De quoi se réjouir de la confusion des genres
Le roman sans fiction est devenu un tel phénomène que L’Orient littéraire juge même qu’il « phagocyte la rentrée ». On en a parlé ici-même il y a peu, mais les occasions d’y revenir ne manquent pas, surtout ci c’est pour parler de livres qui valent le détour. N’allez pas y voir une résurgence du bon vieux réalisme ou une manière de néo-naturalisme. Pas vraiment une école, pas encore une discipline. Plutôt une famille d’esprit. Il est vrai que leurs livres ont un air de famille : des récits très écrits qui intègrent l’Histoire avec une grande hache, comme eut dit Georges Perec, à leur propre histoire. Le procédé est certes ancien mais, devenu récurrent depuis plusieurs années, le phénomène s’accentue en cette rentrée littéraire. Sauf que cette fois, il n’est plus hanté par les deux guerres mondiales et l’Occupation. Tout en se focalisant sur le vécu de l’écrivain, le spectre s’élargit à plus larges horizons dans le passé.
Patrick Deville, l’un des plus attendus, est l’aîné de la bande. Il avait frôlé le Goncourt il y a deux ans ; pour le cinquième volume de sa fresque, qui court de 1860 à nos jours (Pura vida, Equatoria, Kampuchéa, Peste & choléra), il part à nouveau d’un lieu, cette fois le Mexique, et récidive avec Viva (216 pages, 17,50 euros, Seuil) lequel paraît, hélas, un peu en-deçà. A croire que la méthode Deville montre ses limites, et que celles-ci souffrent de trop enchaîner le récit à la recherche documentaire. Une trop grande densité de noms et de références géographiques gâchent la poésie de l’évocation. De quoi étouffer le récit et lui enlever sa légèreté dès qu’il décolle. Traven & Cravan, de même que Lowry & Greene ne se sont pas rencontrés, mais pour ce non-événement, l’auteur les gratifie chacun d’un chapitre. Celui consacré à l’épisode Artaud est très bon. C’est à se demander si désormais le genre renouvelle moins le roman que la biographie ou le récit historique. Cette lecture apprend des choses, intrigue, fascine mais ne fait pas rêver car elle est sans mystère, sans non-dit. Le premier dialogue arrive enfin page 45. En bref, cela manque de fiction, ce qui est d’autant plus regrettable que l’écriture est là, le souffle aussi. Le malaise naît du statut incertain de ce vrai faux roman ou inversement. Un tel livre a le mérite collatéral de nous confronter à la question : que reste-t-il d’un roman une fois qu’on l’a débarrassé de sa part de fiction ? Pas toute, mais presque. Au vrai, on aurait aimé que tout soit de cette encre :
« Des Indiens dorment assis dos au mur, le grand chapeau abaissé sur leur visage. Le Consul écume les sombres cantinas aux tables poussées contre les murs. Des bougies meurent dans les goulots de bouteilles de bière Moctezuma dernier empereur aztèque de Tenochtitlán. Il invoque le souvenir d’Yvonne comme un simulacre tissé des filaments du passé. Puis elle est revenue, un an plus tard, le Jour des Morts. C’est le privilège du roman de ramener les amours enfuies. Elle est entrée à l’aube cuivrée dans la pénombre de l’hôtel où le Consul a passé la nuit accoudé au comptoir, et c’est une scène d’Apparition des saintes Écritures. Le Consul la voit sans y croire, « légèrement aveuglé sans doute par la lumière du soleil qui dessinait une silhouette un peu floue, debout, là, devant lui, main passée dans la poignée d’un sac rouge vif tenu serré contre la hanche ». Tous deux mourront au crépuscule.
On poussera le Consul avec une balle dans le ventre au fond de la barranca après l’avoir traité de Bolchevik. »
L’auteur a tenu à ce que « roman » figure en couverture et que les dialogues soient authentiques. Cette fois, Patrick Deville ne s’attache pas à suivre Alexandre Yersin dans sa quête du bacille de la peste, mais Trotsky, personnage on ne peut plus romanesque considéré à l’égal d’un écrivain, fondant la IVème Internationale dans sa fuite, et Malcolm Lowry vacillant au-dessous du volcan, les deux saisis dans la même effervescence révolutionnaire qui secoua le Mexique dans les années 30. L’originalité tient évidemment à l’écriture ; car les faits rapportés, puisés aux meilleures sources, sont ruminés par l’auteur en situation, mettant ses pas dans ceux de ses personnages et les accompagnant dans leurs doutes et leurs rêves. Cela dit, même lorsqu’un livre de Patrick Deville déçoit une attente, il demeure tout de même au-dessus du lot de nombre de bluettes nombrilistes comme toute rentrée en charrie. Car sa manière d’opérer une saisie poétique du réel est sans équivalent.
Il faut croire que l’intrusion de l’auteur comme personnage dans le corps même du récit est la marque de fabrique de ces livres. Il s’y meut comme un peintre dans le motif. C’est aussi le cas indirectement de Lydie Salvayre : dans Pas pleurer (273 pages, 18,50 euros, Seuil), qui se déroule en pleine guerre civile dans la Barcelone de l’été 1936 prise dans le souffle libertaire, elle noue le récit de sa mère Montse à la prise de conscience du Bernanos des Grands cimetières sous la lune. Le point commun entre maman et le grand écrivain? Le courage. le même courage : celui d’oser changer de camp, manière de reconnaître que l’on s’est trompé, jusqu’à prendre le risque de témoigner contre ce et ceux qui étaient son camp. On peut écrire un livre à charge contre l’Eglise sans qu’il ne cède en rien aux canons de l’écriture romanesque, même si parfois cela sent un peu le dossier. Même si la charge est rude :
« L’Eglise espagnole est devenue la Putain des militaires épurateurs (…) l’infâme institution (…) etc « .
L’imprégnation des (re)lectures de Bernanos probablement, aussi grand pamphlétaire qu’il fut un puissant romancier (si au moins Pas pleurer pouvait engager ceux qui ne l’ont jamais lu à y aller voir, ils n’en reviendraient pas – d’autant que le Castor Astral le réédite avec soin). Ce qu’il a fait en faisant le jeu des Républicains, lui qui s’était rendu en Espagne naturellement acquis à la cause nationaliste, Bernanos ne l’a pas fait par goût du scandale mais parce que sa conscience chrétienne fut profondément révoltée par la manière dont l’Eglise avait prêté main forte au crime. S’il lui en a coûté de le dénoncer, il lui en aurait coûté bien davantage de n’en rien faire.
Il ne s’en dégage pas que le son d’une conversation d’outre-tombe de deux voix entrelacées mais une couleur. D’aucuns regretteront que nombre de phrases ne soient pas traduites ; mais enfin, c’est de l’espagnol, pas du sanskrit ! Ils se consoleront en se disant que cet entre-deux-langues, qui correspond bien à la double fidélité franco-espagnole de l’auteur, participe justement de sa musicalité. Encore que, dès l’épigraphe tirée du Quijote, ils risquent de lui en vouloir :
« De qué temes, cobarde criatura? De qué lloras, corazon de mantequillas? »
Rien n’est inventé : la narratrice est bien Lydie Salvayre, c’est de sa mère qu’il s’agit, alors une jeune femme d’une grande force de caractère (une étreinte est l’occasion d’un baiser de quatre-vingt dix minutes, un exploit qui n’est heureusement pas délayé pendant quatre-vingt dix pages !), et du vrai Georges Bernanos. Toute à la violence de son propos, elle se donne pour idéal la charge de Carlo Emilio Gadda contre l’abjection mussolinienne. Ou encore les déchirements d’un José Bergamin, catholique et républicain. Il est de pires modèles. Tout sauf la lâche neutralité d’un Saint John Perse alias Alexis Léger du quai d’Orsay, jouant un rôle déterminant dans la non-intervention. Pas pleurer est un hommage, aussi émouvant que secouant, de la fille à sa mère, cette femme qui fit partie de l’interminable colonne de réfugiés passant la frontière du Perthus à pied au début de 1939 après un long voyage, se retrouvant dans un camp à Argelès avant d’échouer dans un village du Languedoc où elle vit encore ; elle y a passé sa seconde vie, comme la première, à montrer à ces enfants comment affronter les travaux et les jours, mais sans pleurer.
Eric Vuillard est lui aussi bien au centre de Tristesse de la terre (156 pages, 18 euros, Actes sud), son septième livre, aussi dérangeant que Congo (2012) ; mais il accomplit un exploit dans l’ordre de la pudeur et de l’effacement : dans l’Amérique des années 1890, lier l’histoire des spectacles de masse de Buffalo Bill Cody (1846-1917) et celle des massacres d’Indiens sans user du « je » alors que tout part du choc qu’il reçut à la vue d’une photographie. Il s’ensuit une réflexion sur la mystification dont des peuples, soudainement jugés surnuméraires tant par l’Histoire que par la géographie, ont été victimes, le cirque en étant le cadre atrocement idéal. L’auteur n’ignore rien du Wild West Show (800 personnes y travaillaient avec quelques 500 chevaux et nombre de bisons). Si l’on conserve encore une certaine tendresse pour Buffalo Bill, en souvenir nostalgique de nos jeunes années bercées par le mythe, on l’éprouve davantage encore pour le vénérable Sitting Bull, incarnant jusqu’à la caricature son propre rôle sous le chapiteau. Le titre contient le mot « tristesse ». Pour une fois, un titre dit vrai, car bien de cela qu’il s’agit tout au long de ce petit livre, lui aussi, comme le précédent, si dévastateur dans son acte d’accusation. Tristesse de la terre : un petit mot suivi d’un grand. A la grande exposition universelle de Chicago en 1893, le cadavre desséché d’un nouveau-né indien était exposé devant 21 millions de visiteurs. Et le reste ? Wounded Knee et général Custer in memoriam. L’Histoire mise en scène en racontant une histoire pour exalter la conquête de l’Ouest, et stupéfier le public par l’intuition de la mort, quel sanglant barnum ! Tragique au coeur de la société du spectacle et happy end. Allez, that’s entertainment !
Reste à savoir si cette autre manière d’approcher la vérité et de la rendre avec les moyens de la littérature renouvellera le roman, le récit historique ou la biographie. A moins qu’elle soit assez lucide pour demeurer un électron libre. Ne restera plus alors qu’à entériner là aussi la confusion des genres toutes frontières abolies.
(« Le show Buffalo Bill » photo D.R. ; « Trotsky et Natalia Sedova à Mexico city » photo Francis Miller pour Life ; « Colonne de réfugiés espagnols arrivant en France en 1939″ photo Robert Capa ; Sitting Bull » photo David Francis Barry)
899 Réponses pour De quoi se réjouir de la confusion des genres
jakie si tu lui écrit son pitch ..
un homme confronté à un double bind, écrire son génial bouquin pour faire revivre ses fantômes ; parviendra – il à sortir de son confort mortifère ?
