de Pierre Assouline

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La République des livres
Régis Debray veut être avec Chateaubriand ou rien

Régis Debray veut être avec Chateaubriand ou rien

Tout écrivain engagé dans les affaires de la Cité devrait un jour ou l’autre sacrifier à cet exercice : le recueil de ses textes  divers et variés. C’est un genre en soi ; il vaut ce que vaut la curiosité de l’auteur, sa disposition à l’autocritique lorsque ses anciens écrits exhumés laissent apparaître des contradictions par rapport à son évolution, et la capacité de résistance de ses textes à l’érosion du temps. Au-delà de l’intérêt que présentent pour eux-mêmes ces articles, conférences, préfaces dispersés en des lieux les plus improbables, ils offrent en supplément le plus subtil des autoportraits. Inutile de creuser profond dans la mise en abyme pour découvrir celui de Régis Debray dans Modernes catacombes (309 pages, 21 euros, Gallimard). Le choix même l’engage. On ne compose pas un bouquet innocemment. Il sait que son florilège renverra un reflet de son état d’esprit actuel dès la lecture de la table des matières. Voyons voir : des écrivains conspués ou admirés, des journalistes fraternels, des gens de théâtre, des grands hommes. On sait où l’on met les pieds à défaut de savoir où l’on va. Car on a beau le lire et l’écouter depuis longtemps, on devine qu’il y aura des surprises.

A la différence de l’essayiste Jean Clair et de quelques autres, Régis Debray a la nostalgie allègre, vive, mordante. Sa chevauchée des terres imprimées est menée en avant, calme et droit. On ne sent jamais pointer la mélancolie et son cortège de noirceurs derrières ses regrets. Juste l’intense désir de profiter encore des dernières lueurs et des derniers feux d’un ancien régime des idées, des Lettres, de la conversation, qui serait sur le point de disparaître à jamais. Comme c’est porté par un style plein de panache, pour une fois à peu près débarrassé d’un goût de la formule qui avait jadis le défaut d’obscurcir son propos, on goûte avec un plaisir sans mélanges son lyrisme romantique – même s’il reste toujours quelque chose dans un coin de page de son admiration pour « les ivresses formulaires » de Flaubert. Qu’il éreinte Philippe Sollers, « conformiste transgressif », en David Hockney de la littérature ; qu’il exécute Sartre pour son guignol de Nekrassov ; qu’il accable en BHL le « bouffon symptomal et de mauvais augure » ; qu’il loue en Michel Foucault son « intelligence sensorielle des textes » ; qu’il exalte le halètement prophétique d’un Malraux – il est égal dans ses emportements. Ceux d’un littéraire absolu, fût-il de formation philosophique, pointu d’intelligence, raffiné de culture.

Debray est resté jusqu’à ce jour un normalien. Non pas un ancien élève de l’Ecole mais un élève toujours actif et militant, péguyste croyant et pratiquant. Chateaubriand, campé en accoucheur du sentiment de l’Histoire, n’en est pas moins la figure tutélaire de ces Modernes catacombes, titre en forme d’oxymore qui donne au recueil un côté lugubre qui ne convient pas à son éclat. Une gravure représentant son tombeau sur l’île du Grand-Bé, tirée d’un numéro de juillet 1848 de L’Illustration, figure en frontispice dès le début (comment oublier sa volonté :« Point d’inscription, ni nom, ni date, la croix dira que l’homme reposant à ses pieds était un chrétien : cela suffira à ma mémoire »). On retrouve le vicomte à la page suivante dans l’épigraphe, parfaitement choisie car elle est vraiment le chevau-léger du recueil :

« Pourquoi ai-je survécu au siècle et aux hommes à qui j’appartenais par la date de ma vie ? Pourquoi ne suis-je pas tombé avec mes contemporains, les derniers d’une race épuisée ? Pourquoi suis-je demeuré seul à chercher leurs os dans les ténèbres et la poussière d’une catacombe remplie ? Je me décourage de durer ».

Si après cela on ne se précipite pas sur les Mémoires d’outre-tombe, c’est qu’on n’a pas de cœur ni de mémoire. Tout Debray est déjà là. Son partage de eaux, il l’effectue entre ceux qui ont entendu parler à l’école des dactyles et des spondées, et ceux qui éclatent de rire sans raison au seul énoncé de ces animaux bizarres. A quoi ressemble son autoportrait entre les lignes, étant entendu que l’on ne parle jamais aussi bien de soi qu’en prétendant parler des autres ? Un homme de paroles et de plume écartelé entre ses statuts d’intellectuel qui explique et d’écrivain qui incarne. Un bonhomme complexe qui ne fait pas bon ménage avec lui-même, se méfie autant du mythologue Freud que du mystificateur Lacan. Trop discret et trop effacé pour supporter l’étalage de mézigue que supposent les journaux intimes. Assez lucide pour critiquer le media circus auquel il se prête comme tant d’écrivains (interviews, dédicaces, émissions, conférences et compagnie) et les risques que cette complaisance à l’air du temps implique : « En se faisant reluire, on se désoeuvre ». Il tient que les classiques mettent le feu au lac davantage que les avant-gardistes. Il se poste sur le front parmi les derniers des Abencérage prêts à faire rempart de leur corps face aux offensives des nouveaux Américains. Une fois n’est pas coutume, Internet, dont le fonctionnement lui est si barbare qu’il l’effraie, est à peu près épargné ; mais pas Sciences Po désigne comme une fabrique à abêtir (passons).

Au fond, il n’est pas si éloigné de Marc Fumaroli qu’il présente comme « un réactionnaire de progrès », encore que Debray s’évoque comme un Républicain bon teint et un jacobin de cœur qui ne renie rien de son aversion pour l’empire américain. L’un et l’autre ne sont pas loin de penser qu’au triomphe de l’instant correspond un naufrage des humanités, lequel sonne curieusement comme un « naufrage de l’humanité » ce qui est légèrement exagéré. Au fond, il ne doit pas être très à l’aise dans notre société dès lors qu’il la tient pour une maison de commerce et de verre ; disons qu’il lui manque d’avoir fait un tour à l’intérieur pour comprendre qu’avant l’existence des réseaux sociaux, nos contemporains savaient déjà très bien veiller sur leur marionnette, mais avec d’autres moyens.

« Ce n’est pas notre faute si un sentiment saugrenu nous visite plus que de raison : celui du débiteur indélicat qui ne se pardonne pas de n’avoir pas payé sa dette » écrit-il en un tremblé coupable. Il faut lire ce recueil de portraits, façonnés à la plume sergent-major et relus vent debout,  comme une brillante et chaleureuse reconnaissance de dettes. Au-delà d’un Ce-que-je-dois de De Gaulle à Gracq, qui fait de l’humilité vraie une vertu sans détour, on y perçoit l’écho pathétique des adieux à un monde qui s’en va, persuadé d’emporter avec lui l’héritage du Vicomte. Il ne tient qu’à nous de le démentir.

(« Tombe de Chateaubriand sur l’ilôt du Grand Bé, dans la rade de saint-Malo, face à la mer, auquel on ne peut accéder à pied que lorsque la mer se retire » photo D.R.; « Malraux s’expose » photo Gisèle Freund)

Cette entrée a été publiée dans documents, Histoire Littéraire.

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commentaires

1 133 Réponses pour Régis Debray veut être avec Chateaubriand ou rien

C.P. dit: à

Je n’oublie pas : bonne fin de soirée à tous !

Une journée rdl qu'il vaut mieux oublier dit: à

Une journée rdl qu’il vaut mieux oublier

D. dit: à

Pour revenir au débat d’avant hier, je pense que mon idée de racheter les terres spoliées par les sionistes est une bonne solution, si ce n’est LA solution au conflit. Je ne fais pas ça pour obtenir le Nobel de la Paix; ne vous fatiguez pas avec ça je le refuserai.
Les israéliens achèteraient à coup de dizaines de milliards de dollars, aidés par les États-Unis, les terres qu’ils occupent illégalement et les palestiniens profiteraient de cette manne économique pour développer leur petit pays. Un referendum de chaque côté permettrait d’acter le principe.

La mauvaise langue dit: à

Mais les terres des implantations, elles ont été achetées. Jamais spoliées. Depuis Abraham au Tombeau des Patriarche c’est comme ça. Abraham avait acheté l’emplacement de sa tombe.

La mauvaise langue dit: à

Un état palestinien coupé en deux, de toute façon, n’est pas viable. Sauf si on a l’intention de détruire Israël qui serait alors à son tour forcément coupé en deux. Pour que ce soit viable, il faut virer les prétendus palestiniens de Judée Samarie. Ce que fera tôt ou tard d’ailleurs Israël. Mais alors ce sera le fruit d’une très grave guerre dans la région qui la chamboulera de fond en comble. C’est ce que ne veulent pas admettre les Européens qui tergiversent, veulent ménager la chèvre et le choux et finiront sous une pluie de bombes atomiques.

Démocratie en berne dit: à

En Israël comme aux Etats-Unis, c’est au contraire un signe de défense des valeurs de la démocratie.

