De quoi se réjouir de la confusion des genres
Le roman sans fiction est devenu un tel phénomène que L’Orient littéraire juge même qu’il « phagocyte la rentrée ». On en a parlé ici-même il y a peu, mais les occasions d’y revenir ne manquent pas, surtout ci c’est pour parler de livres qui valent le détour. N’allez pas y voir une résurgence du bon vieux réalisme ou une manière de néo-naturalisme. Pas vraiment une école, pas encore une discipline. Plutôt une famille d’esprit. Il est vrai que leurs livres ont un air de famille : des récits très écrits qui intègrent l’Histoire avec une grande hache, comme eut dit Georges Perec, à leur propre histoire. Le procédé est certes ancien mais, devenu récurrent depuis plusieurs années, le phénomène s’accentue en cette rentrée littéraire. Sauf que cette fois, il n’est plus hanté par les deux guerres mondiales et l’Occupation. Tout en se focalisant sur le vécu de l’écrivain, le spectre s’élargit à plus larges horizons dans le passé.
Patrick Deville, l’un des plus attendus, est l’aîné de la bande. Il avait frôlé le Goncourt il y a deux ans ; pour le cinquième volume de sa fresque, qui court de 1860 à nos jours (Pura vida, Equatoria, Kampuchéa, Peste & choléra), il part à nouveau d’un lieu, cette fois le Mexique, et récidive avec Viva (216 pages, 17,50 euros, Seuil) lequel paraît, hélas, un peu en-deçà. A croire que la méthode Deville montre ses limites, et que celles-ci souffrent de trop enchaîner le récit à la recherche documentaire. Une trop grande densité de noms et de références géographiques gâchent la poésie de l’évocation. De quoi étouffer le récit et lui enlever sa légèreté dès qu’il décolle. Traven & Cravan, de même que Lowry & Greene ne se sont pas rencontrés, mais pour ce non-événement, l’auteur les gratifie chacun d’un chapitre. Celui consacré à l’épisode Artaud est très bon. C’est à se demander si désormais le genre renouvelle moins le roman que la biographie ou le récit historique. Cette lecture apprend des choses, intrigue, fascine mais ne fait pas rêver car elle est sans mystère, sans non-dit. Le premier dialogue arrive enfin page 45. En bref, cela manque de fiction, ce qui est d’autant plus regrettable que l’écriture est là, le souffle aussi. Le malaise naît du statut incertain de ce vrai faux roman ou inversement. Un tel livre a le mérite collatéral de nous confronter à la question : que reste-t-il d’un roman une fois qu’on l’a débarrassé de sa part de fiction ? Pas toute, mais presque. Au vrai, on aurait aimé que tout soit de cette encre :
« Des Indiens dorment assis dos au mur, le grand chapeau abaissé sur leur visage. Le Consul écume les sombres cantinas aux tables poussées contre les murs. Des bougies meurent dans les goulots de bouteilles de bière Moctezuma dernier empereur aztèque de Tenochtitlán. Il invoque le souvenir d’Yvonne comme un simulacre tissé des filaments du passé. Puis elle est revenue, un an plus tard, le Jour des Morts. C’est le privilège du roman de ramener les amours enfuies. Elle est entrée à l’aube cuivrée dans la pénombre de l’hôtel où le Consul a passé la nuit accoudé au comptoir, et c’est une scène d’Apparition des saintes Écritures. Le Consul la voit sans y croire, « légèrement aveuglé sans doute par la lumière du soleil qui dessinait une silhouette un peu floue, debout, là, devant lui, main passée dans la poignée d’un sac rouge vif tenu serré contre la hanche ». Tous deux mourront au crépuscule.
On poussera le Consul avec une balle dans le ventre au fond de la barranca après l’avoir traité de Bolchevik. »
L’auteur a tenu à ce que « roman » figure en couverture et que les dialogues soient authentiques. Cette fois, Patrick Deville ne s’attache pas à suivre Alexandre Yersin dans sa quête du bacille de la peste, mais Trotsky, personnage on ne peut plus romanesque considéré à l’égal d’un écrivain, fondant la IVème Internationale dans sa fuite, et Malcolm Lowry vacillant au-dessous du volcan, les deux saisis dans la même effervescence révolutionnaire qui secoua le Mexique dans les années 30. L’originalité tient évidemment à l’écriture ; car les faits rapportés, puisés aux meilleures sources, sont ruminés par l’auteur en situation, mettant ses pas dans ceux de ses personnages et les accompagnant dans leurs doutes et leurs rêves. Cela dit, même lorsqu’un livre de Patrick Deville déçoit une attente, il demeure tout de même au-dessus du lot de nombre de bluettes nombrilistes comme toute rentrée en charrie. Car sa manière d’opérer une saisie poétique du réel est sans équivalent.
Il faut croire que l’intrusion de l’auteur comme personnage dans le corps même du récit est la marque de fabrique de ces livres. Il s’y meut comme un peintre dans le motif. C’est aussi le cas indirectement de Lydie Salvayre : dans Pas pleurer (273 pages, 18,50 euros, Seuil), qui se déroule en pleine guerre civile dans la Barcelone de l’été 1936 prise dans le souffle libertaire, elle noue le récit de sa mère Montse à la prise de conscience du Bernanos des Grands cimetières sous la lune. Le point commun entre maman et le grand écrivain? Le courage. le même courage : celui d’oser changer de camp, manière de reconnaître que l’on s’est trompé, jusqu’à prendre le risque de témoigner contre ce et ceux qui étaient son camp. On peut écrire un livre à charge contre l’Eglise sans qu’il ne cède en rien aux canons de l’écriture romanesque, même si parfois cela sent un peu le dossier. Même si la charge est rude :
« L’Eglise espagnole est devenue la Putain des militaires épurateurs (…) l’infâme institution (…) etc « .
L’imprégnation des (re)lectures de Bernanos probablement, aussi grand pamphlétaire qu’il fut un puissant romancier (si au moins Pas pleurer pouvait engager ceux qui ne l’ont jamais lu à y aller voir, ils n’en reviendraient pas – d’autant que le Castor Astral le réédite avec soin). Ce qu’il a fait en faisant le jeu des Républicains, lui qui s’était rendu en Espagne naturellement acquis à la cause nationaliste, Bernanos ne l’a pas fait par goût du scandale mais parce que sa conscience chrétienne fut profondément révoltée par la manière dont l’Eglise avait prêté main forte au crime. S’il lui en a coûté de le dénoncer, il lui en aurait coûté bien davantage de n’en rien faire.
