de Pierre Assouline

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La République des livres
Rompre tout commerce avec ces gens

Rompre tout commerce avec ces gens

Appelons cela une simple coïncidence afin de pas convoquer la providence en vain : deux livres paraissent en même temps qui invitent à méditer sur la nature du pouvoir consacrés à deux personnages qui viennent de se croiser sous le regard de millions de Français. François Hollande sur le départ, Emmanuel Macron à l’arrivée. L’un et l’autre racontés de l’intérieur. Du vécu à coup sûr. De près, de si près même que c’en est d’un peu trop près.

Beau titre que le récit trouvé par Philippe Besson pour son récit Un personnage de roman (246 pages, 18 euros, Julliard). Mais dangereux car il imprime une telle trace sur le récit que l’on finit par se convaincre que la forme la plus juste pour raconter Emmanuel Macron eut été non le reportage mais le roman, justement, tant l’homme et ses circonstances sont balzaciens. Nul doute que l’auteur est un ami du couple. Embarqué, mais volontaire. Il a donc suivi sa campagne électorale aux premières loges et il raconte de l’intérieur. D’autres s’y sont essayés avant lui : Yasmina Reza avec Sarkozy, Laurent Binet avec Hollande… On va finir par croire que c’est en passe de devenir un genre littéraire en soi. Ce qui serait regrettable si l’on en juge par les résultats. Car rien n’est moins littéraire que ces tentatives. On verra comment Emmanuel Carrère s’en tirera bientôt avec le grand portrait d’Emmanuel Macron que The Guardian lui a commandé. Quelque chose me dit qu’il gardera ses distances. Ce qui n’est pas le cas de Philippe Besson.

A plusieurs reprises, il nous fait savoir que les Macron sont ses amis, et que le candidat puis le président lui demandent son avis, sollicitent ses conseils. Ils se voient, se parlent, s’envoient des textos, se téléphonent. Ce n’est plus du journalisme mais ce n’est pas non plus de la littérature. Curieux objet en vérité. A la manière dont il rapporte les propos du héros, on se pose des questions. Vraiment, même quand il est énervé par des rumeurs sur sa vie privée, il dit : « J’ai rompu tout commerce avec ces gens… » plutôt que : Qu’ils aillent se faire foutre ! comme tout à chacun ? Il est vrai qu’il n’est pas comme tout le monde.3527563-exclusif-jean-pisani-ferry-philippe-b-950x0-1 2

Il a conçu ce livre dans l’idée de montrer que le roman personnel d’un quasi inconnu peut rencontrer le roman national. Belle ambition. Il y a bien eu une rencontre mais on ne la sent pas. Il y manque la folie des mots de la fiction, sa liberté, son trouble, sa légèreté. Il y a bien des choses lues et vues, des anecdotes ici ou là (Manuel Valls n’en sort pas grandi), quelques piques lancées à des personnalités politiques. Des intellectuels médiatiques (Finkielkraut, Badiou, Todd, Debray, Onfray) par Jupiter tenus non sans mépris pour « des éditorialistes » de peu d’importance à l’aune d’un Habermas. Bien peu d’humour et de second degré. Il semble que Besson ait pris le spectacle du pouvoir très au sérieux, Comme si le syndrome du gyrophare l’avait atteint alors qu’il n’était que spectateur engagé et embarqué. Quand le cortège du candidat slalome à 130 km/h toutes sirènes hurlantes pour poursuivre sur les routes à 150, alors que l’attaché de presse dort à côté de lui comme un bébé dans l’une des voitures et que lui s’accroche à la poignée, il note :

« J’ignorais qu’il était à ce point périlleux d’écrire des livres ».

Certes… Sauf que le vrai danger est ailleurs quand on écrit : c’est de se rater. De rester dans le terne. Philippe Besson est décidément meilleur dans sa veine et non dans celle-ci.

« On reprend la route, direction Reims, la ville où les rois de France ont été sacrés. Ah, le beau symbole ! ».

Mmmm certes certes… Est-ce vraiment ce que l’on attend d’un écrivain, surtout quand celui-ci a toutes les complaisances pour son héros au motif que celui-ci égrène des citations et « convoque le souvenir de Rimbaud » ? Il eut fallu raconter toute cette campagne, la même chose à supposer qu’elle présente un intérêt, à travers le prisme exclusif des démons qui hantent la mémoire de Macron. Un surtout : sa grand-mère Manette qui l’a élevé. Là est l’émotion, la faille, la brèche. Et le talon d’Achille de celui qui se considère et qui est considéré comme le grand-père des petits-enfants de sa femme sans avoir jamais eu d’enfants. L’essentiel est là qui demeurera mais n’occupe qu’un misérable petit tas de lignes. Le reste n’est que péripéties d’un épisode déjà oublié.

Pierre-Louis Basse, lui, en pince pour François Hollande. Son titre lui ressemble : Le flâneur de l’Elysée (270 pages, 19,50 euros, Stock). Il y a là un côté Fargue et Apollinaire piéton de Paris et flâneur des deux rives. De ce journaliste de radio, je n’avais entendu parler que par mes amis footeux pour l’excellence de ses livres sur le ballon rond et ses hérauts et pour sa biographie de Guy Môquet. J’ai donc été voir, peut-être plus curiosité pour l’auteur que pour le personnage qu’il a servi puisqu’il a été conseiller « Grands événements » du président Hollande de 2014 à 2017. Lui aussi raconte de l’intérieur mais cela n’a rien à voir avec les souvenirs vite troussés des remerciés de la République (Aquilino Morelle and co et ces jours-ci encore Jean-Christophe Cambadélis accablant Hollande dans un essai sur la débâcle de la gauche). Ce que le distingue déjà et fait toute la différence, c’est l’écriture, nerveuse, colorée, heureuse dans le maniement des formules et le sens du détail.

 

Drieu la Rochelle, celui de Gilles, de Rêveuse bourgeoisie, du Feu follet, est son écrivain de chevet et cela se sent, pour le meilleur, jamais pour le pire. De même que sa tendresse pour les hussards. Là aussi, c’est la loi du genre, les coulisses du pouvoir, les rumeurs, les petites histoires se bousculent sur les travaux et les jours. Ah l’organisation de déjeuners d’intellectuels pour « distraire » le président. De même les portraits vaches (Pascal Bruckner, Michel Onfray, étrillés sans pitié, Hélène Carrère d’Encausse réduite à son sillage parfumé et à sa surdité). Faut-il vouloir déployer un summum de cruauté pour commencer ainsi un chapitre : « J’ai été heureux de retrouver la main molle de Jacques Attali » avant de remettre le couvert quelques pages plus loin sur « cette main morte » non sans l’assortir d’ »un regard fuyant ». Mais Basse sait en faire autre chose que ce que c’est avec de l’esprit et du doigté. Il y a de fortes pages sur le spectacle caché, du pouvoir, la transformation des individus par le décor et le rythme, les gaietés du protocole, la solitude le ouikende la nuit à l’Elysée, la ronde des courtisans, la toile des comportements. Il excelle à décrire cette étrange palais où jamais les portes ne claquent ; quand il y a un problème, cela se solde silencieusement par la disparition de l’intéressé, sa chaise vide un beau jour « comme une scène d’un roman de Buzzati ». Bien vu !

Pendant trois ans, on lui a donné un bureau rue de l’Elysée pour y lire et réfléchir. Et de temps en temps y écrire des notes et des discours jugés toujours trop lyriques que le président (sobre) s’appliquerait tant à réécrire qu’il n’en resterait plus qu’un ou deux lambeaux de phrases. Mais on ne se refait pas, même en trois années à piaffer et désespérer sous les lambris : Basse est trop écrivain pour supporter la notion même d’éléments de langage. De quoi éteindre à jamais toute vanité d’auteur. Sans oublier la fonction de grand chambellan des événements républicains type : la commémoration du centenaire de la bataille de Verdun. L’idée du concert in situ du rappeur Black M n’est pas de lui mais du Conseil municipal ; cela dit, il la soutient et la justifie. Il faut bien distraire les milliers de jeunes bénévoles qui ont trimé pendant quatre jours. Personnellement, je leur aurais plutôt offert Les Indes galantes de Rameau avec les Arts florissants sous la baguette de William Christie mais après tout, chacun son truc. Mais de même qu’il a appuyé le refus catégorique du cinéaste Volker Schlondorff , qui filmait la cérémonie, de faire accompagner les chefs d’Etat en tenant chacun un enfant par la main (« L’ossuaire de Douaumont n’était pas encore le Parc des Princes »), il aurait pu remarquer que ce n’était pas non plus la scène du Zénith.

Il lui a fallu aussi se farcir toutes les cérémonies internes au Palais, celles remises de bibelots, décos et autres hochets de vanité. L’occasion de croiser le couple Lang surnommé « Ginger & Fred » et de croquer les autres d’un œil implacable. Là où le bât blesse, qui en réjouira certains et en énervera d’autres, c’est dans le vieux fond bien-pensant et si politiquement correct de l’auteur. Faut-il que ce soit un enchantement de lire une plume aussi précise et coruscante, pour qu’on ne lâche pas ce livre même lorsqu’il lui arrive de nous exaspérer, et les occasions ne manquent pas ! Il juge que « Comprendre, c’est déjà excuser » est la réflexion la plus idiote qui soit quand elle sort de la bouche de Manuel Valls mais modèrerait certainement son jugement s’il la savait sortie en fait de la plume de Mme de Staël. S’agissant du même premier ministre, décidément à la fête, il juge « scandaleux son soutien à la politique d’extrême-droite de Netanyahu » mais ne s’interroge pas sur le soutien du gouvernement français au même moment aux pires dictatures arabes.

