de Pierre Assouline

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La République des livres
Sanjay Subrahmanyam, un brahmane consterné à Paris

Sanjay Subrahmanyam, un brahmane consterné à Paris

N’avez-vous jamais éprouvé cette curieuse impression à la lecture d’un livre qui vous enthousiasme : soudain, vous tombez sur un chapitre, une page, voire une ligne dissonants, qui vous troublent par l’inexpliqué hiatus qu’ils provoquent avec le reste ? Le cas avec Leçons indiennes. Itinéraires d’un historien (Is Indian Civilization a Myth ? Fictions and histories, traduit de l’anglais par Jacques Dalarun, 350 pages, 25 euros, Alma éditeur) du fameux historien indien Sanjay Subrahmanyam (1961) qui a enseigné à la Delhi School of Economics, puis à l’EHESS (Paris), à l’université d’Oxford et depuis dix ans à UCLA (Los Angeles).

On y découvre une vingtaine d’articles et entretiens, écrits entre 1995-2012 et publiés dans des revues ou des quotidiens en Inde mais aussi en Europe et aux Etats-Unis. Le livre idéal pour se familiariser avec la pensée d’un pionnier de la « world history », intellectuel particulièrement critique, quitte à ce qu’il la simplifie sans que le goût de l’anecdote, de la formule ou du trait ne le fasse renoncer in fine aux exigences de la complexité (à lire et écouter ici sa leçon inaugurale au Collège de France en 2013).

Polyglotte formé à l’histoire économique, il entend promouvoir une histoire globale libérée d’une vision centrée sur l’Europe et d’une grille d’analyse modélisée sur l’Etat-nation. Pour y parvenir, il invite à juxtaposer les échelles, locale, régionale, nationale, continentale ; puis à exploiter les sources écrites de première main et les archives mais dans de nombreuses langues, à travers les bibliothèques et les centres de recherches de nombreux pays. Son franc parler peut s’exercer en plusieurs langues. Il s’illustre ici pour dénoncer le « filon » des études postcoloniales ou moquer « les carnets de voyage pleins de bile de V.S. Naipaul ». Il y a là un ton qui participe d’un style littéraire qui est aussi sa signature ; en témoignent les pages assez caustiques dans lesquelles il s’interroge sur l’énigme que constitue l’arrêt du développement mental chez Churchill, grand homme dont « l’intelligence a pu être largement surrestimée ».Image

Il est l’homme des grands espaces, des horizons élargis, des ensembles qui décloisonnent, des vastes aires culturelles, avant tout soucieux des connexions entre empires et zones commerciales, entre l’Inde du sud, l’Empire moghol et l’Eurasie à l’époque moderne ; mais il en est tout aussi bien à son affaire lorsqu’il s’agit du fossé qui sépare notre laïcité du sécularisme anglo-saxon (même si on aurait aimé qu’il creuse davantage le sens de secular) ou la discographie complète des Beatles.

Toutes choses passionnantes à lire car exposées dans une grande fluidité tout en s’appuyant sur une érudition très sûre, même si elle manifeste parfois sur une pointe d’arrogance vis à vis de certains de ses collègues avec lesquels il entretient d’anciens désaccords. Mais passons pour en venir au texte qui m’a fait écarquiller les yeux. Tant et si bien que je l’ai relu plusieurs fois. Intitulé « Un Parisien ambigu », c’est l’un des deux inédits du livre, l’autre étant consacré à Lisbonne.

Sanjay Subrahmanyam a vécu à Paris au milieu des années 1990 lorsqu’on lui a proposé un poste d’enseignant en histoire ; il y avait déjà séjourné durant un mois une dizaine d’années auparavant, abrité par la Maison franco-britannique à la Cité universitaire, non loin du parc Montsouris, puis dans un petit hôtel proche de la place de la République. Par la suite, il vivra dans le XIIIème dans le Vème et dans l’Essonne (91). Son expérience de la capitale, parfois chèrement acquise de son propre aveu, a fait de lui « un Parisien malgré tout fort ambigu ». En effet.

Le chapitre égrène ses souvenirs parisiens, mélange de gratitude envers un chauffeur de taxi portugais qui lui a ramené son portefeuille et de  sidération devant la solidarité constatée quarante ans après chez les anciens militants de la Gauche prolétarienne. Jusqu’à ce qu’il évoque sa population immigrée. On y découvre que, de même que les Africains de l’ouest, les Maghrébins et les Sud-Asiatiques, « les Serbes » y sont également en grand nombre, ce qui est déjà étonnant.

Et puis, dans une description de la population parisienne censée s’épanouir entre couscous et Tati, il y a cette phrase :

« En 1988, comme c’est toujours le cas aujourd’hui, Paris était en grande partie une ville de Maghrébins et pour les Maghrébins ».

On se frotte les yeux et on essaie de comprendre. Entendons-nous bien : il ne s’agit pas de s’en offusquer ou de décréter son caractère politiquement correct/incorrect ce qui ne présenterait guère d’intérêt. Il s’agit encore moins de l’instrumentaliser pour discréditer un historien de cette qualité ou pour invalider un livre aussi intellectuellement excitant. Il s’agit juste de se demander ce que cet homme, aussi précis, rigoureux, maniaque dans la formulation de ses jugements, peut bien vouloir dire par là.

Passe encore que Sanjay Subrahmanyam déplore le manque d’esprit civique, l’absence de solidarité et l’individualisme rampant des Parisiens. Air connu et il n’est pas tout à fait faux, même si on sait ce que valent les généralisations. Mais un autre passage à la fin de ce chapitre où l’on va de surprise en surprise, achève de nous renseigner sur sa vision de ce petit monde. Le grand historien du global y évoque les relations que les Parisiens entretiennent avec les chiens. Déjections canines jonchant les rues, passants s’apitoyant sur les animaux des passants etc Beurk ! Surtout, il ne tolère pas la tolérance dont bénéficient les bêtes dans les restaurants. Qu’on les laisse entrer, qu’on leur permette de s’asseoir sur la banquette, qu’on les nourrisse même !

« Ce doit être, en moi, un reste de brahmane qui me fait trouver cela consternant »

Et de regretter qu’en tournant Midnight in Paris, Woody Allen n’ait pas jugé bon de se pencher sur cette question cruciale, laquelle, il n’en démord pas, révèle les Parisiens « sous leur vrai jour ». Si on veut y comprendre quelque chose, et pénétrer enfin l’âme du Parisien, il ne nous reste plus qu’à trouver l’enquête sociologique qui nous expliquera la proportion de Maghrébins parmi les propriétaires de chiens à Paris.

(« Paris, 1952 » photo Elliott Erwitt ;  » Sanjay Subrahmanyam » photo Maurice Rougemont)

 

 

 

Cette entrée a été publiée dans Histoire.

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commentaires

500 Réponses pour Sanjay Subrahmanyam, un brahmane consterné à Paris

Groupettissimo dit: à

Érudition et connerie un mélange consternant.
On a vu pire chez Zemmour.

manyanim dit: à

c’est une coquille, il faut lire « Paris était en grande partie une ville de maigres urbains et pour les maigres urbains », maigreur qui ne peut que déplaire à Subrahmanyam qui, à table, ne donne pas sa part au chien…

évidence dit: à

Tortillardise globish qui n’affiche que ce qu’elle ne fait pas !

Sirius dit: à

 » Il s’agit juste de se demander ce que cet homme, aussi précis, rigoureux, maniaque dans la formulation de ses jugements, peut bien vouloir dire par là. »

Cher Passou, c’est peut-être que cet homme n’est justement pas aussi précis et rigoureux qu’il a réussi à le faire croire…

Attention, sur un sujet pareil, Bloom va sévir et nous assommer de références sub-continentales indiennes.

D. dit: à

Veuillez m’excuser Pierre Assouline, mais si vous alliez faire un petit tour du côté de la Cité universitaire, toute proche du Parc Montsouris, si vous parcouriez le XIIIème, si vous preniez le tramway sur les boulevards extérieurs, vous vous rendriez compte que la population observable est sur-représentée par des populations d’origine étrangère, non seulement magrébines mais aussi asiatiques. Mais surtout maghrébines quand on considère l’ensemble. Très peu de Brahmanes en tous cas.
Il faut peut-être sortir de vos itinéraires battus pour apprécier correctement cette troublante réalité. Lovecraft avait été de la même façon troublé par New-York, ville qu’il ne supportait plus. Et j’ai moi même été troublé en 2006 par la banlieue zurichoise, aux allure étonnamment exotiques pour un touriste initialement en quête de culottes de peau.

Court dit: à

Qu’en dirait Sudhir Hazareesingh, lui aussi Oxfordien?
MC

le fantome de JC..... dit: à

Billet vague …

… tout cela nous confirme dans l’idée que trouver « un homme mesuré » de nos jours est impossible ! même brahmane …

Pourquoi réussirions nous, là où Passou lui-même échoue ?

Tout cela est sans intérêt.

eJudi dit: à

Tout cela est sans intérêt.

Bon, il va pas pleurer qu’il lui laisse faire son énorme plat le gros bébé quand même…

l'autre pour the same dit: à

affirmations qui laissent sceptique quant à leurs vraies intentions

ZEUS..... dit: à

Ayant recueilli les points de vue autour de nous…. nous trouvons ce Brahmane consterné, consternant !

