Rentrée littéraire : troisième salve !
Feydeau ? On y court, cette fois non au théâtre mais en librairie pour Feydeau s’en va (20,90 euros, 272 pages, Albin Michel) de Thierry Thomas. Voilà un roman vraiment réjouissant, c’est assez rare pour être signalé et plutôt bienvenu en cette période sombre. La personnalité́ du héros n’y est évidemment pas étrangère. Comment ne pas avoir le sourire aux lèvres à la seule évocation du nom de Georges Feydeau, incarnation de l’esprit de la Belle époque, le roi du vaudeville et de la comédie de mœurs, celui qui a changé notre perception de la légèreté́ ? Il s’agit du Feydeau de la fin, saisi pendant une dizaine de jours à 54 ans en 1916 (année de la création de sa dernière pièce Hortense a dit : « Je m’en fous »), cinq ans avant sa mort, lorsqu’il se sent sombrer dans la folie. Il n’arrive pas à terminer une pièce (Cent millions qui tombent) et demande à une jeune veuve de 17 ans, Virginie, qui veut lui vendre une lettre de Napoléon, de le rejoindre à l’hôtel Terminus-Saint Lazare où il vit depuis sept ans afin de l’y aider (aujourd’hui, ce ne serait plus possible…). L’homme, aussi tourné vers le passé que sa muse regarde vers l’avenir, prussien passionné et grand collectionneur d’impressionnistes, est pathétique tant il est rongé par le doute face à la page blanche. La hantise de ne plus y arriver alors que le folie issue de la syphilis le gagne. Tragique pour celui qui, selon l’auteur, pratique un théâtre gouverné par un absolu du rire mais dénué du moindre sentiment et tout amour. On assiste en fait à la chute du héros pris dans la tragédie de son roman familial tandis que la guerre s’apprête à tuer le vaudeville. Là le romancier se fait le biographe non pas factuel mais instinctif du personnage. Au fil du récit, on voit Feydeau se persuader que son succès repose sur une imposture. Et tout cela à cause de l’irruption d’un cheval dans sa pièce, un malheureux canasson dont le dramaturge ne sait que faire ! Aussi drôle que triste. Thierry Thomas, en fan du second Empire et de la Belle époque, est à son meilleur lorsqu’il nous livre en creux une belle réflexion sur le théâtre, une revisitation en passant du Dindon, de la Dame de chez Maxim’s, de On purge bébé, des dialogues formidablement ciselés, un rythme plein d’allant dans la marche du récit malgré́ la contrainte du huis-clos… On imagine sans peine l’adaptation théâtrale de ce roman. Et pendant ce temps, dehors, la guerre se poursuit.
Les femmes en question, dans Les femmes de nos vies (360 pages, 20,90 euros, La Belle étoile) de Canesi & Rahmani, se dévoilent dès l’épître dédicatoire : « A nos mères, à nos sœurs » laquelle irrigue ce roman à la couleur et au parfum très méditerranéens comme l’ont été leurs précédents livres ensemble. Mourad, son personnage central, est sauvé de l’autodestruction, par l’amour que trois femmes lui portent. Trois femmes d’origines très différentes : une Algérienne, une Jurassienne, une Parisienne. Trois femmes puissantes et résilientes. Confrontées aux choix de vie de leurs fils, les deux premières se lient d’amitié sous les yeux de la troisième qui en est le témoin au sens conjugal du terme. Deux mères qui « quand elles aiment, sont capables d’entendre l’inaudible » notamment ce que leur éducation, leur tradition, leur conviction réprouvent. Le trio se retrouve dans une maison à Reilhac, non loin d’Aurillac dans le Cantal, pour l’empêcher de glisser inexorablement dans la dépression, puis au bout d’un tunnel de plus en plus sombre, la mélancolie et la mort volontaire. Entièrement creusé dans les roches de ses personnages même si la nature y tient son rang, celles de l’Algérie, de l’Auvergne et de l’Aisne, sans parler de la magie de l’Authre, la rivière qui soigne, c’est un roman qui ose « les beaux et les bons sentiments » malgré la mauvaise réputation que leur fit Gide, en faisant passer en contrebande un message de tolérance, de réconciliation, d’optimisme même si la mort est bien présente à travers le spectre du sida qui fit des ravages. Les valses de Chopin n’y sont peut-être pas étrangères mais l’émotion passe là où tant de préjugés résistent. On pourra toujours épiloguer une fois de plus sur la question de savoir si, lorsqu’un duo signe un livre, celui-ci a été écrit à deux mains ou à quatre mains, celles de Michel Canesi et Jamil Rahmani. Vain débat car seul importe son unité afin qu’il s’en dégage une seule voix, celle d’un écrivain, ce qui est bien le cas en l’espèce, tout en finesse et délicatesse.
Etrange road-bookie (ça se dit quand il ne s’agit pas d’un film ?) à cheval entre la France et la Suisse, admirable par le raffinement de sa construction que La Ferme du paradis (Albin Michel) de Bernard Comment. Un homme rencontre une femme. Ils sont jeunes et libres. Ils fuient Paris pour le Sud où elle est maitre-nageuse. Elle a passé identitaire chargé, complexe, enchevêtré. Tout remonte au gré de leurs errances par la curiosité de son ami et l’amour qu’il lui porte. Leur enquête commune est peuplée de fantômes, féminins pour la plupart. Des secrets de familles peinent à affleurer, des non-dits à se formuler. Le récit aboutit in fine près du lac Léman et à Porrentruy (canton du Jura), ville de naissance de l’auteur, moyen d’explorer le génie des lieux et de faire parler des murs qui ont de la mémoire. On connait des travailleurs frontaliers. Ce livre est un roman frontalier très prenant, littérairement impeccable. La guerre est très présente avec ses passeurs clandestins, ses réfugiés, ses refusés. Au cours de multiples changements d’identité, un personnage adopte l’état-civil d’Antoine Rouge, clin d’œil au personnage de La Beauté sur la terre du grand Ramuz. Car c’est de ce vieux fantasme très partagé qu’il s’agit, aussi : disparaitre sans laisser de traces, dérailler au sens propreA intervalles réguliers, le récit fait une pause de quelques pages en italiques avec les grands moments de l’exil français : les Huguenots de 1686 (dont l’expertise en micro-mécanique fera les beaux jours de l’horlogerie suisse), les Républicains de 1848, puis 1871, 1940… Des gens venus d’ailleurs mais de tout à côté dont l’intelligence a irrigué la jeune Confédération. Et même si à la fin, l’héroïne tend le doigt par de-là le Léman en murmurant « C’est quand même beau, aussi, la France », on ne peut l’emporter avec soi sans oublier celle qui domine le récit : « L’étranger aussi est une occasion ». Ce beau roman se tient sur une ligne de crête entre les deux. A la frontière…
(« M. et Mme Feydeau sur un sofa, 1901 », huile sur toile de Jean-Edouard Vuillard, musée ou collection privée inconnus ; « L’Authre en amont du pont ouest à Vercuères, Laroquevieille, Cantal, » photo père Igor ; « Château de Porrentruy » photo D.R.)
1 597 Réponses pour Rentrée littéraire : troisième salve !
au paradis on ira:
https://www.youtube.com/watch?v=DBXaKjMsTbI
Michel Polnareff est le fils de Leib Polnareff (1899-1988), musicien juif russe, né à Odessa et réfugié à Paris en 1929, et de Simonne Lane (1912-1973)1, danseuse originaire de Lennon (Finistère) dont l’ascendance a des attaches à Port-Launay et à Loctudy2. Sa tante, Kila Polnareff3, est pianiste, et l’époux de celle-ci, Boris Vinitsky, photographe4 ; ils sont morts tous deux en déportation à Auschwitz.
Fabien Roussel dit :
« heureux qui communiste… »
Je sors.
Va nager.
Langue française
1. Participe passé du verbe « dissoudre »
Nous avons tous entendu « l’Assemblée nationale a été dissoute ». Pour le féminin, acun problème.
Mais au masculin ? En se fondant sur le féminin « dissoute », biens des gens sont tentés d’écrire
« dissout ». Eh bien non ! Le participe passé du verbe « dissoudre » au masculin s’écrit «dissous ».
2 . Tête-à-tête ou tête à tête ? Cest selon. Quand c’est un substantif, on met des traits d’union,
Quand c’est une locution adverbiale, on ne met aucun trait d’union. Ex. « Nous avons eu un
tête-à-tête. » « Nous avons parlé tête à tête. »
M;charoulet
j’en appelle a vos lumières eta votre stock de grammaires et dictionnaires
Est-ce que l’adjectif DISSOLU ne serait pas e un ancien participe passé de dissoudre qui aurait perdu sa valeur verbale?
au regard des règles de l’évolutionniste phonétique (solvere devenant soudre) ce serait vraisemblable
si non àquoi le rattacher ?
merci
M;charoulet
j’en appelle a vos lumières eta votre stock de grammaires et dictionnaires
Est-ce que l’adjectif DISSOLU ne serait pas e un ancien participe passé de dissoudre qui aurait perdu sa valeur verbale?
au regard des règles de l’évolution phonétique (solvere devenant soudre) ce serait vraisemblable
si non àquoi le rattacher ?
merci
@marie sasseur
auriez vous l’obligeance de ne pas caricaturer mon ancien pseudo?