Soucieux de distinguer les mauvais musulmans (les « chiens enragés », les « salopards », et même les « petits kapos » ainsi qu’il désigne étrangement les terroristes qui ensanglantent la France) des bons, il évoque ceux-ci comme « une population qui, depuis toujours, priait en silence chez elle » ce qui est vraiment une vision petit-blanc très Télérama de l’islam de France dont on sait bien, pour peu qu’on s’y intéresse, qu’il est majoritairement laïc. De même on s’interroge sur ses critères lorsqu’il cherche à savoir si les youyous aux balcons de la manif des présidents post-Bataclan s’adressent à « Netanyahu le Juif ou Abbas le palestinien ». Coulibaly est « un grand malade » et Alain Badiou a raison de voir en les tueurs des « fascistes ». Quant aux appels au meurtre de Bagatelles pour un massacre, ils lui font penser « à nos joyeux suceurs de roue nationaliste beuglant sur les migrants de 2017 », genre de propos où l’immonde le dispute à la bêtise mais qui est un bon reflet de l’air du temps ; il devrait plutôt révolter Pierre-Louis Basse, lui qu’un parallèle entre le FN et un tract du PC des années 70 rend furieux malgré les passerelles entre leurs électorats etc

Pas toujours facile à suivre, Pierre-Louis Basse. D’un côté, il tient le Voyage au bout de la nuit pour un chef d’œuvre, de l’autre il se flatte d’avoir été celui qui a alerté Serge Klarsfeld sur la commémoration officielle du centenaire de Céline, ce qui a déclenche le scandale, le piteux retrait et l’annulation que l’on sait. Mais il sera pardonné à un écrivain d’un tempérament si coléreux, qui a dû subir la bouche fermée l’amputation sinon la négation de ses écrits par son commanditaire même. Mais que de colères refoulées ! Elles sont touchantes car romantiques lorsqu’elles viennent d’un ancien compagnon du PC fidèle au militantisme de sa mère, aux fusillés de Chateaubriant et du Mont Valérien.

Elles le sont moins lorsqu’il évoque François Mitterrand comme « le dernier président à avoir vécu physiquement le combat contre le nazisme », ce qui mériterait à tout le moins un développement nuancé. Ou lorsqu’il présente François Hollande comme « un homme qui n’a jamais été dans ce spectacle qui nous dévorait », celui que les Français ont eu « la chance » et « le privilège » d’avoir eu comme président pendant cinq ans. Une chose est claire au moins : « l’amitié » qui le liait au président Hollande, cet homme allergique au roman et à la fiction, l’a contraint à la « fidélité ».

Cela laisse une drôle d’impression que de lire ces deux livres successivement. Le plus embedded des deux n’est pas le salarié de l’Elysée mais l’ami du couple. Il est vrai aussi que pour l’un, c’est du passé alors que pour l’autre, c’est peut-être l’avenir. Mais dans les deux cas, on se dit que des écrivains devraient se tenir à bonne distance du pouvoir. Et que si ils y touchent, comme tant d’intellectuels séduits par l’illusion de conseiller des princes et qui se sont déjà brûlés les ailes à trop s’approcher du soleil, leur œuvre n’y gagnera rien. Autant rompre tout commerce avec ces gens, comme disent certains.

(« Solitude au Palais » photo D.R. ; « Philippe Besson avec Emmanuel Macron en campagne », « Pierre-Louis-Basse avec le président » photos Afp, 2016)

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commentaires

653 Réponses pour Rompre tout commerce avec ces gens

JAZZI dit: à

« A plusieurs reprises, il nous fait savoir que les Macron sont ses amis, mais que le candidat puis le président lui demandent son avis, sollicitent ses conseils. »

Mais quoi ? « et » serait préférable, Passou.

D. dit: à

Très beau billet.

closer dit: à

Il est tout de même triste que Passou juge bon de consacrer une note interminable à un personnage aussi grotesque et nul que Philippe Besson et à un livre consacré à un personnage du même acabit par un écrivain peut-être un peu plus estimable, mais qui en gros a été payé à rien foutre à nos frais pendant trois ans…

D. dit: à

En effet, Jazzi. On cherche sans trouver ce qui génère ce ‘mais’.

Paul Edel dit: à

En découvrant ces deux compte- rendus de lecture, ce qui surnage : un terrible gris poussière de notre époque, un gout de cendres au fond de ces textes comme si deux fantômes, carnet de notes à la main, se promenaient dans une crypte et nous entretenaient de gisants.

closer dit: à

C’est donc le fou…tre qui ne passe pas.

JAZZI dit: à

« Le flâneur de l’Elysée »

Ni Apollinaire ni Fargue. Cela fait plutôt penser aux rois fainéants ! Le glandeur ou la branleur de l’Elysée…

JAZZI dit: à

Oui, D., le papier est meilleur semble-t-il que les livres chroniqués. Ce serait donc avec les mauvais livres que l’on ferait les plus beaux billets ? Mais on ne sait toujours pas pour qui Passou a voté !

JAZZI dit: à

« Rompre tout commerce avec ces gens »

Pour rompre, il faut d’abord avoir beaucoup fréquenter, fricoter !

JAZZI dit: à

fréquenté, fricoté…

JAZZI dit: à

« l’islam de France dont on sait bien, pour peu qu’on s’y intéresse, qu’il est majoritairement laïc »

Vous êtes sûr, Passou ? Cela mériterait quelque développement !

JAZZI dit: à

C’est deux livres ressortissent de la biographie instantanée, qui est à la biographie, ce que le café lyophilisé et à un bon café serré. Non, merci !

Janssen J-J dit: à

En effet, tant d’éloquence déployée pour des bouquins de si peu d’intérêt…
Il en surnage surtout des mesquineries sous le bouchage du nez final exigeant de la mise à distance !, mais transposab’ dans les prochains dîners en v(r)ille.
Et pourtant, si « le misérable petit tas de lignes » de Besson avait au moins satisfait sa curioisté sur la grand mère de Macron. Mais même pas ! Et si Pierre-Louis Basse avait fait main haute sur la main molle d’Attali ? Que ne ferait-on pour sauver un bon mot : Quelles poussières, nom de dieu !…
Mais voilà, l’écume des jours calmes après le cyclone Virginia. Faut bin renouveler le stockl et suivre parfois « l’actu » du jour.

Bonjour à toussent. Adieu à JC., LVDB, GWG-Pablo-Chaloux, bon « ouikende » aux restes (au fait, cette orthografle est-elle bien convenab’ sous la plume d’un juré Goncourt ?)

bérénice dit: à

11h16 un scrupule de neutralité qu’on trouverait chez celui qui sollicite les conseils en dépit du lien amical qui forcément influe sur tout?

bérénice dit: à

Pour l’ambition, on ne lira ni le rouge et le noir ni l’éducation sentimentale malheureusement déjà sécrétés il y a longtemps .

Nicolas dit: à

Moi je sais pour qui Passou a voté, il l’a écrit noir sur blanc dans un commentaire de la RDL, mais faut suivre plutôt que de…

closer dit: à

Bonjour Bérénice, que devenez-vous?

bérénice dit: à

(Manuel Valls n’en sort pas grandi),

ces satanés programmes qui ne résistent pas aux lavages en machine, une misère pour ces gens qui de Charles Aznavour pourraient chanter certaines chansons immortelles de son répertoire, y-a-t-on perdu au change?
Cela dit Jupiter c’est un peu facile quand on est né sous le signe du Sagittaire , vraisemblablement faut-il chercher ailleurs le symbolisme cher à notre président.

bérénice dit: à

nothing more, I am afraid of having become nothing more than nothing or that little, bonjour Closer.

bérénice dit: à

Pour la conclusion, quelqu’un a-t-il un avis éclairant la mort accidentelle de Jean-Edern Hallier, un de mes amis reste persuadé que cet accident n’en fut pas un.

JAZZI dit: à

Cette nuit, blanche la nuit, j’ai rouvert, le coeur palpitant, un roman qui m’avait enthousiasmé à vingt ans ! Un roman en quatre volumes, que j’avais découvert dans la bibliothèque d’un ami anglais. Celui-ci m’avait invité à l’occasion d’une permission, dans la villa de sa grand-mère à la Ciotat, du temps ou je faisais mon service militaire au camp de cavalerie de Carpiagne, entre Marseille et Cassis. Installé en maillot de bain, dans un transat, sous un arbre du jardin, d’où l’on pouvait accéder directement à la plage, par une porte dans le mur du fond, j’en avais commencé la lecture et ne pus plus la lâcher, jusqu’à la fin. A la fin de mon séjour, j’avais emporté discrètement les quatre volumes, sans demander la permission à cet ami, qui de toute façon devait débarrasser la maison de son aïeule défunte, vendue entre temps à un promoteur immobilier. Cette villa sans style bien défini mais pleine de charme fut rasée par la suite et remplacée par un petit immeuble de rapport.
Bien entendu, les quatre volumes, jamais relus, de la grand-mère provençalo-anglaise de mon ami ont disparu depuis bien longtemps, dans le désordre des déménagements successifs de mes multiples vies.
Dans la perspective de mon prochain goût de… je me suis procuré un exemplaire récent, en un seul volume, dudit roman, qui s’inscrit parfaitement dans le thème géographique de ma prochaine anthologie. Ce roman, dont le préfacier dit qu’il est pour lui : « le plus grand roman du XXe siècle (à condition que l’on fasse de celui de Proust le couronnement attardé du XIXe) », m’attendait sagement parmi bien d’autres, sur une table de mon salon. Je le regardais souvent, d’un oeil inquiet, me demandant si, quarante après, il allait me faire encore autant effet qu’à l’époque.
Et puis au coeur de la nuit, je l’ai ouvert et j’ai retrouvé aussitôt le même enchantement !
Ô lecteur erdélien, sauras-tu me dire de quel roman il s’agit ?
Quoi, tu réclames un indice !
Une ville et des personnages singuliers…

closer dit: à

Le Quatuor d’Alexandrie Zizzi!

Fastoche.

closer dit: à

Ceci dit, c’est très mal de l’avoir piqué à ton pote.

JAZZI dit: à

Bravo, closer !

JAZZI dit: à

D’autant plus, qu’aux dernières nouvelles, cet ami anglais serait devenu SDF à Londres…

closer dit: à

Il se trouve que j’ai relu Justine il n’y a pas si longtemps. Mais relire les quatre, je n’en ai pas ressenti le besoin.

Il semble que Durell ait toujours été plus populaire en France qu’en GB.

Bloom a-t-il une explication?

closer dit: à

A la première lecture, j’avais trouvé Justine très supérieur aux volumes suivants, grâce sans doute à ce personnage central extraordinaire…

closer dit: à

Evidemment, tout cela ne vaut pas Philippe Besson et Pierre-Louis Basse!