Chaloux dit: à

Un curieux article qu’il faudra relire dans cinq ans.

l'autre pour the same dit: à

si c’est pour qu’on ne se sente pas
trop fiers; est-ce la meilleure manière de défier ses lecteurs

eJudi dit: à

est-ce la meilleure manière de défier ses lecteurs

Cette question vous arrive-t-il de vous la poser ? . . .

Diagonal dit: à

Qu’est-ce qui est sans intérêt au juste ? Le chapitre surprenant ? ou le billet du jour lui-même ? Je pencherais hélas pour la 2e hypothèse. Car s’agissant du « fameux historien indien », ce ne sont certes pas les endroits où il a été accueilli pour y enseigner (tous obligés de faire des concessions à la mode des quotas ethniques) dont il faudrait déduire le degré de réputation, mais de ses textes « historiques » eux-mêmes qui, aux Indes mêmes, ont toujours été sujets à caution quant à leurs méthodes approximatives : l’appartenance au brahmanisme n’y est plus depuis belle lurette, gage d’autorité intellectuelle. Quant à s’en revendiquer, il n’y a que StGdP pour y succomber.

Diagonal dit: à

Sinon la photo d’illustration du vieux maghrébin qui se penche sur le chien est trop cute !

Widergänger dit: à

À mon humble avis, il a du^confondre le 9.3 avec le 7.5… Hein, mes petits chéris !

Widergänger dit: à

Eloge de la sacro-sainte « fluidité ». Un jour faudra qu’on m’explique ce que c’est qu’un livre non fluide. Fluide glacial, peut-être… ?

Ah ! y sont marrants avec leur fluidité, les barroz et les passou !

cave canem dit: à

Magnifique photographie de E. Erwitt où l’ homme s’ abaisse à hauteur de chien.
Pour voir si ça renifle aussi fort.
A vouloir être à l’extrême l’ homme n’ est-il pas devenu tout simplement un étron?
Ou être le maghrébin de soi-même comme on peut être le chien de soi-même?

qotd (so lol) dit: à

Le sexisme en politique : une réalité ?
LaurenceParisot : »Oh oui ! »

cave canem dit: à

Avec Erwitt, nous sommes à hauteur de chien et avec notre sociologue pas tout à fait à hauteur de maghrébin…
Laissez-nous préférer l’univers du photographe!

Court dit: à

En tout cas, la Leçon du Collège de France vaut d’etre entendue.
MC

Jambrun dit: à

« En 1988, comme c’est toujours le cas aujourd’hui, Paris était en grande partie une ville de Maghrébins et pour les Maghrébins ».

C’est bien. Les desseins d’Allah se réalisent lentement mais sûrement. La France de papa judéo-chrétien s’estompe à l’horizon. On ne la regrettera pas.

la vie dans les bois dit: à

Oui, c’est un peu la même impression.
Tomber sur un livre indien qui va enthousiasmer.

Extrait.
« Pour comprendre le prestige dont était auréolé la science, il faut se rappeler que les années soixante et soixante-dix furent celles de la révolution verte. les progrès scientifiques paraissaient alors changer le monde. Même moi, à l’âge de cinq ou six ans je savais déjà que grâce à la révolution verte il y avait désormais du fourrage d’été, et que les gens qui auparavant seraient morts étaient maintenant sauvés. La révolution verte avait un impact sur tous les aspects de notre vie. J’entendais ma mère discuter des recettes de soja et affirmer que c’était aussi bon que du fromage. Dans tout Dehli la compagnie Mother Dairy érigeait des kiosques en ciment ornés d’une goutte bleue sur le côté. Le fait que la révolution verte soit venue d’occident, que les organismes comme la fondation Ford nous l’ait apportée sans attendre quoi que ce soit en retour donnait de l’Ouest une image de grande bonté. Je suis convaincu que tous les films anti-Occident des années soixante-dix comme Haré rama, Haré Krishna et Purab aur Pacchim, résultait non du malaise créé par l’arrivée des hippies chez nous, mais de notre sentiment d’infériorité face à la munificence de l’Occident.
Ma mère pour sa part n’avait aucune envie de s’expatrier. Professeur d’économie dans un lycée, elle aimait ce qu’elle faisait. Elle disait que l’enseignement est le plus beau des métiers, que l’on y était traité avec respect, et que l’on recevait tout autant que l’on donnait. Mais elle savait aussi que l’Occident nous offrirait, à mon frère et à moi, des perspectives d’avenir. Et puis survint l’état d’urgence. Après qu’Indira Gandhi ait suspendu la constitution et emprisonné des milliers de gens, mes parents, comme presque tout le monde, perdirent confiance en leur gouvernement. Avant cela-même mon père- si attachés à l’indépendance de l’Inde que lorsqu’ils voyaient un nuage ils se disaient fièrement: C’est un nuage indien. Après l’état d’urgence, ils se mirent à penser que même s’ils étaient des citoyens ordinaires et qu’ils ne risquaient guère d’avoir d’ennuis avec le gouvernement, ils feraient peut-être mieux d’émigrer.
En 1978, mon père partit pour l’Amérique ».

Ah oui, l’auteur de ce livre est un Indien de 34 ans. Il s’appelle Akhil Sharma (*); il me semble qu’il n’a rien à vous dire de votre mal-être persistant, à Paris.

(*)
Edition originale: Family Life, pour la traduction française 2015: Paule Guivarch, Editions de L’Olivier.19.50 euros)

la vie dans les bois dit: à

oups, Akhil Sharma à 44 ans. Ce qui ne change rien, ou pas grand ‘chose, pour les parisiens qui ne se supportent plus.

Jambrun dit: à

il entend promouvoir une histoire globale libérée d’une vision centrée sur l’Europe et d’une grille d’analyse modélisée sur l’Etat-nation.

Voilà qui va bien. Un peu d’air frais, enfin, ça fait du bien.

eJudi dit: à

Quand les vaches sont devenues sacrées chez les cow-boys, quelle différence ?

eJudi dit: à

(eh ben ça vaut la peine de se la jouer avoir du lourd pour ramper de la sorte)

la vie dans les bois dit: à

J’ai envoyé sans avoir le temps de me relire. Sorry pour Delhi.
Sur ce, je vous laisse contempler et renifler vos trottoirs pas très propres.

ps. Diagonal, vous avez la vue qui baisse. C’est pas un chien de chasse.

simple mind dit: à

Concernant les chiens la différence de traitement est d’origine culturelle voire religieuse, gardiens de l’enfer, impurs, ai-je trouvé. Il n’est pas rare qu’ils soient maltraités à tel point que nous nous demandions s’ils n’étaient pas l’une des plus mauvaises réincarnations.

simple mind dit: à

Jambrun, étiez-vous blond, brun, roux, je suis en quête d’un homme qui pourrait, aurait pu me plaire et même à le conjuguer au plus que parfait, au passé simple, pour l’accorder à la France de papa, si vous êtes chauve actuellement je dois vous prévenir que vous ne répondez en aucun cas à la question subsidiaire.

B comme BERLIN dit: à

« qui nous expliquera la proportion de Maghrébins parmi les propriétaires de chiens à Paris. »

qui chient sur la banquette du restaurant… .. .

simple mind dit: à

Cet intellectuel sera-t-il victime de ses cuisses de poulet tandoori, diagonal se débine d’entrée de jeu estimant que son parcours provient d’un héritage, la vie dans les arbres nous envoie un placard publicitaire vraisemblablement mal ciblé en tout les cas trop long pour faire pub, les autres sont au cinéma ou revisite Frédéric Boyer sans le texte…le cocktail n’enivre pas grand monde ce soir, bonsoir.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oui,!…bon, une photo-artistique, en macro, alors,!…les limbes du çà-voir à opérer,…
…à la colle de peau littérale,!…
…bon, une Loctite Super Glue-3 universal,alors,…
…sainte marie à saint baptiste, encore tout feux tout flammes,…
…encore vierge d’esprit,…les  » taxes  » aux esprits-fluides aux saint des saints,!…

…Churchill en arrêt mental, qu’il dit,…au radar,!…

…un jeux de guerre préparé ensemble, pour faire des  » grosses  » victimes,…une grosse  » grippe « , pour succinctement se livrer au futur  » plan Marchall « ,…my Goth mit uns,!…

…Machiavel,!…alors ces deux sous, de noblesse çà vient,…ou les coups de pieds au cul,!…Ya,!Ya,!…
…Snell,!…bitte schoën,!…l’Ouradour d’abords, à collabos Alsace-Lorraine,!…please,!…
…encore sur le lien à Cromwell  » Wolf Hall « ,…Esquire, no please,!…etc,!…

…et courtisans,…du Charles de Gaulle, sur les chars et véhicules blindés publié 1934,…
… repris en 1938 par Heinz Guderian,… » Panzertruppen « ,…qu’il dit pas,!…Ya,! Ya,!…mon général, grosses-bises a arrêt mental,!…

…j’attends des offres pour enseigner aux Hush-Puppies d’Oxford,…idem, aux, bijoux, cailloux, choux, genoux, hiboux, chouchoux, poux,…
…Ah,!Ah,!…etc,!…à la colle loctite, la macro-photo,…Go,!…envoyez,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


… » les moines sont fins & rusés, et cela est tout naturel,ils savent nos péchés & les leurs « .

…la Mandragore & Frère Alberigo,…comédies de Nicolas Machiavel.

