Variations sur « A qui la faute ? »
Quel lecteur passionné de la Lettre au père de Kafka, ou de Lettre à ma mère de Simenon, sinon des deux à la fois (c’est mon cas), a jamais rêvé d’en lire le retour ? Impossible évidemment puisque l’un n’avait pas posté sa longue philippique à son géniteur, et que l’autre l’avait publiée après la mort de la destinataire. Ce père et cette mère, on ne les connaît que par leurs fils, par leur reproches, leur vécu, leur ressenti. On ignore leur version des faits, leur vécu du conflit. Des biographes ont bien creusé de ce côté-là pour en savoir davantage. N’empêche que j’ai souvent rêvé d’une collection « Droit de réponse » dans laquelle un éditeur donnerait enfin la parole à ces victimes de l’histoire littéraire, en chargeant des écrivains de les défendre. Les exemples ne manquent pas, encore que le père de Paul Auster et celui d’Orhan Pamuk n’auraient guère de raison de leur répondre tant ils ont été bien traités, l’un dans L’invention de la solitude, l’autre dans son discours de réception du Nobel.
J’y repensais en reprenant La Sonate à Kreutzer (Kreïtserova Sonata, traduit du russe par Michel Aucouturier, éditions des Syrtes), l’un des brefs chefs d’oeuvre de Tolstoï nouvelliste avec Maître et serviteur et La Mort d’Ivan Illitch, tir groupé des années 1886-1895. L’inexorable progrès de la jalousie dans un couple en est la trame, sur fond d’orgueil mal maîtrisé, drame conjugal dont l’idéal de l’amour divin sera le salut (ou la fuite, comme ce fut le cas avec la fugue de l’auteur). Depuis, il est difficile d’écouter la sonate pour violon et piano No 9 de Ludwig van sans être envahi par les réminiscences de sa nouvelle.
Un malade nous parle. Une sorte de fou qui n’est pas sans rappeler le narrateur des Carnets du sous-sol de Dostoïevski. Sauf que là son monologue ne relève pas de l’éructation ou de l’invective misanthrope mais bien de la confession. A cause du titre, on croit qu’il s’agit de musique, et plus exactement du premier presto de la pièce de Beethoven (juste un épisode de l’histoire, en fait) ; on nous fait comprendre en route qu’il s’agit de sexe, ou plutôt du dégoût des femmes pour l’acte, avant de nous faire admettre enfin qu’il s’agit de jalousie. La femme, c’est la chair, donc le vice ; voilà le message. Le traducteur fait remarquer dans sa préface que le livre, écrit en 1888 mais longuement mûri par l’expérience conjugale, n’est pas inspiré des relations entre Tolstoï et sa femme mais, tout à au contraire, les a influencées.
Or dans A qui la faute ?, Sophie Tolstoï, née Behrs, de seize ans sa cadette, répondait au réquisitoire de son mari. Ce qui permet déjà de se faire une opinion plus nuancée sur l’enfer conjugal de Iasnaïa Poliana, la jalousie pathologique qu’il reprochait à sa femme. Il y a quatre ans, les éditions des Syrtes avaient eu l’idée de réunir en un seul volume La Sonate à Kreutzer de l’un et A qui la faute ? de l’autre, ainsi que deux autres textes. Déni de fiction ? littéralité d’une lecture strictement autobiographique ? réduction abusive ? Pourquoi pas…
Cela constituait une sorte de dossier pour notre édification – mais n’espérez rien de tel à propos par exemple de Philip Roth car on ne l’imagine pas, ni lui ni ses ayant-droit à venir, accepter un jour de publier Deception (Tromperie, 1993) sous la même couverture que la cinglante réponse de son ex-femme Claire Bloom dans Living a Doll’s House. J’y repensais donc ce matin en découvrant dans le New York Times la critique de l’édition américaine de cet ensemble tolstoïen. Son titre est une trouvaille : The Kreutzer Sonata Variations. Magnifique ! C’est peu dire qu’il s’y prête particulièrement. Mais il faudrait retenir cette idée de variations pour d’autres, même si on ne connaîtra jamais les improbables A qui la faute ? de Hermann Kafka et Henriette Simenon.
(« Léon et Sofia Tolstoï » photo D.R.)
1 171 Réponses pour Variations sur « A qui la faute ? »
Les Bretons sont comme les autres français : cabochards, têtus, alcoolisés, vitupérants.
La poujadiste brayonne a parlé!
Manque la baquette et le béret, dites-donc!
Clopine dit: 22 août 2014 à 20 h 26 min
C’est rigolo que quelqu’un qui connaît si bien la Bretagne qu’il interdit à une Clopine Trouillefou de témoigner de sa récente escapade là-bas
________
Elle a raison, la Clopine, pour une fois contre ce gros con de Court qui passe son temps ici à dire aux autres comment il faut penser. Il nous fait chier ce petit dictateur à la pensée rigide.
Cabochard et têtu, là la Clopine elle tout bon : c’est exactement le portrait du connard de Court.
« C’est rigolo que quelqu’un qui vient d’interdire à une Clopine Trouillefou »
Euh, je viens de dire l’inverse, mais passons! Je vous ai invité à cesser vos sottises, ce n’est pas la meme chose.
ca l’est encore plus de voir que vos connaissances géographiques sur Loch Maria Ker, avec l’orthographe aberrante, à la Brizeux, que vous lui donnez, proviennent d’une Bretonnerie façon Botrel revu post soixante-huitard.
C’est encore plus cocasse de voir que vous vous drapez dans des chanteurs confidentiels pour justifier vos contresens géographiques. A ce compte là, c’est en écoutant Botrel qu’on peut croire voir des falaises à Paimpol, et avec tel autre, Locmariaquer à Brest, qui n’est pas , à beaucoup près, le pays Bigouden ou vous l’aviez hier placé.
Je renonce à justifier ces aberrations d’une médiocrité si satisfaite d’elle-même qu’elle ne prend plus la peine de justifier ses contradictions. Les voit-elle seulement?
La question reste ouverte.
MC
« qu’il ne peut pas ne pas écrire s’il veut vivre. »
L’exemple de Rimbaud est mal choisi, ML, il a arrêté à vingt ans !
L’alliance des mythomanes entre le Pays de Bray façon Bélise et le sépharade névrosé et omniscient se confirme. Ces deux grandes incarnations de la culture savante vont sans nul doute étonner l’univers…
C’est vrai qu’avec les transformistes du pseudo l’on n’est jamais sûr de rien ; c’est aussi vrai qu’ici (comme chez Paul, d’ailleurs), vous bien à part, il n’y a pas de mufles qui téléphoneraient à quelqu’un à trois heures du matin (même pour laisser une crotte de sms) ; mais c’est bien vous qui avez écrit chez Paul : « Le théâtre de G. est mort. Il n’est sur les planches de plus aucun théâtre. »… ou pas ?
Évidemment, il est fort possible que dans le moment précis où vous écriviez ça Gombrowicz ne fût «joué sur les planches de plus aucun théâtre», cependant un type à l’incomparable vaine gloire tel que vous devrait savoir que Gombrowicz n’est pas un auteur que l’on joue à tous les coins de rue… le fait qu’il ne soit pas régulièrement joué ne signifie pas qu’il est mort, et Ronconi a démontré qu’il est bien vivant — jetais là, je peux en témoigner… et je suis loin d’être de gauche…
Cela dit, un rappel à propos du savoir par les livres et la banalité de l’expérience dont vraisemblablement vous manquez :
https://m.youtube.com/watch?v=5B-I02S3Bbk
Je vous avais déjà renvoyé à cette séquence, mais vous savez sans doute que repetitio est mater studiorum… ou repetitio mater studiorum est, si vous préférez…
Manque la baquette et le béret, dites-donc!
