de Pierre Assouline

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La République des livres
Reductio ad merdam

Reductio ad merdam

Un colloque a priori peu ragoûtant s’est tenu il y a un peu plus de deux ans sous les auspices du Centre de recherches en Littérature et Poétique Comparées. On l’aurait ignoré n’eut été la formulation mystérieuse et ambiguë de son intitulé : « Saloperies littéraires ! Quand l’ordure entre en représentation ». Ceux qui ne purent hélas assister à ces travaux peuvent désormais se rattraper en se plongeant dans les Actes mis en ligne en libre accès par la revue Silène. Un régal pour l’esprit.

Penser la saloperie, identifier le salaud, théoriser le sale, déconstruire l’immonde dans toute leur complexité requiert un certain courage. Une provocation en nos temps où l’obsession hygiéniste est dopée par la covid. Bien sûr, il y est question quoique superficiellement du « salaud Céline » qui a puisé dans l’imagerie excrémentielle à une tradition déjà bien ancrée dans le pamphlet de la fin du XIXème siècle. Et du tout aussi inévitable du « salaud sartrien » qui par mauvaise foi considère son existence comme nécessaire alors que toute existence est injustifiée et gratuite. Mais plutôt que ces deux classiques du genre trop attendus, c’est sous le patronage de l’auteur du Dahlia noir (1987), ce James Ellroy qui s’y connait en saloperies, que se place ce conclave. Son œuvre est pleine de salauds de tous acabits et ce roman en particulier est de ceux qui hantent durablement ses lecteurs. Les chercheurs qui ont planché deux jours durant sur la question savent que la saloperie est un terrain miné. D’autant que le salaud défie l’écriture inclusive puisqu’il y a des salopes, même si ces dernières souffrent d’être injustement réduites à la dimension sexuelle.

Il y a des sales textes comme il y a des sales types. Des livres traumatisants : polars généreux en scènes de tortures ou de cannibalisme, mise en scène de la cruauté etc et tous textes violents, agressifs, transgressifs qui placent le lecteur face à l’insoutenable et le pétrifient. Mais ce n’est pas parce que ce qu’on écrit relève de la salauderie (« degré de saleté d’une expression », selon Edmond de Goncourt qui parlait en connaissance de cause, le Journal qu’il a co-signé avec son frère en témoigne) qu’on est pour autant un salaud littéraire. Ici, Il s’agit plutôt du sale physique et de l’abjection morale. Plus que jamais, dans un monde où tout est spectacle, l’écrivain doit conserver à l’esprit son « entrée en représentation ». Question de posture. Dans sa communication, Jean-François Louette (Sorbonne) explore la façon dont Samuel Beckett a voulu déjouer l’emphase de la posture d’écrivain :

« D’où son goût pour la posture, ou plutôt la position, du chieur en plein ahan. Assis, les coudes aux genoux, la tête penchée…. Beckett, plus grossièrement : écrire, c’est se soulager ; donc, entre autres, s’installer et s’ébattre dans la merde ».

L’auteur d’En attendant Godot inspire d’ailleurs ce recueil de manière lancinante. Frédéric Rousille (Université Bordeaux-Montaigne) va jusqu’à écrire : « Le pseudo-sujet de Beckett oscille entre être et ne pas être, diarrhée et constipation », ce qui effectivement renouvelle notre intelligence de l’ensemble de l’œuvre.

Merde, crachats, morve, dégoût, cochonneries, déchet, ordure, excrément, immondices, insultes, souillure, pourriture… Mais que de pépites et de fusées dans cette diarrhée verbale ! Une lecture moins tord-boyaux qu’on ne pourrait le craindre tant les auteurs convoqués (Rabelais le tout premier mais aussi Georges Bataille, Jean Genet, Antonin Artaud, Michel Leiris, Topor…) sont des artistes, parfois virtuoses dans leurs tentatives de transmutation de la saloperie par le sublime. Il n’est pas donné à n’importe quelle main à plume de subvertir salé et sucré en sale et sacré. Grâce à Edouard Garancher (Sorbonne Université), Léon Bloy occupe une place de choix dans ce grand rassemblement : à le suivre, on entre au paradis avec une couronne d’étrons, souillé donc sanctifié, assuré du salut par l’abject :

« L’écriture scatologique bloyenne est sous-tendue par un fantasme régressif de reductio ad merdam de sa cible, au sens le plus physique ».

Le grand romancier et pamphlétaire catholique, qui s’était lui-même surnommé « Le Scatologue », se figurait l’Apocalypse sous la forme d’un cataclysme excrémentiel, qui rendrait à chacun sa vraie place dans la Création :

« On se demandera bien sûr si cette spéculation théologico-littéraire ne risque pas de se transformer en un carnaval sacrilège. On ne fait pas communiquer impunément le sacré et le fécal ».

Pour que le corps écrive ce que la pensée n’ose… . Cet emprunt à Marcel Moreau aurait pu figurer en épigraphe de ce recueil de réflexions, si fécondes par les pistes qu’elles ouvrent. On ne dira pas que leurs auteurs s’en sont débarrassées puisque, selon le mot de Lacan cité par un auteur, publier c’est se purger, jeter à la poubelle, autrement dit se résoudre à la « poubellication ». Pas le moindre haut le cœur dans la découverte de ces analyses où le scatologique se mêle subtilement à l’eschatologique. Même si à force cela bannit toute lecture innocente : face à la richesse du sommaire, on n’ose même plus parler d’abondance des matières. Pareille lecture invite à se pencher sur ce qui nous fascine dans ce qui nous dégoûte.

(« Aix, 1968 » photo Henri Cartier-Bresson)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

927 Réponses pour Reductio ad merdam

Marie Sasseur dit: à

L’alerte météo violente a été levée sur Marseille, on va pouvoir reprendre une activité normale.

rose dit: à

Vu Drive my car.

Réponses :
1/ Aïe, Drive my car.
2/ I Drive my car.

rose dit: à

Jazzi

Ai bien aimé ds votre récit d’enfance vos illustrations familiales et cartes postales ou affiches d’époque.
Mais surtout votre alliance entre l’enfance et l’âge adulte, ce qui donne un récit très émouvant.
Vous racontez le récit d’enfance avec votre regard d’adulte.

Comment avez-vous retrouvé votre fil narratif que vous ne réussissiez pas à nouer, ou dénouer ?

rose dit: à

ou dérouler

B dit: à

MS, ce film fut je crois suffisamment violent pour alerter les institutions sur cette coutume. Je l’ai vu et de la scène que je souligne ici , j’ai conclu qu’elle était un authentique témoignage que le cinéaste avait choisi de filmer pour rapporter l’horreur des faits. Je me suis demandé ce qui avait motivé un tel choix qui si je ne me trompe pas sur sa nature m’a quelque peu déroutée, ne pouvait il pas plutôt que filmer intervenir afin de protéger l’enfant. Je conseille à ceux ou celles qui n’auraient pas vu ce film de le regarder, il montre le parcours d’une femme, les conséquences pour toute une vie de femme qui en l’occurence s’échappe pour finir par s’intégrer à une autre civilisation où enfin elle objective face à une femme non excisée sa différence irréparable. Aucun voyeurisme, le film est bouleversant.

B dit: à

Entre des partis pris anti écolo et les insultes par ricochet á un cinéaste et d’une femme qui ont plus qu’ému l’opinion mondiale, cette jeune femme fut la première à avoir un tel impact, mannequin célèbre repérée alors qu’elle était femme de ménage dans un fastfood, vos prises de positions interrogent, n’y aurait il que les êtres d’encre et de papier qui fassent pour vous réalité et meritent respect, humanité ? Cela venant de vous m’étonnerait pas vu les propos insultant à tout bout de champ même lorsque les posts ne vous sont pas adressés. Écumante de bave du matin au soir.

JiCé..... dit: à

B,
nous aurions tort de nous priver des occasions de rire que nous offrent chaque jour ceux qui ont pris le parti de remplacer les clowns vieillissants : les écologistes demeurés… !

B dit: à

Quant à l’intégrité des enfants, je crois qu’il appartient à chacun de balayer le devant de sa porte et de le surveiller, rester vigilant. Malheureusement, comme pour les noyades, l’espace familial reste le lieu privilégié des abus, si vous ajoutez les institutions en qui les familles ont confiance, Église et École et qui sont mitées de déviants, on en arrive à ne plus voir aucun lieu de sécurité morale pour les enfants. On peut aussi y adjoindre les réseaux qui favorisent la pédo pornographie et la prostitution des mineurs, phénomène en augmentation.

Marie Sasseur dit: à

Tata mégot et ses rots du matin… infect.

Alexia Neuhoff dit: à

La sortie de M. Macron concernant l’Algérie s’apparente à un acte chirurgical qui consiste à crever l’abcès, à désinfecter la relation entre les deux pays. Il fallait un certain courage pour dire aux dirigeants algériens qu’ils ont fait de cet abcès un système, qu’ils l’enveniment comme on souffle sur des braises pour empêcher un feu de s’éteindre, qu’ils ne veulent ni guérison ni même cicatrice parce ce serait se priver de la béquille qui les fait se maintenir en place.