…Se trouve à Paris en la rue de Baume à l’enseigne du Pot cassé,!…

…Non Plus,!…sans plus,!…alors, de bon aloi,!…sonnantes et trébuchantes,!…
…à dada, le tiercé gagnant,!…in fine,!…
…etc,!…
…aux jougs & soumis aux attelages des charmes,!…un bois encore dur,!…en toy’s,…des mondialisations des arts à fond en court,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…nos journalistes à tout vents,!…les nouvelles fraîches à se mettre juste du frigo,!…etc,!…
…c’est Machiavel,!…

Bloom dit: à

e grand historien du global y évoque les relations que les Parisiens entretiennent avec les chiens. Déjections canines jonchant les rues, passants s’apitoyant sur les animaux des passants etc Beurk ! Surtout, il ne tolère pas la tolérance dont bénéficient les bêtes dans les restaurants. Qu’on les laisse entrer, qu’on leur permette de s’asseoir sur la banquette, qu’on les nourrisse même !

Comme en Inde. Nos amis indiens, même les plus brillants d’entre eux, oublient qu’à la maison crasse, puanteur & déchets envahissent l’espace public, y compris les campagnes.

ZEUS..... dit: à

Renfonçons le clou : ce consterné est consternant. La raison s’il y en a une de ce billet, nous échappe ….

ZEUS..... dit: à

Cette consternation consternante nous consterne : le Board entier de l’Olympe démissionnera si le billet fait plus de 500 commentaires. Par Macron !

ZEUS..... dit: à

Comme cela peut se jouer à quelques commentaires près, nous cessons là notre participation, pourtant capitale aux dires de nombreux erdéeliens que nous remercions chaleureusement !

A quelque chose malheur est bon, diront les moisis, incapables de faire sortir le Génie de la lampe

grammaire dit: à

« Après qu’Indira Gandhi ait suspendu la constitution  »

Après « après que » il faut l’indicatif!

bruno dit: à

« Comme en Inde. Nos amis indiens, même les plus brillants d’entre eux, oublient qu’à la maison crasse, puanteur & déchets envahissent l’espace public, y compris les campagnes. »

il devait avoir a priori une idée fausse de Paris

Jambrun dit: à

Je n’avais jamais entendu parler de Sanjay Subrahmanyam. Au moins ce billet m’aura-t-il appris son existence et suggéré l’intérêt de ses travaux. Pour le reste, ce billet ne me paraît échapper à l’insignifiance que pour autant qu’il nous éclaire sur le subconscient d’Assouline.

cave canem dit: à

simple mind dit: 5 mars 2015 à 23 h 41 min
Bonne analyse du moment.( La vie en eau de boudin…)
Comme quoi une photographie peut sauver momentanément un sujet littéraire!

cave passou..... dit: à

Cette photo fut prise quelques instants après la transformation quantique de l’honorable Passou – interviewant un splendide sujet littéraire poitrinaire – en chien lubrique avide de mamelons fermes et dociles

l'autre pour the same dit: à

très bien:la censure est allègre ce matin : je m’en tamponne le frisbee

l'autre pour the same dit: à

Après les sculptures du musée de Mossoul, l’organisation Etat islamique a attaqué, jeudi, la cité assyrienne de Nimroud datant du 13e siècle avant Jésus-Christ
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/#bW9vbS3bomOWJikt.99

Monsieur Verdoux dit: à

le dieu autoproclamé quitte une nouvelle fois la RdL, puisse t-il ne jamais revenir polluer cet espace si peu protégé

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…bientôt,!…protéger les musées, comme  » Fort Knox « ,!…

…des débiles et endoctrinés aux dieux à deux  » Baal « ,!…pour sacrifices de jeunes  » cons « ,…à la tête-brûlée,…a rien savoir faire, que détruire le nombril du monde,!…
…l’homme parasite de la terre,!…
…jaloux de pierre sculptés, ou de griffonnages sur parchemins,…
…pauvre planète,…aux mentalités serviles,!…
…Oui maîtres, Oui,! Bwana,…
…vraiment du n’importe quoi, pour cacher ses milliards aux  » paradis  » fiscaux,!…

…et, si, on invente la Syrie de chevaliers – teutons à deux  » Baal « ,…c’est en cour d’état,!…Ah,!Ah,!…etc,!…l’échiquier à cons du paradis,!…of course,!…

à hauteur du chien... dit: à

@l’ autre pour the same :

Vandalismes culturels…

 » Les vidéos montrant les destructions d’œuvres d’art à Mossoul viennent de soulever une émotion considérable. Mais n’y a-t-il pas d’autres formes de vandalisme, certes plus feutrées, mais du coup passées inaperçues ? Ainsi les décisions prises par la nouvelle direction de Louvre, risquant de réduire le « musée le plus fréquenté du monde » à un musée partiel et partial, discriminant.
En 2010, le pouvoir exécutif d’alors avait décidé de « créer au Louvre un département consacré aux arts des chrétientés d’Orient, des empires byzantins et slaves », décision entérinée par le Conseil d’administration de l’établissement public du musée, alors présidé par Henri Loyrette. La création du département des Arts de Byzance et des chrétientés d’Orient fut annulée le 15 avril 2013, jour de la prise de fonction du nouveau président du Louvre, Jean-Luc Martinez. C’est dire si cette décision a été prise rapidement, « sans qu’ait été menée une réflexion approfondie », comme le déplore dans une lettre à La Croix, l’ancienne responsable de la section copte au Louvre et conservateur général honoraire du patrimoine, Marie-Hélène Rutschowscaya.
Celle-ci montre qu’on ne peut, pour justifier cette suppression, invoquer des raisons d’économie. L’opération avait été prévue à budget constant, le personnel nécessaire se trouvant déjà au sein du Louvre. L’espace ne manquait pas non plus (le futur département devait occuper l’aile Richelieu) et les œuvres étaient déjà en possession du musée (1). Or elles sont actuellement présentées, lorsqu’elles le sont, dans un joyeux désordre, dispersées dans huit départements. Marie-Hélène Rutschowscaya parle d’ « aberration » : des objets coptes sont conservés au département des Antiquités grecques, étrusques et romaines, au département des Objets d’art etc … Autrement dit, ces œuvres sont « déconnectées de tout contexte historique et culturel ». Le musée en persévérant dans cette incohérence organise auprès du public (comme des chercheurs) l’invisibilité et l’illisibilité de ces œuvres et des cultures dont elles témoignent.
Le silence complet qui a entouré ce revirement étonne : quasiment pas d’échos dans les grands médias. Que n’auraient-ils pas dit si on avait supprimé, le projet de département des arts de l’Islam, celui du Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem, Marseille) ou celui des Arts premiers ?

Pourquoi renoncer ?
Il semble que ce nouveau département ait été un « sujet clivant » dès ses prémices. Certains conservateurs auraient déploré un regroupement d’œuvres en fonction de critères religieux. Voilà des conservateurs peu au fait de ce qui se pratique dans d’autres grands musées du monde, où une approche civilisationnelle, et non pas confessionnelle, est mise en place. Quelle manque de vergogne d’invoquer ce critère après l’ouverture des arts de l’Islam ! On nous dit également que ce projet aurait nécessité une importante réorganisation des autres départements et de leurs champs de compétences ; mais le département des arts de l’Islam posait les mêmes problèmes et cela n’a pas arrêté le projet.

Les expositions au musée du Louvre, Armenia sacra, Sainte Russie et Chypre en 2013 montrent l’intérêt suscité par ces sujets. De plus, l’actualité s’accélère au proche Orient et l’on ne peut plus dire, avec le ministère de la culture alors dirigée par Aurélie Filippetti, « que la création de ce département n’était pas une urgence ». Depuis, l’Etat islamique (ou Daesh) n’a cessé de sévir, détruisant massivement et les hommes et le patrimoine culturel : celui des chrétiens d’Orient, notamment en Syrie et en Irak, est directement visé. La lettre « noûn » stigmatise, pour la persécution, les Chrétiens comme autrefois l’étoile jaune, les juifs. La France ne s’engagera-t-elle qu’à larguer des bombes alors que le combat contre l’ignorance est fondamental ? Car l’ignorance nourrit le mépris et le mépris alimente la violence. Il est temps que le « devoir d’histoire » vienne apaiser et corriger le « devoir de mémoire » car la mémoire est passionnelle, partielle et partiale.

Vandalisme soft ?

