Quel tohu-bohu métaphorique !
Pierre Lazareff avait coutume de dire qu’un bon papier est un papier qui arrive à l’heure. Dans le même esprit, on serait tenté de dire qu’un bon dictionnaire est un dictionnaire dans lequel on peut chercher avant même d’être celui dans lequel on peut trouver. C’est la limite du Livre des métaphores (1120 pages, 30 euros, Bouquins/ Robert Laffont) de Marc Fumaroli, de l’Académie française, professeur au Collège de France et spécialiste des rhétoriques antique et moderne (et aussi Pierre-François Burger si l’on en juge par la formule des remerciements qui lui rend hommage) relu ces jours-ci quelques années après sa parution pour le plaisir d’y picorer.
L’érudition de l’auteur n’est pas en cause, non plus que la richesse de ses trouvailles. Le problème est dans le classement thématique : « L’Univers anciens, astrologie et astronomie », « Le temps qui passe et les âges de la vie », « Le corps sémaphore », « La vie à la ferme, « Le cheval et son monde », « Le demeure urbaine » etc Quelle drôle d’idée ! Vraiment pas le genre de Bouquins dont le catalogue et la réussite témoignent du sens du pratique. Or rien n’est moins commode que ce livre qu’on aimerait tant aimer mais que son rangement rend si peu aimable. A moins de connaître à l’avance à quelle catégorie se rattache la métaphore que l’on cherche (seul Pic de La Mirandole devrait y parvenir), on ne peut s’en sortir. « Tirer son épingle du jeu », vous le cherchez où ? Je ne sais plus. Pour « Une douche écossaise », voyez à au chapitre « Médecine ». Et « Laver son linge sale en famille » ? Celui-ci au chapitre « Cuisine, aliments »… Et « Se refaire une virginité « ? Celui-là, c’est au chapitre « Chimie et pharmacopée anciennes ».
Ah bon… Impossible de s’y retrouver, sauf quand c’est évident, ce qui arrive tout de même assez souvent, soyons justes (« Reprendre du poil de la bête » au chapitre « Animaux »). Marc Fumaroli dira qu’il a composé un lexique et non à proprement parler un dictionnaire. Question de vocabulaire, on ne va s’envoyer des lemmes à la figure ! Lexique ou dictionnaire, c’est tout un : même si celui-ci est sous-titré « Essai sur la mémoire de la langue française », il ne se lit évidemment pas en continu comme un essai ; on y pioche, on y pique, on s’y balade par sauts et gambades, souvent avec bonheur ; mais quant à y trouver ce qu’on y cherche, Tintin ! Dans sa préface, Marc Fumaroli rend à juste titre ses lettres de noblesse à la métaphore en lui accordant « le charme des citations poétiques ».
Les métaphores, il les chasse depuis longtemps non pour les mettre en fuite mais pour les attraper dans son filet à papillon et les conserver. Comment avaient procédé ses prédécesseurs pour ranger « Rompre le charme », « Graisser la patte », « Avoir le couteau sous la gorge », « jeter le froc aux orties », « Enfiler des perles »? Le lexicographe Alain Rey avait fait un classement classique par ordre alphabétique, et Claude Duneton un classement thématique. Marc Fumaroli juge le classement alphabétique« fort abstrait, en contradiction avec la nature, concrète, visuelle, sensuelle, imaginative et ironique de ces expressions verbales ou locutions adverbiales ». Il a donc opté pour un classement par champs sémantiques ; il a parié sur l’intelligence du lecteur en supposant que sa mémoire a emmagasiné « références tacites et points de comparaison cachées ». Il a tort. Non qu’on se perde dans son livre. Pire encore : on ne s’y retrouve pas. Ce qui est d’autant plus râlant qu’il est d’une grande richesse (même si dans les nombreux exemples choisis pour illustrer l’usage de telle ou telle métaphore, on est parfois surpris de trouver Métro, journal gratuit dont les qualités d’écriture nous transportent rarement, aux côtés de Joachim du Bellay).
Ceux qui ignorent que « Tohu-bohu » vient de l’hébreu n’auront jamais l’idée d’aller chercher dans « Ancien Testament » ! A noter une étrange absence : on cherche en vain un chapitre sur les métaphores sexuelles alors qu’elles abondent dans le langage courant, en littérature et en poésie. « Lever l’étendard »reste confiné au lexique de la guerre, et « Planter sa tente » ne sortira pas de l’itinéraire de Jérusalem (Ancien Testament) à Chateaubriand (Mémoires d’Outre-Tombe). Je suis bien tombé, tout à fait par hasard en « Histoire », sur une entrée « Discuter du sexe des anges », mais j’ai été plutôt déçu. Non parce que je m’attendais à quelque chose de sensuel. Le problème, c’est l’explication :
« Une légende veut qu’au moment où les Turcs du sultan Mehmet II forçaient en 1453 les défenses de Constantinople, les théologiens byzantins disputaient entre eux du sexe des anges. C’est un peu comme le vote des congés payés dans une France démobilisée face au réarmement hitlérien : une légèreté suicidaire ».
En revanche, question cheval, on est ferrés.
(« Une boutique aux Champs-Elysées, un dimanche de mars 2019 » photo Passou)
1 788 Réponses pour Quel tohu-bohu métaphorique !
Le soleil noir de la mélancolie.
Pierre qui roule n’amasse pas mousse.
@ Intéressante remarque, h., de 21.03 : « on fait des efforts pour que cette émotion survienne, mais là rien. – un peu comme ces histoires de neurones miroir ».
…ce qui arrive souvent « en public » dans un musée par ex. et que tu es avec qq’un d’enthousiasmé, pour « communier avec lui », et toi, non… Ce qui arrive à l’inverse, dans la solitude de l’obscurité, où quand te prend un excès d’émotion et de sensiblierie, tu peines à ravaler des larmes incoercibles alors que tu sais très bien qu’elles proviennent de parfaites ficelles niaiseuses du cinéaste et de sa musique pour les provoquer… – Là, pas de neurons-miroir ?… https://www.youtube.com/watch?v=iZ1P7NjY4hA
bon Ok, j’ai pigé le mécanisme, à peu près… – D’où vient alors cette certitude qu’un mec comme machin mente icite 99 fois sur cent, quand il cause de musique, même si on voit pas sa tronche de gros péteux mytho, mais qu’on le sent venir avec ses gros sabots, à 100 lieues à la rotonde ? – non, je cherche pas la guerre, juste à exprimer mes répulsifs pour le fun, je sens une ouverture, qu’ils sont peut-être un brin partagés. On peut toujours rêver, hein.
ça casse pas trois pattes à un canard
https://www.youtube.com/watch?v=7ozhx7TirRg
@ Et la vertu de l’intelligence comme seule source de l’autorité.
hélas, on a tant d’exemples icite de ses mauvaises utilisations…, qu’on finirait par faire l’apologie de l’imbécillité.
Bàv, r. – de tout coeur, ne pourrai non plus vous compagner au moulin de villeneuve, mais penserai à vous, sur mon autoroute du soleil.
La tombe de Gorki, et celle de Serge Poliakoff aussi rose. Aussi important que notre N. de S. mais bien moins connu.
Jazzi
Hier à 13h34
Merveille du latin mirabilis
Étonnement féerique
Le château demi debout demi en ruine
https://www.google.com/search?tbm=isch&source=hp&ei=rw0-XeSsBJGCjLsPz7G26AU&q=chateau+dubpetit+liré+&oq=chateau+dubpetit+liré+&gs_l=mobile-gws-wiz-img.3..30i10.3584.13117..14383…0.0..0.141.1534.20j2……0….1…….1..41j0j0i13.cv-_cF2I5SM#imgrc=qWhzJPbm_2_SxM
Jazzi
Mirabilia
Cf wiki
Le merveilleux (du latin mirabilia : « choses étonnantes, admirables ») se définit par le caractère de ce qui appartient au surnaturel, au monde de la magie, de la féerie.
Pas grave JJJ.
Suis prête.
Merci Pat V
Gorki
Et Poliakoff que je découvre, merci.
Zut et de crotte et de bique.
Pas si prête que ça.
Elsa et Aragon
https://www.maison-triolet-aragon.com/?gclid=EAIaIQobChMIse3C3MPY4wIVk4jVCh2ggwTsEAAYASAAEgJ5k_D_BwE
Le cimetière russe le matin.
:
–
D
http://www.lefigaro.fr/international/russie-le-principal-opposant-russe-alexei-navalny-victime-d-une-allergie-bizarre-20190728
😀
(celui avec les lacrymos)
Bon le cimetiere russe ouvre à 9h.
Il y a aussi Boulgakov et je propose le carré des cosaques du Don.
Néanmoins, non. Nous ne pourrons pas faire toutes les tombes.
Pat V, vous avez de la famille russe ?
En faire tout un plat.
De Charybde en Scylla.
La poire Belle Hélène.
Une Pavlova.
Les deux dernières ne sont pas des métaphores ?
Ah. Je m’entraîne.
Clopine, elle, dort comme un sonneur.
:
-D
😀
Voilà, et pour terminer après un gros bisou affectueux,
Mieux vaut deux vieux c..s adorables* que des jeunes loups prétentieux.
Croyez-en même rose
mémé rose (je m’ entraîne et le correcteur me refuse et me corrige).
Mon préféré a été Orage et désespoir.
Excellent.
Ça vaut Persona non Greta.
Le psaume 23 que Daniel Darc aimait et qu’il a mis en musique et chanté :
« Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer. Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ; il me conduit par le juste chemin pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi devant mes ennemis ; tu répands le parfum sur ma tête, ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent tous les jours de ma vie ; j’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours. »
Des paroles verbales disait Springsteen, non sans succès. (Pour le rapprochement avec Indochine, ne suis pas qualifié)
Tout ce qui est perdu est perdu.
Tout ce qui est volé est volé.
Le temps ne se rattrape guère.
Après, sont les miracles.
Très difficiles à obtenir lorsque les gens ne doutent pas.
Nous, les autres, rose & moi continuons la route. Doutons.
coup de balai tout doit disparaitre
Me réveille en pensant à la maison d’écrivain de Zola. À Médan.
Le temps n’est pas extensible.
Aurons-nous le temps ?
Entre temps, jardin extraordinaire, pas mal en jachère : hier, émerveillement total : de la petite véranda alignement rose
Foncé, hortensia, clair altéa, moyen autre altéa (vieux => des arbres) et devant rose pâle rosier.
L’harmonie dans son absolu.
Dans ma chambre, non refaite par la grâce de dieu, un papier peint ancien vert pâle et rose pâle, des fleurs, un jardin fleuri. Merveille de douceur.
À quelques pas, dorment Elsa et le fou d’elle.
Vais-y aller en éclaireur, accompagnée cet après-midi.
La grosse chaleur diminue.
Une tourterelle roucoule.
Ai dormi vitres grandes ouvertes.
Ciel bleu, le soleil se lève du côté de la chambre des amoureux.
Suis au soleil couchant, logique du temps qui passe, et ne fait rien à l’affaire.
En une nuit, ai accepté de ne pas recevoir, mais de donner. Rencontrerai donc cette famille nouvelle. Et ne bouderai pas. Laissons cela à la charcutaille.
Surtout, ne pas admettre ni vivre un prêté pour un rendu. La radinerie ostentatoire.
Continuer à distribuer à foison ; en veux-tu, en voilà.
Avaler les kilomètres.
Ne pas virer sa cuite.
Battre la campagne.
donner son billet !!!!