Marie Sasseur est , ce nous semble ? guettée par un petit travers ; elle souhaite réécrire et illustrer à sa manière les articles de Pierre Assouline, lequel ne dit mot.
« Tête-à-tête ou tête à tête ? »
C’est pareil pour Tête-à-queue ou tête à queue, monsieur Charoulet ?
« Auriez-vous l’obligeance » dit le vieux chameau.
Je me contrefous de ses exigences c’est clair.
En revanche qu’elle ne s’amuse plus en daubant mes commentaires, à se prendre pour la gouvernante de sa domesticité. Qu’elle converse avec sa » pietaille « , cette vieille ignoble.
Résoudre a un participe passé féminin en résoute mais il est extrêmement rare et on lui préfère la forme résolue.
absoudre!
le participe passé absous, absoute a éliminé l’ancien participe passé absolu. Résoudre forme son participe passé en résolu. Résous est très rarement utilisé.
Passou , serieux, vous auriez tout pu choisir autre photo que le château de l’évêque. Chacun sa soumission, hein, Passou; moi de l’évêque je m’en tape mais grave. Et à chaque scandale d’abus sexuel, c’est à dire tous les jours, un peu plus, que je m’en tape de la curaille.
Non, à Porrentruy, il y a le plus grand garage Lamborghini d’Europe, ça a quand même plus de gueule, une Countach.
Rouge…
Le calvaire de Fatma. Au procès de Peter Cherif, djihadiste jugé pour sa potentielle implication dans les attentats de Charlie Hebdo et son passage chez Al-Qaïda au Yémen, son ex-femme a raconté les viols et la séquestration qu’il lui avait fait subir à l’âge de 16 ans.
le point
systeme:
la competition régule toute notre scolarité en france
pensezvous queles résultats de « nos carrières » dépendent de ce système?
notre scolarité, et au-delà,comme nos amours?
Love & Other Drugs
Et tant qu’à faire ce ne sont pas les pistes qui manquent dans ce roman lz ferme du Paradis pour l’illustrer.
En voici une autre, des vitraux de Fernand Léger
VITRAIL TRADUCTION/
Paul Virilio a commencé à travailler à l’Atelier de Vitrail d’Adeline et Paul Bony, où il s’est intéressé à la transcription de la peinture en vitrail.
« J’ai appris que chez Paul Bony, un atelier important pour le vitrail, on cherchait des maîtres verriers. Une formidable opportunité qui m’a permis de côtoyer Le Corbusier, de travailler avec Braque pour Varengeville ou surtout avec Matisse pour la chapelle de Vence. Je me retrouve ainsi dans ce qu’on appelle “les traductions” : les artistes viennent à l’atelier pour que l’on traduise certaines de leurs œuvres en vitrail, technique qu’ils ne maîtrisent pas. Pour moi, après l’effervescence de Montparnasse, c’est un véritable plaisir de traduire dans le verre et le plomb des dessins d’artistes que j’admire. »
En 1950, Paul Virilio se convertit au christianisme. L’après-guerre voit un renouveau de la foi dans cette Île de France qui se relève à grand-peine.
« Mon père était communiste, ma mère catholique mais je n’étais pas baptisé et nous étions une famille laïque. Je vais à la rencontre d’un prêtre-ouvrier qui s’occupait d’immigrés et habitait La Plaine Saint-Denis. C’est par lui que j’entre dans
@et alii
merci d’avoir répondu a la question que me charoulet semble ne pas avoir encore lue
une question :dans quel givrage avez vous trouvé ces renseignements? merci
virilio suite
Il réalise avec Henri Déchanet, les vitraux de l’église Notre Dame des Pauvres, d’Issy-les-Moulineaux, dessinés par le peintre Léon Zack et réalisé dans l’atelier du peintre, rue de la Vieille Forge à Vanves, puis ceux du Couvent de la Clarté Dieu à Orsay, dessinés par Serge Rezvani.
« Malgré ses mille ans d’âge, le vitrail demeure donc d’actualité, ouvert directement, physiquement, sur les profondeurs d’un ciel, dont l’exploration sensible est à inventer. »
Il continue à peindre, et travaille sur une série d’huiles sur toiles « les Antiformes », dirige une galerie de peinture, rue de l’Ancienne Comédie (Paris 6e) et suit en auditeur libre les cours de Vladimir Jankélévitch, de Raymond Aron, de Merleau-Ponty, mais aussi ceux des physiciens Louis de Broglie et René Thom.Il crée en 1955 un atelier de vitrail avec
virilio foi suite
« L’art sacré représentait une forme de paix intérieure et ce n’est pas par hasard si mon engagement dans ce monde-là avait été précédé, peu de temps avant, par ma conversion au christianisme. »
En 1956, Il réalise les vitraux de l’église paroissiale Saint Nicolas à Oye-et-Pallet, dessinés par Serge Rezvani puis est appelé dans les Aurès pendant la Guerre d’Algérie. Fin de la période du Vitrail pour Paul Virilio.
La plus évidente, outre celle de la ferme elle-même que j’ai proposée, pour feux qui ont- évidemment- lu ce roman- sera peut-être ce tableau :
C’est ça Passou, vous devriez lancer des défis, comme celui de la meilleure illustration, et pour ce roman-là , force est de constater que vous êtes un peu beaucoup, hors sujet !!!
pour ceux qui ont- évidemment- tcetera, tcetera
Et puis voilà.
Je reviendrai pour le prochain.
Vieille ignoble vous irait beaucoup mieux qu’ à Rosanette, Sasseur. Il est des effets boomerangs…
Avant de quitter, merci Et Al, pour cet éclairage, on peut le dire, sur l’oeuvre de Virilio, à la suite de Fernand Léger.
Moi je n’aime pas les vitraux pour pauvres. J’estime qu’ils peuvent tout simplement s’en passer, puisqu’ils arrivent déjà à se passer de leurs dents.
Polnareff est un remarquable musicien et compositeur mais il est complètement dans l’erreur en affirmant que nous irons tous au paradis. Il y a au contraire très peu de gens qui iront au paradis. Bon nombre iront en Enfer et beaucoup auront un très long et salutaire purgatoire.
Qui est « le vieux chameau » ? Je n’ai pas suivi. renato ?
Ah non, pardon, c’est MC. J’avais pas suivi.
@rosanette,en général, je trouve les quelques lignes que j’envoie dans mes souvenirs, complétés ou vérifiés par un clic avant d’écrire; bosseuse, j’ai toujoursessayé d’avoir des précisions sur mes miettes de « savoir »(vous savez, je doute beaucoup de mes restes,quelquefois parce que j’ai été trop vite,au temps premier de l’apprentissage,je suppose que nous avons tous nos « méthodes » pour apprendre, et comme le temps passe, je considère mon âge et suis obligée de me rendre à l’évidence; et d’abord qu’il y aura quelqu’un de la RDL qui saura mieux que moi, et rafraîchira mes miettes;et c’est toujours vrai qu’il y a quelqu’un qui sait mieux que moi ici,tant mieux!
à plus tard
C’est parce que j’avais pas suivi.
Puck ? Tu es rentré du travail ?
Je ne sais plus si Chaloux aime la tête de veau ou pas. Ça m’ennuye de terminer l’après-midi sur une incertitude.
J’ai su, c’est certain. Mais j’aurais dû le noter parce que là je ne sais plus.
juste pour dire la dernière:une femme,née en algérie, de mère espagnole, (elle a eu 3maris et pas d’enfants)m’a dit aujourd’hui que son père lui avait »pas de rouge à lèvres avant 18ans, ce qu’elle a fait, elle en a aujourd’huidans les 80)
C’est rigolo, quand je lis les commentaires de Rosanette, ou le dernier d’El Alii, avec leur sérieux pour la première et la modestie critique de la seconde, quand je vois Rose et même… Oui, Marie Sasseur, je me dis que les hommes se placent tout de même, avec leur incroyable aplomb, leur incapacité à se remettre en cause, leur mépris pour certains et leur étalage pour d’autres, bien en dessous du seuil minimum d’honnêteté. Et s’il fallait choisir un camp, moi qui, durant ma vie, me suis si souvent « ennuyée » parmi mes compagnes, eh bien, au soir de ma vie, je les choisirais sans coup férir. (même si je ne partage d’habitude aucune de leurs opinions, de leurs manières de s’exprimer, et qui n’ai pas leurs bagages intellectuels. Au moins sommes-nous toutes dans cette sorte de sincérité dont les hommes erdéliens se moquent, parce qu’ils en sont, en vrai, incapables.
L’avant dernière, une voisine sur j’aime bcp m’a dit que sa belle fille est belle, plus grande que la hotte de la cuisine et chausse du 46.
Puis, qu’un virus n’est jamais qu’un morceau de chromosome.