Manque la braguette et le braquemart et on a tout bon!
Bloom, parle-nous de Claire.
Ben au contraire ! Il est mort à vingt ans, c’est clair, le pauvre Rimbaud. Tout le reste de sa vie ne fut qu’une longue agonie qui s’est terminée par l’amputation d’une jambe. C’est une preuve au contraire de la justesse de mon propos !
M.Court pas, moi non plus.
Sauras-tu désigner qui d’entre nous seront invités au Banquet de Lespinassaf?
Court veut interdire à Clopine de dire des sottises mais ne veut pas qu’on interdise les siennes… Comique, le Breton ! un mixte de Le Pen et de Bécassine…
Ueda est exclu de toutes les façons…! Ostracisme complet ! Aucun ueda à Lespinassat !
Ouais.
Avec ce smarttruc, je ne risque pas d’être admis parmi les lettrés.
Ml à Lespinassat, un château en Espagne!
Même pas imaginable en garçon de service et surtout pas en maître d’ hôtel.
Aucun ueda (WG)
Même si je viens avec une poétesse chinoise et sa copine?
Ml, même pas capable de nous citer un bon cru de Bergerac qui furent les terres d’un éminent philosophe.
« La période « pipi-caca-boudin » chez les enfants est un passage nécessaire qu’il ne faut pas interdire, mais dont il ne faut pas se rendre complices, estime Dominique Mazin, une psychologue-psychanalyste spécialisée dans l’enfant.
Pourquoi l’enfant traverse-t-il la période « pipi-caca-boudin » ? A quoi cela correspond-il ?
« Cette époque correspond à la maîtrise de la propreté par les enfants. Une fois qu’ils maîtrisent bien l’autonomie de leur corps et prennent en même temps conscience que leur corps n’appartient qu’à eux, ils ont envie d’en jouer, de montrer qu’ils sont les maîtres.
Cela les aide à prendre un peu de distance avec cette autonomie toute nouvelle. ça devrait s’arrêter lorsqu’ils commencent à s’intéresser à des choses plus sophistiquées, à savoir comment marche le monde ».
Furent ..Fut et non pas fût! quoique…
J’ en bois de ce cru et ne le partagerais pas avec ML s’il ne le trouve pas.
Il ne les cite pas, Monsieur, il les boit.
Ask renato.
Passionnant Lavande!
Et quelle différence alors entre le pipi-caca-boudin chez l’ enfant et le con-con de ML?
Si je comprends bien, Lavande dit qu’on est des gros dégueulasses.
Refusé.
zouzou persona non grata à Lesvergenossat?
C’est une honte.
bloom quand vous aurez intégré la résidence de vos rêves , n’hésitez pas à nous le faire savoir ..
très belle claire bloom, avec mr court on n’a jamais droit qu’à des évocations de femmes pas très engageantes ..
à force de regarder des phares dans le brouillard et brandir le coupe – papier on ne se l’imagine pas autrement qu’en protestant ou en croquemitaine
Alors, ML, ça vient le nom de cet excellent cru?
( Plus à portée de votre bourse que le Château dont vous rêvez l’acquisition.)
Il existe bien un cru du château de Lespinassat. Mais il n’est pas produit par le château, c’est une simple appellation contrôlée, je pense. Toutefois mes ancêtres ont commencé comme vignerons. Les crus de Bergerac (un historien s’y est intéressé de très près) voyageaient jusqu’en Lituanie par le commerce hanséatique, via Amsterdam. C’est ce qui a permis d’ailleurs très probablement de survivre à Amsterdam après la Révocation de l’Edit de Nantes. Il y avait d’ailleurs une branche de la famille qui s’était déjà installée à Amsterdam dont parle le bouquin sur la noblesse du Périgord édité à la fin du XIXè siècle par le comte de Saint-Saud (oui, c’est son nom…!).
http://www.grrif.ch/fr/Blogs/Comme-si-j-savais-pas/Le-croque-mitaine-Fuyez-pauvres-enfants.html
Les bons crus, ce sont ceux de Monbazillac ! Des vignerons calvinistes qui fournissaient la table du Pape à Rome ! Eh oui, mes petits chéris, c’était comme ça en ce temps-là.
A la bonne vôtre!
http://www.terrevieille.com/Chateau_Terre_Vieille/Chateau_Terre_Vieille.html
Simplement Lavande est une victime consentante du « psychologisme » décadent de la société en décomposition avancée qu’est la nôtre sous nos yeux… Elle n’intègre pas dans son équation merdique le coefficient rabelaisien. Ça fout toute son équation en l’air, si je puis dire…
Je trouve qu’il a de la gueule le château de Lespinassat. J’irai un jour y faire un petit séjour de toute façon. Je l’ai vu déjà avec Marusa en 2009. Ce qui m’avait refroidi, c’est à ce moment-là, un gros boeing qui s’apprêtait à atterrir sur la piste de Bergerac est passé juste au-dessus du château dans un bruit effroyable…
Ah ! ces garçonnets qui cachent leurs mauvaises manières derrière l’image rassurante de Rabelais !
Les bons crus, ce sont ceux de Monbazillac ! Des vignerons calvinistes qui fournissaient la table du Pape à Rome !
Là encore, Ml fait le savant…
Le Pécharmant existe depuis le XIème siècle et les vins du Pape et des rois d’ Angleterre et de Russie furent les vins de Cahors qui se firent par la suite taxés de droits de passage par les bordelais de l’ embarcadère maritime et ces derniers prirent commercialement et massivement ensuite le dessus.
Rabelais rassurant…! Quelle lecture ! Il a failli finir sur le bûcher, le pauvre ! Pas si rassurant que ça.
Je te parle pas du XIè siècle, trouduc, je te parle du XVIIè siècle. Tu vas pas faire ton sophiste, toit aussi ! Faut arrêter de faire votre Gorgias orgiastique, hic hic…
Lavande dit: 22 août 2014 à 21 h 14 min
« La période « pipi-caca-boudin »
Peut persister longtemps.
Proust à ses domestiques :
« Je vous noierai dans un océan de merde ».
Sans compter les commentaires de Charlus à propos de Mme de Saint-Euverte racolant pour sa soirée musicale.
Etc…
Effectivement : « refusé ».
Toujours long à la détente le petit chéri… et toujours à côté de la plaque…
Tiens, vous pouvez lire ça, vous en saurez après dix fois plus que vos petites poussée éruptives boutonneuses prépubères prétentieuses :
— Jacques Beauroy, Vin et Société à Bergerac du Moyen-Âge aux temps modernes, amna libri, Stanford French and Italian Studies 4, 1976.
Avec des cartes des vins et tout le bazar…!
Michel Alba à 20h 25, qu’allez-vous chercher de torturé ou d’héritage d’une sophistique paternelle (?) dans ce que je disais ? C’était simplement le rappel que les représentations actuelles (on verra bien ensuite) s’augmentent d’adaptations de « L’angoisse du gardien… « ou de « La Femme gauchère », sur la scène et au cinéma. Un « quoi qu’on en pense… » était d’ailleurs déjà dans un de mes précédents commentaires, et je connais même vos remarques de naguère sur les adaptations faciles ou non, utiles ou non.
Les bons crus, ce sont ceux de Monbazillac ! Discutable.
