Reductio ad merdam
Un colloque a priori peu ragoûtant s’est tenu il y a un peu plus de deux ans sous les auspices du Centre de recherches en Littérature et Poétique Comparées. On l’aurait ignoré n’eut été la formulation mystérieuse et ambiguë de son intitulé : « Saloperies littéraires ! Quand l’ordure entre en représentation ». Ceux qui ne purent hélas assister à ces travaux peuvent désormais se rattraper en se plongeant dans les Actes mis en ligne en libre accès par la revue Silène. Un régal pour l’esprit.
Penser la saloperie, identifier le salaud, théoriser le sale, déconstruire l’immonde dans toute leur complexité requiert un certain courage. Une provocation en nos temps où l’obsession hygiéniste est dopée par la covid. Bien sûr, il y est question quoique superficiellement du « salaud Céline » qui a puisé dans l’imagerie excrémentielle à une tradition déjà bien ancrée dans le pamphlet de la fin du XIXème siècle. Et du tout aussi inévitable du « salaud sartrien » qui par mauvaise foi considère son existence comme nécessaire alors que toute existence est injustifiée et gratuite. Mais plutôt que ces deux classiques du genre trop attendus, c’est sous le patronage de l’auteur du Dahlia noir (1987), ce James Ellroy qui s’y connait en saloperies, que se place ce conclave. Son œuvre est pleine de salauds de tous acabits et ce roman en particulier est de ceux qui hantent durablement ses lecteurs. Les chercheurs qui ont planché deux jours durant sur la question savent que la saloperie est un terrain miné. D’autant que le salaud défie l’écriture inclusive puisqu’il y a des salopes, même si ces dernières souffrent d’être injustement réduites à la dimension sexuelle.
Il y a des sales textes comme il y a des sales types. Des livres traumatisants : polars généreux en scènes de tortures ou de cannibalisme, mise en scène de la cruauté etc et tous textes violents, agressifs, transgressifs qui placent le lecteur face à l’insoutenable et le pétrifient. Mais ce n’est pas parce que ce qu’on écrit relève de la salauderie (« degré de saleté d’une expression », selon Edmond de Goncourt qui parlait en connaissance de cause, le Journal qu’il a co-signé avec son frère en témoigne) qu’on est pour autant un salaud littéraire. Ici, Il s’agit plutôt du sale physique et de l’abjection morale. Plus que jamais, dans un monde où tout est spectacle, l’écrivain doit conserver à l’esprit son « entrée en représentation ». Question de posture. Dans sa communication, Jean-François Louette (Sorbonne) explore la façon dont Samuel Beckett a voulu déjouer l’emphase de la posture d’écrivain :
« D’où son goût pour la posture, ou plutôt la position, du chieur en plein ahan. Assis, les coudes aux genoux, la tête penchée…. Beckett, plus grossièrement : écrire, c’est se soulager ; donc, entre autres, s’installer et s’ébattre dans la merde ».
L’auteur d’En attendant Godot inspire d’ailleurs ce recueil de manière lancinante. Frédéric Rousille (Université Bordeaux-Montaigne) va jusqu’à écrire : « Le pseudo-sujet de Beckett oscille entre être et ne pas être, diarrhée et constipation », ce qui effectivement renouvelle notre intelligence de l’ensemble de l’œuvre.
Merde, crachats, morve, dégoût, cochonneries, déchet, ordure, excrément, immondices, insultes, souillure, pourriture… Mais que de pépites et de fusées dans cette diarrhée verbale ! Une lecture moins tord-boyaux qu’on ne pourrait le craindre tant les auteurs convoqués (Rabelais le tout premier mais aussi Georges Bataille, Jean Genet, Antonin Artaud, Michel Leiris, Topor…) sont des artistes, parfois virtuoses dans leurs tentatives de transmutation de la saloperie par le sublime. Il n’est pas donné à n’importe quelle main à plume de subvertir salé et sucré en sale et sacré. Grâce à Edouard Garancher (Sorbonne Université), Léon Bloy occupe une place de choix dans ce grand rassemblement : à le suivre, on entre au paradis avec une couronne d’étrons, souillé donc sanctifié, assuré du salut par l’abject :
« L’écriture scatologique bloyenne est sous-tendue par un fantasme régressif de reductio ad merdam de sa cible, au sens le plus physique ».
Le grand romancier et pamphlétaire catholique, qui s’était lui-même surnommé « Le Scatologue », se figurait l’Apocalypse sous la forme d’un cataclysme excrémentiel, qui rendrait à chacun sa vraie place dans la Création :
« On se demandera bien sûr si cette spéculation théologico-littéraire ne risque pas de se transformer en un carnaval sacrilège. On ne fait pas communiquer impunément le sacré et le fécal ».
Pour que le corps écrive ce que la pensée n’ose… . Cet emprunt à Marcel Moreau aurait pu figurer en épigraphe de ce recueil de réflexions, si fécondes par les pistes qu’elles ouvrent. On ne dira pas que leurs auteurs s’en sont débarrassées puisque, selon le mot de Lacan cité par un auteur, publier c’est se purger, jeter à la poubelle, autrement dit se résoudre à la « poubellication ». Pas le moindre haut le cœur dans la découverte de ces analyses où le scatologique se mêle subtilement à l’eschatologique. Même si à force cela bannit toute lecture innocente : face à la richesse du sommaire, on n’ose même plus parler d’abondance des matières. Pareille lecture invite à se pencher sur ce qui nous fascine dans ce qui nous dégoûte.
(« Aix, 1968 » photo Henri Cartier-Bresson)
927 Réponses pour Reductio ad merdam
la saleté:
« le linge sale » se lave en famille!