Pauvre Passou…

olga dit: à

Jazzi, quelle erreur d’avoir acheté le Quatuor en 1 seul volume … Chaque volume éclaire l’autre sous un jour différent.. et Cléa, la dernière scène de Cléa, le bateau….quelle merveille.

D. dit: à

nothing more, I am afraid of having become nothing more than nothing or that little

Très beau. Presque du Raffarin. L’âge d’or de l’anglais classique. Autrement dit.

JAZZI dit: à

Remarquable préface de Vladimir Volkoff, sous forme de lettre à son défunt ami Larry, closer, dans le volume de la Pochotèque, 2003 :

« L’une des grandes émotions littéraires de ma vie fut de reconnaitre en « Balthazar » le récit émondé et rectifié des évènements que j’avais trouvés dans « Justine », comme si c’était le même superbe pourpoint dont j’aurais pris l’envers pour l’endroit. La deuxième, de trouver dans « Mountolive » non pas une version de plus des mêmes évènements, mais au contraire une perspective linéaire, d’un classicisme renouvelé, traversant les deux autres récits comme une comète fend les orbites de deux planètes. La troisième, de constater qu’avec « Clea », vous saviez, Larry, transcender le tout et disposer un fronton parfait sur un édifice jusque-là déséquilibré, dynamique et soudain saisi dans la splendeur de son entéléchie réalisée. »

JAZZI dit: à

Pas acheté, olga, emprunté à la bibliothèque !

D. dit: à

Jean-Edern clopait à fond la caisse des cigares et s’envoyait généreusement de la vodka.
Ca aide pas le coeur.
C’est aussi vrai que sous tonton mourrait facilement.

closer dit: à

« Quelle part vient de l’éducation de l’homme blanc, »

C’est fou comme les délires idéologiques les plus absurdes finissent par s’imposer. Nicolas, qui n’est sans doute pas plus bête ni plus inculte qu’un autre, semble avoir intériorisé l’idée que les « mâles blancs » seraient particulièrement misogynes!

Or il n’y a pas une civilisation au monde où la femme ait acquis autant de droits, de visibilité et de liberté, que dans la civilisation européenne…

Je suppose que c’est par lâcheté qu’à chaque fois que l’une des folles de service fustige le « mâle blanc », personne ne songe à lui demander « vous croyez sérieusement et vous pouvez démontrer que le mâle noir, le mâle arabe, le mâle indien, le mâle chinois, se comporte mieux de façon générale vis-à-vis des femmes que le mâle européen? »

Poser la question, c’est y répondre comme dirait ma concierge, pardon, ma gardienne…

closer dit: à

Il faudrait peut-être que je retente le coup avec les autres volumes, Annibal…merci.

Petit Rappel dit: à

ce n’est pas du roman, tout juste des historiettes qui n’ont pas trouvé leur Tallemant des Réaux!Témoignages destinés aux historiens futurs destinés à se pencher sur ses sujets. Encore Tallemant écrivait-il en indépendant, ce qu’on ne peut dire ni de l’un, voué à la Propagande Macronienne ni de l’autre, fidèlement attaché à une cause perdue…

DHH dit: à

@Bérénice
j’ai toujours entendu parler comme d’un fait de notoriété publique que jean Edern Hallier qui menaçait de révéler l’existence de Mazarine avait été longtemps écouté et en définitive « liquidé » par Mitterrand eta

bérénice dit: à

DHH il est tombé de sa bicyclette, pas d’autopsie pour révéler la cause de son malaise d’évidence cardio-vasculaire ou vasculaire, infarctus, embolie, AVC pourraient expliquer qu’il soit mort subitement un beau matin.

Janssen J-J dit: à

14.03 / oui, mais ce sont des ragots…. et Mitterrand n’a jamais officiellement demandé à Hernu de couler le Rainbow Warrior, en revanche, il eut peur de Plenel et d’Hallier, et n’eut pas tellement les cuisses propres, à leur égard. Mais on on va pas nous refaire ici le coup de l’assassinat de Boulin par le fan club de Chirac. Surtout depuis le départ de JC.

12.49 / Ah merci Jazzi pour nous avoir fait remonter du Nil, (et de la noyade certaine), la pauvre Cléa, à la fin de la saga Justine, Balthazar, Mountolive… 1986, quel merveilleux été ce fut là, avec ce Quatuor, … avant l’arrivée des gros nuages !

DHH dit: à

Dans la même veine que les livres du billet , mais mâtiné d’humour un peu amer je me souviens de « grand amour « d’Orsenna où il raconte avec distance le blues du conseiller lambda à l’Elysée , celui qui ne voit pas le président mais ses sbires ,à qui on demande des notes seulement pour les organisations de chrysanthèmes , notes qu’on s’applique à soigner parce qu’on est content d’avoir enfin une commande et qui sont soit défigurées soit oubliées
L’homme à la main molle et au regard fuyant y figure, sans indulgence de l’auteur sous la dénomination pompeuse de « conseiller spécial « avec ses caprices de diva comme d’ imposer dans la cour de l’Elysée la place de parking dédiée à « la mère du conseiller spécial »

Sergio dit: à

Faut jamais tourner le dos aux fenêtres, cowboy !

Sergio dit: à

Non mais le Rainbow c’est un iceberg…

Nicolas dit: à

Closer la Pangloss de la rdl c’est mort de rire, toujours ce besoin de se comparer aux autres dans sa frustration morbide de pseudo monde décadent parce qu’on ne se lave plus les dents avec des poils de sanglier. C’est bien connu que la situation des femmes en 2017 en France est merveilleuse ou l’aveuglement idéologique du névrosé en ruine. C’est bô.

DHH dit: à

@closer
Par deux fois de nouveau sous le fil précèdent j’ai essayé de poster sur Mardrus pour répondre à votre demande
Rien . le réseau ne veut pas entendre parler de ce sujet mais accepte tout ce que je poste d’autre? Bizzare!

D. dit: à

C’est à cause de la N#S^A. Faut pas chercher + loin.

Sergio dit: à

Boh l’Elysée faut venir en moto ça gêne pas…

Une petite place sous l’auvent derrière ! Le président i descend on cause mécanique… Mais on i prête pas, attation ! I garde tout…

rose dit: à

DHH
essayez ici comme cela on le saura.

JAZZI dit: à

Les hommes sans mémoire

Les hommes sans mémoire
Vivent au jour le jour
Je reste pour les voir assis sur l’autre rive
Ce qui a été ne sera plus jamais
C’est du moins ce qu’ils disent
Et d’ajouter :
Inutile dès lors de se rappeler
Que diable il faut bien vivre !
Les hommes sans mémoire
Ont effacé les traces
Qui font se retourner
Les hommes du passé
Et moi je reste en face
Essayant de comprendre
D’où est-ce qu’ils venaient ?
Où est-ce qu’ils allaient ?
Incapable que je suis d’oublier
Je cours après les ombres
M’informe des enfances
Mets au jour des secrets
Les hommes sans mémoire
Vivent au jour le jour
Tandis que je jette des ponts pour l’éternité
Est-il vain de se souvenir ?
Qu’importe !
Je ne puis oublier
En moi grossissent les histoires
Rien ne s’efface
Aussi je prévois les destins
Et je suis seul
Face à tout ce qui vient

16 novembre 1984

Chantal Bis dit: à

Pour la Quatuor, rapport à la nuit blanche de JaZZi, j’arrive mais un peu tard… avec une missive à l’ami regretté Henri L. qui me l’avait aimablement confié.
Laquelle confirme vos impressions…

Cher Henri,

Me revoilà, après un superbe voyage au coeur d’Alexandrie.
A tourner autour d’une sculpture de papier…
Jamais vue de face, Justine manquait à l’appel, comme tu le sais…
Mais cela n’a pas d’importance, tant on peut reconstituer le puzzle, se promener dans cette mosaïque égéenne sans difficulté…
Ce fut un plaisir sans nom, rien à voir avec toute cette littérature contemporaine qui me semble à présent tellement fade.
Pursewarden, c’est le nec plus ultra en matière de personnage désopilant, torturé, d’un cynisme et d’une lucidité qui n’a d’égale que son humour et son flegme
Un personnage fabuleux (à prendre en son sens premier)… et si Lawrence Durrell y a mis beaucoup de lui-même (et ma tête à couper que c’est le cas !), alors on ne peut que regretter de ne pas l’avoir rencontré un jour (il a vécu 30 ans à Sommières, dans une belle maison de maître, de l’autre côté du fleuve).
Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, même s’il n’y a aucune linéarité dans le récit…
Je l’avais déjà lu, ce quatuor, mais quand ? Il y a fort longtemps, « du temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre… » ai-je envie de dire !
Certains passages me sont revenus à la mémoire à les lisant (la description d’une fête religieuse dans le désert, par exemple : ces images s’étaient littéralement imprimées dans mon esprit !).
Même au plus fort de ces tortueuses intrigues d’ambassades (rien n’a certainement changé depuis !) je n’ai pas perdu le fil…
Il y a des passages d’une drôlerie, d’un pittoresque, d’un humour ravageur…
Quel observateur, cet écrivain !!! Y en a-t-il encore de cette veine ?
C’est d’une finesse, d’une justesse et d’une intelligence incroyable…
Mais j’en reviens à la construction (parce que pour le style, ce n’est même pas la peine d’en parler… éblouissant de clarté, de fluidité…)
J’ai vraiment eu l’impression de déballer une offrande, indéfiniment, mais sans jamais pouvoir toucher au réel, sans pouvoir arriver à l’essence même de l’objet…
… parce que chaque tome ouvre une autre perspective sur les personnages…
Toute connaissance est relative, semble nous dire cet homme… jamais on ne peut dire de quelqu’un qu’on en a fait le tour…
Le temps, l’espace s’en mêle… mais surtout sa propre sensibilité, ce que l’on est soi-même, et ce que l’on renvoie à l’autre, dans le miroir…
Dans ce roman, ce pavé de 1000 pages dont je n’ai pas fait tout à fait le tour, tout se tient par l’éclairage prismatique de celui qui écrit et on en vient à penser, la dernière page tournée, qu’on a beau parler la même langue, chaque histoire peut-être racontée différemment.
Tout dépend de quel côté on se place. Qui on est. Et à qui on s’adresse (mais l’écrivain, ne s’adresse-t-il pas à lui-même, d’abord !)
Superbe démonstration qu’il nous donne, cet écrivain.
Et pour le lecteur, celui d’hier ou d’aujourd’hui, c’est du pareil au même.
Une amie ne vient-elle pas de me dire, au sujet d’un livre que nous avons lu de concert, et au vu de ce que j’en avais écrit :
« Nous n’avons pas lu le même livre ! »
Alors, voyons…
Ce que tu en diras, toi… De ce quatuor…
Si d’aventure, tu t’y reponges.
Merci, tout simplement, de m’avoir prêté ces trois tomes…
Je te les rendrai bientôt…
A bientôt.

