de Pierre Assouline

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La République des livres
Des oiseaux et des oeuvres, mais sous quel nom et à quel titre ?

Des oiseaux et des oeuvres, mais sous quel nom et à quel titre ?

Ces deux livres-là attendent sur ma table depuis près de deux ans. Comme quoi… Peur d’y toucher ? Pas vraiment. Plutôt l’appréhension de pénétrer dans une forme déroutante, mêlée au sentiment que certains livres s’inscriront dans la durée par leur étrangeté même. Il est vrai que les projets qui sous-tendent ces deux-là sont particulièrement originaux.

Quel est le plus souvent notre réflexe naturel lorsque nous entrons dans un musée ? Le regard attiré par un tableau, nous nous précipitons vers le petit cartouche sur le bord du cadre, ou sur le cartel à côté, pour nous renseigner : titre, auteur, collectionneur… Le pedigree, quoi. Nous identifions, tendance qu’un Henri Cartier-Bresson ne cessait de dénoncer ; par principe, il s’interdisait même de savoir, de manière à conserver toute sa pureté au choc esthétique, désencombré de la culture et du commentaire. Cette réaction est au cœur de La fabrique du titre (454 pages, 27 euros, Cnrs éditions). Trois maîtres d’œuvre (Pierre-Marc de Biasi, Marianne Jakobi, Ségolène Le Men) y ont recueilli différentes contributions de spécialistes sur les pratiques de nomination des œuvres d’art, fruit d’une recherche collective basée sur la méthodologie génétique. Leur mosaïque offre une passionnante contribution à l’histoire de l’intitulation en art.Mark-ROTHKO-02

Ce n’est pas rien, un titre : il gouverne et modifie notre regard sur l’œuvre plus souvent qu’on ne le croit. Il n’est plus considéré comme une annexe de l’œuvre d’art mais comme un objet d’étude à part entière. Ce n’est pas un hasard si c’est un écrivain, et non un historien de l’art, qui a été pionnier dans cette démarche : Michel Butor en 1960 lorsqu’il publia Les mots dans la peinture à la demande de Skira, un essai sur l’omniprésence de l’écriture dans la peinture. Puis des sociologues, des historiens, des sémioticiens, des philosophes lui ont emboité le pas. S’il est posé avant l’acte créateur, le titre peut influer sur la création. S’il vient de l’imagination du commanditaire, et non de la volonté de l’artiste, aussi. Ce livre particulièrement savant, qui brasse quelques siècles d’activité créatrice, est riche de pistes nouvelles. Derrière la typologie universitaire, on pourrait en tirer un inventaire à la Prévert des catégories de titres : énigmatique (Le sommeil de la raison enfante des monstres), sec (Untitled), descriptif (Un enterrement à Ornans), évocateur (Le Verrou), breveté (IKB), fantasmatique (Judith décapitant Holopherne), allégorique (L’Origine du monde), poétique (Ceci n’est pas une pipe), sans commentaire (Peinture 202 X 143 cm), tahitien (Te Pape Nave Nave), baudelairien (Olympia), ubuesque (Récolte de la tomate sur le bord de la mer rouge par des cardinaux apoplectiques), orphelin (Sans-titre)…

Et que dire alors des titres attribués par erreur ? Nul doute qu’ils changent le regard. René Char, du temps qu’il commandait un maquis dans le Lubéron, gardait constamment sous les yeux, dans son bureau aménagé dans une grotte, une reproduction d’un tableau de Georges de La Tour intitulé « Le prisonnier » ; il y voyait une métaphore de la condition de la France sous l’Occupation ; après la guerre, des recherches en archives révèleront qu’en vérité le tableau s’intitulait « Job raillé par sa femme », ainsi qu’on peut le voir de nos jours au musée des Beaux-Arts d’Epinal… Il est permis de baisser les yeux vers le titre ; mais aussitôt relevés vers l’œuvre, gardons-nous d’y voir un sujet.

L’autre livre, si intimidant que j’ai mis près de deux ans à oser m’y plonger, est Un Glossaire d’oiseaux grecs (480 pages, 29 euros, José Corti) de D’Arcy Wentworth Thomson (1860-1948), savant en biologie et en langues anciennes qui avait du savoir plein les armoires. Un Pic de la Mirandole en version monomaniaque. Même pas les oiseaux, mais leurs noms d’oiseaux. Et encore uniquement la manière dont les anciens Grecs l’entendaient. Disons qu’il devait délicieusement obsessionnel. Car le résultat en est un objet littéraire non identifié, fascinant par sa gratuité, déroutant par l’érudition qui y est déployée. Son monstre n’a pas été seulement traduit par Dominique Meens (Saint-Omer, 1951) mais, comme indiqué sur la couverture, également « augmenté de commentaires dilettantes, d’anecdotes délectables prises à divers auteurs anciens et modernes, de remarques saisissantes et de propos inactuels sur la situation présente ». On ne fait pas plus inattendu. A qui s’adresse une telle somme ? C’est simple :

“Notre ouvrage est utile voire indispensable à toute personne répondant à l’une où l’autre de ces propositions : elle possède une paire de chaussures de marche ; elle connaît l’histoire d’Achille et celle d’Ulysse ; il lui arrive de penser, voyant des hirondelles raser la prairie, qu’il va bientôt pleuvoir ; elle possède un dictionnaire, il lui arrive de le consulter ; des images d’oiseaux englués dans le pétrole ou le goudron l’attristent ; elle ouvre parfois un livre au hasard comme on faisait autrefois des Bucoliques de Virgile afin d’envisager l’avenir avec optimisme ; elle n’imagine pas qu’on puisse faire un roman d’un glossaire ; elle a entendu parler d’Aristophane et de ses comédies ; elle sait qu’il ne fait pas bon aux grenouilles d’avoir une cigogne pour tyran ; trop de racines grecques dans une phrase française l’agace ; elle n’a jamais de sa vie aperçu le moindre torcol ; elle aime rire, parfois même de choses sérieuses.”

 Armed_owl_Louvre_CA2192Bien sûr, on peut continuer à vivre en ignorant qu’Akmön désignait il y a très longtemps un genre d’aigle. Ou que Gëtauros désignait le Butor (encore lui !). Ou même que le Dikairon était un prétendu volatile de la taille d’un œuf de perdrix dont les fientes avaient la faculté de provoquer une mort aussi tranquille qu’un endormissement. Mais quand on le sait, on se sent… autre. D’autant que, pour ajouter à l’étrangeté de cet univers, ce dictionnaire rangé comme de juste par ordre alphabétique, juste après la lettre « T » comme Tutö, repart aussitôt avec des « H » comme Hubris, mais pourquoi pas, au fond… Cette somme on ne peut plus inactuelle est un dictionnaire des noms que les Grecs donnaient aux oiseaux dans l’antiquité.

Poète ornithologue Dominique Meens le présente sous un genre inédit appelé “dorman”, ou si l’on préfère “roman sans romanesque”. Parfois, on ne sait plus trop ce qui est de lui et ce qui appartient à D’Arcy Thomson, ce qui n’a d’ailleurs aucune importance. C’est d’une érudition si vertigineuse qu’elle en devient musicale. Certaines définitions sont longues de plusieurs pages (Kuknos ou le cygne) d’autres de quelques mots (Stuphokomnos ou le coq ou la caille de combat selon les scolies d’Aristophane). Il faut évidemment y picorer ; on ne garantit pas l’état mental ni le casier psychique de celui qui s’aventurera à le lire en continu de la première à la dernière page (à ce sujet, il faudra penser à prendre des nouvelles de l’éditeur et du correcteur). Secouez ce livre, il s’en envolera des petits choucas, des tarins des aulnes, des grands cormorans, des garamantes, des troglodytes mignons, des rouge-queue en version estivale des rouge-gorge d’hiver et autres oiseaux fabuleux qui lancent leurs plumes comme des flèches, tous se déployant sous leur nom grec d’autrefois.