@JJJ
*ecrire comme vous le faites cunnilingus anal c’est aussi saugrenu que de dire,comme on l’entend parfois, ‘essuie-mains des pieds »
Bien vu DHH @ !
dans ce papier de Martel, un spécialiste du clergé chaud, si vous avez le courage de le lire jusqu’au bout, vous verrez apparaître le terme « annulingus » que j’avais vu et zappé, transformé à tort en ce que vous dites.
https://www.franceculture.fr/litterature/le-siecle-denfer-de-lecrivain-catholique-et-homosexuel-julien-green
Tout ça pour vous dire que j’apprécie votre humour, DHH, ce qui n’enlève rien à votre sérieux et exigence de rigueur habituelle… Vous êtes éloignée de cette atrabilaire de RM, qui après m’avoir dénié le goût des sigles, se croit obligé de préciser les siens. L’est pas trop rigolo, lui…, c dommage, car il compte en herdélie, mais il a qq chose de toujours un peu déplaisant… Arrive pas à séduire, cause de ses lombalgies… je sais bien que quand on souffre, on acrimionise un brin, mais quand même, hein !.., (mqtf). Il
Bàv.
…
On laissera l’Air Lingus aux Irlandais désireux de s’envoyer en l’air en leur compagnie préférée.
ah… pardon aux deux pour les digles… ai confondu rm et jibé… Mes excuses pour le 2e ! hein ! 🙂
(je rigole)…
Julien Green est converti, dear jjj
@ Air Lingus pour les irlandais
>>Air Lingam & Yoni pour les hindous<< (Shiva et Parvati ?)
Funny !…
Bàv, bloom…, content de votre retour sur cette chaine bin trisss !
@JJJ
Green est aussi irréprochable comme chretien que Cahuzac ministre du budget l’etait au regard de l’orthodoxie financiere et fiscale
Ajouter et enlever, et al., ce ne sont que des possibilités.
Le goût des sigles…
Nous disposons d’un système de signes pour communiquer : un sigle, dans un environnement, est parfaitement compréhensible, et peut même faire dans la littérature, il est toutefois souhaitable que tout le monde puisse la comprendre.
la comprendre > LE comprendre
s. Cet “extatique par excellence”27 adopte lors des rituels
une conduite précise qui suit “la logique de la maitrise du désordre” :
“Voilà pourquoi lorsque certains chamans mangent leurs excréments,
urinent contre les autels les plus sacrés ou perturbent les cérémonies
religieuses, personne chez les Zuni ne les tient pour fous. Ils sont de fait
‘enthousiasmés’ par l’Oiseau Tonnerre, le plus puissant des esprits.”28
“La vocation de transgresseur” du chaman lui permet de “chevaucher
les frontières ordinaires et [de] se jouer des bannières apparentes entre
les mondes (visible/caché) et les états (humain/animal, homme/femme,
vivant/mort),” tout en déjouant la sorcellerie.in
s. Cet “extatique par excellence”27 adopte lors des rituels
une conduite précise qui suit “la logique de la maitrise du désordre” :
“Voilà pourquoi lorsque certains chamans mangent leurs excréments,
urinent contre les autels les plus sacrés ou perturbent les cérémonies
religieuses, personne chez les Zuni ne les tient pour fous. Ils sont de fait
‘enthousiasmés’ par l’Oiseau Tonnerre, le plus puissant des esprits.”28
“La vocation de transgresseur” du chaman lui permet de “chevaucher
les frontières ordinaires et [de] se jouer des bannières apparentes entre
les mondes (visible/caché) et les états (humain/animal, homme/femme,
vivant/mort),” tout en déjouant la sorcellerie.
s. Cet “extatique par excellence”27 adopte lors des rituels
une conduite précise qui suit “la logique de la maitrise du désordre” :
“Voilà pourquoi lorsque certains chamans mangent leurs excréments,
urinent contre les autels les plus sacrés ou perturbent les cérémonies
religieuses, personne chez les Zuni ne les tient pour fous. Ils sont de fait
‘enthousiasmés’ par l’Oiseau Tonnerre, le plus puissant des esprits.”28
“La vocation de transgresseur” du chaman lui permet de “chevaucher
les frontières ordinaires et [de] se jouer des bannières apparentes entre
les mondes (visible/caché) et les états (humain/animal, homme/femme,
vivant/mort),” tout en déjouant la sorcellerie.
Capitales des marges :
Henri Michaux, Michel Leiris, Aimé Césaire ou
le sacre des à-côtés
Mathieu PERROT
University of Virginia
Green est un converti, de l’anglicanisme au catholicisme, vers ses 16 ans, un retour au bercail romain. son Frère François est un assez beau texte sur un des rares saints sympathiques du ciel catholique.
Il aimait Rome dans le catholicisme romain, l’ancienneté, la radicalité des dogmes. Beaucoup d’esthétisme.
Sinon, catho comme Cahuzac socialiste? Pas mal trouvé, ça, DHH
Allez bougro, on fonce dans le tas pour un petit dézingage, la soupe est servie.
même lien:
Quant à la saleté des Européens, qui ne valent pas mieux que des mouchoirs
usagés, elle est d’autant plus indécrottable qu’elle est ‘dharmique’ et
qu’elle ne se réduit pas à leur hygiène corporelle : “L’Anglais se lave fort
régulièrement. Néanmoins il est pour l’Hindou le symbole de la souillure
et de l’immonde. L’Hindou songe difficilement à lui sans vomir. C’est que
l’Anglais est constamment souillé par des contacts dont l’Hindou se garde
bien.”90 Ces contacts sont ensuite explicités : l’alcool, par exemple, qui
est, comme la viande, avilissant.
b/ Le crachat et la “merde”
Dans l’article “Crachat” de la revue Documents, Griaule et Leiris, qui
étaient encore amis avant la publication de L’Afrique fantôme, évoquaient
la souillure informe qui avilit “la divinité de la bouche” et fait de tout ce
qui est dit, du langage, une simple sécrétion, pour ne pas dire une excrétion.