Et encore que, elle a tellement aimé son métier, qu’elle ne peut pas le dire à tout le monde. Elle m’a dit quand on a aimé son métier, on a réussi sa vie.
Et aussi qu’elle aime autant Paris que Forcalquier et sue c’est comme le jour et la nuit, elle ne peut pas choisir.
J’espère pouvoir en reparler avec elle. Elle est toujours joyeuse
Elle m’a dit J (son mari) et moi, on fait toujours le diable à quatre jambes.
Et qu’ils allaient très bien tous les deux. Son mari n’en est pas aussi convaincu. Mais il s’occupe d’elle avec une immense abnégation.
Rosanette a raison de l’importance de ne pas les mettre tous dans le même panier.
Oui, je l’avoue, je me suis si souvent ennuyée parmi les filles ! J’étais « à part » (notez que je l’ai été si souvent qu’il était écrit que cela allait me retomber sur le nez), et leurs conversations m’étaient étrangères, comme leurs préoccupations, et que dire des journaux « féminins » qui me tombaient des mains, des soucis qui étaient les leurs, de la lutte contre les poils à l’agencement d’une table « élégante », de leurs visions du monde que, j’avais beau faire, je trouvais « étriquées », bref, dans le genre « sororité » on pouvait faire mieux que moi, sans aucun doute. Et pourtant, ici, je remarque qu’elles sont les seules à parler « convenablement ». Sans trop d’insultes ou de provocations débiles. Même pour manifester leurs désaccords, elles n’essentialisent pas leurs adversaires. Bref, plus ça va, plus je me dis qu’il y a comme un « groupe femmes » ici, et je tends timidement ma patte (non) blanche… pour me faire pardonner mon orgueil mal placé d’autrefois.
Non, un virus n’est pas un morceau de chromosome.
Chausser du 46 c’est embêtant. Il y a très peu d’offre en 46 pour les femmes. J’ai deja croisé Julie Delpy et Judith Godrèche dans des réceptions. J’avais remarqué que l’une d’entre elles avait de très grands pieds, j’en avais été fortement impressionné. Eh bien avec le temps et les prénoms se ressemblant, j’ai complètement oublié laquelle des deux c’était.
Voilà que Clopine tend la patte, maintenant. Elle se prend pour un chien. Non mais elle nous aura tout fait…
Sasseur reçoit le tampon de l’administration clopinienne « minimum d’honnêteté garanti ».
Woww…! Dans le genre label à la con sur l’emballage…
C’est poignant cette histoire de petite toutoune rejetée qui veut rentrer dans la meute en tendant la papatte. Recueillez-moi ! Recueillez moi ! Je suis devenue toute humble.
Waf waf.
Qui saurait la date approximative de la parution du quatrième et dernier tome de la dernière édition du
Dictionnaire de la l’Académie française ?
Ignorants s’abstenir.
CQFD.
Sasseur te repond
Tu vois, D ucon, il y a une chose remarquable dans ce roman des 2 suisses (gaffe, humour), c’est que le narrateur , qui souhaite passer sous les radars de la maison poulaga qui a pris le contrôle total du territoire en 2027, utilise plusieurs identités , appelle cela des pseudos si tu préfères.
Le nom de ses différentes identités sont le fruit d’une réflexion, on a compris que le patronyme Rouge vient d’un texte de Ramuz, « la beauté sur la terre » car il l’explique. Ce texte est d’ailleurs un plaidoyer contre la xénophobie ou pour dire autrement aussi, que « l’étranger est une occasion « .
Il envisageait ces identités, et celle-ci en particulier comme « une des variantes de (sa) vie à venir «
Charoulet, y’a désormais un truc qui file un sacré coup de vieux aux profs-tableau noir, Bled à la main et encre rouge. Ca s’appelle « Chat-Gpt », et vous devriez vous y intéressez, pour répondre à vos oiseuses questions.
Chat-Gpt, c’est comme les galeries Lafayette du savoir. Je me souviens des cris d’orfraie de Finkielkraut, abattu et abasourdi car « à cause d’internet, un touareg pouvait avoir accès à la définition des catégories aristotéliciennes ». (je vous jure qu’il a dit ça !) Alors que c’était justement la seule cause qui, à mes yeux, sauvait internet… Bref. De toute façon, « science sans conscience n’est que ruine de l’âme », nous n’en sortirons pas sans avoir conscience de cela. Mais pour la date d’édition d’un dictionnaire académique dont tout le monde, à juste titre, se fout complètement, vous devriez essayer mon conseil.
J’ai mal a ma grammaire
Le nom de ses différentes identités est le fruit d’une réflexion,
Pierre Assouline aussi l’écrit. Le souligne. Le note.
« Et même si à la fin, l’héroïne tend le doigt par de-là le Léman en murmurant « C’est quand même beau, aussi, la France », on ne peut l’emporter avec soi sans oublier celle qui domine le récit : « L’étranger aussi est une occasion ». Ce beau roman se tient sur une ligne de crête entre les deux. A la frontière… »
Clopine,
Je ne peux pas écrire, que j’en ai souffert, parce que ce serait faux, mais je l’avais très nettement remarqué, que vous parliez majoritairement eux hommes, et j’apprécie beaucoup votre main tendue. Je la saisis avec joyeuseté et cordialité, volontiers.
Pour ma part, mes relations avec les hommes sont tellement difficiles que, je compte, sur les doigts d’une main, mes réussites. Lorsqu’elles le sont, c’est franc et massif : et là, j’ai l’impression, à chaque fois, de vivre une grande victoire.
Qu’une jolie Sud Américaine affole un lac des années 1930 n’en fait pas un roman contre la xénophobie. On a la l’exemple type d’une lecture anachronique, bénie de surcroît par la Trouillefou. Serait-ce médire de Ramuz que de songer que sa pensée est plus complexe ?! MC
Oui, c’est vrai , Evian vue depuis Montreux de l’autre côté du lac, ça peut être sympa.
MMaintenant, elle n’a pas non plus regardé Annemasse depuis G’neve. La beauté, c’est quand même affaire de point de vue des beaux quartiers, en ce cas de figure.
Non, c’est le « quand même » , dans la phrase » c’est quand même beau, aussi » qui explique.
Qu’ils vont s’installer en Suisse. Et quand on lit la fin, et pas la dernière phrase uniquement, c’est bien évident que la France n’est plus du tout, du tout, accueillante..
G’neve, pi t’as le Jura qu’est face à toi…
)m’a dit aujourd’hui que son père lui avait recommandé
j’avais mangé le verbe;merci de m’avoir excusée;
ici, il y a lu après une fine pluie, un tres bel arc en ciel;l’écharpe d ‘iris
bonsoir
« Auriez-vous l’obligeance » dit le vieux chameau. Je me contrefous de ses exigences c’est clair. En revanche qu’elle ne s’amuse plus en daubant mes commentaires, à se prendre pour la gouvernante de sa domesticité. Qu’elle converse avec sa » pietaille « , cette vieille ignoble.
Marie Sasseur dit (à propos de Rosanette).
Et Passou n’interdit toujours pas définitivement cette Grosse Salope de venir salir cet endroit avec son Antisémitisme Primaire si mal dissimulé?
Sérieusement, Passou: qu’est-ce qu’il faut faire, pour que cette saloperie de Pouffiasse, cette Truie Antisémite avinée disparaisse d’ici?
Pélicot a des clones sur ce blog ?
Le fond de grossièreté de l’homme n’est pas forcément une recherche de domination sur la femme. Je me souviens de Pierre Desproges s’étouffant de rire, peinant à terminer sa phrase, disant que la femme et la charrue c’est pour bien labourer jusqu’au fond du sillon.
et zut à l’ordi
il y a eu
Jr ne comprends pas que ce délinquant n’ait pas encore été rattrapé par la patrouille. Mais ça lui prend au nez, à moi que sa fifille et sa » salope » ? de femme soient aveugles ou endormies… avoir un ordurier pareil a la baraque qui prend toute la bande passante pour ses propos delictueux quand il ne se livre pas à du pillage de droits d’auteurs, ça doit se voir quand même.
Ça lui pend au nez, patience.
lettre de philomag aujourd’hui
« Mais c’est aussi au cours d’une de ces marches, il y a plusieurs années, que j’ai découvert le concept d’adelphité, un joli mot, je trouve, qui vise à neutraliser celui de fraternité, jugé trop orienté vers le masculin. Un ami m’avait dit : “Tu défiles en tant qu’adelphe”, et j’avais eu le sentiment de trouver ainsi la juste distance. Étymologiquement, le mot “adelphe” désigne les enfants nés de mêmes parents, sans distinction de genre. Ni sœurs ni frères, mais adelphes. Dans une lutte politique, employer le terme “adelphe” permet ainsi de reconnaître une forme de racine commune, qui n’invisibiliserait toutefois pas les expériences singulières. L’adelphité ne recoupe ainsi pas l’universalisme et le voile d’ignorance qu’il jette sur toutes les identités. Elle est plutôt le miroir de la notion
L’adelphie, très joli mot.