Il ne s’en dégage pas que le son d’une conversation d’outre-tombe de deux voix entrelacées mais une couleur. D’aucuns regretteront que nombre de phrases ne soient pas traduites ; mais enfin, c’est de l’espagnol, pas du sanskrit ! Ils se consoleront en se disant que cet entre-deux-langues, qui correspond bien à la double fidélité franco-espagnole de l’auteur, participe justement de sa musicalité. Encore que, dès l’épigraphe tirée du Quijote, ils risquent de lui en vouloir :
« De qué temes, cobarde criatura? De qué lloras, corazon de mantequillas? »
Rien n’est inventé : la narratrice est bien Lydie Salvayre, c’est de sa mère qu’il s’agit, alors une jeune femme d’une grande force de caractère (une étreinte est l’occasion d’un baiser de quatre-vingt dix minutes, un exploit qui n’est heureusement pas délayé pendant quatre-vingt dix pages !), et du vrai Georges Bernanos. Toute à la violence de son propos, elle se donne pour idéal la charge de Carlo Emilio Gadda contre l’abjection mussolinienne. Ou encore les déchirements d’un José Bergamin, catholique et républicain. Il est de pires modèles. Tout sauf la lâche neutralité d’un Saint John Perse alias Alexis Léger du quai d’Orsay, jouant un rôle déterminant dans la non-intervention. Pas pleurer est un hommage, aussi émouvant que secouant, de la fille à sa mère, cette femme qui fit partie de l’interminable colonne de réfugiés passant la frontière du Perthus à pied au début de 1939 après un long voyage, se retrouvant dans un camp à Argelès avant d’échouer dans un village du Languedoc où elle vit encore ; elle y a passé sa seconde vie, comme la première, à montrer à ces enfants comment affronter les travaux et les jours, mais sans pleurer.
Eric Vuillard est lui aussi bien au centre de Tristesse de la terre (156 pages, 18 euros, Actes sud), son septième livre, aussi dérangeant que Congo (2012) ; mais il accomplit un exploit dans l’ordre de la pudeur et de l’effacement : dans l’Amérique des années 1890, lier l’histoire des spectacles de masse de Buffalo Bill Cody (1846-1917) et celle des massacres d’Indiens sans user du « je » alors que tout part du choc qu’il reçut à la vue d’une photographie. Il s’ensuit une réflexion sur la mystification dont des peuples, soudainement jugés surnuméraires tant par l’Histoire que par la géographie, ont été victimes, le cirque en étant le cadre atrocement idéal. L’auteur n’ignore rien du Wild West Show (800 personnes y travaillaient avec quelques 500 chevaux et nombre de bisons). Si l’on conserve encore une certaine tendresse pour Buffalo Bill, en souvenir nostalgique de nos jeunes années bercées par le mythe, on l’éprouve davantage encore pour le vénérable Sitting Bull, incarnant jusqu’à la caricature son propre rôle sous le chapiteau. Le titre contient le mot « tristesse ». Pour une fois, un titre dit vrai, car bien de cela qu’il s’agit tout au long de ce petit livre, lui aussi, comme le précédent, si dévastateur dans son acte d’accusation. Tristesse de la terre : un petit mot suivi d’un grand. A la grande exposition universelle de Chicago en 1893, le cadavre desséché d’un nouveau-né indien était exposé devant 21 millions de visiteurs. Et le reste ? Wounded Knee et général Custer in memoriam. L’Histoire mise en scène en racontant une histoire pour exalter la conquête de l’Ouest, et stupéfier le public par l’intuition de la mort, quel sanglant barnum ! Tragique au coeur de la société du spectacle et happy end. Allez, that’s entertainment !
Reste à savoir si cette autre manière d’approcher la vérité et de la rendre avec les moyens de la littérature renouvellera le roman, le récit historique ou la biographie. A moins qu’elle soit assez lucide pour demeurer un électron libre. Ne restera plus alors qu’à entériner là aussi la confusion des genres toutes frontières abolies.
(« Le show Buffalo Bill » photo D.R. ; « Trotsky et Natalia Sedova à Mexico city » photo Francis Miller pour Life ; « Colonne de réfugiés espagnols arrivant en France en 1939″ photo Robert Capa ; Sitting Bull » photo David Francis Barry)
899 Réponses pour De quoi se réjouir de la confusion des genres
Je vous conseille d’aller lire sur son site les 101 propositions d’un certain Jean Calbrix, elles sont frappées du coin du bon sens.
Sans oublier le site des numismates gaulliens, pour ceux que les pièces de cinq francs en argent en bon état captivent.
tout-à-fait.
A ne pas confondre avec des sites de miss nues matées qui donnent la gaule, cependant.
en argent massif – scusi
la tête à toto dit: 10 septembre 2014 à 23 h 05 min
Qu’il se demande plutôt pourquoi tout le monde la croit!
Ben pasque toulemonde comme toto est un con.
Vdqs.
Pourquoi ? dit: 11 septembre 2014 à 0 h 25 min
Ben pasque toulemonde comme toto est un con.
Toulemonde, toto et Mélenchon.
Schumann :
De toute façon, ce qu’écrit Mezri Haddad n’a guère d’intérêt. Il se fourvoie complètement dans ses considération sur la différence entre islam et islamisme.
Les musulmans dans leur immense majorité sont des gens pacifiques. Mais l’islam en soi est une religion totalitaire. Point barre.
Les analyses de ce petit penseur ne sont que de peu de valeur face à la pensée d’un Pierre Manent sur l’islam et ce qu’on sait par ailleurs de l’islam.
Il suppose comme tous les ignorants que BHL ne saurait rien de l’islam. C’est aller un peu vite. Comme tous les Juifs, BHL est instruit de longue date de ce qu’est l’islam. Il connaît à la fois les affinités entre l’islam et le Judaïsme pour avoir fréquenté comme tous les juifs les islamologues dont les plus importants sont précisément juifs ! Il les a lu et les a même fort probablement étudiés ! Comme tout le monde. BHL sait parfaitement de quoi il parle. Quand il parle des djihadistes, il a absolument raison de dire que ce sont des fascistes, un peu plus pires que les islamistes de Syrie qui n’en sont pas moins, eux aussi, de sinistres sbires fascistes. L’islam n’a jamais produit qu’une pensée politique totalitaire après Averroès, qui aurait pu orienter l’islam vers la voix qu’a choisie le Judaïsme, la voie des Lumières, mais malheureusement a choisi la vois de l’obscurantisme en persécutant Averroès. Le Guide des égarés de Maïmonide , lui, avait choisi la voie des Lumières, préparant celles qu’allait faire naître Moïse Mendelssohn quelques siècles plus tard. Si Averroès a été persécuté par les siens, les Juifs ont toujours honoré Maïmonide !
Abdelkaka n’est qu’un pauvre bouffon pour agiter des lubies dans le vide sidéral de sa non-pensée de l’islam. Heureusment qu’il y a des Juifs comme moi qui sont professeurs et savants pour dire à ce peigne-cul d’Abdelkaka qu’il déshonore la pensée d’un Averroès. Qu’il lise, ce sublime trou du cul, ls conférences de J. Attali sur Averroès et Maïmonide pour s’informer de la pensée des savants juif et islamique qui ont inventé la liberté en Europe dont ce pauvre taré complètement ignare de sa propre culture bénéficie sans même le savoir aujourd’hui, avec Thomas d’Aquin !
