de Pierre Assouline

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Regarder le sport avec les yeux olympiques

Regarder le sport avec les yeux olympiques

Je me souviens d’Antoine Blondin aux Jeux Olympiques. Du moins à ce qu’il m’en a raconté et à ce que j’ai pu (re)vivre à peu près fidèlement à travers ses chroniques. Sept J.O. au compteur ! Pas mal pour un casanier qui avait tant de mal à se rendre sur la rive droite. Il est vrai que le sentiment de l’exil lui donnait le cafard et ravivait sa mélancolie.

Les Jeux l’ont fait voyager, loin et souvent, ce qui était déjà trop pour celui qui aimait tant les petits endroits intimes où l’on peut se faire rejoindre par ses souvenirs. Trop indécrottablement français pour les lointains horizons, moins curieux des lieux que des personnes. Il glanait des éclats d’interviews dans les vestiaires, des bulles d’informations dans les bars, des choses vécues dans les ascenseurs et des choses vues en pagaille dans les stades. En principe, les résultats des épreuves qu’il rapportait dans sa chronique du jour y étaient, mais pas toujours ; il arrive que l’on se demande de quoi il parle et comment cela s’est terminé mais qu’importe dès lors que c’est lui qui raconte. C’est ce qu’on attend de lui, la touche Blondin, cette valeur ajoutée que nul ne peut lui ravir.

On ne se refait pas. Il aimait trop le Tour de France et le Tournoi des cinq nations pour goûter vraiment les olympiades du bout du monde. De celles de Moscou (1980), il a retenu la capacité inouïe des Russes à boire des litres de vodka. C’est tout ? « Les gens sont tous habillés en flic, c’est frappant ». Quand c’est trop loin de la rue Mazarine, il est paumé, désorienté tant il ne se sent pas chez lui. Le cas aux Jeux de Tokyo (1964). Le soir de la défaite de Michel Jazy, il est aussi bouleversé que révolté : « Il aurait dû gagner ! ». Alors pour oublier, il se noie dans… la Pléiade des Œuvres de Balzac qu’il avait pris soin d’emporter dans ses bagages. Sinon, lorsque je lui ai demandé de me raconter son édition tokyoïte des Jeux, le nom qui lui ai venu spontanément fut celui d’une athlète de… la chanson. Dalida !

Ils s’étaient connus entre deux étapes du Tour de France, Andorre-Toulouse en 1964, et il prétendait que depuis, elle ne le lâchait plus. Il est vrai qu’il avait eu la faiblesse de lui consacrer une grande partie de sa chronique quotidienne aux dépens de la résurrection d’Anquetil dans la descente du Port d’Envalira. A l’en croire, ses assiduités dépassaient « les éruptions de l’Etna » ! (Dalida, pas Anquetil). Il est vrai qu’on les avait vus inséparables durant le Tour où elle se produisait le soir à l’invitation de Jacques Goddet. A tel point que les confrères, las de lui demander s’ils étaient ensemble, avaient fini par le surnommer « Théo Blondino » par allusion à Théo Sarapo, très jeune mari d’Edith Piaf, sinon « Blondino » tout court, clin d’œil au très populaire Bambino (1956) de sa chère « chanteuse des quatre saisons, au sens le plus noble ». Mais les retrouvailles japonaises furent au fond assez sportives, du moins pour lui :

« Un jour, dans sa chambre d’hôtel, elle m’a dit : « Je n’aime pas les hommes beaux, je les aime intelligents, c’est pour ça que je t’aime… ». Je me suis sauvé. On était au 164ème étage. Je me suis réfugié à la cave. Voilà, c’est ça, pour moi, les Jeux olympiques de Tokyo ».

N’empêche qu’à Tokyo, il n’y avait pas que Dalida : il y avait aussi Michel Jazy. A lui seul il valait le déplacement si loin du Bar Bac. Blondin « sait » qu’il va l’emporter dans la finale du 5000 mètres, malgré la pluie et sa baisse de moral. Las ! il arrive quatrième mais Blondin refuse de s’avouer vaincu et reporte ses espoirs sur la prochaine fois. Mais il n’y aura pas de prochaine fois car, malgré la division pentétérique du temps olympique, l’ancien typographe-linotypiste de l’Equipe raccroche peu après.

A « Tokyo-les-bains », tout indique que l’écrivain s’ennuyait. Ce qu’il mangeait lui restait sur l’estomac, un peu comme la fameuse pintade qu’il menaçait de revêtir d’un dossard si elle persistait à leur être servie à chaque étape du Tour. Lorsqu’il allait faire un tour en ville, il se perdait immanquablement ; la transmission de ses articles lui posait des problèmes insurmontables ; les conditions de travail lui paraissent épouvantables ; il éprouvait les plus grandes difficultés à se synchroniser avec les différents envoyés spéciaux de l’Equipe nécessairement dispersés un peu partout en fonction des disciplines couvertes. Quant aux compétitions, de son point de vue, elles n’atteignaient pas en intensité celles de Rome (il est vrai qu’il s’y était bombardé « leader de la French Olympic Drinking Team »). Dans une carte postale à Chantal Déon, il en convient : « Je ne suis décidément pas un produit d’exportation ». Allons, allons !

Sa plume légendaire, cette signature inimitable faite d’humour, et de pas de côté, d’ironie et de décalage, de liberté absolue et, en l’espèce, d’intime connaissance du sport, lui fit rarement défaut. Sa passion de l’athlétisme, légèrement estompée par le culte qu’il voue au vélo, était puissamment ancrée dans son imaginaire comme en témoignait en 1947 déjà les articles qu’il lui consacrait dans Ici France. Combien de comas athlétiques doit-il aux Jeux ! Si l’indispensable Jules Renard pouvait dire d’Henri Desgrange, inventeur du Tour de France : « Sa culture est physique », on ne pourrait l’appliquer à Antoine Blondin qu’en la complétant : « Sa culture est physique, aussi » tant il cite ses maitres en matière de littérature sportive, Montherlant surtout mais aussi Genevoix, Giraudoux, MacOrlan… Il est fasciné par les performances, davantage encore que par le spectacle. Ce recul de la puissance humaine, ces chronos repoussés d’année en année, comment n’en être pas sidérés.

  Pas sûr que les amateurs de judo trouvent leur compte dans les compte rendus de Blondin qui n’y voit qu’un affrontement de bœufs dépenaillés, s’alpaguant au revers sous la férule d’un arbitre lançant « des cris à émouvoir les ultrasons ». Alors l’esprit du budo, certes, mais pas pour lui comme en témoigne son papier intitulé « La semaine des quatre judos » qui parle de tout sauf de ce noble art martial sur la voie de la souplesse qui passe à l’occasion des Jeux de 1964 du statut de sport de combat à celui de sport olympique. Au fond, les J.O. sont les seules occasions où Blondin sort de sa zone de confort, de son Twickenham et de ses étapes de montagne ; journaliste sportif au long cours dans un cadre mondialisé, il lui faut parfois affronter des disciplines auxquelles il n’entend rien ; il en sort quelque chose de tout à fait…. blondinien ! . Qu’importe au fond puisque, dans un cas comme dans l’autre, il fait du Blondin.

Bien sûr il a ses têtes mais ce sont rarement des têtes de Turc. Soit il aime, soit il admire soit il ignore mais ne hait point. On retrouve avec plaisir le fleurettiste Jean-Claude Magnan, le nageur Alain Gottvallès, le rameur Nosbaum, la sprinteuse Chantal Réga qui lui inspire même une parodie de If, le légendaire poème de Rudyard Kipling que Blondin achève par : « … Tu seras un homme, ma fille ! ». On n’oubliera pas sa vision des haltérophiles (« cortège d’obèses en maillots de bain »). Parmi les athlètes olympiques, il en est quelques uns qui retinrent vraiment son admiration. Micheline Ostermeyer fut de ces élus. Aux Jeux de Londres (1948), elle remporta les médailles d’or des lancers du poids et du disque ainsi que le bronze pour le saut en hauteur, peu après que, pianiste de talent, elle fit de même avec le premier prix du Conservatoire. Et tout cela sans se départir de sa discrétion, de sa modestie et de son rôle de mère de famille.

A ceux qui prétendent que l’humanité se divisent entre ceux qui jouent du piano et ceux qui les déménagent, Blondin rappelait l’existence d’une troisième catégorie illustrée par Micheline Ostermeyer. Aux Jeux de Melbourne (1956), il consacra Parry O’Brien, médaille d’or du lancer du poids, comme l’athlète le plus complet et « la figure la plus haute » de cette édition. Des innombrables chroniqueurs sportifs accourus d’un peu partout dans le monde afin d’être présents dans le stade ce jour-là, Antoine Blondin est sans aucun doute le seul qui non seulement brosse le portrait d’un champion qui dort avec son boulet de fonte de 7kgs sous l’oreiller, lui parle, le caresse, mais qui de plus en conclut :

« C’est un cas typiquement américain de gigantisme du nourrisson comme en trouve dans les romans de Steinbeck ».

Sous sa plume, les spécialistes du 400 mètres sont des hommes du Quattrocento. Et il suffit qu’une nageuse japonaise s’ébroue en nage papillon pour qu’il la rebaptise Madame Butterfly. On notera toutefois un certain parti pris inconscient en faveur de Johnny Walker, vainqueur néo-zélandais du 1500 mètres à Montréal, allez savoir pourquoi (il est probable que son nom et son étiquette, pardon : son maillot, noir n’y étaient pas étrangers). Au fond, ses détestations sont plutôt collectives. Ainsi des supporters américains, l’horreur sur pied, la vulgarité incarnée, et envahissante avec ça. L’enthousiasme puéril et sonore qu’il a pu observer dans leur colonie au moindre exploit d’un sportif américain se traduit par des hurlements du type de ceux que soignent les ORL. Un tintamarre odieux aux oreilles bien nées, de quoi offusquer les tympans :

« Là, veuillez croire qu’on ne tient aucun compte de la discrimination raciale : tout est bon dans le poulet, le noir comme le blanc, du moment qu’il est conditionné dans un emballage aux couleurs des stars and stripes ».

   Sa plume vibre quelque que soit le champion lorsqu’Antoine a l’occasion de célébrer « la correspondance entre la grâce et la volonté, le parfait accomplissement du rendez-vous qu’un athlète peut donner à son génie ». On en oublie leurs noms, leurs pays, leurs performances pour n’en retenir au fond que l’étincelante description qu’il en fait. « Le sport fournit l’un des rares spectacles dont la proximité n’altère pas le mystère. Cela provient de ce qu’il ne peut être joué, donc simulé » note-t-il. Comme quoi, malgré les distances à parcourir, les ascenseurs d’hôtels, les pluies diluviennes et la libido de Dalida, parfois les Jeux ont du talent, juste assez en tout cas pour l’inspirer : 

«Au regard des mastodontes du marteau, l’on se demande de quelle aberration est né cet ustensile que les lanceurs promènent comme un yo-yo chargé en fonte avant de le balancer avec le vilain geste de l’ouvrier qui en a par-dessus la tête de trimbaler son outil, véritables forçats ayant découpé un panneau de leur cage pour y projeter le boulet enchainé qu’ils se sont arrachés à la cheville ».

Les athlètes féminines n’en sortent pas grandies (et cela non plus ne passerait plus). A quelques exceptions près, louées pour leurs grâce et leur légèreté, ce ne sont sous sa plume qu’étal de boucher, émeute de jambonneaux, foulées bovines, barbes de trois jours et croupes du style « partie du train restant en gare ». Autrement dit : les mégères ne sont supportables que lorsqu’elles sont apprivoisées. Quant aux escrimeuses, leurs « glapissements hystériques » les rendent irréformables.

Certaines de ses chroniques olympiques sont des pages d’anthologie. Son dialogue québecissime avec un paysan à Montréal, la bénédiction des athlètes par Jean XXIII du haut de son balcon papal avant la confession des pêcheurs, les médailles pieuses gagnées par certains, l’introuvable chapelle quand on tient absolument à y méditer avant toute tentative de record (je cherche après Sixtine, Sixtine ô ma Sixtine et ne la trouve pas…). Mais ce n’est pas parce qu’il vit au loin, envoyé aux prestigieuses olympiades, qu’il va déroger à ses habitudes. Aux Jeux comme sur le Tour, si un grand écrivain vient à mourir (Paul Morand en 1968 pendant Montréal), il a la priorité. Mais quel terrible et triste aveu au passage :

« Disons-le : la France n’est pas un pays sportif ».

Entendez que, si elle sait voler au secours de la victoire en venant encourager des exploits déjà accomplis, elle s’avère incapable d’entretenir la flamme, de stimuler l’émulation, de perpétuer l’esprit du sport tout au long de l’année en remplissant les stades.

Aux Jeux de Montréal, où l’on retrouve de surprenants accents gaulliens dans son commentaire des épreuves de natation (« Vive Montréal ! Vive la nage libre ! »), il comprend et fait comprendre qu’il n’y a pas de petites médailles, celles des disciplines les plus populaires valorisant les autres. Ainsi suit-il à la trace Daniel Morelon au Vélodrome, assez vexé personnellement que le cyclisme sur piste soit traité à l’égal d’une activité secondaire. Hélas, lors de la finale, la grande vitesse fut enclenchée trop tôt et l’enfant de Bourg-en-Bresse partit trop tôt « comme s’il obéissait à un besoin bressan ». On ne se refait pas et certainement pas Antoine qui se permet ce que nul n’oserait de nos jours, en écrivant qu’en athlétisme, à la finale du 100 mètres, il y avait « huit hommes :  5 Noirs et 3 Blancs (on dirait une commande de bistrot) » et qu’à la cérémonie de clôture étaient invités « quelques centaines d’indiens (sous toutes réserves) » et autres « joyeux Hurons ». Aujourd’hui, il se ferait lyncher par les réseaux sociaux à supposer qu’il ne serait pas censuré avant.

Il ne résiste pas à un bon mot, une formule, un calembour- et comment lui en vouloir, c’est sa signature. On sait qu’un tel tropisme rend injuste quiconque s’y adonne. Ainsi lorsqu’en 1964 à Tokyo Antoine récuse l’idée que la médaille d’or de Pierre Jonquères d’Oriola en saut d’obstacles individuel soit « tirée par les chevaux », ce qui eut été, vous en conviendrez, assez cavalier vis-à-vis du champion. Parfois, on a des doutes : il fait de l’humour à sa façon ou ce qu’il dit est vrai ? On ne sait pas toujours à quel degré le prendre. Et si c’était vrai que Mykola Avilov porte une chaussure noire et l’autre jaune pour ne pas se tromper de jambe d’appel avant de sauter et de s’enrouler en ventral autour de la barre ?