Pour l’Assasseure, chacun ici relève de la correctionnelle, sauf bien entendu elle-même. Mais est-ce si sûr?
Quel dommage qu’on ne l’ait pas gardée à la vache qui rit, encore qu’il s’agisse plutôt d’une vache qui piaille. Les jurassiens doivent apprécier le calme de leurs campagnes.
Me retrouver, après ma mort, au Paradis avec tous les bondieusards monothéistes judaïco-christiano-islamico-machins… Non merci.
Je préfère l’Enfer et son maître-d’oeuvre Satan, le joyeux téméraire.
Ave Lucifer !
Il fit œuvre de missionnaire. Mais, de ses débuts, il eut peu de succès en essayant de convaincre ses pupilles de leur responsabilité dans un crime commis au commencement de la création, un crime que, tel qu’ils le comprenaient, ils étaient tous disposés à reprendre à leur compte (ils portaient même des amulettes pour les y aider). Il ne les convainquit pas d’avantage qu’un homme était mort sur un arbre pour les sauver tous : action qu’un vieil Indien, si la traduction de Gwyon était correcte, considérait comme une « criante présomption ». Il compta peu de conversions, et elles furent en général parmi les femmes, créatures faibles et malades, en transit entre ce monde et l’autre, qui acceptaient le paradis qu’il leur était offert comme des enfants s’inscrivent pour une sortie dans un parc d’attractions. Encore un vieil guerrier endurci n’accepta-t-il de se convertir que s’il était sûr de finir dans l’Enfer vivant décrit par Gwyon : cela paraissait mieux la place d’un homme ; et, en entendant les références sanglantes de ce candidat plein de zèle (qui offrait d’ajouter le scalp de son mentor à sa collection en manière de garantie), le missionnaire l’assura qu’il serait exaucé.
William Gaddis, Les Reconnaissances
Pour les Pélicot de ce blog, terme en passe de devenir une synecdoque, il est peut-être nécessaire de rappeler quelques décisions récentes, encore imparfaites, mais qui vont dans le bon sens.
« Il faut attendre deux ans de plus pour que la Cour de cassation se montre plus claire encore sur le consentement marital, avec une décision du 11 juin 1992 qui dit : “La présomption de consentement des époux aux actes sexuels accomplis dans l’intimité de la vie conjugale ne vaut que jusqu’à preuve du contraire.” Trois ans plus tard, en 1995, la Cour européenne des droits de l’homme entérinait pour de bon la notion de viol entre époux. Autant d’étapes pour que, finalement, le législateur stipule à son tour, dans une loi du 4 avril 2006 que la présomption de consentement pour les personnes mariées ne valait que jusqu’à preuve du contraire. »
Le Pélicot du 75 à une panne de réseau, dommage il faudrait qu’il s’explique, je trouve bizzare qu’il fasse état de son antisémitisme en désignant deachach.
j’ai lu le bouquin chroniqué par Passou, et ça plaît pas aux nervis de ce blog , grand bien leur fasse, je recommencerai !
Je suis tombé dans Le Monde sur la graphie pain béni. Je pense qu’il y a matière à récriminer.
Je pense qu’ils vont nous expliquer qu’il y a quelque part une orthographe « rectifiée ». Ils sont tellement agaçants.
Mais Proust et Paul Claudel écrivent « pain bénit ».
C’est quand même autre chose qu’une orthographe « rectifiée » !
Pardon, il s’agit selon la phrase de votre supposé Antisemitisme, pas du sien. MC
* Qu’en pensez-vous M. Charoulet de ce « pain béni » ?
C’est pas clair ?
Je répète ( en corrigeant une faute de robot)
Le Pélicot du 75 a une panne de réseau, dommage il faudrait qu’il s’explique, je trouve bizzare qu’il fasse état de son antisémitisme en désignant deachach.
j’ai lu le bouquin chroniqué par Passou, et ça plaît pas aux nervis de ce blog , grand bien leur fasse, je recommencerai !
C’est bizzare aussi, plus de piailleries venant de Pleyel… quel calme.
C’est parfait.
Au prochain.
a été demandée:
Cérémonie d’hommage aux victimes du 7 Octobre
Par Crif
Lun. 07 oct. 2024
Dôme de Paris, Palais des Sports, 34 Boulevard Victor, Paris 15ème
voir billetterie pour précisions
France – Le cri d’alerte de l’auteur Joann Sfar, qui publie le roman « Nous vivrons, enquête sur l’avenir des Juifs »
L’auteur de BD et réalisateur publie Nous vivrons, Enquête sur l’avenir des Juifs, un roman graphique écrit après le choc des massacres de civils par le Hamas le 7 octobre 2023. Il sera à Marseille pour un débat.
Newsletter Crif
« Le Pélicot du 75 ».
Vraiment indigne.
j’ai lu le bouquin chroniqué par Passou, et ça plaît pas aux nervis de ce blog , grand bien leur fasse, je recommencerai !
D’un autre côté , c’est pénible aussi. De recommencer. Déjà avec ce livre de Pierre Adrian, ça a été la mission, non vraiment, il faut plus que je lise les bouquins chroniqués sur la rdl.
On va reprendre tranquillement la lecture du code pénal.
au fil des années vous tous devenus assez proches les uns des autres.
c’est drôle parce que vous êtes loin, mais aussi proches, un peu comme les lecteurs avec les personnages d’un livres, loin et proche à la fois.
du coup internet éclaire d’une certaine façon le concept d’amour du prochain dans la mesure où cet amour ne concernait pas forcément les proches.
l’amour du prochain c’est un truc d’ordre général comme avec l’humanise, c’est l’amour de l’homme en général à l’exception de ceux qui sont trop proches parce qu’on finit par les connaitre et du coup on n’a pas forcément envie des aimer.
sauf que là vous vous mettez sur la tronche assez gaiement.
je me souviens d’une époque où je me mettais aussi sur la tronche avec pedro, ça énervait tout le monde du genre « arrêtez ça devient insupportable ».
faut dire qu’on s’insultait avec le néo franquiste, en tout cas j’avais insulté son père..
trop drôle…
On se fait de ses idées. J’étais persuadé que Visconti avait fait un film néo-réaliste (Rocco et ses frères) et que s’apercevant que le prolétariat italien, c' »tait pas son truc, il était passé à d’autres choses. Des films où enfin il osait parler de l’aristocratie italienne.
Eh bien non. Visconti a fait de nombreux films avant « Rocco et ses Frères », en particulier Senso que je mets dans la catégorie des films sur l’aristocratie italienne.
J’étais également persuadé qu’après avoir filmé des films très oubliables sur l’arisctocratie italienne (en particulier « Senso »), il était enfin passé aux chefs-d’oeuvre : « Le Guépard » et « Mort à Venise ».
Eh bien non : « Le Guépard » a été filmé après « Rocco et ses Frères ». Et bien des années plus tard Visconti a tourné le très oubliable « Innocent ».
On se fait de ces idées !
Tout ça pour dire que j’aimerais voir « Ludwig ou le Crépuscule des dieux » dans sa nouvelle version
la syphilis c’est une maladie qui défigurait autant que les gueules cassées qui revenaient des tranchées.
il y avait même des syphilitiques qu’on exposait dans les foires du genre « venez voir le monstre » c’est 10 sous l’entrée…
* On se fait de ces idées !
* et que, s’apercevant que le prolétariat italien, c’ était pas son truc
* « Senso »
* l’aristocratie
@ »On se fait de ces idées ! »
ça c’est bien vrai qu’on se fait des idées, après le problème est de savoir de quelle idée il s’agit.
exemple au hasard : la guerre en Ukraine : j’arrive pas à me faire une idée sur l’idée de savoir si tous ces journalistes qui veulent envoyer les ukrainiens dans les tranchées le font pour leur bien ?
je veux dire je ne sais pas si ils se disent que d’envoyer un mec dans une tranchée c’est pas bien pour lui, je veux dire c’est pas bon pour sa santé.
La pauvre niaise Assasseure, ses menaces décervelées et sa prétendue lecture du code pénal,- une vieille malade, toutes les misères humaines réunies en un atroce bouquet, de plus en plus impossibles à dissimuler. Immonde.
Carol, basé sur The Price of Salt de Patricia Highsmith
https://i0.wp.com/www.featherfactor.com/wp-content/uploads/2016/04/Carol-10.png?w=700&ssl=1
le fond du problème est que nous vivons toujours et encore sous le régime des Lumières et de l’idéalisme.
Avec l’idée centrale que la raison et la conscience morale ça marche ensemble.
alors que c’est évident que non… sinon on entendrait pas des gens dirent il faut envoyer des types au casse pipe c’est pour leur bien.
chez Dostoïevski on retrouve ce lien entre raison et conscience morale avec des personnages comme Raskolnikov : il veut commettre un meurtre pour faire le Bien. Après il n’avait pas tout à fait tort.
Dans tous les bouquins de Dostoïevski on trouve un personnage qui relie raison et conscience morale : Raskomnikov, Ivan Karamazov, Hippolyte dans les l’Idiot, la moyens des personnages dans les Démons dont Stavroguine qui est aussi dans le lot.
