Retour sur la consécration du « syndicat »
Récemment interrogée dans l’Express sur l’art et la manière d’obtenir les droits d’édition du nouveau livre de Barack Obama, Sophie de Closets, Pdg des éditions Fayard, confiait à Marianne Payot :
« Selon moi, dans le registre des Mémoires de président, comme il y a eu De Gaulle et Churchill au XXe siècle, il y aura Une terre promise au XXIème ».
A la réflexion, ce ne sont pas tant les qualités littéraires de « l’écrivain » Obama qui valent d’être discutées : gageons que l’empreinte de l’homme d’Etat les recouvrira bientôt ; c’est plutôt la comparaison avec les deux autres mémorialistes qui fait problème.
Que Charles de Gaulle, nourri de ses lectures de Bossuet, Chateaubriand, Las Cases, Barrès ait eu de longue date la fibre littéraire, et qu’elles aient nourri sa plume de mémorialiste ne fait guère de doute ; que ses Mémoires de guerre soient passées à la postérité comme l’œuvre historique d’un styliste, pléiadisé à raison, n’est que justice. Mais Winston Churchill ? Il avait certes la plume facile, comme en témoignent d’innombrables articles ainsi qu’un grand nombre d’essais et de récits historiques.
Il a été couronné du prix Nobel de littérature en 1953, succédant à Mauriac et précédant Hemingway, excusez du peu, pour l’ensemble de son oeuvre au moment de la parution de La seconde guerre mondiale en six volumes, « « pour sa maîtrise de la description historique et biographique ainsi que pour ses discours brillants pour la défense des valeurs humaines » selon le communiqué de l’Académie suédoise. Encore faut-il préciser que toute sa vie, il s’était fait une certaine idée de l’écriture. Quelque chose de collectif, ce qui est généreux, à ceci près qu’il signait seul.
Quand De Gaulle rédigeait seul les trois tomes de ses souvenirs parus de 1954 à 1959, rivé à son bureau de la Boisserie à Colombey-les-deux églises, face à la fenêtre donnant sur la forêt de Clairvaux et les coteaux champenois s’étendant à perte de vue, Sir Winston, lui, restait au lit dans sa propriété de Chartwell, un cigare dans une main et un verre de whisky dans l’autre, entouré d’une flopée de dactylos et d’une équipe composée de chercheurs, d’archivistes, d’historiens, de généraux à la retraite et de rédacteurs. Ceux que Andrew Roberts, son plus récent biographe (Churchill. Walking with Destiny, traduit de l’anglais par Antoine Capet, 1314 pages, 29 euros, Perrin), appelle avec un goût certain de la litote « ses assistants littéraires ». Churchill les désignait avec des accents plus mafieux comme « le syndicat ».
Il n’y a pas qu’Agatha Christie : lui aussi a eu ses dix petits nègres, pardon, ses « ils étaient dix » comme il convient de le dire désormais. Du fond de son plumard, il dictait à ses multiples plumes sa version très personnelle de l’Histoire ; puis ceux-ci vérifiaient, nourrissaient, documentaient, réécrivaient ; plusieurs jets du manuscrit plus tard, après qu’il eut été soumis à une quarantaine de personnalités qui y étaient évoquées afin de solliciter leur aval ou leur censure (famille royale, responsables politiques, anciens ministres, diplomates etc), le patron le « churchillisait » en le mettant à sa sauce à coups de ratures, de paperolles et d’allongeails. Ce ton si particulier, style épique, lyrique, anecdotique et coloré, qui faisait son succès.
Le Général ne s’y était pas trompé qui, dans une lettre du 26 décembre 1953 à Louis Terrenoire, confiait :
« Ces Mémoires me donnent énormément de mal pour les écrire et pour en vérifier tous les éléments historiques au détail près. Comprenez-vous, je veux en faire une oeuvre, ce n’est pas ce qu’a fait Churchill qui a mis bout à bout beaucoup de choses ».
D’un côté l’œuvre conçue dans la solitude d’un homme d’Etat aux prises avec l’Histoire, obsédé par la vérification et la recherche du mot juste. De l’autre, une oeuvre collective, soumise à l’expertise et aux susceptibilités d’un consortium innombrable, qui aurait pâti d’un manque d’unité n’eut été le souffle d’un artiste de la politique. On s’en doute, chaque camp a ses défenseurs. On ne peut pas dire que l’on ressort convaincu de la lecture de Churchill the Writer. His Life as a Man of Letters (162 pages, Hutchinson) car pour qui a lu l’essentiel de l’oeuvre en question malgré la quantité, le plaidoyer enthousiaste de Keith Alldritt citations à l’appui (publié il y a trente ans) ne suffit pas. En revanche, l’anthologie récemment constituée par Jean-Claude Perrier sous le titre De Gaulle vu par les écrivains. D’Aragon à Zagdanski (312 pages, 8,90 euros, La Table ronde) vient à point rafraichir les mémoires. Même si un certain nombre de contributeurs s’y attachent davantage à l’homme qu’à l’écrivain, l’ensemble est propose un tableau dense et ouvert. Les fidèles sont bien au rendez-vous (Mauriac, Gary, Debray, Rouart, Malraux, Tillinac…) et les impitoyables ennemis du Général ainsi que ses plus féroces critiques (Aragon, Jacques Laurent, Sartre…). Question de droits? Probablement car il est regrettable que parmi les adversaires du premier, Duras manque à l’appel, et que parmi les plus exacts démolisseurs du second soit absent le Jean-François Revel du Style du Général (Julliard, 1959)
Lorsque le comité Nobel fit connaitre son choix en 1953, l’académie suédoise se vit reprocher son caractère bien peu littéraire et si clairement politique. Quant à son élu, il ne dissimula pas sa déception : il espérait le prix Nobel de paix, faisant peu de cas du génie des livres qu’il signait pour les avoir de tous temps considérés comme un moyen de s’enrichir. Ce qui fut le cas. Mais les membres du syndicat, eux, étaient ravis. La consécration de ces « ils-étaient-même-un-peu-plus-que-dix » est unique dans l’histoire du Nobel.
1 247 Réponses pour Retour sur la consécration du « syndicat »
Puis, lmd, il y a cette comparaison de Julio Cortázar.
Sobre la fotografía
La novela y el cuento se dejan comparar analógicamente con el cine y la fotografía, en la medida en que en una película es en principio un « orden abierto », novelesco, mientras que una fotografía lograda presupone una ceñida limitación previa, impuesta en parte por el reducido campo que abarca la cámara y por la forma en que el fotógrafo utiliza estéticamente esa limitación.
No sé si ustedes han oído hablar de su arte a un fotógrafo profesional; a mí siempre me ha sorprendido el que se exprese tal como podría hacerlo un cuentista en muchos aspectos.
Fotógrafos de la calidad de un Cartier-Bresson o de un Brassai definen su arte como una aparente paradoja: la de recortar un fragmento de la realidad, fijándole determinados límites, pero de manera tal que ese recorte actúe como una explosión que abre de par en par una realidad mucho más amplia, como una visión dinámica que trasciende espiritualmente el campo abarcado por la cámara.
Mientras en el cine, como en la novela, la captación de esa realidad más amplia y multiforme se logra mediante el desarrollo de elementos parciales, acumulativos, que no excluyen, por supuesto, una síntesis que dé el « clímax » de la obra, en una fotografía o un cuento de gran calidad se procede inversamente, es decir que el fotógrafo o el cuentista se ven precisados a escoger y limitar una imagen o un acaecimiento que sean significativos, que no solamente valgan por sí mismos sino que sean capaces de actuar en el espectador o en el lector como una especie de apertura, de fermento que proyecta la inteligencia y la sensibilidad hacia algo que va mucho más allá de la anécdota visual o literaria contenidas en la foto o en el cuento.
Un escritor argentino, muy amigo del boxeo, me decía que en ese combate que se entabla entre un texto apasionante y su lector, la novela gana siempre por puntos, mientras que el cuento debe ganar por knockout.
In “Casa de las Américas”, No. 60, en julio de 1970
monsieur Drillon, vousne semblez pas avoir été très sensible à la circulaire de J.M.Blanquer sur le point proscrit(encore un pp) https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/05/07/jean-michel-blanquer-interdit-l-ecriture-inclusive-a-l-ecole_6079436_3224.html
et c’est publié dans le JO; que vont-elles dire? ELLES VONT VOUS TOMBER DESSUS A BRAS RACCOURCIS :votre passion pour la virgule ici, et vous ignorez là la nouvelle ponctuation?
rude compétition entre Bloom et renato pour la fonction de portier à l’auberge de la Tour de Babel !
Pour mes vacances, Jacques, j’aime un lieu où la langue n’est pas un problème. Voilà quelques lignes de mon Journal.
“Après avoir déposé mes courses au frais, je me rendis au Pollux où je dînai d’une truite au bleu accompagnée de Johannesberg. À la fin du repas, un kirsch me servit d’excuse pour occuper la table, et je terminai ma soirée exécutant, montre en main, 4’ 33” (4’ 33”— fois sept puisque je suis assis à la table 7 — 30’ 31”) : machine à café, assiettes, bouteilles, bouchons, couverts, verres, porte ; musique folklorique discrète — deux accordéons et une contrebasse — ; langues mêlées (anglais, allemand et alémanique, français, anglais, italien — accent lombard et romain, quelques r roulés). Avons-nous finalement abordé dans Babel ?”
Zermatt 6 novembre 2004
Si Paul Edel passe par ici, via Panisperna :
https://pbs.twimg.com/media/E0x78ZpXsAUuNMg?format=jpg&name=large
Quand est-ce qu’on mange ?
Mais je note que vous tenez votre journal en… français, renato !
@ RM, 1 – votre journal prend un J ?
eh ben voyez, racontpatavi, tout le monde tient le sien et tient à en faire la preuve publique, un jour ou l’autre. Y’a pad mal assa !
@ RM, 2 – Votre coiff’tifs est androgyne, que s’demande l’jzmn ?
Mais Greg Lukianoff est aussi le responsable d’un site consacré aux libertés universitaires, FIRE pour Foundation on Individual Rights in Education. Et il y posté récemment un article important puisqu’il s’agit à la fois de liberté d’expression et du suicide d’un professeur.
Qui était Mike Adams, professeur de criminologie, qui s’est donné la mort le 23 juillet dernier ?
