Reductio ad merdam
Un colloque a priori peu ragoûtant s’est tenu il y a un peu plus de deux ans sous les auspices du Centre de recherches en Littérature et Poétique Comparées. On l’aurait ignoré n’eut été la formulation mystérieuse et ambiguë de son intitulé : « Saloperies littéraires ! Quand l’ordure entre en représentation ». Ceux qui ne purent hélas assister à ces travaux peuvent désormais se rattraper en se plongeant dans les Actes mis en ligne en libre accès par la revue Silène. Un régal pour l’esprit.
Penser la saloperie, identifier le salaud, théoriser le sale, déconstruire l’immonde dans toute leur complexité requiert un certain courage. Une provocation en nos temps où l’obsession hygiéniste est dopée par la covid. Bien sûr, il y est question quoique superficiellement du « salaud Céline » qui a puisé dans l’imagerie excrémentielle à une tradition déjà bien ancrée dans le pamphlet de la fin du XIXème siècle. Et du tout aussi inévitable du « salaud sartrien » qui par mauvaise foi considère son existence comme nécessaire alors que toute existence est injustifiée et gratuite. Mais plutôt que ces deux classiques du genre trop attendus, c’est sous le patronage de l’auteur du Dahlia noir (1987), ce James Ellroy qui s’y connait en saloperies, que se place ce conclave. Son œuvre est pleine de salauds de tous acabits et ce roman en particulier est de ceux qui hantent durablement ses lecteurs. Les chercheurs qui ont planché deux jours durant sur la question savent que la saloperie est un terrain miné. D’autant que le salaud défie l’écriture inclusive puisqu’il y a des salopes, même si ces dernières souffrent d’être injustement réduites à la dimension sexuelle.
Il y a des sales textes comme il y a des sales types. Des livres traumatisants : polars généreux en scènes de tortures ou de cannibalisme, mise en scène de la cruauté etc et tous textes violents, agressifs, transgressifs qui placent le lecteur face à l’insoutenable et le pétrifient. Mais ce n’est pas parce que ce qu’on écrit relève de la salauderie (« degré de saleté d’une expression », selon Edmond de Goncourt qui parlait en connaissance de cause, le Journal qu’il a co-signé avec son frère en témoigne) qu’on est pour autant un salaud littéraire. Ici, Il s’agit plutôt du sale physique et de l’abjection morale. Plus que jamais, dans un monde où tout est spectacle, l’écrivain doit conserver à l’esprit son « entrée en représentation ». Question de posture. Dans sa communication, Jean-François Louette (Sorbonne) explore la façon dont Samuel Beckett a voulu déjouer l’emphase de la posture d’écrivain :
« D’où son goût pour la posture, ou plutôt la position, du chieur en plein ahan. Assis, les coudes aux genoux, la tête penchée…. Beckett, plus grossièrement : écrire, c’est se soulager ; donc, entre autres, s’installer et s’ébattre dans la merde ».
L’auteur d’En attendant Godot inspire d’ailleurs ce recueil de manière lancinante. Frédéric Rousille (Université Bordeaux-Montaigne) va jusqu’à écrire : « Le pseudo-sujet de Beckett oscille entre être et ne pas être, diarrhée et constipation », ce qui effectivement renouvelle notre intelligence de l’ensemble de l’œuvre.
Merde, crachats, morve, dégoût, cochonneries, déchet, ordure, excrément, immondices, insultes, souillure, pourriture… Mais que de pépites et de fusées dans cette diarrhée verbale ! Une lecture moins tord-boyaux qu’on ne pourrait le craindre tant les auteurs convoqués (Rabelais le tout premier mais aussi Georges Bataille, Jean Genet, Antonin Artaud, Michel Leiris, Topor…) sont des artistes, parfois virtuoses dans leurs tentatives de transmutation de la saloperie par le sublime. Il n’est pas donné à n’importe quelle main à plume de subvertir salé et sucré en sale et sacré. Grâce à Edouard Garancher (Sorbonne Université), Léon Bloy occupe une place de choix dans ce grand rassemblement : à le suivre, on entre au paradis avec une couronne d’étrons, souillé donc sanctifié, assuré du salut par l’abject :
« L’écriture scatologique bloyenne est sous-tendue par un fantasme régressif de reductio ad merdam de sa cible, au sens le plus physique ».
Le grand romancier et pamphlétaire catholique, qui s’était lui-même surnommé « Le Scatologue », se figurait l’Apocalypse sous la forme d’un cataclysme excrémentiel, qui rendrait à chacun sa vraie place dans la Création :
« On se demandera bien sûr si cette spéculation théologico-littéraire ne risque pas de se transformer en un carnaval sacrilège. On ne fait pas communiquer impunément le sacré et le fécal ».
Pour que le corps écrive ce que la pensée n’ose… . Cet emprunt à Marcel Moreau aurait pu figurer en épigraphe de ce recueil de réflexions, si fécondes par les pistes qu’elles ouvrent. On ne dira pas que leurs auteurs s’en sont débarrassées puisque, selon le mot de Lacan cité par un auteur, publier c’est se purger, jeter à la poubelle, autrement dit se résoudre à la « poubellication ». Pas le moindre haut le cœur dans la découverte de ces analyses où le scatologique se mêle subtilement à l’eschatologique. Même si à force cela bannit toute lecture innocente : face à la richesse du sommaire, on n’ose même plus parler d’abondance des matières. Pareille lecture invite à se pencher sur ce qui nous fascine dans ce qui nous dégoûte.
(« Aix, 1968 » photo Henri Cartier-Bresson)
927 Réponses pour Reductio ad merdam
Photo.
https://www.aixenprovence.fr/Fontaine-de-l-Hotel-de-Ville
Classée aux monuments historiques en 1905, la fontaine de la place de l’Hôtel de Ville a été décorée en partie par le célèbre sculpteur aixois Jean-Pancrace Chastel ; et le bassin polygonal a été conçu par Georges Vallon.
Edifiée en 1756, elle supporte une colonne romaine qui vient des ruines du palais comtal. De style classique, elle comporte un bassin en pierre dure à quatre pans en retrait et des plaques de marbres gravées en latin à la gloire du roi Louis XV, du Duc de Villars qui fut gouverneur, du président du Parlement Gallois de la Tour… L’une rappelle que ce sont les Romains qui ont amené l’eau à Aix. La plaque qui fait face à l’Hôtel de Ville est remplacée à chaque nouveau régime de la municipalité. Le piédestal est quant à lui fait de pierres de Calissanne et de Bibemus. Et les quatre macarons par lesquels coule l’eau symbolisent l’hygiène après la peste de 1720. Son eau provient de la source des Pinchinats, via l’aqueduc romain.
A la Révolution, en 1789, la cité fut organisée en arrondissements à partir de cette fontaine.
Rien de bien nouveau sous le nouveau billet…. Le prestigieux blogàpassoul n’a rien à envier depuis son apparition à la fameuse cloaca maxima, chère à RM et PE, … Merde, crachats, morve, dégoût, cochonneries, déchet, ordure, excrément, immondices, insultes, souillure, pourriture…. s’y déversent continument et tranquillement, sans nul besoin d’avoir jamais eu à se théoriser (ni se thésauriser ?) … Bàv ! Kontinouons le kombat !…
Ma fesse au lit : contribution à une sociologie de l’orghie dans les draps…
sick transit gloria mundi, a l’acacademie.
A bientôt Passou, j’espère qu’après ce colloque sur la colique ils ont distribué du papier parfumé…
« Le prestigieux blogàpassoul n’a rien à envier depuis son apparition à la fameuse cloaca maxima, chère à RM et PE, … Merde, crachats, morve, dégoût, cochonneries, déchet, ordure, excrément, immondices, insultes, souillure, pourriture…. s’y déversent continument et tranquillement, sans nul besoin d’avoir jamais eu à se théoriser »
pas très sympa pour greubou, moi qui croyais que vous l’aimiez bien.
Ce billet était-il bien nécessaire ?
Avant de citer Beckett il conviendrait de parler de Joyce.
« 459 – Je me souviens qu’Ulysse de James Joyce est l’histoire d’un homme qui fait caca. »
Formidable Matt Damon dans « Stillwater »!
Vous trouvez cela indécent ?
Voir Dante, Enfer, Chant XVIII
Huitième Cercle – Fraudeurs – Première bolge – Séducteurs et Ruffians -Fouettés par des démons – Veneto Caccianemico – Jason – Deuxième bolge – Flatteurs – Un fleuve de merde – Alessio Interminei – Thaïs.
💩
Lacan, se purger de ses peines, s’alléger d’un poids, soulager une conscience et tout de suite des WC on passe au confessionnal ce qui compte tenu des dernières révélations expose au danger.
Billet très drôle. Je tente de cerner les raisons de mon grand amusement à le lire.
1 / Ne cherchez pas… B., c’est juste une petite régression nanale …
1bis / En quoi greubou est-il concerné par les écuries d’Augiéras ?
@ jzmn, voici donc le 1er chapitre de votre autobiographie… Quand vous annoncez qq chose, ben dites donc !…. et avec des fotos de famille… ! Merci qui ? Je vais lire sous les arcades…, mais ça va me prendre un peu de temps…
Là, ce soir, j’achève l’hymne à monsieur Cervantès de Mme Lydie Salvayre… C’est bien gentillet comme entreprise, mais elle fait un peu plouf, hélas… On a lu bien mieux…, auparavant. Mais j’y renouvelle mes encouragements et ma confiance.
BN à tous les chocos !
« Je me souviens » (n° 722) de la stupéfaction du petit Amkoullel, l’enfant peul, de la merde s’échappant de l’anus du grand Blanc qui faisait caca devant lui., conrairement à ce à quoi il s’attendait.. Noir était son étron, tout pareil au sien… Amkoullel en fut tellement déçu et si durablement traumatisé…, jzmn & pierre et drillon !… imaginez un brin le drame de ce petit négrillon devenu le grand H B !
du caca blanc… voilà qui aurait eu de la gueule sur le blog de l’rdl… grosse boudine !
Jacques Barozzi
Vous avez perdu définitivement l’accent. Eu égard à votre exil.