Ce sont des vins liquoreux qu’on essaie de remettre à la mode. Le cru de référence en Dordogne est bien plutôt le Pécharmant.
On ne vous a pas attendu, gros buveur de bibine, pour nous intéresser aux vins et à leur histoire!
Vous ne savez même pas quel était le vin fourni au clergé pour la messe. Ce fameux « vin de mess »!
On trouve p. 77-79 du bouquin de Beauroy qui parle des propriétaire qui ont occupé le château de Lespinassat après l’exil à Amsterdam de mes ancêtres c’est-à-dire après la Révocation : « Les terres des Villepontoux- Sorbier, environ 260 hectares, sont constitués de métairies et de vignobles. Les métairies sont situées à Corbiac, Couderc, Le pont et au sud de la Dordogne à Monsac et Lespinassat. Le vignoble à Corbiac, Pécharmant, Couderc, Galinoux, s’étend sur une cinquantaine d’hectares, et à Monbazillac et Pomport, environs 34 hectares. (…) Dans la liste des marques hollandaises citées par Jouanel, le nom de Sorbier est attaché à quatre crus réputés dès le XVIIIè siècle : Haut Marsalet, Theulet, La Fonrousse, et le Désert. »
L’un des descendants de ce Sorbier, « Jean-François Sorbier de Jaure, devenu le « citoyen Jaure fils » sera un des soutiens actifs de la Révolution à Bergerac. »
Oui, vigneron, on a abusé du Montbazillac avec le sucre et ses souvenirs de maux de tête après les fêtes religieuses et publiques…
C ‘était le vin du populo pour son dimanche.
Julie, je me demande si vous savez écouter ce qu’on vous dit ?
Cette révolution de Palais ne fut certes pas une révolution du palais!
Beauroy écrit encore : « Ses vignobles de Pécharmant et de Monbazillac sont des crus orientés vers la production de qualité au XVIIIè siècle. »
Vous pouvez aller vous rhabiller, la séance est terminée…!
des crus orientés vers la production de qualité au XVIIIè siècle. »
Quelle formulation prudente et passe-partout, on peut affirmer cela de bien d’ autres vins!
Les vins de Bordeaux étaient déjà triomphant.
« Un second apogée du vignoble bergeracois se plaça entre 1650 et 1750, qu’on pourrait appeler le siècle hollandais ». (Beauroy, p. 259)
Beauroy était un archiviste étroit, pas un bon vivant, et donc une mauvaise référence.
Me rhabiller, moi?
( Me reste la grappe de vigne.)
factuellement, les élites, comment dire.. elles se penchent..
Théobon est d’ailleurs aussi une terre de vignobles.
Théobon est d’ailleurs aussi une terre de vignobles.
Mais pendant combien de temps encore va t-il nous sortir ses insignifiances?
« Ah ! ces garçonnets qui cachent leurs mauvaises manières derrière l’image rassurante de Rabelais ! » (renato à propos de ML qui répondait à Lavande, réfutant ainsi en bloc son incise sur le pipi-caca)
« Rabelais rassurant…! Quelle lecture ! Il a failli finir sur le bûcher, le pauvre ! Pas si rassurant que ça. » (réponse de ML)
On voit très bien par cet exemple que ML n’entend pas ce qu’on lui dit. Qu’il n’est pas doué pour l’art de la conversation. Homme du monologue, il n’admet aucune contradiction. Seuls trouvent grâce à ses yeux ceux qui lui donnent raison. Il distord systématiquement ce qu’on lui dit et rebondit de plus belle en rajoutant une couche supplémentaire de références et d’auteurs, choisis parmi les plus doctes ou les plus érudits. On dirait qu’il cultive ainsi la posture du bouc émissaire à laquelle son isolement volontaire le conduit ?
ML, incompris et martyr !
Clopine dit: 22 août 2014 à 20 h 26 min
Clopine,
tous les « gigantesques » efforts que vous mettez en oeuvre pour justifier vos conneries sont non seulement risibles mais ridicules.
Un exercice où vous égalez ML devrait vous faire réfléchir.
Même TKT (mais où il est celui-là) sait parfois faire un pas en arrière.
Essayez, vous verrez, l’image de vous que vous vénérez n’en sera pas forcément moins éblouissante.
ML, incompris et martyr !
Et dans le jus de la grappe, il préfère celui de l’ imprécateur calviniste, c’est tout dire!
Jacques Barozzi dit: 22 août 2014 à 17 h 53 min
Serais-je condamné à vivre éternellement à Paris ?
Le Sahara ? Il y avait un amiral qui avait pris sa retraite là-bas !
« ses vignobles de Pécharmant.. »dixit Widergg
vous savez quoi, dear Baroz ? Maurice Tourneur (de la manivelle à cinéma) a fini sa vie à Pécharmant. Remerciez le gros Widergänger avec qui vous pourriez écrire un deuxième goût du cinéma, à quatre mains comme des triporteurs à la cocteau.
Widergänger dit: 22 août 2014 à 21 h 43 min
J’irai un jour y faire un petit séjour de toute façon
Bon, il ya deux trois heures il voulait l’acheter, maintenant il espère y passer une nuit, vous voyez bien qu’il peut progresser.
Plutôt que de le pourfendre, aidez-le, je suis sûr qu’il a, caché au fin fond de son être une once de capacité à évoluer.
Ne rejettons pas Michel, aidons-le.
WG cultive la posture du bouc a laquelle le conduit son isolement (J B)
Je n’sais pas c’que c’est, mais ça m’fait peur
Beauroy mentionne les Eyma comme une des trois familles au XVIIIè siècle qui sont au centre du commerce international du vin entre Bergerac et la Hollande.
Or, les cousins des Alba de l’époque qui étaient partis s’installer en Hollande étaient justement des Eyma.
Eyma de Frégiguel, de Boisse : « la branche hollandaise a conservé les armes de cette très ancienne famille de la bourgeoisie de Bergerac mentionnée dans le tome II de la Noblesse du Périgord publié par Alfred de Froidefond de Boulazac, p. 61, on lit à propos du mariage de Anna Eyma, du 11 janvier 1701 : « fille de Jean Eyma et d’Isabeau de Baysselance, assitée de messires Daniel et David d’Alba et de Pierre de Lnetilhac, ses cousins, mariée à Claude de Gastebois… » Ces Alba s’étaient convertis au catholicisme pour pouvoir rester en France, c’étaient les vicomtes de Monbazillac de l’époque dont cette branche s’est éteinte vers 1730 selon ce bouquin.
Ah, ils n’ont pas vraiment le sens de l’humour, les bougres…! Ils sont bêtes, mais ils sont bêtes que faut le lire pour le croire !
Je n’sais pas c’que c’est
Cela m’a pourtant tout l’air d’une manière usée jusqu’à la corde de présenter ses dommages..
.
Et c’est vous, Baroz, le roi des contre-sens, qui dites ça ! Ben, mon cochon ! Drôlement gonflé, le Baroz et pas froid aux yeux ! Il est bête ce Baroz, mais bête !
Widergänger dit: 22 août 2014 à 22 h 54 min
dont cette branche s’est éteinte vers 1730
Et merdre, tout ça pour ça.
Mais que c’est-il passé entre 1730 et 195… pour que les Alba du chateau renaissent.
De toute façon pour entendre ce que ce con de Renato me dit, faudrait être aussi con que lui… Qu’est-ce qu’on peut répondre à ce pauvre renato ? Qu’il est con ! Et à part ça ? Ben qu’il est con.