B dit: à

MS, recevez mon mépris en partage qui s’adresse à la mystificatrice bornée, au déni connu, à l’hypocrisie délinquante d’une femme qui se croit toujours et encore à l’abri d’un indétrônable statut fantasmé quelque peu égratigné par sa triste réalité et sur laquelle mon dégoût pour le ragot et la délation motivera de ne pas révéler ce qui de plus ne constitue pas un secret.

JiCé..... dit: à

B,
Ragot et délation ? Mais oui !

Pourquoi se priver de ces plaisirs si agréables ? Déféquons, le cœur léger ! Déféquons, par Benoit XVI, il en restera toujours quelque chose de fait qui allègera notre esprit mutin …

Marie Sasseur dit: à

Tata mégot est emblématique de cette frange marginale de l’humanité.
Celle qui vaille que vaille, et paradoxalement, fait renouveler une sorte de profession de foi, celle qui m’anime depuis que je suis dans la vie active.

Et redire à Passou, que non.
Non.
Cette  » éthique  » protestante qui voudrait que la fin ( j’espère au moins que nous avons la même conception de la finalité ?!!) justifie TOUS les moyens, est une sorte de saloperie intellectuelle , qui voudrait faire croire que l’intérêt général de l’ humanité ne se construit que par réaction a la barbarie.

Non, Monsieur !

B dit: à

Celle qui vaille que vaille, et paradoxalement, fait renouveler une sorte de profession de foi, celle qui m’anime depuis que je suis dans la vie active.

La peripateticie? Ou seulement sa langue avec laquelle vous faites des miracles. Le cercle d’Aristote bien loin des zones périurbaines où l’on tourne en rond.

Marie Sasseur dit: à

Voilà, et maintenant reductio ad Dachau.

Bonne journée Passou.

B dit: à

Les peintres ont eu des périodes, la période Non de M Sasseur à tout pour s’inscrire dans cette fresque de l’humain tant il s’avère qu’en dépit du progrès techno nous devrions atteindre pour la dépasser sa négation et toutes ses dimensions, du petit au grand format, pour rien, nothing, nada. Bien sûr il nous faudra déplacer, n’en déplaise aux maniaques, pour atteindre ce point de non retour quelques éléments encore vivaces à l’esprit.

B dit: à

A tata mégot, m’autorise vous en retour un tata vibro, ce ne serait qu’équitable pour répondre à votre goût pour la justice.

B dit: à

M’autorisez-vous, mes excuses, correcteur.

B dit: à

Ou un tata Skyn? Serait ce plus juste, dans la merde autant pousser le bouchon sans honte et sans reproche .

et alii dit: à

et que le 6 octobre se tient la Journée nationale des aidants.
bonjour

closer dit: à

Oui B, ma remarque visait à dénoncer l’espèce de glorification virile qui entoure la circoncision des garçons par rapport à la discrétion honteuse qui recouvre la mutilation des filles. Même sur ce blog, je soupçonne que celui qui a mis en ligne ce texte en admire le contenu, y voit une sorte de coutume aristocratique avec une belle mise en scène…Ces deux mutilations du corps, celle qui affecte les filles étant malheureusement beaucoup plus douloureuse et dangereuse, sont la marque d’une même démarche: marquer le corps des membres de la tribu (au sens large) d’une signe indélébile. Impossible de s’en évader…

B dit: à

Pour les garçons, les conséquences sont moindres. N’est amoindrie qu’une sensibilité, de plus cette coutume s’origine je crois dans une préoccupation hygiéniste alors que pour les femmes leur est soustrait la possibilité du plaisir, en plus dans la souffrance pour ne pas dire l’horreur. J’imagine que tailler un prépuce même sans anesthésie n’a rien de comparable avec l’excision et l’infibulation. Certes pour les garçons cela tient du rituel initiatique, pour les filles c’est d’un autre ordre.

et alii dit: à

restons proustiens
— Je ne sais pas ce que me doit le chapitre, mais je sais que je suis tapée de cent francs tous les ans par le curé, ce dont je me passerais. Enfin ces Cambremer ont un nom bien étonnant. Il finit juste à temps, mais il finit mal ! dit-elle en riant.

— Il ne commence pas mieux, répondit Swann.

— En effet cette double abréviation !…

— C’est quelqu’un de très en colère et de très convenable qui n’a pas osé aller jusqu’au bout du premier mot.

— Mais puisqu’il ne devait pas pouvoir s’empêcher de commencer le second, il aurait mieux fait d’achever le premier pour en finir une bonne fois. Nous sommes en train de faire des plaisanteries d’un goût charmant, mon petit Charles, mais comme c’est ennuyeux de ne plus vous voir, ajouta-t-elle d’un to
« 

et alii dit: à

Citation 4 : Quant à tous les petits messieurs qui s’appellent marquis de Cambremerde ou de Vatefairefiche, il n’y a aucune différence entre eux et le dernier pioupiou de votre régiment. Que vous alliez faire pipi chez la Comtesse Caca, ou caca chez la baronne Pipi, c’est la même chose, vous aurez compromis votre réputation et pris un torchon breneux comme papier hygiénique. Ce qui est malpropre. (SG II – III, 475-476)

Janssen J-J dit: à

Au petit déjeuner proustien, pour dégorger du 4e tome …. :
« Sans honneur que précaire, sans liberté que provisoire, jusqu’à la découverte du crime ; sans situation qu’instable, comme pour le poète la veille fêté dans tous les salons, applaudi dans tous les théâtres de Londres, chassé le lendemain de tous les garnis sans pouvoir trouver un oreiller où reposer sa tête, tournant la meule comme Samson et disant comme lui : « Les deux sexes mourront chacun de son côté » ; exclus même, hors les jours de grande infortune où le plus grand nombre se rallie autour de la victime, comme les Juifs autour de Dreyfus, de la sympathie — parfois de la société — de leurs semblables, auxquels ils donnent le dégoût de voir ce qu’ils sont, dépeint dans un miroir qui, ne les flattant plus, accuse toutes les tares qu’ils n’avaient pas voulu remarquer chez eux-mêmes et qui leur fait comprendre que ce qu’ils appelaient leur amour (et à quoi, en jouant sur le mot, ils avaient, par sens social, annexé tout ce que la poésie, la peinture, la musique, la chevalerie, l’ascétisme, ont pu ajouter à l’amour) découle non d’un idéal de beauté qu’ils ont élu, mais d’une maladie inguérissable ; comme les Juifs encore (sauf quelques-uns qui ne veulent fréquenter que ceux de leur race, ont toujours à la bouche les mots rituels et les plaisanteries consacrées) se fuyant les uns les autres, recherchant ceux qui leur sont le plus opposés, qui ne veulent pas d’eux, pardonnant leurs rebuffades, s’enivrant de leurs complaisances ; mais aussi rassemblés à leurs pareils par l’ostracisme qui les frappe, l’opprobre où ils sont tombés, ayant fini par prendre, par une persécution semblable à celle d’Israël, les caractères physiques et moraux d’une race, parfois beaux, souvent affreux, trouvant (malgré toutes les moqueries dont celui qui, plus mêlé, mieux assimilé à la race adverse, est relativement, en apparence, le moins inverti, accable qui l’est demeuré davantage) une détente dans la fréquentation de leurs semblables, et même un appui dans leur existence, si bien que, tout en niant qu’ils soient une race (dont le nom est la plus grande injure), ceux qui parviennent à cacher qu’ils en sont, ils les démasquent volontiers, moins pour leur nuire, ce qu’ils ne détestent pas, que pour s’excuser, et allant chercher, comme un médecin l’appendicite, l’inversion jusque dans l’histoire, ayant plaisir à rappeler que Socrate était l’un d’eux, comme les Israélites disent de Jésus, sans songer qu’il n’y avait pas d’anormaux quand l’homosexualité était la norme, pas d’antichrétiens avant le Christ, que l’opprobre seul fait le crime, parce qu’il n’a laissé subsister que ceux qui étaient réfractaires à toute prédication, à tout exemple, à tout châtiment, en vertu d’une disposition innée tellement spéciale qu’elle répugne plus aux autres hommes (encore qu’elle puisse s’accompagner de hautes qualités morales) que de certains vices qui y contredisent, comme le vol, la cruauté, la mauvaise foi, mieux compris, donc plus excusés du commun des hommes ; formant une franc-maçonnerie bien plus étendue, plus efficace et moins soupçonnée que celle des loges, car elle repose sur une identité de goûts, de besoins, d’habitudes, de dangers, d’apprentissage, de savoir, de trafic, de glossaire, et dans laquelle les membres mêmes qui souhaitent de ne pas se connaître aussitôt se reconnaissent à des signes naturels ou de convention, involontaires ou voulus, qui signalent un de ses semblables au mendiant dans le grand seigneur à qui il ferme la portière de sa voiture, au père dans le fiancé de sa fille, à celui qui avait voulu se guérir, se confesser, qui avait à se défendre, dans le médecin, dans le prêtre, dans l’avocat qu’il est allé trouver ; tous obligés à protéger leur secret, mais ayant leur part d’un secret des autres que le reste de l’humanité ne soupçonne pas et qui fait qu’à eux les romans d’aventure les plus invraisemblables semblent vrais, car dans cette vie romanesque, anachronique, l’ambassadeur est ami du forçat ; le prince, avec une certaine liberté d’allures que donne l’éducation aristocratique et qu’un petit bourgeois tremblant n’aurait pas, en sortant de chez la duchesse s’en va conférer avec l’apache ; partie réprouvée de la collectivité humaine, mais partie importante, soupçonnée là où elle n’est pas étalée, insolente, impunie là où elle n’est pas devinée ; comptant des adhérents partout, dans le peuple, dans l’armée, dans le temple, au bagne, sur le trône ; vivant enfin, du moins un grand nombre, dans l’intimité caressante et dangereuse avec les hommes de l’autre race, les provoquant, jouant avec eux à parler de son vice comme s’il n’était pas sien, jeu qui est rendu facile par l’aveuglement ou la fausseté des autres, jeu qui peut se prolonger des années jusqu’au jour du scandale où ces dompteurs sont dévorés ; jusque-là obligés de cacher leur vie, de détourner leurs regards d’où ils voudraient se fixer, de les fixer sur ce dont ils voudraient se détourner, de changer le genre de bien des adjectifs dans leur vocabulaire, contrainte sociale légère auprès de la contrainte intérieure que leur vice, ou ce qu’on nomme improprement ainsi, leur impose non plus à l’égard des autres mais d’eux-mêmes, et de façon qu’à eux-mêmes il ne leur paraisse pas un vice ».
Bàv, s’il se peut… (env. 900) !