De plus vous commettez une agglutination :
Obligée de vous déboucher les esgourdes :
« . Lorsque, avec un quelconque interlocuteur, elle évoquait les soucis de mon père, en attribuant immanquablement la cause à sa femme, elle soupirait, l’œil humide : « Pauvre Gène ! » Adoptant, pour le désigner, ce surnom intime, que je ne lui connaissais pas.
Votre cousine disait » Pauvre Eugène » avec élision du e de pauvre ce qui donne « Pauv’Eugène ».
Pas plus, pas moins.
P.S : vous avez la même famille que la mienne, méditerranéenne. A ceci près, que chez moi, les filles, espagnoles, pour faire chier leur mère, ont toutes épousées des italiens.
Je ne décrirai pas le mélange.
Un minimum d’intelligence aurait conduit les quatre filles à épouser un suédois, un norvégien, un finlandais et un islandais.
Mais non, pas une. Les quatre ont épousé un italien.
C’est la vie en quinquonce comme dit Jacques.
Leur père.
C’est pareil.
Des chieurs, dans les grands tremblements.
Et toi, qui es une enfant paisible et calme, douce de surcroît, tu passes ta vie des pansements à la main.
Une de mes amies, âgée, ne se disputait jamais avec son mari. Lorsqu’elle lui disait on divorce, il se mettait à crier (ou pas, l’a mouru) Vorce, Vorce se tournait vers elle « j’ai dit Vorce ».
Un saint homme.
Comme ma mère, une sainte femme.
Cépamoi.
Jacques Barozzi
Passionnant tout bonnement.
« Dès cette période, je commençai à me poser des questions d’ordre métaphysique. C’est ainsi que, très tôt, j’eus la perception du néant. D’une manière quasi palpable. L’idée de n’être plus, m’emplissait d’une immense frayeur. J’essayais, de toutes mes forces, de repousser ces pensées. Mais il arrivait, qu’à l’heure du coucher, elles parvinssent à s’imposer.
Un soir, lumières éteintes, Ange et moi couchés côte à côte, chacun dans notre lit, je le questionnai : « Qu’est-ce qu’on devient après la mort ? »
J’ai hurlé de rire.
Aujourd’hui, au meeting aérien Gap/Tallard, à la fin les annonces pour la tente des enfants perdus.
Le second c’était l’enfant avec son père. J’ai hurlé de rire.
Trop de remarques.
Judas.
Il a dû coucher avec la voisine.
Elle ne lui a pas pardonné.
Une forêt immense entre Cannes et Mougins de pins maritimes, la forêt de Valmasque. C’est autour de la mer que c’est bétonné, pas l’arrière-pays.
La guerre l’Italie d’un côté, la France de l’autre. Mon grand père a eu cela avec son frère du côté des Dolomites, sous l’Autriche. Pas loin d’Engadine.
Comment se rencontraient-ils ?
Au bal, l’été, après les poissons.
Les filles engrossées, elles se faisaient avoir, avec un mec hâtif, qui se carapatait. Elles assumaient et le petit et la honte sur elle. Les autres, elles se faisaient épouser.
J’irai voir Lucéram.
Et bordel de merde : au bal, l’été, après les moissons.
Jacques Barozzi, je crois que votre mère était admirable et votre père aussi.
Dans un des angles du marché de Cannes il y a la boutique du parfumeur Fragonard. Très beau stylisme.
Les fruits et légumes coût ent deux fois le prix de chez moi.
J’ai hurlé de rire pas aux considérations métaphysiques avec Ange, mais à la séparation de vous avec votre mère au carnaval de Nice.
J’ai hésité aujourd’hui à adopter l’enfant perdu, puis me suis ravisée.
Le père perdu dans la tente avec son fils, par contre je n’ai pas hésité un millionième de seconde.
P.S comment avez-vous retrouvé le fil de.votre narration ?
Je vous ai lu, grosso modo, sur le fil précédent.
Des traumatismes, chacun en a.
Les classer, bof.
Les histoires, terriblement répétées ; la guerre ach gro✓ s set malheur.
Or, reste quand même abalobée par Macron.
Comme moi, qui tente vainement de vous en convaincre ici, il a pigé que deux drames incombent à l’Algérie : ceux qui ont émigré, la haine de la France et des français et ceux qui ne se sont pas exilés l’incapacité notoire à établir une démocratie et le terme qu’à employé Macron.
Tellement bon, fort, puissant que l’ambassadeur est rappelé en Algérie et nos avions militaires interdits de survoler le pays.
En une rencontre avec la jeunesse algérienne qui a souffert (nous c’est de la gnognotte) il désamorce Marine Le Pen, Zemmour, Jean Marie Le Pen.
Parce que l’avenir bien sûr est à une heureuse cohabitation des juifs musulmans chrétiens et athées sur notre belle terre de France.
Macron, je ne suis pas pour, mais je le trouve très fort.
Bibi, je suis très aidée par ma mère Emma qui a un caractère du tonnerre de dieu, mais Macron, comment c’est y qu’il fait pour comprendre tout avec une finesse incroyable ?
L’art de la guerre.
Il va tous les balancer d’une chiquenaude.
Bien envie d’écrire d’une kitchenette, mais non, mais non.
groß malheur s tzet
Ces mots là de Macron
« du système politico-militaire qui s’est construit sur cette rente mémorielle »
Et tant que les algériens considèrerons qu’ils n’ont pas à payer leurs dettes. Que la France leur doit tout, et qu’elle doit payer, ils seront ds l’impasse.
Macron leur a ouvert les portes de la réconciliation.
considèreront
Qu’un homme de 61 ans ait une maîtresse de 28, et vice versa.
Pas dérangeant.
De deux choses, ou bien c l’amour et avanti, ou bien c’est faire sauter le cadenas salement verrouillé du complexe d’Oedipe et là, le plus jeune, ou la, se fait la malle dès que le cadenas a sauté.
En attendant chacun profite, un de l’expérience de l’ancien, l’autre des illusions de la jeunesse, cette force incommensurable (R. Gary).
Bonne nuit.
Zemmour, c’est une histoire juive qui finira mal.
On a évoqué le général Boulanger, mais c’est du côté de l’affaire Dreyfus qu’il faut chercher…
Merci, rose, pour votre lecture attentive et encourageante !
Lundi 4 octobre 2021, 6h66, 21°, éclairs d’orages violents
Billet exceptionnel dans son actualité éternelle.
Que vive toujours le grand Rabelais !
Un peu plus tard, le même jour, que d’eau, que d’eau.
Au programme du premier jour, à l’akademie :
« Première session : Salauds d’écrivains ! Salauds de personnages ! »
Rabelais au programme ?
Pas du tout, les invités sont triés sur le volets. Côté femmes, des caricatures.
Sur le volet.
Cet aprème, plus intéressant : « Corruption des corps, corruption des âmes »
« Mens sana in corpore sano est une citation extraite de la dixième Satire de Juvénal. »
Ce ne sera pas le sujet non plus.
Le sujet sera la putrefaction :
« Corps, fluides corporels, restes : l’esthétique de la corruption dans le théâtre de Romeo Castellucci »
J’espère que la science n’est pas oubliée ?
L’élimination est l’une des fonctions biologique vitales.
Demain on abordera le recyclage des déchets et la poubellisation, avec Molloch, commercialisé sous le nom de Molok, un concept de poubelles révolutionnaire.
Rêve en forme de cauchemar ! Après Dante, un des plus beaux étrons littéraire de Lautréamont, à paraitre dans mon prochain ouvrage (une réédition).
« Il commençait à me sembler que l’univers, avec sa voûte étoilée de globes impassibles et agaçants, n’était peut-être pas ce que j’avais rêvé de plus grandiose. Un jour, donc, fatigué de talonner du pied le sentier abrupt du voyage terrestre, et de m’en aller, en chancelant comme un homme ivre, à travers les catacombes obscures de la vie, je soulevai avec lenteur mes yeux spleenétiques, cernés d’un grand cercle bleuâtre, vers la concavité du firmament, et j’osai espérer pénétrer, moi, si jeune, les mystère du ciel ! Ne trouvant pas ce que je cherchais, je soulevai la paupière effarée plus haut, plus haut encore, jusqu’à ce que j’aperçusse un trône, formé d’excréments humains et d’or, sur lequel trônait, avec un orgueil idiot, le corps recouvert d’un linceul fait avec des draps non lavés d’hôpital, celui qui s’intitule lui-même le Créateur ! Il tenait à la main le tronc pourri d’un homme mort, et le portait, alternativement, des yeux au nez et du nez à la bouche, on devine ce qu’il en faisait. Ses pieds plongeaient dans une vaste mare de sang en ébullition, à la surface duquel s’élevaient tout à coup, comme des ténias à travers le contenu d’un pot de chambre, deux ou trois têtes prudentes, et qui s’abaissaient aussitôt, avec la rapidité de la flèche : un coup de pied, bien appliqué sur l’os du nez, était la récompense connue de la révolte au règlement, occasionnée par le besoin de respirer un autre milieu ; car, enfin, ces hommes n’étaient pas des poissons ! Amphibies tout au plus, ils nageaient entre deux eaux dans ce liquide immonde !… jusqu’à ce que, n’ayant plus rien dans la main, le Créateur, avec les deux premières griffes du pied, saisit un autre plongeur par le cou, comme dans une tenaille, et le soulevât en l’air, en dehors de la vase rougeâtre, sauce exquise ! Pour celui-là, il faisait comme pour l’autre. Il lui dévorait d’abord la tête, les jambes et les bras, et en dernier lieu le tronc, jusqu’à ce qu’il ne restât plus rien ; car, il croquait les os. Ainsi de suite, durant les autres heures de son éternité. Quelquefois il s’écriait : « Je vous ai créés ; donc j’ai le droit de faire de vous ce que je veux. Vous ne m’avez rien fait, je ne dis pas le contraire. Je vous fais souffrir, et c’est mon plaisir. » Et il reprenait son repas cruel, en remuant sa mâchoire inférieure, laquelle remuait sa barbe pleine de cervelle. O lecteur, ce dernier détail ne te fait-il pas venir l’eau à la bouche ? N’en mange pas qui veut d’une pareille cervelle, si bonne, toute fraîche, et qui vient d’être pêchée il n’y a qu’un quart d’heure dans le lac aux poissons. Les membres paralysés, et la gorge muette, je contemplai quelque temps ce spectacle. Trois fois, je faillis tomber à la renverse, comme un homme qui subit une émotion trop forte ; trois fois, je parvins à me remettre sur les pieds. Pas une fibre de mon corps ne restait immobile ; et je tremblais, comme tremble la lave intérieure d’un volcan. A la fin, ma poitrine oppressée, ne pouvant chasser avec assez de vitesse l’air qui donne la vie, les lèvres de ma bouche s’entrouvrirent, et je poussai un cri… un cri si déchirant… que je l’entendis ! »
(Les chants de Maldoror)
https://www.mercuredefrance.fr/le-gout-du-reve/9782715257801
Histoire d’intestins Au début de son histoire, la gastro enterologie a été a la médecine, ce que la psychanalyse est restée : du charlatanisme parisien.