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…lire des opinions,…à y réfléchir, sucer des couilles,!…même combat,!…
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…merci,!…de l’objectivité au delà, de la nécessité de la gestion des comptes de l’état, en tout lieux,!…du pétrole aux éoliennes,!…
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…Charlemagne,…l’instruction pour sa » divination « ,…des leurres en empereurs d’€urope élites,!…du chaudron & poêle à sa fournée,…
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…gouverner un pays, ou faire des numéros de cirque 0llé,!… » m’a tu vu « ,…
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…la carte sur table , pour éliminer la concurrence Parbleu,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
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Clopine, je réponds avec retard à votre jugement si expéditif à propos de quelques extraits du roman d’ Eric Reinhardt. Après avoir lu trois ou quatre phrases de lui, vous condamnez.
« il se regarde écrire » dites vous ..oui C’est une écriture recherchée, parfois surchargée, mais vous aimez ça dans Giono dans « le chant du monde « ou « un de Baumugnes » . Je reconnais volontiers que le « style », au vu de quelques courts extraits de Reinhardt est sophistiqué, recherché, mais où est le problème ? Aragon comme Claude Simon , Mandiargues comme Pierre- Jean Jouve ou Giraudoux, Broch ou Zola ou ont des styles « recherchés » (et trouvés !..) ce n’est pas le problème Clopine.. Disons des banalités :roman ne peut se juger sur deux ou trois phrases, car un roman c’est aussi un travail de composition, un projet global, une architecture narrative particulière qui ne peut absolument pas se juger sur deux extraits…c’est , un équilibre subtil entre ce qui est nommé et ce qui est suggéré, un roman a toujours une construction dramatique sous jacente plus ou moins visible, des exigences d’équilibre entre dispositions des personnages et héros. un roman porte un imaginaire singulier, et dans le cas des tres grands romanciers -je pense à Flaubert, Proust, Mann, Musil, Broch, l’expérience personnelle et le travail littéraire s’élargit aux dimensions d’une société et d’une réflexion sur ses valeurs..le romancier devient aussi philosophe, esthète, critique, moraliste, prophète, et ouvre un horizon intellectuel, moral et politique étendu. Souvent un romancier pulvérise les cadres traditionnels et jouent non seulement sur le plan de leur réalité contemporaine mais sonde des couches mentales peu visitées(Joyce) ou recompose une époque reculee(flaubert avec »Salammbô » )ou Thomas Mann avec l’époque biblique de « joseph et ses frères ») et ressucite une civilisation ancienne pour la confronter à la sienne, etc etc.. il y a aussi des romans qui ont une visée ironique, satirique, , lyrique, poétique, religieuse et philosophique et ils qui ne peuvent pas se comprendre en quelques petits buts d’extrait… mais ce sont des valeurs qui infusent le roman entier..
Ne jouez pas les têtes de linotte Clopine, avec des formules expéditives ,et surtout ce petit ton de fierté comme si être sommaire ou désinvolte était une qualité.
Enfin il y a des « écritures artistes, des écritures hypersophistiquées, et ca n’empêche un roman d’être intéressant . Tenez j’aime bien « Germinie Lacerteux » des frères Goncourt . lisez certaines pages de « la curée » de zola ,ou « nana », là aussi vous en aurez du style fleuri, envahissant, cabotin, grand guignolesque, surchargé, antiquailles et brocanteurs fous, orfèvrerie ,et clinquant et verroterie à toutes les pages..à la coulée de mots précieux ,quelque chose de bien pâteux comme une lave goudronneuse, ou des romans explications interminables, remords, redites, justifications, cheveux coupés en quatre (Proust a aussi certains passages comme ça assez bredouillis .Un roman n’est pas qu’un style, répétons le ,
Mais l’art des transitions, les métamorphoses des personnages, des révélations esthétiques ou philosopiques , avec un souci de dynamique narrative, recherche d’équilibre dans les éléments, souci d’ une poétique, soin apporté à une manière de mêler, de fondre ou de séparer personnages et descriptions. Un roman c’est une trajectoire d’éléments très disparates qui s’harmonisent (voir l’ art de la digression de le Hugo des « misérables. » ,l’art de mettre des personnages historiques dans une fiction (voir « 93 » de Hugo ) ou l’art du monologue intérieur glissé sans qu’on s’en rende compte( dans « la chartreuse de parme » de Stendhal..) et vous, en trois coups de cuillère à pot, vous expédiez un romancier dans le petit enfer de votre dédain., avec un « il se regarde écrire » .
En rebondissant sur Clopine, Paul Edel, vous vous faites mon avocat pour le Goncourt 2014, ce dont je vous remercie avec chaleur et amitié.
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…lire des opinions,……( Dieu & abrutis-soumis ),…
…à y réfléchir sucer des couilles,… ( d’états et presse-tiges ),…
…même combat,!…( succinct ) d’escroc,!…etc,!…
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Paul Edel précise à mon sens quelques chose de très juste. Un roman n’est pas « réussi » pour des raisons théoriques, ou pour de fallacieux arguments souvent expéditifs. Un roman est réussi d’abord quand il porte le lecteur comme une révélation, une inexplicable révélation. C’est pourquoi, avant de juger, il faut lire le roman en entier, c’est indispensable, ne pas se contenter de quelques extraits souvent mal choisis. Il faut prendre le roman en mains, et lui faire subir les épreuves qui s’impose, lecture et relecture. Ce qui ne veut pas dire qu’un roman comme celui de Reinhardt sortira vainqueur de l’expérience ! L’exigence prime. En ce sens, la liste des Goncourt est décevante. Que vient y faire par exemple « La Peau de l’ours » de Joy Sorman ?
En rebondissant sur Clopine, Paul Edel,
clopine comme trampoline, c’est pour la rime
Chantal et Jacques le F., contentons-nous de lui offrir la 4e de couv. :
« « Le fantôme d’Auschwitz » commence au Louvre. Tandis que l’auteur-narrateur contemple l’autoportrait de Rembrandt, la vérité, longtemps cachée par le père du héros afin d’éviter au fils la malédiction qui pèse sur leur famille lui est soudainement révélée. Les pseudo chrétiens Alba sont en fait les descendants des Lévy originels, reconvertis, au sens propre du terme, afin d’échapper à la terrible persécution des grands Inquisiteurs ueda, renato et Barozzi*, impitoyables émissaires du pape, qui ne pardonne pas aux Alba, sous prétexte de Croisade, d’avoir voulu en fait reconquérir le Temple de Jérusalem pour rétablir en ces lieux le peuple élu disséminé aux quatre vents. Réfugiés à Amsterdam, puis en Pologne et enfin en France, des membres de la famille du héros, après la Shoah, survivraient encore à Montmartre, New York et Tel Aviv. Mais Michel A. leur plus sublime représentant, qui doit encore achever son génial roman qui ébranlera l’univers tout entier, en ouvrant sous les pieds du lectorat mondial un large abîme, doit pour cela déjouer auparavant les pièges sans cesse tendus par ses persécuteurs inlassablement réincarnés. »
*Le plus ignoble des trois, un être abject au moeurs douteuses, le mal en personne sans cesse réincarné : il inventa le ghetto de Venise, modèle du genre, et sévissait durant l’Occupation rue Lauriston !
On dirait le canevas d’un roman à la Umberto Eco !
« Il faut prendre le roman en mains, et lui faire subir les épreuves qui s’impose, lecture et relecture. »
Oui, certainement, mais avant il faut l’acheter et en l’absence (désormais) de voix crédibles, quelques pages lues au hasard déterminera si acheter l’ouvrage ou ne pas l’acheter.
Mon opinion, relativement aux roman de Reinhardt, feuilleté dans une librairie correspond exactement à celle que je m’étais faite à partir par la « mise en bouche » proposée par Passou, je l’ai donc laissé au libraire qui, par contre, semblait touché par sa prose.
Cela dit, Paul sort la grosse artillerie : Joyce, Simon, etc., ce qui fait qu’il se met sur le même plan que Wgg qui croit qu’il est crédible seulement parce qu’il sort des références : et si moi j’en ai d’autres ?
Avec ce canevas un Philip Roth par exemple saurait s’amuser et faire quelque chose de lisible, mais WDG, sérieux comme un pape et chiant comme la pluie, ne peut écrire qu’un pensum. Il le sait, et c’est pourquoi il ne l’écrira pas et préferera dilapider son temps en pissant sur un blog des commentaires délirants. C’est tout à son honneur.
Une bonne 4e de couv. suffit le plus souvent au lecteur de base, renato !
« Il faut prendre le roman en mains, et lui faire subir les épreuves qui s’impose, lecture et relecture. »
Compte tenu du nombre de livres publiés à la rentrée littéraire et tout au long de l’année, les critiques n’ont jamais le temps matériel ni le recul nécessaire pour procéder de la sorte…
« Rien ne va plus aux Archives nationales (inconsultables) : fissures dans la structure, et toujours pas de directeur. »
Un poste pour M. Court !
c’est pourquoi il ne l’écrira pas et préferera dilapider son temps en pissant sur un blog des commentaires délirants. C’est tout à son honneur.
enfin quelquechose de moderne, et le moderne c’est l’honneur bafoué en effet..je n’suis point daccord avec baroz et surtout pas avec un screnplay à la éco..ça manque de cul de merde de clamsé et d’obsession..dracul est un chtonien faut pas l’oublier..s’balade avec sa terre promise au cul..umberto que son ataché cèze
le garde champetre: ‘j’ai pris la décision définitive de quitter la République des Livres de ce bon Pierre Assouline… Adieu…!’
bon vent mais gaffe que la porte battante du moulin de Me Pierre ne te claxonne le nez… tu pourrais peut-etre aussi parler a ton pote? 2 pour le prix d’un…qui dit mieux?
bref bien coatché je l’embauche..il devra allez sur les plateaux de télé en cosplay défini par son employeur..tout ça sra dans le contrat évidemment..
quelques propositions : l’auto portrait de rembrant manque d’ambiguïté, je proposerait Mona Lisa au sourire énigmatique.
les trois ennemis ont un profil qui leur est propre:
Ueda est un descendant kazare qui croit s’être débarrassé de son identité en étudiant le chinois a à la place des lettres carrées hébraïques pensant ainsi se trouver un emploi dans le monde actuel, ce qui est la raison de son achoppement avec alba dans un non-pilpoul infini.