(« Le peuple migrateur », photo extraite du film de Jacques Perrin ; Mark Rothko, « Orange, Red, Yellow », 1961, collection privée ; Chouette armée. Oenochoé des Anthéstéries attique à figures rouges, vers 410-390 av. JC, Musée du Louvre )

Cette entrée a été publiée dans documents, Histoire.

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commentaires

985 Réponses pour Des oiseaux et des oeuvres, mais sous quel nom et à quel titre ?

Deneb dit: à

Vous n’avez pas compris, Sergio.
J’évoquais évidemment la sonorité. Vous n’ignorez évidemment pas qu’à la base on échantillonne les spectres des meilleurs pianos mécaniques à corde pour obtenir leur reproduction numérique sur des pianos à processeurs. Ce que veux bien éventuellement vous concéder, c’est la difficulté à reproduire « le coffre » d’un grand piano à queue. Il faudra là non seulement un bon signal numérique, mais aussi de très bon pré-amplis, amplis, câblages, enceintes ou panneaux. Là, effectivement, ça commence à coûter un peu cher et prendre de la place. Mais on est pas tout le temps dans une salle de concert. J’évoquais surtout l’usage privé. D’ailleurs, à ce titre, on fait très attention au piano et beaucoup moins à l’acoustique de la pièce où il se trouve, ce qui est un grand tort. Des artistes de variété connus se font photographier dans leur immense salon au rez-de chaussée de leur superbe villa : dallage de marbre, grandes baies vitrées, plafond lisse : je peux vous dire que ce sera d’avance une catastrophe sonore.

Deneb dit: à

Mais je ne suis pas D., Chaloux. Vous mélangez tout.

Deneb dit: à

Je vous vois avancer, Chaloux, vous allez me parler du toucher incomparable, sentir le feutre qui effleure ou tape les cordes, les nuances de frappe qu’on ne peut reproduire, etc..
Je sais tout cela par cœur. C’est tout simplement faux. Vous prenez des touches en plastique avec un petit électroaimant dessous, un senseur, un processeur qui pilote le tout, vous préréglez tout cela en usine et le tour est joué, vous avez un Bösendorfer Impérial.
Seulement les gens ne voudront pas l’admettre. Ça en ferait même pleurer certains. Mais moi je m’en fous : c’est la vérité que je défends, pas la nostalgie et les faux-semblants.

bouguereau dit: à

se font photographier dans leur immense salon

photographier dédé..la caisse est changé en bar tabac pmu..c’est comme les sein en silicone dirait clopine..c’est pas pareil pour les cravates..tu comprends dédé ?

bouguereau dit: à

sont peut-être les mêmes qui s’enrôlent dans le jihad .. , non ?

sur que ceux qui vont chez tshahal sont plus rupin dirait dieudonné..mais ne nous laissons pas influencer dafnoz..en tout de la mesure

f de bassan dit: à

16 Ton insolence, l’orgueil de ton coeur t’a égaré, toi qui es installé dans le creux des rochers, toi qui occupes le sommet des collines. Puisque tu places ton nid aussi haut que celui de l’aigle, je t’en ferai tomber, déclare l’Eternel.

(Jérémie 49.7-22)

bouguereau dit: à

mais qu’évidemment cela devait être nécessairement résolu un jour

..oui en même temps ça nous fra une belle jambe.. en tout cas j’en ai connu une trés mignone en numérique et cax..c’est un peu chiant les touche à blanc mais à peine.. »jacques chirac » pluto que yamaha ça ça aurait été bat..mais voilà on est colonisé

f de bassan dit: à

Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? »

— Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu, chapitre 6, verset 26 (traduction d’après la Bible Louis Segond).

bouguereau dit: à

je verrais assez bien Bérénice à la traversière

elle doit faire des copeaux dirait jacquot..mais c’est comme dieudonné..ne nous laissons pas influencer..de la mesure en tout!

f de bassan dit: à

« Mes frères les oiseaux, vous avez bien sujet de louer votre créateur et de l’aimer toujours ; Il vous a donné des plumes pour vous vêtir, des ailes pour voler et tout ce dont vous avez besoin pour vivre.
De toutes les créatures de Dieu, c’est vous qui avez meilleure grâce ; il vous a dévolu pour champ l’espace et sa simplicité ;
Vous n’avez ni à semer, ni à moissonner ; il vous donne le vivre et le couvert sans que vous ayez à vous en inquiéter. »

Dimitri d'Armatan, bedeau d'Aurillac dit: à

Bassan, cessez de citer les paroles saintes, je vous interdis de rogner sur mes plates-bandes. Je suis le seul catholique confirmé de la rdL, Monseigneur Philippe Teigniez nous a quitté.
D’autre part je n’apprécie pas votre particule.

ici Londres dit: à

JC est toujours en train de dégobiller sous d’autres pseudos, ça fait plus propre comme l’épicétou glou glou

Deneb dit: à

complètement ouf, de bassan.

Deneb dit: à

La vraie parole, c’est : « le vivre et le couver ».
Ensuite on a déformé.

D. dit: à

Non, JC est JC quand il signe JC.
Vous pouvez me croire sur parole, il m’a tout appris.

Pianotus Pontiflex dit: à

Avant qu’un pianiste amateur soit à la hauteur d’un Bösendorfer ou d’un Steinway ! Cependant le piano, c’est Chopinou, et Chopinou, c’est de la corde frappée. Alors on achète une merde vernie, jamais juste.

Le numérique, surtout les derniers Yamaha, sont très largement suffisants, même pour des frappeurs de demi-queue à l’ancienne …

JC dit: à

Je suis le jumeau parfait de D.
Nous sommes sortis du ventre maternel générateur, ENSEMBLE !
(TKT avait vu juste…)

la Reine des chats dit: à

Biasi/Jakobi/Le Men, bon tiercé. Le livre sous les yeux. Il aurait pu se cantonner au manuel savant, il amuse, titille & enchante à la manière d’un ouvrage à entrées multiples, on peut y baguenauder, sortir par une porte et entrer par la fenêtre, puiser, pêcher, délaisser, bifurquer, consulter, compulser,pulser, et lycée de versailles, se faufiler, quitter, reprendre, loin du sillon in extenso obligatoire, la caution universitaire avec un grand CU attenantes généralement au genre, toutefois dieu merci non plus sans la simplicité truquée, ou le vrai emmerdement rébarbatif, la démagogie horripilante de « Grands Explicators du pourquoi du comment aux petites masses » : il y a un côté artisans obsessionnels amoureux du sujet à l’oeuvre là, qui fonctionne, tient la note suffisamment haute et n’est pas exempt d’une dimension pince-sans-rire rajoutant du sel. Les fondus de dictionnaire(s) & autres petits chercheurs à la croix de bois qui ne regardent pas forcément l’étiquette ni le pedigree, voire qui aiment les bâtards, devraient également y apprendre des choses, y étancher leur soif bref y trouver leur compte.
L’ornithologue auteur du second livre chroniqué, Dominique Meens, pas le seul à écrire des « dorman » : Volodine ou son hétéronyme, si ce n’est pas lui c’est donc son frère,a abondé dans cette tentative. Claude Gudin, jardinier & docteur en biologie végétale qui établit des parallèles ethologiques usuels entre le sac en croco Mémesse offert à Madame pour la séduire et la mouche enveloppée de soie offerte par Monsieur araignée n’en est pas loin non plus, à sa manière espiègle.
Et maintenant je m’en vais toute seule, comme chez Kipling ou dans une chanson de Françoise hardy, P. Edel m’ayant donné de ces envies de Bretagne…Meow-meow!