Un peu comme George W et Bibi

La mauvaise langue dit: à

Mais clichés pas en berne du tout…!

Philippe Régniez dit: à

Didier Pasamonik n’a aucun sens de ce qu’est un chemin de croix. Quelqu’un pourrait-il l’éclairer ?

Ben oui quoi ! dit: à

Abraham avait acheté l’emplacement de sa tombe.

Si ML le dit

La mauvaise langue dit: à

Les Européens ont fait jadis le fameux couloir de Danzig. On en connaît les conséquence tragiques. Ils sont en train de recommencer avec ce qui oppose Israël aux Arabes. les Arabes ont un territoire suffisamment vaste pour y vivre en foutant la paix à Israël qui doit s’étendre du Jourdain à la mer. Là, il y aurait une possibilité de paix dans la région. Pas autrement. Les Arabes de la bande de Gaza de même revendiquaient leur origine égyptienne pour fuir le gouvernement du Hamas. Ils n’ont rien à faire là non plus. Qu’ils aillent en Egypte, un vaste territoire. Israël est minuscule en comparaison des terres arabes qui ne sont pas partageurs… c’est le moins qu’on puisse dire.

La mauvaise langue dit: à

Ben c’est dans les textes !

Ben oui quoi ! dit: à

Ben c’est dans les textes !

Ah oui ! Parole d’évangile, suis-je bête

La mauvaise langue dit: à

Non, la Tora !

La mauvaise langue dit: à

Bon, en attendant la fin du monde, bonne nuit à tous.

abdelkader dit: à

Philippe Régniez dit: 31 janvier 2013 à 0 h 19 min
Les Tibétains puent, ce sont des idolâtres et des bridés, ils peuvent crever sous la botte chinoise. les Chinois rendent ainsi un grand service au reste du monde.
r
Fuck me! Vot’Imminence, z’etes soul? comment? Mme l’abbee s’est barree avec un gaucho? euh…ca aurait pu etre pire, Vot’zorreur…elle aurait pu s’etre taillee avec un lama…non pas le Dalai…l’autre, la…cui qui ressemble au pape…

Bloom dit: à

ML, votre conception du judaisme est purement intellectuelle; elle s’abreuve aux sources salvatrices mais complètement marginales de la kabbale lourienne revue et corrigée par Gershom Scholem et Franz Rozenzweicg, dont les juifs pratiquants moyens n’ont jamais entendu parler. La répétition plus ou moins raisonnée des rites tient lieu de religion.

Bloom dit: à

Abraham avait acheté l’emplacement de sa tombe.

Le bail emphythéotique était de 999 ans. La terre retombe dans le domaine publique.
votre immeuble de drese sur une terre ravie aux Parisii. Vous êtes un squatteur. a moins de la redonner à ses propriétaires originaux.

Bloom dit: à

Régis Debray veut être avec Chateaubriand ou rien

Ce sera rien. L’autre est déjà pris.

Jacques Barozzi dit: à

RD dit : « dix mille liseurs, puisque telle (sic) est, en France, l’effectif mystérieusement stable des envoûtés du style. »

Combien d’entre eux se sont réfugiés sur la RDL ?

Bloom dit: à

des envoûtés du style. »
Combien d’entre eux se sont réfugiés sur la RDL ?

Que des enstylés de la voûte, pas vrai, Baroz?

hildenstein dit: à

réfugiés sur la RDL ?
sur ?
la RdL est-elle, (elle vraiment que dit Grévisse ?) une île ? un atoll?
réfugiés de quel naufrage : naufrage de quel rêve?

paniss dit: à

s’agit-il vraiment de nostalgie dans ce bouquin de R. Debray? il faudrait le lire pour pouvoir répondre, mais le billet de notre hôte nous amène plutôt dans ce sens… A moins que RD ne veuille s’inscrire dans une postérité nouvelle. Allez savoir!

Jacques Barozzi dit: à

La RTL c’est le Tibet !

Jacques Barozzi dit: à

RTL : République du Tibet Littéraire ?

Daaphnée dit: à

Une île ou un atoll …. encore faudrait-il une barrière de corail pour nous préserver de certaines pollutions .

Quelle poubelle, ce web !

C.P. dit: à

Je crois que Bloom a raison, mais « l’autre » était chrétien (ou se disait tel). C’est pourquoi j’ai posé la question en athée, mais en restant dans la problématique de Debray, sans trop savoir si elle est artificielle et nostalgique. J’avais trouvé que « Les Impostures intellectuelles » y allaient un peu fort. Donc, la question de paniss…

Jacques Barozzi dit: à

Dans le tombeau de Saint-Malo on a encore oublié madame Chateaubriand !

Daaphnée dit: à

Je dirais, CP, qu’elle est nostalgique mais pas au sens restrictif du regret d’un passé parce qu’il se déliterait, vous connaissez la discussion sur « avant », « c’était mieux avant » .. « avant », c’est aussi demain ..

L’articulation est problématique, tant on a besoin de pouvoir construire du discours pour garder prise sur ce qui nous échappe parfois mais qu’on ne peut avoir la légèreté d’ignorer.

Daaphnée dit: à

(sans doute que les auteurs de « impostures … » se croyaient mieux armés pour cela .. C’en est presque drôle.)

C.P. dit: à

Daaphnée, parfaitement ! Ce qu’il y a, c’est que Régis Debray a souvent l’air plus triste que ne le dit Pierre Assouline. L’air de quelqu’un qui dirait sans cesse :  » Comment faire pour être sacrément républicain ? Comment faire ?  »

J’ai pensé que votre citation de l’hommage à Gracq était très bien venue.

Philippe Régniez dit: à

Abdul, toujours aussi bête (ce n’est pas de votre faute), le 2ème degré vous connaissez ?

C.P. Vous ne valez pas mieux qu’Abdul. Quand on lit ce que vous écrivez : mais « l’autre » était chrétien (ou se disait tel)

Daaphnée dit: à

(le monde politique que je connais un petit peu est dur surtout pour les hommes intelligents, CP, non ?)

C.P. dit: à

Philippe Régniez, tout le monde avait compris l’antiphrase.
En somme, vous m’accordez le « symbolique », mais « se disait tel » vous choque.
Or, il y a, pour un athée, même tenté par l’anarchie (qui comporte du sacré à sa façon), un vide, et il est possible que Debray ne le remplisse pas bien.
(Ne pas) Valoir (mieux qu’) Abdelkader ne m’embête pas du tout.

Un qui passe dit: à

La Teigne peut dire que « les Tibétains puent », que « ce sont des idolâtres et des bridés », et « peuvent crever sous la botte chinoise ». Il peut même dire sans se gêner que « les Chinois rendent ainsi un grand service au reste du monde ». Mais personne ne doit ni peut mettre en doute sa foi que par ailleurs, comme les mots qui précèdent le démontrent, n’est qu’un mensonge. Fasciste puant, va…

de nota dit: à

Et si Debray était un anti-moderne?,au sens défini par Antoine Compagnon:un anti-moderne est un moderne déniaisé,qui n’est pas dupe de la modernité et des ses langages.Quoiqu’il en soit,dans son livre,Debray rend hommage à Fumaroli,Gracq et Nourrissier,alors qu’il critique,vertement,et Sollers et Foucault;il me semble que cette distinction plaide,un peu,pour un Debray anti-moderne,non?

bouguereau dit: à

la RdL est-elle, (elle vraiment que dit Grévisse ?) une île ? un atoll?

à étui pénien et non pas a calçonnade comme zouzou..

hildenstein dit: à

cet exercice
ce billet rappelle qu’exercice est aussi un genre littéraire (pour un titre :Exercices de la patience , Lévinas)

Un qui passe dit: à

Faut voir le contexte bougugu, ici, p. ex., l’étui pénien c’est une pantalonnade.

bouguereau dit: à

pour un Debray anti-moderne,non?