Au cours d’une rixe totalement imprévisible place des Vosges, où le descendant des contes de B relevait tranquillement le nombre de réverbères pour son prochain livre sur les grands spectacles de Versailles à Chaillot, il heurta de plein fouet un individu étrange qui avançait dans un cerceau magique et marmonnait pour lui – même des noms de capitales réelles ou englouties, jardins de babylone, atlantide, sphinx et jardins de séville à la don pedro 1er.
Le sieur Barozzi armé d’un étrange sabre en silicone rose qui crachait de la mousse de lait se mit à ondoyer le récitant qui se transforma peu à peu en croûte de lait.
Maître renato, marchand d’armes milanais qui passait par là trouvant l’affaire peu raisonnable enfonça son borsalino d’un cran et repris le cours de sa visite des lieux armé d’un guide des bonnes tables et bistrots.
Pendant ce temps, dans une cave quai des orfèvres, un dénommé bouguereau s’essayait au maniement d’un nouveau stéréotype le surface pro et envoyait des graffitis codés à sa collaboratrice philippine sous payée dans un cabanon loué par un certain jean marron qui l’aurait hérité d’un certain eugène lui – même descendant d’un individu surnommé le golem à la crème, viennois directeur d’une équipe de coursiers établi à Baden Baden avec l’aide d’un certain Phil le hardi.
Un roman n’est pas qu’un style, répétons le
..oui mais un style tient lieu de tout ce que tu fais suive polo..c’est un « geste » comme on dit, c’est a dire l’art de trouver une « solution » a plusieurs problèmes..les constructeurs romans en étaient dingue
Alors, tout d’abord, présenter des excuses à Eric Reinhardt (si c’est bien lui l’auteur du com signé de ce nom) : j’ignorais qu’il fréquentait les parages, et si je l’avais su, j’aurais sans doute atténué, sinon ma pensée, du moins son expression. Mais ce blog est tellement la proie de la violence verbale la plus insensée qu’on en oublie les règles de la courtoisie. De toutes façons Monsieur Reinhardt, comme vous l’avez dit, vous voici apprécié par Paul Edel et par notre hôte. Mon opinion, à côté des leurs, pèse aussi lourd qu’une plume du duvet d’un poussin nouveau-né. Néanmoins, si mes mots ont pu vous choquer, vous m’en voyez navrée.
Je sais trop ce que l’acte d’écrire, d’entreprendre un travail littéraire, même réduit, même modeste, signifie de labeur, de don de soi, de concentration et de renoncement pour manier la dérision – et, contrairement à ce que vous pouvez penser, je ne suis pas méchante.
Je crois comprendre d’où me vient ce recul devant votre roman – je m’en vais tenter de l’expliquer à Paul ; mais même si je n’achète ni ne lis votre livre, je vous souhaite cependant bonne chance – très sincèrement.
.il devra allez sur les plateaux de télé en cosplay défini par son employeur..
il est évident dracul que si les sans dents sont à la mode que tu devras une semaine avant l’émission allez chez ton chicotier te faire la gueule à zéro..tu pourras y retourner la semaine suivante avec un dentier en or pour un face a face avec cet enculé de sa race de bourgeois de djoé star..les fafiots vont pleuvoir sur toi dracul!
JC….. dit: 10 septembre 2014 à 5 h 45 min
« Il est presque impossible de porter le flambeau de la vérité parmi la foule sans roussir une barbe »
Il faut partir !
Elle est bonne, donnons la dans le texte aux nombreux germanistes de ce blog (mâtin), en guise de café:
Es ist fast unmöglich, die Fackel der Wahrheit durch ein Gedränge zu tragen, ohne jemandem den Bart zu sengen.
« Je crois comprendre d’où me vient ce recul devant votre roman – je m’en vais tenter de l’expliquer à Paul »
Et tout ça sans lire le livre ! C’est vraiment très fort et surtout stupide !
Je sais trop ce que l’acte d’écrire
tu l’sais pas assez..dracul dans sa souspente y sens pus ses doigts..il se les bande comme mickey rourke dans « jvais défoncer la gueule 3 »..faut t’mette sous produit au début clopine..aprés tu reçois les journaliss dans ton lit et tu tousses un peu mais pas trop ! nous fait pas l’ébola c’est pas bon
Bien vu chantal, seulement la Gioconde me semble aussi banal que le selfi de Rembrandt. Je proposerait « La mort de Procris » de Piero Di Cosimo.
d’où me vient ce recul devant votre roman
..c’est trés bon mais trop sybilin clopine..pour commencer envisage de terminer avec un point d’interrogation..et fais péter la suite ici
Alors, tout d’abord, présenter des excuses à Eric Reinhardt (si c’est bien lui l’auteur du com signé de ce nom) : j’ignorais qu’il fréquentait les parages
non, c’est pas lui l’auteur du com
merci renato, en effet , gioconda c’est banal.
on peut imaginer un tableau qui n’existe pas, ou un signe dans une grotte que dracul aurait visité en rêve dans sa soupente. l’oeuvre inconnue, une araignée au bout d’un fil, et chaque fil de la toile une possibilité de recherche ..
chantal dit: 10 septembre 2014 à 11 h 57 min
Ueda est un descendant kazare qui croit s’être débarrassé de son identité en étudiant le chinois a à la place des lettres carrées hébraïques pensant ainsi se trouver un emploi dans le monde actuel, ce qui est la raison de son achoppement avec alba dans un non-pilpoul infini.
Tout d’un coup, je me sens à poil.
« mais même si je n’achète ni ne lis votre livre, je vous souhaite cependant bonne chance »
Dommage, Clopine : c’était sans doute un livre fait pour vous, pour des lectrices dans votre genre…
pendant qu’il écrit avec des cloches sous le doigts sur une vieille remington, oubliant de vivre, sa voisine a enjambé son balcon.
Une carafe de rouge sur une toile cirée, de la mousse verte au fond d’un vase ébréché sans fleurs, et sur le lavabo de la salle de bain un stil de rouge à lèvre d’au moins dix ans qu’il n’a pas envie de jeter c’est un sentimental.
Sa voisine est une sorte de petite boulotte rousse qui tient un stand aux puces de saint ouen, elle fréquente les collectionneurs de vidal lablache, et y perd souvent sa culotte.
« Mon opinion, à côté des leurs, pèse aussi lourd qu’une plume du duvet d’un poussin nouveau-né. »
C’est quand même bien de la jouer modeste et lucide. Vous serez pardonnée, Clopine, grâce à cette belle comparaison campagnarde, qui nous rafraîchit…
Clopine, la signature du post indique que c’est un faux, érich en place d’éric. Cela dit, il est fort probable que l’auteur a lu l’article de Passou et les commentaires qu’il a suscité…
« Tout d’un coup, je me sens à poil. »
Tout d’un coup je me sens en duvet de poussin.
(C’est pas agréablement rustique?)
Mais non, l’autoportrait de Rembrandt est capital dans l’histoire, le lien avec Amsterdam, voie royale de la manifestation de l’inconscient de l’auteur-narrateur du « Fantôme d’Auschwitz » !
« duvet de poussin »
Bien suffisant en l’espèce pour masquer ce qu’habituellement recouvre une feuille de vigne !
« la signature du post indique que c’est un faux »
C’était quand même du très gros, non ? comme un nez au milieu de la figure ! Ne perdons pas notre humour – même s’il est mis à rude épreuve !
« Tout d’abord, présenter des excuses à Eric Reinhardt, si c’est bien lui. »
Mademoiselle Clopine Trouillefou gagne d’office une place au Dictionnaire des Girouettes de la RDL à paraitre prochainement.Elle y partagera la vedette avec Michel A…-sa modestie empeche qu’on le nomme et dont on se souvient entre autres d’un « François Hollande, le plus grand des Présidents de la Cinquième République! »
Bien à vous.
MC
bouguereau dit: 10 septembre 2014 à 12 h 15 min
d’où me vient ce recul devant votre roman
..c’est trés bon mais trop sybilin clopine..pour commencer envisage de terminer avec un point d’interrogation..et fais péter la suite ici
Bon conseil.
Si on change une lettre carrée, ça fait un bon titre de rentrée.
« D’où me vient ce recul devant votre maman? »
Musso grimace et Lévy halète.
Ah, mais… chantal, je vois bien, caché par la condamnation de l’adultère, la représentation de la conscience que l’homme est mortel ce qui semble angoisser « notre ami » qui, par sa fugue dans le passé, cherche à contredire cette évidence.
Enfin, l’ambiguité du mystère de ce tableau me semble plus juste que d’autres choix plus conformistes… le selfi de Rembrandt… non, mais… Et puis, via le Chien il y aurait un renvoi à l’astrologie, et ainsi de suite…
pendant de temps, l’inénarrable JC qui avait décroché des affaires depuis belle lurette à la suite d’ennuis judiciaires causées par le révélation de quelques revenants de ses crimes au tribunal de rouen, se refaisant une vertu en donnant quelques croûtes de pain gris aux moineaux qui pépiaient autour de son camping car installé dans un coin sans eau ni wifi en baie de somme.
Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2014 à 12 h 37 min
« duvet de poussin »
Bien suffisant en l’espèce pour masquer ce qu’habituellement recouvre une feuille de vigne !
Faire tousser l’Asie, c’est ça?
À la vôtre!
chantal dit: 10 septembre 2014 à 9 h 11 min
si il est torero virtuel, il bataille contre les boeufs de la rdl..
Notre ami est un peu frénétique dans sa représentation, et nous ne manquons pas de solidité.
Pourquoi pas Buffalo Bill et les bisons de la Rdl?
renato j’ai été y voir, très beau ce tableau, pouvez vous nous en dire davantage sur le chien et l’astrologie ?
« mais même si je n’achète ni ne lis votre livre, je vous souhaite cependant bonne chance »
et bonne continuation.
(on sent bien, Clopine, que vous oubliez les humbles)
c’est tout doux un petit poussin, bien plus agréable a caresser d’un affreux dindon tout rouge et qui crie ..
Je sais trop ce que l’acte d’écrire, d’entreprendre un travail littéraire, même réduit, même modeste, signifie de labeur, de don de soi, de concentration et de renoncement pour manier la dérision
–
Pas trop pour moi, ça sort sans effort aucun. Attention aux généralisations malheureuses.
« présenter des excuses à Eric Reinhardt »
C’était effectivement la première chose à faire !
chantal dit: 10 septembre 2014 à 12 h 57 min
c’est tout doux un petit poussin, bien plus agréable a caresser d’un affreux dindon tout rouge et qui crie ..
Ouais…
Je sens bien que vous dites ça pour être gentille.
pas du tout ..
ça cause popotin ?
Ce Erich m’a tout l’air d’être un playmobil, avatar de l’auteur.