DHH dit: à

@rose @closer
j’ai encore essayé ça ne marche pas!

JAZZI dit: à

En ouverture du Quatuor d’Alexandrie, Chantal Bis, et en guise d’avertissement, Lawrence Durell écrit :

« Les personnages de cette histoire d’un groupe, ainsi que la personnalité du narrateur, appartiennent tous à la fiction. Seule la ville est réelle. »

Chantal Bis dit: à

Vous avez certes raison, J., mais moi je n’y crois jamais vraiment à ce genre d’incipit… Cela pose la question de ce qu’il en est d’une fiction, ce qu’on y met de soi, ce qu’on invente, le réel transformé, etc, etc… Sujet interminable à décortiquer, je ne me lancerai pas là-dedans.
Je vous conseille « Dans l’ombre du soleil grec » de Corinne Alexandre-Garner pour approfondir le sujet. Et d’aller vous promener à Sommières l’été… ambiance particulière assurée !

Juste une phrase extraite de « Mountolive » en lien avec le billet de Passou :
« Le conflit vieux comme le monde entre le devoir, la raison et les affections personnelles qui sont la croix et la principale faiblesse de tout homme politique. »

Et pour ce qui est donc dudit billet de notre hébergeur : bien vu, comme il dit… Bien lu et bien rendu… Enfin j’imagine. Pas lus ces deux récits. On pourrait dire : « De l’influence des ors élyséens sur les attitudes de nos présidents », bien que le tout dernier en place compte bien sur Brigitte pour dépoussiérer les lieux, ai-je lu quelque part !
Je retourne à mes préparatifs, Monsieur Decoin…
« Des carpes, Jim Morrison, un passant et un platane » en vue pour ce week-end !

Sergio dit: à

« Ces bons Rémois », disait Louis XVI…

Paul Edel dit: à

A priori,le maitre de ce blog ne semble pas particulièrement encombré ni débordé par un afflux d’immenses romans, prêts pour la compétition d’automne.A moins qu’il ne tienne ses découvertes littéraires dans un lieu secret, pour mieux les révéler en priorité à ses collègues de Drouant.Un truc du genre :j’ai trouvé un nouveau « Docteur Jivago » à la française, mais chutt jusqu’au vote,motus, rien, aucune fuite..et ça va faire du pétard.

Passou dit: à

Paul Edel, Si seulement….

Sergio dit: à

« Qui pourrait tout comprendre voudrait tout pardonner » faut pas sortir de l’ENS…

D. dit: à

Quelle compétition d’automne, Paul Edel ? J’en ai assez de ces cachotteries…

Delaporte dit: à

« Ce n’est plus du journalisme mais ce n’est pas non plus de la littérature. Curieux objet en vérité. »

Le meilleur livre de politique que j’ai lu ces dernières années, c’est celui de Buisson, sur Sarkozy. Je ne partageais pas du tout ses idées, bien sûr, mais c’était une vraie réflexion très approfondie sur la politique. Ceux dont vous parlez, Passou, ne me mettent pas du tout en appétit !

D. dit: à

Kim Jong a dit qu’il descendrait les bombardiers US qui s’approcheraient trop près de la Corée du Nord.
Le problème c’est qu’il n’a pas de quoi le faire.
Alors ces bombardiers vont non seulement revenir, plus nombreux, et le bombarder pour de bon.

Delaporte dit: à

« A priori,le maitre de ce blog ne semble pas particulièrement encombré ni débordé par un afflux d’immenses romans… »

Non, mais il a raison de parler des essais, qu’il ne faut pas laisser à la portion congrue. La rentrée des essais, c’est plutôt en octobre-novembre, mais c’est toujours bien d’en parler – en espérant qu’il y en aura de bons, du moins meilleurs que ceux-ci.

Sergio dit: à

Ha non Carrère d’Encausse c’est quand même la seule à démontrer que le Popov, pourvu qu’on n’aille pas les lui briser, eh bien il était fort heureux chez lui et tout prêt à y demeurer.

C’est pas rien !

D. dit: à

Vous avez raison, Delaporte.
Buisson est un homme remarquable.

D. dit: à

L’expertise psychiatrique de Murielle Bolle, faite dans le cadre de l’épouvantable affaire Grégory, a pris en compte un « test de l’arbre » (à dessiner).
Et voici un extrait du résultat : « Nous remarquons la présence d’une zone oblongue sur la surface du tronc, pouvant attester (…) d’un événement majeur, traumatique, qui serait survenu dans la vie de l’intéressée entre 13,4 et 16,2 ans. »

D. dit: à

Notez bien que ce n’est pas 13,5 ni 16,1.

Sergio dit: à

La chaise vide c’est le Bar de l’escadrille !

Janssen J-J dit: à

17.33 Fastoche, quand on est sourdingue et qu’on voit pu rin… l’confond encore popov et levy strauss.

Janssen J-J dit: à

16.00 c’est vra ça, qu’il a pas encore donné son avis sur la dizaine qui restent… Mais l’a encore toul’mois d’octob pour influencer es fanes… Rin encore sur la copine des bois mesdames au franprix, l’est suspect, non ?

DHH dit: à

Le quatuor d’Alexandrie entre 59 et 61 c’était la lecture à la mode,un peu oubliée depuis ,et qui merite la redecouverte dont elle semble etre l’objet ici et que les divers post me donnent envie de relire
Je me souviens que nous étions fascinéees par le personnage et le destin de Justine cette femme mysterieuse , sortie d’on ne sait où, devenue une sorte d Oriane qui brillait par sa beauté , son elegance, son intelligence au sein de la gentry cosmopolite, et qu’on retrouve plus tard ni maquillée ni apprêtée travaillant dans le kibboutz où elle a voulu retourner « au bercail de ses peres »
Celui des quatre que je préférais c’était Mountolive avec le retour en Egypte comme ambassadeur de celui qui y avait fait ses débuts dans la Carriere comme secretaitre d’ambassade , et ses retrouvailles avec la grande dame issue de l’aristocratie copte dont il avait eté l’amant et dont la beauté d’autrefois était ravagée par la variole .
Je me souviens la qualité funebre que Durrell a su donner à une scéne ou le personnage (QUI ?)est sur un bateau qui glisse au crépuscule sur un canl à Venise
Je vais relire tout cela et eclairer tous ces souvenirs que les années ont rendus bien disparates et flous

DHH dit: à

et voilà
il suffit que je ne parle pas des mille et une nuits pour que mes posts passent

hamlet dit: à

désolé de vous répéter mais vous avez bien fait d’appeler cela une simple connivence afin de pas provoquer l’évidence des seins, je veux dire de ne pas évider la corpulence des nains, non pour programmer la flatulence des saints, en tout cas vous avez mille bien fait de l’appeler comme ça.

hamlet dit: à

« Un personnage de roman 246 pages 18 euros Julliard » c’est effectivement un titre assez original, en tout c’est un titre qui donne envie de le lire parce que mettre le prix dans le titre fallait trouver l’idée.
encore que j’aurais presque inverser les mots du genre : « Julliard 246 pages un personnage 18 euros de roman »

hamlet dit: à

étriller Michel Onfray ? ça c’est pas bien.
un type qui osé créer une université populaire pour permettre à des gens de peu d’accéder à la culture et à la philosophie ça ne s’étrille pas !

à moins bien sûr d’avoir un certain mépris pour le peuple !

hamlet dit: à

après on s’étonne des records des taux d’abstention dans notre pays.

j’imagine que ce monsieur je crache dans la soupe est encore un grand fan de Thoreau ?

encore un qui attend que l’extrême droite se retrouve au deuxième tour pour se mobiliser.

c’est désespérant.

hamlet dit: à

non seulement c’est désespérant mais en plus c’est hyper téléphoné, Mr Assouline tout ce que vous dites dans cet article, mot pour mot, il n’y a pas besoin de l’écrire : tout le monde le sait déjà !

et non seulement nous le savons mais en plus ça finit par nous gonfler de se l’entendre répéter toutes les trois minutes.

j’imagine d’ici la scène dans le 5ème arrondissement : ouai quel toupet ! ouai quel courage ! ouai enfin un qui ose dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas….

mais c’est d’un convenu (en 2 mots), c’est d’un attendu, non seulement le livre est convenu mais surtout la réception à ce genre de livre.

hého réveillez-vous, nous sommes en 2017, open your eyes and your esgourdes, écoutez ;e doux murmure des vols de missiles nord coréens au dessus de nos têtes bien pleines…

hamlet dit: à

sérieux, on se dit : allons voir ce qu’il se passe du côté de la littérature et on se retrouve dans une émission de Ruquier ou sur RMC infos.

sérieux, faut essayer de retrouver un peu de sérieux.

hamlet dit: à

« Mais dans les deux cas, on se dit que des écrivains devraient se tenir à bonne distance du pouvoir. »

quel pouvoir ? politique ? dans ce cas il faut préciser « politique » derrière le mot « pouvoir », parce que tout le monde sait bien qu’aujoud’hui le pouvoir n’est plus du côté du politique.

