Républicain comme Jean Moulin
Lorsque paraît une nouvelle biographie consacrée à un personnage souvent raconté, qui plus est sur un fond historique dont le champ a déjà été largement balayé par les historiens, l’auteur est attendu au tournant. Quoi de neuf ? La question se pose avant même d’ouvrir Jean Moulin l’affranchi (414 pages, 24 euros, Flammarion). Il fallait une certaine audace à Bénédicte Vergez-Chaignon pour se lancer dans un tel projet après la somme monumentale de Daniel Cordier (Lattès puis Gallimard, 1989-1999) et celle si rigoureuse de Jean-Pierre Azéma (Perrin, 2003), les deux visions qui ont dominé le sujet. Or il se trouve que cette historienne, déjà remarquée pour sa minutieuse biographie de Pétain (Perrin, 2014), son étude sur Les Vichysto-résistants de 1940 à nos jours(Perrin, 2008) et son édition critique très équilibrée du Dossier Rebatet (Bouquins, 2015) a été à ses débuts en 1989 et pendant dix ans la collaboratrice de Daniel Cordier.
En ce temps-là, l’ancien secrétaire de Jean Moulin dans la Résistance se débattait dans les milliers de documents d’archives inédits qu’il avait accumulés. Il est de pire école que d’apprendre le métier dans l’ombre d’un acteur de l’Histoire devenu son greffier, un maniaque de la vérification des faits, des dates et des détails, l’un des rares qui avait été au cœur du sujet et l’un des très rares à être encore capables de déchiffrer des télégrammes de Londres quand ce n’étaient ceux qu’il avait lui-même chiffrés (pour base de son propre code, Jean Moulin avait choisi une strophe de son cher Tristan Corbière). Aussi était-elle bien placée non pour refaire vingt-cinq ans après ce qu’elle avait déjà fait naguère mais, tout en en tirant les enseignements, pour offrir autre chose tant à la sagacité des lecteurs affutés qu’à la curiosité des jeunes générations.
Loin des polémiques éculées (Jean Moulin était-il un cryptocommuniste ? un traitre ?), stériles (un agent américain ?), datées (un agent soviétique ?), douteuses (un homosexuel ?), Bénédicte Vergez-Chaignon a revisité à nouveaux frais le mythe attaché au personnage et la légende accrochée à son action. En un temps où la Toile donne une nouvelle vigueur au révisionnisme, il était bon de mettre les choses au clair avec un personnage tel que Jean Moulin jouissant d’un tel surplomb sur l’histoire de la Résistance, avant qu’il ne soit zemmourisé avec un retentissement susceptible de balayer des pans entiers d’une historiographie patiemment édifiée pierre à pierre pendant des décennies. L’auteure y est parvenue avec cette synthèse remarquable de clarté, de rigueur et de fluidité.
Bien sûr, rien n’est omis des grandes heures du résistant, y compris les plus sombres et controversées. Mais, je l’avoue, c’est autre chose que j’en ai retenu. En public ou en société, Moulin était homme à ne jamais évoquer la mort de son frère par pudeur, mais à toujours exalter la mémoire de son grand-père « qui a connu les prisons du Second Empire pour avoir osé proclamer son attachement à la République » au prix d’un léger bricolage chronologique. A travers le portrait de ce fils d’un professeur de français et d’histoire à Béziers, conseiller municipal radical –socialiste, franc-maçon, dreyfusard, président local de la Ligue des droits de l’homme, c’est un modèle de républicain qui s’impose. Un passionné de la chose publique (res publica), de la recherche du bien commun. Comme si c’était héréditaire, génétique, irréductible et que la transmission de telles valeurs et de telles convictions relevait davantage de l’inné que de l’acquis. Un héritage ? C’est peu dire.
Juriste de formation, il fit dès le début carrière dans la préfectorale. Puis il grandit en politique dans l’ombre de Pierre Cot, membre puis chef de son cabinet d’abord au Quai d’Orsay puis au ministère de l’Air du Front populaire ; durant cette période délicate où l’aide en avions et en pilotes aux républicains espagnols engagés dans la guerre civile se doit d’être clandestine, il en devient la cheville ouvrière et gagne la réputation d’être celui qui« outrepasse ce à quoi le ministre aurait consenti ». Moulin est déjà l’homme des missions délicates. On mesure alors avec plus de justesse le déchirement qui fut celui du haut-fonctionnaire Jean Moulin, préfet d’Eure-et-Loir, lorsqu’il décida de rompre avec la légalité républicaine qui l’habitait depuis sa naissance et qu’il servait avec une foi ardente depuis près de vingt ans, en s’engageant dans l’action clandestine.
La grande vertu de la biographie de Bénédicte Vergez-Chaignon est justement de donner du relief à l’homme avant le héros qu’il deviendra, et à montrer en quoi la fibre républicaine sans cesse revitalisée par les rencontres, les lectures, les combats, en a été le secret fil d’Ariane. En mars 1939, chargé d’un discours pour le 170 ème anniversaire de Marceau, le 50 ème de son entrée au Panthéon et le cent cinquantenaire du début de la Révolution, le préfet se livre à une véritable profession de foi républicaine qu’il n’hésite pas à personnaliser en évoquant les siens tant cet atavisme a ondé son roman familial. Laure Moulin, sa sœur, a été bien inspirée d’intituler Premier combat (Minuit, 1965) le récit par le préfet de l’arrivée des Allemands à Chartres en juin 1940, de son refus de céder à leurs exigences par principe, de la violence de leur réaction et de sa tentative de suicide longtemps passée sous silence par les historiens comme si elle les gênait à l’égal d’un inexplicable paradoxe. Or, l’auteure en convient, c’est bien lorsqu’il décide de se donner la mort qu’il « entre dans l’Histoire (…) A cet égard, il n’existe pas beaucoup de suicides manqués qui occupent une place si importante dans notre histoire ». C’est cet homme qui deviendra le deuxième personnage de la France combattante derrière le général de Gaulle.
Nul doute que, même si son rôle du temps du Front populaire est encore dans certaines mémoires, c’est d’abord l’ardent républicain en lui qui est visé lorsque Jean Moulin est révoqué par décret par Vichy le 3 novembre 1940. Jusqu’à cette date, en bon préfet fidèle à sa fonction, il remplit parfaitement ses tâches de transmission et d’exécution de Vichy bien que l’Etat français s’y soit substitué à la République française. On peut imaginer pourtant à quel point les dites tâches font tache sur sa conscience : recensement des francs-maçons, application des interdictions professionnelles contre des Français d’origine étrangère, application du premier statut des Juifs… Même si cela écorne sa légende, il est bon de rappeler que ce ne sont pas ces mesures mais la privation de leurs mandats (conseils généraux, conseils municipaux etc) de nombre d’hommes politiques qui a constitué pour lui le point de non-retour, celui qui le fera refuser de rester en place à la préfecture. A son départ, ceux d’entre eux qui exerçaient dans son département lui offrirent lors d’une cérémonie d’adieu dans un bistro une sculpture et une édition originale de Jean-Christophe de Romain Rolland.
On connaît aujourd’hui des hommes politiques (Jean-Pierre Chevènement…) et des parlementaires qui ont encadré la photo de Clemenceau dans leur bureau. Dans le mien, celle de Jean Moulin. Pour tout cela, et pour une phrase. C’était à l’été 1942. Daniel Cordier, 22 ans, engagé dans la France libre dès juin 1940, tout à sa haine du maréchal Pétain à qui il ne pardonnera jamais de s’être couché en signant l’armistice au lieu de continuer le combat, venait de passer plusieurs mois à être formé aux techniques du Renseignement par le BCRA en Angleterre. Après y avoir suivi une spécialisation en transmissions radio (codage, décodage etc), il fut parachuté en France, en zone libre près de Montluçon, pour servir de radio à Georges Bidault, alors l’un des chefs du mouvement Combat. Sauf qu’à l’arrivée, le jeune homme vit son affectation modifiée et il retrouva secrétaire d’un autre dirigeant de la Résistance dont « Rex » était le pseudonyme (et dont il apprendra bien plus tard qu’il s’appelait Jean Moulin). Le soir où il lui fut présenté, le « patron » l’emmena dîner dans un restaurant de la place Bellecour et lui demanda de raconter sa vie. Alors deux heures durant, Cordier lui raconta son jeune passé d’activiste : antisémite, antiparlementaire, anticommuniste, antidémocrate, antirépublicain, antimaçon… Animateur d’un Cercle Charles Maurras et responsable des Camelots du roi à Bordeaux, peu avant de trouver un bateau pour l’Angleterre à défaut de l’Afrique du nord, il en était encore à briser les vitres des magasins juifs de sa ville à la tête de son petit groupe de nervis. Durant tout le récit, Rex/Jean Moulin ne dit mot. Puis il commenta simplement :
« En vous écoutant, je mesure la chance que j’ai eue d’avoir une enfance républicaine ».
Et en faisant quelques pas dans la rue, cet homme qui allait devenir le plus recherché de France à la fois par la police de Vichy et par la Gestapo, celui à qui l’on doit d’avoir unifié les mouvements de résistance derrière le général De Gaulle, l’engagea comme son secrétaire particulier ; il lui témoigna une absolue confiance dans la clandestinité en lui confiant la tâche de le remplacer en son absence auprès des mouvements pour leur distribuer l’argent de Londres et les consignes du chef de la France libre.