Certes, l’exposition Koons prévue au Louvre début 2015, n’aura pas lieu : le mépris des chrétientés Orientales aurait rendu l’arrogante présence de l’Art contemporain, obscène, au sens premier du terme (2). Mais la douloureuse actualité de « l’Orient compliqué » devrait interroger la direction du Louvre : où est le respect de la diversité des cultures ? La crédibilité de l’universalité du musée est en jeu mais aussi la crédibilité de la laïcité qui doit permettre à chaque culture d’être respectée… Ce genre de renoncement, qui se joue dans l’atmosphère cossue des administrations, n’est–il pas une forme de vandalisme soft ? La nôtre (3)..
Christine Sourgins, historienne de l’art

(1) Les estimations qui circulent font état de 11.000 pièces (10.000 œuvres coptes et un millier byzantines et post-byzantines). Elles concernent l’Europe orientale (Grèce, Balkans, Ukraine, Arménie) la Russie, le Proche-Orient chrétien (Liban, Palestine, Syrie…) et l’Égypte copte jusqu’au Soudan et l’Éthiopie.
(2) Sinistre, de mauvais augure. L’AC, l’art très contemporain, a pour leitmotiv que « la destruction est une création », exposant à prix d’or le fruit de ses démolitions (ex cliquez

).
(3) D’autres exemples de vandalisme public : laisser se délabrer le patrimoine, voir l’état de certaines églises à Paris…l’éventuelle destruction des Serres d’Auteuil…etc. »

http://www.sourgins.fr/vandalismes-culturels/

à hauteur du chien... dit: à

Si près du sol des réalités et déjà modéré…

Jeanine ROVET dit: à

La remarque sur les crottes de chiens me va droit au coeur par sa justesse : j’habite près des jardins du Ranelagh, dans le XVIème, dans les beaux quartiers. Le jardin est souillé de déjections canines et j’ai fait une triste constatation : non seulement les propriétaires ne ramassent pas les saletés de leur chien, mais quand je vois quelqu’un ramasser ce que fait un chien, c’est un étranger, souvent anglophone. Cela heurte ma fierté de parisienne. J’ai essayé une fois de proposer un sac en plastique bien poliment à la propriétaire d’un magnifique setter irlandais (car on a , dans ce quartier l’impression d’être dans une exposition canine tant les chiens sont beaux et bien briqués)et me suis fait brutalement jeter….. En 1970, après une grande grève des éboueurs,une loi avait été votée à New York, enjoignant aux propriétaires de chiens de nettoyer après eux sous peine d’une forte amende. Du jour au lendemain, le problème a été réglé et des kits ad hoc vendus aux propriétaires.
Je n’ai pas d’interprétation historico-sociologique pour ce fait (pays catholique contre pays protestant?) mais le fait est là.
Quant à la remarque sur les Maghrébins, elle me remet en mémoire l’antisémitisme virulent de Gandhi que j’ai découvert récemment. Difficile d’échapper au système des castes….

l'autre pour the same dit: à

il nous reste

Et pour cause, la sexualité est décrite exclusivement à travers les images les plus folles, les plus drôles, les plus inventives, qu’elle a pu susciter depuis le Moyen Age. Dans ce «Kama-sutra» allégorique, où sont convoqués la religion, l’armée, la flore, le bestiaire, le spectacle ou la nourriture, l’orgasme est littéraire, et l’imagination, sans limites.
http://bibliobs.nouvelobs.com/l-humeur-de-jerome-garcin/20150302.OBS3672/oubliez-cinquante-nuances-de-grey-lisez-le-bouquin-des-mots-du-sexe.html
je m’ai gouré de fil

remi dit: à

10 h 45 min

dans ce quartier les gens ont des bonnes et serviteurs, l’habitude de se faire servir et faire nettoyer leur propre m…

Court dit: à

« Se vend à l’enseigne du Pot Cassé »
(Giovanni d’Angelo).Pour les non-initiés, pittoresque maison de l’entre -deux guerres, spécialiste de papiers aux noms impossibles, bibliophiquement non répertoriés, comme certain tirage sur prétendu Papyrus de Tsahet digne de la bibliothèque d’Antinéa.Elle publiait des titres tombés ans le domaine public avec des traductions libres de droit, qui n’annonçaient pas toujours keur age .Le Quintus de Smyrne, retitré de « Posthomeriques » en « Fin de L’Iliade » , par exemple dans la traduction de Castera du Dix-Huitième siècle. .Malgré un brochage cassant,et peut etre à cause de cet exotisme facile,ou de ses couvertures, elle conserve ses fanatiques…
MC

Laïc : horriblement salissant !..... dit: à

Destruction des sculptures de Nimroud ? une bonne action ! l’art éloigne d’Allahla … !

Monsieur Verdoux dit: à

11 h 49 : du JC tout craché… dégueu !

Jambrun dit: à

Quant à la remarque sur les Maghrébins, elle me remet en mémoire l’antisémitisme virulent de Gandhi que j’ai découvert récemment. Difficile d’échapper au système des castes…. (Jeanine Rovet)

Difficile d’échapper à la tyrannie de l’Un alors que nous vivons immergés dans l’inépuisable Multiple. Cette manie de la simplification, si tristement partagée, on se demande avec accablement ce qui peut bien l’expliquer. J’en apprécie encore davantage ces lignes de Jean Birnbaum, lues dans le dernier « Monde des livres » : « Il n’y a pas un islam éternel, immobile, toujours pareil à lui-même. Il y a des femmes et des hommes musulmans, qui réinventent sans cesse, dans leur extrême diversité, leur propre relation à la foi et à la loi, aux textes comme à la vie. »
Je souscris à 100%. Et ce qui vaut pour l’islam vaut évidemment pour toutes les croyances,opinions et savoirs humains.

Viderden dit: à

horriblement salissant !…..

Encore un petit gniard à mémère qui n’assume pas son culte de la m.rde…

Constat d'huissier..... dit: à

« Il n’y a pas un islam éternel, immobile, toujours pareil à lui-même. Il y a des femmes et des hommes musulmans, qui réinventent sans cesse, dans leur extrême diversité, leur propre relation à la foi et à la loi, aux textes comme à la vie. » (Jambrun)

Nous constatons l’aspect incurable de la maladie de Jambrun : la déniéthique, absolue et chronique …

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…Court à 11 h 21 mn,…

…entre-nous,…des mots des phrases,…qui sont relevés,…
…pas de quoi en faire un  » bifteck « ,…en sommeil,!…
…et en rester  » raisons à garder « ,!…

…chacun, trouve des  » petits  » détails pour meubler son sens de l’orientation,…

…naître, penser & être,…seul,…sans maîtres aux dogmes, à se faire chier, ou baiser, en somme,!…limite atteinte,!…en somme,!…et se redéployer en liberté consciente,…à des normes hors-globales mondialistes,!…etc,!…
…merci,!…de souligner, les soucis des interprétations écrites, à leurres pour faucons,!…
…des sous pour garder jurer, Fort Knox,…
…etc,!…l’homme un loup pour l’homme,…
…déjà,!…my God mit uns,…la dépravation de l’art de penser,…méthodes topographiques à n° 6,…prétextes aux pensées uniques,!…

…diviser, pour régner, sur les gardes, of course,!…&…collabos,!…têtes brûlées,…

…vous masteriser pas en l’église des affaires scientologiques au moins,!…plaisirs et argent, sur dévots abrutis,…à faire plus blanc, que le pape,!…les profits aux paradis,!…mon êve en escort girl,!…etc,!…
…en sandwitch,…haché nature & salades,!…etc,!…

Viderden dit: à

la déniéthique

Et les militantes de l’exhibitionisme de ce qu’elles n’ont pas, à la niche !

Bloom dit: à

Il y a des femmes et des hommes musulmans, qui réinventent sans cesse, dans leur extrême diversité, leur propre relation à la foi et à la loi, aux textes comme à la vie.

On dira pudiquement qu’ils sont passablement entravés dans leur réinvention, par ces fixistes massacreurs de fascistes islamistes.

Histoires de familles: Shiva, le dieu créateur/destructeur, est marié à Parvati (Durga au Bengale). Ils ont 2 filles, Lakshmi, déesse de la prospérité)& Sarasvati (déesse de la connaissance, des arts, de la science), et 2 garçons, Ganesh (dieu des affaires, des voyages) et Kartkik (dieu de rien). Subrhamayam est le nom tamoul de Kartik dans l’Inde méridionale. La famille de notre historien porte son nom parce qu’elle était plus encline à vénérer Subrhamanyam que les autres dieux. en tout état de cause; ils étaient shivaïtes, ceux avec les traits blancs horizontaux sur le front (chez les vishnouïtes, les traits sont verticaux).

sympas dit: à

Des hommes afghans ont défilé dans les rues de Kaboul habillés d’une burqa, jeudi 5 mars… ils souhaitent ainsi afficher leur solidarité avec les femmes portant ce vêtement… Leur action rappelle celle des Turcs qui, à la fin du mois de février, avaient enfilé des jupes en soutien aux droits des femmes.(Le Monde)

la vie dans les bois dit: à

Je ne sais pas qui s’est plaint de l’encart pub donné hier soir, mais ce serait dommage de ne pas y revenir. Ce petit bijou de sensibilité tient toutes ses promesses, il serait dommage de laisser ce petit bonheur sur le bord du chemin; il a mis dix ans à mûrir.
J’en savoure les pages, encore tout à l’heure sous les premiers rayons de ce soleil de printemps, comme une papaye rare, et goûteuse.
Les amateurs de hot-dogs peuvent passer leur chemin.
Un autre extrait, là:
http://culturebox.francetvinfo.fr/livres/romans/notre-famille-le-bouleversant-recit-dun-exil-dakhil-sharma-208367

closer dit: à

Inénarrable Jean Birnbaum!

« « Il n’y a pas un islam éternel, immobile, toujours pareil à lui-même. Il y a des femmes et des hommes musulmans, qui réinventent sans cesse, dans leur extrême diversité, leur propre relation à la foi et à la loi, aux textes comme à la vie. »

Merci Docteur! Comme le note finement Jambrun sans en tirer les conséquences logiques, cette phrase peut s’appliquer à n’importe qui et n’a par conséquent aucune pertinence.