Ben les Alba en 195… ne sont pas renassus du tout… pas de renaissussance…
pas renassus du tout… pas de renaissussance…
Du Monbazillac de bas de gamme, de toute évidence!
Ah ! ça dit par un aristocrate de l’esprit fait grande impression en outre c’est tellement gratifiant, pouvez vous le réécrire?
Récapitulons cette journée :
-ML et Clopine savent.
-Tous les autres sont des connards.
-Barozzi n’a atteint ni le point Godwin/Barozzi ni le point moncul (nous apprécions l’effort)
-Quand Chaloux revient ST repart (confirmation)
-Lavande s’accroche courageusement et on ne peut que l’en remercier (elle a même attiré Elena)
-TKT boude toujours
C’est comme Lydie de Rochefort de Théobon qui venait de la grande famille calviniste des Rochefort qui avait un château à Théobon un peu au sud de Bergerac, elle a dû se convertir au catholicisme pour se marier avec Charles d’Harcourt de la célèbre famille d’Harcourt qui vient de l’entourage de Guillaume le bâtard, d’origine danoise, qui a donné le lycée d’Harcourt (Saint-Louis aujourd’hui, boulevard Saint-Michel, face à la Sorbonne) et les studios d’Harcourt, qui a photographié toutes les stars du cinéma. Ce que confirme d’ailleurs Saint-Simon dans ses Mémoires. Lire aussi le portrait à l’acide que fait Saint-Simon de la princesse d’Harcourt dans ces mêmes Mémoires. Un morceau d’anthologie, où Lavande s’y retrouverait assez facilement…
Du Monbazillac de bas de gamme, de toute évidence!
Oui, vise l’humour calviniste!
Il reste une heure pour tout bouleverser dit: 22 août 2014 à 23 h 14 min
Récapitulons cette journée :
-ML et Clopine savent.
-Tous les autres sont des connards.
_________
Vous pouvez rayer Clopine. Autrement c’est un bon début de compréhension. Vous pouvez néanmoins faire encore mieux.
Le bâtard a accouché de nombreuses réalisations, des photos prestigieuses de ces événement nous restent…
Widergänger dit: 22 août 2014 à 23 h 15 min
C’est comme Lydie de Rochefort de Théobon qui venait de la grande famille calviniste des Rochefort qui avait un château à Théobon
P’tain de b….. de m…., pour une nouvelle c’est une nouvelle.
Je suis sur le cul.
Fournier, faites gaffe sur quoi vous êtes assis, à moins que vous aimiez ça ?
dites voir, Widergangg, le Duc d’Albe, c’est dans votre arbre aussi ? un vrai sanguinaire, qui cultivait des fraises à aran juez quand il avait rtt.
Les studios d’Harcourt et les roses en gratte-cul.
Ouais, y en a même une où on voit à Chambord la Lydie baiser avec Louis XIV, en 1670, sur les marches du grand esclaier. Avec Molière en arrière plan même, qui revient de la première du Bourgeois gentilhomme ! Ça vous en bouche un coin, hein !
Mais non, Phil, vous zavez rien compris au schmilbic ! le Duc d’Albe, c’est celui qui a donné le nom à ma famille, qui s’appelait, selon ma cousine qui vit moitié à Paris, moitié en Israël, qui s’appelait donc Levy. Ya des cousins Levy qui ont émigré d’ailleurs à New York en 1905. Quelqu’un ne pourrait pas m’aider à retrouver leurs descendants un de ces quatre ? Doit bien en rester quelques-uns. Ils sont peut-être même devenus de célèbres gangsters, qui peut savoir ?
Widergänger dit: 22 août 2014 à 23 h 28 min
ça vous en bouche un coin, hein !
Non, vous nous l’avez déjà raconté.
Je vous l’ai peut-être déjà raconté mais je ne vous ai pas encore montré les photos. Vous voulez les voir ?
en effet, Widergänger. un peu perdu dans votre bonzaï généalogique. Cherchez pas trop de gangsters du côté des Lévy.
« …les studios d’Harcourt, qui a photographié toutes les stars du cinéma. Ce que confirme d’ailleurs Saint-Simon dans ses Mémoires. »
Chacun sait que Saint-Simon était un avant-gardiste!
« Lire aussi le portrait à l’acide que fait Saint-Simon de la princesse d’Harcourt dans ces mêmes Mémoires. Un morceau d’anthologie, où Lavande s’y retrouverait assez facilement… »
Ciel, la princesse d’Harcourt! Ma modeste mémé, cousine de celle de Torreton, doit se retourner dans sa tombe!
Mais la Lydie, ne vous en déplaise, elle appartient à l’histoire littéraire, parce que Mme de Sévigné l’évoque dans ses lettres à quatre endroits. Grâce à moi, vous ne pourrez plus jamais lire ces autres lettres en ignorant qui est Lydie de Rochefort de Thébon qu’elle nomme simplement « Théobon ». C’est important, non ?
Retrouver un Levy à New York, autant chercher une aiguille dans une botte de foin !
vavande, non, vous n’avez pas saisi le sens de l’allusion. Lisez, vous comprendrez mieux. C’est dans l’édition en Folio, Tome 1 je crois bien. Très grand morceau de bravoure de Saint-Simon, une sorte de Thomas Bernhard de l’époque…
Ben oui, c’est le problème, mon grand Baroz ! J’ai eu une chance inouïe pour mes ancêtres d’Europe. Mais aux Etats-Unis…? J’ai quand même leur adresse exacte à NY en 1905. C’est déjà un début de repère, non ?
P’tain Phil faites un effort (je sais l’âge mais quand même d’habitude vous pouvez) :
Le Duc D’Albe s’appelle Lévy, la cousine on sait pas mais ya des Levy à New-York (!!!), Le château qui fait du Pécharmant de Montbazillac est à vendre (ou à louer je sais plus)
A Théobon ya un château dont la propriétaire, une des tantes Rochefort à baisé à Chambord avec Molière (ou Louis XIV, enfin un cador)
En plus tout ça est dans Saint-Simon,
alors Phil, je vous en prie,
SUIVEZ.
Jacques Barozzi dit: 22 août 2014 à 23 h 41 min
Retrouver un Levy à New York, autant chercher une aiguille dans une botte de foin !
Gaffe baroz, il te reste 19 mn à tenir.
Oui, Lavande, je viens de retrouver le passage c’est dans le tome 1 en Folio, p. 81 « La princesse d’Harcourt » ! Lisez, du très très grand Saint-Simon ! Grandiose.
Rassurez vous, W: j’avais bien compris que c’était une vacherie. C’est vous qui n’avez pas compris que je tournais votre vacherie en dérision.
Par contre en matière d’humour j’aime bien:
« Ben les Alba en 195… ne sont pas renassus du tout… pas de renaissussance… »
c’était pas mal.
on suit, on suit…cela dit, en histoire faut tenir compte des faits: la tante n’a pas pu s’envoyer Molière qui préférait Lully.
Widergänger dit: 22 août 2014 à 23 h 48 min
Lisez, du très très grand Saint-Simon ! Grandiose.
ça va WG on a lu, pas la peine de t’énerver,
pour une fois que tu lis un truc bien pas la peine d’en faire un plat.
C’est seulement NORMAL.