..c’est un drole de zigoto, un homme qui associe sa force d’esprit à l’énergie a se concerver et la déroute à ce qui change les autres..faire de son destin une victoire a la pyrrhus sur la mort n’est pas grandiose, désolé, c’est une machinerie a double détente, et chateaubriand malgré tout son talent n’y échappe pas, le eus exmachina msieu dame, fume et fait voir les ficelles non pas par défaut, c’est paradoxal, c’est un effet calculé, et ça nous prend pour des cons, et ce n’est pas ce qui fait le beau, msieu zouzou, que de passer au reste du monde des étui péniens pour se rendre élégant

alec dit: à

un gouvernement chinois digne de ce nom aurait depuis longtemps exilé un dangereux et intellectuel de l’envergure de Régis Debray sur l’archipel des îles Trobriand ou rien.
ou alors l’aurait définitivement introduit au coeur même de la machinerie nomenklaturiste du pays où on aurait mis tout en oeuvre afin qu’il ronronnât comme un gros matou ou rien.
hmm, qu’aurait fait un gouvernement français digne de ce nom à la place ? je crois qu’il aurait recollé la poire chinoise coupée en deux en décidant d’envoyer Debray dans un panier pour chat aux Trobriand ou rien. (là-bas, le karma contrarié de Régis Debray l’aurait fait renaître en félin tibétain sans aucun danger pour lui puisqu’il serait de-facto tout en haut de la chaîne alimentaire de l’île, sans prédateurs pour lui disputer la puissance de sa sagesse de brillant philosophe ou rien.)

bouguereau dit: à

..je sais pas si jme fais comprendre..prenez tocville, s’il décrit le monde à venir et le déplore un peu ce n’est pas pour se grandir aux yeux de la postérité, il se montre capable de penser au delà de lui, ça c’est grand, car on ne sait exactement ou se trouve son être et a bite..attiré par bételgeuse centrifugé dans quelque trou noir..alors que chateaubriand il doit se survivre pour se faire comprendre à lui même..devray retient la formule de chamane à la noix

JC dit: à

Philou Régniez a bien raison : de même que les Tibétains puent, les Corses sont fainéants, les Ecossais avares et les Anglais pédés comme des focks, faisant engrosser leurs femmes par des artisans pakistanais. C’est vrai ! d’ailleurs, vous pouvez vérifier ça dans les traits tout à fait pakistanais de leur PM, Cameron.

dandy dit: à

@le zéro et l’infini dit: 31 janvier 2013 à 0 h 00 min 23h52Super Phiphi
»Génial, fais nous encore une petite porte ouverte, t’es doué pour le commentaire bateau,
tu devrais faire un recueil, je suis sûr que tu pourrais reconquérir ta concierge »

Sa concierge est certainement moins tarée et c.. que ce nazaccroc à la haine meurtrière

@La mauvaise langue dit: 30 janvier 2013 à 19 h 05 min
« Ariel Sharon est en train de se réveiller. Ça va chier en Israël ! »

La belle au Bois dormant a la courante ?

@La mauvaise langue dit: 30 janvier 2013 à 18 h 07 min
« En tout cas, ça chauffe à la chambre à cause du GPA »

C’est plus propre que la copulation ( c’est le saint père qui l’a révélé)

@Archives du blog dit: 30 janvier 2013 à 17 h 07 min
« je suis sûr de me faire encore enculer avec lui…
Alors, le Boug c’est MàC ou pas? »

Sure

Thierry Kron dit: à

Philippe Teigniez toujours égal à lui-même, son racisme de néo-nazi (voir son « club acacia ») lui faisant utiliser le langage du NSDAP: « rendre service au monde en supprimant un peuple ».
« Les bridés, peuple qui pue. »: Ce ne doit pas être les yeux bridés des Tibétains qui puissent donner au CCP le droit de brimer ce peuple. Les Chinois ont tout autant les yeux bridés et comme chacun ne le voit pas automatiquement, les yeux bridés accompagnés d’une jolie tête, c’est très esthétique. Quant à la puanteur des Tibétains, avec une douche et du linge frais, ils deviennent aussi propre que n’importe qui. Pas sûr non plus, que les Tibétains sentent plus mauvais, que les usagers non douchés, au linge non changé chaque jour, dans le métro.
Pour ce qui est de la propagande pour l’Église de Rome, seule église chrétienne valable, d’après Teigniez et D., inutile de réagir, c’est la même eau moisie de gens égarés dans le XXIème siècle.
Il y aurait l’autre « fou de dieu », ML, toujours prêts à faire partir en guerre les Israéliens, pendant que lui se repose en écrivant des commentaires sur son clavier.
Il y a des similitudes entre P.R. et ML, de la boue obscurcie leurs visions du monde, au nom de la religion.
Je ne suis pas sûr, lequel est le plus dangereux de ces deux personnages. Au finish, qui lit le club acacia ?
Par contre, ML doit cacher sa vraie identité sur la RdL, par peur vraisemblablement. Non de ses opinions, assez risibles dans leur ensemble, mais d’être jugé comme inapte à enseigner aux élèves de 5ème. Peut-on imaginer le ML, faire ses cours dans le respect de la laïcité républicaine et, sans faire allusion à son engagement à coté de la pire extrême-droite israélienne ?
Oui, il y a des similitudes entre PR et ML, la même haine pour ceux qui ne pensent pas comme eux et le goût pour les mêmes méthodes. Bref si ML était resté catholique comme le 3/4 de ses ancêtres, ces deux là pourraient créer une joint-venture

hildenstein dit: à

Internet, dont le fonctionnement lui est si barbare qu’il l’effraie, est à peu près épargné

remarquons la relative,le don du dont , et non parce que ! penseons, la dernière! révolution avec sa question du un, un, un !
hein ?
vous n’maginez avec quelle émotion j’ai recherché la semaine passé sur mon ordinateur un scipode dont j’avais juste le souvenir.

hildenstein dit: à

lapsus ! sciapode

rubertien dit: à

La mauvaise langue dit: 31 janvier 2013 à 0 h 34 min
Si on voyait ici à Paris un drapeau français accroché à une fenêtre d’une maison privée, on crie de suite au facho ou au FN.

C’est que vous ne connaissez pas la loi, ML. En France, il est interdit de pavoiser, sauf le 14 juillet. Le drapeau de la République est réservé aux bâtiments officiels.
Si un particulier accroche un drapeau français à sa fenêtre, la police le lui fait retirer (en principe, si elle a le temps).

Un qui passe dit: à

On ne contredit pas LML, rubertien, il a raison même lorsqu’il est en tort.

Thierry Kron dit: à

Philippe Reignez: Amusant, vous mêler votre racisme et votre haine anti-chinois, avec quand même le respect pour la politique du CCP au Tibet. Bref, tout fascisme à vos yeux a une raison d’être.
Quant au marché de l’art en RPC (Beijing et Shanghaï), ou le travail des artistes contemporains Chinois, qu’en savez vous ?

au pas sage dit: à

« Il y a en effet une passion mâle et légitime pour l’égalité qui excite les hommes à vouloir être tous forts et estimés. Cette passion tend à élever les petits au rang des grands ; mais il se rencontre aussi dans le cœur humain un goût dépravé pour l’égalité, qui porte les faibles à vouloir attirer les forts à leur niveau, et qui réduit les hommes à préférer l’égalité dans la servitude à l’inégalité dans la liberté. »
— Alexis de Tocqueville – De la démocratie en Amérique, T. I, première partie, chap. III (Vrin). cf vouikiki

christiane dit: à

Chaque billet de P.Assouline pose un problème esquissé dans une note de lecture. Les commentateurs affluent et le dissèquent puis se dissèquent. La page des commentaires (ici plus de 800 !) devient alors une traversée des miroirs, se déploie, se fait labyrinthe, méandres. Le lecteur de passage y voyage, s’y perd, s’y attarde, grappille, saute, revient en arrière. Entre dans la fête de cet absurde (parfois) cortège. Certains hôtes prestigieux – d’autres donnent la tentation de s’éloigner. Comme dans un atelier d’écriture qui crée de la pensée. Les mythes s’y fracassent, racontent les hommes et les dieux, ouvrent des espaces au rêve, s’éparpillent. La voix humaine devient suite vocale, variation musicale, ivre, hostile ou charmeuse. Se croisent des savants, des historiens, des mousquetaires, des anges, des illusionnistes. Marche, sur les chemins d’une république phœnix jaillie de ses cendres par un coup de baguette magique. – Abracadabra, prononça P.Assouline, la RDL est morte, vive la RDL ! Carnet de fouille…
Narcejac écrivait : « La solution n’est rien pour le lecteur averti, de même que la prise est méprisable pour le pêcheur digne de ce nom. Ce qui compte, c’est l’angoisse, c’est la traque ».(« Esthétique du roman policier »).
J’aime le cheminement familier de cet entrelacement de commentaires. J’aime reconnaître tel ou tel par son pseudo, son nom, son style, sa spontanéité ou sa réserve, sa courtoisie ou sa grossièreté. J’oublie un temps la question posée en exergue par le billet puis j’y reviens. Foule que je traverse me demandant pour quelles raisons s’y trouvent les uns et les autres. Contemplation du fleuve temps… Collaborant sans collaborer à la continuation de tout ça à cause de l’agitation des nuages et des oiseaux, des bourrasques des rêves… de la « mélancolie » et du « vent mou » qu’il aimait tant…

Thierry Kron dit: à

Philippe Régniez devrait venir vivre en Suisse. N’importe qui peut mettre un drapeau sur le toit de sa maison, ou à une fenêtre. Il pourrait même, louer un petit-jardin, comme il y en a tant dans les banlieues, et sur la remise-à-outils transformé en salon, planté un drapeau, n’importe lequel, sauf quand même un drapeau frappé de Swastika et d’un aigle à une tête. Sur ses plates-bandes, le PR pourrait faire pousser des légumes ou quelques fleurs.

christiane dit: à

@ Gaspard – 10:11
MERCI !

hildenstein dit: à

continuation de ma rêverie sur la tombe de Chateaubraind remarquant que la mer pouvait , elle , y pénétrer, sans rien pour prévenir ce risque: et le drapeaux sur les bateaux au port ?