Certains se réinventent dans le sens de plus d’ouverture et de tolérance, d’autres s’enferment toujours plus dans l’obscurantisme et la régression. Oser nous faire croire que le mouvement majoritaire de nos frères et sœurs dont parle JB est dans le sens de l’ouverture sur l’ensemble de la planète est évidemment impossible à croire.

Birnbaum, ou l’avant garde de la soumission.

Et pendant ce temps là, on massacre, on détruit, on torture…Réponse stéréotypée des crétins interrogés dans le poste: « d’accord, mais les premières victimes sont les m. eux-mêmes »…ça nous fait une belle jambe…Dans une guerre civile, les premières victimes appartiennent évidemment au même groupe que les agresseurs. Cela n’exonère en rien la religion qui les unit et qui est fondamentalement la même.

Jambrun dit: à

On dira pudiquement qu’ils sont passablement entravés dans leur réinvention, par ces fixistes massacreurs de fascistes islamistes. (Bloom)

Raison de plus pour faire inlassablement l’éloge de la diversité. L’Un est la figure même de la barbarie sans recours.

Jambrun dit: à

On dira pudiquement qu’ils sont passablement entravés dans leur réinvention, par ces fixistes massacreurs de fascistes islamistes. (Bloom)

En aucune façon. C’est même plutôt le contraire. Vous et Closer devriez vous garder de succomber à un fixisme qui n’a rien à envier, au fond, à celui des fascistes islamistes. Qu’est-ce pour vous que l’islam ? Qu’est-ce pour vous qu’un musulman ? Vos préjugés et vos clichés affleurent sans cesse, vous y succombez avec délices : demandez-vous donc pourquoi.

eJudi dit: à

Bonjour, J’habite en Essonne. L’entreprise Chauffage Bois Pellets m’a installé une chaudière à Bois pellets en 2013. Celle-ci n’a jamais fonctionné plus de 2 semaines d’affilée. Aujourd’hui l’entreprise fait le mort et ne répond plus au telephone malgré les pannes à répétition. Du coup je recherche un spécialiste de chaudière à Bois pellets pour réparer. Il s’agit probablement d’un élément coincé dans la vis sans fin ou quelque chose de ce genre. Ou faire un diagnostic, peut-être que le matériel installé est non fonctionnel ?

Jambrun dit: à

Vous et Closer devriez vous garder de succomber à un fixisme qui n’a rien à envier, au fond, à celui des fascistes islamistes. (moi)

J’oubliais Widergänger, mais son cas relève de la pathologie. Ses propos dictés par la haine de l’islam, il les parsème sur les fils de ce blog comme autant d’étrons canins. Et, bien entendu, jamais personne pour les évacuer.

la vie dans les bois dit: à

(Le « vieux pd » enragé redemande le chemin de son enfer.
qu’il y reste.
Il faut lui dire en ourdou ou bien.)

burntoast dit: à

> eJudi dit: 6 mars 2015 à 14 h 29 min
Les chaudières à bois sont ma spécialité. Prenez une perceuse avec un gros foret à métal, et faites douze trous espacés de 2cm tout le long de la chaudière dans le sens vertical. La chaudière devrait marcher du feu de Dieu.

burntoast dit: à

>Widergänger dit: 5 mars 2015 à 21 h 16 min
« Eloge de la sacro-sainte « fluidité ». Un jour faudra qu’on m’explique ce que c’est qu’un livre non fluide. Fluide glacial, peut-être… ? »

Il suffit de lire vos commentaires remarquablement non fluides (et totalement dénués d’humour ; ce qui est dommage, l’humour n’a jamais tué personne).

burntoast dit: à

La description de la population parisienne – probablement vraie dans le pour un parti en pleine ascension – nous fait douter des capacités d’analyse de cet « historien ».

burntoast dit: à

Je parle de Sanjay Subrahmanyam, bien sûr.

bab el-budda dit: à

(Ce post est resté dans les cintres, on verra bien)

Dire d’une compilation d’essais qu’elle est inégale ne mange pas de pain, c’est forcément le cas.

On lit le livre mi-figue mi raisin si on connaît un peu l’oeuvre de SS, qu’on admire son art des connexions, et surtout sa capacité à circuler d’archives en archives, de langues vernaculaires en langues vernaculaires sur trois continents.

Ce qui lui permet de mettre en cause diverses moutures des post-colonial studies, surtout celles qui se débitent dans des fabriques académiques comme la Duke University. On critique l’Empire dans la langue de l’Empire, on tourne en rond dans un face à face avec « l’Occident » et on oublie le monde et ses richesses à l’écart du discours colonial (ce Grand centre qui finit par les affecter d’une sorte strabisme convergeant). Loin des hommes, loin des documents originaux qui sommeillent dans des dépôts oubliés… Une historiographie de cabinet épousant une ethnologie paresseuse, le tout mis en forme grâce à la Theory, French ou autre.
La lecture des travaux de SS et de ses collègues nous permet en revanche de ne pas réfléchir à vide. On circule à pied et on respire.

Comme le remarque P. Assouline, le livre n’est pas sans défaut.
Il y a dans le caractère de SS une sorte de wickedness, qui est le produit d’un caractère mais aussi probablement d’expériences difficiles. Rivalités de chercheurs, jalousies d’intellectuels « globalisés », snobismes et contre-snobismes hérités du British Raj (sur ce dernier point, les face-à-faces sur Naipaul ou Rushdie ne manquent pas de sel)…
Ces défauts affaiblissent le livre.
Pourquoi devoir appeler Jaffrelot, auteur de solides ouvrages (il est vrai que c’est en sciences politiques, et que l’historien se bouche le nez devant cette discipline occupée par l’écume des choses) un « parisien prolifique »?

Certains textes auraient pu être carrément laissés de côté, comme celui consacré à Ashish Nandy. Il n’est lisible que par le lecteur au fait des longs débats indiens (« indigénistes ») symbolisés entre autres par les Subaltern Studies.
Je suis d’accord sur le jugement ironique d’ensemble qu’il porte sur Nandy, devenu une sorte de gourou post-moderne dans une proximité ambiguë avec les discours nationalistes.
Mais ce que ce texte dit, c’est que SS trouve Nandy ignorant, que ses disciples sont des idiots, qu’il est bon de polémiquer avec certains bengalis à oeuillères.
Sur le fond, on ne trouvera pas l’exposé d’une thèse de Nandy suivie d’une critique de ce qui la rend contestable (à part quelques allusions sur le « secularism »).
Ce n’est pas le lieu? D’accord. Mais dans ce cas pourquoi inclure ce texte?

Je m’étais fait une idée assez fausse de Nandy avant d’aller un jour prendre un breakfast chez lui. Sa femme (une dame charmante en sari with a touch of britishness) s’était agréablement moqué de lui, ce qu’il acceptait avec bonne humeur. Dans une atmosphère aussi « civilized », les discours du farouche défenseur des Mythes indiens prenaient une autre signification.
Mais quoi, c’est un auteur.

diplomatie dit: à

(une dame charmante

Pourvu que daaphnée ne lise pas ce passage!

la vie dans les bois dit: à

À l’heure de prendre à cup of Darjeeling Dino s’est mis à faire des grands moulinets avec ses petits bras musclés, parlant fort et d’importance. Mais de qui, de quoi, va savoir.

Passou dit: à

A Francois Delpla de 19.39, il parle de l’état mental de Churchill dans une recension du livre controversé de Madhusree Mukerjee « le crime du Bengale » (vient de paraître en français aux éditions Les nuits rouges) qui attribue à Winston la responsabilité cynique de la grande famine de 1943 qui aurait fait fait 3 millions de morts selon elle.

Belgitude dit: à

A propos du dernier tweet de la RDL, http://www.lorientlitteraire.com/article_details.php?cid=9&nid=4823
j’aurais plutôt pensé que le livre de chevet d’O. Py était le Dernier Journal d’Henry Bauchau. Mais il est vrai que ce dernier lui en voulait un peu de le faire toujours lanterner, aussi prêt de casser sa pipe. A cet âge là, on est souvent impatient.

François Delpla dit: à

Passou dit: 6 mars 2015 à 16 h 46 min

A Francois Delpla de 19.39

Je vais regarder cela de plus près mais en attendant, pour dédouaner Winston au moins en partie, ces quelques lignes de l’écrivaine feront l’affaire http://www.nybooks.com/articles/archives/2011/feb/24/bengal-famine/ suffiront :
Sen’s insight that loss of entitlement provides a deeper explanation for famine remains true and profound, however. My work shows that the concept can be extended to include the far larger entitlement of British citizens than of colonial subjects to food—as illustrated by several of Churchill’s decisions. For instance, in January 1943 he acted on Cherwell’s advice to remove 60 percent of the merchant ships from the Indian Ocean, so that these vessels could instead be used to shore up the United Kingdom’s supplies of food and raw materials. By this move, he made it impossible for Australian wheat to be carried to India and triggered the famine in Bengal.

Madhusree Mukerjee

Ramener des navires vers l’Atlantique en 1943 pour approvisionner le Royaume-Uni « en produits alimentaires et en matières premières » pouvait procéder du souci, non de suralimenter la nation colonisatrice, mais de vaincre Hitler.

eJudi dit: à

14.48 burntoast, J’ai essayé votre méthode de percements pour ma chaudière à bois, et elle a l’air de vouloir péter le feu maintenant. J’adore ce blog littéraire, trop mieux qu’au BHV, et gratuit en plus de ça. Merci. Et pour les déjections canines, vous pensez que ça ferait un bon combustible ?