Bien, bonne nuit :
Tiens, Lavande, je vais vous éviter des recherches fastidieuses, voilà l’extrait le plus alléchant (si je puis dire…), jugez-en vous-même :
« C’était une furie blonde, et de plus une harpie : elle en avait l’effronterie, la méchanceté, la fourbe, et la violence ; elle en avait l’avarice et l’avidité ; elle en avait encore la gourmandise et la promptitude à s’en soulager, et mettait au désespoir ceux chez qui elle allait dîner parce qu’elle ne se faisait faute de ses commodités au sortir de table, qu’assez souvent elle n’avait pas loisir de gagner, et salissait le chemin d’une effroyable traînée, qui l’ont maintes fois fait donner au diable par les gens de Mme du Maine et de Monsieur le Grand. »
Sublime, non ?
Ce que je préfère de beaucoup dans ce court extrait, ce sont les points virgules. J’ignore s’ils sont d’origine. mais ils sont géniaux.
Lavande, vous remarquerez que nous somme dans le pipi et le caca!
Widergänger dit: 22 août 2014 à 23 h 56 min
Eh oui, la turista c’est pas gai.
c’était pas mal.
Ah, Lavande , vous vous savez narcissiser le paranoïaque con-con!
( Il vous a complaisamment offert son pipi-caca familial, quel cadeau!)
Impressionnant effectivement! Indiscutablement sublime, comme vous le dites!
C’est vraiment tout à fait moi, à un tout petit détail près: je suis brune. Mais à part ça …
Ce Saint Simon, quel homme! Vraiment un visionnaire!
Sur ce, après cette fructueuse soirée d’échanges, je vais me coucher. Faites de beaux rêves, W.
Widergänger dit: 22 août 2014 à 23 h 59 min
Ce que je préfère de beaucoup dans ce court extrait, ce sont les points virgules.
Bof, après « : » c’est pas assez classique ?
Même moi je fais ça dans un appel d’offres.
Tiens, on va terminer la journée en beauté, mes petits chéris, par un extrait concernant Irmgard Keun :
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Elle est euphorique, ravie de sa fuite. Heureuse de se retrouver en dehors de l’Allemagne nazie. Irmgard Keun n’est pas Juive. Mais ses livres ont quand même été interdits en Allemagne. Beaucoup trop modernes et trop sûres d’elles étaient les femmes qu’elle dépeignait dans La jeune fille en soie artificielle, dans Gilgi. Beaucoup trop moderne, leur style, typique des grandes métropoles. Une femme de lettre née de l’asphalte, au pire sens du terme et donc au meilleur.
C’est une belle jeune femme, sûre d’elle, fourrure autour du cou, grande bouche, grands yeux. Et d’abord, qui interdit les livres ici ? Il faudrait voir à voir, avait-elle pensé sans plus. Et puis avait porté plainte, avait porté plainte auprès des autorités nazies et qui plus est n’avait pas hésité juste après à demander une aide financière pour le procès. Voilà l’affaire : Keun contre le ministère de la propagande. Premièrement, elle exigeait des conclusions dûment motivées à l’interdiction qui frappait désormais la parution de ses livres, et deuxièmement des dommages et intérêts pour les exemplaires saisis et mieux encore : « Les préjudices qui m’ont été causés ne se limitent en aucun cas à mes droits d’auteurs sur les stocks saisis mais résultent du fait avéré que mes revenus mensuels avant la saisie s’élevaient à plusieurs milliers de mark et à la suite de la saisie à moins de cent mark.
(V. Weidermann)
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À demain, mes doux trésors, ne faites pas trop de cauchemar saint-simoniens, hein !
( Il vous a complaisamment détaillé son pipi-caca familial, quel cadeau!)
Un cas pathologique grave le ML!
Cela peut-il se soigner?
On ne comprend strictement rien à ce charabia, chapeau! Vous n’êtes décidément bon à rien, Widergänger. Un cafouilleux du verbiage, comme écrivait Chaloux, c’est exactement ça
Tiens, on va terminer la journée en beauté
Oh, merci papy ML!
« Cafouilleux du Verbiage », c’est beaucoup mieux. J’y ai pensé trop tard.
M. Michel Cafouilleux du Verbiage d’Alba de Théobon, ça vous pose un homme et ça le résume.
Cela m’a pourtant tout l’air d’une manière usée jusqu’à la corde de présenter ses dommages..
Je voyais la bête se présenter un peu comme un bélier, tête baissée ses jolies cornes d’apparat pour enfoncer le clou ou le coup, enfin de quoi impressionner avant dégâts.
C’est une belle jeune femme, sûre d’elle, fourrure autour du cou, grande bouche, grands yeux.
La vénus à la fourrure, une femme pour vous, WG?
…
…çà mérite, une tarte à la crème,!…
…
…mais,…pas du tout,!…dépenser 20,00 €ur ,…pour lire les mêmes ram-tam- aux goudron juif-nazi,…Oh,!…Non,!…
…
…attendons 2.000 ans, que çà se tasse,!…sans plus,!…même en étant payez au prix du lingot d’or,…à l’heure,…je n’intervient pas,!…
…
…Oh,!…la crème fraîche,…pour moi, tout seul,!…le début du nouvel en-pire,!…
…Ah,!Ah,…
…tous plus pourris, les uns que les autres,…pourquoi s’en différencier,…à la mode, à la mode de chez-nous,!…aux parfums,!…d’Esope à La Fontaine,…
…remplir les rôles aux zoos,!…Ah,!Ah,!…
…
Ah bon ? C’est du lourd ? Pas pour habitude d’impressionner ainsi notez…
« Jacques Barozzi dit: 22 août 2014 à 23 h 41 min
Retrouver un Levy à New York, autant chercher une aiguille dans une botte de foin ! »,
Même Straus à un Levy et un Levis et un vit.
Alors, what else ?
@ dans les arbres :
Lu le texte que vous avez mis en pièce jointe.
La bigoterie chez les russes vieillissants fit des ravages.
Tous, tout de même, ne firent pas comme Gogol lorsqu’il brulât la deuxième partie des « Ames mortes ».
(Heureusement qu’il en avait distribué quelques extraits qui ont pu nous parvenir).
ueda dit: 22 août 2014 à 19 h 55 min
Voyons voir… gros cul oeil bête…
ueda se regardant dans un miroir
ueda « EELV devrait se dissoudre? »
bien sûr
Commençons notre journée, Joyeux Compagnons de Priape, par ce cri culturel d’une rare pudeur, d’une exquise délicatesse, d’une élévation rubiconde :
« Au cul, les vieilles, c’est la fin de l’été ! ».
@ B comme BERLIN dit: 23 août 2014 à 4 h 15 min
A compléter.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/cmr_0008-0160_1964_num_5_2_1581
Un chasseur rencontre l’étrange héros de l’histoire, abandonné, blessé sur un rocher au bord de mer. C’est l’illustre journaliste Daghestan qui lui demande de l’emmener à Caucasipol, la capitale, pour qu’il puisse remettre en mains propres son manuscrit au rédacteur en chef de la « Gazette de Caucasipol ». C’est ce manuscrit, reproduit sous forme de feuilleton qui forme le corps de l’ouvrage : « l’An 5865 »
Daghestan y révèle que, pris de passion pour l’archéologie, il s’est mis en tête de retrouver le territoire de l’ancienne France, pays remplacé par l’actuelle Caucasie, et surtout sa capitale, Paris, situé d’après lui en un lieu sauvage et barbare nommé Figuig, hanté par des tribus moyenâgeuses. Citoyen célèbre de la Caucasie, Daghestan est soudain plongé au cœur de l’aventure par la lettre d’un défunt Père Franco l’avertissant qu’un livre très ancien l’attend à Lining, dans l’actuel royaume du Danemark, dont il serait l’héritier légitime.
http://destination-armageddon.fr/l-an-5865.html
Djedla,
Votre lien sur les « Règles de vie » de Léon Grosnez nous conforte dans nos actions et nos pensées Persée :
-L’objectif de chacun de nos actes doit être le bonheur du prochain
-Il faut se contenter du présent et de ce que l’on a
-Il faut chercher toute occasion de faire le bien
Cela rejoint nos propres règles de vie, Joyeux Compagnons de Priape ! Tolstoï et nous, même combat : le priapisme volontaire …
PROCLAMATION
Afin de lutter contre l’exiguïté de la pensée monothéiste, quelle qu’elle soit, et lutter contre les horreurs frigides du monde, nous proclamons en ce lieu historique passoulinien un ETAT PRIAPIQUE mondial !