Deneb dit: à

Pianotus Pontiflex dit: 23 juin 2014 à 18 h 51 min

Allez-y, pianotus, paraphrasez-moi à qui mieux-mieux. Maintenant si vous avez une seule petite idée que je vous aurai pas soufflé, ne vous gênez pas pour nus en faire part.

la Reine des chats dit: à

P.S Hier, demandé chez Sophie Avon, lue après Quiberon (ce qui évidemment « m’a tuer » comme on dit d’envies de plage) : la question était de savoir si on dit Moulleau ou Moullot, près d’Arcachon?
Je crois en effet qu’on dit Moulleau. Dans mon souvenir il y a un bar sur la jetée qui s’appelle l’Oubli, c’est joli non? Tenu par un rugby man chauve dont le frère était un grand sélectionneur, un joueur de l’équipe de France ou je ne sais trop quoi, Pierre Berbizier… Maintenant je connais son nom, mais à l’époque je m’étais trouvée à discuter un peu avec lui un soir, et à devoir le présenter en suivant à quelqu’un. Misère! Je l’ai appelé « Barbizon » toute la soirée, il faut croire que cela me parlait plus, à cause de l’école sans doute, et lui n’a pas tiqué, quel homme charmant.
Le bassin d’Arcachon a une beauté certaine, indéniable, à la fois languide et fulgurante, mais bon sang quand même, la Bretagne!..les couleurs en particulier sont terribles. A Saint-Malo,Quiberon et surtout Cancale et paimpol, il faudrait rester la journée à regarder l’eau. Ah, l’Atlantique.

D. dit: à

petite idée que je vous aurai pas soufflé, ne vous gênez pas pour nus en faire part.

Deneb, vous avez oublié le n’ de négation, c’est mauvais pour notre réputation, n’oubliez pas nous sommes bac +10

f de bassan dit: à

encore lui

. Rapidement, Hitchcock devient chef de la section « Titrage » de la société et, pendant deux ans, il rédige et dessine les titres de films de cinéastes tels que Hugh Ford, Donald Crisp et George Fitzmaurice

TKT dit: à

Quand j’usurpe, les pseudos de D. et JC je m’arrange pour le faire tellement mal que tout le monde, me reconnait. Fazit. C’est fair play.

f de bassan dit: à

Georges Braque23 dont Les Oiseaux le fascinaient au point d’en commander une mosaïque pour le mur de sa villa de Scott Valley en Californie24
c’est sur wiki

f de bassan dit: à

des sursis de P.Assouline
Le Couvent des Oiseaux, situé 84 rue de Sèvres à Paris1, était un hôtel particulier utilisé comme prison pendant la Terreur durant la Révolution française, puis un pensionnat de jeunes filles de 1818 à 1904.

f de bassan dit: à

L’opérette Mam’zelle Nitouche, créée en 1883, met en scène un couvent des Hirondelles qui s’inspire du couvent des Oiseaux8.

nicolas dit: à

bouguereau « ne nous laissons pas influence »

bouguereau, toujours si mesuré

TKT dit: à

Le TKT de 19:32 n’est pas de moi.
Une question, D. ou JC, peut-on usurper un pseudo parfaitement court et anonyme ?
Autre question, comment pouvez vous savoir ce qui n’est pas de D., quand vous signez JC ? D.bile et JCouille, sont donc bien les deux burnes attachées au même appareil d’évacuation des eaux ?

kicking dit: à

ces mêmes

vous exagérez, les foulards sont plus variés que des bureaux.. bon, les carrés herpès ça pourrait faire tache..

kicking dit: à

burqa..

(non mais les cons..)

TKT dit: à

HR, le couvent des Oiseaux n’a pas fermé en 1904, il est vraisemblablement encore ouvert. Dans ma génération, les filles des Oiseaux avaient une réputation de party-girls, plus délurées que celles de Notre-Dame-de-Sion.

Thérèse de Saint Yrieix dit: à

plus délurées que celles de Notre-Dame-de-Sion.

Comment le savez-vous?

bérénice dit: à

pléonasme. Pour choquer le clampin de base, il eût fallu avoir écrit, et l’oser,(mais qu’osez vous de fait sinon râler ?) – Rose hier avant minuit.

Ceci parce que les sentiments nous encombrent, mieux vaut la plupart du temps s’en tenir au squelette de nos vies, l’argent le sexe ou le sexe l’argent, l’un l’autre les deux, un alliage qui finit en alliance. Sinon à part râler? j’oublie parce qu’il n’existe pas grand monde dont le souvenir nous est cher ou dont la permanence demeure inamovible, une dispense sans fond au souci, à l’attention, en dehors du rôle social. Une réaction au titre proposé (Putes) auquel je réagissais. Après tout, que ne vend on pas? Même l’âme y passe.

des journées entières dans les arbres dit: à

L’oiseau de pluie, perché sur le grand tamarinier, très heureux chantait de joyeux « pluipluiplui »!
Kunti le regarda longuement… Il réfléchissait…
Puis il alla trouver sa grand-mère.
– Grand-mère, dit-il, si nous avions un oiseau de pluie à nous, crois-tu que nos champs seraient arrosés quand nous le voudrions?
– La grand-mère hocha la tête et répondit sans hésiter:
– Bien sûr ! car l’oiseau ne chanterait que pour nous.
Les récoltes seraient abondantes, il n’y aurait jamais de famine.
Mais Kunti voulait en savoir davantage et il alla trouver son Père.
– Père, dit-il, si nous avions un oiseau de pluie dans notre maison, crois-tu que nos champs seraient arrosés quand nous le voudrions?
Le père réfléchit quelques instants, puis répondit:
– Non, je ne le pense pas. Les vieux du village racontent beaucoup de légendes… Faut-il croire tout ce qu’ils disent?
Mais Kunti voulait en savoir davantage.
Il alla trouver le Grand-Sage:
– Grand-Sage, si nous avions un oiseau de pluie dans le village, crois-tu que les champs seraient mieux arrosés?
– Oui, sans doute, car cet oiseau sait quand la pluie va tomber… Il sait aussi quand elle doit s’arrêter L’eau ferait pousser les plantes, la rivière ne serait jamais à sec, il n’y aurait plus d’épidémies… Mais qui peut posséder un oiseau de pluie?
Kunti en savait suffisamment cette fois.
« C’est bon, se dit-il, j’irai chercher un oiseau de pluie ! »
Et le lendemain, dès l’aube, il se mit en route dans la brousse.
Questions
Comment s’appelle l’arbre sur lequel est perché l’oiseau de
pluie ?
Comment se nomme le petit garçon ?
Donne l’ordre des personnages que va questionner le garçon.
Le père Le Grand Sage La grand-mère
Colorie de la même couleur le personnage et ce qu’il dit.
Le père Le Grand Sage La grand-mère
« Oui, il ne
chantera que
pour nous. »
« Il ne faut pas croire
les légendes. »
« Oui, sans doute
mais qui peut
posséder un oiseau
de pluie. »
Quand l’enfant part-il dans la brousse ?
Retrouve les phrases mélangées.
oiseau va quand Cet la pluie tomber. sait
de joyeux chantait L’oiseau pluie de « pluipluiplui ».