Ne pas virer sa cutie.
Si le correcteur inculte et automatique croit emporter le bout de gras.
Y a de la ressource sous la pédale.
Bonne journée
Courir le guilledou.
Grimper aux branches.
Voir midi à sa porte.
Advienne que pourra.
Et vienne qui pourra.
Bonne journée.
Pour moi, jardin.
« Le temps ne se rattrape guère. »
D’où la nécessité de le perdre.
virer sa cutie, peut-être
« En revanche, question cheval, on est ferrés. »
comme dirait Leo.
ruer dans les brancards
chanter manon sur l’air de la TOSCA
Un déjeuner de soleil
Un petit en langue étrangère
Conosci te steso
Modernité de Bach
Ecoutez le premier mouvement Sinfonia de cette cantate ;
https://www.youtube.com/watch?v=YNjAHgMMsFs
Et maintenant Roger Glover
Rester pompette ad vitam pour ne pas virer sa cuite. Y’en a qui.
La journée au jardin des groseilles et des rhubarbes à la place du lundi, mmmh 🙂
Et un verre de vin aux St Jean des Entommeures de la rdl, sparisti !
——
Ce disant, il mit bas son grand habit, et se saisit du bâton de la croix, qui était de cœur de cormier, long comme une lance, rond à plein poing, et quelque peu parsemé de fleurs de lys toutes presque effacées. Il sortit ainsi en beau savon, mit son froc en écharpe, et de son bâton de la croix donna brusquement sur les ennemis qui sans ordre, ni enseigne, ni trompette, ni tambourin, parmi le clos vendangeaient. Car les porte-guidons et porte-enseignes avaient mis leurs guidons et enseignes à l’entrée des murs ; les tambourineurs avaient défoncé leurs tambourins d’un côté, pour les emplir de raisins ; les trompettes étaient chargées de moussines ; chacun était dérayé.
Il choqua donc si raidement sur eux, sans dire gare, qu’il les renversait comme porcs, frappant à tors et à travers, à la vieille escrime. Aux uns il escarbouillait la cervelle, aux autres rompait bras et jambes, aux autres disloquait les spondyles du col, aux autres démolissait les reins, aplatissait le nez, pochait les yeux, fendait les mâchoires, enfonçait les dents en gueule, abattait les omoplates, meurtrissait les jambes, décrochait les hanches, déboîtait les bras…
Si quelqu’un se voulait cacher entre les ceps, il lui froissait toute l’arête du dos, et l’éreintait comme un chien.
Si un autre voulait se sauver en fuyant, à celui-là il faisait voler la tête en pièces par la commissure lamdoïde ; si quelqu’un grimpait dans un arbre, pensant y être en sûreté, il l’empalait de son bâton par le fondement.
Si quelqu’un de sa vieille connaissance lui criait : — Ah ! frère Jean, mon ami, je me rends ! — Il le faut bien, disait-il, mais en même temps tu rendras l’âme à tous les diables ; et soudain lui donnait dronos ; et si quelqu’un assez téméraire osait lui résister en face, c’est là qu’il montrait vraiment la force de ses muscles, car il leur transperçait la poitrine par le médiastin et par le cœur. À d’autres, donnant au-dessous des côtes, il subvertissait l’estomac et ils mouraient aussitôt. Il frappait si fièrement les autres par le nombril qu’il leur faisait sortir les tripes… Croyez que c’était le plus horrible spectacle qu’on vit jamais.
Les uns criaient sainte Barbe ; les autres saint Georges ; les autres sainte Nytouche ; les autres Notre-Dame de Cunault, de Lorette, de Bonnes-Nouvelles, de la Lenou, de Rivière. Les uns se vouaient à saint Jacques, les autres au saint suaire de Chambéry ; mais il brûla trois mois après sans qu’on en pût sauver un seul brin ! les autres à Cadouin ; les autres à saint Jean d’Angely ; les autres à saint Eutrope de Xaintes, à saint Mesme de Chinon, à saint Martin de Candes, à saint Clouaud de Sinays, aux reliques de Jourezay, et mille autres bons petits saints. Les uns mouraient sans parler, les autres parlaient sans mourir, les uns se mouraient en parlant, les autres parlaient en mourant, les autres criaient à haute voix : — Confession, confession, confiteor, miserere, in manus.
————
lalettre de Books ce matin
The Knowledge Illusion: Why We Never Think Alone, de Steven Sloman et Philip Fernbach, Riverhead Books, 2017.
C’est mieux en live, Delaporte !
https://www.youtube.com/watch?v=Gd2HRawy_gs
sparisti ! spirasti spumante
Encore pour Lavande (la partie dialoguante est un mélange de divers dialectes : lombard, vénitien, romain, napolitain, etc.).
Carlo Emilio Gadda, Il primo libro delle favole
— I passeri —
Il passero, venuta la sera, appiccò lite a’ compagni da eleggere ognuno la su’ fronda, e ‘l rametto, ove posar potessi. Un pigolio furibondo, per tanto, fumava fuori dall’olmo: ch’era linguacciuto da mille lingue a dire per mille voci una sol rabbia.
Da un’aperta finestra dell’episcopio com’ebbe udito quel diavolìo, mosignor Basilio Taopapagòpuli arcivescovo di Laodicea se ne piacque assaissimo: e dacché scriveva l’omelìa, gli venne ancor da scrivere: «Insino a’ minimi augellini, con el vanir de’ raggi, da sera, ei rendono grazie all’Onnipotente, e implorando con le loro flebili voci il Suo celeste riparo contro la paurosa notte sopravvenente, richinano il capetto sotto l’ala, e beati e puri s’addormono».
Ma i glottologi del miscredente Ottocento sostengono che quel così rabbioso e irriverente schiamazzo che vapora fuor da ogni fronda dell’olmo non è se non:
– di sò, al mi barbazzàgn, fatt bèin in là…
– ditt con me?
– propri con te, la mia fazzòta da cul!
– mo fatt in là te, caragna d’un stoppid…
– t’avei da vgnir premma, non siamo mica all’opera qui.
– sto toco de porseo…
– va a remengo te e i to morti…
– quel beco de to pare…
– e po’ taja, se no al mak el grogn, … tel digh me…, a te stiand la faza…
– levate ‘a ‘lloco, magnapane a tradimento!…
– né, Tettì, un fa o’ bruttone…
– puozze sculà
– ‘sta suzzimma, ‘e tutte ‘e suzzimme!
– piane fforte ‘e loffie!
– a tte te puzza ‘u campà!
– lèati, porco, ‘e cc’ero prima io…
– … sciu’ ‘a faccia tua…
– chiàveco!…
– sfacimme!
– recchio’, te ne metti scuorno o no!
– è ‘ttrasuta donn’Alfunsina!
– e cc’ero io, maledetta befana, costassù costì l’è la mi casa!
E altre finezze del trobàr cortese.
sur slate ce matin
Imposer un tabou garantit que nous n’apprendrons jamais ce que nous avons besoin de savoir
@ MC, si vous l’aviez manqué, mais je ne crois pas… http://www.frequencemedievale.fr/les-coulisses-du-nom-de-la-rose/
@ « Imposer un tabou garantit que nous n’apprendrons jamais ce que nous avons besoin de savoir » /// Dégorgée de son contexte, une phrase bien difficile à comprendre. A quoi bon essayer ?
@SV de 8.16, une cantate nuptiale !?… Allez vous à la noce un lundi ?
@Soleil vert dit: 27 juillet 2019 à 14 h 41 min
Vous écriviez : « La taxinomie a ses limites. C’est le type d’ouvrage fourre-tout où l’on plonge au hasard pour le plaisir de la découverte, le hasard des rencontres en quelque sorte … »
J’ai réfléchis longtemps à votre impatience devant la manie des classements et votre sauve-qui-peut se livrant au hasard d’une balade poétique.
Ce n’est pas ce que je voulais exprimer.
Je me rapproche plutôt des impatiences de Paul Edel essayant de convaincre clopine que son rejet systématique du surréalisme littéraire était plus une provocation, un mouvement d’humeur, qu’un jugement étayé par une lecture attentive de la création en ce domaine.
Pour Marc Fumaroli comme pour Georges Perec, il faut chercher plus loin.
André Breton assuma son isolement. Dans Le Manifeste, il évoque « la lumière de l’image » qui suspend la signification habituelle des mots. Pierre Reverdy – puisqu’il est évoqué – nota aussi que l’image née de la pensée est d’autant plus suggestive qu’elle rapproche deux réalités distantes (travail de recherche de Fumaroli, Perec, DHH, Lavande…) à condition qu’elle soit non préméditée. Plutôt une association brusque.
Les mots ne renvoient plus, simplement à ce qu’ils représentent. Leurs croisements défient la raison et obligent à s’interroger sur le langage poétique. L’image mentale n’est que mots mais renvoie au visuel. C’est ce fonctionnement que le surréalisme interroge, cet élan de la découverte.
Breton écrivait : « Nous ne sommes ni dans la littérature ni dans l’art. » mais ils sont passés, ces surréalistes et par l’un et par l’autre.
Un mouvement qui a changé la langue.
Retour donc à la métaphore, usage traditionnel de la langue poétique et à ces naissances d’images descriptives. Le surréalisme permet un bond hors de la représentation, contre la description pour entrer dans le fonctionnement de la pensée : matière mentale.
Dans Nadja c’est sur un ton clinique qu’il écrira cette levée de l’inconnu, cette attention aux signes visuels.
Tzara… Desnos… Soupault… Eluard… Aragon… Michaux…
Ce renvoi du réel au lisible et au visible, du visuel au mental, liera peintres et poètes du surréalisme.
La peinture inventera comme la poésie, se libérant du souci de reproduire les formes extérieures au profit des formes intérieures enfouies dans la représentation mentale.
Duchamp… Picabia… Magritte (qui a tant joué sur les ressemblances pour tromper nos yeux et rendre visible la pensée et même en effaçant par les mots la réalité)…
Alors, Soleil vert (quel pseudo poétique…), l’incohérence des classements que vous pointez, n’est que tentative d’avancer dans un parcours qui n’est pas fléché d’avance, qui veut délier toute programmation du raisonnable pour suivre des mots en liberté.
« Cette cage de mots il faudra que j’en sorte
Et j’ai le cœur en sang d’en chercher la sortie
Ce monde blanc et noir où donc en est la porte »
Aragon – Le Roman inachevé.
Ce rêve qui fut leur lumière…
ne jamais répondre à ceux qui ne respectent pas votre pseudo:c’est une règle ou un droit minimal
Alain Jaubert
ISBN : 2070349373
Éditeur : GALLIMARD (02/05/2008)
t-Lumiere-de-limage/
« Soleil vert (quel pseudo poétique…) »
christiane
Si le pseudo fait référence au film (ou livre) je ne suis pas sûr que la poésie ait beaucoup à voir sur le sujet.
Le film se passe en 2022 (je viens d’aller voir), autant dire demain.
La SF est parfois assez angoissante quand elle ne se plante pas.
10h13 (j’ai réfléchi)
Modernité de Bach
Ecoutez le premier mouvement Sinfonia de cette cantate ;
Et maintenant Roger Glover
Soleil vert dit: 29 juillet 2019 à 8 h 16 min
J’ai pas compris ce que tu as voulu montrer. La différence entre la Musique et le bruit rythmé?
(Il est un peu pressé ton Jos van Veldhoven. Je lui préfère Ottavio Dantone: https://www.youtube.com/watch?v=8Vj_M_wXTdE )
Il y a de bon qu’ils ne soient pas de grands flyers.
