqué, des délires… Bref que de l’ennui!
Par contre ce billet de PA, très sarcastique et ironique, nous engage à le surveiller de près, afin qu’il ne se présente pas un jour chez les immortels. D’autres, bien plus méchants vis à vis des 40, se sont laissés un jour éblouir par les rompettes de la renommée…
« 813 commentaires et une écrasante majorité qui n’a rien à voir avec les sujet raité par PA! »
816 au moment où vous mettiez en ligne votre post : http://larepubliquedeslivres.com/quand-est-quelquun-pourquoi-vouloir-etre-quelque-chose/#comment-196744
« Que des bavardages, des trucs à dormir debout et encore, à condition d’âtre très fatigué, » (paniss)
Assis devant sa cheminée?
Avoir un blog avec beaucoup d’autorité
« une écrasante majorité qui n’a rien à voir avec les sujet raité par PA! »
Sujets ratés?
Halte.
« D’autres, bien plus méchants vis à vis des 40, se sont laissés un jour éblouir par les rompettes de la renommée… »
— Vous souhaitiez devenir quelque chose?
Rompez!
« « Si Victor Hugo remplace le premier la culotte à la française avec bas de soie par le pantalon (1848), » »
Entre nous, Hugo, on s’en fout un peu.
Que les femmes en fassent autant, voilà qui est davantage digne d’attention.
il n’y a que l’ineffable MCourt-vêtu pour savoir si un roman est un roman, voyons ! ah! pédantisme quand tu nous tiens voilà du boudin
surtout, u., quand les femmes n’en portent plus
« ah! pédantisme quand tu nous tiens »
ciboulette
« Onésiphore de Prébois dit: 6 mars 2014 à 18 h 26 min
Sur la photo, les vilains toits, antennes et cheminées bousillent vraiment la noble ordonnance des balustrades à la française. »
Les propos du ci-devant Prébois ne sont-ils pas réactionnaires?
(C’est rien, Paniss, juste un p’tit blanc, à la vôtre)
il n’y a que l’ineffable MCourt-vêtu pour savoir si un roman est un roman, voyons ! ah! pédantisme quand tu nous tiens voilà du boudin
Ben on le savait déjà que t’étais un gros boudin, tu préfères étron?
« Curiosa dit: 6 mars 2014 à 18 h 48 min
surtout, u., quand les femmes n’en portent plus »
Hélas.
Elles ne le font plus que sur invitation.
Onésiphore de Prébois dit: 6 mars 2014 à 18 h 26 min
les vilains toits
A Nancy le Lorrain il a pas froid aux yeux, on a un sommet en tuiles rouges et des flancs en ardoise, ça fait une sorte de calvitie aux baraques !
Oh !
C’est vrai, U., le pantalon ou les bas de soie, ça c’est un vrai sujet de débat.
Quand je pense qu’on nous rebat les oreilles avec des histoires de cloportes qui espionnent d’autres cloportes, un magnéto dans les chaussettes …
pffff !
Quel ennui.
Cucul qui porte bien son nom a l’aire d’en connaître un saprè rayon
« A Nancy le Lorrain il a pas froid aux yeux, on a un sommet en tuiles rouges et des flancs en ardoise, ça fait une sorte de calvitie aux baraques ! »
À l’est comme à l’ouest, soutenons le mouvement des bonnets rouges, patron.
813 commentaires et une écrasante majorité qui n’a rien à voir avec les sujet raité par PA! (Paniss)
Ce n’est pas nouveau et c’est probablement vrai de tous les fils de la RdL depuis qu’elle existe. Le refus assoulinien de pratiquer une modération drastique, comme cela se pratique sur la plupart des blogs professionnels fréquentés, en est la cause. Si l’on considère que les commentaires en rapport avec le sujet du billet doivent représenter approximativement 10% du total, cela fait encore environ 80 billets « pertinents » (au sens restreint du terme), ce qui, me semble-t-il,constitue un score déjà considérable. On ne sait pas dans quelles conditions la modération de ce blog est assurée. J’ai parfois l’impression que c’est Assouline qui s’en charge quand il en a le loisir. Mais il est sûr que le régime excessivement tolérant et certainement trop laxiste qui est celui de ce blog est source de plusieurs dérives récurrentes dont tout le monde voit les effets. Peut-être qu’une charte de bonne conduite minimale sur les termes de laquelle une majorité d’intervenants s’engageraient pourrait constituer une amorce d’amélioration. Les termes principaux pourraient être les suivants :
– Je m’engage à ne tenir aucun propos abusivement agressif, grossier, injurieux, menaçant, envers un autre intervenant, quel qu’il soit.
– Je m’engage à n’utiliser qu’un seul et même pseudo
– Je m’interdis toute usurpation de pseudo.
En ce qui me concerne, sur les trois point qui précèdent, je m’engage définitivement.
Quelle tarte ce paniss!
« C’est vrai, U., le pantalon ou les bas de soie, ça c’est un vrai sujet de débat. »
Eh oui, Daaphnée, à l’heure où certaines communes manquent de candidats à l’ingrate fonction de maire (ingrate mais noble, dirait Prébois) –c’est navrant.
Voilà qui revitaliserait la tradition démocratique de nos pères.
813 commentaires et une écrasante majorité qui n’a rien à voir avec les sujet raité par PA! (Paniss)
t’enlève Lapine Trouille et ses problèmes de surpoids et ça fait tout de suite plus leger.
« Mais il est sûr que le régime excessivement tolérant et certainement trop laxiste qui est celui de ce blog est source de plusieurs dérives récurrentes dont tout le monde voit les effets. »
Quand Prébois se met à parler comme un énarque, je me dis qu’il se fout de moi.
qu’et-ce que cet « entre nous » ?
NE pourr
Bref que de l’ennui!
mais vas tfaire enlécu..
– Je m’engage à ne tenir aucun propos abusivement agressif, grossier, injurieux, menaçant, envers un autre intervenant, quel qu’il soit.
– Je m’engage à n’utiliser qu’un seul et même pseudo
– Je m’interdis toute usurpation de pseudo.
En ce qui me concerne, sur les trois point qui précèdent, je m’engage définitivement.
Ben quoi ? J’ai déjà arrêté la cigarette et l’alcool depuis plusieurs années.
entre nous ? ne serait-ce pas aussi ce que recherche en tot
Bon, U., de toutes les manières il ne faut pas mollir … Bien.
Alors, vous vous présentez et je vote pour vous .. j’en dirai qqs mots à qqs amis et le bouche à bouche aidant .. Soyons optimistes.
Si.
A Nancy le Lorrain il a pas froid aux yeux
patton y disait comme ça que ça valait pas l’coup dse battre pour un pays pareil..qu’il aille sfaire enlécu avec pastis
« Quand Prébois se met à parler comme un énarque, je me dis qu’il se fout de moi. »
Et je pense à Clopinou.