… ça vaut bien Martine( Aubry) et Chantal( Goya), tout un pensionnat au Couvent…

D. dit: à

Je rejoins les différents avis émis par Deneb.
Et j’ajouterai que si renato et Bérénice ne jouaient pas un rôle à longueur de journée, la communication n’en serait que plus facile.

Deneb dit: à

Bérénice, voulez-vous que je vous joue une sonate de ma composition sur mon Tyros ?

Deneb dit: à

Sur un rythme 6/8. J’adore le 6/8. Pas seulement parce que c’est comme le 3/4.

renato dit: à

Il y en a qui souffrent d’une immense solitude… et ils ne suscitent la moindre compassion — au moins, chez moi…

des journées entières dans les arbres dit: à

Renato, je me demande- vite fait, sans m’apesantir- s’il a la nature en stéréo, pour envoyer des liens aussi débiles. A se demander s’il écoute pas Pierre Perret en boucle, dans sa cage.

la Reine des chats dit: à

Bérénice le livre de Crumley (chez Rivages) sous ses dehors gros bras est d’une mélancolie extrême, d’un féminisme, d’un pessimisme, d’une tendresse voilée tout à fait poignants. Rien à voir avec une oeuvre racoleuse, ayant partie liée avec des poncifs. C’était un écrivain empathique,souffrant, violent et doux dans l’expression, sans fard, capable de complexité et que la psychologie n’a jamais fait reculer même si le psychologisme l’assommait, il n’a jamais rien eu de cynique entendu à petit braquet, ou alors cynique, il l’était au sens philosophique, capable de rire en regardant ses chiens se dandiner dans des flaques de soleil et y prendre plaisir alors que lui, tout l’atteignait tellement, il n’avait pas eu d’enfants et s’occupait dans une attention paternelle d’une délicatesse exceptionnelle de ceux de Martha, sa femme adorée, son soutien, poétesse de son état.

de l' utilité du sujet dit: à

@la Reine des chats dit: 23 juin 2014 à 19 h 02 min
Avez-vous lu le chapitre concernant la sculpture et intitulé :  » De la distraction par le sujet : Rodin  » Par A. Le Normand-Romain?
Citation en liminaire de l’auteure :
 » Jamais chez Rodin, un sujet n’est attaché à un objet d’art comme un animal à un arbre.
Le sujet existe quelque part à proximité de cette chose et en vit, comme le gardien d’une collection.
On apprend maints enseignements en l’appelant : mais si on sait se passer de lui, on est plus seul, moins dérangé et l’ on en apprend plus long encore. »
Rainer Maria Rilke

des journées entières dans les arbres dit: à

Eh bien avec tout ça la Reine, pas plus envie de lire ce James que de signer comme devant un calvaire breton, le « généticien » M. De Biasi, qui bénéficie d’une mansuétude inexpicable, sur ce blog.

renato dit: à

Enfin, des journées, puisque vous arrivez à mettre en ligne votre vanité à longueur de journée, je ne vois pas pourquoi je devrais, moi, me limiter dans l’expression de ma débilité… bonne soirée et bon voyage…

Pioche R dit: à

inexpicable

Mais quel next vous pique?

décrochons lui la banane dit: à

Pour une fois que Renato l’envoie aux roses de ses épines, celle-là, bravo!

des commentaires dit: à

Au régime, des journées entières, au régime!

Sergio dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 23 juin 2014 à 21 h 45 min
Pierre Perret

Carlos, c’est pas mal…

Bloom dit: à

La relative déterminative, féconde matrice de titres:

L’homme/L’espion/ Le vieux

qui/

prenait sa femme pour un chapeau/venait du froid/lisait des romans d’amour

Peut réserver bien des plaisirs…

PP dit: à

Tirée de la lecture du remarquable livre de Sacks « L’homme qui prenait sa femme pour un chapeau » – une histoire réelle, le titre n’est pas imaginaire – la conclusion du neuroscientiste Oliver Sacks : tout ce qui est soi-disant ‘spirituel’ prend sa source dans le ‘matériel’ cérébral.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…savez-vous plantez des choux!,…à la mode!,…à la mode de chez-nous!,…au syndrome de Tartufe of course!,…

…le journalisme,…spartiate S.S.,…avec délations aux spires des états!,…
…et, avec, çà!,…c’est mieux!,…taxé!,…
…et, avec ce système!,…taxé!,…
…avec cette innovation ,…taxé!,…etc!,…

…conclusion,…des idées pour se faire encore mieux baiser!…le pouce en bouche!,…par les états  » pédophiles  » des peuples!,…
…t’a trouvé çà tout seul!,…l’espionnage obsolète faisant bricolage de recyclage des misères!,…la littérature!,…ou l’art du recyclage industriel!,…
…les affaires aux canailles!,…
…je suis né dedans!,…etc!,…
…Joyeux anniversaire ! le miens!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…l’obsolescence programmée!,…une honte sociale!,…
…et à nos indiens d’€urope!,…
…votre miel de banque!,…Oh!,…que c’est bon!,…la protection, la gestion, le commerce équitable!,…
…jongleurs,…acrobates!,…vous nourrissez bien vos chiens!,…ils goûtent à vos faveurs!,…c’est normal, c’est moral!,…
…c’est banane!,…etc!,…envoyez!,…

Bloom dit: à

Lee, « le » héros américain

Dans « If Grant had been drunk at Appomattox », la courte de James Thurber (La vie rêvée de Walter Mitty), Ulysses S.Grant a la gueule de bois au moment d’accueillir le généralissime confédéré venu signer la reddition du Sud, le 9 avril 1865.
http://02dddd4.netsolhost.com/poetry/Grant.shtml

f de bassan dit: à

Pour faire le portrait d’un oiseau
Jacques Prévert (1900-1977)

Si l’oiseau ne chante pas
c’est mauvais signe
mais s’il chante c’est bon signe
signe que vous pouvez signer
alors vous arrachez tout doucement
une des plumes de l’oiseau
et vous écrivez votre nom dans un coin du tableau.

f de bassan dit: à

A tire d’aile Rolande Causse Version imprimable en pdf

Rue de l’Arbalète s’envole une alouette.
Rue de la Clef jacassent deux perroquets.
Rue des Eaux, assemblée de moineaux.
Rue Bleue, un rouge-queue met tout en feu.
Rue de la Chapelle, ramage d’hirondelles.
Rue de l’Échelle chantent les merles.
Rue de la Fidélité, un couple de ramiers.
Rue Brise-Miche mésange niche.
Haut sur la rue de la Lune
Planent les oiseaux nocturnes.

f de bassan dit: à

Le ministre de l’Education nationale lance ce mardi une vaste consultation nationale pour réformer l’évaluation à l’école.

f de bassan dit: à

Du mouron pour les petits oiseaux est un film franco-italien de Marcel Carné sorti en 1963.

f de bassan dit: à

Quand passent les faisans est un film français en noir et blanc réalisé par Édouard Molinaro, sorti en 1965.

moment d' endormi, moment d'éveillé dit: à

On le sentait, on le prévoyait, on l’a eu le Prévert et pas en revers!