A Munich (1972), il se plia à la situation, exécutant un pas de côté lorsqu’il n’est pas à la piscine, aux abords de la piste cendrée ou au vélodrome ; et ce pas le conduit inévitablement au village olympique, chambre d’écho des bruits divers et variés et boulevard à ragots dont il se régale. Jusqu’à la tragédie du 5 septembre : la prise d’otages d’athlètes israéliens par un commando de fedayin. Y consacrant toute sa chronique du jour, Blondin décerne de son propre chef une médaille aux « tueurs pour meurtres sur cibles innocentes et endormies ». Un temps, le journaliste sportif troque son statut pour celui de correspondant de guerre. Avant même que soit connue l’issue tragique de cet acte de terrorisme, il écrit :

« Il faut vraiment violer sa sensibilité pour trouver un semblant de justification à cet acte criminel, mais il faut reconnaitre qu’il s’inscrit dans la logique aberrante du désespoir ».

Puis avant de reprocher au commando palestinien d’avoir commis « un crime beaucoup plus grave, un sacrilège contre l’espèce : ils ont naufragé l’Arche de Noé », il consacre un paragraphe à honorer un athlète quadragénaire, dont la calvitie et le petit bedon ont attendri les spectateurs massés sur le parcours du 50 kms marche, un ingénieur portant lunettes qui avait tout du marcheur de tradition, et dont l’avant-bras (mais qui d’autre que Blondin l’a alors remarqué ?) porte « un numéro matricule qui lui fut tatoué à quelques kms d’ici ».  Le marathonien israélien Shaul Ladany, déporté à 8 ans à Bergen-Belsen, rescapé du génocide et du massacre de Munich. Des lignes qui nous dédommagent d’un éloge sans nuances et sans réserve de cette vieille crapule nazie et antisémite d’Avery Brundage au moment de faire ses adieux au CIO dont il avait été jusqu’alors le président. Puis la fête le spectacle continuent et Guy Drut rapporte une médaille d’or en 110 mètres haies (« une médaille en sautoir »)

Pour être envoyé spécial d’un grand journal sportif, on n’en est pas moins humain. Blondin a des lignes trempées de larmes lorsqu’il évoque celles du champion Roger Moens se jetant sur l’herbe après avoir perdu la finale du 800 mètres à Rome (1960), avec la même empathie manifestée pour dire celles de Colette Besson après sa victoire aux 400 mètres à Mexico (1968). Des Jeux qu’il a couverts depuis… Paris, devant la télévision, dans le salon de Pierre de Ségur « gentilhomme de sport » en compagnie d’un certain nombre de flacons de toutes provenances.

Mais ce qu’il y a de bien et de beau avec Antoine Blondin, c’est qu’il ne lâche pas ses idoles au motif que la France les a oubliées. Ainsi de Colette Besson justement. En 1976, il publie une chronique qui est une vraie déclaration d’admiration éternelle : impressionné par la modestie avec laquelle l’ancienne médaille d’or honore de sa présence de petites épreuves interrégionales au nom de son club bordelais, il dit sa colère contre l’Administration, l’Etat, le ministère, la Fédération qui se sont contentés de lui épingler une légion d’honneur et basta, plus rien après : « Pour solde de tout compte, vous portez votre croix ». A Montréal, en regardant le 400 mètres, il a une pensée pour elle.

Cela dit, c’est à Cortina d’Ampezzo (1956), au froid donc, qu’il écrivit l’un de ses plus beaux papiers : l’autrichien Toni Sailer dévalant les pentes et raflant les médailles vu dans le regard pathétique du grand champion italien Zeno Colò banni des épreuves pour professionnalisme et les suivant caché derrière un arbre, sa manière de « tendre une embuscade au souvenir ». Blondin s’est plu à glorifier les Jeux en leur rendant à leur dimension universelle et intemporelle. Un champion du monde n’est jamais que champion de sa rue alors qu’« un parfum d’éternité » fait escorte à un titre olympique. En posséder un à son palmarès, c’est aussitôt être nimbé d’un laurier au prestige immémorial, même si l’on connait bien les dates des premiers Jeux antiques il y a vraiment très très longtemps en l’honneur de Zeus Olympien.

Ainsi un va nu pied éthiopien peut-il accéder avec le sourire, la grâce et sans souffrance apparente au panthéon des sportifs parmi les dieux du stade. Tout athlète olympique voit son nom gravé dans le marbre de l’histoire du sport. Ce qui ne fait pas oublier que s’il gagne, c’est « sur rendez-vous ». Tout le spectaculaire des Jeux, avec ce qu’il faut de martial et de jovial dans le défilé d’ouverture, d’émotion dans le parcours de la flamme, de fiesta dans le village, de mythologie dans les clameurs, de ferveur dans la célébration des records. Dans l’Antiquité, le temps des Jeux suspendait guerres, querelles et règlements de compte ; Blondin en a la nostalgie, même s’il était petit à l’époque ; si ce Zeitgeist a disparu, c’est selon lui par « manque de foi » ainsi qu’il l’a écrit dans sa préface à La fabuleuse histoire des jeux Olympiques de Guy Lagorce et Robert Parienté (1973). Pas sûr que le serment made in Coubertin suffise à pallier cette lacune. Son épopée avec les J.O. s’acheva à titre personnel en 1980 à Moscou. Mais la relecture de ses chroniques témoigne de ce que le sport et les sportifs lui doivent d’avoir été regardés avec ses yeux olympiques.

(P.S. Ce texte est ma contribution au recueil collectif Je me souviens… de la foulée de Pérec (et autres madeleines sportives) » Vingt-huit écrivains livrent leurs souvenirs, 224 pages, Seuil)

(« Antoine Blondin aux Jeux Olympiques de Tokyo, 1964, photo D.R ; « L’éthiopien Abebe Bikila, médaille d’or du marathon aux J.O. de Tokyo, 1964, photo D.R. ; « Les athlètes américains Tommie Smith et John Carlos, médaille d’or et médaille de bronze du 200 mètres, lèvent le poing du Black Power aux J.O. de Mexico en 1968 pendant l’hymne américain », photo John Dominic ; « L’un des huit terroristes palestiniens sur le balcon de la délégation israélienne aux J.O. de Munich », photo Russell Mcphedran/The Sydney Morning Herald ; « Epreuve du fleuret avec Daniel Revenu, Jeux olympiques de Munich, 1972,  Photo de Michel Pansu et Serge Trevisani, France-Soir)

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commentaires

834 Réponses pour Regarder le sport avec les yeux olympiques

Patrice Charoulet dit: à

GROS BOBARD

Bardella aurait dit qu’il n’irait pas à Matignon s’il n’obtient pas de majorité absolue à l’Assemblée nationale. Et tout le monde répète ce qu’il a dit.
Il s’agit évidemment d’un gros bobard. Même avec un simple majorité relative, il acceptera d’y aller si le chef de l’Etat lui propose.
Ce bob ard a un seul but : encourager les hésitants et les négligents à bien aller voter pour ses candidats au lieu d’aller à la pêche.

rose dit: à

Gorgs Prc

La disparition du e et des accents.

Jazzi dit: à

« JE ME SOUVIENS

1 – Je me souviens de Georges Perec, sans accent, avec sa tignasse afro et sa barbe de barde.
(…)
480 – Je me souviens que les cendres de Georges Perec ont été déposées au colombarium du Père-Lachaise, case n° 382. »
https://www.lelezarddeparis.fr/je-me-souviens

Au vol, ils m’ont plagié pour leur titre !

J J-J dit: à

du plus loin qu’il me souvienne, Marie-José, j’ai toujours haî toutes les disciplines du sport compétitif, quelles qu’elles soient, et ses divers commentateurs (d’enthousiastes fanatiques). Aussi n’ai-je jamais lu une ligne de Blondin, ni n’irai lire plus loin que titre et observer la vue de cette photo illustrant ce nouveau papier. C’est comme ça, parfois.- Cela dit, nul n’est empêché d’aller à la pêche aux voix l’autre dimanche, pour échapper à la concentration des stades.
Bàv (23.6.24_10.14)

Jazzi dit: à

Sans rancune, un extrait de mon « Goût de l’ été » !

__________________

ANTOINE BLONDIN

L’été en pentes dures

Chaque année, depuis plus d’un siècle, le tour de France est un rendez-vous incontournable du début de l’été. Un évènement sportif hexagonal de renommée mondiale, auquel Antoine Blondin (1922-1991) à consacré près des deux tiers des sept cents articles qu’il rédigea pour le quotidien sportif L’Équipe, entre 1954 et 1982. Réunies sous le titre L’Ironie du sport, et publiées trois ans avant sa mort, ces savoureuses chroniques, qui couvraient une vingtaine de disciplines différentes, ne donnaient-elles pas au journalisme ordinaire ses lettres de noblesses littéraires ? Pour en juger, celle-ci, consacrée au Tour de France 1955, qui se déroula cette année-là du 8 juillet au 1er août, et fut remporté pour la troisième fois consécutive par Louison Bobet. Écrite à la manière des lettres que Mme de Sévigné adressait à sa fille Mme de Grignant et titrée L’affaire des poisons, celle-ci abordait déjà essentiellement, et non sans ironie, en effet, les problèmes de… dopages !

« ALBI – Ma toute bonne, nous aurions eu une randonnée bien fastidieuse, aujourd’hui, si notre société n’avait été agitée par une histoire que m’ont rapportée les cahiers de M. Goddet qui est notre moderne Saint-Simon : il tient son journal en main. Je vais, à mon tour, vous le conter, par le menu, à la faveur d’un calme plat qui règne sur cette route bombée, témoignant par là, à l’inverse de ce qu’à prétendu M. de Voltaire, qu’il existe de petites Causses qui ne produisent pas nécessairement de grands effets.
Savez-vous ce que c’est que se « charger » ? C’est la chose du monde la plus stupéfiante, si je puis m’exprimer ainsi. D’aucuns l’appellent : faire usage du dopigne. Grâce à celui-ci, les champions qui rivalisent dans ce tournoi auquel nous sommes convoqués se dorent, paraît-il, la pilule. Beaucoup doutaient que de semblables coutumes existassent, et la question, qui reste pendante comme la langue de certains coureurs, a déjà fait couler beaucoup de salive, y compris celle du principal intéressé, notre gentil Malléjac, qui est à l’origine de cette révélation, telle la Brinvilliers, dont vous n’ignorez pas qu’elle fut brûlée en place de Grève. Notre Malléjac, donc, s’étant écroulé sur le chemin, fut examiné par l’apothicaire du convoi, lequel le trouva sujet à potion.
Je vous remets que le dopigne s’absorbe en breuvage comme en pilule, en pilule comme en poudre, et vous laisse à deviner de l’émoi qui s’empara de nos Maistres de Camp lorsqu’ils soupçonnèrent que les champions se payaient leur fiole. Cette petite fiole nommée topette qu’ils glissent dans leurs fontes. Du coup ils rappelèrent à leur souvenir tous les incidents de route qui ont fait, jusqu’ici, tomber nos coursiers avec un gracieux abandon à la clef, et ne manquèrent pas, chère comtesse, de les imputer à la prise de la pastille. Le Tour de France tout entier s’est transformé en entreprise de sorcellerie ! Il n’était point d’équipe où l’on ne se livrât à de mystérieuses messes noires pour fabriquer le fabuleux dopigne, dont l’effet sur le phréno-phrénique, ce nerf qui relie la poignée de frein à la visière de la casquette, est foudroyant ! Les soigneurs, les suiveurs, même, n’étaient point exclus de soupçon de complicité ; j’en tirais de délicieux frissons : c’était, aujourd’hui, la journée des Drogues.
Une commission d’enquête avait été constituée pour mettre au jour ce nouveau trafic de stupéfiants et délimiter la juste mesure, à partir de laquelle leur emploi devient dangereux. Nos beaux esprits l’ont baptisé la Brigade de la Charge Légère. Elle n’a cessé de s’exercer avec un rare bonheur, tout au long du chemin qui mène de Millau à Albi.
A peine avions-nous pris le départ qu’un chroniqueur, surpris l’écume aux lèvres, dut prouver qu’il s’agissait de celle de sa pipe. Au ravitaillement de Rodez, c’était au tour d’un coureur, le nez plongé dans sa musette, d’être aperçu en train d’avaler une tarte ; il eut beaucoup de peine à démontrer que celle-ci n’était pas une tarte-opium. Après Valence, un commissaire occupé à entonner un peu de poudre dans sa narine, échappa de justesse au châtiment en déclarant qu’il était un commissaire… priseur. Affirmerai-je que le fameux arbre à came fut découvert sous la voiture d’un de nos conducteurs. Toujours est-il que les sacoches de M. Benoit, de l’Académie française, qui a pris place dans l’une de nos calèches, ont été trouvées pleines d’héroïnes. Mais cela, nul ne l’ignorait depuis longtemps.
Ainsi, nos inquisiteurs étaient-ils fort absorbés dans l’auscultation de quelques cathares demeurés dans les gorges du Tarn, lorsque la nouvelle nous parvint que De Groot avait pris, pour sa part, la poudre d’escampette. Vous conviendrez, ma belle, qu’il est expédient de profiter du Trophé du Gant pour se faire la paire. Ayant prié notre conducteur de me mener à la hauteur du fugitif, j’eus bien mal à mes jambes. Mais je pus constater de mes yeux, que je n’ouvre que pour bénir ce ciel qui nous couvre, vous et moi, que l’harmonieux coursier des Pays-Bas avait su filer sans tambour ni topette.
Vous voyez que nous ne savons pas encore si tous ces coups d’épée n’ont pas été donnés dans l’eau. Ce soir, dans la gracieuse cité d’Albi, c’est l’étape Toulouse-Lautrec que nous courons. Et s’il me fallait en élire le vainqueur, le cœur opinerait pour le coureur Van Dongen. La hollande gagnerait sur tous les tableaux de cette journée, dont il faut bien que je vous redise, ma fille, qu’elle n’a pas été chargée, puisque le mot est à la mode. »

(« L’Ironie du sport, Editions François Bourin, 1988)

Rosanette dit: à

Une belle histoire vraie qui a pour cadre les JO de Paris en 1924 racontée -et sans doute embellie – dans :le film :Les chariots de feu
A revoir quand tant de choses ont changé dans le monde du sport en 100 ans

D. dit: à

LA VOIX DE SATAN

A Chaville deux petites familles dont les pavillons sont voisins.
Ce matin, l’une part à 10h passer la journée à la campagne.
L’autre va à la messe, qui sera suivie du déjeuner familial dans le jardin de la maison. La promenade , les jeux, le vélo sont prévus toute l’après-midi.
Remarque de la première maman à la seconde, devant tous les enfants : « Oh…Tu ferais mieux de venir avec nous au lieu d’aller t’enfermer. »

Il y a tout de Satan dans cette remarque : l’injustice, la culpabilisation, la division, déshonorer le Créateur mais profiter de Ses oeuvres.
Bien entendu, c’est la seconde maman qui a raison et qui veille à donner à ses enfants ce qui est essentiel.