Ce n’est pas encore le temps de la douche froide.
« Ne les écoute pas, Clopinou.
La langue n’y est pas toujours de bois ».
Quand Prébois se met à parler comme un énarque, je me dis qu’il se fout de moi. (u.)
C’est que j’ai fait mes classes comme conseiller municipal.
ce à quoi aspire en semi inconscience (ah cher Philippe Sollers!)ce à quoi aspire ces immortels ?
( Ooooooops !
Oreille, le bouche à oreille ..
Quoique, ce sont les bouches qui parlent, les oreilles ne servent pas à grand chose en ce cas.
Bon, comme vous voulez ..)
jean marron fait son dédé..les martiens vont l’prende par le petit
« En ce qui me concerne, sur les trois point qui précèdent, je m’engage définitivement »
Onéné
Whouarf !
Déconne pas Colette si tu arrêtes passou perd 50% de son activité.
aspirent !!
« le bouche à bouche aidant .. Soyons optimistes. »
Ouais.
Ça veut dire que je suis sur le dos sur la plage, avec des faiblesses de poitrinaire.
C’est que j’ai fait mes classes comme conseiller municipal. (mézigue)
Ce n’est pas parce que je suis actuellement en délicatesse avec quelques juges gauchistes pour d’obscures histoires de factures et de marchés prétendument truqués que l’efficacité de mon Verbe s’en trouve le moins du monde diminuée.
Think positive, U !
Whouarf !
Déconne pas Colette si tu arrêtes passou perd 50% de son activité. (Moderato)
Ce qui est terrible dans une société corrompue, c’est la puissance des sirènes de la corruption sur les rares êtres encore vierges de souillure.
– Je m’engage à ne tenir aucun propos abusivement agressif, grossier, injurieux, menaçant, envers un autre intervenant, quel qu’il soit.
Exemple :
Chaloux est un gond.
Eh bien non ! C’est encore trop ! Je me l’interdis et me l’interdirai. Croix de bois
croix de fer, qui le fait pas va en enfer.
Dirai-je :
– Chaloux n’est pas la moitié d’un gond ?
Non ! non encore! c’est beaucoup trop ! il faut diviser, et dire, par exemple :
– Chaloux n’est pas la moitié de la moitié d’un gond.
Et même :
– Chaloux n’est pas le quart de la moitié d’un gond.
Voilà, c’et presque acceptable . Mais je suis sûr que je peux faire beaucoup mieux. c’est comme pour la cigarette, il faut beaucoup s’entraîner. Du vapotage intellectuel, en somme.
– Je m’interdis toute usurpation de pseudo.
Ce matin, j’ai usurpé le pseudo à Passou.
Je ne le ferai plus.
Je connais le repentir.
» Il faut avoir vraiment touché le fond pour espérer revoir la surface » (Ephésiens, XXL, 126 d )
les remarques sur la « translittération » me semblent certes justifiées pour les enfants de J.O.Casting
( Après une psychanalyse auprès de Lacan puis Dolto, elle devient elle-même psychanalyste et développe un point de vue nouveau, notamment à travers un cours sur la femme à l’université d’Aix-en-Provence.
une psy qui décréta que si son mari, alors psy allait faire une tranche avec LACAN,, il avait donc une question « homo ».
cela dit , la translittération n’est pas indifférente à la langue du locuteur (très sensible chez les gens d’afrique du nord) et au genre (prononciations dites de femmes..
ce qui ne ressort pas du texte de Mme Sallenave (que je n’aime guère)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Christiane_Olivier
^recherches et n’ont j
réponse à DHH et quelques autres
ces remarques ont été suivies de recherches de professionnels et n’ont jamais été contestees
, c’est l’échange mère/fille qui est donc mis en avant comme pendant de l’échange mère/fils. Cette comparaison nouvelle demande par exemple « Pourquoi la fille est-elle allaitée en moyenne 25 minutes contre 45 pour le garçon ? ». Bien avant l’âge de l’œdipe, il existe donc une différence entre les relations mère/fille et mère/garçon. Pourquoi ? D’où vient-elle? Et surtout quelle est-elle, qu’engendre-t-elle dans la construction de chacun et dans la société en général ?
Pour la première fois, la constitution du psychisme féminin envisage l’empreinte de la mère (sous-titre de son livre) ce qui en permet la double approche des effets et des causes, sans pour autant « accuser la mère ».
Suivra l’ouvrage Fille d’Ève qui approfondira le sujet de la relation mère-fille, puis d’autres livres, sur la violence ou encore les enfants rois.
, c’est l’échange mère/fille qui est donc mis en avant comme pendant de l’échange mère/fils. Cette comparaison nouvelle demande par exemple « Pourquoi la fille est-elle allaitée en moyenne 25 minutes contre 45 pour le garçon ? ». Bien avant l’âge de l’œdipe, il existe donc une différence entre les relations mère/fille et mère/garçon. Pourquoi ? D’où vient-elle? Et surtout quelle est-elle, qu’engendre-t-elle dans la construction de chacun et dans la société en général ?
Pour la première fois, la constitution du psychisme féminin envisage l’empreinte de la mère (sous-titre de son livre) ce qui en permet la double approche des effets et des causes, sans pour autant « accuser la mère ».
Suivra l’ouvrage Fille d’Ève qui approfondira le sujet de la relation mère-fille, puis d’autres livres, sur la violence ou encore les enfants rois.
par ailleurs, puisque la critique littéraire n’hésite pas à parler d’ADN d’un texte, on parle d’empreinte génétique du père , et de la mère
http://www.larecherche.fr/actualite/aussi/empreinte-genetique-du-pere-mere-14-09-2010-67954
Wanderer Fantasy
J’ai lu, j’ai compris, j’ai conclu :
« Les termes principaux pourraient être les suivants :
– Je m’engage à ne tenir aucun propos abusivement agressif, grossier, injurieux, menaçant, envers un autre intervenant, quel qu’il soit.
—> NON !
– Je m’engage à n’utiliser qu’un seul et même pseudo
—> NON !
– Je m’interdis toute usurpation de pseudo.
—>NON !
En ce qui me concerne, sur les trois point qui précèdent, je m’engage définitivement.
—> NON ! je m’engage à faire systématiquement le contraire, au nom de la liberté d’expression utilisée par les imbéciles dans mon genre … majoritaires.
@ lettres mes amours dit: 6 mars 2014 à 19 h 51: Je suis d’une génération, où la mère se faisait souvent remplacer pour allaiter l’enfant. Je n’ai donc pas eu ce contact directe, mais so what ? Mon frère et ma sœur, nés en pleine guerre, furent allaités par leur mère, ils n’eurent pas par la suite, des rapports bien meilleurs.