Les ethnologues rejetaient ainsi la binarité du haut et du bas, de l’idéal et
du réel, de manière universelle.91
Michaux évoquait le plaisir des premières joies de l’enfant à malaxer
des matières molles, boues ou excréments, bientôt interdites par les adultes.
Il trouve sémiotiquement dans le mot de révolte (“Merde !”) une expression
qui “annihile le noble et ruine le possédant”92 et pousse les riches à rester
entre eux, loin de ce “langage facilement ordurier qui évoque l’infect et
le misérable” des “gens pauvres” qu’ils craignent. Malléable dans son
utilisation linguistique autant que physique, “Merde !” est autant une arme
rhétorique chez l’adulte qu’une source de création primaire et amorale
chez l’enfant. Elle divise autant qu’elle rassemble.
III – Penser en marge : une poétique paradoxale
et alii, le même extrait trois fois de suite, c’est parkinson qui frappe à votre place et copie-colle plus vite que votre ombre?
un sigle, dans un environnement, est parfaitement compréhensible, et peut même faire dans la littérature, il est toutefois souhaitable que tout le monde puisse la comprendre
..rénateau veut rabiller lavocat daffaire pour mettre à poil la banque suisse et le capitalisme qu’elle dirait alesquia en burka
la soupe est servie
lbolinger c’est pas pour l’populo quil dit mon viconte à numéro
idem pour le lien:
s, comme l’orgie sacrée des mages d’Au
pays de la magie où les femmes sont mariées à un mannequin : “Là, ils
observent la loi d’impureté. Les orgies y sont sacrées. L’urine est leur
eau (pour se laver).”132
Certains poèmes de Michaux, comme “Ratureurs,” n’hésitent pas à
associer ce qu’il y a de plus sacré en Occident (i.e. la cathédrale) et ce
qu’il y a de plus bas en termes d’émotions, d’humeurs, ou de langue :
“Cathédrales de la transe / de la rage / de la bouse / de l’abcès / de l’injure
/ de la plaie du dedans.”133 Le vile est ainsi sublimé et le sacré, souillé
@JJJ
Green est aussi irréprochable comme chretien que Cahuzac ministre du budget l’etait au regard de l’orthodoxie financiere et fiscale
golman zax qui se fout du roi des juifs ça fait toujours travailler les zigomatic à drh..
pour vous éclairer:
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Joana Vasconcelos a trouvé preneur pour son lustre baptisé « A Noiva » (The Bride ou La Fiancée). Cette œuvre, qui devait faire partie de l’ensemble de l’exposition consacrée à l’artiste portugaise au Château de Versailles, avait été « censurée » à cause du matériau qui la compose : des milliers de tampons hygiéniques OB. Le Centquatre (Paris 19e), lieu d’exposition et de rencontres autour de l’art contemporain et de la culture, s’est montré plus ouvert en acceptant d’accrocher l’œuvre en tampons de 5 mètres de haut, à partir du 5 juillet.
https://www.terrafemina.com/culture/cine/articles/14887-joana-vasconcelos-le-lustre-en-tampons-hygieniques-sexpose-au-centquatre.html
Julien Green est converti, dear jjj
une pièce en or à trou type lindauer ça exiss pas dirphilou
J aime bien Modiano c est quand même le studio Harcourt sur les années 40 et 60
polo et son sans poil mais façon parioolioud quelle dirait bonne clopine
En 1960, Arman compose une poubelle de salles de bains, accumulation de déchets dans une cage de verre sur un socle en bois de style Napoléon trois. Condition de la femme N°1 (il n’y a pas eu de suite).
Cette poubelle contient les détritus de poubelles d’Eliane Radigue,première épouse d’Arman. Qu’est ce que donc la condition de la femme? Le savoir d’Ipathia? la poésie? la musique composée par Eliane? Non, la femme dont l’artiste fait ici le portrait en creux se reconnaît au miroir brisé, vernis à ongles, dentifrice, cachets pour la migraine, boites de tampons hygiéniques et préservatifs usagés.
sur le même lien:red flagavec JUDY CHICAGO
https://www.franceinter.fr/culture/art-et-tampax-les-hommes-d-abord
« on dit anilingus monsieur » qu’il a dit verlaine au juge
Le sang menstruel dans l’art contemporain>
Le sang menstruel chez les artistes femmes, article d’Emilie Bouvard (site de l’université Paris-1)> Carole Schneemann extrait de son vagin, en le déroulant, un « parchemin intérieur » (qui donne son nom, Interior Scroll , à la performance de 1975) portant des textes qu’elle lit à voix haute> Kiki Smith>
un des rares saints sympathiques du ciel catholique.
dear jibé, pensez à changer d’encre
@ il est toutefois souhaitable que tout le monde puisse le comprendre [le langage des sigles].
