de Pierre Assouline

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La République des livres
Que faire du « mot-n… » du « Narcisse » ?

Que faire du « mot-n… » du « Narcisse » ?

A priori, ce n’est rien. Juste un mot de trop à remplacer par un mot qui conviendrait mieux. Sauf qu’un mot suffit à déclencher des tempêtes. Aux Etats-Unis depuis quelques années et désormais en France. Là-bas, on l’appelle « the n-word ». Un vrai tabou puisqu’il est décrété imprononçable et inimprimable. Quel mot commençant par un « n… » ? Nigger/ nègre. Après Agatha Christie qui a dû se retourner dans sa tombe en apprenant que ses célébrissimes Dix petits nègres étaient devenus d’anodins Ils étaient dix, c’est au tour de Joseph Conrad de faire les frais de ces mesquines opérations de petit remplacement. L’objet du délit ? Le Nègre du « Narcisse », l’un de ses grands romans dans lequel on voitl’héroïque équipage d’un voilier lutter contre la mort qui rôde quatre mois durant de Bombay à Londres via le cap de Bonne -espérance ; le « nègre » en question, magnifique marin et simulateur hypothétique, hante tout le récit par son ambiguïté et par le doute qu’il suscite quant à son véritable état de santé.

Alexandre Civico, responsable littéraire des éditions Autrement, a décidé de le rééditer en poche sous le titre vague Les Enfants de la mer, comme ce fut le cas aux Etats-Unis en 1897 à la demande de l’éditeur américain tandis que ses confrères dans le reste du monde, y compris en langue anglaise, conservaient un titre dérivé de The Nigger of the « Narcissus ». Ce qui n’a offensé personne, tout lecteur de Conrad le sachant insoupçonnable de sentiments racistes. Pour ne pas faire les choses à moitié, la nouvelle édition a également remplacé « nègre » par « noir » dans le texte ; enfin, dans la narration mais pas dans les dialogues (!).

« Car oui, n’en déplaise à certains, le mot (« nègre ») fait violence » se justifiait récemment l’éditeur dans une tribune publiée par Libération.

Le romancier afro-américain Jake Lamar, pour qui cela n’aurait aucun sens d’expurger l’oeuvre de Faulkner par exemple en en retirant le « n-word », est contre tout radicalisme systématique en l’espèce. Il invite à recontextualiser les textes en question au cas par cas sans quoi on se condamnerait à ne rien comprendre à la littérature américaine d’avant les années 60 :

« D’autant que quand un auteur blanc l’utilise, dans la littérature du XX siècle, c’est toujours péjoratif. C’est différent quand il s’agit d’auteurs noirs comme Chester Himes ou Richard Wright, qui lui donnent un sens plus complexe. Chez James Baldwin, la réappropriation de ce terme stigmatisant devient un geste politique. Et ce mot peut même être porteur d’une certaine tendresse en anglais, dans l’expression «You’re my nigger» par exemple ».

L’affaire Conrad, révélée par Hubert Prolongeau dans Marianne, a fait du bruit dans le Landerneau. Car une note liminaire aurait suffi à contextualiser ce qui peut se jouer autour du mot imprononçable que l’on ne doit plus écrire alors qu’il court dans tout le livre, ce « mot-n… » comme on va finir par dire en France aussi si cela continue.

Qui osera expurger l’œuvre complète de Faulkner à commencer par Absalon ! Absalon ! ? Pour certains, on s’abritera une fois de plus derrière le paratonnerre bien commode des aléas de la traduction, des diktats des ayant-droit et des exigences des agents étrangers ; mais l’édition Quarto des œuvres complètes de la nouvelliste Flannery O’Connor pourrait bien y passer à cause de le Nègre factice adapté de The Artificial Nigger (mais la même auteure utilise l’expression white trash/ »racaille blanche » pour dénoncer le racisme…). Et avec les Français ? Comment s’y prendra-t-on avec les prochains sur la liste : Voltaire pour le Nègre du Surinam, Blaise Cendrars pour Contes nègres pour enfants blancs, Dany Laferrière pour Faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer etc ?

Joseph Conrad attachait une grande importance à la traduction de ses livres, notamment en français, tant il était soucieux de la fidélité à son son texte : « La langue française est la pierre de touche de l’expression- sinon de la pensée elle-même » écrivait-il à l’un de ses traducteurs en 1906. Et trois ans après dans une lettre à un autre, il appelait son livre « le Nigger » et exprimait le souhait de voir « ce bon nigger habillé dans la couverture du Mercure de France » (lettre à Robert d’Humières, 2/03/1909, Cahier de l’Herne Conrad, 2014). Comme il est précisé dans l’édition de la Pléiade, l’écrivain avait proposé pas moins de treize titres à son éditeur américain avant de se fixer :

« Mais dans toute leur correspondance, ce qui prédomine est le mot Nigger, employé constamment pour se référer à l’œuvre en cours de composition ».

Imaginez la perplexité du jeune lecteur découvrant l’œuvre de cet immense écrivain et se trouvant face à deux romans distincts : le Nègre du « Narcisse » (L’imaginaire, Babelio ou La Pléiade) et Les Enfants de la mer (Autrement). Dans les années 70, Odette Lamolle avait mis à profit sa retraite pour se lancer dans la retraduction complète des œuvres de son écrivain de chevet. La parution de son travail en 1995 aux éditions Autrement avait été alors saluée comme un évènement littéraire. Tout traducteur est de fait le co-auteur du livre traduit puisque ce sont ses propres mots que l’on lit. Sauf que cette fois il n’y est pour rien : passant par-dessus non seulement l’auteur mais aussi la traductrice décédée en 2000, en se prenant pour un co-auteur (« j’ai pensé que… », « j’ai fait le choix… », « je l’ai remplacé… »), l’éditeur d’Autrement en est le censeur au nom de sa propre conception de la morale. Mais de quel droit ?

(« Le Joseph-Conrad, un voilier à l’effigie de l’écrivain » ; « Joseph Conrad en 1928 » photos D.R. et Bettmann)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères, vie littéraire.

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commentaires

934 Réponses pour Que faire du « mot-n… » du « Narcisse » ?

D. dit: à

Bloom, ce n’est pas tant l’individualisme que la possibilité de rémunérer correctement 2 personnes qui se relaient pour s’occuper d’une à domicile. En respectant le droits et contributions sociales.
Ces questions se posent beaucoup moins ou pas en Asie et Afrique.
En Europe on dit Ah si seulement je pouvais.

JC..... dit: à

Aussi narcissiques que deux nègres blancs, le bébé arrogant égocentrique et le cinglé fou de lui-même.

Chouette….!

C’est fait, nous avons nos Laurel et Hardy politiques en France !.

D. dit: à

Eh bé oui. Sans compter celles qui beulent y aller absolument dès 80 ans quelquesoit leur état de fatigue une fois atteint un âge qu’elle se sont fixé. 2 sur 10, ce n’est pas une blague. J’en connais parmi mes voisins.

D. dit: à

Alors on peut dénoncer ceci cela l’individualisme et tout ce qu’on veut seulement tout n’est pas blanc ou noir. Et on oublie souvent d’évoquer la mentalité de certaines personnes devenues agées. On se fait des films en imaginant qu’ils deviennent gentils voire saints parce que âgés. Mais pas du tout, un chieur ou une chieuse, un salopard ou une salope qui l’a été toute sa vie continuera jusqu’au bout de ses forces. Le respect dû à l’âge est un principe, tout comme le respect des enfants auquel j’adhère, seulement ça n’efface jamais les sales gosses.

D. dit: à

Eh eb oui.

JC..... dit: à

Depuis hier, sorties de terre en nombre, chantent les cigales leur joie de vivre au soleil méditerranéen !

Les fourmis, elles, continuent à travailler sobrement.

rose dit: à

Nous ne voulons pas revenir au patriarche et en rien aux sociétés patriarcales.
Mais, la personne vieillissante n’est pas un déchet et a mille choses à proposer. Fatigue plus vite certes, mais est pertinente.
Hier soir, arrosant mon jardin, je disais à ma mère j’ai une vie dure. Elle m’a rétorqué du tac au tac « non tu as une vie rude ».

Nous pouvons bénéficier de leur intelligence du monde et surtout de l’acquis de leur expérience et eux peuvent bénéficier de notre énergie vitale puisque la leur baisse.
Je n’avais pas vu la nuance.
Oui pour les activités et les liens multigénérationnels.
Les jeunes que j’entends1111

rose dit: à

Dslée message tronqué.

et alii dit: à

mais comment va-t-on faire pour « le NIGERIA » ?

et alii dit: à

JE RAPPELLE QUE/
Le Niger, ou Djoliba en mandingue

et alii dit: à

L’explication la plus probable est que les Portugais, comme ils le font pour le Sénégal, adoptent le nom local du fleuve et l’étymologie la plus probable, si l’on retient cette hypothèse, est le touareg gher n gheren (« fleuve des fleuves ») abrégé en ngher et en usage le long des rives à Tombouctou1.

Il est utile, en soutien de l’étymon d’origine berbère, de mentionner que la table de Peutinger mentionne un fleuve africain, le flumen Girin (« fleuve Girin ») et légende : Hoc flumen quidam Grin vocant, alii Nilum appellant, dicitur enim sub terra Etyopium in Nylum ire Lacum, « ce fleuve est nommé Grin, d’autres l’appellent Nil. On dit qu’il coule au sud de (« sous ») l’Éthiopie (« l’Afrique ») et se jette
WIKI OUF§

et alii dit: à

. Le véritable découvreur du Niger est Mungo Park, un Écossais de 24 ans (indirectement à l’origine du mythe des Monts de Kong, qui délimiteront sur la plupart des cartes du xixe siècle le bassin du Niger du golfe de Guinée), qui a, lors d’une expédition en 1805, descendu le fleuve sur 1 600 km de Bamako à Boussa afin de prouver sa route exacte vers l’océan Atlantique. Il est le premier Européen à revenir d’une telle expédition sain et sauf. Restait à en trouver la source.

et alii dit: à

Mungo Park https://www.herodote.net/16_novembre_1805-evenement-18051116.php
Le 21 juillet 1796, il atteint le fleuve Niger à Segou. Pour le retour, il suit une route plus au sud. Malade, il doit à la bienveillance d’un chef noir de pouvoir se rétablir pendant sept longs mois. Enfin, le 22 décembre 1797, le voilà de retour en Grande-Bretagne après un crochet par… l’Amérique.

Le récit de son expédition, sous le titre : Voyage à l’intérieur de l’Afrique, lui vaut une immense popularité.

Le démon de l’aventure le reprend quand, à l’automne 1803, le gouvernement l’invite à repartir pour le Niger, cette fois à la tête d’une imposante expédition.

Il a soin cette fois-ci d’apprendre l’arabe.

L’expédition quitte le port de Portsmouth pour la Gambie le 31 janvier 1805. Mais, trop lourde et encombrée, elle n’atteint le Niger qu’en août de la même année. Plusieurs Européens ont déjà succombé aux fièvres ou à la dysenterie.

Mungo Park décide alors de descendre le cours du fleuve avec un bateau. Celui-ci, construit tant bien que mal avec les moyens locaux, est baptisé « Joliba », nom indigène du Niger.