Phil dit: à

On l’aurait ignoré n’eut été

Faut-il vraiment circoncire le chapeau du u ? Les obstétriciennes obsédées du lieu, appelées à la barre

D. dit: à

Tous ces problèmes proustatiques…

Janssen J-J dit: à

@ je soupçonne que celui qui a mis en ligne ce texte en admire le contenu,

Commençons par interroger les motivations d’Hampaté Bâ, ce qui vous serait bien plus ethnologiquement profitable, je pense… Mais l’avez vous lu, au moins ? Apparemment, pas sûr… On vous soupçonnera de penser : « c’était qui, ce nègre Bêta-là, quel intérêt  » ?
Sinon…, pouvez toujours aller mieux vous édifier chez les Baruyas de Nouvelle-Guinée, étudiés dans « la production des grands hommes » de Maurice Godelier. Très instructif aussi…, à défaut de susciter votre admiration scientifique… Ils ne pratiquaient pas l’excision clitoridienne, en principe. Soye-en rassuré…
https://editions.flammarion.com/la-production-des-grands-hommes/9782081218734
NI ne connaissaient la perversion sexuelle aussi bien que le Clergé catholique très chrétien de ma soeur Anne Pâtée…
Bàv,

et alii dit: à

on va avoir un ULSTER de l’estomac ; où est passé Bloom?

Janssen J-J dit: à

n’eu tété
nu été
nue tétée
nu tétait
n’eût été
… au secours, DHH ! … Fil s’impatiente…
(maïeutique & mayonnaise, obstétrique & dijonnaise : faudrait décalotter et circonscrire les accents flexibles de leurs imparfaits subjugués),…

Janssen J-J dit: à

@ un ULSTER de l’estomac…
Tant qu’on n’y a pas la littérature en travers…, comme disait lulu poirier, on peut joycer à loisir…

Phil dit: à

Le nœud borroméen peut-il être gordien ? Dix secondes pour donner une réponse qui séduise le grand oral de l’ena. Dhh etalii sortiront le prestigieux blog à passou de la mouise.
Vu le dernier James bond, en compagnie de bétail mastiqueur popcorneux, pas mal malgré la colorisation de l’original. Attendons l’avis de baroz, revenu des fontaines rouillées de Paris.

renato dit: à

Tiens, peut-on dire que l’expression « grand catholique » sous-entende la quantité d’enfants qu’un curé a violentés ?

renato dit: à

« Nœud borroméen » : réel, imaginaire, symbolique… déjà si un acteur-actant est un brin moderne le symbolique il le laisse aux arcadiques (s’il y a imaginaire pas de symbolique), donc pas de nœud borroméen ; s’il y a de symbolique (une structure pré-défaite) pas d’imaginaire… enfin, comme disait l’un de mes amis : « Lacan a construit sans fondations ce qui est normal pour un intellectuel ».

Marie Sasseur dit: à

@peut-on dire que l’expression « grand catholique » sous-entende la quantité d’enfants qu’un curé a violentés ?

Non, on ne peut pas. Le fait que l’institution catholique ait commandé ce rapport sur la pedocriminalité dans l’église française, en est la preuve.

Marie Sasseur dit: à

Cette question de renato est d’autant plus étrange, que lui-même a été confié par son papa à une structure catholique, et qu’il n’a rien dit sur des agissements pedocriminels. Comme il l’a raconté sur ce blog.
C’est pas catholique du tout, ni petit, ni grand.

renato dit: à

Ils demandent pardon, mais pas de prison, les pauvres cafards. Bon, en tous cas, puisque les monothéismes ce sont les prototypes des fascismes, pas de problèmes, ces sont eux qui ont la prétention de nous apprendre le respect de da vie. Et à propos des merde, cerises sur le gâteau, ils demandent un aide pour indemniser les victimes.

Janssen J-J dit: à

comment peut-on encore se dire grande ou petite chrétienne catholique et apostolique après ça…? Et continuer d’accuser les internautes de perversion sexuelle ou de victimisation peédocriminelle, histoire de mieux en exonérer l’institution Église, sans doute, prétendue courageuse commanditaire du tout savoir sur l’étendue des tares de ses bergers et bergères…
Et de continuer surtout à nous faire sa justicière un jour, et sa répugnante avocate, un autre ?.. Du balaage devant la porte des ordures, voui… On ne rêve pas, Mônsieur.

puck dit: à

La paranoïa est un trouble du fonctionnement mental qui se manifeste par une méfiance exagérée des autres, une sensation de menace permanente et un sentiment de persécution. C’est une maladie basée sur des délires de persécution auxquels le patient adhère totalement et qui le handicapent, lui et son entourage.

Marie Sasseur dit: à

Je plains sincèrement, ceux qui ont subi les diktats des parents, les envoyant à  » la catho » et qui font maintenant leur petite révolution 2.0, ni dieu ni diable, pour mieux taire leur lâcheté ?

Liberté de croire comme de ne pas croire est inscrite dans les fondements de la Republique française, on dirait que personne ici ne le sait ?

C’est pas le tout de demander monsieur le curé pour un mariage ou un enterrement.

Jazzi dit: à

Le léZard est allé voir Proust au cinéma et a beaucoup aimé !

renato dit: à

Administratives en Italie : populistes & co : si vous les connaissez, vous les évitez.

Prix Nobel de physique à Parisi, Hasselmann et Manabe.

Marie Sasseur dit: à

J’ajoute que rapport dit  » Sauvé  » du nom ,prédestiné ?, du responsable, entouré si j’ai bien compris d’une cinquantaine de personnes, n’est pas un rapport de police.

En revanche, vu la période couverte , plusieurs exactions non couvertes par la prescription devront faire l’objet de suites judiciaires.
On a trop vu avec des affaires récentes d’inceste, que le fait de ne pas porter plainte , mais de régler ses  » comptes » par les réseaux sociaux ou par des publications aurofictionnelles, avait de pervers pour les institutions républicaines ( qui ont quand même et bien heureusement fonctionné) qui garantissent a tous la liberté. Et surtout la tranquillité.

L’église de France a souhaité pouvoir indemniser les victimes,indépendamment des procédures judiciaires.
Je suis très très réticente par rapport à cette proposition.
D’une part chaque victime n’attend pas forcément ce type de  » réparation « , d’autres au contraire disent exiger que ce soit fait sur les fonds propres de l’église catholique.
Perso, je ne donnerai pas un sou.

Marie Sasseur dit: à

« L’Américain Syukuro Manabe et l’Allemand Klaus Hasselmann ont été plus spécifiquement récompensés pour leur modélisation physique du climat de la Terre, l’analyse quantitative des variations et la prédiction fiable du réchauffement climatique.  »

Bof, bof.

closer dit: à

« ce qui vous serait bien plus ethnologiquement profitable »

Est-il vraiment nécessaire de se nourrir d’interrogations « ethnologiquement profitables », JJJ? Expliquez au moins clairement de quoi il s’agit.

Janssen J-J dit: à

J’ai connu Jean-Marc Sauvé à la Chancellerie du temps de Badinter…
Enfant de paysan picard, et méritant de la République, il fut toujours un haut fonctionnaire intègre, cet honnête portrait en fait foi.
https://www.nouvelobs.com/justice/20211005.OBS49467/10-choses-a-savoir-sur-jean-marc-sauve-le-confident-des-victimes-de-violences-sexuelles-dans-l-eglise.html
@ Ne faites pas semblant de mécomprendre la différence de contenu entre une autobiographie littéraire et une étude ethnologique, vous faites habituellement preuve de plus de finesses.