…
…@,…Bérénice,…à ,…14 h 25 mn,…
…
…je suis , vraiment sorti, prendre l’air,…
…
…et, je ne pense pas comme cela,…avec des oeufs fragiles partout,…
…
…mais, plutôt,…avec des propos, qui peuvent coïncider, avec des soins à distances,…suivant la maturité de l’auditoire,…quelque chose dans ce sens,…
…
…c’est dans la vitesse des assimilations et combinaisons du » verbe « , s’entend,…
…comme de simuler une comédie avec dans les actions panoramiques,…les interventions en plus,…pour colorier des jeux de masses, et les mieux identifier,…et les ressortir,…à ma vue,…au moins,…etc,…
…sans plus !,..
@u.
Maria Tipo, somptueuse pianiste,-presque trop somptueuse.
Ci-dessous, un pianiste que j’apprécie de plus en plus. Peut-être pas le plus démonstratif (Horowitz le trouvait un peu coincé, selon David Dubal dont je lis à petites foulées le « Evenings With Horowitz »)mais auquel je m’aperçois que je reviens toujours, Murray Perahia. Divine simplicité, divine justesse.
6e partita.
http://www.youtube.com/watch?v=4bysAtUv1Fg
(John Brown, j’apprécie tes considérables efforts : tu ne recevras pour le prix de ta peine que des quarts de baffes).
Passou, de quel académicien est-ce l’épée exactement?
Le fait que l’institution elle-même souffre de pratiques comparables aux mafias en usage au sein de la banque vaticane n’exclut pas que Dieu (je veux dire le fait culturel) existe! Ni que les 40 ne comptent pas par-ci par-là quelques talents, quelques compétences parmi eux. Ou bien est-ce unanimement un aréopage de vieux cons, sans exception?
Horowitz trouvait Perahia un peu coincé, mais il le respectait et certainement admirait son jeu. C’est tout dire.
Pour répondre à je ne sais qui, oui j’ai lu Rolin. Lequel? Les deux mon Général, Jean et Olivier, et je trouve le premier nettement supérieur au second. Et oui encore, en lisant le bouquin de Garcia, les occasions de tomber des nues pleuvent. Il n’est question ni de puritanisme moral ni quoi que ce soit en soulignant qu’il y a de quoi pointer le fonctionnement et la gestion pourris, quasi régaliens de l’Institut. Ahurissant lorsqu’on songe aux sommes engagées et à leur mode d’attribution.
Sans avoir le couteau entre les dents – je péterais plutôt dans la soie, comme on dit chez vous – arrive un moment où il ne faut quand même pas se foutre du monde. Michon est un écrivain plus crédible que les pré-cités, Monsieur Fils et tutti quanti et continuera de toucher des clopinettes, faute d’appuis. Vous trouvez ça sain? Alors continuez avec votre ministre du budget qui se goinfre, et baisez-lui les pieds! Nous, nous avons notre Croix avec la fille de l’Ambassadeur élevée aux Ferrero Roche d’or, Mlle Nothomb. Nous faisons de notre mieux pour nous en purger et ça n’est pas toujours facile.
Faites le ménage de votre côté dans votre vie culturelle bananière, et les vaches seront mieux gardées. A voir toujours les mêmes paître aussi grassement, elles risquent d’éclater!
C.D.
soit dit en passant, zagdanski a répondu sur son blog à Sollers (faux calculs)
Le mot le plus drôle sur une réception académique que je connaisse, et qui n’est pas très souvent cité, concerne Mathieu Mollé, lequel était sourd et réputé pour aligner les sottises (mais il me semble que la réalité est moins simple, ses souvenirs si je me souviens bien se lisent avec intérêt).
« Il n’est point muet, tant pis pour Elle. Elle n’est point sourde, tant pis pour lui ».
Je pense que ne pas allaiter un enfant quand on peut le faire est une violence qu’on inflige à celui-ci, et c’est en tous cas parfaitement contre nature. Il faudrait sans doute légiférer à ce sujet, mais qui aura le courage de le faire ?
à TKT
il y a aujourd’hui des critiques littéraires qui vont jusqu’à écrire, plaider? s’excuser? qu’ils /elles ne sont pas psychanalystes !
par contre contact direct , sans e , même si vous l’entendez parfois selon que c’est dit par* ou par****, et le lisez ainsi translittéré par ????
bonsoir
…
…@,…Chaloux,…
…
…il faut bien, jouer avec nos experts en » cache-cache « ,…pour leurs faire rater leurs » gay’s « ,…débats d’en être las!,…etc,…
…
Il faudrait commencer par changer les mentalités, parce beaucoup de femmes pensent que c’est anodin, parce que beaucoup d’autres font pareil, parce que le corps médical n’a pas le courage de dénoncer cette pratique, parce que les effets néfastes sont souvent diffus et se manifestent tard, non seulement d’un point de vue immunitaire, mais aussi psychologique.
J’ai lu, j’ai compris, j’ai conclu : (etc) (JC)
Ce refus de passer le Rubicond (pardon : le Rubigond) de la bonne volonté, d’aller au Canossa de la réconciliation, de passer sous les fourches caudines d’un fraternel embrassons-nous-folleville , à un moment où même un Chaloux témoigne d’un louable désir de modération, est un déplorable exemple pour notre jeunesse et nos fumelles.
n°2 de la maison en France, la poutre alsacienne du 17ème siècle
http://www.youtube.com/watch?v=My9gIUymw3c
Merdre,
encore les académiciens !.
Ne t’estime pas sauvé, John Brown.
Pour le reste, je regarde Les Grandes Espérances sur Arte. Comment la BBC réussit-elle a faire des téléfilms aussi somptueux -et justes- tandis que les nôtres sont aussi mauvais et minables?
Mystère françoué…
Patriiiiiiiiiiiiick !
– sic –
Approchez, approchez,
On va danser le Big Bisou
Big Bisous en Anglais, ça veut dire gros baiser.
Une Lune de printemps sur Paris,
un premier quartier magnifique,
et demain de même,
certainement.
Une Lune qui nous semble inamovible.
Cherchons les proverbes français qui puissent nous annoncer, lors de cette situation, ce qui pourrai bien nous arriver après la pleine Lune.
Ce qu’il y a d’amusant avec la Lune :
C’est quelle monte et elle descend !.
Cette pénurie de gravas dans la presse
…
…c’est pas mal,…le faux décor de commentaires,…
…Oui!,…çà en jette,…et en lambeaux,…et sur les traversins,…
…au théâtre ce soir,!…histoire d’Ô pure,…
…un régal,…d’humiliations entre partis pris,…etc,…
…le baiser de paix en privé,…t’a vu l’heure,…c’est à cette heure ci qu’on rentre,…
…
…L’Eau dans l’Industrie par Bourrey,…1909,…Octave Doin et Fils,…
…
…au moins, déjà pure absolue,…pour faire la bière,…
…
Typhon baliscan, please.