« C’est au milieu du xixe siècle, avec l’école anatomo-clinique, que surviennent les premières avancées en gastro-entérologie[4]. En 1851, 11 % des médecins parisiens sont spécialisés en gastro-entérologie, contre 35 % en 1905, puis 52 % en 1935[4]. Devant cette prolifération, en 1949, le Conseil National de l’Ordre des Médecins restreint l’exercice via une commission de qualification pour les praticiens déjà installés, et par un certificat d’études spécialisées pour les nouveaux diplômés. »
Wiki
littéraireS
Une lecture plus douce pour les retardataires…
Ne pas se salir les yeux, au réveil.
On notera, en incipit, que je suis né dans… la merde !
Ce sont des accidents de sphincter qui arrivent. Faut pas trop pousser non plus.
Paul Edel, pour sa part, en est resté aux mains sales…
https://pauledel.blog/author/pauledel864/
Billet d’actualité, tout a fait, ne pas oublier les gestes barriere, le premier d’entre eux: se laver les mains.
« La désinfection des mains à l’hôpital n’est pratiquée que dans la moitié des cas »
« « Je me souviens » (n° 722) de la stupéfaction du petit Amkoullel, l’enfant peul »
Son plus vif souvenir, JJJ, c’est quand on lui a coupé le zizi :
« Quand les jeunes gens arrivèrent dans la cour, Lenngui [une griotte locale renommée] leur lança une harangue chantée destinée à exciter leur courage :
O jeunes garçons, soyez braves !
Ne vous conduisez point en étalons ombrageux.
Bientôt votre chair connaîtra
la morsure du couteau tranchant.
Le fer fera gicler votre sang vermeil,
mais qu’il ne fasse pas jaillir vos larmes !
(…)
Quand le forgeron coupera, plaisantez avec lui !
Frappez légèrement sa tempe
pour le punir d’avoir osé toucher
à un membre qu’il aurait dû respecter
comme celui de son propre père.
Et pour montrer que vous n’avez pas peur,
dites-lui de recommencer !
(…)
Prouvez demain que vous êtes virils,
et la communauté reconnaîtra votre majorité !
Chaque parent se levait à nouveau pour venir encourager le futur circoncis et lui promettre, s’il supportait l’épreuve sans broncher, de lui donner une ou plusieurs vaches laitières qui constitueraient le début de son petit troupeau personnel.
Les jeunes gens entraient à leur tour dans le cercle en esquissant quelques pas de danse. Les griots les y incitaient :
« Premier fils de son père, as-tu peur de la terre ? Si tu n’as pas peur, saute, danse, frappe-la de tes pieds, que je vois les talons soulever la poussière !… »
Quand le ciel commença à s’éclaircir, les jeunes gens, toujours en file indienne, furent conduits sur les bords du Yaamé. Ils traversèrent la rivière. Chaque garçon, accompagné d’un parent-témoin, portait la brique de terre qui lui servirait de siège pendant l’opération. Les femmes et les enfants n’étaient pas du cortège.
Arrivé au pied des deux grands balanzas qui avaient abrité de leur ombre des générations de circoncis, chaque garçon s’assit sur sa brique, le dos tourné au soleil levant. Bougala, le forgeron circonciseur, leur demanda d’étendre leurs jambes en les écartant le plus possible. Mon frère Hammadoun devant être opéré le premier, Bougala vint se placer devant lui. Il ouvrit une noix de cola en deux et en plaça chaque moitié entre les molaires du fond de la bouche de mon frère, une à droite et une à gauche, afin que l’on puisse y mesurer ensuite la marque de ses dents, indice de son courage. Se saisissant de son membre, il tira sur le prépuce de manière à renvoyer le gland le plus loin possible en arrière, puis attacha solidement la base du prépuce avec une petite ficelle, mettant ainsi la chair du gland hors de portée de sa lame. Il prit le couteau, fixa mon frère et dit :
« Hammadoun, fils de Hampâté Bâ, tu vas être le premier à verser ton sang comme prix de ton admission dans le camp des adultes. Tu vas être un homme, à toi de prouver que tu en es digne. détourne les yeux, que je sectionne ce qui te classait parmi les gamins incirconcis.
– O vieux père Boulaga, répondit Hammadoun, tu voudrais que je tourne le dos le jour de mon premier engagement avec le fer ? Que dirais-tu de moi ? Ne suis-je pas aujourd’hui le chef qui doit conduire ses compagnons ? Wallaye ! (Par Dieu !) c’est sous mes yeux bien ouverts que je veux te voir couper ce prépuce qui retient ma majorité et me maintien parmi les bambins. Coupe, ô vieux père et coupe bien !… »
Bougala sourit et d’un coup de couteau adroit et rapide, en prononçant la formule musulmane « Bismillâhi errahman errahimi » (Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux), il trancha net le prépuce d’Hammadoun. Celui-ci éclata de rire, appliqua sa main droite sur la joue du vieux forgeron comme pour le gifler, cracha ses deux noix de cola et s’écria :
« Filla fa fillo Bandiagara ! (Recommence [et que cela dure] jusqu’à faire le tour de Bandiagara !) Recommence, vieux père, je t’en donne l’ordre ! » et il se mit à chanter d’une voix claire la devise de Bandiagara.
Le vieux Bougala présenta aux parents le prépuce d’Hammadoun et les deux moitiés de noix de cola sur lesquelles ses dents n’avaient imprimé qu’une marque légère. « Koulou diam ! Hourra ! s’exclama-t-il. Le fils de Hampâté a traversé le fleuve de l’épreuve à la nage malgré les crocodiles ! » Et il poursuivit ses opérations sur les autres garçons, qui avaient à cœur d’imiter l’attitude d’Hammadoun. »
(« Amkoullel, l’enfant Peul », Actes Sud, 1991, 1992)
Merci pour cet extrait d »Hampate Bâ..
Trompé de discut’ ?
Mais c’est heureux, car tout le meilleur du roman de M Mbougar Sarr reste encore non dévoilé.
« Le fils de Hampâté a traversé le fleuve de l’épreuve à la nage malgré les crocodiles !:
Sur la circoncision , rite initiatique, MMS file la même métaphore de traversée périlleuse, quand il parle des migrants qu’il a rencontrés en Sicile.
Que d’eau, que d’eau, les bouches du Rhône
sont lavées, les bassins des fontaines et d’orage débordent , ce matin.
Passou, un peu plus de couleur irait mieux, marre assez de ce sépia , a l’encre sèche,
juste pour flouter.
Tiens, rose, salut à vous.
J’avais rien de rien compris.
Et les filles, elles ont droit à une belle cérémonie, assises sur une brique, le dos au soleil levant, quand elles sont excisées ?
Plus facile de trouver des italiens que des scandinaves dans le sud-est de la France, Rose…
Quand on est dans la merde jusqu’au cou, il ne reste plus qu’à chanter. Samuel Beckett
Voir sur https://citations.ouest-france.fr/citation-samuel-beckett/quand-merde-jusqu-cou-reste-1856.html
et chantons
https://www.youtube.com/watch?v=M09q2QSBjn0
@Et les filles, elles ont droit à une belle cérémonie,
Pourquoi cette question, le vieux voyeur water closet veut de la référence pour sa bibli « au gai pedo » ?
Lu vos souvenirs d’enfance, Jazzi, et me demande pourquoi il est si important pour vous de les écrire -car ils sont en vous, quel est ce besoin? Fixer les images? Les partager? Qu’est-ce qui prime? En tout cas, fortes évocations, je peux vous le dire, y compris que vous naquîtes dans la merde…
Me fait penser à ce vers:
« ta mère fit un pet foireux et tu naquis de sa colique » -Apollinaire.
brenneux
Sali de matières fécales.
Mais chaque fois que j’ouvrais la bouche pour dire quelque chose, elle s’empressait d’y enfourner une poignée d’étoffe brenneuse, me l’enfonçant au fond du gosier en disant : — Tiens ! puisque tu trouves que c’est ce qu’on fait de meilleur !
— (Les Délices des cœurs, Ahmad al-Tîfâchî, traduction René R. Khawam, Phébus, 1981, p. 101
Jadis, dans les latrines, on pouvait lire sur les murs des graffitis dans lesquels s’exprimait toute la misère sexuelle du monde. Pas besoin d’une sociologie très appuyée pour saisir ce qui travaille l’âme du quidam au moment de sacrifier aux nécessités des sphincters : on se vide, on se lâche, on éclabousse avec les remugles de son animalité et l’on grave ses cogitations dans le marbre d’une porte en bois… On a les rostres qu’on peut ! Aujourd’hui, cette fonction a quitté les toilettes publiques, désormais entretenues comme un bloc opératoire, pour rejoindre des lieux guère plus recommandables : les commentaires postés au pied des articles sur les sites Internet. C’est en effet là qu’on trouve l’équivalent des littératures de vespasiennes d’hier. Michel ONFRAY
p 19 Levi STrauss (c’est une histoire belge)
Lévi-Strauss mot a mot: essai d’idiographie linguistique
https://books.google.fr/books?id=AU4WQD16bYcC&pg=PA19&lpg=PA19&dq=brenneux&source=bl&ots=icOLMW7fwb&sig=ACfU3U3LOoEYwvpxjfieZgZ7Jnrgy10DjA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwip6IDio7DzAhUQ1xoKHUoVDHc4ChDoAXoECBgQAw#v=onepage&q=brenneux&f=false
« c’est du côté de l’affaire Dreyfus qu’il faut chercher… »
jazzi, j’aimerais juste que vous précisiez, car on peut tirer de l’affaire Dreyfus tant de choses et leur contraire.