« Mike Adams était un provocateur. Je ne partageais pas ses idées politiques mais il était mon ami » écrit Greg Lukianoff. David French, qui a été son avocat et son ami également, revient sur le parcours de l’enseignant dans un article. Né en 1964, Mike Adams avait été recruté comme professeur de criminologie par l’université de Caroline du Nord à Wilmington en 1993. A l’époque, il était athée et de gauche. Il s’est converti au christianisme après avoir fait la connaissance d’un condamné à mort. Cette conversion a provoqué son adhésion aux thèses conservatrices, notamment sur la question de l’avortement. Et il est devenu un polémiste redouté pour son ironie mordante.
https://www.franceculture.fr/emissions/le-tour-du-monde-des-idees/retour-sur-le-suicide-dun-professeur#xtor=CS1-901
Je n’affirme rien, JJJ. Mais un homme qui parle un peu trop de ses exploits sexuel avec sa femme, coiffeuse pour dames, pour qu’on ne le soupçonne pas d’être homo, on peut se poser la question, non ?
Il s’agit d’une traduction, Jacques.
Alors pourquoi ne pas faire de même pour vos commentaires, renato ?
Je ne lui ai jamais posé la question, JJJ, et à vrai dire cela ne m’importe point, ce qui surtout m’intéresse c’est sa manière de raconter les livres et les films. Puis, elle est une gentille fille, il y a peu elle a sauvé une chatte avec tous ses petits et plutôt que les abandonner à l’SPA elle a pris en charge les frais vétérinaires et puis, après inquiète, les a casés.
Cela dit, puisque chez le barbier on est dans l’incapacité de se défendre, chez les anciens Grecs les barbiers étaient souvent des femmes car l’on croyait qu’une femme avait une espèce de limite qui les empêchait de tuer.
Parce que je n’ai pas toujours envie, Jacques, et souvent je n’ai pas le temps. D’autre part, avec DeepL ou DeepL Pro quiconque peut sans peine accéder à des contenus.
eh ben voyez, racontpatavi, tout le monde tient le sien
Oh merci J!
( Celui-ci est vachement Gonflé à l’hélium!)
Pan pan dans le cul nu du n.gre, drame dada.
» L’évidence sépare l’extérieur de l’Intérieur
L’Aphorisme est un cataplasme de consolation : Vivre est une maladie imaginaire : se débattant, poursuit le bonheur, le plus lourd que l’air — le plus léger au vent s’abandonne : — Cet humain, tenant d’un pied l’inertie, la vitesse de l’autre — encore par ses jambes, est dépendant de l’extérieur et tributaire. A une cloche de verre équivaut l’idée — essaie de conserver une force — comme la cloche surplombe un fromage. L’humain est isomorphe : l’extrinsèque est déliquescent, efflorescent l’intrinsèque. Un chimiste raté vaut le philosophe — qui, en évaporant des vocables, découvre des principes. L’Ozone filigrane — amorphe — la carte de visite de la spécialisation. Le chiffre remplace le « moi » confisqué ; le nom, honorablement, l’habille : il n’existe pas, le nu du « moi » effectivement
— Qui, là-dessus, d’allotropique, désire retourner à sa valeur essentielle, se brûle la cervelle, consciencieusement : il s’agit de décomposition endothermique, en visant, sans tragique, comme qui dirait le second pronom du verbe réfléchi au mode personnel : présent. »
https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Pan-Pan_au_Cul_du_Nu_N%C3%A8gre
C’est juste une question de politesse envers ceux à qui l’on s’adresse, renato…
Je ne crois pas que ce soit une question de politesse, Jacques. Par exemple, l’on accepte sans faire des histoires que beaucoup de Français prétendent parler français partout à l’étranger sans faire l’effort de s’adapter, et on ne les juge pas pour cela arrogants ni malpoli pour autant.
» En plein feu d’artifice nous dansons le
Pan-pan
Pan-pan — Pan-pan
Si un jour tu ailles en prison, tu jureras :
à dix-huit mois mon père me le chanta :
Pan-pan — Pan-pan
Si un jour tu ailles à l’hôpital, tu cracheras :
à dix-huit mois, mon père me le blasphéma ;
Pan-pan — Pan-pan
Si un jour l’on t’enferme en une maison d’aliénés
tu chanteras : à dix-huit mois, je l’ai dansé :
Pan-pan — Pan-pan
Polyphonie — polyfolie
Pan-pan
Ma mère est une sainte !
Pan-pan
Mon père est un café-chantant
Pan-pan — Pan-pan
Pan-pan-pan ! »
Clément Pansaers 1919.
IL Y A UNE PETITION DEMANDANT L’ENTREE DE J.Baker au Panthéon
eh ben voyez, racontpatavi, tout le monde tient le sien
Par la barbichette J3, par la barbichette!
L’ENTREE DE J.Baker au Panthéon
Excellente idée, n’oublions surtout pas la banane mythique, signe d’intégration réussie et possible œuvre d’art à 120 000 euros par dessus le marché (de l’art bien entendu!).
et on ne les juge pas pour cela arrogants ni malpoli pour autant.
SI RENATO, je crois que c’est ainsi que sont perçus les français
Les Français sont les plus arrogants d’Europe selon… les Français
Le HuffPost
Mais pour d’autres raisons, et al.
La recherche du bleu outremer trouve ses origines en 1787, quand Goethe découvre le premier la formation d’une matière bleutée sur les parois des fours à soude. Puis, c’est au tour de Tassaert, en 1814, alors chimiste et directeur de la manufacture de Saint-Gobain à Chauny, de faire le même constat. Nicolas Vauquelin est chargé de l’analyse de cette matière, dont il montre la grande proximité chimique avec le pigment du lapis-lazuli. Lors de la séance du lundi 22 novembre 1813, à l’Académie des sciences, Vauquelin présente son étude et démontre ainsi les possibilités de fabriquer artificiellement de l’outremer. En 1824, la Société d’encouragement pour l’industrie nationale engage la somme conséquente de 6 000 francs dans le lancement d’un prix pour la découverte du bleu outremer artificiel. Deux conditions sont posées pour cette invention 1: la première est de réunir toutes les qualités que l’on reconnaît au lapis-lazuli ; la deuxième, que le procédé de fabrication n’excède pas le prix de 300 francs le kilo dans le commerce. En 1825, aucune invention n’est annoncée et la Société d’encouragement se voit obligée de reconduire le prix. Le but est atteint en 1828 par Jean-Baptiste Guimet avec un composé chimique de sa composition.
Jean-Baptiste Guimet (1795-1871) est né à Voiron (Isère). Son père, architecte et ingénieur des Ponts et Chaussées, était l’auteur de plusieurs projets de grands travaux dans le sud de la France. Jean-Baptiste sort de l’école polytechnique en 1816. En 1817, il est admis au service des poudres et salpêtres de l’arsenal de Paris, puis à la poudrière Bouchet près d’Arpajon. En 1825, il est nommé commissaire-adjoint aux poudres à Toulouse. L’année suivante, il épouse Rosalie (dite Zélie) Bidauld, fille du peintre paysagiste Jean-Pierre-Xavier Bidauld. Elle est elle-même peintre, élève de Girodet.
D’après ses carnets d’expériences et un courrier du 11 août 1826 (archives Guimet), Guimet obtient dès juillet 1826 des résultats prometteurs. En octobre, il passe au stade industriel, mais décide toutefois d’approfondir ses recherches afin de réduire le coût de fabrication. L’année suivante, il commence à commercialiser sa production de bleu au 7 de la rue du cimetière Saint- Nicolas à Paris, chez Tardy et Blanchet. Son outremer artificiel est vendu à 400 francs la livre (encore un peu au-delà du prix préconisé par la Société d’encouragement), alors que l’outremer naturel vaut entre 2 000 et 5 000 francs.
C’est lors de cette période d’expérimentation que le moulin à main est utilisé par Jean-Baptiste Guimet, avant les installations de production à l’échelle industrielle. Il s’agit très certainement d’un moulin expérimental, un prototype, construit par Jean- Baptiste Guimet vers 1826- 1827. Il est l’un des seuls vestiges de l’époque de la découverte de ce bleu
En 1962, la société anglaise Reckitt and Colman devient actionnaire, et reprend la production de bleu outremer en 1965, entraînant la fermeture de l’usine Guimet le 30 avril 1967. Aujourd’hui, le bleu Guimet est fabriqué sous la marque ‘Holliday Pigments’, à Comines dans le Nord.
Le bleu outremer artificiel est très utilisé par les peintres : dès 1827, Ingres se sert du bleu outremer pour l’Apothéose d’Homère, plafond du musée Charles X au Louvre. Mais aussi pour l’azurage des soies et du linge : Marius Moyret, professeur de chimie à Lyon, dans son traité sur les soieries lyonnaises rédigé en 1877, retrace l’histoire de la teinture et du traitement de la soie. Dans ce traité, les teinturiers lyonnais utilisaient pour l’azurage des soies, outre le bleu de Prusse, le bleu Guimet. Dans le nord-ouest de Lyon (communes de Craponne, Vaugneray et Brindas), le linge des enfants mis en nourrice pour profiter du bon air des Monts du Lyonnais est lavé sur place et celui de leurs parents à leur suite. Petit
Dès 1832, l’outremer Guimet est également utilisé dans la coloration et l’azurage du papier. Les premières expériences faites dans les papeteries de Canson et de Blanchet frères sont très concluantes. L’outremer va très vite supplanter l’usage du bleu de colbalt utilisé pour l’azurage et dont le prix est largement supérieur. Enfin citons l’emploi du bleu outremer Guimet dans le domaine des encres, du traitement du sucre (blanchissage) et la savonnerie…
La place de gardien de la tour de Babel vient de se libérer !
—
Un peu trop risqué, vu les plans de l’Éternel (béni – Ganz – soit son nom, etc.).
J’ai postulé pour le poste d’Adam, mais comme Cioran occupe la fonction de Serpent, je suis dubitatif quant à l’issue. Il aime pas trop les Juifs. Parait que le Pays regorge de lait et de miel. Mieux que chez les barons d’la Côte.
Guimet
—
Très intéressant, et alii.
Pour moi, Guimet = refuge, havre de paix.
Guimet shelter, en quelque sorte.
« on peut se poser la question, non ? »
Il est tellement prévisible que tu vas te poser la question JzzB, que la moindre des choses serait de ne pas la poser…Pas vrai ?
Lord Robert Baden-Powell par Winston S. Churchill, Grands contemporains, Londres, 1938
Le plus beau témoignage de la vie et de l’œuvre de Robert Baden-Powell a peut-être été écrit par Sir Winston Churchill. Dans son livre, Grands contemporains, Churchill a rassemblé une série d’articles de journaux et de magazines qu’il avait écrits de 1928 à 1937 sur la vie des «grands hommes de notre époque». Il a écrit dans la préface: « Bien que chaque (article) soit autonome, ils jettent, sous différents angles, une lumière sur le cours principal des événements par lesquels nous avons vécu. »
https://troop485.tripod.com/documents/bp-churchhill.htm
renato
C bien dit, et cela correspond à une certaine réalité.