« Daaphnée dit: 6 mars 2014 à 19 h 09 min
Bon, U., de toutes les manières il ne faut pas mollir … »
Déjà qu’elle est si petite !
Giovanni Sant’Angelo dit: 6 mars 2014 à 22 h 34 min
…le baiser de paix en privé,…
Le baiser Lamourette !
Béhémoth dit: 6 mars 2014 à 22 h 34 min
Quant au quart de Lune,
A +.
Ah ouais, le stilnox
non mais sans rire
tu te crois où pour me demander de me droguer?
lettres mes amours dit: 6 mars 2014 à 19 h 53 min
« Pourquoi la fille est-elle allaitée en moyenne 25 minutes contre 45 pour le garçon ? »
Parce qu’on a la dalle, corboeuf !
bouguereau dit: 6 mars 2014 à 19 h 09 min
A Nancy le Lorrain il a pas froid aux yeux
patton y disait comme ça que ça valait pas l’coup dse battre pour un pays parei
Ha ben si même le Ricain il s’en rend compte ! C’ezt pire : il fallait le laisser aux Tudesques ! Les dédommager pour qu’ils le gardent… Le Kaiser il les aurait eus sur le dos nous aurait foutu la paix pour le reste…
c’eSt, Trommelfeuer !
Merci, mais 1′ suffit.
Je préfère le concert de Monterrey.
Bin tînt chaï i vodka !.
Cette volée de nèfles à poite vert.
u. dit: 6 mars 2014 à 18 h 59 min
À l’est comme à l’ouest, soutenons le mouvement des bonnets rouges, patron.
Ha oui mais du vrai de vrai alors… Avec des trains blindés… Des usines Poutilov… Des vastes étendues… Des barons von Ungern !
…
…Sergio,…
…habitué avec mes livres,…
…à l’aventure,…
…pas de goûts au devant de discothèques, depuis 25 ans,…
…
…le fric,…l’amour avec du fric,…aucun sentiments réels, juste sursis,…à la mode,…le genre d’époque,…<< çà tourne pour moi, la planète <<,…
…
…trop vénales,…nos partenaires de notre époque,…toute des lèches à pognons,…
…qu'on se le dise,…
…
…les amours entre mes parents, c'était encore comme les tableaux de Watteau,…etc,…
…
ce sont les bouches qui parlent
leçon d’anatomie à l’académie passou.. brrrrrrrrref..
Sérieux, un jour il faudra branler des professeurs Simon http://i36.servimg.com/u/f36/11/76/81/41/simonl10.jpg
C’est de ça qu’on parle dans mon quartier
ah ça, les donneurs de leçons..
comme si les journalistes n’y suffisaient pas.. enfin, cela fait longtemps que les comiques font aussi dans le genre..
bonne nuit..
…
…bonne nuit!,…et le printemps revient au galop,…etc,…
…
Troll, troll, troll
J’y vois là une pointe d’ironie
Puisqu’il est question de « Diplomatie », attention de ne pas prendre au tragique le scénario de cette catastrophe de film. Les monuments dits menacés ne l’ont jamais été. Hitler n’a pas donné d’ordre de destruction mais, deux jours avant la fin, un ordre de se battre fût-ce au prix de destructions, tardif et inapplicable : Choltitz et ses soldats étaient déjà une arrière-garde sacrifiée pour sauver le gros de la troupe, sur la défensive et vouée à la captivité.
Certes la fiction a tous les droits… à condition de se présenter comme telle.
Encore un viol de l’Histoire qui donne un avorton … !
…
…bien là tannée la peau d’abrutis,…
…
…du cinéma d’histoires aux peuples, pour les zibelines bien montées,…
…
…alors ce Cinéma,…çà rentre ou faudra t’il encore recommencer,…les prises de vues,…avec vos restes de disparues pour faire » hard’s » & » non-retour « ,…en gélatine des contre-moules à la cire,…
…
…long tube panoramique,…les réserves sont à sec sir,…O.K,…
…faîtes des liens court-métrages avec des marionnettes sous caches à tout voir, sans rien montrer d’ombres chinoises,…
…
…sexplicite sur les flancs hypocondriaque, le centre enfoncée, la cavalerie pilonnée, c’est » gay’s » chef,…je sens mieux le film en moi,…
…à la bonne heure,…l’animal académique,…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…
…
Bonjour M. Delpla.
Philosophiquement parlant, c’est à dire pas psychologiquement, ce film « Diplomatie » n’est pas à prendre au tragique – attention, vous allez faire peur restropectivement aux parisiens !- Mais comme une tragédie. Au sens noble du terme théâtral. C’est pas pareil. Schlöndorff a tout inventé de cette nuit d’août 1944, il faudrait peut-être le re-préciser.
« Hitler n’a pas donné d’ordre de destruction mais, deux jours avant la fin, un ordre de se battre fût-ce au prix de destructions, tardif et inapplicable : Choltitz et ses soldats étaient déjà une arrière-garde sacrifiée pour sauver le gros de la troupe, sur la défensive et vouée à la captivité. »
Le film en cela ne trahit pas l’histoire. Pas un instant !
« vouée à la captivité » ? C’est en connaissant la fin de l’histoire et en simplifiant, que vous pouvez alléguer cela.
« Schlöndorff a tout inventé de cette nuit d’août 1944, il faudrait peut-être le re-préciser. »
C’est inexact aussi. Il faut aussi voir le scénario de Cyril Gély.
rétrospectivement, M. Delpla.
C’est encore une histoire d’espion suedois du camp de la paix, ‘trouvez pas ?
Puisqu’on patauge dans l’Histoire contemporaine : un cas d’école.
Les Grecs qui reçoivent le Président allemand remettent le couvert : ils lui demandent aujourd’hui des indemnités pour les exactions allemandes datant de WWII en Grèce …
Quel culot ! Les nazis leur apportaient la civilisation … et, en plus, gestionnaires de qualité, dirigeants « exemplaires », on voit mal ce que les Grecs actuels en faillite feraient de la manne teutonne.
Réponse polie des Germains : « Euh…non ! »
ce sont les bouches qui parlent
Bac+7, une expertise dans toutes les dimensions.
M. Delpla, vous avez plus d’information sur cet ordre d’ hitler qui faisait que les familles des dirigeants militaires allemands,- tous confondus- étaient tenues en otage, pour le cas où ils seraient tentés par l’insoumission ?
C’est une notion sensible, ça, « l’obéissance ». Très.
Question 6 mars 2014 à 20 h 29 min :
réponse 4 mars 2014 à 9 h 00 min.
Ouvisseversablement.