Depuis que, il y a un quart de siècle, Daniel Cordier m’a rapporté cet échange, allez savoir pourquoi, mon inconscient convoque la figure de Jean Moulin chaque fois que la République est menacée, méprisée, insultée, piétinée à travers ses symboles et incarnations. Quand on est français, on peut toujours discuter la démocratie, la contester, la critiquer jusqu’à en remettre en cause les fondements ; mais pas la République dans ce qu’elle a de plus totémique, au risque d’être sanctuarisée, car les valeurs républicaines sont ce qui nous unit encore quand tout ce qui faisait lien se dissout. Ce qui nous rattache encore à une certaine idée de la France bien au-delà de l’adhésion à tel parti, tel mouvement, telle association tant l’esprit républicain les transcende. Et avec le recul, je me dis qu’au fond, ce n’est pas tout à fait un hasard si, il y aura bientôt quinze ans, lorsque sur le balcon ensoleillé du Monde.fr où nous célébrions la naissance de ce blog alors pionnier on m’interrogea sur son nom de baptême, en quelques secondes jaillit naturellement de mes lèvres « La République des livres » tant rien ne m’apparaissait mieux s’imposer que la réunion de ces deux mots parmi les plus prometteurs de la langue française.
(« La pointe de Penhir dans la presqu’île de Crozon, Jean Moulin avec ses parents et sa sœur, août 1930. Coll Escoffier ; « Sous-préfet d’Albertville en 1928 », photo D.R. ; « Le major von Gütlingen et Jean Moulin dans les jardins de la préfecture de Chartres, Juin 1940 » photo D.R.)
892 Réponses pour Républicain comme Jean Moulin
Le poème n’est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier.
[ Paul Claudel ] Extrait de Cinq Grandes Odes, Les Muses
Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire.
(j’ai toujours pensé que cela aurait pu s’écrire : « mon vers s’est brisé comme un éclat de rire », et hop, on a la césure à l’hémistiche.)
Chantal, vous êtes le nouveau Rimbaud de ce bois
Si votre ramage égale votre plumage, je crains ne plus pouvoir répondre de rien. Votre adresse et telephone?
Arrivederci, inoltre prenderó il sole il tempo che brilla per noi.
Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire.
Mon vers s’e – brise com’ e – clat’driR.
renato, sachez que j’ai été aborigène dans une autre vie il y a exactement 43922 ans.
Je suis décédé au cours d’un match de boxe avec un kangourou. J’aime beaucoup ces dessins que je faisais moi-même parfois mau_ celui-ci n’est pas de moi.
Les inhumés du blog vous diraient bien que leurs vers se sont multipliés comme des éclats de rire (sans vouloir asticoter personne).
Bon OK, je sors.
caulerpa dit: 21 janvier 2019 à 11 h 39 min
Les aventures de langage d’Apollinaire c’est une fête permanente dans ses lettres à Lou ou ses calligrammes. Un maître de la parole interdite adressée à une comtesse, Louise de Coligny qui était une petite délurée…
Mais cette expression ne m’évoque rien.
caulerpa dit: 21 janvier 2019 à 12 h 03 min
À l’institut des jeunes aveugles on a demandé
N’avez-vous point de jeune aveugle ailé
Ô bouches l’homme est à la recherche d’un nouveau langage
Auquel le grammairien d’aucune langue n’aura rien à dire
Et ces vieilles langues sont tellement près de mourir
Que c’est vraiment par habitude et manque d’audace
Qu’on les fait encore servir à la poésie
Mais elles sont comme des malades sans volonté
Ma foi les gens s’habitueraient vire au mutisme
La mimique suffit bien au cinéma
Mais entêtons-nous à parler
Remuons la langue
Lançons des postillons
On veut de nouveaux sons de nouveaux sons de nouveaux sons
On veut des consonnes sans voyelles
Des consonnes qui pètent sourdement
Imitez le son de la toupie
Laissez pétiller un son nasal et continu
Faites claquer votre langue
Servez-vous du bruit sourd de celui qui mange sans civilité
Le raclement aspiré du crachement ferait aussi une belle consonne
Les divers pets labiaux rendraient aussi vos discours claironnants
Habituez-vous à roter à volonté
Et quelle lettre grave comme un son de cloche
À travers nos mémoires
Nous n’aimons pas assez la joie
De voir les belles choses neuves
Ô mon amie hâte-toi
Crains qu’un jour un train ne t’émeuve
Plus
Regarde-le plus vite pour toi
Ces chemins de fer qui circulent
Sortiront bientôt de la vie
Ils seront beaux et ridicules
Deux lampes brûlent devant moi
Comme deux femmes qui rient
Je courbe tristement la tête
Devant l’ardente moquerie
Ce rire se répand
Partout
Parlez avec les mains faites claquer vos doigts
Tapez-vous sur la joue comme sur un tambour
Ô paroles
Elles suivent dans la myrtaie
L’Éros et l’Antéros en larmes
Je suis le ciel de la cité
Écoutez la mer
La mer gémir au loin et crier toute seule
Ma voix fidèle comme l’ombre
Veut être enfin l’ombre de la vie
Veut être ô mer vivante infidèle comme toi
La mer qui a trahi des matelots sans nombre
Engloutit mes grands cris comme des dieux noyés
Et la mer au soleil ne supporte que l’ombre
Que jettent des oiseaux les ailes éployées
La parole est soudaine et c’est un Dieu qui tremble
Avance et soutiens-moi je regrette les mains
De ceux qui les tendaient et m’adoraient ensemble
Quelle oasis de bras m’accueillera demain
Connais-tu cette joie de voir des choses neuves
Ô voix je parle le langage de la mer
Et dans le port la nuit des dernières tavernes
Moi qui suis plus têtu que non l’hydre de Lerne
La rue où nagent mes deux mains
Aux doigts subtils fouillant la ville
S’en va mais qui sait si demain
La rue devenait immobile
Qui sait où serait mon chemin
Songe que les chemins de fer
Seront démodés et abandonnés dans peu de temps
Regarde
La victoire avant tout sera
De bien voir au loin
De tout voir
De près
Et que tout ait un nom nouveau
Guillaume Apollinaire(1880 – 1918)
Poèmes de Guillaume Apollinaire
Copyright © 1998 – 2013 – Toute La Poésie
caulerpa
j’ai cru que c’était vous
mon coeur a battu comme un blanc en neige
las ce poète est mort un trou dans la tête
j’avais commencé à refaire mes valises
et m’apprêtais à valdinguer mes hardes ailleurs
que dans leurs banales habitudes
faudra revenir coller au jaune
pu s’écrire : « mon vers s’est brisé comme un éclat de rire », et hop, on a la césure à l’hémistiche
Clopine
je ne vois pas bien où à cause de deux e qui sont éludés : cui de comme et cui de rire
caulerpa 11h 44
vous n’en finissez pas de partir !
A croire que c’est pour vous une jouissance addictive que de décocher des fleches aux minables imbéciles que vous rencontrez ici
En ce qui me concerne permettez moi une mise au point sur les traits caricaturaux que vous pretez
1)je prescris la psychiatrie américaine d’antan .
non je ne prescris rien; mais j’affirme simplement au nom du bon sens que conférer une vertu thérapeutique à la cure psychanalytique relève de la médecine de Moliere et effectivement la psychiatrie américaine l’a compris bien avant la France.
Pas besoin en effet d’être versé dans les arcanes de cette matière que j’ignore totalement, la psychanalyse, pour en être persuadé car on ne soigne pas un trouble de nature biologique avec des mots.Cela c’est de la pensée magique ,pas différente de celle dont vivent rebouteux et voyantes et dont on dit que Lacan vivait très bien et investissait grassement dans l’immobilier
2)je ne viens pas me plaindre comme vous le prétendez de la salacité des propos des Rdeliens à mon égard
d’abord je ne me souviens pas que les propos critiques qui m’ont été adressés aient jamais eu quelque chose de salace ce qui ne colle pas du tout avec mon personnage de vieille dame un peu prude, sauf évidemment si vous donnez un autre sens que j’ignore au mot « salace .
de plus ces post depourbvus ce bienveillance sont rares et circonscrits a un tout petit nombre d’intervenants.Sur ce blog j’ai l’impression de susciter l’estime et l’on s’adresse en général à moi avec gentillesse ,effet de mo grand âge sans doute
3)il paraît que je hurle à l’amour.D’où tirez vous cela à partir de mes post? que savez vous de ma vie personnelle et affective pour y déceler ce besoin d’amour qui me rongerait et susciterait cet appel désespéré, d’ordre canin, que vous devez lire en filigrane dans ce que j’écris ?
Ne pas oublier que la « caulerpa » (algue verte)appartient à une famille « à structure siphonée ».
Ben dans ce cas-là on ne les éliderait pas. Faut pas éluder l’élidé, en quelque sorte. (bon d’accord, je sors, m’enfin je voudrais dire que ça marche dans tous les sens, ce vers : « mon rire s’est brisé comme un éclat de verre », par exemple…)
Ai-je assez navigué dans une onde mauvaise à boire ?
Bien répondu DHH 13h49!
Je ne crois pas que caulerpa soit WGG, JJJ.
D’une part celui-ci conçoit bien et écrit bien, et par ailleurs il n’a aucune raison de prendre DHH pour cible principale, celle-ci lui ayant légué et livré son dictionnaire de français-latin.
Plutôt qu’Edwige, j’appellerais Ed plutôt « Edwarda », D. Du nom de la revue intello libertine aux photos sublimes, que je n’ai plus vue depuis des années. Existe-t-elle encore?
Bien répondu DHH? A mon avis, pas tellement que cela. A quoi cela sert-il? DHH, vous avez donné sur ce site une excellente image de rigueur et d’attention. Mieux vaut ignorer ce qui ne vous correspond pas.