Janssen J-J dit: à

@ La paranoïa est un trouble du fonctionnement mental qui se manifeste par une méfiance exagérée des autres,

On se demande bien ce que ce genre de lieux communs vient foutrissi à s’intercaler…, à moins du plaisir de placer son délire merdeux au bout d’un bâton en espérant que mordra la poissarde (…)

Jibé dit: à

JJJ
content que vous citiez Godelier et son étude sur les Baruyas, dont les moeurs particulières évincent les femmes d’à pu près toutes les activités sociales et réduisent leur apport biologique à la collectivité à être le réceptacle du sperme. Un des systèmes les plus coercitifs et méprisants pour elles, à la hauteur de la peur que leur pouvoir (mythique, passé, mais sait-on jamais) leur inspire.
A cet égard, une sorte de prototype de ce que signifie la minoration, voire la claustration et pire, des femmes -une peur. Une incapacité à admettre l’altérité et à admettre que celle-ci n’est pas menaçante.
L’anthropologie offre des exemples multiples où puiser bien des explications non simplistes de nos comportements, à nous tous, humains.

Jibé dit: à

Pas encore lu le rapport Sauvé, mais j’ai le plus grand respect pour les auteurs
L’Eglise de France demande pardon. Et?
Dans le silence, ces milliers de gosses laissés seuls, … Pardon? Mais comment est-ce possible?

Jibé dit: à

…régler ses comptes…indemniser…rachat des péchés… Comme si tout se négociait…

lmd dit: à

«…C’est pas le tout de demander monsieur le curé pour un mariage ou un enterrement.«
Manquerait plus que ça, que le curé viole le fiancée ou la mémé dans son cercueil !

bouguereau dit: à

american lifestyle is non-negotiable comme hon dit à jéruzalème

bouguereau dit: à

Perso, je ne donnerai pas un sou

..comme à jéruzalème

puck dit: à

Par ailleurs l’agressivité larvée de l’obsessionnel est déjà larvée pour lui-même, elle s’exprime à son insu. Du fait de l’isolation psychique, le névrosé obsessionnel tend à focaliser son attention sur des détails en rompant les liens logiques entre ce qu’il considère par ce prisme et les autres éléments.

puck dit: à

3j : un vrai proustien aurait appelé ses poules Rachel.

bouguereau dit: à

comment peut-on encore se dire grande ou petite chrétienne catholique et apostolique après ça…? Et continuer d’accuser les internautes de perversion sexuelle ou de victimisation peédocriminelle, histoire de mieux en exonérer l’institution Église, sans doute

on scroirait au train fantôme en rolère costère..ça stermine avec la reine d’angleterre qui sfait torcher au pandora papère par dsk..j’espère qu’on va mourrir un autre jour

bouguereau dit: à

ta gueule stéfane pladdza

puck dit: à

bouguereau dit: à

ta gueule stéfane pladdza
 »

greubou tu sais ce que j’aime le plus en toi ?

c’est ta singularité attachante.

Marie Sasseur dit: à

«…C’est pas le tout de demander monsieur le curé pour un mariage ou un enterrement.«
Manquerait plus que ça, que le curé viole le fiancée ou la mémé dans son cercueil !

lmd, sur qu’avec ce rapport, les charlots de chez charlie, vont avoir de quoi faire des dessins pour mille ans.

https://www.ciase.fr/

D. dit: à

Ces violences sexuelles recensées dans le rapport Sauvé sont abominables.
Commises par des clercs et des religieux, elles représentent 4 % des violences sexuelles sur mineur.

Comme je suis curieux de nature, je m’interroge sur l’origine des 96 % restants ?

bouguereau dit: à

Déféquons, le cœur léger ! Déféquons, par Benoit XVI, il en restera toujours quelque chose

et c’est pas rien qu’il dirait lassouline..quand chpromène mes ienchs dépontrominet c’est incroyable le nombre de chieurs et de chieuse qu’ils peuvent débusquer..y’a dquoi être traumatisé qu’ils ont l’air de signifier en remontant dans leur 4×4 et leur bénard bréneux..pasqu’au début j’avais un peu honte..je croyais que c’était des manouches ou des sdf

bouguereau dit: à

lmd, sur qu’avec ce rapport, les charlots de chez charlie, vont avoir de quoi faire des dessins pour mille ans

tout un reich térezoune

bouguereau dit: à

un peu comme empaté quand y suivait son colon blanc pour savoir de quel couleur il était..tu te souviens au moins raclure de térezoune..la merde de l’homme ça les stupéfie..on dirait qu’il font leur ethonologue profitable..enfin je dis ça par rapport à leur engoument

rose dit: à

puck dit: à
bouguereau dit: à

ta gueule stéfane pladdza
»

greubou tu sais ce que j’aime le plus en toi ?

c’est ta singularité attachante.

Moi, ce que j’aime le plus en vous, c’est lorsque vous écrivez « je fais pipi, puis je vais me coucher ».
On ne se refait pas.
Mais, je suis une femme sous contrôle, vous ne risquez rien.

Janssen J-J dit: à

pkt @ l’isolation psychique,… je préfère l’isolement physique
pkt @ Rachel quand du seigneur ?… @h… la grande cocotte ?
https://interligne.over-blog.com/article-qui-se-cache-derriere-rachel-dans-l-oeuvre-de-proust-97020821.html
Monique et Viviane sont très heureuses de n’avoir point perdu leur temps à la rechercher. Hélas, depuis le 1er octobre, elles ne pondent plus du tout… Nique ton oeuf… Comme elles, ai toujours préféré Gustave à Marcel et Anton.
D. @ je m’interroge sur l’origine des 96 % restants ? … Tout simplement commises par le père, la mère et les sacristains… Vaine curiosité statistique…
JB @ « Une incapacité à admettre que l’altérité n’est pas menaçante ». Yes…, reste beaucoup de travail à faire, surtout avec la Daronne. Une mongole fière qui nous pisse à l’arrêt…, une femme bondagée hors de contrôle qui risque de s’attacher.
txfl@ Evariste Gamelin dans « Les dieux ont soif »… ce qu’adviennent les niaiseux sous la Terreur…

Janssen J-J dit: à

@ B… C’est Lilia Hassaine, elle a écrit un très joli roman pour antoine gallimard, et en plus, c’est une super brune trop canon. Va rafler tous les prix..; (ses coordonnées s’inscrivent sur la photo quand tu cliques sur sa poitrine, mais faut oser, B., que l’dirait jmb !)

D. dit: à

96, c’est 24 x 4, je ne me trompe pas ?

D. dit: à

C’est Lilia Hassaine, c’est marqué en gros dessus. Vous avez besoin de lunettes.

D. dit: à

Merci de ne pas répondre plus bite que moi, JJJ. Ça ne mène à rien

Phil dit: à

Le prestigieux blog à passou prend l’allure d’une sacristie envahie par les sans-culotte, quelques femmes en cheveu restées à la porte dans une frénétique carmagnole. En attendant Bonaparte pour mettre les chevaux dans la nef des fous

D. dit: à

P’tain de clabier.

D. dit: à

Phil, puis-je en toute sincérité vous poser une question ?

D. dit: à

Notez que je n’aime pas davantage les brunes que les blondes. Mais par contre j’ai un faible pour les rousses.

Janssen J-J dit: à

@ D / ne pas répondre plus bite que moi :
Vous ne sauriez souffrir de la comparaison, que l’dirait jm-bite !

Janssen J-J dit: à

@ mettre les chevaux dans la nef des fous
ou… au fond du lac Ladoga, s’agissant de la retraite de Russie.
Bàv, téofile !

Patrice Charoulet dit: à

LA COMMISSION BRONNER

Un point précis tout d’abord. Je lis sur la Toile «Je ne sais si la composition de la commission a relevé de sa responsabilité. » Gérald Bronner étant un de mes « amis » sur Facebook. Je lui ai posé la question. Il vient de me répondre. Il me confirme qu’il a choisi les membres de la commission qu’il préside. Je m’en doutais. Mais j’ai préféré l’interroger.

Le président de la commission est une sommité incontestable et particulièrement fiable . Tous ses livres plaident pour lui. De la « Démocratie des crédules » à « Déchéance de rationalité ». Il n’y a rien à craindre avec lui, excepté la vérité.
Il sera bien entouré. Par ordre alphabétique :
Laurent Cordonier. Ses recherches visent à mieux comprendre le processus de radicalisation politique et religieux, ainsi que les mécanismes d’adhésion aux théories du complot.
F. Douzet. Ses recherches portent sur les enjeux géopolitiques du cyberespace.
Rose-Marie Farinella et Aude Favre sont toutes deux spécialisées dans l’analyse des fake news.
Rahaf Harfoush est une anthropologue du numérique, et a écrit plusieurs livres à succès.
Rachel Kahn, essayiste, vient de recevoir le prix du livre politique 2021.
Anne Muxel est directrice de recherche en sociologie et en science politique au CNRS.
Rudy Reichstadt est le fondateur et le directeur de Conspiracy Watch.
Iannis Roder , agrégé d’hiostoire, est spécialiste de l’histoire de la Shoah.
Annette Wieviorka est une historienne éminente qui a écrit notamment sur la période nazie.

La commission doit étudier le complotisme, les contenus haineux et les fake news. On ne peut que se réjouir de l’existence de cette remarquable commission, qui rendra son rapport fin décembre. On le lira avec intérêt.