« Certes la fiction a tous les droits… »
Enfin M. Delpla, tout le monde sait que l’on trouve des pieuvres géantes dans les paludes… même loin, très loin, de la mer… c’est même étonnant que Gide n’en ait pas parlé… Et il ne faut pas croire que Dartmoor a le monopole du chien démoniaque… dans toutes les landes désolée on trouve au moins un chien démoniaque et / ou une momie vengeresse…
Demain journée de « la » femme càd de daaphnée
Les Grecs devraient se taire car ils sont entrés dans la zone € grâce à une escroquerie organisée sur ordre de leur gouvernement.
ELECTIONS
Vous ne trouvez pas que, les Académiciens français, gens cultivés, remarquables humanistes, intellectuels brillants, Sages de la république, joyaux de notre pays charmant, devraient avoir DEUX bulletins de vote au lieu d’un seul ?
A contrario, les voyous des banlieues du 93, dealers crapuleux, infâmes commerçants, entrepreneurs mafieux, seulement une DEMI-VOIX voire ZERO …?
Bon nous avons le choix d’errer d’erreur en horreur, dans le sens du retour d’horreur en erreur, existe-t-il un itinéraire de délestage ou une possibilité de déroger à l’habitude pour vaincre l’ennui ennemi? Peut-être envisager une déviation pour juste un tour de l’horreur avec une option pour ceux qui ne douteraient pas du tout de l’erreur.
JC tout à fait d’accord d’ailleurs pour accélérer le processus nous devrions tout droit aller visiter et faire fonctionner les rivières pourpres.
Béré,
Votre « nous devrions tout droit aller » de 8:20 est en contradiction avec votre cheminement tortueux de 8:17 … Quelle versatilité, en si peu de temps !
Voir passer le convoi avec les officiels allemands et grecs etait impressionnant.
Deux pre-voitures alertant du passage et stoppant la circulation. Deux voitures officielles avec les huiles : une blanche une noire. Six voiture de VIP numerotees n1 n2 etc. six voitures de sous VIP six voitures de presse et pour terminer une ambulance.
Impressionnant defile.
Moquez-vous des grecs. Ils restaurent l’Acropole et leur nouveau musee est a la hauteur.
Maintenant avoir un treizieme mois puis un quatorzieme puis un quinzieme et s’etonner de la crise, ben non.
Lire les polars de Petros Markiaris, jouissifs, explicatifs. Et imaginaires sur la crise economique grecque, mais bien vu quand meme.
Si quelqu’un devrait de taire, (quelque deux d’ailleurs), il ne me semble pas que ce soient les grecs…
se taire
De toutes façons ce film est tortueux et torturé et quand bien même, on peut marcher droit vers l’horreur ou dans l’erreur, s’y enfoncer comme dans une foret dense. Je ne vois pas ce qui vous gène ou ce qui se pose en termes contradictoires dans ces deux posts.
Qui devrait se taire, rose, sinon ces Grecs voyous … ?
renato dit: 7 mars 2014 à 8 h 11 min
Toto fait de la politique… « Le grecs devraient se taire »… Pendant que la Grèce est à l’état de pillage… Pauvre c…
JC….. dit: 6 mars 2014 à 20 h 19 min
tout est dit
je ferai iech le monde jusqu’au bout pour que l’on se souvienne de moi !
C’est une methode, peu reluisante certes mais cela en est une.
Quand on n’est toujours personne, hélas,
au moment de soi où une moyenne trépasse,
peu de chance d’entamer la métamorphose
qui évite de finir en pas grand chose.
Academiportionmagiquement.
Mais enfin, ami Chaloux ! Les Grecs se sont comportés comme des voyous, tous …, un scandale que nous finançons !
Quelques précisions sur les ordres de Hitler et les déformations (énormes) de Gely-Schlöndorff : http://blogs.mediapart.fr/blog/francois-delpla .
des journées entières dans les arbres dit: 7 mars 2014 à 8 h 01 min
M. Delpla, vous avez plus d’information sur cet ordre d’ hitler qui faisait que les familles des dirigeants militaires allemands,- tous confondus- étaient tenues en otage, pour le cas où ils seraient tentés par l’insoumission ?
C’est une notion sensible, ça, « l’obéissance ». Très.
L’un des plus gros reproches qu’on puisse leur faire et ce, je pense, à la fois historiquement et sur le plan de l’intérêt du scénario, est de consacrer le dernier tiers du film au mythe de la Sippenhaft.
Cette loi du 1er août 1944, présentée par Arestrup comme spécialement destinée à le contraindre à détruire Paris (alors qu’il reçoit de Hitler sa mission le 7 !), dispose qu’on peut punir la famille pour les fautes d’un absent. Il traduit : ma femme et mes quatre enfants seront « exécutés » dans les 24 h si je ne fais pas sauter la tour Eiffel et consorts. Dès lors, lui et Dussolier ne discutent plus que du moyen de leur faire gagner entretemps la frontière suisse !
Dans les faits, cette loi vise les conjurés du 20 juillet, s’appliquera notamment à la famille de Stauffenberg (bien qu’il ait lui-même été pris et fusillé !) et n’aura pas de conséquence plus fâcheuse que le camp et l’orphelinat.
Dans ses mémoires, certes mensongers mais néanmoins (et surtout nez en plus) intéressants, il écrit p. 209 que, dînant au mess du QG de Hitler, le 7 août, juste après avoir reçu ses ordres, il vit s’asseoir un SS élégant, que les officiers présents traitent avec beaucoup d’égards et dont il a oublié le nom (!), qui l’informa de l’existence de cette loi. Il n’en tira d’autre conclusion que celle-ci : « Etait-il possible de s’abaisser à ce degré ? Des femmes, des enfants innocents, menacés d’être anéantis pour donner plus de vigueur aux ordres ! ». Et il ne revient pas sur le sujet dans le récit de son commandement parisien.
rose dit: 7 mars 2014 à 8 h 38 min
Mais non, rose…. pour le fun, seulement !
Pour le reste, je regarde Les Grandes Espérances sur Arte. Comment la BBC réussit-elle a faire des téléfilms aussi somptueux -et justes- tandis que les nôtres sont aussi mauvais et minables? (Chaloux)
Impressionnante en effet, cette série de téléfilms britanniques qui, depuis des mois, font oublier la médiocrité de la fiction télévisuelle française. Il y a là un mystère que les seules mines (exceptionnellement riches il est vrai) Dickens et Austen ne suffisent pas à expliquer. Il n’y a pas que des comédiens d’un très grand talent, il y a des gens qui manient la caméra en grands maîtres (voir le téléfilm « Broadchurch », formellement d’une très grande force et beauté). L’école britannique est de très loin le leader européen de la fiction télévisuelle.