Hier, dans le train, parcouru (plus attentivement dans sa deuxième moitié), « les souffrances du jeune Werther », et, pour faire exception à mes principes, en traduction. En traduction à cause de l’impact européen à l’époque, notamment en France et en particulier sur Bonaparte (qui reprocha à Goethe le lendemain d’Iena, les contradictions de la motivation de Werther pour son suicide. 1. Quand même extraordinaire, le contraste entre l’impact à l’époque et l’ignorance totale aujourd’hui. Cela éclaire le temps pré-révolutionnaire. 2. Le contraste aussi entre le récit haletant (plus pour le lecteur présent), en désordre (accentué par le format en lettres), et l’attitude « olympienne » de Goethe mûr, attitude acquise par un effort constant, et qui reprochait à Beethoven son manque de contrôle de soi (du moins dans le roman de Martin Walser, mais cela correspondait à une réalité).
Je crois que caulerpa a pris la RdL comme cible, Jacques, une intervenante de la vieille RdL avait le même comportement — et ce n’était pas Daaphnée —.
Étant donné sa potée, je ne crois non plus qu’il s’agisse d’une universitaire : si vous analysez ses posts et par analogie créeriez un plat, vous ne le donneriez à manger même pas aux cochons.
Marie Sasseur, Sur Daniel Cordier, vous en dites trop ou pas assez. L’accusation, ça a tout de même plus de panache que l’insinuation . Essayez donc l’accusation ou à tout le moins une mise en cause plus franche et plus directe.
« … reprochait à Beethoven son manque de contrôle de soi… »
Ça devait être un échange de bon procédés, car Beethoven reprochait à Goethe sa soumission à la tyrannie des apparences, son amour immodéré pour le bling-bling, aussi que son conformisme et son excessive obséquiosité (l’anecdote du chapeau et un passage dans les Cahiers de conversation où B déplore ces faibles de G).
Je vous prie de m’excuser, mais il s’agissait, je pense, de bien plus que de bons procédés. A mon avis, cela touchait à l’essence de chacun des deux. (Voir le roman de Walser).
Étant donné les opinions de l’un et de l’autre, vedo, j’ai employé l’expression ironiquement…
closer,
« Du nom de la revue intello libertine aux photos sublimes »
Non mais qu’est-ce qu’il ne faut pas lire !
Bon sur ce, je passais juste une tête pour fêter la décapitation de Louis XVI, ma naissance dans la forêt noire, la sublime éclipse que j’ai vu ce matin et la journée internationale du câlin. Que de belles choses un 21 janvier !
Verrait-on la main de Marie Sasseur dans la culotte d’un zouave ?
(bon d’accord, je sors)
Ca se fête, une décapitation ? Ca ne se commémore pas, plutôt, enfin disons de la part des anti-peine de mort, donc… (dont je suis, pas vous, Ed ?)
@jazzi
Vous avez raison
La seule ressemblance entre WGG et Caulerpa c’est leur capacité de faire montre d’une grande erudition dans des domaines variés et d’en nourrir jusqu’à l’exces des post tous azimuts .
Mais il y a des différences qui écartent totalement cette identification
S’agissant du style et de la clarté dans l’expression, je prefere ne pas faire etat de l’appreciation différencié e que je porte sur leurs proses respectives que j’observe ,mon jugement pouvant m’attirer une nouvelle volée de bois vert
Mais, et pour autant que leurs post permettent d’en juger, ce qui me semble une indéniable différence entre eux, c’est la motivation de leurs graphorrhées érudites
Chez WGG cette graphorrhée se présentait pourrait-on dire à l’état natif, comme le besoin spontané de s’exprimer chez celui qui savait des choses et avait envie d’en parler de les faire connaître . Cela pouvait être lassant, mais c’était souvent intéressant et en tout cas pas antipathique, même si ce n’était pas exempt d’une petite dose de vanité satisfaite .
Chez l’autre ce qui semble s’exprimer à travers l’avalanche qui nous est assenée de textes , de références pointues , de citations rares , de cautions notoires, qui émaillent les post, c’est d’abord un besoin obsessionnel de se différencier des autres intervenantes ,d’affirmer par cette inflation d’érudition boursouflée , qu’on évolue dans un registre spécifique hors d’atteinte des Rdeliens ordinaires. Ces Rdeliens ordinaires dont elle a besoin pour vivre sa différence et en déguster la jouissance narcissique
Enfin j’imagine mal WGG s’en prenant à moi, alors que nos échanges ont toujours été courtois et marqués de respect réciproque même en cas de désaccord , en qui j’avais toujurs apprecié le prof qu’il me paraissait être et qui avait accepté avec gratitude l’ouvrage rare que j’avais mis à sa disposition (ce n’était pas un dictionnaire mais un précis historique de morphologie grecque ) comme cela été rappelé plus bas
je me reposai,mais je ne veux pas laisser madame DHH me preter des insanités comme elle en profère etde quoi elle fait sa cause faute d’autre arguments que son age qu’elle affirme avancé;
donc
1)je ne prétends pas que la psychanalyse guérit puisque les psys eux-mêmes disent que cette pratique guérirait PAR SURCROIT sans plus;bref ils lui prêtent des vertus, comme d’apprendre à se connaitre;ici,c’est madame DHHH QUI ME PREND POUR CIBLE, en considérant que j’aurais les mêmes intérêts qu’elle a-t-elle écrit une fois ;
or quandj’ai aux premiers temps lu les commentaires, elle se plaignait de propos grivois et salaces et qu’on lui refusait de s »‘intéresser à la littérature,qu’elle remontedans laRDL SUR LE MONDE.Je me souviens de lui avoir demandé si elle connaissait « l’auteur » de Lodge comme si c’était pour elle une indécence(David Lodge
Suzanne V. Mayoux (Traducteur)
ISBN : 2743616199
Éditeur : PAYOT ET RIVAGES (03/01/2007)
cela dit elle me reproche de m’intéresser à kafka comme un thésard et de ne pas l’aimer, elle qui dit que tout le monde l’eut adorée sur la RDL
je ne suis pas idolatre pour adorer ni croire sans chercher à m’éclairer un peu ; tout le monde l’adore ?Grand bien lui fasse ;moi je me souviens qu’on reprochait aux psys d’être des hypocrites parce qu’ils suscitent un transfert d’amour et qu’il faut se renseigner pour choisir son psy sur l’école où il avait fait sa didactique;ce sont les erdéliens qui disent qu’ils sont « lacaniens » à quoi j’ai objecté :de l’arnaque,cette autoprésentation!
ceux qui veulent lire des psys professionnels, ils peuvent même trouver des blogs sur la toile comme celui de JAM
quant à la bibliographie du féminin de Madame DHH, elle ne cite pas F.Héritier qui n’est pas une psy,mais a invité des gens respectés qui sont entrés dans la bataille;je me souviens d’un psy qui
m’a dit se demander encore si Dolto n’était pas antisémite(elle, je ne l’ai jamais entendue;lue, oui)
mais on crédite Lacan d’avoir étéun grand lecteur de littérature française;je ne reviendrai pas sur les grammairiens;
je ne fais la cour à personne ici; effectivement parce que j’ai lu et lis encore plus nourrissant que les commentateurs habituels; je crois que wgg qui d’ici a été chassé était un commentateur parce que lecteur respectable ,même si je ne souscrivais pas à tous ses faits et gestes;d’autres que moi ont dénoncé comme pricipe des commentateurs « ordinaires » une sorte d’animosité pour ne pas dire malveillance;je ne revois plus Bloom dans ces commentaires qui ne sont pas essentiels comme commentaires du billet deP.Assouline;chacun réclame ce qu’il ne pratique pas lui même :par exemple du second degré! bref, j’en ai marre du genre « c’est pour mieux vous emmerder mon enfant » qu’il s’agisse de traduction ,de narration, d »interprétation où certins se prennent pour des pythonisses la RDL N’EST PAS Delphes;ni la galerie des glaces même si certains s’y font rois et reines et s’y cherchent une tribu pour leur faire cortège, dont madame DHH qui cherche l’adoration et des gratifications, des compliments sincères pour avoir été une manipulatrice hors pair des entorses et des calomnies
je ne pense pas que le virtuel soit le diable;je crois qu’on peut beaucoup en apprendre et que les vieilles dames comme madame DHH pourront y faire des découvertes qui leur rendront le gout de l’étude
et pour JAM,un lien au hasard:http://jonathanleroy.be/2016/02/orientation-lacanienne-jacques-alain-miller/
il a un blog sur la règle du jeu
d’autres arguments
ce qui s’écrit sur la guérison avec la psychanalyse:ce n’est qu’un exemple
La psychanalyse se soucie-t-elle de guérison ?
http://squiggle.be/la-psychanalyse-se-soucie-t-elle-de-guerison/
Jacques Lacan considérait que ce n’était pas l’analyste qui frayait la voie à l’artiste, mais l’artiste qui précédait le psychanalyste. [1]
[1]
Lacan, J. (2001). Hommage fait à Marguerite Duras (1965).… Dans le dernier tour que prend l’enseignement de Lacan, la littérature tient une place cruciale, et l’art en général.
voilà pour la pipe de Magritte
L’impossible à écrire et l’illisible
À propos des rapports de la littérature et du réel lacanien
https://www.cairn.info/revue-recherches-en-psychanalyse-2015-1-page-43.htm
Le vieillissement saisi par la psychanalyse [article]
sem-linkPaul-Laurent Assoun
Le vieillissement saisi par la psychanalyse [article] sem-linkPaul-Laurent Assoun
et le blog de JAM (c’est P.Assouline lui-même qui indiqua que Miller était appelé JAM dans un billet)
https://laregledujeu.org/contributeur/jacques-alain-miller/
Lacan Quotidien n° 810 – Discours et jouissances mauvaises par Éric Laurent – « et tu aimeras à cause de ton mauvais, comme toi-même »
http://www.lacanquotidien.fr/blog/
Lacan Quotidien n° 812 – Don’t worry, be happy Oh la la la langue ! la chronique de Monique Amirault
voilà encore sur Lacan quotidien
mais Madame DHH demande qu’on lui trouve LSP!