ça crée une espèce de parenté entre eux.
n fait celui qui le plus théorisé ce lein entre raison et conscience morale c’est Kant.
d’où l’importance de l’idéalisme allemand avec toute la troupe d’idéalistes allemands.
on a vu le résultat…
je crois que c’est Ivan qui cite Schiller, c’est un personnage central de l’idéalisme allemand parce que peu de gens se tapaient les bouquins de Kant du coup des types comme Schiller ou Goethe ont servi de vulgarisateurs.
Pas de break, mais la séquence est presque terminée.
on dit que truc qui a fait que Dostoïevski ne croit en l’idéalisme c’est le bagne, en fait quand on a dit ça on rien dit parce qu’on voit pas trop pourquoi et comment.
en fait c’est effectivement le bagne, mais de façon indirecte : c’est la culpabilité liée à son expérience du bagne.
Dostoïevski écrit dans son journal que cette croyance en l’idéalisme et le combat politique qui va avec, c’est ce qui lui a permis de survivre. Quand il avait un coup de mou il se disait « quand je sortirai je reprendrai mon combat et je ferai ci je ferai ça… »
et quand il écrit les souvenirs de la maison des morts il se rend compte qu’il n’a pas survécu pour de bonnes raisons, mais pour des mensonges.
du coup cette culpabilité va engendrer une haine de soi qu’il va exprimer dans les carnets du sous sol.
le tour de force chez cet auteur c’est de réussir à faire revivre au travers de personnages cette partie de lui-même qu’il hait plus que tout.
La chronologie temporelle n’est pas forcément reliée à.
Ce peut être la mémoire avec l’étendue de ses mystères qui fait jaillir tel fait. Puis un autre.
Et par un élément très anachronique, le lien se forme entre les deux.
Et ah mais c bien sûr.
avant de mourir Dostoïevski a demandé à ce qu’on lise en présence de ses enfants la parabole du fils prodigue, un texte sans conclusion.
peut-être que toute l’oeuvre de Dosto n’est qu’une multitude de variations sur le thème de cette parabole.
Les mensonges, le déni aident à vivre.
Lorsque la coupe est pleine, il y a pétage de plombs. Maladie, accident, fuite de la mémoire à allure grand V.
Ma Tina qui est une blonde et a réussi à lisser ses cheveux noirs. Nanmého..
Trois remarques :
Aujourd’hui, Mme Gisèle P. a été secouée comme un prunier et pire, jusqu’à ce qu’elle s’énerve et s’insurge : c comme ça que cela se passe. Les innocents ont toujours tort. On les massacre.
Seconde remarque : Barnier a été choisi et « on », sciemment, lui a donné un bâton de merde. Personne n’en veut. Tous réfutent ses propositions, jusqu’à l’ancien récent premier ministre, qui, sans attendre, le poignarde de face (ce qui fait aussi mal que dans le dos, je le précise).
Trois : immédiatement, ai vu dans la posture le lien avec le lion, le pied du chasseur.
Si j’étais égyptienne, le bonheur de remonter le Nil en felouque jusqu’au lac Victoria, je ne réagirai pas comme ça.
Quoique j’ai bien aimé l’idée de la cale, ou bien le coup d’incliner la statue et de mettre une rampe, il me semble que nous devrions être capable d’envisager les choses autrement.
Bien sûr que le lion est supérieur au chasseur, et que sans le fusil, y aurait pas photo.
Pour le pharaon, c’est pareil.
Champollion nous a donné la chance, en déchiffrant la pierre de Rosette,d’accéder à la compréhension de cette civilisation gigantissime.
On peut concevoir la tête comme émergeant de siècles d’inconnus et d’incompréhension totale. Et savoir que comme l’iceberg, la partie immergée est énorme.
On pourrait concevoir une pyramide en verre comme celle de Péi au Louvre, avec dedans mille et un artefacts de la civilisation égyptienne. Elle serait sous la surface, et sur celle-ci, on mettrait dans un angle la statue avec Champollion de Bartholdi. On reconstruirait le pharaon en entier à partir de son visage, et tout autour, on mettrait/verrait son biotope etc.
On pourrait descendre par un petit escalier en colimaçon dans un autre angle et aller explorer l’Égypte ancienne.
Tu peux le dessiner çà ?
ça.
La mine de plomb, je peux saisir, mais la haine de soi, ai du mal à comprendre.
Pleine lune, pleine. Pleine.
La France aurait pu être représentée avec Le comte de Monte Christo, ce film extraordinaire, mais non, c’est Émilia Perez qui a été choisi.
Patience et longueur de temps.
ON NE RIT PAS !
« Dans les cendres naissent les connaissances. Si, comme le répètent les scientifiques qui ont travaillé en parallèle du chantier de reconstruction, l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019, a été un drame effroyable, ces cinq années d’études et de fouilles ont permis de mieux connaître l’édifice, son histoire, son architecture. D’un certain point de vue, l’incendie a été une chance. » (Le Figaro)
Euh …et la véritable cause de l’incendie, on laisse tomber ? Toujours le mégot ? Vive la France !
ON NE RIT PAS !
« Dans les cendres naissent les connaissances. Si, comme le répètent les scientifiques qui ont travaillé en parallèle du chantier de reconstruction, l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019, a été un drame effroyable, ces cinq années d’études et de fouilles ont permis de mieux connaître l’édifice, son histoire, son architecture. D’un certain point de vue, l’incendie a été une chance. » (Le Figaro)
Euh …et la véritable cause de l’incendie, on laisse tomber ? Toujours le mégot ? Vive la France!
Haydn symphonie 97
Cinquième des douze symphonies londoniennes (93-104), et dernière de son premier voyage à Londres. Conçue comme expression d’un type idéal, c’est la plus innovante et la plus exubérante des symphonies écrites lors de ce voyage : très autrichienne avec de fréquents et brusques changements de timbre,
LvB qui l’a utilisée comme modèle pour un mouvement symphonique en do mineur, puis pour une symphonie en do majeur inachevée, il s’y référera pour sa première, pour laquelle il utilisa une partie du fragment de l’inachevée en do majeur, et sa troisième (Eroica).
Danseuse, ostracon, Nouvel Empire, (vers 1292 – 1076 av. J.-C.) Musée égyptien, Turin.
@ »Mme Gisèle P. a été secouée comme un prunier et pire, jusqu’à ce qu’elle s’énerve et s’insurge : c comme ça que cela se passe. Les innocents ont toujours tort. On les massacre. »
C’est comme ça que ça se passe ?
En cour d’assises?
La défense use de tous moyens » techniques « , et se faire l’avocat du diable prend ici un sens particulier. Inhumain.
Mais un mal nécessaire pour la manifestation de la vérité . Il ne faudrait pas que ces provocations dissuadent des femmes en grande détresse de déposer plainte C’est à mon avis le risque que font courir à la société, certains propos de fumiers, et ce n’est, en l’espèce, pas un sale rôle devolu qu’aux hommes. Les complices de Pélicot ont aussi des fans du genre sexué féminin.
Gisèle Pélicot a une force décuplée pour faire entendre ce qu’est la barbarie, et la négation de l’humain. Ce qui est réconfortant pour ceux qui malgré tout, ont foi en la vie.
Réconfortant : oui, mais quand même, six contre une qui te laminent au Tribunal, je lui souhaite d’être solidement plantée. Le courage, elle n’en manque pas. Belle idée que la haie d’honneur, en sortant : j’y verrais bien des hommes.
Oui, c’est comme ça que ça se passe, même si ce n’est pas une cour d’assises. J’en sors. Les mensonges sont légion. Et qui sait les mensonges ? Les basses attaques. Les effets de manche. Les coups de salaud.
Les hommes ont un très beau rôle. Qu’ils le tiennent. Ils en sortiront grandis. Quoi de plus beau qu’un homme qui fait l’amour avec une femme consentante ? Et le contraire est vrai aussi.
La véritable cause de l’incendie : patience et longueur de temps.
Les complices de Pélicot ont aussi des fans du genre sexué féminin.
Phrase terrible.
@ des fans du genre sexué féminin …
Alors, si c’est exact, que peut-on faire pour elles, d’un point de vue féministe non pénal ?
surtout pas de break, la 97e dirigée par LB est magnifique, maestro. Bàv,
@ de puck.t, j’essayais de tout lire jusqu’à présent, mais sa rhétorique est devenue bien lassante, tellement attendue, avec des points de vue qui n’ont plus rien d’originaux à force de conformisme provocateur, en dépt de sa propension à l’auto dérision vacharde… que. Alors, je la laisse tomber définitivement. C’est dommage, car a priori, tous les erdéliens historiques méritent leur visite de courtoisie, en dehors du pseudo charoulet. Bàv
films très oubliables sur l’arisctocratie italienne (en particulier « Senso »
Visconti sur smartphone, dear FL ? tout le contraire, Senso, sans boursoufflures du guépard et mort à Venise. Ludwig version uncut indeed à voir, scènes de partouzes avec laquais du roi peroxydé, sujet qui anime le prestigieux blog à passou.
le jardin des finzi contini, Dominique Sanda.