Outre ses connaissances très limitées des arbres, il me semble avoir compris en lisant un commentaire d’une lectrice, à priori sous tous rapports respectable -i.e: pas ici sur la RDL- de ses exploits d’écrivain, qu’il ne soit vraiment non plus au fait de la sensualité et de l’érotisme dans la littérature, et peut-être par manque d’expérience personnelle de l’auteur ? cela tourne à la description clinique d’un acte sexuel, mal écrit, genre « un après-midi porno ».
Qu’en pensez-vous Paul Edel ?
Popaul est très drôle. Il demande à Clopine de ne pas jouer aux têtes de linotes… Vœu pieux assurément.
Je vois par ailleurs que mon œuvre est déjà abondamment commentée avant même d’avoir été écrite. Excellent pour la promotion.
Mais en lisant les commentaires de Barozzi et autres bœufs de la Rdl, on voit bien qu’ils ne l’ont pas lue ! Est-ce vraiment étonnant de leur part ? On comprend que ce pitoyable antisémite de Barozzi n’arrivera jamais à écrire le roman de son enfance. C’est encore un enfant ! Affligeant et pis c’est tout.
Pour le Mexique, prenez le ticket pour spectacle magique
« Dans le petit village d’Icamole, au nord du Mexique, Remigio découvre au fond d’un puits le corps d’une fillette inconnue. Ce qui pourrait rester un simple fait divers devient matière à un océan de fictions et d’imbrications romanesques : car c’est à la lumière des romans qu’il lit avec autant de fureur que de délectation que Lucio, le bibliothécaire du village, mène l’enquête. Laquelle le conduit sur les traces d’Herlinda, sa femme disparue, qu’aucune lecture n’aura pu lui restituer.
Le roman progresse au fil des découvertes d’un lecteur hors normes qui laisse toutes les fictions interpréter et résoudre les cruautés du monde réel.
Entre réalisme et fantastique, une réflexion virtuose sur les enjeux de la fiction, par l’un des auteurs mexicains les plus inventifs de sa génération. Jubilatoire. »
El ultimo Lector de David Toscana.
renato dit: 10 septembre 2014 à 9 h 17 min
«…c’est qu’il rêve d’être torero »
Footballeur ce serait moins risqué et plus rentable, même en restant en deuxième division… enfin, peut-être pas la Bentley, mais qu’importe, ce n’est désormais plus la voiture qui pose son homme (le monsieur à la belle voiture ; le monsieur à la belle montre, etc.).
vous imaginez Alba habillé en rose pour tuer des vaches, ce serait quelque chosze de grand!!
Ces tous petits trous du cul n’ont même pas lu mon oeuvre que je n’ai pas écrite !
M Court pour Alba , Hollande c’est fini! son grand penseur actuel c’est Attali, oui le Jacques! ça situe le Alba!!
« Par mesure de sécurité, l’accès aux magasins d’archives et aux bureaux a été suspendu, en attendant que soient finalisées des études techniques. En conséquence, la salle de consultation est fermée au public jusqu’à nouvel ordre. »
la tête à toto dit: 10 septembre 2014 à 11 h 25 min
On dirait le canevas d’un roman à la Umberto Eco !
__________
Pas si con le toto !
C’est Baroz chez les nuls.
Voyons-là en BD, chantal.
Les descendants de Cadmos évincés du trône de Thèbes pour venger la mort du Sphinx.
Envoyée par Dionysos (vengeance) la renarde de Teumesse sévit dans le royaume.
Teumesse avait la particularité de ne jamais pouvoir être prise, et ravageait le pays, ainsi les habitants lui livraient chaque mois un enfant afin d’éviter qu’elle n’en ravisse encore plus.
Pris de pitié, Céphale lance Laelaps, son chien infaillible, à la poursuite de cet animal que personne ne pouvait rattraper.
Zeus, devant ce dilemme, métamorphose les deux animaux en statue de marbre, mais selon certains les projeta dans le ciel où Laelaps devint le Grand Chien (c’est là que l’on trouve Sirius) qui suit le Lièvre sans jamais l’attraper… la renarde, ayant trouvé entre temps une oie s’en est allée la croquer en paix dans un coin tranquille.
Le comité de surveillance du blog fait un recensement des plus cons du blog, voici la liste des plus nuls :
bref
Eric Reinhardt
Barozzi
tête à toto
ueda
etc.
Abdelkaka a manifestement raté une vocation de garde champêtre, échec cuisant qui lui est resté en travers de la gorge. Il l’évoque à tout propos et hallucine la fonction qu’il projette sur tout intervenaute qu’il envie. On pourrait peut-être lui offrir des baguettes pour son tambour à Noël.
Court qui voudrait passer pour un chercheur quand ce n’est qu’un minable rat de bibliothèque… Un pauvre homme particulièrement médiocre et qui s’en croit, mais s’en croit ! que c’en est comique ! En plus il abîme les lieux où il séjourne…
Le plus drôle au sujet de ce pauvre Court, c’est qu’il prend au sérieux toutes les bouffoneries que je peux publier et qu’il m’accuse ensuite de ne pas avoir d’humour…
AAAAAaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! slurp !
Hollande et les « sans-dents » :
«Un coup porté à ma vie tout entière».
« C’est avec ces mots que François Hollande réagit à la polémique des «sans-dents», lancée par la publication du livre de Valérie Trierweiler. » (Figaro)
« la liste des plus nuls »
Vous avez oublié de vous y mettre, W !!?
Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2014 à 7 h 32 min
L’avenir est à ceux qui se lèvent tôt. Jacounet a fait fort, merci à lui.
Widergänger dit: 10 septembre 2014 à 13 h 57 min
Le comité de surveillance du blog
Oui ; mais qui surveille le comité de surveillance du blog ? Et cette instance, qui la surveille ? Au moins havec Koba c’était carré… Chez oncle Wolf un peu plus le foutoir…
Barozzi c’est toto chez les nuls et toto c’est Barozzi chez les nuls ! Deux images virtuelle du néant.
Ça doit être quelque chose !
c’est , un équilibre subtil entre ce qui est nommé et ce qui est suggéré, un roman a toujours une construction dramatique sous jacente plus ou moins visible, des exigences d’équilibre entre dispositions des personnages et héros. un roman porte un imaginaire singulier, et dans le cas des tres grands romanciers -je pense à Flaubert, Proust, Mann, Musil, Broch, l’expérience personnelle et le travail littéraire s’élargit aux dimensions d’une société et d’une réflexion sur ses valeurs..le romancier devient aussi philosophe, esthète, critique, moraliste, prophète, et ouvre un horizon intellectuel, moral et politique étendu. Souvent un romancier pulvérise les cadres traditionnels et jouent non seulement sur le plan de leur réalité contemporaine mais sonde des couches mentales peu visitées(Joyce) ou recompose une époque reculee(flaubert avec »Salammbô » )ou Thomas Mann avec l’époque biblique de « joseph et ses frères ») et ressucite une civilisation ancienne pour la confronter à la sienne, etc etc.. il y a aussi des romans qui ont une visée ironique, satirique, , lyrique, poétique, religieuse et philosophique et ils qui ne peuvent pas se comprendre en quelques petits buts d’extrait… mais ce sont des valeurs qui infusent le roman entier..
(Popaul)
_____________
Moi, je vous le dis, on reste baba devant tant d’intelligence critique ! Peuvent aller tous se rhabiller ! On voit que Popaul a écrit dans le Figaro, il en est ressorti grandi !
Garde champêtre c’est un peu comme douanier, mais en plus hypocoristique… Heil Schiklgruber ! De toutes manières il va plus y avoir de frontières… Et de champs non plus !
Un critique pulvérisant !
Les posts de notre ami WG manque un peu de matos nouveau, depuis qu’il a confié à hamlet les clés du camion!
« le garde-champetre »
N’oubliez pas, Abdelkader, que notre camarade JC a su un jour vous saluer comme « une des grandes voix musulmanes » de ce blog.
C’est un éloge qui vous laissera un peu circonspect mais qui partait, j’en suis sûr, d’un excellent sentiment.
je n’ai jamais écrit un seul article dans le Figaro.
Le Figaro est passé alors à côté du pire !
Un roman moderne justement n’a pas de construction dramatique…
C’est ce qui fait que l’Education sentimentale n’a pas été compris en son temps : une succession de tableau dans dramaturgie, une révolution !
Le Popaul en est resté aux vieilles lunes sans évoluer. Et il a jamais compris par quoi, pour équilibrer ce manque précisément, a tablé Flaubert pour composer son roman : le thème de l’eau par exemple qui innerve tout le roman. Mais Popaul trouve le roman « sec » (sic !).
Voilà ce que c’est qu’un romancier du Goncourt et un critique journalistique, mes petits chéris ! On aura beau jeu (facile) de dire que je suis mauvaise langue…
Le niveau de lecture descend sur la Rdl comme dans le PISA. La France est en chute libre.
…une succession de tableaux sans dramaturgie…
C’aurait été pas mal, d’envahir l’Espagne, tiens… Ernest poiré en pleine corrida ! On le ramenait directos au Ritz pour cinq ans il avait le temps de reconnaître…
Paul Edel parle de littérature en littéraire –et non en archiviste, en théologien raté, en narratologue, en généticien, en sémiologue ou en philosophe pour classes élémentaires.
Comme c’est bon!
JC.
« C’est ce qui fait que l’Education sentimentale n’a pas été compris en son temps : une succession de tableau sans dramaturgie, une révolution ! »
Vous racontez n’importe quoi ! Dans l’Education sentimental, il y a un fil, des thèmes récurrents, etc. Ah ! c’est facile en deux-trois mots d’avancer un jugement à l’emporte-pièce. Clopine fait pareil, et Paul Edel a bien raison de vous le reprocher, lui qui se montre bien plus rigoureux que vous, moins flamboyant dans l’emphase ! moins vaniteux dans le pseudo-savoir ! Bon, moi, maintenant, je vais à la plage. Il fait beau et tout. Continuez sans moi la branlette littéraire !
Mimi s’en prend à PE comme Chaloux s’en prend à lui ou à bouguereau.
Pas sûr que le ridicule ne tue pas.
ueda, un simple parti pris haineux qui ne tient absolument pas compte de la réalité du texte de Flaubert.
Tout bon lecteur de Flaubert qui n’est pas de parti pris haineux comme ueda ou toto, me donnera raison à propos de Flaubert. Mais ici, ce sont les gens haineux qui donnent le la… La haine règne en maîtresse exigeante au détriment de la recherche honnête de la vérité.
Ces gens haineux ruinent le blog au mépris de la littérature.