Robert Escarpit, pauvres ignares que vous êtes, est très connu pour avoir écrit Sociologie de la littérature (1986), que connaissent tous les étudiants en lettres ! Sauf ici, où on ne connaît rien et où ça cause et ça dégoise dans le vide !
Barozzi prend simplement les grains de sable de son aveuglement pour un pavé… Sa mare, où il jette son prétendu pavé, c’est simplement la mare nostrum et les docteurs de la loi islamique qui ont passé leur temps, en bâtissant sur du sable un empire sans empereur et même sans terre, à légitimer l’installation au pouvoir des régimes politiques les plus sanglants et les plus barbares de la planète.
BHL s’est battu courageusement contre la dictature libyenne et a rangé ce lamentable bouffon de Khadafi aux oubliettes de l’histoire, son cadavre rongé par les chacals dans le désert. Il a très bien agi. Le reste, advenu ensuite, n’est pas de son ressort. Il a fait ce qu’il y avait à faire.
La lutte contre la barbarie islamique durera de toute façon pendant encore très longtemps, des décennies. Il fallait bien commencé par le commencement, c’est-à-dire abattre une dictature arabe parmi tant d’autres que les occidentaux ont toléré sans que personne n’y trouve à redire. Et surout pas tous les petits franchouillards de merde qui s’en prennent aujourd’hui à BHL, sur le simple prétexte qu’il est juif.
Monstruosité simplement de tous ces petits peigne-culs d’Européens minables qui sont toujours du côté de l’horreur ! Et qui n’ont pas de couilles ! Des castrés du bulbe ! Des impuissants ! Des couards ! Criature cobarda, come dice el Quijote !
BHL, cette grande chemise mal repassée, est un très grand penseur de JB Botul; c’est à ce ce titre que vous devez lui dire merci.
Parmi les sorties de la semaine, j’ai vu, hier, deux films littéraires sans fiction.
Le premier est une biographie imaginaire de Michel Houellebecq, meilleur acteur en voix off qu’avec son corps, mais qui a encore des progrès à faire en diction.
Le second est une étude comparée de Madame Bovary, sur le thème l’art imite t-il la vie ou est-ce l’inverse ? Lucchini en boulanger normand y est excellent et l’actrice anglaise fort jolie.
¡cobarde criatura! como dice …
Soignez votre castellano, WGG, si vous souhaitez vraiment demander la nationalité espagnole!
À part ça, qui peut encore prendre au sérieux BHL ou Attali?
Petit fait divers pour la pensée ouverte de ML.
Dimanche, le fils d’un boulanger de la porte de Vincennes, jeune beur de 17 ans, accompagné d’un ami de son âge, a livré du pain à Saint-Mandé. Une trentaine de jeunes Juifs les ont roué de coups de poings, de pieds et de casques à moto au motif qu’ils sont ici chez eux ! Ce(s) pain(s) de la discorde se sont soldés par un traumatisme crânien !
Pour en savoir plus
http://www.leparisien.fr/saint-mande-94160/saint-mande-deux-jeunes-maghrebins-agresses-par-une-trentaine-de-juifs-08-09-2014-4119159.php
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 8 h 05 min
Petit fait divers pour la pensée ouverte de ML.
Dimanche, le fils d’un boulanger de la porte de Vincennes, jeune beur de 17 ans, accompagné d’un ami de son âge, a livré du pain à Saint-Mandé. Une trentaine de jeunes Juifs les ont roué de coups de poings, de pieds et de casques à moto au motif qu’ils sont ici chez eux ! Ce(s) pain(s) de la discorde se sont soldés par un traumatisme crânien !
pour Widanger, vous apporté juste la preuve que vous êtes un antisémite primaire. Les groupes de jeunes de Saint Mandé étant les groupes les plus éthiques du monde!
pour parodier Woody Allen, Widanger est tellement éthique, qu’il est à l’origine de 2 ou 3 pogroms
…
…le problème » évité « , est de ne pas s’unir avec des gens aux discorde-complices nombrilistes,!…
…
… » les » qui s’aiment, pour faire tributs opposées et chairs à canons,!…
…
…dès, que vous voyer des signes précurseurs sérieux de mises en boîtes avec priorités » lèche-culs d’enseignements à pomper des empereurs à Charlemagne,…du vent, du vent,…
…aimer en liberté,…
…sans sectes à couper les prépuces, & autres charivaris à trois balles, pour astiquer des clitoris sans trucs électriques, la, c’est dis,!…
…
…tout ce capitalisme, d’usuriers & d’esclavage du corporatisme des états,!…
…
…les marionnettes à pompes à durs,!…Ah,!Ah,!…aux théâtres de basse-cour d’élites,!…formations aux gros-porc’s d’E.N.A.,…etc,!…à suivre aux yeux bandés,!…
…( artiste Félicien Rops ),…etc,…
…l’éducation du beau monde,!…Ah,!Ah,!…
…
W., je trouve votre discours passionnant; sachez que je vous lis chaque jour avec assiduité et une certaine impatience il faut bien l’avouer.
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 8 h 10 min
Pour en savoir plus
http://www.leparisien.fr/saint-mande-94160/saint-mande-deux-jeunes-maghrebins-agresses-par-une-trentaine-de-juifs-08-09-2014-4119159.php
Si vous m’aviez laissé faire, y en aurait plus et les arabes seraient tranquilles, chez eux à Saint Mandé.
« Comme tous les Juifs, BHL est instruit de longue date de ce qu’est l’islam »
Chez Chevillard, ce matin :
» « Toute ma vie, je me souviendrai de cette journée du 11 septembre. » (Agatha Christie, A.B.C. contre Poirot, 1936) «
Saint-Mandé est un petit Israël, Adolf H., le Neuilly de l’est parisien. J’habite juste de l’autre côté du mur du périphérique…
« La rentrée littéraire jugée par Michel Houellebecq : euh… bof… bah… Enfin une extension du domaine de la critique ! »
La critique littéraire est chose trop importante pour la laisser aux seules mains des critiques ! Le temps et les lecteurs sont les meilleurs critères en cette matière.
« Saint-Mandé est un petit Israël »
Scandaleux, il faut creuser des tunnels pour le tout à l’égout
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 9 h 37 min
Saint-Mandé est un petit Israël, Adolf H., le Neuilly de l’est parisien
Parfois on se dit que ML n’a pas toujours tort.
Jacques Barozzi en est bien un.
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 9 h 45 min
Le temps et les lecteurs sont les meilleurs critères en cette matière
Quand Barozzi dire connerie, Barozzi jamais faire à moitié.