a vos fourneaux!
certains excuses
…
…architecture littéraire,! » sommes-nous, mieux lotis « , mieux au chaud, qu’à Davos, pour les grands financiers, plus froids,!…etc,!…
…
…la planche à billets,!…of course,!…
…
on n’accède plus à la pge RDL MAIS il y a une longue citation
Lien vers chronique de Pierre Assouline : « Mort et résurrection de Jacques Lacan au tribunal ». Voir ci-dessous :
http://passouline.blog.lemonde.fr/
“On s’est battus pour quatre mots cet après-midi à Paris. Verbalement, s’entend, mais cela suffit à susciter métaphoriquement des coups et des blessures. Cela s’est passé tout à l’heure devant la 17ème chambre du Tribunal de grande instance. Deux ténors face à face : un ancien bâtonnier face à un ancien Garde des sceaux. Une salle bondée qui semble divisée en deux groupes antagonistes bien distincts : à gauche les milleristes canal historique, à droite les roudinesciens, chacun derrière son champion. Une travée les sépare, à défaut d’un cordon de gendarmerie protégé par des gilets pare-balles. A moins que cette distinction ne soit illusoire tant sont venus en nombre les premiers, psychanalystes de la Cause freudienne et du Diable probablement, que la seconde appelle sans affection manifeste « la garde rouge » de Jacques-Alain Miller, actuellement en conflit avec son éditeur pour la publication des Séminaires de son beau-père dont il est l’exécuteur testamentaire, avec le Seuil par conséquent dont le Pdg Olivier Bétourné se trouve être également l’éditeur d’Elisabeth Roudinesco dont il partage la vie (vous suivez ?). Certains psys consacrent tellement de temps à se déchirer, s’affronter et s’exclure qu’on en vient à se demander où ils trouvent encore le temps de s’occuper de leurs patients. Judith Miller, fille du docteur Lacan et épouse de Jacques-Alain Miller, présent dans la salle mais parmi le public (il n’a pas été associé à l’action), assigne donc en diffamation Elisabeth Roudinesco pour avoir écrit à la page 175 de Lacan, envers et contre tout (Seuil, 2011), ceci : (…)”
Rôhhh.. La barbe, maintenant, Caulerpa !
« Non menar Lacan per l’aia », disait le sympathique Elvio Fachinelli.
Sorry pour gwg, vous m’avez assez convaincu, jazzman et DHH, que ce triste sire de blabla n’était point le/la sinistre troll du moment.
La haine caulerpienne qu’il/elle vous voue, DHH, a sans doute quelque chose de douloureux lié à un incident sur l’ex blog LSP comme le suggère renato, il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une fixette assez fascinante sur le plan clinique, dont l’excès d’érudition étalée sur la plâtrière ne produit plus guère qu’un passage du chemin haussé.
précision:mal vu,je ne voue aucune haine à la dame DHH. elle n’est pas mon « partenaire symptome » ,ce terme étant explicité par JAM, ni elle ni ceux qui me prennent pour cible dans leur dénuement;je ne voudrais pas vous détourner de commenter le billet donc ciao,les bavards
Coïncidence fortuite : l’actuel comte de Paris vient de mourir, à la même date que Louis XVI, un 21 janvier :
« Henri d’Orléans, le comte de Paris, prétendant orléaniste au trône de France, est décédé aujourd’hui à l’âge de 85 ans, ont annoncé ses proches. »
J’ai la douleur de vous annoncer le décès aujourd’hui de Monseigneur le Comte de Paris, Henri d’Orléans.
Monseigneur son fils Jean d’Orléans prend ce jour le titre de Comte de Paris, prétendant au trône de France en lignée des Orléans.
Aucune douleur, nous voici enfin allégés d’un poids aristocratique parasitaire. Ciao caulerpine, à la prochaine revoyure !
Néanmoins nous souhaiterions qu’un Mérovée monte sur le trône de France, non pas un Orléans ni un Bourbon.
idem, (PDV-IDM) on nous annonce que le prince Philip fait également des cabrioles en voiture à un âge avancé, sans s’excuser auprès de ses victimes. La royauté s’amuse comme elle peut, on attend patiemment qu’elle s’éteigne d’elle-même en gilet black-jack.
Le nom de Mérovée peut se traduire « fameux au combat » ou « combattant réputé ». Il proviendrait du francique mare, méere « réputation », « message » et vech « bataille », « combat ».
Il semblerait que les émoluments du défenseur des droits des plus démunis soient assez substantiels. Voilà une nouvelle mesquinerie dont il faudrait nous rapporter la preuve.
C’est son fils, le prince Jean de France, qui a annoncé la nouvelle. C’est lui le nouveau prétendant au trône. Les prétendants se reproduisent depuis des générations. C’est actuellement leur seule occupation, et ça suffit bien. La France va assez mal comme ça !
« J’ai la douleur de vous annoncer le décès… »
Moi, ça ne m’a rien fait. Même pas du plaisir…
En d’autres termes nous souhaitons nous assoir sur le trône de France, en notre qualité de descendant de Mérovée par d’innombrables seigneurs, dames ou demoiselles de France et Francie, également descendant des plus grands monarques d’Égypte, d’Ethiopie, de Perse, de Chaldée, de Macedoine, d’Epire, de Byzance et de Rome, mais également du roi des Huns et de plusieurs Empereurs de Chine et des Seigneurs et rois Vikings, avec preuves.
Faites silence, Delaporte. Tout ceci vous dépasse de très loin et vos commentaires sur le sujet sont parfaitement inopportuns.
J’ai écouté un peu l’audition de Benalla, en début d’après-midi. Il était calme et presque conciliant, sauf pour répondre aux questions qui fâchent. Les sénateurs (vieux à faire peur) se sont sentis humiliés, et ont tenté de le convaincre de parler. Mais Benalla parlera devant la justice. Elle au moins saura lui faire avouer les « conneries » qu’il a faites. En revanche, il a contesté son « parjure » devant la noble commission. Dont acte.
@JJJ
l »acronyme LSP désigne le blog de correcteurs du monde « langue sauce piquante » que je ne connaissais pas sous ce sigle . Et cette ignorance flagrante qui est apparue , avec ma demande d’éclaircissement de ces trois lettres a suscité le jugement définitif de madame Caulerpa sur l’indigence de mes connaissance grammaticales.
Rappelant cet incident, elle me renvoie aujourdhui à mes fourneaux c’est a dire à mon niveau de compétence, pour parler comme Peter
Tel est le sens de son post de 16 h 30
Bon alors pour résumer à l’essentiel vos interventions culturelles depuis 13h30 environ , il résulte en tout et pour tout qu’ED est née dans un gâteau. Ce n’est pas banal.
Les royalistes commémorent le 21 janvier (je suis bien placée pour savoir qu’ils assistent à une messe spéciale le jour de mon anniversaire), les républicains (quand ils connaissent cette date) devraient la fêter. Clopine quel anachronisme de parler de la peine de mort. Ben oui…en 1793 on decapitait et normal. Désormais les islamistes ramènent le monde en arrière.
Décapitée, je ne comprends pas pour quelles raisons le sénat perd son temps avec ce monsieur. La justice doit s’en charger, chacun son job.
« Either we all live in a decent world, or nobody does. »
George Orwel
Delaporte, le correcteur donne décapitée pour mot principal si je n’y prends garde.
Sur ce, je ne reste pas trop avec des vieux losers (traduction des propos de DHH qui une fois n’est pas coutume est assez lucide sur elle-même. Que c’est bon de corriger les fautes des autres pour se sentir supérieure quelques secondes et puis reprocher à une jeune femme ce que je fais par aigreur de vieille femme méchante. Le mépris qui cache un malaise et une psychanalyse de comptoir de la part de Madame la folle misogyne en chef. Mon Dieu mon Dieu, heureusement que clopine, Christiane et paimpopol relèvent le niveau et ne tombent pas dans mon piège).
Excusez-moi, Delaporte, mais vous vivez de quoi au juste ?
Bérénice, voulez-vous savoir ce que je pense de ce gâteau ? Je l’ai déjà dit à JJJ.
On nous promet de la neige mais en Île de France nous n’auront vraisemblablement que de la pluie ou au pire de la neige fondue, selon mes propres prévisions.
Personnellement je m’en fous complètement, j’ai toujours détesté la neige.
ED, vous faites bien, à votre âge il est préférable de préférer des jeunes gens . Je comprends tout à fait quelques besoin d’un sang neuf, de sève, de dynamisme apolitique, de representations vigoureuses. Ici, hormis quelques uns et unes ne viennent que vielles croûtes et vieux croutons. A trente ans , mes amis appartenaient à la meme generation que la liens et pour vous, le saut spatio-temporel n’est surement pas profitable et plaisant , comme un mauvais film de SF , vous précipitant dans un gouffre absurde où ne causent que des gateux qui delirent assis au bord de leur vieillissement. Quelle perte de temps à moins de vou’o7r converser avec ce que vous deviendrez après des années de lecture.
: 21 janvier 2019 à 18 h 02 min
immédiatement, je vous ai dit
1°QUE vous ne saviez pas googler avec mot clé
2)vous interprétez comme cela vous convient, que ce soit Beauvoir , ou les autres femmes :votre partenaire symptome vous rassure;tant mieux pour vous que je plains:je ne suis pas nigologophile ,j’ai à faire bonne soirée entre gens du même acabit qu’ils croient
La liens __ que moi. Ce correcteur est fantaisiste.
18h21 que soit décrété la sablage de toutes les routes! Souvenez vous de l’an passé. Il faut anticiper.
Ou encore – la mienne. ( la liens) ce devait être cela.