Paul, je vais tenter de vous répondre raisonnablement. D’abord, je n’ai pas lu « trois ou quatre » phrases du livre de Reinhardt : j’ai lu l’extrait choisi par notre hôte pour illustrer son éloge enthousiaste. Et je n’ai pas compris, parce que s’il s’agissait de nous allécher, c’était raté. Donc j’ai cru, fort benoîtement, que notre hôte s’était trompé, qu’il suffisait d’ouvrir le livre à un autre endroit pour qu’on comprenne d’où venait l’enthousiasme… J’ai donc lu, via internet, les deux premières pages : c’était encore pire que le premier passage, à mon sens…
Vous me dites, si je vous ai bien compris, que le style ne fait pas l’oeuvre, qu’il faut juger d’un livre de par son sujet et sa consctruction aussi, et que c’est de la conjonction du tout qu’on peut juger : soit, je vous suis jusque là. Vous enchaînez sur les différents styles -fleuri ou surabondant, sans en renier aucun. Là encore, je vous suis : j’aime autant un style bourratif façon vacherin bourré de crème glacée, comem parfois chez France, tenez, pas le France du Livre de mon ami mais celui de la Reine Pédauque, que le scalpel d’un Coetzee ou d’une Ernaux.
Donc vous pourriez bien avoir raison, et un jugement lapidaire, sur quelques pages (je crois pourtant que c’est extrêmement courant, dans les milieux littéraires, et spécialement dans les maisons d’édition, m’enfin passons, moi aussi je suis naïve Paul, il n’y a pas que vous…) ne pourrait a
En plus ueda fait dans la démagogie par haine !
Pas joli, joli, le ueda !
Et il croit le Popaul suffisamment idiot en plus pour qu’il ne s’en aperçoive pas…
Je suis sûr, pour ma part, que Popaul sait parfaitement que c’est moi qui ait raison !
Mais l’aura jamais le courage de le dire ici !
toto est un idiot ! Mais tout le monde l’avait compris depuis longtemps.
Le niveau littéraire de ce blog est vraiment descendu très bas.
Ce sont les plus haineux, les plus bête qui dame le pion de la vraie critique littéraire savante que je représente ici.
C’est un peu fort !
Widergänger, vous qui vous êtes tant et tant humilié devant Paul Edel, qui vous êtes mis à genoux devant lui en espérant obtenir un susucre (ah, ces explications de texte niveau sixième au sujet du dernier roman de PEdel!), vous ne trouvez pas que votre nouvelle attitude est un peu ridicule?
« Ta gueule, keupu »
Hihihi…
zut, je reprends, pardon : un jugement lapidaire ne pourrait avoir de sens, puisqu’il faudrait lire un roman en son entier avant d’avoir le droit de juger le style de son auteur, et son adaptation au sujet.
Oui, vous pourriez avoir raison… Mais alors, comment expliquez-vous le jeu du diagnostic littéraire à l’aveugle ?
C’est un jeu très meurtrissant pour la vanité : il s’agit, à partir d’un simple extrait d’un livre inconnu, d’en retrouver l’auteur.
Si l’on vous suit, ce devrait rigoureusement impossible, (voire même défendu).
Et pourtant, prenez quelqu’un comme Eva Almassy : cette redoutable oulipienne analyse si parfaitement les extraits, les extraits Paul, entendez-vous bien ? qu’on lui soumet qu’elle est une des meilleures aux DLA ; et perso, je n’y suis pas si mauvaise. Certes, je me trompe (dimanche dernier, j’avais attribué le monologue délirant d’un homme se permettant de juger « La Faaammme » à un personnage de Tolstoï, dans la Sonate à Kreutzer. J’étais du même avis qu’Alamassy – et nous nous trompions toutes les deux : c’était du Niezstche ! fin de l’incie, mais cependant, je persiste à penser que le style d’un auteur, si reconnaissable souvent, est avant tout sa marque de fabrique.
Maintenant, que Monsieur Reinhardt nageasse à contrecourant, en recourant à l’emphatique, pourrait ne pas me gêner, bien sûr. Nous sommes peut être au bout d’un cycle où les écritures dépouillées, économes, parcimonieuses, vont laisser la place à l’abondance de la crème fouettée. Et parfois, je l’avoue, moi aussi, dans mes petites phrases, mes petits textes sans trop de prétention, je me plaîs quand même à ajouter, à ajouter telle coquetterie, comme une friandise, tel morceau de bravoure, comme on fait fondre une demi-plaquette de beurre dans la purée, en sachant que ça n’est pas bon pour la santé mais en salivant tout de même ; alors je pourrais surseoir, peut-être, à mon mouvement de recul et m’attaquer bravement à cette histoire d’amour, telle que l’a décrite notre hôte, entre une admiratrice d’écrivain et cet écrivain même.
Sauf que, et là vous n’y pouvez rien, mon pauvre Paul, la lassitude me reprend tout de suite. Bon sang de bonsoir, une littérature attachée encore à expliquer, du point de vue masculin, une aventure amoureuse… Vous n’en avez pas marre, vous ? Quand j’étais petite, c’était la veillée des chaumières. Le style y était… ce qu’il était, bon. Mais le sujet, le sujet, tel qu’on le lit effectivement sur les quatrièmes de couverture, battu, rebattu, et vas-y que je te, et que je te triervilarise, et que je te reinhardtise, non, j’ai envie de fermer les yeux, je repousse ma chaise et je gémis, Paul, je gémis. Le fméinisme n’aurait donc servi à rien, nous en serions encore là ? Que Monsieur Reinhardt s’analyse lui-même – mais qu’il utilise encore le vieux procédé de la jeune femme aimante lui servant de miroir, non, non. Et vous voudriez qu’avec une disposition d’esprit pareille, j’assume la posture objective de la lectrice lambda ?
Je vous estime infiniment, Paul, mais sérieusement, vous n’allez pas m’infliger cela ? Oh, je pourrai faire l’effort, notez (je me tape bien Genette à l’aide de chocolat, alors !) ; mais cela servirait à quoi ? Je n’ai aucune objectivité ici. Le sujet, le style, l’accroche du roman me laissent froide, pire : m’épuisent d’avance.
(et puis je n’ai pas assez de sous pour acheter un livre qui, en plus, ne me plaît pas).
(qu’est-ce que vous allez me passer, là… Tant pis, que voulez-vous. La vie est trop courte et Reinhardt, trop chiant.)
Je trouve au contraire que c’est votre attitude qui est comique !
Je parle de l’ES de Flaubert. Pourquoi pensez-vous que je m’humilie devant Paul Edel ?
Franchement je ne vois pas le rapport. Vous prenez vos fantasmes haineux pour la réalité. C’est à peu près tout ce qu’il y a à dire de votre commentaire.
Mes commentaires du dernier roman de Paul Edel n’était du tout de ce niveau que vous dites. Mais au contraire fort pertinent. La preuve c’est que Popaul les a confirmé, mon pauvre ami…
Votre haine vous perdra. Mais vous m’amusez tous avec votre haine. Vous êts de grands comiques.
Mais on voit bien que pour vous la haine prime sur la recherche de la vérité. Ce qui prouve au yeux de tous combien vous êtes de sinistres imbéciles.
Vos commentaires sur le dernier roman d’Edel, outre qu’ils s’avéraient d’une flatterie comique, étaient bel et bien du niveau d’un élève correct de sixième-cinquième. Les fautes de français en plus (ça, c’est votre touche personnelle: il y en a toujours une dizaine dans chacun de vos posts)
Corrigeons la copie de l’éternel redoublant du blog:
« Mes commentaires du dernier roman de Paul Edel N’ETAIENT PAS du tout de ce niveau que vous dites. Mais au contraire fort pertinentS. La preuve c’est que Popaul les a confirméS »
selon ML ! Le premier à pleurer dans le giron de PA qu’on le plagie, etc.
De toute façon, Popaul sait qu’il a tout à fait tort sur deux points essentiels :
— L’ES de Flaubert n’obéit absolument pas à une structure dramaturgique. C’est précisément en cela qu’il est une grande invention romanesque. N’importe quel couillon de la critique sait ça. Mais apparmment personne sur la Rdl ! Et même pas Popaul !
— ensuite il n’est pas besoin de se référer à tout un roman pour le juger. On peut très bien prend un extrait et l’analyser comme emblématique d’une œuvre. On fait ça tous les jours dans les lycées et universités et préparation à Normale Sup ! Ça n’a rien de bizarre. Mais ici, la haine vient tellement perturber le cerveau déjà pas mal fêlé d’un certain nombre d’abrutis qui officient ici à coups d’argument aussi pertinents que ceux de ce malheureux toto qui commence souvent ses commentaires par « Vous racontez n’importe quoi ! » avant de se tirer à la plage… Il est trop drôle comme diraient mes élèves.
Tout est du même tonneau ici. On est vraiment chez les nuls.
du maître chanteur de Montmartre : il a les téléphone et adresse de P. Edel, de PA. Comme il est capable de les publier ici sur un coup de delirium…
Vous pourrez le répéter comme un robot, c’est pas ça qui fera de vos commentaires une vérité.
Vos commentaires sont nuls comme vous êtes nuls.
Vous exprimez simplement que vous me haïssez. Je trouve ça très bien. Je suis fier d’être haï par des trous du duc de votre envergure…
Vous préférez ceux qui dénoncent sans doute… On voit quel genre vous êtes…
Ce qui prouve au yeux de tous combien vous êtes de sinistres imbéciles.
mais enfin dracul tous tes lecteurs tes frères sont rien que tous des cons..comme si mickey rourk se double nelsonner lui même
Impossible que ce type enseigne… dit: 10 septembre 2014 à 15 h 43 min
Et c’est le 1er à s’offusquer de la ruine qui menace l’école.
On n’a pas raison ou tort. C’est l’idée que l’on se charge de présenter qui est vraie ou fausse, ou en partie, ou dépendant du contexte.
Mais Popaul trouve le roman « sec » (sic !)
..je crois clopine que tu pourrais en faire quelquechose de pas mal..tu transpires mais ça vient dracul
On voit que vous n’êtes pas professeur en tout cas. Il est même certain à vous lire que votre niveau d’instruction est faible.
Parce que sinon vous sauriez combien le système complexe des temps en français pose des difficultés à nos élèves. Heureusement qu’on est là pour les guider contre les abrutis dans votre genre qui les pondent sans s’en occuper ou en leur fourrant dans la tête les idées aberrantes que vous postez ici…
Vous êtes une vraie nullité, mon cher ! Même pas capable d’élever des enfants en plus ! Mais ça cause, ça cause, ça dégoise toute la sainte journée, tous ces lilliputiens de la lecture.
L’objet de la haine suppose que l’on ait une forme de considération pour lui.