A l’université de tous les savoirs popu, Wikipedia , on apprend que:
« péril fécal désigne le danger que représente les fèces et excreta d’origine humaine et désigne indirectement l’ensemble des maladies liées à ces excréments. »
Me fait penser que j’espère , comme les gourmands disent, l’avis d’une aixoise, juree Goncourt, sur ce livre de MMS.
vous aurez eu tout Brassens !
Paroles :Autrefois, quand j’étais marmotJ’avais la phobie des gros motsEt si j’pensais » merde » tout basJe …
pour plaire à P.CHAROULET
https://www.youtube.com/watch?v=tBe0p13cPxk
« détonner » ou « détoner »…
Merci DHH pour cette petite leçon de vocabulaire.
@Aujourd’hui, cette fonction a quitté les toilettes publiques, désormais entretenues comme un bloc opératoire.
Par Bolloré, comme sa télé zemmourienne.
Janssen J-J dit: à
En quoi greubou est-il concerné par les écuries d’Augiéras ?
»
la spécificité des lecteurs du blogapassou c’est qu’ils ne lisent pas ce qu’ils lisent.
exemple au hasard de la prose à greubou :
»
trop bien jubé..fais gaffe..à la fin c’est compromettant..même si meussieu courte dit à térezoune que marcher dedans ça porte bonheur..
térezoune qui veux encore terroriser meussieu courte havec ses vers au cul
c’est pas proust qui a dit un genre de exprimer des idées dans un roman c’est comme laisser le prix sur ses vétements..dmande a bonne clopine sil est écrit ‘mille sabords et mille dollars’ sur son cul..grossier personnage
bonne clopine elle dit qu’ya un enculeur et un enculé..la théorie du gode ceinture cuit dans le lait de sa mère c’est pas dla crotte de bique qu’il disait lacan
«
Ducon, va te laver la bouche, avant de salir ton clavier.
« Aujourd’hui, cette fonction a quitté les toilettes publiques, désormais entretenues comme un bloc opératoire, pour rejoindre des lieux guère plus recommandables : les commentaires postés au pied des articles sur les sites Internet. C’est en effet là qu’on trouve l’équivalent des littératures de vespasiennes d’hier. Michel ONFRAY »
l’hôpital qui se fout de la charité.
s’il y en a un qui a fait dans l’obscénité intellectuelle et communicationnelle pour vendre ses livres c’est bien lui.
que ce soit son Freud, son athéologie etc… ça vaut guère mieux que ce qu’on lit dans les chiottes.
Marie Sasseur dit: à
Ducon, va te laver la bouche, avant de salir ton clavier.
»
t’es vraiment maboule ma pauvre fille.
Effectivement Herbert, comme je l’ai indiqué, n’avait de scientifique, que des rudiments de biologie, d’où son ver.
( intestinal)
« En Afrique et ailleurs, les parasites intestinaux sont une affection fréquente.
Au Rwanda, où les vers parasites sont appelés inzoka, prévalait autrefois une conception selon laquelle existe un roi des vers intestinaux appelé Rugondo dont l’existence se déroul paisiblement dans la cavité abdominale des humains.
La présence de ce ver congénital ne gênait en rien ses hôtes, et on affirmait même avec force que sa disparition serait pour eux un verdict mortel. On expliquait ainsi que les humains naissent et meurent avec Rugondo. »
In La vie re-belle
la réduction la plus culinaire est
La « réduction phénoménologique » ou Épochè en grec (ἐποχή / epokhế) consiste pour Edmund Husserl, à suspendre radicalement l’« approche naturelle » du monde, et à mener une lutte sans concession contre toutes les abstractions que la perception naturelle de l’objet présuppose ; cette suspension devant permettre l’accès aux « choses mêmes »1. Le concept de réduction apparaît explicitement dans l’œuvre de Husserl autour des années 1907 dans une publication intitulée L’idée de la phénoménologie. Dans cette œuvre, Husserl parle d’une réduction gnoséologique2. La première réduction phénoménologique cherche un fondement indubitable pour la connaissance et pour ce faire, le monde naturel du sens commun est simplement « mis entre parenthèses », cette opération n’est donc pas un déni du monde ni la mise en doute de son existenceN 1.
Un artiste est un scarabée qui trouve, dans les excréments mêmes de la société, les aliments nécessaires pour produire les œuvres qui fascinent et bouleversent ses semblables. L’artiste, tel un scarabée, se nourrit de la merde du monde pour lequel il œuvre, et de cette nourriture abjecte il parvient, parfois, à faire jaillir la beauté.
https://www.wajdimouawad.fr/
Bon ça y est jzmn, j’ai été accroché par votre texte et j’attends les 6 autres chapitres, je ne les manquerai pour rien au monde, maintenant que vous avez alléché la RDL… Vous romancez fort bien vos souvenirs dans un style fluide et des souvenirs précis… Ai été trés ému par l’internement de votre mère et par de nombreux parallèles possibles avec la mienne… N’ai pas toujours bien compris comment le couple sourd et muet était si intelligible à l’égard de leurs fratries respectives.. Ai bien aimé la façon dont vous avez dépeint votre singularité par rapport à l’aîné et la cadette… Votre inquiétude enfantine et sens de la responsabilité précoces devant la vie…
(J’ai relevé un nombre minuscule de coquilles, et tant pis pour cette mesquinerie, mais que voulez-vous c’est une manie de ma part, mais il faudrait que votre texte soit parfait, n’est-ce pas, car il vous engage auprès de nombreux futurs lecteurs…, je pense, par ex…
///-mon père s’était ACQUIS (acquitté ?) du prix des billets -elle était PARTI faire (partie) -qui avait FINIT (fini) -l’octroie (octroi) – la pierre et la tuile A remplacé (ont)///
Sincères félicitations, jzmn, comme l’a dit quelqu’un, votre Lézard sous les Arcades, devient de jour en jour plus respectable et somptueux… A bientôt…, Bàv,
« Tintin, ce « petit fouille-merde »
Gérard Depardieu n’a pas sa langue en poche. Habitué à enfiler le pantalon bleu et blanc d’Obélix, l’acteur s’est penché sur le cas d’un autre personnage de bande dessinée récemment mis à l’écran: le reporter Tintin, qui en a pris pour son grade. »,j’aurais pas cru ; c’est parce que c’est belge,surement
Le fait de dire « merde » pour se souhaiter bonne chance trouve son origine dans le monde du spectacle. Au XIXe siècle, les bourgeois se rendaient au théâtre ou à l’opéra en calèche, et les chevaux déféquaient inévitablement devant l’entrée. Plus le spectacle avait de succès, plus les calèches affluaient et plus les spectateurs marchaient dans le crottin et en emportaient sous leurs semelles jusque dans la salle de spectacle. Le succès d’une pièce pouvait donc se mesurer à la couche de déjections qui maculait la salle, et les gens du spectacle ont pris l’habitude de se souhaiter « merde » avant chaque représentation.
“Là où ça sent la merde ça sent l’être.”
Antonin Artaud De Antonin Artaud / Pour en finir avec le jugement de Dieu
Rappelons des choses simples, qui avec le temps peuvent apparaitre étranges aux pires de pervers : les littérateurs ratés.
« Inter fæces et urinam nascimur »
Puis, passons à autre chose !
Arrêtons de manger de la merde !
De Jean-Pierre Coffe
parution : mai 2015
Éditeur : J’AI LU
manzoni:
L’œuvre réalisée en 1961 se compose de 90 boîtes de conserve cylindriques en métal (4,8 × 6 cm), hermétiquement fermées, qui contiennent les excréments de l’artiste, étiquetées, numérotées et signées.
oui, txfl, et michel d’onfray qui a vilipendé en son temps cette œuvre conceptuelle, va désormais nous expliquer dans sa nouvelle université de l’art contemporain, en quoi elle est heuristiquement indispensable à la compréhension du lard contemporain…
https://michelonfray.com/questions-reponses/reponses/question-que-pensez-vous-de-l-emballage-de-l-arc-de-triomph?autoplay=true
Va falloir qu’il se mette à jour avec Descola Philippe, je pense…
« Jadis, dans les latrines, on pouvait lire sur les murs des graffitis dans lesquels s’exprimait toute la misère sexuelle du monde. »
Maintenant il suffit de lire un blog littéraire.
Merci Jibé et merci JJJ. Non, rien de mesquin à signaler les coquilles, au contraire, je suis preneur !
Pourquoi, Jibé. Peut-être pour mieux s’en débarrasser…
« Maintenant il suffit de lire un blog littéraire. »
Le milaniais et son ready made sur les chiottes de Duchamp.
Pourtant des efforts considérables avaient été fait pour bannir toute apologie de la scatologie sur ce blog.
Mais dans les colloques mondains parisiens, pour donner le change ( de sous-vêtements sans doute) ils causent eschatologie, c’est le fin du fin du culcul la praline, n’est-ce pas ?!
@ des efforts considérables avaient été fait pour bannir toute apologie de la scatologie sur ce blog.
Ah bon ??? Avec votre présence perpétuelle, on ne s’en n’était pas vraiment aperçu… Qui plus est, si elle sort par la porte, la scato, Passoul sait la faire rentrer pas la fenêtre… Nous ne sommes pas responsables de ses billets, même s’ils contribuent à faire se relâcher les sphincters du commentarium, et le vôtre en tout premier lieu,.. C’était d’ailleurs le but recherché, non, quand ça ronronne trop.
(Il n’y a guère que notre ami closer pour s’en étonner… ce qui,entre nous, est d’autant plus compréhensib’…, vu son malheureux pseudo).
Bàv
Et il veut dire quoi le lézard avec sa langue de pute?
Que zemmour et Dreyfus, c’est kif-kif ?
Ceux que Zemmour nie et insulte, ne sont pas d’accord. Que ce soit les cathos, les musulmans ou les juifs:
« Nous nous étions déjà plaints du comportement hostile d’Éric Zemmour à l’égard d’Alfred Dreyfus dans l’émission du 29 septembre 2020 mais cela aura été sans effet. Quand le nom de Dreyfus est évoqué Zemmour ne peut s’empêcher de faire des remarques désobligeantes et traumatisantes pour toute la communauté juive. »
https://frblogs.timesofisrael.com/dreyfus-zemmour-a-encore-instille-son-poison/
Ducon, celui dont tu usurpes le pseudo en a fait les frais.