Alexia Neuhoff dit: à

P. Charoulet (Commission Bronner)
Est-ce que le Dr Guy Vallancien aurait disparu de la liste ? La montée au créneau de Mme Irène Frachon (in Le Monde) n’aura pas été, une nouvelle fois, inutile : elle a opportunément rappelé qu’il avait déployé tout son zèle pour nier les effets néfastes du Médiator.

DHH dit: à

Dans ce que j’ai entendu de la présentation par M Sauvé de son rapport , je retiens notamment que la pègre pédophile qui a sevi au sein de l’eglise pendant des decennies a mis au service des pressions exercées sur ses victimes un discours tissu des principes et du vocabulaire de la vie et et la pensée religieuse :autorité de l’homme de dieu et respect de son aura christique ,theme du péché et de la penitence *
,Et aussi, toujours dans ce registre’ d’une utilisation dévoyée des principes de la vie religieuse ,le respect du secret de la confession ,bien utile pour mettre en place une occultation organisée des vilenies découvertes et l’installation perenne des criminels dans le confort de leur stupre

Marie Sasseur dit: à

autorité de l’homme de dieu et respect de son aura christique ,theme du péché et de la penitence *

Fornication, partouze dans la famille.

« Comment l’esprit vint » à deachach, qui sort de la fontaine.
C’est du propre, 🤣

B dit: à

D, excusez moi, je n’avais pas songé à y toucher ne serait ce qu’en photo. Soleil amer donc.

B dit: à

Notez que je n’aime pas davantage les brunes que les blondes. Mais par contre j’ai un faible pour les rousses.

Maigre panel, si en plus vous exigez qu’elles soient de vraies rousses, vos soirées sont en péril orthodoxe. Qu’irez vous rencontrer à la place puisqu’elles sont minoritaires, des hommes?

bouguereau dit: à

le respect du secret de la confession ,bien utile pour mettre en place une occultation organisée des vilenies découvertes et l’installation perenne des criminels dans le confort de leur stupre

une webcam au confessionnal..y’a pas que zuquerbèrgue qu’a des idées quil dirait dirfilou

bouguereau dit: à

La commission doit étudier le complotisme, les contenus haineux et les fake news. On ne peut que se réjouir de l’existence de cette remarquable commission, qui rendra son rapport fin décembre

pour sujet hymalayien former commission d’obtétricien à gros doigté et pince rouillé..discours solennels..charoulais sra seul à lenterment..

bouguereau dit: à

D. @ je m’interroge sur l’origine des 96 % restants ? … Tout simplement commises par le père, la mère et les sacristains… Vaine curiosité statistique…

non pas vain du tout en effet dédé..c’est un peu continuité historique qui fait la personne morale..et c’est juste pour elle qu’il ne faille pas se défausser..mais ce n’est pas juste pour « le reste » de la société de ne pas l’oublier..et comment!..faudrait une commission sur les jean foutres..pour paques ou la trinité qu’il dirait charoulais

Soleil vert dit: à

La deuxième sélection :
Christine ANGOT, Le Voyage dans l’Est, Flammarion
Anne BEREST, La carte postale, Grasset
Sorj CHALANDON, Enfant de salaud, Grasset
Louis-Philippe DALEMBERT, Milwaukee Blues, Sabine Wespieser
Agnès DESARTHE, L’éternel fiancé, L’Olivier
Clara DUPONT-MONOD, S’adapter, Stock
Abel QUENTIN, Le voyant d’Étampes, L’Observatoire
Mohamed Mbougar SARR, La plus secrète mémoire des hommes, Philippe Rey/Jimsaan
Tanguy VIEL, La fille qu’on appelle, Éditions de Minuit

renato dit: à

Heinrich Anton Müller, vigneron, peintre et sculpteur bernois — francophone —. Après quelques sculptures réalisées avec des déchets, pierres, terre. Ses machines — voir*&** — en branches, de chiffons et fils de fers représentaient des machines lubrifiées avec ses propres excréments.

* Harald Szeemann: Junggesellenmaschinen, 1975 et Visionäre Schweiz, Aarau, Verlag Sauerländer, 1991

** Heinrich Anton Müller (1869–1930): Katalog der Maschinen, Zeichnungen und Schriften, Bâle et Francfort, Stroemfeld Verlag, 1994

Marie Sasseur dit: à

Nouveau règlement Goncourt

« En outre, et pour « respecter le secret du vote, y compris de leur propre vote », les 10 jurés du prix Goncourt « qui tiennent une rubrique littéraire dans un média s’abstiennent de chroniquer les ouvrages qui figurent dans la sélection aussi longtemps que ces ouvrages y figurent ». Si cette règle est officielle à partir de ce jour, »

Aïe, c’est dommage parce que Passou n’a dit finalement que du bien de ceux de la liste qu’il a chroniques.

Enfin, il y a comme ça des dommages collatéraux.

On notera que le Femina , tant qu’à faire, a été plus audacieux, puisque les deux livres qui ont servi de prétexte à un pugilat, ont été retirés de leur liste.

Marie Sasseur dit: à

@Dans ce que j’ai entendu de la présentation par M Sauvé de son rapport.

Moi j’en retiens le message d’un homme de foi, message d’intégrité auquel je suis très sensible.

« Nous avons contribué au travail de vérité, c’est à l’Église de s’en emparer. Voilà le message que je voulais délivrer, c’est un message d’attente et d’espoir. C’est aussi en ce qui me concerne personnellement un message d’espérance. »

https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/cambrai/portrait-jean-marc-sauve-homme-d-etat-homme-de-foi-ne-en-picardie-rapporteur-des-abus-sexuels-dans-l-eglise-2279218.html

Janssen J-J dit: à

J’aimerais bien qu’Annie ERNAUX nous décrochât le prix nobel jeudi… Ce serait pour nous comme une fierté nationale susceptible de nous faire oublier le traumatisme de la Macronie… Depuis Claude Sissi, LeCléclé et Modiadia, on n’a jamais remporté de filles… En plus, un siècle après l’émeute littéraire, cela aurait de la gueule et ferait taire les Grandes rousses… Mais j’y crois pas trop… Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ message d’intégrité auquel je suis très sensible.

Moijaussi, suis très sensible au message d’intégrité de SMS…. euh, de JMS, pardon !….

renato dit: à

Je n’ai pas d’idées sur le théâtre. Je n’y connais rien. Je n’y vais pas.

Voir chez Paul Edel.

Marie Sasseur dit: à

J’ajoute, et c’est fort probable, que cette  » enquête de la commission Sauvé, « en population générale « , en vertu du principe de l’Église une et indivisible, n’aura peut-être pas voulu  » discriminer » certaines congrégations. Et c’est tout à son honneur.

Cependant le dernier scandale au sein d’une congrégation lyonnaise , et dont le  » porte-parole  » l’a retrouvée la parole, demandant de  » payer tous les crimes », ne dupera pas l’immense majorité de la base, toutes ces divisions, innombrables, donc.

Janssen J-J dit: à

En outre, et pour « respecter le secret du vote, y compris de leur propre vote », les 10 jurés du prix Goncourt « qui tiennent une rubrique littéraire dans un média s’abstiennent de chroniquer les ouvrages qui figurent dans la sélection aussi longtemps que ces ouvrages y figurent ».
Si cette règle est officielle à partir de ce jour, .. elle n’a pas affecté à la RDL Mme Angot, MM. Viel ou Sarr. Ont de bonnes chances de finalister., ces trois là…

Paul Edel dit: à

Merci Renato!Je vous conseille cette correspondance magnifique de Beckett ,déjà signalée par Assouline il y a plusieurs mois.

Jean Langoncet dit: à

@La commission doit étudier le complotisme, les contenus haineux et les fake news. On ne peut que se réjouir de l’existence de cette remarquable commission, qui rendra son rapport fin décembre

De la grosse commission

Jean Langoncet dit: à

@ Il fallait un certain courage pour dire aux dirigeants algériens qu’ils ont fait de cet abcès un système, qu’ils l’enveniment comme on souffle sur des braises pour empêcher un feu de s’éteindre, qu’ils ne veulent ni guérison ni même cicatrice parce ce serait se priver de la béquille qui les fait se maintenir en place.

De la rente mémorielle le nez dans ses grosses commissions

Jean Langoncet dit: à

Autour de Stora et de jeunes français issus de familles ayant souffert du « drame algérien » ; de tous bords. Salutaire

Janssen J-J dit: à

Saisissant
Fumant
Sidérant
Le rapport de Benjamin Stora qui n’a pas eu son pendant algérien, comme on pouvait bien l’imaginer… Pourtant, il existe, mais il restera bloqué par les autorités encore longtemps… Un jour la béquille du régime tombera en poussière, aussi rapide que le mur tomba un jour…. et les jeunes générations d’Algérie dépèceront le système sclérosé de ses décombres et s’empareront de la rente pétrolière et gazière… Ce pays se normalisera enfin, nos relations empoisonnées s’atténueront comme il en ira de même entre Israël et Palestine. Car la paix finit toujours par l’emporter, même si l’amour n’est pas aimé.
Bàv,

Jazzi dit: à

Vous avez été 18 à cette heure à être aller sur mon site et vous avez visité 70 pages !
Rassurez-vous, je ne sais qui est venu…

rose dit: à

« La sortie de M. Macron concernant l’Algérie s’apparente à un acte chirurgical qui consiste à crever l’abcès, à désinfecter la relation entre les deux pays. Il fallait un certain courage pour dire aux dirigeants algériens qu’ils ont fait de cet abcès un système, qu’ils l’enveniment comme on souffle sur des braises pour empêcher un feu de s’éteindre, qu’ils ne veulent ni guérison ni même cicatrice parce ce serait se priver de la béquille qui les fait se maintenir en place. »

Et pour le Mali, itou. Madame Alexia Neuhoff.
Même courage de Macron pour dire les choses en face, aux maliens.
Et merde qu’on vous dit hein, les maliens.