… voilà qui est mieux, donc la prochaine j’essaierai de les épeler., RM – D’ailleurs je commence par un exemple pour les sourds et les muets : RDL = République des Livres. RDI = République des Ivres.. LSM de SMS = le sang menstruel de Soeur Marie Sasseur…
Il suffit de suivre tous les mois une pente de lecture logique de haut en bas de la liste… et ça coule de source !…
NB (bene nota) / je rappelle que Pierre Rosanvallon examine quatre types d’épreuves émotionnelles pérennes qui altèrent et fragmentent gravement les attitudes politiques et sociales des populations différemment distribuées au sein de la stratification sociale française. Il montre anéfé comment les sentiments de mépris, d’injustice, de discrimination et d’incertitude contribuent à la désaffection d’attentes politiques qui ne sauraient plus trouver leur débouché naturel dans la logique objective du suivi de leurs intérêts de classe…
Ce qui reste assez cocasse, quand on sait que ça n’a jamais été vraiment le cas, au cours de l’histoire. objectivée des deux derniers siècles, même au sein de ladite « conscience de classe ouvrière »…
PR imagine que chacun, désormais plus attentif aux affects de l’autre et par suite susceptible de relativiser les siens propres, pourrait produire à nouveau du « commun », de sorte à relancer l’approfondissement de la vie démocratique sur de nouvelles bases moins empoisonnées…
Il montre par ex. comment les « Gilets jaunes » furent en mouvement protestataire mal réductible à des intérêts de classe de petis-blancs moyens, (has-been ou fers de lance ?…), et resterait plutôt l’énigme d’une constellation de gens aux intérêts divergents, mais tous mobilisés dans l’attente d’une reconnaissance de dignité adressée à un « adversaire » qui n’en était pas un…
Hélas, tant à Paris-Elysée qu’à la RDL, leurs émotions furent bien mal traitées et restées largement incomprises, elles dérangeaient trop les habituelles zones de confort des uns et des autres…
Il reste donc bien difficile de « comprendre autrement les français »… A la différence de closer, je ne crois pas trop à cette robinsonnade, mais ne renonce pas à la neécessaire réflexivité psychosociologique pour décrypter tous les sigles de notre monde convulsionnaire et muationnel… Chacun avance un bout d’explication. Autant en tirer le meilleur parti possible, sans se fslg* pour autant… Montrons l’exemple, hein !
(*fslg = foutre sur la goule).
Bàv (bien à vous)
@ une pièce en or à trou type lindauer ça exiss pas dirphilou
Pourriez-vous nous décrypter cette phrase cryptée,,.. là… j’avoue m’y casser le Phil des dents… et j’M pas trop ça… Merci (le K. éché…)
(nb / pour etalii… Je lui rappelle que le personnage de Folcoche était, à l’origine une contraction de Folle et Cochonne…, on a trop tendance à oublier les mots-valise au profit des sigles, de nos jours)…
@ jmb
@ L’anulingus, ou anilinctus voire anilingus, est une pratique sexuelle consistant en l’excitation buccale de l’anus ou du périnée[1]. Cette pratique est aussi désignée par l’expression « feuille de rose »[2]
Ah, je savais bien que j’aurais dû commencer par ça, rôz ! Je ne songe jamais à consulter les dictionnaires avant de tourner sept mois ma langue dans le sympathique encrier de saint François … J’aurais tout à refaire… ! hélas, j’ai pas lu tous les livres, et pour la chair, c un peu trop tard… comme aurait dit le mâle armé…
Tout revient, même Carole :
https://lesempio.blogspot.com/2019/03/carolee-schneemann-up-to-and-including_36.html
« qu’elle dirait alesquia en burka »
Bouguereau
Jamais vu ça chez Isabel Marant, chez qui je m’habille presque exclusivivement.
@alexia
le jour où vous revendrez vos nippes de l’année passée sur le bon coin faites moi signe
mais un conseil , s »agissant de nippes chères pour executive women dans votre genre je vous conseillerais plutôt Max Mara
@ alexia… Vous devez être une fille super canon, n’emp^che, hein !
c pas du Prada ! …
https://www.isabelmarant.com/fr?gclid=EAIaIQobChMI7v2Mu6W78wIVFamyCh3rcQQTEAAYASAAEgJU4_D_BwE
Bàv,
Les déchets médicaux représentent les déchets issus des activités de soin prodiguées dans différentes structures médicalisées, notamment dans les structures hospitalières. Comme les déchets vétérinaires qui leur sont parfois assimilés, pour des raisons de biosécurité et de d’hygiène et de santé publique, le suivi de leur production, transport, gestion et élimination nécessite des précautions écologiques et sanitaires actuelles. Ils sont soumis à des réglementations spécifiques.
Les parties de corps humains issues de la circoncision ou de l’accouchement peuvent dans certaines sociétés avoir une importance religieuse et culturelle nécessitant qu’ils ne soient pas considérés comme des déchets médicaux, c’est par exemple le cas du cordon ombilical desséché et du placenta humain (considéré comme une sorte de double du fœtus) en Polynésie française, qui traditionnellement est encore enterré par la famille après l’accouchement, dans la cour ou le jardin de la maison, sous un nouvel arbuste ou près de celui-ci (arbre fruitier selon la tradition)15. Cette tradition est perturbée par le développement des accouchement dans les maternités, souvent loin de l’île du domicile ; « Les mères venues des îles lointaines doivent demander à la sage-femme de congeler le placenta qu’elles emporteront parfois quelques semaines plus tard, dans une glacière ou dans le « fret congélateur » d’un navire. Dans ces conditions, il est probable que beaucoup préféreront y renoncer »15.
CRACHAT est un patronyme littéraire
http://www.folio-lesite.fr/Catalogue/Folio/Folio/Vagadu
et dotée d’un « nom qui inspire le dégoût et qui fait contraste avec vous-même » (p. 12) : Catherine Crachat – la pure et l’abjecte. Mais ce qui est le plus remarquable, c’est que c’est pour cela, dit-elle, qu’elle veut raconter son histoire, et qu’elle
in Là où la fiction défaille…
Bruno Gelas
Dans Annuel d
https://www.cairn.info/revue-annuel-de-l-apf-2011-1-page-141.htm
(@les bonnes mères du blog
faut-il retourner le poulet mis à rôtir au four ?)
cochonne?
Truisme se présente ainsi comme un mot-valise. Une première lecture du roman démontre que chacune de ses significations se révèle légitime selon le type de lecture que l’on entreprend. Les critiques littéraires semblent plus attentives aux truismes rhétoriques et aux allégories sociales que le roman met de l’avant. La présence manifeste des figures du marginal dans la société de la fiction renforce leur choix d’une lecture allégorique.
et alii ça pond ça pond ça pond beaucoup trop !
hassé lu de cochaunnery ki dirè le greubou.
bonsoir.