Bérénice, jusqu’à environ 15 ans, j’ai toujours été vers des camarades plus jeunes que moi d’environ 2 ans. Après 15 ans, je ne me suis trouvé bien en amitié et connaissances qu’avec des personnes nettement plus âgées que moi. En ce moment j’ai tendance à me tourner de nouveau vers de plus jeunes. C’est curieux.
C’est dans les Pyrénées que ça va être terrible en fait. Tous les départements des Pyrénées douvent se préparer à une paralysie circulatoire de quelques jours avec probablement des problèmes conséquents de lignes électriques.
Mais en Île de France on ne verra que de la neige fondue. Les températures à venir sont trop hautes pour qu’on ait le moindre flocon qui tienne en Île de France.
Bon qui habite au pied des Pyrénées, ici ?
D, je n’ai pas d’amis nombreux mais je n’éprouve aucune difficulté à discuter avec des gens de tous âges, mes rares amis ou connaissances ont à peu presse meme age que le mien, la jeunesse est appreciable , surprenante, variée. Un ami perdu de vue pensait qu’avec le temps les gens étaient trop abîmés, cabossés, marqués par leurs experiences et il préférait, concernant les femmes, le commerce des plus jeunes.
C’est à 100 km d’ici. Chic, la vue panoramique va enfin s’habiller de neige.
la clinique disent-ils. Nous, les tenants d’une médecine factuelle, nommons ces personnes des believers, des croyants. Et si nous avons décidé de créer le DIU, conjointement avec Paris XI et Lyon I, c’est bien pour sortir de la croyance et enseigner ce qui marche vraiment
Caulerpa, je ne sais pas de quoi vous parlez mais j’ai séjourné , jadis, dans un endroit qui portait ce nom: Diu.
@ Ed
merci de saluer mes salutaires progrès en matière de lucidité sur moi-même; je vous souhaite d’y réussir à votre tour aussi bien que moi
: 21 janvier 2019 à 18 h 46 min
ça a l’air très beau mais quelle langue y parliez-vous;j’ai vu qu’il y a trois langues officielles
on vient me chercher;bonsoir!
Anglais autant que cela était possible. Nous avions lié, mais pas à Diu, avec un couple de jeunes hindous qui nous firent visiter la ville, je ne me souviens plus laquelle et nous amenèrent chez eux , en signe d’amitié. Les hindous possèdent l’anglais et quand ils ne fournissent pas l’effort de se mettre à la portée d’un niveau debutant ou médian vous ne comprenez plus rien.
Caulerpa, vos façons ne varient pas et cela donne qu’à un moment vous êtes sans doute possible reconnue.
Avouez que vous êtes flattée, Ed/Edwarda!
Tenez bon DHH, l’algue visqueuse finira par se lasser…
« Ben oui…en 1793 on decapitait »
On guillotinait, pour être plus précis, ce qui était déjà un progrès…
« on vient me chercher ; bonsoir ! »
Les infirmiers, caulerpa ?
@ Bėrėnice dit: 21 janvier 2019 à 19 h 05 min
Caulerpa, vos façons ne varient pas et cela donne qu’à un moment, vous êtes sans doute possible, reconnue.
Mais bon sang si vous savez quelque chose, dites-le à toustes. Cette Caulerpa serait donc l’ex épouse de Paul Edel, d’après les recoupements ?
@jazzi dit: 21 janvier 2019 à 19 h 18 min
« Ben oui…en 1793 on decapitait »
On guillotinait, pour être plus précis, ce qui était déjà un progrès…
Raccourci facile … On guillotinait des révolutionnaires au premier chef
Cheveux longs, idées courtes
https://www.youtube.com/watch?v=L0tVWmlRWQY
Ed aurait pourtant beaucoup à apprendre, à condition d’entendre ce que (lui) disent ses aîné(e)s !
il est certain que l’absence de blancs avant et après le point virgule signe un profond engagement dans une démence sénile à corps de lewi, a proportion beaucoup plus fréquente chez les personnes du sexe,
Je suppose que Paul Edel ne m’intéresserait pas pour ses diners en ville.
Jean Langoncet, oui, dans que la fête commence, une scène de décapitation, hache et billot. La guillotine fut une grande revolution technique. Que seraient devenus les bourreaux sans elle avec tous les aristocrates qui y sont passés, c’était tout de même moins barbare.
L’interesserait pas, correcteur!
« On guillotinait des révolutionnaires au premier chef »
Et les aristocrates, ils passent à la trappe, Jean Langoncet !
Les élucubrations
En cage à Medrano
https://www.youtube.com/watch?v=n3z4sTKn-f0
ça y est, l’espoir renaît ce soir : voici qu’arrivent les résultats de la protéine 3K3A-APC. Les bestioles gardent bonne mémoire. Accrochons-nous ! Bravo, GS’A.
Dans les échanges intellectuels, l’âge des intervenants n’a strictement aucune importance. Ce qui compte, c’est leurs connaissances et leurs capacités à les faire partager…
pas d’accord ! plus on est jeune, moins on en a.
Donc, les jeunes inférieures à 48 ans, à dégager voie 12 !
Il y a des jeunes intelligents et cultivés, JJJ, et des vieux cons invétérés. Ici, tout le monde est le bienvenu, sans condition d’âge ni de fortune !
c’est étrange comme les billets sont snobés par des gens qui sont avides de mesquineries, ragots, et ne semblent pas concevoir que s’il est interdit de parler de soi sur ce blog,eux dans leur quête de rumeurs, de qu’en dira-t-on ,pour parler d’eux ,dire qu’ils sont lucides, compétents, sont plus insupportables que tous ceux qu’ils dénigrent et ravalent plus bas que les enfers;
avez vous remarqué, Bérénice, que les grands professionnels, les « vrais », comme les médecins,les
avocats ,lorsqu’ils sont en société, détestent parler de leur job, et en même temps! ne peuvent pas s’empêcher d’en parler si bien que outre l’exemple du tourisme que vous avez apporté,tout le monde se met à la portée de l’autre,non sans bévue pour apprécier le niveau de « savoir » ;
bon, cette fois,je vais sortir; je souhaite à tous une heureuse inspiration pour commenter le billet, et le regret de ne pas savoir y trouver de quoi réveiller une libido sciendi défaillante
remarquable livre de Daniel Arasse sur la guillotine et ce qu’elle a représenté dans l’imaginaire collectif. Elle a notammentété perçue lorsqu’elle a été introduite comme une forme de concrétisation de l’abolition des privilèges et de l’égalité citoyenne en ce qu »elle instituait un mode de mise à mort des criminels unique pour tous, ce qui n’était pas le cas sous l’Ancien Regime où nobles et vilains recevaient un châtiment diffèrent
L’émission In Our Time (Radio 4) consacrée à Samuel Beckett
(https://www.bbc.co.uk/programmes/m00021q7) fait la part belle à son engagement dans la Résistance.
Le grand Sam rachète à lui tout seul les errements de certains de ses compatriotes irlandais séduits par l’idéologie brune. Je pense en particulier à « l’autre Joyce », William Joyce, propagandiste stipendié de la radio nazie à destination de l’Angleterre et surnommé « Lord Haw Haw » à cause de son accent outrageusement (et faussement) aristo, qui débutait ses péroraisons nauséabondes par un « Germany Calling », censé contrebalancer le célèbre « This is London Calling » de la BBC ( repris plus tard par les Clash).
Arrêté par les troupes britanniques du côté de la frontière danoise si chère à Ferdine, ce pendant d’Henriot à Radio Paris et de Pound à la radio italienne, fut pendu ‘haw-haw » et court pour haute trahison. Fin de partie.
(Henriot fut exécuté par la Résistance dans les locaux du Ministère de l’Information, sis au 10° rue de Solférino, qui fut jusqu’à il y a peu le siège du…PS…)
on ne fait pas boire un ane qui n’a pas soif
Vêtements lumineux :
http://blogfigures.blogspot.com/2012/03/gaetano-pesce-clothes-lamps.html
« on ne fait pas boire un ane qui n’a pas soif »
Vous vous adressez à Ed, caulerpa ?
19.56 — « bon, cette fois,je vais sortir… »
19.59 — « on ne fait pas boire un ane qui n’a pas soif »
Comme quoi !
« Vêtements lumineux »
Peut-on connaître la marque de la lessive, renato ?
Pour les miens, Jacques, j’emploie vinaigre blanc et eau (¼ — ¾) et une éponge naturelle.
Françoise Hardy a eu 75 ans…je me sens coupable de ne pas avoir apprécié son immense talent à sa juste valeur…
@la volaille
Je n’ai pas le sentiment d’avoir insulté qui que ce soit, mais j’ai toujours pensé qu’Assouline est, à bien des égards, un type super-louche. Pour m’assurer que je ne rêve pas, je vais envoyer les quelques phrases de cet article qui me chiffonnent à un ami philosophe qui me dira ce qu’il en pense, certainement.
(Oui, Caulerpa, ressemble fort à cette dame d’autrefois à qui un médecin avait raconté que sa sœur, qui vivait avec un curé mais dont tous les enfants, sauf un qu’elle avait trouvé dans le caniveau d’une rue où elle n’était passée qu’une seule fois, avaient été conçus avec un terre-neuvas qui s’était reconverti dans la voyance après une longue conversation avec une huître, et dont le voisin, dont il avait depuis longtemps oublié le nom, ne s’était décidé à voter pour le général de Gaulle que bien des années après la mort de celui-ci, -sans doute suite à une intoxication alimentaire etc. etc.).
Bonsoir Ed,vous évoquez un anniversaire, le vôtre se superposant à d’autres 21 janvier. Je ne peux vous souhaiter un bon anniversaire car tout ce qui vous concerne est extrêmement mouvant et c’est bien ainsi. Fille ou garçon, jeune ou moins jeune, jeu de composition, blog étrange. J’aime ce qui, mouvant, vous définit comme… impossible à définir. Vous êtes une présence, sans âge, tantôt là, tantôt ailleurs.