On n’a pas raison ou tort. C’est l’idée que l’on se charge de présenter qui est vraie ou fausse
c’est puissant sergio ! c’est tout l’abime de la métaphysique que tu ouvres sous nos pieds..du coup vaut mieux que ça soit l’idée..ça flotte plus ou moins
Bon, la « veillée des chaumières », je suis un brin méprisante, là. Ce que je veux dire, c’est que j’attends une littérature qui intègre ces lignes qui ont bougé dans les relations entre hommes et femmes (occidentales, of course), qui rende compte du « sortir du champ », comprenez-vous, Paul ? Sortir du champ de l’aventure amoureuse, par exemple. Oh, ce n’est pas que ce champ-là soit « impertinent », c’est surtout qu’on ne peut plus y confiner une femme. De l’air ! Ouvrez-moi ces fenêtres ! Aérez-moi la littérature ! Qu’aspirée comme par un courant d’air chaud, elle se mette à flotter au-dessus de nos têtes, pour mieux ouvrir nos crânes et voir, d’en-dessus, ce que ces curieuses boîtes contiennent !
« On voit que vous n’êtes pas professeur en tout cas. Il est même certain à vous lire que votre niveau d’instruction est faible »
Le votre est nul, raison pour laquelle vous enseignez à un âge avancé dans les petites classes de collège, en bon minable que vous êtes. Mais le plus grave, c’est la sottise de vos commentaires et votre absence totale de maîtrise du français.
Eh ! Exactement !
La majorité des commentaires concerne mon humble personnage !
Je cristalise à moi tout seul toute votre haine, mes petits chéris. Je suis au top du top du type haï par toute la foule aigrie des nullards.
Ah, faut voir ça ! Un sacré spectacle.
D’un côté des commentaires archis nuls sur la littérature romanesque. D’un niveau pour le coup en effet d’un livre de classe pour élèves de 5ème. Heureusement que les professeurs sont quand même là pour relever le niveau de Popaul !
De l’autre des commentaires extrêmement haineux qui en oublient la littérature et la vérité.
Le niveau monte comme dirait l’autre…
Au dernier de la classe dit: 10 septembre 2014 à 15 h 58 min
« On voit que vous n’êtes pas professeur en tout cas. Il est même certain à vous lire que votre niveau d’instruction est faible »
Le votre est nul, raison pour laquelle vous enseignez à un âge avancé dans les petites classes de collège, en bon minable que vous êtes. Mais le plus grave, c’est la sottise de vos commentaires et votre absence totale de maîtrise du français.
____________
Non ! Ça ne prouve strictement rien. Ça montre simplement que vous êtes un pauvre crétin qui ne connaît strictement rien à l’enseignement. Ça vous classe parmi les illettrés, c’est tout. Et tout le monde peut le voir !
Le niveau monte comme dirait l’autre…
rapport à l’air chaud qui te monte du béanrd sic à la tête dracul
Je ne dirais pas que je suis un savant. Ce serait déplacé et ce n’est ainsi que je me vois. Mais je suis un homme extrêmement cultivé. Et assurément le plus cultivé de ce blog. Le plus intelligent aussi. Le plus riche intérieurement. Et le meilleur humainement.
Bref, je me demande ce que je fais là…!
Et tout le monde peut le voir !
il peut le voir!
t’es qu’une star d’une bande de con nullard dracul..tu performes plus que nous et tu la ramènes sic
bouguereau dit: 10 septembre 2014 à 15 h 56 min
sous nos pieds
A ce moment-là, faut y aller à skis. Mais des beaux des french, hein ! Pas de la camelote U.S…
Bref, je me demande ce que je fais là…!
t’en vas pas sec dracul ! reste sic..sans toi on est perdu
faut y aller à skis
t’as interet a farter de tout une plaquette de beurre dirait clopine..sinon ça srait trop a sec (sic)
Plus personne à haïr, ça ferait un vide…
AAAAaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
« De l’autre des commentaires extrêmement haineux qui en oublient la littérature et la vérité. »
Parler de vous, c’est évoquer Philippe, dans Le Banquet de Xénophon, Sébastien Chicot, dans La Dame de Monsoreau ou Les Quarante-cinq d’Alexandre Dumas, Vassia(Henri Troyat), Wamba, dans Ivanhoé de Walter Scott, Tiel Wetzweiler dit « Le Glorieux », dans Quentin Durward de Walter Scott. Des bouffons.
ce que vous appelez spectacle,w, nous l’appelons ICI parasitisme.
MC
Cet enfoiré d’Arnaud enfile Hypetie !
Ah, mais pas du tout ! dit: 10 septembre 2014 à 16 h 13 min
Sébastien Chicot, dans La Dame de Monsoreau ou Les Quarante-cinq d’Alexandre Dumas
Ces bouffons étaient probablement des politiciens très avertis, montés « par le rang » et rendant de rudes services au roi et donc au pays. En plus Chicot, dans les Dumas, met sans barguigner les mains à la plâtre…
moi, je n’est de haine pour personne… mais que du mépris intense pour bougue-rot et JC
Quelque chose m’a gêné dans cette phrase:
« Et vous voudriez qu’avec une disposition pareille, j’assume la posture objective de la lectrice ueda ? »
Le rouge au front.
Taquin oui, effronté non.
vous dites clopine, « j’attends une littérature qui intègre ces lignes qui ont bougé dans les relations entre hommes et femmes (occidentales, of course), qui rende compte du « sortir du champ », comprenez-vous, Paul ? »
je vous comprends , je vous entends même citer beauvoir et Woolf,Carson mac cullers, -bien ! – mais quelle liste fabuleuse de femmes qui ont érit dans le XX) siècle.. et écrivent aujourd’hui.. de violette leduc à Nina bouraoui, et de doris lessing à la tres grande Flannery O connor,-immense !..- et je prends les femmes de langue allemande que je connais mieux et que j’apprécie : d’ Ingeborg bachmann, à ’ Elfriede jelinek, Ilse Aichinger(autrichienne merveilleuse hélas pas traduite en France..) et à une des plus étonnantes : Christa Wolf (tout lire d’elle..) oui, il me semble que les lignes bougent beaucoup dans la littérature européenne.. grâce aux femmes.. bientôt je vous parle de la turque Tezer Ozlü (sur mon blog) ,donc allez
chez votre libraire ou dans la bibliothèque de Rouen..
Il faut attendre un peu après c’est bien :
Neuf femelles hystériques, malades des nerfs : FEMEN relaxées
Trois vigiles faisant leur travail dans la cathédrale chrétienne : amendes…
Bravo les socialistes !
17 h 09 : Notre-Dame de Porquerolles !
Si je ne connais pas Nin Bouraoui et que j’attends de vous entendre parler de Tezer Ozlu, les autres me sont familières (dont deux grâce à vous !) : voyez, je m’attendais à n’être pas du tout comprise,à ce que vous défendiez une écriture que vous trouvez plaisante (moi je persiste à la trouver inutilement alambiquée), et puis voilà que vous comprenez ma pensée ! Ca me fait tant plaisir, Paul !!!
PS : Doris Lessing est une grande, avec qui j’ai pratiquement passé tout un hiver ; son écriture est limpide et elle est d’une honnêteté (revenir sur ses anciens engagements, juger avec lucidité les gourous communistes (y’a pas d’autre terme) de l’époque, pointer les dérives des babas cools, tracer le portrait de femmes vieillissantes, être toujours juste) que je qualifierai d’impitoyable. Ce que j’ai été contente, le jour où elle a reçu le nobel, nom de dlà !)
Bon, ce n’est pas pour cela qu’il faut s’empêcher d’écrire des romans d’amour si on en a envie, hein. Monsieur Reinhardt trouvera son public, si ce n’est déjà fait. Mais justement, Paul, la confusion des genres dont parle notre hôte ci-dessus, n’est-elle pas due à cette désaffection de la littérature pour les histoires d’amour, comme si le genre littéraire ne pouvait témoigner d’une société où la place de la femme (définitivement je l’espère) se dégage des anciens carcans, à toute vitesse ? Je pose la question, je n’ai pas la réponse. Surtout pas. Mais les livres qui m’intéressent le plus aujourd’hui, outre ceux issus de mains féminines, sont ceux qui parlent de l’amour « autrement ». Dans « Léonard et Machiavel », Patrick Boucheron parle de l’histoire avec le même vocabulaire, sensuel et amoureux, d’un Stendhal parlant de l’amour. Du coup, mes yeux s’éclairent quand je le lis.
Peut-être ai-je tout faux ? En tout cas, si j’étais notre hôte, moi je voterais Salvayre, évidemment. Mais bon.
…
Nous venons de réussir un petit exploit, Paul. parler d’un livre dont nous ne sommes pas d’accord, sans nous insulter, et en y trouvant plaisir. Ce ne serait rien, si cela ne se passait pas ici, ce lieu qui est l’exact équivalent de la foire où l’on s’empoigne !
Non, je ne connais pas non plus la non-traduite !
Clopine en FEMEN,
Paul Edel en vigile,
Les lecteurs dans l’ennui.
Quel merdier !
Clopine dit: 10 septembre 2014 à 17 h 18 min
la foire où l’on s’empoigne !
Le mieux c’est avec du poisson comme Ordralphabétix…
Paul Edel 16 h 58 : et n’oubliez pas la délicieuse Alice Munroe !
Brève,
et conne à la fois
tu crois qu’on ne t’as pas reconnu, JC, tu suintes de partout
Brève, en voulant me faire passer pour une autre, vous êtes pour ces connes de FEMEN ! Saloperie d’hystériques sacrilèges. Vous n’êtes qu’une merde, irrespectueuse de la religion catholique !!!
Clopine dit: 10 septembre 2014 à 17 h 18 min
Peut-être ai-je tout faux ?
Mais comment ça,
absolument pas,
vous êtes bien trop intelligente, compétente, brillante, subtile et sensée pour qu’une telle pensée puisse germer dans nos pauvres esprits.
Cependant que cette idée puisse vous effleurer est une belle preuve de votre indéniable supériorité intellectuelle,
et une grande nouveauté pour moi.
la sensualité n’est pas le dada de notre hôte : lisez ceci plus haut :
une étreinte est l’occasion d’un baiser de quatre-vingt dix minutes, un exploit qui n’est heureusement pas délayé pendant quatre-vingt dix pages
une littérature à contre courant pourrait fort bien relever un tel défi lol, n’est – pas jc ?
« Je n’ai pas lu Nin Bouraoui » Joli Lapsus . deux auteurs pour un seul.
Et ceci:
« Du coup mes yeux s’éclairent quand je le lis.
Et moi, les bras m’en tombent! Bon, je sors.