« étaient souvent des femmes car l’on croyait qu’une femme avait une espèce de limite qui les empêchait de tuer ».
Jazzi & Closer: oui, j’en viens aussi à trouver que stasi75 manque un peu. Il était fort déplaisant et m’avait bien asticoté, comme d’autres, mais parfois avec raison, et il connaissait son affaire.
hunter games le geste :
, pour la petite anecdote, ce salut n’est pas à proprement parler une invention de l’auteure de la saga littéraire. En effet, il a été popularisé par Robert Baden-Powell, fondateur du scoutisme. Le pouce placé sur l’auriculaire signifie la protection du plus faible par le plus fort, les trois doigts du milieu symbolisent la loyauté, la responsabilité vis-à-vis d’autrui et le respect de la loi scout.
En effet, huit jours après le coup d’Etat perpétré par la junte birmane (la Tatmadaw) le 1er février 2021, la foule récupère ce geste pour en faire un symbole de résistance. Un geste “d’abord timidement utilisé”, détaille un article du Figaro, puis qui “s’est répandu parmi les manifestants, gagnant aussi les réseaux sociaux, où de nombreux internautes ont affiché leur soutien par ce signe de la main”.https://www.google.com/search?q=https%3A%2F%2Fwww.es-la-scene-culte-marieclaire.fr%2Fhunger-gamou-le-salut-de-katniss-devient-symbole-de-rebellion%2C1375243.asp%23xtor%3DEPR-195&oq=https%3A%2F%2Fwww.es-la-scene-culte-marieclaire.fr%2Fhunger-gamou-le-salut-de-katniss-devient-symbole-de-rebellion%2C1375243.asp%23xtor%3DEPR-195&aqs=chrome..69i58j69i57.5982j0j4&sourceid=chrome&ie=UTF-8
Renato, « Johannisberg »…
Churchill est un personnage complexe, dont le rôle essentiel pendant la Deuxième Guerre mondiale en Europe est aujourd’hui terni par, entre autres, le rappel de son incompétence pendant la Première (désastre de Gallipoli) et sa responsabilité dans la terrible famine au Bengale en 1943.
En revanche, son apport à la langue anglaise et à la langue universelle ne souffre aucune contestation : du sang, du labeur, « des larmes et de la sueur » (blood, toil, tears and sweat), « leurs plus belles heures » (their finest hour), « la fin du commencement » (the end of the beginning), « les affaires continuent » (business as usual), « rideau de fer » (iron curtain), « réunion au sommet » (summit meeting) et « coexistence pacifique » (peaceful co-existence), font partie du vocabulaire usuel de beaucoup.
« du sang, du labeur, des larmes et de la sueur »
L’article a été découvert par le docteur Richard Toye, un historien de l’Université de Cambridge, dans les archives de Churchill détenues par cette université. A l’époque, le secrétaire de Churchill lui avait dit qu’il ne serait « pas avisé » de le publier.
churchill sur les juifs sur le monde
C’était un Riesling — Johannesberg-Wallhausen —, vedo.
Renato, excusez-moi, et merci. Mais…, vous qui êtes en Alsace, comment pouvez vous faire cet écart?
c’est à Bloom que je laisse le soin de parler de Churchill et des indiens ; et l’en remercie
je mets quand même ça:
« Dans ce quatrième épisode de l’émission, Stéphanie Duncan nous raconte la véritable histoire d’une jeune Indienne pacifiste, Noor Inayat Khan, qui sera, en 1942, l’une des plus performantes opératrices radio du SOE de l’homme d’état britannique, Winston Churchill, alors Premier ministre
Noor Inayat Khan, jeune fille moitié américaine, moitié indienne, fait partie de ces femmes qui pendant la Seconde Guerre mondiale s’engagèrent dans le SOE, le Special Operations Executive, ou Bureau des opérations spéciales.
Ce service secret anglais, ultra-secret même, jouera un rôle décisif dans la guerre contre l’Allemagne nazie, et paiera un lourd tribut humain.
En juin 1943, Noor Inayat Khan sera la première femme du SOE envoyée en mission en France occupée, au poste le plus dangereux : celui d’opérateur radio. Une première mission qui sera aussi sa dernière, non par sa faute, mais suite à une trahison.
« Maladroite », « émotive », « trouillarde »… voilà ce que ses chefs disaient de Noor Inayat Khan, jeune fille élevée dans le soufisme et le pacifisme. Pourtant elle se révélera sur le terrain d’une efficacité et d’un courage exceptionnels, et demeure aujourd’hui une des espionnes les plus extraordinaires du XXe siècle.
https://www.franceinter.fr/emissions/espions-une-histoire-vraie/espions-une-histoire-vraie-17-juillet-2020
bonne soirée
Pour Kafka, la somme de Lahire sur le sujet me semble indépassable
Il m’est arrivé de boire un Kaeferkopf Jean Baptiste Adam à Turin, vedo, et un Gattinara à Zurich.
Negres de Dumas. Le mieux identifié demeure Maquet, romantique mineur signant Augustus Mac Keat dans sa folle jeunesse, qui fournissait le canevas historique des principaux romans de Dumas, et parfois certaines scènes.Le procès qui les a opposés, et la sépulture de Maquet au Pere-Lachaise attestent qu’il a travaillé pour les meilleurs, puisque les titres problématiques qui firent l’objet de sa plainte sont aussi sculptés au quatre coins de son tombeau. Il arrivait aussi à Dumas de pomper lui-même. Le Journaliste Eugène Jacquot, dit de Mirecourt, a établi que le début de Gaule et France est un plagiat d’un texte d’ Augustin Thierry (Mirecourt, Les Contemporains, A Dumas). Il en signale d’autres pastiches). L’ expression livre Dumasse est employé al’ époque comme marque de fabrique de l’ Usine Dumas. D’ autres renseignements dans Querard, savant Bibliographe qui hait Dumas et en dénonce les emprunts à longueur de pages. On peut se demander si le très médiocre Marquis de Fayolle, de Nerval, n’ était pas destiné à cette usine là, à supposer qu’il soit de lui. Dans cette production douteuse, il y a de tout. Une version française de Robin des Bois, au mythe plus ou moins connu par l’ adaptation du Freischutz de Weber par Castil-Blaze, un roman sur les Baleiniers paru dans la Presse versv1853-1855 et jamais repris en volume à ma connaissance.une preface a d’anonymes Mémoires d’un Policeman, fort intéressants pour la difficulté d’exercer ce métier sous Victoria autour de 1860. Bref le pavillon Dumas couvre une flotte variée où se côtoient livres illisibles , mythologie historique, et bien plus rarement (un cas) Memoires. Ce n’ est pas rien
cf… le lien Julius Streicher / Adolf Hitler,
Ron Rosenbaum se pose longuement la question de savoir qui fut le gourou de l’autre en matière de haine viscérale et primitive à l’égard des juifs, au point d’avoir voulu tous les exterminer. Après avoir réfuté la thèse selon laquelle il n’y aurait pas eu « de-brave-garçon » avant la mort de Geli Rubal, expliquant un moment inaugural de la conversion hitlérienne à l’idée démoniaque de programmation du futur holocauste, Rosenbaum montre comment, au chapitre 10, le livre de Ronald Hayman (Hitler and Geli, 1997) n’aurait contribué qu’à enfumer un peu plus les analystes. En effet, ce dernier aurait tenté de changer la chronologie du « drame » des trois journées des 17-19 septembre 1931, pour mieux asseoir sa conviction de la thèse du « meurtre » réellement commis sur la nièce (alors que les spécialistes ne parvinrent jamais à décider s’il ne s’était pas agi d’un suicide). Rosenbaum conclut qu’il n’en sait toujours rien lui-même, mais a le mérite de s’appliquer lourdement à lui-même sa propre théorie de projection sur tous les analystes de la psycho-histoire. Plus que tout autre, Hayman aurait tellement eu besoin de croire à la thèse de l’assassinat prémédité d’une Geli ayant repoussé les avances d’Adolf, qu’il lui aurait fallu s’auto persuader, en falsifiant la chronologie du fait divers pour prouver à suffisance la perversité intrinsèque du personnage. Rosenbaum use de la métaphore adhésive du « coffre-fort suisse » où aurait été enfouie une vérité cachée prouvant définitivement la thèse fantomatique du lien haine primitive -> basculement déclencheur…
Bref, on n’arrête pas de tourner en rond dans ce bouquin, et j’avoue finir par en avoir déjà les viscères tourneboulées à mi-chemin, avec un mal au crâne carabiné.
Une fois de plus, et par avance, je dois déjà reconnaître que MC avait sans doute eu raison de vouloir tenir ce bouquin à distance. Je pense néanmoins qu’il aurait dû en lire l’intégralité, car c’est une somme que chaque mélomane digne de ce nom se doit d’avoir en sa bibliothèque.
J’en rappelle le titre : « Pourquoi Hitler ? Enquêtes sur l’origine du mal » (nouvelle éd. 2020 chez Nouveau monde éd., assortie d’une postface dont le lecteur pressé qui se contentera de lire : « pourquoi Hitler a perdu la guerre, s’il l’a perdue ? »… IL FAUT LIRE ce livre INTEGRALLLLEMENT. Ne point le faire constituerait indéniablement une carence culturelle irrémédiable, chez tous nos profs d’histoire, de littérature et d’anglais toujours en poste et sévissant en Herdélie.
Bàv, – de rien…
MC, excellent sur Dumas!
okayyyy ! nous avons deux volontaires pour notre émission « je dévoile mes défauts » :
et alii : j’aime être seule et j’aime dormir beaucoup comme les koalas.
Jazzi : un égo un peu démesuré et une éducation qui laisse à désirer.
okayyy, who’s next ? allez-y je compile !
A St Malo, ils ont le sens de la démesure.
Doivent pas avoir internet haut débit…
Paul Edel ? pourriez-vous nous révéler svp quels sont vos défauts selon vous ?
vous pouvez tout dire : personne en dehors de vous ne lit vos commentaires.
Sasseur c’est quoi tes défauts ducon ?
3j !!!! dites-nous vos défauts please.
à votre âge vus avez fini par les connaitre.
Bloom, tout ce que vous citez de Churchill pour illustrer son génie littéraire, ce sont des formules : brillantes, incisives, puissantes, historiques… Pour autant, cela fait oeuvre d’écrivain au point d’être couronné du Nobel de littérature ?
Clopine: « Pour Kafka, la somme de Lahire sur le sujet me semble indépassable ». Vous voulez dire que son livre sous-titré : »Eléments pour une théorie de la création littéraire », écrit dans un style de sociologue par un auteur qui ignore la langue de l’écrivain qu’il étudie et ne l’a donc lu que par des intercesseurs, « dépasse » et donc laisse derrière lui les livres de Marthe Robert, Claude David, Klaus Wagenbach, Pascale Casanova, Ernst Pawel ?