Onfray l’a compris très vite, le philosophe du prince c’est fini, le pouvoir maintenant c’est la finance et les médias, les deux allant de pair comme du temps du couple finance politique.

et le gros problème de ce genre de mascarade c’est de vouloir continuer de faire croire aux gens que le pouvoir est encore politique, sauf que comme ce sont les médias eux même qui fabriquent ces bouquins, du coup c’est ce qu’on peut appeler de l’enfumage à grande échelle !

ce type peut bien étriller Onfray : les deux sont à mettre dans le même sac de l’enfumage à grande échelle.

hamlet dit: à

« Mais dans les deux cas, on se dit que des écrivains devraient se tenir à bonne distance du pouvoir. »

cette phrase est un contresens, dans la mesure ou le vrai pouvoir aujourd’hui c’est les médias, dans la relation intime entre éditeur / média si l’écrivain se retire du pouvoir automatiquement il se retire du monde de l’édition.

c’est un contre sens complet, sauf qu’expliquer ce contre ses aux gens reviendrait à jeter le bébé avec l’eau du ban.

sauf que tant qu’on aura pas explicité clairement ce point personne ne comprendra coment fonctionne le système.

alors on peut toujours amuser la galerie avec les facéties de Hollande ou les poussées d’acnée juvéniles de Macron, cela n’ira que dans un seul sens : celui de renforcer l’extrême droite.

et ça même un gamin de 4 ans le comprendfrait.

closer dit: à

DHH, je ne saurai donc jamais si la traduction de Mardrus présente l’avantage sur celle de Galland de ne pas censurer les passages érotiques de l’original…

Sniff!

bérénice dit: à

Ceux dont vous parlez, Passou, ne me mettent pas du tout en appétit !

Delaporte bien qu’absolument pas Sarkozienne je note votre goût pour les amis fidèles à têtes enregistreuses, bon il est vrai que dans ce monde il ne faille pas s’attendre à une loyauté sans faille mais enfin , Buisson, c’est un traître ou un intriguant sur qui peu maintenant miserait non? Que cherchait il sinon à confondre en bon serviteur de l’Etat son maître …
http://www.atlantico.fr/pepites/enregistrements-nicolas-sarkozy-patrick-buisson-condamne-1011034.html

bérénice dit: à

Hamlet, on peut espérer qu’il vive de vrais littérateurs exempts de connexion avec ce monde bigarré en bataille rangée et présentable se donnant pour mission d’illustrer, relayer, flatter, courtiser, soutenir, interroger, critiquer le pouvoir qu’il soit médiatique, financier, politique ou les trois à la fois.

JAZZI dit: à

« et ça même un gamin de 4 ans le comprendrait. »

C’est bien vrai, çà, moi-même je l’ai compris !

la vie dans les bois dit: à

De tous les livres parus sur choupinet depuis moins d’un an il a fallu aller vers la facilité, avec Besson, éditorialiste d’un torchon. C’est pas bien !

Et pourquoi pas Bernard Montiel, ou Stéphane Bern, tant qu’on y est ?

Et je dirais même plus, pour tous les illettrés, les kawass-kwassa, les séche-linge, les bateaux, les TGV, les fainéants… c’est presque criminel. De verser dans la facilité.

Si choupinet aime sa mémé c’est pas ça qui l’a fait devenir grand-père par procuration. Tu parles d’un tas de secret, il a perdu le  » mode d’emploi »?
Nan, c’est parce-que sa mémé lui a légué sa grammaire ( salut David Pujadas)et qu’elle lui faisait des fiches de lecture pour qu’il réussisse ses concours… Enfin celui de l’ENA…Mais avec des mémés comme deachach, c’est in ze pocket.

si Birgitt est trop âgée, pourquoi elle en fait sottement trop ?
http://www.programme-tv.net/news/societe/160973-homosexualite-vie-intime-un-ami-de-brigitte-et-emmanuel-macron-se-confie-sans-filtre-sur-le-couple-presidentiel/

bérénice dit: à

« Qui pourrait tout comprendre voudrait tout pardonner »

pas d’accord, ce n’est pas parce que vous comprenez les rouages d’une machine infernale ( guerres tribales, exploitation forcenée de l’homme par l’homme, désordres de tous ordres et abus , dérives et perversions des systèmes etc) que vous pardonnez qu’ils puissent encore fonctionner sans qu’aucune solutions ne puissent être recherchées et mises en place pour remédier efficacement à ces écarts qui éloignent de la production de plus de justice, plus de paix, plus de perspective au progrès qu’il concerne le social, l’organisation sociétale, l’accès à l’espérance jusqu’à l’assurance ou la promesse d’une vie meilleure pour le plus grand nombre.

bérénice dit: à

celui de renforcer l’extrême droite.

Pour le moment, le parti français naviguant à l’extrême perd un de ses cadres, le sénat reprend à droite, faut-il prévoir un rapprochement entre Mr Wauquiez et Mr Philippot ainsi qu’un retour de Marion MLP qui me semble bien plus incisive et réactive pour ancrer le parti FN dans un courant susceptible de plaire aux puristes de cette obédience quelle que soit leur génération .

JAZZI dit: à

 » Si seulement…. »

Faudrait pas que Passou nous fasse une dépression !

closer dit: à

Vu sur Le Monde en ligne:

« jviala : Je suis personnellement furieux contre la politique fiscale de M. Macron. Je suis à la retraite depuis le début du mois et ma pension s’élève à 2 643 euros. Je suis donc trop riche pour bénéficier de la suppression de la taxe d’habitation et ceci de très peu. Je vais payer plus de CSG à partir de janvier (2018) et je ne suis pas assez riche pour les ristournes fiscales des hauts revenus… »

Trop riche pour bénéficier des allègements pour les pauvres, trop pauvre pour bénéficier des allègements pour les riches…

Situation classique: toujours les mêmes qui trinquent, les moyens, les pacifiques (on a rarement vu des retraités brûler des voitures), les sans pouvoir de nuisance…

la vie dans les bois dit: à

« rompre tout commerce avec ces gens ».
Caisse à dire ?
Erreur de la banque en votre faveur?

Si rude soit le début, le pire est devant vous.
j’ex-pire.

JAZZI dit: à

« (on a rarement vu des retraités brûler des voitures) »

Je crois qu’il y a eu un gang de braqueurs de banques de seniors, closer ?

Sergio dit: à

bérénice dit: 27 septembre 2017 à 19 h 35 min
« Qui pourrait tout comprendre voudrait tout pardonner »

pas d’accord, ce n’est pas parce que vous comprenez les rouages d’une machine infernale ( guerres tribales, exploitation forcenée de l’homme par l’homme, désordres de tous ordres et abus , dérives et perversions des systèmes etc) que vous pardonnez

C’est Germaine !

Mais c’est juste : comprendre n’a strictement rien à voir avec pardonner ; ils ne sont pas sur le même bowling.

Le domaine de la compréhension est l’objectif. Il concerne absolument tout, du photon quantique à la plus vaste construction, intellectuelle ou physique.

Le domaine du pardon est le subjectif,autrement dit l’affect ; rien de commun avec le premier, avec le premier bowling. Il ne concerne que l’homme et à la rigueur les animaux domestiques : on pardonne à un autre être humain, voire à son gros chien-loup, après quelque pénitence, qui a tué un mouton du voisin.

Mais cela mériterait d’être analysé bien plus profondément ; quand à Germaine, guillotine immédiately !

Chaloux dit: à

« Je fais entendre le rire du Garçon. »

closer dit: à

« C’est un braquage à l’ancienne, sans violence, sans coups de feu, »…

Ça fait toute la différence Annibal!

l'ombelle des talus dit: à

@Ça fait toute la différence Annibal!

Si vous aviez du plomb dans la tête, peut-être

bérénice dit: à

Trop riche pour bénéficier des allègements pour les pauvres

1200 euros c’est assez pour bénéficier de la hausse de la CSG, on ne va pas plaindre cette personne qui somme toute ne semble pas totalement démunie. Il est certain qu’entre les deux, les retraités cette fois plutôt aisés si on les compare à ceux qui perçoivent 1200 euros vont devoir continuer de s’acquitter des taxes d’habitation sans pouvoir profiter d’allègements ou d’exonération fiscale. On peut toutefois supposer qu’avec une telle retraite cette personne aura eu le temps de faire l’achat de sa résidence avec tous les équipements nécessaires. Personnellement ce n’est pas cette tranche qui me mobilise .

closer dit: à

 » les cinq témoignages de proches de François Delaporte confirmant sa présence à Tourville-la-Rivière une grande partie de la soirée du casse.  »

T’es cuit Delaporte!

Et dire qu’il se faisait passer ici pour un gentil militant anti-travail, tendance Pape François…

Sergio dit: à

hamlet dit: 27 septembre 2017 à 18 h 48 min
encore un qui attend que l’extrême droite se retrouve au deuxième tour pour se mobiliser.

Houi c’est pas souhaitable d’attendre, comme qui dirait ; mais il y en a qui préviennent bien, comme par ézample l’excellentissime Passou…

Que chacun fasse ce qu’il peut à sa place, il n’y a guère d’autre martingale…

la vie dans les bois dit: à

Et à Paris, avec un certain Delaporte dans la bande !

Tout à fait excellent.

bérénice dit: à

Pour suite, on peut supposer que pour ne pas trop charger les bonnes retraites l’effort devra être porté par l’ensemble à partir d’un plancher qui est loin de l’aisance , certains ont souffert de ne disposer que de cette modique somme pour répondre aux frais d’une vie d’étudiant, à croire que les gens âgés en voyant l’avenir s’amenuiser réduisent parallèlement leurs dépenses basiques.

bérénice dit: à

L’excellent Claude Rich sur Arte.

closer dit: à

« 1200 euros c’est assez pour bénéficier de la hausse de la CSG »

« Bénéficier »?

Si ce n’est pas cette tranche qui vous mobilise, laquelle vous mobilisera Bérénice? Ce qu’il faut comprendre, c’est que c’est la seule qui subit une perte sèche sans aucune compensation nulle part. Toutes les autres, plus pauvres ou plus riches se rattrapent d’une façon ou d’une autre. Je comprends très bien la réaction de ce Monsieur.