Ornitotologue prostré dit: à

Fiente de bassan n’est pas un oiseau !

moment d' endormi, moment d'éveillé dit: à

VOS GUEULES LES MOUETTES!

f de bassan dit: à

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Livingston_le_go%C3%A9land

Il s’agit de l’histoire métaphorique et allégorique d’un jeune goéland que l’amour du vol entraîne dans une quête d’absolu. Clostermann compare le livre au Petit Prince de Saint-Exupéry et à The Snow Goose de Paul Gallico, tous trois écrits par des aviateurs.

moment d' endormi, moment d'éveillé dit: à

( Tous les noms d’oiseaux vont y passer…)

Décodage honnête dit: à

« Le ministre de l’Education nationale lance ce mardi une vaste consultation nationale pour réformer l’évaluation à l’école. »

Cette face de pet de Benoit H., ne supportant pas le désespoir de nombreux écoliers obligés de travailler pour réussir, susurre, la larme à l’oeil :
«Aujourd’hui, notre système d’évaluation souligne les lacunes et les échecs des élèves, ce qui peut être très décourageant pour certains»

Supprimons les difficultés en cassant le thermomètre ! Méthode Hamon ? Méthode de con !

f de bassan dit: à

Woody Woodpecker, appelé Piko le pivert et parfois Ducker Duck dans d’anciennes traductions françaises, est un personnage de dessin animé américain créé dans les studios d’animation de Walter Lantz (Walter Lantz Productions). Ce pivert au rire particulier apparaît pour la première fois en 1940 dans un court métrage intitulé Knock Knock. La série The Woody Woodpecker Show, comprenant 192 épisodes et distribuée par Universal Studios dure jusqu’en 1972, faisant de Woody la dernière des « toon » stars du grand écran. Il côtoie entre autres Wally Walrus et Buzz Buzzard

f de bassan dit: à

Buzz Buzzard, un oiseau charognard.

Corsica News dit: à

Courageusement, les canards corses en illustration du billet passant devant le phare de la Giraglia, rentrent chez eux sans la SNCM, en grève pour la troisième fois depuis le début de l’année…

La SNCM ? Une entreprise qui marche, menée de mains de maître par la CGT Marins, contrairement à CORSICA FERRIES qui végète dans la mauvaise gestion italienne !

f de bassan dit: à

Le Pluvier doré (Pluvialis apricaria) est une espèce de limicole de taille moyenne (28 cm de longueur) appartenant à la famille des Charadriidae.

Sa migration en boucle lui fait parcourir plus de 20 000 kilomètres par an pour bénéficier successivement des étés boréal et austral. Nés dans l’Alaska ou dans l’est de la Sibérie, les champions de l’espèce regagnent à l’automne la Nouvelle-Zélande et l’Australie

f de bassan dit: à

Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx,
L’Angoisse, ce minuit, soutient, lampadophore,
Maint rêve vespéral brûlé par le Phénix
Que ne recueille pas de cinéraire amphore

Sur les crédences, au salon vide : nul ptyx
Aboli bibelot d’inanité sonore,
(Car le Maître est allé puiser des pleurs au Styx
Avec ce seul objet dont le Néant s’honore.)

Mais proche la croisée au nord vacante, un or
Agonise selon peut-être le décor
Des licornes ruant du feu contre une nixe,

Elle, défunte nue en le miroir, encor
Que, dans l’oubli fermé par le cadre, se fixe
De scintillations sitôt le septuor.

archéopteryx

Bloom dit: à

Les Oiseaux d’Alfred H., ou nos ennemis à plumes, plumassiers et plumitifs inclus.

Bloom dit: à

« On peut concevoir qu’un certain nombre de connaissances attendues à la fin de la sicième ou du CE2 puissent être acquises plus tard…. »

Ou jamais, comme dans l’usage du ‘x’par les correcteurs du Monde.Ze fun oui hafff!

Bloom dit: à

comme dans l’usage> comme l’usage…

f de bassan dit: à

De nos jours, peu importe qui prend la responsabilité de gouverner, et tout le monde se prétend éducateur. Quant aux psychanalystes, Dieu merci, ils prospèrent, comme les mages et guérisseurs. Proposer aux gens de les aider signifie un succès assuré, et la clientèle se bousculant à la porte. La psychanalyse, c’est autre chose.
LACAN juste ici comme un maillon de la divine comédie ( sur le mag litt )

des journées entières dans les arbres dit: à

Un épouvantail est un mannequin, le plus souvent fait d’une armature de bois ou d’osier et recouvert de haillons de manière à ressembler à un être humain, que l’on dresse dans un jardin ou dans un champ pour effrayer les oiseaux et les empêcher ainsi de dévorer les graines et les fruits. Pour les oiseaux, l’épouvantail était tantôt un repoussoir, tantôt un perchoir.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pouvantail

os court je me noie dit: à

JC a beau varier les pseudos (décodage honnête, corsica news…), il est toujours aussi chiant.

Titres et pains perdus dit: à

John Cage Pour les oiseaux

Quel auteur et quel titre!!!

Titres et pains perdus dit: à

J’ appartiens à Alechinsky, édité chez Denoël 1965.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…propos & commentaires!,…

…encore aux déesses aux serpents de Crêtes,!…
…nous en sommes complémentaires à quels niveaux!,…qualité venons!,…miels,…soie,…
…la culture,…au biberon des Dieux!,…tient!…etc!,…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…qualités  » venins « !,…profits of course!,…

IFOP dit: à

os court je me noie,
votre opinion sur JC est partagée par 7% des erdéeliens qui le trouvent chiant, a contrario 56% l’apprécient, NSP pour 37%.

des journées entières dans les arbres dit: à

Le bon point (parfois abrégé BP) est un système de récompense, généralement matérialisé par la distribution de petits coupons, appelés les bons points.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bon_point

ici Londres dit: à

oui, JC de plus en plus chiant, de plus en plus capon car embusqué, quel courage ce malotru mal au cul, glou glou glou lui au moins il assure dans le vomi perpétuel, JC n’est qu »un FAQUIN

IFOP dit: à

ici Londres,
votre opinion sur JC est partagée par 7% des erdéeliens qui le trouvent chiant, a contrario 56% l’apprécient, NSP pour 37%.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Un peu dubitatif quand même, j’ai imprimé sur bristol et découpé soigneusement mes jolis bons points, les ai placé dans une boîte transparente et brillante, et j’ai amené le tout dans ma classe.

Dès le départ : gros intérêt de la part du « public ». Certains « médaillés » prenant soigneusement leur temps pour choisir d’un air grave le petit personnage rigolard.

Cette histoire aurait pu s’arrêter à cette anecdote. Si cela avait été le cas, elle n’aurait pas mérité un article.

Mais voilà, j’ai eu une surprise. Non, deux surprises. »
http://www.tilekol.org/bons-points

f de bassan dit: à

distinguons paroles et écriture
les mots justes?

En psychanalyse les termes «malade», «médecin», «remède» ne sont pas plus justes que les formules au passif qu’on adopte communément.

f de bassan dit: à

Tandis que le réel, comme un oiseau vorace, ne fait que de se nourrir de choses sensées, d’actions qui ont un sens.

lacan sur le mag litt

f de bassan dit: à

petit lunch chez colibri
lacan » La science se substitue à la religion, et elle est autrement plus despotique, obtuse et obscurantiste. Il y a un dieu-atome, un dieu-espace, etc. Si la science gagne ou la religion, la psychanalyse est finie. »

f de bassan dit: à

bon à rien
j’ai toujours eu l’intuition que j’étais un bon atout :
lacan l’a dit
La sexomanie envahissante n’est qu’un phénomène publicitaire. La psychanalyse est une chose sérieuse qui concerne, je le répète, une relation strictement personnelle entre deux individus : le sujet et l’analyste. Il n’existe pas de psychanalyse collective comme il n’y a pas des angoisses ou des névroses de masse.

IFOP dit: à

Notre dernière enquête révèle deux curiosités.