Ne pas confondre évidence sociologique et jugement de valeur, Evidence. Dire qu’il y a beaucoup d’asiatiques à Chinatown-Paris, où essentiellement des maghrébins du côté de la Goutte-d’Or est-ce raciste ?
Clopine dit: 11 septembre 2014 à 9 h 17 min
Chevillard fait des copier/coller de copier/coller et Clopine s’extasie.
Le syndrome Barozzi ?
…
…santé,!…à nos mise en boites sans fiction,!…
…etc,!…le plein S.V.P.,!…
…
Israël est le Neuilly du Moyen-Orient. Libérons la Palestine de ce fléau prospère qui fait honte à ses courageux, travailleurs, entreprenants, nobles et sérieux, voisins arabes !
« beaucoup d’asiatiques à Chinatown-Paris, où essentiellement des maghrébins du côté de la Goutte-d’Or »
vs
« Saint-Mandé est un petit Israël »
Réfléchis Jacky, tu dois pouvoir.
Il nous tarde que la rentrée littéraire réussisse sa sortie
Ceux qui prennent l’avion aujourd’hui ne sont pas superstitieux.
vous avez sans doute remarqué que depuis les avertissements de Chaloux, certains commentateurs se font tout petits ou bien usent de nouveaux pseudos à tendance germanique facilement reconnaissables… ça fouette sec donc comme diraient-ils
bref ou brève, Chaloux est un nain.
tête à toto dit: 10 septembre 2014 à 23 h 05 min
« Qu’il se demande plutôt pourquoi tout le monde la croit! »
JML se prend pour tout le monde
—————————
Widergänger dit: 11 septembre 2014 à 2 h 29 min
« Les musulmans dans leur immense majorité sont des gens pacifiques. Mais l’islam en soi est une religion totalitaire. »
Comment se fait-il alors que l’immense majorité des musulmans soient pacifiques
Brève est courte, l’a des circoncisions atténuantes.
Ni plus ni moins :
« Le Monde consacre Dieu, à travers Emmanuel Carrère » ActuaLitté
Antisémites, fascistes, terroristes et pacifiques coupeurs de têtes sont nos amis
La littéraure américaine à l’honneur à Vincennes (en même temps que le cinéma américain à Deauville). Quid de la rentrée littéraire française ? se demande-t-on ! Cette dernière ne souffre-t-elle pas d’un léger déficit de visibilité ?
« Le Festival America à Vincennes ouvre ses portes aujourd’hui. De nombreux auteurs célèbrent la littérature américaine http://ow.ly/BkD08«
« Saint-Mandé est un petit Israël »
vs
« sales arabes, vous n’avez rien à faire chez nous. Ici, c’est notre quartier »
Tu condamnes pas ces propos, Quoique ?
Demande à ML de bien réfléchir avant d’applaudir à deux mains !
Pour les « sans-dents » qui ne seraient pas encore convaincus de la faillite hollandaise (il en reste, sur ce blog même), sondage exclusif pour le Figaro :
« Selon l’étude de l’Ifop pour le Figaro Magazine, 62% des Français souhaitent que François Hollande quitte l’Elysée avant la fin de son mandat. Cette option est privilégiée, devant la dissolution de l’Assemblée nationale, voire le changement de premier ministre. »
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 11 h 06 min
Quand un con dit une connerie, Barozzi ne peut s’empêcher d’en dire une plus grosse.
Le syndrome du copier/coller.
totozéro lit le Figaro Magazine,
la bêtise n’a pas de limite.
« totozéro lit le Figaro Magazine »
Le Figmag ET Vava,
Bêtise et enfantillage sont les mamelles de la tête à toto.
« Il nous tarde que la rentrée littéraire réussisse sa sortie »
C’est aussi beau que du Eric Chevillard, Peter Pen !
Monsieur Karl Marx lisait le Figaro Magazine. Madame Marx, le Figaro Madame. Les Petits Marx, Pif le chien ! Z’étaient modernes, les Marx…
Très juste, Evidence, la connerie stimule la connerie !
Es-tu à l’abri ?
E.Chevillard est un Mosquito Serial Fucker
la tête à toto est l’envoyé de figaro
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 11 h 39 min
C’est aussi beau que du Eric Chevillard,
Eh oui, il ne peut s’en empêcher,
les conneries s’ajoutent aux conneries.
Es-tu à l’abri ?
..peter pen c’est pas mal baroz.. »qu’on l’attrape et qu’on l’encule » aurait dit coquetèle
Widanger, vous apporté juste la preuve que vous êtes un antisémite primaire
il enseigne dans les petites classes dracul et y’a du boulot..vas y dracul!
C’est aussi beau que du Eric Chevillard
Baroz ne peut s’éviter de dénigrer les autres commentateurs de la rdl.
Barozzi prend simplement les grains de sable de son aveuglement pour un pavé
..t’aurais du dire une poutre dracul ça aurait fait plus sataniss
Je vous triture un « Eloge de la Poutre » dont vous me direz des nouvelles en 2015, folks !
La poutre ou le grain ?
Et dire que certains prétendent que c’était mieux avant !
http://www.ina.fr/video/I04197089
Je suis les propos de Widergänger et je dois vous dire qu’il vous est très supérieur à tous. Il vous dit vos quatre vérités et il a raison. Votre comportement à son égard est parfaitement odieux et inadmissible.
BHL est vilipendé lui aussi par tous les imbéciles de ce blog à commencer par Assouline qui lui en veut et le harcèle depuis des années alors que c’est un homme courageux. Le petit Mezri ne fait pas le poids !
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos boîtes aux lettres !
deux petites remarques sur le document de l’ INA:
Mitterand appartient à cette génération d’hommes politiques façonnés par la littérature, ce n’est plus le cas aujourd’hui, c’est un constat.
On apprend dans cet document que le livre de Mitterand a du succès,plus de 100 000 exemplaires vendus, et c’est un livre sans révélations sur sa vie privée, sans impudeurs, sans rien de « croustillant ».
C’était mieux avant?
C’était surtout plus barbant, avant, et plus hypocrite, de nota. Avec un animateur en noeud papillon (Jean Ferniot) servant la soupe ! Qui parmi les erdéliens a encore un exemplaire de « La paille et le grain » dans sa bibliothèque ?
Ce vieux hareng savait lire et écrire, cependant le nombre de ses conneries politiques est important. Ce que l’on ne savait pas, à l’époque pré-numérique où il régna sur les cons, tout à leur admiration pour Sa Majesté.
Mitterrand savait surtout causer, c’était un beau parleur !
Quand je parle de la dégringolade vertigineuse de Hollande, qui apparaît dans n’importe quel média et pas seulement Le Figaro, certains ici se sentent visés. C’est dommage. Je ne fais qu’informer ces nostalgiques du socialisme, ces électeurs « cocus » dirai-je pour appeler les choses par leur nom… Ne fallait-il pas s’y attendre ? A suivre.