(@via Panisperna
Les lauriers-sauce en pot forment une parfaite décoration d’extérieur, trop peu répandue en Europe)
on a oublié précédemment ceci (qui devrait plaire à puck
Essais et documents
Parution :
4 Avril 1984
La tyrannie de l’imprimé
Marthe Robert
« La littérature en son sens le plus profond n’existe pas en dehors de l’intense circulation d’images, d’émotions et d’idées qui crée autour des oeuvres et de leurs auteurs une atmosphère spéciale d’admiration et de ferveur. Qu’on l’admette ou non aujourd’hui, elle suppose toujours pour qui l’aime une foi parfaitement déraisonnable, un enthousiasme quasi religieux qui pousse l’esprit le plus rassis non seulement à révérer les écrivains pour le don qu’ils ont de révéler et de signifier la vie, mais, contre tout bon sens, à croire dévotement à des types et à des êtres fictifs, qu’ils paraissent plausibles ou qu’ils se donnent eux-mêmes pour fantasmagoriques. Avec ses prophètes, ses saints, ses martyrs et quelquefois ses démons, la littérature vit de la croyance de ses adeptes les plus passionnés en ces « ailleurs » qu’elle a l’art de susciter. Et quoiqu’elle n’ait pas de dogmes à proprement parler – le culte lui suffit -, elle a ceci de commun avec la théologie qu’elle ne s’explique jamais sur les fondements de son autorité
Ducon, mon principal défaut ici, c’est de ne rien tenir pour vrai de ce qui est affirmé avec » conviction « .
Va pour la trad’de Marthe Robert, du journal de Kafka, à condition de zapper la préface.
Pour autant, cela fait oeuvre d’écrivain au point d’être couronné du Nobel de littérature ?
—
Ce sont des extraits de discours, Passou. Avec leur limites, mais quand on pense à ce qu’ils représentent, à la charge qui les anime, comme est animé (habité par une âme) le dscours de Malraux lors de l’entrée de la dépouille mortelle de Jean Moulin au Panthéon, on est peut-être fondé à se demander s’il ne devrait pas exister un prix Nobel de la langue, davantage que de littérature.
Franchement, ne vaut-il pas mieux lire Churchill que Sigrid Undset, Pearl Buck, Frédéric Mistral, Odysséas Elýtis ou Camilo José Cela, tous Nobélisés?
(Je vais me faire des ennemis. Tant mieux. J’en manque un peu ces temps-ci)
Mon pauvre Passou, sérieux vous êtes bien mal récompensé de votre travail.
Combien de billets sur Kafka, sur votre blog ?
Et un cuistre, secondé par une vieille hystérique, de vos habitués, viennent vous faire la nique, sur votre blog ?, comme s’ils venaient de le lire ?
Courage à vous !
@ Puck, désolé : j’avais oublié de jouer au loto avec vous. Donc, mes principales qualités sont :
– soupe au lait
– rancunier
– indécis, ratiocineur
– paranoïde
– fonceur en portes ouvertes
– graphomane névrotique
– sans surmoi
– d’ego sous dimensionné
– altruiste bétifiant
– goy vulnérable
(hélas, j’ai pas droit à > 10)
NB / vous inquiétez pas CT, Passoul n’a visiblement pas lu Lahire, se contente de rumeurs comme d’hab… Des fois que la bonne socio critique française viendrait occuper son terrain. Comme si lui avait lu K., dans sa langue d’origine espagnoliste (comme aurait dit Beyle), de surcroît séfarade. Ne vous laissez plus impressionner par les verdicts d’autorité de cette sorte : ils accusent toujours un affaiblissement de leurs émetteurs… Passoul s’indigne et signe son déclin. Quant à vous, vous êtes la meilleure en matière de Proust, croyez-moi… ! Bonne suite.
Espère que vous allez mieux à Rouen, il faut toujours se reconstruire après un incendie. Sur les cendres, toujours renaissent de jeunes pousses,… disait Rimbaud dit le Warrior, alors que sous les pavés, pas sûr qu’on l’y trouve… Hein !? Bàv, chère.
j’avais oublié cela:
« Ce qui importe d’abord dans la vie, selon un rabbin du Talmud : transformer son miroir en une fenêtre ouverte sur la rue. C’est aussi la loi de toute littérature vraie, la fausse étant celle où l’auteur se contente de se contempler, en prétendant de surcroît que le lecteur y trouvera autant de joie qu’il en a pris lui-même à sa propre image. »
Marthe Robert, La tyrannie de l’imprimé, Grasset & Fasquelle, 1984 / Biblio essais, 1986.
et alii dit: à
IL Y A UNE PETITION DEMANDANT L’ENTREE DE J.Baker au Panthéon
–
J’ai déjà écrit que je suis contre le principe du Panthéon mais s’il Joséphine Baker là je dis cent fois oui.
On signe où ?
« d’ego sous dimensionné »
Là, j’y crois pas du tout, JJJ !
Passou a souvent écrit sur Kafka ; il connait bien cette oeuvre,Clopine.Il va toujours aux meilleures sources; et il a eu raison d’intervenir sur mon blog, c’est un geste de courtoisie ; ses remarques sont intéressantes car des pans entiers de l’œuvre Kafka restent énigmatiques et posent des questions à notre société. On ne peut s’empêcher de revenir régulièrement à ses textes,ils sont comme un couteau qui tranche nos certitudes et nos habitudes.Salutaire.Notamment ses lettres, son journal, et bien sûr ses incroyables romans.Il y a une vraie grandeur chez lui, et dans ce qui est inachevé..Ses textes attirent d’innombrables interprétations.quelle richesse.On n’échappe pas à Kafka. et « le Château » m’a incité à relire par exemple ses rapports avec ses sœurs.
Vous saisissez, JJJ, la différence entre le tâcheron de qualité Pesquet et la combattante Baker ?
Après les amants terribles Verlaine et Rimbaud, une négresse strip-teaseuse au Panthéon, mais vous voulez absolument faire élire Marine Le Pen !
« la différence entre le tâcheron de qualité Pesquet et la combattante Baker ? »
L’un va dans la lune et l’autre la montre, D.
J’ai bon ?
Non D. Expliquez moi, j’aimerais tellement vous comprendre… Vraiment. Ce dont je suis sûr, c’est que Thomas n’a jamais eu le temps de faire la connaissance de Joséphine Baker. On peut pas lui en vouloir. Nous, on a la chance de faire le lien, même capilo-vicci, Me Jacques. Bçv,
Il a bon la banane dès à présent, notre Jazzi, et n’a pas l’air de vouloir accepter un zouave au Panthéon!
non,jzmn, la blague initiale de nos cours de récré dans les sixtee’s, c’était : « la nourrice montre son sein et le pont s’affaisse » ! Ouarf. J’ai bon ?
@Passou a souvent écrit sur Kafka ; il connait bien cette oeuvre
Ben voilà, un peu de tact ne nuit pas !
C’est sympa de soutenir Clopine, JJJ. Chaque fois qu’elle passe la tête dans la lucarne, elle se fait vertement rembarrer !
Il faut aussi que je remercie T. Gillyboeuf, pour Kafka.
( le 7, c’est fête ; belle darne de maigre – 5cm d’épaisseur- un filet d’huile d’olive, une pincée de gros sel et au four pour 16 minutes à 180 degrés ; le maigre est si fin qu’il se passe de chichis en cuisine et de décorum dans l’assiette)
Vous avez raison de manger du poisson le vendredi, Langoncet. Bravo.
Moi ce sera de belles langoustine.
@Chaque fois qu’elle passe la tête dans la lucarne, elle se fait vertement rembarrer !
Dommage que cela arrive pour Kafka.
Mais il ne faut pas se laisser impressionner.
J’ai moi-même failli passer à côté de Herr Doktor. Et certainement à cause de plus mauvais ? que ce Lahire, que je n’ai pas lu. Alors Blanchot, et toute cette clique , pensez!
J’ai deux amours, Freda Josephine McDonald et Joséphine Baker.
♥️ My kindgom for a banana-belt!♥️
Et puis bien sur Robert Kahn, pour un inédit de Kafka.
et la Joséphine des souris?
3j merci ! c’est tout noté, je pensais qu’il y en aurait une tartine, vous êtes d’avoir rien oublié ?
( le maigre n’était pas de ligne ; josephine the singer https://www.youtube.com/watch?v=ripFfYKy6EY )
(McClure about Dylan : « The Poet’s Poet » évoquant « Josephine the singer »… Un astronaute ? sous-titres en espagnol
https://www.youtube.com/watch?v=eIMOMeah6Ug )
« écrit dans un style de sociologue par un auteur qui ignore la langue de l’écrivain qu’il étudie et ne l’a donc lu que par des intercesseurs, « dépasse » et donc laisse derrière lui les livres de Marthe Robert, Claude David, Klaus Wagenbach, Pascale Casanova, Ernst Pawel ? »
»
Marthe Robert : psychanalyse
Claude David : agrégé de littérature
Klaus Wagenbach : éditeur
Pascale Casanova : critique littéraire animatrice radio et chercheuse
Ernst Pawel : écrivain et biographe.
désolé sur ce coup i follow Clopine !
un sociologue c’est pas plus mal qu’un éditeur ou qu’une animatrice de radio !
et si quelqu’un me trouve le bouquin d’un garçon coiffeur, d’un boucher charcutier ou d’un comptable sur Kafka je suis preneur !
parce qu’il ne faut pas laisser la littérature aux seuls littérateurs soi disant seuls capable de comprendre la langue littéraire de Kafka.
il faut ouvrir les portes et les fenêtres pour laisser entrer de l’air frais !
allez Clopine ! vive la sociologie ! vive la France !
(@la Beauharnais
https://www.rollingstone.com/music/music-news/bob-dylan-the-poets-poet-190445/ )
suffit de se livrer à l’expérience suivante : faire lire la Métamorphose à un menuisier et à un psychanalyste, le premier va trouver cette histoire bidonnante et le second va bassiner son monde sur la relation père/fils.
au final qui vaut-il mieux suivre ? celui qui choisit la spontanéité, la vie ? ou le torturé ?