Vous n’êtes pas la seule. Caulerpa, aussi, intrigue et devient source de devinettes étonnantes. Que m’importe qui vous êtes dans le monotone quotidien, que m’importe votre âge, votre genre. Vous écrivez. Je lis.
Quand cela concerne d’autres commentateurs, je passe. Quand vous faites trace de livres, d’articles, quand vous créez je lis et parfois réagis, je laisse filer si cela m’est étranger.
Des attirances ou allergies saisonnières se rencontrent ici, souvent. Quand c’est négatif, les mots font d’abord du bien à celui ou celle qui s’exprime. Quand c’est positif, on cueille au passage. Cela fait un plaisir fugitif puis on oublie car tout ici est éphémère.
Nous voici sous un billet qui a fait du bien à Passou. C’est la grande liberté de ceux et celles qui tiennent un blog. Dans leur île, ils sont rois ! Et les vagues de commentaires viennent éclabousser des grèves où ils passent, se baissant parfois pour saisir un coquillage, un caillou, un bois flotté ou seulement le regard au loin, suivant le vol d’un oiseau marin.
Ce monde est un monde de solitude où croyant entendre l’autre on n’entend que le battement de son cœur comme lorsque l’on pose l’oreille contre une conque.
Amicalement, cher(ère) inconnu(e).
Non je regrette Closer, Mises à part 2 ou 3 chansons, Françoise Hardy n’a pas fait grand chose de bien.
Elle est sans doute bien meilleure astrologue que chanteuse mais c’est surtout une femme aux qualités humaines remarquables qui a su supporter Dutronc (qui lui en revanche possède un véritable talent) très très longtemps.
Passons tout de même l’une des rares chansons admirables, écrite et composée par Michel Hamburger et superbement interprétée par FH :
Cette version avec Pauline Ester et les Charts m’a toujours beaucoup plue. J’avais déjà donné le lien il y a quelques années.
« Quand on est français, on peut toujours discuter la démocratie, la contester, la critiquer jusqu’à en remettre en cause les fondements ; mais pas la République dans ce qu’elle a de plus totémique, au risque d’être sanctuarisée, car les valeurs républicaines sont ce qui nous unit encore quand tout ce qui faisait lien se dissout. »
Passou déraille…S’il peut y avoir une république sans démocratie, alors la République populaire nord coréeenne vaut la République française, la République bolivarienne de Maduro vaut mieux que la monarchie britannique. Quelles sont ces valeurs de la République qu’il encense, s’il elles ne comportent pas au minimum la démocratie? Absolument n’importe quoi, une devise vide sens, une Marianne sexy ou pas, un drapeau…On ne va pas loin avec ça.
Je prends la République pour un moindre mal, à condition qu’elle implique une laïcité absolue, la liberté d’expression, le pluralisme politique, des élections libres, ce que, en gros, on appelle la démocratie libérale. La République dont parle Passou, où les fondements de la démocratie pourrait être remis en cause, m’inquiète grandement…
Il n’y a pas de quoi se vanter d’avoir décapité Louis XVI. Thomas Paine avait des idées bien plus intéressantes sur ce qu’il fallait faire du roi, par exemple un fabricant de corsets en Amérique. L’histoire est rarement faite par des hommes sensés.
…un type super-louche… ah ben alors voilà la meilleure de l’année.
closer dit: 21 janvier 2019 à 20 h 37 min
Closer, bravo. Vous êtes un des rares ici à savoir lire.
Et fêter une décapitation, même en admettant que « rien n’était plus normal à l’époque » (je propose qu’avec cet axiome, on célèbre à tout va et dans le désordre la colonisation, les guerres de religion, la conquista sanglante de l’Amérique du Sud, le massacre des indiens et l’exploitation esclavagiste, youp la boum, allez, apporte le champagne Zézette, on va fêter ça, ben perso, je ne sais pas si c’est démocratique ou non, m’enfin je m’y refuse, même trois siècles après… Même celle du sinistre Robespierre, tenez… Même l’assassinat de Ceaucescu ne m’apporte aucune joie. Quant aux frères Kouachi, je regretterai toujours leurs procès e leur incarcération à perpette. Alors de là à danser la nouba parce qu’on a raccourci ce roi-fin de règne, bé non. La seule révolution qui me fut sympathique jusqu’au bout, ce fut celle des oeillets, au Portugal. Quand un fruit est pourri, qu’il tombe, certes. Mais le mieux est qu’il n’éclabousse pas tout autour. On peut se réjouir de la fin des monarchies, sans se repaître des têtes des rois enfoncées au bout des piques.
@Louie The King (at the head of the chamber of commerce)
https://www.bobdylan.com/songs/stuck-inside-mobile-memphis-blues-again/
En 89, le film -la vidéo, comment appeler ce truc terrible- sur le procès Céaucescu est pour moi un violent souvenir. J’étais à Nice, dans ma famille. Sitôt le film terminé, il y a eu un tremblement de terre dans la fosse de la baie des anges,- quelque chose comme une explosion, puis toutes les fenêtres se sont ouvertes, et les murs de la vieille maison se sont mis à onduler, devenant, l’espace d’un instant, littéralement mous comme du caoutchouc.
@Je prends la République pour un moindre mal, à condition qu’elle implique une laïcité absolue, la liberté d’expression, le pluralisme politique, des élections libres, ce que, en gros, on appelle la démocratie libérale
Certes. Proposons donc d’élire les résistants avec une dose de proportionnelle adéquate ; mais peut-être n’en sommes-nous pas là
@En 89
Même expérience, même année mais à Frisco
D, vous ai-je confié qu’un homme, beau, brun, ténébreux, mathématicien au chomage mais marié me déclara un soir percevoir au travers de mon être, mon regard, mon attitude, mes traits, ma coiffure, une sorte de Françoise Hardy. Je m’en souviens car ce fut l’unique fois où je réussis à ressembler à une chanteuse que j’aime d’ailleurs beaucoup. Bon il a fait beaucoup plus simple, évidemment.
Chaloux, votre tremblement, 26 décembre 89
Ed
vous êtes né dans un gâteau ?
[(sweet heart)]
D à 20h35
il n’ y aurait pas quelqu’ un qui pourrait prendre Annelise Roux par la main et la ramener à la maison ?
gros coup de blues
Quelle perte de temps à moins de vou’o7r converser avec ce que vous deviendrez après des années de lecture.
morte de rire Bérénice à vous lire à 18h24
Ah oui Rose, y’a une ressemblance mais Zanne-Lise est bcp plus svelte.
Rose, j’ai fait le grand tour mais pas de troupeaux de sortie, des flamands, des aigrettes garzette , quelques cormorans . Une femme vêtue d’un beau vêtement de velour bleu canard a accepté de m’offrir deux kleenex , elle était tres contente de l’acquisition bleue dont je la félicitai. Puis je repris le chemin , terre lourde d’humidité, silence, grand air.
Bérénice
ils ne sont pas encore de sortie. Ils viennent de naître.
Dans l’ étable, ils sont.
D
gros coup de blues sotdain pour Anne lise. cela fait bcp de mois désormais.
Anne Lise est peut être trop occupée par un travail d’écriture. J’espère qu’elle n’est pas malade.
@cela fait bcp de mois désormais.
Demo: « Slug »
https://www.youtube.com/watch?v=r3EgGnw1yEo
@slugs and snails are after me
Teenage Lobotomy
https://www.youtube.com/watch?v=6ssoBUb2cJk
Pour une fois, je suis d’accord avec Clopine…Il m’est impossible de me réjouir de la mort de qui que ce soit. Je crois me souvenir (mais j’espère me tromper) que Lazarillo nous avait dit avoir ouvert le champagne pour la mort de de Gaulle…Evidemment ignoble. J’ai des sentiments mitigés sur la peine de mort, j’ai du mal à accepter que des tueurs en série manifestement psychopathes et irrécupérables soient entretenus jusqu’à leur mort à nos frais. Mais si la peine de mort leur était appliquée il ne me viendrait pas à l’idée de me réjouir de leur exécution. Un sentiment de soulagement peut-être: au moins ils ne feront pas une victime de plus…
Langoncet 21h08
Aucun rapport avec ce que j’ai écrit.
Je ne savais pas que vous écriviez ; scusi
En matière de res publica, Rome ce n’est pas forcément une référence pour le présent. Crassus et ses gilets jaunes… Un crucifié tous les 30m pendant 200km.
@Un crucifié tous les 30m pendant 200km
et un tom jones lapidé en 69
https://www.youtube.com/watch?v=4JiemPv2W6o
À propos de peine capitale :
Lectrice + bicyclette :
https://blogfigures.blogspot.com/2019/01/vanessa-redgrave.html
D
« Nous voulons que les descendants de Mérovée montent sur le trone » (etc)
Esprit de Pierre Plantard, sors de ce corps!
La Caulerpa n’est-elle pas aussi une algue toxique par sa prolifération, Alexia Neuhoff?
« ( et que M. Houellebecq en photo sur le marque-page) »
C’est pour Lavande qui collectionne les marque-page. Avec votre exemplaire de Sérotonine, vous aurez droit à un marque page houellebecquien, qui restera vintage. La pièce la plus somptueuse de votre collection, avec cette photo déjetée de Houellebecq dans une batterie innommable de poules. Une pièce d’exception, pour les collectionneurs.
Un crucifié tous les 30m pendant 200km
vedo
cela fait 6666, 66 crucifiés.
C’ est beaucoup.
Alors que un suffit pour changer le monde.