(@(@les bonnes mères du blog
faut-il retourner le poulet mis à rôtir au four ?)
En cours de cuisson ; sait-on jamais)
PUCK
ça LIT? MAIS SALIT PAS !
bon week end
La Convention sur la diversité biologique (CDB) est un traité international juridiquement
contraignant qui a trois principaux objectifs : la conservation de la diversité biologique, l’utilisation
durable de la diversité biologique et le partage juste et équitable des avantages découlant de
l’utilisation des ressources génétiques. Son but général est d’encourager des mesures qui
conduiront à un avenir durable
on aurait aimé lire « copain de blog »mais attendons
https://www.cbd.int/undb/media/factsheets/undb-factsheet-cbd-fr.pdf
ah voui, « Truismes » de Marie Darieussecq… Elle vient de tirer un nouveau roman de ses insomnies… On dit qu’elle est une grande insomniaque malade… Je pense que l’info n’intéressera pas notre ami rm, En revanche, ce n’est pas une Truie qui doute… A la différence de Virginie Despentes, c’est une écrivaine qu’à ma grande honte, je n’ai pas encore pratiquée… Je ne sache donc pas quoi penser de sa valeur littéraire, culinaire ou vestimentaire… Si qq’un.e peut m’éclairer à ces sujets… Merci d’avance. Tchin, c leur.
Bàv,
voici un lien publicitaire.. (oups).
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=978-2-8180-5364-5
Belle traduction d’Ovide (Tristes Pontiques) par Darrieussecq.
ayant rencontré -brièvement-une grande insomniaque(prof de philo) et une de ses amies qui me la raconta, j’évite les insomniaques (pas leurs livres)
“Tania Bruguera Agreed to Leave Cuba in Exchange for Release of 25 Prisoners”
vous l’attendiez :il est là:
« , les chercheurs ont procédé à une analyse virologique et constaté la présence d’un nouveau virus de type orthonairovirus. »
il s’appelle Il s’appelle Yezo virus.
dormez bien!
Belle traduction d’Ovide
celle qu’y préfère dirfilou c’est ovidie
« Truismes » de Marie Darieussecq…
elle a démarré sur les chapeaux djambonneaux et puis elle a fini dans lmou dveau qu’elle dirait bonne clopine
faut-il retourner le poulet mis à rôtir au four ?
c’est capital..bocuse il couchait la volaille sur une cuisse puis l’autre..c’est bien..d’autres sur le ventre dabord et puis sur le dos..le plus profond c’est la peau
Jamais vu ça chez Isabel Marant, chez qui je m’habille presque exclusivivement
ha alesquia..tout ce qui brille m’attire comme un aimant..pfiou j’ai eu chaud
https://www.youtube.com/watch?v=hsmp8PBpYIU
@c’est capital
Et Willy the Pimp, celui-là même qui se défie de la philosophie, n’en a rien dit ? Bon, d’instinct, dorer toutes les peaux apparaît essentiel à une nature bien née ; d’autant mieux dans la perspective d’une carcasse goûteuse pour parfumer le minestrone du lendemain
même de dos c’est un front man
… quelques éléments pour paraitre moins bête dans les dev* de marseille, stokholm et sans slibar
https://fr.wikipedia.org/wiki/Abdulrazak_Gurnah
(*dev = dîners en ville / égiature)
Mais qu’est-ce que j’entends bon sang !
Un poulet en rôtissoire ne cesse de tourner. Et la graisse et les aromates et épices tombent sur la lèchefrite.
Il n’y a donc pas à le retourner. L’arroser de jus aromatisé, de temps à autre.
Quels débutants…je le crois pas.
Importe quel four de milieu de gamme possède un tournebroche. Vous en gaites quoi bande de bananes ?
Et même Bouguereau…gnagnagna oui faut le retourner…gnagnagna.
tristes pontiques
joli salut a Levy-strauss que ce rapprochement des deux titres des recueils de poèmes d’exil d »Ovide:les Tristes et les Pontiques
Autour de l’exil d’ovide sur les bords de la mer Noire un joli livre de l’autrichien Ransmayr intitulé je crois(?) ‘le dernier des mondes »
Non mais je rêve.
moi je te le cuis en crapaudine, avec mon Weber posé sur ma pelouse… tu ne le retournes qu’une seule fois, et tu l’arroses de sa propre graisse ça te donne une viande géniale avec qq feuilles de romarin ! Mes invités sont très contents, en général…
Le Weber te donnes plein de méthodes pour optimiser ta cuisson.
https://www.weber.com/FR/fr/barbecues/barbecues-%C3%A0-charbon/15301053.html?cgid=9&_gl=1*gm6c3w*_up*MQ..&gclid=EAIaIQobChMIsqrcs8W78wIVRLTVCh0cVQTeEAQYASABEgJGB_D_BwE#_gl=1*gm6c3w*_up*MQ..&gclid=EAIaIQobChMIsqrcs8W78wIVRLTVCh0cVQTeEAQYASABEgJGB_D_BwE&start=1
Bien à vous,
@Un poulet en rôtissoire ne cesse de tourner
HS. Le tourne-broche, scellé à une profonde cheminée, dont il faut sans cesse alimenter le foyer et remonter manuellement le poids qui entraîne la rotation du mécanisme : à d’autres
Willy > Willie
https://www.youtube.com/watch?v=KHiclrHm-ig
@tristes pontiques
Brillantes pontinneries de Jean-Luc Ponty alors membre du team Zappa, du temps des grandes heures
Steel guitar…
Original version:
Bouguereau, j’ai comme un doute pour le style, rock’n roll manque de Lettres. Quant à vous, vous êtes à des années lumières du lustre convoité, si vous avez chaud c’est pas de ça que ça vient. Dac pour Max M, plus sobre que Marant. Vu boîte noire.
