Quel effet ça fait d’être (encore) un problème ?
Voilà une expérience que l’on devrait proposer à tout auteur d’un essai qui a fait date dans son domaine : lui proposer d’y revenir dix ans après et de dresser un bilan de l’évolution de la question qu’il avait traitée. Ce qui ne va pas sans risque. Cette expérience, Pap Ndiaye historien spécialiste des Etats-Unis et professeur à SciencesPo, s’y est prêté tout récemment à la demande du Monde qui y a consacré une double page. L’objet : La Condition noire, un livre de 435 pages publié en 2008 chez Calmann-Lévy et réédité depuis en poche chez Folio, le premier à proposer une synthèse si vaste, si fine, si détaillée et si complète de la « »question noire » » en France métropolitaine.
Revenons sur l’auteur et le livre avant de voir comment il jette un coup d’œil rétrospectif sur cette enquête et sur son actualité. Pap Ndiaye est un Français né à Antony en 1965 d’une mère Française née à Pithiviers, élevé à Bourg-la-Reine et qui n’a connu le Sénégal de son père qu’à 20 ans, comme sa soeur la romancière Marie Ndiaye qui lui a donné une belle préface en forme de nouvelle. Pur produit de l’école républicaine, de l’école communale à l’Ecole normale supérieure, il est historien, professeur à SciencesPo, spécialiste des Etats-Unis. La précision a son importance car elle l’a poussé à adopter un esprit comparatiste (avec l’Amérique du Nord mais aussi la Grande-Bretagne) dans ce qu’il présente dès la couverture comme un « Essai sur une minorité française ». Ainsi ce n’est pas seulement le ton qui est donné, mais la thèse qui est déjà avancée. Car il y a principalement deux perspectives dans ce domaine : minoritaire ou identitaire.
Même s’il ne s’interdit pas d’établir des passerelles entre les deux, Ndiaye envisage, historiquement et sociologiquement, les Noirs de France sous l’angle d’une minorité. Qu’il épluche la presse sur le sujet, qu’il interroge des acteurs de cette réalité dans la région parisienne ou à Lille, ou qu’il enquête dans le monde associatif, c’est toujours dans le prisme minoritaire. Son projet s’ancre sur un postulat en forme de paradoxe : en France, les Noirs sont visibles individuellement, mais invisibles collectivement. On ne les voit pas comme groupe social et le monde universitaire lui-même ne s’est pas avisé qu’ils pouvaient constituer un objet de recherche quand ils l’étaient de longue date outre-Atlantique et outre-Manche. Le fait est que dans nos librairies, on trouve bien davantage de livres sur les Noirs américains que sur les Noirs français.
Dans son étude, l’auteur fait évidemment litière des prétendues singularités biologiques des Noirs, d’une culture fondée sur la conception romantique d’un peuple noir, du choix même de la notion de « peuple » qu’il conteste tout en rejetant également celle de « communauté » qui suppose des liens culturels identitaires forts entre les membres du groupe concerné. C’est pourquoi il parle de « minorité », qui évacue la question des liens identitaires pour ne se concentrer que sur une expérience sociale partagée. On le suit dans nombre de ses analyses, tant elles sont argumentées, même si on ne le suit pas lorsqu’il préfère utiliser « minoré » plutôt que « minoritaire » de crainte que les Noirs en conçoivent un sentiment d’infériorité, alors que Juifs et Protestants ne souffrent pas de se voir appliquer ce vocable. On s’en doute, le lexique a son importance et il n’est guère de mots que Ndiaye n’emploie à la légère. Il nous invite d’ailleurs à suivre le parcours américain de nigger à negro, puis de negro à black (dans The Human stain/ La Tache de Philip Roth, ghost avait suffi à son antihéros pour être dénoncé) avant, comme on s’en doute, de se faire l’historien du concept de négritude en français, rendant à Césaire ce qui fut parfois exclusivement attribué à Senghor.
C’est une étude sérieuse, très sourcée, mais qui ne néglige pas pour autant des pistes qui peuvent apparaître futiles alors qu’elles s’inscrivent parfaitement dans l’analyse de l’auteur, telles les pages consacrées aux « échappés » comme on nomme les Noirs à la peau claire aux Antilles, ainsi que le marché des cosmétiques pour s’éclaircir la peau; ses nombreux clients recourent aux onguents et crèmes dépigmentantes non pour ne plus être noir mais pour éclaircir leur noirceur. D’autres pages, sur l’évolution des prénoms chez les Noirs nés en France métropolitaine (plus français et plus internationaux), sur « les veilleurs de nuit les plus diplômés du monde » e tles ratés de l’ascenseur social, ou sur la récupération politique du mythe du Juif négrier par l’écrivain Raphaël Confiant et l’humoriste Dieudonné, sont édifiantes. Tout cela, toute cette culture et cette érudition, pour dire quoi ? Que la politique française a tout à gagner à considérer la question noire en France d’un point de vue minoritaire et non identitaire.
« Quel effet ça fait d’être un problème ? » se demandait W.E.B. Du Bois dans Les Ames du peuple noir (La Découverte, 2000). Pap Ndiaye répondait par ce livre impressionnant qui n’est pas qu’une histoire de la victimisation même s’il convient, en dépit de formulations toujours mesurées, que le fait d’être noir en France est « un handicap social objectif ». D’autant que depuis une vingtaine d’années, comme s’ils renouaient avec le dynamisme de l’entre-deux-guerres à la décolonisation, lesdites victimes se posent à nouveau en « sujet noir », organisé, militant et réactif. Mais ils le font en Noirs français qui tiennent à leur identité française, à l’opposé d’une logique communautariste.
Et le sport ? Pap Ndiaye ne l’a évidemment pas négligé d’autant que c’est dans ce domaine que la question noire est naturellement la plus spectaculaire et, partant, la plus apte à propager les stéréotypes raciaux. Dans la dizaine de pages qu’il y consacre, il met en pièces toute explication biologisante à la légendaire aptitude des Noirs à l’effort physique (au XIXème siècle, on prétendait plutôt le contraire, Gobineau évoquant leur « faiblesse musculaire »). Sans méconnaître la part de bon sens franchouillard dans l’observation de la composition de l’équipe de France de football, l’auteur la rattache aussitôt à un présupposé selon lequel les Noirs seraient donc inférieurs dans les domaines intellectuel ou artistique. L’explication est à chercheur ailleurs : dans l’organisation de la société, les conditions socio-économiques,les structures sportives et l’histoire de l’immigration. Avant, ce n’étaient pas des Noirs mais des Français d’origine polonaise (Kopa), italienne (de Piantoni à Platini), espagnole (Amoros, Fernandez). Le nombre de Noirs chez les Bleus est donc dû à « un moment de l’histoire sociale de notre pays et des grands courants migratoires internationaux« .
Quant au racisme dans les stades, puisqu’ils ne sont pas des zones de non-droit, considérons les supporters comme les justiciables qu’ils sont, cessons de croire que le droit n’a de valeur que formelle dans les gradins et forçons-y son application, comme ce serait le cas hors de ce sanctuaire qui échappe trop souvent aux foudres de la loi. Pour ce qui est du racisme au sein même du sport, c’est une autre histoire, plus subtile. Les mentalités auront vraiment évolué aux Etats-Unis par exemple lorsque les entraîneurs de football américain ne dirigeront pas systématiquement leurs jeunes joueurs noirs vers les postes de running back(ceux qui courent pour marquer) et qu’ils leur confieront la place enviée de quarterback (le stratège qui oriente l’attaque en lui lançant le ballon) toujours dévolue à un blanc.
Voilà de quoi traitait l’essai de Pap Ndiaye il y a dix ans. Lorsque Le Monde lui propose d’y revenir aujourd’hui dans un grand entretien intitulé « Pour déracialiser la société, il faut en parler » (13 juillet 2019), il constate que « le bilan est mitigé ». Il y a certes eu une floraison de chercheurs en histoire et en sciences sociales et de travaux universitaires consacrés au sujet ; mais dans le même temps le monde associatif a été pris par la fièvre identitaire avec ce que cela suppose de réduction, de rétrécissement et de repli.
L’exposition « Le Modèle noir de Géricault à Matisse » a attiré quelque 450 000 visiteurs au Musée d’Orsay (jusqu’au 21 juillet). Sur Netflix, on a pu voir deux séries remarquables qui donnent vraiment à réfléchir sur la question noire : l’une indirectement (L’affaire O.J. Simpson), l’autre directement (Dans leur regard). Mais encore ? Si les statistiques ethniques existent bien en France contrairement à une idée répandue, elles sont très contrôlées. Elles permettent par exemple au sociologue Fabien Jobard d’établir dans une enquête sur le contrôle au faciès de la police gade du Nord ou dans les Halles qu’un noir ou un arabe a six à huit fois plus de « chance » d’être contrôlé qu’un blanc. Sur l’utilisation du mot « race » dans le vocabulaire quotidien, Pap Ndiaye est prudent. Etant entendu que cela n’a pas de sens d’un point de vue biologique, son usage en a dès lors qu’il s’agit de décrire des phénomènes discriminatoires, à condition toutefois que cela n’essentialise pas des individus ou des groupes.
Interrogé sur l’affaire qui a défrayé la chronique il y a peu (la censure par des associations noires d’une représentation des Suppliantes d’Eschyle à la Sorbonne coupable de blakface), il se félicite qu’elle ait pu finalement avoir lieu et exprime son hostilité à toute tentative de censure de la liberté de création tout en appelant les artistes et les créateurs à « être davantage à l’écoute des sensibilités minoritaires », à ce qui peut blesser ou humilier d’autres que soi. Quant à la lutte de syndicats étudiants tels que l’Unef ou Sud en faveur des « luttes décoloniales »et la dénonciation de « l’idéologie néo-libérale et raciste » sur la question, il juge leur charge « outrancière ». Au fond, d’une manière générale sur ce terrain brûlant, Pap Ndiaye appelle à la mesure, à commencer par l’usage immodéré et incontrôlé du lexique de la « race ». Un excès qui ne peut que contre-productif et desservir la cause qu’il prétend défendre comme c’est le cas sur nombre de campus américains où le politiquement correct restreint dangereusement la liberté d’expression. Et pas que là-bas ! (le président Macron a pris des risques l’autre jour lorsque, évoquant « la République de la délation », il a dit : « Il suffit que je sorte une photographie, dise des choses sur vous, sur n’importe qui, ça devient les Dix petits nègres… ») Au fond, dix ans après son essai, il pose le problème différemment : comment dénoncer les discriminations dont sont victimes les minorités tout en décloisonnant leur entre-soi ?
L’histoire est un instrument identitaire. Or quelques jours après, dans un autre débat lancé par Le Monde (« Le passé éclaire-t-il le présent ? »), un autre historien Patrice Guéniffey, spécialiste lui de la Révolution et de l’Empire, faisait écho à cette problématique sans la citer et en l’élargissant. Constatant que la mémoire nationale est aujourd’hui fragmentée et que la perte du récit commun représente une mutation essentielle dans l’histoire des mentalités collectives, il en prenait acte ainsi :
« La recherche de ce que j’appellerais « l’être commun »- le sens de former une communauté- a été perdue de vue. L’histoire, aujourd’hui, se fragmente en « studies », qui rencontrent une vague audience dans des communautés ciblées au préalable, qu’elles soient religieuses, sexuelles ou ethniques. Chacun a son histoire, une histoire qui n’est pas celle de ses voisins, et qui est d’ailleurs souvent conflictuelle avec la leur ».
Puisqu’il serait vain désormais d’espérer réécrire ce fameux récit commun, c’est à dire national, dira-t-on qu’en république le communautarisme finira par l’emporter sur la communauté ? N’attendons pas dix ans pour en reparler.
(« Ayuba Suleiman Diallo », 1733, tableau de William Hoare, National Portrait Gallery, Photo de Ben Stansall ; « Etude d’homme » de Theodore Gericault ; « Olympia » de Manet ; « La petite danseuses de quatorze ans », 1881, sculpture d’Edgar Degas, National Gallery of Art, Washington ; « Le châtiment des Quatre piquets dans les colonies 1843 de Marcel Antoine Verdier, Musée d’Orsay, Photos de François Guillot)
1 270 Réponses pour Quel effet ça fait d’être (encore) un problème ?
j’ai été sauvée par les livres, les contes ssur l’identité des parents, des enfants, Dickens aussi:je leur dois tout
Dubouchon est une créature de Hollande à qui on a dû dire qu’il faut un historien dans un staff politique, que ça fait bien. Après quoi Dubouchon a sauté chez le macronoïde quand il a vu que Hollande pédalait dans la semoule et n’irait pas bien loin. Il fallait trouver un historien promotionnel, que Dubouchon a accepté de devenir, pour chapeauter l’opération « vision mondiale de l’histoire de France » (opposée à une histoire de la nation France qu’on voulait faire passer pour obsolète et honteuse), laquelle était destinée à prolonger un peu l’existence de L’UE et a fait un tel flop que Gibert Joseph refuse de les reprendre, même à 10 centimes. Les européistes ont cru qu’ils pourraient fabriquer un nouveau Duby (très critiqué par Dubouchon) susceptible de les servir quand ils en auraient besoin, mais ils ont négligé le fait que Duby avait le talent, la carrure -et le courage- pour faire carrière et Dubouchon pas du tout. Bref, l’anecdote Dubouchon est un gros flop ridicule et surtout politique. Il n’a été soutenu, et c’est symptomatique que par les larbins de presse, les épaves les plus minables, les écrivains les plus ratés, qui ne sauraient vivre de leur talent et doivent quêter leur ration de brioche jusqu’au seuil de la tombe, à l’affût du moindre cliquetis de monnaie tintant dans les plus douteuses poches, en se faisant domestiques à vie auprès de tout ce qui a du pognon, – et sont par exemple, tolérés, en bout de table, au célèbre club le Piècle,, association qu’on ne qualifiera pas davantage,- et par ceux qui espèrent y entrer ou en ramasser les miettes. Par personne d’autre d’autant que les ouvrages de Dubouchon sont sévèrement critiqués par les historiens pour le manque ou le contestable de leur méthode. Il ne restera de tout cela que le souvenir d’une épopée absolument ridicule menée tambour battant par des imbéciles.
« ce n’est pas ses opinions qui va changer ma vie… »
Là j’ai fait le rital exprès, il fallait le souligner.
Là j’ai fait le rital exprès, il fallait le souligner.
ça c’est amusant ! de Fontenay dit qu’elle a fait ou aurait fait la juive;voilà pourquoi je vous aime bien, ouvre tous vos liens, nous sommes de vrais cousins
On se demande pourquoi Hurkidé nous rapporte ce que raconte Chevènement dans les diners en ville, à propos de Patrick Boucheron. Un tissu d’idéologies fielleuses mal maîtrisées, étayées par pas grand chose de concret…, des rumeurs tirées des culs de basse fosse du collège de france. Genre : « d’autant que les ouvrages de Dubouchon sont sévèrement critiqués par les historiens pour le manque ou le contestable de leur méthode ».