Pour tohu-bohu, si l’anglais n’a pas conservé l’hébreu, il a gardé la forme du doublon, avec, selon le contexte, ‘hurly-burly’, ‘hustle and bustle’ et ‘hullabaloo’. On pense aux sorcières de Macbeth au début de la pièce – When the hurly-bruly’s done / When the batlle’s lost and won/ There to meet with Macbeth’…
Ce ne sera pas faute d’avoir prévenu les Anglais du tohu-bohu, du bruit et de la fureur que va provoquer le Brexit. Mais comme dans ‘la pièce écossaise’, l’hubris les intoxique et leur fait perdre tout sens des réalités.
Personne pour manifester contre la venue en France la balayette blondasse qui nous a traités de « merdes » (turds)?
Respecter un pseudo ?
Un droit fondamental ?…
Qui protégerait leur propriétaire contre des usurpateurs ?
Mais où va-t-on, là ?…
(van Gulik : une histoire de juge Ti qui arbitrerait dans la véracité des rêves des protagonistes ?)
Soleil vert, dès 1973, on nous parlait d’une dystopie pas vraiment poétique ? (-> narrat : en 2022, les hommes ont épuisé les ressources naturelles. Seul le soleil vert, sorte de pastille, parvient à nourrir une population miséreuse qui ne sait pas comment créer de tels aliments. Omniprésente et terriblement répressive, la police assure l’ordre. Accompagné de son fidèle ami, un policier va découvrir, au péril de sa vie, l’effroyable réalité de cette société inhumaine).
Aujourd’hui, nous y sommes avec un peu d’avance : avons dépassé le seuil du dépassement, parait-il.
https://www.nouvelobs.com/planete/20190729.OBS16517/l-humanite-a-deja-epuise-les-ressources-de-la-planete-pour-l-annee-c-est-le-jour-du-depassement.html
Qu’allons-nous manger ? On ne voit guère qu’une seule solution : le cannibalisme de la minorité des riches et forts dévorant la majorité des faibles miséreux !
Personne non plus pour soutenir les manifestants hongkongais? On ne pourra pas dire qu’on ne savait pas quand un second Tiananmen se sera déroulé?
@pado dit: 29 juillet 2019 à 10 h 34 min
Ah, il y a un film SF ? Je ne connais pas . Je pensais plutôt au « Bateau ivre » de Rimbaud.
« J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! »
Vous semblez bien connaître G-A.Goldschmidt (le père de MàC…). Quels sont ces livres dont vous citez les dédicaces ?
De lui, le premier livre lu fut l’essai sur Peter Handke, puis La Traversée des fleuves et Une langue pour abri, ses traductions de Kafka : Le Procès,
Le Château, de Peter Handke : La femme gauchère – Le poids du monde, de Nietzsche : Ainsi parlait Zarathoustra, et une série d’entretiens radiophoniques, dans l’émission « À voie nue » (Pascale Werner), France Culture, (2003) : (Une enfance allemande / La punition de l’exil / Deux rails, un train / De l’esprit d’enfance à l’esprit de solitude / Le malaise allemand) et dans l’émission « Répliques » (A.Finkielkraut) en 2012 : «Entre deux langues».
Lieux à revisiter, 09 Santa Maria dello Spasimo, Palermo :
@Janssen J-J dit: 29 juillet 2019 à 10 h 57 min
Merci pour la SF.
Le « swing » de Bach:
Bach – Sinfonia de la Cantata BWV 35 – M. Suzuki
sur quelques métaphores scientifiques pour réjouir Hamlet
https://www.cairn.info/revue-cahiers-internationaux-de-sociologie-2005-1-page-37.htm
Et Alii – 10h19
Est-ce un livre ou des films dans le prolongement de la collection de films Palettes » ?
Métaphysique des tubes (digestifs)
Tour à tour marmite, broyeuse, alchimiste, l’estomac se voit paré des fonctions les plus surprenantes, de l’Antiquité à nos jours. Il faut dire que l’enjeu est de taille : digérer, c’est faire émerger la vie, le sentiment, et même l’esprit de la matière mastiquée.
Publié dans
n°
50
Juin 2011
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Digestion, Estomac, Antiquité, Diète
Manger, ingurgiter, digérer. Quoi de moins philosophique en apparence que l’organe permettant ces opérations animales ? Et pourtant, derrière le gargouillis de nos estomacs se cache une mystérieuse opération, la métamorphose des aliments en chair. Véritable énigme pour la philosophie, elle s’est déclinée différemment en fonction des contextes culturels dans lesquels elle s’est développée : transformation du mort en vivant, de l’inerte en sensible, de l’autre en même. Voici, en cinq étapes, un court traité de métaphysique gastrique.
https://www.philomag.com/les-idees/metaphysique-des-tubes-digestifs-1816
… ad summitatem
Selon Plutarque (vers 46 ap. J.-C.-vers 125), premier grand théoricien du végétarisme dans Sur l’usage des viandes, le carnivore devient comme le carnassier : manger de la viande témoigne de notre cruauté autant qu’il la renforce en nous communiquant le caractère sanguinaire des bêtes. Manger est donc aussi une question d’éthique : en s’alimentant l’homme décide en quelque sorte du vivant qu’il doit être. De la croissance de l’embryon à la détermination du caractère, un flux continu de matière fait de la digestion et de son émissaire, le ventre, des acteurs essentiels de la vie. Choisir son alimentation n’est donc pas une mince affaire. Pour Aristote, la qualité et la vigueur de la semence masculine sont ainsi directement liées à ce que mangent les hommes : dans De la génération des animaux, il explique en effet qu’elle est un résidu des aliments digérés. L’embonpoint est alors l’indice que le corps détourne au profit du gras ce qui devrait normalement servir à la production de la semence, d’où la stérilité… Cette éthique de la chère est finalement élevée au rang d’art culinaire par Sénèque, pour qui « notre indépendance tient pour une bonne part à un estomac bien élevé »… Si, pour tous,
L’estomac triture-t-il, jusqu’à les broyer, les aliments ingérés ? ou bien les cuit-il en vertu de la chaleur animale ? Aussi cocasse que puisse paraître l’alternative, la question est en réalité cruciale. Puisque la digestion est pour Sénèque une cuisson à bonne température, et l’indigestion une putréfaction, la nourriture saine est celle qui ne provoque pas d’excès de chaleur dans l’estomac. Le sage stoïcien bannit donc les huîtres de son assiette… Trop froides et trop molles, elles exigent de l’estomac une production de chaleur excessive, qui engendrera une putréfaction néfaste.
Avec l’avènement du christianisme, la table change et l’aliment se spiritualise : manger ce n’est plus se situer dans la nature, c’est retrouver l’esprit du Christ dans l’aliment eucharistique. La transmutation mystérieuse des aliments en chair et en esprit est désormais au centre de la réflexion sur la digestion. Car qu’est-ce que la Cène sinon l’injonction faite par le Christ à ses disciples de le manger et de le boire, du moins symboliquement, de l’assimiler afin de l’imiter ? Ce repas spirituel, source de conflits d’interprétation redoutables (le corps du Christ est-il réellement dans le pain et le vin ?), a d’ailleurs valu aux catholiques d’être comparés, par quelques mauvais esprits, aux Indiens anthropophages découverts en Amérique par les colons européens au XVIe siècle. Le protestant Jean de Léry, dans L’Histoire d’un voyage faict en la terre du Brésil (1578), les accuse même d’être encore plus cannibales que les cannibales : alors que les Toupinambaoults mangent la chair de leurs ennemis pour assimiler leurs esprits, les catholiques eux prennent un symbole (le pain et le vin) pour de la chair et du sang réels.
@ 11.03 merci d’avoir rappelé la mémoire de François Ascher à travers le lien d’un de ses articles. Un brillant et généreux ami, hélas disparu trop tôt à 62 ans, voici dix ans déjà.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Ascher
e. Comme l’a montré Gaston Bachelard dans La Formation de l’esprit scientifique, avant de se réduire à une simple fonction organique aveuglément opérée par nos estomacs, la digestion a donné naissance à une série d’images dignes d’un cabinet de curiosité : l’estomac a ainsi été imaginé sous les traits d’une marmite bouillonnante, d’une meule broyante, ou encore d’une cornue alchimique capable des plus excentriques transmutations. Objet d’émerveillement pour « l’esprit préscientifique », la digestion est cette métamorphose radicale dont l’alchimiste semble seul détenir le secret : ne cherche-t-il pas à convertir les métaux en or ? Mais dans l’art des transmutations, l’estomac surpasse de loin la cornue, car il sait faire de l’organique avec un aliment, bref du vivant avec trois fois rien
Personne non plus pour soutenir les manifestants hongkongais? On ne pourra pas dire qu’on ne savait pas quand un second Tiananmen se sera déroulé?
Alan B. dit: 29 juillet 2019 à 10 h 58 min
La Chine n’osera jamais toucher Hong-Kong. Et pour commencer elle a cédée tout de suite en enlevant la loi qui a produit les protestations. Si elle faisait là-bas un deuxième Tian’anmen le boycott mondial qui s’en suivrai finirai par faire écrouler le très fragile empire économique et financier chinois, qui a besoin de 6 % de croissance annuel pour assurer son avenir – chose qu’elle a de plus en plus de mal à obtenir. C’est pour cela aussi qu’elle ne touchera jamais à Taiwan. Les Chinois sont suffisamment intelligents pour ne pas donner aux américains une excuse en or pour la ruiner – ce qui est déjà l’objectif numéro 1 (et logique, puisque la Chine menace la suprématie américaine) de ceux qui dirigent vraiment les USA et qu’il ne faut confondre avec Trump et sa bande.
Il y a de bon qu’ils ne soient pas de grands flyers.
renato dit: 29 juillet 2019 à 10 h 47 min
Rose aurait-elle recruté Renato pour son réseau d’espionnage international qui utilise ce blog pour communiquer avec des messages cryptées?
Qui a dit que le cinéma indépendant américain n’existait plus ?
« Give Me Liberty » du cinéaste Russe Kirill Mikhanovsky en est un exemple parfait.
Un petit joyau dans la production dominante hollywoodienne.
Liberté de ton et de vision et inventivité de forme.
Avec un son saturé à outrance et des images en roue libre tout du long, ce film de fiction, aux allures de documentaire hyper réaliste, nous conte l’Amérique des laissés pour compte en tous genres : membres de la diaspora russe, communauté black des ghettos, handicapés psychiques ou moteurs…
Une belle leçon d’un cinéma mené à un train d’enfer, à base de bons sentiments, où un noir paraplégique plein de sagesse nous déclare, du plus profond de son immobilité, que la vie est belle et qu’il faut profiter de l’instant.
Autour de Vic, jeune Américain d’origine russe au coeur tendre, conducteur d’un minibus pour personnes handicapées, se déploie toute une galerie de personnages et de scènes détonnantes, et finalement revigorantes, du Milwaukee profond.
Ce devrait être à désespérer de l’humanité et pourtant ce n’est pas triste !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19584480&cfilm=270096.html
Vous êtes bien péremptoire au sujet de la Chine dont vous avez certainement une grande connaissance. Wait & see…
« Janssen J-J dit: 28 juillet 2019 à 22 h 50 min
@ Intéressante remarque, h., de 21.03 »
oui, je sais.
Pensée cul de plomb, comme ramasser l’air à la truelle et l’étaler sur la toile!