D. dit: à

Ce qu’il faut surtout comprendre, c’est que l’imposition en France demeure ridicule par ses principes et ses taux exorbitants comparativement à d’autres pays.
Macron ne change strictement rien : le merdier demeure. Il ne réforme strictement rien, fait des comptes d’apothicaire…
Pendant ce temps-là le chômage augmente et les fleurons de l’industrie française sont vendus à notre ennemi : l’Allemagne.
Bravo le grand réformateur !

bérénice dit: à

Delaporte, oui on peut le comprendre néanmoins il ne devrait pas trop souffrir si ce n’est d’une certaine injustice au regard du fisc si l’on est spécialiste et si l’on déplore le manque à gagner que réussissent à constituer exode et autres pratiques frauduleuses quand on regarde au delà, pour ce qui est de notre système d’imposition concernant les plus riches je ne pourrais rien en dire ne m’y intéressant que peu car pas concernée et n’ayant nulle fortune à gérer, protéger, épargner, faire fructifier, assez cependant pour avoir enregistré que l’ISF disparaissait – est-ce bien ou mal ? – en deçà d’un certain seuil ponctionner quelques dizaines d’euros ramenés à un pourcentage, c’est beaucoup et cela ampute un budget qui ne parvient que tout juste à répondre aux dépenses vitales et alimentaires, loin du luxe ou du loisir, de l’agrément.

bérénice dit: à

bénéficier = être redevable.
message précédent maladroitement adressé à Delaporte alors que je vous répondais.

Sergio dit: à

« le soutien du gouvernement français au même moment aux pires dictatures arabes. »

Mais si c’est très bien : les chasseurs-bombardiers qu’on leur vend vont nous revenir gratos ! On n’aura lever la tête…

Ha c’est de la qualité ! Bombes de la société nationale des poudres et explosifs, plus besoin d’aller dans le Pacifique pour les essayer…

Sergio dit: à

La conclusion est fort bonne.

Mais franchement, un islamisme laïc, qu’est-ce que c’est que ce vistemboire ? C’est abstrus…

Keskeucé, dirait le Concombre…

bérénice dit: à

Sergio c’est sûrement comme un catholique laïc, vous, moi, les autres qui n’allons plus à l’église et prions Dieu et tous les saints pour Kim Jong roquette ne s’oublie pas dans le hangar à bombes.

Jean Langoncet dit: à

Sergio dit: 27 septembre 2017 à 22 h 58 min
La conclusion est fort bonne.

Mais franchement, un islamisme laïc, qu’est-ce que c’est que ce vistemboire ? C’est abstrus…

Keskeucé, dirait le Concombre…

De quoi désorienter les Dupont et Dupond

A plus loin; kiss kool vous salue bien

Sergio dit: à

Jean Langoncet dit: 27 septembre 2017 à 23 h 47 min
De quoi désorienter les Dupont et Dupond

Houi, ce qu’il y a, c’est que c’est quand même, malheureusement, une question aujourd’hui très importante, et on sait pas si c’est du lard ou du cochon, si c’est de l’humour, de l’ironie, mais à ce moment-là pas bien franc du collier, pas « lustiges Wissen », ou de l’amertume, bref on sait pas.

Ou alors, ce que j’ignore, il existerait vraiment une tendance, un schisme, une version une chapelle de l’islam qui au moins foutrait la paix aux autres, c’est tout ce qu’on demande, et là ce serait magnifique.

Je pensais en particulier à l’histoire du tabac, au moment de la guerre d’Algérie, quelque peu… fumeuse, mais qui avait le mérite, malgré les terribles mutilations occasionnées, de révéler que n’y régnait pas un islam omnipotent et imperméable.

Sergio dit: à

bérénice dit: 27 septembre 2017 à 23 h 45 min
Sergio c’est sûrement comme un catholique laïc, vous, moi, les autres qui n’allons plus à l’église

Ah ben cela, ça serait vraiment bien, peut-être l’amorce d’un tout début de solution, parce qu’on veut ni les zigouiller ni les bomber, mais qu’ils nous lâchent un peu le tergal, quoi…

Delaporte dit: à

« Et à Paris, avec un certain Delaporte dans la bande ! »

Je lutte pour crier mon innocence, Jacuzzi. Entre deux auditions, je reviens ici vous dire ce qu’il en est de ce braquage qu’on m’impute ! Bonne nuit.

D. dit: à

Cette affaire est très kardashiante pour vous, Delaporte.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…un employé de banque, président des stratifications françaises,!…

…pourquoi faire,!…comiques, hors-textes,!…
…etc,!…

rose dit: à

g trop ri à Agadir avec l’affaire de François. en chemin pour Trouville j’étais aussi la nuit dite à Tourville la rivière avec notre ami Delaporte. suis le 5 ème témoin.

bérénice dit: à

« Les cadeaux fiscaux aux plus riches seront financés par des coupes budgétaires sévères, qui traduisent une obsession de la baisse de la dépense publique (environ 16 milliards d’euros en 2018). Les crédits publics subiront un coup de rabot général qui frappera aveuglément les plus fragiles, comme l’illustre la baisse de l’aide personnalisée au logement (de 1,7 milliard d’euros) et la suppression de nombreux contrats aidés. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/09/27/budget-2018-les-menages-les-plus-aises-beneficieront-de-mesures-anti-redistributives_5192438_3232.html#ekZYHdhd5fD3WV3c.99

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…vous dites, Pareto,!…

…Oui,!…
…le Pareto,…à l’Optimum, entre – autres,!…

…et, 14 – 18,…pour son cul, encore chaud,!…à l’économie sociale,!…

…encore, un bout de cyan,…of course,!…
…etc,!…

bérénice dit: à

ISF
Côté fiscalité du capital, l’impôt sur la fortune (ISF) sera transformé le 1er janvier 2018 en impôt sur la fortune immobilière (IFI).
En seront exonérées les valeurs mobilières (actions, parts d’entreprises…). L’abattement de 30 % sur la résidence principale sera maintenu, l’ISF-PME, supprimé.
L’immobilier professionnel continuera d’échapper au nouvel impôt.
Pour un propriétaire, le montant de l’emprunt restant à rembourser continuera de venir en déduction de son impôt.
Coût pour l’Etat : 3,2 milliards.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2017/09/27/taxe-d-habitation-csg-isf-ce-que-le-budget-2018-va-changer-pour-vous_5192255_823448.html#5KgBEY4VscVfDbBX.99

closer dit: à

L’ISF, Bérénice, est l’impôt le plus imbécile que l’on puisse imaginer. J’ai découvert récemment avec ahurissement que la résidence principale n’était pas exonérée mais faisait seulement l’objet d’un abattement de 30%, alors que la taxe foncière et la taxe d’habitation sont déjà payées dessus! Une veuve qui se retrouve seule dans un grand appartement ou une maison, mari mort et enfants dispersés, doit payer TROIS impôts pour avoir le droit de rester dans le lieu de vie où elle a toujours vécu! Vous me direz qu’elle est riche par définition…Pas nécessairement tant que cela Bérénice. Il n’y a que les revenus qui peuvent payer les impôts, pas le patrimoine, sauf à le vendre par petits morceaux, ce qui n’est pas souvent possible et a sa limite.

Une certitude: l’ISF est une particularité française que le monde entier ne nous envie pas.

JAZZI dit: à

Quoi, Tintin était Titine ! Et son amant de la Chine du Nord ne nous le disait pas ? Pour la Castafiore, j’ai toujours su que c’était un travello.

bérénice dit: à

Closer, d’une part vous pourrez vous réjouir de voir ajourner l’ISF, de l’autre déplorer que soient si peu taxés les revenus de la finance, les sociétés immobilières ne paieront pas l’impôt nouveau, reste aux propriétaires de se présenter en société, j’ai cru comprendre en parcourant les articles du journal Le Monde que cette idée pourrait représenter une solution pour échapper à la taxation immobilière nouvellement prévue mais là encore les plus riches propriétaires seront es seuls à pouvoir s’offrir les services des conseillers compétents en cette matière. Je ne pleurerai cependant pas sur votre veuve et ses orphelins, c’est injuste, il est vrai.

closer dit: à

Oui Bérénice, cet impôt est contournable et absurde. Accoyer disait à la radio que les yachts et les chevaux de course n’étaient pas imposés (pas immobilier), alors que le toit sous lequel on vit le serait!

Supprimons le complètement et imposons la seule chose qui doit l’être: les revenus de toute nature qui seuls permettent de payer l’impôt. Reste à s’entendre sur les taux évidemment…

D. dit: à

Et qui osera s’attaquer à la réforme du Sénat, passer à 30-40 sénateurs élus pour 4 ans non renouvelable, sans Palais royal, et ainsi faire économiser à la France 200 millions/ an ?

bérénice dit: à

Closer, je crois comprendre que le patrimoine imposé est soumis à une évaluation, il doit dépasser une certaine valeur pour se voir imposer cependant parcourant divers articles, la nouvelle mouture de l’impôt sur la fortune, immobilière cette fois, est largement critiquée et ne touchera que les moins riches des riches- les plus riches convertissant leur fortune en biens mobiliers de toutes sortes et verront de ce fait décroître leur impôt. C’est me semble-t-il inspiré de l’impôt suisse qui ne taxe que les biens immobiliers occupés par leurs propriétaires – les autres louant se constituant en société? – et de la remarquable étude de T Piketty qui conclut à ce que les inégalités en courbe ascensionnelle sont dues au fait que la rente immobilière progresserait plus rapidement que d’autres valeurs. Néanmoins:

« Derrière les accusations de rente, les contempteurs de l’immobilier confondent aussi parfois des problématiques très différentes. Comment mettre sur le même plan l’immobilier résidentiel classique, le logement social, l’immobilier de bureau ou l’immobilier commercial, qu’il s’agisse de petites boutiques en centre-ville ou de centres commerciaux géants? De quels propriétaires rentiers parle-t-on alors? »

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’important, c’est d’être intelligent, tout seul,!…

…et, de bien, vivre, sans s’en prendre au nouveau pouvoir,…d’édulcoration de la république,!…façon, Brlusconi, a ses comptes privés,…
…combien, en fin de mandats, avec sa clique d’amis,!…
…sauter,!…le niveau, est encore – bas,!…voilà,!…avec Germaine,!…etc,…
…sautez les dessous de tables,!…
…des cases, échiquiers, ou casinos,!…
…des pions à leurs billes,!