MC
oui, tu suintes, JC, tu dégoulines, tu exsudes, tu gougouttes de HAINE (de F-haine)… et en plus tu es un couard de première bourre comme l’autre vieux bourrin, le canasson essoufflé, ton pote bougue-rot
Impossible que ce type enseigne… dit: 10 septembre 2014 à 15 h 43 min
Corrigeons la copie de l’éternel redoublant du blog:
« Mes commentaires du dernier roman de Paul Edel N’ETAIENT PAS du tout de ce niveau que vous dites. Mais au contraire fort pertinentS. La preuve c’est que Popaul les a confirméS »
franchement quand il se laisse aller!
Widangeur n’est pas cultivé mais c’est une encyclopédie ……..ou un dictionnaire!
moi je l’ai lue Nina Bouraoui, ..
Qu’il soit bref ou brève, Chaloux sera toujours un nain.
je lis beaucoup mais je n’ai jamais rien lu de MCourt, alors les bras ne me tombent pas
« j’attends une littérature qui intègre ces lignes qui ont bougé dans les relations entre hommes et femmes (Clopine)
Sur le prestigieux blog à passou, Baroz avait déjà causé de lignes qui bougent en littérature. C’était à propos de Tony Duvert. ça s’est mal passé.
Chaloux c’est Chaloux et moi c’est moi et le faux-jeton c’est JC (autrement dit JCouillemolle)
moins de 10 posts et je suis dans le top ten des nuls de Widangeur, je l’embrasserais, que du bonheur! vous êtes à la littérature ce que Valérie le Damidot est à la décoration d’intérieur, alba! merci! merci!
bref dit: 10 septembre 2014 à 18 h 33 min
moins de 10 posts et je suis dans le top ten des nuls de Widangeur
Les nains intellectuels ont bien le droit à leurs petits bonheurs.
Qu’aspirée comme par un courant d’air chaud, elle se mette à flotter au-dessus de nos têtes, pour mieux ouvrir nos crânes et voir, d’en-dessus, ce que ces curieuses boîtes contiennent !
ça fait dingdong la laine clocloche épititouille
Toise dit: 10 septembre 2014 à 18 h 46 min
bref dit: 10 septembre 2014 à 18 h 33 min
moins de 10 posts et je suis dans le top ten des nuls de Widangeur
Les nains intellectuels ont bien le droit à leurs petits bonheurs.
une question mon petit Toise, serais tu un des heureux élèves de ce brave Widangeur ou le maître lui même, peut être??
Le mieux c’est avec du poisson comme Ordralphabétix…
ou comme en Normanderie, en tournoyant le cochon par la queue
« Un lecteur professionnel est, avant tout, quelqu’un qui sait quels livres ne pas lire. » Giorgio Manganelli
« Monsieur Reinhardt trouvera son public, si ce n’est déjà fait. »
Clopine écrit comme jadis la journaliste du Monde Josyane Savigneau. Un mauvais souvenir.
Cet après-midi, les gens sur la plage ne lisaient pas beaucoup. Un couple âgé avait chacun un exemplaire d’un polar suédois en Poche. Une femme très bronzée lisait un gros livre dont je n’ai pas réussi à lire le titre. Je ne me suis pas approché, de peur qu’elle ne croie que je mate sa poitrine topless. Médiocre résultat du sondage du jour.
Phil merci de faire bouger les lignes dans le sens qui va bien
Du côté des Chums.
« A la grande exposition universelle de Chicago en 1893, le cadavre desséché d’un nouveau-né indien était exposé devant 21 millions de visiteurs. Et le reste ? »
Le reste ?
c’est tout ce qui compte vraiment. La littérature, la vraie.
« It’s always night, or we wouldn’t need light. » – Thelonious Monk
http://against-the-day.pynchonwiki.com/wiki/index.php?title=ATD_1-25
Merci Paul Edel d’avoir rappeler Jelinek, toujours bienvenue.
Je ne sais qui vous prenez pour moi, mais je ne suis ni au chômage ni à la retraite et j’arrive tout juste. Donc… pas moi.
@Clopine, je suis allé acheter le Quignard à midi, et j’ai lu les quelques pages que vous aviez évoquées, très surpris par ce qu’il fait de cette anecdote -du moins au début du livre-. Il est vrai qu’il se réfère non à Bède mais à La Légende Dorée, pieux et sublime recueil. J’irai ce soir, si j’en ai le temps, à la pêche à la Pléiade, pour lire ce texte. Ce nouveau volume, dont je n’ai encore lu que les vingt ou trente premières pages, me semble d’un côté plus didactique et plus tranchant que les autres, mais aussi plus maigre, presque étique. La bête a vu le désert.
Cela dit, je ne crois pas que l’ouverture dont il parle ensuite et qui est assurément la grande aventure de tout homme réfléchi, relève uniquement de la lecture. C’est un accord, – de septième, de dixième, de treizième? Il en oublie en route. Peu importe d’ailleurs accord ou désaccord, on apprendra beaucoup, il ouvrira des routes.
(Pour le reste, que les petits batailleurs s’amusent avec leurs maigres moyens. Je m’amuse aussi beaucoup de mon côté. Comme jamais.)
Lichtenberg transcrit par boumou semble imprimé en jaune.
Ma sentence préférée reste définitivement celle-ci :
« Le cuisinier de Néron ressemblait à Néron ». (Corti).
L’échange Paul Edel-clopine m’a beaucoup intéressé. Ce serait bien d’y revenir.
Bonne soirée,
d’avoir rappelé Jelinek; parfois, dans cette féminité « militante » qui braille ici, elle fait contre-poids…
Michel Houellebecq garde un oeil attentif et précis sur cette rentrée littéraire (dont il reste de loin l’observateur actif, ne serait-ce que par son actualité cinématographique) :
« Malgré sa présence dans les salles obscures, Michel Houellebecq garde néanmoins un œil attentif, sinon curieux, sur cette rentrée littéraire. L’écrivain confesse que les secrets du Goncourt continuent de lui échapper. Ainsi ne semble-t-il pas comprendre l’absence du livre d’Emmanuel Carrère, Le Royaume, dans la premier liste établie par les jurés de Drouant. » (Figaro)
Enfin ce qui compte surtout c’est que Vuillard se fasse oublier, lui et ses clichés.
Attention , le compteur va remonter dans les tours.
« Monsieur Reinhardt trouvera son public, si ce n’est déjà fait. »
Savigneau, passée directement de Châtellerault à la rue du Bottin, n’a jamais eu le temps de donner du « Monsieur ».
C’était l’apanage de Matignon, qui parlait aussi de livre « mince comme des lèvres serrées ».
On rigolait bien à cette époque.
moins quand on avait les lèvres gercées, Phil, malgré l’envie.
Phil dit: 10 septembre 2014 à 18 h 26 min
« j’attends une littérature qui intègre ces lignes qui ont bougé dans les relations entre hommes et femmes (Clopine)
Sur le prestigieux blog à passou, Baroz avait déjà causé de lignes qui bougent en littérature. C’était à propos de Tony Duvert. ça s’est mal passé.
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Le plus drôle, ici, c’est Phil. L’air de rien. Il en envoie de sévères qui touchent leur cible. Voir dégât colatéral.
Mais celui qui m’a fait le plus rire ce soir, c’est Chaloux. Lui, en général, il en rate pas une. Pas manqué non plus cette fois :
« L’échange Paul Edel-clopine m’a beaucoup intéressé. Ce serait bien d’y revenir. »
Et quand on regarde ce qu’ils se sont dit : ça se résume à rien. À des déclarations hyperboliques infantiles du genre « immense Flannery OConnor » ! Contenu critique égale à zéro ! En plus, la Flannery, la catholicarde, pas si terrible ! Je me souviens qu’on en discutais avec Pierrette Fleutiaux quand j’étais au lycée Chaptal où elle officiait comme prof d’anglais, elle la trouvait nulle, la Flannery… Ah, il a raté sa vocation, le popaul, l’aurait dû faire curé ! (il adore la curaillerie (Bernanos, Flannery). Lui manque juste la soutane…
Et pis, j’aime bien : des attardés mentaux qui sont béats d’admiration parce que des femmes écrivent alors que les femmes ont envahi toutes les professions… Faut le faire tout de même : y a qu’en France qu’on a la possibilité de lire pareilles âneries.
Alba, votre existence n’ l’air ni très variée ni très drôle. Content de vous avoir fait rire.
des journées entières dans les arbres dit: 10 septembre 2014 à 19 h 45 min
Phil merci de faire bouger les lignes dans le sens qui va bien
Merci Paul Edel d’avoir rappeler Jelinek, toujours bienvenue.
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Ce qui est drôle aussi, c’est cette façon de remercier sans cesse pour un oui ou pour un non, à propos de n’importe quoi ! Ça me fait penser à Hollande qui remerciait toute la foule après son élection. On voit où on en est aujourd’hui…
Une véritable époque d’abrutis patentés. Il y aurait quelque chose à écrire sur ces « merci » qui ne signifient rien. On brasse du vide mais on est content entre soi. Et faut voir le niveau ! La France qui remercie quand tout s’écroule. Très très drôle !
ueda dit: 10 septembre 2014 à 14 h 48 min
« le garde-champetre »
N’oubliez pas, Abdelkader, que notre camarade JC a su un jour vous saluer comme « une des grandes voix musulmanes » de ce blog.
C’est un éloge qui vous laissera un peu circonspect mais qui partait, j’en suis sûr, d’un excellent sentiment.
Tain…aucune limite a vos talents…polyglotte en chinois et maintenant exhibant un esprit que vous envierez le garde-chambrette lui-même…si si…meme s’il a du lire quelque part cette réponse de John Lennon a un journaliste qui lui demandait si Ringo était le meilleur batteur du monde :’Ringo is certainly the best drummer in the Beatles’…
Fuckwit…
« les femmes ont envahi toutes les professions » Widergänger
« Envahi »… au détriment des mecs comme vous qui, du coup, rament tant et plus face à cette concurrence déloyale ! C’est pas drôle pour un beauf de constater que les nanas sont plus compétentes que lui…
Un livre qu’il juge «très bon». Le Goncourt 2010 ne peut s’empêcher de préciser que c’est une «connerie» qu’il ne soit pas en compétition: «Teresa Crémisi (patronne de sa maison d’édition, Flammarion, ndlr) m’a dit qu’il ne pouvait pas y être parce qu’il avait eu le Renaudot ou un truc comme ça.»
Merci Michel, de lutter contre les ténèbres.
Oui, bon, en même temps, avoir un cuisinier péruvien c’est devenu d’un commun…
C’est pas drôle pour un beauf de constater que les nanas sont plus compétentes que lui…
Quelqu’un pour twitter l’académie et leur proposer l’entrée d’une beauve dans le dico?