Une autre intéressante remarque, pour vous, h. L’arrêté du 18 juillet 2019 sur les agents de sûreté et de sécurité vient d’être enfin publié au journal officiel de la république français. Il était temps. Je me demande s’il ne vous avait pas échappé par hasard ? Bàv,
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000038827649&dateTexte=&categorieLien=id
ramasser l’air à la truelle et l’étaler sur la toile!
Cela ne suffit pas à faire des éteins Staël!
Fiammeta / Pat.V
Digestion difficile ?
Alan B. dit: 29 juillet 2019 à 11 h 23 min
Je m’intéresse à la Chine depuis très longtemps. Tellement que j’ai incité mon fils à apprendre le chinois. Aujourd’hui cela fait 3 ans qu’il vit en Chine (avec une chinoise) et y travaille (dans une entreprise chinoise).
Pourquoi Passou a-t-il été recherché ce Livre des Métaphores qui date de 2012 et qui est peu représentatif de l’œuvre de Fumaroli qui a écrit tant de merveilles sur, notamment, le 18ième siècle?
Mystère…Peut-être une petite flemme estivale qui lui sera pardonnée compte-tenu de son emploi du temps habituel. L’avantage de ce genre d’ouvrage est qu’il n’est pas nécessaire de le lire vraiment pour en parler.
closer dit: 29 juillet 2019 à 11 h 45 min
Pendant les vacances, on fait le contraire que le reste de l’année. Passou parle toute l’année de livres qui viennent de sortir. Donc, l’été…
Je suis dubitatif devant la toute dernière période de De Stael. Une Sicile colorée et ^pourtant congelée…
Supprimez le budget donné à l’Abstraction Conceptuelle, ses pompes, ses Frac et ses oeuvres, c’est autant de gagné pour préserver un patrimoine qui n’en peut mais et ne PAS faire partir des tableaux qui ont leur place au Musée.
Mais qui aura ce courage là?
« Pourquoi Passou a-t-il été recherché ce Livre des Métaphores qui date de 2012 »
Idem pour l’anthologie des « Poètes de la Méditerranée », qui date de 2010 et est épuisée, closer !
Passou fait des arrêts sur images ou bien une cure estivale hors actualité ?
Et merdre ! « La 8e Synphonies de malheur » ! ne prouvent pas se la jouer Européens et le prononcer comme il faut ? Espèce d’intellectuels à 2 balles !
@11.45 je m’étais posé la même question. En avions déduit deux choses : 1 – qu’il avait voulu laisser s’ébattre ses ouailles à décuplaer les bons jeux de mots pendant qu’il bossait à son prochain roman et à sa « rentrée » et qu’elles allaient lui foutre la paix, et 2 – accessoirement, qu’il avait promis à son pote fumaro de lui donner un coup de pouce, vu qu’il se plaignant de la mévente de son bouquin de 2012. Deal conclu lors de la tournée de passoul à l’AF, histoire d’aller y sentir la moleskine de son futur fauteuil…
>>> clin d’oeil amusé à notre haute de la rdl, pour le faire bisquer un brin :-)<<<
11.57 @ Mais qui aura ce courage là ?
Franck Riester aura ce courage ! Restons optimistes, c’est de loin le meilleur MC que nous ayons eu jusqu’à présent, sous la 5e R. !
Marc Court, De Staël semble ne pas avoir su que, à un moment, on change ou on s’arrête. Puis, évidemment, la répétition étant rassurante peut plaire.
closer dit: 29 juillet 2019 à 11 h 45 min
Pour un mot…
Il commence souvent un nouveau billet par un écho au précédent mais en oblique…
C’est un joueur d’échecs. La dame ou reine se meut en droite ligne ou en ligne oblique; elle possède donc à la fois le mouvement de la tour et celui du fou. C’est la pièce la plus mobile et la plus puissante du jeu. La perdre signifie quasiment perdre la partie.
Les bords de l’échiquier sont infranchissables par les pièces.
Si le Cavalier n’est pas la pièce la plus puissante, elle est la plus belle. Contrairement aux autres pièces d’échecs. le Cavalier se déplace en sautant. Il n’est donc pas bloqué par ses propres pions comme peuvent l’être les Fous ou toutes les autres pièces du jeu d’échecs.
Le roi se déplace d’une case dans n’importe quelle direction. Aucun déplacement ne peut donc conduire à ce que les deux rois se trouvent sur des cases adjacentes ou un coin commun. Le roi prend comme il se déplace ; il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée… sa participation est cruciale lorsqu’il s’agit de mener à bien la promotion d’un pion. Le pion est le seul à ne jamais pouvoir reculer.
entre dans le cadre des grilles des jeux d’été, mots fléchés force 4, mots croisés force 5, mistral force 6, negroni sbagliato, sodoku, kakuro, fumaro force 3 etc…
Vous croyez que Nicolas de Staël s’est suicidé (arrêté) pour n’avoir pas su se renouveler, renato ?
@ Métaphysique des tubes
… le meilleur roman d’Amélie, pas vrai, MS ?
(Au fait, je vous signale que c’est un jeune Colombien qui l’a remporté… Comme dirait Pénélope Fillon : y’a pas photo à la revue des deux mondes).
rassurante peut plaire > rassurante, IL peut plaire.
Pardon
« c’est de loin le meilleur MC que nous ayons eu jusqu’à présent, sous la 5e R. ! »
ça va être difficile de surpasser André Malraux (De Gaulle) ou Jack Lang (François Mitterrand), JJJ !
allons donc, des petites danseuses, ces deux-là, et pas nées dans les garages, hein, eurent point à conquérir le monde !
@ Vous croyez que Nicolas de Staël s’est suicidé (arrêté) pour n’avoir pas su se renouveler
Pourquoi faire les réponses dans les questions, c’est un peu pervers comme jeu, non ? Ça dégorge.
« c’est un jeune Colombien qui l’a remporté »
Ce n’est pas nouveau, mais une tradition qui remonte à quelques décennies, JJJ ! Habitués à la course en altitude, les Colombiens sont d’excellents grimpeurs…
Christiane 11h00
GAG
Pour sourire, je le connais depuis mes 13 ans.
Je l’ai eu comme prof d’allemand, mon meilleur souvenir d’un prof.
Pour la suite je l’ai déjà écrit ici où là.
La question posée à La Tique (appellation très employée en 2009, année de « Chambéry ») :
Le livre s’appelle « Molière ou la liberté mise à nu » (un de ses premiers, 1973)
La dédicace est : « pour la Baleine. ».
C’était un des/le? « pseudo » dont il gratifiait MàC (celui-ci l’avait écrit un jour)
Avec renato, toujours prévoir les réponses aux questions, JJJ…
Digestion difficile ?
Il est certain que nous ne sommes pas encore arrivé à nous « laisser pénétrer » par une peinture! 😉
Donc pado tu es Lazzarillo et la tique, SMDR ?
quel talent, jzmn, pour sonder les coeurs et les reins !
« nous ne sommes pas encore arrivé à nous « laisser pénétrer » par une peinture ! »
D’où l’expression aller se faire encadrer, Fiammetina ?
Ça c’est vous qui voyez, Jacques, donc c’est votre réponse.
Jazzi dit: 29 juillet 2019 à 12 h 25 min
Donc pado tu es Lazzarillo et la tique, SMDR ?
Je te l’ai déjà dit dix fois Annibal, tu te plantes TOUJOURS quand tu cherches des analogies entre les pseudos.
La Tique, SMDR !!!! Faut vraiment marcher à côté de ses pompes.
Jazzi dit: 29 juillet 2019 à 12 h 31 min
Il s’agit d’une expression employée par notre Bernadette Soubirou du blog à propos d’un post récent à propos de Nicolas de Staël. Pénétration de l’œuvre, ou comment exprimer un pan sexualisme tout en restant dans l’évitement.
@pado dit: 29 juillet 2019 à 12 h 22 min
Merci Pado. La baleine ? Je ne savais pas. Quelle complexité dans leurs échanges tissant admiration et rejet.
Au Centre Pompidou-Metz — Théâtre des métamorphoses — et au Musée Tinguely de Bâle — Fantasmagories corporelles — : Rebecca Horn.
https://blogfigures.blogspot.com/2019/01/rebecca-horn_15.html
@Fiammeta dit: 29 juillet 2019 à 12 h 25 min
Vous êtes un peu tordu dans ce langage abscons…
Manque d’honnêteté ? camouflage ? sournoiserie ? Comme Pat.V. qui se donne des allures d’intello pour parler d’art par citations et renie cette vidéo désopilante à la bombe sur cache.
Vos commentaires ne m’apportent rien sur le plan de l’art. Ils ne sont qu’allusions cherchant à déstabiliser ou l’inverse : minauderies.
12.22 @ C’était un des/le? « pseudo » dont il gratifiait MàC (celui-ci l’avait écrit un jour).
Pas plutôt dédié à son frère Didier ?…
____
Je rappelle ce fragment du Slat.ker qui avait la dent dure contre la rdl, à cette époque de Chambéry, où sévissait HR (future groupie de M. Houellebecq).
http://www.juanasensio.com/archive/2008/09/12/pierre-assouline-la-douceur-de-votre-commerce-l-enrichit.html
« L’argent qu’il nous aurait fallu verser, peut-être, pour lire ces fadaises participatives ne m’aurait même pas gêné s’il avait, d’une façon ou d’une autre, été redistribué par notre généreux auteur aux intéressés, du moins à celles et ceux qui se seraient identifiés auprès d’Assouline puisque je suppose que doivent exister, derrière certains des habitués aux noms fantaisistes ou idiots du blog souplinien, des personnes bien réelles (3).
___
(3) L’un de ces commentateurs attitrés de Pierre Assouline, signant Mac (ou Montaigne à cheval, que je renommai immédiatement Baudet sur Hongre) m’écrivit même, après quelques houleux échanges tenus sur le blog de son Maître, sous son nom véritable, Jean-Philippe Goldschmidt.
______
NB/ Des traces putrides qui font mal, mais n’en sont pas moins des étains (éteint) selles.
Je cherches la vérité, pado !
Christiane, MàC a dû être un gros bébé. Il en restait des traces…
@Pablo75
Fair play to you, comme on dit sur Achill Island un jour pluvieux & brumeux de juillet. Vous devriez donc posséder des informations « off » sur le fascisme à la Xien…Il y a deux ans, mes deux belles soeurs ont vu l’école maternelle qu’elles avaient crées à la fin des années 80 être saisie, confisquée & nationalisée, sans autre forme de procès. Le Parti a toléré qu’elles en restent les employés. Pas de limite à la générosité du Camarade Xi. Il était arrivé la même chose à leur parents et grands-parents en 1949. Pas de limite à la violence du pouvoir chinois actuel. Et, contrairement à ce qu’aimait à penser ce cher Hegel, la raison a rarement été le moteur de l’Histoire.
Vous parlez/lisez le chinois?
Fiammeta dit: 29 juillet 2019 à 12 h 37 min
« Il s’agit d’une expression employée par notre Bernadette Soubirou du blog à propos d’un post récent à propos de Nicolas de Staël. Pénétration de l’œuvre, ou comment exprimer un pan sexualisme tout en restant dans l’évitement. »
(tiens les obsessions de clopine : sexe et religion extatique… pourtant elle avait juré ne se cachait sous aucun nouveau pseudo… bizarre… bizarre… l’alliance Pat.V. / clopine promet des remugles d’égout.)