Et le lézard a la langue de pute, avait choque tous ceux qui sont maintenant partis sans demander leur reste, en ayant cliqué sur un de ses » liens » …
@ la spécificité des lecteurs du blogapassou c’est qu’ils ne lisent pas ce qu’ils lisent.
Tu l’as dit, bouffi ! Tu sais de quoi tu causes, pas vrai ?
et alii dit: à
Arrêtons de manger de la merde !
De Jean-Pierre Coffe
»
plutôt François Dagognet « des détritus, des déchets, de l’abject » ?
Janssen J-J dit: à
@ la spécificité des lecteurs du blogapassou c’est qu’ils ne lisent pas ce qu’ils lisent.
Tu l’as dit, bouffi ! Tu sais de quoi tu causes, pas vrai ?
»
en êtes-vous bien sûr :
Janssen J-J dit: En quoi greubou est-il concerné par les écuries d’Augiéras ?
«
3j : évitez de me tutoyer svp.
3j : à la question pourquoi vous n’êtes pas capable de voir la scatologie dans les commentaires à greubou ? la répons est : l’admiration.
3j : dites moi si je me trompe : vous avez dû être un lèche-botte durant toute votre carrière de petit fonctionnaire bureaucrate, être bien vu par vos chefaillons afin de gagner quelques grades ?
vrai ou pas vrai ?
Vous avez raison… Je vais éviter. Scuzi…. Reprenons : « vous l’avez dit, boufflon »… ! Parfois, vu l’exaspération, on ne se tient pas toujours à ses propres préceptes… Merci donc pour ce Petit Rappel, et amitiés à Marc Court. Bàv,
Bloy et ses imprécations excrementielles.
Son plus fidèle lecteur dans » la zone » , le don Juan de la Salette, lol, c’est un peu le même mode de » communication « .
@ Puck
1 – Vrai, je l’Admirhe…
2 – Vrai, si vous saviez combien j’ai gradé !…
‘…. quelle sperpicassité, dextère ! êtes-vous diplômé en psycho dextra-lucide ?)
3 – On attend toujours impatiemment votre nouveau comparatif GF/FD… Pas encore assez rôdé, peut-être ?
@ Connaissez-vous l’œuvre de François Augiéras, en ses bergeries ? … Genr, « le voyage des morts » ?… On n’en parle pas souvent icite, ce serait pourtant le bon moment après le « rapport Sauvé »…
Je n’y suis allée qu’une fois à la Salette, c’était une tentative qui n’est pas allée à son terme d’ailleurs, entravée par des vents du démon, sur une route de montagne rendue impraticable par les congères, au début ddu printemps A.C ( avant covid).
Je ne connaissais pas jusqu’a tout a l’heure l’histoire contrariée de Leon et Anne-Marie qui avait conduit à sa conversion frénétique.
Macron risque de ne pas être réélu au second tour pour un truc aussi con que le prix du gaz.
Incroyable mais tout-à-fait réel.
Lars Vilks est mort.
les tsantsa sont des têtes réduites
https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%AAte_r%C3%A9duite
3j : On attend toujours impatiemment votre nouveau comparatif GF/FD… Pas encore assez rôdé, peut-être ?
»
3j merci j’avais complètement oublié, donc :
analyse littéraire comparative Flaubert vs Tchekhov : l’art pour l’art la littérature comme moyen de se couper du monde.
Flaubert est focalisé sur une chose essentielle à ses yeux : la phrase, la beauté de la phrase, pour lui une chose bellement dite exprime le vrai… quelle vérité ? et les le monde, les êtres humains dans tout ça ?
le peuple : une masse d’ignorants, d’inculte qu’il faut laisser dans l’ignorance et surtout pas éduquer de peur qu’ils se révoltent contre leur condition.
les bourgeois : tous des idiots sans exception, l’amour de l’art permettant d’échapper à cette condition bourgeoise et accéder à une forme de noblesse aristocratique.
les savants : il a été humilié durant sa scolarité, ses échecs universitaires avec des carnets de notes ne dépassant le 2 sur 20 ont blessé son égo, il s’agira de prendre sa revanche, chose qu’il fera jusqu’à son dernier texte Bouvard & Pécuchet.
D’où sa focalisation sur la « phrase » qu’il s’agit de modeler pour qu’elle devienne parfaite, il la sculpte, la construit comme un artisan, la grave avec la précision d’un horloger qui grave une montre avec une précision micrométrique.
Le problème est que même la plus belle montre du monde ne sert qu’à donner l’heure, d’autant qu’être obsédé par la beauté de cette montre au point de couper le bras de celui qui la porte pour mieux permettre de l’admirer, ne pas la souiller avec son propriétaire sans intérêt la plus belle montre du monde ne sert qu’à donner l’heure sans jamais y attacher la notion du temps qui passe.
le temps qui passe ne peut s’affranchir de l’être humain qui regarde l’horloge de sa vie : une montre ne présente aucun intérêt si l’on oublie celui qui la porte : c’est ce fait Tchekhov, lui les montres il s’en fout, autant que de la beauté de la phrase, sa seule obsession ce sont les êtres humains, et contrairement à Flaubert tous ces êtres : qu’ils soient riches ou pauvres, savant ou ignorants, bourgeois ou prolétaires, qu’importe ils deviennent tous égaux quand il regarde le temps de leur vie s’écouler.
Si dans le cas de Flaubert la l’art pour l’art nous coupe du monde et des êtres qui le peuplent, dans celui de Tchekhov ces humains dans toute leur diversité représentent le point de départ et d’arriver de son peuvre, c’est sa seule préoccupation, sa seule inquiétude.
Pourquoi inquiétude ? parce que pour réussir à communier avec une telle force avec toutes ces âmes il faut être soi-même empli d’un doute profond. Et là il suffit de lire la correspondance de l’un et de l’autre pour constater qu’à l’autosatisfaction niaise et béate d’un Flaubert s’oppose les doutes et les incertitudes d’un Tchekhov…
3j désolé : la suite à plus tard !
c’est en 1860 seulement que se propage brusquement la fièvre des tsantsa. Une première tête est ramenée en Europe par un Espagnol inconnu, puis une autre, » trouvée dans un petit temple » par un savant italien, qui l’envoie pour expertise à l’anthropologue anglais W. Bollaert ; celui-ci fait aussitôt demander un complément d’informations en Équateur.
À la même époque, on en présente une troisième – don de l’ambassadeur du Pérou – à la Société d’anthropologie de Paris, devant un aréopage d’éminents savants, dont Broca et Quatre-fages. On s’interroge interminablement, au cours d’une séance mémorable, sur la nature des procédés techniques mis en œuvre. Entre-temps, Bollaert reçoit de son correspondant une lettre fantaisiste et compassée, où se manifestent les sentiments contradictoires des Équatoriens à l’égard des Jivaros : il est à la fois gêné de ces coutumes qui contaminent d’un tenace relent de sauvagerie le renom d’un pays désormais indépendant, et flatté de l’intérêt qu’on porte en Occident aux mœurs insolites de » ses indigènes « . Sur la base de ces informations, Bollaert publiera en Angleterre, en 1863, plusieurs articles qui auront un grand retentissement. La vogue des tsantsa gagne rapidement l’Amérique du Nord, qui affronte le problème à la mesure de ses moyens : cette même année, un savant en ramène, en effet, une dizaine, qu’il présente à l’American Ethnological Society.
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VRAI OU FAKE. Pourquoi les propositions de Xavier Bertrand sont actuellement infaisables
https://www.lemonde.fr/archives/article/1980/07/28/les-jivaros-terribles-reducteurs-de-tetes_2795577_1819218.html
Pour les Américains, un psy s’appelle un ‘shrink’, c’est-à-dire un réducteur de têtes. Alors, bienvenue à Tintin au pays des Jivaros…
JJJ, mieux vaut rester discret sur François Augérias, un écrivain à lire en toute confidentialité. Imaginez que Marie Sasseur découvre son cas et l’on entendrait reparler de pédocriminalité !?
J’en avais parlé longuement dans les pages du Gai Savoir du Gai pied…
« « Le Vieillard et l’Enfant », éditions de Minuit, 1954, rééd. en 1985. Un récit semi-onirique, une écriture hantée par Dieu sous le ciel étoilé de l’Afrique. Le drame d’un enfant réduit à « l’esclavage » et d’abord la relation d’une éducation érotique et spirituelle dans une oasis au milieu du désert. Une première œuvre qui a enchanté Gide. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Augiéras
Imaginez que ce fil de commentaires serve de prétexte à tous les déviants sexuels.
De quoi dire: non.
Basta.
à propos de é-tron, ne pas croire que c’est une info relative à l’ex maire de Draveil spécialiste en pied de ses collègues!
@JJJ
je n’ai pas encore lu le début de l’autofiction de Jazzi
une remarque cependant à la suite des vôtres :là où à la place d' »aquis » vous suggérez « acquitté « , je pencherais plutôt pour « enquis »
Mais pas de probleme pour les coquilles et fautes d’orthographe ;ce sera le travail du correcteur de la maison d’édition qui va le publier
faire réduire une sauce
https://www.cuisineaz.com/articles/comment-faire-reduire-une-sauce-3111.aspx
La bouse de vache séchée gâteaux stockés dans les zones rurales de l’Inde
https://www.alamyimages.fr/photo-image-la-bouse-de-vache-sechee-gateaux-stockes-dans-les-zones-rurales-de-l-inde-170072946.html
Maai, l’artiste belgo-charentaise, sculpte les bouses de sa vache. Si la technique déroute, le résultat est étonnant. À découvrir ce dimanche à Alloue, puis aux Sarabandes.