L’explorateur écossais disparaît peu après avec les derniers survivants de son équipe dans un naufrage sur le Niger. Ainsi s’achève l’épopée du premier Européen qui ait réussi à pénétrer dans l’intérieur du continent noir.

et alii dit: à

un commentaire d’hérodote suggère:
« Je ne résiste pas au plaisir de citer le magnifique livre de T.C.Boyle, « Water Music », dans lequel sont racontées les fantastiques aventures d’un Mungo Park, (homonyme ou véritable explorateur en Afrique ?) et qui aurait pu être évoqué dans cet article…

et alii dit: à

BOYLE/T.C. Boyle

Robert Pépin (Traducteur)
EAN : 9782369145042
848 pages
LIBRETTO (18/10/2018)
mais pour la water music, je peux vous envoyer celle de Haendel

Janssen J-J dit: à

Désolé pour la méprise de Claro à l’égard du papier de notre hôte, CT. Les critiques entre eux devraient rester courtois, nous en sommes les témoins. Claro est honnête dans l’ensemble… Je n’ai évoqué que la mère de Vincent, pas des mères en général, ni la rude Emma, c’est un choc de bon sens ! Il faudrait lui épargner bien des tourments. Parfois, quand on est révolté par des faits de société français, et l’on voudrait rejoindre plus rapidement la suisse ou la belgique, mais le lobby médical catholique intégriste (genre Léonetti) s’y oppose toujours, à l’Assemblée… il convient d’aller plus loin que les simples directives anticipées confiées à notre « médecin de famille » (les moins fiables qui soient)…. Cette lancinante question devient dramatique : regardez l’histoire de Damien, si ce qu’il rapporte est vrai, c’est lamentable, et me fait fulminer de rage pour la journée. J’espère que la marche gourmande de ce soir autour du village y mettra fin.
Je souhaite à tout de monde beaucoup d’amour, surtout à JC (jésus, le Crucifié du verbe). Je n’ai pas de vraie haine à l’égard de qui/n/conque, à vrai dire… Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ Conrad n’est pas raciste, Civico n’est pas un censeur – alors espérons que la République des lettres ne se transforme pas en tribunal.

Il est vrai que cette chute a quelque chose de malsain…, d’un brin ‘revanchard’ du moins envers la suprématie culturelle de la RDL, quoi…, même si le plaidoyer en modération de son auteur est très clair et quasiment irréfutable. Pierre feint à tort de ne pas le comprendre… Il n’y a pas chez Claro de confusion entre traducteur et co-éditeur, les deux pouvant s’entendre à transformer justement un titre malséant dans notre langue… Je trouve.
Bàv, PA et +

Bloom dit: à

la marche gourmande de ce soir autour du village y mettra fin.

Assurancetourix sera ligoté & baillonné, j’espère!

Concert hommage de « La Maison Tellier »* + les stars de la chanson française de Télérama pour un massacre en règle de la majeure partie du mythique ‘Harvest’ de Neil Young.
Ingénieur du son certainement dur de la feuille & donc (bon)trompettiste inaudible, guitaristes dans le groove mais bien trop sonores, un vrombissement à la place de la basse et un batteur pas top. Surtout, des chanteur/euses sans voix, à part la jeune ‘pyjama’ (?) et les deux choristes, aussi musiciennes classiques.
Que sont les voix devenues?
Je cherche.

*Désolé, Guy de…

Janssen J-J dit: à

J’espère que la « République des lettres » (sic) de Claro n’est pas la cause réelle de la réaction agacée du maître de « la République des Livres ». Cela dit, ça la fout mal pour un traducteur, je sais pas moij…, hein !? (les stars…, joë)

JC..... dit: à

La manif d’hier, vue à la TV, des LGBTUVWXYZ de tout poil à Tel Aviv m’a emballé !

On progresse terriblement…

Paul Edel dit: à

Claro? Je ne peux rien dire du traducteur, ni du romancier, ne l’ayant pas lu dans ces deux domaines mais le critique littéraire du feuilleton du « Monde » m’a semblé régulièrement embourbé dans ses phrases . Par exemple, dans « Le Livre du dedans », de Patrick Bouvet : son feuilleton publié le 25 Mai 2019, il écrit :
« On est face à une fabrique d’objets non calibrés, qui pourtant ne s’enivrent pas de leur singularité, mais aiment à créer leur propre sillon – et à y faire chanter un diamant nouveau. Je pense aux livres de Thomas Clerc, à cette liberté codifiée qui les rend toujours surprenants, toujours captivants. »
Je relis ces phrases plusieurs fois : « des objets non calibrés ..qui aiment créer leur propre sillon »…. « et faire chanter un diamant.. » ? Non. Et non ! Comment peut-on perdre les pédales dans les métaphores à ce point-là..

Janssen J-J dit: à

@ PE, apparemment Claro n’est pas aussi Clair (de notaire) à vos yeux que Thomas !… Faudrait voir pour croire aux pédales embourbées, hein ! – Perso, je vous conseille de parcourir son époustouflante traduction de Jerusalem (d’Allan Moore), sij’puis me permettre. Mais ne vous sentez nullement obigé… hein !

J J-J dit: à

alan moore, putôt … Ouij.

MC dit: à

Hum! Je vous invite à parcourir le Maurice Sachs dudit Clerc. Si c’est l’exemple d’un » livre toujours passionnant « ,alors je dois être passé à côté…. Et la il n’y a pas de traduction « époustouflante « ( dans quel sens , au fait?) ni d’étiquette Libé pour sauver ce texte ! MC

et alii dit: à

j’ai une réponse à la question « que faire »
on peut le « DENIGRER  »
. Empr. au lat. denigrare « noircir, teindre en noir » en lat. impérial et au fig. en b. lat. denigrare famam « noircir la réputation de quelqu’un ».CNRTL

et alii dit: à

J’AI DIT UNE REPONSE? PAS LA SOLUTION

D. dit: à

Je suis Zz’indice 321 et aimerait ne pas être oublié moi et ma communauté.

Janssen J-J dit: à

@ 321 : aimeraiS

@ hum !… A Maurice Sachs le désoeuvré (traduit de nulle part), préférez la biog de Raczymov (en travaux forcés de la frivolité)… En serez durablement éCLAIRci, à défaut d’en être époustouflé. JJJbàv,

et alii dit: à

vous écrivez et parlez tous « petit blanc »
Le petit nègre (ou pitinègue ou français tirailleur ou forofifon naspa) est un pidgin utilisé entre environ 1857 et 1954 par des soldats ouest-africains et leurs officiers blancs dans certaines colonies françaises et consistant en une version simplifiée du français1. Par extension, cette expression a été utilisée pour désigner plus largement les autres langues simplifiées. Le petit nègre était enseigné aux habitants indigènes dans l’armée coloniale française2. Ce langage est maintenant largement perçu comme raciste.[réf. nécessaire] w<iki

Janssen J-J dit: à

@ je dois être passé à côté

comme très souvent, du reste…, à vouloir faire croire avoir tout parcouru, on tombe souvent à côté de la placoplâtre h&las. Pour mémoire, PR/MC, le message s’adressait à un autre. Comment vont vos amies CT et Massoeur, vous manquent pas trop, espèrje ? Bàv.

et alii dit: à

sur le monde: pour mon adjudant chef
Le « parler petit nègre », une invention coloniale
Anciennes publicités Banania, dialogues de « Tintin au Congo »… Les références à cet idiome artificiel sont encore présentes dans l’imagerie populaire. Il est pourtant une pure création des administrateurs français, issue de leurs sentiments racistes de supériorité.

et alii dit: à

Le nègre est sorti
Ce petit bouquin de 210 pages ne vient pas vraiment de sortir (publié outre-Manche en 2003), mais nous n’y avions pas encore jeté un œil – “3 millions d’exemplaires dans le monde”, comme il est annoncé en capitales rouges sur la couverture, ça fait peur -, bien qu’il ait été cité dans un commentaire de cette note le 11 février 2005 à 10 h 56 par un Anonyme. Ces histoires d’errements de la ponctuation à l’anglaise sont assez réjouissantes.
https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/2008/06/18/le-negre-est-sorti/

Marie Sasseur dit: à

Dommage que Claro ait plus donné dans le n comme narcisse , que n, comme niger, dans sa réaction a l’article de Passou.

Un commentaire sur ce fil, rappelle cette lointaine origine lexicale du mot nigger, nigga, negro, nègre, pour peu que les habitués du buzz aient pris le temps de réfléchir, et ce mot en eût été moins « offensant » qu’ils ne perdurent à le faire croire concernant CE roman de Conrad.

Alors Claro se déclare partie civile dans ce procès d’intention, comme traducteur- remarquable- de Pynchon, A. Moore, pour ce que je sais.

Mais de quel procès s’agit il au juste ?
De celui d’un éditeur français peu scrupuleux qui surfe sur la vague du pseudo bien-pensant, entérinant des pratiques bien racistes, en déclarant le mot nègre inutilisable dans la langue française ?

De celui de l’éditeur américain qui a sorti la première édition de ce roman en 1897, et qui pour ne pas heurter le lectorat white american, en période esclavagiste, avait opté pour  » children of the sea », extrait du texte lui-même, soit redit en passant, alors que Conrad tenait absolument à son Nigger, et quel…soit redit en passant ( ouvrez les liens) et il donne à ce chum une aura très particulière.

Bref, cher Christophe, je peux ? le problème est toujours le même. Il faut lire le bouquin dont ça cause. Et pas s’en tenir au buzz de l’éditeur ou du journaliste …

D. dit: à

Pr 8, 22-31
Du livre des Proverbes

Écoutez ce que déclare la Sagesse de Dieu :
« Le Seigneur m’a faite pour lui,
principe de son action,
première de ses œuvres, depuis toujours.
Avant les siècles j’ai été formée,
dès le commencement, avant l’apparition de la terre.

Quand les abîmes n’existaient pas encore, je fus enfantée,
quand n’étaient pas les sources jaillissantes.
Avant que les montagnes ne soient fixées,
avant les collines, je fus enfantée,
avant que le Seigneur n’ait fait la terre et l’espace,
les éléments primitifs du monde.

Quand il établissait les cieux, j’étais là,
quand il traçait l’horizon à la surface de l’abîme,
qu’il amassait les nuages dans les hauteurs
et maîtrisait les sources de l’abîme,
quand il imposait à la mer ses limites,
si bien que les eaux ne peuvent enfreindre son ordre,
quand il établissait les fondements de la terre.
Et moi, je grandissais à ses côtés.

Je faisais ses délices jour après jour,
jouant devant lui à tout moment,
jouant dans l’univers, sur sa terre,
et trouvant mes délices avec les fils des hommes. »

et alii dit: à

J’AI LU LE NOUVEAU TWEET de
Maîtresse de conférences en démerdentiel à
@UParisNanterre
. Spécialiste des sociétés post-sov, à la solde du Kremlin ou de l’OTAN, selon les jours. Podcasteuse.

D. dit: à

Nous sommes entrés dans la troisième révolution industrielle et c’est moi, D., qui vous l’annonce.

Errata dit: à

Livre des Proverbes, ou Livre de la Sagesse?

rose dit: à

Adeline,
Dormi.
Gagné.
5h53 dimanche 12 juin 2022, temps frais

rose dit: à

Africa
Angel City chorale
La chef d’orchestre est un génie ; devrait être noire.
La pluie qui ouvre et ferme le concert : tellement génial.