Gloser, tout de suite c’est les grands espaces, le chevauchées la sauvagerie le bivouac le calumet. Un classique.
Pas de pain, pas de poulet, pas de frites non plus. Repas de fruits ce soir.
et sans slibar
C’est inoubliable, Zanzibar, le Nobel vient de très loin. Imaginez vous venir de là, graine d’intellectuel transportée par les vents et devenir Nobel de littérature, nous sommes 7 milliards dont un infime pourcentage produira oeuvres d’art et il est né à Zanzibar.
D, où êtes vous? Puisque c’est comme ça je vais chercher ma dernière clope dans la voiture.
Repas de fruits ce soir.
–
Très néfaste : déficit en protéines, apport d’acidité, excès de sucre.
Vous auriez mieux fait de manger du poulet, c’est moi qui vous l’dit.
non,DHH,joli salut a Levy-strauss
histoire belge ou pas,
pas de igrec à LEVI STRAUSS COMME LES JEANS
Levi Strauss : wiki dit :
. Malgré sa stature d’homme d’affaires important, il insiste pour que ses employés l’appellent Lévi, et non pas Monsieur Strauss.
(c’est lui qui s’était donné le prénom de Levi à la place de Loeb )
@tout ce qui brille m’attire comme un aimant
et tout ce qui brille n’est pas de l’or qu’il dirait Jojo le fan de Led Zep, qui prend pas un jeton troué de station de lavage pour un Louis d’or
posté au réveil Dans « The Kissing Bug », Daisy Hernández mélange mémoire et science pour décrire le bilan mortel de la maladie de Chagas.
« T. cruzi et les insectes qui s’embrassent apparaissent dans l’histoire de l’humanité bien avant les expériences médicales horriblement racistes du milieu du 20e siècle. T. cruzi a été trouvé dans des momies il y a 9 000 ans. Charles Darwin peut avoir eu T. cruzi . Les journalistes américains de l’ère Gilded Age ont baptisé les insectes « insectes embrassants » après qu’une épidémie a suscité des dizaines de reportages ; une décennie plus tard, un médecin brésilien a isolé le parasite chez un tout-petit local et a donné à la maladie zoonotique son nom commun, Chagas
Dans « The Kissing Bug: La véritable histoire d’une famille, d’un insecte et de la négligence d’une nation face à une maladie mortelle », journaliste, mémoire et professeur Daisy Hernández raconte l’histoire de ces personnes, et l’histoire racialement chargée de cette maladie, qui est incurable à moins qu’elle ne soit détectée tôt et traitée avec un médicament rare.
Cette histoire est personnelle pour Hernández. Lorsqu’elle était une petite fille qui grandissait dans le New Jersey, l’une de ses tantes colombiennes, Tía Dora, s’est rendue dans la région des trois États pour obtenir des soins médicaux pour une mystérieuse maladie qui lui avait enflé l’estomac. À New York, Dora a été diagnostiquée avec Chagas, qui est un cousin de la maladie du sommeil causée par la mouche tsé-tsé africaine. Elle a passé les décennies suivantes à osciller entre la santé et la maladie, à l’intérieur et à l’extérieur de l’hôpital, son œsophage s’effondrant. (Bien que le parasite cible généralement le cœur, il détruit parfois d’autres organes.) La maladie l’a finalement tuée.
https://undark.org/2021/06/25/book-review-lifting-curtain-neglected-disease/
en FRANCE, la maladie dite maladie du baiser:
Ce virus fait partie de la famille des virus de l’herpès. Le virus de la mononucléose est contagieux, mais moins que ceux qui provoquent le rhume ou la grippe. Il se transmet souvent par un contact direct avec la salive d’une personne infectée. C’est pourquoi la mononucléose est surnommée la « maladie du baiser ».
@et alii
merci de la correction
et vous et alii, dont le vrai nom s’est un jour sans doute par une erreur de frappe affiché ici, êtes vous jeans ou structuralisme?
Dans « The Sleeping Beauties », Suzanne O’Sullivan enquête sur les comas inexpliqués et d’autres troubles mal compris.
https://undark.org/2021/10/08/book-review-the-mystery-illnesses-informed-by-culture/
ayany contracté une mononucléose au début de mon mariage, je consultai un médecin à cause des ganglions ;
mon mari qui à cette époque commença d’avoir un zona continua d’en souffrir;
le vidal devint son livre de chevet dès lors
ayant;
Traductions
Terminant La Folie Almayer de Conrad, je m’aperçois que le volume consacré par La Pléiade aux grands romans de cet auteur (et qui ne contient pas son premier opus) est le fruit d’une multitude de traductions anciennes.
Ce procédé est indigne de La Pléiade. Je ne doute pas des efforts d’André Gide – pour ne citer que lui – mais le professionnalisme dans ce cas de figure consiste à confier la tache à un ou deux traducteurs chargés « d’homogénéiser » l’ensemble.
Par contre dans les trois volumes consacrés à l’auteur par cette même Pléiade, on trouve un chef d’orchestre assisté d’une dizaine (!) de collaborateurs
DHH? MERCI;c’est vrai que je suis négligente quand je suis à l’ordi, sur ma table, très bordélique ;
mais je réponds à votre question que je crois être un peu les deux! (je cherche à me remémorer un livre japonais;;ça va venir!)
@ il est toutefois souhaitable que tout le monde puisse le comprendre [le langage des sigles].
mlk.
C’est un » sigle » qui représente une divinité commune à plusieurs cosmogonies.
Cette divinité est associée à des sacrifices humains, et je l’associe à cette » société » inhumaine contemporaine qui sacrifie les enfants , les devore, et les défèque.
Je l’associe en « signature » aux prédateurs sexuels, et aux harceleurs.