Benjamin s/ talkies-walkies. Il n’y aura jamais de paix après le déluge universel : ils disent que les colombes et leurs rameaux d’olivier, ce n’est pas « existentiel ».
‘La folie Forcalquier’ ? (Pierre Magnan) – Raconta dans ses mémoires combien il en avait bavé avec Thyde Monnier. ‘Un grison d’Arcadie’, aussi.
@ ‘laquais du roi peroxydé’,…
un genre de canard laqué pour grands mama-mouchés.
Sept notules matinales : kota largement rempli.
Bonne journée, les filles de Passoul (19.9.24_9.26)
yes dear jjj, D. Sanda fan club, même pour ses films bis (fesse italienne sous les moulures), les spectateurs délurés accourent ventre à terre.
coda /// « quoi de plus beau qu’une femme qui fait l’amour avec un homme consentant ? »
(avec des hommes qu’ont cent ans… – des nécrophiles ?)
@ les spectateurs délurés accourent ventre à terre***.
Comme chez Xavier Niel à l’Olympia, ceusses qui veulent gagner des miards…
«Je suis le plus grand loser de la Terre !» Curieuse séance d’autoflagellation que celle à laquelle se livre Xavier Niel sur la scène de l’Olympia. Devant 2000 personnes venues spécialement pour écouter les recettes du succès du milliardaire, 9e fortune de France au classement Forbes 2024, ce dernier énumère ses ratages récents. «Il y a un an, j’ai voulu racheter M6 : un bide horrible. J’étais tellement énervé que j’ai candidaté pour remplacer la chaîne : on s’est fait éclater la tête. J’ai voulu racheter les cinémas CGR : perdu. Le groupe Casino ? Paf ! Plantage .» Pourtant le message est clair, assure l’homme d’affaires : «La route vers la réussite, elle est faite d’échecs.»
Ce message inspirant faisait partie des leçons dispensées par Xavier Niel dans la mythique salle de concert parisienne, ce mercredi 18 septembre, lors d’une formation en une heure au titre racoleur mais prometteur : «Comment devenir milliardaire». Un exercice… »
Pas de limites à la provoc’
JJ-J
Allez nager.
À Marseille, nous aussi avons des faits divers. Impasse des Olivettes, dans le 4ème.
Et puis, dans la rade du Golfe du Lion, eh oui, nous avons une forteresse, nommée le château d’If, vide à ce jour. Un candidat ?
Pour Rosanette:
« Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, et beaucoup davantage ?
Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine :
Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la doulceur angevine. »
Joachim Du Bellay
Ce poème exprime la nostalgie du pays natal, de l’enfance aussi probablement. Qu’y a t il d’illégitime à cela? Cela a été exprimé des milliers de fois sans doute dans la littérature…
Un bon docteur
Pour l’assasseure?
Enfin, g beau aimer ce poème, le Petit Liré en Anjou, c’est un tas de ruines.
Très joli d’ailleurs, mais un tas de ruines quand même.
C comme la grotte de Polyphème, tu y arrives, te chope le grand chagrin. C pas comme ça que tu la voyais.
« On imagine sans peine l’adaptation théâtrale de ce roman. Et pendant ce temps, dehors, la guerre se poursuit. »
c’est la fonction de l’art, des livres etc… de donner l’impression que tout reste normal.
si après avoir vu des vidéos ou lu des articles etc.. j’aime autant lire les articlapssou c’est qu’ils donnent l’impression que tout est normal.
après quand on lit les commentaires on se rend compte que quelque chose cloche, mais si on en reste à l’article et à la rentrée littéraire c’est hyper rassurant parce qu’on se dit « tout est comme avant, donc tout est normal »
j’écoutais une journaliste commenter un article du Wall Street Journal disant que le conflit en Ukraine vient d’atteindre le million de victimes (tués et blessés).
Cette journaliste disait que l’article donnait le nombre pour les russes, 200 mille ou 300 ? (je crois), mais par contre il était très difficile d’avoir un nombre du côté ukrainiens.
Même si on peut considérer le journalisme comme une profession peu propice à l’intelligence, là on se dit qu’il se passe quelque chose, et qu’on a peut-être basculé dans autre chose.
@ Allez nager.
???
(c’était déjà fait, comme chaque matin à l’aube… à l’heure où blanchit la Charente, y compris par temps de brume).
Bàv ?
la toison?
JE L4AI RETROUV2 CE CONQU2RANT? C4EST JASON/
Autiste et analphabète pendant 18 ans, il devient professeur à Cambridge
Son handicap l’avait coupé du monde, mais Jason Arday est aujourd’hui un sociologue reconnu et une inspiration pour tous ceux qui se sentent mis à l’écart.
https://leseclaireurs.canalplus.com/articles/decouvrir/autiste-et-muet-la-moitie-de-sa-vie-il-est-maintenant-professeur-a-cambridge
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
ah, ces jeunes qui reviennent vivre et s’installent chez papa maman avec eux!
En Europe on a cette guerre effroyable qui est devenue une espèce de routine, et aux US les tentatives d’assassinat d’un président et candidat sont aussi devenues une routine.
les médias « mainstream » passent leur temps à dire que Trump représente une menace pour la démocratie, que c’est un nazi, Hitler, que s’il est élu les US vont basculer dans la dictature et quand quelqu’un essaie de l’assassiner là ils disent que la violence politique est inacceptable.
c’est drôle de traiter Trump de menace parce que durant son mandat il y a eu zéro guerre et zéro mort dans une guerre, alors que depuis l’arrivé de Biden et des néoconservateurs on en est à 1 million de victime en 3 ans ce qui est presque un record.
la jeune femme a alors rejoint les rangs de ceux qu’on appelle les « enfants boomerang », ces adultes qui retournent vivre chez leurs parents après un premier départ. Leur situation n’est pas exceptionnelle. Entre 2002 et 2013, les adultes non étudiants de plus de 25 ans contraints de retourner vivre au domicile familial sont passés de 282 000 à 338 000, chiffre la Fondation Abbé Pierre dans son dernier rapport annuel sur le mal-logement. Les jeunes diplômés en 2010 auraient, quant à eux, 40 % de chances de plus que ceux qui ont été diplômés en 1998 de retourner vivre chez leurs parents, établit l’Insee. le monde
du coup ces articles de passou sur les livres ont quelque chose d’un petit cocon apaisant sachant que « pendant ce temps, dehors, la guerre se poursuit ».
et même les commentaires, avec leur côté hôpital psy où chacun poursuit son petit monologue (comme je le fais) sans chercher à entrer en contact avec les autres, sachant qu’en cas de contact en passe en mode insultes et violence, c’est aussi quelque chose d’assez apaisant.
CHANGEMENT DE PIED
Si l’on devient sage, à force, on se dit que tout est toujours pareil, partout, et en tout temps chez les humains qui ne valent pas mieux, à de rares exceptions près, que porcs idiots et hyènes stupides !
La lecture des écrits de LA REPUBLIQUE DES LIVRES est perte de temps, activité désuète, terre de conflits ridicules.
En conséquence, je propose de faire du sport à la place de literaturer, évitant ainsi de perdre notre temps à papoter !
Nommons donc notre agora… LA REPUBLIQUE DES SPORTS.
Bonne journée, les athlètes !
pied?
fort bien:à cloche pied!
Quasiment 500 personnes ont participé à la seizième édition des Pieds en Fête. Ainsi, sous des conditions météorologiques clémentes, depuis le parc Georges Spénale, 300 coureurs et 175 marcheurs ont cheminé sur les divers parcours proposés. Les efforts consentis par chacun auront permis de reverser 500 euros à l’association Une Autre Femme, structure qui lutte contre les violences intrafamiliales.
site cloche pieds
dans la Montagne Magique le sanatorium représentait le côté apaisant de la culture et de l’art parce que coupés du tumulte du monde.
c’est un peu comme la tour de Montaigne, là où il s’enfermait avec ses livres.
ce blog c’est pareil.
les personnages de Thomas Mann représentent tout le spectre des idées et des concepts fabriquées par l’Europe depuis un millénaire, dont un qui défend bec et ongle cet idéalisme allemand fondé sur la raison et la conscience morale, il défend cette idée jusqu’à provoquer en duel ceux qui s’y opposent.
Thomas Mann lisait l’HSQ de Musil durant la (longue) période où il écrit la Montagne Magique. Dans le livre de Musil on retrouve aussi la même idée de prendre des personnages incarnant tout le spectre de la pensée européenne.
Et dans les 2 livres les auteurs placent cette pensée et l’ensemble de ces concepts au bord d’un précipice, au point où tout cet édifice peut s’effondrer, et les deux auteurs essaient, en suivant des voies différentes, de faire en sorte que cet édifice ne s’effondre pas.
en 1999 (juste avant le fin du siècle) on avait demandé à un panel d' »experts » littéraires allemands quels étaient les 2 livres les plus importants du 20è siècles, sans exception ils avaient tous mis en 1 l’HSQ et en 2 la MM.
si on reposait la question aujourd’hui à des jeunes « experts » littéraires allemands de la nouvelle génération sûr que leurs réponses seraient totalement différentes.