D’où vient cette obsession de pedo pour ce pseudo « la tique ».
Me souviens pas de ce pseudo.
Ach so, ce cloporte a étudié le schleuh. M’étonne plus de ses méthodes de berger allemand.
@Jazzi dit: 29 juillet 2019 à 12 h 44 min
vérité à 50%…
Moi j’ai eu un prof d’allemand au collège qui ne badinait ni sur la grammaire, ni sur le sens des mots. Celui au lycée, encore pire.
Fiammeta ? J’aurais plutôt pensé à Tomtomlaturlute qui s’amuse à se faire mousser pour CT. Et en 2° choix, à etalii qui adore usurper les pseudos de ma soeur, la teigneuse adorée. Pronostic : 63/37 % plutôt. Bofl.
J3 12h44
Non, c’était bien MàC.
Le plus marrant à propos de cette note d’Asensio c’est que lors de la « création » des « Libres » il fut l’un des tous premiers (je l’ai battu d’une courte tête) à écrire un commentaire de soutien à cette création (haine de passou?), il devait très mal connaître MàC, il s’est fait immédiatement renvoyé dans ses vilains buts.
Alan B. dit: 29 juillet 2019 à 12 h 45 min
Quelle relation entre la dépendance vis-à-vis des exportations de l’économie chinoise et tes deux belles-soeurs? Quelqu’un a dit ici que la Chine est un pays démocratique? De quoi tu parles au juste? Tu veux me convaincre du fait que les chinois qui gouvernent la Chine sont des imbéciles? Ça va être dur…
Quant à Hegel, il se trouve que la raison a toujours été le moteur de l’Histoire, eh oui. La raison du plus fort.
(Je ne parle ni lis le chinois. Quelle relation entre cela et le fait d’être informé sur ce qui passe en Chine?).
Jazzi dit: 29 juillet 2019 à 12 h 44 min
Je cherches la vérité, pado
Mais non, tu affirmes en mettant un point d’interrogation au bout de la phrase.
Comme te l’écrit J3
« Pourquoi faire les réponses dans les questions »
Technique journalistique vraiment très dépassée.
Marie Sasseur dit: 29 juillet 2019 à 12 h 50 min
Me souviens pas de ce pseudo
Mais tu le sais bien petite Marie, c’est nous (enfin quelques uns) qui t’affublions de ce titre.
Pat.v, Versus / Staive
https://jeanmarie-staive.blogspot.com/2013/12/leon-n-est-pas-seul.html
Léon a trouvé, semble-t-il son alter ego…
Dernière oeuvre de Nicolas de Staël, « Le Concert », huile sur toile de 6×3,5 m. au Musée Picasso d’Antilles.
https://www.la-croix.com/Culture/Actualite/Devant-Le-Concert-de-Stael-Je-ressens-l-attente-2013-07-24-990146
Quelle relation entre la dépendance vis-à-vis des exportations de l’économie chinoise et tes deux belles-soeurs?
La capacité à penser latéralement n’est effectivement pas donnée à tous.
1. Merci de ne pas me tutoyer. On ne se connait pas & je ne tutoie que mes amis.
2. Décidément impossible d’échanger sans être agressé, ergo merci de m’ignorer. Je ferai de même.
« Pourquoi faire les réponses dans les questions »
A cause des menteurs et des dissimulateurs, pado !
« Technique journalistique vraiment très dépassée. »
Maïeutique socratique toujours valable…
pedo cloporte a la mémoire trop courte.
Cette secte des libres a fait long feu. Sont tous là, sauf leur gourou et un ou deux disciples passés l’arme (la batte ?) à gauche.
Ce petit fonctionnaire de la macronie devrait « consulter ».
Toujours pas répondu à cette question qu’ils évitent.
Pourquoi leur gourou a-t-il changé de pseudo, et fait en sorte de se rendre méconnaissable ?
C’était à cause de la honte.
Think of it.
x dit: 28 juillet 2019 à 17 h 48 min
« Dès que l’on pénètre dans cet espace, on ne voit qu’elles (ces deux toiles). On est littéralement aimanté par elles »
« J’avais demandé à mon docteur : ‘Avez-vous vu la toile de Braque, rue La Boétie ? Une table avec des fruits, une nappe. —Non’, a-t-il dit. Puis frappé d’une idée : ‘Ah! le homard.’ Après un instant j’ai dû me rappeler un homard, en effet. […] Le docteur a dit là-dessus que ce n’était pas son goût, ni son genre d’admiration, qu’il n’y avait rien à faire à cela, qu’il aimait mieux un petit paysage de Duplat qu’il avait vu en passant à la Galerie Vavin, avant-hier.
Et je lui ai répondu que c’est là qu’il fallait se méfier. Que le tableau qu’on admire du premier coup a des chances d’être un tableau astucieux, qui déçoit assez vite. Qui manque de ressources. Dont on s’aperçoit (avec dégoût) qu’il était précisément fait pour plaire. […] Il y suffit de quelques recettes, et l’admiration va au plus court. Elle ne demande qu’à s’employer.
Il se trouve que je suis renseigné là-dessus. J’ai l’admiration facile, la malice n’est pas mon fort. […] C’est même une chance, à tout prendre, que cette naïveté. Assez vite, il m’a fallu dépasser l’admiration ou l’évidence, chercher un peu plus loin. Je ne dis pas que j’aie trouvé. ‘Mais si ce n’est pas de l’admiration, m’a dit le docteur, alors quoi?’ J’ai répondu (mais je devenais vague) que c’était une certaine place (un peu encombrante) que prenait pour moi le tableau ; une certaine présence (et plutôt gênante). ‘La présence du peintre?’ Non. Pas du tout. »
« Mais tu le sais bien petite Marie, c’est nous (enfin quelques uns) qui t’affublions de ce titre. »
Sur la République des Libres, seule Soeur Marie des Rosses tenait le haut du pavé, pado…
Images trouvées :
[À cause d’une légère modification du pseudo, le message ne passe pas]
x dit: 28 juillet 2019 à 17 h 48 min
« Dès que l’on pénètre dans cet espace, on ne voit qu’elles (ces deux toiles). On est littéralement aimanté par elles »
« J’avais demandé à mon docteur : ‘Avez-vous vu la toile de Braque, rue La Boétie ? Une table avec des fruits, une nappe. —Non’, a-t-il dit. Puis frappé d’une idée : ‘Ah! le homard.’ Après un instant j’ai dû me rappeler un homard, en effet. […] Le docteur a dit là-dessus que ce n’était pas son goût, ni son genre d’admiration, qu’il n’y avait rien à faire à cela, qu’il aimait mieux un petit paysage de Duplat qu’il avait vu en passant à la Galerie Vavin, avant-hier.
Et je lui ai répondu que c’est là qu’il fallait se méfier. Que le tableau qu’on admire du premier coup a des chances d’être un tableau astucieux, qui déçoit assez vite. Qui manque de ressources. Dont on s’aperçoit (avec dégoût) qu’il était précisément fait pour plaire. […] Il y suffit de quelques recettes, et l’admiration va au plus court. Elle ne demande qu’à s’employer.
Il se trouve que je suis renseigné là-dessus. J’ai l’admiration facile, la malice n’est pas mon fort. […] C’est même une chance, à tout prendre, que cette naïveté. Assez vite, il m’a fallu dépasser l’admiration ou l’évidence, chercher un peu plus loin. Je ne dis pas que j’aie trouvé. ‘Mais si ce n’est pas de l’admiration, m’a dit le docteur, alors quoi?’ J’ai répondu (mais je devenais vague) que c’était une certaine place (un peu encombrante) que prenait pour moi le tableau ; une certaine présence (et plutôt gênante). ‘La présence du peintre?’ Non. Pas du tout. »
signé : x’
Braque le Patron de Jean Paulhan, bien sûr.
Tant qu’à l’invoquer (JP) autant que ce soit pour me contredire.
christiane dit: 29 juillet 2019 à 12 h 43 min
Mais non, madame la maitresse d’école, directrice même, ne tentez pas de travestir les faits et de les rendre incompréhensibles. J’assume mes bombages ( mon côté masculin , 😉 ) ( je l’ai écrit ici même sur ce blog). Il est vrai que votre sensibilité en est restée à la truelle!
Et devrai-je faire comme Paul Edel, avancer mes médailles ( son Goncourt et ses 30 romans) pour me justifier? Je ne vous donnerai pas ce plaisir. ;)Et je me fiche des médailles. 😉
« Quel horreur! »( c’est une de vos exclamations pour une autre peinture d’un autre peintre qui n’avait pas l’air de vois plaire dernièrement.
Là où vous passez, l’art ne repoussera pas!
Que vous me trouviez ceci ou cela, vraiment, je m’en tape, vu votre constante inadéquation entre le réel de l’art et vos pensées que vous exprimez sur ce blog et que je n’est jamais relevées ( perte de temps et d’énergie)à part une fois ou deux mais avec humour.
Vous semblez nous donner de votre part une vision de perception » naturelle », directe, quasiment effusionnelle de l’art alors qu’elle est corsetée de préjugés et de méconnaissances impressionnantes. Là encore, je n’ai jamais relevé et souvent discuté, dialogué avec vous.
Je dirai même que vous tenez un langage éminemment castrateur, distribuant les rôles et les bons points aux unes et aux autres, comme si vous jouiez à la dinette ( en bonne maitresse du jeu à l’école, bien entendu ) en disant à chacun, chacune ce qu’il a dans son assiette et ce qu’il peut manger avec ses petits couverts en matière plastique.
Je préfère – et de loin! – l’usage que fait l’ écrivain Jean Loup Trassard de ses jouets d’enfance, des vrais jouets qu’il photographie et met en scène dans une liberté qui fait éclater le carcan même des préjugés de son enfance.
Lui ne me trouva pas abscons et là est l’essentiel pour moi, vous pouvez comprendre cela?
12 h 50, wouarf. Si mes obsessions sont le sexe et la religion extatique, je suis un peu mal barrée, là :
J’ai carrément loupé ma vie !
Parce qu’une obsédée du sexe et de la religion extatique qui passe son temps à tenter d’écrire, soit littérairement soit pour des documentaires à fond d’écologie a dû louper quelque chose quelque part.
Heureusement Christiane, dont la brillante intelligence, la lucidité et la pertinence sont toujours en alerte quand il s’agit de moi, sait veiller au grain. Et, telle une mauvaise cuisinière qui ne sait pas faire de béchamel sans grumeaux, elle devine, elle, que je me cache sous différents pseudos, puisque je suis diabolique.
Elle saura bien, grâce à son crucifix à droite et son collier d’ail à droite, me faire tomber raide, pour que tous ici, pendant qu’elle enfoncera un pieu béni dans ma poitrine, constateront la nature monstrueuse de ma personnalité, toute entière occupée à un onanisme frénétique à coups de chapelet…
Ou quelque chose comme ça. Aïe, ça se trouve, dans quelques jours, semaines ou mois, Christiane va affirmer mordicus que j’ai décrit une séance masturbatoire et sacrilège à la fois…
non, non, Christiane, détrompez-vous : je n’ai aucun autre pseudo que le mien et je vous laisse toutes les sacristies du monde, ainsi que tous les abonnements aux magazines qui ne se lisent que d’une main. Vous pourrez ainsi continuer à en faire l’usage qui vous conviendra le mieux…
Franz Kline, Painting Number 2, 1954
je n’usurpe pas de pseudo;de personne!
calomnie quand elle vous tient,on s’barre
« où sévissait HR (future groupie de M. Houellebecq). »
Qui est HR, JJJ ?