Kafka n’a pas mérité ces bataillons de gens torturés qui pensent détenir la vérité » et se vengent sur lui en le torturant à son tour !
pour trouver Kafka il faut parfois savoir suivre Nietzsche et choisir le rire dionysiaque à la vérité socratique…
on nous a déjà bassiner avec le style flaubertien on va pas nous refaire le même coup avec Kafka et tous les autres.
la littérature c’est un truc qui doit vivre ! pas étonnant que les gamins préfèrent Netflix, au moins en regardant Breaking Bad ils ont pas des bataillons de psys, d’agrégés et de biographes pour leur bourrer le mou.
et quand ces ados regardent the Wire ils deviennent eux-mêmes sociologues.
et là on renoue avec les origines et le conte homérique et homérien, parce qu’à l’époque d’Homère et d’Eschyle les agrégés en littérature ça n’existait pas.
sérieux il faut retrouver de la vie dans tout ça.
… ou au pragmatisme initié par les brits : l’article de McClure dans Rolling Stone (1974 quand même) était en accès libre jusqu’au Nobel de Dylan ; dans les mois qui suivirent, il devint payant.
Un merci un peu particulier , pour un texte que j’ai pu télécharger. Un autre » rapport pour une akademie « …lol
« Le grand traducteur de Kafka, Robert Kahn, est mort. Il a travaillé jusqu’au bout de ses forces, terminant quinze jours avant son décès, en cadeau de départ à ses amis, un dernier inédit. »
Jeannot tu veux participer à l’opération vérité ? c’est quoi tes défauts à toi selon toi ?
(maquerait plus que de rémunérer keupu pour ses intervention ici)
si je vous demande de dire vos défauts c’est justement pour vous faire aller au contact comme ils disent les entraineurs au rugby !
parce que je vous bien que vous utilisez les livres pour prendre de la distance vis à vis du mond, mais aussi, ce qui est plus grave, de la distance vis à vis de vous !
vous me faites tous du billard à 3 bandes comme Flaubert :
1/ cet auteur est un humaniste
2/ j’aime cet auteur
3/ déduction : je suis un humaniste.
c’est ceux qui disent « j’aime Musil parce que c ‘est un auteur intelligent » sous entendu je suis moi-même assez intelligent pour comprendre qu’il est intelligent.
mais ça ne marche pas ! en agissant ainsi vous ne faites que vous dissimuler derrière vos lectures ! et c’est quoi la raison ? la peur ?
et voilà, vous n’allez pas vous en tirer comme ça ! maintenant vous allez me faire la liste de tous vos défauts pour qu’on remette un peu les pendules à l’heure.
Moi j’ai décidé depuis quelques semaines d’arrêter de taquiner Clopine parce qu’elle le prend mal.
@parce que je vous bien que vous utilisez les livres pour prendre de la distance vis à vis du mond,
Pour Kafka, c’est indicible…
Ducon, demain ta gueule de bois sera sera sévère, comme d’habitude.
Demain, c’est le 8 mai, déjà.
Pas vu passer le temps.
Sasseur je bois plus et je fume plus, mais j’ai tellement bu et fumer que j’ai plus besoin de boire et fumer pour être bourré et planer Ducon !
Sasseur !!! lâche-toi un peu et fais-nous la liste de tes défauts.
allez fais pas ta timide ma bichette !
Cette image* de Harry Grant Dart pour l’anniversaire de Thomas Pynchon qui tombe demain :
http://pynchonoid.blogspot.com/2008/12/magazine-cover-by-chums-of-chance.html
*Aerostatic cabriolet of tomorrow
Sasseur tu sais quoi ? je trouve que la lecture d’Emmanuel Carrère ça t’allait mieux que celle de le Tellier.
tu veux pas nous reparler de Yoga ?
en fait j’aimais bien quand tu parler de Yoga.
parlAIS
écrit dans un style de sociologue par un auteur
J’aurais jamais pensé à une telle fumisterie chez Passoul… L’un de nos plus sérieux sociologues du moment… qui écrit dans un style de sociologue !
J’avions jamais autant halluciné sur un journalistes critique littéraire qui se croit écrivain et légitime à faire son autorité en matière de goucourisable…
Par moment, j’aimerais me laisser aller à de la haine, mais bon, c’est pas correct pour le patron d’un blog qui part à volo.
@ du coup ça me rendrait aimab’ la mère txfl… Joséphine (B) et le peuples des souris.. Perd pas le Nord, la quipure, quant à Pesquet…, l’a pas encore fait le lien, à part amante.
@ Puck, tjs pas content des réponses à votre enquête ? Et de vot’ côté…, toujours rin ? Un seul défaut : la lâcheté, sans doute ? On s’en f., de toutes… On sait pas trop à quoi toussa vous sert…
@ Yes, la lucarne de CT,… qui se fait tjs rembarrer. Marre, c’est dégueulasse, à la fin ! Même MC a finite par se calmer 1 brin. Alors wak, passoul ? Moderato, hein !!! Dukalm ! Quant à Bill, quid ?
Il faut dire que Kafka lu par Lahire, c’est quand même la fin des haricots.
Rarement lu autant de conneries. A moins que. Si une fois…
(@Janssen J-J dit: à
écrit dans un style de sociologue par un auteur
J’aurais jamais pensé à une telle fumisterie chez Passoul… L’un de nos plus sérieux sociologues du moment… qui écrit dans un style de sociologue !
J’avions jamais autant halluciné sur un journalistes critique littéraire qui se croit écrivain et légitime à faire son autorité en matière de goucourisable…
Par moment, j’aimerais me laisser aller à de la haine, mais bon, c’est pas correct pour le patron d’un blog qui part à volo.
@ du coup ça me rendrait aimab’ la mère txfl… Joséphine (B) et le peuples des souris.. Perd pas le Nord, la quipure, quant à Pesquet…, l’a pas encore fait le lien, à part amante.
@ Puck, tjs pas content des réponses à votre enquête ? Et de vot’ côté…, toujours rin ? Un seul défaut : la lâcheté, sans doute ? On s’en f., de toutes… On sait pas trop à quoi toussa vous sert…
@ Yes, la lucarne de CT,… qui se fait tjs rembarrer. Marre, c’est dégueulasse, à la fin ! Même MC a finite par se calmer 1 brin. Alors wak, passoul ? Moderato, hein !!! Dukalm ! Quant à Bill, quid ?
mon petit doigt me dit que votre ardoise pourrait être salée)
(vos ardoises pour répondre à keupu : mon défaut récurrent étant de mal distinguer la pluriel du singuriel
voulez dire qu’il risque de me virer, singuriel ? Pas d’souci…, depuis l’temps qu’j’attendions ça… Allez, une ‘tite dernière en attendant, JL & txfldg, bonne nuite à v2…
https://www.youtube.com/watch?v=MaIDRUp2Luo
(@Allez, une ‘tite dernière
permettez qu’on attende Fats Domino, sous une forme ou sous une autre ?)
Pardon, Marthe Robert était une très fine commentatrice indemne de toute cuistrerie, ce que savaient les commentateurs de télévision qui l’ont souvent sollicitée sur Kafka, et exempte de tout aspect torture. Il ne faudrait pas trop jouer les kalachnikovs du blog, privilegiant le nombre sur la qualité des informations., sans se soucier de voir si elles sont ici exactes. Au demeurant, de servir de l’ argument du métier pour dezinguer les autres n’ est pas plus probant.Clopine elle-même n’ a pas eu recours à des ressources aussi sophistiques.
Très belle photo signe HCB. Les scènes quotidiennes, celles qui nous sont habituelles sont révélées par les photographes. Nous devenons aveugles et indifférents. Hier, vu en passant en voiture un misérable fouillant les bacs poubelles, type caucasique, d’une crasse à inspirer le dégoût et pourtant j’en ai enregistré des misères, des odeurs éloignées de la senteur, des visions de plaies affreuses, des agonies terribles. Au moyen-âge surement ces tableaux d’absolue pauvreté étaient ils courants; en Inde la seule destination exotique empruntée il me semble que la misère est plus propre. La mémoire me trahit peut-être mais celui là inspirait non seulement de la pitié mais de l’écoeurement , comment en sommes nous arrivés à cette régression visible un peu partout sur le territoire des que l’on se transporte ailleurs que dans les quartiers résidentiels protégés. La cour des miracles. Perversion d’un système de production des richesses qui se contrefout de tout ce qui ne concerne pas ses bénéfices boursiers.
Tiens c’est marrant, j’ai pensé jusqu’à ce billet que Churchill était un authentique écrivain, et bien non. Il est comme ces chercheurs qui signent les publications au nom des équipes ou d’individus talentueux qui resteront exploités et inconnus du public, c’est tout juste si leur nom figure sur le générique, je crois que non.
Winston Churchill :
« On laisse les socialistes avec leur mémoire et leur capacité à la faire vivre », souligne un conseiller élyséen, non sans un brin de perfidie.
MANUEL DE L’UTILITARISME.
j’en suis à me demander quel sera ou pas mon soutien au barrage, après tout, qu’ils se démer.ent. Ça ne fera que peu de voix blanches si les gens de goche se disent tous la même chose.
J’avoue avoir intercepté le visage du président Macron au cours de son allocution-commémorative à Napoléon. Je n’y ai lu qu’expressions agaçantes, il m’énerve, pas envie de soutenir d’une façon ou d’une autre cette droite « professorale » qui ne s’énonce même pas en tant que telle ( manque de courage politique? Enfumage?), même pas besoin. La stratégie machiavélique dans le sens noble du terme triomphe.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 07/05/2021
ROSELYNE BACHELOT-NARQUIN, MINISTRE DE LA CULTURE, ANNONCE SA DÉCISION DE REFUSER D’ACCORDER LE CERTIFICAT D’EXPORTATION POUR UN ENSEMBLE DE DIX-NEUF ŒUVRES RELEVANT DU MOUVEMENT DES ARTS INCOHÉRENTS
Récemment découvertes, ces dix-neuf œuvres sont les seuls témoins actuellement subsistants et connus des Arts incohérents, un mouvement organisé par Jules Lévy (1857-1935), rédacteur en chef du Chat noir, et identifié, entre autres, par André Breton comme la préfiguration des avant-gardes contestataires du XXe siècle, Dada et surréalistes au premier chef.
Entre 1882 et 1893, ce mouvement a présenté avec un grand retentissement sept expositions, dont la tonalité parodique, maniant caricature, calembour visuel et rébus, était notamment destinée à dénoncer l’institution du Salon, alors en crise, en singeant certains de ses rituels.
Parmi cet ensemble de productions représentatives des Incohérents, que l’on croyait définitivement disparues, se distinguent deux œuvres importantes.