Foin de minaret, de synagogue et de cathédrale emplis de fidèles échouant aux Portes Closes du Bien, rêve inatteignable, grossier et triste d’une société folle d’idéaux !
Nous portons nos minarets sur nous, Joyeux Compagnons de Priape ! Ne défonçons pas par la prière stupide les fallacieuses portes du Bien : cultivons le Bon de la Vie … Jouissons ! Entrebaisons-nous !
Et vous, chères Sœurs qui ne vivez que la moitié de vos désirs, venez recevoir nos Enseignements les plus doux dans le nouveau Thélème … ! Il y va du salut de votre corps, et par conséquent de votre âme !
Même le Priape goethéen des « Elégies Romaines » s’y associe :
« Nicht das Mädchen entsetzt sich vor mir, und nicht die Matrone,
Hässlich bin ich nicht mehr, bin ungeheuer nur stark.
Dafür soll dir denn auch halbfusslang die prächtige Rute
Strotzen vom Mittel herauf, wenn es die Liebste gebeut,
Soll das Glied nicht ermüden, als bis ihr die Dutzend Figuren
Durchgenossen, wie sie künstlich Philaenis erfand. »
« Vénus paléolithique » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior
http://fr.vikidia.org/wiki/V%C3%A9nus_pal%C3%A9olithique
Car, j’insiste, en cette abbaye sacrée du Thélème de notre djihad priapique et passoulinien, la composition de la population qui honore ces lieux est magnifique !
C’est une élite de femmes et d’hommes d’origine noble, d’excellente éducation, présentant les meilleures qualités sociales. J’ai les noms … vous aussi !
Non seulement, nos membres priapiques sont physiquement avenant, mais tout dévoué à la cause ! Car, en effet :
« Jamais ne furent vus chevaliers si preux, si galants, si habiles à pied et à cheval, plus verts, mieux remuant, maniant mieux toutes les armes. Jamais ne furent vues dames si élégantes, si jolies, moins acariâtres, plus doctes à la main, à l’aiguille, à tous les actes féminins honnêtes et libres, qu’étaient celles-là ».
Djihad ! Djihad ! mes Frères et Sœurs… mais DJIHAD PRIAPIQUE ! Inonde le monde, miel de vie…
Bloom, parle-nous de Claire (ueda).
—-
L’ami Philip l’a parcourue en long, en large et entravée, malgré son mal de dos légendaire. Le dos de Philip ET le genou de Claire, au final, un Picasso amoureux qui tourne au dripping. Great stuff for a novel.
Ai lu d’une traite le vraiment dernier Roth, Nemesis, lors d’un vol transcontinental. A l’heure d’Ebola, je recommande ce magistral viatique à tous les porteurs sains.
L’état priapique, camarade JC, est celui offert par les ondes de France Culture, écoutées en demi-sommeil, grâce aux merveilleuses consonances de noms de femme… comme Colette Fellous (fellation douce)… ou celui, formidable, de Mme Laure de Vulpian (vulve de louve voluptueuse)…
A qui la faute ?….
Quelle question !
Bienvenue chez nous, Maître ueda : la bibliothèque des combattants priapiques est à vous. Disons de votre ressort …
Je connais Roth par ses derniers livres, pas par ses trilogies.
A part Portnoy.
Roth rothise, mais quel rothisme.
Et ça continue…
Vulpian louve germanique d’un Professor Vulpius à la crinière blanche et à l’inventivité déconnante mais systématique.
Café.
On avait déjà le petit célinien, JC, voilà que tu nous proposes d’être le petit sadien. Sommes-nous condamnés à la république des petits ?
…ça va pas, Jacky ! Sade propose une révélation par le bas, et moi une élévation par le haut…
Avec ou sans fessées et pilules de cantharide, JC ?
Jacques, vous savez combien je ne partage pas vos généreuses pulsions.
Mais pour me défaire de l’état décrit par JC en me procurant une modeste débandade, je me suis pris à évoquer les matrones.
Il me semble qu’après un week-end forcé en compagnie de Mmes Duflot, Cosse et Voynet je serais davantage ouvert a la différence.
Pour ueda on sait de quoi il est le petit…
« Mmes Duflot, Cosse et Voynet »
Là, on n’est plus dans le petit mais dans le minus, ueda, le microscomique !
Avec tout ça, n’allons surtout pas réveiller le gros !
« Le 25 juin 1772, de passage à Marseille, le Marquis de Sade se rend au 3ème étage du 15 bis de la rue d’Aubagne où son valet Latour a réuni 4 filles publiques de 20 ans pour une partie fine. Pour motiver au mieux ces demoiselles, Sade leur fait absorber des pilules d’anis à la cantharide, aphrodisiaque alors très en vogue.
Si bien, qu’affaires faites, l’une des prostituées se croyant empoisonnée s’en va porter plainte à la police pour flagellation, possession charnelle empoisonnement et enfin sodomie, pratique que les 4 disent avoir toutes refusées. Il faut savoir qu’au XVIII siècle la sodomie entraînait la peine de mort. »
Les Duflot, Cosse et Voynet sont faites de cette nature ovarienne violente sublimée en lutte politique aberrante.
Les caves de Thélème, la bonne volonté pédagogique de nos membres, ne peuvent que transformer ces viragos en délices et orgues* de tendresse.
* une touche mal caressée m’a fait écrire « orques ». Orques de tendresse, c’était vache !
L’inénarrable n’a pas répondu, et pour cause, à la question : « Avez-vous écrit ça : “Le théâtre de G. est mort. Il n’est sur les planches de plus aucun théâtre”, ou pas. Aucune importance, je ne m’attends pas qu’une nouille trop cuite assume ses mots.
Cela dit, voilà que comble du ridicule, dans le même environnement je tombe sur ça : « J’entends un partout des auteurs qui ne connaissant absolument rien à la langue polonais (par exemple Sollers) dirent que l’insuccès durable des romans de G. viendrait des mauvaises traductions de G. Qu’est-ce qu’il en sait ce brave Sollers si les textes de G. sont bien ou mal traduits ? Il n’en sait fichtre rien ! Rien du tout ! Et quel mépris pour les traducteurs ! »
Et là une autre question surgit : « Il ne vient pas à l’esprit de l’inénarrable que, quel que ce soit l’opinion que l’on a pu se faire de Ph. S. écrivain, étant donnée sa position sur l’échiquier de l’édition française, il puisse compter sur le jugement d’un locuteur compétent ? Et, incidemment : « Est-ce que parce quelqu’un a simplement fourni un travail nous sommes obligés de l’apprécier quelle que ce soit la qualité du travail ? ».