Thierry Kron dit: à

Au finsih, devrait-on préférer ML à PR ?
Ou, lequel des deux est le plus allumé et le plus dangereux ?
La lecture de PR ne rend pas antisémite ou raciste, par contre la lecture des commentaires de ML, un converti, peut rendre un lecteur non averti, un ennemi d’Israël et des Juifs en général. Ne pas oublier quand même, que tous les Juifs, ne sont pas pour la disparition des Palestiniens. Et qu’en Israël, une partie de la population juive est pour la paix. Je ne connais pas les chiffres, mais il va sans fifre, qu’une partie des Israéliens (Juifs ou musulmans d’origine) ne sont pas pratiquants et veulent un était laïc. Fazit ? Tous les deux sont à lire sans excès, et surtout sans perdre le sens de l’humour. Tous les deux sont des personnages de cartoons

hildenstein dit: à

et les drapeaux sur les bateaux : quelle est la loi?

DHH dit: à

De sa femme Chateaubriand disait; »elle s’avançait stérile et solitaire vers la vieillesse »,ce qui colle assez bien avec la description qu’en fait VH.
cette phrase je ne l’ai pas trouvée dans les MOT, mais je l’ai lue citée par M-A Macchiocchi qui trouvait qu’elle s’appliquait tres bien aussi à Simone de Beauvoir

hildenstein dit: à

rien n’est plus faux que de parler de stérilité en ce qui concerne de Beauvoir !
Mais plus rares ceux qui se diront les fils (et même les neveux de De Beauvoir)

ueda dit: à

bouguereau, tu as appris l’étui pénien mais pas son bon usage.

Tu dois le lier solidement par une ficelle à la taille, et ne pas le laisser branler à droite ou à gauche comme tu le fais, ça fait rire les femmes.
Et tu finira collé à l’exam des guerriers.

versubtil dit: à

Christiane, peut-on savoir ce que pense Régis Debray de tous ces commentaires que l’on peut imaginer dans son bureau de travail pas très loin du théâtre de L’Odéon et voisin immédiat du peintre Louttre.B?
Après toutes ces discussions diurnes et nocturnes ici, j’ai repéré un texte de Régis Debray dans son Dieu, un itinéraire (dans la belle édition illustrée par Louise Merzeau chez Odile Jacob)2001.

« Ordinateur est un mot provenant du latin d’église, désignant celui procède à une ordination, le cérémoniaire ou le régisseur. Le Christ était appelé « ordinateur » au XIIIe siècle, terme que Malebranche appliqua également à Dieu. Celui qui dispose les choses suivant un ordre, un rang de succession (l’ordinal, par opposition au cardinal), et auquel nous sommes tous ordonnés (ou subordonnés). De là vient la traduction en français du computer anglais. Le mot a fait fortune, mais le Babel informatique juxtapose sans ordonner. La nouvelle valse des traces et des corps secoue les colonnes du temple en donnant la bougeotte aux deux. Car le numérique s’attaque à la fixité des mots (problématique dépôt légal des sites électroniques). Le signe déborde, se faufile, fuit de tous côtés. On peut supposer que la Bible ne sera pas trop dépaysée sur la toile, puisque c’était déjà, avec ses liens hypertextuels et ses jeux de miroirs, un « texte électronique » avant le bit : un livre jamais clos mais continué par ses commentaires, malléables, indéfiniment annoté, sans auteur reconnu, où l’on peut naviguer de 1ivre en livre, et qui eût échappé aux règles bourgeoises de la propriété littéraire si elles avaient existé. La disparate et la polyphonie caractérisent l’Écriture sainte, mais elles étaient masquées par l’unité physique du recueil (version papier), qui prêtait la sienne à l’auteur putatif, Dieu. L’édition numérique particulièrement bien adaptée à ces millénaires miscellanées (ces «mélanges»), arrive trop tard pour entamer l’intégrité canonique du dépôt. La Bible restera ce qu’elle est, pour une lecture qui ne l’est plus, mais « un livre change par le fait qu’il ne change pas alors que le monde change» (Roger Chartier). La mise en correspondance de tout avec tout sur le réseau, l’ effaceur du récit, ne peut que lui enlever sa position de surplomb, sans label ni signe extérieur de richesse. Mais bien plus compromettante pour l’ Autorité supérieure que la dissémination de ses traces, risque d’être celle des fidèles.

Que doit faire l’Ordinateur d’origine face aux ordinateurs tout court ? Se transformer, bien sûr. Aux bibliothèques sans lecteurs, où l’on vient pour Internet, correspondent des religions sans dogmes, et des prêtres sans soutanes. On peut attendre des réseaux de demain un e-God, just in time, mutable, à télécommande et sans copyright. »(pages 336 et 337).
Je vous laisse renouer les diverses résonances et « raisonnances ».

hildenstein dit: à

@ueda
il me semble que pour évoquer le caractère passionné, entier-(!) et non en tiers de Mauvaise Langue et les tours qu’il lui joue dans ses rencontres littérairesz, je réveillerai une de ces histoires dite histoires juives

JULIE dit: à

bouguereau, oui, indirectement aussi, avec l’écho du théâtre. Car mon père m’ayant repassé « Sur le pont d’Avignon », je lis page 13 :  » Quand on regardait Gérard Philipe passer dans la rue, on voyait Rodrigue ; je n’ai vu que Jan Fabre dans Jan Fabre. »
Je peux citer plus, au besoin…

hildenstein dit: à

une de ces histoires dites …

bouguereau dit: à

»elle s’avançait stérile et solitaire vers la vieillesse »

de sa femme il disait ça..sinistre con

bouguereau dit: à

je n’ai vu que Jan Fabre dans Jan Fabre

oui..mais beaucoup de fat se voit dans jan fabre

bouguereau dit: à

ça fait rire les femmes.
Et tu finira collé à l’exam des guerriers

bien..tu te fais du mal..vois comme ce n’est pas si difficile de payer de sa personne pour être un homme de progré zouzou

JC dit: à

« son engagement à coté de la pire extrême-droite israélienne ? »

Bien cher Kron, il a bien raison votre ami ML : dans la situation d’Israel, entouré de voisins sympathiques qui ont tenté maintes fois (5 ou 6) d’en finir avec ces sales juifs, il faut être le plus dur possible pour survivre. Si tu veux la paix, prépare la prochaine…
Et le reste est , comme toujours, mauvaise littérature et mauvaise foi !

bouguereau dit: à

je réveillerai une de ces histoires dite histoires juives

non non..sa bétise est universel

bouguereau dit: à

Si tu veux la paix, prépare la prochaine…
Et le reste est , comme toujours, mauvaise littérature et mauvaise foi !

tu fais pas rire les femmes mais les guerriers jicé..demande le mariage..et grace a françoué tu n’avanceras pas solitaire et stéril..devant que de « prendre possession de ton tombeau » (il est con quelquefois victor)

hildenstein dit: à

faire rire: comme si ça marchait à tous les coups comme « on veut » et « quand on veut » ! et comme si le mêmes choses marchaient ( rythme et tout)dans un amphi, un théâtre, un livre, sur internet, pour s’en tenir au contexte le plus large ! il a bien raison, Milner quand il parle « d’universel facile » !

hildenstein dit: à

puisqu’ici, on parle beaucoup de psyshowlogie, j’ai aperçu hier sur la vie de idées une critique « À partir d’une lecture du livre d’Emily Martin, Voyage en terres bipolaires, récemment traduit en français, Pierre-Henri Castel réfléchit sur les raisons qui ont transformé la « psychose maniaco-dépressive », identifiée en Europe à la fin du XIXe siècle, en ce que la psychiatrie américaine a dénommé « trouble bipolaire ». Les médicaments y sont pour beaucoup, mais le contexte social et les valeurs dominantes aussi. »
http://www.laviedesidees.fr/Folie-du-Vieux-Monde-folie-du.html

bouguereau dit: à

il a bien raison, Milner quand il parle « d’universel facile » !

milner se fait du mal etc..
il adore ça..c’est telment easy universel

bouguereau dit: à

on parle beaucoup de psyshowlogie ?

continue tum fais rire..mais va pas croire des choses..

Thierry Kron dit: à

JC, n’étant pas le seul à porter ce patronyme, auriez vous l’intelligence de ne pas vous adressez à moi en utilisant mon seul nom de famille. Je ne signe jamais Kron.
Vous donnez raison à ML, car en effet, son coté de liquidateur virtuel, vous plait. Ne venez pas non plus, nous faire croire, que vous êtes sioniste ou que vous ayez le moindre sentiment positif, pour l’État d’Israël.

Jacques Barozzi dit: à

Gaspard, j’ai habité longtemps entre le square des Missions étrangères et le square Récamier. J’ai lu aussi choses vues de Victor Hugo. Mais aussi les mémoires de la comtesse de Boigne. Et je sais où la très antipathique madame Chateaubriand a été enterrée : paix à ses pauvres cendres !

bouguereau dit: à

Ne venez pas non plus, nous faire croire, que vous êtes sioniste ou que vous ayez le moindre sentiment positif, pour l’État d’Israël.