…excellent, le message, s’est mis, avec transparences,!…démissionnez, évaporez – vous a mieux,vous refaire, faire,…à la campagne de Russie,!…

…tiens, voisins, partenaires,!…aux conclusions toutes fêtes,!…
…etc,!…se remplir, les poches, pour l’avenir en rose,!…
…çà lui, suffit, rien, à se prendre en extensions,!…la France à ses modes à pics,…la démocratie en farine,!…etc,!…

D. dit: à

Bérénice, avant même l’élection de Macron, que vous avez favorisée par votre vote -faut-il le rappeler ?-, j’écrivais ici qu’un fantastique tour de passe-passe aurait lieu concernant l’immobilier. Oui, il s’agit bien, dans le cadre du N@oubel /ordre k*mondial, de permettre aux banques de prendre le contrôle du patrimoine immobilier des français sous forme de FCP^I. En cas de crise systématique, laquelle surviendra immanquablement, les banques se débrouilleront pour dévaluer les parts à un taux considérablement plus élevé que le taux de dévaluation réel de l’immeuble.
Malin, non ? Le hold-up continue, il faut dire qu’on donne la caisse sans résister et avec le sourire souvent.

closer dit: à

Oui Béré, le seuil d’imposition n’est pas modifié et il peut y avoir des désaccords sur l’évaluation des biens. C’est ce qui est arrivé à Macrounet qui avait grossièrement sous-évalué sa maison du Touquet et a fait l’objet d’un redressement fiscal. Depuis, il s’est arrangé pour faire disparaître tout bien immobilier de son patrimoine, c’est vraiment très fort…(pas tant que cela, s’il a été payé des millions d’euros chez Rothschild, c’est qu’il avait un certain don pour les montages financiers). Des mauvaises langues (les gens sont si méchants) pourraient penser qu’il y a un lien entre la disparition de son patrimoine immobilier et la concentration de l’ISF sur l’immobilier.

D. dit: à

Systémique – saloperie de conrecteur d’orthographe

D. dit: à

Barbara Pompili demande « un petit effort » aux retraités pour aider les jeunes.

Ça c’est abject, profondément. Immonde.
Jentendais encore sur France-Inter cette retraitée mise d’office à la retraite à 60 ans en raison d’une maladie, dire qu’une fois tout payé elle et son mari n’avaient plus que 50 euros par semaine, comprenant la nourriture. Ne s’achète jamais de vêtements, ses enfants lui en donnent. A les mêmes lunettes depuis 10 ans.

Casse-toi, Pompili.

bérénice dit: à

Closer, tout ceci ne m’inspire guère, au total je retiens que les plus grosses fortunes seront déchargées d’une partie des taxations qu’on fera supporter à ceux qui sont moins puissants et ne peuvent s’en défendre ou s’en dégager – tous milieux confondus- . Les mesures étant justifiées par le besoin d’investissements , ceux ci étant ainsi favorisé puis allégés d’une partie des taxes et impôts quand ils généreront des bénéfices ou réussiront à dégager une plus value à la revente.

D. dit: à

Tout ça se passe sous le mandat de Macron.

et alii dit: à

l’auteur le plus vendu en france, MUSSO, change d’éditeur

bérénice dit: à

D son ministre du travail fait confiance aux acteurs en ce qui concerne les accords d’entreprise, de son côté on peut comprendre. million pour revendre des pots de yaourt c’est bien payé surtout quand on est cadre sup et qu’on conserve un emploi. Pas de plafonnement pour la revente des stock options qui en rien ne dissuade l’équipe dirigeante de trouver une solution différente qu’un plan social coûteux en emplois.

Janssen J-J dit: à

@10.24 être intelligent tout seul, arbeit, schnell !

@20.57 C’est Sartre qui a foutu sa pagaille confusionnelle sur « comprendre/pardonner » avec son histoire de mauvaise conscience et de mauvaise foi, dont on est toujours infectés depuis la 2e guerre, tlels les wgw moyens. Petit rappel d’après fred Gros (12e chap.) : la neutralité est un choix, celui de la complicité passive, un fardeau existentiel. « Le propre de la réalité humaine, c’est qu’elle est sans excuse », disait le grand résistant jean-sol en 1943, dans l’Etre et le Néyant.
Et dans le 1er numéro des Temps modernes, ce conseil prophétique au futur Passoul (encore 7 ans à naître coupable) : « Je tiens Flaubert et Goncourt pour responsables de la répression qui suivit la Commune parce qu’ils n’ont pas écrit une ligne pour l’empêcher. Ce n’était pas leur affaire, dira-t-on. Mais le procès de Calas, était-ce l’affaire de Voltaire ? La condamnation de Dreyfus, était-ce l’affaire de Zola ? L’administration du Congo, était-ce l’affaire de Gide ? Chacun de ces auteurs, en une circonstance particulière de sa vie, a mesuré sa responsabilité d’écrivain. L’occupation nous a appris la nôtre ».
Brefl, le passoulinisme d’aujourd’hui, de quoi est-il le responsable, quand il nous entretient de ces 2 insignifiants de l’ère macronisée ? Voilà ce que je me demande toujours.

@11.23 Hélas je ne cherche pas de placement immobilier, je cherche plutôt à savoir si la fille de Mme Bettencourt donnerait aux pauvres une partie de ce qu’elle donne au fisc au titre de l’ISF. Mais qui sommes-nous pour nous indigner de sa richesse ? Les riches ont leurs soucis, il faut quand même essayer de les comprendre, c’est pourquoi la sociologie « compréhensive » puis « engagée » des Pinson-Charlot est si importante à mes yeux, bien plus que les feuilletons littéraires.

@Et pour finir avec DHH, mon avis sur les Mardrus, c’est que Monsieur avait besoin de s’érotiser l’imagination orientale pour satisfaire les caprices de Lucie Delarue, de l’harem… Faut pas chercher plus loint, et ce fut bien accueilli, si l’on en croit l’idéologie orientaliste de la bourgeoisie littéraire coquine de l’époque, telle que dépeinte chez Saïd…, etc. Zouc.

BJ à toussent, et à celles que j’ai oubliées, jadis et naguère.

Nicolas dit: à

C’est trop drôle cette histoire d’ISF, c’est le pari du ruissèlement économique, Macron a pas dû lire le livre de Piketty. Vous connaissez un site oú on peut parier contre? Y’a moyen de gagner gros sans tellement de risque.

rose dit: à

l’avenir en rose, c un bon plan.

Soleil vert dit: à

Hausse de la CSG et hausse du coût de la vie: retraité, je me suis déjà séparé de quelques Pléiade et il me faudra réduire mon budget livre. C’est insupportable.

Sergio dit: à

loser dit: 28 septembre 2017 à 8 h 01 min
Une veuve qui se retrouve seule dans un grand appartement ou une maison, mari mort et enfants dispersés, doit payer TROIS impôts pour avoir le droit de rester dans le lieu de vie où elle a toujours vécu!

Ezactement ! La reversion n’est pas nécessairement très grasse.

Donc je vais aller voir saint Pierre sur la Yam pour i dire que dans ces conditions j’ai pas le droit de crever… Qu’il se débrouille havec le fisc french !

Paul Edel dit: à

Soleil vert, je vois déjà des hordes de retraités en train d’abandonner leurs serviettes blanches amidonnées du Fouquet ‘s pour le premier menu à 17 euros,moules marinières ou poules au curry de Chez Léon.Frites à volonté.

Sergio dit: à

Paul Edel dit: 28 septembre 2017 à 14 h 31 min
Léon.Frites

C’est le fils de Roger Lafrite (Montparnasse) ?

JAZZI dit: à

Où l’on constate que la RDL est un club du troisième âge : « Touche pas à ma retraite ! »

Bon, je reviendrai plus tard vous parler d’un classique méditerranéen, que je découvre seulement maintenant, à l’heure de la retraite. Oui, mais une retraite active !

rose dit: à

voui, je les vois les hordes de retraités s’achetant les moules & les faisant eux-mêmes marinières. Acheter les pommes de terre. Que Germaine fasse elle-même les frites dans sa cuisine en formica. Avec sa friteuse de chez Franprix. On sera malheureux. On invitera notre voisin à partager les frites. Les moules on lui laissera que les coquilles. Après, on ira chez Léon se boire une bière blonde.

la vie dans les bois dit: à

Ce blog se macronise. Ce ne sont pas les derniers tweets de propagande ou ce regret mal exprimé dans le billet qui me convaicront du contraire. Que veut dire macroniser? C’est une sorte de psychose qui tendrait à faire croire que le ravi de la mondialisation financière est le rempart contre les populismes de l’extrême gauche et de l’extrême droite. Macron ou le chaos de la melenchonerie et du fhaine.
Marre de ce commerce de dupes.

rose dit: à

Pompili à Pompéi : sous les cendres.

JAZZI dit: à

Faut dire que j’ai pris la retraite à 20 ans…

rose dit: à

les poules au curry jouent de leur charme en bas résille. Étape préliminaire à la casserole.

rose dit: à

je le savais ça jazzi. ceux qui s’en foutent ne la touchent pas. Les autres l’ont chèrement gagnée. ???

la vie dans les bois dit: à

Et les nombreux : arrête de pomper mon fric pour faire du vent.

Sergio dit: à

Les gardiens des camps soviétiques avaient un statut militaire ; les camps au nord du cercle polaire, c’était « campagne double ». En s’engageant à dix-sept ans, ils pouvaient prétendre à la retraite à trente-deux ans, qu’ils prenaient généralement dans des institutions (gratuites) ad hoc sur les bords de la mer Noire…

D’après Солженицин.

rose dit: à

ds les institutions ad hoc, hic et nunc, y avait le whisky qui baignait. les ti doigts de pieds dans la mer Caspienne.
jazzi il s’est retiré des voitures à 20 ans. S’est pas sali les mains. L’a pas commercé avec ces gens-là.

Sergio dit: à

rose dit: 28 septembre 2017 à 15 h 23 min
hic et nunc

Hic et nunc passeque nunc est bibendum…

la vie dans les bois dit: à

Ceux qui descendent dans la rue virtuelle, sans faire leur premier devoir de citoyen ne valent pas mieux que les demolisseurs des institutions de la République. Et le président issu d’un scrutin est légitime à le rappeler. Qu’on soit d’accord avec sa politique où non. Surtout si on ne l’est pas, d’ailleurs.

la vie dans les bois dit: à

qu ‘on soit d’accord OU non.