Le fantôme de JC..... dit: à

Les déjections canines brûlent très bien dans un poèle !

Surtout si vous nourrissez le chien trouvé dans la rue avec des boulettes à l’essence.

Bien entendu, le chien finit par crever ! Et alors ? Il reste combustible ….

Court dit: à

Sur la dernière décision calamiteuse de Mr Martinez, consulter la Tribune de L’art: « La fin des Trésors Nationaux ou l’abandon des Rembrandt Rothschild. On nepourra pas dire que Didier Ryker exagère, hélas.

bab el-oueda dit: à

@ la vie dans la boîte

Des petits trous malgré tout, pour pouvoir respirer?

Allez en paix.
Namaste!

bab el-oueda dit: à

Ce qui est étonnant dans les observations de SS sur Paris, c’est qu’elles se donnent comme le fruit d’une réflexion, comme la découverte d’un vrai visage de Paris. Alors qu’elles ressemblent tout à fait à des impressions de voyageur hâtif.

Tout visiteur de l’Inde en a autant à son service en matière de clichés (entendre: instantanés, pas faux en soi, mais nécessairement limités), depuis les défécations publiques jusqu’à la crasse de ce pays adonné au culte de la pureté (rituelle).

Il y a au moins un motif de réjouissance pour les partisans de l’égalité islamo-hindu: une même frustration massive devant les femmes.
Ah ces regards brulants et pathétiques de pauvres mâles…

Quelle joie d’avoir hérité, sur ce point, de la culture française!
Gardons-la, Mesdames, gardons-la!
Ne cédons jamais!

bab el-oueda dit: à

« Ses propos dictés par la haine de l’islam, il les parsème sur les fils de ce blog comme autant d’étrons canins. Et, bien entendu, jamais personne pour les évacuer. »

Hélas, Chirac n’est plus là pour enlever tout ça d’une raclette islamophilique.

bab el-oueda dit: à

« Il s’agit probablement d’un élément coincé dans la vis sans fin ou quelque chose de ce genre. Ou faire un diagnostic, peut-être que le matériel installé est non fonctionnel ? »

Ça arrive aux meilleurs.
Consulte ton sexologue.

bab el-oueda dit: à

« « Il n’y a pas un islam éternel, immobile, toujours pareil à lui-même. »

C’est sympathique.
Mais il y a une forte proportion de Musulmans qui le VEULENT éternel, immobile, toujours pareil à lui-même, c’est à dire conforme au Beau Modèle qu’est le Messager.

Ne vous efforcez jamais d’être ouvert à la place des autres, c’est une forme de mépris.

bab el-oueda dit: à

Jeanine ROVET dit: 6 mars 2015 à 10 h 45 min
Elle me remet en mémoire l’antisémitisme virulent de Gandhi que j’ai découvert récemment. Difficile d’échapper au système des castes….

Je ne comprends pas.
C’est à cause des propos rapportés récemment par Mediapart?

http://blogs.mediapart.fr/blog/jp-chenet/090912/gandhi-antisemite

Ce n’est pas de l’antisémitisme.
C’est un jugement profondément déraisonnable, ce n’est pas la même chose.

Court dit: à

Il faut y ajouter, disponibles sur le net au moins deux lettres à Hitler lui-meme ou Gandhi tente d’empécher la guerre en préchant la paix au fuhrer.
MC

ils ne passeront pas dit: à

« il y a une forte proportion de Musulmans qui le VEULENT éternel, immobile,  »

vous ne pensez pas que les obscutantistes sont une minorité (agissante certes) ?

simple mind dit: à

Court vous n’y êtes pas, il ne faut pas penser en lettres mais en heure, jour, temps, année lumière. Hitler est une vieille étoile si l’on peut ainsi statuer pour soit l’oublier ou bien donner à sa funèbre mémoire valeur d’éternité.

D. dit: à

Vos opinions politiques sont acceptables,Ueda, mais je n’apprécie pas votre arrogance.

la vie dans les bois dit: à

Dino compte sans doute sur le foret de Burntoast pour faire des trous dans sa chaudière brevetée José Bové, combustion améliorée certes, mais avec son combustible ? disons personnel…
Non pour une bonne performance, adoptez la chaudière à condensation made en acier bien trempé par Lakshi Mittal.

Cela dit le triple salto arrière de F. Delpla, qui dit que la GB était suralimentée en 1943 est surprenant. Je n’ai pas dit: consternant, attention.

D. dit: à

c’est pour cette raison que Daaphnée m’a toujours secrètement préféré à vous, sans oser le dire.

la vie dans les bois dit: à

Il s’apelle Lakshmi Mittal, le monsieur qui va s’occuper de votre chaudière…

la vie dans les bois dit: à

Il parait que Picador 1er assure que le voile ne sera pas interdit à l’université M. Court. Vous pouvez commencer à déclamer Belphégor.

Je me souviens.
De Calcutta.
http://expositions.bnf.fr/hcb/images/3/6.jpg

burntoast dit: à

>Le fantôme de JC….. dit: 6 mars 2015 à 17 h 55 min

Je propose de passer préalablement le chien parisien au four à micro-onde, pour améliorer la combustion (et améliorer la propreté des trottoirs).

Le fantôme de JC..... dit: à

D. dit: 6 mars 2015 à 19 h 21 min
« Vos opinions politiques sont acceptables,Ueda, mais je n’apprécie pas votre arrogance. »

Vos histoires fessières, vos disputes, votre souci d’amener nos sœurs sur le chemin du bonheur vous aveuglent : PARTAGEZ la ressource, nom de ZEUS !

la vie dans les bois dit: à

J’aime beaucoup les jeux de cordes d’un Sikh bien sympathique.
https://www.youtube.com/watch?v=8DlxO2frMPE.

(La haidresser pour pitbulls,vieille peau, me colle, elle aussi. J’ai horreur de ça. Beurk.)

simple mind dit: à

19h24 Rien n’étonne de votre part D quoique nous puissions déplorer, en cela vous vous joignez à l’ensemble protéiforme alors que vous auriez pu faire exception, d’un autre côté avez-vous raison d’opter pour cette attitude consensuelle car peu restent à l’extérieur.

simple mind dit: à

Savez vous la vie sous les arbres que j’ai croisé une fois le regard de Triluk Gurtu , fabuleux percussionniste .
https://www.youtube.com/watch?v=gPsLwiyJLsI

qu’il ne vous empêche pas de stationner noc, c’est amusant.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pas plus,!…de commentaires,…en dix-versions,!…
…pas encore châtelain,…ni président de quoi que ce soit,!…personne à mes ordres,!…
…conclusion,…mutus et bouches cousues,!…
…& en, plus aucun héritier dans les pattes,!…et aucune  » geicha « ,…pour me relaxer,!…
…alors, c’est bien, continuer,!…une mouche dans l’oeil,…en relecture,!…Ah,!Ah,!…en manque de milliards à deux  » Baal’s « , Nosferatus,!…etc,!…Frankenstein, votre chat d’Ô,!…etc,!…
…moi, je m’en balance,…sans fortunes,!…
…Na, au suivant,!…les cloches du XXI°siècle,!…envoyez,!…
…à nos oiseaux sans têtes aux pognons,…en manque plusieurs déjà,!…

Widergänger dit: à

Ghandi était clairement antisémite comme chacun sait. R. Dumas aussi, comme chacun sait depuis longtemps.

Widergänger dit: à

C’est la canaille de gauche qui a dirigé la France pendant quinze ans !

closer dit: à

J’aime bien WG, mais le rapport entre Gandhi et Roland Dumas m’échappe un peu…pourquoi lui?

Jambrun dit: à

Le livre de chevet de Bertrand Py, directeur littéraire d’Actes sud : la « Décalogie » inaccomplie de Jean Giono.

Inaccomplie parce qu’inachevée mais aussi parce qu’inégale. si « Mort d’un personnage » et « le Hussard sur le toit » sont de hauts chefs-d’oeuvre, « Angelo » n’est guère qu’une esquisse et « le Bonheur fou », malgré de très belles pages, n’arrive pas à trouver son rythme; il fait partie de ces romans (« Que ma joie demeure », « le Chant du monde », « l’Iris de Suse ») où le narrateur semble, à un certain stade du récit, se déprendre du souci de faire avancer sa narration; la conversation prolifère aux dépens de l’intérêt romanesque. Cette tendance est repérable un peu partout chez Giono, mais dans ces romans, elle aboutit à bloquer le récit.

B comme BERLIN dit: à

« simple mind dit: 6 mars 2015 à 20 h 32 min »,

Le Marteau sans maître.

Widergänger dit: à

@closer
faut suivre l’actualité, mon petit chéri…!

D. dit: à

Sur Wikipédia, on lit ceci sur Roland Dumas :

« (…) Puis, il s’inscrit au barreau en 1950. En plaidant en décembre 1953, aux côtés de Robert Badinter, pour le résistant communiste Georges Guingouin, proche de son père, victime d’une machination l’accusant de meurtre, qui bénéficie d’un non-lieu en 1959, et en obtenant l’acquittement en 1954 du secrétaire général de la défense Jean Mons, soupçonné d’avoir livré des secrets au PCF, il gagne la reconnaissance dans les prétoires.