..lui vontraube il a son exam de guerrier jicé..messerchmitt..écharpe au vent..et..ratatatata ! tu rirais moins si que t’étais dans la colonne de réfugiés en bas

christiane dit: à

@Versubtil 11:03
Ce qu’en pense R.Debray ? Il y a ses mots écrits (ceux-là, lucides) et prononcés mais surtout son silence. Je crois que C.P note sa tristesse. Cela m’a frappée. Son visage est triste et pensif. Il écrit, parfois la tête ailleurs, comme s’il espérait qu’un de ses mots fasse faille et que ce qu’il a oublié surgisse, inédit, inouï. Les poses, le ton ce n’est pas grave. Être acteur sur la grande scène du monde par écran interposé. Déjà, dans son écriture il est en résistance, en effort, non représentable -ou présentable. Il est forcément injuste à cause de ce manque, de ce rien qui le guette. C’est un homme douloureux, intense, en orage constant, en désordre. comme détaché des autres. Il arque les mots comme pour déchirer leur raideur. souvent incompréhensible (pas préhensible). Cet écrivain paradoxal est toujours en conflit avec son silence. Je l’aurais vu moine plongé dans des incunables ou guetteur prêt à bondir sur ses pairs. Impossible pour lui de parler sa vraie langue. Il tourne autour comme un aigle sur sa proie. Trop de choses dans sa tête. Un homme révolté piégé par les honneurs, tragique parce qu’invisible…

l'art, l'élite dit: à

« Jan Fabre dans Jan Fabre »
Qui fit…sur scène, et lorsqu’un gamin de douze ans chie dans son froc on l’expulse du musée!
ttp://www.lemonde.fr/societe/article/2013/01/31/exclusion-d-une-famille-du-musee-d-orsay-le-ministere-de-la-culture-embarrasse_1825391_3224.html#xtor=AL-32280308

JC dit: à

Acceptez l’expression de mon profond regret, Thierry Kron et Traube et Kunst, pour me mélanger les pinceaux dans vos titres de noblesse !
De même, j’accepte volontiers les vôtres ! de me traiter parfois « d’ordure fasciste », ce qui est ridicule.
Il est vrai qu’il ne tue plus, le ridicule. Sans cela, nous serions morts, vous et moi, depuis longtemps ….
PS : Pour Israel vous vous trompez : je suis sioniste et j’ai la plus grande estime pour l’aventure israelienne.

bouguereau dit: à

choses vues de Victor Hugo

oui oui la mort de balzac a plusse de mache..et sa conclusion sur la « trés antipathique » dont oncques sourire ne lui a couté si cher..en fait un genre de pute triste en plus..bien tartinée sa frimousse

bouguereau dit: à

..putain on voudrait qu’il ait eu vraiment faim ce victor hugo..mais on y croit même pas..c’est pas glorieux

W dit: à

11h28 Hildenstein
C’est une réduction informative et rassurante ,à lire maniaco-dépressif bien que ce trouble des humeurs n’ait rien à voir avec ce profil ,loisible de se représenter le maniaque sans le dépressif comme celui du film Shining joué par Jack Nickolson quoiqu’un avis de spécialiste posera vraisemblablement un diagnostic différent le concernant, paranoïaque plus certainement. Bipo c’est courant ,on devrait former une légion des bipolaires encore faudrait il étiqueter chaque individu mais à ce jeu comme aux autres j’imagine que certains seraient exemptés de diagnostic,comme on exempte certains de certaines choses ,remplacer certain et chose par ce qu’on veut,ça fonctionne également.

l'art se délite dit: à

« Derrière ces mots se cacherait une réalité plus crue. Dans l’entourage de la ministre de la culture, qui se fonde sur le rapport du Musée d’Orsay, on indique que l’enfant du couple aurait déféqué dans son pantalon. « L’odeur proviendrait de son vêtement souillé, dans lequel il aurait continué la visite pendant plusieurs heures. Les agents, « pour préserver la dignité » du garçon, seraient alors intervenus. L’enfant n’a pas été déshabillé par le personnel du Musée d’Orsay, mais « l’odeur » et la présence d’une « tache » sur le vêtement auraient accrédité la source des effluves malodorants. »
Sources LeMonde.fr

Ne peut-on dire que nos élites de l’art contemporain n’ont pas compris qu’il s’agissait en fait d’une action d’arte povera live in situ révolutionnaire?
Que l’action painting s’est déplacée de la toile au fond de culotte et le la scène des happy few à la rue du vulgum pecus?

Tant de nunucherie m'espante! dit: à

Christiane tricote plus chez popol?

JC dit: à

La réaction de ce gosse de pauvres au Musée d’Orsay est un appel politique : occupez vous d’éviter la fermeture d’usines, génératrice de malheureux chiallants dans leur froc, au lieu de blablater sur les désirs pervers d’adoption des homosexuels !
(j’ai bon, là, Philippe ? j’ai bon ?….)

amateur d'art dit: à

on indique que l’enfant du couple aurait déféqué dans son pantalon.

C’était le petit-fils de Joseph Beuys. Grand-papa avait appris la technique à son père.

W dit: à

Alec merci pour cette excursion aux îles Trobriand dans la mer Salomon où vous supposez que RD put briller tel un phare dans la nuit ,seul en haut d’un relief abrupt et sauvage pour éviter la contagion un peu comme dans « Quarantaine » tout ceci décidé et tranché.Auriez vous quelques semaines pour que je vous y accompagne,je ferai le secretaire à multiples tiroirs.

Philippe dit: à

j’ai bon, là, Philippe ?

T’as bon, mais t’aurais dû ajouter chinois, les homos chinois y a pas pire.

roby dit: à

TKT
le triste forcené de porcrol se prétend sioniste pour cacher son racisme, sa rage d’avoir perdu « ses » colonies d’Afrique du Nord

W dit: à

P…in !Parents anosmiques ou crétins.

D. dit: à

W, vous savez que je vous apprécie quelquefois, mais point trop n’en faut. Je vous le dis en toute amitié, vous commencez à radoter et cela m’inquiète.

l'art sent-il l'arsouille? dit: à

L’art contemporain veut sanctuariser la merde ( en boite surtout), si peu dérangeante si peu transgressive sinon dans le salon mais pas son odeur!
Avec un art à l’état gazeux, à quand la diffusion de l’odeur de merde dans nos musée branchés, nos amateurs d’A.C.pourrons faire la fine bouche et se pincer le nez!

ton ami dit: à

« les désirs pervers d’adoption des homosexuels  »

tu t’y connais en perversité

Un qui passe dit: à

« action d’arte povera live »

Quand on veut faire dans l’humour on prend l’exemple adéquat, Vienne, par exemple.

les aventures de jean-foutre la bite dit: à

bouguereau dit: 31 janvier 2013 à 9 h 52 min
..je sais pas si jme fais comprendre..prenez tocville

..avé gode ou sans gode? attation, faut ête pressis si tu veu con te comprène..té confu, c’est patent.

D. dit: à

Certains ont laissé entendre que j’étais hildenstein. J’aimerais beaucoup car je l’admire énormément, mais je suis obligé de démentir. Non, je ne suis pas HR, c’est très au-dessus de mes moyens.

JC dit: à

Mon ami de 12:07, je n’y connais rien en perversité, mais ici j’apprends vite …

l'art souille dit: à

« C’était le petit-fils de Joseph Beuys. »

Là, vous confondez la graisse et la merde!

Thierry Kron dit: à

@ Julie: Enfant, j’ai vu Gérard Philippe sortir du TNP, place du Trocadéro. Je rentrais de mon cours privé, rue Raynouard, pour me rendre à pied à la maison, rue de Courcelles*. C’était une fin d’après-midi, entouré de fans, dont beaucoup très jeunes. Je l’ai vu de très près, attiré par la curiosité je me suis approché. Je devais avoir entre 8 ou 9 ans, et bien, si j’avais dû voir un personnage par lui interprété, j’aurais certainement plutôt penché vers « Fanfan-la-Tulipe ». Gérard Philippe, ne devenait Rodrigue que sur scène. Comme tous les comédiens, vous devez en savoir quelque chose, non ?
* Sur cet itinéraire, j’ai rencontré BB en train de tourner une scène, où elle sortait d’un coupé rouge, rue Raynouard. J’ai demandé un autographe, j’ai reçu et l’autographe et un baiser sur les joues. Avenue Kléber, j’ai aperçu Ingrid Bergman sortir d’une voiture avec des enfants, ainsi qu’Anna Magnani. L’une ne représentait pas pour moi, son personnage d' »Europe 51″, ou l’autre, « Le Carrosse d’Or ». Quand je passais devant ce fameux palace de l’avenue Kléber, je ne connaissais pas non plus son ancien emploi sous l’Occupation.
J’ai aussi vu, plus tard, et dans un autre quartier, j’étais accompagné de ma grande sœur, Alain Delon et Romy Schneider, sortir d’une répétition de leur pièce « La P….Respectueuse ». Nous étions sous le charme de leur beauté et je n’avais aucune image dans la tête, de Romy en Sissi.
Voir en Gérard Philippe, Rodrigue, me parait un peu, rétrécir le comédien.
Un peu, la même chose quand les médias allemandes, voient en Gérard Depardieu, Obelix…
Je crois savoir que votre Père est un peu plus jeune que moi, a-t-il vu enfant, Gérard Philippe sur scène ? Maria Casares ?
Et vous, enfant ou adolescente, avez vous aperçu Marie-Hélène de Rothschild à sa fenêtre chercher du regard la star italienne de l’autre coté du fleuve, autre partenaire de cinéma d’Alain Delon ?
Je plaisante, nous sommes partis de Rodrigue vers l’Hôtel Lambert. Paris est un univers apte aux digressions.