« C’est une matière géniale, vivante, mousseuse, très agréable à travailler et écolo. » La matière en question, c’est la bouse de vache, nouvelle terre d’expérimentation de Maai Van Dorpe. Ce dimanche à la ferme de Tante Alouette, à Alloue, la sculptrice expose une douzaine de pièces taillées dans le caca d’une seule vache, la sienne, prénommée Gazelle, qui a atterri dans son jardin, à Saint-Gervais, « pour éviter…
c’est une histoire hémibelge
https://www.charentelibre.fr/2017/05/26/elle-sculpte-des-bouses-de-vache,3104332.php
@ DHH – est-ce vraiment une autofiction ?
enquis ?… qu’en pense jazm ?
l’a écrit aussi : »quand elle a épousée »… je pense qu’il ne faut pas d’e (la même a été reprise par rôz…).
rôz ?… Suis comme jibé, heureux de son retour matinal, sans avoir grand compris au film, mais j’ai appris à ne m’étonner de rien sur cette chaine…, de ne ma satisfaire que des heureuses surprises…
@ jzmn, vous charriez un brin, là… C’est vous qui attirez l’attention de ma sœur sur augiéras, hors de son champ de grosse bégueule horrifiée par virginie despentes…, Comme par hasard, elle tombe dans la fosse, les deux galoches à pieds joints…]
@ pkt, donc Tchekhov, l’aurait eu plus de doutes et d’incertitudes que Flaubert…. ? Possib’…, je pense surtout qu’ils avaient chacun de telles ambivalences de sentiments à l’égard de leurs pulsions d’écritures, qu’ils les évacuaient différemment en contrôlant leur style chacun sa méthode après tout… Question de style, donc, pas de contenu, voyons !… Votre biais « anti Fl » vous joue des tours, je pense..
Cela dit, j’ai toujours été étonné par l’amour que Kafka portait à Flaubert, écrivain adulé dont il savait ne jamais pouvoir atteindre ni perfection stylistique ni la profondeur romanesque.. Qu’en diriez-vous, au juste, P. ? Quelle serait votre morale à ce sujet ?
Bàv,
Masque Newar Nepal Bouse De Vache
https://picclick.fr/Masque-Newar-Nepal-%C2%A0Bouse-De-Vache-293627668739.html
saligaud
nom masculin
(bas allemand salik, sale, du francique *salo)
Très familier
1. Personne sale, malpropre.
2. Personne qui agit d’une façon ignoble ou méprisable. (Le féminin saligaude est rare.)
» Tenez, Monsieur, vous n’êtes que de la merde dans un bas de soie. »1834
NAPOLÉON IER (1769-1821), à Talleyrand, Conseil des ministres restreint convoqué au château des Tuileries, 28 janvier 1809
« j’ai cherché de bons bas de soie pour vous
Voltaire:
« Ce sont mes vers à soie qui m’ont donné de quoi faire ces bas ; […] ce sont les premiers bas qu’on ait faits dans le pays
https://www.histoiresgalantes.fr/blog/2017/02/09/des-bas-de-soie-made-by-voltaire/
J’ignore pourquoi le sens commun (repris pas PA dans le présent billet) préfère toujours employer le terme réducteur de ‘salope’ à celui, plus noble, de ‘salaude’… Pourtant, y’en a qui se lèvent de bonne heure pour y candidater icite…, et depuis des plombes… hein !
(Mais la République fasciste de Pasolini, dans toussa ? Un lien de txfl, peut-être ?). Bàv,
Je n’ai pas fini mais j’ai relu avec plaisir tes souvenirs d’enfance JB. Quelle mémoire et quel talent de conteur !
Une modeste suggestion: ton père ne se serait-il pas détourné de ta mère embrassant ses deux enfants retrouvés pour cacher quelques larmes (et non pas parce qu’il se sentait exclu) ?
Malgré les chagrins et les difficultés matérielles, tes souvenirs respirent le bonheur.
Ne nous laissons réduire à leur INDIGNITÉ par quelques vieux vicieux désœuvrés.
« Le prix Nobel de médecine 2021 a quelque chose à voir avec le piment rouge »
6 AOÛT 2012 PAR CORRECTEURS
merde in France
https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/2012/08/06/merde-in-france/
De quoi dire: non.
il y a des refus qui interrogent ou devraient, à quoi disons nous non et à qui, serait ce assez pour nous circonscrire? La preuve par le refus? Ou comme un négatif d’une photo, tout ce qui y apparait clair en réalité ne sera que noirceur et inversement au développement?
Et alii, je connaissais l’expression avec la pendule qui au début du siècle dernier était loin d’être miniaturisée ou numérique.( L’assemblée des femmes).
Pour Clopine:
Proust aimait écrire aux toilettes pendant qu’il chiait. Pour l’inciter à venir dans une maison de vacances, elle fait valoir ce double argument : « T’ai-je dit que nous avons ici des closets avec planche à écrire comme ceux de la maison – mais ce qu’ils ont de plus c’est la lumière électrique s’allumant pour éclairer nos oeuvres et s’éteignant après. »3(*)
Bérénice, une question à vous poser.
Une salopette « Lafont » à rayures bleues et blanches faisait partie du costume de scène de Coluche porté pour la première fois dans un sketch en 1974
Extrait de la thèse :
https://www.memoireonline.com/02/13/6934/m_La-scatologie-dans-la-trilogie-beckettienne0.html
D, je vous écoute.
Argile et bouse de vache. Les récipients de la région Jbâla (Maroc)
https://journals.openedition.org/tc/240
@Une lecture moins tord-boyaux qu’on ne pourrait le craindre tant les auteurs convoqués (Rabelais le tout premier mais aussi Georges Bataille, Jean Genet, Antonin Artaud, Michel Leiris, Topor…) sont des artistes
Le titre s’applique parfaitement à la liste d’auteurs ici dressée : reductio ad merdam ; un pot-pourri de cabinet
Edito : « La bouse ou la vie » par Guillaume Estivie, auteur et réalisateur
11/02/2020
« La bouse ou la vie » Voilà le titre qu’avait donné le journaliste d’un magazine branché à son article au vitriol sur Guéret, préfecture de la Creuse où je suis né.
@ Quelle mémoire et quel talent de conteur !
oui et pour l’instant, on ne voit pas d’équivalent sur cette chaine… même quand nous connaissons bien par ailleurs les œuvres respectives de PE et de PA… Quoiqu’on soupçonne d’autres talents cachés.
Tirons la chasse.
Alerte rouge toujours active dans les Bouches du Rhône.
« Aix, 1968 »
Ville thermale, ses eaux sont reconnues pour leur bienfait depuis l’Antiquité.
Bien autre chose fut d’assurer l’alimentation en eau potable après l’épidémie de choléra du début XIXeme( le hussard sur le toit s’en souvient)
Et c’est là, que nous retrouvons François, François Zola.
txfl, c’est le Chaminadour de Jouhandeau… non ?
un pot pourri de cabinet… Comme vous y allez, JL !
ah oui…. François Gorgon ! (la chasse, pronto !)
faut savoir qu’un pigeon produit en moyenne 12 kg de fientes par an.
Concernant la collecte et la destruction des fientes ou des oiseaux, rappelons que la réglementation en vigueur précise qu’il est strictement interdit de placer dans les contenants destinés aux collectes des déchets ménagers ou collectes sélectives, les déjections animales ainsi que les abats d’animaux.
« Le tabac parfumé « à la civette » est à l’origine du nom souvent donné par les buralistes à leur débit de tabac, inspirés par un célèbre établissement parisien portant ce nom, fondé en 1716. Cette tradition a pour origine l’utilisation des glandes à musc de la civette pour conserver et parfumer le tabac à priser. »
Wiki
Sur le plan juridique ///////
Le pigeon est un animal classé « res nullius », c’est-à-dire qu’il
n’appartient à personne. En droit civil, les communes n’ont
aucune responsabilité en la matière.
on ne prendra pas vos fientes pour des feintes
Salaud, on t’aime est un film français de Claude Lelouch, tourné en 20131,2 et sorti en salle en France le 2 avril 2014. Ses principaux acteurs sont Johnny Hallyday, Sandrine Bonnaire et Eddy Mitchell.
Savoir si on a une IST : le guide pour (re)connaître ces petites saloperies
https://www.madmoizelle.com/reconnaitre-ist-890891
des pigeons avec, de dos au premier plan, le chat de
FUKASE
https://hyperallergic.com/wp-content/uploads/2021/09/42-Sasuke-1-1200×813.jpg
je déteste les pigeons
Entre ceux à qui la condamnation d’un président de la République (corruption, trafic d’influence, non respect des règles électorales) tire larmes et lamentations, ceux qui – dès l’annonce de son décès- oublient les casseroles qu’a traînées au long de sa carrière certain homme politique et d’affaires, il se pourrait qu’un nouveau virus sévisse : le faux-culisme.
Pour que le corps écrive ce que la pensée n’ose…
hallons lassouline mettons lamour à somme nulle mais même l’eau fraiche finit mal en général
@ il se pourrait qu’un nouveau virus sévisse : le faux-culisme.
Les morts sont tous des braves types. S’agissant des vivants, la qualification pénale produit ses pleins effets : le placard, le cas échéant …
https://www.youtube.com/watch?v=2AFuhQnx6X8
le faux-culisme
..on veut du cul du vrai qu’elle dit alesquia
..j’aime bien « sévisse » qu’il dirait dédé..et alesquia ça lui déplait pas
Cette tradition a pour origine l’utilisation des glandes à musc de la civette pour conserver et parfumer le tabac à priser. »
Wiki
plus ses vers au cul térezoune..meussieu courte y va t’en donner des kilos dbonbons a alouine
on sait jamais trop de quel côté un coeur balance… tapine ou sarkasme ?… les mêmes engeances à peu d’choses près… Je m’enfonce là JL,… mais le cul a ses fausses raisons que la vraie… etc. [Eti vulgaire quand même… hein|
« On se demandera bien sûr si cette spéculation théologico-littéraire ne risque pas de se transformer en un carnaval sacrilège. On ne fait pas communiquer impunément le sacré et le fécal »
sans y’a rien qui pousse..victor il a écrit des trucs fort agricole la dessus..fondement du réalisme ..la merde est un peu à la nature ce que le sang du christ est pour les hommes..voilà ce qu’il pense le gros léon
L’ambre gris, une matière qui sent bon et coûte cher, utilisé en parfumerie. Vomi ou caca?
« D’où son goût pour la posture, ou plutôt la position, du chieur en plein ahan. Assis, les coudes aux genoux, la tête penchée…. Beckett, plus grossièrement : écrire, c’est se soulager ; donc, entre autres, s’installer et s’ébattre dans la merde »
ses lecteurs ses soupeurs..je préfère mfaire hanculer qu’elle dit bonne clopine..