Anne Lise est peut être trop occupée par un travail d’écriture. J’espère qu’elle n’est pas malade.
Bérénice
j ‘espère qu’ elle n’ est pas triste. Lorsqu’ on est triste, on vit entre parenthèses.
0h20, quelle poesie! le film est coloré, de 1937 ?
Marcel Azzola
On me dit que M. Bern tandis qu’il grattait un ticket du loto du patrimoine tomba en pâmoison en apprenant qu’Henri d’Orléans venait de passer. « Un vingt-et-un janvier ! » bredouilla-t-il avant de s’évanouir tout à fait. Que l’on se rassure, on lui apporta ses sels et il reprit aussitôt des couleurs.
Aujourd’hui je me souviens de Lord Byron, radical et dandy, et d’August Strindberg, le dernier alchimiste — une autre manière de pratiquer le dandysme ? —.
Les dandys… eux au moins ne travaillent pas. Ils ont compris qu’il fallait arrêter avec ça, que le travail était obsolète, et laid surtout. Un dandy est pour l’abolition légale du travail. Pour son propre bien, à lui, dandy. Et indirectement pour le bien de l’humanité. Les Gilets jaunes vont apprendre à devenir des dandys. D’ailleurs, pour eux, tout est une question de vêtement avec ce gilet qu’ils arborent comme armure. C’est leur tenue guerrière, démocratique et sublime. Le dandysme de masse est révolutionnaire.
Les Gilets jaunes, c’est le dandysme pour tous. Vous savez où est mort Byron ? En Grèce, en train de faire la guerre des partisans. C’était un engagement de gauche, et révolutionnaire. Voilà ce que font les dandys.
Puis les oiseaux moururent.
Au plus cruel de l’hiver, je garnis la mangeoire aux passereaux d’un mélange de gras et de céréales (margarine et miettes de pain, tout bonnement). La mangeoire est installée dehors, en hauteur, se balance sur le fil de fer qui sert de support à la vigne. Ainsi, les bouvreuils, les mésanges, les rouge-gorges, tous les petits passereaux du jardin viennent se nourrir tout en nous réchauffant les yeux…
Mais mes yeux ont bien froid, cette année. D’habitude, c’est-à-dire depuis les trente ans que j’ai passés ici, la mangeoire, les jours froids d’hiver, doit être regarnie tous les jours.
Cette année, elle reste pleine. A peine quelques coups de bec de deux ou trois petites mésanges charbonnières…
Ô toi, mon voisin agriculteur qui m’explique que tu ne peux plus te passer du glyphosate, toi, le Gilet Jaune qui veux rouler à 90 kilomètres/heures, toi, le Bobo qui prend l’avion six fois par an, toi, la ménagère qui chasse la saleté à grands coups de détergent, toi, le directeur du supermarché qui garnit tes rayons de nourriture pré-emballée, toi, le technocrate qui trace les autoroutes au milieu des champs, toi, l’ado qui garnit ton placard, jusqu’à plus soif, de vêtements made in China, toi, l’usager du métro rivé à ton i-phone pour supporter la laideur qui t’entoure, toi enfin, le politique qui oublie le peuple, me rendrez-vous le plus petit bouvreuil, la moindre linotte, le gobe-mouche, la grive et la bergeronnette ?
J’ai déjà grandi sans connaître les hannetons, sans voir les abeilles sauvages et en perdant la moitié des papillons. Faudra-t-il que je vieillisse sans oiseaux ?
…
Car me voici, moi qui mange la nourriture qui m’est préparée par le paysan, moi qui appuie si volontiers sur le champignon de la voiture quand je suis en retard, moi qui suis allée cet automne visiter le Costa Rica, moi qui ai acheté cette bombe à mousse, n’est-ce pas, si pratique pour nettoyer la douche, moi qui emprunte les ronds-points et me perds dans les zones commerciales, moi qui étais si contente de n’avoir payé mon jean que douze euros, moi qui détourne si souvent le regard pour ne pas voir ce qui me déplaît, moi qui veux voter blanc : je regarde la mangeoire aux passereaux qui reste immobile, pendue à son fil, pleine et inutile, et je plisse les yeux dans le froid sec qui me pique.
…
Mais je sais que les oiseaux ne seront pas les seuls, à mourir.
Il neige sur Paris.
« Le dandysme de masse » ne se peut pas, Delaporte. Le dandysme se dissout dans la masse !
In memoriam : Le 22 janvier 1922 mourrait Benoit XV, le marquis Jacques Della Chiesa.
« J’ai déjà grandi sans connaître les hannetons, sans voir les abeilles sauvages et en perdant la moitié des papillons. Faudra-t-il que je vieillisse sans oiseaux ? »
Oui mais à Paris on se bat pour conserver le lézard des murailles, Clopine !
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-les-defenseurs-du-tep-menilmontant-appellent-le-lezard-des-murailles-a-la-rescousse-18-01-2019-7991940.php
Je ne sais pas où vous êtes, Jazzi mais je n’ai pas encore vu un flocon de mon côté.
Par contre plusieurs averses de pluie fine depuis ce matin. Et 4 degrés dehors.
Vous donnez des acides gras saturés aux oiseaux, Clopine ? Bravo.
Il neige sur le lac… Daumesnil et la porte Dorée, D.
Pas ici sur l’Ouest parisien. Mais je m’en fous totalement, je n’aime pas la neige.
Clopine, digne de Colette.
Les oiseaux se cachent pour mourir….
Oui, Candide, mais tous coupables, dit à juste titre Clopine !
Comme vous Clopine je mets des graines et de la matière grasse sur mon balcon et comme vous je ne vois rien venir. Les oiseaux des villes sont comme les oiseaux des champs, ils nous quittent.
@Passou
« Où va le blanc quand la neige fond ? »
@ clopine
vous devriez envoyer ce si joli billet à un journal
sur notre monde vous en dites autant en 20lignes que Houellebecq en 200 pages
Clopine, c’est attristant et plus qu’1inquiétant. Je lisais ce matin que les oiseaux comme le chardonneret, le tarin des aulnes étaient convoités, marchandisés et subissaient ceci pour traffic, d’autres espèces encore sont capturees, chasse à la glue pour finir rôtis à la broche , des petits oiseaux un peu style ortolans
Une saisie dans le Var et arrestation d’un triste sire n’ayant pas acquis d’autres talents que celui de chasser et vendre morts ou vifs des oiseaux. Ces pratiques s’ajoutent aux effets de la chimie qui s’ajoute à celui des conflits armés qui peut être ont leur part dans la disparition ou la raréfaction de certains migrateurs. Hier, je n’ai pas vu les nombreuses espèces qui habituellement séjournent sur la zone humide mais peut être ne sont elles pas encore arrivées.
Merci pour vos lectures, tous et toutes, mais avant d’envoyer mon petit texte où que ce soit, je dois d’abord aller ce soir au cinéma à Gournay-en-Bray.
Quel rapport, me direz-vous ?
C’est qu’on y passe notre petit documentaire « la dette humaine », et que nous avons été informés que « des mecs de la FNSEA vont venir ».
Brrr…
Nous avons déjà eu maille à partir (indirectement), dans le passé, avec le plus gros syndicat agricole de France, ardent défenseur de l’agriculture industrielle. Comme mon idéalisme me pousse à croire que, lorsqu’on discute, y’a de l’espoir, peut-être est-ce bon signe leur venue ce soir ?
Ou pas.
On se regarde Clopin et moi, mi-figue, mi-raisin. Ce n’est pas que je manque de courage physique (en vrai : si) ; m’enfin, l’entre-soi est tellement plus confortable que l’affrontement… Même pacifique, hein. Je me dis que c’est une séance publique. Que tout va bien se passer…
Mais je n’arrive guère à penser à autre chose, là. La tête dans le guidon.
A propos du dandysme. Il y en a plusieurs types. Baudelaire et Barbey d’Aurevilly( ce dernier écrivit »Du dandysme et de George Brummell » ) sont écrivains passionnés par le dandysme- (pour Barbey il n’est de chic qu’anglais..) et tous deux ne brillent pas vraiment d’un grand élan révolutionnaire.. Barbey fut même un « intégriste » à son époque.
Pour Baudelaire »Le dandysme est le dernier éclat d’héroïsme dans les décadences. Le dandysme est un soleil couchant ; comme l’astre qui décline, il est superbe, sans chaleur et plein de mélancolie. » in « Curiosités esthétiques ».
Pour jean-Louis Bory qu s’était longuement penché sur le dandysme Brummell est le dieu, et d’Orsay est son prophète. » On se sent, on se veut à ce point différent et au-dessus des autres que choses et gens n’existent plus. Le dandy ne les voit plus, il n’en est plus, il ne peut plus en être touché. Être surpris, admirer, c’est se reconnaître inférieur. D’où le flegme, cette armure glaciale. Et pour seules attitudes possibles l’ennui, ou les attitudes qui traduisent un mouvement (quand on daigne se mouvoir) du haut vers le bas, condescendantes : le mépris gourmé, la politesse, qui se doit d’être irréprochable, et les différentes formes d’ironie qui vont de la plaisanterie entre pairs, l’humour, jusqu’à (puisqu’elle s’unit au dédain de plaire) l’insolence la plus cinglante. »
lien : https://cinelesecrans.wordpress.com/tag/beaubec-productions/
Il neige, ce qui incite à la mélancolie.
Un passage d’Hartmut Rosa sur « les hommes pressés et figés », ce matin blanc. Raconte qu’on peut être physiquement très mobile, mais intellectuellement et ‘médialament’ totalement immobile, ce qu’il explique comme une variation de « l’immobilité fulgurante » (une image intéressante).