Cette dernière affaire touche également le ministre de l’Intérieur sous le gouvernement de Pierre Mendès France, François Mitterrand dont il est l’avocat lors de l’attentat de l’Observatoire en 1959, et avec qui il tisse des liens fidèles malgré des positions différentes sur le Proche-Orient et la décolonisation (…). »

D. dit: à

mais aussi cela :

« (…)Son action diplomatique est notamment marquée par ses efforts en vue de la création d’un État palestinien (réception de Yasser Arafat à l’Élysée en 1989 en échange de la reconnaissance du caractère caduc de la charte de l’OLP) et de la paix au Cambodge (retour au pouvoir de Norodom Sihanouk).

Homme de réseau, franc-maçon, profitant de la confiance totale du Président de la République, il incarne la Françafrique mitterrandienne qui s’articule notamment autour d’Omar Bongo et de Elf6, en contact direct avec le Président de la République au détriment des Premiers ministre, et s’appuyant sur son entregent et ses collaborateurs plutôt que sur la diplomatie des fonctionnaires du Quai d’Orsay (…) »

D. dit: à

Rien de bien méchant, donc.

D. dit: à

Il y a aussi ces quelques lignes :

 » (…) À partir de 1997, il est cité dans les affaires Elf et des frégates de Taïwan, pour ce qui devient l’affaire Elf, autour du rôle d’intermédiaire joué par sa maitresse Christine Deviers-Joncour. Il décide de suspendre l’exercice de ses fonctions le 24 mars 1999, puis est contraint à la démission du Conseil constitutionnel le 1er mars 2000. Il accède toutefois à l’honorariat en 2002.

Condamné en première instance à six mois de prison ferme et deux ans avec sursis, il obtient la relaxe en appel en janvier 2003 et est reconnu innocent de l’ensemble des chefs d’accusation qui l’avaient amené devant la justice.

Également poursuivi pour complicité d’abus de confiance, dans le cadre de la succession du sculpteur Alberto Giacometti dont il est l’exécuteur testamentaire, Roland Dumas a été condamné, de manière définitive, à douze mois d’emprisonnement avec sursis et 150 000 euros d’amende par le rejet de son pourvoi par la Cour de cassation le 10 mai 2007.

Il retrouve la robe d’avocat4. À l’extérieur des instances du Parti socialiste, où il est peu apprécié, et tenu à l’écart du cercle des mitterrandiens6, il conserve une place médiatique de défenseur de l’ancien président après la mort de celui-ci, comme lors du procès des écoutes de la cellule de l’Élysée, en janvier 200514. Lors de l’élection présidentielle de 2007, il apporte son soutien à la candidate socialiste Ségolène Royal.

Roland Dumas est l’un des premiers soutiens de Dieudonné en 2006. Il se laisse photographier avec Bruno Gollnisch, Jany Le Pen, et Alain Soral6, et signe une lettre de recommandation pour l’entrée au barreau de Louis Aliot.

En décembre 2010, il agite le monde médiatique et politique en se rendant quelques jours en Côte d’Ivoire avec son confrère Jacques Vergès pour défendre les positions du président sortant Laurent Gbagbo, qui conteste la victoire d’Alassane Ouattara à l’élection présidentielle, reconnue par la commission électorale indépendante et la quasi-totalité de la communauté internationale4. Selon Libération, Dumas aurait été convaincu de s’y rendre par Marcel Ceccaldi, conseiller de plusieurs chefs d’État africains, conseiller juridique du FN et ancien proche de Jean-Marie Le Pen. (…)

Pas de quoi en faire un plat.

B comme BERLIN dit: à

Ah,
les Berluti’s,
grand moment de politique moderne.

En France, nous n’en sommes pas à critiquer la marque de cigare :
Cubain ou non,
encore qu’il y a la taille à prendre en compte.

Et au final :
fumable ou non ?.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…j’ai trouvé, un exemple,…avec le rôle d’Archer,…qui s’exprime, avec des Ah,!Ah,!Ah,!,…
…par Farquhar,…comédie en cinq actes,  » le stratagème des roués « ,…

…la mauvaise herbe le fol, qui à vingt étés durant pousse sa tige et fini par porter graine,…la plante favorite de la nature,!…
…le fol est fait pour servir de bouffon à l’homme sage,!…
…tient, il y avait des hommes sages,…
par quel bout les reconnait on,…etc,!…Ah,!Ah,!Ah,!…

Bloom dit: à

la grande famine de 1943 qui aurait fait fait 3 millions de morts selon elle.

Sur les ravages de la famine au Bengale, voir les esquisses goyaesques de Zainul Abedin.

« Among all the contemporary works of Zainul Abedin, his famine sketches of 1940s are his most remarkable works. He created his famine painting set, which, when exhibited in 1944, brought him even more critical acclaim. The miserable situation of the starving people during the great famine of Bengal in 1943 touched his sensitive heart very deeply. He made his own ink by burning charcoal and using it on cheap ordinary packing paper, he depicted those starving people who were dying by the road side in search of little bit of food. What Zainul did was not just documented the famine, but in his sketches the famine showed its sinister face through the skeletal figures of people fated to die of starvation in a man-made difficulty. Zainul depicted this inhuman story with very human emotions. This drawings became iconic images of human suffering. This sketches helped him find his way in a realistic approach that focused the human suffering, struggle and protest. The Rebel crow marks a high point of that style. This particular brand of realism combines social inquiry and the protest with higher aesthetics. »

http://aishi-myworld.blogspot.in/2011/06/bengali-painter-zainul-abedin-paintings.html

Le fantôme de JC..... dit: à

Ces Zadistes sont les clochards de la pensée, les enfants perdus de la raison : combien sont plus exemplaires, admirables, sympathiques, nos splendides gendarmes-écrevisses bleus et noir, orgueil de l’Ordre Républicain Agricole !

ZEUS..... dit: à

Nous étions en train de déguster une excellente ambroisie entre dieux et déesses lorsque la conversation est tombée sur la Mixité Sociale que des Français veulent imposer aux communes.

Rappelons que la France est un petit pays européen où il y a plus de mauvaises idées que de bon pétrole.

Un des convives divins m’interpelle :
« Que faire si une autorité supérieure décide de nous imposer un HLM, chez nous, sur le Mont Olympe pour nous gâcher la vie ? »

Il m’a fallu du temps pour cesser de rire et répondre crûment :
« Un, l’Autorité Suprême, c’est moi !… et on ne viendra pas foutre le bordel de la mixité sociale en Olympie ! Deux, si c’était le cas, nous ferions comme tout bon bourgeois fait, nous partirions ailleurs pour rester entre nous, en laissant le quartier empourri par les pauvres ! »

Rassuré, le banquet nourri d’applaudissements a duré joyeux jusqu’au matin … Y sont bêtes ces Français, c’est pas croyable !

ZEUS..... dit: à

– Patron, vous avez vu que ces malfrats islamiques de Daech ont détruit des sculptures assyriennes remarquables, en Irak ?!
– Qu’est ce que tu en penses, toi, HERAKLEITOS ?
– Moi ? Sans importance …. « Tout cède et rien ne tient bon ! »

roro dit: à

« la Mixité Sociale que des Français veulent imposer aux communes. »

Effectivement, il est prévu d’installer les pauvres les plus démunis à porquerolles. Un dénommé jicé est d’ailleurs à l’origine du projet il ouvre tout grand sa demeure

le fantôme de JC..... dit: à

A Porquerolles, comme partout, nous deviendrons spécialistes dans la fabrication du merguez au pauvre chance pour la France.

T’aura ta part, roro ! Soleil vert à l’africaine ! Y a bon, bwana …

Brahmane consterné..... dit: à

Riches ou pauvres, qui se ressemble s’assemble, la mixité est une illusion.

auteuil neuilly passy dit: à

« Riches ou pauvres, qui se ressemble s’assemble, la mixité est une illusion. »

évidemment, si on n’essaie pas …

Brahmane constipé..... dit: à

Et pourquoi faudrait il essayer ?

Monsieur Verdoux dit: à

définition de la calamité en un seul mot : JC

Brahmane constipé..... dit: à

Essayer la mixité, c’est perdre son temps et son argent, on est bien qu’entre-soi !

henri dit: à

on est bien qu’entre-soi

pauvre autiste

jic é dit: à

perdre son temps et son argent,

à porquerolles on n’en peut plus d’être trop bons

fr delpla dit: à

Lvdlb a tres mal lu mon 17 09

Je reviens en fin de journée.

closer dit: à

@closer
faut suivre l’actualité, mon petit chéri…!

J’essaye de suivre mon bon WG, mais le fait que Dumas ait tenu des propos qui peuvent passer pour anti sémites ne le rapproche pas plus de Gandhi que de n’importe quel autre anti sémite! Vous ne connaissez peut-être même pas les sources et la forme de l’anti sémitisme de Gandhi, qui ont a priori peu de chances d’être les mêmes que celles de RD.

la vie dans les bois dit: à

François, suis pas là-stop-reviens demain-stop-les clémentines sont délicieuses- je répète les clémentines sont délicieuses-stop.

le vit dans les doigts..... dit: à

Françoise, suis là-stop-reviens tout de suite-stop-les clémentines sont délicieusement gonflées-je répète les clémentines sont délicieusement gonflées-stop, ça urge !!!