@ chacun poursuit son petit monologue (comme je le fais)
où est ton pb, JC/PUC ?
Puck avec votre zéro mort, vous le rappelez ces pacifistes de l’entre-deux -guerres, façon Aristide Briant. On a vu où ça nous a mené. Souhaitons bonne lecture du Code Pénal à Sasseur, et particulièrement de cet article dont Fernandel dans Le Schpountz fit un triomphe : « Tout condamne à mort aura la tête tranchée « ,malgré disons l’austérité du propos.
Je suis bien évidemment contre la peine de mort, ce n’est pas en vain que Me Badinter aura mené ce combat à son terme, et pour lequel il faut rester vigilant car des delinquants sur ce blog ont dit,- un en particulier- des horreurs sur le rapporteur du projet de loi sur l’abolition de la peine de mort, devant l’Assemblee Nationale, et ce encore tout récemment. Tout cela vérifiable sur fe blog, aux alentours du 9 février 2024…
@En conséquence, je propose de faire du sport à la place de literaturer, évitant ainsi de perdre notre temps à papoter !
On peut tout à fait concilier les deux, d’ailleurs j’envisage de faire un petit crochet, sortir de l’A8, pour aller du côté des chutes du Caramy. On sait pas, des fois que je tombe sur un baigneur, super bien foutu et plein aux as. Rien ne s’oppose à en faire un roman, a priori…
j’ai été lire la fiche wiki de Gisèle Pélicot et il est indiqué qu’elle s’était séparée de son mari et qu’ensuite ils se sont rafistolés, malgré le fait qu’elle aie eut une aventure extra-conjugale. Elle aurait mieux fait de se barrer alors, car si on considère que son mari est détraqué sexuel c’est peut-être à partir de ce moment – là qu’il a décidé de se venger et de s’autoriser à faire n’importe quoi avec elle. Cela n’excuse en rien son comportement mais avec une mentalité perverse d’un individu lui-même abusé c’était la planche pourrie … Je vais penser à autre chose, on n’est pas dans un épisode de Tandem avec une chute à 52 minute, je pense que le déballage va encore durer quelques mois et çà risque de ne pas être très frais.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_viols_de_Mazan
C’est quand même curieux ce billet surmonté d’une peinture désuète avec un mari affalé sur son canapé fumant un gros cigare profitant à fond de la vie, à côté d’une femme noire en voilette solitaire et ne retirant pas la joie de vivre …
@MC d’accord avec vous, si on compare ces deux époques on voit que s’opposent d’un côté une réalité (historique, économique, sociale etc…) et de l’autre que l’on appelle communément aujourd’hui le « narratif ».
sauf que les conditions aujourd’hui ne sont pas les mêmes.
exemple : on dit que les anglo-américains aident l’Ukraine dans leur guerre pour leur permettre de l’emporter face à la Russie.
c’est là une phrase simple, comprise par tous parce que c’est une phrase répétée par tous les médias.
sauf qu’elle est inexacte.
ce ne sont pas les anglo-américains qui aident la Russie à gagner la guerre contre la Russie c’est au contraire l’Ukraine qui aide les anglo-américains dans leur objectif d’affaiblir la Russie.
c’est en tout cas cette raison qui a été donnée quand les anglo-américains ont empêché les ukrainiens de signer les accords de paix en mars 2022 alors que les amércians ont toujours su que les ukrainiens n’avaient aucune chance de gagner cette guerre, mais pour eux ce n’était pas le but.
vous voyez le biais entre le narratif et la réalité ?
une journaliste allemande (de l’ancienne génération) l’explique très bien lors d’une conférence au sujet de l’otan et la guerre, je pourrai vous donner le lien c’est très intéressant à écouter.
« où est ton pb, JC/PUC ? » (Gigi)
Moi pas comprendre toi ! Toi, parler pataouète ? Toi, savant ? Moi, rire de tes problèmes….
respirant la joie de vivre ( décidément ces derniers temps je coquille à tout vent )
Une chose est sûre, ce week-end on ira au château…pour les journées européennes patrimoine.
« c’est un peu comme la tour de Montaigne, là où il s’enfermait avec ses livres. » (Puck)
Cher Puck, Montaigne ne s’enfermait pas avec ses livres dans sa tour ! A mon sens, il protégeait le savoir du passé, lové dans les feuillets reliés de ses livres, des porcs idiots et de hyènes stupides de son époque ….!
BàT
JC salut l’ami !
quand 3j demande c’est quoi notre problème il ne faut pas mal le prendre, je pense que 3j est un type assez bienveillant même s’il vote pour des fous pro guerre.
moi je prends la question de 3j comme celle d’un toubib qui dit « assez-vous, alors c’est quoi votre problème »
sauf que 3j ne dit pas ses domaines de compétences du coup moi j’aurais bien répondu que j’ai un rhume qui passe mal et qui est en train de virer à l’angine, mais je ne suis pas sûr qu’il pourra m’aider.
mais je peux tenter le coup.
@ »où est ton pb, JC/PUC ? »
3J merci de poser la question.
je ne pourrai pas répondre pour mon ami JC, mais moi j’ai un rhume qui a du mal à passer et qui en train de virer à l’angine, t’aurais des conseils ?
JC pour Montaigne je n’en suis pas certain, à l’extérieur ça cartonnait dur avec la guerre des religions et je crois bien que cette guerre Montaigne ça le gonflait.
Echec au super banco de France Inter ce midi passé.
Il fallait trouver le nom du peintre Paul Klee!
Facile pourtant…
Les grandes bibliothèques étaient souvent dans des tours. Qu’on se souvienne au Louvre de la Tour-Bibliotheque de Charles V.
un donjon, en fait!
Nous sommes d’accord !
Réfugié dans sa tour, Montaigne se protégeait de l’extérieur en compagnie de ses maitres à penser, à panser la souffrance par la littérature disponible.
j’ai pensé à vous à l’annonce des résultats, mais je m’étais dit aussi « max ernst », j’aurais dû me mimipoinçonner. oui, peuk, je suis bienveillant mais j’ai tjs eu du mal avec le JC de pkrôle. Et j’ai tendance à vous confondre. Pour votre rhume, s’agissant, avalez plus du polkli…, vous gagnerez sans doute le gros lot ! Bàv,
Les commentaires de Chantale s/ mme Pénicot sont proprement scandaleux. Chantal n’est pas une vraie femme, apparemment ou alors…, j’en perds mes belgicismes, pas vrai CT ?
JC ouai, parce que pour Montaigne ces catholiques qui se mettaient sur la tronche avec ces protestants c’était tous des barges.
Erasme a écrit son truc sur la folie et lui il a écrit ses essais, perso j’ai une préférence pour Erasme, plus dans la veine de Rabelais.
exemple : j’aime bien le passage où Erasme parle du mythe de la caverne et dit qu’il ne voit pas de différence entre ceux qui sont enfermés dans la caverne et le « sage » qui vit à l’extérieur, c’est tellement vrai et drôle.
Ce qui est drôle c’est ceux qui proclament être à l’extérieur de la caverne, ils le font pour se mettre au dessus du lot. un peu comme 3j quand il demande « c’est quoi ton pb » sous entendu moi je suis celui qui n’a pas de pb ou qui vit en dehors ou au dessus des pbs.
le livre d’Erasme a une portée universelle (il a eu des effets politiques sur la Réforme) alors que les Essais c’est plus un truc « individualiste » genre « développement personnel ».
Mais pas du tout, Montaigne cherchait de beaux éléments décoratifs pour ses poutres.
En tout cas, ce sont les protestants qui ont commencé.
Je mangeais mes endives en écoutant le Jeu des mille Euros, que j’essaye de ne jamais manquer et moi je l’avais trouver, le Suisse Klee.
Montaigne, je le considère comme moyennement recommandable. Une sorte de monsieur j’ai tout compris de comment faut faire et maintenant vous allez m’écouter. Je serais assez d’avis de le supprimer des programles scolaires et de démolir son château, qui n’a d’ailleurs rien du tout d’intéressant.
Carrie
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Sauf les « Politiques », comme ils s’appelaient, qui, Catholiques ou Protestants, plaçaient la Religion comme une affaire personnelle et aspiraient à sauver la Monarchie. Il ne faudrait peut-être pas les oublier. MC
D,si vous en êtes là, trouvezvous un canasson, et allez faire un grand tour de france, et même d’europe;vous ne serez pas le premier, mais ce n’est pas ce que vous cherchez, ‘est-ce pas?
le Suisse Klee.
Monsieur D, vous faites erreur. Paul Klee est allemand, réfugié en Suisse à cause des nazis destructeurs de » l’art dégénéré ».
On ne peut grossièrement confondre celui-ci avec Max Ernst!
N’est-ce pas?
» encore une chose… », comme dit Colombo quand il sait qu’il a résolu l’énigme.