Debreda visage recouvert d’excréments:
https://i1.wp.com/florilegeswebjournal.com/wp-content/uploads/2019/10/loadimg.php_.jpg?resize=293%2C426&ssl=1
in
https://florilegeswebjournal.com/2019/10/22/montrer-linsoutenable-regard-sur-les-photographies-de-david-nebreda/
nebreda:
https://i1.wp.com/florilegeswebjournal.com/wp-content/uploads/2019/10/loadimg.php_.jpg?resize=293%2C426&ssl=1
in
Montrer l’insoutenable ? Regard sur les photographies de David Nebreda
3j : « donc Tchekhov, l’aurait eu plus de doutes et d’incertitudes que Flaubert…. ? Possib’…, je pense surtout qu’ils avaient chacun de telles ambivalences de sentiments à l’égard de leurs pulsions d’écritures, qu’ils les évacuaient différemment en contrôlant leur style chacun sa méthode après tout… Question de style, donc, pas de contenu, voyons !… Votre biais « anti Fl » vous joue des tours, je pense..
Cela dit, j’ai toujours été étonné par l’amour que Kafka portait à Flaubert, écrivain adulé dont il savait ne jamais pouvoir atteindre ni perfection stylistique ni la profondeur romanesque.. Qu’en diriez-vous, au juste, P. ? Quelle serait votre morale à ce sujet ? »
»
3j vous soulevez là une question ma foi fort intéressante et je vous remercie du fond du coeur de me la poser, je vais m’efforcer d’y répondre au mieux.
alors Kafka aimait beaucoup Flaubert, c’est ma foi vrai, et pas que Kafka ! Nietzsche, Paul Edel, Proust, et alii, Camus, Enthoven, D… si nous devions dresser la liste de tous ceux qui adorent Flaubert elle serait longue comme ma… disons aussi longue que ma… enfin vous voyez ce que je veux dire.
il n’en reste pas moins que, pour faire simple : Flaubert les gens il s’en tape et Tchekhov les gens ça l’intéresse.
quelle importance allez-vous me demander ? qu’importe si un écrivain s’intéresse ou non à ses semblables s’il décrit avec un immense talent les pommiers ou les rosiers de son jardin ? après tout les gens on s’en fout tant que les rosiers sont beaux. je vais même vous avouer un truc 3j moi même il m’arrive parfois de préférer les arbres fruitiers aux humains.
alors je sais bien comment les choses se passent, c’est toujours la même histoire : Flaubert aimait l’art pour l’art pour élever son âme au rang d’une pure noblesse et du coup ses lecteurs sont eux-mêmes incités à le suivre pour pas passer pour des cons.
je veux dire on a tous envie d’être des aristocrates ! et s’il faut en passer par l’amour de l’art la vénération de Flaubert pour parvenir à cette grandeur d’âme je suis le premier à signer !!!
et là nous arrivons à une configuration des plus étranges : voilà un auteur qui se fout complet de l’humanité et que nous devons aimer pour élever notre âme.
Je ne voudrais, mon cher 3j, passer pour un expert de Wittgenstein, mais parfois la logique de ce monde m’échappe et moi-même je me surprends à douter le regard perdu vers l’horizon j’essaie de trouver un pommier auquel me raccrocher !
vous me suivez jusque-là ? parce que je ne suis pas sûr de me suivre moi-même.
non 3j, il y a un truc qui cloche quelque part, je ne comprends rien ni à ce monde ni à mes semblables, je suis totalement perdu.
ahhhh Tchekhov, nous en parlerons une autre fois si vous le voulez bien, comme de la morale, je sais que vous aimez parler de morale, mais laissons ce sujet pour un autre jour et revenons à celui proposer par passou.
« ..on veut du cul du vrai qu’elle dit alesquia
plus ses vers au cul térezoune..meussieu courte y va t’en donner des kilos dbonbons a alouine
sans y’a rien qui pousse..victor il a écrit des trucs fort agricole la dessus..fondement du réalisme ..la merde est un peu à la nature ce que le sang du christ est pour les hommes..voilà ce qu’il pense le gros léon
»
3j vous voyez bien greubou il aime bien la merde, le cul…
la merde, le sang et les larmes ont toujours été les 3 mamelles du journalisme et c’est pas demain que ça va changer.
c’est sympa d’avoir un journaliste notable sur le blogapassou, ça permet de déverser toute sa haine contre cette profession à la con qui nous crée tous les 3 jours des monstres comme Trump ou Zemmour.
personne ne connait Laurent Joffrin ou Edwy Plenel pour les inviter à venir causer avec nous sur le blogapassou ?
Pendant que Macron se fait edito en chef pour La Provence, Libé et Tapie, l’histoire d’un grand amour:
https://pbs.twimg.com/media/FAzcQ8YWQAcUh2Z?format=jpg&name=900×900
#publier c’est se purger, jeter à la poubelle, autrement dit se résoudre à la « poubellication ».
Ah qui ne le dites vous pas, a côté de zemmour, il y a maintenant plein d’ordures qui vont à la mer
https://mobile.twitter.com/AnnickGirardin/status/1444994247179001859
« il y a maintenant plein d’ordures qui vont à la mer »
pas que Zemmour Guignol et Sarah Gnafron qui baisent dans la mer, les poissons y font pareil et ils sont vachement plus nombreux.
(3j vous voyez bien greubou il aime bien la merde, le cul)…
Bin quoi ? l’est très moral et pur dans la constance de ses goûts culinaires, comme l’était Georges mon fils, ma Bataille… Il a beaucoup de cule-ture, Et ce qui ne gâte rien, l’est gentil et espiègle avec tout le monde… Trop timide pour se commenter lui-même, certes, mais parfois, ça pulse… Pourquoi vous l’aimez pas, l’jmb, puck ? Dites lui que vous l’aimez aussi, à défaut d’admirer sa singularité attachante… Ca ne coûte rien, si en plus, c vrai…, et ça fait toujours plaisir par oùxapass… Hein !…
(Ping-pong)… Dommage d’avoir si rapido jeté les ponges sur Tchekhov… Suis un brin déçu. Mais c lundi, normal, padsoussi…
Je connais bien Edwy, mais l’viendra jamais icite… A trop l’habitude de causer pour rien dire,,, donc c’est pas pour lui la rdl, les gens y sont trop sérieux intellectuellement, L’autre, je le connais point, on dit qu’il dirige un journal de gôche… Faut le dire vite, comme dirait la poissarde bégueule, ma soeur duconass, du figmag… azine.
Les brillants résultats de la mairie de Paris : www.http://francetvinfo.fr/societe/drogue/reportage-crack-a-paris-dans-les-couloirs-du-metro-porte-de-la-villette-on-craint-que-ca-devienne-zombieland_4788913.html
« Il en est des écrivains comme des amis. Ceux qui nous sont les plus chers et les plus précieux, ce sont ceux qu’on a besoin de retrouver dans les mauvais jours, dont la seule présence nous laisse encore pressentir la joie au cœur du chagrin, et qui nous maintiennent en vie lorsque la vie nous semble absurde, et si peu désirable.
C’est le cas d’Anton Tchekhov. Il nous parle à voix presque basse, survient entre chien et loup, s’assied auprès de nous. C’est le compagnon des crépuscules. Il dit que le jour reviendra pourtant. »
Ces belles lignes de Claude Roy écrites fin des années 5O, j’y souscris, d’autant que « les mauvais jours » sont là, en France, entre la folie Zemmour et l’emballement médiatique qui s’empare de la presse et des journaux télévisés à propos de Tapie, jusqu’à Libé.. Merci Claude Roy.
« Un colloque a priori peu ragoûtant s’est tenu il y a un peu plus de deux ans sous les auspices du Centre de recherches en Littérature et Poétique Comparées. »
Du pas frais de plus de 2 ans. Lipo, préfixe employé pour les matières grasses.
sainte- merde priez pour elles et eux, , sont bons pour aller » évacuer » chez Paul Emploi.
http://www.litterature-poetique.com/index.php?place=membre_details&id=154
Libé est le seul canard parisien à sauver l’honneur des journaleux concernant Tapie, un bon du milieu ( de terrain)…
n’était-ce pas renato qui écrivait »et merdre »?
Merdre
Daniel Accursi
Collection:
Perspectives critiques
Discipline:
Littérature
Catégorie:
Livre
Date de parution:
01/10/2000
Bonjour l’heritage, 600 millions d’euros de dettes. De quoi mettre les Tapie par terre.
Passou s’est bien amusé, et nous on s’est bien emmerdé, avec ce papier cul.
A bientôt.
«Dès demain le Père Ubu quittera la scène pour devenir votre double. Tous vos amis vous surnommeront Père Ubu. Ils riront de votre insolence, de votre cynisme, de votre suffisance en vous voyant adopter des comportements de sagouin, en observant vos agissements de mufle, en vous écoutant parler de vous-même à la première personne du pluriel : comme les rois. Ainsi, en vertu des pouvoirs insoupçonnés de la catharsis, devenu l’incarnation de l’abjection et de l’ignoble saleté, vous purgerez la vie. Votre humour destructeur bafouera le monde de la bêtise et de la cupidité.»
Alfred Jarry a vingt-trois ans quand il crée Ubu roi au
théâtre de l’Œuvre en 1896. Il a dû batailler et revoir ses exigences à la baisse mais la représentation a bien lieu le 10 décembre, et c’est le scandale espéré! Jarry est définitivement lancé dans la vie artistique parisienne. Il passera le reste de son existence à entretenir et peaufiner sa réputation sulfureuse, avec force provocations.
PATRICE TRIGANO
Ubu roi : «Merdre !»
Collection Bleue, Mercure de France
Merde et société de consommation :
https://staticfanpage.akamaized.net/wp-content/uploads/2016/12/merdartista-1200×799.jpg
J’avais cité le père du Père Ubu sur l’ancienne RdL, et al.