Ah ! Voilà l’environnement :
« Il faut savoir qu’au XVIII siècle la sodomie entraînait la peine de mort. »
Tremblez, sodomites perdus en mère…
Pour la différence, essayez du côté de Mélenchon, ueda, perso je milite plutôt pour l’indifférence !
Qu’est-ce qu’il a contre Sollers, renato ? Il en semble obsédé !
Au contraire J.B., Renato défend Sollers méchamment attaqué par Widergänger.
Je voulais traduire le Priape de Goethe, par politesse ; mais Raymond Voyat est plus élégant (!) que je ne le serais :
« Ni la pucelle ni la matrone ne s’effarouchent à ma vue,
Je ne suis plus laid – je suis fort, démesurément.
Voici ta récompense : qu’à l’appel de l’aimée, un membre
Long d’un demi-pied surgisse, superbe, de ton ventre,
Et que ce phallus ne fatigue avant que d’avoir exécuté
Toutes les douze figures qu’experte, Philénis inventa. »
Quelqu’un pourrait-il traduire widergänger?
@De l’intérêt d’une lecture attentive
« comble du ridicule, (…) Qu’est-ce qu’il en sait ce brave Sollers si les textes de G. sont bien ou mal traduits ? Il n’en sait fichtre rien ! Rien du tout ! Et quel mépris pour les traducteurs ! »
CP,
Sauf votre respect, nous serions heureux d’avoir un Guide Spirituel de votre trempe … Mille mercis pour cette traduction signifiante d’un combat éternellement nouveau !
Eh bien justement, J.B., cette phrase est de W. (dans le blog de Paul Edel, sous un autre pseudo) et Renato le CITE!
Autant pour moi, de l’intérêt, je n’ai pas eu le courage d’aller vérifier les dires du gros. Mais renato parle souvent de Sollers, généralement pas en bien !
Il le voyait même ici, parmi les commentateurs !
Quand baroz fait con, il ne le fait jamais à moitié.
Jacques, de l’intérêt a raison, bien sûr ! Voyez « un passant… », le 1er juillet à 2h 34, sous l’article « Nadeau ». Cela dit, Michel concédait quelque chose au JOURNAL de G. Mais pour le reste…
« De l’intêret (sic) d’une lecture attentive »
Et d’une écriture aussi ?
Au fait, qu’est-ce qu’il devient l’autre JB, serait-il interdit de poster ici ?
Ce n’est pas bien, Jacques, de fonder sa lecture d’un post sur l’opinion connue de l’auteur du post… On peut aimer une période d’un écrivain et pas une autre ; on peut ne pas aimer l’écrivain mais lui reconnaître des mérites… etc., etc. Par ailleurs, vous exagérez en disant que je parle souvent de Ph. S.
« Il le voyait même ici, parmi les commentateurs ! »
Enfin ! il s’agissait d’un jeu avec le petit célinien, Jacques ! mais bon, nous sommes sur terre… entre humains !
C.P., on a tous lu ce que disait ML sur le théâtre de G. et l’on sait qu’il ne reconnaitra jamais ses torts. Ce n’est plus de l’ordre de la mauvaise foi chez lui, mais de l’aveuglement…
Ah ! des guillemets et de leur utilité !
Merci J.B. pour l’écriture.
Jacques Barozzi dit: 23 août 2014 à 10 h 37 min
« De l’intêret (sic) d’une lecture attentive »
Et d’une écriture aussi ?
Quand baroz mouché, baroz cracher très très petit.
Je réitère ma demande: que veut dire le mot « widergänger »?
« Un passant qui reste, un restant qui passe » ça je comprends (à peu près).
Vladimir Nabokov avait vingt ans lorsqu’il s’est trouvé en exil. Il écrivait des vers depuis dix ans environ. À l’âge de seize ans, il avait eu « le malheur » de publier son premier recueil de poésie que ses maîtres et camarades du célèbre lycée Ténichev (Teniševskoe učilišče) à Saint-Pétersbourg soumirent à des moqueries sans pitié. C’étaient encore des vers d’adolescent écrits sous l’influence de Ivan Bunin, de Afanasij Fet et sans doute de Aleksandr Blok. La séparation avec le sol natal a fait naître chez le jeune poète un flux de poèmes sur la Russie dont le nom figure souvent dans les titres mêmes des vers et ceci jus-qu’à 1939 : « À la Russie » (« Rossii ») (1921), « La Russie » (« Rossija ») (1922), « La Patrie » (« Rodina ») (1923), « À la Patrie » (« Rodine ») (1923), « La Patrie » (« Rodina ») (1927), « À la Russie » (« K Rossii ») (1928), « À la Russie » (« K Rossii ») (1939). Ce dernier poème écrit tout de suite après le pacte germano-soviétique mettra fin à ses nombreuses interpellations de sa patrie. Après, comme l’a dit Nabokov lui-même, même s’il s’adressait à la Russie, il le faisait indirectement, « par le biais des intermédiaires »
In:
Le mal du pays dans la poésie de l’émigration russe : Marina Cvetaeva et Vladimir Nabokov
Ludmila KASTLER
Université Stendhal-Grenoble III, Institut des Langues et Cultures de l’Europe et d’Amériques (EA 613), Centre d’Études Slaves Contemporains
Vu « Sils Maria ». Deux heures de mélo sur papier glacé, auquel on ne croit pas une seconde. Zéro pointé. Economisez vos euros!
Ce n’est pas bien… méchant, renato, disons que je suis intrigué par l’intérêt que l’on peut porter à Philippe Sollers, l’écrivain. Malgré ses goûts pour Venise et Casanova, je ne me suis jamais décidé néanmoins à le lire. A part ses papiers didactiques sur les auteurs classiques, en ouverture du Monde des livres de jadis, que j’appréciais. Mais le pantin médiatique au fume cigarette m’a toujours découragé d’aller plus loin. Paul Edel semble beaucoup l’apprécier et vous en parlez de façon mitigée. Mérite t-il vraiment le détour ?
closer, vous n’aimez pas les beaux chromos dignes des boîtes de chocolat, avec montagnes enneigées et lacs glacés !
Il ne s’agit pas de ce que je concède ou pas ! Il s’agit de ce qu’écrit un spécialiste de Gombrowicz. Ne manipulez pas la réalité C.P., comme d’habitude !
Jacques Barozzi dit: 23 août 2014 à 11 h 09 min
closer, si vous attaquez cinéma avec Jacques Barozzi, n’oubliez jamais que pour lui Luc Besson est le plus grand cinéaste français actuel.
Terminus radieux, le lien est mieux:
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/422b4e9c-29d9-11e4-8ab3-d33d36d7ae61/Antoine_Volodine_Il_subsiste_de_la_beaut%C3%A9_m%C3%AAme_si_les_hommes_lont_ravag%C3%A9e
« Dans les six cents pages de Terminus radieux, il y aura des récits enchâssés, des figures de conte russe, des combats fabuleux, de somptueuses descriptions de friches industrielles, des litanies merveilleuses de plantes imaginaires, des réminiscences surréalistes d’idéologie soviétique, des dialogues d’un comique irrésistible. On parle, à propos des sombres récits de Volodine, d’humour du désastre. Et, en effet, on rit souvent, mais ce rire est aussi empreint d’émotion et de tendresse pour ces personnages qui échappent à tout réalisme et sont pourtant d’une vérité implacable. »
Le mot Widergänger est un mot intéressant, à double entente. Cherchez vous finirez bien par comprendre. Ne désespérons pas Billancour (bille en tête, bille en Court…)
pas germaniste.