J J-J dit: à

@ r^z, je me demande si P. Assouline n’avait pas traité la question du nageur juif, dans l’un de ses récents romans. Mais peut-êtrej confusséj avec l’histoire de la mère de chantal Thomas. Avez bien fait de remettre un lien pour etalii, encore plus déboussolée par les algues vertes eutrophisées. Bàv,

J J-J dit: à

J’aime beaucoup « les choses vues » du Victor Hugo de Chaville, et surtout les morales alpestres qui s’ensuivent invariablement. Elles nous disent toujours quelque chose de la France profondément profonde, et bien de chez nous. Voui.

Jazzi dit: à

C’est dit en en-tête de mon texte, renato :

« Le titre, la forme et, dans une certaine
mesure, l’esprit de ces textes s’inspirent
des Je me souviens de Georges Perec, qui
avait été influencé, lui-même, par les
I remember de Joe Brainard. »

rose dit: à

pour échapper à la concentration des stades.

Et à celle du Vélodrome d’hiver.

Jazzi dit: à

Plutôt le Bernanos que le Victor Hugo de Chaville, s’agissant de « La Voix de Satan », JJJ !

rose dit: à

J J-J dit: à
@ r^z, je me demande si P. Assouline n’avait pas traité la question du nageur juif.
Et bien oui, c’était un hommage à lui rendu ! (P.A).

rose dit: à

Nota bene : les mamans font ce qu’elles peuvent être du mieux qu’elles peuvent.

rose dit: à

Nota bene : les mamans font ce qu’elles peuvent et du mieux qu’elles peuvent.

Jazzi dit: à

Dalida était-elle une chanteuse Yéyé ?
Moi, oui, et vous ?

Le scopitone des baby boomers

Mes parents étaient tout deux sourds et muets. Un handicap qui rendait ma mère proprement folle et que mon père prenait plutôt avec philosophie : « Mieux vaut être sourd qu’aveugle », lui répétait-il souvent pour tenter, en vain, de la consoler.
Un beau soir, en rentrant de son atelier de tailleur de pierre-marbrier, nous eûmes la surprise, mon frère aîné, Ange, et moi, de voir que notre adorable père tenait à la main un transistor tout neuf, qu’il nous offrit aussitôt.
Jusqu’alors, tandis que les juke box et les premiers scopitones fleurissaient dans la plupart des bars et des cafés de France et de Navarre, nous n’avions eu droit, en matière de chansons, qu’aux sempiternelles rengaines de Tino Rossi, que notre voisine, la brune Carmen Esposito, repasseuse en chambre, donnait à entendre à tout l’immeuble, du haut de sa mansarde. Depuis les « O Catarinetta bella ! Tchi-tchi » jusqu’à « Petit papa noël, quand tu reviendras du ciel…», rien ne nous était épargné du vaste répertoire du célèbre crooner corse !
Désormais, en faisant mes devoirs à la maison, après les cours, je pouvais écouter le Hit parade à la radio. En ce temps-là, la jeunesse était résolument yéyé, dansait le twist et lisait Salut les Copains. Les plus grands organisaient même des surboums ou des surprises-parties, propices aux premiers flirts.
Déjà, Johnny n’hésitait pas, non sans raison, à claironner que les gens l’appelaient l’idole des jeunes. Une jeune fille de Français moyens, à drôles de couettes, surnommée Sheila, qui jusqu’alors vendait des bonbons sur les marchés avec ses parents, décréta que la cloche avait sonnée et que l’école était finie. Sylvie Vartan, quant à elle, affirma péremptoirement qu’elle était la plus belle pour aller danser, alors que la mélancolique Françoise Hardy se lamentait tristement que tous les garçons et les filles de son âge allaient par les rues deux par deux, les yeux dans les yeux et la main dans la main sans peur du lendemain, à l’exception d’elle, qui errait l’âme en peine, car personne ne l’aimait. Claude François prétendait que, s’il avait un marteau en main, il referait le monde, tout en sautant en l’air comme un cabris surexcité. Un certain Christophe cria tout un été pour qu’Aline revienne, car il avait trop de peine.
Les Surf, un groupe constitué de quatre frères et deux soeurs malgaches, nous supplièrent de ne pas nous en aller comme ça, en oubliant leur existence. Patricia Carli chantait : « Arrête, arrête, ne me quitte pas, je t’en supplie aie pitié de moi ! », que les garnements parodiait en cours de récréation par : « Arrête, arrête, ne me touche pas, avec ta main pleine de doigts ! ».
Richard Anthony, l’homme qui entendait siffler le train, traduit en arrière-train par les mêmes garnements de cours de récré, fit un nouveau triomphe avec « Fiche le camp Jack et ne reviens plus jamais, jamais, jamais. Fiche le camp Jack et ne reviens plus jamais ».
Gigliola Cinquetti, une jeune italienne encore mineure, triompha à l’Eurovision, avec une chanson où elle disait à un adulte qu’elle n’avait pas encore l’âge (Non ho l’eta) pour l’aimer et sortir avec lui. Alors que France Gall ne trompait personne, sauf peut-être elle-même, lorsqu’elle interprétait innocemment avec Serge Gainsbourg, sa chanson sur les sucettes à l’anis d’Annie, qui en coulant dans sa gorge la transportait au paradis…
Avec son premier salaire, mon frère Ange, qui fut placé en apprentissage chez l’ancien employeur de notre père, juste après son certificat d’étude, s’offrit un pick-up et quelques 45 tours des Chats sauvages et des Chaussettes noires ainsi que de Vince Taylor. S’affirmant plus rockeur que yéyé, il en adopta l’attitude rebelle et la panoplie adéquate : jeans Lewis-Strauss, sous-pull sombre, chaine en sautoir et veste en peau retournée et tourna inévitablement blouson noir.
Pour ma part, je m’intéressais à la variété française en général, et plus particulièrement aux chanteurs à texte. Si je regardais toujours le Palmarès des chansons de Guy Lux et Âge tendre et tête de bois d’Albert Raisner à la télé, je ne manquais jamais le Discorama de Denise Glaser, le dimanche à l’heure du déjeuner. J’étais plutôt Brel que Brassens et Ferré que Ferrat. Et j’adorais par dessus tout Barbara. Ce qui ne m’empêchait pas d’apprécier, par ailleurs, Michèle Torr, Dalida, Mireille Mathieu et Georgette Lemaire, dont on se demandait laquelle des deux serait la nouvelle Piaf, Hervé Vilard et Nicoletta, qui avaient été élevés à l’orphelinat, Jacqueline Dulac, qui avait gagné le concours de la Rose d’Or d’Antibes avec sa chanson Ceux de Varsovie, Mike Brant et Joe Dassin, que je trouvais particulièrement sexy et qui m’incitèrent à laisser pousser mes cheveux long, me faire des brushings et m’habiller serré à la manière des petits minets de drugstore, que Jacques Dutronc tournait en dérision dans l’une de ses chansons.
J’écoutais aussi avec plaisir Charles Trenet, dont j’appréciais la poésie fantaisiste, le virevoltant Gilbert Bécaud, surnommé « Monsieur 100 000 volts » et même Philippe Clay, dont la chanson Mes Universités avait pourtant été écrite en réaction contre les soixante-huitards.
C’était l’époque où Antoine voulait mettre Johnny en cage à Médrano, lequel lui répondit par la chanson Cheveux longs et Idées courtes. Mais je leur préférais nettement Serge Reggiani, quand il chantait La femme qui est dans mon lit, Les loups sont entrés dans Paris ou Votre fille a vingt ans. Et Claude Nougaro, swinguant sut Toulouse, sa ville natale, ou imaginant BB sur l’écran noir de ses nuits blanches. Ou encore Régine, déclinant toutes les sortes de papiers : de riz, d’Arménie, buvard, tue-mouche, de soie, etc.
C’est alors qu’une musique venue d’ailleurs, portée par quatre garçons dans le vent, s’abattit sur notre génération et que je me mis à écouter tous les soirs le Pop-Club de José Artur sur France-Inter, bien avant la déferlante du disco, du temps où Dave chantait aux terrasses des cafés et où j’écoutais
Ike et Tina Turner ou Otis Reeding…
https://www.lelezarddeparis.fr/inventaire-1

Jazzi dit: à

Ce que l’on appelle un « mauvais esprit » dans lequel je me reconnais, renato.

Samuel dit: à

Antoine Blondin, dans un bar, s’adressant à un copain de beuverie : »T’es mon désaltère-ego ».

J J-J dit: à

… et pierre d’ac, dans celui d’en face : « c’est mon opinion, et rien ne m’empêchera d’être totalement d’accord avec elle, ma soeur ».

… Plutôt « Sous le soleil de Satan » qu’il avait écrit, l’autre st Georges, @ jzmn… Ouarf-Man,

J J-J dit: à

@ la seconde maman
Je me souviens, georg, d’une pub pour la Blédine Jacquemaire, non ?

Janssen J-J dit: à

Enfin, nous voilà débarrassés de Phil Bouvard & Pécuchais. Mais qu’ont-ils tous à vouloir s’accrocher de la sorte ? Hein, michel drudruk ?

Janssen J-J dit: à

On ne sait pas trop pourquoi, d’après le Figaro, Ménilmuche se dit « prêt à gouverner ce pays » à Marseille, à la place de Macron. S’accrocherait-i aux branches, li tou ?… Pauvre type qui espère bin faire perdre son camp / ement !…

Jazzi dit: à

Bien sûr, JJJ, mais l’auteur catho c’est plutôt lui que Hugo.
Sait-on si D. est allé à la messe ce matin ou prêche t-il uniquement sur la RDL ?

Jazzi dit: à

L’enseignant demande à sa classe : « qui est fan de MELENCHON ? »
Ne sachant pas vraiment ce qu’est un fan de MÉLENCHON, mais voulant être aimés de l’enseignant, tous les enfants ont levé la main, à l’exception du petit Jazzi.
L’enseignant a demandé au petit Jazzi pourquoi as-tu décidé d’être différent… encore une fois ?
Petit Jazzi a dit :
– « Parce que je ne suis pas un fan de MÉLENCHON ! »
Le professeur a demandé :
– « Pourquoi n’es-tu pas un fan de MÉLENCHON ? »
Jazzi a répondu:
– « Parce que je suis de droite ! »
Le professeur lui a demandé pourquoi il est de droite ?
Le petit Jazzi répondit :
– « Eh bien, ma mère est de droite et mon père est également de droite, alors je suis de droite ! »
Le professeur, agacé par cette réponse, lui demanda :
– « Si ta mère était une idiote et ton père, un crétin, tu serais quoi ? »
Le petit Jazzi a répondu :
– « Un fan de MÉLENCHON ! »

et alii dit: à

ce ne sont sous sa plume qu’étal de boucher, émeute de jambonneaux, foulées bovines,
pas étonnant! nostalgie de BAR BAC

vedo dit: à

Ah les jeux de Tokyo… J’avais un prof de math, à l’ancienne. En interrogation, il ne fallait surtout pas s’appuyer sur la gouttière du tableau, sous peine de se faire éjecter avec une engueulade: « Pour gagner une médaille à Tokyo, il a fallu envoyer un cheval ».

vedo dit: à

@Jazzi
Excellent.

Bloom dit: à

lèvent le poing du Black Power aux J.O. de Mexico en 1968

Non, Passou, les 2 athlètes n’avaient aucun rapport avec le Black Power!

Tommie Smith (né le 6 juin 1944!), tout comme John Carlos, était membre du Projet olympique pour les droits de l’homme (OPHR), organisation créée par le sociologue Harry Edwards and de nombreux athlètes noirs.
Smith avait d’abord préconisé un boycott des Jeux olympiques de Mexico en 1968 si quatre conditions n’étaient pas remplies :

1/ Retrait de l’invitations de l’Afrique du Sud et de la Rhodésie pays d’apartheid

2/ Restauration du titre de champion du monde de boxe à Muhammad Ali (retiré suite à son refus de participation à la guerre du Vietnam pour raisons éthiques)

3/ Démission de Avery Brundage de son poste de président du Comité international olympique (CIO) car en tant que dirigeant de délégation US à Berlin en 1936, il avait serré la main à Hitler.

4/ Recrutement d’un plus grand nombre d’entraîneurs adjoints afro-américains.

L’Afrique du Sud et la Rhodésie ne furent finalement pas invitées (pas politiques, les JO…).

Le 16 octobre 1968, Smith gagna la finale du 200m, battant un record du monde qui tiendra 11 ans. Carlos, qui avait viré en tête, arriva 3e. Le lendemain, lors de la remise des médailles, les deux athlètes, qui avaient refusé que Brundage leur remette les médailles, levèrent un poing ganté de noir (une seule paire pour deux) pendant l’hymne US et baissèrent la tête pour boycotter l’élévation de la Star-Spangled Bannner. Dans sa main gauche, Tommie Smith tient un rameau d’olivier sculpté, donné à chaque champion olympique. Les deux athlètes portaient des chaussettes noires et n’avaient pas de chaussures sur le podium, soulignant par là la pauvreté des Afro-Américains aux États-Unis. En soutien, Peter Norman, médaillé d’argent, un athlète australien blanc, s’associa à la protestation en portant un badge de l’OPHR.

Smith et Carlos furent bannis à vie de compétition, expulsés du village olympique, et renvoyés au US. Norman, lui, reçut une réprimande du CIO. Lors de ses funérailles à Melbourne en 2006, Smith et Carlos portaient son cercueil. Des luttes communes naissent de profondes amitiés qui transcendent toutes les différences…

Véritables héros ailleurs qu’aux States, les deux athlètes payèrent très cher leur geste aux US : menaces de mort, difficultés financières, etc. Smith fut invité à travailler comme coach dans le nord de l’Angleterre (Wakefield)

Jamais au grand jamais le Black Power ne leur vint en aide, car ils ne le représentaient pas. CQFD.