D. dit: à

Tiens, renato revient nous faire un petit coucou sous le nom d' »un qui passe ».

les aventures de jean-foutre la bite dit: à

J’aime reconnaître tel ou tel par son pseudo, son nom, son style, sa spontanéité ou sa réserve, sa courtoisie ou sa grossièreté.

..té mal baré si tu te fie assa..chuis mormon.

ta mère dit: à

« je n’y connais rien en perversité »

tu connais que ça

l'art se délite dit: à

« l’exemple adéquat »
Il s’agit d’un effort d’une impossible synthèse et vous l’avez bien compris, je suppose.

W dit: à

D je radote?Il est vrai que je manque de ce dynamisme qui vous distingue,de cette inventivité,de la drôle de fougue drôle qui vous tient et me fait sourire quand vous vous y mettez mais tout de même j’espérai …Radoter,je m’absente pour longtemps donc,triste et honteuse.

D. dit: à

TKT dit : rétrécir le comédien.
On ne lave jamais un comédien à plus de 30°.

Je crois savoir que votre Père est un peu plus jeune que moi
Vous croyez savoir de drôles de choses. Vous devriez mieux suivre.

arte fiera dit: à

« Tiens, renato revient nous faire un petit coucou sous le nom d’ »un qui passe ». »

C’est que dame pipi c’est une vocation, un sacerdoce!

D. dit: à

« ce dynamisme qui vous distingue,de cette inventivité, »

C’est vrai, c’est vrai.

christiane dit: à

@les aventures de jean-f. la b. dit: 31 janvier 2013 à 12 h 16 min
Vous n’êtes jamais grossier.

Thierry Kron dit: à

@ JC: « Il est vrai qu’il ne tue plus, le ridicule. Sans cela, nous serions morts, vous et moi, depuis longtemps …. »: Allez savoir, JC, si nous ne sommes pas des ressuscités, sauvés par l’autodérision ? Pour le ridicule, je vous donne raison, mais il n’a jamais tué personne.
Morts nous serions donc, vous et moi, en compagnie de pas mal de commentateurs de la RdL. Sauf Philippe Teigneux, il n’est pratiquement jamais ridicule. À moins, que devant son miroir, le matin dans sa salle-de-bain, ou dans son dressing-room, il imite le Chancelier du Troisième Reich, en 1933-39.

les aventures de jean-foutre la bite dit: à

..la petite maison dans la prairie ça passait pa l’épreuve du cizeau come speudo..jean-foutre la bite ça passe nikel.

Thierry Kron dit: à

D.: C’est vous qui devriez suivre. Plus jeune, D., cela laisse une fourchette de 10 à 15 ans.

riton de la meuse dit: à

Jacques Barozzi dit: 31 janvier 2013 à 11 h 40 min
j’ai habité longtemps entre le square des Missions étrangères et le square Récamier.

Moi aussi, comme c’est drôle. Mais on n’a pas dû se croiser, car longtemps je m’y suis couché de bonne heure.

riton de la meuse dit: à

Vous êtes septuagénaire, TKT ? J’aurais pas cru.

Service de l'état civil dit: à

@TKT
CP est plus âgé que vous.

D. ouvre la bouche ! dit: à

« jean-foutre la bite ça passe nikel. »

C’est vrai, c’est vrai.

René Fallois dit: à

TKT, pourtant si people, croyait que ML était prof d’histoire géo et croit maintenant que CP est un perdreau de l’année.

les aventures de jean-foutre la bite dit: à

..cé crohn, main tenant que j’ai un speudo qui passe j’ai pu rien à dire..je monte un club de spéolo pour visiter en videoscapscule le tube de bougro, ça intéresse quequun? attation ça tache.

christiane dit: à

@les aventures de j.-f. la b. dit: 31 janvier 2013 à 12 h 16 min
vous, c’est plutôt ça :
« lors nous jecta sus le tillac plenes mains de parolles gelées, et sembloient dragée perlée de diverses couleurs. Nous y veismes des motz de gueule, (…).
Ce nonobstant il en jecta sus le tillac trois ou quatre poignées. Et y veids des parolles bien picquantes, des paroles sanglantes… »
Le Quart livre , LVI – Rabelais

Thierry Kron dit: à

J’ai 66 ans, et franchement, si CP a passé 70 ans (il est quand même toujours actif dans une université de NY), je ne vais pas en profiter pour me sentir beaucoup plus jeune parce qu’il serait mon aîné de quelques années.
Le plus gâteux sur la RdL, est un connentateur de 50 ans
Quant à notre aîné à tous, HR, joli performance de nettoyage des commentaires.

jean-fourre le con dit: à

Dites-lui de laisser Rabelais tranquille!

bleubite dit: à

visiter en videoscapscule le tube de bougro

..ma mère..y’a aussi le fil dentère pour atacher le chinois..sa bleuit vite mais sa tiens raide..c’est humain..cfdt vdqs

Thierry Kron dit: à

@ René Fallois: Prof de 5ème, que ce soit pour l’histoire-géo ou la Littérature, je ne vois pas trop la différence sur ce que cela dit sur l’intellect de ML. MàC, prof d’Histoire, serait-il moins valable que ML ?
J’avais repris une information malencontreuse d’un autre commentateur. Franchement, quelque soit sa spécialité, le ML en reste un personnage de cartoon.

bleubite dit: à

l’histoire-géo ou la Littérature, je ne vois pas trop la différence

..ma mère de ma mère..tu me fera une carte de france et tu mettra tout les lieux ou lafontaine a pissé derière l’église..

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’avenir en Bourse,…
…les « actions »,…de la trust  » Escort-Girls « ,…monte en flèche,…
…la côte d’amour d’Adam l' » Eve « ,ses client s à la pompe et les renvois à la rustine,…
…la bicyclette en hybride tricycle du gay mariage pour tous,…
…déjà l’été,…le tripoteur aux lèches-glaces,…les boules à la vanille, grenadine, rubis du terroir à chameaux, perlin-pinpin azotés,…
…livrable 24 h sur 24,…rembourrés à l’oseille si pas satisfait,…
…nos grazy-horses-masseuses qui travaillent en noir,…les hordes – oeuvres en chèvres à traire le litron,…Ben-Hur – Western,…pur crotte du diable le fromage,…
…etc,…

bouguereau dit: à

y’a aussi le fil dentère pour atacher le chinois

c’est vulgaire..cftc

rougebite dit: à

tout les lieux ou lafontaine

..et partout ou dracul a laissé une photo de cul de son grand dab,vontraube..tu suit pas, c’est patent..

JULIE dit: à

Thierry Traube, je voulais seulement dire, avec bouguereau, que Régis Debray se voyait en personnage au-delà de sa mort.

Mon père (cher Jacques Barozzi, il est parti au cul des chevaux de la caserne des Célestins) a en effet vu tout ce que vous évoquez. Mais encore : SEC a raison, il est plus âgé que vous. C’est pourquoi, au demeurant, une ou un qui lui dit au futur que l’épate le « perdra » le réconforte plutôt. Et nous aussi, les cinq +sept…

Thierry Kron dit: à

Le problème des Musées parisiens, ils sont trop petits.
Pour cet enfant qui aurait souillé ses pantalons, beaucoup de bruit pour rien. Ses parents ne devraient jamais se promener sans culottes propres ou lui acheter des culottes comme en portent les bébés asiatiques. Le cul à l’air.
Les gens du musée ont mal managé cette affaire et les médias ont sauté sur l’occasion.
Entre être bébé au cul souillé mais en visite dans les musées, ou bébé propre sans visite culturelle, franchement, quelle est la meilleure éducation ?
Je me rappelle d’un vol Puerto-Rico vers NY, en classe touriste: Devant moi une puertoricaine changeait les langes de son bébé. Je sortis une bouteille de parfum et le mari, vexé voulait me faire la peau. Pourtant dans les avions, tout est aménagé pour faciliter le changement des Pampers, sans déranger ses voisins.
Fazit, les musées devraient faire la même chose que les Cies aériennes.