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 13 h 00 min
Qui parmi les erdéliens a encore un exemplaire de « La paille et le grain » dans sa bibliothèque ?
Moi.
Et tu le lis souvent, Jenmerdre ?
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 13 h 00 min
C’était surtout plus barbant
Ah ben ça c’est bien sûr.
Ce que l’on ne savait pas, à l’époque pré-numérique
il n’y a pas de cause a effet baroz..l’information est toujours plus ou moins disponible, mais elle se distribue différemment, en revanche la forme oui, « le savoir parler » était une image pour répondre a dénota, ce n’est pas paradoxal
Mitterrand n’a jamais vraiment écrit de « vrai » livre. La plupart étaient des recueils d’articles ou d’interviews. « Le Coup d’Etat », je l’ai lu, ça a très mal vieilli. Mitterrand et la littérature, ça faisait deux – malgré sa réputation. Il est vrai qu’il aimait lire les bons livres, et courir les bouquinistes. Mais pour ce qui était d’écrire lui-même, ce n’était pas ça !
Extrait d’anthologie :
« « L’après-midi, conseil de guerre. À son ordre du jour : la production de mes arbres fruitiers. J’ai récolté cette année un quarteron de pommes et des poires, pour mémoire. De cerises, de pêches, de prunes, de brugnons, point. On tombe d’accord : la difficulté est de localiser l’ennemi. Le cantonnier, qui s’intéresse à mes travaux, accuse le vent d’ouest, le vent salé. J’aurais, selon lui, implanté le verger (vingt arbres) au plus mauvais endroit possible, là où se glisse par l’échancrure des collines le courant d’air malin. Le pépiniériste prêche la patience et réserve son jugement, dit que mes arbres sont trop jeunes et qu’il faut attendre que les racines atteignent la nappe phréatique. Félix, l’Espagnol, penche pour les parasites et recommande l’insecticide. Le voisin, qui est à la fois cultivateur et charpentier, n’a que deux mots à la bouche : les bouvreuils. On se range à son avis bien que le pépiniériste fasse observer que les bouvreuils n’ayant de goût que pour la fleur de pêcher et la fleur de prunier, la question reste à moitié sans réponse. Je les ai vus, au début du printemps, ces jolis voleurs au ventre rouge, s’abattre sur la lande et décortiquer les bourgeons. Après quoi ils frottaient leur gros bec conique pour le nettoyer de la gomme et sifflaient de contentement. Je sais où ils habitent, derrière la maison, à la lisière de la forêt. Ils fabriquent leur nid avec de petites branches qu’ils garnissent de mousse et de lichen. (…) »
« La paille et le grain »
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 13 h 04 min
ces électeurs « cocus »
Mais non mon totozéro, le cocu c’est toi, tu as cru en zébulon et tu as pris cinq ans (minimum) de Hollande.
Félicitations.
avant il y avait le « savoir écrire »..ce qui est véhiculé de l’anima c’est plus ou moins les commodités de l’autorité..selon les temps..henri 4 voulait un digne repas pour tous le dimanche..et des poules et des chapons pour lui..c’était cohérent baroz
« Mitterrand savait surtout causer, c’était un beau parleur ! »
Exactement. Il a embobiné deux fois les Français pour qu’ils l’élisent président. Cela mérite un coup de chapeau, une arnaque pareille !
et des poules et des chapons pour lui
..lui c’était pour tous les jours que dieu fait..j’ai oublié
Encore deux ans et demi ? Je serais étonné ; ça va se terminer bientôt, l’expérience hollandaise. Tout le monde le dit…
une arnaque pareille !
c’est sur que si ça avait été par sondage ifop du fiagro ça aurait été plus scientifique..c’est ça la démocratie.. »antiscientifique et honteux » titrerait le parisien..ça se vendrait aussi
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 13 h 13 min
Il a embobiné deux fois les Français pour qu’ils l’élisent président
Achement plus fort que zébulon le Mitterrand, le pauvre agité n’a réussi qu’une fois (de trop il est vrai)
Mais auparavant, il s’était fait prendre à son propre jeu : « Meuchieu Mittrand, vous n’avez pas le monopole du coeur ! »
Par exmple, un sondage Ifop déjà inquiétant pour les démocrates :
« Présidentielle 2017 : Marine Le Pen en tête au premier tour dans tous les cas de figure
La présidente du FN l’emporterait au second tour en battant largement François Hollande, mais serait battue par tous ses adversaires UMP. »
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 13 h 15 min
Tout le monde le dit…
totozéro lit le Figmag et Toulemonde, il est donc informé en priorité.
Hollande finira mal. J’avais pourtant dit à Marcel d’écrire son « Meurtre à l’Elysée », maintenant c’est trop tard !
« Oscar Pistorius n’a pas prémédité l’homicide de sa petite copine » (la juge africaine)
« Valérie Trierweiler n’a pas prémédité l’assassinat de son ex-concubain » (une maman poitevine)
Oui, le plus fort en cynisme, en séduction fallacieuse, ça a été Mitterrand le Florentin. Mieux que le pauvre Sarkozy. C’était pas la même classe d’hommes, aussi.
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 13 h 20 min
Par exmple, un sondage Ifop
bouguereau a raison, totozéro est sûrement un scientifique.
« Mitterrand savait surtout causer, c’était un beau parleur ! »
maintenant faut savoir queuter dénota..savoir se montrer pas rasé avec handcuff ou pas..ne pas aimer les sans dents pour faire le tigre..en fait tout le boulot c’est de faire naitre cette petite phrase de l’agité du bocal dans chaque tête de français « nom de dieu pourquoi lui plutôt que moi »..là c’est définitivement gagné..le définitf c’est trés court
Faut dire à la décharge de Marcel que la réalité est plus forte que la fiction !
Hollande finira mal.
dis donc baroz..je vais aller aux keufs pour faire une main courante si tu continues..pas pour moi évidemment..mais pour protéger « les miens »..t’es sous observation « des services »
..on sent comme une « intention » dans tes propos..en te lisant l’officier t’as vu comme serrant quelquechose dans ta main..un cuter j’ai dit..oui exactement qu’il m’a dit..ha!
« les miens »
Chaloux a trop lu Martin Gray, le boug !
Mais auparavant, il s’était fait prendre à son propre jeu : « Meuchieu Mittrand, vous n’avez pas le monopole du coeur ! »
non pas lui baroz..toute la gauche..mais assez déconné avec les sans dents
Quand les sans-dents mordent, ça fait mal !
« Quand les sans-dents mordent, ça fait mal ! »
On dirait du Eric Chevillard ?
hach internet baroz..bon aprème
Un ami qui vous veut du bien dit: 11 septembre 2014 à 12 h 41 min
Je suis les propos de Widergänger et je dois vous dire qu’il vous est très supérieur à tous.