JC..... dit: à

DIMANCHE 12 JUIN 2022, 5h56, 21°, temps calme, électoral, ennuyeux…

« Le général François Meyer, qui avait aidé des harkis à fuir l’Algérie, est mort » (Le Figaro)

Repose en paix, bon homme ! Ta loyauté ne sera pas oubliée de sitôt. Elle était rare. Remarquable.

rose dit: à

Claro
Comment un traducteur aussi doué soit il peut il modifier le titre d’un ouvrage ? Je ne le comprends pas.
Deux personnes à domicile : cela ne suffit pas. Établir un relai. Très chronophage et fatigant. L’aidant, comme la batterie d’un vélo électrique, doit se recharger.
Si gratification zéro -en terme d’humanité- se carapater. Ne pas y passer vingt ans. C’est usant. La vie est du côté des enfants, pas des vieillards.

rose dit: à

Yannick Noah fêtant l’anniversaire de son dernier fils (à mes yeux très laid, mais ce n’est qu’un avis personnel et partial), 18 ans déjà lui écrit « Negro ».
Retour à la case départ, de l’oncle Tom ? Aux racines du père ? À celles du grand-père, noir comme de l’ébène ? Avez-vous déjà vu, tenu en vos mains un morceau d’ebene (noir c’est noir) bois dur et compact sans veines ?
En tout cas, blanc de peau, son père lui dit Negro.
Au cas où il l’oublierait, le fils.

JC..... dit: à

BLAGUE JUIVE (Le Point)

« Un père juif dit à son fils :

Mon fils, tu a fait polytechnique, l’ENA et Harvard. Maintenant il faut choisir ton métier.

Confection homme ou confection dame ? »

rose dit: à

Hé, Pap NDiayé

À la rentrée en lieu et place des grands débats, dictées, grammaire, mathématiques.
(On se fout du péri-scolaire comme de l’an quarante).

rose dit: à

Confection le Sentier.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…dimanche 12 juin 2022 à 7 h 49 min.

…pourquoi écrire,!…

…et passer à côté,!…de diverses exagérations dans nos sociétés, modernes décadentes, sans soucis des respects élémentaires en familles,!…les mormons nègres,!…blancs,!…se foutre du Monde,!…

…Rapetou et divertissements, à nos gladiateurs modernes à jours,!…

…des enfants prêts aux emplois, déjà dit’on de témoins de Jéhovah, jusqu’aux styles Mormons des U.S.A.,!…

…les pourritures, pour vivre les emplois de  » pères « , ou  » grand-pères  » en familles,!…

…les nuits de noce, tout les jours,!…
…à s’enfiler toute la famille et Dieu avec,!…

…la liberté, de vivre comme des hérétiques,!…
…et se marier, pour recommencer le même  » cirque « , les affaires de Robinson Crusoé,!…sans  » vendredi « ,  » nègres « , pur blond pour métèques des  » zoos « ,!…

…respecter les cultures, des obsédés sexuels,!…à côtoyer,!…les chiens des rues aux églises,!…c’est cathédrales aux bornes soumises,!…etc,!…

…se marier, avec des animaux en laisse, et ramasser les cacas à jours,!…
…çà peut s’écrire encore,!…en républiques.
…sans recevoir, des coups d’états de son maître, adepte des mormons câblés,!…

…elle plait à mon père, à ma mère,!…
…la blanche à poils, plus nègre tu meurt, raide,…
…quelles sociétés aux Dieux Baal, qui mangent ses enfants, pour rien, et à Judas!…etc,!…
…croix blanche sur fond de gueule, ! les comptes sont surfaits pour la nation,!…
…Go,!…of course,!…etc,!…

renato dit: à

Âgé de 30 ans il vivait encore avec sa mère et il a repris l’affaire de son père.

renato dit: à

Vrai que : âgé de > à l’âge de…

et alii dit: à

confection:j’ai trouvé un mot!
fac totum!
larousse dit
intendant – majordome

Patrice Charoulet dit: à

VOUS ET MOI

Vous et moi serons mis, un jour ou l’autre, dans un cercueil. Pas de quoi pavoiser.
Vous et moi, avons eu un début des plus modestes : rencontre d’un spermatozoïde, le plus rapide de la bande, et d’un ovule.
Le 22e jour, vous et moi étions gros comme un grain de blé.
A cinq semaines vous et moi mesurions de 5 à 8 millimètres.
Qui peut vraiment faire le faraud ?

closer dit: à

J’ai hésité avant de répondre à l’ignoble message de JJJ (il devait être bourré comme tous les soirs) dans lequel il traite de conne une mère dont on a tué le fils contre sa volonté au nom de la loi et avec l’appui de membres de la famille qui avaient tous un intérêt matériel à sa disparition.

Je reprends quelques éléments de fait:

– la mère de Vincent Lambert était convaincue qu’il interagissait avec elle à travers des regards et des esquisses de sourire. Les médecins affirmaient qu’il s’agissait de « réflexes » inconscients…étrange. Deux certitudes: il ne souffrait pas (les « réflexes » de souffrance s’expriment très bien); il réagissait à la présence de sa mère (qui avait pris des videos). Que ces « réflexes » aient été purement inconscients ou qu’ils aient exprimé une sensation plaisante réelle, personne, absolument personne, n’en sait rien. Conclusion: il y avait une probabilité non nulle que ces expressions aient manifesté une étincelle de bonheur ressentie par VL et une certitude absolue qu’elle faisaient du bien à une mère dévastée par le chagrin.

– VL aurait exprimé, quand il était en plein forme, le souhait de mourir plutôt que de vivre une vie végétative. Qui peut penser une seconde que des propos exprimés (et encore, les témoignages sont vagues et il n’y a aucun écrit) dans le feu d’une conversation entre amis et peut-être bien arrosée, aient la moindre valeur prédictive pour une autre situation impossible à anticiper véritablement ? Les médecins qui s’occupent des cas de directives anticipées écrites ou de demandes de suicides assistés témoignent qu’une proportion très importantes des personnes concernées reculent à la dernière minute devant l’obstacle et finalement préfèrent vivre de leur vie résiduelle, si pénible soit-elle.
Relisez « La Mort et le Bûcheron » de La Fontaine, qui avait tout compris.

– La médecine ne sait à peu près rien de la vie dans un coma soi-disant irréversible et sans conscience aucune. Tous les ans, on voit « ressusciter » des gens que des Diafoirus condamnaient à l’état de « légumes » (horrible mot!). N’y-aurait-il qu’un chance sur dix mille ou sur cent mille, personne n’a le droit de tuer une personne humaine dont les parents implorent la survie et sont même (en l’espèce) prêts à en payer les frais. S’il y a un domaine où le principe de précaution doit s’appliquer, c’est bien celui-là.

Nota: La loi Léonetti a été votée à l’unanimité par l’Assemblée Nationale. Y voir l’oeuvre des catholiques intégristes est d’une rare malhonnêteté, JJJ!

Je suis contre les directives anticipées qui n’ont aucun sens cinq, dix, vingt ans avant une situation qu’il est impossible de se représenter vraiment. Ma seule directive: ne pas souffrir et morphine, morphine, morphine, autant que nécessaire. La loi Léonetti est parfaitement adaptée.

rose dit: à

Fac totem.
Cris de sioux

et alii dit: à

comme je regarde la couverture de l’express sur « les verts les plus betes du monde,je pense que je croyais qu’on en avait fini avec les feuilles de vigne de « pudeur »
(s, l’expression feuille de figuier, désigne ce que l’on traduit parfois par feuille de vigne mais qui est désigné plus justement en français par « un voile de pudeur », qui cache légèrement quelque chose de honteux ou de gênant sans le faire disparaître véritablement, en référence métaphorique à la Genèse biblique (3:7), où Adam et Ève utilisent des feuilles de figuier pour dissimuler leur « nudité » après avoir mangé le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, prenant ainsi conscience de leur « indécence ».
est-ce qu’on y revient dans la presse?

rose dit: à

le plus rapide de la bande, et d’un ovule.
Le 22e jour, vous et moi étions gros comme un grain de blé.
A cinq semaines vous et moi mesurions de 5 à 8 millimètres.

Vous et moi
Oui, mais nous étions en pleine forme !
Contents, contents, vous vous souvenez ?

rose dit: à

« Ma seule directive: ne pas souffrir et morphine, morphine, morphine, autant que nécessaire. »

Mon père, après avoir dit « je ne savais pas que j’étais mortel » a demandé cela « je ne veux pas souffrir » ; alors morphine, morphine, morphine.
Une fois qu’il a posé ses deux actes (ces deux là, les siens) chaque semaine, mené par le bout du nez par sa fille aînée, le cadet complaisant et cupide, il a démoli soigneusement et consciencieusement sa famille.
Et les deux s’en sont foutus, soigneusement et consciencieusement plein les poches.
Je ne souhaite à personne, pas même à Castaner, de vivre la fin de vie que mon père a vécu, cauchemardesque.

rose dit: à

À Castaner.
A voté.
Treize bulletins, en ai pris deux, un écologie le second NUPES et j’ai mis le NUPES dans l’enveloppe.
Dans l’isoloir, y avait un petit nounours jaune.
Ai vote, moij.

rose dit: à

Ai voté, moij.

JC..... dit: à

CINQ ANS DE BONHEUR

La nomination du sympathique Pap, historien, politicien, écrivain, nègre du narcisse président Manu, au poste de Ministre de la Déséducation Nationale nous confirme que Bébé Macron se fout complètement de ce secteur capital pour notre société.

Ministre ? Marionnette de salon littéraire ! Bobo coloré ! Gentil, beau babil !

A la soupe, comme les autres…! Pas belle la vie ?

Soleil vert dit: à

>Closer : « morphine, morphine, morphine, autant que nécessaire »

Hors discussion : en dernier lieu, la morphine bien souvent est une forme d’euthanasie déguisée

et alii dit: à

le bonheur?
Le bonheur : Les hommes ayant placé toutes les douleurs , toutes les souffrances dans l’enfer , pour remplir le ciel , ils n’ont plus trouvé que l’ennui  »
arthur (il lui manquait un e à son prénom d’auteur

D. dit: à

Vote très respectable, Rose. Car dirigé contre qui nous savons.

JC..... dit: à

QUESTION

Rose,
le petit nounours jaune ne rentrait pas dans l’enveloppe ? On prétend que c’était le meilleur choix pour distraire l’Assemblée des Impotents…

D. dit: à

Alors moi Monsieur Charoulet je ne suis pas arrivé sur Terre de cette façon. Désolé de vous le dire.

Janssen J-J dit: à

Cher conn… de Closer,

Quitte à faire dans l’ignoble, je ne vous administrerais jamais la moindre morphine au cas ou votre maman trouverait que ça vous altèrerait sa communication avec elle. Car enfin, qui peut nous garantir que vous éprouveriez une vraie souffrance ?
Est-ce votre type d’argumentation favori, l’accusation de soulographie des uns et des autres qui auraient tort de ne point penser comme vous, et notamment l’Europe entière en l’incarnation de sa Justice ?
cf… [(il devait être bourré comme tous les soirs)
(Qui peut penser une seconde que des propos exprimés (et encore, les témoignages sont vagues et il n’y a aucun écrit) dans le feu d’une conversation entre amis et peut-être bien arrosée, aient la moindre valeur prédictive pour une autre situation impossible à anticiper véritablement ?]

Gardez bien vos convictions, cher monsieur l’Imbu…, et souffrez que nous n’en partagions pas l’anesthésiant ! Bàv,

JC..... dit: à

Closer,

Je vous en supplie !

Ne répondez pas à cet ivrogne libidineuneux de Gigi la Visqueuse ! Il adore se battre à mains nues, il est physiquement surentrainé, jouant tous les jours au Club de scrabble de l’EHPAD, plus de quatre heures.

Bien à vous et soyez prudent avec ce monument d’amoralité lubrique !