A la question « le Blog de Pierre Assouline est-il comparable à l’Almanach de Goettingue dont Georg Lichtenberg fut rédacteur en 1777 ? », le résultat est clair : 100% des personnes interrogées considèrent que Passou est le Lichtenberg actuel, par bonheur physiquement moins tordu que l’ancien.

L’une des personnes interrogées rappelle en commentaire une jolie réflexion, la note K52 tirée du carnet K 1793-1796, note que voici :

« Les livres devraient être imprimés aussi petits que l’esprit qu’ils contiennent. »

Un autre individu, insulaire estimé, souligne que, s’il en était ainsi des commentaires en RdL, l’usage de la molette de souris en serait grandement réduit …

f de bassan dit: à

le divan en plumes de colibri, c’était pour Flaubert.
alrs pas de paté de grive Montboissier au dîner

L’analyse du texte Combourg, de Chateaubriand (Mémoires d’Outre-Tombe). … Il a été écrit au château de Montboissier en 1817

Onésiphore de Prébois dit: à

100% des personnes interrogées considèrent que Passou est le Lichtenberg actuel (IFOP)

Sans chercher aucunement à minimiser le talent d’Assouline, je trouve l’éloge excessif, voire malveillant (pour lui). Il n’est pas un spécialiste de l’aphorisme, au contraire, sa faconde naturelle exige un espace pas trop restreint. Et puis, Lichtenberg est un incomparable génie de l’humour, encoe trop peu lu en France, après plus de deux siècles. Qui a lu Lichtenberg, levez la main.

Onésiphore de Prébois dit: à

Il n’existe pas de psychanalyse collective comme il n’y a pas des angoisses ou des névroses de masse. (Jacques Lacan)

Ouf ! au prix où il facturait ses séances d’analyse, c’était la banqueroute nationale assurée !

Onésiphore de Prébois dit: à

lacan » La science se substitue à la religion, et elle est autrement plus despotique, obtuse et obscurantiste. Il y a un dieu-atome, un dieu-espace, etc.

Encore une assez grosse lacânerie

Sergio dit: à

Ha ben voilà Bösendorfer c’est Yamaha… Du solide ! Het ça bombe hein ! Pour la cinquante-trois de Chopin…

Onésiphore de Prébois dit: à

… disparition de l’écriture manuscrite sans doute pour demain, elle deviendra peut-être une option comme le latin et le grec. (Des journées)

Je n’y crois pas. Elle aura toujours pour la sauver son incomparable dimension narcissique. Et puis, a-t-on suffisamment médité les connotations puissamment érotiques de l’expression « coucher sur le papier » ?

Onésiphore de Prébois dit: à

lacan » La science se substitue à la religion, et elle est autrement plus despotique, obtuse et obscurantiste. Il y a un dieu-atome, un dieu-espace, etc.

Quand on lit une déclaration telle que celle-ci, dans le style lapidaire dont l’éminent Lacan avait le secret, on se dit que de pareilles énormités devraient faire douter du génie du grand homme qui, entre autres simplifications simplistes, omet de rappeler la distinction entre savoir et croyance. et la

Onésiphore de Prébois dit: à

Et la psychanalyse elle-même, est-elle dans le camp de la science ou dans celui de la croyance? Ni dans l’un ni dans l’autre, aurait sans doute répondu Lacan. Dans le camp de la spéculation ? Au mieux…

Sergio dit: à

D’un autre côté, ces volatiles, bien rôtis…

Priapus Pontifex dit: à

Au nom de quel argument raisonnable le Conseil d’Etat devient-il tueur d’homme par la faim et la soif ?

Hilarant …. Aux fous !

Onésiphore de Prébois dit: à

Au nom de quel argument raisonnable le Conseil d’Etat devient-il tueur d’homme par la faim et la soif ?

Hilarant …. Aux fous ! (Priapus Pontifex)

Le Conseil d’Etat a rendu la plus sage décision qui soit, et qui l’honore. Et qui va faire jurisprudence, au risque de faire s’étouffer de rage quelque fanatiques.

Priapus Pontifex dit: à

Affirmation gratuite…la « sagesse » !

Qu’est le Conseil d’Etat pour tuer un homme de sang-froid ? Quel est le motif de l’arrêt de mort ?

Si c’est la famille, attention aux décisions de Josette…

Widergänger dit: à

La méthode Hamon, c’est même LA méthode gros con. Là, mes petits chéris, on est mal barrés avec le père Hamon aux manettes de l’EDUC. NAT. C’est vraiment une époque de très gros cons.

Au bac, en sciences, en fin de Première, le sujet qui est sorti sur la choucroute (mais oui !, vous avez bien lu, sur la choucroute à l’épreuve de sciences SVT fin de Première, parallèlement au bac français) a été pris sur Wikipédia…! Validé en commission par l’inspecteur de service ! L’EDUC. NAT. est devenu une véritable usine à gaz ! Il circule en plus sur la toile une pétition pour annuler l’épreuve de mathématiques pour le bac Terminale S parce que l’épreuve de maths était quasiment hors programme…

Et ce connard de ministre trouve que l’évaluation est inadaptée. Mais il se fout carrément de notre gueule !

Mes petits chéris, c’est la décadence, la vraie, la vraie de vraie…!

Widergänger dit: à

Ah oui, je ne vous ai pas tout dit. La pétition a recueilli plus des dizaines de milliers de signatures !

Ce connard de ministre a demandé de revoir le barème de notation ?????

On nous prend pour des cons, c’est clairs, mes chéris ! Vous me direz, il n’y a pas que le ministre que prend les profs pour des cons. Vous aussi ! Ainsi va le monde, mes petits chéris, mes petits agneaux si doux !

Onésiphore de Prébois dit: à

Qu’est le Conseil d’Etat pour tuer un homme de sang-froid ? Quel est le motif de l’arrêt de mort ? (Priapus Pontifex)

Le conseil d’Etat a dit la Loi. L’homme qui va mourir (qui est sans doute déjà mort), était en état de mort clinique depuis des années. Il ne s’agit en rien d’un « arrêt de mort », puisque la mort avait déjà, depuis longtemps, fait son oeuvre, mais d’une acceptation de l’inéluctable. D’une soumission humblement humaine à un inéluctable qui nous dépasse, comme il dépassait déjà l’Oedipe de Sophocle. Comme dit à peu près le médecin du « Roi se meurt » d’Ionesco, en se retirant à la fin de la pièce sur la pointe des pieds : je ne suis que le représentant de la médecine qui ne fait pas de miracles.

Respect pour la douleur des parents : certes, leur croyance absurde à la possibilité du miracle fait d’eux des témoins d’une époque pré-scientifique révolue. Mais ce sont aussi des personnages vraiment tragiques, dans leur refus forcené de l’inéluctable; se heurter à l’inéluctable et s’y briser, c’est être dans le tragique. La loi dite par le Conseil d’Etat donne existence concrète à une forme de l’inéluctable. Elle nous rappelle que le tragique existe, et le tragique moderne est un tragique sans dieu, donc sans miracle. L’espoir n’est pas un concept moderne, comme l’avait déjà rappelé l’Antigone d’Anouilh. Nous n’avons pas besoin de l’espoir. L’espoir n’a jamais sauvé aucune vie humaine. Nous avons besoin de l’action guidée par le savoir et la raison.

Peut-être Priapus Pontifex va-t-il s’atteler à la rédaction d’une pièce inspirée par ce fait-divers, dans la droite ligne de la tragédie grecque. On lui souhaite beaucoup d’inspiration et bonne chance.