Déjà un prix de consolation pour Emmanuel Carrère :
«Le Royaume» d’Emmanuel Carrère reçoit le prix littéraire du «Monde» http://bit.ly/1rIhyvl
À journal de chiotte, livre de merde.
Au lieu d’aller renifler les éructations de ce vieillard avant l’âge, vous feriez mieux de lire ce roman qui raconte l’histoire d’un peintre, Jules Morgan, devenu aveugle à la suite d’une blessure reçue à la Première guerre mondiale ; un roman sensible, une écriture forte :
— Gwenola Leroux, Nuit bleu horizon, Le Temps des Cerises, 1999.
Un extrait :
« On frappait à la porte… Morgan décida de ne pas ouvrir puis se souvint que c’était le jour du ménage. Il se sentit encore plus las à l’idée de devoir supporter une présence, surtout Agathe à qui il faudrait faire bonne figure. Il soupira mais alla machinalement ouvrir. Une odeur de lait chaud mêlée de relents de baratte l’enveloppa, se transformant en blancheur, tout en dégradé de la nacre au beige rosé quand le blanc est cassé par la terre de sienne : l’odeur d’Agathe. Morgan en eut un haut le cœur. Pourtant la douleur s’endormait sous l’effetd e l’aspirine, il se sentit presque heureux. D’habitude Agathe s’affairait en bavardant, se plaignant de l’augmentation du sucre ou de la rareté du beurre qu’on ne trouvait plus qu’au prix fort, racontant le bal du samedi soir où elle avait dansé le charleston, mais aujourd’hui elle travaillait en silence. Morgan avait toujours imaginé Agathe ronde et blanche, blonde, avec des jambes lourdes et des marbrures rouges sur la peau, mais aujourd’hui au milieu de ce silence, il doutait : les représentations qu’il avait du monde et des gens étaient arbitraires, la rue, le quartier avaient peut-être été totalement transformés depuis la guerre, sans que personne ne juge utile de l’en informer. »
Eh bien, « that’s entertainment ! »
Bonsoir.
http://www.youtube.com/watch?v=PDbPrOuXq2s
Djedla, Flammarion a été racheté par Gallimard, tout va pour le mieux dans le monde de l’édition.
« la tête à toto dit: 10 septembre 2014 à 19 h 40 min »,
Mec, c’est là, l’avantage d’être marin.
Avec le jumelles…
Ou ornithologue,…
Panama, écluse de Miraflores, des bancs plein de donzelles entrain de regarder les bateaux, ces bateaux qui viennent du bout du monde !!!
De toutes nationalité, de toutes couleurs.
Les marins sont contents, la passerelle aussi.
Après douze jours de mer, de Tokyo, en orthodromie, avec à mater que des manchots dans une tempête de neige au large des Aléoutiennes,
Panama, son canal, et ses petites donzelles sans abris par 90% d’humidité,…
Et ben cela réchauffe.
P’tain de Merdre, mater un nichon après 12 jours de mer,!!! !! !.
Et à la jumelle !.
Un pavé dans la mare jeté par un philosophe arabe et personne ne réagit ?
« l’ancien ambassadeur tunisien Mezri Haddad expliquant à BHL que le danger, ce n’est pas le djihadisme ou tout autre excroissance des Frères musulmans, mais bien l’islamisme en soi tenu pour un néo-fascisme. »
Barozzi, cela n’explique en rien cette mise au ban, ici, du livre de Carrère.
play it a gain
http://www.youtube.com/watch?v=BZ2AsOs7ftU
Clopine, je vous ai vue en train de faire du kayak. Vous portiez un très joli gilet de sauvetage d’un orange très seyant. Je tenais à vous faire ce compliment, car vous les aimez et je ne me prive jamais de faire plaisir.
Les bœufs qui défendent l’indéfendable ! En plus, ils n’ont pas lu le bouquin de Carrère, ces cons.
Enfin un philosophe arabe qui dit la vérité sur l’islam ! Ça nous change de la langue de bois habituelle et du consensus mou de l’occident pour nier l’évidence.
« that’s entertainment ! »
J’aime beaucoup
Saint-Pierre des Cuisines ( rare !)
http://www.youtube.com/watch?v=_PgmBALu7BA
…
…çà y est,…c’est prodigieux le savoir faire des dentistes aujourd’hui,!…
…
…vraiment, tout c’est bien passé pour le mieux,!…
…j’en revient pas,!…pratiquement une heure sous ses mains,…travail d’orfèvre il faut le reconnaître,…
…
…il y a de quoi me réjouir, sans fiction,!…etc,!…
…
« Or il suffit de quelques semaines au visiteur
le moins averti pour faire un certain nombre de découvertes qui ne laissent pas de l’intriguer.
Tantôt c’est une sculpture discrètement placée dans le coin le plus obscur d’un rétable, et dont le paganisme éclate soudain aux yeux de qui la découvre. Tantôt ce sont des Indiens, catholiques depuis des
générations, qui, sous la lune, au fond d’un cimetière, se livrent à d’étranges rites. Tantôt c’est la ,nana, la vieille bonne indienne, qu’on entend’ raconter aux enfants de curieuses légendes où les aventures de
D,iosito — le petit Jésus — se mêlent à celles de la déesse du Maïs.
« Bah, dira-t-on, dans n’importe quelle province française ne« Bah, dira-t-on, dans n’importe quelle province française ne trouve-
t-on pas des traces de superstitions antérieures au christianisme ? Et
les tailleurs de pierre des églises gothiques n’en ont-ils point pris à leur
aise, souvent, avec l’orthodoxie et la décence ? » Sans doute, mais, différence essentielle, nous avons derrière nous quinze cents ans de christianisme, et le Mexique quatre cents. »
http://quetzalapanecayotl.files.wordpress.com/2012/03/serpent-c3a0-plumes-sur-le-temple-de-quetzalcc3b3atl-teotihuacc3a1n.jpg
…
…vraiment magnifique de sourire à plaines dents,!…
…
…quelqu’un sur le fil, à me mettre sous l’Adam,…
…etc,!…
De l’auteur du texte donné ci-avant:
Après la guerre, il est secrétaire général, puis directeur de l’Institut français d’Amérique latine à Mexico. Il sera assistant d’anglais, puis professeur de littérature comparée à la Faculté des lettres de Bordeaux (1951-1970) et créateur du Centre de sociologie des faits littéraires en 1960 (devenu ensuite Institut de littérature et de techniques artistiques de masse, ILTAM).
Il est le directeur scientifique du Dictionnaire international des termes littéraires (DITL)2, projet permanent fondé par l’Association internationale de littérature comparée poursuivi, à partir de 1988 par Jean-Marie Grassin.
Robert Escarpit, eégalement collabotateur du journal Le Monde.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1948_num_3_3_1646
fatigue…
Robert Escarpit, également collaborateur du journal Le Monde.
Bonne nuit.
et avec la bouée c’est doublement sécurisant.
…
…Oui,!…& c’est l’état qui se doit de subventionner,!…ces recherches parallèles,…aux débilités des pouvoirs en place,…
…nos Opus-Dei,!…en manque,!…la culture le noviciat,…vivre aux frais de la princesse pour pomper son Charlemagne aux Amériques,!…
…nuits de noces,…et Lunes de miels,…
…le bordel archéologique, un sophisme en plus,!…
…etc,envoyez,!…
pour SAG, ce sera 300€ le détartrage itou – pas de faveur en régime
Tire-bouchon et bobinette dit: 10 septembre 2014 à 18 h 59 min
en tournoyant le cochon par la queue
Bon mais faut du répondant, hein ! Et pas des muscles en crème…
…
…@,…la fendue à roulettes,…22 h 37 mn
…pas, du tout,…si cher,!…
…avec le système de mutuelle et cotisation en ordre,!…ici, vous pouvez choisir votre dentiste – privé,!…
…il faut tomber sur un bon,!…et le gardé,!…
…etc,!…
…
…@,…à 22 h 36 mn,!…
Une idée de lecture pour la plage. Demain, il va faire très beau – et le Pakistan est une carte géopolitique très importante :
« Félicitations à Christophe Jaffrelot pour son Prix du livre géopolitique de Brienne. Le Syndrome Pakistanais (Fayard) est une somme. » (Bruno Tertrais)
Le sans-culotte Jean-Luc Mélenchon, dirigeant du Parti de gauche, a fait ce mercredi une déclaration d’un bon sens redoutable à propos de Hollande et des « sans-dents » :
« François Hollande pleurniche: Valérie Trierweiler mentirait, il n’aurait pas moqué les « sans-dents ». Qu’il se demande plutôt pourquoi tout le monde la croit! » écrit Jean-Luc Mélenchon dans un communiqué.
Giovanni Sant’Angelo dit: 10 septembre 2014 à 22 h 52 min
…
…@,…à 22 h 36 mn,!…
Que vous ayez capté le code de ma carte première m’indiffère et ne vous dispense pas de payer par vos moyens propres les soins dentaires dont vous avez besoin
@Baroezzi, je suis d’accord a 110% avec ce monsieur…seulement, pourquoi il se casse la tete a l’expliquer a BHL et ensuite, ce mollusque d’Alba saute dans le train en marche et ne s’apercoit pas qu’on parle d’islamisme et non d’islam…quel con mais quel con! dire qu’il enseignait jusqu’a recement a vos enfants…enfin, a ce que je comprends, il aurait ete vire pour abus de Wikipedia et crimes contre la grammaire et literrature francaises…il etait grand temps…
…
…@,..la fondue à roulettes à 23 h 10 mn,…
…
…mais, bien sur qu’il faut payer par ses moyens propres les soins dentaires,…il n’y a pas d’alternative,…pour tout nos achats,!…
…
…ce qui reste curieux, c’est la limite de 2.500 €uro,…par Paypal,…dans les achats, sur eBay,…
…bien choisir,…avant,!…
…ou tout régler après , de nouveaux avec nouvelles cartes,…c’est gay’s d’être économe surtout sans goûts d’investissements autonomes fiables,…sans remettre à l’épargne ² chûtes des Bourses à trop y tirer,!…Ah,!Ah,!…sans plus,!…
…envoyez,!…etc,!…
2500€ à deux
autrement on serait riches dès 4000
il me semble que nous avons déjà eu cette discussion ; parfaitement anécdoctique, au demeurant
la tique ? qui s’en souvient ?
…
…mais, dans un premier temps, la limite par carte est réellement de 2.500 €uro,!…
…
…maintenant,…il se peux qu’il y a , des collusions, ou des règlements différents pour les très grandes fortunes, dont je ne fait pas partis,…
…
…l’essentiel est d’être très satisfait , à son niveau , par genres d’approches & de convictions sans leurres,…injustifiés,!…etc,!…
…
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