Jacques dit: à

Cette Gigi l’alcoolobaveuse est de plus en plus démente et sénile. Vivant dans une horrible solitude, elle n’a que ce blog comme unique défouloir dans lequel elle crache son venin de répugnante couleuvre.
Que Gigi le bête meure, qu’elle crève l’immonde créature, qu’elle disparaisse pour de bon pour la bonne continuité de la Rdl.

et alii dit: à

j’ai remarqué dans tweet PLON « l’histoire du repos » de corbin prix « la boétie (qu’on ne dise pas que je n’en ai que pour MONTAIGNE°

et alii dit: à

pas de panique:la morphine, c’est tres littéraire(voyez seulement la bubliographie de wiki;mais sur la RDL, on est sérieux! et famille!donc
« Dans les dernières décennies du XIXe siècle, les intoxications à la morphine se multiplient. La morphinomanie, nom donné à cette nouvelle « maladie » par un médecin allemand, Edouard Levinstein, touche principalement des hommes bien souvent médecins ou proches des milieux médicaux. Pourtant c’est une autre figure d’intoxiqué qui va s’imposer comme véritable archétype, et cette autre figure est de sexe féminin : c’est la « Morphinée ».

Le 29 août 1969, Martine, une jeune fille de 17 ans, meurt d’une overdose d’héroïne dans les toilettes du casino de Bandol. Cet événement immédiatement médiatisé, va déclencher une véritable panique morale qui persuade les responsables politiques de la nécessité de légiférer. C’est donc sous les traits d’une « junkie » que les problèmes de drogue pour reprendre le titre d’un rapport officiel, refont leur apparition en France.

Quels sont les liens de parenté et les points de divergence entre la « Morphinée » Fin de Siècle et la « junkie » de années soixante-dix ? Qu’est-ce qui unit et qu’est-ce qui sépare, à près d’un siècle de distance ces deux figures de « mauvaises filles ».
https://journals.openedition.org/criminocorpus/3696

closer dit: à

Soleil vert: OK, la loi le prévoit d’ailleurs expressément « sédation profonde et continue jusqu’au décès », dans certaines conditions bien définies. Evidemment ça coûte plus cher et ça demande des unités de soins palliatifs dont nous manquons. C’est plus simple et plus économique de liquider quelqu’un sous de vagues prétextes invérifiables pour libérer un lit.

JJJ: l’excès d’alcool est la seule excuse que je vous trouve pour avoir traité une mère pleurant son fils mort, de « conne ». Cela me fait penser au Mur des Cons qui avait affiché la photo d’un père qui avait perdu sa fille massacrée dans un ReR par une racaille.
Cela peut arriver à tout le monde, moi compris, de boire un bon whisky pour se relaxer et d’écrire des choses excessive que l’on regrette après…

JC..... dit: à

« JJJ: l’excès d’alcool est la seule excuse que je vous trouve pour avoir traité une mère pleurant son fils mort, de « conne ». » (Closer)

Cherchez ! cherchez ! quand on cherche, on trouve une raison plus générale, plus profonde, moins superficielle

Jacques dit: à

Gigi la morveuse n’a aucun respect pour les autres et ne possède même pas une once de dignité donc on peut l’insulter et lui dire ses quatre vérités à cette sinistre vieille et moribonde épave.
Insultons le Janssen pour que sa triste haine puisse s’exprimer.

Damien dit: à

Une dame appelle par erreur un commerçant du Sentier : « Allo, la Banque de France ? — Non Madame, lui répond le type, pas encore ! » (Blague juive)

JC..... dit: à

Tout ce qui est dit est vérité !

Cependant, je défendrai jusqu’au dernier verre d’Ouzo l’obligation de permettre aux prudes erdéeliens dont je suis, le droit, le devoir, l’absolue nécessité, de maintenir visible, de conserver les êtres étranges, à l’imaginaire éblouissant, que sont Gigi la Morveuse, Clopine Bouchetrou, Dédé la fraiseuse spatiale, Bloomie le Froggie, Edel le Malouin malin,et votre serviteur, Jissé le Benêt de Porquerolles, quartier Nord.

et alii dit: à

AVEC LE NOM DE La BOETIE;(prix) c’est non seulement une réflexion sur la servitude et le pouvoir, mais aussi une réflexion sur l’amitié qui ont été retenues
bonne journée

et alii dit: à

L’ouvrage surprend d’autant plus par sa qualité qu’il est le fait d’un tout jeune homme : né le 1er novembre 1530 à Sarlat, dans le Périgord, puis élevé dans une famille de magistrats, Etienne de La Boétie rédige son ouvrage phare alors qu’il est à peine âgé de 18 ans, et qu’il effectue ses études de droit à Orléans, alors un foyer du protestantisme naissant où se rencontrent l’élite intellectuelle du royaume et des États voisins.
Une œuvre inspirée des répressions
Mais qu’est-ce qui peut pousser un jeune homme, issu de la bourgeoisie orléanaise, à écrire un texte remettant en question le pouvoir politique ? “Le Discours de la servitude volontaire a probablement été écrit autour de 1548, rappelait le doctorant en philosophie politique David Munnich, dans l’émission « Le Mardi des auteurs », en mars 2010. C’est le moment de la révolte des Gabelles, dans le sud-ouest de la France, en Guyenne, qui était une révolte très, très forte de paysans contre l’instauration d’un pouvoir central en train de se structurer.”
https://www.radiofrance.fr/franceculture/discours-de-la-servitude-volontaire-de-la-boetie-l-un-des-premiers-requisitoires-contre-le-pouvoir-absolu-6924072

et alii dit: à

alors , la RDL N4ENVOIE PERSONNE AU SALON DE LA POESIE POUR NOUS PARLER DE LITTERATURES A CONTRAINTE?
CPF
(soit
Formes Poétiques Contemporaines).
Cette revue an-nuelle, présentée à l’occasion du Marché de la Poésie, à l’ambition de poursui-vre le travail de
Formules
au-delà du domaine des écritures à contraintes

Bloom dit: à

Billet d’humeur.

Exceptionnellement, et pour cause d’absence de débat politique, je suis tombé ce midi sur le mythique « Masque et la Plume », émission que j’avoue ne pas follement parrécier car j’y entends souvent une occasion pour les ‘critiques’ invités de faire preuve d’esbrouffe pseudo-littéraire devant un public acquis à la cause (la raison de la présence d’un public qui ne participe pas ou rarement?). A mes oreilles, ce n’est que de la « critique-spectacle », comme on parle « d’information-spectacle » (cet insupportable ‘vous avez le programme’ des présentateurs de certains journaux radio & télévisés).
Si les réparties peuvent parfois être assez cocasses, tout cela sent fort l’exercice convenu d’admiration ou de détestation et de chambrage entre copains bien nés, le tout puissamment ego-centré. Or il fut un temps où des pointures comme JL Ezine apportaient aux lectures des livres soumis à la critique une belle dose de subtilité, une solide culture littéraire, ainsi qu’une salutaire distance, autant de qualités qui semblent avoir déserté le panel actuel, à l’exception de son chef, J. Garcin, qui reste bien articulé.
La nature essentielle de ce type d’émission me semble assez bien saisie par la formule qu’emploie un historien pour caractériser le Moyen Age français, qu’il caractérise comme époque du « geste démonstratif » (à propos de l’annhilation par les archers gallois de la fine fleur d’une chevalerie française prisonnière de sa conception du panache, à Azincourt en 1415).
Ces « critiques » manquent d’humilité & d’efficacité, & leur côté batteleurs de foire est pesant. Las, le public aime ces joutes d’un autre temps & on sait qu’elles jouent un rôle prescriptif non négligeable (un copainn romancier me disait qu’une bonne critique dans le M & L P lui avait valu une hausse non négligeable des ventes de son petit dernier).
Faut-il s’en réjouir? no se puede saber…
En tous cas, cela me conforte dans mon désintérêt pour ce qu’est devenue cette émission.

Vivement les résultats de ce soir!

Bloom dit: à

Marché de la Poésie,

-J’y cours! Brouilly à la fermeture

rose dit: à

Et alii
Le nounours jaune mesurait 20 cm.

rose dit: à

Emma a dit avoir signalé à son mari qu’elle était contre la crémation..n

Alexia Neuhoff dit: à

@Bloom
Je me suis aussi infligé ce « masque et la plume » calamiteux. Un exemple d’exercice de haute critique : Arnaud Viviant démolit le dernier opus d’Isabelle Carré. Pour illustrer le massacre, il lit l’incipit : « Le visage collé au hublot, j’admirais les montagnes qui s’étalaient autour du long ruban goudronné de la piste d’atterrissage. Les lignes blanches et les pointillés défilaient à toute vitesse, tels d’impeccables formulaires à découper. » Et de s’écrier : « Des montagnes qui « s’étalaient » ! « D’impeccables formulaires à découper ». Impeccables ! C’est quoi ces métaphores ?
En revanche, pas un mot lorsque sa consœur de l’Obs parle -à propos d’un autre bouquin- de « lyrisme électrique ». Beigbeder, nullissime bouffon, comme à l’accoutumée, le cerveau bouffé par la vodka, la cocaïne, la haine d’Annie Erneaux et de ce qu’elle représente. Peu lyrique mais à débrancher sûrement.

et alii dit: à

«Vous m’avez promis de ne pas m’abandonner quand le moment serait venu. Maintenant, ce n’est que torture ; ça n’a plus de sens.» Sa mâchoire était dévastée par le cancer, il ne pesait presque rien et avait déjà la pâleur du cadavre. Le docteur Schur informa Anna, et tint sa promesse. Assistance au suicide. Une première injection de trois centigrammes de morphine, puis une deuxième, et une troisième. Le vieil homme tomba dans le coma. C’était Yom Kippour, le jour du Grand Pardon. A trois heures, le matin du samedi 23 septembre 1939, Sigmund Freud s’éteignit, à 83 ans.

La Mort de Sigmund Freud, de Mark Edmundson, n’est pas seulement la description des derniers jours du fondateur de la psychanalyse. Le livre retrace son itinéraire de Vienne à Londres, en insistant surtout sur les événements politiques et sur la façon dont Freud et ses disciples, attachés à promouvoir la nouvelle science de l’inconscient
https://www.liberation.fr/livres/2009/11/12/les-derniers-jours-de-sigmund-freud_593049/

rose dit: à

Dictionnaire :
« Le trismus est le premier signe de reconnaissance du tétanos. Il présente alors des recrudescences paroxystiques à l’occasion desquelles il peut y avoir morsure de la langue. Une contracture simultanée des muscles de la glotte peut, au cours d’une de ces crises, entraîner l’asphyxie. »

rose dit: à

Dépouillement du premier tour des législatives.
Trois tables de quatre pour le dépouillement :
Sur deux tables, coude à coude équilibré entre Renaissance et NUPES.

Sur la troisième, majorité pour Renaissance, derrière proche NUPES et évaporés bcp de bulletins sur les 11 autres candidats.

Extrême droite, extrême gauche, Écolos, animaux, et patin et couffin.

rose dit: à

Plusieurs candidats ont zéro voix.

Pris contact avec une personne sur la liste des municipales soit disant d’extrême gauche. Ai posé la question sur calomnie et diffamation.
M’a été répondu que un a signalé « en politique tous les coups sont permis » et « on fera tout pour vous démolir ».

On voit le résultat.
Attendons pour les législatives. Gros taux d’abstention.

rose dit: à

Renaissance 191 voix
Nupes 175 voix
Marine le Pen 63 voix

Jean Langoncet dit: à

@Plusieurs candidats ont zéro voix.

Pas même la leur ; une forme de franchise

rose dit: à

Nounours jaune toujours la. Museau blanc, dessous des pattes blancs. Yeux noirs.

Jean Langoncet dit: à

Enfin, la RDL a ses Nicolas et Pimprenelle sont allés sur France Inter se faire du mal
Bonne soirée les petits et rendez-vous au second tour

rose dit: à

La leur peut être sur leur bureau de vote. Sur celui-ci, cinq candidats avec zéro voix et un candidat avec une voix.
C’est dire !

rose dit: à

Lu les deux papiers sur Freud.
Un partiellement, il eût fallu s’abonner.
La certitude est qu’il a souffert atrocement et continué en // à travailler.