Il s’agit tout d’abord du Combat de nègres dans la nuit de l’auteur de théâtre Paul Bilhaud (1854-1933), numéro 15 du catalogue de la première exposition de 1882. C’est une toile peinte entièrement noire qu’on peut considérer comme le premier monochrome de l’histoire de la peinture. Cette œuvre a longtemps joui d’une grande renommée, qui l’a fait connaître jusqu’à la Russie de Malevitch. La seconde est une œuvre d’Alphonse Allais (1854-1905), intitulée Des souteneurs encore dans la force de l’âge et le ventre dans l’herbe boivent de l’absinthe, constituée d’un rideau de fiacre vert, avec un cartouche donnant le titre. Elle constitue une sorte de prototype de ready made, conçu une vingtaine d’années avant ceux de Marcel Duchamp au milieu des années 1910. Elle érige en effet un objet manufacturé banal au rang d’œuvre d’art, par l’entremise d’un titre décalé. Les dix-sept autres œuvres complètent un panorama varié des Incohérents, au caractère hybride et inattendu.
Sur la proposition du musée d’Orsay et à la lumière de l’avis favorable rendu par la commission consultative des trésors nationaux, la ministre a pris la décision de reconnaître à cet ensemble le statut de trésor national en refusant de lui accorder une autorisation d’exportation.
La ministre a estimé que ces productions issues des Arts incohérents sont les témoins d’une étape importante et méconnue de l’histoire de l’art moderne. Elles permettent de souligner encore davantage le rôle qu’y jouèrent Paris et un certain esprit français, fait d’impertinence et d’humeur joyeuse.
« Le délai de trente mois ouvert par cette procédure de refus d’exportation permettra d’approfondir le parcours et la connaissance de ces œuvres remarquables, qui ont vocation à venir enrichir les collections nationales conservées par le Musée d’Orsay. » a déclaré Roselyne Bachelot-Narquin.
Délégation à l’information et à la communication
Ministère de la Culture
Chère B, le spectacle de personnes fouillant dans les poubelles est devenu courant à Paris. Il s’agit généralement d’hommes et de femmes habillés tout à fait normalement…
Il y aussi des clochards qui correspondent à votre description. Ils tournent en rond dans un quartier, cannette de bière à la main, saoul du matin au soir…
Merci au fb de Marc Décimo pour l’explicitation de la nouvelle!
Merci Closer, ici c’est un jardin botanique avec des espèces diverses, certaines raretés. A Paris, il existe carrément des quartiers improvisé dignes des bidonvilles des pays émergents plantés au beau milieu des autres. A new way of life.
« L’ouvrage se présente à nous comme de la sociologie de la littérature. Pour Lahire (introduction), il s’agit de répondre à la question : « pourquoi Kafka écrit ce qu’il a écrit comme il l’écrit ? » (p. 9 et 10). Le travail du sociologue de la littérature consiste donc à comprendre les raisons qui ont amené un écrivain à aborder certains thèmes (« ce qu’il écrit ») et à choisir certaines formes (« comme il l’écrit ») »
En effet, ça commence mal…
Les œuvres historiques de l’art incohérent désormais protégées d’exportation :
Andy Nyman campe un Churchill assez convaincant dans les Peaky Blinders, forcément moins glamour que Sam Claflin dans le rôle de Mosley l’ordure, mais très efficace en British bulldog.
Pensées émues pour l’inoubliable Helen « Polly Gray McCrory ».
Passou
vis à vis de Clopine, ce coup là, je vous trouve condescendant.
Bloom
concernant Churchill vs les aussi déjà Nobel que vous citez, once more, je suis ok avec vous. De toute façon, la valeur des décisions des Nobel’s band…
Pour lire Kafka, on a juste besoin d’une bonne traduction et , accessoirement, d’une bonne biographie.
Comme pour tous les écrivains de langue étrangère à la notre.
Avec Kafka on a la chance, de surcroit, de disposer de son Journal et de sa correspondance.
La peste soit des exégètes et des exégèses !
Nul besoin de Lacan pour lire Freud
Pensée du jour :
L’homme a inventé Dieu tant l’idée d’avoir été tiré du néant pour y être renvoyé lui est insupportable.
(8 mai 2021 à 9h32)
TWEET/:
Aussi, pour couper court à d’interminables débats sur la pertinence du genre dans le roman arabe, il ne sera pas question de « roman policier », mais de « récit criminel ». C’est-à-dire d’une forme de récit dans lequel un crime forme, là aussi, « l’événement narratif prépondérant »…….
TWWET/INSOLVABLE OU INSOLUBLE ?
insolvable
Apprenez à prononcer
adjectif et nom
Qui est hors d’état de payer ses dettes.
EXCUSES :IRRESOLVABLE
pour soleil vert:
ROMAN
L’Arabie saoudite découvre la science-fiction
« Les Jardins d’Arabistan » d’Ossama Muslim · Le dernier roman — en arabe — du jeune écrivain saoudien Ossama Muslim, « Les jardins d’Arabistan » (Markaz Al-Adab Al-Arabi, 2016) en est à sa dixième édition. Son succès
INEXCUSABLE !
JJJ
« J’en rappelle le titre : « Pourquoi Hitler ? Enquêtes sur l’origine du mal » (nouvelle éd. 2020 chez Nouveau monde éd., assortie d’une postface dont le lecteur pressé qui se contentera de lire : « pourquoi Hitler a perdu la guerre, s’il l’a perdue ? »
j’ai toujours été scotché par cette histoire Adolf/Geli, oncle et nièce, meurtre ou suicide? Ce type prête le flanc (et pas que) à tant de fantasmes depuis 70 ans… Quant à l’origine du mal, affaire abyssale, se pose une autre question: Adolf est un des prototypes possible de l’humanité, non? Il incarne un truc qui est courant, exprimé chez lui de façon « totale », ou bien? Un pervers narcissique qui a abusé de sa nièce: à la tonne, il y en a. Paraît que nous le fûmes tous, enfant. (il y a d’ailleurs chez lui un côté infantile, frustré et bourré du ressentiment d’avoir été 1)orphelin, 2)recalé aux beaux-arts,3) autrichien, 4)vaincu en 1918, 5)humilié à Versailles. Un infantile, frustré et vengeur, nourri au nationalisme et à l’antisémitisme, autodidacte brouillon, qui verse dans l’occultisme, mégalo et parano.
Bref, je vais lire ce livre.
euh, je précise, JJJ: nous fûmes tous, enfant, des pervers narcissiques, pas des abuseurs de nos nièces.
Dites, notre hôte, n’avez-vous pas l’impression que votre réaction à l’égard du bouquin de Lahire ne trahisse surtout un certain « entre-soi » ?
Vous alignez les noms savants » Marthe Robert, Claude David, Klaus Wagenbach, Pascale Casanova, Ernst Pawel » comme autant de remparts contre le béotien Lahire, qui a le tort… Décrire en sociologue…
Mais justement, la tentative de Lahire est bien d’approcher la création littéraire à l’aune de la sociologie, et franchement, je ne vois pas ce qui justifierait de le lui interdire… Sinon une certaine peur, peut-être, de devoir mettre bas le sacro-saint microcosme des savants autorisés, eux, , et en creux, donner raison à ce même Lahire qui trompette autour du Jéricho littéraire ?
Bourdieu disait « j’ai beaucoup d’ennemis, mais peu d’adversaires ». Votre réaction, toute de repli dédaigneux, est celle d’un ennemi, non d’un adversaire, puisque vous semblez ne pas condescendre à même envisager les thèses de Lahire (en gros, le travail d’un auteur littéraire provient de sa fabrication sociale, et Lahire tente de le démontrer en 850 pages saisissantes à mon sens) du fait de sa non-légitimité…
Ce qui tue tout débat, et justifie que je n’irai pas plus loin. Désolée de n’avoir pas les lectures autorisées qu’il convient visiblement d’avoir, et d’aller braconner sur les terres de la sociologie. Ces dernières m’attirent par leur appel, non à toutes les tours d’ivoire, mais à la simple raison…
(et le travail de Lahire est en tout point digne d’éloges, sans que cela diminue les autres ouvrages publiés sur Kafka).
Le Courtaud ne m’enlèvera pas de l’idée que c’est un crétin fini. Cette pauvre buse a bien du mal a savoir de quoi il cause.
Allais cite aussi dans un de ses contes, sans qu’on sache que ce soit passé à l’état de tableau, Les Premières Communiantes par temps de neige, ce qui pour le coup est Malévitchien. D’ici que l’idée fasse surir le tableau sous les mains d’un faussaire avisé, et qu’on l’achète en grande pompe comme naguère le ouvrela prétendue tiare de Saitapharnès…
Si le Louvre doit supporter le pitoyable Martinez quelques années de plus, c’est à Madame Bachelot qui le devra. Malgré la médiocrité des achats, le couteux joujou de la Petite Galerie, qu’on se le dise, Roselyne soutient!
JJJ les pages sur Streicher sont très contestables dans la mesure ou elles supposent que AH ait eubesoin d’une sorte de père en antisémitisme pour exister. On sait que l’extermination ne s’est pas d’abord imposée, qu’il y a eu le projet Madagascar, ce qui est incompatible avec Streicher comme « père ».
La Reherche d’aujourd’hui, délaissant le fonctionalisme, façon AH est si bete qu’il ne peut qu’arbitrer des querelles de clans, en tient pour l’hypothèse du paranoiaque trés intelligent, en remontrant en duplicité à ses lieutenants. En ce sens, Streicher ne dépasse pas le statut de caution pouvant servir a etre invoqué au besoin pour justifier la politique hitlérienne, mais ce n’est pas ce qui s’est passé.
Les pages sur Raubal n’apportent pratiquement rien de nouveau, et embrouilleraient plutot la question, ce qui est d’ailleurs la critique que l’on peut faire à l’ensemble de ce bouquin. Quelques rapports -dont celui, au chapitre des nouveautés, d’une pseudo Princesse agent-double (?!)- ne font pas le printemps et la matière traitée souffre d’un manque de prise de distance de son auteur. C’est en effet en partie pourquoi je l’ai mis à l’écart.
Bien à vous.
MC
J’ajoute que Streicher joue dejà l’épouvantail chez Philipp Kerr, au tome II de l trilogie berlinoise, et qu’il n’est pas impossible que cette image mentale ait joué.
Jibé dit: à
euh, je précise, JJJ: nous fûmes tous, enfant, des pervers narcissiques
Euh… « pervers polymorphes » serait plus freudien. Encore n’a-t-il parlé que de prédisposition à… Mais laissons aux spécianalystes le soin de lâcher les liens.
Causez-vous le courtaud ?
Un mentaliste .
Quant à Marthe Robert et sa préface du journal de Kafka, c’est de l’ordre du commentaire psychologique. Sert à rien.
« le travail d’un auteur littéraire provient de sa fabrication sociale »
C’est peut-être nécessaire mais certainement pas suffisant, Clopine, pour expliquer comment en partant de sa singularité un écrivain va atteindre à l’universel. De l’art de transcender la contingence !