Marie Sasseur dit: à

#@On ne dira pas que leurs auteurs s’en sont débarrassées puisque, selon le mot de Lacan cité par un auteur, publier c’est se purger, jeter à la poubelle, autrement dit se résoudre à la « poubellication ». Pas le moindre haut le cœur dans la découverte de ces analyses où le scatologique se mêle subtilement à l’eschatologique.

Ah ben mon pauvre Passou la merde a venir est encore plus subtile que vous ne le pensez avec vos lacacaneries et vos like un peu border line, souvent.

http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-L_enfer_num%C3%A9rique-662-1-1-0-1.html

et alii dit: à

Cyrus Kabiru est né en 1984 à Nairobi, au Kenya. Depuis son plus jeune âge, il est fasciné par les nombreux objets et détritus qu’il voit dans la décharge située en face de chez lui. Voulant donner une seconde chance à ces matériaux « inutiles », il décide de les récupérer et de les réassembler pour fabriquer ses propres jouets. CYRUS KABIRU
En 2011, il crée à partir de nombreux déchets industriels sa première série « Lunettes-merveille (C-Stunners) ». Ses lunettes-sculptures lui donnent une première notoriété dans le monde de l’art. Il se fait rapidement un nom et son travail est immédiatement associé à l’Afrofuturisme. Ce mouvement artistique est défini par Mark Dery dans son essai « Black to the Future », cité par « Jeune Afrique » comme « une fiction spéculative qui traite des thématiques afro-américaines (…) dans le contexte de la technoculture du XXe siècle. » CYRUS KABIRU
https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/kenya/lartiste-kenyan-cyrus-kabiru-expose-dans-le-cadre-de-lexposition-rhizomes-a-bordeaux_4787443.html#xtor=SEC-69-%5B%5D-%5BRF_France+Info+-+Desktop+%26+Tablet+-+Culture%5D-%5BFR_Le+Monde+%28Soci%C3%A9t%C3%A9+%C3%A9ditrice+du+Monde%29%5D-C-%5B00cdc8120ae4ad073a3669b95c2018f74d%5D&dicbo=v1-53469144e7a208d08d4cb1e83d3c01cf-0084c9df9ca70678ab1302b92eb7cee19b-gy3gcobvgzqwgljqgmzggljugm4toljzmm2wgllbga4tknzqgvqtqmtfge

Marie Sasseur dit: à

Et puis Modiano, après-demain.

OZYMANDIAS dit: à

Quand la France décidera-t-elle de lâcher pour de bon les salopards d’Alger ? De ne plus soutenir les généraux tortionnaires et criminels de l’ANP et du DRS ?
Assez d’hypocrisie et de comédie.
Les dieux et les hommes des réseaux de la Françafrique ont toujours soif, hélas.
N’est-ce pas messieurs Anatole France et Arthur Koestler ?

Marie Sasseur dit: à

Modiano dans ce colloque un peu merdeux, où Passou s’est bien amusé, avec cet intitulé :

« La représentation de la figure du salaud dans les premiers romans de Patrick Modiano »

Ce à quoi j’ai longtemps souscrit.

Et puis un beau jour j’ai pris le car avec lui, enfin avec un de ses personnages, a Annecy. Là-même où je n’aurais pas donné une once de sincérité à ses romans.
Depuis, avec  » l’encre sympathique », il a benchmarké dans mon palmarès des écrivains  » lisibles « .

Jazzi dit: à

« La représentation de la figure du salaud dans les premiers romans de Patrick Modiano »

A commencer par son père et aussi un certain comte Barozzi, Venise Venise…

Jean Langoncet dit: à

@Quand la France décidera-t-elle de lâcher pour de bon

C’est cela : la France responsable. Avant, pendant, après, toujours. Que les sangliers au pouvoir et à la béquille vermoulue lui lâchent les basques à la France

Jean Langoncet dit: à

(Qu’ils parfassent leur russe et se mettent fissa au chinois)

Marie Sasseur dit: à

Tres bien Langoncet.

Je constate avec plaisir que vous avez abandonné vos vieilles lunes ( soustelle)

Comme quoi, ce ne sont pas les girouettes qui tournent, c’est le vent.

Jean Langoncet dit: à

Bonsoir Bécassine. Libre à vous de considérer l’histoire comme étant une matière ressortant de vieilles lunes.

Janssen J-J dit: à

celle là, l’est… d’edgar faure, l’aie entendue ce matin.
On doit tous » écouter les mêmes rumeurs. Vapanoudire le contraire, forcément des « formaté.es » pareil.les… se haîr pour trop de semblance y’a guère que ça à partager, hein. Sinon, tu te barres et tu reviens pas…
Parfassent ?

Marie Sasseur dit: à

Langoncet, je me souviens très bien de vos commentaires à la gloire de soustelle sur ce blog. Libre à vous de faire comme si vous vouliez réécrire cette histoire.
Vous avez droit droit à l’oubli numérique, aussi.

Marie Sasseur dit: à

Droit, droit.
On a aussi celui de se souvenir.

Jean Langoncet dit: à

Le sobriquet de Bécassine vous vient en effet d’un échange à propos de Soustelle et du programme de scolarisation qu’il a tenté de mettre en place durant son mandat en Algérie. Autrement dit, c’est de l’histoire ancienne ; tout comme la scolarisation laïque et obligatoire.

Marie Sasseur dit: à

Je vous laisse à vos idoles de l’oas, langoncet.
Je ne vous ai pas attribué le sobriquet de bécasse. Vous le méritez.

Marie Sasseur dit: à

« Sinon pour la détente » de l’atmosphère , je suis ok avec MMS, le Nobel a Cohen, plutôt qu’à Dylan.

https://youtu.be/Vw7LW4mp4yY

Jean Langoncet dit: à

Pas du tout J J-J. Mais il y a eu des partisans de l’Algérie française amoureux de l’Algérie, qui n’en eurent pas honte hier et n’en ont pas honte aujourd’hui.
J’ai eu l’occasion d’évoquer dernièrement la mémoire du Maréchal Juin. On peut se reporter à cette figure historique pour illustrer mon propos.

Marie Sasseur dit: à

Juin?
La bécasse décidément très « militariste  »
Ahurissant pour un objecteur de conscience.

Juin, c’est tout un programme, qui passera toujours mal en Italie.

Désolée pour Passou, mais ça fait aussi partie du contentieux.

Marie Sasseur dit: à

Incroyable, ce vieux beatnik de Langoncet qui part en guerre, quand elle est terminée.

B dit: à

MMS, il a échappé de peu à M&M’S, un peu plus il était bon me disais-je l’autre soir assez sérieusement en cherchant désespérément le sommeil.

B dit: à

Quoiqu’il en soit, j’espère que son livre sera pour moi lisible, je l’attends dans ma boîte à lettres.

D. dit: à

Le luvre de qui, Bérénice ?

Janssen J-J dit: à

@ « rester amoureux de l’Algérie » ne veut pas dire continuer ad vitam à fantasmer la nostalgie de son annexion en 1830 et regretter son abandon en 1962. Je ne dis rien de plus,… vous savez, JL..! Eussiez-vous été un hussard de la répu pied-noir, ce qui expliquerait peut-être des choses ?… Je n’en sais trop rien… Bàv,

D. dit: à

Moi l’Algérie, étonnament j’aime bien. Je n’y suis jamais allé mais j’aime bien.

Janssen J-J dit: à

le livre de Sarr…, je crois, goncourab’ du précédent billet,… dont il ne faut plus parler désormais, d’après les nouvelles règles… Bàv.

D. dit: à

Je n’y suis jamais allé et je n’irai jamais.

D. dit: à

On ne peut pas aller partout.

Janssen J-J dit: à

Alhors, autant aller nulle part. C’est bien sage… BN à vous.

B dit: à

Vu une expo du peintre Albert Marquet, il en a ramené de belles toiles. D’avant les troubles, les peintres n’aiment pas trop les guerres.

Ed dit: à

Oyez oyez, la nouvelle camelote est arrivée. Chers erdéliens, sautez tout et ne lisez que le dernier paragraphe si vous avez peu de temps/la flemme de lire le reste. Bises

rose dit: à

Normal Ed, elle est géniale et roborative votre conclusion the senior way if life.
Jamais lu un Stefen King.

C’est le thème de Ballon, ce film magnifique, le droit des femmes à disposer de leur corps..

C’est un poncif, la femme battue par son mari (et/ou qui hait/méprise son père) qui devient lesbienne (abalobée lors du départ à la retraite d’un ami prof, la seule vraiment équilibrée et pas ratatinée était une lesbienne !!!).