Le peuple devrait se taire alors qu’on lui fait porter le poids d’un endettement et des détournements des fonds européens savamment gérés par une administration crapuleuse et corrompue, ils ont raison de se révolter, toujours aux mêmes à devoir endosser ces vols pour une deux générations qui seront sacrifiés sur l’hôtel d’une soit disant démocratie, gérée par de voleurs habiles qui ne seront pas incriminés.
visiblement évoquer la corruption des dirigeants grecs et l’injustice qu’il y a à faire endosser ces vols au peuple, à la jeune génération celle qui suivra également, parler de détournement des fonds européens est passible de modération, c’est néanmoins sur toutes les télés.
Hé ! le chacal, prenez quelques infos, puis, éventuellement vous causez.
le petit monde des mains à plumes
Le petit monde des mains à plumes ou le petit monde des nains à plumes ? « Yersin sait bien qu’il est un nain », écrit Patrick Deville dans « Peste et choléra ». On rêve d’un Socrate (ou d’un Diogène ?) tel que le vainqueur de la peste, débarquant quai Conti et arpentant les couloirs de ce temple des vanités. « Tout ce que je sais, c’est que je suis un nain »…
Bérénice, les dirigeants grecs ne sont pas les seuls responsables du désastre économique et financier ! Pas du tout … le peuple grec est tout à fait « complice » de cette « corruption » ! Pas d’innocence « à bon marché » pour le peuple grec : renseignez-vous, interrogez vos amis grecs !
JOURNEE DE LA FEMME
Si Passou était un « féministe littéraire révolutionnaire », à Dieu ne plaise, il nous pondrait pour demain 8 mars un billet d’envergure sur la littérature féminine française et mondiale !
Nous, les Mâles Langoureux et Féministes du MLF, nous fermerions notre gueule sinon pour abonder, féliciter, admirer, nos chères sœurs ! … et ces dames échangeraient points de vue, réflexions géniales, propos magnifiques, en place de chiffonnades et couche-bébés …
Bien entendu, dès le lendemain, la vulgarité, les injures, les menaces, la grossièreté de nos propos d’hommes reprendraient le dessus : nous sommes des guerriers littéraires ne supportant pas la démobilisation, n’est ce pas !!! Uhuhuhuhu…
Il y a là un mystère
jean marron..le maitre mot du libéralisme c’est le marché..en pépête, autrement nommé les prospects..et du potentiel d’amortissement de la pound investit par rapport à l’euro français..la langue c’est un moyen de production farabuleux..cheuloux et toi vous êtes des ânes bâtés..chargés de stout, de worcestère sauce et avec gaga par dessus en sus..brave bête
JC, il y a une différence entre corruption ordinaire et escroquerie… bon c’est vrai qu’à la longue même la corruption ordinaire produit des dégâts, mais là, avec l’escroquerie, nous sommes dans un autre registre, voyons en bref, sans entrer dans des trucs techniques qui pourraient donner des migraines carabinées aux lettrés : le gouvernement grec se retrouve avec des livres comptables imprésentables et demande donc à une banque de les falsifier pour rentrer dans ce fatidique 3%, c’est-à-dire le sésame pour entrer dans la zone € ; la banque fait ce qu’il faut, il reste toutefois des poubelles à vider (recycler la dette) et voilà les obligations sales (ou pourries si l’on préfère) achetées et vendue par les banques : votre banque, ma banque, la banque à chacal. Naturellement les cons tous à crier au scandale : « La banque est responsable », mais pas du tout, la banque a fait le travail que le gouvernement grec a commissionné, et elle a même émis une facture pour ce travail cinq-cents mille $.
Voyez ce qui se passe lorsqu’une entreprise falsifie ses livres comptables…
par zeus, ne sais tu pas que dire du mal des grecs ça donne mal au cul jicé ?
Les intrépides et pragmatiques Brits sont en télévisuel comme ailleurs adeptes du R.O.I. : produire des séries bien faites pour un bénéfice conséquent.
En France, on a pas d’argent mais des idées géniales… On tourne à petit budget subventionné, entre copains/copines … le résultat est là !…on est les meilleurs.
Renato, nous sommes complètement d’accord.
mais pas du tout, la banque a fait le travail que le gouvernement grec a commissionné
..et même pas mal de gars qui ont travaillé dans cette banque sont passé à bruxelles..comment que disent les italo américains déjà..ha oui « rien de personnel djeust biznèce »..t’es un monsignore mariole rénato c’est à dire donneur de leçon
adeptes du R.O.I.
voilà, faut jamais dire de mal de ses enculeurs jicés..ça les mets dans de mauvaises dispositions
Bouguereau, tu ferais bien de vérifier le respect des lois européennes dans le design de tes instruments de plaisir, ceci dans un souci d’export sans tracas judiciaires ultérieurs.
J’aime beaucoup ta pub pour les constructeurs automobiles : « Attachez vos gode-ceintures ! »
« dire donneur de leçon »
Quoi, seulement les leçonettes à deux balles que tu donnes seraient bonnes et justes ?!
Sippen…un mot banni, que certains anciens à monocle disparu lâchent dans des dîners prussiens (sans fourchette), à dégainer l’académique Sigmaringen.
Déjà plus de quarante ans que Schlöndorff prend des largesses avec l’histoire. Yourcenar en fit les frais pour l’adapatation de son « Coup de Grâce », jusqu’à ce qu’une bonne amie particulée lui explique que l’Allemand est engagé à l’extrême-gauche avec son épouse. Dans ce cas…mélenchons pas.
La qualité de ses téléfilms fait tout de même le bonheur des cinémathèques. « Le coup de grâce » le fut pour celle de Chaillot.
comment que disent les italo américains déjà..ha oui « rien de personnel djeust biznèce »
j’ai entendu dire que même le plus trapu d’entr’eux était italien..un kador à bruxelle..tu peux vérifier rénato ?
En cliquant sur l’article « Philippe Sollers » de Wikipedia (l’irremplaçable encyclopédie en ligne), j’y ai appris que notre prince des vanités était le lauréat, pour 2012, du prix Duménil. Ignorant tout (je ne dois pas être le seul) de ce prix, j’ai appris que, créé en 2007 par l’homme d’affaires Alain Duménil, il était décerné par un jury de seulement quatre membres (Eric Neuhoff, Pascal Thomas, Stéphane Denis, Marc Lambron) et comptait parmi ses lauréats, outre Philippe Sollers, Emmanuel Carrère, Jérôme Garcin, Franz-Olivier Giesbert, Patrick Besson, Anne Wiazemsky et Sempé : comme on voit, rien que de jeunes auteurs dont il convient de soutenir les fragiles débuts. Détail non dépourvu d’intérêt, le prix Duménil est le mieux doté des prix littéraires : entre 30 000 et 60 000 euros. Par ici la bonne soupe…
les leçonettes à deux balles
voilà..moi ça en sont pas rénateau..comme dirait jicé: on est daccord
entre 30 000 et 60 000 euros. Par ici la bonne soupe…
sur le marché..soit t’as beaucoup de prospect soi t’es en rente dans une niche..pour 60k€ c’est à chien..enfin je veux dire, la litterature se paie de mots
Il y a un traducteur du célinien-petit au fr. parmi les présents ?