Il termina sa carrière comme prof de sociologie et entraineur d’athlétisme à Oberlin College (Ohio) et fit don d’une de ses chaussures de la finale de 1968 à Usain Bolt pour l’anniversaire de celui-ci en 2008. Il affectionne visiblement les demi-paires, mais pas les demi-mesures, ni les demi-victoires.

Voilà.

J’oubliais. J’ai eu l’immense honneur de passer une après-midi entière avec Tommie Smith et son épouse Delois, il y a quelques jours. Nous avons fêté son anniversaire, et Delois a chanté un Negro spiritual qui nous a tous fait chavirer…

Merci de bien vouloir corriger, Passou ( wink wink)

Bloom dit: à

and de = et de…!!!!

et alii dit: à

les 2 athlètes n’avaient aucun rapport avec
il me semble qu’aujourd’hui, on pourrait parler d’une » sensibilité commune » ,laquelle n’implique pas forcément adhésions à, comme membres etc

B dit: à

Merci Passou pour ce beau billet à la mémoire d’Antoine Blondin .

« Il s’agit évidemment d’un gros bobard. »
Si c’était le seul, JB donne aux gens ce qu’ils veulent entendre afin de rallier les suffrages. L’idole des jeunes qui ne cherchent pas à en savoir beaucoup plus ou des gens qui veulent se venger des lois du Capital, d’une gestion discutable,( des phénomènes qui ne sont pas propres à la France mais qui comme on le constate partout ont pour effet de faire progresser les extrêmes droites) en créditant ce parti des meilleures intentions sans vouloir voir quelles sont leurs fins, leurs objectifs les plus chers, en premier lieu, conquérir un pouvoir auquel il rêve depuis 40 ans. Et pour ça, ses représentants promettent monts et merveilles à un électorat crédule ou crédule et raciste.

B dit: à

3J, de Blondin, un quarto dans la collection Bouquins, lu L’Europe buissonnière ( son premier roman), il me faudrait savoir où je l’ai rangé. Vous n’avez ( en raison d’opinions politiques divergentes) donc jamais lu Paul Morand ?

B dit: à

Les amitiés de colonie de vacances durent parfois plus qu’un été. Elle parle italien avec Raphaël Geminiani, alors directeur sportif d’Anquetil, et le côtoiera toute sa vie. « J’avais beaucoup d’admiration pour Dalida », se souvient aujourd’hui « Grand Fusil », 97 ans, frais comme un muscadet. « Trois semaines avant son suicide, on mangeait ensemble dans un restaurant italien à côté des Champs. » Dalida s’est également rapprochée des passagers de la voiture 101 de L’Équipe, épatée par la maîtrise de Jean Farges, un conducteur hors pair qu’elle tente d’engager, et sous le charme du fantasque Antoine Blondin. Leur « amitié » devient rapidement l’un des sujets de discussion préférés de la caravane des suiveurs. Quelques mois plus tard, Dalida rejoindra en tout cas Blondin aux JO de Tokyo, la presse les comparant alors au coupe Marilyn Monroe / Arthur Miller.

http://gravillon.net/morceau-choisi-44-pedale-ete-2023-dalida-1964/

et alii dit: à

au fait BAR BAC
/Jean-Luc Mélenchon avait déclaré: « la République, ce n’est pas la viande halal ou casher »

J J-J dit: à

@ B. Vous ne m’avez pas compris… J’ai horreur des journalistes sportifs, or pour moi Blondin c’était ça… J’ai sans doute eu tort de le penser. Donc, je ne l’ai jamais lu… Et j’ignore tout de ses orientations politiques et sexuelles. Je ne vois pas le rapport avec Morand, dont j’ai lu « Venises », hélas, après y avoir séjourné un brin… Que voulez-vous m’insinuer ? Par ailleurs, j’ai pratiqué durant vingt ans une lecture assidue de l’intégralité de l’oeuvre d’Ernst Jünger dont la longévité et la plus que cinquantaine de bouquins de toutes sortes qu’il a écrits m’avaient toujours fasciné, en dépit des conneries de Bourdieu à son sujet. Or, je vous demande un peu !?
(nb / j’ai lu en outre pas mal de books dédiés à la sociologie du sport et aux phénomènes de hooliganisme, sans jamais avoir dû en pratiquer sérieusement moi-même, de sport,… seul ou en meute, ni même en observer les dérives. (Hors la marche, mais est-ce un sport ?) – Nul n’est obligé de se prendre pour un Wacquant pour séduire le maître à boxer, n’est-ce pas ?). Bàv, chère.

B dit: à

3J, je pensais, à tort, que vous ne l’aviez pas lu en raison de son positionnement politique. Pourrait-on dire qu’il était un anarchiste de droite?

rose dit: à

Je vois que vous avez longtemps cherché Jazzi.
=> Excellent
Nota bene : votre père fut sourd et votre mère aussi, je crois que vous y avez échappé. Il me semble que vous auriez pu aussi échapper à Mélenchon.

B dit: à

Jazzi, entendu plusieurs personnalités apparemment dotés de compétences déclarer qu’au RN ils préfèreraient LFI et ceci malgré leurs idées clairement à droite et tant qu’à perdre.

B dit: à

dotées.

rose dit: à

Yes, but Nancy is not.

Patrice Charoulet dit: à

L’horreur absolue

LFI est , indiscutablement, le plus grand parti antisémite français actuel. Vous avez le droit ,comme moi, de le détester.
Mais quel est le tout dernier sondage publié une semaine avant les législatives ? Coalition de gauche 26 , et RN 36. C’est plié : Mélenchon ne sera pas à Matignon, mais Bardella a mille fois plus de chance d’y être…si vous votez pour lui.
Au second tour, si vous êtes modéré, raisonnable, adversaire des extrêmes, et que vous avez le (triste) choix entre un candidat de la coalition de gauche et un candidat lepéniste, ne donnez surtout pas votre voix au candidat RN. Le lepénisme au gouvernement serait l’horreur absolue.

Bloom dit: à

il me semble qu’aujourd’hui, on pourrait parler…

Une situation historique s’apprécie en fonction de son contexte propre. Va-t-on réécrire l’histoire ? « Black Power » est tout sauf un terme neutre.

Ces athlètes ne se revendiquaient pas du Black Power.

D’inspiration universitaire, « intellectuelle », le Projet olympique pour les droits de l’homme (OPHR) était distinct de la nébuleuse du Black Power, « concept » inventé par Stokely Carmichael, qui englobait principalement The Nation of Islam (que Malcom X quitta en désaccord avec son orientation, ce qu’il paya de sa vie), puis les Black Panthers de Bobby Seale. Au départ, non-violent, il se radicalisa au fil des années et des obstacles rencontrés.

La « ‘sensibilité » de l’OPHR et de Smith et Carlos était proche de celle de la NAACP (National Association for the Advancement of Colored People), du CORE (Congress for Racial Equality) et surtout de la SLC ( Southern Christian Leadership Conference), que présida Martin Luther King Jr. jusqu’à son assassinat, le 4 avril 1968, quelques mois avant les JO, et avnat celui de Bob Kennedy survenu le 6 juin 1968.
C’est une sensibilité qui privilégie un combat non-violent centré évidemment sur l’égalité raciale, mais qui privilégie l’aspect social de la lutte (pauvreté, logement, emploi).
Smith et Carlos n’avaient nul besoin de jouer la carte de la masculinité noire (comme ce fut le cas des BP) puisqu’ils l’incarnaient par leur domination du sprint mondial. Smith est né & a grandi dans une famille de 12 enfants & sait ce que sont les temps difficiles…
Quant au Dr King, c’est parce qu’il n’était plus ce prêcheur idéaliste & inspiré de la marche sur Washington mais un combattant intraitable de la lutte pour l’égalité raciale ET sociale qu’il fut assassiné Ses derniers discours n’ont rien à voir avec la rhétorique idéaliste de l’époque I Have a Dream…. S’ils s’inscrivent toujours dans le cadre de la lutte non-violente, ils sont clairement d’inspiration communiste, ce qui ne pardonne pas outre-Atlantique.

Smith et Carlos levèrent le poing pour l’égalité raciale et sociale.

B dit: à

le plus grand parti antisémite français actuel
Un parti c’est beaucoup de monde, et la tête de gondole que ce soit pour LFI ou le RN n’est pas, en dépit du produit d’appel, révélatrice de ce que pensent d’une part toutes les personnes supposément influentes dans le parti ( puisque Mélenchon vire ceux qui expriment des idées qui le contrarient et Bardella promet des choses absentes du programme ou encore atteste du fait que JM Lepen ne soit pas antisémite et par extension silence sur ceux qui présents au sein de ce parti sont antisémites) d’autre part des adhérents et des votants. Il est incontestable que Mélenchon ménage l’électorat musulman en adoptant une espèce de malhonnêteté intellectuelle quant aux crimes commis le 7 octobre. J’imagine que l’électorat musulman n’est pas bête comme ses pieds et pro-Hamas , qu’il est capable d’analyser une situation compliquée et dramatique sans tomber dans le fanatisme antisémite abject menant à la condamnation de tous les juifs, à l’agression, au viol, à la profanation, à la menace. Inutile de rappeler que les juifs et les arabes de façon générale ne s’aiment pas et que la France est le pays où vit la plus grosse communauté de musulmans en Europe.

Bloom dit: à

Dernier sondage IPSOS:
RN et alliés LR-Ciotti: 35,5%
NFP: 29,5%
« camp présidentiel »:19,5%

2 désaveux de suite? …Quelle mouche tigre dengue a piqué l’Irresponsable sado-maso?

Peut-il se maintenir sur la foire du Trône alors que l’Europe, le monde, regardent atterré, ce qui fut naguère un grand pays s’enfoncer dans une crise qui pourrait déboucher sur de très graves perturbations?

Excellente édition de L’esprit public sur FC ce matin, avec un Bertrand Badie au top. Ecouter ce que ce spécialiste des RI dit des mesures restrictives du RN sur l’accès à certains emplois publics pour les bi-nationaux (ce qui inclu aussi les franco-israéliens à la Arno K.).
NB: Badie a la double nationalité franco-iranienne, une bénédiction pour les deux pays.

Bloom dit: à

atterréS

Bloom dit: à

Bof, aux prochaines élections, ce sera 97% et le résultat sera connu 3 jours avant.
Je serais sondeur, je craindrais le chômage.

Bloom dit: à

Je lis 35,5%, pas 37%, ou êtes vous allée chercher ce 7?

Marie Sasseur dit: à

Belle préface.
Dommage, surtout si c’est son meilleur papier, j’aurais bien aimé pouvoir lire un peu sur le portrait yodlé par Blondin de Toni Sailer, le blitz de la Streif , une gloire éphémère, dont il ne doit guère rester que des anoraks en solde…

Marie Sasseur dit: à

 » gloire éphémère « , 3 medailles  » le même jour, presque.
C’était l’époque où l' »autre reich », denazifié, se cherchait des héros.

Marie Sasseur dit: à

Ah non, pardon, c’est pas une préface.
J’ai l’impression que parmi ces écrivains de  » je me souviens de la foulée de Perec », plusieurs ne se souviennent que d’eux-mêmes.

Jean Langoncet dit: à

@le plus grand parti antisémite français actuel

S’il l’était, il serait interdit

Bloom dit: à

Topo PCS sur l’article du Monde: « Le Rassemblement national réhabilite un candidat suspendu »

Suite de l’épisode précédent (1/2). Comme on sait, le RN avait retiré son soutien au candidat Joseph Martin (Morhiban), après le signalement par Libé d’un de ses anciens tweets d’octobre 2018,jugé antisémite et supprimé depuis. Le candidat y écrivait que « le gaz [avait] rendu justice aux victimes de la Shoah ».
J.Martin s’est justifié en alléguant qu’il s’agissait là d’une simple allusion à la mort du célèbre négationniste Robert Faurisson.
Le vice-président du RN, Louis Aliot, maire de Perpignan, a déclaré que le candidat avait été réhabilité.


Bon sang, mais c’est bien sûr, Faurisson revenait d’Angleterre quand il s’est écroulé dans le couloir de sa maison de…Vichy.
Le rapport avec le gaz est évident: après toutes ces pintes, c’est la détox à l’eau gazeuse Vichy Célestins qui l’a terrassé dans son couloir sans gaz.
Hello, Goodbye, Heili,Halio…ahahahahahaha!

Never a dull moment with the dullards!

Marie Sasseur dit: à

Sinon, moi je ne me souviens que des jeux de 68, et encore, pas personnellement,
mais c’est à cause de mon cousin qui aurait dû avoir une médaille d’or,s’il n’était pas parti dans le décor un peu avant. Et aussi des jeux de Salt Lake City à cause d’un autre cousin qui n’y est pas allé pour rien.
Je me souviens aussi des jeux de Nagano, il neigeait beaucoup…tellement que je n’ai pas pu voir mon pote.
Et j’aimerais ne pas avoir à me souvenir de ceux de 2030, une hérésie environnementale.

A part ça, la Seine sera assez propre pour le Racine Club ?

Bloom dit: à

B., Requequette ne peut pas blairer RN,trop peuple, pas assez pétainiste. Ils ne voteront pas pour « en masse ».
Le narcissisme des petites différences. Bardelo n’est pas Drakul. Sarah K. n’est pas MLP.
Small fish in a wee pond.

Jean Langoncet dit: à

Blondin « trop français » ? Adieu vieille Europe, que le diable t’emporte 🙂

B dit: à

Sinon ces JO devraient émettre 1,58 millions de tonnes d’équivalent CO2 selon l’estimation officielle, ce qui laisse sceptique Reporterre.

B dit: à

Sinon, moi je ne me souviens que des jeux de 68, et encore, pas personnellement

étiez-vous née? j’avais neuf ans en 68 et je me souviens des ouvriers en grève, des manif, du PDG en effigie, mes parents en étaient.

B dit: à

« L’irrévérence de leurs écrits et de leur attitude exprime ainsi une rage de continuer de vivre malgré l’époque. Il n’y a pas chez eux un mépris de la connaissance ou de la culture. Joueurs de mots savoureux et détenteurs d’un patrimoine littéraire qu’ils transmettent avec amour (Laurent adore Dumas pour sa capacité d’évasion de son temps tout autant que pour ses écrits), les hussards sont surtout des hommes aux rêves européens d’humour et de culture. »

https://institut-iliade.com/generation-hussards-nimier-blondin-laurent-histoire-dune-rebellion-en-litterature/

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Les JO me laissent froid, sauf souvent les cérémonies d’ouverture et de fermeture: Élisabeth II sautant en parachute, c’était fort.