Sauter de hue et à Dia, dans le récit, c’est une manière de pouvoir tout dire pour le narrateur. Faulkner, à côté, il dit neuf fois dans neuf chapitres, la même chose en alternant points de vue narrateur et informations lâchées. Très difficile à suivre aussi.

Vous ne parlez pas plus généralement de l’American way of live, où il s’agit d’être un entrepreneur beau, riche et intelligent, avec maison, maison de campagne, rollers moto bateau voiture van camping car etc.

rose dit: à

Hervé Gourdel, guide de haute montagne enlevé et décapité en Algérie

Jean Langoncet dit: à

Pas du tout J J-J. Mais il y a eu des partisans de l’Algérie française amoureux de l’Algérie, qui n’en eurent pas honte hier et n’en ont pas honte aujourd’hui.
J’ai eu l’occasion d’évoquer dernièrement la mémoire du Maréchal Juin. On peut se reporter à cette figure historique pour illustrer mon propos.

Il s’agit d’enlever française dans vos propos tenus.

Il y a des partisans de l’Algérie, amoureux de l’Algérie.

Qui voudraient bien que ce pays trouve son équilibre.
Qui se demandent si ce pays en a la possibilité et les capacités.

De toutes manières les français d’origine algérienne ne veulent pas retourner en Algérie. Et en Algérie, ils ne sont pas chez eux.
Donc, hors pacification intrinsèque, pas d’issue envisageable.

Que par leurs actes, déjà, ils soient fiers d’être algériens.
C’est pas gagné.

rose dit: à

Jean Langoncet dit: à
@Quand la France décidera-t-elle de lâcher pour de bon

C’est cela : la France responsable. Avant, pendant, après, toujours. Que les sangliers au pouvoir et à la béquille vermoulue lui lâchent les basques à la France.

Oui.
Et le Mali aussi.

Le boulanger l’a mauvaise.
Il aurait fourni l’Élysée avec des excellentes baguettes, une année durant.

rose dit: à

romans.
Depuis, avec » l’encre sympathique », il a benchmarké dans mon palmarès des écrivains » lisibles « .

Si une bonne âme pouvait me traduire en français ce propos ? Je vous en remercie.

Jean Langoncet dit: à

@Il s’agit d’enlever française dans vos propos tenus.

Non. Ma remarque s’inscrivait dans le contexte historique de l’Algérie française. Cela n’empêche pas d’aimer l’Algérie par ailleurs.

rose dit: à

Et si une fois que tu as éclusé la figure du salaud tu n’avais plus rien à dire ?

Jean Langoncet dit: à

Combien de temps faudra-t-il continuer de faire comme si cet important épisode de l’histoire de France n’avait pas existé ? C’est ce que dénonce le rapport Stora du côté français.

Jean Langoncet dit: à

Rente mémorielle et fantasme guerrier d’un côté, ignorance et amnésie de l’autre. Place à l’histoire et à la réconciliation des mémoires. Le rapport Stora fait date.

et alii dit: à

« on dit que tout remonte à Matignon »
-« non, seulement les emmerdes » EDOUARD P

et alii dit: à

non, seulement les emmerdes
si ce n’est pas une réduction, ça?

et alii dit: à

Jacques Chirac dans une de ses démonstrations d’humour ou de fatalisme corrézien, « les emmerdes, ça vole toujours en escadrille ». in le monde

etalii dit: à

En Algérie, les gens réclament du pain, il n’y a que des Beurs. Ils sont emmerdés pour les tartines.
ColucheColuche les inoubliables : Tous ses sketches, toutes ses chansons de Coluche

et alii dit: à

Traité de morale pour triompher des emmerdes ( et de puck)
De FABRICE MIDAL

et alii dit: à

l’autotomie des lézards est une réduction; c’est dégoutant

et alii dit: à

immondice est un mot féminin;
si l’on réduisait toutes les décharges des objets féminins, que restrerait-il?

rose dit: à

Sûr (les tartines) !
Que du pain, sans beurs, cela cale l’estomac.

Avec de la brioche, ni sur, ni sous.

et alii dit: à

le soir, quand je n’ai plus de cigarettes, je suis bien emmerdée; je suis aussi emmerdante

Jibé dit: à

Pour ceux que l’Algérie intéresse, la guerre d’indépendance et les islamistes qui ont pu en sortir, au bout du compte:
La guerre est une ruse, excellent thriller d’espionnage et de politique
de Frédéric Paulin (sur les liens complexes entre la junte algérienne, les services secrets français et le GIA -manipulations, alliances objectives, … )
Suite dans Prémices de la chute. Les deux en Folio Noir.

et alii dit: à

je suis infumable:
Philippe Burlet est un artiste peintre passionné de vieilles voitures. Dans son atelier de Verdun, il les dessine sur papier pour en faire des toiles d’automobiles qu’il expose régulièrement. Mais les belles mécaniques ne sont pas l’unique passion de ce Meusien. Fumeur invétéré, il s’est découvert un autre talent. Il reproduit des visages de personnalités en mégots de cigarette.
https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/peinture/philippe-burlet-reproduit-des-visages-connus-avec-des-megots-de-cigarette_3384913.html
butts

et alii dit: à

le prix des rebut(t) de Serge:
Plus émouvant ce télégramme de Serge Gainsbourg envoyé à Jane Birkin, dans lequel Serge déclare à sa muse : « Je voudrais que ce telegramme soit le plus beau telegramme de tout les telegrammes que tu recevras jamais et qu ouvrant mon telegramme et lisans mon telegramme a la fin du telegramme tu te mettes à pleuree en disant oh le joli telegramme Serge » (orthographe originale, ndlr).

Mais le lot le plus surprenant est sans nul doute le 33. Il s’agit de quatre mégots de Gitane que la maison de vente présente comme ayant été écrasés par Serge Gainsbourg lui-même. En guise de réceptacle, le boitier d’une cassette audio. Estimation ? Entre 500 et 700 euros.
https://www.cnews.fr/people/2013-10-14/des-megots-de-serge-gainsbourg-aux-encheres-582094

Jibé dit: à

La manière dont certains membres de l’église catholique a traité les enfants est le fruit de cette « fabrique du consentement » qui est cause de soumission totale à une « autorité supérieure » ,validée par les parents et l’entourage en général.
C’est pourquoi il n’y a pas que l’église catho qui doit se poser des questions pour se remettre en cause mais aussi les parentèles qui ont préféré ignorer que leur gosse (souvent muet il est vrai) allait mal. Il y a 50 ans, on n’écoutait pas les enfants, mais il y a 20 ans tout de même un peu plus, on était attentif à des signaux de malaise / mal être…eh bien, ça continuait quand même. Adultes consentants, soumis à l’autorité de leur église et mômes mutiques, ce n’est pas une histoire ancienne. Et dire qu’ils ont manifesté pour la gloire de « LA » famille (papamamanenfants) contre les zomos, assimilés à l’animalité. Les braves gens.

Jibé dit: à

ont traité

et alii dit: à

cette nuit, j’ai rêvé de la RDL. ET comme il y avait encore un titre de livres, j’en ai conclu que la RDL APPARTENAIT AU GENRE « célébration » ! j’espère que puck ne mégottera pas pour le confirmer

et alii dit: à

immonde:
Antisémite ? Vous n’y êtes pas : «Heidegger sait très bien ce qu’il fait. Il recueille l’ordure banale à des fins supérieures. Ce qui veut dire aussi qu’il reconnaît une vérité supérieure de l’antisémitisme. Une vérité à ce point supérieure qu’elle ne peut même pas être publiée sans être associée aux critiques du nazisme et du christianisme (différentes, certes, mais conjointes) dont est rempli le texte des Überlegungen qui reste donc privé et réservé pour une publication lointaine» (4),nous apprend-il. Une «vérité supérieure de l’antisémitisme»… A lire pareil énoncé, on se demande où gît exactement «l’immonde». Mais sans doute est-ce là une question prisonnière du «politiquement correct».