Voir à ce sujet,une référence qui ne manque pas de sel : « le grand historien mélomane Hurk Chalumeau conteste la méthode Boucheron » (in Vingtième siècle, 2018, 4, 327-389).
quand j’écris « faire la juive » il y a eu une rencontre où il y avait E.de FONTENAY qui s’intitulait les gigues juives de Derrida :que des femmes ;alors qu’Alain David que je vous recommande est un juif authentique, sérieux!
voilà un liEn alain DAVID
Tout cela veut dire, sans plus de précaution, néanmoins au départ d’un témoignage, l’anecdote, quand même, de ce que je n’éviterai pas d’avoir à nommer, en dépit de ma gêne de le faire, « mon rapport à Derrida ». Quant à ce que je saurais en prononcer maintenant, ce rapport, d’admiration et de reconnaissance éperdues, constitue depuis longtemps l’essentiel de ma vie philosophique, si elle existe, ponctuée par des événements repères : les états généraux de la philosophie, le colloque sur le genre en 1979 à Strasbourg, le colloque de Cerisy en 1980, celui de Nancy et Lacoue (comme on disait) et puis tous les autres colloques de Cerisy, organisés par Marie-Louise Mallet ; et les séminaires, à l’École normale, à l’EHESS, qui chaque semaine constituaient un horizon immédiat, un encouragement pour ce que je faisais et pour ce que je ne faisais pas, très certainement un renouvellement. Et encore (je me plais à le dire ici) ces six dernières années le bonheur d’organiser au Collège (le Collège qui lui doit tant) des samedis du livre autour de lui, avec lui. Et puis, ce que j’ose à peine mentionner, la
la grâce de « La forme et la façon », cette préface, admirable, à un livre que j’ai écrit sur le racisme (geste que j’ai reçu comme signifiant la volonté de reconnaître et de participer à une entreprise où la pensée cherchait à se faire militante, mais encore davantage, au-delà de toute autre finalité, comme un geste de pure et simple bonté). Et puis enfin, comme pour chacun j’imagine, le phénomène incroyable, incompréhensible, sidérant, de l’œuvre qui s’écrit. Je ne sais pas combien de livres, plus me semble-t-il que ce que rapporte ces jours-ci la presse (plus de cinquante en tout cas) peut-être quatre-vingts, peut-être cent. Combien de livres, combien d’amis, combien sont-ils, est-ce qu’on peut compter ?
http://www.ruedescartes.org/articles/2005-2-alain-david/
La Gigi peut bien faire sa maline. Quelle importance? Est-ce qu’on va se mettre, désormais, à compter les moucherons à gros Q?
Et puis Chevènement, ce n’est pas si mal comme référence, c’est même très bien et le plus souvent très fiable…
les gigues
ça c’est un coup d’hamlet qui me parasite
les figures
Dans les années 20, Langston Hughes, figure de proue de la renaissance de Harlem avec County Culleen, vécut lui aussi à Paris.
A méditer, the soul of black folks:
THE NEGRO SPEAKS OF RIVERS
I’ve known rivers:
I’ve known rivers ancient as the world and older than the
flow of human blood in human veins.
My soul has grown deep like the rivers.
I bathed in the Euphrates when dawns were young.
I built my hut near the Congo and it lulled me to sleep.
I looked upon the Nile and raised the pyramids above it.
I heard the singing of the Mississippi when Abe Lincoln
went down to New Orleans, and I’ve seen its muddy
bosom turn all golden in the sunset.
I’ve known rivers:
Ancient, dusky rivers.
My soul has grown deep like the rivers.
@ Alain David que je vous recommande est un juif authentique
en quoi est-il recommandable, au juste, taxifofolle ? Pourriez-vous nous établir une liste pour les goyim que nous sommes, séparant les authentiques des frelatés ? Merci bien par avance. (J’en avions d’avance la chair de poule, de la réponse, et pourtant il faut bien demander des comptes aux délirantes (les psychotiques sont très rationnels, nous dit-on).
puisque c’est ça, une gigue
Le Canon de Pachelbel ou Canon en D ou Canon per tre Violini e Basso (titre original) ou Canon et Gigue (danse) en ré majeur pour trois violons sur une basse obstinée de Johann Pachelbel (Kanon und Gigue für 3 Violinen mit Generalbaß, en allemand) (PWC 37, T. 337, PC 358) fait partie d’une pièce de musique de chambre baroque1, composée vers 1680 en deux mouvements : 1 canon (musique) et 1 gigue (danse)2, pour trois violons et basse continue3, par le compositeur allemand Johann Pachelbel (1653-1706). Il est une de ses compositions les plus célèbres, d’origine méconnue, traditionnellement jouée pour l’accompagnement de marche nuptiale de mariage (peux être jouée pour le mariage du 23 octobre 1694, de son élève Johann Christoph Bach III avec Johanna vom Hofe, frère aîné de Jean-Sébastien Bach).
Le Canon de Pachelbel ou Canon en D ou Canon per tre Violini e Basso (titre original) ou Canon et Gigue (danse) en ré majeur pour trois violons sur une basse obstinée de Johann Pachelbel (Kanon und Gigue für 3 Violinen mit Generalbaß, en allemand) (PWC 37, T. 337, PC 358) fait partie d’une pièce de musique de chambre baroque1, composée vers 1680 en deux mouvements : 1 canon (musique) et 1 gigue (danse)2, pour trois violons et basse continue3, par le compositeur allemand Johann Pachelbel (1653-1706).
https://www.youtube.com/watch?v=NlprozGcs80
Janssen J-J dit: 20 juillet 2019 à 11 h 49 min
merde
Marianne Moore and Langston Hughes :
https://blogfigures.blogspot.com/2011/04/marianne-moore-and-langston-hughes_9.html
Alain DAVID
Ancien(ne) Directeur de programme du 01/07/1998 au 30/06/2004
Direction de programme : Prophète en son pays (actualité de Levinas)
Résumé : L’intitulé est Prophète en son Pays : le prophète pourrait être Levinas, et le pays la France, ce qui suffirait à inscrire le programme à rebours du livre de Dominique Janicaud, Le Tournant théologique de la Phénoménologie française, mais chacun des éléments de l’intitulé est à affecter d’un «qui maintenant?, où maintenant?». Le propos est donc plus radicalement celui de l’actualité d’un mort. En pastichant une pensée avec laquelle silencieusement Levinas n’a peut-être jamais cessé de s’expliquer : «nul ne sait vraiment ce que peu un mort». La dis-tentio engage un temps non articulé sur le présent, un lieu plus grand que le monde, et des considérations ayant à inventer à la tangence de la phénoménologie, de l’oeuvre d’art, de la politique, un trajet et un langage propres.
https://www.ciph.org/spip.php?page=quisommesnousdetail&id_personne=782
Merci hamlet de rappeler ce message où je clamais mon admiration pour William Christie…C’était après avoir écouté sur Arte un magnifique concert des Arts Florissants. Je veux bien admettre que j’ai exagéré en ayant l’air d’exclure les autres baroqueux d’aujourd’hui. J’en ai entendu d’autres très bons, mais ce n’est pas ma tasse de thé de façon générale. Je reste, comme Pablo, sous le coup du traumatisme asséné par Harnoncourt à ses débuts, avec ses instruments couinants, traînants, gémissants, ses voix d’enfants étiques…insupportable! A partir de Mozart, on devrait interdire les instruments d’époque! Mais je peux être très sensible à de la musique médiévale ou Renaissance, voire 17ième, jouée par des musiciens non dogmatiques sur des instruments anciens…M’enfin…Couperin, Rameau, Scarlatti sur un piano d’aujourd’hui, c’est quand même superbe.
un extrait du lien de renato
The Negro Mother
Children, I come back today
To tell you a story of the long dark way
That I had to climb, that I had to know
In order that the race might live and grow.
Look at my face – dark as the night –
Yet shining like the sun with love’s true light.
I am the dark girl who crossed the red sea
Carrying in my body the seed of the free.
I am the woman who worked in the field
Bringing the cotton and the corn to yield.
I am the one who labored as a slave,
Beaten and mistreated for the work that I gave –
Children sold away from me, I’m husband sold, too.
No safety , no love, no respect was I due.
Three hundred years in the deepest South:
But God put a song and a prayer in my mouth .
God put a dream like steel in my soul.
Now, through my children, I’m reaching the goal.
Chaloux, je me demande si ce n’est pas Braudel dont Moucheron « se méfie » (ce sont ses mots, de mémoire) plus que de Duby…Mais c’est sans doute des deux, après tout pourquoi se gêner?
Le vers d’Apollinaire, que commente Aragon, « Dieu que la guerre est jolie », ouvre la voie à un siècle funeste de violences et de massacres en tout genre. Aragon nous dit qu’il faut prendre cette parole d’Apollinaire avec ironie. Nous sommes en 2019, et malgré un XXe siècle effrayant, nous continuons à faire des défilés à la con le 14 juillet. L’humanité sera-t-elle un jour adulte ? Responsable ? Je me le demande bien. Des esprits réformistes comme Ulrike Meinhof ou, aujourd’hui, le pape François, luttent contre des moulins à vent. Le vote écolo est néanmoins encourageant : les électeurs commencent à savoir quoi faire et pour qui voter. Un seul but, une seule nécessité : l’ABOLITION, pour que tout change et que l’homme devienne enfin meilleur dans un monde sain.
@11.43 et 44 Profil bas ?…, tout à coup ? Clavier usé ? Afro-chevènementisme ? Coup d’mou ? Remugles de basses fosses ? Sepia ? Disparition de pablita, l’autre folle tordue ? Fais ta maline en perverse haineuse, franchement, qui veux-tu convaincre, qui peux-tu convaincre sur cette chaîne qui te supporte… ? l’Faut bien, hélas. Mais on fatigue un brin.
« je vous aime bien, ouvre tous vos liens, nous sommes de vrais cousins »
On est pas là pour draguer, et alii !
Avec vous, on a du mal à savoir qui parle. Mais si j’ai bien compris, vous nous avez révélé des choses très fortes et très intimes sur vous ! Enfant de la guerre, d’une mère juive déportée. Enfance difficile (battue) et de lourds problèmes d’identité ?
Vous avez été mariée et avez eu des enfants ?
On connait mieux votre géographie parisienne : enfance aux Buttes-Chaumont, lycée Jules Ferry de la place de Clichy, travail en atelier dans le Marais.
Parallèlement, vous avez fait des études en Sorbonne et assisté à de nombreux colloques et séminaires universitaires et rencontré les principaux intellectuels de la fin du siècle dernier ?
Mais qui êtes-vous donc, et alii ?
De quelle impossibilité à vous dire êtes-vous la victime ?
Autrement dit, et alii : « Quel effet ça fait d’être (encore) un problème ? »
@11.51, je m’attendions à mieux…, merd’alhors !
@12.01, Boucheron, Closer, pas Moucheron (laissez ça aux petiots, vous ne vous grandissez pas en risquant la viscosité chalumineuse, une lèpre répugnante qu’on attrape dans les CDBF).
CHRISTIANE elle a affirmé une belle stupidité la journaliste du Point les romans de Ndyae parlent et très bien de la condition des femmes Noires
et alii dit: 20 juillet 2019 à 11 h 51 min
Janssen J-J dit: 20 juillet 2019 à 11 h 49 min
merde
Au point où en est la Gigi, disons lui directement:
MANGE!
Encore Langston Hughes :
closer dit: 20 juillet 2019 à 11 h 55 min
de rien Closer.
sur ce que vous dites de cet épisode Harnoncourt avec les instruments d’époque je crois qu’il faut se méfier d’éviter de faire des généralités et de tirer des conclusions trop rapides, ce qu’a fait Harnoncourt était à la fois inévitable et nécessaire à ce moment-là dans le cadre ce retour / renouveau du baroque, je pense qu’il l’a fait avec certaines idées (arrières pensées) qui semblaient légitimes, il faut remettre toutes ces histoires dans leur contexte, il faut aussi nous méfier de notre position d’auditeurs enfants gâtés, avec nos attentes et nos petits plaisirs de consommateurs, pour le dire autrement ce n’est pas le boulot d’un musicien de faire plaisir à ses auditeurs, pas plus que d’un écrivains de faire plaisir à ses lecteurs, les notions attachées au « plaisir de lire » et au « plaisir d’écouter de la musique » sont (à mon avis) à revoir, en tout cas le mot « plaisir » est devenu un mot extrêmement « problématique ».
Moi je suis de l’avis de Christiane, les livres de Marie Ndiaye sont chiants, prétentieux et interminables. Elle est, en outre, c’est le cas de le dire, d’une prétention hallucinante, accusant à tort et à travers toute romancière de plagiat, alors qu’objectivement on se fout complètement de ses bouquins et qu’ils comptent pour rien.
Je me souviens avoir fait des pieds et des mains pour acquérir la première édition de The First Book of Jazz ; maintenant il est parmi le livre de la mère de mon premier enfant, mon exemplaire n’est donc pas perdu.
closer dit: 20 juillet 2019 à 12 h 01 min
Boucheron attaque régulièrement Duby, notamment pour l’importance que celui-ci donne aux Histoires de Raoul Glaber, ce qui lui permet sans arguments décisifs de croire qu’il peut remettre en cause les thèses de Duby sur l’an Mil.
Glaber se lit d’ailleurs très bien dans l’édition Brepols pas chère, autour de 10 euros en France.
http://www.brepols.net/Pages/ShowProduct.aspx?prod_id=IS-9782503504209-1
Pour le reste, je suis de votre avis. Pourquoi se gêner?
@ on se fout complètement de ses bouquins et qu’ils comptent pour rien
et nous, on se fout des opinions de chachal, musicolatre de mes deux, qu’a jamais lu un roman ni tapé sur ma moindre épinette … Si vous saviez comme on s’en tape des p’tits merdeux transis vendus à chevènement, exhumés un temps de leur CDBF !
Pour info.
Langston Hughes est considéré comme l’un des pères de la poésie jazz, une forme d’art littéraire qui a émergé dans les années 20 et qui est devenue la base du style hip-hop.
Closer, pour préciser mon propos, en dehors de l’ambiance « règlements de compte » qui régnait dans le monde baroque, et qui continue d’être présent, parmi les idées qui motivaient la démarche d’Harnoncourt on trouve celle de garder à l’esprit que la musique, la composition musicale s’est toujours faite dans un cadre « instrumental » relevant des techniques de facteurs d’instruments et de luthiers.
pour le dire autrement : Chopin n’a pas composé ses valses pour clavecin. Il a fallu que les facteurs fassent des progrès pour passer du clavecin au piano forte.
Bach n’a composé que 2 oeuvres pour piano : le facteur du coin lui avait présenté ses pianos, Bach les avait trouvés mauvais, pas équilibrés, faibles dans les aigus, le type l’a mal pris, mais il s’est reis au boulot et il a progressé dans sont travail, il est revenu plusieurs années plus tard et il a à nouveau montrer ses pianos à Bach, et ce dernier lui a cette fois dit que ça fonctionnait bien, et du coup il a composé ses 2 dernières oeuvres pour ce piano : la suite Sicilienne et la fin d’une autre pièce dont j’oublie le nom.
comment le sait-on ? aprce que ce sont les seules partitions où Bach met des annotations : « piano » et « forte », sinon il n’y en a aucune sur ses partitions.
comme il n’y a aucun indication sur aucune partition de musique baroque, ce qui signifie qu’aujourd’hui personne ne peut savoir comment ça doit se jouer.