Hamlet/ Dédé/ Kepu, vous ne croyez pas que ça commence à bien faire avec la poupée gonflable « WG »?
Le professeur M. A., malgré son extravagance a des choses à dire.
Qu’il le fasse comme il l’entend!
Trimballer en public un fou en slip, même le colonel Cody aurait mis un terme à la comédie.
ueda dit: 11 septembre 2014 à 13 h 52 min
Trimballer en public un fou en slip
zouzou il le met sur la tête, son côté clown blanc.
Oui, ueda, D. et/ou JC, bien à l’abri de leur anonymat, flattent ML et le poussent à exprimer ce qu’il y a de pire en lui. Ce n’est pas lui rendre service et en aucun cas l’expression d’un sentiment amical. Là où d’autre font plutôt appel à ce qu’il y a de meilleur en lui…
Critiquez Mitterrand tant que vous voudrez, mais une chose est sûre : il n’aurait jamais permis des petits livrets d’épargne rémunérés à un taux inférieur à celui de l’inflation.
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 14 h 00 min
Oui, ueda, D. et/ou JC.
Il est tellement stupide que TKT nous manque.
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 14 h 00 min
Alba est parfois épouvantable, mais en matière d’apport intellectuel à ce forum, il est à cent lieues au dessus des JC, D, bouguereau et j’en passe, il y en a trop.
« Là où d’autre font plutôt appel à ce qu’il y a de meilleur en lui ».
A son quasi analphabétisme? A sa folie? A son effarante stupidité?
Le pauvre est une sorte de Villeret du blog, comme l’écrivait l’autre jour un commentateur: on vient ici pour rire du « con de la Rdl »
« Edmond Cucédupoulet »
Oui.
Passant dit: 11 septembre 2014 à 14 h 07 min
on vient ici pour rire du « con de la Rdl »
Vu la façon dont Valérie T. a négocié son contrat d’Édition, François aurait dû la mettre à Bercy.
« Miroir, mon beau miroir ».
Tiens, ce pauvre Widergänger, le con du blog, en est rendu à se défendre lui-même
Quand j’écris « la mettre » je veux dire par là « l’affecter ». Entendons-nus bien.
D., vous avez tout fait pour que TKT déserte ce blog, maintenant ne venez pas pleurer sur son absence. Un peu de dignité !
C’était surtout plus barbant, avant, et plus hypocrite, de nota. Avec un animateur en noeud papillon (Jean Ferniot) servant la soupe !
servir la soupe? mais ça n’a pas cessé! « avant »c’était plus hypocrite, je ne crois pas, c’était plus compassé, oui, mais je préfère ça encore à cette espèce de familiarité qui règne sur les plateaux télé où bien souvent les hommes politiques s’y ridiculisent, coincés entre une idiote qui montre ses seins et un crétin qui les regarde.
Passant dit: 11 septembre 2014 à 14 h 12 min
Un Chaloux qui passe.
Euh, de nota, sur le plateau de Jean Ferniot on voit déjà une blonde qui se trémousse et un crétin qui les regardent !
regarde, pardon.
Au final, c’était du pareil au même.
Mon baroz adoré, je ne suis malheureusement pas D.,
j’eusse aimé.
Nous avons tous notre part d’ombre et de lumière. ML a parfois de bons moments de lucidité.
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 14 h 18 min
Au final, c’était du pareil au même
Donc comme dab baroz nous raconte des conneries depuis ce matin sur le sujet.
Attention Jacques, si vous continuez je vais désertifier ce blog de ma présence. Et tout le monde pleurnichera que je revienne. Hin…hin…hin…comme Abdallah dans Tintin.
Apprends à lire mon petit Vdqs, comme dirait ML !
Mon commentaire était à destination de ceux, nombreux, qui se plaignent toujours que c’était mieux avant. Ma position a toujours été que rien n’a jamais changé sous le soleil. C’était seulement différent…
ueda 13 h 52 min
abus de café ?
Même pour quelqu’un qui se revendique « non littéraire », il y a des confusions que l’on ne devrait pas faire au grand bal masqué de la RdL.
Simple manque d’oreille ou manque de discernement ? en tout cas, ça la fiche mal de persévérer ainsi dans l’erreur.
Vous aussi, D., vous avez vos bons côtés, hamlet, et vos mauvais côtés, tout le reste !
Il n’y a que le boug, qui reste toujours égal à lui même !
la tête à toto (11 septembre 2014 à 13 h 04 min)
« certains ici se sentent visés. »
Non. On s’en fout
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 13 h 04 min
Je ne fais qu’informer ces nostalgiques du socialisme,
Crypto collectivisme serait plus exact
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 13 h 04 min
Je ne fais qu’informer ces nostalgiques du socialisme,
Du crypto-collectivisme serait plus exact que ‘socialisme’
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 13 h 04 min
Je ne fais qu’informer ces nostalgiques du socialisme,
Crypto collectivisme serait plus exact ‘du socialisme’
Je vois que vos m’avez démasqué, Jacques. Nos avis divergent sur beaucoup de points, mais je vous ai toujours reconnu finesse et perspicacité, comme chez ueda.
Vérifions les niveaux dit: 11 septembre 2014 à 14 h 09 min
« Edmond Cucédupoulet »
C’est le mari de la mère Docu ?
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 14 h 27 min
Apprends à lire
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 14 h 31 min
Il n’y a que le boug, qui reste toujours égal à lui même
Ouarf ! mais qu’il est stupide.
Le plaisir, c’est extra ! Merci Hollande !
« Plaisir » par Nicolas Grimaldi, extrait de son abécédaire philosophique publié aux PUF « Les idées en place », sur @philomag http://ow.ly/Bngx4
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 14 h 51 min
totozéro lit le Figmag, Vava, Toulemonde et Philosophie Magazine.
Ceci explique cela.
Jacques Barozzi dit: 11 septembre 2014 à 13 h 11 min
la difficulté est de localiser l’ennemi
C’est un problème de garde champêtre !
Mitterrand avait un bon goût littéraire. Un ou deux auteurs qui savent écrire.
Évidemment l’époque n’était pas aux tabletteux qui mangent le coude sur la table, en passant un doigt gras pour lire des informations débiles. A ceux-là, la vue du papier donne des crises de rage. En moins de dix ans, l’honnête homme retourne au gorille. hugh.
« Mitterrand avait un bon goût littéraire. Un ou deux auteurs qui savent écrire.
Évidemment l’époque n’était pas aux tabletteux qui mangent le coude sur la table, en passant un doigt gras pour lire des informations débiles »
Huit ans que vous nous serinez la même antienne, bien rance et ringarde, sans classe, sans talent, sans style. Le beauf de base qui se fantasme en esthète.
« Ah, ma bonne dame, tout ça ne vaut pas la correspondance Morand-Chardonne ».
Vieux bavouilleux sénile.
passant, huit ans à ne rien comprendre. Faites-vous sauter le troufignon avec le dernier Nothomb.