A l’air de dire qu’elle caractériserait pas mal d’entre nous autres, des couches moyennes et supérieures de pays industrialisés (?…), lesquelles ressembleraient de plus en plus aux structures des réseaux d’internet (…). « En tant que noeuds du réseau, nous restons fondamentalement étrangers les uns aux autres : nous ne nous interpénétrons pas dans nos identités, dit-il, nous ne partageons aucun chemin de vie ». Il fait froid, parfois, dans la pensée, comme ce matin.
Et pourtant, j’ai toujours comme l’impression que, qui que nous soyons à la rdl, nous luttons contre ce que nous pressentons comme une vérité profonde de notre condition commune, en donnant en permanence aux autres à voir ou à comprendre quelque chose de notre résonance personnelle au monde. Je pense qu’aucun erdélien, quoiqu’il en dise, ne parvient à être indifférent aux autres. Il y a toujours l’espoir d’une co-présence au monde. Je le ressens tous les jours sur ce blog.
@Janssen J-J dit: 22 janvier 2019 à 11 h 50 min
Magnifique de lucidité, JJJ.
Ce que j’aime beaucoup dans le texte de mme Trouillefoux de ce matin, Clopine veux-je dire, c’est la chute. Et la gamberge qui s’en suit : la supériorité des oiseaux qui se cachent pour mourir sur les humains, parce qu’ils ignorent que les humains ont peur de mourir. Une sensation qui leur est parfaitement étrangère. Une déduction du post exotisme à la portée de tous.
(NB/ j’ignorais que Colleen Mc Cullough eût plagié Colette. Mais à quoi bon cette pseudo érudition littéraire, franchement ?)
« On se regarde Clopin et moi, mi-figue, mi-raisin. »
Mettez vos gilets jaunes, Clopine !
« Raconte qu’on peut être physiquement très mobile, mais intellectuellement et ‘médialament’ totalement immobile, ce qu’il explique comme une variation de « l’immobilité fulgurante » »
L’inverse peut être vrai aussi. J’ai une amie tétraplégique qui est physiquement immobile (même si son fauteuil électrique roule pour elle) mais intellectuellement beaucoup plus active et passionnée de tout que beaucoup de valides de ma connaissance.
Les oiseaux vont mourir au Péru :
« A propos du dandysme. Il y en a plusieurs types. »
Et même des femmes, Paul !
https://www.vanityfair.fr/culture/people/diaporama/le-dandysme-au-feminin/20126#le-dandysme-au-feminin-coco-chanel-3
J’entend venir la neige, et c’est la pluie qui fonds.
Autour de moi je sais les parcs, les réserves où croissent les grenouilles, les portiques à vélos, frêles îlots de préservation.
Comme une louve qui rôde, voyant les graphitis sur les murs, je déchiffre les codes barres des passions humaines.
Ceux qui de jour parlent et s’absolvent la nuit.
A perte, toi qui essaye lune rouge en main de renaître dans un océan de plastique.
J’emballe pour tous et marchons, comme les scouts proprêts de feux de camps en palettes jusqu’à la fin du paysage …
Les murailles serrées de l’Occident, dans un roulis de chaines ont relevé le pont levis, au loin , très loin des face à face et de l’understatment; à l’arrière d’une usine à volailles dont les effluves chaudes sentant la paille et le maïs transgenre, je vois se dessiner l’ombre meurtrie d’une femme qui s’use encore à la bougie.
Ma voiture que tant j’aimais, vieillit, se ride et se corrode, je devrais l’envoyer à la casse, dans un EPHAD à ciel ouvert, sur un cargo recycleur africain; mais je la garde jalousement, dévotement comme une liberté surveillée et lourdement imposée.
Le monde tournera et se retournera de tweets en selfies, et, privés de ressources énergétiques nous seront ces voyants hallucinés et envieux des vies éternelles promises par la science à ceux qui, pomperont jusqu’à plus soif et sans vergogne ce qui reste des cocotiers, des laves minérales des volcans, des entrailles des mers piratées.
dont les effluves chaudes sentant la paille
dont les effluves chaudes sentent la paille
@Chantal
« J’entendS venir la neige »
« toi qui essayeS »
« qui, pomperont », supprimer la virgule…
« qui fond » et non « qui fonds »
oh merci JB, mes s sont insoumis
« On se regarde Clopin et moi, mi-figue, mi-raisin. Ce n’est pas que je manque de courage physique (en vrai : si) ; m’enfin, l’entre-soi est tellement plus confortable que l’affrontement… »
Je suggère que les hommes encore valides de la RdL (je pense à Barozze et à D notamment) fassent du co-voiturage jusqu’à Gournay-en-Bray pour aller assurer la sécurité de Clopin/Clopine face aux gros bras de la FNSEA.
(malheureusement je ne peux pas me joindre à eux, cet après-midi j’ai piscine)
DHH
En effet, ce texte-là vaut largement bien d’autres homélies clopiniennnes à l’argumentation boitillante et à la pensée très prévisible.
Beau texte de Chantal aussi .
je sais Jazzy que tu es grand piéton De Paris version Lp Fargue et que tu es élégant moralement mais dandy ?
@Paul Edel
Bien vu mais pourquoi ce jour, ici, sur ce fil ? Camus, dans L’homme révolté (Gallimard), écrit p.75 : « Dissipé en tant que personne privée de règle, il sera cohérent en tant que personnage. Mais un personnage suppose un public […]. Il ne peut s’assurer de son existence qu’en la retrouvant dans le visage des autres. »
Un personnage donc, plus qu’une personne, désirant toujours être sous les regards des autres pour exister, se donnant en spectacle. En dédoublement afin de faire de sa vie une « œuvre d’art » ? (Wilde) Quelle blessure à l’origine ? Quel échec ? Quel ennui ?
Le dandysme est-il uniquement masculin ? ( le dandy esthétise sa personne pour érotiser sa mélancolie, jusqu’au fétichisme mais ne peut se passer de la présence des femmes… (Le beau Brummel, Stendhal, Baudelaire, Wilde, oui, et pourquoi pas un chat ? ou encore Serge Gainsbourg ? Francis Scott Fitzgerald ? Lou Andreas-Salomé ? Gertrude Stein ?)
Quel mystère que vos interventions… comme cette neige frivole sur les toits de Paris…
pour les oiseaux:le premier ornithologue ,AUDUBON , était un tueur
bonne journée
@Chantal dit: 22 janvier 2019 à 12 h 27 min
Hum… j’apprécie…
« mais dandy ? »
Dès l’adolescence, mes tenues vestimentaires faisaient jaser au lycée, Paul. Aujourd’hui, c’est plutôt le style clochard…
L’élégance du SDF…
http://www.lafermedubonheur.fr/wp-content/uploads/2017/12/Dossier-Noel-Clochard.pdf
Delàporte ce matin a commnente le « dandysme « des gilets jaunes vers 9 heures..Christiane
@caulerpa dit: 22 janvier 2019 à 13 h 00 min
J’aime tant ses dessins… Pourquoi dites-vous un « tueur » ?
Je n’aurais jamais cru qu’en me souvenant aujourd’hui de Byron [et de Strindberg] j’aurais suscité quelques réactions. En tout cas, le-la dandy fut et reste une figure politique d’opposition que cela plaise aux conformistes ou pas.
22 janvier 2019 à 13 h 26 minc’est bien que vous l’ayez relevé, christiane car c’est à vous que j’ai pensé en me souvenant d’Audubon que j’ai découvert à la bib Forney en faisant une recherche sur Goethe!je me laisse détourner par une curiosité du moment ;mais là, j’ai regardé sa bio sur la toile parce qu’un jour, dans la rue, c’est un « bagueur » de pigeons qui me détourna de mon chemin :je me demandais ce qu’il faisait ;donc la biographie d’Audubon est sur la toile;il abattait les oiseaux et….vous verrez; il a fait une belle carrière,cela dit .
Je ne dérange plus pardon
ajoutez, christiane que j’ai unez histoire personnelle avec les oiseaux depuis le jour où je ramassais un pigeon mort dans un square et que je ramenais au lycée et le laissais à mon prof de ciences nat; depuis ce jour là, il y eut bien d’autres oiseaux ,vivants ceux-là, auxquels j’allais acheter des vers
Audobon premier ornithologique ?! Sans chercher plus loin — Inde —, déjà Aristote (Περὶ Τὰ Ζῷα Ἱστορίαι) s’intéressa à l’étiologie des oiseaux. Cela dit, parmi les tueurs d’oiseaux ne pas oublier Darwin.
je ramassai sans s etc
ornithologique > ornithologue… jamais croire aux machines ?
je n’ai pas la science infuse et je me fie un peu à ceux qui ont fait des recherches pour un article ; on lit sur la toile
. Alors qu’il se trouve à Édimbourg à la recherche de souscriptions pour son livre, il fait une démonstration de sa manière d’utiliser des fils pour déployer les oiseaux devant la Wernerian Natural History Association du professeur Robert Jameson. Un étudiant nommé Charles Darwin fait partie du public. Il visite également la salle de dissection de l’anatomiste Robert Knox, peu avant l’association de Knox avec les tueurs Burke et Hare.
bonne journée et ne vous traites pas de noms d’oiseaux ; on m’en affubla d’un dans ma jeunesse, le premier sobrique que j’ai enduré ayant été Scipion , je ne sais pourquoi
sobriquet ;j’ai rompu avec la personne de ma famille qui excellait dans le mépris et la haine de tiers et de ses proches;
bonne journée
ne vous traitez pas
. Audubon écrit : « Je dis qu’il y a peu d’oiseaux quand j’en abats moins de cent par jour. » Un de ses biographes, Duff Hart-Davis, observe : « Plus l’oiseau était rare, plus il le poursuivait passionnément, apparemment sans jamais s’inquiéter du fait que tuer le spécimen pouvait précipiter l’extinction de son espèce. »
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