ça c’est un premier point important à garder à l’esprit : l’évolution de la musique suit l’évolution des instruments !
et voilà ! ça c’était une des idées qui ont motivié ce travail d’Harnoncourt : rappeler que la musique ne s’est jamais composée en dehors de la technique de fabrication des instruments.
et pourquoi il l’a voulu le rappeler ? : parce que tout le monde l’a oublié !
Closer c’est tellement vrai qu’il n’est pas rare d’entendre parler sur France Musique des Variations Goldberg pour piano !
ce qui est une totale absurdité parce que ces pièces n’ont jamais été composées pour piano.
alors je sais bien que les types ils font pas exprès, mais quand on entend ça on comprend le pourquoi d’Harnoncourt.
@ Chaloux
« Ce que je préfère chez Mendelssohn c’est sa musique de chambre. »
Moi aussi. Et de loin. Sa musique symphonique je la fuis. Elle passe tout le temps sur Radio Classique ou sur France Musique. J’ai du mal à comprendre pourquoi tant de chefs-d’orchestre adorent autant ses symphonies et ses ouvertures.
Je trouve même qu’il est mort quand il commençait à être un grand compositeur. Quand on entend son terrible Quatuor op.80 écrit à la mort de sa soeur, avec laquelle il avait une relation si forte (on l’appelle parfois Requiem à Fanny), on se dit que s’il n’était pas mort lui aussi 5 mois après, sa musique aurait beaucoup changé – en bien.
Ce quator est sa dernière oeuvre achevée, et un chef-d’oeuvre. Son deuxième mouvement est l’une des musiques les plus désespérées que je connaisse.
Ici les deux premiers mouvements dans la version du Quatuor Ébène (qui n’est pas la sombre que je connaisse):
I Allegro vivace assai
https://www.youtube.com/watch?v=beB-Vu8GuEs
II Allegro assai
https://www.youtube.com/watch?v=68w0usB_9Ko
Janssen J-J dit: 20 juillet 2019 à 12 h 33 min
Que veux-tu qu’on réponde, à une épave dans ton genre, ma pauvre Gigi la visqueuse? Toi qui ne sais lire qu’en diagonale et continue à douter que George Sand ait joué du piano après avoir lu (?) qu’elle y passe la moitié de ses journées. Euh… si, je sais ce qu’on peut te répondre : MANGE ET CONTINUE DE MANGER (les tiennes, et je ne te parle pas de meringues). Vivre en circuit fermé, tu n’es bon qu’à ça.
C’est quoi le CDBF, JJJ ?
@Paul Edel dit: 20 juillet 2019 à 12 h 15 min
Dans le seul livre que j’ai lu, j’ai rencontré des femmes malheureuses semblables à bien des femmes peuplant ce monde et les villes où j’ai vécu. Pourriez-vous me dire en quoi ces femmes sont surtout des femmes malheureuses parce que noires ? Je ne l’ai pas assez lue pour avoir une certitude et les femmes noires que je connais vivent à proximité et ont les mêmes problèmes que bien d’autres femmes ( famille – maternité – sentiment d’exclusion – filiation parfois désastreuse…). Je crois, comme l’écrit Rose, qu’elle ne souhaite pas être reconnue comme une écrivaine « africaine ». Mais comme une femme écrivain.
Qu’est-ce que c’est être noir ? être blanc ? être rouge ou jaune ? Les sociétés sont tant métissées… Même femme/homme c’est… compliqué…
«…ces pièces n’ont jamais été composées pour piano »
Mais peu importe :
Cela bien à part, 950€ pour un café plus éloignement de la ville (de Venise) c’est bien fait.
le fait que personne ne sache comment doivent se jouer les pièces baroques explique en partie l’ambiance qui règne dans ce milieu.
parce que quand on ne sait pas on fait quoi ? on invente !
du coup la musique baroque ne relève pas d’un savoir mais de croyances, d’où ces chapelles qui passent leur temps à se mettre sur la tronche : parce que pour mériter leur salaire ces chefs ne peuvent pas dire qu’ils ne savent pas.
alors qu’ils ne savent pour la simple raison qu’on ne peut pas savoir.
et voilà une deuxième motivation d’Harnoncourt !
comme quoi tout ça c’est bien plus compliqué » que de dire j’aime ou j’aime pas.
le plaisir d’écouter de la musique c’est le degré zéro de la pensée !
la musique n’est pas faite pour susciter un plaisir ! c’est quoi ces conneries ?
résultats des courses on croise des crétins comme pablo qui vous pondent des tonnes d’âneries basées sur leur plaisir à la con !
et bien sûr sur un savoir encyclopédique, merci wiki !
C’est donc de la poésie jazz, renato ! D’autres noms ? Y a t’il des poètes jazz français ou francophones et lesquels ?
« I’ve known rivers:
I’ve known rivers ancient as the world and older than the
flow of human blood in human veins.
My soul has grown deep like the rivers.
I bathed in the Euphrates when dawns were young.
I built my hut near the Congo and it lulled me to sleep.
I looked upon the Nile and raised the pyramids above it.
I heard the singing of the Mississippi when Abe Lincoln
went down to New Orleans, and I’ve seen its muddy
bosom turn all golden in the sunset.
I’ve known rivers:
Ancient, dusky rivers.
My soul has grown deep like the rivers. »
De par leur nom leur passé leurs liens particuliers
LEUR FAÇON DE PARLER elles sont noires Christiane
renato dit: 20 juillet 2019 à 12 h 43 min
oui, à condition que le « peu importe » vienne après ce constat : Bach n’a pas composé les variations pour le Steinway de Gould.
à partir de là on peut effectivement dire peu importe qu’on les jouent à la harpe, au xylophone ou avec un ensemble de trompettes.
au moins on ne peut pas reprocher à Gould de faire une erreur d’interprétation vu qu’il ne fait que suivre les voix notées sur la partitions, au moins ne les jouent pas comme cet imbécile de Bareinboim qui les jouent comme si ces variations avaient été composées par Liszt.
@Jazzi.
Dans un passé récent, Pierre Assouline en bon petit soldat macroniste avec doigt sur la couture du pantalon (mais j’ignore à qui appartient le pantalon) m’a voué au « cul de basse fosse des complotistes ». Quand on voit où en est ce régime, on comprend mieux la panique de ses troufions. il va falloir gérer l’après.
en jouant Bach de façon romantique Barenboim commet une erreur de débutant, pas seulement faire un anachronisme, mais utiliser une musique annotée pour jouer une musique qui ne l’est pas.
comme si les annotations musicales dont disposent les musiciens pouvaient permettre de tout jouer !
un erreur et un contresens musical qu’on ne pardonnerait même pas à un gamin qui sort d’un conservatoire !
Ne peut que réagir à l’adresse de certains qui dénigrent Marie Ndiaye, et son écriture.
D’un style certes quelquefois assez précieux (« La Cheffe », un de ses derniers ouvrages, a découragé certains de nos lecteurs), il est pourtant d’une richesse et d’une élégance peu commune. Une femme puissante (sic) dans ses idées… et de plus d’une générosité et d’une gentillesse extrême, lorsqu’on la connait un peu.
http://vendangeslitteraires.overblog.com/marie-ndiaye-rallume-le-feu-de-la-littérature
écouter les instruments anciens de Harnoncourt devrait être mille fois moins pire qu’entendre ce tissus de mièvreries :
Ah c’était donc ça, Chaloux. Un beau titre honorifique que t’a décerné Passou !
Macroniste ou pas, moi je suis bien emmerdé pour les futures élections municipales parisiennes, les seules où l’on peut voir une certaine réalité suite à nos votes. On a d’autre choix que Hidalgo ou Griveaux ! Autant dire blanc bonnet et bonnet blanc. Je ne pourrai donc que m’abstenir…
Il faut tenir en compte le comportement des instruments, hamlet ; une trompette, par exemple, n’est pas un violon, mais :
https://youtu.be/EWbfDg9P0Y0?list=PL75zfhOIwSJ0H8qC0mrADq0G1rRU5NQ3a
@Pablo.
J’ai une préférence pour le troisième quatuor, et surtout pour pour son Andante. Mendelssohn a longtemps produit des thèmes parfois un peu mièvres et il a fini par rentrer dans le grand art (dans le troisième concerto, il y a des thèmes qui sont parmi les plus beaux du XIXe siècle), peut-être sous l’influence de sa sœur Fanny qui avait du génie et un style harmonique très personnel (je crois que certaines Romances sans paroles sont d’elle).
https://www.youtube.com/watch?v=3ROITIFxi5M
L’Andante à 18’20.
La transcription pour piano qu’on trouve sur Imslp est excellente.
@ Alan B.
Autre chose, personne ne semble se souvenir que Apollo 11 n’était rien d’autre qu’un V-2 construit par le criminel de guerre Werner Von Braun, ingénieur favori d’Hitler recyclé par le Pentagone. Ne pas oublier qu’il fut l’ancien responsable du camp de concentration de Dora ou travaillèrent et moururent des milliers d’esclaves russes et français. Il est des moments où les Etats-Unis donnent la nausée.
Alan B. dit: 20 juillet 2019 à 9 h 37 min
Tu as déjà vu un pays qui aspire à être la plus grande puissance du monde avoir de la moral? Il n’y en a eu qu’un: l’Espagne du XVI siècle. Et à cause de ses délires religieux et moraux, son empire s’est effondré très vite, et définitivement.
Quant au recyclage des nazis, beaucoup d’autres pays l’on fait, et pour des raisons beaucoup moins avouables. Demande au Pétomane Jaloux à l’Âme de Nazi pourquoi ses amis les Argentins ont accueilli à bras ouverts autant de nazis.
renato : d’où l’importance de rappeler pour quel instrument ont été composées ces variations !
pour éviter une interprétation épouvantable comme celle de Barenboim.
parce que lui on a envie de lui dire hého mon gars cette musique a été composée pour clavecin, il faut y aller mollo sur la pédale, le mieux serait que tu ailles écouter Landowska, ou même Blandine Rannou !
Et Alii, oui, l’écriture peut être une incomparable thérapeute, et votre histoire familiale douloureuse semble vous y mener tout droit. Mais songez cependant à vos lecteurs, il faut discipliner l’expression, calmer le désarroi dans l’agencement construit des mots et des phrases, et ne pas hésiter à se relire à haute voix. C’est juste un conseil, je sais que les donneurs de conseils sont généralement pénibles (et surtout « ne sont pas les payeurs ») mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour tenter de vous convaincre que la peine et le désarroi peuvent être partagés, à condition de considérer l’écriture comme un truchement, non une fin. Et donc de suivre les quelques règles de syntaxe, de grammaire, nécessaires à un clair « exposé des motifs »… En tout cas, courage. Votre effort de lucidité est patent !
Il critique donc les deux le Moucheron (t’inquiète les 3J, je suis d’humeur facétieuse aujourd’hui, ça changera…). Concernant Braudel, c’était à propos de son dernier opus inachevé « L’identité de la France ». On pouvait presque voir à la radio la moue de dégoût de Boucheron (soyons sympa avec JJJ) à l’audition de ces quatre mots répugnants « L’identité de la France »…Il se « méfiait » de Braudel, le Moucheron.
je me souviens que Kerouac avait prévu la décadence politique des USA.
renato dit: 20 juillet 2019 à 10 h 25 min
Qui a dit il y a longtemps que les États Unis étaient passés de la barbarie à la décadence sans passer par la civilisation? Einstein, non?
renato dit: 20 juillet 2019 à 13 h 01 min
il faut surtout tenir compte de l’évolution historique des techniques de fabrication des instruments qui suit l’évolution historique de la musique.
voilà ce qu’a voulu rappeler Harnoncourt.
» Resterait-il un prix qui récompenserait toute son œuvre et qu’elle mérite ?
Oui, sans doute ! »
Se demandait Henri Lhéritier, Chantal. Il pensait au Nobel !
(Voilà un erdélien que je regrette de n’avoir pas rencontré !)
Clopine donnant des conseils d’écriture à et alii qui est probablement professeur d’université à la retraite ou quelque chose d’approchant…
(Pardon Clopine, je n’ai pas pu résister…)
Merci de l’avoir lu jusqu’au bout, Jazzi…
C’est ainsi qu’il revit un peu !
ce qu’a mis en évidence Harnoncourt c’est les gens adorent la musique baroque mais ils sont incapables de l’entendre comme à l’époque où elle a été composée.
c’est tout de même une bizarrerie : les gens aiment cette musique mais ils ne supportent pas l’idée de l’entendre jouée comme à l’époque.
c’est quoi cette connerie ? ça vient d’où ?
qui connait Harnoncourt ? comment ne pas penser quand on le connait qu’il a voulu mettre les individus dans le caca de cette réaction grotesque ?
« professeur d’université à la retraite ou quelque chose d’approchant… »
Malheureusement a peu près illisible, closer !
Hamlet, oui, toute la série sur Céline l’antisémite était passionnante cette semaine. Et surtout les arguments avancés par les uns et les autres (ceux qui « minimisent » et ceux qui « replacent » les actes commis par Céline, comme les dénonciations, etc.) permettaient de se faire une claire opinion.
Oui, Céline a falsifié ses états de guerre pour tenter de minimiser la peine encourue à son procès. Oui, Céline était clairement un agent nazi. Oui, Céline, via le papier rationné qui lui était pourtant allègrement attribué, a tiré de coquettes sommes d’argent de sa collaboration. Oui, Céline a dénoncé des personnes dont il convoitait la place (et ça a marché). Oui, Céline est une ordure totale : pas un mot de regret sur ses positions, pas de remise en cause, un Janus qui, après guerre, met en scène théâtralement sa victimisation (pas d’argent, etc.).
Je vous remercie donc tout particulièrement de m’associer à cette figure-là. La ressemblance est effectivement particulièrement frappante.