J’aime beaucoup ta pub pour les constructeurs automobiles : « Attachez vos gode-ceintures ! »
moi ça srait comme clopine..tout le monde a vélo sans selle jicé, toi devant, avec une casquette de sport belge : avec la visière derrière
Trop d’invraisemblances historiques nuisent à l’histoire du film « Diplomatie », Schlondorff s’est prit les pieds dans l’escalier à vice de Napoléon III et miss Howard était moins belle en peinture que l’impératrice espagnole, olé !
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Cappelaere_Portrait_Miss_Haryett_Howard.jpg
« Quand on pensera avoir recueilli les « enseignements » de la guerre de 1914, il est permis de supposer qu’on conviendra tout de même de l’inutilité d’écrire l’histoire.On s’apercoit de plus en pus que toute reconstitution est impossible.D’autre part, il est bien entendu qu’une vérité ne mérite de demeurer exemplaire. » André Breton, les pas perdus.
Bon, alors j’ai pris une journée ordinaire (celle d’hier) sur la RDL, et j’ai compté.
Cela nous donne 51 pseudos différents, mais dont à l’évidence certains sont du même auteur. Une série « échelle, escalier, pause, puitepée », par exemple.
Un tiercé gagnant. Le vainqueur est BOUGUEREAU, avec 63 commentaires, devant CHALOUX avec 58, juste devant Jcé avec 52.
En second choix, on trouve Jacques Barozzi, 27; Clopine Trouillefou, 26; Bérénice, 25, U., 21, Onésiphore (mais celui-là change de pseudo comme de chemise, alors) 13, TKT, 13, Phil, 12, Giovanni San Angelo, 9, Sergio, 11, Connnaissuer de ver subtil ou d’ATC 13, etc; etc;
Les messages clairement trollesques sont à 65.
Les messages concernant le sujet (ou ayant un rapport, même lointain, avec) sont de 20.
Une exception notable : un certain DESMEDT a laissé, au beau milieu du n’importe quoi ambiant, un billet impeccable sur le sujet. Veni, vidi, puis reparti vite fait : on le comprend un peu.
Il y a de gros soupçons que, sous les multiples pseudos trollesques, seuls deux ou trois invidus se cachent.
Il y a aussi les parcimonieux : PAUL EDEL (3), DHH (4), Bihoreau de Bellerente, (1, et dans le sujet en plus), Abdelkader (1, idem), Pado (1, idem).
Les trolls s’en donnent vraiment à coeur joie ici. Bottes ancillaires, Dubrule, Valse, Aquarius, Ciboulette, Charles Beau de l’air, dédale et i.care, lecteur de José Bové ou de toc et de taille ne semblent vraiment être d’une vacuité extraordinaire, ne faisait que « rebondir » sur le message d’un autre pour le saupoudrer d’un soi-disant humour parfaitement nul.
Je crois qu’il faut se rendre à l’évidence : il y a quelque chose de pourri dans la République des Livres.
http://franzxaverwinterhalter.files.wordpress.com/2012/02/54-winterhalter-eugenie-houston-tx2.jpg
Le vainqueur est BOUGUEREAU
fais péter le lot
Phil dit: 7 mars 2014 à 9 h 36 min
Déjà plus de quarante ans que Schlöndorff prend des largesses avec l’histoire. Yourcenar en fit les frais pour l’adapatation de son « Coup de Grâce »
Il s’agit, jusqu’à plus ample informé, d’un roman !
D’autre part, dans le Tambour, autre adaptation de roman, le Troisième Reich apparaissait bien sous les traits d’une folie insidieuse et séduisante.
Rien de tel ici. Un dictateur résultant d’une hybridation du père Ubu et du général Tapioca, juste capable de raser une capitale et de massacrer des bébés. Avec ça velléitaire, et infoutu d’assurer le suivi de ses directives.
..ha trés joli baroz !..elle a un peu des noeils de chiouaoua..ça rajoute dans la classe dirait vontraube..il aurait pas tort comme dab
fais péter le lot
mais comme dirait lassouline.. »pas trop »
En second choix, on trouve Jacques Barozzi
..y’a des mots comme ça qui tuent baroz
» il y a quelque chose de pourri dans la République des Livres. »
Votre comptabilité aux allures d’inventaire à la Prévert montre, tout au contraire, Clopine, qu’au-delà du menu du jour proposé par le taulier le lecteur se voit offrir ici une carte riche et variée, sinon des plus cocasses et fantaisistes !
« Je crois qu’il faut se rendre à l’évidence : il y a quelque chose de pourri dans la République des Livres. » (Mère Trouille)
Mon dieu ! Mon dieu ! Mais quel drââââme….
oui mais non… ^ô^
quand même clopine compter au post c’est bien un truc de comptabilité saxonne..comment comparer un de mes post one liner avec ceux développé de polo ou de court..compte le billet de lassouline pour 1 et c’est le dernier tant que tu y es
..alors ce lot?
La catégorie des « seconds choix » c’est mieux que celle des « parcimonieux », non, le boug ?
Comme Passou est philosophe devant le hors sujet total, et en avant-première de la journée des femmes.
Hier, je me gare devant un salon de coiffure, en touchant avec d’infinies précautions la voiture précédente pour ne pas empiéter sur un carrefour. Surgissement de la tenancière enflammée et réprobatrice. Moi « Mais Madame, je vous ai caressée ! » Elle, du tac au tac : « Pas dans le sens du poil ! »
Elle a quand même vérifié soigneusement la virginité de son pare-choc. Nulle n’est parfaite !
« Pas dans le sens du poil ! »
t’aurais du répondre « madame je vous paie un grand maillot »
M. Delpla, Yourcenar accepta la proposition de Schlöndorff quand il lui vanta sa connaissance de la noblesse balte grâce à son épouse (von) Trotta. Mal lui en a pris car c’est le plus rouge des deux, c’est la femme. Yourcenar, férue de précisions historiques, subit le jeu vulgaire d’une cabaretiste graillonneuse berlinoise d’entre deux-guerres pour évoquer une baronne déchue de Vilnius. Schlöndorff aurait dû relire Keyserling.
clopine va te dire ce qu’est un « grand maillot » si tu sais pas françoué..bon c’est comme le tiquet de métro mais sans tiquet
François Delpla, la Libération de Paris, vérité historique ou légende ?