Widergänger dit: à

Ah ! y donnerait, tiens, le père Prébois dans une dissert d’agrèg sur le tragique…! Ah, y vous balancerait sans sourciller l’idée de miracle dans le tragique sans sourciller, lui ! Y regarde pas à la dépense…

Widergänger dit: à

« …l’action guidée par le savoir et la raison…! (le père Prébois)

Ah, bah ! Tout ça pour ça !

Priapus Pontifex dit: à

« Nous avons besoin de l’action guidée par le savoir et la raison. »

Oui ! Et vous aussi, Onésiphore … car rien ne me convainc, et je suis pourtant tout autant du coté du savoir et de la raison que vous ! Et agostique.

En l’absence de volonté claire du vivant, le Conseil d’Etat décide un meurtre. Un meurtre d’Etat…

Widergänger dit: à

Ah, dis donc, doudoudisdon, en voilà un qui est « agostique » ! Je dirais même plus, il est agogostique…!

Ciboulette dit: à

t’as l’ait malin JC avec tous tes pseudos à la plus con tu meurs, pov’ mec découillu

Widergänger dit: à

Oh, ben, woui, t’a lai malin alo…

Onésiphore de Prébois dit: à

Oui ! Et vous aussi, Onésiphore … car rien ne me convainc, et je suis pourtant tout autant du coté du savoir et de la raison que vous ! (Priapus Pontifex)

Priapus Pontifex, je crois reconnaître, autant que le style, les convictions de quelqu’un déjà croisé sur ce blog. Mais qui ? Mais qui ?
Lisez sur le site du « Monde.fr » les déclarations des médecins de Vincent Lambert après la décision du Conseil d’Etat. Le Conseil de l’Ordre, lui, ferait bien de s’alarmer des déclarations de l’avocat des parents.

Widergänger dit: à

Qu’est-ce qu’on se marre en regardant le zapping !

Patrick Sébastien interpelle en direct Fr. Hollande : « Mon petit chéri, qu’il lui a dit en direct, on se tutoie depuis dix ans (pourquoi dix et pas neuf ou onze ? y doit les compter les années) tu m’as toujours dit que tu mettrai l’humain au centre de tout… »

Un type qui sort de l’ENA qui veut mettre « l’humain » (faut voir la gueule du concept, hein…!) au centre de tout ! On croit rêver…

Ah, y font fort les bisounours maintenant ! Il est pas sorti de l’ENA le Patrick, mais — et c’est moi qui vous le dit WGG —, il est au top du top dans le top ten. Je ne vous dis pas le top ten de quoi, je vous laisse deviner, mes petits chéris. Mais je suis sûr que vous m’aurez compris à demi mot…

Entre Patrick Sébastien, Benoît Hamon et Hollande, ça fait une sacrée équipe…! La France est au plus haut niveau de son histoire…

Priapus Pontifex dit: à

Comment faire gagner au Brésil une équipe sud-américaine, Uruguay, contre une équipe européenne difficile, Italia ?

Facile … Il suffit de payer l’arbitre mexicain pour qu’il expulse un Italien ! Ainsi URUGUAY gagne par 11 joueurs, contre 10 à l’ITALIA !…

Le football est un sport d’argent…

D. dit: à

Je connais quelques énarques, Michel, et je puis vous assurer que ces personnes sont profondément humaines, mais ne savent pas bien faire les choses trop simples. Le problème se situe à ce niveau.
Or gérer la France est simplissime :
– sortir de l’Europe
– fermer et surveiller les frontières
– dévaluer le Franc
– établir une préférence nationale en toutes choses

D. dit: à

Ce soir, je mange bifteck haché 5 % de mg et tomates bio à la poêle, assaisonnées de poudre d’amande, d’huile d’olive, d’ail et persil plat.

VU A LA TELE dit: à

Au journal de 20 heures, le nouveau système envisagé de notation:

Tu fais une dictée et tu as 4 énormes fautes. Noté sur 5 tu aurais normalement 5-4=1. Comme cela découragerait trop les petits chéris, on va compter en positif les non fautes d’accord, par exemple 3 bons accords. Tu auras 5-4+3=4 sur 5 au final. Si tu as 4 bons accords tu auras donc 5 sur 5 et tes fautes seront inexistantes, miraculeusement disparues. Pourquoi se fatiguer?

Quand j’ai vu cela, j’ai cru que c’était la blague d’un successeur de Raymond Devos ou de Pierre Dac.

D’accord avec WG; ces pédagomanes sont fous, fous à lier!

Sergio dit: à

D. dit: 24 juin 2014 à 21 h 00 min
Or gérer la France est simplissime :

Déjà on peut récupérer la Louisiane… La rive gauche du Rhin les cent trente départements… Pour l’Algérie et l’Indo on envoie trois types résolus ça devrait suffire…

Onésiphore de Prébois dit: à

Or gérer la France est simplissime :
– sortir de l’Europe
– fermer et surveiller les frontières
– dévaluer le Franc
– établir une préférence nationale en toutes choses (D)

Avec D, on ne sait jamais si on a affaire à de l’humour au second degré ou si Mme Le Pen l’a effectivement engagé dans son brain-trust. Je retourne écouter Renaud, savoir ce qu’il pense de ce beau programme.

Sergio dit: à

Oui enfin ces trucs ça va dans les réacteurs, hein !

Pablo75 dit: à

@ de nota

Il y a plein d’autres oiseaux dans la musique classique: dans « La Création » de Haydn, dans la Sixième symphonie de Beethoven, dans « Les Quatre saisons » de Vivaldi…

Pablo75 dit: à

C’était « Le quart d’heure des volatiles en goguette chez Passou ».

D. dit: à

Vous êtes l’une des plaies de ce blog, pablo.

D. dit: à

Onésiphore, je le mets dans le même sac. Celui de ceux que vous leur donnez un espace de commentaires, et ils commentent, ils commentent, n’importe comment, n’importe quand, parce qu’ils en ont le droit.

D. dit: à

et l’autre qui se met à causer espagnol pour se rendre intéressant. comme si j’allais sur un blog espagnol causer français pour faire le malin…

D. dit: à

Tiens je vais aller sur un blog espagnol causer français pour faire le malin, juste histoire d’essayer pour voir comment je serai reçu.

Réparateur de trous en tous genres dit: à

Nos services sont à votre disposition, monsieur D., et nos tarifs sont raisonnables.

L'avocat de JC dit: à

Ciboulette dit: 24 juin 2014 à 19 h 13 min
« t’as l’ait malin JC avec tous tes pseudos à la plus con tu meurs, pov’ mec découillu »

Mademoiselle Ciboulette, nous comprenons votre désarroi, après tant d’années de solitude !

Notre client « découillu », mais avant lui le Comte de Court, a connu une panne bien compréhensible ce qui arrive parfois aux plus compétents de nos membres actifs lorsqu’ils sont confrontés à une épreuve insurmontable…

Afin d’éviter à l’avenir ces déceptions, ne pourriez vous envisager un lifting géant ? une remontée de paupières ? un arrimage de seins ? une consolidation de fessiers ? la pose d’un nouveau dentier ? le traitement de votre haleine fétide ? …. et par dessus tout, une perte de poids ? (45 kilos, ce serait parfait)

Bien à vous et bonne chance pour l’avenir proche…

ueda dit: à

Benoit est un âne qui a naguère connu le bâton.
Normal qu’il demande sa mise au rencard.

Ciboulette dit: à

pour mettre tout le monde d’accord sur les oiseaux et leur chant: le plus beau celui de CHARLIE « BIRD » PARKER, grandiose, faites votre choix sur youtube, il y en a tout plein. Cela vous changera des Hahneries chères au p’tit Court (sur papattes)

Ciboulette dit: à

à l’avocacat de JC : je ressemble à Scarlett Johansson, ça vous plaît ?