Paganini à la trompette c’est comme écouter Mozart à l’accordéon, renato. !
bon appétit,moi,je partage:
Septièmes Assises Nationales contre le négatonnisme (1/2) Politique
Mieux comprendre le complotisme pour mieux le combattre (82 min)
A. David, Militant anti-raciste – F. Encel, politologue – A.S. Sebban, Doctorante – D. Sopo, pdt de SOS Racisme – Y. Ternon, historien
Assises nationales de la lutte contre le négationnisme, Paris janvier 2017
Assister à cette conférence
Juifs, Armeniens, Tutsis, Yezidis : unis contre les génocides (1/2) Histoire
Face aux révisionnismes (186 min)
B. Adjemian, Historien – P. Assoulen, Historien – D. Auguste – A. Bakhtikyan, Musicien – H. Cohen-Solal, psychanalyste – S. Dahan, Président du B’nai B’rith – A. David, Militant anti-raciste – D. Farhi, rabbin – I.B. Feldman, psychologue – A. Hirschler, Musicien – B. Jouanneau, Avocat – M. Kabanda, Historien – R. Kévorkian, historien – P. Kieusseian, médecin – D. Laufer, journaliste – R. Odier, dg. FSJU – P. Robert, Photographe – T. Secretan, Reporter – Y. Ternon, historien – R. Waintrater, psychanalyste
B’nai B’rith France, Mairie du 3e arrondissement, paris mars 2017
Assister à cette conférence
Colloque des intellectuels juifs de langue française (14/15) Philosophie
L’insertion sociale face à la montée des violences (170 min)
C. Askolovitch, journaliste – K. Bahloul, Animatrice dans « Parle moi d’Islam » – J-M. Chouraqui, Historien – M. Cohen, gériatre – H. Cohen-Solal, psychanalyste – A. David, Militant anti-raciste – J. Laurence, Enseignant-chercheur
Fondation du judaïsme français, Paris mars 2017
Génocides, transmettre la mémoire Histoire
Empêcher de nouveaux génocides par le travail de mémoire ( min)
B. Abtan, pdt de l’EGAM – H. Billard, professeur – A. David, Militant anti-raciste – K. Karababas, Enseignant – J. Mamou, pdt. Urgence Darfour
Assises nationales de la lutte contre le négationnisme, Paris janvier 2018
Assister à cette conférence
Ethique, messianisme et politique. Autour de Gérard Bensussan (13) Philosophie
Ce que Bensussan dit au nom de Levinas (note sur La philosophie allemande dans la pensée juive)
G. Bensussan, philosophe – A. David, Militant anti-raciste
Institut Universitaire Européen Rachi de Troyes, Troyes janvier 2011
Commander cette conférence
Ethique, messianisme et politique. Autour de Gérard Bensussan (15) Philosophie
Débat: éthique, morale et politique
G. Bensussan, philosophe – A. David, Militant anti-raciste – M. Ruta, professeur
Institut Universitaire Européen Rachi de Troyes, Troyes janvier 2011
http://akadem.org/conferencier/David-Alain-3593.php
cela nous plonge dans cette bizarrerie grotesque de notre relation à l’histoire.
on le voit encore dans ce billet de passou : l’histoire représente un frein, ce retour incessant et stérile aux catastrophes passées comme si ces catastrophes permettraient d’avancer.
les américains ont élu un président noir !
qu’est-ce qu’il faut de plus pour aller de l’avant et arrêter d’en revenir toujours à cette histoire catastrophique !
hamlet dit: 20 juillet 2019 à 10 h 46 min
Merci Pétomane Jaloux à l’Âme de Nazi d’avoir exhumé ces commentaires avec lesquels je suis toujours à 200 % d’accord.
Tu crois te moquer de moi parce que je cite Suzuki et tu penses que c’est le fabricant des motos. Mais non, Gros Connard, c’est le meilleur interprétè vivant de Bach.
Règle bien ton sonotone et écoute bien (si tu es capable et si tu as des bonnes enceintes connectées à l’ordinateur):
J.S. Bach: St John Passion, BWV 245 – Bach Collegium Japan, Masaaki Suzuki
https://www.youtube.com/watch?v=SiKgrevzT-g
Personne dirige aujourd’hui cela comme lui.
« bon appétit,moi,je partage »
Du décongelé un peu étouffe chrétien, et alii.
On préfèrerait un plat fait maison !
Et pourtant, Closer, quand vous lisez les posts d’El Alii, vous devez souffrir, comme moi, de leur obscurité et du désarroi que de telles négligences révèlent, non ?
Vous me direz que, lorsque les mots affluent, le débordement émotionnel peut occulter l’entendement, et des phrases mal construites, des mots se chevauchant presque, mettent au jour le mal-être dont il est question. Ce serait dans ce cas un procédé (comme les points de Céline) ?
Et puis, vous savez, « on » (les Court et consorts…) a déjà tellement remise en cause ma légitimité, ici, qu' »on » en est paradoxalement arrivés au résultat diamétralement opposé à l’effet recherché.
Moi qui, de moi-même, était plutôt inhibée et pénétrée de la modestie de mon bagage, qui la jouait « profil bas », ici, n’est-ce pas, je suis, après les milliers de posts où la haine de l’illégitime éclatait, totalement libérée de ce genre de complexe d’infériorité.
Je m’estime beaucoup moins calomniatrice ou insensée que d’autres, ou, pour parler franc, si quand je me vois, je me désole toujours autant, quand je me compare, alors là, pardon !!!
Mais bon. Si Et Alii est gentille, elle sentira la bienveillance dans ma démarche, et non le sentiment d’une supériorité méprisante, comme tant ici l’éprouvent, et qui m’est pour de vrai étranger.
Quelle confusion Christiane je n ai jamais dit qu elles étaient malheureuses parce que noires. Vous vous emmelez
. les pinceaux Ras le bol ..
clopine,je vous emmerde ;vos prétentions psycholologiques et philosophiques épuisent les meilleures volontés en « féminisme »du genre le cul de votre mère;je n’en ai rien à faire de vos conseil en lucidité ;mêlez vous de votre agressivité qui n’est pas une tare mais ne peut longtemps distraire et amuser:demandez à COURT
Les intentions d’Harnoncourt étaient peut-être louables hamlet, mais le résultat est catastrophique pour les auditeurs qui cherchent d’abord le plaisir et l’émotion, ne vous en déplaise…
Ceci dit, je suis évidemment d’accord quand vous dites qu’il ne faut pas jouer Bach comme si c’était du Liszt… Mais au fond, pourquoi pas? Ça m’insupporte, je n’aime pas ça, mais c’est en réalité moins choquant que de jouer un texte du 17ième siècle (disons Molière) en costumes d’aujourd’hui. La musique est un art beaucoup moins daté que le théâtre dont la langue et les situations trahissent immédiatement l’époque.
« en jouant Bach de façon romantique Barenboim commet une erreur de débutant… »
C’est la question de l’interprétation de la Commedia de Dante : si on pourrait savoir comment l’interprétaient au XVIIIe siècle on pourrait mieux comprendre le XVIIIe. Barenboim ha lu et interprété la chose comme ça ; il faudrait savoir pourquoi, car il a peut-être des bonnes raisons.
Je remets ça : « Apparences. Ah ! si au moins ils savaient décrire en quoi consiste leur appréciation ! Mais, au juste, de quoi parlent-ils, de leur « Expérience esthétique » ou de leur « attitude esthétique » ? Questions à se poser : qui crée, qui contemple, qui consomme l’art ? Il me semble avoir déjà écrit ici que Wittgenstein rappelle que l’esthétique n’est pas une science qui nous dit ce qui est beau, pas plus qu’elle ne nous dit ce qui est agréable — « la question du café » dans Leçons et Conversations —. Trace : outre le plaisir que l’on peut prendre à l’audition, reconnaître dans la Neuvième l’anticipation de la schönbergienne klangfarbenmelodie procure une satisfaction esthétique ? Étant donné que dans l’économie du processus, les causes et les raisons de l’acte créatif n’attendent un but qu’au niveau de la logique, de l’ensemble de règles d’usage et de ses causes dans un jeu donné, sans tomber dans l’ornière théorique, c’est grâce aux structures qu’on reconnaît cette anticipation. En d’autres mots, l’on n’apprécie rien si on n’est pas au fait de certaines règles et du travail à même les matériaux — choix et opinions déjà ont lieu ; et comme dit LW dans Investigations philosophiques, on peut envisager pour les choses la possibilité de se comporter tout autrement qu’elles ne se comportent effectivement. Les matériaux, le temps et les modes étant ce qu’ils sont, Schönberg nous invite à porter une attention soutenue à l’usage fait par divers compositeurs des mêmes matériaux — à l’écart entre les codes que les matériaux exigent et les compétences individuelles considérées à la fois sous l’angle de la liberté et de l’invention des règles du jeu. L’utopie est le présent. »
Arrêtons nous sur la question de la klangfarbenmelodie. Schönberg en identifie des antécédents dans la Neuvième de LvB. Qu’est-ce que Barenboim a identifié dans Bach ?
PAUVRE CLOPINE? VOUS N ‘ËTES PAS AU CLAIR AVEC CE DONT VOUS CROYEZ PARLER;je ne suis surement pas émue ni gentille avec une fille sui a parlé de la SHOAH COMME VOUS;
d’ailleurs instruisez vous les juifs ne sont pas des gentils!le judéo christianisme, c’est fini, ni ni pour tous les penseurs de notre culture (voir encore video de Haddad)
s’il y en a qui font les « petits malins » diton(les demi habiles )en se disant goy, ils ne trompent qu’euxmêmes on dit gentil quand on est éduqué
une fille qui
wiki:
Gentils, du latin Gentiles (les « nations »), est la traduction habituelle de l’hébreu Goyim, nations, qui finit par désigner les non-Juifs.
Les auteurs chrétiens ont aussi employé ce mot pour désigner les païens.
Aujourd’hui le nom dérivé Gentilé sert à définir les habitants d’un lieu.
c’est déjà dans wiki,mais P.Legendre l’enseigne depuis des dizaines d’années et il a convincu:
Judéo-chrétien est une notion inventée au début du xixe siècle. La notion de « morale judéo-chrétienne » apparaît alors et désigne « pour les uns, la morale de la culpabilité et de l’interdiction, et pour les autres, le socle des valeurs de la tradition libérale »1,2.
Le terme de judéo-chrétien n’est pas utilisé par la pensée juive. Le préfixe judéo- fait plutôt référence à la façon dont le christianisme, puis l’humanisme anticlérical, interprètent le judaïsme.
convaincu
L’évolution historique des techniques de fabrication n’a rien à voir avec dans propos, hamlet. Au fait on s’en fout, nous en somme aux instruments comme ils sont aujourd’hui. La question est le comportement de l’instrument. Jette, éventuellement, un coup d’œil au Traité d’instrumentation et d’orchestration de Berlioz.
« c’est tout de même une bizarrerie : les gens aiment cette musique mais ils ne supportent pas l’idée de l’entendre jouée comme à l’époque. »
Rien ne prouve qu’Harnoncourt ait réussi à nous la faire entendre comme à l’époque hamlet… Rien ne prouve non plus que les musiciens du passé aient voulu s’accrocher à tout prix à leurs instruments d’époque. Personne à ma connaissance ne s’est cramponné au clavecin quand les pianos forte ont été mis au point, ni au piano forte quand Erard et Pleyel ont mis au point le piano moderne…
Ça doit bien vouloir dire quelque chose, non?
Oups, toujours écrire entre deux portes !
rien à voir avec dans propos > rien à voir avec MON propos
@chantal l dit: 20 juillet 2019 à 12 h 56 min
Que ce soit à vous ou à Paul Edel, je ne peux ouvrir une discussion. J’ai lu « Trois femmes puissantes » il y a quelques années. Je n’ai plus le roman. Ce que vous dîtes est étayé par de nombreuses autres lectures que je n’ai pas faites et ce beau papier mis en lien. Heureuse d’apprendre qu’elle est pour vous un bon écrivain, une femme talentueuse.
Je ne l’ai pas dénigrée, j’ai seulement écrit que j’étais restée perplexe, que j’avais trouvé le roman long avec trop de méandres, que je n’avais pas pensé le lisant à des femmes noires mais à des femmes malheureuses.
Paul Edel est sensible à la façon dont ses personnages parlent. Je ne me souviens plus de la façon dont elles parlaient, seulement des difficultés qu’elles affrontaient et dont j’ai connu l’équivalent en d’autres vies de femmes, surtout dans les banlieues où j’ai vécu et travaillé et aussi à ce que ce roman renvoyait d’elle (ses valeurs – ses combats).
Oui, elle est agréable à écouter, à lire dans des entretiens que j’ai écoutés ou lus à l’époque du prix Goncourt.
Puis je suis passée à d’autres lectures. Je l’ai un peu oubliée et je n’ai pas eu l’occasion de lire d’autres romans d’elle.
avec vous (et non à vous) – première ligne
instruisez vous clopine auprès de professeurs qualifiés pour transmettre des savoirs avec réserves et critiques appropriées;je suppose que monsieur Court vous laissera comprendre que ce n’est jamais acquis
Eh bien, Et Alii, sans doute me suis-je mal exprimée. Mais votre lecture n’est pourtant pas bonne : car je n’ai pas d’agressivité, voyons, et mes « prétentions » sont tellement modestes que j’en soupire souvent. Quant à votre lucidité, hélas, elle devrait vous permettre de vous rendre compte que vous sur-réagissez à une main qui était plutôt amicalement tendue que cherchant à vous claquer la joue.
Je passerai donc désormais mon chemin. Sans plus de regrets.
@Paul Edel dit: 20 juillet 2019 à 13 h 21 min
J’ai seulement posé une question…
c’est l’habitude de dire que les juifs ne veulent pas être juifs(MAO)et qu’ils ne savent rien du judaïsme
ce n’est ni vrai, ni faux
Dans une culture qui a été chrétienne pendant, disons, 1500 ans, le terme judéo-chrétien exprime une évidence. La Bible est judéo-chrétienne par définition puisqu’elle réunit l’Ancien Testament (juif) et le Nouveau (chrétien). Par déférence envers les juifs trop longtemps méprisés, on parle de culture judéo chrétienne, mais « chrétienne », qui renvoie à la Bible, suffirait pour que l’on sache de quoi l’on parle.
qu’est ce qu’il vous faut de la video de Pacome!ENVOI CLOPINE°
si ça ce n’est pas de l’agressivité banalisée du « cul »à la RDLienne,par conformisme, platitude de pensée, quoi d’autre ?du poulet basquaise peut-être?
Clopine (et Chantal), je ne sais pas si vous avez vu mon commentaire d’hier soir ?
x dit: 19 juillet 2019 à 23 h 05 min
Pour Chantal et Paul Edel,
ce commentaire où j’ai écrit ce dont je me souvenais du roman et du style de Marie Ndiaye :
19 juillet 2019 à 17 h 54 min
« Merci, Jazzi, pour tes recherches. Des trois je ne connais que le roman de Marie Ndiaye Trois femmes puissantes. Le lisant j’ai été sensible au sort de ces femmes, (la première face à un père tyrannique/ la deuxième, c’est plutôt l’histoire de cet Européen contraint de quitter l’Afrique avec sa femme sénégalaise) pour échapper à leur condition. Filiation, décalage culturel entre enfants et parents, sordide de la vie, fatum tragique du dernier récit. Les héroïnes sont africaines, certes, mais l’Afrique n’y est qu’en filigrane, l’espace n’est pas géographique mais mental même si on rencontre la peinture de certains quartiers populaires de Dakar, les problèmes de l’émigration.
Son écriture est singulière, précise, retenue, âpre et douce, presque anonyme visant à l’universel de l’humain. »
Rien à ajouter.
20 juillet 2019 à 13 h 48 min
vous dites mais non!les juifs eux parlent de torah, de Talmud, et un érudit qui en sait au moins autant que vous, P.Legendre a écrit
PIERRE LEGENDRE
Leçon IX. L’Autre Bible de l’Occident : le Monument romano-canonique
https://www.fayard.fr/sciences-humaines/lecon-ix-lautre-bible-de-loccident-le-monument-romano-canonique-9782213644462
closer , gardez votre déférence et instruise-vous,vous aussi!