Pensée du jour bis de Jazzi :
« Quelques uns s’adonnent à l’art afin de laisser des traces, la plupart des humains se contenteront de faire des enfants. »
« laissons aux spécianalystes le soin de lâcher les liens. »
Vous voulez dire que et alii est une pétowoman, Alexia !
Oh merci lâche un lien!
>et alii dit: à
pour soleil vert:
ROMAN
L’Arabie saoudite découvre la science-fiction
« Les Jardins d’Arabistan » d’Ossama Muslim
Inconnu au bataillon. Merci et alii
> Joséphine Baker au Panthéon ? Et pourquoi pas ? Compagnon de la libération et amante de Simenon. Osez Joséphine
LE prétendu lacanien Jazzi est une »drag queen à fixette » ,mais il a peur de Bloom qui sait bien le genre de bête qu’est ce jazzi qu’on ne supporterait même pas dans un zoo ou un refuge
Lâcher les liens c’est du genre…?
Mister Baloon!
racontpatavi dit: à
Oh merci lâche un lien!
C’est souvent lâche un pet sur ce blog…
(Hélas foireux.)
et surtout ne demandez pas pourquoi le Vatican n’a pas voulu de Jazzi : au vatican on sait qui est ROUBAUD
pour ROUBAUD/
Zélande
Machines à tuer: l’humble hérisson britannique fait des ravages en Nouvelle-Zélande
https://www.theguardian.com/world/2021/may/08/killing-machines-humble-british-hedgehog-causes-havoc-in-new-zealand?utm_term=7a5b01f2ad5bfb357fa363b3a5018c94&utm_campaign=GuardianTodayUK&utm_source=esp&utm_medium=Email&CMP=GTUK_email
au vatican on sait qui est ROUBAUD
Encore une spécialiste du cordon ombilical papal qui en aucun cas ne coupera le lien chéri.
En cours de lecture : la diagonale Alekhine- Arthur Larrue
Quand un immense champion d’échecs vire à la caricature de Slave : antisémitisme et alcoolisme.
Dans la nuit parfumée aux herbes de Provence
le lombric se réveille et baille sous le sol,
il le connaît. Il meurt. La terre prend l’obole
de son corps. Aérée, elle reprend confiance.
où les hommes récoltent les denrées langagières ;
mais la terre s’épuise à l’effort incessant !
Il travaille, il laboure, en vrai lombric de France
comme, avant lui, son père et son grand-père; son
rôle,
Le poète, vois-tu est comme un vers de terre
il laboure les mots qui sont comme un grand champ
étirant ses anneaux au sein des mottes molles
il les mâche, digère et fore avec conscience.
sans le poëte lombric et l’air qu’il lui apporte
le monde étoufferait sous les paroles mortes
« le genre de bête qu’est ce jazzi qu’on ne supporterait même pas dans un zoo ou un refuge »
« le Vatican n’a pas voulu de Jazzi »
et alii me métamorphose en cafard et m’expédie illico presto me faire exterminer.
Nazie !
couper le cordon:
Jdrillon n’avait pas rappelé qu’on ne fait pas ça n’importe comment:
« A – LE COUPÉ DU RUBAN
Il s’agit d’une tradition qui remonte à l’Antiquité. Elle marque l’ouverture du territoire au public. Le coupé du ruban doit donc avoir lieu devant les portes principales. Le bâtiment doit être complètement vide. Les principales personnalités (celles qui figurent sur le carton d’invitation) se situent devant le ruban tricolore généralement tenu par deux enfants. Un troisième enfant apporte les ciseaux à la personnalité la plus importante protocolairement. Pour faciliter…
les erdéliens ne sont pas invités
consolez Jazzi qui se croit toujours « prioritaire »! le corona l’attendra!
« entre-soi »
J’ai toujours trouvé stupide l’espressione « qui t’autorise ? », dans la bouche des critiques officiels de l’art et de la littérature, car, de pour leur nature les arts et la littérature se refusent aux élitismes. Evidemment Cesare Brandi parle plus elegantement la peinture que ma <I<coiffeure, mais pourquoi condamner au purgatoire les amateurs ?
Habile, le Premier ministre n’a pas employé les mots qui fâchent de “suppression du corps”.
pourla consolation!
<I coiffeure
« les erdéliens ne sont pas invités »
Seule et alii drapée dans une vaste robe tricolore pourra chanter cet hommage :
« Dans la nuit parfumée aux herbes de Provence
le Jazzi se réveille et baille sous le sol,
il le connaît. Il meurt. La terre prend l’obole
de son corps. Aérée, elle reprend confiance.
où les hommes récoltent les denrées langagières ;
mais la terre s’épuise à l’effort incessant !
Il travaille, il laboure, en vrai Jazzi de France
comme, avant lui, son père et son grand-père; son
rôle,
Le Jazzi, vois-tu est comme un vers de terre
il laboure les mots qui sont comme un grand champ
étirant ses anneaux au sein des mottes molles
il les mâche, digère et fore avec conscience.
sans le poëte Jazzi et l’air qu’il lui apporte
le monde étoufferait sous les paroles mortes »
« La peste soit des exégètes et des exégèses ! » Tu y vas un fort, là, Jazzi.
J’aime lire les commentateurs de Proust, de Stendhal,de Flaubert, de kafka,de Baudelaire ou de Rimbaud. ils retrouvent des textes nouveaux , des lettres,des témoins, donnent le contexte, les brouillons… ils éclairent les textes un auteur et ne donnent pas dans le, charabia psy. Que serait Stendhal sans Martineau,ou Crouzet ou Beatrice Didier? et Proust sans Jean Milly,Tadié, Richard,Deleuze,Painter, etc..et Rimbaud Sans Steinmetz ou Jean-Jacques Lefrere? et je suis tout pret à lire ce Lahire,pourquoi pas un sociologue pour Kafka alors que Prague était du temps de Kafka et de la jeune Tchécoslovaquie, soumis à des tensions sociales et à un sentiment antisémite grandissant?
Repetitio est mater studiorum
« La poésie est un caprice de la nature dans
ses joies, qui sont dans sa fureur,
et à défaut, le chant poétique devient un
cymbale sans hochets et une cloche sans
cloches. »
Aretino
clocheR
A t-on besoin de Bourdieu pour lire Kafka, Paul, ou pour contextualiser La Recherche ? L’horreur !
Les exégètes, plus on les lit moins on comprend le texte d’origine : l’émotion première qu’il produit, à force de vouloir absolument en traquer l’esprit, expliquer le sens, dont l’auteur lui-même ne se doute peut-être même pas.
@ PE – Eh ben oui Paul, il serait temps de lire Lahire sur Kafka et sans préjugés… On pourrait enfin discuter d’égaux à égales… Car là, vous et Passoul, vous avez vraiment un temps de retard sur nous autres avec CT, même si j’irais pas dire comme elle que Lahire soit « indépassable »!… Sauf que pour le moment, faut pas nous l’faire comme si ce pavé n’existait pas. Les critiques littéraires doivent sortir de leur zone de confort habituelle, et cesser de légiférer de leur intérieur…. Mais suis bin persuadé que PA n’ira jamais lire Lahire à donf…, hein… Trop vexé qu’on lui fasse la leçon pour être honnête, à votre grande différence, PE. Je vous reconnais vraiment une supériorité morale ! Et désolé si ce propos semblera bien prétentieux, ou con-descendant… Il faut que les choses soient dites de temps à autre par les gens qui se font sans cesse rembarrer sur des arguments d’autorité méprisants, – voilà ce que je dis comme je le pense,… mais bon, on s’en f., y’a pas mort d’homme, c pas grav’. Hein ! (suffit just’ de mett’ son mouchoir par dessus, tels que le font les béliers rentrant les cornes).
Clopine cherche une clé du monde qui explique tout, et qui lui paraisse indépassable. Avec Bourdieu, avec Lahire, elle est servie. Il y a une illusion positiviste tout à fait rafraichissante dans ce genre d’approche de la lectrice à son Talmud Sociologique, façon Bourdieu dit que, donc c’est vrai, et Lahire est un Himalaya « indépassable ». De la Sociologie concue comme une scolastique laique et obligatoire.Ce n’était peut-etre pas le but des Péres Fondateurs, mais passons. Cela vaut toujours mieux que la période Onfray qu’on a connue ici…
mais pourquoi condamner au purgatoire
encore heureux quand la RDL confine à l’enfer et que ses diables sont des pseudos lacaniens qui ne s’autorisent que d’eux-mêmes;
bonne journée , gare aux frontières si vous voulez confiner en enfer
Petit Rappel, nous aurons compris que vous vous situez hors déterminisme dans une certaine élite conservatrice chrétienne. À chacun son credo, quand il en resterait.
Voyez et alii et son saint Lacan. Son dédain, son côté j’y suis sans vouloir appartenir. C’est drôle, Dieu que ça l’est!
pauvre B! pourquoi aurais-je si souvent indiqué les gens qui ont quitté la chapelle lacanienne ? peut-être la vôtre, mais surement pas la mienne!
AU FAIT LES CHAPEAUX DE FEMMES,on les appelle des bibis, et aussi des galures, et rien pour les chapeaux d’hommes?
Un autre de BL, pas lu, pour ceux qui ne sont pas fermés apriori à toutes sociologies
Je vous emmerde et à lui autant qu’il m’est possible de vous le faire savoir par ce média. Lâchez moi, j’rirai moins si vous disparaissiez du blog ou définitivement,certes, mais cela vous exempterait d’un des chapitres de vos pathologies ( dossier psychiatrie).
« indépassable »
Jusqu’au prochain outil ou grille de lecture à la mode.
Fut un temps où l’on psychanalysait les textes et leur auteur, puis on les a « déconstruits », sens dessus-dessous, désormais il faudrait les « socialiser ». Et demain ?
*
Le coronavirus ne nous aura rien appris ?
Ceux qui ont déjà réservé leur table en terrasse pour le 19 mai.
Ceux qui dès ce week-end s’entassent dans les stations balnéaires.
Ceux qui ont loué leur logement pour les prochaines vacances.
Ceux ceux ceux…
Et alii. Correcteur.
Je rirais moins. Je ne suis décidément pas présentable.
ENVOYEZ B chez les modistes à la mode:
Ce métier était fort pratiqué par les femmes au début du xxe siècle, grande période de la mode du chapeau. Il était alors beaucoup moins « huppé », plus banalisé et plus répandu qu’il ne l’est aujourd’hui. Cependant, les modistes avaient le privilège de livrer leurs créations par le grand escalier et non par l’entrée des fournisseurs.