« On considère qu’il y a trois secrets qui sont plus sacrés que les autres : médecin, avocat et prêtre, secret de la confession, secret médical, et secret professionnel de l’avocat », confirme au Monde Jean Boudot, avocat au barreau de Marseille et qui fut l’un des avocats des parties civiles lors du procès Barbarin. « Ce secret a été reconnu par la Cour de cassation depuis 1891 » et a été confirmé en 1977. »
L’article du Monde ci-dessous fait bien le point sur le secret professionnel qui est traité de la même façon par la loi, qu’il s’agisse du corps médical, des prêtres ou des avocats. Pas de problème majeur depuis le 19ième siècle. On ne voit pas pourquoi tout ce cirque médiatique autour de cette question. Ou plutôt si on voit très bien…
L’article du Monde ci-dessous fait bien le point sur le secret professionnel qui est traité de la même façon par la loi, qu’il s’agisse du corps médical, des prêtres ou des avocats. Pas de problème majeur depuis le 19ième siècle.
aucun problème ?
Juste un détail: plusieurs centaines de milliers d’enfants victimes d’abus sexuels comptabilisés depuis 1950, par la CIASE, au sein de l’église catholique française.
Et maintenant allons nous amuser.
09/08/2021, 9h10, temps magnifique sur la fontaine
oups, malgré les apparences, nous sommes bien en octobre.
+1.
Ce texte laisse aux ecclésiastiques la possibilité de lever le secret confessionnel tout en précisant qu’il ne s’agit aucunement d’une obligation
Moralement j’imagine que les textes, bible evan giles ne renseignent aucunement sur l’obligation. Dieu est amour. Libre est laissée l’interprétation.
Prédication sur Marc 10:13-16 « Laissez venir à moi les petits enfants, car le Royaume des Cieux leur ressemble. »
Si tous ces faits sont abjects , il reste néanmoins une solidarité intra-corporelle en plus de l’hypocrisie de certains, de la lâcheté ou de la peur pour la hiérarchie qui pouvait tenir le silence soit par complaisance, minimisation du préjudice, des conséquences ou pour ne pas remuer la vase, pour éviter les affaires, le scandale, le procès quand l’alerte était donnée . Il reste aussi toutes ces victimes qui jusqu’à présent n’avaient jamais osé se confier.
Oui MS, un ciel d’un bleu sans nuages, douceur des après-midi, c’est octobre dans le sud.
C’est très bien, espérons que les intéressés suivent cette actualité. Elle libérera la parole et peut être avant une réforme, la mise en place des dispositifs préconisés réussira à prévenir de nouveaux crimes.
Ca fait un moment que water closet nie les faits de pedocriminalite , et maintenant ceux commis par des curés de l’église catholique française.
Il commence par demander comme ça sur un blog, comme il va pisser » qui connaît » des cas de victime ? Sous-entendu, dans son entourage proche. Ce qui lui permet d’insinuer et de » douter », car lui n’en connait pas.
Le même qui a affirmé publiquement sur ce blog, avoir dans sa bibli, familiale ?, des écrivains ayant largement contribué à l’apologie de la pedocriminalité, et qu’il les lit, s’excusant presque en disant que » ça » existe.
Je sais pas, mais cette vieille loque de water closet devrait aller se confesser…
Je pense que water closet n’est pas tres clair, comme
On ne voit pas pourquoi tout ce cirque médiatique autour de cette question. Ou plutôt si on voit très bien…
le président des évèque s’est exprimé comme un plouc ou un prétentieux avocat daffaire suisse selon que tu es puissant ou miserable..larticle du monde est nul quant à « la connaissance des faits » et la valeur de l’origine des sources..par exemple un médecin peut avoir des prémices de preuves de mauvais tratements et juger qu’il faut garder la confiance pour en savoir « davantage » etc. c’est laissé à lapréciation de sa compétence qui a été « la cause de » etc.
Je pense que water closet n’est pas tres clair avec sa sexualité, comme plusieurs vieux vicieux voyeurs, sur ce blog.
Gide, un des plus connus. C’est d’ailleurs décevant, cette asymetrie entre les hommes et leurs oeuvres
MS, il faut sauter dans sa flaque personnelle et voir si à l’évaporation l’éclaboussure laisse des taches.
la connerie pourtant abyssal de térezoune ne subsume pas celle du monde cloclo..ça doit nous rende modeste
Il y aussi des femmes écrivains qui si elles ne font pas l’apologie écrivent sur ce thème, L’art de la joie. Si le coeur vous en dit.
gnagnagna oui faut le retourner…gnagnagna
on est pas a sécher la gonorée et les chancre mou de ton poulet fermier élevé au dechet hospitalier de chez gégé le rotisseur de ton quartier dédé..faut dabord havoir lsens du bien né du sain et du beau qu’elle dirait maïté
Je n’achète que des poulets Le picoreur, Bouguereau. Alors hein.
En Angleterre, le clergé présentent ses excuses, même problème :
www.http://www.lepicoreur.fr/produits/poulet-entier-noir-bio/
Voilà précisément ce que je prends. Très très bon.
que pensez vous de l’expression « femme enfant »?
La Femme enfant est un film franco-allemand réalisé par Raphaële Billetdoux, sorti en 1980.
pense que water closet n’est pas tres clair avec sa sexualité, comme plusieurs vieux vicieux voyeurs, sur ce blog.
Sur ce prestigieux blog beaucoup de spécialistes Dutroux qui n’en sortent pas. Plus de littérature au pays des commissaires maigrelets à l’odeur de vieux choux.
See the girls in California
I’m hopin’, it’s going to come true
www.http://youtu.be/5_MNK_pfhUk
Après le nom du père, le pays des origines maternelles du léZard de Paname…
IL Y A « FEMME ENFANT » , »garçon manqué »
Et fille mère !
et fille de joie
Effectivement il y a un texte qui protege le secret professionnel
Sauf qu’un autre texte prevoit des cas généraux d’exception (par exemple risque de recidive d’un assassin qui s’est confie) et qu’il existe un texte particulier concernant notamment les mineurs victimes de violence sexuelle où la denonciation est obligatoire
queneau:
— Y a grève ?