Ma mère a pleuré aujourd’hui et le WE de Pentecôte.
Beaucoup.

J J-J dit: à

Pourquoi ?

rose dit: à

Pck elle signe des papiers qu’elle écrit de sa main ; je lui en parle, elle ne veut rien savoir.
Horrible.
Je me demande si je la torture.

rose dit: à

Essai sur les moeurs, Voltaire
II. — DES DIFFÉRENTES RACES D’HOMMES.
« Ce qui est plus intéressant pour nous, c’est la différence sensible des espèces d’hommes qui peuplent les quatre parties connues de notre monde.

Il n’est permis qu’à un aveugle de douter que les Blancs, les Nègres, les Albinos, les Hottentots, les Lapons, les Chinois, les Américains, soient des races entièrement différentes.

Il n’y a point de voyageur instruit qui, en passant par Leyde, n’ait vu la partie du reticulum mucosum d’un Nègre disséqué par le célèbre Ruysch. Tout le reste de cette membrane fut transporté par Pierre le Grand dans le cabinet des raretés, à Pétersbourg. Cette membrane est noire ; et c’est elle qui communique aux Nègres cette noirceur inhérente qu’ils ne perdent que dans les maladies qui peuvent déchirer ce tissu, et permettre à la graisse, échappée de ses cellules, de faire des taches blanches sous la peau[3].

Leurs yeux ronds, leur nez épaté, leurs lèvres toujours grosses, leurs oreilles différemment figurées, la laine de leur tête, la mesure même de leur intelligence, mettent entre eux et les autres espèces d’hommes des différences prodigieuses. Et ce qui démontre qu’ils ne doivent point cette différence à leur climat, c’est que des Nègres et des Négresses, transportés dans les pays les plus froids, y produisent toujours des animaux de leur espèce, et que les mulâtres ne sont qu’une race bâtarde d’un noir et d’une blanche, ou d’un blanc et d’une noire. »

renato dit: à

Cela est possible.

renato dit: à

« Cela est possible. »

la torture…

rose dit: à

Chapitre CXLV de l’Essai sur les mœurs intitulé « De Colombo et de l’Amérique »

rose dit: à

Destiné et applicable à l’origine aux îles de la Guadeloupe, de la Mar- tinique et de Saint-Christophe, l’Édit de mars 1685 fut élaboré sous la supervision des Colbert père puis fils (Seignelay), à partir de mémoires réalisés par les administrateurs coloniaux compilant la réglementation et les usages locaux1.
https://www.erudit.org › bshgPDF
L’Édit royal de mars 1685 touchant la police des îles de l’Amérique.

Cf les chapitres, les Articles I, II, III, XXII, XXIII, XXIV, XXV, XXXVIII, XLII, XLIV, LIV.

et alii dit: à

et Alexandre Pouchkine
le nègre de Pierre le grand?

et alii dit: à

Issu d’une ancienne famille de la noblesse russe, sa mère était la petite-fille d’Abraham Pétrovitch Hanibal, esclave africain affranchi et anobli par Pierre le Grand.

Pouchkine reçoit une éducation française et devient fonctionnaire impérial. Animé par des idées libérales, sans pour autant être un révolutionnaire, il ose critiquer la politique d’Alexandre III, comme l’attestent le poème « Ode à la liberté » ou la tragédie historique « Boris Godounov ». Il est donc envoyé en exil dans le Caucase en 1818. Il effectue plusieurs voyages, et après six années d’exil, il est réhabilité par Nicolas Ier, Pouchkine reprend la vie mondaine qu’il avait abandonnée.

Il épouse Natalia Gontcharova, en 1831, et poursuit son activité littéraire, cette fois-ci protégé par le pouvoir. Pendant cette période de sa vie, Pouchkine, en pleine maturité littéraire, entame une œuvre en prose,

et alii dit: à

SUITE/
3 Le grand-père de sa mère était Abraham Hannibal, le « nègre d’Abyssinie » qui fut le favori de Pierre le Grand.

79Son père, Serge Lvovitch ne paraît pas s’être occupé de lui. Quant à sa mère, essentiellement intéressée par la vie mondaine, elle trouve qu’il a l’air d’un « petit nègre mal blanchi », et le fait qu’il perde ses mouchoirs la contrarie : pour le « dresser », elle fait coudre à sa veste un mouchoir qu’on ne change que deux fois dans la semaine et l’exhibe, sali et honteux, à ses visiteurs.

et alii dit: à

« À propos, M. Pouchkine, vous et votre sœur avez donc du sang noir dans les veines ?

Certainement, répondit le poète.
C’était votre bisa ïeul qui était nègre – mais alors qui était son père à lui ?
Un singe, Madame, trancha Pouchkine. »
91On sent bien ici combien il était sensible à toute allusion à son origine, et son humour cinglant.

rose dit: à

Erratum

C pas renaissance c’est Ensemble (tu parles d’un mensonge !!!).
Ds ma commune le candidat Nupes l’emporte de 190 voix sur le candidat ensemble💪😃👍. Mais ds la circonscription le second l’emporte de 900 voix sur le premier🙄.

Par contre MLP fait un gros score 😳

et alii dit: à

Ex esclave devenu proche du tsar Pierre le Grand, il s’appelait Gannibal. Ce n’est pas un scoop mais ce n’est pas une information que le pouvoir russe aime à rappeler dans un Moscou où le racisme anti-noir (et anti-caucasien, etc.) sévit sans vergogne. Mais qui était-il vraiment ce Gannibal ? Un journaliste anglais, Hugh Barnes, est parti sur ses traces.
vérifier sur place jusqu’à se faire arrêter dans cette zone sensible entre l’Erythrée et l’Ethiopie, recherchant sans trop d’illusions,
des traces vielles de plusieurs siècles. Un travail titanesque pour reconnaître avec beaucoup de fair-play qu’on ne saura jamais beaucoup de choses de la vraie vie de Gannibal, que ce que l’on sait n’est pas si sûr que cela, mais que tout de même tout cela mérite d’être conté.
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-theatre-et-balagan/20080508.RUE5823/portrait-de-l-arriere-grand-pere-de-pouchkine-en-esclave-negre.html

et alii dit: à

? Mon Pouchkine par Marina Tsvetaeva – Traduit du russe par André Markowicz – Ed. Clémence Hiver –
Gannibal, l’ancêtre de Pouchkine par Hugh Barnes – Traduit de l’anglais par Florence Bertrand – Ed. Noir sur blanc – 350p., 22€.

D. dit: à

Demain je mange des endives au jambon.

B dit: à

D, un menu de canucule ?

D. dit: à

Non, tout sumplement un meni de canucile.

Bloom dit: à

Alexia Neuhoff, je ne sais plus lequel de ces messieurs a dit à propos d’Isabelle Carré, ‘j’espère qu’elle n’est pas la’. J’aurais aimé qu’elle y soit,là, pour défendre son livre, son écriture, et a minima exercer un droit de réponse à des attaques gratuites et indignes du métier de critique, sauf à être un héritier du Lambreaux de Je Suis Partout.
Cette jubilation dans la démolition est d’essence fasciste.

Beaux résultats, a amplifier dimanche prochain. Le ministre de la destruction massive du lycée a raté son examen.Candidat recalé.Justice poétique.

rose dit: à

un Moscou où le racisme anti-noir (et anti-caucasien, etc.) sévit sans vergogne.
Anti-tchétchènes
Anti ukrainiens
Anti-enfants dans les écoles
Anti-artistes dans les théâtres
Anti-jeunes gens de 19 ans enrôlés ds leur armée.

rose dit: à

Papier de 22 novembre 2016 écrit par Jean Pierre Thibaudat magnifique et passionnant !
Souri à  » Par ailleurs, il a pu accéder à des tonnes archives et remonter le fil  » il étant Hugh Barnes.
Puis tard, c’est Thibaudat qui se retrouva sous des tonnes d’archives, un trésor.

rose dit: à

5h00.
Lundi 13 juin 2022
C’est l’été, en avance, caniculaire.

rose dit: à

« J’aurais aimé qu’elle y soit,là, pour défendre son livre, son écriture, et a minima exercer un droit de réponse (…)(crochets)
La distance lui permet de se sauvegarder a minima très bas. Et puis, avec les -déjà deux- poignards qu’elle a fichés dans le dos jusqu’à la garde, elle n’aurait pas pu appuyer son dos contre le canapé sur lequel elle aurait été assise.

rose dit: à

Papier de 22 novembre 2016 écrit par Jean Pierre Thibaudat magnifique et passionnant !

rose dit: à

Et Thibaudat qui se retrouve, lui aussi, à la tête de tonnes d’archives, un trésor inouï et inédit.

JC..... dit: à

LUNDI 13 JUIN 2022, 5h26, 22°, temps dégagé

On commence à y voir plus clair. Au moins, ceux qui ont les yeux ouverts…

La démocratie politique française est à la dérive. Vieille. Inerte. Incompétente. Laxiste. Peu importe les résultats, filtrés par des considérations primaires faute de connaissance dans les domaines qui font société agréable. Naufrage en cours depuis des décennies.

Le temps est superbe.

Délicieux pour aller se baigner et se réjouir du beau temps que la Nature, qui aime à rire de nos questionnements ridicules, nous offre gracieusement.

Bonne journée, mes chers contribuables de souche !

Jacques dit: à

Je pense que physiquement, JC, ressemble à Jean Gabin. Le Pacha d’la Rdl, c’est lui.

JC..... dit: à

Jacques,

Puisque Bébé Macron ose se prendre pour Jupiter et désormais Héphaïstos, je me permet de vous rassurer : je ne ressemble pas à Jean Gabin.

Disons Dionysos et Priape, pour faire simple !…

Patrice Charoulet dit: à

CELA NE S ‘INVENTE PAS

Nom de l’adversaire NUPES d’Elisabeth Borne au second tour des législatives ?………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
Gauchard.

JC..... dit: à

Est ce qu’il faut croire que NUPES est autre chose qu’un assortiment d’Ego désespérés, à la recherche d’un siège pour poser leur cul pesant comme leur pensée attardée ?

Bloom dit: à

Pour saluer Phil Bennett, fabuleux N°10 de la l’équipe des Barbarians, à l’origine de la relance du plus bel essai de l’histoire du ballon ovale, contre les All Blacks, le 27 janvier 1973, à l’Arms Park de Cardiff.
https://www.youtube.com/watch?v=2ZylAu1xuRY

Capitaine de la grande équipe de Galles, Phil Bennett était également sensible à l’exploitation historique de son petit pays par la puissante Angleterre:

‘As captain of Wales in 1977, gave a rousing speech before a clash with England. He spoke of how his nation had been “exploited” by the English and how their larger neighbours had “taken our coal, our water, our steel”. The rallying cry worked as Wales won 14-9 in front of a frothing Cardiff crowd.’ The Guardian.