À un moment il faudrait s’accorder sur la nature du troll. En d’autres mots, c’est quoi un troll ?
..on dirait « éjaculat de tuberculeux..1 spermatozoides au cm cube » pour les parcimonieux baroz
le moment n’est pas venu rénato
bon je suis en pole position jusqu’à midi là
Jacques Barozzi dit: 7 mars 2014 à 10 h 14 min
François Delpla, la Libération de Paris, vérité historique ou légende ?
elle ne s’est pas du tout passée comme le chante Gelydorff, mais elle a eu lieu, c’est sûr !
Comment vous, Jacques Barozzi, si élégant dans vos propos pouvez-vus discuter avec cet infâââme bouguereau si crassouillard ?
« le moment n’est pas venu »
Quoi, maintenant tu t’improvises gérant du blog ou c’est Passou qui t’a donné procuration ?
il y a quelque chose de pourri dans la République des Livres.
oui le bas beuure de la mère Trouillefou
« mais elle a eu lieu, c’est sûr ! »
Documents à l’appui…
http://www.amazon.fr/liberation-paris-Barozzi-Jacques/dp/2858823162/ref=sr_1_12?s=books&ie=UTF8&qid=1394186066&sr=1-12
Mais le boug, Madame de Valognes, ne vous rappelle t-il pas le baron de Charlus ?
Clopine Trouillefou : 26
Total général dans le sujet : 20
Nous connaissons enfin l’un(e) des principaux trolls de ce blog.
« Dans son refus d’aborder le fond, de privilégier la forme et de débattre sans fin de la gestion des forums, le troll a une propension inimaginable à se placer dans l’affectif. Ses messages deviennent un jeu subtile de connivences, de divisions, de recherche d’alliés et d’ennemis. Il se croit ou se prétend copain avec Untel, alors que Machin est méchant et le persécute, et Bidule est maqué avec Truc, puis Trucmuche s’est engueulé avec ses Bisounours. En fin de compte, on obtient des messages très constructifs sur le thème : « Machin a raison parce qu’il est gentil, Truc a tort parce qu’il est méchant ». »
Tiens, pour changer de sujet, allez plutôt lire cela, ô passouliniens désabusés et cyniques :
Se pourrait-il que le Nouvel Obs’ ait fait dans la putasserie journalistique ? Notez que cela ne m’étonnerait qu’à moitié. Déjà, quand ils avaient publié la photo des fesses (retouchées en plus) de Simone de Beauvoir, j’avais trouvé ça particulièrement déplacé. Alors, que ce journal fasse désormais dans le populisme le plus outrancier, pourquoi pas ? (mais j’aimerais quand même lire l’article, pour pouvoir y répondre ça se trouve°.
Toute cette histoire nous ramène à Pierre Jourde, dont les enfants furent caillassés parce que leur père n’avait pas flatté son milieu d’origine. Ben voyons.
Compte-tenu des commentaires trollesques de Clopine et des réponses qu’ils suscitent légitimement, nous pouvons considérer que Mme Trouillefou est, de très loin, la responsable n°1 du trollisme sur la RDL.
Clopine Trouillefou dit: 7 mars 2014 à 11 h 11 min
Pour Clopine, +1, pour les trolls : +2 (avec moi)
Ce livre(évoqué) et ce billet m’attristent.
L’Académie Française… Le palais de l’Institut de France qui l’accueille depuis l’année 1805… Le quai Conti…
Cette aura due à tous ses membres (romanciers, hommes politiques,philosophes, journalistes, poètes, dramaturges, historiens, savants…) réunis autour d’une langue qui n’est ni celle des érudits, ni celle des spécialistes, qui fait lien entre l’oral et l’écrit, élégante et claire, éprise d’orthographe, de signification, de grammaire. Son mécénat, sa défense de la francophonie. C’est beau. Qu’importe les bruits de couloirs, les imperfections des uns et des autres. Pourquoi ce jeu permanent de destruction, partout ? Cette dérision qui mine tout ce qui est important ? Le jury Goncourt y a eu droit. les politiques aussi et tant d’autres visages de notre société. Cette époque est pesante et devient morne et laide.
Paul Valéry rappelait que L’Académie Française « ne se réduit pas dans l’opinion universelle à une société qui compose un dictionnaire et qui honore chaque année les mérites qu’elle distingue »…
Un jour, marchant tranquillement sur la quai Conti, j’ai croisé un de ces « quarante » dont vous vous moquez ici, Jean d’Ormesson. Il allait , songeur et digne, les yeux posés sur les rives de la Seine. J’ai lu certains de ses livres. De belles méditations sur le temps qui fuit, la jeunesse et ce qui ne l’est plus, la Grèce mythique et ses légendes, la vie, la mort (Tout cela loin des plateaux de télévision où il se perd)… Ce passant, fugitif, est ensuite entré dans ce Palais de la culture. j’ai continué mon chemin, heureuse de passer en ce lieu.
Sur le pont des Arts, que de serments bouclés dans ces cadenas ! et sous le pont, la Seine… j’ai entendu Apollinaire :
« Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure »
Bonne journée à tous.
Ah non, Christiane, je vous en prie, ne mettez pas Guillaume Apollinaire à l’Académie Française. Il y suffit déjà de Cocteau, n’est-ce pas. Je n’imagine pas une seule seconde le poète, à la tête blessée en forme d’étoile, sous la « coupole » (est-ce bien cela qu’on dit ?). Evidemment, je me trompe peut-être, s’il avait vécu… Mais non, la grippe espagnole nous a épargné cela.
En parlant de la Seine, et si vous vous jetiez dedans une fois pour toutes, Christiane ? Mmmh ?
A droite, la publicité pour « Du côté de Drouant » et au centre une descente en flamme de l’Académie Française, c’est de bonne guerre, Christiane, et aucunes victimes collatérales, ils sont déjà tous morts !
Il allait , songeur et digne, les yeux posés sur les rives de la Seine…..
quand il s’est foutu la gueule dans le tabouret d’un bouquiniste et s’est ramassé je vous dis pas.
Et Dieu dans tout ça ?
Faut pas confondre Richelieu avec l’Abbé Pierre.
Barozzi, 10 h 59 : pourquoi ? bouguereau est pédé ?
Clopine, que reprochez vous à Jean Cocteau ?
Sa mondanité, TKT, sa mondanité. Un être si doué, capable de chefs d’oeuvre absolus (la Belle et la Bête, ah là là ! « Ne m’appelez pas Monseigneur ! Appelez-moi « la Bête » ! » Moi je ne m’en suis JAMAIS remise…) se perdant dans les vapeurs opiacées de la vie parisienne. Il nous a tant et tant donné, il aurait pu nous donner encore plus. Tout pour l’oeuvre, nom de dlà, Monsieur Cocteau.
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