Et au surplus il est grossier. Mon pauvre Phil, vous vous rêvez en dandy alors que vous avez la classe et le style d’un Bigard.
Passant dit: 11 septembre 2014 à 15 h 32 min
Le Chaloux qui passe et repasse.
« totozéro lit le Figmag, Vava, Toulemonde et Philosophie Magazine. »
Je lis bien d’autres revues. Allez, continuez à cuire dans votre jus pseudo-politico-socialo-conformiste. Bon courage, le sans-dents ! Moi, au moins, je vais à la plage !
Hollande est parti en Irak pour se livrer au djihad. Arrêté par les services secrets, interrogé sur sa conversion à l’islam il a présenté celle-ci comme une tactique électorale, et son engagement au combat comme un moyen d’accéder aux septante houris promises par le Livre. On lui a passé une camisole de force achetée par Michel Sapin. A crédit.
Passant dit: 11 septembre 2014 à 15 h 32 min
la classe et le style d’un Bigard
Ruquier, ça fait joker…
@Phil: ‘…Vieux bavouilleux sénile…’
Passant vous a bien cerne, c’est vous tout crache…il a oublie d’ajouter que vous etes aussi mechant et insidieux…du genre a donner un coup de pied a un pauv’ chat qui ne vous a rien fait… non de nada, senor…c’est gratos aujourd’hui…
abdelkader dit: 11 septembre 2014 à 16 h 38 min
donner un coup de pied a un pauv’ chat qui ne vous a rien fait
Si c’est celui de Schrödinger il risque d’exploser avant… Si c’est Bébert faut faire gaffe, hors de son sac il est mauvais, Bébert…
ALERTE INFO dit: 11 septembre 2014 à 16 h 06 min
aux septante houris promises par le Livre
Ha ça a l’air pas mal…
« avant »c’était plus hypocrite
discutable, possible qu’on n’éprouvait pas le besoin de se piquer de politically incorrectness en lèchant les mêmes culs que tout le monde
le coran belge plein de bière de drame et de carabistouille est pas reconnu par le grand moufti
Caïn a tué Abdel, ou le contraire ?
kiki c’est le sel de la terre épicétou
abdelkader dit: 11 septembre 2014 à 16 h 38 min
« donner un coup de pied a un pauv’ chat qui ne vous a rien fait »
Y pense juif, y écrit chat…
dis donc gaga le cleubeur..qu’est ce qu’il dit ton book sur le choix des écossiens ?..je lis ici et là que le fond de l’affaire c’est que l’union voudrait que ça soit london qui fasse secession..que c’est eux les offshore de la mer des vrais frères..les dégénérés qui pensent qu’a se graisser leur sale groin..ha les brits c’est pire que les chinois dirait zouzou
Mémé bougue-rot a fini de passer la serpillière, yavait du boulot
Ma copine Chinoise du Nord, c’est Gong Li en mieux.
non rien, merci
Abdelkader, le canard aux cerises suffit à vos capacités exotiques.
Passant reste au fromage de hollande.
« C’est calé: le 8 octobre, Conchita Wurst chantera devant le Parlement européen à mon invitation et à celle d’autres eurodéputés», a confirmé Mme Lunacek sur sa page Facebook. Après la victoire du travesti à l’Eurovision, elle avait déclaré qu’il s’agissait d’un «formidable signal politico-sociétal». »
QU’ON L’ENCULE !!!
ET L’EUROPE, ET JUNCKER, AVEC …. !
EN DIRECT !
Choeur des Fiottes Européennes dit: 11 septembre 2014 à 17 h 16 min
On a beau dire mais le Sicilien est quand même un être à part.
ta haine est bien reconnaissable JC, attation dirait ton cher bougue-rot, le comité veille…
brève dit: 11 septembre 2014 à 17 h 40 min
Chaloux a bien une tête de flic municipal.
Chaloux c’est Chaloux et moi c’est moi, bien droite
« Abdelkader, le canard aux cerises suffit à vos capacités exotiques.
Passant reste au fromage de hollande. »
Quand on vous disait que c’était un sous-Bigard… T’en as d’autres, papy?
J’aime Chardonne mais pas L’armée des ombres, c’est un film judéo-maçonnique favorable aux résistants. Hurk hurk hurk
holala une horreur qui est keupu de face et baltringue de profil..c’est la limace de l’apopocalispe
tu manques de coeur de fiotte jicé..t’as vu trop gros pour toi
holala..tout ce temps qu’ils passent à deux..ils règnent sur la connerie..elle est toute a eux..bamosse
Cet Abdelkader fait penser à ces journaux d’entreprise qui se veulent drôles , comme celui de Michelin où il y avait une rubrique « rions un pneu » .En fait , on sent chez cet Abdelkader que l’humour , il n’y croit pas. Il fait filou. Primesautier à faire rigoler les gros SS. En fait c’est un personnage affreux, une sorte de tyran , un pas drôle, un petit cheffaillon . Il y a chez lui la tragédie du fasciste qui tente de rassurer ceux qu’il compte bien liquider. A vomir.
Si c’était que moi, Abdel, on n’en parlerait plus. Quant à Seth….
JC est trop drôle ! jeum contrôle p’us ! vite la serepière
…
…@,…Fournier,!…à 17 h 28 mn,…
…
…Oh,!…Ho,!,…On à beau dire, mais le Sicilien est quand même un être à part,!…
…
…les êtres à part,!…çà se saurait banane,!…
…etc,!…
Dear Phil, comme bien vous pensez, je ne suis pas l’auteur des insanités sans talent qu’on vous adresse….
Quant à cette vieille charogne dépitée de bouguereau-boumou, qu’elle continue à répandre ici le fiel de son dernier temps comme un cadavre fait de l’ongle…
Plus elle rit jaune, plus elle est pitoyable, plus je m’amuse.
(Avec Sossot du Mercure dansotant bêtement autour d’elle, quel numéro! – Devriez aller chez Pinder).
dear Chaloux, l’activité en blog tient du trempoling qui renvoie certains dans le gazon du voisin. ça ne manque jamais quand Chardonne débarque. L’armée des ombres fait un peu gang des postiches.
Plus surprenant est de voir Abdelkader suivre la caravane.
Dear Phil, d’autant que ça ne lui ressemble pas. Il est plus fin que ça.
Chaloux dit: 11 septembre 2014 à 19 h 19 min
Dear Phil,
Chachal, t’es vraiment une burne, personne n’a écrit que tu médisais sur Phil comme tu voudrais le faire croire (petit hypocrite sans envergure) mais que tu te cachais pour insulter Mimi, bouguereau ou JC.
Pas grave, tu n’es pas le seul, le seul hypocrite, oui.
Toise dit: 11 septembre 2014 à 19 h 41 min
Pauvre tête de paf, je travaille. Pas le temps de plaisanter avec les nains d’ici qui -toi compris, Ô combien- « toisent » pas bien haut.