De l’étoffe dont sont fait les rêves (W.S.)

et alii dit: à

depuis hier, je m’inquiète:
aidez moi !
c’est à cause de notre ministre des sports, ROXANE, la nageuse; brillante franco roumaine,comme le fondateur « negresco »qui était né à Bucarest en Roumanie, fils de Jean Negrescu;

et si les MOTS en U viraient en O, donc le col(cul) , que faire, à la flotte!

et alii dit: à

Roxana ou Rhoxane (en grec ancien Ῥωξάνη / Rhôxánê, du persan Rochanak ou Rochaniâ « la Lumineuse »), née vers 345 av. J.-C. en Bactriane et morte en 310, est la première épouse d’Alexandre le Grand et la mère de son fils posthume Alexandre IV. Elle périt assassinée sur ordre de Cassandre en compagnie de son fils.

et alii dit: à

c’est ROSE, qui va m’aider quand elle repensera que Racine, dont belle connaît Roxane avait écrit en préface:
« Sultan Amurat, ou sultan Morat, empereur des Turcs, celui qui prit
Babylone en 1638, a eu quatre frères. Le premier, c’est à savoir
Osman, fut empereur avant lui, et régna environ trois ans, au bout
desquels les janissaires lui ôtèrent l’empire et la vie. Le second se
nommait Orcan. Amurat, des les premiers jours de son règne, le fit
étrangler. Le troisième était Bajazet, prince de grande espérance, et
c’est lui qui est le héros de ma tragédie. Amurat, ou par politique, ou
par amitié, l’avait épargné jusqu’au siège de Babylone. Après la prise
de cette ville, le sultan victorieux envoya un ordre à Constantinople
pour le faire mourir. Ce qui fut conduit et exécuté à peu près de la
manière que je le représente. Amurat avait encore un c, qui fut
depuis le sultan Ibrahim, et que ce même Amurat négligea comme un
prince stupide, qui ne lui donnait point d’ombrage. Sultan Mahomet,
qui règne aujourd’hui, est fils de cet Ibrahim, et par conséquent
neveu de Bajazet
https://www.theatre-classique.fr/pages/pdf/RACINE_BAJAZET.pdf

et alii dit: à

dont elle connaît

JC..... dit: à

Bloom

Merci pour cet extrait du match de 1973, Barbares contre Toutnoirs, à ne pas oublier ! Quelle respiration…

Janssen J-J dit: à

on peut toujours se tromper et se rectifier comme Cédric. Merci Cédric, vous avez bien mérité de votre médaille !
https://www.cnrtl.fr/definition/cuti
(nb // hier, 12.6.22, chez moi… sur 50,4% de votants, on a eu ce score : Macron 31,69% (77 voix) ; Mélanchon 24,28% (59 voix, dont la mienne) ; Le Pen 18,93% (46 voix). Véridique. En ce moment, je me fais installer une éolienne personnelle pour ma cuti-réaction transactionnelle). Bàv,

J J-J dit: à

Il semblerait que le prix du livre inter ait été attribué le 6 juin dernier.
https://www.livreshebdo.fr/article/le-prix-du-livre-inter-2022-decerne-antoine-wauters#:~:text=L'%C3%A9crivain%20et%20po%C3%A8te%20Antoine,mont%C3%A9e%20des%20eaux%20(Verdier).
Ayant pris du retard sur l’actu rdl, je ne l’ai pas encore lu ni ne sais trop quoi en penser. Quel.le d’erdélien.ne saurait nous en conseiller la lecture, sous réserve d’une ingestion préalable ? Merci par avance. Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ Est ce qu’il faut croire que NUPES est autre chose qu’un assortiment d’Egos désespérés. && Pourquoi faudrait-il croire cela, Z.Eric et B.Jean-Michel ?

JC..... dit: à

« Pour penser , il faut manger. Mais que de pensées diverses pour un même morceau de pain  » (Teilhard de Chardin)

A demain !

Janssen J-J dit: à

@ Pour penser, il faut manger.
… où l’on voit que beaucoup d’erdéliens jeûnent trop souvent, icite.

D. dit: à

80 000 cas de covid hier en 24h en France.
l’épidémie reprend avec une progression de 286 % à 15 jours des vacances d’été !
Un conseil : il est grand temps de porter le masque fans les transports, les magasins, les salles de reunion, de spectacle etc…

D. dit: à

Le temps est superbe.

Délicieux pour aller se baigner et se réjouir du beau temps que la Nature, qui aime à rire…

… c’est l’allégresse nupèsienne qui te saisit, JC. Tu n’y résisteras pas et chanteras l’Internationale dès dimanche prochain.

D. dit: à

Nous serions aujourd’hui à 30 % de variant BA5 en France. Le même qui a mis le Portugal à genoux. Le variant hyper-contagieux et capable de contouner comme jamais la réponse immunitaire.
Dans l’état où est l’hôpital, on peut se dire que non, c’était vraiment pô le moment. 30 % aujourd’hui, 100 % dans un mois, au coeur de l’été.

renato dit: à

« … où l’on voit que beaucoup d’erdéliens jeûnent trop souvent, icite. »

Vous, par exemple?

et alii dit: à

beaucoup d’erdéliens jeûnentça, c’est la faute au vatican, si je peux me permettre;
comme vous savez tous,
en remplacement, aux catholiques du monde entier de s’abstenir ce jour-là de toute nourriture en effectuant un jeûne complet, ce qui permettra en outre de « préserver les ressources naturelles de la planète et de réduire la faim dans le monde ». Les habituelles dérogations en fonction de l’âge et de la santé des personnes seraient maintenues. Tout le détail de ces mesures sera décrit dans un document officiel à paraître ce mardi, le Motu Proprio Piscis Aprilis. Si les amis des animaux se réjouissent déjà de cette décision importante, les réactions des professionnels de la pêche et de la corporation des poissonniers sont beaucoup plus hostiles : une délégation doit être reçue à ce sujet par le Cardinal Fisch, Préfet de la Congrégation pour la Protection de la Nature.
« https://croire.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Annee-liturgique/Vatican-le-poisson-le-vendredi-c-est-fini

et alii dit: à

mon narcissisme peut être halieutique!

Bloom dit: à

Yes, JC. J’ai eu l’insigne privilège de fouler la pelouse de l’Arms Park dans les années 80, non comme joueur, mais comme invité du jardinier, qui a gentiment autorisé le jeune Frenchie qui encadrait un séjour linguistique à Cardiff à se recueillir pendant une demi-heure dans ce temple du beau jeu de rugby-football, dont le grand Phil Bennett et ses diables rouges comptaient parmi les plus talentueux représentants.
Ce matin sur Radio 4, avec son accent gallois inimitable, celui de Dylan Thomas et de Vernon Watkins, Gerald Davies a chanté les louanges de son ancien coéquipier, issu du ‘petit’ peuple gallois, aussi doué sur un terrain de rugby que dans la vie.
Bread of Heaven, Feed me Till I want No more…

Damien dit: à

Dans « Le Monde », un intéressant article de Jean Birnbaum sur Mélanchon et la géopoliqtique : le leader trotskiste, dans ses déclarations, a soutenu avec persévérance les pires dictateurs actuels, en Russie, en Chine, en Syrie, etc. : « la conception du monde, écrit Birnbaum, qui est celle de l’« insoumis » en chef l’a amené à soutenir des chefs écrasant la moindre insoumission ». C’est un réquisitoire très radical de Birnbaum, et qui donne envie de voter plutôt pour la majorité présidentielle. Moi, je n’ai jamais aimé les trotskistes, du reste. Mélanchon m’est souverainement antipathique. Je n’aime pas ses discours, son art oratoire me pèle le jonc. Si en plus, il est du côté des tyrans, c’est très inquiétant. Que fera-t-il si jamais il devient premier ministre ? C’est en lui que se concentrera constitutionnellement tous les pouvoirs, ou presque. Il pourra laisser libre cours à ses caprices, peut-être sanguinaires. Un jour de colère, il va certainement appuyer sur le bouton atomique. Et nous serons tous morts ! Rappelez-vous l’infâmes Trotski réprimant dans le sang l’insurrection des ouvriers en grève, au nom du bolchevisme !!! Tel est Mélanchon, moderne réincarnation de l’un des plus grands criminels de l’histoire (Trotski). J’avoue que je préfère le doux agneau Macron, malgré son penchant libéral. Dimanche prochain, j’ai le choix entre un candidat Nupes et un candidat macronien non officiel. Je choisirai ce dernier, que j’ai rencontré déjà une fois à sa permanence. Nous avions agréablement discuté pendant une petite heure, littérature et philosophie. — J’aimerais rencontrer Mélanchon, aussi, et si jamais il m’invite à déjeuner, je viendrais avec un longue fourchette, pour être le plus loin possible de lui (le Diable). Les monstres comme lui me fascinent, mais je me gardent d’un contact rapproché. Je mettrais un masque, de plus. Mélanchon, ce n’est pas le Covid qu’il apporterait, c’est la peste !

rose dit: à

Eh bien Damien, vous êtes gravement allumé.
Mais avec 35° celsius, c’est compréhensible.

rose dit: à

Le cardinal Fish qui vient d’ordonner le cardinal Barbaque.
Voui.

rose dit: à

Voltaire, Essai
Les Albinos sont, à la vérité, une nation très-petite et très-rare : ils habitent au milieu de l’Afrique ; leur faiblesse ne leur permet guère de s’écarter des cavernes où ils demeurent, cependant les Nègres en attrapent quelquefois, et nous les achetons d’eux par curiosité. J’en ai vu deux, et mille Européans en ont vu. Prétendre que ce sont des Nègres nains, dont une espèce de lèpre a blanchi la peau, c’est comme si l’on disait que les noirs eux-mêmes sont des blancs que la lèpre a noircis. Un Albinos ne ressemble pas plus à un Nègre de Guinée qu’à un Anglais ou à un Espagnol. Leur blancheur n’est pas la nôtre ; rien d’incarnat, nul mélange de blanc et de brun ; c’est une couleur de linge, ou plutôt de cire blanchie ; leurs cheveux, leurs sourcils, sont de la plus belle et de la plus douce soie ; leurs yeux ne ressemblent en rien à ceux des autres hommes, mais ils approchent beaucoup des yeux de perdrix. Ils ressemblent aux Lapons par la taille, à aucune nation par la tête, puisqu’ils ont une autre chevelure, d’autres yeux, d’autres oreilles ; et ils n’ont d’homme que la stature du corps, avec la faculté de la parole et de la pensée dans un degré très-éloigné du nôtre. Tels sont ceux que j’ai vus et examinés[4].

rose dit: à

Suite
Le tablier que la nature a donné aux Cafres, et dont la peau lâche et molle tombe du nombril sur les cuisses ; le mamelon noir des femmes samoyèdes, la barbe des hommes de notre continent, et le menton toujours imberbe des Américains, sont des différences si marquées qu’il n’est guère possible d’imaginer que les uns et les autres ne soient pas des races différentes.

Au reste, si l’on demande d’où sont venus les Américains, il faut aussi demander d’où sont venus les habitants des terres australes ; et l’on a déjà répondu que la Providence, qui a mis des hommes dans la Norvége, en a mis aussi en Amérique et sous le cercle polaire méridional, comme elle y a planté des arbres et fait croître de l’herbe[5].

Plusieurs savants ont soupçonné que quelques races d’hommes, ou d’animaux approchants de l’homme, ont péri ; les Albinos sont en si petit nombre, si faibles, et si maltraités par les Nègres, qu’il est à craindre que cette espèce ne subsiste pas encore longtemps.

Il est parlé de satyres dans presque tous les auteurs anciens. Je ne vois pas que leur existence soit impossible ; on étouffe encore en Calabre quelques monstres mis au monde par des femmes. Il n’est pas improbable que dans les pays chauds des singes aient subjugué des filles. Hérodote, au livre II, dit que, pendant son voyage en Égypte, il y eut une femme qui s’accoupla publiquement avec un bouc dans la province de Mendès ; et il appelle toute l’Égypte en témoignage. Il est défendu dans le Lévitique, au chapitre XVII, de s’unir avec les boucs et avec les chèvres. Il faut donc que ces accouplements aient été communs ; et jusqu’à ce qu’on soit mieux éclairci, il est à présumer que des espèces monstrueuses ont pu naître de ces amours abominables. Mais si elles ont existé, elles n’ont pu influer sur le genre humain ; et, semblables aux mulets, qui n’engendrent point, elles n’ont pu dénaturer les autres races.

rose dit: à

Suite
À l’égard de la durée de la vie des hommes (si vous faites abstraction de cette ligne de descendants d’Adam consacrée par les livres juifs, et si longtemps inconnue), il est vraisemblable que toutes les races humaines ont joui d’une vie à peu près aussi courte que la nôtre. Comme les animaux, les arbres, et toutes les productions de la nature, ont toujours eu la même durée, il est ridicule de nous en excepter.