Pouvoirs de l’horreur. Essai sur l’abjection
Julia Kristeva
Pouvoirs de l’horreur
Pourquoi l’abjection ? Pourquoi y a-t-il ce « quelque chose » qui n’est ni sujet ni objet, mais qui, sans cesse, revient, révulse, fascine ? Ce n’est pas de la névrose. On l’entrevoit dans la phobie, la psychose. Il s’agit d’une explosion que Freud a touchée mais peut-être aussi évitée, et que la psychanalyse devrait être de plus en plus pressée d’entendre. Car l’histoire et la société nous l’imposent. Dans l’horreur. Les rites, les religions, l’art ne feraient-ils rien d’autre que de conjurer l’abjection ? D’où l’étrange révélation de la littérature : Dostoïevski, Lautréamont, Proust, Artaud et, de façon très symptomatique, Céline. Le voici maintenant, cet habitant des frontières, sans désir ni lieu propres, errant, douleur et rire mélangés, rôdeur écœuré dans un monde immonde. C’est le sujet de l’abjection.
Amusante panne planétaire — Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger : « Ce site est inaccessible », « impossible de trouver l’adresse du serveur », « erreur de chargement de la page ».
renato, c’est bien ce que j’avais pensé et n’ai pas oubié; ça me plait toujours
Merci, closer.
Pour les larmes de mon père, c’est au choix du lecteur.
Serais très preneur de vos corrections, DHH. et alii, ma correctrice attitrée, fait la grève, et je m’achemine plutôt vers une auto édition…
excuses de cette rupture mais je tiens à signaler l’information sur Arendt du mag philo
https://www.philomag.com/articles/hannah-arendt-le-delitement-de-lautorite-et-le-regne-de-lexpert?utm_source=Philosophie+magazine&utm_campaign=d71310fc37-newsletters_COPY_02&utm_medium=email&utm_term=0_dee8ebacdf-d71310fc37-217926025
il est très évident que DHH a plus de goût et de talent que moi pour « corriger » et trouvera un supplément de respect en se consacrant à cet exercice
distrayant ; allez, courage!
oublié
3j constant c’est vous qui devriez l’être plus un brin :
1/En quoi greubou est-il concerné par les écuries d’Augiéras ?
2/Bin quoi ? l’est très moral et pur dans la constance de ses goûts culinaires
3J c’est le pastis qui provoque ces changements ? ou bien c’est juste parce que vous êtes un putain de lèche botte vrai faux cul ?
« Et les filles, elles ont droit à une belle cérémonie, assises sur une brique, le dos au soleil levant, quand elles sont excisées ? »
Silence gêné sur le blog…
Cette ordure de water closet ne sait pas lute ?
Pourquoi cette question, le vieux voyeur water closet veut de la référence pour sa bibli « au gai pedo » ?
3j : Dommage d’avoir si rapido jeté les ponges sur Tchekhov… Suis un brin déçu.
»
« Il en est des écrivains comme des amis. Ceux qui nous sont les plus chers et les plus précieux, ce sont ceux qu’on a besoin de retrouver dans les mauvais jours, dont la seule présence nous laisse encore pressentir la joie au cœur du chagrin, et qui nous maintiennent en vie lorsque la vie nous semble absurde, et si peu désirable.
C’est le cas d’Anton Tchekhov. Il nous parle à voix presque basse, survient entre chien et loup, s’assied auprès de nous. C’est le compagnon des crépuscules. Il dit que le jour reviendra pourtant. »
merci.
Cette pute zemmourienne de water closet, plus de 75 ans, ne sait pas lire.
Imaginez que ce fil de commentaires serve de prétexte à tous les déviants sexuels.
Et un vieux salopard comme water closet en fait partie.
J’imagine que ce vieux dégueulasse de water closet est dans la vie civile et privée un bon père de famille, comme zemmour ?
j’adore le portrait de greubou par un 3j bourré :
« Il a beaucoup de cule-ture, Et ce qui ne gâte rien, l’est gentil et espiègle avec tout le monde… Trop timide pour se commenter lui-même, certes, mais parfois, ça pulse… Pourquoi vous l’aimez pas, l’jmb, puck ? Dites lui que vous l’aimez aussi, à défaut d’admirer sa singularité attachante… »
« à défaut d’admirer sa singularité attachante »
génial ! merci 3j ça fait du bien de rire.
3j vous êtes meilleur bourré qu’à jeun !
on en redemande !
Puck, est-ce que ke peux te mander quelque chose ?
désolée si j’entends « réductio amsterdam » et la chanson de Béart!
https://www.google.com/search?q=chanson+amsterdam+guy+b%C3%A9art&oq=amsterdam+chanson+b%C3%A9art&aqs=chrome.1.69i57j0i22i30.17794j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
D. dit: à
Puck, est-ce que ke peux te mander quelque chose ?
»
quoi ?? si tu veux savoir si j’aime ta singularité attachante la réponse est non !
@Ceux qui ne purent hélas assister à ces travaux peuvent désormais se rattraper en se plongeant dans les Actes mis en ligne en libre accès par la revue Silène. Un régal pour l’esprit.
De quel esprit est-il question, au juste ?
Quand on tire un peu les fils de cette obscure officine organisatrice de ce raout, on reste un peu estomaqué par les apprentis idéologues qui y oeuvent pour faire progresser l’obscurantisme.
Et presque toutes les figures du christianisme y passent.
Pas très catholique, tout cela.
Qu’est-ce que le professeur Raoult a à voir avec ça ?
qui y oeuve
merci. yes, suis « un putain de lèche botte vrai faux cul » céma nature profonde…. Vous l’ai déjà dit… Hélas pour vous, mon destère, pas avecque tout le monde, suis-je…
Que redemandez-vous vous au juste, faudrait savoir ? que je soye agen avec vous, ou bourré avec les aut’ ?…
(génial ! merci 3j ça fait du bien de rire).. Serviteur !… ne m’accablez pas trop, vous en aurez encore besoin, hein hein ??? D. n’aime pas votre attachante singularité… Il a tort, faut dire qu’il n’M rien… Les gens sont si trisssssssssssssss sur cette chaine ak-ablante… Vouez reduction amsterdam, elle essaie de faire du zhumour, mais y arrive pas… Chais pas ce qu’il faudrait leur conseiller pour les aider, tous ces piss-vinaig, charoule, txfl, B., cricriss, marc, jisséb, oxyamiandisq, 75 et 57, masseur, etchétérak… des genss sans joie, pas zeureux de vivre ni de mourir… Quoi faire pour eux, bordèle ?
BN à tous.tes ? trouver le sommeil, oublier la vie un temps, s’ivresser à l’absinthe ? se défonsser ?… en finir avec panach’ comme magda et sa marmaille ?… Meuh, tu trouveras bien tout.e seule.e ta solution dans ton testament, m’inquiète pas…. Avanti !
@Pareille lecture invite à se pencher sur ce qui nous fascine dans ce qui nous dégoûte
I don’t give a shit
We say or use this phrase when we don’t care or are not interested in what someone says or does.
DESOLEE DE NE PAS TROUVER DRÔLE le Piss Christ, de SERRANO
bonsoir
Closer, voir le film Fleurdu désert où m’a t il semblé une scène d’excision est filmée sans artifice pour les besoins de la cause. Je me suis demandée à cette occasion si la violence, l’horreur de cette » coutume » donnée à voir dans les larmes, le sang, changerait quoique ce soit à la conditions des fillettes qui en sont victimes . Vieille lame de rasoir rouillée jetée sur la terre après l’amputation, des outils sterilises sont désormais offerts, ne sais si cette coutume issue du patriarcat et sans anesthésie continue de se pratiquer, certaines fillettes meurent d’infection, les autres mutilées condamnées à vivre , devenues femmes à leur tour accepteront ou refuseront qu’un tel sort soit infligé à leur (s) propre (s) fille(s).
Jean, votre remarque sur les morts mène à ce Vernon Sullivan, Les morts ont tous la même peau.Pour stationner dans l’histoire des identités métissées.
Et alii, je suppose, donnera des sources plus documentées quant à cette tradition qui ne paraît pas liée au Texte et se rencontre sous plusieurs cieux habités d’un Dieu.
https://www.lesinrocks.com/actu/article-excision-67553-20-07-2016/
Mai 2020, fr culture.
https://www.franceculture.fr/societe/ni-race-ni-couleur-de-peau-ni-religion-pour-lexcision
Mardi 5 octobre 2021, 5h55, 14°, mistral violent
Il y a une part de vrai chez ceux qui affirment, horrifiés, que circoncision et excision sont des actes imbéciles et criminels…
Le même jour un peu plus tard.
@ »Il y a une part de vrai chez ceux qui affirment, horrifiés, que circoncision et excision sont des actes imbéciles et criminels… »
Tout a fait, et c’est autre chose que de se repaître d’actes de mutilation génitales, actes réprimés en France, faut-il le leur préciser ?
Et bizarrement sur ce blog, ce sont toujours les 3 mêmes déviants sexuels à qui ces atteintes sexuelles infantiles donnent de l’imagination.
Ces trois vieux déviants sexuels, leur genre indéfini vieux pédophiles, vieille goudou, , des voyeurs qui se repaissent de details sur des mutilations sexuelles, sont à la préservation de l’intégrité des enfants, ce que Mengele fût aux expériences médicales.
closer dit: à
Plus facile de trouver des italiens que des scandinaves dans le sud-est de la France.
Non.
Mes parents vivaient à Marseille, quartiers nord, bd Viala et bd Marie Joseph (oui, oui, oui). À une rue d’intervalle
Fréquentaient la JOC, jeunesse ouvrière chrétienne.
Des ritals et des espagnols. Pauvres, pauvres, pauvres.
Pas de gens du nord, pas de suisses, une espèce d’endogamie.
In fine, en choisissant quatre italiens, les quatre filles n’ont pas fait mieux que leur père, espagnol, macho de première. Mais, elles ne se sont pas positionnées pareillement.
#@Pareille lecture invite à se pencher sur ce qui nous fascine dans ce qui nous dégoûte.
Non, Monsieur.
Nous lecteurs, ne nous laisserons pas réduire à leur INDIGNITÉ, par ceux de vos » fideles », dont vous flattez la bestialité.
Je n’ose imaginer que vous prenez tous vos lecteurs pour des cons.
Non.
Marseille, ce n’est pas le sud-est, c’est plein sud.
Leur quartier, que je connais bien, est à deux encablures du marché aux puces nord, une vaste décharge à ciel ouvert.
C’est toujours un quartier d’immigrés plein pot, pour l’instant d’Afrique du Nord. Cela changera peut-être encore.
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