Royaume-Uni: Le pion manquant d’un échiquier acheté 5 livres en valait en fait un million
TRÉSOR La figurine, achetée en 1964 par le grand-père de l’actuel propriétaire, date de l’époque médiévale
trouvez des pions pourjouer entre vous vous ferez peut-être fortune en leur donnant de bons pseudos
Jazzi dit: 29 juillet 2019 à 13 h 25 min
Tu ne suis vraiment pas mon pauvre Annibal, qui te parle des « Libres » à propos de la Tique.
Va falloir consulter pour un possible Alzheimer.
Le toquard de 13h , petit fonctionnaire à la retraite lui aussi, a un intérêt à entretenir la dinguerie de deux ou trois ici, et le vide effrayant de sa vie de trolleur.
Jazzi – 13h15
Merci pour ces deux éléments (vidéo hier et cette toile aujourd’hui.)
En 2005, Lunettes Rouges écrivait sur son blog :
https://www.lemonde.fr/blog/lunettesrouges/2005/10/30/2005_10_nicolas_de_stal/
L’article est trop ancien pour offrir les photos mais les mots sont là.
voilà la pièce rare retrouvée
https://storage.tvanouvelles.ca/v1/dynamic_resize/sws_path/tvanouvelles_prod/d6a0cb49-26b0-4f86-bb0c-cf5a5d39e086_16x9_WEB.jpg?quality=80&size=940x&version=0
Cette rare pièce d’échecs oubliée dans un bureau vaut maintenant plus de 1 M$
Annibal, Lazarillo écrivait souvent des commentaires élaborés sur des sujets de fond. Ce n’est pas le cas de pado qui me paraît se cantonner à des réactions épidermiques. Pour MS, je maintiens sa parenté évidente avec SMDR…
Christiane, je ne soupçonne absolument pas Clopine de changer de pseudo…Elle est trop narcissique, trop reconnaissable.
x, c’est vrai que l’on ne peut pas changer de pseudo sans que la modération vous bloque. C’est exaspérant. C’est la principale raison pour laquelle je garde ce pseudo absurde de closer, adopté un beau matin sans y réfléchir…
La secte des libres, une squadra de pantins, avait fait sécession d’une manière bizarre. Cette entreprise de démolition n’aura pas survécu à leurs luttes intestines. 🙂
Quand l’antiquaire s’est procuré la pièce en 1964 au coût de seulement six dollars, gageons qu’il ne croyait pas être en possession de l’une des pièces d’échec les plus connues et prisées dans le monde.
Aujourd’hui, la valeur de la pièce connue sous le nom du gardien de Lewis (Lewis Warder en anglais) pourrait atteindre 1,3 million de dollars à l’encan.
Les pièces d’échec de Lewis sont un ensemble de statuettes façonnées à partir de l’ivoire de morses entre la fin du XIIe et le début du XIIIe siècle, à Trondheim, en Norvège.
Fiammeta dit: 29 juillet 2019 à 13 h 28 min
Une bonne question pour Annibal,
quel était le précédent pseudo de Fiammeta ?
waterloo closer, c’était le plus intelligent de la bande…
Flametta/Pat.v et fouilletrou, à dégager ! Pas de temps à perdre avec ces malades.
@closer dit: 29 juillet 2019 à 13 h 46 min
« je ne soupçonne absolument pas Clopine de changer de pseudo…Elle est trop narcissique, trop reconnaissable. »
Je peux vous assurer qu’elle l’a fait auprès de PMB !
x, c’est vrai que l’on ne peut pas changer de pseudo sans que la modération vous bloque. C’est exaspérant.
exact
Alan B. dit: 29 juillet 2019 à 13 h 17 min
Avant de parler de « la capacité à penser latéralement », tu devrais commencer par penser déjà (et le fait de déduire de ce qui est arrivé à tes deux belles-soeurs ce qui va arriver à Hong Kong, montre que la pensée n’est pas ton fort).
Et merci de ne pas me dire ce que je dois faire ou pas faire. Si j’ai envie de te tutoyer, je te tutoie. Si tu n’as pas envie qu’on te tutoie ne vient pas ici. Ou ne répond pas quand on s’adresse à toi. Si tu as décidé de dialoguer avec quelqu’un ne lui dit pas comment il doit te traiter. C’est très mal poli – à moins que tu ne sois le Maharaja de Kapurthala réincarné et déguisé en plouc de blog. (Petit conseil: tu devrais aller vivre en Chine pour apprendre la politesse).
@Fiammeta dit: 29 juillet 2019 à 13 h 28 min
Quelle vanité !
Le nerf de leur guerre
La méchanceté
La jalousie
L’ennui
c’est vrai que l’on ne peut pas changer de pseudo sans que la modération vous bloque. C’est exaspérant.
et alii dit: 29 juillet 2019 à 13 h 54 min
Tous les gens ici qui ont plusieurs pseudos doivent bien rigoler.
e travail d’Aline Palou Gaze (Musée Fabre – 2013 est remarquable :
Nicolas de Staël – Musée Fabre
museefabre.montpellier3m.fr/content/download/10080/…/XXeNicolas_de_stael.pdf
Eh oui, il travaillait avec des couteaux, des truelles et même des taloches à mortier !
Gracq sur Huguenin:
. C’est ce qui était remarquable chez lui: il ne s’était pas laissé ternir.
activité des erdéliens ternissage
Sur le blog autour de Sollers, Pile/Face, le rédacteur évoque une émission de radio où Sollers est à son plus bas. Il est trop vieux, plus bon à rien. Déjà, quand il était vaillant, c’était un désastre, un magma informe de pensée sirupeuse décatie. Aujourd’hui, c’est l’apothéose du néant : Sollers est un débris intangible et misérable. Lui aussi a dégorgé. C’est immonde !
« Ai écouté sur Europe 1 le grand écrivain. L’esprit est là mais la diction s’est considérablement dégradée. C’est douloureux pour qui l’a connu volubile, improvisateur, insolent avec les mots, virevoltant ,unique.
Ça fait chier » Pile/Face
une obsédée du sexe et de la religion extatique qui passe son temps à tenter d’écrire, soit littérairement soit pour des documentaires à fond d’écologie a dû louper quelque chose quelque part.
–
c’est pas évident.
christiane dit: 29 juillet 2019 à 13 h 55 min
Heureusement que je ne chausse pas des lunettes rouge pour vous lire!
Pourquoi répondre à des malades? 😉
@13.38 HR ?… C’est l’ennemie intime de pado depuis l’épisode de Chambéry, et je lui laisse la responsabilité de cet acronyme dont je n’avais pour ma part jamais entendu parler. J’en ignore a fortiori le sens, autant que j’ignorais la « république des libres » (?). Pouvez-vous m’éclaircir à ce sujet d’ailleurs, ce qui m’arrangerait un brin, car j’en ai un peu marre des ellipses et d eme perdre en conjectures de Goldbach et des équations de Kolmogorov sur le théorème de Fermat. Je pressens bin une riche histoire officieuse en parallèle à celle de la rdl que j’ai dû louper avec TKT et Ascensio, à l’époque. Par exemple, vous vous insinues, jzmn, que la SMDR d’autrefois serait la MS d’aujourd’hui, moi j’ai tendance à penser que HR ou A-D, c’était un peu la même chose que la Terzoune ou Walden ou que sais-je ma soeur d’aujourd’hui, tique-ou-teigne… peu importe (le style fielleux ne change jamais rien à l’affaire), c’est du même ADN impur, du même neurone-miroir que tous ses pseudos usurpés à elle-même, au fin fond du darkweb. Ed. la tomate, n’était pas née à cette époque, on va donc pas trop la soupçonner de s’en prendre à Ch., hein. En revanche, il est certain que Trouillefou eut naguère d’autres pseudos, contrairement à ce qu’elle prétend (genre : ‘cas à part’, ‘marie d’agoult’, ‘clapinox’, ‘daniel sterne’, ‘averel d.’ ou ‘filomena m.’, etc.)
closer dit: 29 juillet 2019 à 13 h 46 min
« des réactions épidermiques »
J’aime bien mon épiderme, c’est un fait.
« Pour MS, je maintiens sa parenté évidente avec SMDR… »
Encore un qui marche à côté de ses pompes,
mais dites-lui La Tique, vous n’allez quand même pas laisser croire que vous étiez amie avec MàC.
« C’est la principale raison pour laquelle je garde ce pseudo absurde de closer »
Mais non, ce pseudo vous va parfaitement bien, un petit côté people de droite (très droite).
@rose dit: 29 juillet 2019 à 13 h 56 min
Oui, Rose, désolant ! le Pat.v / flammenta me cherche des noises depuis deux jours, réitérant son premier commentaire sur l’usage, suggère-t-il, impossible d’une truelle de maçon par Nicolas de Staël et pourtant… il a tort !
Ces derniers mois sur ces fils de commentaires, alors que je ne m’adresse que rarement à lui, il vient poser ses petites notes sarcastiques à mon égard. Il suffit que j’apprécie un peintre et l’exprime ici pour qu’il rapplique avec ses petites remarques acides. Mégalomane, il se rêve le grand intello de la critique d’art… Mon dieu, qu’il retourne à ses bombages et barbouillages !
Et voilà qu’après avoir minaudé auprès de clopine, (« à demain ! »), il l’imite ! Manquait plus que ça… Pauvre blog !
@Clopine dit: 29 juillet 2019 à 13 h 30 min
Que dire à part que vous êtes folle à lier, obsédée de haine, de jalousie. Eh oui, vos commentaires sur les surréalistes… Devriez retourner à vos légumes, moutons, ânes ou à votre militantisme d’opérette du vendredi. Pauvre clopine… remballez votre stock de méchanceté et de roublardise. Allez, ouste !
C’est ton problème, damlet,à 14h08, que ta femme se soit barrée, que tu n’aies plus que des interlocuteurs en format O/1,que tu en sois à vouloir organiser des combats de coqs.
Perso, jamais je ne me serais laissée abuser comme Passou, avec cette réplique désormais célèbre de la ligue du log délinquante : on s’est bien marré hein.
Pas deux minutes, je le répète.
Un exemple de la dinette, distribution de rôle imaginaire de maitresse Christiane :
» Mégalomane, il se rêve le grand intello de la critique d’art… Mon dieu, qu’il retourne à ses bombages et barbouillages !
Et voilà qu’après avoir minaudé auprès de clopine, (« à demain ! »), il l’imite ! Manquait plus que ça… Pauvre blog ! »
Pedo le cloporte ne sait plus où donner du maquereau.
« Ou ne répond pas quand on s’adresse à toi. »
C’est ce que faisait Bloom avant son départ et continue à faire Alan B. depuis son retour à mon encontre, Pablo75.
A quoi est dû ce boycott, cet ostracisme ?
Lui ferais-je peur !
Christiane, je n’ai jamais connu le blog de PMB, vous avez peut-être raison. Mais chez Assouline, récemment en tout cas, je ne crois pas…
Et oui, JJJ !
(« En revanche, il est certain que Trouillefou eut naguère d’autres pseudos, contrairement à ce qu’elle prétend (genre : ‘cas à part’, ‘marie d’agoult’, ‘clapinox’, ‘daniel sterne’, ‘averel d.’ ou ‘filomena m.’, etc.)
le nerf du travail chez DLP-Hamon,… celui qui chasse de leur univers, l’ennui le vice et le besoin,
NB/ ce soir, D., je jeûne, devriez faire pareil.