— Bin oui : y a grève. Le métro, ce moyen de transport éminemment parisien, s’est endormi sous terre, car les employés aux pinces
perforantes ont cessé tout travail.
— Ah les salauds, s’écrie Zazie, ah les vaches. Me faire ça à moi.
40 — Y a pas qu’à toi qu’ils font ça, dit Gabriel parfaitement objectif.
— Jm’en fous. N’empêche que c’est à moi que ça arrive, moi qu’étais si heureuse, si contente et tout de m’aller voiturer dans lmétro.
Sacrebleu, merde alors.
— Faut te faire une raison, dit Gabriel dont les propos se nuançaient parfois d’un thomisme légèrement kantien.
Et, passant sur le plan de la cosubjectivité, il ajouta :
45 — Et puis faut se grouiller : Charles attend
pour abréger -réduire-ce métro movie de zizanie,
« De plus, Zazie dévoile la violence des relations de pouvoir que comporte tout travail : elle choisit sa profession future en fonction des possibilités d’exercer cette violence : « – Oui, […] je serai astronaute pour aller faire chier les Martiens » (p. 23 ; OC, p. 572). »
(je préfère la crasse faite crase in
https://www.cairn.info/revue-roman2050-2013-2-page-157.htm
idem sur queneau:
« Enfin, la famille, garante de l’ordre et de la vertu, est d’emblée décrite comme un espace de débauche et de meurtre : « – Je peux te faire confiance ? Tu comprends, je ne veux pas qu’elle se fasse violer par toute la famille » (p. 9 ; OC, p. 563). Dans la conception ancienne, le père de famille est le représentant et le porteur de la loi. La mère doit être soumise comme épouse, et se définit d’abord comme nourricière, protectrice de l’enfant. Or ici, même si elle a sauvé l’enfant de la tentative de viol du père, la mère se révèle insubordonnée et infidèle. Les deux piliers de la famille traditionnelle sont indignes : le père, violeur et alcoolique ; et la mère qui, après avoir fait assassiner son mari, abandonne son enfant pour courir après un autre homme. Il y a dans cette présentation de la famille une mise à bas du socle de la société des années soixante. Zazie en constate la disparition : « – C’est comme ça qu’elle est quand elle a un jules, dit Zazie, la famille ça compte plus pour elle » (p. 10 ; OC, p. 563).
La première réplique de Turandot est une accumulation de clichés sur une jeunesse dévergondée :
20
Merde de merde, je veux pas dans ma maison d’une petite salope qui dise des cochoncetés comme ça. Je vois ça d’ici, elle va pervertir tout le quartier. (p. 20 ; OC, p. 570)
Ce qui limite la pédocriminalité dans l’église, c’est qu’il n’y a plus que 2% de pratiquants dominicaux (enfants de choeur moins nbx) et que seuls 30% des mômes sont baptisés.
Cependant, le privé catholique (à lui seul 95% du privé) scolarise 17% des enfants (primaire et secondaire) dans 8000 établissements. Mais les 130 000 profs sont rarement des curés désormais.
Les crimes relevés dans le rapport Sauvé ont eu lieu dans le cadre des activités scolaires et extra-scolaires ayant des curés comme encadrants. On peut ainsi se dire que, faute de gibier, le nombre des prédateurs va baisser.
Ce qui ne règle pas le problème de la résistance ecclésiale à lever le secret de la confession au nom des lois de la République, bien sûr.
Les chiffres ci-dessus sont donnés ici:
https://www.enseignement-prive.info/enseignement-catholique
à propos de la psychanalyse, de Lacan,un BELGE DE BELGE sur me diapart rapporte:
» une femme, qui l’a appelé plusieurs fois pour récupérer un livre qu’elle lui a prêté et qu’il a égaré. Il lui assène : « Écoute-moi, vieille truie. Ton torchon de bouquin de merde, je l’ai jeté aux chiottes. Maintenant, je te préviens. Si tu me téléphones une fois de plus, je te casse la tête ! Je ne veux plus entendre ta voix, plus jamais! » (p.170)
https://blogs.mediapart.fr/jacques-van-rillaer/blog/110417/la-psychanalyse-stimule-la-haine-christine-angot-et-alii
argot, procédés,(où l’on trouve tire-jus!on ne se mouche pas avec ses doigts, c’est sale, morveux)
« N’en déplaise aux puristes, le procédé très courant qui a généralisé frites à la place de pommes de terre frites et qui réduit École polytechnique en Polytechnique ou Brigade Mondaine en Mondaine n’a rien de surprenant : il s’agit d’une réduction d’expressions longues, par conversion d’un adjectif déterminant dans celles-ci en un nom de même genre que l’expression de départ à laquelle il se substitue.
in https://www.cairn.info/revue-langage-et-societe-2000-2-page-5.htm
Le vieux philopede pense certainement qu’il n’y a pas mort d’homme, dans cette » entreprise de mort ».
Ces vieux vicieux de » tradis » et leur rhétorique.
@Plus de littérature au pays des commissaires maigrelets à l’odeur de vieux choux.
Dit le valet, vieux vicieux, sans aucune culture, illettré, juste bon à faire de l’activisme sur un blog, pour quelques nationalistes identitaires xénophobes, qui se piquaient ( sont presque tous morts, heureusement) d’écrire des saloperies, et à qui leurs piètres apôtres vouent un culte celui du graaand ecrivain.
Houellebecq n’est pas le premier,et pas le dernier, à avoir démontré ce lavage de cerveau pratiqué comme un mantra qui voudrait que seuls les salauds font de la bonne litterature.
Allez, couché, le clébard !
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