Mais il faut observer que le commerce n’ayant pas toujours apporté au genre humain les productions et les maladies des autres climats, et les hommes ayant été plus robustes et plus laborieux dans la simplicité d’un état champêtre, pour lequel ils sont nés, ils ont dû jouir d’une santé plus égale, et d’une vie un peu plus longue que dans la mollesse, ou dans les travaux malsains des grandes villes ; c’est-à-dire que si dans Constantinople, Paris et Londres, un homme, sur cent mille, arrive à cent années, il est probable que vingt hommes, sur cent mille, atteignaient autrefois cet âge. C’est ce qu’on a observé dans plusieurs endroits de l’Amérique, où le genre humain s’était conservé dans l’état de pure nature.

La peste, la petite vérole, que les caravanes arabes communiquèrent avec le temps aux peuples de l’Asie et de l’Europe, furent longtemps inconnues. Ainsi le genre humain, en Asie et dans les beaux climats de l’Europe, se multipliait plus aisément qu’ailleurs. Les maladies d’accident et plusieurs blessures ne se guérissaient pas à la vérité comme aujourd’hui ; mais l’avantage de n’être jamais attaqué de la petite vérole et de la peste compensait tous les dangers attachés à notre nature, de sorte qu’à tout prendre il est à croire que le genre humain, dans les climats favorables, jouissait autrefois d’une vie plus saine et plus heureuse que depuis l’établissement des grands empires. Ce n’est pas à dire que les hommes aient jamais vécu trois ou quatre cents ans : c’est un miracle très-respectable dans la Bible ; mais partout ailleurs c’est un conte absurde.

rose dit: à

La peste, la petite vérole, que les caravanes arabes communiquèrent avec le temps aux peuples de l’Asie et de l’Europe, furent longtemps inconnues.

rose dit: à

Pour vous Damianus, le surligné en gras ci-dessus et une demande « cessez d’avoir peur, b. ! Il existe des cuirassés qui protègent le dos et les jambières et le heaume et la lance, le bouclier et les gants métalliques. Laissez advenir l’inconnu (e!). »
Grazie mille.

rose dit: à

des cuirasses, etc. avec tout le bastringue.

rose dit: à

Patrice Charoulet dit: à
CELA NE S ‘INVENTE PAS

Nom de l’adversaire NUPES d’Elisabeth Borne au second tour des législatives ?………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
Gauchard.

Je l’ai constaté de même.

rose dit: à

Et alii

Je l’ai Bajazet.
Mais quel lien avec Roxane ?

Amanda Lire dit: à

pour penser, il faut manger.

Et, effectivement ceux qui mangent mal, pensent mal! 😉
Vive la gastronomie!

et alii dit: à

rose, relisez Racine : BAJAZET

et alii dit: à

je me demandais comment cela se passe du côté des anthropogues qui parlaient des « négresses à plateau »
(il s’agit du labret )
Les belles idées de la défigurée : à propos du plateau labial des Mursi (Ethiopie)
ils disent « femmes a plateau » aujourd’hui

et alii dit: à

anthropologues excuses

closer dit: à

Damien découvre la lune: Mélenchon est un dangereux extrémiste…Pourtant Damien doit être relativement bien informé, il parle littérature et philosophie avec un candidat…mais il lui faut un article de Jean Birnbaum pour se réveiller le 13/06/2022! Mélenchon est un type menaçant et infréquentable…ben oui. On imagine le niveau moyen d’information de l’électeur lambda!

et alii dit: à

Plus d’une décennie après les indépendances africaines, quel est le sort des femmes dans ces pays ? A quelles oppressions celles-ci sont-elles confrontées ? Ont-elles voix au chapitre ? Voilà autant de questions auxquelles Awa Thiam tente de répondre dans La Parole aux négresses.

Awa Thiam est une écrivaine sénégalaise, anthropologue et féministe. Elle fut une membre active de la Coordination des Femmes Noires en 1978, connue pour être l’un des plus importants groupes féministes noirs de France. La publication de La parole aux négresses lui donne une aura continentale et internationale, car pour une fois, une Africaine parlait aux Africaines de sujets les concernant au premier plan
https://information.tv5monde.com/terriennes/la-parole-aux-negresses-de-awa-thiam-livre-fondateur-du-feminisme-africain-367315

Janssen J-J dit: à

AIMER LA POLICE ?
par Eric de Riedmatten, alias P.CHAROULET (?)
C’est vrai que la Police ne demande pas à être aimée. « Qu’ils me haïssent, pourvu qu’ils me craignent » disait l’empereur Caligula. Et il avait raison car après tout, seule l’autorité et le respect de la chose publique, (de la RES PUBLICA traduction latine de notre république), seule cette autorité devrait être figée dans le marbre, intouchable et indiscutable. Or, on l’a bien vue avec le tireur du Pont Neuf, il s’en est fallu de peu pour que le policier auteur des tirs voit sa carrière brisée alors que les agresseurs étaient des trafiquants de drogue dangereux. On ne peut qu’être révolté par la manière dont la Police a été traitée. L’un des policiers, 24 ans, mis en examen pour homicide volontaire encourait jusqu’à 30 ans de prison ! Cette inversion des rôles a de quoi susciter l’indignation. La présomption de légitime défense devrait être la règle pour les policiers. Heureusement, la force du syndicat Alliance a fini par faire jaillir la juste décision en rétablissant dans ses droits le jeune policier. Et c’est un soulagement de voir l’autorité enfin reconnue.
POLICIER : SE FAIRE CONDAMNER OU SE FAIRE TUER ?
Car pour un flic, il n’y a plus le choix : se faire condamner ou se faire tuer. Les flics ne font plus peur disent les bandes qui se multiplient dans les banlieues. Et souvenons-nous de ce que disait récemment un participant à la convention annuelle de l’armement au Texas. Ce membre de la National Rifle Association (NRA) après le drame d’Uvalde aux Etats-Unis voulait justifier son port d’armes. Voilà ce qu’il disait : « les tueurs ne craignent pas le juge, ils ne craignent pas la police, ils doivent avoir peur des victimes auxquelles ils s’en prennent ». Mais voilà, notre police en France est dans l’impasse. Elle marche sur des œufs, entre la peur d’une bavure et la peur d’être assassinée. Elle doit repérer, tracer, agir, intercepter, neutraliser sans faire usage de la force.
Avouez qu’il y a là un paradoxe. Et puis, elle doit faire face à un rejet systématique d’une certaine classe politique, et d’une partie de l’opinion. Oui : elle souffre de mésestime. Disons-le, elle a du mal à se faire aimer. Elle est rarement soutenue par son autorité de tutelle et encore moins par son Gouvernement (l’époque Castaner a laissé des traces).
JE NE CONNAIS AUCUN POLICIER QUI ENTRE DANS CETTE PROFESSION POUR TUER
Elle est détestée par la justice qui, au moindre accroc, n’hésite pas à la hisser au rang des coupables. Elle est méprisée par les voyous, et haïe par les antisystèmes parmi lesquels on mettra en premiere ligne Jean-Luc Mélenchon qui a montré sa haine pour ces fonctionnaires quand il a affirmé que « la police tue ». J’étais révolté en écoutant les propos de haine assénés par le leader de Nupes qui parle d’abus de pouvoir exercé par les policiers en légitime défense. Jean-Luc Mélenchon va même jusqu’à dire qu’un policier s’octroie le droit d’user de la peine de mort pour un refus d’obtempérer. Qu’aurait-il fait si ce policier avait été écrasé par la voiture folle du Pont Neuf ? Se serait-il rendu aux Invalides pour un hommage national ? Je retiendrais une seule phrase vraie et juste. Celle du commissaire Le Bars, Secrétaire général SCPN-UNSA. Il dit ceci : « Je ne connais aucun policier qui entre dans cette profession pour tuer ». Et d’ajouter sur CNEWS : « La maitrise des armes létales est très encadrée en France et l’on ne compte pas le nombre d’affaires où le policier renonce à l’usage de son pistolet ». Moi je le dis : la police doit être couverte par son autorité. Systématiquement. C’est le seul moyen de renforcer sa crédibilité et de lui permettre d’asseoir son autorité. Je pense que c’est comme à l’école. Le jour où les profs et les instituteurs ne sont plus respectés, tous les abus sont permis. L’ordre se délite et le camp des mauvais en profite pour faire sa loi. C’est cela qui ne va pas en France. Est-il normal de garder le silence quand les fonctionnaires se font agresser ? Et pourquoi le rejet de notre Police par certaines classes de la population ? C’est vrai qu’il y a un paradoxe. Ce métier est sûrement l’un des plus complexe au monde. Nous aimons nos flics quand ils viennent nous sauver ou nous sortir d’une sale passe.
Nous les aimons moins quand ils nous arrêtent pour une infraction. Et une bonne part de la population les déteste quand ces mêmes policiers chargent les manifestants et déclenchent les gaz lacrymogènes.
LE CONTINUUM PEUT-IL FAIRE MONTER LA COTE D’AMOUR POUR LA POLICE ?
Alors amour ou haine ? Il est intéressant de regarder l’enquête de l’institut CSA dont CNEWS a relayé les enseignements. Et cette étude peut surprendre car finalement, les Français (ou en tous cas ceux qui ont été sondés), n’expriment pas d’antipathie pour leur police. Huit français sur dix (84%) font confiance à l’autorité publique. Même si les jeunes sont moins nombreux à déclarer leur sympathie pour ces fonctionnaires (68% des 18-24 ans). On voit dans ce sondage que la police bénéficie d’une large adhésion de la population. Mais que la machine à détruire leur réputation continue de sévir. La montée en puissance du continuum de la sécurité peut-il changer la donne ? Avec plus de présence policière humanisée dans les rues et un meilleur partage des taches, la police, publique ou privée, retrouverait ses lettres de noblesse. Aujourd’hui, la police de proximité comme on l’appelle est plutôt appréciée des Français. Elle est même réclamée car elle seule peut redonner aux Français un sentiment d’une meilleure sécurité.
Et il est intéressant d’écouter l’émission « Security Book » animée par Alexandre Carré.
Le témoignage de l’ancien patron du RAID, Jean-Louis Fiamenghi, en dit long sur les besoins de la France en termes d’effectifs. Plus d’agents privés dans les rues pourrait rassurer et libérer les forces publiques d’une surcharge de travail. Ils pourraient alors se concentrer sur leurs missions essentielles de filatures, d’enquête et d’interception avec un niveau de formation encore plus exigeant.
Il est urgent de remettre des patrouilles à pied dans les rues. Et il est important que des agents privés deviennent des primo intervenants.
Le continuum peut donc largement contribuer à décharger les polices publiques et les libérer de stress. Car en étant saturées et sur le qui-vive, elles sont amenées à commettre des faux pas.
Oui je le dis : La multiplication des forces d’appoint sera l’une des façons de renforcer la sécurité des Français et de faire monter d’un cran la cote d’amour pour nos autorités qui le méritent bien.