@closer dit: 29 juillet 2019 à 14 h 18 min
Il n’avait pas de blog mais était décisionnaire à la censure/modération des blogs Le Monde. J’ai beaucoup échangé avec lui pour savoir pour quelles raisons j’avais été interdite d’expression sur les espaces commentaires des blogs Le Monde. Il avait reçu d’innombrables plaintes sous forme d’emails aux signatures farfelues, m’en a lu quelques unes. Ce n’était que délation et ignominies. Et devinez qui était à l’origine de cette vague insultante ?
Puis d’autres personnes dont Di Brazza, MàC, son amie, m’ont confirmé ses dires. Et cela, antérieurement à ces deux commentaires qu’elle me reprochent, indûment, quand elle ne sait plus justifier sa haine. J’ai donc des raisons de prendre mes distances vis à vis de cette méprisable personne.
reproche
En l’occurrence je ne voulais même pas changer de pseudo (j’aurais choisi quelque chose de radicalement différent), mais simplement indiquer le décalage que l’on peut entretenir vis-à-vis de soi-même et de ses idées : comme le père Denis (Diderot) entre A et B, Lui et Moi. Pour cela la signature sous le texte suffit bien.
hamlet hier soir à 21h 03 : je ne sais pas trop ; il y a des goûts acquis et pas innés, ils n’en sont pas plus « mauvais » pour autant ; on ne naît pas amateur de vins (ou d’eau gazeuse) ou de cigares (bon, certains goûts sont acquis in utero, celui des épices par exemple, il faudrait davantage de précision pour le terme « inné »). Pourquoi serait-ce si différent avec des acquisitions (un peu) plus tardives ?
On ne va tout de même pas se mettre à refaire les expériences de privation langagière (on ne retrouvait pas de langage adamique chez le malheureux cobaye) ou sensorielle (il y en a, remarquez, placard, coffre de voiture ou cave à double fond) sur le plan plus largement culturel. Donc il y aura toujours déjà eu des influences, des conditionnements (surtout aujourd’hui où les images et dans une moindre mesure une certaine musique supposée « d’ambiance » sont partout). Rare sont les enfants à ne pas avoir été exposés à Disney (« libérée, délivrée » peut-être, mais pas des chansons hideuses et gueulardes) ou Pokemon.
Bien avant l’âge d’aller voir jouer la Berma…
Il me semble qu’il n’y a pas de table rase ni donc de « pureté » originelle / pierre de touche, ni de récapitulation par l’individu (d’un stade d’ailleurs tout aussi inexistant) du « bon sauvage », d’une innocence naturelle non encore contaminée par le snobisme ou les productions de l’industrie culturelle.
Je réponds peut-être à côté ?
RareS sont …
J3
HR était le pseudo de la petite Marie actuelle au moins en 2009/2010 (remarquez qu’elle ne le nie pas) Puis de nombreuses variantes et titres lui furent accolés (dont Terzoune)
Ayant été très irrégulier dans les années précédentes je n’ai pas tout suivi mais LVDLB qui lors de son départ à la retraite semblait plus calme c’est rapidement mis à empirer d’où un nouveau changement.
Je pense que l’actuel ne va plus durer très longtemps, il commence à traîner trop de casseroles.
Comment pouvez-vous voir un rapport avec A-D ? (ou alors je me goure de A-D)
’, ‘marie d’agoult’, on voyait bien que c’était un pseudo, et je détestais ce genre de pseudo qui n’honorent certainement pas ceux et celles qui s’ en affublent
Un exemple de la dinette, distribution de rôle imaginaire de maitresse Christiane :
» Mégalomane, il se rêve le grand intello de la critique d’art… Mon dieu, qu’il retourne à ses bombages et barbouillages !
Et voilà qu’après avoir minaudé auprès de clopine, (« à demain ! »), il l’imite ! Manquait plus que ça… Pauvre blog ! »
Rectifions l’effet dinette :
Sa vie de critique d’art est derrière lui – ses écrits en font foi – et on ne sait ce que signifie cette absconse expression : » intello de la critique d’art « . Existerait-il des niais de la critique d’art, des illuminés de la critique d’art, des velléitaires de la critique d’art, ETC.
Ses bombages et barbouillages, il n’y retourne pas, il y est en plein dedans pour satisfaire certains de ses collectionneurs.
Non, il ne « minaude » ( toujours le sexuel joué dans l’évitement! 😉 pas auprès de Clopine, il lui a toujours dit son fait, poliment comme à C. qui ici, sort son couteau en matière plastique.
« Il l’imite », là notre directrice est très mauvaise lectrice, elle prend son désir pour la réalité! 😉
Christiane, JAMAIS ! Clopine, Clopine T., Clopine Trouillefou ou sivoussaviez, ou d’autres déclinaisons, oui. Mais c’est tout, et c’est très simple : je ne suis pas un troll malgré votre persistance à me désigner telle.
Mais il est vrai que vous m’avez déjà bien habituée à raconter absolument n’importe quoi à mon sujet, à inventer des mots que je n’ai jamais utilisés, ou à « dénoncer », dans un spasme de méchanceté qui se croit victorieuse, des intentions que je n’ai jamais eues (par exemple, tenter de faire passer aux visiteurs de mon blog une photo d’Emmanuelle Béart pour moi, ce qui est d’un grotesque particulièrement achevé).
Je ne sais si notre hôte pourrait apporter la preuve que la seule adresse de messagerie qui corresponde à mes interventions ici est « clopinetrouillefou@gmail.com », et qu’aucun des noms que vous avancez ne provient d’un des appareils dont je me sers (il y a 3 ordinateurs à la maison, plus mon e-phone désormais)…
De toute façon, ce serait en pure perte qu’il perdrait ce temps, (et je pense que son temps est plus précieux que ça !) puisque la vérité et l’évidence vous sont si définitivement inaccessibles.
Ah ! L’émission de ce matin sur France Culture, où l’on entend Céleste Albaret (et Françoise aussi en écho, derrière elle…) évoquer son maître… Je dis « maître » et non « patron » parce que la relation de Céleste et de Proust débordait largement un quelconque contrat de travail.
Une telle émotion se dégage de ces propos qu’on met de côté la tentative (si humaine !) de Céleste de surtout se « faire mousser », en rappelant les compliments reçus, l’éminence de sa place, ou en contestant la légitimité d’un Painter, pour comprendre qu’il y a bel et bien eu un extraordinaire échange d’empathie entre ces deux-là : le maître et la jeune servante.
Vivement demain, pour la suite !!!
29 juillet 2019 à 14 h 26 min
je vous crois;cela fait tout drole d’apprendre ça maintenant
@14.16 cette histoire de « femme barrée » (qui revient de manière obsesionnelle chez ma soeur tous les deux mois) me fera toujours mourir de rire, depuis 2008 ou 2009, je sais plus trop (elle va nous retrouver sa fiche).
C’est comme son histoire de capès de lettres raté à cause d’un jury misogyne qui voulait pas de sa thèse sur huysmans, et qu’à cause et à la suite de ça…, son chum l’avait plaquée en 2003. Son fiel vindicatif de meuf aux abois depuis lors…, lié à ces deux humiliations successives jamais surmontées en Alsace, voilà l’explication prosaïque. Et TU pourras injurier tant que tu voudras, ma fille, te décourage surtout pas…, ton naufrage de Méduse risque de durer encore un brin en Méditerranée jusqu’à Lampéduse. Tais-toi et rame, le vieux monde t’attendra pas !
Quoi, vous n’avez pas assisté à la création de la dissidente République des Libres, JJJ ?
C’était, peu après la publication de « Brèves de blog », me semble-t-il. MàC et ses potes sont partis créer un nouveau blog, censément être plus libre que celui-ci de Passou. Il y écrivait d’excellents papiers géographiques. L’idéologie, de gauche, cependant y était un peu raide. D’autant plus que MàC, marié et père de famille, s’était mis à la colle avec SMDR, elle-même mariée et mère. Ce ne fut pas une union en faveur d’une quelconque tolérance, hélas ! Madame veillait à la bonne orthodoxie des commentaires tandis qu’en sous-main monsieur vous envoyait des mails privés pour s’excuser…
Mal parti, ce blog n’eût qu’un temps bref d’existence !
chum ce n’est pas du canadien?
29 juillet 2019 à 14 h 39 min
Mais quand je dis qu’il faut être prudent dans les « amitiés » bloguesques, on me conteste!
eh bien on en apprend aujourd’hui!
il n’y a aucune raison de croire que les amitiés bloguesques d’aujourd’hui sont moins pugnaces que celles d’hier
Jazzi dit: 29 juillet 2019 à 14 h 39 min
Comme pour ses origines (multiples) Annibal peut varier une légende à l’infini (c’est une qualité) cette version ressemble trop à celle (fausse) de Clopine pour n’être pas écrite sous le sceau de l’amitié.
Nous rappellerons quand même ici, que le sus-nommé Annibal a participé très activement à ce blog pendant la durée de sa vie.
Clopine, il faut dire à sa décharge que tu as tellement enfoncé le clou Christiane, que tu l’as rendue un peu parano !
Il suffit qu’un nouveau pseudo apparaisse et l’attaque pour qu’elle soupçonne l’ombre de ta main cachée derrière cette entreprise…
@ 14.30, et d’après vous, qui était A-D si c’était pas déjà celle qui fut aussi Anne-Domine LVDLB ?… Arghh, je l’oublie toujours celui-là dans mon dictionnaire des sigles de la rdl…, faut dire que ça en fait pas mal à retenir pour une même créature, toussa, hein !
Dès mon arrivée sur ce blog et quel que soit mon pseudo par la suite, mon identité a été révélée, pado.
Sinon, l’amitié ne m’empêche pas de dire le fond de ma pensée et Clopine est bien placée pour en témoigner…
Ces échanges violents de cassos sur la rdl sont un peu à l’image de cette ripoublique post social de macronie, que les plus deliquescents, comme pedo et le keuf ont servie.
La benallatitude :
Dans le téléphone « perdu » de Benalla : « Tous des cons Alexandre sois zen et fort »
L’ex-chargé de mission disait l’avoir égaré… les enquêteurs ont retrouvé plusieurs messages échangés avec l’Elysée, tous supprimés.
J3
Absent pendant la période Anne-Domine donc je me gourait bien.
Deux choses que je ne comprends pas de ce blog.
1. Le fait que certaines et certains s’obstinent à chercher une personnalité donnée cachées sous divers pseudos.
2. L’incapacité de certaines et certains d’accepter que quelqu’un puisse apprécier ou ne pas apprécier un artiste.
Quel tohu bohu médiatique !
Un festival.
Alexandre Benalla disait l’avoir « perdu » mais les enquêteurs ont retrouvé son téléphone et mis au jour d’anciens messages supprimés. Ces échanges entre l’ex-chargé de mission et l’Élysée reviennent sur le fameux épisode de la Contrescarpe à Paris.
« Monsieur le Président, hier après-midi j’ai été invité par la Préfecture de Police à observer de l’intérieur la manifestation du 1er mai, j’ai donc été équipé d’un casque et intégré à une équipe de policiers en civil et accompagné par un major de police. En fin d’après-midi nous nous sommes retrouvés place de la Contrescarpe, où la situation a plus que dégénéré, je ne me suis alors pas cantonné à mon rôle d’observateur (…) La scène assez violente a été filmée et même si on ne m’identifie pas très nettement je suis reconnaissable. Cette vidéo tourne actuellement sur les réseaux sociaux. Alexandre. »
Ce message, révélé par Le Monde, Alexandre Benalla l’aurait envoyé à Emmanuel Macron quelques heures après l’incident, dans la nuit du 1er au 2 mai 2018. Le lendemain matin, il l’a transféré à Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée.