Ce n’était probablement pas du pipeau, mais la pure Vérité :
« Sans-dents » : Trierweiler dit avoir des preuves et être prête à les sortir en cas de procès http://www.lejdd.fr/Politique/Sans-dents-Trierweiler-dit-avoir-des-preuves-686432 … (JDD)
Toise dit: 11 septembre 2014 à 19 h 41 min
sans compter, pauvre mouise, le lecteur que tu fais…
‘…Cet Abdelkader…’
On voit bien que tu n’as pas l’habitude de regarder tes interlocuteurs droit dans les yeux…il est vrai aussi que tu descends d’une longue lignée de corbeaux…donc faut pas trop culpabiliser, ma p’tite croquette…dis-toi seulement que c’est pas entièrement ta faute…
‘…Plus surprenant est de voir Abdelkader suivre la caravane…’
aucune caravane ne m’interpelle Phil, sauf la mienne…et elle ne bouge pas trop en ce moment…non, ca fait un bout de temps que je voulais vous dire ca, mais l’occasion ne s’est pas presentee…jusqu’a maintenant…
JC est un sympathique Tartempion qui croit qu’il a tout compris et qui, à l’occasion, m’amuse.
Quant à bouguereau-boumou et Alba, ces deux sacs de pus suitants, me suis-je jamais gêné pour les aborder de front?
Chaloux dit: 11 septembre 2014 à 19 h 46 min
Trop tard mon Chachal tu as prouvé que tu étais une burne, à jamais.
Bon, ok, chacun le savais, mais c’est sympa de nous faire plaisir.
Pas « suitants », suintants…
Hollande : une déclaration qui rassurera ses partisans fanatiques (comme ceux qui sévissent sur ce blog et qui apprécieront le jeu de mots débile sur « constitution » !), mais qui paraîtra réellement incroyable à tous les autres, et d’un cynisme inouï :
« On dit que la Constitution me protège. C’est vrai. Mais ma constitution personnelle me protège aussi, mon ADN, mon rapport aux Français, être à leur service, celui des petites gens, des gens de peu. Les gens de peu… C’est une belle expression, la plus noble pour moi… » (Nouvel Obs)
Chaloux dit: 11 septembre 2014 à 19 h 53 min
Quant à bouguereau-boumou et Alba, ces deux sacs de pus suitants, me suis-je jamais gêné pour les aborder de front?
De dos Chaloux, de dos et la rumeur dit que c’est toi qui fournissait le gode-ceinture.
Toise dit: 11 septembre 2014 à 19 h 53 min
Toise un mec de ton niveau, c’est à dire un type qui n’a pas de niveau scientifiquement mesurable, on lui répond par une citation:
« Il est difficile d’écraser ce qui s’aplatit sous les pieds ».
Chateaubriand.
Pierre Assouline, je vous présente mes excuses pour complaire à boumou-le-hachis qui, de son côté, ne vous en présentera jamais.
Chaloux dit: 11 septembre 2014 à 19 h 56 min
Pas « suitants », suintants…
On s’en fout.
Je me demande si baroz n’est pas à l’origine de tout ça dit: 11 septembre 2014 à 19 h 58 min
et la rumeur dit
Lecture du jour:
« Ragots, tel est le nom des sangliers qui fouillent l’ordure ».
Pascal Quignard, Mourir de Penser, p. 115 (sois tranquille, ça t’arrivera pas).
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 19 h 57 min
T’as quelque chose contre totozéro ?
Oui.
Gros beauf tu es, gros beauf tu resteras.
Toise dit: 11 septembre 2014 à 19 h 53 min
Chaloux dit: 11 septembre 2014 à 19 h 46 min
Bon, ok, chacun le savais
sof qui fodrait fère des perogrêts en conlliugeaison!
Chaloux dit: 11 septembre 2014 à 20 h 05 min
Pascal Quignard,
Pascal Quignard, le Chevillard à tête de Droopy suicidaire.
Un cas.
M’étonne pas que Chaloux soit fan, une vraie burne sait cacher les tréfonds de ses vices.
Le niveau de cette turne, avec boumou en mascotte, ça devient vraiment une pitié.
C’est d’époque.
Sauvons-nous!
Une drôle d’odeur dit: 11 septembre 2014 à 20 h 07 min
Ooooouuuuaaaarrrrffff,
alors là mon Chachal je suis matté.
Toise dit: 11 septembre 2014 à 19 h 41 min
Chaloux dit: 11 septembre 2014 à 19 h 19 min
Dear Phil,
Chachal, t’es vraiment une burne, personne n’a écrit que tu médisais sur Phil comme tu voudrais le faire croire (petit hypocrite sans envergure) mais que tu te cachais pour insulter Mimi, bouguereau ou JC.
Mimi, bouguereau ou JC….
Savais pas que chaloux organisait des courses de mules.
Exégèse révélatrice (Trierweiler aurait des preuves accablantes) :
« Les subtils exégètes du Président ont remarqué que s’il s’est dit profondément touché par cette attaque, à aucun moment de son interview au Nouvel Observateur il ne démentait formellement l’emploi de l’expression [les « sans-dents »]. Ce n’est peut-être pas un hasard. »
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 20 h 45 min
Un vrai con se reconnait à sa constance.
La constance de totozéro semble infinie.
« le chat a neuf vies », je répète « le chat a neuf vies »
Paul Veyne en ce moment à la télé…
« La constance de totozéro semble infinie. »
Elle l’est, au nom de la Vérité.
Quand le volvophile fait burne, ce n’est jamais à moitié dit: 11 septembre 2014 à 20 h 16 min
Toise dit: 11 septembre 2014 à 20 h 10 min
etc.
alba, c’est déjà un pauvre gars quand il trolle pas, mais quand il trolle, c’est pathétique.
Un prof…
Faites des enfants…
Confiez-les à des malades mentaux…
Vous feriez bien de vous calmer tous et de vous unir sur ce que vous partagez, parce que pendant ce temps ceci poursuit son petit chemin, pas forcément pour votre bien :
la tête à toto dit: 11 septembre 2014 à 20 h 55 min
Elle l’est, au nom de la Vérité
Oh le con !
Avec un V majuscule en plus.
Il a du commencer par la cellule Kanapa de Cachan,
il finira dans celle de Tixier-Vignancourt à Brignolles.
Mimi, il s’appelle Mimi dit: 11 septembre 2014 à 20 h 58 min
Chaloux, non seulement tu n’as jamais su lire mais le pire est que tu n’as jamais su réfléchir.
Chachal, il s’appelle Chachal, et c’est une burne dit: 11 septembre 2014 à 21 h 07 min
C’est Freaks!
sapré Abdelkader. que des commentateurs aimables sur le prestigieux blog à passou:
http://www.moviestore.com/star/richard-kiel
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