Le premier tour choisira un certain nombre de députés; ensuite viendront les alliances: RN+Centre contre NFP, Centre+NFP contre RN, et tant qu’à y être RN+NFP contre Centre. Mélenchon nuit au NFP: il le sait et cela le ravit. Trotskiste un jour, trotskiste toujours. Le Général doit se marrer…

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

En novembre 1967, au cours de sa célèbre conférence de presse, si le Général, parlant du peuple juif, avait voulu dire par «dominateur» qu’il dominait tout naturellement les autres nations ? A t-on déjà émis cette hypothèse ? http://www.youtube.com/watch?v=QijNnXLYGOg

Au fait, y a t-il au RN des candidats juifs ?

Marie Sasseur dit: à

« Trop indécrottablement français pour les lointains horizons, moins curieux des lieux que des personnes. »

Blondin, « moins curieux des lieux que des personnes ».

Dans la squadra italienne, il a son antithèse, en la personne de Dino Buzzati, qui a couvert plusieurs  » jeux « , pour le journal. J’aurais adoré pouvoir lire sur leur rencontre, à Cortina, ou à Tokyo. Ou sur le bord de la route à regarder passer les bicyclettes, puisqu’ils avaient une même propension à convoquer la mythologie pour des batailles homeriques.

B dit: à

BdB, vous oubliez le PR , Horizons, Renaissance qui ensemble représentent 29% des intentions de vote au 1er tour. Vos alliances me paraissent peu probables. En l’absence de majorité absolue, le RN certes aura des ministères mais usera du 49.3 pour passer ses textes. Bardella critiquait le parlement européen en y voyant qu’une chambre d’enregistrement, je ne comprends pas qu’il veuille transformer l’AN en assemblée d’acquiescement.

B dit: à

en n’y ?

B dit: à

MS, d’où tenez vous que Buzzati, dans la vie, préférait les lieux aux personnes?

J J-J dit: à

@ B.,- il n’y a pas de « vote musulman », comme il n’y a pas de vote juif ni chrétien… ça n’existe pas, hormis des catégories journalistiques de sens commun au caf’conç !
Que voulez-vous dire au juste, vous qui n’êtes pas si approximative, d’habitude, en tant qu’ex infirmière de 65 ans ?

Janssen J-J dit: à

elle a l’air poursuivie par le diable, voilà pourquoi elle se dépêche, la pauvrette !

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

B dit: BdB, vous oubliez le PR , Horizons, Renaissance qui ensemble représentent 29% des intentions de vote au 1er tour.

Combien de députés PR, Horizons, et Renaissance au premier tour ? Sauf erreur, il ne s’agit pas d’un regroupement allant chercher 29% des intentions de vote.

D. dit: à

Demain c’est tête de veau.

rose dit: à

Élu, il a dit, je ne parle à personne, ni au peuple ni, et surtout pas aux journalistes. Finalement, il nous écrit à tous.
Qui y comprend quelque chose ?
On dirait un mec largué par sa nana, France, qui la supplie « garde-moi, je vais changer ». Si ce n’est que son cul, c’est du steak haché. Et, nous autres du poulet. Comment voulez-vous qu’il y ait entente ?

rose dit: à

Il ne va pas partir, quoiqu’il arrive
« Il écarte ensuite toute démission, assurant : « Vous pouvez me faire confiance pour agir jusqu’en mai 2027 comme votre Président. » »
Je viendrai d’avoir 70 ans en mai 2027.
Rose, prends ton courage à deux mains.

puck dit: à

très bel article !

c’est le genre d’article qui serait hyper bien tombé une année où la France organise les JO, tant pis.

rose dit: à

Je vous ai prévenu que son cul c du steak haché.
Il te les met tous au chômage et il s’excuse.
« Cette décision a été difficile et soudaine pour les parlementaires et pour leurs collaborateurs. Je leur dis mon amitié et mon respect. Je remercie les maires, leurs équipes et les bénévoles qui vont tenir nos bureaux de vote et dépouiller les bulletins le 30 juin et le 7 juillet prochains. »

Je ne vais pas analyser le tout. Il fait de la propagande électorale, et le nouveau front populaire n’est pas d’extrême gauche.
Non seulement c’est un vendu, au patronat et aux grandes fortunes, mais en plus c’est un menteur. Ou un bonimenteur.
Macron, retourne à Amiens.

puck dit: à

faire des JO en interdisant la présence russe montre le pourvoir de coercition de l’occident.

Boris Johnson a dit « si la Russie l’emporte l’occident perdra son hégémonie » sous entendu ce pouvoir de dicter des règles et de les imposer à la planète.

Boris Johnson s’est trompé : que la Russie l’emporte ou pas ça ne changera rien, dans tous les cas l’occident va perdre ce pouvoir de domination sur le monde.

je parie que ces jeux de Paris sont les derniers où l’on verra les occidentaux dire qui peut ou ne peut pas y participer : dans 4 ans les règles auront changé.

J J-J dit: à

@ RDL, saurez-vous reconnaître l’hauteur de cette chronique sportive ?
—————–
Mes chers Compatriotes, Il y a quinze jours, je vous ai annoncé la dissolution de notre Assemblée nationale. J’ai pris cette décision en responsabilité, avec beaucoup de gravité et après une réflexion de plusieurs semaines. Je l’ai prise dans l’intérêt du pays avant toute autre considération, y compris personnelle, n’ayant par définition plus aucune échéance électorale.
D’abord, le fonctionnement de notre Assemblée et le désordre des derniers mois ne pouvaient plus durer. Les oppositions s’apprêtaient à renverser le gouvernement à l’automne, ce qui aurait plongé notre pays dans une crise au moment même du budget.
Ensuite, la majorité présidentielle avait essuyé une défaite lourde aux élections européennes, accompagnée d’un vote pour les extrêmes droite et gauche de près de 50% des suffrages exprimés. J’aurais pu ne pas en tenir compte. C’était, croyez-moi, la solution du confort à laquelle je n’ai pas cédé. J’aurais pu changer de Premier ministre et de gouvernement et tirer là les leçons d’une élection où le chef du gouvernement à ma demande s’était engagé. Nombre de mes prédécesseurs ont fait ainsi. C’eut été facile pour moi. Mais cela ne réglait aucun problème. Alors oui, cette dissolution était le seul choix possible à la fois pour prendre acte de votre vote aux élections européennes, pour répondre au désordre en place et au désordre plus grand à venir. Pour agir dans un moment où notre pays est confronté à des défis historiques.

Cette décision a été difficile et soudaine pour les parlementaires et pour leurs collaborateurs. Je leur dis mon amitié et mon respect. Je remercie les maires, leurs équipes et les bénévoles qui vont tenir nos bureaux de vote et dépouiller les bulletins le 30 juin et le 7 juillet prochains.
Je sais que, pour beaucoup d’entre vous, cela a été une surprise qui suscite de l’inquiétude, du rejet, parfois même une colère tournée contre moi. Je la comprends et je l’entends. Mais cette décision est la seule qui peut permettre à notre pays d’avancer et de se réunir. Vous demander de choisir, vous faire confiance, n’est-ce pas là le sens-même de la démocratie et de notre République ? L’élection qui vient est un rendez-vous de confiance, grave, sérieux, à l’occasion duquel nous devons clarifier le choix pour notre pays et pour nos vies. Car cette élection n’est pas l’élection d’une femme ou d’un homme, ce n’est ni une élection présidentielle, ni un vote de confiance envers le Président de la République. C’est celle de 577 députés. C’est celle d’une majorité de gouvernement. C’est celle d’une seule question : qui pour gouverner la France ? Avec trois propositions claires.
L’une, à l’extrême-droite, autour du Rassemblement National. Elle prétend mieux répondre à l’immigration illégale et l’insécurité sans rien proposer concrètement. Elle divise la Nation en opposant ceux qu’elle nomme de vrais Français et des Français de papier. Elle ignore le changement climatique et ses conséquences. Elle prétend vous rendre du pouvoir d’achat mais en revenant sur les réformes des retraites ou en faisant des promesses sur le prix de l’énergie, elle augmentera vos impôts.
La deuxième proposition est celle formulée par la France insoumise et ses alliés. Elle refuse la clarté sur la laïcité et l’antisémitisme. Elle est divisée sur la réponse à apporter au changement climatique. Elle prétend répondre aux injustices de notre société par une augmentation massive des impôts pour tous, et pas seulement pour les plus riches.
La troisième proposition est celle du bloc central d’Ensemble pour la République ! Elle est PORTEE par un Premier ministre et des responsables politiques que vous connaissez, et propose de continuer les réformes pour le travail, la réindustrialisation, une écologie des résultats, pour investir dans les services publics sans impôts ni dette supplémentaire et de défendre une laïcité assumée et une autorité restaurée depuis l’école jusqu’à la justice. Elle défend des choix clairs sur Israël et Gaza comme sur l’Ukraine et a bâti depuis 7 ans une armée plus forte dont nous aurons doublé le budget.
Cette troisième voie est la meilleure pour notre pays. Non seulement parce qu’elle protège les Français et prépare l’avenir. Mais parce qu’elle est la seule à pouvoir à coup sûr faire barrage à l’extrême droite comme à l’extrême gauche au second tour. Les candidats d’Ensemble pour la République ont d’abord un bilan qui sans doute n’est pas parfait mais qui serait remis en cause si les extrêmes l’emportaient. Depuis sept ans, beaucoup a été fait : l’attractivité retrouvée, les usines rouvertes, les plus de 2 millions d’emplois créés, les baisses d’impôts, les hausses de salaires notamment pour nos soignants et nos professeurs, l’écologie à la française qui permet de faire baisser les émissions six fois plus vite, le renforcement de nos services publics en Hexagone comme en outre-mer, l’action pour l’égalité entre les femmes et les hommes, l’accompagnement et l’inclusion des personnes en situation de handicap, la protection face aux crises comme le COVID, la guerre en Ukraine ou l’inflation. Tout cela mérite que nous continuions le travail. Mais l’objectif ne peut être seulement de continuer ce qui a été fait. J’ai entendu que vous vouliez que cela change.
Je vous ai entendu sur l’insécurité, l’impunité. Sur les vies rendues impossibles par les délinquants, par les récidivistes, par la violence de certains mineurs dans nos villes et dans nos villages. Cela a beaucoup nourri le choix de certains pour le Rassemblement National. Le gouvernement devra donc apporter des réponses beaucoup plus fortes et fermes.
Vous avez exprimé une demande forte de justice sociale. Aujourd’hui en France, quand on ne grandit pas dans « la bonne famille » ou dans le « bon quartier », atteindre le niveau de vie de CEUX QUI SONT BIEN NES est quasiment impossible. Même quand on a beaucoup de talent. Et même en travaillant durement. Aussi, le prochain gouvernement devra refonder la politique de l’enfance, protéger mieux nos jeunes et lutter plus fortement contre toutes les discriminations. Et puis, je ne suis pas aveugle : je mesure le malaise démocratique. Cette fracture entre le peuple et ceux qui dirigent le pays que nous n’avons pas réussi à résorber. Oui, la manière de gouverner doit changer profondément. Le gouvernement à venir, qui reflètera nécessairement votre vote, rassemblera, je le souhaite, les républicains de sensibilités diverses qui auront su par leur courage s’opposer aux extrêmes.

Vous l’avez compris, par ces élections législatives du 30 Juin et du 7 Juillet, il s’agit de choisir une majorité pour protéger les valeurs de la République, gouverner dans le respect, et PORTER une ambition pour la France.
Pour cela, je vous fais confiance : analysez les programmes, décidez et allez voter. En conscience et en responsabilité. Pour cela, je fais confiance aux responsables politiques des forces de l’arc républicain, en souhaitant qu’ils puissent dès le 8 Juillet travailler ensemble.
Pour cela je fais confiance aux responsables de la majorité et au Premier Ministre pour rester unis, au service de leurs candidats dans chaque circonscription, au service d’un projet d’action pour le pays. Pour cela enfin, vous POUVEZ ME FAIRE CONFIANCE pour agir jusqu’en mai 2027 comme votre Président, protecteur à chaque instant de notre République, de nos valeurs, respectueux du pluralisme et de vos choix, à votre service et à celui de la Nation.
Cette élection est la nôtre. C’est vous qui la ferez. Alors n’ayez pas peur, ne vous résignez pas. Votez. Choisissez le respect, l’ambition et la justice pour notre Nation. Nous le méritons. La France le mérite. Avec MA CONFIANCE. Emmanuel MACRON

Chaloux dit: à

Pour Mélenchon Charlotte Corday était très à droite.
Inqualifiable et dérisoire histrion. Nullité stratosphérique. Onfray a raison de dire qu’il est aussi ignare que la plupart des autres.

B dit: à

BdB: 19,5 % , 1 %, 7 % PR, et droite souverainiste 1,5 %

regardez le lien IPSOS

rose dit: à

Bordel innommable. Même Mathieu Kassowitz s’y met.
Jamais vu cela.
Jamais non plus vu entendu cotoyer un capitaine de navire couler son navire et dire je reste et je suis le seul maître à bord après d.ieu.

J’ai repris l’espagnol. Qui sera suivi de l’allemand. Puis de l’hébreu. Je pourrai lire la Bible en hébreu.
Mais qui, un jour, pourra faire confiance à Emmanuel Macron ? Un pareil théâtreux !

rose dit: à

cotoyé

Alleluyah, amen.

rose dit: à

Qui ?
À part Brigitte Trogneux ?

Chaloux dit: à

« Faites-moi confiance »…Macron veut continuer coute que coute à vendre les entreprises stratégiques françaises aux américains. Plus de 200 en 2023. Et sans doute aussi se protéger des rapports du Sénat qui vont lui tomber dessus comme à Gravelotte. Les premiers arrivent. Le Maire, aux abois, traite Tom Benoit de « perroquet ». Le Damarnin de jardin se barre chez Philippe le dépoilé, l’incapable Fantômas qui ne regrette aucun œil crevé, aucun bras arraché, mais n’est même pas foutu de gérer Le Havre correctement. La fin de la Macronie promet d’être réjouissante.
Au lieu de se vautrer dans sa puante vanité comme un ivrogne dans son dé-gueulis, Macron aurait dû commencer par une lecture en 2017, celle du ressentiment dans l’histoire de Marc Ferro. Il est maintenant pris au piège de ce ressentiment.