Priapus Pontifex dit: à

Ciboulette,
Cultivés à l’extrême, nous connaissons bien votre Bird et des tas d’autres zoziaux ! En passant : vous suivez un régime anti-Court pour maigrir ?

Ciboulette dit: à

voui, JC, c’est pour cela que je suis à l’image de la Scarlett, voilà

L'avocat de JC dit: à

Scarlett Johansson est une belle perruche, une oiselle qui me plait…

Malheureusement, je ne lui plait pas, étant bancal, bossu, borgne, bavard, balourd, binaire et bien élevé.

ornito dit: à

les canards sont-ils des oiseaux?

Patricia Sturmwangler dit: à

ornito dit: 25 juin 2014 à 11 h 19 min
« les canards sont-ils des oiseaux? »

Qui a pu vous faire croire une chose pareille ! Ce sont des poissons, des poissons volants.

renato dit: à

Un qui est bavard ne peut pas être bien élevé.

ici Londres dit: à

plus de nouvelles de boudegras; les AAA pensent qu’il est à l’hostoto suite à une manipulation de son gode ceinture qui lui a pété la sous-ventrière

Zoologue dit: à

Révisez vos connaissances ! Les canards ne sont pas des poissons. Ce sont des batraciens.

rappel dit: à

les canards ne sont ni des poissons ni des batraciens, ce sont des reptiles palmipèdes.
la preuve: ils sont ovipares comme l’ornithorinque, qui est un lézard sauteur.

Jean-Patrick de Roekflucht dit: à

N’importe quoi ! Les canards sont des poules mâles.

ici Londres dit: à

non non non, les vrais canards qui se font canardés ici sont JC, bougros et l’épicétou

Jean-Patrick de Roekflucht dit: à

En fait, les canards sont un mythe. Ils n’existent pas. De même qu’il n’existe pas de poule mâle.

TKT dit: à

Bref, Ciboulette le travesti-burlesque se déguise en muse de Woody Allen.

Jean-Patrick de Roekflucht dit: à

J’ai vu des canards, un jour, au square des Batignolles. C’était une hallucination, bien sûr, c’est à ça qu’on reconnaît les mythes.

Jean-Patrick de Roekflucht dit: à

On pourrait penser que TKT est également un mythe, si Jacques Barozzi ne l’avait rencontré. Mais comme Jacques Barozzi est lui-même un mythe…
Quant à moi, je dois l’être aussi, puisque TKT va m’accuser d’être HR, ou D., ou JC. Certes, je sais que TKT est un mythe, mais, pour qu’un mythe m’accuse de quoi que ce soit, il faut probablement que je n’existe pas, comme dirait renato.

Jean-Patrick de Roekflucht dit: à

Et, si je n’existe pas, je peux dire ce que je veux, c’est bonnard.

TKT dit: à

Sergio, première urgence récupérer la Louisiane, puis donner D. et sa Martine Le pen, aux alligators.
Amusant, D.bile voudrait dévaluer le franc, il ne précise pas mais je pense qu’il pensait au FFR, devise n’existant plus depuis quelques années. À moins qu’il veuille parler des monnaies de nos départements d’outre-mer ?

f de bassan dit: à

L’oiseau vermillon du Sud (chinois : 南方朱雀, pinyin : nán fāng zhū què) est l’un des quatre animaux totem des orients et du zodiaque chinois. Il ne doit pas être confondu avec le Fenghuang, le phénix chinois. En effet, le Fenghuang règne sur tous les oiseaux du monde terrestre tandis que l’oiseau vermillon est un esprit qui demeure dans le ciel. Il est aussi appelé par les Japonais Suzaku (朱雀?, « phénix rouge chinois »).

Zoologue dit: à

Vous faites erreur, f de bassan, ce n’est pas 朱雀 mais 方雀.

f de bassan dit: à

révisions pour les bons points

Selon une histoire célèbre, Elicha ben Abouya aurait été l’un des quatre rabbins à entrer au paradis. Il en est sorti vivant, mais il a rompu avec le judaïsme. Il est devenu Aher, l’autre. Pourtant les rabbins ne lui ont pas retiré leur admiration. R. Meïr, l’un des principaux rédacteurs de la Michna, a été son élève. D’ailleurs sa rupture avec le judaïsme avait commencé bien avant, un jour où il a vu un homme et son fils passer devant un nid d’oiseau. Le fils a respecté la prescription biblique. Il a renvoyé la mère et pris les oisillons. Mais une branche s’est cassée, et le fils est mort. Dans cette version de l’histoire, Elicha s’écrie alors : « Est-ce là la tora? Est-ce là sa récompense? Il semble bien qu’il n’y ait ni rémunération ni résurrection! ». Elicha constate la cassure. Il y a le monde et il y a le texte;

http://www.idixa.net/Pixa/pagixa-0911182128.html

renato dit: à

On ne renvoi pas la mère ni touche aux oisillons… on est pas des barbares…

renato dit: à

Ecoutez plutôt les oiseaux avant d’écouter Messiaen, il y a la possibilité que vous compreniez quelque chose… je dis « la possibilité »… mais ce n’est pas sûr… ni joué, par ailleurs…

f de bassan dit: à

la cause des oies Mouillaud Geneviève
ED :Nadaud
auteur que j’ai connue en son atelier d’écriture:
comme j’avais écrit
« je ferai la tortue
je passerai des nuits ….. »
elle a tiqué , effrayée : non mais comme si je n’avais plus droit à mes fantasmes !

zip dit: à

f de bassan dit: 25 juin 2014 à 14 h 04 min
comme j’avais écrit
« je ferai la tortue
je passerai des nuits ….. »
elle a tiqué , effrayée

On la comprend : c’est extrêmement effrayant.

renato dit: à

« ….. »

Trop long pour être un sous-entendu ; une suspension du discours ; une omission volontaire ; une hésitation, ou une coupure impromptue de la parole.

Trop court pour être un ex silentio.

zip dit: à

renato dit: 25 juin 2014 à 13 h 58 min
il y a la possibilité que vous compreniez quelque chose… je dis « la possibilité »… mais ce n’est pas sûr…

Nous ferons un effort, c’est promis.

renato dit: à

« Nous ferons un effort, c’est promis. »

Je compte sur vous.

Révérend Père O. de Prébois dit: à

sur la complexe question des canards, on n’omettra pas de lire ou de relire « Le Canard sauvage » d’Ibsen; ce canard devient une cane dans la traduction de la Pléiade. Je m’en fous, je ne sais pas le norvégien.

Sergio dit: à

N’empêche que si on les outre, ça fait comme le F-104, ça peut pas voler…

TKT dit: à

Sergio, les F 104 s’envolaient très bien, parfois par contre, ils tombaient.
Je ne connais pas les détails, je crois que cela est surtout arrivé aux F 104 de la Flugwaffe de la Bundeswehr.

Sergio dit: à

TKT dit: 25 juin 2014 à 14 h 59 min

Je ne connais pas les détails, je crois que cela est surtout arrivé aux F 104 de la Flugwaffe de la Bundeswehr.

Ce serait d’une grande simplicité, et limité en fait à ceux de reconnaissance : on leur aurait bourré le nez de lourdes caméras, ce qui rendait leur centrage à peu près aussi hypothétique que celui du Concorde…

Deneb dit: à

Thierry est un spécialiste de renommée mondiale du F-104, ne l’oublions pas.

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