à partir du creuset médiéval de la Modernité et sur une base théorique claire : l’architecture dogmatique de l’homme et des sociétés.
Le Monument romano-canonique a statut de masse engloutie. Relevant de l’archétype biblique, cette construction de textes a pourtant scellé le destin de la civilisation ouest-européenne en énonçant, sur un mode inconnu de l’Antiquité, le pacte entre la Raison romaine et l’Evangile. Pourquoi ouvrir aujourd’hui ce chantier de l’oubli ?
Simplement, parce que l’avènement d’un monde défait de ses bandelettes traditionnelles par la Globalisation industrielle et commerciale va produire inexorablement l’effet de mettre à nu la civilisation dominante, la nôtre en l’occurrence. A l’ère de la décomposition de l’Etat, ce produit dérivé du christianisme latin, il s’agit ici d’explorer le soubassement sur lequel reposent nos montages normatifs, et de restituer à la Question juridique son site mythologique.
Il devient alors possible d’envisager un comparatisme qui inscrive l’institutionnalité de type occidental dans l’espace mondial des Textes.
Vivaldi, Violin Concerto in A :
https://youtu.be/3mGcN2CMpwM?list=PL75zfhOIwSJ0H8qC0mrADq0G1rRU5NQ3a
instruisez vous
closer, non ce n’est pas si « évident » que cela quand le plus récent prétend dire le vrai sur l’autre et le remplacer.
Le terme « testament » pose déjà un problème…
On peut renvoyer à un texte pas si récent que cela (1968) de Yeshayahou Leibowitz, « Sur le prétendu ‘héritage judéo-chrétien commun' »
Le très bon numéro 34 de la revue « Cités » est consacré à la question « L’héritage judéo-chrétien, mythe ou réalité? », avec des contributions de Shmuel Trigano, G. Bensussan, Javier Teixidor, Olivier Abel, Raphaël Draï et quelques autres.
closer,les juifs ne parlent pas d’ancien testament;ça c’est votre bricolage!une pseudo évidence
Qui parle de Gentils !
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LUIS RACIONERO
L’île de la tolérance
« Le troubadour alchimiste » de l’écrivain Luis Racionero, qui dirigea la Bibliothèque nationale d’Espagne jusqu’en 2004, fait revivre de façon romanesque la figure légendaire de Raymond Lulle, surnommé parfois le « Docteur illuminé », et considéré comme le principal fondateur de la littérature catalane. Philosophe, poète et théologien, il était né en 1235 à Majorque, et fut lapidé en 1316 par des habitants de Bejaia, en Algérie, qui ne supportaient pas ses prêches, plus teintés de prosélytisme qu’œcuméniques ? Son corps, rapatrié à Palma de Majorque, est pieusement conservé au monastère de San Francisco. Controversé au sein de l’Eglise, il ne sera béatifié qu’en 1419, par le pape Martin V. Raymond Lulle était issu d’une famille de la noblesse catalane, native de Montpellier, qui avait accompagné le roi Jacques Ier sur sa galère royale lors de sa conquête du royaume de Majorque. Ami d’enfance du dauphin, il fut nommé sénéchal et majordome du futur roi Jacques II de Majorque. Après s’être retiré dans un couvent de Monte Randa, pour y méditer à loisir, il fonda une école à Miramar, invitant le juif Bonastruc Nahmanide à y enseigner la kabbale, le poète Ibn Arabi (Muhyî-ud-Dîn) le soufisme, et son maître Arnaud de Villeneuve l’alchimie et l’astrologie. Car, comme l’écrivit Umberto Eco, Majorque était véritablement à cette époque à la croisée de trois cultures : chrétienne, islamique, et juive.
« Etranger aux temps troublés qui se préparaient, Raymond avait obtenu de son roi et ami Jacques de Majorque et de l’ordre des Prêcheurs l’influence nécessaire pour fonder un collège d’études orientales. Le pape Jean XXI, Portugais subtil et studieux du nom de Pierre Hispano, lui avait accordé la bulle. Ne restait plus qu’à choisir le lieu et réunir les étudiants. Raymond se refusa à l’installer à Randa car il respectait trop la solitude de sa montagne pour y amener qui que ce fût. C’était une propriété privée, réservée à l’Unique et à lui-même. La force de ce lieu, il ne voulait ni ne pouvait la partager avec quiconque.
Mais il connaissait bien l’île et avait toujours apprécié la côte septentrionale où la montagne descend, farouche, jusqu’à l’eau bleue en cascades de pins, de rocaille et de broussailles. L’odeur marine entre les pins était l’encens de cette contrée où s’élevait le domaine de Miramar qui lui fut cédé. Il choisit treize frères mineurs de l’ordre des Franciscains et agença la maison comme une micro-université. […]
Par ailleurs, les inquisiteurs se retournaient maintenant contre les musulmans et les juifs des terres catalanes, brisant une tradition séculaire de coexistence entre les trois confessions. Et c’est dans ces circonstances que Raymond prétendait faire du collège de Miramar le nid de l’œcuménisme, une université des trois religions !
– C’est en effet notre devoir, Raymond, lui dit Arnaud avec le sourire. Il a toujours existé et il existera toujours des lieux où ceux qui savent voir par-delà les différences se rencontrent et rendent hommage à la vérité nue. L’important est que Nahmanide, Ibn Arabi et moi soyons ici réunis aujourd’hui. Peu importe comment nous le justifierons. L’unité des religions au plus haut niveau des initiés perdurera à travers les siècles. Tu en es momentanément l’instrument, que cela te plaise ou non. Nous allons te raconter une histoire afin que tu puisses laisser témoignage du fait œcuménique, et ainsi les générations futures sauront que, quoique en butte à leur surveillance, tu ne communiais pas avec l’intransigeance des Dominicains, mais avec l’unité des trois religions que Bonastruc, Muhyî-ud-Dîn et moi maintenons.
Et Raymond écrivit sous la dictée des trois sages un livre candide et direct dans lequel lui-même, un certain Gentil, désorienté, s’abreuvait aux trois grandes sources religieuses du monde, des enseignements divers mais analogues sur les mystère de Dieu et la morale décrétée pour le gouvernement des hommes.
Le Gentil se retira près de la source et s’agenouilla pour faire état de la religion qu’il choisissait pour vraie. Mais il vit alors arriver par le bois deux Gentils de son pays. Il dit alors aux trois sages qu’il souhaitait attendre ces deux Gentils et choisir en leur présence la loi qu’il considérerait pour vraie. Les trois sages se levèrent. Plaisamment mais avec dévotion, ils prirent congé du Gentil. Nombreuses furent les bénédictions que donnèrent les trois sages au Gentil et qu’il leur rendit, ainsi que des accolades, des baisers, des larmes et des pleurs. Mais, avant que les trois sages ne s’en fussent allés, le Gentil leur dit son profond étonnement qu’ils n’eussent pas voulu rester pour savoir laquelle des trois religions il choisirait. Les trois sages lui répondirent qu’ils ne voulaient en aucun cas le savoir, car ainsi chacun d’eux pourrait penser qu’il avait choisi la sienne.
Les trois sages prirent de même congé de Raymon et des treize frères mineurs quand ils eurent approfondi leur enseignement. Arnaud s’en retourna à Montpellier, Bonastruc à Gérone, et Muhyî-ud-Dîn à Murcie. »
(« Le troubadour alchimiste », traduit de l’espagnol par Geneviève Rozental
Editions Mazarine, 2007)
Outre « Le Livre du Gentil et des trois Sages » (1271), le troubadour Raymond Lulle (Ramon Llull en catalan) est surtout connu pour son « Livre de l’ami et de l’Aimé » (1283-1286), un long poème composé de 365 versets, dans lequel l’Aimé représente Dieu et l’ami l’homme amoureux de Dieu. Pour le non initié, ce texte classique de la littérature mystique, qui s’inscrit dans la lignée du Cantique des cantiques et annonce les œuvres tout aussi exaltées de saint Jean de la Croix ou de Thérèse d’Avila, peut se lire comme un chef-d’œuvre de la littérature homosexuelle ! Extraits : « L’ami et l’Aimé se rencontrèrent, et furent témoins de leur rencontre les salutations, les étreintes, les baisers et les larmes. Et l’Aimé s’enquit de l’ami, et l’ami se troubla en présence de son Aimé ». Ou bien : « Dis, fou, qui connaît mieux l’amour, celui qui en a le plaisir ou celui qui en a les peines et les douleurs ? Il répondit et dit que l’un sans l’autre n’en peut avoir connaissance ». Et enfin : « L’ami rencontra un écuyer qui allait pensif et était maigre, pâle et pauvrement vêtu ; et il salua l’ami lui disant : « Que Dieu te guide dans la recherche de ton Aimé. » Et l’ami lui demanda à quoi il l’avait reconnu. Et l’écuyer lui dit que les secrets d’amour se révèlent entre eux, et c’est ainsi que les amants se reconnaissent les uns les autres. »
merci x;je n’avais pas lu votre envoi si nécessaire;il faut leur donner la bibliographie puisqu’ils veulent partager! le christianisme disait P.Legendre, c’est « ote toi de là que je m’ y mette »;plus distingué pour les erdéliens, la théologie de la substitution
« Bach n’a composé que 2 oeuvres pour piano : le facteur du coin lui avait présenté ses pianos »
hamlet dit: 20 juillet 2019 à 12 h 35 min
Notre Pétomane Jaloux à l’Âme de Nazi est tellement nul qu’il essaie de se la péter encore une fois en parlant de Bach et les pianos, sans se rendre compte qu’il confond le piano avec le piano-forte, qui est un instrument intermédiaire entre le clavecin et le piano. On sent qu’il n’en a jamais vu et surtout qu’il n’en a jamais entendu (avec son sonotone il ne doit pas distinguer entre le beau son du piano et le son horrible du pianoforte).
« Chopin n’a pas composé ses valses pour clavecin. Il a fallu que les facteurs fassent des progrès pour passer du clavecin au piano forte. »
Mais non, Gros Connard, Chopin jouait sur des pianos dont le son est très différent à celui des piano-fortes (il y a des disques dans lesquels on peut entendre ses oeuvres sur les pianos qu’il a joués).
Encore une fois, la nouvelle tentative de notre Pétomane de se la péter en faisant des recherches de dernière minute sur internet, échoue de façon lamentable.
Ce type est une vraie calamité. Il transforme tout ce qu’il touche en désastre.
« quand le plus récent prétend dire le vrai sur l’autre et le remplacer. »
C’est l’Islam qui ramasse la mise aujourd’hui, x !
même wiki sait ça:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ologie_de_la_substitution
… et la Gymnopédie No. 3 :
gentil sur CNRTL 1SENS/
En gén., au plur., HIST. RELIG.
A. − [Par rapport aux Juifs, avant l’avènement du christianisme] Personne étrangère à la religion juive. L’aube est pour les Gentils comme pour les Hébreux (Hugo, Fin Satan, Le Gibet, 1885, p. 816).Il faut se rappeler combien fut tenace la division en Grecs et Barbares, Juifs et Gentils, Chinois et autres hommes (Vidal de La Bl., Princ. géogr. hum.,1921, p. 268).Joseph est jeté dans la citerne et vendu aux Gentils pour quelques pièces d’argent (Claudel, Poète regarde Croix,1938, p. 88) :
Et Alii, ???? Qu’ai-je donc dit, grands dieux, sur la Shoah qui vous choque à ce point ? Et où voyez-vous de l’agressivité dans une mise en lien d’un numéro d’actrice pleine de bagout (Maria Pacôme) qui mine de rien, je veux dire tout en semblant respecter les codes de la comédie boulevardière, affirme simplement le droit à la jouissance pour une femme, avant son rôle de mère et d’épouse, ce qui certes est sans doute « osé » pour la partie la plus rétrograde du public, m’enfin ,’est rien d’autre, de nos jours, qu’une banalité…Dite drôlement, bien servie par l’interprète, et pleine d’entrain. M’enfin voir un signe infâme d’agressivité là-dedans !!!
X, non, je n’avais pas vu. Je ne connaissais pas l’exemple néerlandais, et peut-être le danger que vous évoquez existe-t-il vraiment. Mais je me dis qu’il existe même en dehors de toute réforme orthographique. Allez, tiens, un exemple :
Dans « Entre les murs », le bouquin assez odieux de Bégaudeau, il y a l’inévitable scène des « prénoms ». Question légitime des élèves : pourquoi leurs livres ne mentionnent-ils que des prénoms « gaulois », Michel et Martine par exemple, n’ayant aucun rapport avec le quotidien des Mamadou, Mariam et Kader ?
… Et de demander à leur prof de français de modifier cela.
Si j’avais été le prof en question, j’aurais renvoyé les élèves à une autre interrogation : faut-il dans ce cas corriger Victor Hugo ? Ses héroÏnes s’appellent « Eponine » et « Azelma », ce qui ne dit plus rien à personne. Ni aux enfants « gaulois » ni aux enfants « d’ailleurs ».
Comprenez-vous où je veux en venir avec cet exemple ?
La langue évolue, il faut accompagner son évolution. Les réformes orthographiques, surtout celles qui tentent de faire évoluer des situations discriminantes (la masculinisation des noms de métier, par exemple) sont souvent à la traîne, déjà.
Et le danger que vous signalez, à savoir l’éloignement de l’entendement de textes antérieurs aux réformes, existe même, et bien sûr, au-delà des simples règles grammaticales. Il faut déjà un sacré penchant à l’identification pour se projeter dans une héroïne de Balzac, qui vivait dans un siècle où l’assujettissement de la femme était l’un des plus complets jamais vécus en occident, où la contraception n’existait pas, ni le droit à être un « sujet », et je ne parle pas d’études, n’est-ce pas…
passionnante « concordance des temps », ce matin, justement sur le sujet de l’évolution des règles concernant la féminisation des noms. L’avez-vous écoutée cette émission de France Cul, « x » ?
− Au sing., rare. Ali. − Mon père était un rabbin célèbre. Also! S’il avait su que sa petit-fille épouserait un Gentil (Claudel, Pain dur,1918, III, 4, p. 476).
B. − [Par rapport aux chrétiens, dans les premiers temps du christianisme] Païen. Conversion des gentils. Alors les diacres firent sortir du lieu saint tous ceux qui ne devoient point assister au sacrifice, les gentils, les possédés du démon, les pénitents (Chateaubr., Martyrs, t. 2, 1810, p. 202).Celui-là [Corneille] fut le premier parmi les Gentils qui reçut le Saint-Esprit avec la parole de Jésus-Christ (Psichari, Voy. centur.,1914, p. 156) :
2. … quand les chevaliers de Godefroy de Bouillon eurent délivré le Saint-Sépulcre, les maçons chrétiens leur transmirent le secret, en récompense, et, de plus, toute leur science philosophique et alchimique, les priant de ne point répandre chez les gentils un art qui donnait aux fidèles tant de supériorité sur les autres hommes… Adam, Enf. Aust.,1902, p. 202.