QUAND ON MANGE SAIN, ON PENSE BIEN… (la suite sur internette-allii),

J J-J dit: à

On a besoin d’internautes pour nous mettre en garde contre le danger représenté par les sbires de Ménilmuche. Que des soutiens sans-dents qui mangent-pas-cher, apparemment !

D. dit: à

Dans ma circonscription il y a ballotage entre un macroniste et un nupèsien.
Eh bien c’est décidé : je voterai pour le nupèsien uniquement pour défaire le macroniste. Ça m3me fera mal aux doigts mais tant pis. L’urgence est Là.

renato dit: à

Ils pourraient tirer dans les jambes, plutôt qu’au thorax, car une blessure par balle au thorax est souvent mortelle ; et s’ils sont en voiture, dans un pneu ou dans le radiateur.

et alii dit: à

Le Bal Blomet (ex-Bal Nègre) est un célèbre ancien cabaret dansant antillais et club de jazz du Paris des Années folles, créé en 1924 par Jean Rézard des Wouves1, au 33, rue Blomet dans le quartier Necker du 15e arrondissement de Paris, à l’ouest de Montparnasse. Le bâtiment qui l’abrite et qui a connu d’autres utilisations avant et après le Bal Nègre est, début 2017 en cours de rénovation et reconstruction partielle, en vue de sa réouverture en tant que salle de concert de près de trois cents places ambitionnant de renouer avec l’esprit du Bal Nègre de la grande époque2. Il porte désormais le nom de « bal de la rue Blomet ».sur wiki

renato dit: à

Exemple. C’est arrivé à Rolo, dans la province de Reggio Emilia, trois braqueurs tentent de s’introduire dans un bureau de tabac, un retraité de 65 ans, réveillé par les bruits, a regardé dehors et, après avoir crié aux trois de partir, a tiré du balcon avec son Smith & Wesson 357 Magnum, touchant le radiateur du fourgon qu’ils auraient dû utiliser pour s’enfuir, obligeant les voleurs à fuir à pied : deux sont toujours recherchés tandis qu’un a été arrêté par les carabiniers.

Cela bien à part, il y a toujours le conseil de Jarry, selon lui il suffisait d’inverser la formule « un tir de sommation en l’air puis un tir dans le gros ».

et alii dit: à

@renato!
Lieu de fête sans fin, c’est au Bal Nègre qu’en 1929 est organisée la soirée mémorable de la « Fête Ubu » : « Là [au Bal Nègre], Montparnasse s’initiait à la biguine. Robert Desnos habitait la maison voisine. Un article dans Comœdia avait lancé cet établissement. Youki parut au Bal Ubu déguisée en reine, avec une robe à traîne et de longues nattes blondes. Kiki menait la danse, infatigable et débraillée. Le peintre Foujita était déguisé en fille publique. Un tonneau avait été mis en perce et le champagne se distribuait par bouteilles ; c’était au printemps 1929. »

lmd dit: à

Il sera bientôt plus simple de regarder la Télé, directement, sans passer par le blog RDL 
On n’arrête pas le progrès !

et alii dit: à

C’est le président du carnaval d’alors, le regretté Freddy Baud, qui en eut l’idée en 1977. Nous avons alors lancé des coups de fil à droite et à gauche et, le soir même, les rues étaient remplies de jeunes qui s’étaient passé la figure au cirage.»

Dans l’euphorie de cette première édition, le Père blanc, inspiré du missionnaire de Tintin au Congo, apparut sur son balcon pour sermonner les visages noirs surexcités qui déambulaient. Au fil des ans, le «bal nègre» attire les fêtards des quatre coins du Valais et devient le lieu de tous les débordements. A tel point qu’il est remplacé en 1987 par le «bal des trappeurs» puis l’année suivante par le «bal des oiseaux» et en 1989 par le «bal des animaux»…
https://www.letemps.ch/suisse/saintmaurice-lafricaine-organisait-un-bal-negre

et alii dit: à

En 1783, l’anthropologue allemand Johann Friedrich Blumenbach, considéré comme l’un des précurseurs des funestes théories raciales, rend visite aux Treytorrens, une riche famille d’Yverdon. Dans le magnifique parc de la maison de maître, la villa d’Entremonts, à côté des bains thermaux, le savant aperçoit une «grande et belle» femme. Quelle n’est pas sa surprise quand il réalise qu’elle est noire. La rencontre avec Pauline Buisson va marquer Johann Friedrich Blumenbach. A tel point qu’il révisera son jugement sur la supériorité de la race caucasienne, professant ensuite l’unicité de l’espèce humaine.

Mais qui était vraiment Pauline Buisson? Cette personnalité avec tous ses mystères fascine Caroline Arni, professeure d’histoire contemporaine à l’Université de Bâle et spécialiste de l’histoire des femmes. Autour de la villa d’Entremonts, nulle trace de l’histoire de Pauline Buisson
un parcours didactique à travers Yverdon créé pendant la première vague du Covid-19. «J’ai été frappé par cette histoire d’esclaves à Yverdon, c’est la face cachée de l’âge d’or de la ville au XVIIIe siècle», commente Pierre Pittet, médiateur culturel de la bibliothèque publique et scolaire, qui a conçu ce parcours en partenariat avec le Musée d’Yverdon et région.

En compagnie d’un autre esclave, du nom de François Mida, mort en 1797, Pauline Buisson a été amenée en Suisse dans les années 1770 depuis Saint-Domingue, relate Caroline Arni. L’officier David-Philippe de Treytorrens y avait fait fortune au service de la Compagnie hollandaise des Indes occidentales ainsi que de la France. Parmi ses faits d’armes: l’écrasement d’une révolte d’esclaves à Saint-Domingue. La famille de son épouse, Marie Lefort, possédait sur l’île une plantation où travaillaient des esclaves déportés d’Afrique.
https://www.letemps.ch/suisse/pauline-buisson-mysteres-negresse-dyverdon

et alii dit: à

«Le cas de Pauline Buisson était suffisamment rare pour être appelée, à l’époque, la «négresse d’Yverdon», continue Caroline Arni. Le transfert des deux esclaves en Suisse s’est fait illégalement. David-Philippe de Treytorrens aurait dû avoir l’autorisation du Ministère colonial français, qu’il a essayé en vain d’obtenir après coup.»

En revanche, l’historienne n’a pas encore trouvé de preuves de l’activité de sage-femme. Si Pauline était aussi connue autour d’Yverdon, d’autres figures de la région ont pris note de sa présence, suppose Caroline Arni. Elle pense à Germaine de Staël, qui réunit à la même époque au château de Coppet des intellectuels militant pour l’abolition de l’esclavage.

Damien dit: à

rose, vous êtes trotskiste ?

Je savais depuis longtemps que Mélanchon était trotskiste, mais je voulais attirer l’attention sur les points précis que rappellent le journaliste du « Monde ». Ce qui est le plus extraordinaire, c’est l’annexion de Mélanchon à l’idéologie poutinienne, qui révèle de fait sa propre doxa soi-disant « insoumise », mais en réalité parfaitement stalinienne (digne des abrutis de Lutte Ouvrière). Il n’est pas absurde de voir les trois candidats populistes Mélanchon, Le Pen et Zemmour être des nostalgiques d’une grandeur passée, style « révolution conservatrice » des années d’avant-guerre en Allemagne (ou ailleurs). Les extrêmes se rejoignent, ici dans l’autoritarisme — pour un peu, on invoquerait les mannes de Hitler et, surtout, comme je viens de le faire à l’instant, de Staline pour Mélanchon. A ce propos, très pertinentes sont les analyses historiques d’un Johann Chapoutot, hélas séduit par le postmodernisme sauvage d’un Pap Ndiaye. Mais la rigueur est là, qui aide à comprendre ce retour aux totalitarismes, à la nostalgie (camarade !) qu’il entraîne. J’ai été étonné qu’à la présidentielle Macron s’en tire si bien, même devant une Le Pen si gauche. Ces législatives sont le contrecoup d’une ambiance politique malsaine, annoncée par les troubles sociaux, et la faillite quasi générale du capitalisme. Car ce n’est pas Macron qui va ouvrir une nouvelle voie — surtout s’il n’a pas de majorité absolue à l’Assemblée. Ce n’est pas non plus le populisme, mais ça, c’est une cause désespérée… Les Français ont porté Macron au pouvoir, mais à regret, semble nous dire ce résultat électoral d’hier.

et alii dit: à

C’est Léon Michaud, le directeur du collège d’Yverdon, chargé de trier les archives de la ville, qui raconte pour la première fois cette histoire aux Yverdonnois en 1958. L’origine du litige tient à la promesse faite par la famille Treytorrens à Pauline Buisson, morte en 1826, d’accorder la bourgeoisie à son enfant. Mais l’héritier des Treytorrens, moins riche que ses aïeuls, refuse de s’acquitter des frais. Il défend que c’est à la municipalité de régulariser l’enfant. A défaut, ce serait reconnaître que l’esclavage existe toujours sur le territoire vaudois.
En 1826, illustrant les préjugés sur la sexualité débridée des Africains, l’avocat de la commune lance à la famille Treytorrens: «Vous avez introduit dans la commune l’Africaine Pauline Buisson, cette négresse au sang ardent, véritable matière inflammable expédiée d’un climat brûlant. Vous l’avez mise en communication avec des hommes, et aussitôt la mèche s’est allumée, l’explosion s’en est suivie et la bombe, en éclatant, a vomi un petit négrillon dont vous ne savez pas comment vous défaire; voilà le dommage que vous devez réparer!» Le différend financier se terminera par un règlement à l’amiable en 1834, mais Samuel Buisson est décédé deux ans plus tôt, apatride.

et alii dit: à

Desnos:
Sur les bords du Mississipi
Un alligator se tapit.
Il vit passer un négrillon
Et lui dit : « Bonjour, mon garçon. »
Mais le nègre lui dit : « Bonsoir,
La nuit tombe, il va faire noir,
Je suis petit et j’aurais tort
De parler à l’alligator. »
Sur les bords du Mississipi
L’alligator a du dépit,
Car il voulait au réveillon
Manger le tendre négrillon.

Bolibongo dit: à

Damien dit: à

rose, vous êtes trotskiste ?

Sûrement avec du gras à la ceinture pour empêcher d’y placer des explosifs! 🙂

et alii dit: à

 »
Court texte inédit et inachevé.
Prenez un savant comme Éléazard Hazard, des insectes en latin, un clàoun nommé Calvaire Mitaine, Sulpice Fissile le philatéliste, une pieuvre apprivoisée, les binocles et moustaches du détective Florentin Rentin, Jim Jim le boxeur nègre à l’accent alsacien ; mêlez à cela une belle quantité d’environs de Marseille, un château dit des Broutilles ; saupoudrez avec un inventaire d’objets usuels ; nappez de quelques crimes cocasses, disparitions subites, dialogues en roue libre et proclamations en pente rude de l’auteur qui revendique le droit de changer le nom de personnages « ramassés dans le sable un jour d’ennui et qui n’arrivent que péniblement à [le] distraire » et vous obtenez, en cinquante-neuf feuillets dûment comptés, les vingt-neuf chapitres d’un roman inéditissime de Raymond Queneau : allègre sauterie narrative pour ectoplasmes surréalistes et élémentaires onirocritiques. Souvenez-vous, braves gens, c’était quand Fantômas tenait le piano…hazard et fissile »
https://www.livraddict.com/biblio/livre/hazard-et-fissile.html

lmd dit: à

Parfaitement.
Au banjo, Papa Charlie Jackson : Shake that thing.
bhttps://www.youtube.com/watch?v=YNW-2BiGs44&list=RDEM5_9C5L0Eixzu-X0wCE4kPw&index=1

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