Dient ein Leichnam als Gefäß für einen Watcher oder ähnlich minderen Geist, nennt sich das Ergebnis nicht Zombie, sondern Widergänger, und ist entschieden schwächer als ein Zombie – auch wenn er immer noch mehr Möglichkeiten hat, auf der physischen Ebene zu handeln, als ein Watcher in seiner « normalen » projizierten Gestalt.
http://shadowiki.de/images/e/e3/Critter_Corps_Cadavre.jpg
Le scénario de « Sils Maria » n’est pas si nul, closer, avec le dédoublement et la confusion des sentiments entre l’actrice internationale vieillissante et les deux jeunes femmes du film : la rivale et l’assistante.
Widergänger dit: 23 août 2014 à 11 h 11 min
Il s’agit de ce qu’écrit un spécialiste
Comme son « professeur de cinéma » ?
Wwwwoouuuaaaarrrfff !
Je me garderais bien de dire quel est le plus grand cinéaste français actuel, ou le plus grand écrivain, Bon à savoir. Je ne raisonne pas comme cela et suis incapable de dresser des hit parades…
Bien sûr, mon « professeur de cinéma » comme vous dites est un des grands spécialistes de Godard et du cinéma américain, pauvre tartignole ! C’qu’y sont nuls sur la Rdl !
Michel, je ne manipule pas : ce n’est pas un spécialiste qui a déclaré ne pas aimer FERDYDURKE, c’est vous. Au demeurant, c’est votre droit et c’est tout autre chose que de dire que le théâtre, cette fois, de G. n’est pas joué.
On ne peut traduire avec certitude « Widergänger » ; je crois comprendre, mais il reste toujours un peu plus…
En revanche, ML, lui, il est capable de vous dire quel est le plus grand, le plus beau, le plus fort, avec des arguments imparables !
Par exemple, après avoir reconnu que Godard était le phare de la Nouvelle Vague mais avoir déclaré que pour mon goût personnel je préférais Truffaut, je me suis fait traîté de grande folle. Imparable !
Je vous dit que vous manipulez, vous me répondez que vous ne mainulez pas. Dialogue de sourd…
nous sommes sur terre… entre humains !
daaphnée est une déesse
Les conseils sont toujours malvenus, Jacques, cependant voilà : il faudrait ne pas s’arrêter au personnage car nous ne savons pas s’il correspond vraiment à Ph. S., ou s’il a choisi un masque et dans ce cas, nous ne connaissons pas les raisons qu’en amont l’ont emmené à le choisir.
Donc, surmonté l’écueil du masque, il faudrait lire Sollers déjà pour se faire une idée de la nature de la perception du Finnegans en France. Et encore, pour se faire une idée de comment le paysage littéraire français se définissait en relation aux apports des littératures d’ailleurs.
Puis, Borges enseigne, on ne demande pas à un vieil artiste d’être innovant et créatif (en un mot : intéressant), mais de bien faire ce qu’il sait faire. Or, l’âge ne dépendant pas seulement du chiffre que l’on trouve sur un passeport, on peut lire ou ne pas lire les textes d’un vieil artiste, mais l’on tiendra en compte ce qu’il a fait dans sa vie avant la vieillesse.
D’ailleurs, je reconnais avoir fait une erreur en disant que Ph. S. n’avait pas maintenu ses promesses, je n’avais simplement pas donné de l’importance au fait qu’il avait vieilli.
Remplacez « folle » par « arabe » ou « youpin » et vous retrouvez le niveau des critiques de « Je suis Partout »…
Dans Widergänger, le plus important c’est « Wider »… Vous en faites tous les frais.
Ben oui, Baroz, Truffaut, c’est un peu la collection Harlequin de la Nouvelle Vague. Une truffe, quoi…
Widergänger dit: 23 août 2014 à 11 h 23 min
Bien sûr, mon « professeur de cinéma » comme vous dites
Je ne le dis pas, c’est vous qui l’avez écrit.
Deux seuls films de Truffaut me plaisent : Les Quatre cents coups et Adèle H. Le reste c’est Harlequin.
« Dialogue de sourd… »
Vous avez bien fait de ne pas mettre sourd au pluriel, ML !
Comme toujours, Baroz, vous êtes excessif et caricatural… Ça vous évite de penser… C’est pas de votre ressort, vous me direz, mais vous pouvez toujours essayer, hummm !
Jacques Barozzi dit: 23 août 2014 à 11 h 33 min
Les points Godwin/Baroz et moncul sont atteints en un commentaire.
Bravo Barozzi, après la journée d’hier nous étions inquiets.
Si seulement vous aviez le regard du sourd, vous apprécierez encore plus le cinéma de Godard, ML !
C’était un fait déjà établi que si l’on dit que Michel a raison, qu’il est très-très cultivé, que son apport est vitale pour la vie de la culture, on est sympa, dans le cas contraire… inutile de rédiger un liste des insultes auxquels on a « droit »…
Je vous trouve un peu rapide ! Qu’est-ce que vous en savez au juste de ce que j’apprécie ou pas chez Godard ? Rien. Vous parlez sans savoir comme toujours. Zêtes le grand spécialiste du vide, comme C.P. qui joue au Gorgias avec Nordey comme metteur en scène..
inutile de rédiger un liste des insultes auxquels on a « droit »…
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Méfiez-vous ! Je sens que je vais encore enrichir ma liste…
« Je sens que je vais encore enrichir ma liste… »
Je n’en doutes pas un instant… puisque c’est la seule chose que vous savez faire…
recherchez le mot « pernicieux »: vous tapez JC et c’est gagné, pareil pour « vieux débris » avec bouguereau
Non, il y a deux ou trois petites autres choses que je sais faire…!
Je recommande de :
– ne jamais avouer un crime que l’on a commis (cela peut nuire à la carrière de votre avocat)
– ne jamais reconnaître ses erreurs (les imputer à d’autres, en choisissant les plus faibles ou les déjà chargés)
– ne jamais reconnaître des enfants illégitimes (conçus en dehors des liens sacrés du mariage, ça ne compte pas )
Soyons fourbes… !!! Franchement !
Tapez « radio keupu »… vous n’avez rien !
– ne jamais reconnaître ses erreurs (les imputer à d’autres, en choisissant les plus faibles ou les déjà chargés)
ça revient a battre sa croupe au finiche dirait clopine
Le seul film de Godard que j’aime me repasser de temps en temps, c’est Le Mépris. Son seul chef-d’œuvre. Les autres… Pour Rohmer, c’est Ma nuit chez Maud, les autres…
Il y a très très peu de films que j’aime vraiment. Quelques films d’action que je me repasse assez souvent (Quand les aigles attaquent, Les Canons de Navarone, etc., quelques western célébrissimes, etc; et des films russes, tout Tarkovsky, Dziga Vertov, l’Homme à la caméra, etc. Le Guépard, les films de Melville aussi.)
moi aussi je préfère truffaut baroz..c’est pas un mal embouché..godard son meilleur personnage c’est lui faut reconnaitre..que lui..terroriss à sa mémère! ses film ses des intros..on peut zapper
Widergänger dit: 23 août 2014 à 11 h 56 min
Ton prof de cinéma va se désespérer…
Le Mépris ?… sublime villa Malaparte, Lang et le cul de Bardot …mmmh! Ma nuit chez Maud ? OK ! le meilleur de Rohmer ! Les Melville ? excellents. Tarkovsky ? intemporellement actuels … grand !
…et Kubrick, bordel de Dieu ???!!!
Les Mille…..
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