− L’apôtre des gentils. Saint Paul. Alors Paul fut choisi pour être l’apôtre des gentils (Saint-Martin, Homme désir,1790, p. 407).
♦ [P. allus. au nom donné à st Paul (cf. gentil1B)] Ce ton de bonne compagnie, sa subtilité dans la casuistique de
https://www.cnrtl.fr/definition/gentils
CLOPINE JOUISSEZ ET FOUTEZ MOI LA PAIX
J4AI MIEUX à citer que clopine de l’ancienne RDL
closer à 13 h 39 min (réponse garantie sans couteau entre les dents, vous pouvez la lire)
La question de l’organologie (étude des instruments de musique et de leur histoire) ne me paraît pas si probante parce qu’elle me semble liée à un autre phénomène : la disparition quasi-immédiate de la musique de la veille et la recherche de la nouveauté. Je ne crois pas qu’à Versailles par exemple (M. Court me démentira au besoin) on ait joué deux fois de suite les mêmes œuvres.
Que les compositeurs et interprètes de l’époque aient cherché à élargir les possibilités des instruments à leur disposition, aient pesté contre leurs limites (l’exemple de Beethoven est fameux, mais il y en a bien d’autres) ne me paraît pas contraindre logiquement à une vision de l’histoire musicale comme « progrès » (valable pour les sciences et les techniques mais pas pour les arts).
Nos possibilités d’enregistrement et maintenant l’accessibilité de ces enregistrements ont radicalement modifié notre rapport à la musique (celle de notre temps et celle d’autrefois).
Si j’avais été le prof en question,
j’ai eu d’autres profs que dame clopine sur la shoah, la théologie ,j’ai communiqué des noms,et même rogozinski qui invita des théologiens pour disputer au collège de philo;maintenant basta, les purs et parfaits en stérilisation
@ Chaloux
Tu comprends ce que veut dire notre Pétomane, en écrivant que Barenboim « utilise une musique annotée [laquelle?] pour jouer une musique qui ne l’est pas [les Goldberg] » ?
hamlet dit: 20 juillet 2019 à 12 h 54 min
Et quand il ajoute: « comme si les annotations musicales dont disposent les musiciens pouvaient permettre de tout jouer »? Quel rapport entre la notation musicale et la musique qui n’as pas d’indications d’interprétation?
Tu vois où est-ce que Barenboim (qui joue du piano depuis 72 ans !!) commet « un erreur et un contresens musical qu’on ne pardonnerait même pas à un gamin qui sort d’un conservatoire ! », selon notre Pétomane, qui n’a jamais vu un piano de près et qui, sourd de naissance, est appareillé avec un sonotone des années 60?
Pablo75 dit: 20 juillet 2019 à 14 h 06 min
même le fait qu’on te rappelle que tu as le qi d’une huitre ne t’empêche pas de ramener ta fraise ?
donc un petit résumé pratique pour notre qi d’huitre :
Bach n’a composé que 2 pièces pour piano (forte évidemment) repérable à leurs indications sur la partition : piano et forte.
les variations Goldberg n’ont pas été composées pour piano forte ou pas mais pour clavecin.
Chopin n’a pas composé ses valses pour clavecin.
l’évolution des instruments suivent l’évolution de la musique.
il faut toujours avoir cette idée à l’esprit.
voilà ce qui a motivé Harnoncourt : qu’il est totalement idiot dire aimer une musique d’une époque et de ne pas aimer l’entendre jouée comme à l’époque.
tenez encore à manger:
Comptes rendus critiques
Dans Revue d’éthique et de théologie morale 2008/4 (n°252), pages 113 à 138
Le Monothéisme. Un problème politique et autres traité, Erik Peterson
https://www.academia.edu/10195990/Response_to_Jacob_Rogozinski_The_Ego_and_the_Fleshhttps://www.academia.edu/10195990/Response_to_Jacob_Rogozinski_The_Ego_and_the_Fleshhttps://www.academia.edu/10195990/Response_to_Jacob_Rogozinski_The_Ego_and_the_Fleshhttps://www.academia.edu/10195990/Response_to_Jacob_Rogozinski_The_Ego_and_the_Fleshhttps://www.academia.edu/10195990/Response_to_Jacob_Rogozinski_The_Ego_and_the_Fleshhttps://www.academia.edu/10195990/Response_to_Jacob_Rogozinski_The_Ego_and_the_Flesh
tu sais quoi pablito ?
je crois que ta place n’est pas ici mais avec ton père !
lui au moins il fait son travail d’esclavagiste moderne sans se la péter, et toi tu devrais aller le rejoindre : ta place est avec lui !
alors que là tu nous joues le musicologue de mes deux alors que tu as le qi d’un esclavagiste !
on n’échappe pas à la génétique pablito, désolé mais c’est la nature.
En matière d’interprétation, le génie a tous les droits. Et il est souvent changeant. Les élèves de Chopin racontent que d’un jour à l’autre ses interprétations, ses choix, ne se ressemblaient pas mais que cela restait extraordinaire. C’est ce qui m’a amusé l’autre jour,- je ne sais quel pianiste parlant de Samson François vu par son professeur cité ici.
Aldo Ciccolini a raison de dire que le public d’aujourd’hui applaudit n’importe quoi,- la lenteur ridicule de Pogorelic (alors qu’il était jeune un grand pianiste), le désolant Lang-Lang, superstar du néant etc.
et je te le redis pablito : si ta fille soigne des animaux il faut qu’elle aussi aille s’occuper des ouvriers de ton père, votre place à tous les deux est là bas à vous occuper du pauvre sort de ces gens qu’il fait travailler sous des serres où il fait 60 degrés ! pas ici !
Avis à tous les Gentils et même aux Pas Gentils : Beau papier sur l’oeuvre complète de Peter Handke parPaul Edel !
https://pauledel.blog/author/pauledel864/
pablito je sais que tu n’aimes pas que je te rappelle cette vérité, mais avent de jouer le kéké sur l’ami Félix il faut d’abord avoir le courage justement d’affronter la vérité !
et seulement après nous pourrons parler de l’ami Félix.
jusque là tout ce que tu peux dire n’a aucune légitimité !
et Marcion!
Marcion (85-160) ou l’Ancien Testament est-il périmé ?
Gaston Deluz
En vacances sur les Côtes de Carthage, j’ai relu Salambô où G.Flaubert évoque l’antique Carthage sacrifiant des enfants pour apaiser ses dieux. Détruite par les Romains en 146 av. J.-Ch., cette Carthage païenne fut reconstruite par les colons romains et devint un important foyer du christianisme naissant. Elle eut ses martyrs : St Cyprien, Perpétue et Félicité ainsi que ses théologiens : Tertullien (155-220) et St. Augustin (354-430).
La religion de Marcion et ses conséquencesMarcion (85-160) ou l’Ancien Testament est-il périmé ?
Gaston Deluz
En vacances sur les Côtes de Carthage, j’ai relu Salambô où G.Flaubert évoque l’antique Carthage sacrifiant des enfants pour apaiser ses dieux. Détruite par les Romains en 146 av. J.-Ch., cette Carthage païenne fut reconstruite par les colons romains et devint un important foyer du christianisme naissant. Elle eut ses martyrs : St Cyprien, Perpétue et Félicité ainsi que ses théologiens : Tertullien (155-220) et St. Augustin (354-430).
La religion de Marcion et ses conséquencesMarcion (85-160) ou l’Ancien Testament est-il périmé ?
Gaston Deluz
En vacances sur les Côtes de Carthage, j’ai relu Salambô où G.Flaubert évoque l’antique Carthage sacrifiant des enfants pour apaiser ses dieux. Détruite par les Romains en 146 av. J.-Ch., cette Carthage païenne fut reconstruite par les colons romains et devint un important foyer du christianisme naissant. Elle eut ses martyrs : St Cyprien, Perpétue et Félicité ainsi que ses théologiens : Tertullien (155-220) et St. Augustin (354-430).
La religion de Marcion et ses conséquences
Vous voyez Clopine, il n’y a pas que vous qui en prenez plein la poire!
Merci aux aimables commentateurs de m’avoir rappelé que les juifs n’utilisaient pas le terme « Ancien Testament ». Le contraire eut été étonnant puisque, pour qu’il y ait un « Ancien », il faut admettre l’existence d’un « Nouveau », ce que ne font pas les juifs, à moins que je ne me trompe une fois de plus…
Il n’empêche que ce que nous appelons l’Ancien Testaments est entièrement composé de textes juifs, dont la Torah, socle du judaïsme qui rassemble les cinq premiers livres de l’AT (le Pentateuque si vous voyez ce que je veux dire).
Quant à la « théologie de la substitution », elle n’a jamais éliminé totalement la théologie des deux alliances et elle a été clairement rejetée par Vatican II.
L’importance de la composante juive du christianisme justifie pleinement que l’on parle d’une culture judéo chrétienne ou simplement chrétienne pour désigner la même chose…
Or Marcion se heurte à des textes qui contredisent son système. Le texte que nous venons de citer et qui prône l’amour se termine par ces mots : “La Loi n’est pas contre ces choses”. Qu’à cela ne tienne, Marcion va expurger tous les textes qui le contrarient, les qualifiant de falsifications et d’interpolations. L’épître aux Galates lui servira de justification. En effet, Paul y parle de “faux frères qui se sont furtivement glissés parmi nous pour épier la liberté que nous avons en Jésus-Christ, avec l’intention de nous asservir” (Gal. 2:4) “Puissent-ils être retranchés ceux qui mettent le trouble parmi vous” (Gal. 5:17). Ces faux frères sont évidemment des judaïsants qui veulent remettre les chrétiens sous le joug des lois mosaïques. Marcion accuse ces judaïsants de falsifier les Ecritures. Pour donner un fondement solide et sans équivoque à son christianisme paulinien, Marcion choisit parmi tous les Evangiles connus celui de Luc et une dizaine d’épîtres, le tout soigneusement revu et corrigé.
Paradoxalement, cette sélection très arbitraire eut des effets positifs. Car l’apparente cohérence du message de Marcion lui valut, dans les premiers temps, un impact considérable. A l’époque de Tertullien, vers 200, il y avait des églises marcionistes bien organisées, avec un clergé et des lieux de culte, dans presque toutes les provinces de l’empire romain. Cela obligea la grande Eglise catholique (que l’on peut déjà qualifier de “romaine”) à faire face à la concurrence marcionite et, à cet effet, de rassembler, parmi tous les écrits qui circulaient dans la chrétienté, un corpus de textes normatifs. Par bonheur, la grande Eglise procéda de manière moins unilatérale que Marcion. Elle intégra dans son canon des Evangiles et des Epîtres d’une grande diversité. Sous la pression de l’hérésie envahissante, notre Nouveau Testament était né.
On peut déjà tirer deux leçons de cette confrontation :
« tu sais quoi pablito ? je crois que ta place n’est pas ici mais avec ton père ! lui au moins il fait son travail d’esclavagiste moderne sans se la péter, et toi tu devrais aller le rejoindre : ta place est avec lui ! alors que là tu nous joues le musicologue de mes deux alors que tu as le qi d’un esclavagiste ! on n’échappe pas à la génétique pablito, désolé mais c’est la nature. »
hamlet dit: 20 juillet 2019 à 14 h 32 min
Encore une crise de nazisme de notre Goebbels de Blog. Il suffit de le titiller un peu, de lui mettre le nez dans son caca mental, pour qu’il enlève son masque et nous montre sa fascination pour « Mein Kampf », qu’on sent qu’il connaît par coeur. Même obsession que son auteur pour la race (« on n’échappe pas à la génétique »), même souci de dénonciation d’innocents, même amalgame entre l’argent et l’esclavagisme. On dirait un SS parlant des Juifs.
Mon père est mort il y a 16 ans, Ordure Nazi.
@Pablo. L’usage pour les pianistes est de ne pas jouer tous les ornements qui se trouvent sur une partition de clavecin, mais seulement quelques uns (ou parfois aucun). C’est difficile à expliquer mais il est toujours délicat de freiner l’allure du piano avec l’ornementation du clavecin. Ce n’est pas la même époque de la musique, le piano s’y refuse. Est-ce qu’on entend moins bien Bach joué par Fisher ou Gould que par un claveciniste? L’oeuvre fleurit avec le temps et nous entendons certainement des choses que les contemporains de Bach et peut-être Bach lui-même n’entendaient pas.
Pour le reste, je ne suis pas très fanatique de Barenboïm au piano, souvent un peu brouillé et brouillon (ses romances de Mendelssohn) mais ses variations n’ont pas l’air mal. Il a travaillé.
torah:révisez:
http://blog.aishhaolam.com/2016/05/the-difference-between-torah-shebechtav-and-toral-she-bal-pe/
pablito tu vois : à chaque fois que je te parle de ton père le premier mot qui vient à l’esprit est celui de « nazi ».
déjà ça c’est très mauvais signe.
alors que moi je ne traite pas des ouvriers marocains comme les nazis traitaient leurs esclaves dans leurs usines.
du coup si j’étais toi j’éviterais d’utiliser ce mot « nazisme » à tort et à travers, sinon il risque de te revenir dans la figure mon pablito !
« Chaloux dit: 20 juillet 2019 à 14 h 33 min
En matière d’interprétation, le génie a tous les droits. »
désolé chaloux, mais ce n’est pas une bonne réponse.
alors répondez à la question de pablito sur la façon de jouer Bach de Barenboim.
pour une fois chaloux faites preuve de courage du courage et répondez clairement à votre petit camarade de chambrée !
Et c’est cette Ordure Nazi, cet admirateur d’Hitler, qui n’a rêvé toute sa vie que d’être un SS, qui a voulu un jour nous faire croire qu’il est Juif !!!!
ma mère, famille juive oranaise
hamlet dit: 27 septembre 2018 à 13 h 25 min
Peut-on être plus abject?
@ Passou
Est-ce qu’un Nazi qui a voulu nous faire croire qu’il est Juif pour le dissimuler, a sa place dans ce blog?
Insulter le père de son adversaire, c’est la dernière mode ici. Pauvre Hamlet, pauvre merde.
pablito arrête tu es encore en train de te ridiculiser.
Pablo75 dit: 20 juillet 2019 à 14 h 57 min
génial !
tu veux pas aussi aller chercher la police espèce de franquiste à la con de mes deux !
tu te crois où pablito ? tu crois que tu peux transporter avec toi ton fascisme de partout où tu vas ?
Christiane à 10h53
Vous n’auriez pas le texte en entier ?
Chaloux dit: 20 juillet 2019 à 14 h 57 min
je n’ai jamais insulté son père, j’essaie juste de comprendre comment pablito est devenu ce qu’il est.
pour ce qui est de son père si je l’avais insulté pablito aurait démenti mes dires.
au contraire je crois qu’il partage mon avis mais qu’il préfère ne pas aborder le sujet.