Sagesse tantrique. dit: à

Quand le chinois bleuit, détacher papy.

bouguereau dit: à

Dites-lui de laisser Rabelais tranquille!

hé c’est pas chateaubrillant lui..t’étonnes aprés qu’il plaise pas a régis

hildenstein dit: à

au regeret de ne pas comprendre ce que les gens qui ne sont pas et ne se reconnaissnet pas juifs en tant qu’appartenant aub peuple juif-serait-ce après leur conversion au judaïsme -veulent dire par quand ils disent qu’ils sont sionistes.
quant aux raisons pour lesquelles j’ai envoyé des lignes ici et là sur le blog de P.Assouline,,c’est que l’ayant lu pour la première fois, il y a assez longtemps , puis ayant continué , sur papier, je désirais comprendre encore et à travers lui, et à travers son blog certaines choses.
Je ne prétends pas avoir réussi , mais il me semble y voir quand même un peu plus clair à propos des questions que je me posais , grâce à lui, donc, bien plutôt que à son propos, ce qui serait totalement faux .
Ce blog m’a doncrarement fait rire, ou seulement sourire.
Le billet pose l’écriture dans le champ de la dette :et il faut entendre la dette de vie
d’avoir survécu.( survécu à des croyances aussi sur soi et des illusions sur tout dans un monde qui n’acessé de changer.(je n’ai pas survolé tout le dossier « progrès » sur le site de non fiction . je ne sais pas si j’ai fait des progrès en suivant un peu ce blog de ma façon.j’ai appris à me servir un peu d’un ordinateur à mon rythme , en faisant une recherche , en me laissant un peu porter par mon ignorance, ma curiosité,ma fatigue aussi mais toujours dans une tension de travail. Je n’ai pas le savoir infus, ni les désirs si vifs que la plupart des commentateurs: que je n’envie pas , si peu si mal que j’arrive à avoir d’eux une image . La plupart m’ennuient, hommes comme femmes. mais cela tient autant à moi qu’à eux , et sans doute au fait que ce soit par internet avec ses facilités et ses tentations si nombreuses, pour voir un tableau, lire un article , faire une peite recherche à partir de laquelle échafauder , rêver des constructions intellectuelles , faire valser des mots , des lettres , des pages, tout effacer , et raler et pester…
Bonne suite

Thierry Kron dit: à

JULIE, merci pour votre réponse.
À lire les commentaires de votre Père, et sans faire de fiche, je n’ai jamais pensé à un âge précis. Seulement à un personnage qui sait ne jamais s’emporter et cela, bien sûr, c’est une grande qualité, la maîtrise de soi.
Je trouve aussi étrange de classer les gens, uniquement par rapport à leur âge.

Un qui passe dit: à

« La plupart m’ennuient, hommes comme femmes »

va voir ailleurs donc

les aventures de jean-foutre la bite dit: à

..ta vu hideuchtaïn,m’suis pa fait circonscrire le skègue en passant le fil..toujours mormon, ma mère. c’est patent.

DHH dit: à

TKT
moi aussi je suis assez vieille (bien plus que vous) pour avoir vu plusieurs fois Gerard philippe sur scene .
En (sic) avignon dans le cid et le prince de hombourg à la fin des annéees 40,plus tard(vers56) au TNP dans Lorenzaccio.
Al’epoque il peuplait nos rêves d’adolescentes.
mais autant son images reste pour moi deconnectée de Rodrigue,autant elle demeure attachée à Lorenzaccio, et elle m’ a en permanence accompagnée dans une relecture recente(et obligée) de la piece au programme d’un concours passé par mon petit-fils .
au point que j’ai compris qu’il me serait impossible de revoir la piece sur scene aujourd’hui donc avec un autre Lorenzo sans une certaine impression inconfortable d’inauthenticité

Ed Vige dit: à

Thierry Kron dit: 31 janvier 2013 à 13 h 08 min
« et sans faire de fiche »

Oh le vilain petit menteur !
L’antre du zürichois est bourrée de fiches.
Ok, mal tenues, mais tenues.

« je n’ai jamais pensé à un âge précis. »

Non, seulement 10 à 15 ans de moins que lui.
(La fiche vient d’être mise à jour, bien ?)

Mais quelle burne !

hildenstein dit: à

ce n’est pas absolument du voyeurisme de lire les commentaires des uns et des autres sur l’enfant, le mariage, la philosophie, l’école et les Ecoles -parce qu’enfin, il n’y a pas que l’école de la cause freudienne (!), ni sciences po , ni HEC,(etc)-ni les écoles d’origami(s’il y en a )de telle sorte que ce blog présente une palette réjouissante d’évolutions, de perspectives qui aboutissent à des désirs relatifs aux livres,comme à Naples ; voir naples et .des..mots et des pots pour rire

JC dit: à

« au regeret de ne pas comprendre ce que les gens qui ne sont pas et ne se reconnaissnet pas juifs en tant qu’appartenant aub peuple juif-serait-ce après leur conversion au judaïsme -veulent dire par quand ils disent qu’ils sont sionistes. »

Hildenstein, si vous ne comprenez pas ce que cela veut dire être sioniste, sans être juif soi-même, ou croyant d’une de ces religions monothéistes qui prospèrent sur la planète, je m’en vais vous aider.
L’idée d’Herzl de créer une Terre d’Israel, là où elle fut depuis toujours, m’est toujours apparue comme extrèmement saine, naturelle et généreuse. Voilà, c’est tout. Aurais-je été trop clair pour vous ?

Thierry Kron dit: à

@ Hildenstein: J’ai vu un reportage sur une chaîne de TV allemande, il y a quelques années, sur des convertis au judaïsme. Conversion en passant par un séjour prolongé en Israël. J’ai connu aussi des femmes, qui pour faire plaisir à leur mari, se convertirent. Elles finissaient par être plus pratiquantes que leur conjoint. Lesquels souvent, avaient une pratique tiède.
Je peux facilement imaginé que la grand-mère de ML, mariée à un goy, était peu religieuse. ML est Juif par conversion, pour donner à son personnage, une certaine ampleur. C’est son droit, il se mélange un peu les pinceaux quand il raconte une histoire de famille de la noblesse d’ancien régime en France, qui devenue catholique, serait partie pour finir dans un Shetl. C’est assez confus. Idem pour son grand-couturier vers 1910, la liste de cette profession avant WW1 est courte. Il mélange le sur-mesure et grande-maison-de-couture. Si c’est vrai, il n’a pas hérité de ces grands-parents là, le goût de la présentation de soi par le vêtement. Sur son Blog, il est étrangement habillé, coiffé and so on. Ce qui est amusant chez ML, ce sont ses mélanges sans pastiche.
Chez vouz ? Ce qui est amusant ? Votre résilience, et votre capacité de savoir changer de peau comme un serpent. Vous donnez le change, pendant un certain temps, puis on vous devine.
Vous avez toujours eu, quelques phrases qui valaient la peine d’être lues.

hildenstein dit: à

je trouve encore plus étrange que chacun ici revendique une sorte de reconnaissancede professur de français comme il doitt être parlé, pensé, et écrit à cheval, en katogan au trapèze et en katamaran, avec caméra intégrée, et orus les subjonctifs en ask-ent et le bon neuil like IKE ahahah

Thierry Kron dit: à

@ Ed Vige alias connemara dit: 31 janvier 2013 à 13 h 34 : en dehors de vous et à cause de vos commentaires diffamatoires depuis 2005, je ne fais jamais de fichier sur les autres.
Et pourquoi aurai-je fait une fiche sur CP ? Vous divaguez comme toujours. Mauvais et con. Edwige, cela vous va bien, quoi que non, reprenez le nom d’une étoile ou d’un produit laitier.

L'autre qui passe dit: à

Désolé hildenstein, mais registre comique bien à part, je ne vois pas comment vous lire. Une suggestion ? Et encore, quelle boisson conseillerez-vous en accompagnement de vos coms ? Ne me parlez pas de « limonade gazeuse », S.V.P.

D. ouvre la bouche ! dit: à

Curieusement, dans ma mémoire imaginaire, Gérard Philipe reste ce personnage complétement déjanté du film Les Orgueilleux avec l’érotique Michèle Morgan en nuisette collante de sueur sous le soleil de Mexico !

Il est culotté et courageux Sarkozy d’aller dire sa vérité, chèrement payée, aux Juifs qui l’ont invité.

On pourra constater, plus tard, qu’elle sera l’influence sur un enfant selon qu’il aura été élevé par un couple d’homos mâles ou femelles. La différence capitale étant que chez les uns la lunette des WC est toujours relévée et baissée chez les unes.

L'autre qui passe dit: à

Vous avez opté pour un WC sans lunette, D., je suppose.

hildenstein dit: à

laissez tomber TKT !j’ai rencontré des converti-e-s au judaïsme , hommes et femmes,et même des né-es juifs ou juives (ce point, qu’il y aitdes femmes juives ? devient de plus en plus litigieux dans les colloques ..sous pavillon juif )reconverti-e-s pas même pour cause de mariage ou d’adhésion quelconque à un groupe !
ici il y en a pour lesquel seul le verlamben est du pur français littéraire esthétique : ce n’est pas moi qui vais les contrarier : ils peuvent fonder un groupe du velambèzémois et me faire condamner pour ne pas accepter que je ne suis pas leur propiété
parce que je ne sais pas me servir de mon ordi comme leurs chats, leurs limaces, leurs carpes, et leurs chevaux de la page 666

hildenstein dit: à

pour LESQUELS

L'autre qui passe dit: à

On va chez l’esthéticienne et on lui demande de soigner notre verlamben, sauf si c’est pour une soirée de gala où ce sera notre pur français littéraire esthétique qu’elle soignera.