En France, Sainte Catherine est la patronne des modistes. Les jeunes femmes âgées de 25 ans non mariées qui travaillent dans l’industrie du vêtement sont surnommées « catherinettes ». Le 25 novembre, jour de la Sainte Catherine, elles se doivent de porter un chapeau souvent « farfelu », fabriqué par leurs amies. Cette tradition du xixe siècle subsiste encore dans le milieu de la mode.
En France, le premier diplôme de la profession est le CAP. L’intitulé Mode et chapellerie sera remplacé par Chapelier – Modiste pour la session de 2014 (arrêté du 9-12-2011 – J.O. du 18-12-2011). Il est possible de le préparer en enseignement initial, en apprentissage et en VAE. Les
The Mad Hatter) il vous expliquera !et sinon, voyez Bloom?
Jazzi, personne ne peut se défaire totalement de l’empreinte de son milieu d’origine, de sa fonction, de son milieu d’adoption, de ses propres expériences. Il ne s’agit pas de socialiser mais quelquefois de découvrir un embryon d’explication qui en aucun cas ne sera une justification. Vous par exemple, isolé de vos aïeux aristocrates cherchez dans l’Histoire des lieux et des figures alors que tout aurait pu vous éloigner de cette quête, c’est comme si vous tracez une généalogiques rues, des villes de leurs quartier Clovis devrait de n’avoir pas pu être attaché directement au passé d’une ancienne famille noble vous avait précipité dans l’enquête littéraire et historique.
Traciez.
l’expression « travaillé du chapeau » (« as mad as a hatter »). Il existe une certaine confusion en ce qui concerne la signification de cette expression, qui pourrait également vouloir dire « fâché comme un chapelier », comme le montrent les incidences à propos des deux significations qui existent en littérature2, et ce longtemps avant le livre de Lewis Carroll. Évidemment, un des deux sens est issu d’une mauvaise interprétation du sens.
Il existe un fait scientifique derrière cette association entre chapellerie et folie. L’usage du mercure entrait dans la préparation de matériaux utilisés pour la fabrication des chapeaux en feutre et rendait les chapeliers malades3. Il était impossible pour les chapeliers d’éviter d’inhaler les vapeurs de mercure dégagées par le procédé. Les chapeliers et d’autres professions exposées mouraient prématurément des dommages causés par le mercure ; les premiers symptômes en étaient un langage confus et une vision déformée. Quand la dose de mercure augmentait, les personnes atteintes pouvaient aussi développer des symptômes psychotiques, comme des hallucinations. Étant donné que quiconque présentant un état mental altéré était immédiatement qualifié de fou, la cause d’une telle affection et le décès qui s’ensuivait restèrent sans doute longtemps inexpliqués4.WIKI
Clovis! Faute de ne pas avoir été …
La phrase devait commencer par: c’est comme si n’avoir pas etc. Mes excuses.
Psychotiques, psychopathes. Il faut rendre à césar et ne pas se tromper d’étiquette.
» le poète, vois-tu, est comme un vers de terre »? Lapsus pour ver?.
Liens connexes
| Introduction | Exposition liée à la consommation d’aliments | Exposition liée à l’inhalation | Exposition liée à un contact | Métabolisme | Effets toxiques |
Introduction
On reconnaît depuis longtemps l’existence des risques pour la santé liés aux composés de mercure. Au début du 19e siècle, les chapeliers utilisaient une solution de sels de mercure pour adoucir les poils d’animaux utilisés dans la production de feutre. Les chapeliers étaient connus pour avoir un comportement bizarre et pour contracter l’hydragyrie, résultat des symptômes neurologiques d’un empoisonnement chronique (à long terme) au mercure. En raison du comportement souvent assez excentrique des chapeliers à l’époque de Lewis Caroll, on a appelé le personnage du film «Alice aux pays des Merveilles» le chapelier fou.
Aujourd’hui, on sait que les effets principaux d’une exposition de l’homme au mercure sont à l’origine de maladies immunologiques, cardiovasculaires, rénales (rein) et neurologiques. Une exposition chronique au mercure peut entraîner des dommages au cerveau, à la moelle épinière, aux reins, au foie
ET AU MERCURE DE FRANCE ,donc?
Synonymes de « Chapeau d’homme » : Tube, Borsalino, Canotier, Claque, Feutre, Gibus, Melon, Panama, Sombrero, Fez, Casquette, Bob, Stetson, Melon, Beret, Képi, Galurin, Bitos, Mortier, Shako, Tricorne, Paille…
L’Interprète des maladies (Interpreter of Maladies), paru en 1999.est un livre de https://fr.wikipedia.org/wiki/Jhumpa_Lahiri
» isolé de vos aïeux aristocrates ». Comme vous y allez, B! On n’a jamais su clairement si c’était filiation réelle ou roman familial! Je pencherais pour la secondè hypothèse, qui n’ est d’ailleurs pas contradictoire avec la première. la généalogie fantasmee devient parfois part de vous-même, ainsi Hugo croyant de tres bonne foi descendre des Ducs de Lorraine sur la parole paternelle. Si la réalité dépasse la fiction’ il arrive que la fiction produise de la réalité et dans le cas qui nous occupe, quelques textes….Pour le reste, je ne sais si c’est chrétien’ mais j’aimerais que la socio, plutôt que de refléter les autres, s’intéresse à refléter d’abord ses membres. C’est peut-être fait’ d’ailleurs.Ou peut-être pas! Bien. à vous. MC
pas de synonymes!
et Le homburg est un couvre-chef masculin d’origine allemande popularisé depuis la fin du xixe siècle.
Dans les années 1930, Anthony Eden porta si souvent le homburg en public que ce chapeau fut surnommé le « Eden » chez les tailleurs de Savile Row5.
Le homburg connut un regain de popularité à la fin du xxe siècle, quand Al Pacino le porta dans le film Le Parrain 3 (1990), ce qui lui vaut parfois le sobriquet de « chapeau du Parrain »2.
wiki
Verre, s’il est chinois et affamé sous la dynasties Xia, ils mangeaient de tout jusqu’à Mao d’où ce commerce encore actuel d’ animaux de toutes sortes et vivants. Nous mangeons bien des escargots, j’imagine qu’au départ de cette gastronomie il devait y avoir famine. Cela dit, les surgelés européens ont bon dos, et pourquoi donc si nos surgelés qu’à coup sur nous aurions consommé non congelés et avec qui’ nous nous aurions été en contact alors qu’ils circulaient sur pattes et à nageoires n’auraient pas généré de zoonose ici, il faut croire qu’ils étaient programmés par le soin de nos intelligences pour exploser à Wuhan. Juste à côté du labo, pour semer un doute infondé.
Comme vous y allez, B! On n’a jamais su clairement si c’était filiation réelle ou roman familial!
très intéressant!
déjà avec WGG ? ce fut une question qui s’imposa
Mes origines sont essentiellement prolétariennes. Il me semble vous en avoir tout dit.
Après, l’origine du nom, c’est autre chose…
(@On pourrait enfin discuter d’égaux à égales… Car là, vous et Passoul, vous avez vraiment un temps de retard sur nous autres
S’agissant de lire de la littérature la notion de progrès a-t-elle un sens ? Lisons nous aujourd’hui Homère mieux que ne le lisait Montaigne ? Ah la figure de l’hoplite du recoin abyssal … enfin, ça créer quelques emplois)
PR, j’ai entendu, sans preuves écrites, qu’un des ancêtres de ma mère aurait été aide de camps de Lafayette, traine aussi une ombre vague de vieille noblesse. Vraisemblablement tout ceci pour atténuer la souffrance des générations qui ont suivi. Ma mère, néanmoins, me semble un peu toquée sur son vieil âge et peut-être une fierté peu commune chez une ouvrière, une dignité pourraient la rattacher par un fil ténu à une ascendance lointaine jamais prouvée. Cela dit, pas commode du tout.
MadameB,
Etronnez-nous dans le plus unanime…
Le plus intime,
le plus ultime.
Oui Jazzi mais vous ressemblez à un des membres de cette famille, vous aviez offert un portrait de cet homme. Le nom plus les traits de physionomie, c’est pas rien. De plus vous en parlez volontiers.
Cabinet de M. d’Anton, avocat ès conseils.
c’est Danton ;pas dvorak
https://www.youtube.com/watch?v=OV0KkYUa6iA
RTPV, si vous voulez mais je ne m’adressais pas à vous et je ne vous comprends pas . NB: Je fais ça où je veux.
Mais je rigole B, bel endroit aussi! 😉 😉 😉
Jazzi, tu vois, j’ai besoin d’universitaires genre Steinmetz pour mieux comprendre, par exemple, « les illuminations » de Rimbaud,qui font des refrences tres précises.. textes si difficiles à comprendre .Mais s tu es pus intelligent que tous les universitaires, tant mieux.Ce qui me gêne dans cette position, c’est que ça révèle un anti intellectualisme assumé.je ne ‘attendais pas à ça de ta part.Toi qui nous explique la Bible pour les Nuls et donc joue les commentateurs.Quand j’étais à la Fac, j’ai jubilé qu’on me commente le moyen âge, Tacite, ou Thomas mann..Merci mes chers vieux profs.
Les exégètes, plus on les lit moins on comprend le texte d’origine : l’émotion première qu’il produit,
—
Ca dépend de quel écrivain il s’agit, Baroz. Pour des auteurs réputés « difficiles », comme Faulkner et Joyce, par exemple, une fois passée l’émotion de la première lecture, il n’est pas inutile de lire des critiques qui illuminent certaines ombres des œuvres, ouvrent des portes, confortent ou infirment les image mentales, les traces que laissent les textes.
Perso, je dois à Olga Vickery de m’avoir permis de mettre des mots sur la fascination qu’exerça sur moi à une certaine époque le roman faulknerien. Et je n’imagine pas Shakespeare sans G. Wilson Knight, Richard Marienstras et André Suhamy, ou Balzac sans Pierre Barbéris.
Jibé, j’écoute les nouvelles de Jérusalem & repense à votre cours sur Gaza…Grand courage que le vôtre tant l’écheveau est quasiment indémêlable. Mes cousins vivent à Ashkelon, à quelques kilomètres de la « Strip », dans un moshav…Nous avions fait le trajet jusqu’à la frontière, en 1990. Tension maximale.Pour rien au monde je ne pourrais vivre dans ces lieux où les récits concurrents voilent le vivre.
Jérusalem, ville trois fois malsainte…
L’ami Sorj, qui a couvert la guerre du Liban, Sabra & Chatila, dit beaucoup de bien de l’autobiographie de Charles Enderlin dont je me réserve la lecture pour l’été.
bel endroit aussi! 😉 😉
( Nous sommes plusieurs moi et mes n.gres.)
La rigole, c’est le caniveaux des littérateux tenus en laisse de liens.
Trouvez le chef d’escouade!
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