MC dit: à

On signale que si Bernanos a bien écrit « Sous le Soleil de Satan », Hugo a écrit « la Fin de Satan »,poème inachevé mais splendide ui s’ouvre sur la chute de Satan-Hugo : « Depuis quatre mille ans il tombait dans l’Abime » Amateurs de vers Miltoniens, allez-y donc voir cette épopée mal connue mais fabuleuse. A cette aune , que pèse que l’un soit catholique et l’autre pas???

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Très probablement désavoué aux législatives, Macron ne pourra s’accrocher. Vous imaginez être hué à l’ouverture des JO par des dizaine de milliers de spectateurs devant un milliard de téléspectateurs ? Il devra tout de suite annoncer son départ dès la fin des JO. Et on repart en mode électoral. Misère …

Bloom dit: à

Laissez les Juifs tranquilles au lieu de les instrumentaliser, les reifier. On est en République
Parlez plutôt des Aveyronnais.

Bloom dit: à

République laïque.

rose dit: à

C exactement cela : Glucksmann et LFI le dénoncent conjointement ; les juifs sont traités comme des boucs émissaires.

Marie Sasseur dit: à

Janssen J-J dit: à
elle a l’air poursuivie par le diable, voilà pourquoi elle se dépêche, la pauvrette !

la peur? C’est bien un fantasme de keuf, ça.
on n’en sort pas de cette macronie , dont le chef prompt a vouloir gouverner les peurs espérant guider les âmes dans son urne, est justement puni par les dieux de l’Olympe , les électeurs pas dupes de cette usurpation…

Rien ne sert de courir, il faut partir à point.

Au fait, Pérec court en colère, quelle plus belle performance , quelle envolée magnifique.

Marie Sasseur dit: à

Pour changer d’air

Ph. Decouflé

 » Comme un avant-goût olympique… A deux mois des JO de Paris 2024 , une exposition du Centre national du costume de scène de Moulins (Allier), célèbre Philippe Decouflé. Le chorégraphe de la cérémonie d’ouverture des JO d’Albertville en 1992, fait figure de précurseur pour ses spectacles décalés et ses costumes hauts en couleur. »

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/allier/moulins/photos-jeux-olympiques-les-costumes-mythiques-des-spectacles-de-philippe-decoufle-icone-des-jo-d-albertville-s-exposent-a-moulins-2975567.html

J J-J dit: à

1 / @ MC, je me demandj si Jzzmn connaissait cette esquisse de VH, « la faim de Satan » (sic). Moi pas-j, donc merci pour la levée de toutes ces confusions littéraires. J’espère pouvoir lire cela un jour ou l’autre…. Vade retro, etc.
2 / quel macroniste d’icite charoule ou autre ?) peut nous dire ce qu’il adviendra de ce pauvre type, maintenant qu’il est à terre et que plus personne ne lui fait confiance. Sa demande est pathétique, mais… dans le pire des cas, il reviendra à la banque, en juillet prochain ou dans deux ans. Ces gens-là, les bien-nés ont toujours des plans B ou C. Deviendront jamais des « sans-dents ». Pad’souci for him. –

@ « la peur, un fantasme de keuf »… Chère amie, vous qui avez gouverné cette RDL par la douceur, qui en connaissez un brin. Oui, Marie-Jo était poursuivie, naguère, par des zombies… Elle voulait leur échapper, et courait comme une gazelle aux abois, pourchassée par des lionnes dégringolées des lianes. POuarf.
Bàv,

Marie Sasseur dit: à

La dernière fois qu’on a entendu parler de satan, c’était il y a quelques jours à la Mecque , lors du pèlerinage, où nombre de pèlerins à l’occasion de la cérémonie de lapidation, sont morts sous le soleil.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Lapidation_de_Satan

rose dit: à

Après, il y a aussi les perdreaux de l’année.

Bloom dit: à

Excellente initative d’avoir arrêté les fauteurs de trouble en Nouvelle-Caldonie / Kanaky, et avoir fait le choix de les transférer en métropole est un coup de génie. Ils sont formidables dans ce gouvernement croupion.
Les « bleus » sont repartis au chagrin alors que les émeutes et barrages etc. reprennent de plus belle.
Le nain du dharma a déclaré qu’il jetait les ponges (moi je conserve mes premières édirions du père Francis). Avant il aura mis le pays à feu et à sang, sur le mode après moi le déluge & les 10 plaies d’Egypte.
Car si les Affreux venaient par malheur à « gouverner », les émeutes de l’an dernier feront figure de chiches zakouskis comparées aux Saturnales qui viennent.

Côté JO, les craintes sont vives que de nombreux bénévoles rendent leur tablier (non serviam) et que certains athlètes déclarent forfait pour des raisons éthiques.
Au KO initial succédera le chaos tout court et la manifestation sportive objet du billet de Passou rique fort d’aller rejoindre les escherichia coli et autres entérocoques d’une Seine qui coulera dans un pays torpillé.
Mon pote William d’A., qui enseigne les techniques de communication avec les médias pour les inspecteurs et commissaires d’une célèbre école de police, me rapporte des propos effarants. Sur les rotules & les dents, qu’ils sont, les keufs…
Je serais russe, membre de l’Etat islamique/Al Qaida, ou tout simplement déséquilibré lambda à la recherche de son 1/4 d’heure de célébrité, je verrai là unev sorte de « fenêtre d’opportunité » comme on dit paresseusement en franglais.
Evidemment, beaucoup se mobilisent & se mobiliseront pour déjouer les augures des oiseaux de malheur de la propagande Bolloré, mais il va falloir compter avec « la part du diable », chère à Georges Bataille.

Jazzi dit: à

« ce qu’il adviendra de ce pauvre type, maintenant qu’il est à terre et que plus personne ne lui fait confiance. »

Pas de quoi se réjouir de ce triste spectacle, JJJ.
La haine est partout et chacun devrait faire son examen de conscience… politique !
A Paris, son premier adjoint se porte candidat contre Anne Hidalgo.
Au Nouveau Front populaire, à peine autodésigné premier ministrable, Mélenchon se fait écharper par Hollande ou Jospin et jusque dans ses propres rangs.
A droite ou au centre, on n’en parle même pas…
Pendant ce temps-là, le RN apparait uni et vierge, jusqu’au jour où le problème se posera entre Marine et Jordan.

Jazzi dit: à

Et pendant ce temps-là, le paon Bloom fait la roue !

D. dit: à

Escherichia coli n’est pas un enterococcus, Bloom, mais une enterobacteria. Morphologie différente. Et les premiers sont Gram positif alors que les second sont Gram négatif.
Vous n’y connaissez rien en microbes, ça se voit tout de suite.

FL dit: à

Je parle avec un jeune Français dont le père est Algérien de la décolonisation et tout d’un coup je m’aperçois qu’il ne sait pas du tout comment s’est passée la décolonisation. Il me parle de plusieurs années. Je le détrompe je lui dis qu’en quelques mois un million de personnes sont passées d’Algérie en France. Les bateaux faisaient la navette entre Alger et Marseille.

Un événement aussi brutale, violent et traumatique que la décolonisation n’a pas sa place dans la mémoire familiale ou collective.

Et puis il me vient qu’il n’a pas non plus sa place dans la littérature. A part Guyotat (qui parle de la guerre et pas de la décolonisation).

Mais après tout où est-il question de la première guerre mondiale dans la littérature ? Un peu dans Céline (le début du « Voyage »), un peu dans Colette (« La Fin de Chéri »), Junger (« Orages d’acier »), Proust (« Le Temps retrouvé »), Genevois (« Ceux de 14 »), Radiguet (« Le Diable au corps »). C’est mieux mais c’est pas non plus l’avalanche. Et puis on nous parle souvent de l’arrière.

D. dit: à

Dans mon parc de Chaville, je comptais justement mettre des paons.
Voulez-vous, Bloom ? Je vous demanderai juste de ne pas crier « Léon ! » trop souvent.

Bloom dit: à

Vous n’y connaissez rien en microbes, ça se voit tout de suite.

Si, au moins une, vous, D.

Jazzi dit: à

N’est-ce pas après la mort de Radiguet que Cocteau a écrit les Veuves, FL ?

FL dit: à

Je ne peux pas vous le dire Jazzi. Cocteau est peu lu finalement. Même si sa littérature vaut mieux que sa réputation.

Bloom dit: à

Eh, microbe, lis donc ça:

D’après l’ONG, est particulièrement surveillée la concentration de deux bactéries indicatrices de contamination fécale : Escherichia coli et entérocoques. Ces dernières ne doivent pas dépasser les 1000 unités formant colonie (ufc)/100 ml en E.2.
-Le Figaro.

Bloom dit: à

au moins un (microbe), un truc toxique qui préfère la milice à la police.

MC dit: à

Mais , JJJ, cette plus qu’esquisse hugolienne est éditée en poésie Gallimard depuis bien longtemps! Ce qui n’est que justice, étant aux trois quarts achevée. Hugo s’arrête devant les mots , lorsque Dieu doit pardonner à ce Satan qui lui ressemble tant par ses terreurs nocturnes. A l’impossible, nul n’est tenu. MC

FL dit: à

* brutal

Paul Edel dit: à

Quelques romans français qui traitent de la guerre 14-18

Parmi les incontournables: Barbusse, Giono,Céline, Dorgelès, Genevoix, Drieu La rochelle qui furent sur le front.
Jean Amila, Le Boucher des Hurlus (1982) Paris, Gallimard, coll. « Folio policier »
Henri Barbusse, Le Feu (1916) Paris, Payot
Philippe Barrès, La Guerre à vingt ans (1924) Paris, Plon
René Benjamin, Gaspard (1915) Paris, Fayard
Jean Bernier, La Percée (2000 [1920]), Marseille, Agone
Adrien Bertrand, L’Appel du sol (1916) Paris, Calmann-Lévy
Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932) (première partie du roman) et Guerre (1934 ; publié à titre posthume ; récit d’inspiration autobiographique)
Blaise Cendrars, La Main coupée
Pierre Chaine, Les Mémoires d’un rat (1917) Paris, L’Œuvre
Léopold Chauveau, Derrière la bataille (1916)
Gabriel Chevallier, La Peur (1930)
Joseph Delteil, Les Poilus (1925)
Roland Dorgelès, Les Croix de bois (1919), Le réveil des morts (1923), Le Cabaret de la belle femme (1928)
Pierre Drieu la Rochelle, La Comédie de Charleroi (1934) Paris, Gallimard
Georges Duhamel, Vie des martyrs (1917) et Civilisation (1918), Les Sept Dernières Plaies (1928)
Maurice Genevoix, Sous Verdun (1916), Nuits de guerre (1916), Au seuil des guitounes (1918), La Boue, Les Éparges (1921), l’ensemble formant Ceux de 14 (1949)
Jean Giono, Le Grand Troupeau (1931), Ivan Ivanovitch Kossiakoff, nouvelle (1925) reprise dans Solitude de la pitié (1932)
Jean Giraudoux, Adorable Clio (1920) Paris, éditions Émile-Paul Frères
Joseph Jolinon, Le Valet de gloire (1965 [1923]) Paris, Pierre de Méyère, coll. Visage
Joseph Kessel, L’Équipage (1924), Paris, Gallimard
Jacques de Lacretelle, La Bonifas (1979 [1925]) Paris, Gallimard, coll. « Folio »
Henry Malherbe, La Flamme au poing, éditions Albin Michel (1917), prix Goncourt
André Maurois, Les Silences du colonel Bramble (1918)
Henry de Montherlant, Le Songe (1922)
Jean Paulhan, Le Guerrier appliqué (1917)
Henri Poulaille, Pain de soldat (1937)
Marcel Proust, À la recherche du temps perdu, dans le volume Le Temps retrouvé (1927) la guerre vue du point de vue des planqués
Antoine Redier, La guerre des femmes (1945 [1926]) Paris, Editions de la vraie France, coll. « Romans et récits »
Maxence Van der Meersch, Invasion 14 (1939) Paris, Albin Michel
Roger Vercel, Capitaine Conan (1934)
Léon Werth, Clavel soldat

Paul Edel dit: à

Barbusse, Giono, Genevoix, Dorgelès ,Celine, Drieu La Rochelle, Blaise Cendras, entre autres, ont écrit sur la guerre 14-18, et tous furent envoyés sur le front.

Marie Sasseur dit: à

Il y a inversion des effets et des causes, dans le post d’Edel.
Anyway, so what ?
Les jeux, c’est la guerre ?

Un coup de gnôle peut-être pour calmer le délire ?

Marie Sasseur dit: à

C’est comme l’autre siphonné, Hugo c’est Satan maintenant, qui s’arrête devant les mots.

Ouais, y’a pas que des bactéries sous les ponts de la Seine; sur la rdl aussi flotte de la merde sur le flux de commentaires

Marie Sasseur dit: à

Et FLou s’est gouré de couloir, iel aussi. Les jeux lgbt pour incels monomaniaques n’existent pas encore, iel peut toujours s’aligner.

FL dit: à

Non mais j’ai cité Céline et Genevois.

Et pour la guerre d’Algérie il y a aussi Roubaud dans « Le Grand Incendie de Londres ».

Jazzi dit: à

Hier, longue balade le long de la Seine, côté rive gauche, où, à l’invitation de sa propriétaire, j’ai pu visiter le Bateau-Phare et voir le spectacle des eaux boueuses et agitées du fleuve.
Bonjour les JO !

rose dit: à

Et Guillaume Apollinaire.

rose dit: à

Un microbe.

B dit: à

Chaloux, la société spécialisées dans la fabrication de munitions Manurhin a été rachetée en 2018 pour cause de déficit par un groupe des Émirats arabes unis. Puis en cherchant, on découvre que des marchés, quelques années plus tard ( 2020), ont été conclus avec l’Autriche pour des pistolets et armes de haute précision et les tchèques pour des munitions, aucunes sociétés françaises n’ont été retenues par la direction générale des armées pour couvrir ces besoins par crainte qu’elles ne puissent couvrir la demande.

x dit: à

Fl, directement inspirés de l’expérience du front : Clavel soldat et Clavel chez les majors de Léon Werth.
Sans oublier La Peur, de Gabriel Chevalier.
Et puis tout de même, les deux derniers volumes du roman-fleuve de Roger Martin du Gard, L’été 14 et L’épilogue…

J J-J dit: à

@ La haine est partout et chacun devrait faire son examen de conscience… politique !
On attend le vôtre, devant (genre) Mme Hidalgo et M. Mélanchon, par exemple. Vous nous direz que vous n’avez pas d’haine, comme moij…, ben voyons, don !
Bàv, mon bon.