Clopine dit: 20 juillet 2019 à 13 h 20 minje vous signale que d’une manière générale, pour vous éviter d’étaler cet argument, je copie le texte de professeurs hautement qualifiés dans leur champ,qu’il n’y ait aucune confusion;vous êtes peut-être faite pour les confitures et coulis mais pas pour la théologie et les textes qu’elle étudie ;
et pour le sexe bien sur, j’oubliais;vousêtes une affranchie dit-on(pas libérée ;il y en a d’autres que moi qui ont entendu le « moi clopine » un peu fort)
et puis ma mère n’est pas née à Oran, elle est n’est née à Tlemcen, une terre de sagesse, moi je suis né à Oran, ça te dérange pablito ? tu veux que j’aille travailler pour ton père ?
chaloux : répondez sur Barenboïm nom d’une pipe !
on attend votre réponse.
Si Hamlet, tu n’es qu’une pauvre merde perverse, un petit frustré enfermé chez lui H24, jaloux de tout. Pablo a raison.
je vous sers les conclusions sur les tripotages de textes par Marcion:
1. L’unité de l’Eglise dont rêvent quelques œcuménistes nostalgiques n’a jamais existé.Il y eut toujours des dissidences, des concurrences, des divisions et des schismes. On peut seulement rêver et essayer de promouvoir avec énergie une communion fraternelle et eucharistique respectant les diversités.
2. Toute doctrine généralisante et simplificatrice porte à l’exclusivisme et rend la communion impossible.La réalité et la vérité ne sont pas simples mais complexes. Les contraires sont souvent complémentaires. Cela se vérifie même en physique où la lumière peut être comprise aussi bien comme un phénomène ondulatoire que corpusculaire. L’opposition entre la grâce et la loi n’est pas non plus irréductible, comme le soutenait Marcion. Jésus n’a pas aboli la loi et l’ancien Testament n’ignore pas la grâce.Une pensée réaliste et crédible doit être nuancée.L’exclusivisme a peu de chances de durer. Le marcionisme a survécu trois ou quatre siècles. Les dictatures modernes moins longtemps.
Un dialogue de sourds
Revenons à Tertullien et à sa polémique.Le Carthaginois s’efforce de montrer que dissocier le Dieu créateur et justicier de Moïse du Dieu sauveur et miséricordieux de Jésus mène à un bithésime incompatible avec le monothéisme de la foi chrétienne. Mais cela ne réussit pas à ébranler la logique rationaliste de Marcion qui ne s’explique l’opposition que par l’existence de deux Dieux différents, le juif et le chrétien.
Tertullien va s’efforcer aussi de montrer que le Christ est présent dans la Bible des juifs (l’Ancien Testament) qui ne cesse de lui rendre témoignage. Mais le Carthaginois use d’une exégèse typologique, allégorique et figurative que Marcion, qui prend les textes à la lettre, juge malhonnête et qui, pour nous aussi, confine à l’absurde.
mais si vous suivez l’évolution des enseignements, vous serez moins certains de l’évidence judéo chrétienne, moins convaincus de votré générosité envers les juifs à citer un psychanalyste juif qui a le sens de la pub-ce qu’on ne peut lui reprocher -et à prêcher la libération des femmes juives au nom de votre lacanisme infus-les juifs n’ont pas attendu pour ça
c’est marrant, personne ne dénonce les clichés ,stéréotypes dans l’argumentation (ce qu’ont fait les
élèves de Lacan « entre eux »(en fait d’entre soi!)
c’est affreusement conformiste
etant donné qu’il y a longtemps que j’ai indiqué Haddad avec des titres précis dont le péché originel de la psychanalyse,que je pense qu’il a une formation très libre et ouverte(il y avait des poètes au séminaire de Leibowitz-j’en ai connu un aujourd’hui prof de fac- il est médecin avec une formation d’agronome:il a donc vu du paysage humain -je pense que votre reproche de ne pas partager n’est pas fondé;vous pouvez apprendre l’hébreu et l’anglais,même sur la toile je crois;donc c’est votre problème que vous exhibez à travers votre ignorance , votre conformisme ,d’autant plus que les billets de P.Assouline permettent de se poser des questions sans se rassurer à bon compte par une injure banale après l’épisode WGG qui dégourdissait
les méninges
Chaloux dit: 20 juillet 2019 à 15 h 14 min
chaloux ? tu plaisantes ? toi et lui passez votre temps à insulter les gens ici h24 !
vous jouez les marioles en prenant les autres pour des cons !
et dès que quelqu’un ose répondre il part demander de l’aide à passou comme un lâche qu’il est, et forcément c’est un jaloux ?
jaloux de quoi ?
quel espèce de débile pourrait être jaloux de toi ou de l’autre franquiste de mes deux ?
essaie de réfléchir 2 secondes avant de l’ouvrir ça te changera !
Ce soir je mange des écrevisses en beignet-sauce béarnaise avec un gratin comtois.
sérieux qu’est-ce que j’y peux si ce type a des problèmes avec son père !
tu crois peut-être que je vais m’apitoyer sur son sort ?
il a qu’à aller voir un psy au lieu de nous gonfler !
sérieux qu’est-ce que j’y peux si à chaque fois que je parle de son père il nous fait une crise de nerf !
je les connais pas moi, ni lui ni son père ! j’en sais rien moi le boulot qu’il fait son père !
si je parle aux autres de leur père il n’y en a aucun qui va nous faire une crise !
et après ça me retombe dessus !
sérieux j’y crois pas !
Pauvre con d’Hamlet, pauvre frustré. Tu es vraiment moins que rien.
cela dit je pense que son désir d’écraser tout le monde vient probablement de là.
parce que depuis que je viens sur ce blog je n’ai jamais vu chez quelqu’un un tel désir d’écraser les autres, oui ça vient surement de là.
@rose dit: 20 juillet 2019 à 15 h 01 min
Non, Rose, il faut être abonnée (comme pour beaucoup d’autres quotidiens en ligne). Je préfère rendre visite à mon kiosquier et, achetant la presse, bavarder avec lui. Il tient son kiosque avec gentillesse, en alternance avec sa femme. Ils ont un enfant de quatre ans. N’ont pas pris de vacances depuis trois ans ! sont présents de 7heures à 20heures tous les jours sauf le dimanche.
Parfois je lui fais faux bond pour aller dans la minuscule librairie-presse en bas de la rue. (surtout presse) c’est lç que je commande mes livres. Elle en a une cinquantaine dans son petit pied à terre. Son charme ? passionnée de littérature, elle aime échanger avec ses clients. Ainsi pour le dernier Houellebecq nous étions quatre à discuter… énergiquement. Elle était ravie et, entre deux, plaçait ses arguments.
Comprenez-vous que mon choix est fait ! pas d’abonnement en ligne et plaisir quand même de lire ces débuts d’articles ! parfois j’achète l’article (1€) mais je n’aime pas trop mettre mes coordonnées bancaires en ligne pour ces raisons.
Cette philosophe, Elizabeth de Fontenay, est passionnante. Ce que dit Et alii éclaire cette part de sa vie qu’elle évoque douloureusement.
J’aime aussi son visage sans fard, sans duplicité, ses rides de vieillesse d’une grande douceur et ce regard invaincu.
Il y a des gens formidables partout…
chaloux, chez toi aussi j’ai remarqué ce désir d’écraser les autres.
ne viens pas me dire que ça vient aussi de ton père ?
mon Dieu quelle misère…
comment il faut vous le dire : JE N Y SUIS POUR RIEN si vous avez des problèmes.
désolé mais ce n’est pas de ma faute, et ça ne sert à rien de m’insulter : ce n’est pas de ma faute !
hamlet, voulez vous me faire plaisIr? ENVOYEZ MOI DE LA MUSIQUE SVP§ PENSEZ 0 CE QUI SERAIT BON POUR TOUS BIENSUR
HIER J4AI EU UN MOMENT DE TROUBLE APR7S LE CAKE WALK.BIEN SUR J4AI PENS2 QUE VOUS SAVIEZ DANSé tout ça et que ce serait plus chouet pour vous ;et puis j’avais créé une pièce (en plasticienne dont raffolait un japonais!)que j’avais appelée « let them eat cake et je ne me souvenais plus d’où j’avais sorti ce titre mais avec internet, c’est du gateau de chercher;eh bien c’était de gershwin qui croyait le mot de Marie antoinette,ce qui est une fausse attribution bon c’est bien de gershwin,la musique et j’aime gershwin;je me suis remise,j’ai un peu cherché pour la RDL? MAIS JE VOUS PASSE LE RELAIS§
@Jazzy : pour Sammy davis jr, ce n’est pas pour parler de moi mais si lui à 2 bonnes raisons d’avoir le KK au cul je fais mieux !
je suis :
1/4 juif 1/4 arabe (converti au judaisme pour se marier) : parents de ma mère
1/4noir et 1/4 blanc : parents de mon père
ce qui fait 3 bonnes raisons d’avoir le KKK au cul !
Clopine, je ne crois pas qu’il faille systématiquement »accompagner » et ce faisant accélérer l’évolution. Imaginez ce que donnerait une transcription phonétique (au nom de la simplification) alors que la prononciation évolue très vite et varie selon les régions et les milieux.
Imaginez aussi ce que deviendra la politique lorsque plus personne ne fera la différence entre le « je ferai » d’un candidat (engagement, dont rien ne nous dit qu’il le tiendra, certes, mais engagement quand même) et le « je ferais » (s’il n’y avait pas ceci ou cela, si j’étais président (maintenant) ; on supprime tout lien entre l’énonciateur actuel et le futur).
Plus généralement, je ne crois pas que toute difficulté représente un problème d’apprentissage (ou davantage un problème pour des enfants de tel milieu), à horaire d’enseignement et temps de lecture constants, ce qui n’est pas du tout le cas ; les particularités (en orthographe d’usage) peuvent aussi stimuler la curiosité, l’intérêt comme n’importe quel autre « détail ». L’étude de la grammaire n’est pas discriminante si elle est faite (correctement) à l’école au lieu d’être laissée aux éventuels bons soins des parents.
Encore faudrait-il que les enseignants recrutés aujourd’hui (pas vous, christiane) aient été eux-mêmes instruits en ces matières.
En revanche le laisser-faire aboutit, là comme ailleurs, à favoriser les forts.
Je ne comprends pas la logique qui, partant de la constatation qu’il est DÉJÀ difficile à certains de comprendre des textes du passé (pour des raisons de contexte et/ou de culture historique ou mythologique ou biblique), inciterait à les rendre plus inaccessibles encore parce que d’emblée indéchiffrables.
Je n’ai pas écouté l’émission de ce matin, je le ferai si j’ai le temps (mais j’ai du mal à supposer que la correction de « madame le ministre » en « madame la ministre » ait une importance considérable pour les caissières de supermarché ou les aides à domicile pour personnes âgées, professions presque uniquement « réservées » aux femmes. Il me semble que c’est là la main gauche de l’illusionniste dont les mouvements doivent attirer l’attention afin de la distraire de ce que fait la main droite discrètement. Que le langage reflète un certain état de la société, sans doute, mais qu’inversement, en le modifiant par décret on parvienne automatiquement à changer cette société je ne le crois pas. Il faudrait demander leur avis aux « techniciennes et techniciens de surface ». Et aux femmes enceintes à l’époque où madame la ministre de la Justice avait convoqué les photographes pour faire savoir qu’elle n’avait pas eu besoin, elle, de congé de maternité. Quand une femme doit saisir le Conseil des Prud’hommes, son principal problème est-il l’appellation de cette juridiction ? Que le démantèlement du Code du travail ait été « porté » par deux femmes représente-t-il une consolation pour celles qui en subiront les conséquences ? Chacun-e ses priorités, bien sûr.)
J’ajoute, ce qui décidément ne va pas de soi ici, que les éléments de cette réponse ne visent personne ; ils ne sont aucunement « personnels », c’est-à-dire que mes arguments sont liés aux questions abordées et non à la personne qui les a soulevées, en l’occurrence Clopine.
Sinon, on n’en sort pas.
et alii vous êtes psy ? par que si vous êtes psy j’ai 2 pbs à vous soumettre.
@ Qui a dit il y a longtemps que les États Unis étaient passés de la barbarie à la décadence sans passer par la civilisation? Einstein, non?
G. B. Shaw
« D. dit: 20 juillet 2019 à 15 h 44 min
Ce soir je mange des écrevisses en beignet-sauce béarnaise avec un gratin comtois. »
tu ne penses pas qu’avec cette chaleur une salade grecque ce serait mieux pour ta santé ?
avec de la feta, et juste un peu d’huile d’olive bio et voilà !
tu manges ça, arrosé d’un petit rosé de Bandol, avec cinq ou six ti punch en entrée, et trois ou quatre vodka bien frappée en dessert !
et voilà ! et là tu vis jusqu’à cent ans, au lieu de bouffer des sauces béarnaises à la noix quand il fait 40 degré selle suisse.
« Claudio Bahia dit: 20 juillet 2019 à 16 h 16 min
@ Qui a dit il y a longtemps que les États Unis étaient passés de la barbarie à la décadence sans passer par la civilisation? »
tout le monde ayant un qi supérieur à 2.
@Claudio Bahia : qui a dit que la guerre d’indépendance des états unis d’Amérique n’était pas une guerre contre les anglais, mais une guerre contre les Lumières ?
« ce qui fait 3 bonnes raisons d’avoir le KKK au cul ! »
Et un peu pédé sur les bords hamlet, ça te fait KKKK !
?
ça fait longtemps que je ne vous ai pas parlé cinéma !
En ce moment, je ne vais voir ou revoir que des classiques. Les nouveautés sont nettement moins intéressantes au coeur des vacances d’été à Paris.
Hier, j’ai découvert « Les Moissons du ciel » (1978) de Terrence Malick, avec Richard Gere et Sam Shepard, que je n’avais jamais vu. Superbe mélodrame dont la belle Brooke Adams est l’enjeu central, sur fond de moissonneuses batteuses et de grands paysages texans. Il n’y manque que les Indiens ! Musique de Ennio Morricone et images de Nestor Almendros. Cela vaut bien ****
Les jours précédents, j’ai vu « Memories of murder » (2004) ***** et « Mother » (2010) **** de Bong John ho, que j’ai trouvé plus époustouflants que le « Parasite » palmé à Cannes ***
On annonce une rétro Wong Kar Way…
c’est vrai que c’est lourd, je trouve çà un peut chiant à regarder ce type enfermé dans un cadre, je préférais les oeuvres de la sénégalaise qui n’avaient pas de cadre, j’en ai vu des pièces semblables en février, m’avaient bien intéressée.
figer quelqu’un dans une posture, les autres moyens d’expression délivrent un point de vue plus organique, toucher, bouger, sentir, méditation sans blabla.
je vais aller les voir à Chassepierre, les zarts de la rue, lézarts urbains, lalala
Jazzi dit: 20 juillet 2019 à 16 h 27 min
à voui comment ai-je l’oublier ? désir refoulé ?
ça 4 à 2 !
ploc ploc
@Claudio Bahia : les USA sont passés direct à Emerson et sa spéaration de l’Europe, sa civilisation, sa culture, son héritage, pour ne pas construire les USA sur des ruines…
après Emerson Thoreau qui lui préférait vivre dans une cabane dans la forêt, vous obtenez le profil philosophique des USA.