C’est à propos de ce roman » frontalier « , dont on a bien compris qu’il ne s’agissait pas d’une histoire de travailleurs frontaliers, mais cette histoire familiale de Camille, c’est la clé.
Un très grand philosophie a dit de la tragédie grecque qu’elle était un moyen de purger les passions humaines.
Je trouve dommage qu’à la lecture de ce billet on ait l’envie d’une ballade, avec 2 l, Fugain à tue-tête dans la bagnole, en remontant vers le Nord.
Non il y a un truc qui cloche, M’sieur; on a compris que ces drones un peu partout sur le territoire n’étaient pas vraiment friendly, mais pourquoi la Suisse, et pas le Brésil, pour se donner une chance à l’étranger ?
C’est ça qui coinçait dans mon esprit, M’sieur.
Et puis Camille a eu cette phrase étrange , et rêveuse » la vengeance est un plat qui vient à son heure « .
C’est là que tout a pris son sens , M’sieur. La tragédie !
Pourquoi Porrentruy, mais pour venger Barbara et Juliette.
Pensez-y, M’sieur, je ne suis peut-être pas une pro de la profession, mais « vous m’avez déçue, en laissant derrière vous des indices a la pelle «
Un très grand philosophe, le meilleur
La chronique de Passou
Hein, quoi, un « cannasson » ?
Moi ?
De toutes façons la Suisse n’existe pas.
sur mediapart:
Depuis une agression qu’elle a subi et la récente médiatisation des affaires de violences sexuelles, la blogueuse « De l’air » se sent « endurcie » : lorsqu’elle sort de chez elle, son visage lui semble désormais prendre une texture de carton. Dans un texte sensible et acide, elle raconte comment désormais, elle porte un regard différent sur les hommes qui l’entourent. « Je suis dans la galerie sombre d’un musée, face à ces statues masculines qui ont accompagné ma vie d’enfant, de jeune femme et de femme : mon père en plâtre, mes amours en plâtre, mes amis en plâtre, et puis toutes les autres […] Afin de survivre, je vous présume désormais tous coupables et vous devrez me prouver que vous êtes innocents. Car j’ai peur de vous. »
à Fl
Madame,
Réponse d’un athée résolu à votre question.
Le participe passé du verbe « bénir » a deux formes :
béni,e et bénit.ite.
« Bénit », employé comme adjectif ou avec l’auxiliaire »être », se dit des choses qui sont
consacrées par une cérémonie religieuse* : « Pain bénit ». « Cette médaille a été bénite ».
La deuxième forme, « béni », comprend tous les autres sens de ce verbe verbe : « Nation bénie de Dieu ». « Vieux villages riants, soyez bénis pour les heures d’oubli que vous m’avez prodiguées » (G.Duhamel)
Plusieurs grands) écrivains ont confondu ces deux formes:Barrès, Proust, A. France…Vous y ajoutez un exemple fautif trouvé dans « Le Monde ». Je ne m’en étonne pas outre mesure. Ce journal, je le signale, a pourtant PLUSIEURS correcteurs !
*
Jécoute chaque dimanche, sur France Culture, l’émission « L’Esprit public » à 11h. Parfois j ‘ouvre ma radio et je tombe sur la fin de lémission la plus bête de la matinée : la messe catholique. J’ai entendu dix fois cette ânerie : Le prêtre bénit divers objets. Il est vrai que souvent cela se passe à la chapelle de la médaille miraculeuse à Paris. Il vaut mlieux entendre ça que d’être sourd.
Pour votre rhume:
infusions de sureau, cannelle, clous de girofle…
Demandez à B ce qu’elle en pense.
Confondre Paul Klee et Max Ernst, il faut le faire!
Une femme m’a parlé hier de l’affaire de Mazan. Avec un culot inimaginable, elle a osé se demander devant moi comment la victime a pu être plongée dans un état semi comateux pendant une dizaine d’heures, se réveiller dans le cirage pendant plusieurs heures ensuite et ce plusieurs dizaines de fois, sans s’être jamais posé de questions…
J’ai tout de suite flairé la négationniste, la femme misogyne (les pires) et je suis parti en claquant la porte!
Ah mais!
Ce pauvre Charoulet descend de plus en plus bas…En plus, le diable lui a soufflé plein de fautes de frappe.
Histoire de l’art belge: Vuillard serait désuet.*
Qui ne voit que ce génie de la couleur à peint là un de ses chefs-d’œuvre ? J’ai découvert Vuillard à l’expo des Nabis du grand palais il y a bien longtemps. Je n’en suis pas encore remis.
*Pourtant cette peinture est couleur de frite. C’est à n’y rien comprendre.
Je voudrais toujours qu’on me laisse seul avec Sand et Flaubert.
Monsieur Charoulet ressemble terriblement à une intelligence artificielle, en fait.
Closer, il manque à Patrice Charoulet l’Esprit Saint, qui donne la foi en Dieu Père, Fils et Saint Esprit et en son Eglise. La prédestination des âmes est un mystère et son rationalisme extrême, qu’il croit vertueux, le rend réfractaire à cela. La seule chose utile à faire pour lui est de prier.
Aucune prière n’est vaine.
De l’Evangile selon Saint-Matthieu Chapitre 11.
(…) 25En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits.
26Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance.
27Tout m’a été remis par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. (…)
Je me suis souvent demandé si j’aurais été un élève heureux d’avoir pour professeur Patrice Charoulet. Évidemment mon élan m’inciterait à dire non, en raison de l’impression de grande rigidité qu’il donne et de celle d’être méprisé, ce qui génère la tentation de lui retourner ce mépris sous différentes formes et notamment celle du chahut.
En réalité on ne peut pas savoir sans avoir été dans la situation. Ce serait très intéressant pour moi d’avoir l’avis de ses anciens élèves.
J’ai eu en première un professeur de physique qui lui ressemblait et pourtant l’année s’est très bien passée, du moins pour moi.
« Monsieur Caca-Puck et Madame Pipi-Gigi prennent la Rdl pour leurs chiottes personnelles !
Un duo de chieurs-pisseurs qui ne recule devant rien tellement leur merde est toujours en avance. »
ah mais c’est dégueu votre truc.
sinon pour le rhume vous avez un conseil ?
D. tu peux demander à Samuel c’est quoi son problème ?
c’est pour son bien : j’ai l’impression qu’il va soit nous péter une durite, soit nous couler une bielle, soit nous péter un plomb, soit aller se faire exploser à Matignon.
D’après un Journal de
Sao Paolo, des philosophes de Johannesburg jugent l’ Afrique trop encombrante. Le nom de ce continent provenant des Romains qui étaient d’enragés colonisateurs. L’aboutissement de cette méditation est donc très clair : il faut débaptiser l’ Afrique, dont le nom reflète un peu trop la ! Problème : Que fera-t-on de héros comme Scipion l’ Africain? Mettra-t-on le surnom entre guillemets, assorti de lignes explicatives et lacrymales? Ou le passera-t-on dans le grand naufrage culturel ?
(l’instant BD : https://enseignants.lumni.fr/collections/998/madeleine-20-ans-resistante.html )
On aura deviné que le «très grand philosophe « est Aristote, pas moins, et que la théorie de la catharsis est issue de la Poétique…
Nietszche s’inscrit en faux contre elle dans les écrits qui précèdent la Naissance de la Tragédie.
rions encore un peu sur et avec l’avenir de nos établissements d’enseignement
https://www.ogmdangers.org/enjeu/philosophique/document/Nietzsche.html
Dis-donc, Samuel, c’est quoi ton problème ?
Voilà.
Je sais pas si t’es au courant, Puck, mais les plombs ça se fait plus beaucoup, mais ça se fait encore dans beaucoup d’appareils quand même.
Rosanette, sur « vivre entre ses parents le reste de son âge », vous avez raison sur le fond. Mais si vous contextualiser le coup de tee-shirt, je dois à l’honnêteté de dire que, comme n’importe quel parent qui a vécu une longue absence de son enfant pour cause de voyage lointain, c’était pourtant bien, peut-être inconsciemment mais avec votre remarque j’en prends conscience, le message que je voulais, en creux, faire passer. Une façon, pour les parents en question, de dire de manière non blessante (enfin j’espère !), qu’un enfant parti loin est très attendu à son retour, et que les bras qui l’entourent à l’aéroport ne seraient pas forcément contre se refermer sur le « prodigue », en quelque sorte. Heureusement que ce n’était qu’un tee-shirt, qui n’a pas empêché son porteur (ses porteurs, j’en ai offert deux) de construire sa vie loin de moi !!! Bah, c’était plutôt gentil de ma part, non ? Et puis, si on en croit le Clopinou, la petite citation sur le tee-shirt lui a valu quelques questions « ah bon ? Vous avez donc fait un long voyage ? », de la part d’inconnus qui connaissaient la référence, et ça aussi c’est plutôt plaisant, non ? Bref ! Je plaide l’intention innocente !
mettez les « z » où il faut, s’il vous plaît, Rosanette. Oh, ce maudit clavier !
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