D. dit: à

Dans l’isoloir, remember.
Alcatel, Alsthom, Gilets jaunes, masques, 49.3 retraites, violences policières, traverse la rue je t’en trouve, indemnités chômage, doublement de la dette, Nouvelle Calédonie…
Au 1er tour, comme au second, ne pzs se tromper sur ce qui est rédhibitoire pour un Français.

J J-J dit: à

@ MC, est-ce que votre propre biblio a des trous ? Y’a-t-il des gens que vous n’avez jamais lus, par exemple, y compris sur la toile à matla (a ri), chose que vous n’avourez jamais, en raison de vous ressentir humilié dans votre A-P, imaginéj.
Merci de ne pas répondre sur un sujet trop délika, susceptible de vous mettre par trop dans l’embarras.
Bàv, Marc. Où est passé votre Petit Rappel ?

Bloom dit: à

La guerre par ceux qui l’on faite, Histoire du 205e régiment d’infanterie de 1914 à 1918,
Ouvrage couronné par l’Académie française , Prix Monthyon.

p.5-6-7 « Combien en avons-nous lu de ces mémoires qui ne sont que des plaidoyers pro domo!
Ici, rien de pareil. Ce sont les exécutants qui ont écrit ce qu’ils ont fait, sous les yeux des centaines de témoins qui les entrouraient et qui ont écrit ce qu’ils ont vu faire par leurs camarades. ‘(…)
Et ces récits jaillissent, alertes et fleuris, de plumes souvent malhabiles, mais combien émouvantes. (…)
Lisez le récit de l’attaque de la ferme du Fay par le capitaine Denizon. »
(Colonel Raynal)

J J-J dit: à

@ ne pzs se tromper sur ce qui est rédhibitoire pour un Français.

Encore un adjectif arrivé malt’à propos sous votre plume de paon. Où est passé votre chapGPT, chavilien de mes 2, tel un geai qui se pare ?..

D. dit: à

Bloom, Echerichia coli et autres entérocoques.

NON. Echerichia coli fait partie de la famille des entérobactéries, qui comprend des dizaines d’espèces, des milliers de stéréotype, que des bacilles Gram négatif. Pour l’anecdote, la peste bubonique en fait partie (Yersinia pestis).

Les entérocoques ne sont pas des bacilles, comme leur nom l’indique et sont Gram positif.

D. dit: à

stéréotypes, pas stéréotypes.
Rhaaaahhhh.

x dit: à

Les romans de l’arrière ne sont pas méprisables pour autant ; la lecture d’un roman tel que Le sang noir de Guilloux devrait permettre d’identifier l’oppression par la pensée unique, la pression sociale exercée par des va-t-en guerre donneurs de leçons d’une génération qui n’a plus l’âge d’aller au front mais n’hésite pas, en toute méconnaissance de cause, à y pousser celle des fils. Encore faut-il reconnaître leurs équivalents actuels, médiatiques en diable et portant beau, moins immédiatement ridicules que ces vieux maîtres à férule mais tout aussi adeptes de l’héroïsme par procuration.

D. dit: à

Sérotypes. Putain de correcteur de mes couilles.

Jazzi dit: à

Quand le léZard prend de la hauteur, en bonne compagnie…

D. dit: à

Le paon l’a bouclée. Fait pu la roue. Il balaye un ptit moment.

x dit: à

« Une demoiselle sur France Culture […] :
“C’est formidable. Maintenant, avec Facebook et Twitter, on peut faire la révolution en peignoir.“
Un clic un beau matin, un dictateur qui prend l’avion le lendemain. C’est la verdurinade 2.0. »

(Régis Debray, Un Candide à sa fenêtre — à l’époque, il s’agissait du « printemps égyptien »)

clopine dit: à

Je ne suis pas audible ici, mais je le dis quand même : nous sommes soumis aux média de Bolloré et consorts. Hanouna sur europe 1, Cnews, etc . Et ce cri médiatique incessamment répété : la France Insoumise serait antisémite… C’est comme la pub ! c’est répété, et répété, et répété… Mais c’est absolument faux, bordel de merde ! C’EST UN MENSONGE …La France Insoumise (à laquelle je ne suis pas encartée, je vote écolo-aniticapitaliste) est résolument contre TOUS les racismes. Bon, allez, salut, je m’en vais distribuer mes pauvres tracts (si dérisoires par rapport à n’importe quelle émission, quel « tweet » ou quelle désinformation médiatiques) dans la rue rouennaise. Je fais ce que je peux. Mais au moins, je l’aurais fait. A dimanche !!!

D. dit: à

En tout cas ici nous sommes soumis aux commentaires de Clopine Trouillefou.

et alii dit: à

depuis les années 70, un lézard est un sifflement parasite qui, au moment d’une prise de son, oblige à la refaire. Ce qui est donc bien un problème, agaçant de surcroît.
Longtemps restée dans son milieu d’origine, l’expression s’est très largement répandue à partir de 1984 après la sortie du film de Michel Blanc, « Marche à l’ombre », dans lequel elle est très régulièrement répétée.

Bloom dit: à

Si jamais vous passez aux abords de Saint Maclou, Clopine, saluez pour moi cette merveille de dentelle architecturale. Haut les cœurs, hardi petit!

et alii dit: à

et come je suis fair play:
Sur les présentoirs des librairies avec Code pénal en argot (Fayard), écrit avec le journaliste Polo Labraise.

et alii dit: à

Le fair-play, ou le franc-jeu1 en français québécois, est une conduite honnête au jeu, et par extension dans toutes circonstances. Utilisé couramment dans le monde du sport, où le terme esprit sportif2 est synonyme, ce concept recouvre à la fois le respect de l’adversaire, des règles, des décisions de l’arbitre, du public et de l’esprit du jeu, mais aussi la loyauté, la maîtrise de soi et

MC dit: à

Sasseur, lorsque Dieu dit à Satan dans ce qui est écrit de cette scène du pardon « Va , je ne te hais point », La citation issue du Cid fait probleme. Alors oui, Hugo s’arrête devant les mots, peut-être parce que la situation le dépasse. De même qu’elle le dépassait dans la Prise de la Bastille, ou l’Ange Liberté jouait un rôle catalyseur et positif. Ce qui en est écrit , et conservé dans les éditions des héritiers le montre plus inspiré par la prison que par la délivrance. Si vous ne me croyez pas sur le premier point, lisez l’ édition de Leon Cellier. Autre chose. Oui Satan est partiellement Hugo, mais pas que. Il faudrait peut-être le lire un peu….

Clopine dit: à

Ah oui, Bloom, oui, je suis d’accord avec vous. Saint Maclou est une merveille non assez célébrée… Presque méconnue, alors que… Savez vous que, nonobstant la dentelle de pierre inouïe, nous sommes bien d’accord, il faut regarder ses portes de bois, ses clôtures : ce sont autant de pages d’histoires. (elles sont toutes, ces portes de bois, des sortes de « tracts » de la contre-réforme, tout autant que le pont Saint-Charles à Prague), et elles méritent de longues méditations à elles toutes seules, autant que l’aître Saint Maclou, à deux pas d’ici ?

Bon, je dis ça, je suis tout autant inaudible que quand j’essaie d’exprimer l’image de mes pieds enfoncés dans le temps présent, ( qui me paraissait être stables et sont aujourd’hui dangereusement en danger de sables mouvants.

Ceci pour vous remercier, Bloom, de vos goûts architecturaux, point trop éloignés des miens, ce me semble…

signé une dangereuse « mélenchoniste », ben voyons…

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

À mes amis du Québec, je souhaite une belle Fête Nationale. Pourquoi le 24 juin ? C’est l’anniversaire de Jean le Baptiste, aussi connu comme Jean le Précurseur, désigné saint patron des Canadiens-français par Pie X en 1908. Pourquoi lui ? On fête le solstice d’été en Nouvelle-France depuis toujours, vieille habitude bien française. L’Assemblée nationale du Québec avalise cette tradition en 1978. Désormais, ce sera la fête de tous les Québécois.Mieux vaut tard que jamais !

Grâce à l’Internet, on pourra voir les festivités en direct (live, comme on dit ici…) ou en reprise (replay…). Pas de soldats ou de fanfares militaires plutôt des artistes qui chantent de tout coeur ce pays pas tout à fait souverain. Et qui regarde ce qui se passe ici avec intérêt. Qui gouvernera ?

Clopine dit: à

paraissaient. Tout le monde s’en fout, moi la première, quel est-ce plus fort que moi, pourquoi me crois-je obligée de corriger une faute « de frappe », pour échapper à l’injure d’une faute « de français » ? Ah là là.

MC dit: à

Leon Cellier » on se demande si, dans la version finale, Dieu aurait parlé comme Chimene » . Comme quoi on peut être un grand commentateur et avoir le sens de l’humour…

Marie Sasseur dit: à

Le siphonné, qui écoute dieu et satan, c’est un peu la Bernadette de ce blog. Il entend des voix et se répond, le con.

Patrice Charoulet dit: à

La crapule Ciotti

Rappel : les adhérents LR ont eu à choisir entre trois candidats pour la présidence de leur parti…républicain. Ils ont préféré le dénommé Ciotti.
Le lundi 24 juin le sieur Bardella livre aux foules ébahies son discours-programme une heure et demie durant.
A la télé qui voit-on au premier rang ? Le Pen fille et juste à côté d’elle, tout sourire, …Ciotti, la crapule Ciotti.

et alii dit: à

j’ ai habité

et alii dit: à

Cette expression remonte au XIXe siècle et tire son origine dans l’histoire des Pays-Bas, au temps du règne de Wilhemine.
En 1890, en succession à Guillaume III, la reine, âgée de 10 ans à peine, est à la tête de l’Etat néerlandais.
l’expression «la petite reine à bicyclette » fut reprise par de nombreux journaux français et l’expression « la petite reine » fut adoptée par l’ensemble de la population pour désigner la bicyclette.

et alii dit: à

« Bagnères-de-Bigorre, et plus largement la Haute Bigorre, est un territoire de vélo de longue date. On s’est regroupé avec les différents acteurs pour que puissent se faire certaines choses, on est monté en puissance et je dois dire que ça bouge à Bagnères et nous avons aussi la chance d’avoir de grands champions chez nous comme Bruno Armirail, Chloé Fourmigué et Rémi Laffont, ça nous booste », s’est enthousiasmé le maire de Bagnères-de-Bigorre, Claude Cazabat, lors d’un point presse organisé « Chez Octave » à l’occasion du passage de la Transpyr et de l’annonce du concours de Machines qui aura lieu les 29 et 30 juin à l’Abbaye de l’Escaladieu, un évènement national organisé par l’association des artisans du cycle avec plusieurs partenaires, dont « Chez Octave » pour ne citer que le volet bagnérais (on y reviendra en détail). Avec un départ et une arrivée à Bonnemazon, la Boucle du concours passera d’ailleurs par le Tourmalet et Bagnères-de-Bigorre.

Le vélo, du sport mais aussi une filière à développer
Autant d’évènements qui ont de quoi inciter les jeunes à se mettre au vélo. Mais pour les aider à mettre toutes les chances de leur côté, la ville y met aussi les moyens avec notamment la création d’un pumptrack ou encore l’opération « Savoir Rouler » qu’elle a mise en place dans les écoles. Et si, avec ses cols mythiques (Tourmalet et Aspin) et ses nombreux sentiers offrant des possibilités exceptionnelles à tous niveaux, la Haute-Bigorre se prête idéalement à la pratique du cyclisme sous toutes ses formes, le territoire se veut aussi une terre d’accueil de premier choix pour la filière vélo. En témoigne notamment la création par la Communauté de Communes de la Haute Bigorre de « La Dynamo », un espace de travail partagé où les professionnels du vélo (conception, fabrication ou autre) sont les bienvenus.

Marie Sasseur dit: à

Le saviez-vous.

« Parmi les « sports » qui ont disparu du calendrier olympique, on trouve notamment le tir au pigeon vivant, présent lors des Jeux olympique de Paris, en 1900. Interdit à l’heure d’aujourd’hui, la discipline consistait à tirer à l’aide d’un fusil sur des oiseaux vivants, avant qu’ils ne s’envolent. Il y a aussi le cricket, un jeu originaire de Grande Bretagne qui ne fut proposé que lors des Jeux de 1900, le croquet, qui fut la première discipline sportive où les femmes purent concourir aux Jeux.

En 1908, lors des Jeux olympiques de Londres, le jeu de paume et le motonautisme – une course de bateaux propulsés à moteurs – étaient présentés pour la première (et dernière) fois de leur courte histoire olympique. Un peu plus populaires, le polo – une discipline pratiquée à cheval – connut plusieurs éditions des Jeux, avant d’être retirée du programme après les Jeux d’été de Berlin, en 1936. Plus insolite encore, le tir à la corde était une discipline très plébiscitée lors des Jeux olympiques dans l’Antiquité : cela allait de soi d’intégrer ce sport dans le programme des Jeux modernes, dès les Jeux de Paris en 1900 pourtant, la discipline fut retirée du programme olympique lors des Jeux d’Anvers, en 1920.  »

https://www.sortiraparis.com/actualites/jeux-olympiques-paris-2024/articles/309682-jo-2024-tir-a-la-corde-motonautisme-ces-sports-qui-ont-disparu-du-programme-olympique

Rosanette dit: à

@clopine
sur Melanchon et les juifs je persiste et signe ce que j’ai écrit ici il y a quelques jours
« Je ne pense pas que Mélenchon et ceux qui l’entourent soient sincèrement antisémites
Mais ce qui me paraît de leur part plus scandaleux qu’un antisémitisme »sincere » , , c’est que la posture antisémite qu’ils affichent résulte d’ un calcul électoral médiocre et cynique, destiné à rameuter un électorat qu’ils supposent sensible à ces sirènes
Comportement doublement indigne :
D’une part , parce que ces politicards ne mesurent pas combien cette posture est méprisante pour leur public cible, en qui ils ne verraient donc que des esprits simplistes et bornés ,susceptibles de mordre à ces hameçons
D’autre part , ,parce qu’ il est dangereux et irresponsable de jouer avec la vulgate antisémite , une instrumentalisation qui porte en germe des catastrophes »
Avec les débuts de la campagne cette posture ,affichée par la NUPES ,aux européennes, et qui était instrumentalisée comme un atout auprès d’un certain électorat se révèle être un boulet propre à déconsidérer la NUPES et aussi ses alliés auprès de l’ensemble du corps électoral
D’où le revirement qu’on entend dans le discours du Front de gauche avec les protestations de probité philosemite de la part de ceux de leurs partenaires ,qui contre vents et marées se soucient avant tout de ce qui est le plus efficace pour conserver ou conquérir un siège
Et certains, dans une tribune du Monde , devant l’impossibilité de faire vraiment oublier les déclarations passées de Rima Hassan et autres, ont inventé l’antisémitisme « soft »,.
Celui qui serait sans portée , un simple affichage de circonstance dicté par une visée électorale;
A mes yeux comme je l’ai dit plus haut c’est pire ,mais les auteurs du texte ont l’impudence de le reconnaître en croyant se dédouaner

Pablo75 dit: à

Je viens de passer deux mois sans internet (sauf pour consulter les mails avec le tél. de ma femme quand elle était à Paris), suite à la destruction d’une armoire (gérée par SFR) où presque 800 logements du XXe étaient branchés (située dans un parking, elle a été incendiée sans que personne sache par qui). En réalité la panne a duré 3 mois, mais j’ai fini par m’acheter un nouveau smartphone pour avoir grâce à lui internet (très lent) sur l’ordinateur (Paramètres-Connexions-Point d’accès mobile, etc), ayant besoin d’une connexion pour le travail et ne sachant pas quand la panne serait arrangée (aucune information donnée par Free, contrairement à Orange ou Bouygues, qui informaient régulièrement mes voisins abonnés chez eux).