Peter Handke et le lumineux essai de G.-A. Goldschmidt, son traducteur d’excellence, paru au Seuil en 1988.
La leçon de la Sainte-Victoire –
La femme gauchère –
Le poids du monde.
le théâtre
Gaspard –
La chevauchée sur le lac de Constance. (Souvenir d’un échange, il y a quelques années sur la RDL à propos de cette Chevauchée mise en scène par Claude Régy à l’Espace Cardin, avec les inoubliables comédiens : Delphine Seyrig, Jeanne Moreau, Michael Lonsdale, Gérard Depardieu…
Le cinéma comme réalisateur :
L’Angoisse du gardien de but au moment du penalty –
La Femme gauchère –
La Maladie de la mort –
Les Ailes du désir.
C’est bien que Paul Edel en face mémoire.
et le cinéma ! à chacune de leur récentes guerres les US en font un film presque en simultané.
les américains pensent le cinéma comme un confessionnal : ils y avouent tous les crimes qu’ils commettent.
en pensant que leurs fautes seront pardonnées parce qu’ils en ont fait un film.
du coup tout y passé : les indiens, les bisons, la violence etc…
tout passe à la moulinette du cinéma : la Sainte Caméra pour pardonner ses péchés.
« Hier, j’ai découvert « Les Moissons du ciel » (1978) de Terrence Malick, avec Richard Gere et Sam Shepard, que je n’avais jamais vu. »
Je l’ai vu récemment aussi. Malgré mon admiration pour le Malick actuel, j’ai été déçu par ce vieux film, trop esthétique. J’attends le nouveau Malick bientôt, après Cannes. C’est vrai, Jacuzzi, qu’en ce moment il n’y a pas grand-chose d’intéressant à se mettre sous la dent, à part les reprises. C’est le moment de lire, peut-être. Vous n’êtes pas lassé d’aller continuellement au cinéma ?
cet usage du cinéma pour pardonner ses fautes c’est d’une part un très mauvais recyclage de la religion, et surtout la preuve évidente que ce pays n’a jamais connu les Lumières.
HAMLET20 juillet 2019 à 16 h 11 min
ne me faites pas peur avec tous ces chiffresc’est déjà un problème!si on les convertissait en lettres!sur un arbre généalogique transgénérationnel! ça nous aiderait peut-être et peut être une personne de votre famille pourrait vous aider à ce dessin,en vous racontant ;je ne suis pas psy mais j’ai souvent de bons insights pour accommoder les questions :je suis sure que vous devez pouvoir réussir très bien en plein de choses, vieille dame comme je suis, j’en ai vu aussi!surtout continuez la musique , même avec un petit groupe que vous formeriez sans prendre trop à coeur :entre partenaires on n’a pas toujours la même conception mais ce n’est pas grave le maître, c’est la musique à jouer, chanter , danser,elle vous portera toujours ;hier, j’ai aussi pensé à Bernstein regardé des vidéos; et puis vous êtes hispanisant comme orfeu negro ;je veux bien qu’on se mette en contact (peut-être à travers P.Assouline auquel je donnerais mon e-mail qui fonctionne bien(je suis nulle à l’ordi!)c’est très pratique quand même ;je ne sais où vous habitez, je ne suis pas en région parisienne;et j’ai du temps , même por me fatiguer pour vous (pas comme psy digne de ce nom) mais pour franchir les obstacles:oui!ne vous empoignez pas trop sur la RDL/GARDEZ VOS FORCES POUR VOUS; vous en avez besoin et de les « domestiquer à votre service »,et vous en avez, des forces!courage , hamlet, on avance !et trouvez moi de la musique!vous savez, j’ai « vraiment » fait du piano,et ça marchait , mais la vie est bizarre parfois ;ne vous rendez pas malade avec la RDL?CA JE NE VEUX PAS , c’est l’été, vous êtes du midi, il faut en profiter !
et alii vous avez compté vos commentaires depuis ce matin ?
je vais vous avouer un truc : je me suis levé avec l’idée de vous battre, en buvant mon café je me disais : aujourd’hui je dois battre et alii !
je ne compte pas mais je vous ai battue à plate couture avec au moins 40 commentaires d’écart !
passou me refile 40 centilmes par commentaire.
et vous aussi ? me dites pas qu’il vous donne plus sinon je porte plainte !
L’article de Popaul sur Peter Handke n’est pas mal : mais on sent que Popaul a du mal à prendre parti entre l’amour et la détestation. Il distingue plusieurs Handke, et les oppose les uns aux autres. Bref, ce n’est pas très clair. Et puis il oublie L’Heure de la sensation vraie, qu’il n’a peut-être pas lu, et qui est un roman inoubliable. Moi, je crois que Handke est à prendre comme un bloc : « Vaste bloc chu d’un désastre obscure… » Popaul est trop timoré. C’est comme si son amour de la littérature connaissait des limites. Que c’est dommage ! Moi, personnellement je prends tout, je comprends tout, même Milosevic ! Je réintègre tout dans un univers d’écrivain passionnant et unique, qui m’aide à penser la réalité actuelle. Je ne fais pas la fine bouche, comme Popaul, et tant pis si je ne suis pas politiquement correct. Dieu reconnaîtra les siens !
christiane: Paul Edel en face mémoire.!je suis en face et vous savez ce que j’ai vu!a vous!
et alii dit: 20 juillet 2019 à 16 h 49 min
c’est vraiment sympa ! c’est le commentaire le plus sympa qu’on m’ait envoyé.
ce n’est pas ça qui me rend malade mais l’inverse, peut-être parce que je suis malade que je viens ? comme combattre le mal par le mal ?
ce qu’on pourrait appeler le bonheur du puits sans fond comme endroit qui ne renvoie pas d’écho.
vous savez et alii j’ai arrêté de lire quand j’ai connu la rdl, ça fait presque dix ans, je cherchais un moyen d’arrêter, parfois il devient vital d’arrêter de lire si vous voyez ce que je veux dire.
j’ai une sainte horreur de tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à un livre.
et vous aussi ? me dites pas qu’il vous donne plus sinon je porte plainte !
c’est moi qui devrais porter plainte mais pas avant d’avoir le le livre de RONELL
https://www.nouvelobs.com/nos-inclinaisons-dangereuses/20190714.OBS15900/avital-ronell-se-plaindre-c-est-s-insurger-contre-le-monde.
d’ailleurs passou doit le lire aussi!
« Une catastrophe n’arrivant jamais seule, après l’attribution du Nobel de littérature à Bob Dylan, voici son effet collatéral : le succès de la dylanologie à l’Université avec colloques et séminaires etc Help, Mr Tambourine man ! »
Passou, il faut mettre un point final à l’abréviation « etc. » ! Grévisse l’exige ! Et la logique.
t: 20 juillet 2019 à 16 h 57 mince n’est pas grave de laisser les livres un peu reposer;ne vous inquiétez pas pour eux;ils se rattrapent quand il le faut!ne tracassez pas trop Passou;lui va se demander quoi faire et faire lire avec des oiseaux de notre genre;il a droit aussi à souffler
@et alii dit: 20 juillet 2019 à 16 h 53 min
« Étant ici je suis ailleurs –
en avance ou en arrière
ailleurs un double :
inquiétude et non-soi.
Je ne suis qu’ici
Je ne suis que maintenant :
je suis quiétude »
p;138 – Le poids du monde – Un journal Peter Handke – traduit de l’allemand par G.-A. Goldschmidt (Gallimard)
Dieu sait combien de fois et alii nous a répété qu’elle ne désirait pas créer de liens d’amitié ici. Et voilà qu’après renato, elle drague effrontément hamlet !
Et rien pour moi, ma douce et tendre ? A croire que plus que ma gaytitude ma goytitude est en cause !
Raciste, et alii ?
Si en plus tu avais été une femme, hamlet, tu aurais eu droit au 5 K !
On pourrait discuter à l’infini de cette guerre de merde dans les Balkans, dans laquelle les militaires français n’ont pas toujours été glorieux. Ils ont pour certains été poursuivis et inculpés par le TPI, je crois bien. Alors, Peter Handke nous dirait que l’Occident et les médias putrides ont fait de Milosevic un bouc émissaire. C’est vrai. La position de Handke est assez fine. Il était non pas serbe, mais slovène par sa mère. D’où sa sensibilité pour cette question. Il a eu le courage de s’exprimer sincèrement. J’applaudis, et popaul devrait en faire autant. Mais peut-on demander cela à un ex-journaliste du Point, presque écrivain, quasi-penseur, à moitié breton ?
« Il était non pas serbe, mais slovène par sa mère. D’où sa sensibilité pour cette question. »
Un peu comme Camus et le choix de l’Algérie française de sa mère. Cela avait fait hurler dans le landerneau parisien à l’époque, mais moins que pour Handke !
« presque écrivain, quasi-penseur, à moitié breton ? »
Lui aussi !
Voudrais-tu dire que nous sommes inachevés, Delaporte ?
Que faut-il faire pour toucher les 40 centimes par commentaire, hamlet ?
A ce compte-là, Passou me doit quelques milliers d’euros !
@passou, je suis en train de lire les commentaires des philosophes sur l’affaire Ronell qui est une femme que j’aime bien;j’ai lu tous ses autres livres, je l’ai entendue à Beaubourg; je crois que ça me trouble un peu , juste un peu parce que je suis une « vieille » dame,avec un autre travail que du « bagout » ;mon copain poète homo prof de fac maintenant m’a fait la vie dure quand je l’ai reçu en France mais avec le travail de traduction de l’hébreu et nos exigences respectives pour le texte, on s’en est sorti brillamment, de nos rôles;(il était d’origine sepharad marocaine!)donc maintenant à lui, comme prof en titre à la fac de s’accommoder de sa fantaisie!
je voudrais que vous lisiez le livre de RONELL et les critiques des philosophes sur la toile ;c’est un bon sujet pour vous,notre éducateur;
rien à voir avec dylan, ça ,comme dit hamlet, sérieux!je ne sais après ce que j’ai lu sur les formules celle qui convient le mieux ici et je n’y connais rien aux emoticons s’il y a des gants de boxe, ça serait pas mal imaginez les ,tout blancs , ou des gants blancs comme sur le cadre du tableau ;on m’en mettait enfant, pour dormir la nuit pour ne pas ronger mes ongles:je rongeais les gants bien sur!
je ne sais pas moi, accéder à cette messagerie email que j’ai créée quand l’autre éta,mais je ne veux pas la mettre ici;il me faudrait dix paires de gant et maintenant j’ai des ongles longs et durs! de vrais outils, L.L.
Chaloux dit: 20 juillet 2019 à 11 h 44 min
Et puis Chevènement, ce n’est pas si mal comme référence,
« Je ne le remercierais jamais assez »
Chi-Chi 22/04/02
J4AI lu la belle lettre de Zaoui (un spinoziste) à Ronell.Enfin , il a fallu ça pour que ça se dise!je suis d’accord avec cette lettre
hamlet dit: 20 juillet 2019 à 16 h 02 min
L’Ordure Nazi qui a voulu se faire passer pour un Juif est tellement emmerdée de voir publiée ici sa vraie pensée inspirée directement de « Mein Kampf », qu’elle s’invente maintenant une troisième identité multiculturelle.
Après:
ma mère, famille juive oranaise
hamlet dit: 27 septembre 2018 à 13 h 25 min
Et:
ma mère n’est pas née à Oran, elle est n’est née à Tlemcen
hamlet dit: 20 juillet 2019 à 15 h 06 min
On a maintenant un 3eme mensonge:
je suis :
1/4 juif 1/4 arabe (converti au judaisme pour se marier) : parents de ma mère
1/4noir et 1/4 blanc : parents de mon père
Il croit, ce fanatique des techniques de manipulation de Goebbels, qu’on va gober qu’il a « 3 bonnes raisons d’avoir le KKK au cul », alors que tout montre que son idole (qui était aussi complexé, qui haïssait par jalousie autant les riches et qui aimait autant désigner des coupables innocents par génétique que lui) est Hitler.
À côté de lui, les bannis JC ou bouguereau étaient des enfants de coeur.
« j’ai des ongles longs et durs! de vrais outils, L.L. »
Vous voila prévenu, Passou ! Au cas où vous songeriez à nous parler du livre de Ronell, vous savez que vous serez attendu au tournant !
Pablo, je vous conseillerais de faire un tour du cote du dictionnaire, cherchez le mot acteur.
Calme-toi, Pablo75 ! Parle-nous plutôt de tes dernières acquisitions aux puce de Montreuil !
Tu y as été fort l’autre jour avec ton Nietzsche homosexuel, moi-même je n’aurais pas osé…
Je n’ai même pas relevé !
(Christiane me serait tombé dessus au titre que je ramène tout à l’homosexualité. Et Ed en aurait profité pour en rajouter une couche par dessus !)
Kafka aussi, pas très clair…
Faut demander à Phil, il sait tous sur ces sujets !
On peu pas demander à Le boug, il nous répondrait : « Tous des enkhulés ! »
un partage:Zaoui:
https://www.youtube.com/watch?v=XmJy1dIxhl8
Jazzi, tu peux aussi lui demander pourquoi le mot « nazi » lui vient en premier à l’esprit quand il parle de son père ?
t’as pas envie de savoir ? juste par curiosité ? si c’est moi qui pose la question je vais encore me faire insulter, alors que si toi tu lui demandes poliment si ça se trouve il va te répondre.
Et si vous le rencontrez. Demandez à votre ami. Comment en dehors des planches ou d’un plateau de tournage il est possible de l’aisser sur la paille une mere et son enfant de trois ans. Comment il est possible quand on ne se réclame pas du nazisme de ne pas porter secours à personne en danger et comment après tout cela on imagine un stratagème permettant ni vu ni connu ni permttant de’enrichir sur son dos en profitant de sa naïveté ou de sa sonnerie ( selon appréciation )sans que cela pose le moindre problèmes conscience à ce brillant esprit. Hamlet est juif comme je suis champenoise. Pas de quoi faire l’apologie du crime raciste ni de l’ethnologie mais entetez vous, c’est hilarant et divertissant.
Ethnocide, and so on.
A propos de Handke ,Jazzi. Comment sa mère a vécu l’annexion de l’Autriche par Hitler? Elle fut sensible aux retraites aux flambeaux, aux heures chômées, aux drapeaux partout,aux parades, liesses populaires dans les rues de son village.
Peter Handke rapporte quelque chose de précieux dans « Le malheur indifférent », à savoir que sa mère déclare : « Nous étions assez excités. »
Il ajoute que pour elle : » l’ennui des jours de semaine prenait l’ambiance d’un jour de fête jusqu’aux heures tardives de la nuit ».
Plus loin, Handke rapporte que sa mère « qui avait voulu toujours être fière de quelque chose » devint véritablement fière non pas de quelque chose de précis mais fière en générale, une attitude, et l’expression d’un gout de vivre enfin obtenu ; elle n’aurait pas voulu renoncer à cette fierté confuse . »Voilà qui est intéressant , pour comprendre l’accueil d’Hitler en Autriche.
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