Depuis la cage où nous demeurerions «blottis», osons quelques questions. Quels procédés rhétoriques pouvons-nous voir à l’œuvre dans le discours de Jean-Luc Nancy, et quelle posture intellectuelle adopte-t-il pour nous persuader ?
https://www.liberation.fr/debats/2017/11/16/designer-l-immonde_1610543/

Janssen J-J dit: à

bonjour @ jibé… A se demander pour qui il faudrait inventer de nouvelles « thérapies de conversion forcée » à l’athéisme.
Désolé pour l’umourgra, mais face à la nausée matinale, un seul remède : évacuer au plus vite au dégueuloir le plus proche, son trop plein d’atrabile… « Familles, je vous ai » (lui répondait répondait Bazin) …
Bàv

et alii dit: à

la RDL pourrait-elle faire fonction de « vomitorium »?
3J’avais entendu dire que les Romains avaient une salle appelée « vomitorium » dans laquelle ils se faisaient vomir lors de leurs orgies. Je n’arrive pas à trouver des informations concernant cette salle, pourtant je suis sûr de l’avoir vu dans un reportage. Pouvez-vous trouver une source fiable ou éventuellement corriger cette rumeur ?
http://institutions.ville-geneve.ch/fr/bm/interroge/archives-questions-reponses/detail/question/javais-entendu-dire-que-les-romains-avaient-une-salle-appelee-vomitorium-dans-laquelle-ils-se-fa/

Janssen J-J dit: à

@ Petit rappel sur la fécondité littéraire d’Hervé Bazin (source : wiki)…, auteur du célèbre roman bien oublié, Vipères au poing 🙂
————-
Jean Pierre Hervé-Bazin se marie en premières noces à Paris (5e arrondissement) le 3 février 1934 avec Odette Danigo (1914 – 2003), dont il divorce en 1948. De cette première union est issu : Jacques (1934-1976), mort par suicide.
Il épouse en secondes noces à Paris (11e arrondissement) le 30 avril 1948, Jacqueline Dussollier (1920-2007), dont il divorce en 1967. De ce second mariage sont issus : Jean-Paul (né en 1948) Maryvonne (née en 1950) Catherine (née en 1953) Dominique (né en 1957)
Il épouse en troisièmes noces à Paris (13e arrondissement) le 9 mai 1967, Monique Serre (1933-2018), dont il divorce en 1987. De cette troisième union est issu : Claude (né en 1970)
Il épouse en quatrièmes noces à Barneville-sur-Seine (Eure) le 8 août 1987 (il a 76 ans), Odile L’Hermitte (1950-2017) de trente-neuf ans sa cadette. De cette quatrième union est issu :
Nicolas (né en 1986, dans la soixante-quinzième année d’Hervé Bazin).
———-
Bàv à Marseille et ailleurs,

closer dit: à

Merci Ed. Comme vous je suis un peu réfractaire au surnaturel, sauf s’il est si bien décrit qu’il en paraît…naturel.
Je conclus de votre découverte d’un livre en allemand dans la poubelle que vous êtes toujours en Allemagne.
Comment allez-vous ?

renato dit: à

Vomitorium, étymologie bien à part, rien à voir avec le vomi, et al., il s’agit d’une entée des théâtres romains.

JiCé..... dit: à

Bonne Mère !

Quel bonheur d’assister, par le coeur, aux hommages marseillais, sincères, à l’adresse de Bernard Tapie, l’Alexandre le Grand de l’Olympique Marseillais …

Les veaux, comme les humains, ne peuvent pas se passer de Dieux.

DHH dit: à

Vous avez raison Jibé sur des responsabilites qui depassent le cadre strict de l’eglise
Je n’irai pas jusqu’à parler parler d’une conspiration générale du silence dans la societé et au sein des familles, en face d’agissements plus ou moins connus ou soupçonnes ,, Disons que ces familles pieuses et ambitieuses pour leurs enfants , s’inscrivaient dans une tradition de deni et de lâche accomodement ,quand elles avaient vent d’affaires qu’elles repugnaient à éclaircir et sur lesquelles elles préféraient jeter un voile
Cette affaire m’a fait repenser à un film que certains ici ont peut-etre vu bien ,que tres ancien(1960) et dont l’action se situe en 1954 « :Le souffle au cœur »
De ce film de Louis Malle dont le sujet est un inceste , je retiens aussi une scène ,marginale par rapport à l’intrigue à l’intrigue et rétrospectivement révélatrice des évolutions contrastées de notre tolérance en matière de comportement pédophile des religieux :C’est une scene où le jeune héros, convoqué sous prétexte de confession par un des frères de la boîte de jésuites dont il est élève, s’y trouve confronté aux approches malsaines du religieux qui a suscité ce tête à tête . .
Cette scene figure dans le film comme un moment classique de la vie dans une boîte de jezes, elle y joue le rôle d’ une notation d’ambiance, ce qui montre le caractere ordinaire de ces situations, sortes de figures obligées , traditionnellement tolérées dans ces internats bien-pensants, et sur lesquelles il était tacitement convenu de fermer les yeux ; Evidemment depuis toujours « on savait » ou plutôt « on se doutait »,mais on evitait d’en savoir plus pour ne pas avoir à y attacher d’’importance et cela pesait pas lourd pour les parents par rapport à de la qualité de l’enseignement dont bénéficiaient leurs rejetons
La source de cette scene est à l’evidence un souvenir de jeunesse de Louis Malle , dans cet internat ,qui lui a aussi fourni la matiere de « ’Au revoir les enfants »
Et je me souviens qu’ à la sortie du film ,si la scene d’inceste, innocente et joyeuse ,avait fait scandale ,cette scéne en revanche était passé inaperçue et n ‘avait pas même suscité une reaction publique de deni ou de défense de la part d’une institution qui aurait pu se sentir gravement mise en cause à travers un des siens et ,dans un autre contexte , aurait pu juger bon de reagir par une mise au point publique

et alii dit: à

pouvez vous en dire plus renato?

et alii dit: à

mon amie m’a parlé ce matin des problèmes des ordures -et d’éboueurs-à Marseille:ce serait catastrophique !
Professionnel de l’hygiène l’éboueur, appelé aussi ripeur, effectue par camion l’enlèvement à domicile des ordures ménagères. Il les transporte ensuite dans un site de traitement ou vers un incinérateur
https://www.cidj.com/metiers/eboueur.

Marie Sasseur dit: à

Dans les stades, il y a ce qu’on appelle des vomitoires.
Inutile d’aller à Marseille

lmd dit: à

«…Mais plutôt que ces deux classiques du genre trop attendus, c’est sous le patronage de l’auteur du Dahlia noir (1987), ce James Ellroy qui s’y connait en saloperies, que se place ce conclave. Son œuvre est pleine de salauds de tous acabits et ce roman en particulier est de ceux qui hantent durablement ses lecteurs». 
On peut se souvenir que les protagonistes si salauds de James Elroy (les flics de L.A..et leurs protagonistes assassins, pervers, etc.) évoluent à la même époque, tout début des années quarante, que le Philip Marlow de Raymond Chandler. Mais Elroy est né précisément juste après, il se souvient de saloperies que Chandler n’a pas vues ; avant l’heure c’est pas l’heure.

Quant à l’accumulation de crasses multiformes quotidiennes, qui a lu La Gana de Fred Deux ? (je ne suis jamais allé au bout parce que 800 pages ça fait beaucoup).

Jazzi dit: à

« quatre mégots de Gitane… Entre 500 et 700 euros »

Le prix de l’arme du crime !

DHH dit: à

@Renato
si cela voir avec le vomi ,a travers l’image de la foule qui se deversait par ses portes comme le vomi sort de la bouche

Marie Sasseur dit: à

Les latins devraient prendre des cours de crachat avec deachach.

Soleil vert dit: à

et alii dit: à
Françoise Hardy « Vous »

Mouais. Françoise a rendu une copie passable de la chanson de Guy Béart. Henri Salvador lui a imprimé un chouette rythme brésilien

https://www.youtube.com/watch?v=9Jz9q9BWNhE

closer dit: à

Les conversations de récré sur les profs intéressés par leurs élèves étaient courantes au Lycée. Tout parent un peu dégourdi par la vie était méfiant quand un adulte s’approchait d’un peu près de leurs progéniture…
Sauf que tout cela restait du domaine des conversations à voix basse entre adultes ou ricanantes entre ado boutonneux.

Phil dit: à

Cette scene figure dans le film comme un moment classique

Ni plus ni moins que les scènes de zoophilie, inceste etc..qui n’ont pas fait de Mal(le), l’auteur d’une nouvelle vague qui cherchait un scandale trop bon marché. Gardez-vous des glissements de focale.
Il faudra sans doute bientôt brûler les livres de Peyrefitte, moins pour ses amitiés particulières méritantes du goncourt en son temps, que pour ses « juifs » qui passèrent comme une lettre à la poste restante.

closer dit: à

Remarquable article de Chantal Delsol sur le rapport Sauvé dans Le Figaro d’aujourd’hui.

Marie Sasseur dit: à

Oui, remarquable intervention de M. Sauvé, ce matin sur France Inter.
Par moment ses mots avaient la même force qu’Angot, pour dire l’inceste, tellement il a compris les conséquences de ces abus sexuels commis par des hommes d’église, sur des personnes qui ont ensuite été empêchées d’être pour la plus grande partie de leur vie.
M. Sauvé aura su expliquer, très clairement,
pourquoi ces abus sexuels spécifiques à l’église catholique, est la perversion totale et définitive du message catholique initial.

Quant aux réactions…ma foi, il y a des silences assourdissants de la part des politiques, en France.
J’imagine que beaucoup sont entravés par leur histoire familiale…et leurs enfants, dans  » le privé « .

Marie Sasseur dit: à

Ouf
pourquoi ces abus sexuels spécifiques à l’église catholique, sont la perversion totale et définitive du message catholique initial.

et alii dit: à

soleil vert,
votre interprétation est bien meilleure,c’est vrai;
HS me rend toujours sentimentale

et alii dit: à

3Jean-Marc Sauvé prend soin de préciser : « Le célibat par lui-même n’est pas la cause de ce qui s’est passé : on a plutôt l’intuition que dans un certain nombre de cas, des prédateurs ont opté pour cet état de vie, pour cette condition, afin d’accéder aux enfants ».
ARGUMENT SOUVENT ENTENDU ;
notre culture est celle de « l’accès » ne l’oublions pas

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