Depuis cinq jours Free a retablie la connexion (et offert un mois d’abonnement gratuit comme dédommagement – à des clients qui le sont depuis plus de 20 ans !).

Les premiers jours de sévrage ont été durs sans le Net mais aussi sans la TV et le tél. fixe. Mais après… quelle paix !! Quelle concentration dans le travail, la lecture, l’écriture, la revision des textes, la conclusion de tâches chiantes et « urgentes » qui trenaient depuis des mois… C’est comme aller faire une retraite de plusieurs mois dans un monastère (un rêve que j’ai tjs eu mais que j’ai jamais pu réaliser).

À méditer…

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

Dessiller

« Dessiller » se prononce (dé-si-yé). Quoique tiré de l’ancien verbe « ciller » (coudre les yeux d’un oiseau de proie pour le dresser), ce verbe s’écrit avec deux « s » (et non avec un « c »). « Dessiller les yeux de quelqu’un » : l’amener à voir ce qu’il ignorait ou voulait ignorer.

D. dit: à

C’est ça le 20ème arrondissement, Pablo. Ça n’arriverait pas à Chaville, de telles destructions.

Pablo75 dit: à

C’est arrivé en avril dans un quartier du XIe aussi (étant dans la boutique Orange de Pl.de la République j’ai entendu une femme le raconter). À mon avis cela doit arriver plus qu’on ne le croit. Tout le monde peut accéder à ses armoires, situées souvent dans les parkings. Les nouvelles sont fermées à clé et blindées, on se demande bien pourquoi.

Marie Sasseur dit: à

Gouverner par la peur, suite.

« Le président de la République a brandi ce lundi la menace d’une «guerre civile» qui planerait sur la France en cas de victoires des «extrêmes» aux législatives des 30 juin et 7 juillet. »

Quand Houellebecq proposait ce scénario, de la fiction, il y a eu un tollé chez ceux qui ne lisent pas de romans.
A ce niveau d’irresponsabilité, on espère simplement que le président fait de la littérature.

D. dit: à

Quand j’étais encore à Paris, on m’a installé la fibre. Le gars a tiré le câble, installé la prise et s’est barré en disant qu’on me recontacterait pour la « mise en service ». J’avais un petit laser pour amuser le chat. Je l’ai mis dans ma prise en bloquant le bouton, je suis descendu dans le parking où était la fameuse armoire, non verrouillée. J’ai tout de suite trouvé ma fibre qui faisait de la lumière rouge, je j’ai branchée sur l’une des prises libre et hop, j’avais fait moi-même la « mise service » (de mes deux).

D. dit: à

Car oui, on en est à ce niveau-là chez les opérateurs concernant la segmentation stupide des tâches. Plus con, c’est pas possible.

rose dit: à

Moi chez moi, cela ne s’est pas passé ainsi ainsi.
Le gars qui a installé la fibre a loupé le branchement. Donc, il n’a pas été payé du travail fourni, un certain nombre d’heures.
Le suivant était au top, de la compétence de la connaissance. Il m’a signalé que le précédent avait été couper le fil dans l’armoire, suite à son incapacité à brancher. En attendant, résidait chez moi un chien d’attaque avec sa maîtresse qui faisait un stage de fabrication de savons, chien qui a failli bouffer le technicien.
J’ai fini par avoir la fibre, pas sans mal.
Je ne sais pas comment on fait jouer son chat avec un laser. Mais avec un faux oiseau en plumes, je manifeste haut et fort mon mécontentement.

Chaloux dit: à

Même si ce n’est que 236 entreprises stratégiques dont Bercy et donc Macron ont autorisé la vente sur deux ans, c’est énorme. On se demande en quoi consiste la réindustrialisation claironnée, sans doute dans la bassine moulée. On sent venir un certain nombre de procès. il me semble que c’est ici que j’ai écrit il y a sept ans que Macron ne pourrait plus vivre en France après ses exploits, avant même que ceux-ci n’aient commencé, – j’en suis de plus en plus persuadé.

Relisons « La Guerre Civile » de Montherlant, un texte magnifique dans mon souvenir, « Je suis la guerre civile, je suis la bonne guerre ». Et aussi le treizième César, chef-d’oeuvre ignoré.

Je viens de m’offrir les essais de Montherlant d’occasion dans la Pléiade, beaucoup de belles choses.

Salut à Pablo.

Pablo75 dit: à

@ D

Ce qui est étonnant c’est le peu de pannes qu’il y a, alors que n’importe qui peut rentrer dans le parking, ouvrir l’armoire et débrancher tous les câbles qu’il veut.

Les opérateurs payent des milliards pour mettre la fibre partout et après ils laissent les connexions à l’air, sans protection aucune.

Ce pays déconne vraiment, à tous les niveaux. La France se tiermondise à une vitesse effrayante.

D. dit: à

Je ne vous crois pas, Rose. Les chiens d’attaque ne font pas de stage de fabrication de savon.

Pablo75 dit: à

Tiens, Chaloux !! Quelle belle surprise !! Enfin une raison de revenir par ici se cultiver un peu…

Qu’est que tu deviens? Des progrès au piano? De belles découvertes littéraires ou musicales?

D. dit: à

Chaloux, Bloom, Pablo. Manque plus que M. Alba pour une saison 2 exceptionnelle…

Pablo75 dit: à

Et Gustave, va bien?

MC dit: à

Évidemment, Sasseur, vous parlez de ce que vous ne connaissez pas. Un peu comme Clopine qui rêve un St Maclou méconnu qui ne doit pas exister ailleurs que dans sa pauvre tête…. MC

Marie Sasseur dit: à

Évidemment le siphonné est en pleine crise de delirium.
Une fois de plus traînant Hugo dans son délire et dans un galimatias insensé, le macaque est encore surpris que dieu lui réponde, ptdr.

Bloom dit: à

Tout le monde connaît le fair play, qualité soi-disant anglaise (on n’epiloguera pas).
Mais quel est son exact contraire? A l’œuvre par exemple dans Richard II ou Henri IV première partie.
Franc jeu, superbe.
En France on dit « en live », ce qui est absurde car « live » est déjà « en direct » /sur le vif plus exactement. « En live » est donc en-en direct

Chaloux dit: à

Oui Pablo, Gustave va très bien. Il va avoir treize ans mais lors de la dernière visite le vétérinaire m’a dit: « Ce que j’ai sous les yeux, c’est un chat de sept ans ». Tu imagines que je ne suis pas peu fier!

Des découvertes, pas mal, Taine dont l’intelligence m’éblouit à chaque page, Schopenhauer, en ce moment Casanova (dont un très bon livre ancien, Casanova après les mémoires), des bouquins sur Mme Sabatier (j’ai en fait acheté presque tout ce qui existe), le Baudelaire des notes, Gobineau que vraiment j’aime particulièrement, ce que je n’avais pas encore lu (grand épistolier). Je viens de m’offrir l’intégralité des lettres aux deux athéniennes, l’édition grecque des années trente étant très expurgée et des cahiers publiés par Jean Gaulmier. Paul-Louis Courier et plein d’autres choses dont on parlera au fur et à mesure… Ma curiosité ne faiblit pas.

Pour le piano, je compte sur l’été pour m’y remettre. L’étonnante suite française de Poulenc (dont le très simple Branle de Champagne me rend fou) et la sonate pour piano de Bruckner que je ne connaissais pas et qui a de beaux moments.
Poulenc (Une de mes prof l’a très bien connu) par l’excellent Gabriel Tacchino:

https://www.youtube.com/watch?v=8bNLCpP0MVo&ab_channel=OnTheTopofDamavandforever

Bloom dit: à

Je suis passionné d’architecture gothique, Clopine et mes deux années à Ruen furent un bonheur. Mon collègue et ami Tim, qui nous quittés de la maladie de l’amour, vivait dans un appartement qui donnait sur Saint Maclou.
Allez, time for Caddy Benjy and Quentin Compson.
Tractage à 7h.
BaV

Bloom dit: à

Rouen…
Rotomagensis…

Bloom dit: à

Nous a quittés…

Marie Sasseur dit: à

Regarde moi ce taré dans ses dernières « œuvres » de fumiste :

« Hugo a écrit « la Fin de Satan »,poème inachevé mais splendide ui s’ouvre sur la chute de Satan-Hugo : « Depuis quatre mille ans il tombait dans l’Abime » »

« Oui Satan est partiellement Hugo »

« Hugo s’arrête devant les mots , lorsque Dieu doit pardonner à ce Satan qui lui ressemble tant par ses terreurs nocturnes. »
« Alors oui, Hugo s’arrête devant les mots, peut-être parce que la situation le dépasse »

Allez, va, jean-foutre, ce poème de Hugo n’est pas un pèlerinage à la Mecque.

Marie Sasseur dit: à

Le MaCaque est fin prêt pour une discipline olympique qu’il faut remettre au goût du jour, lol.

« Le saut sans élan
De 1900 à 1912, les différentes disciplines de saut en athlétisme (en longueur et en hauteur) étaient pratiquées sans prendre d’élan. Je vous laisse juste vous imaginer la scène du moment où le type vient se placer, concentré au possible, devant la barre pour le saut en hauteur et effectue un superbe saut à pied joints sous les vivats de la foule ! Jusqu’en 1904, il y avait même le triple saut sans élan qui était au programme. Dans les trois disciplines, la légende de cette variante improbable du saut se nommait Ray Ewry et portait les couleurs des Etats-Unis, jamais les derniers quand il s’agit de déconne »

https://www.carton-rouge.ch/2019/07/26/les-sports-olympiques-les-plus-improbables/

Chaloux dit: à

A Rouen, j’habitais rue du Moulinet et Clopine faisait ma vaisselle, ça ne s’invente pas…

Marie Sasseur dit: à

Je vois que JP Dubois mémorable prix Goncourt, s’est plié à l’épreuve du  » je me souviens  »

Je parie, allez savoir pourquoi, qu’il se souvient de la pelote basque… d’ailleurs épreuve sportive aux JO de Paris 1900, cf lien ci-avant.

et alii dit: à

CASCADEURS/
. Acteurs acrobates, les cascadeurs maîtrisent au moins 4ºdisciplines de base : l’équitation, l’escrime, les sports de combat et l’acrobatie. S’y ajoutent des cours d’art dramatique, un entraînement sportif intensif et régulier et des répétitions des actions dangereuses dans le respect des règles de sécurité. Travaillant le plus souvent pour le cinéma, les cascadeurs sont des intermittents du spectacle ou exercent en free lance.

et alii dit: à

Enfin, si vous préférez vous épanouir dans une activité utile, la police et l’armée peuvent vous intéresser. Pisteurs secouristes, sapeurs-pompiers, officiers, gardiens de la paix, gendarmes… sont des professions exercées par des sportifs accomplis.

et alii dit: à

LE DICO des métiers

Parution le 01/09/2023

Broché • 19.95 €

et alii dit: à

Depuis 1946, la Fédération Nationale des Métiers de la Natation et du Sport (la FNMNS) défend les intérêts de ses membres.

Plus de 40 ans au service de nos adhérents
Héritière de la Fédération Nationale des Maitres Nageurs Sauveteurs
Regroupe l’ensemble des professionnels du sport et de la sécurité
Membre du Conseil Interfédéral des Activités Aquatiques
Organisme professionnel le plus représentatif
Des Conseils Fédéraux Régionaux pour vous représenter partout en France et aux DOM TOM
Des centres de formation et plus de 10 000 stagiaires formés chaque année
Plus de 500 formateurs

D. dit: à

Saint-Maclou, c’est surtout la moquette, non ?

rannou dit: à

Cher Pierre Assouline, petite erreur: M. Ostermeyer gagna les titre olympiques en poids et disque, et obtint le bronze en hauteur!
Pas grave, de l’Olympe céleste où elle siège, elle vous a pardonné…
Kenavo, PR

et alii dit: à

LES VËTEMENTS DU SPORT§
Depuis que les baskets blanches ont fait leur apparition sur les podiums de la Fashion Week, il y a quelques années maintenant, elles ont investi la garde-robe de toutes les modeuses. Ces souliers ont réussi l’exploit de passer d’équipement sportif à it-pièce incontestable que l’on porte en toute occasion.
astuce
Comment nettoyer ses chaussures blanches en cuir avec du dentifrice ?
Mon premier est un soin d’hygiène quotidien qui nous donne un sourire éclatant, mon second est une paire de chaussures confortables indispensable et que toutes les fashionistas portent sans relâche. Mon tout est une astuce pour ne plus jamais avoir honte de l’allure de vos baskets…
Vous avez trouvé ? Et bien la voilà l’astuce maligne pour nettoyer facilement ses baskets blanches : le dentifrice ! Pour dire adieu aux taches disgracieuses qui s’enlèvent mal de vos baskets blanches préférées, c’est le petit truc incontournable qui permet de leur redonner leur blanc immaculé d’origine sans les confier aux soins d’un pressing pour baskets.

et alii dit: à

Pantalons d’équitation jodhpur pour femmes

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