Janssen J-J dit: à

On aimerait savoir la proportion de celzéceux d’icite, dits « actifs » (et pas « en retaite de toute éternité -d’heureux rentiers faisant dans la culture, à n’en pas douter-) sont récemment descendus dans la rue réelle pour crier leur indignation contre le démantèlement macronien du code du travail, après s’être dûment déclarés « grévistes » et avoir en conséquence accepté l’amputation d’une journée de leur salaire misérab’ auprès de leur patron public ou privé. Levez le doigt et dites je l’jure. Après, on pourra causer avec les Fraises mara des bois Tagada.
Charité bien ordonnée, je commence à le l’ver.

chantal dit: à

bah décidément on n’y échappe pas à Emmanuel Macron, j’ai moi – même commis un texte qui l’englobe, le personnage en creux étant exaspéré par son omni – présence médiatique.

vu cet am sur la trois belge un documentaire rediffusé sur simenon, avec passou inside.

ce soir je ne rate pas l’émission politique avec Edouard Philippe aux prises avec Léa Salamé, pour rigoler avec distanciation j’allumerai le téléviseur en bas et j’écouterai au grenier les bruits de l’affrontement de deux longues dents …

la vie dans les bois dit: à

Le code du travail concerne comme son nom l’indique, ceux qui travaillent. Si y’a d’autres questions sur la longueur de la pause café, c’est pas dans le code.

Janssen J-J dit: à

Et t’en fais quoi du L 3121-16 du CT ? tu (te) l’appliques pas ? T’as pas bin révisé tes classik… Il est vrai que ça va bintôt s’négocier dans chaque boite à la tête du client, si veulent pas qu’t’ailles pisser pour évacuer ton kawa du matin, eh bin, durant 6 heures t’iras pas, tu piss’ras dans ta couch’culott, compris ?

Article L3121-16 Modifié par LOI n°2016-1088 du 8 août 2016 – art. 8 (V)

Dès que le temps de travail quotidien atteint six heures, le salarié bénéficie d’un temps de pause d’une durée minimale de vingt minutes consécutives.

la vie dans les bois dit: à

C’est un très bon exemple pour madame Lafon. Elle en cause dans son essai sossociologie ?

Janssen J-J dit: à

oui bien sûr, l’est très forte en droit social, même avant la soziologie. Toujours bin documentée et tout, et pi sait écrire… Brefl, que des qualités qui manquent tant à l’approxilogue martine Acarîatre sur c’te blog. Et en plus, c une beauté, marie-hélène quand on la connaît de l’intérieur : toutes celzéceux qui l’ont approcée ont été irradiés par sa ferveur, ses élèves notamment qu’elle coache avec talent pour bien les préparer, de façon critique, à la vie de l’entreprise.

Janssen J-J dit: à

approchée (a procès)

Janssen J-J dit: à

@ 13.34 l’avenir en rose, c un bon plan.

Quel est votre secret, hormis le sénégal, r. ?

rose dit: à

la joie au coeur jjj.

JAZZI dit: à

Il est vrai que Macron est un personnage de roman. Mais pour bien en parler, il faut attendre la fin de l’histoire. Besson est parti trop tôt et son roman ne peut-être qu’une éjaculation précoce. Quel genre de personnage est donc Macron ? Stendhalien, forcément stendhalien. Un héros qui veut garder toute sa grandeur à la France au coeur de la mondialisation et applique l’adage cher au prince Salina : « pour que tout reste comme avant, il faut que tout change » On sait que le héros stendhalien traverse le champ d’action au grand galop et sort de la scène aussitôt…

Sergio dit: à

Au grand galop… Faut encore rester dessus !

DHH dit: à

@JJJ
Martine l’acariâtre ,Marie-Hélène ,la beauté.
on aimerait bien savoir sous lequel des pseudos du blog interviennent ces dames que vous semblez connaître pas seulement sous leur avatar bloguesque

la vie dans les bois dit: à

deachach si on vous pose la question: qui est ducon lajoie, le pervers en chef, faites comme si vous étiez atteinte de sénilité.
________________________________

Tiens, ils s’aiment « farouchement » aussi, ceux-là:

« Sous le sceau de l’anonymat, l’un de ses anciens camarades de l’ENA le note en tout cas: «Emmanuel a toujours eu des fidélités successives ou plutôt des infidélités successives. Il ne renvoie pas l’ascenseur. Il se sert des gens. Mais ce qui est exceptionnel, c’est que les gens, souvent intelligents, le savent et se font quand même avoir…»

Machiavélique Macron? Lors de son passage à l’ENA, certains n’en étaient pas dupes visiblement. Au point de pirater sa boîte mail avec ce faux message qu’ils lui attribuèrent. Ses condisciples, ironiques, lui prêtèrent ces mots: «Chers tous, vous me voyez tous les matins, je vous fais la bise, je vous souris mais, au fond de moi, je vous méprise profondément…» L’intéressé aurait ri jaune. »
http://www.lefigaro.fr/livres/2017/05/09/03005-20170509ARTFIG00137-emmanuel-macron-un-jeune-homme-si-parfait-vraiment.php

Janssen J-J dit: à

20.56 / DHH, vous n’êtes pas assez attentive au film, mais je vous pardonne. Je traduis donc :
Martine l’acariâtre => LVDB (ce serait trop long à expliquer, pour faire vite : un mixte de rose et jazzman).
Marie-Hélène ?… Lafon, cette romancière dont je me suis épris de l’écriture et défendrai coûte que coûte la valeur intrinsèque, car j’ai lu tous ses romans et écrits, et que voulez-vous ?… ils me parlent au plus profond dans l’identification possibles avec ses personnages ou sa manière d’observer le monde. Par conséquent, quand je la vois sur la télévision ou dans les franprix, je suis comme qui dirait magnétisé. Je perçois sa beauté intérieure qui éclate dans ses lignes et sous son moi-peau vieillissant. Et alors, chacun a ses faiblesses, n’est-il pas ? D’où, mon agacement à l’égard des pétasses qui lui crachent dessus sans l’avoir jamais lue ni vue, histoire de me faire ièche… Réaction humaine primaire, non, et ludique, reconnaissons en cette dimensions. Je pense que vous comprendrez cela. La mise au point est-elle assez claire, DHH ? Je vous souhaite une bonne nuit, comme à toutes celzéceux qui ont eu la chance de bien dîner ce soir.

la vie dans les bois dit: à

@(ce serait trop long à expliquer, pour faire vite : un mixte de rose et un qualificatif de jazzman).

Pas du tout.
Les délire d’un camé, et ceux d’une tox aux médocs.

la vie dans les bois dit: à

C’est sûr que des diners de cons en tête à tête avec des sugelés, madame Lafon au franprix doit lu sembler sembler « humaine ». C’est son rézo social, à ducon lajoie.

JAZZI dit: à

« Selon François Hollande, qui l’a confié en privé à certains de ses conseillers, «Emmanuel était le fils que tout le monde aimerait avoir». »

Une nouvelle version du gendre idéal, ma douce LVDLB ?

Merci, JJJ, le diner était léger et succulent !

JAZZI dit: à

« Mais l’on découvre surtout le visage d’un Don Juan. Avec une capacité de séduction hors norme pour cet homme qui multiplie les conquêtes. Pas les conquêtes féminines, non : selon sa mère, l’on mettrait Laetitia Casta nue devant son président de fils qu’il ne broncherait pas. »

La vache ! Autant dire que sa propre mère le traite de pédé ?

JAZZI dit: à

« Aujourd’hui, certains, ceux qu’il a déçus, jugent que le jeune homme est perdu dans la sublimation de lui-même. Et s’en inquiète… Même Brigitte le reconnaissait : ce n’est pas toujours facile de vivre avec Jeanne d’Arc ! »

Et sa femme de vierge hystérique !

Janssen J-J dit: à

On n’ose imaginer la nature du rézo social de la triste con’as.se hackeuse aux chocolats glacés, aux réactions aussi attendues qu’impayables, qui s’imagine que personne n’aurait encore disséqué depuis des plombes l’ampleur lassante du narcissisme pervers. Hélas pour elle, sa nouvelle « OPA » sur Macron a encore foiré, l’était déjà « pris » et bien attaché…, dommage. Va quand même li falloir apprendre un jour à se rabatt’ sur meetic.org – ça c post moderne macronisé, au moinsse ! (l’heureuse issue du départ de JC, de wgw et de bougereau qu’auraient jamais cru y trouver enfin leur bonheur !).

Sergio dit: à

Il est pas si couillu que cela. Avec cette gueule, s’installerait tranquillos à Versailles… Homard tous les matins, ou vingt-trois douzaines d’huîtres comme le maréchal de Saxe !

La l’Angela et le Trump ils tireraient un blaire… Même le Vladi viendrait voir pour harranger son Kremlin !

la vie dans les bois dit: à

c’est cela ducon, next.
Même ton attachée de com’ ici, a fini par jeter l’éponge.

JAZZI dit: à

« bas rosis, votre fille est muette ? »

Comment sais-tu que j’ai une fille, perspicace LVDLB !?

La bio d’Anne Fulda à l’air plus intéressante que celle de Besson.

Janssen J-J dit: à

next, continue à délirer sur tes fantasmes à l’égard de brigitte, mon attachée de com’, et va te reposer si t’as puxa dans ta besace pour ce soir, pour te réchauffer dans ton pieu glacial. Y’a des bons pisse-mémé « Calmos », je peux te donner des marques, si tuweux !

bérénice dit: à

(l’heureuse issue du départ de JC, de wgw et de bougereau qu’auraient jamais cru y trouver enfin leur bonheur !).

3J, je n’ai pas suivi les épisodes, partis? définitivement?

JAZZI dit: à

« cet homme, rebaptisé d’un « durassien » « Emmanuel M. », est un « personnage de roman ». Mais jamais il (Besson) n’en apporte la preuve autrement qu’en se demandant s’il ressemble plutôt au Julien Sorel de Stendhal, au Rastignac de Balzac ou à un héros de Fitzgerald. »

Ou au « Bel Ami » de Maupassant.

la vie dans les bois dit: à

Ou au « Bel Ami » de Maupassant.

Eh oui, déjà dit…

bérénice dit: à

Jazzi, ou Félix du Lys. A le regarde évoluer je pense soit à ce dernier ou à Julien Sorel.

JAZZI dit: à

Oui, stendhalien, bérénice.

bérénice dit: à

16h21 ; j’ai manifesté contre la loi El K et en raison de la suite prévisible ai orienté mon vote .

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