Des messages de soutien reçus
D’autres messages ont été mis au jour. Parmi eux, des mots de soutien à Alexandre Benalla. « Tous des cons Alexandre sois zen et fort c’est le patron qui décide et à 30 000 kilomètres (Emmanuel Macron se trouvait alors en voyage officiel en Australie) il ne décide rien te concernant », écrivait Jean-Luc Minet, le commandant militaire en second de la présidence de la République, le 1er mai. « Merci pour ton soutien », avait répondu le chargé de mission, avant d’effacer soigneusement cet échange.
RTL
« ça en fait pas mal à retenir pour une même créature, toussa, hein ! »
Tu n’as pas tort, ducon. Cela fait carrément beaucoup trop.
@14.39 bin merci jzmn,… j’ignorais…, faut dire que j’étais parti un peu après le bouquin de Passoul qui avait raconté des bêtises sur mon compte.
Donc, une liaison torride s’ensuivit entre Màc et LVDLB sur la ligue des libres ?
En auriez-vous gardé des traces, des preuves ?
Ben ça alhors !!!! z’êtes sûr de vous, là ?…
Bon, je vais vous proposer un deal : racontez nous selon un calendrier précis, les différentes séquences de l’histoire RDL avec ses illustres protagonistes, dans un nouveau « goût des erdéliens de la rdl et de ses avatars » (au mercure), et là, je vous en achète trente exemplaires d’un coup, hein !… Vraiment, je vous supplie d’y songer ! Si on est 10 à vous assurer de la même commande, déjà 300 exemplaires d’engrangés pour vous au black et au prix fort, hein ! Un carton vous dis-je… à s’arracher comme jamais !
Allez, un bon geste après la paresse, jzmn !…
(je retourne un brin en Egypte, sur les traces de Flaubert, en attendant)…
Et ce n’est pas fini. Si vous aviez raté le feuilleton l’été dernier, y’a de nouveaux épisodes inédits!
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Benalla, une zone d’ombre dans les comptes de campagne de Macron
Selon nos informations, des versements à des membres du service d’ordre du candidat à la présidentielle auraient échappé au contrôle de la CNCCFP. Des anciens du SO interrogés par « Le Monde » évoquent d’autres bizarreries dans la gestion des notes de frais.
Jazzi dit: 29 juillet 2019 à 14 h 54 min
Dès mon arrivée sur ce blog et quel que soit mon pseudo par la suite, mon identité a été révélée, pado
Mais, Jacky Annibal Barozzi Jazzi et autres, s’il y a bien une chose que je ne te reprocherai jamais c’est de te cacher derrière tes pseudos, d’ailleurs ce serait trop stupide de ta part pour faire la promotion de tes bouquins (je blague là hein!)
L’imaginaire version de Clopine s’ancre ici à force de répétition de sa part, mais ce n’est pas grave, ceux qui l’ont vécu mettent ça sur son immense capacité à travestir les vérités qui la dérangent.
Tout ce qu’avance Christiane, sur des mails et des courriers où, si je comprends bien son délire, j’aurais manigancé son exclusion des blogs du monde, n’est que pure imagination.
Bon, reprenons une fois de plus ce dont je me souviens, pour faire entendre au moins « ma » version.
Je ne prétends ni à la vérité historique, ni à l’exhaustivité des évènements, hein. Et je n’ai pas trop de temps à perdre avec tout ça. M’enfin, en gros, voici ce dont MOI je me souviens :
J’avais il y a une dizaine d’années ouvert un blog mi-littéraire, mi-journal extime qui, modestement, « drainait » une cinquantaine de lecteurs quotidiens, assez clients me semble-t-il, de mes petites élucubrations.
Et je fréquentais en parallèle la Rdl.
Christiane est devenue une des visiteuses de mon blog, et au début, elle m’a « fait la cour », à sa manière, comment dire ? Pleine de chantilly ?
Dès le départ le ton qu’elle employait, et surtout cette espèce de flatterie qu’elle affectionne et qui est à mille lieues de mon univers, qui en est même l’exact opposé, m’a déplu.
J’ai été contactée par un autre internaute – je crois bien que c’est Di Brazza mais je n’en mettrai pas ma main au feu, hein ! Qui me demandait mon avis sur « Christiane » et exprimait une sorte de répulsion, de méfiance instinctive… Que je partageais, ce que j’ai dit à cet interlocuteur, via un mail.
Et j’ai repoussé fermement Christiane, ne souhaitant pas « entrer en contact » plus que cela avec elle, puisque dès le départ elle m’a déplu.
Et c’est tout !
La parution de Brèves de Blog a mis fin à une première période (pour moi) de la Rdl où l’atmosphère, malgré les escarmouches et les emportements des uns et des autres, restait relativement paisible.
une sorte de petit club où je pouvais m’adonner à l’expression des mes goûts littéraires : c’était déjà formidable, pour moi.
Mais les trolls sont arrivés, tels des piranhas, exaspérés par la parution du livre. C’est devenu extrêmement violent, et à mon sens c’est pour cela aussi, pas seulement parce qu’il y aurait eu des conflits « graves » entre Màc et notre hôte, que la RDb a vu le jour.
Entretemps, il y a même eu une très courte période ou mon blog « clopineries », a servi de « refuge » temporaire, avant que Màc et Soeur Marie des Anges ouvrent le leur.
Et la vie du blog a repris, cahin-caha. J’avais toujours autant de mal avec Christiane, non seulement parce que je voyais de la flatterie dans ses propos toujours exagérément élogieux de quiconque est « connu », mais aussi parce que je trouvais qu’elle s’avançait « masquée » alors qu’elle était à l’évidence très religieuse et prosélyte en plus (ça aussi, avec moi, y’a un os !) ; et puis ses admirations étaient désordonnées, ses lectures souvent d’une naïveté telle qu’elles en devenaient parfois grotesques, ses partis pris sans fondement, bref, s’il y a une internaute qui m’agace c’est bien elle.
Et pourtant je prenais parfois sa défense car elle et moi avions un point en commun : nous étions des proies idéales pour les trolls qui « s’amusaient » de nous ; peut-être ne s’en apercevait-elle pas, contrairement à moi, peut-être en souffrait-elle peu, mais en tout cas j’ai bien souvent dénoncé les attaques dont elle était l’objet. Et j’expliquais que c’était même une sorte de « solidarité syndicale », tant être une commentatrice femme vous exposait à des tombereaux de remarques sexistes et des moqueries machistes au dernier degré.
L’homophobie n’était pas la dernière, bien entendu, j’en ai toujours été totalement indignée itou…
Bref. Ca a dérapé à cause de Proust. J’ai rudement malmené Christiane, je le reconnais. Mais cette dernière s’est carrément mis à déraper dans le potage, a inventé des messages qui n’ont jamais existé, m’a attribué des paroles non dites, etc.
Or, j’ai la faiblesse de tenir à mes mots…
J’ai toujours espéré que l’on me comprendrait sur ce point, au moins ici : mais non, jamais personne ne semble partager ce si pénible sentiment. Qu’on me critique, ok. Qu’on se moque, c’est pénible mais il paraît que c’est le jeu.
Mais qu’on invente des trucs que je n’ai jamais dits…
Bref on en est là. Périodiquement, je bats ma coulpe et me promets d’arrêter « d’embêter Christiane ».
Mais elle vient me chercher, faut dire; Encore aujourd’hui, c’est elle qui a commencé par m’accuser de je ne sais plus quoi, pour ensuite monter la mayonnaise, encore et encore.
Soupir.
Pour la République des Libres, je rejoins Jazzi dans son témoignage. Màc était surtout embêté par Soeur Marie des Roses et ses emportements, et il écrivait des mails privés pour tenter d’atténuer la chose…
Mais un jour, sur MON blog et non sur la RdB, j’ai fait état d’un « contresens de lecture » de Soeur Marie des Roses (qui n’était jamais tendre avec moi et semblait toujours m’attribuer un rôle de « rivale » qui n’existait que dans son imagination, bref, par rapport à Màc bien entendu !) Màc en a pris prétexte pour fermer le blog en me vouant aux gémonies, ce qui devait l’arranger vis-à-vis de Soeur Marie des Roses…
J’ajoute que je n’ai jamais rencontré ni Màc, ni personne d’autres que Jazzi, DHH et une troisième personne qui ne vient plus ici, et comme j’ai oublié son pseudo et que je ne veux pas donner son nom, vous n’en saurez pas plus.
et que je n’étais absolument pas au courant des relations « extrabloguesques » des uns et des autres;
Et que je n’en étais pas curieuse.
Et que je continue à m’en fiche éperdument.
Voilà, Christiane va s’étrangler, mais zut à la fin.
Cher JJJ, catabolisez comme vous l’entendez.
Moi je cataboliserai quand cela me sera utile.
@ 15.00 l’ducon l’dukeuf l’toquard (sic) ou l’jajav…. apprécient le p’tit rapporteur de la place Beauvau qui fait tout le boulot à sa place, icite. RDL sauvée, relève assurée, MS de retour en grâce chez passoul, benbella au feu, la maitresse au milleux.
L’fait gaffe à pas d’aboyer direct trop loin sur passoul, depuis… défoiq ‘le robot se réveillerait… ‘tation.
giraffe
Ah oui, j’oubliais un jour au Salon du Livre où j’ai croisé une edélienne qui m’avait identifiée dans la file d’attente, mais je ne me souviens plus du tout de son pseudo.
« je retourne un brin en Egypte, sur les traces de Flaubert »
De quoi ajouter à la confusion de vos sentiments, JJJ !
Non, merci, les histoires confuses et opaques de la RDL et des erdéliens est trop sordide à mon goût, car justement entachées de trop d’équivoque et de flou, virtualité aidant.
» (je blague là hein !) »
No problème, j’assume, pado ! Je ne parle en général que de ce que je connais ou crois connaître : ma vie, ma sexualité, mon travail, Paris, le cinéma, etc.
Et pour Pado, qui estime que « L’imaginaire version de Clopine s’ancre ici à force de répétition de sa part », je ne prendrai même pas la peine de proclamer ma sincérité absolue : ça ne sert à rien.
Soupir.
Passons à autre chose. L’émission sur Proust ce matin, suis-je la seule à l’avoir entendue… et appréciée ?
Deux points dans les légendes de Clopine
« J’ai été contactée par un autre internaute – je crois bien que c’est Di Brazza mais je n’en mettrai pas ma main au feu, hein ! Qui me demandait mon avis sur « Christiane » et exprimait une sorte de répulsion, de méfiance instinctive… Que je partageais, ce que j’ai dit à cet interlocuteur, via un mail »
Je crois que christiane est la seule personne à avoir rencontré DiB chez lui donc…..
Et puis il ne peut contredire.
« Pour la République des Libres, je rejoins Jazzi dans son témoignage. »
Je pense plutôt qu’Annibal rejoint le votre, mais vous pouvez réécrire l’histoire comme vous l’entendez, si cela vous fait plaisir.
Je pense que SMDR s’en fout, MàC aussi.
Clopine, tu n’as pas lu « Monsieur Proust » de Céleste Albaret ?
Une petite merveille à lire en éteignant le bouton de la radio !
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