John Brown dit: à

« L’idée d’Herzl de créer une Terre d’Israel, là où elle fut depuis toujours, m’est toujours apparue comme extrèmement saine, naturelle et généreuse.  » (rédigé par JC)

Apparemment que l’ami Herzl n’avait pas repéré les difficultés que la réalisation de son rêve allait soulever. A commencer par le fait que cette terre n’appartenait plus au peuple d’Israël depuis deux millénaires et que, depuis le temps, d’autres s’y étaient installés. De cette difficulté-là Israël n’est toujours pas sorti.

Ed Vige dit: à

Thierry Kron dit: 31 janvier 2013 à 13 h 53 min
@ Ed Vige alias connemara

Encore perdu vontraube,
tes fiches sont vraiment mal tenues.

Fait un effort, assume tes écrits

D. ouvre la bouche ! dit: à

« L’idée d’Herzl de créer une Terre d’Israel, là où elle fut depuis toujours »

C’est comme si l’on voulait créer un état pour les homosexuels sur les sites des anciennes Sodome et Gomorrhe ?

John Brown dit: à

« Aux bibliothèques sans lecteurs, où l’on vient pour Internet, correspondent des religions sans dogmes, et des prêtres sans soutanes. » (cité par Versubtil)

On aimerait que l’ami Régis nous fournisse un brin d’explication. Le goût de la formule ne servir d’alibi à l’indigence de la pensée.

John Brown dit: à

erratum (14h19)

« ne saurait servir d’alibi »

le voisin à JC dit: à

« créer un état pour les homosexuels sur les sites des anciennes Sodome et Gomorrhe  »

c’est le rêve de jc

Jacques Barozzi dit: à

Vous avez raison, D., on ne saurait se contenter de ces ghettos qui ont pour noms : Sitgès, Mykonos ou encore le Marais parisien !

JC dit: à

Evidemment, Jambrun, évidemment ! Si les Juifs étaient restés bien sagement entre eux dans les ghettos … ils n’auraient pas eu toutes ces, disons, difficultés avec leurs sympathiques voisins !
Il me semble pourtant qu’il fallait prendre les risques qu’impliquait un tel projet de retour aux sources, et ceux qui consistent à défendre coute que coûte le projet sioniste !

hildenstein dit: à

@L’autre qui passe dit
cherchez vous-même la boisson qui vous conviendra.en évitant com@essipiuqehcav

Jacques Barozzi dit: à

Dans ce cas-là, JC, les Romains pourraient aussi faire valoir leurs droits sur la Lutèce de Julien l’Apostat, non ?

JC dit: à

Pour les homosexuels, il faut brûler jusqu’au dernier ces sodomites assoiffés de luxure, et en place publique, s’il vous plaît ! A Paris, Delanoé passant de l’Hôtel de Ville à la Place de Grève … un must.

Jacques Barozzi dit: à

Du Marais à la place de Grève, il n’y a aussi qu’un pas pour les Juifs de la rue du Rosier et du quartier Saint-Paul, JC ! Philippe l’Araignée va être content de toi…

Jacques Barozzi dit: à

JC le reconquis !

Jacques Barozzi dit: à

« 5,2 millions de fonctionnaires sont appelés à faire grêve »

Vous en ferez partie Daaphnée, ML, Bloom et les autres ?

JC dit: à

Allez, Jacky, te fais pas de mouron !

L'autre qui passe dit: à

« cherchez vous-même la boisson qui vous conviendra »

Ce n’est pas du jeu: si vus jugez à tout-va, vous devriez aussi être capable de conseiller une boisson.

Jacques Barozzi dit: à

On sait tous que le seul qui parle de limonade sur ce blog c’est renato !

un qui dit: à

DHH dit: 31 janvier 2013 à 13 h 32 min

En (sic) avignon

Chère DHH, non. Il convenait de dire « en » Avignon quand cette cité n’était pas française. Elle ne l’est que depuis 1791, mais ça commence tout de même à compter. On allait « en » Avignon parce que c’était un autre pays (un Etat pontifical jusqu’à la révolution française).
Certains disent aussi que l’usage de la préposition « en » est une survivance de l’occitan, qui met des liaisons partout : an Avignoun, an Arle ou encore as (et non an) Aiz, pour Aix. (Vous remarquerez que plus personne ne dit as Aix.)
Si le « en » n’était là que éviter l’hiatus, on dirait aussi « en » Arras, « en » Amiens, etc.
Quoi qu’il en soit, la municipalité d’Avignon a publié plusieurs mises au point rappelant qu’il fallait dire « à ». Faites-lui plaisir.

L'autre qui passe dit: à

Lors de ses voyages JC doit avoir entendu des gens très intelligents faire de l’humour anticonformiste, et il s’est dit que puisqu’il est lui-même très intelligent, il peut en faire autant. Seulement, nous n’évaluons pas toujours notre intelligence à sa juste valeur — l’œil de l’éleveur grossit le lapin.

un qui dit: à

Sitgès, Mykonos ou encore le Marais parisien !

Et San Francisco.

L'autre qui passe dit: à

« On sait tous que le seul qui parle de limonade sur ce blog c’est renato ! »

C’est vrai, et dans le respect des coutumes relatifs à l’usage de la citation, j’ai encadré l’expression limonade gazeuse par des guillemets d’une très grande beauté.

Ecran total dit: à

des guillemets d’une très grande beauté

Dans ce genre-là : «  » ? Magnifique.

bouguero dit: à

Détection d’un doublon : il semble que vous avez déjà envoyé ce commentaire !

bouguero dit: à

..de meêêêêrde

copycat dit: à

Dans ce genre-là : « » ?

Boh j’ai les mêmes à la maison.

bouguero dit: à

l’œil de l’éleveur grossit le lapin

ça contrepète de lapin on dirait

L'autre qui passe dit: à

« Dans ce genre-là : « » ? »

Vous ne pouvez en aucun cas affirmer qu’il ne sont pas d’une très grande beauté. « Magnifique », par contre, me semble un mot dont on a abusé.

bouguero dit: à

rappelant qu’il fallait dire « à »

mais on dit encule.. »voyage en terre jaune » que les anciens disaient..ils étaient dégueu

il fallait que ce fût dit: à

..de meêêêêrde

C’est vrai, on comprend pas pourquoi on devient tricard sur le blog d’un post à l’autre. Faut sans cesse changer d’adresse mail. lassouline doit plus s’y retrouver.

L'art de la flute dit: à

en terre sainte le cul nu, c’est trop long

Jacques Barozzi dit: à

Mais limonade gazeuse est un pléonasme, renato, et, avec ou sans guillemets, c’est pas très beau !

les aventures de jean-foutre la bite dit: à

Quoi qu’il en soit, la municipalité d’Avignon a publié plusieurs mises au point rappelant qu’il fallait dire « à ». Faites-lui plaisir.

..je t’accule..ça te fait plaisir?

Daaphnée dit: à

J’ai épuisé tous les saints, Pfff!

Jacques Barozzi dit: à

Le boug il a rien compris, il suffit de changer d’adresse, pas de pseudo !

bouguero dit: à

me faire condamner pour ne pas accepter que je ne suis pas leur propiété

toi t’aimes te faire fesser..

Daaphnée dit: à

Même !

il fallait que ce fût dit: à

t’alignes trois posts dits « sérieux », ça passe. Tu fais un petit troll de rien de temps en temps comme tout le monde et, boum, t’es blacklisté.

Jacques Barozzi dit: à

« J’ai épuisé tous les saints »

La salope !

Ça alors ! dit: à

Mais limonade gazeuse est un pléonasme (sic !)

Daaphnée dit: à

Bon, c’est sûr le Boug’,
si vous n’arrivez pas à poster plus vitre, on va en core croire des trucs …..

bouguero dit: à

..y’a la mémorisation qui m’oblige baroz

Jacques Barozzi dit: à

citronnade n’est pas linomade, ça alors !

il fallait que ce fût dit: à

il suffit de changer d’adresse, pas de pseudo !

Oui, mais alors c’est la porte ouverte à toutes les usurpations de pseudo, il n’y a plus de contrôle possible.

bouguero dit: à

..je t’accule..ça te fait plaisir?

..faite ce que vous voulez qu’on vous fit

Daaphnée dit: à

(Jacques, retenez-vous. Une nouvelle hagiographie est en train de s’écrire « .fr » .)

Jacques Barozzi dit: à

L’essentiel c’est qu’il fallait que ce fût dit !

Jacques Barozzi dit: à

« retenez-vous »

J’peux pas, je suis redevenu aussi incontinent qu’à mon premier âge !

L'essentiel c'est qu'il fallait que ce fût dit: à

Non non non je ne suis pas Jacques Barozzi. Je m’en flatte pas, remarquez.

Daaphnée dit: à

Je ne suis pas Daaphnée ! Je suis là pour vérifier si on peut usurper n’importe quel pseudo comme dit l’autre, plus haut.

Médusé dit: à

test pour la millième!

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