Mademoiselle Vert du Rein dit: à

wiki : définition de la perfidie en un seul mot : JC…..

félix le chat dit: à

fr delpla dit, le 7 mars 2015 à 10 h 15 min : « Lvdlb a tres mal lu mon 17 09. Je reviens en fin de journée ».

ouf, on commençait à se faire du mou rond !

ZEUS..... dit: à

La situation l’imposait. Je l’ai fait. Contre l’avis des barbus et des tonsurés !

Pour sauver les Chrétiens d’Orient massacrés par les islamistes au cœur tendre, un échange aura lieu avec des musulmans hexagonaux, sur le Pont de Kehl, jeudi prochain à minuit.

Le nombre de musulmans radicaux échangés pour un chrétien n’est pas encore fixé…

le fantôme de JC..... dit: à

Comment ne pas être du côté de ce chien, lorsqu’on le voit affronter pacifiquement les menaces de ce vieux fou habitant Barbès, prêt à bâtonner au nom d’une idole d’amour ?

abdelkader dit: à

Ne voila t-il pas que le Bouddha moU maintenant ne se limite plus a bitcher sur les islamistes (il en tous les droits, je fais pareil) mais il l’étend au reste du monde musulman, un milliard+ d’âmes…tous les mêmes, même et surtout ceux qui ne le sont…faut-il avoir passé toutes années a étudier je ne sais quoi pour finalement en sortir complètement con ?

abdelkader dit: à

L’attitude des français envers leurs chiens ne cessera jamais de me choquer…j’admire le fait que les chiens sont accueillis dans les meilleurs restaurants mais j’abhorre ce laisser-aller envers la merdre sur les trottoirs…ils l’ont même importé ici…shocking ! dans mon quartier, l’autre jour, je prenais la goutte avec un pote a la terrasse d’un pub, quand je vois un mec BCBG avec son Bichon Frisé de l’autre cote du trottoir et qui ignore royalement le paquet fumant que son kleb avait déposé sur le trottoir…20 minutes après, le même mec revient , cette fois-ci de mon cote du trottoir…je lui donne alors la version d’Abdel de l’origine du monde, l’univers etc itou…ce con baisse les yeux et continue son chemin…

abdelkader dit: à

Je me souviens, un dimanche que je me baladais sur la rive gauche de la Seine, je m’arrête devant la Tour d’Argent, histoire de me dire ce que je n’allais pas manger pour mon dej ce jour-la…une grosse Bentley noire s’arrête devant le restaurant…un chauffeur en uniforme ouvre la porte arrière et aide cette mamie, qui devait avoir 102 ans…l’âge de la mère Judith, je dirais…il l’accompagne jusqu’a la porte et revient chercher son caniche qu’il porte sur un coussin jusqu’à l’intérieur du restaurant…

abdelkader dit: à

Observatoire de la subtilité dit: 7 mars 2015 à 12 h 36 min
pour juger de la subtilite de vos propos, il faut d;abbord une paire de gants en caoutchouc, un masque a gaz et un fusil harpon…

Widergänger dit: à

Oh, shoking, mes petits chéris…!

Widergänger dit: à

La Rama Yaya à Dédé, elle veut nous faire bosser jusqu’à plus d’âge, la salope !

Widergänger dit: à

Un chien de garde à vue. Manque plus que la garde des sceaux pour garder le garde à vue. Garde à vous ! Gare à lui !

Compteur vert dit: à

Un milliard d’âmes … !
Perdues ?

burntoast dit: à

>Widergänger dit: 7 mars 2015 à 13 h 16 min

Par ses propos, ce type montre qu’il aime par dessus tout les fosses à purin. Quelle honte !

Jambrun dit: à

 » Il n’y a pas un islam éternel, immobile, toujours pareil à lui-même. Il y a des femmes et des hommes musulmans, qui réinventent sans cesse, dans leur extrême diversité, leur propre relation à la foi et à la loi, aux textes comme à la vie  » (Jean Birnbaum, « Le Monde des livres » du 6 mars)

Merci, Monsieur Birnbaum, pour ce propos d’une intelligence lucide.

le fantôme de JC..... dit: à

Nous aimons nos chiens car ils nous aiment.
(si cela pouvait servir de leçon !…)

le fantôme de JC..... dit: à

Jambrun, l’ineffable Jambrun, se répète.

Une répétition, suivie de mille autres, ne fait pas une vérité…. tout juste une obsession !

abdelkader dit: à

Widergänger dit: 7 mars 2015 à 13 h 15 min
Oh, shoking, mes petits chéris…!

comment vous dire? Shoking, c ’est du charabia et ne veut pas dire grand chose…choking veut dire ‘étouffer’ ou ‘étrangler’, ‘shocking’ est utilise ici comme adjectif…mais vous deviez le savoir, vous qui êtes z’agrégé ?

closer dit: à

Jeambrun doit être bourré une fois de plus…

Il a déjà donné cette citation de Birnbaum et je l’ai déjà démolie.

closer dit: à

Tu nous fatigue Jambrun! De quoi l’islamophilie est-elle le nom? (c’est beau comme du Badiou).

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…m’en fou, que je vous dis,!…des civilités à chiens,!…

…quoi que,…un code d’honneurs et sans sens,… » manuel de civilité pour les jeunes filles a l’usage des maisons d’éducation « ,…Pierre Louïs,!…
…une union aux €uro,…donner du sien aux paradis parasites des Luxes et Lumières,!…
…la cocotte-minute,…sur les braises,…
…et, ce printemps, monsieur, çà vient,!…
…de main en main,…etc,!…of course,!…
…alouette, un retour de feux,!…

saturday afternoon fever dit: à

12 h 59 min

c’était la mère à jc – ça explique ses bonnes manières il aime pas le bruit et les odeurs comme jacques chi et sa grosse (son calvaire)

saturday afternoon fever dit: à

« Shoking, c ’est du charabia et ne veut pas dire grand chose »

En French, si !

Bloom dit: à

Bouddhisme, jaïnisme et sikhisme sont nés en réaction au pouvoir excessif des brahmanes, dont la morgue est intacte dans l’Inde de Modi. Dans l’Inde « moderne » le castisme se porte bien et l’indifférence au sort d’autrui en est une des manifestations quotidiennes les plus tangibles. Le mélange avec la pauvreté endémique (200 millions d’ultra pauvres) est explosif.
Comme dit un ami indien: « Ici, si quelqu’un tombe dans la rue, non seulement personne ne le relèvera, mais si on peut lui voler son portefeuille, on ne se gênera pas. »
Le karma a son utilité. Sans parler des familles et des expéditions punitives menées par les goondas des grands et petits mafieux. Quant à la corruption, aux vaches sacrés qui broutent du plastique, au serpents qui se déplacent en centre ville pour bouffer les rats qui bouffent les ordures… Les grands ancêtres avaient inventé le zéro, leurs descendants le pratiquent.

D. dit: à

Le zéro quoi ? Je comprends rien.

D. dit: à

Pour changer un peu se sujet, ce qui est arrivé au Mali est triste, je ne peux que m’en indigner mais une fois encore je ne comprends pas ce qu’on peut foutre là-bas sinon se mettre du pognon plein les poches sur le dos des maliens.
J’exclurai toutefois de mon jugement les ONG.
Sinon qu’on ne vienne pas me dire qu’on va travailler au Mali pour se dépayser en en apprécier lé culture, c’est trop énorme comme couleuvre à avaler. C’est le fric, le fric et encore le fric.

D. dit: à

J’aime beaucoup Georges Duhamel, c’est un de mes écrivains préféré, et il fut une conscience presque parfaite. Ses deux seules imperfections furent d’une part d’être athée, d’autre part de penser que les Français avaient un rôle à jouer à l’Étranger pour faire rayonner une certaine idée de la culture qui n’est en définitive accessible et bénéfique qu’à une minorité, la majorité la phagocytant à qui mieux mieux comme un corps étranger dangeureux, quelquesoit le temps que ça prends.

D. dit: à

En résumé tout irait beaucoup mieux avec les Français en France et les autres dans leur pays respectif.

François Delpla dit: à

la vie dans les bois dit: 7 mars 2015 à 11 h 03 min
la vie dans les bois dit: 6 mars 2015 à 19 h 22 min
(…)
le triple salto arrière de F. Delpla, qui dit que la GB était suralimentée en 1943 est surprenant. Je n’ai pas dit: consternant, attention.
*************************************************

Le style et le ton d’abord :

bien attentif celui qui saura à quoi cela répond, et bien malin celui qui comprendra pourquoi.

On crache sans souci de se justifier. Une question de tempérament, une vilaine toux peut-être ?

vous rejoignez, si ce n’était déjà fait, l’innombrable cohorte des insulteurs sous pseudo, revers de la médaille Internet.

La bourde maintenant : l’Angleterre n’était évidemment pas suralimentée pendant la guerre, et mes propos ne l’insinuaient nullement. C’était juste une façon d’exposer les implications de la position de Sanjay Subrahmanyam et de son inspiratrice sur la famine au Bengale.

Je reviendrai un peu plus tard sur le fond de l’affaire.

L'anglais tel qu'on le parle dit: à

Oxford advanced learner’s dictionnary:

Shocking Name/adj
1) that offends or upsets people;that is morally wrong
2 (informal, especially B.R.E) id est British English:
Very bad :the house was left in a shocking state.
Nos deux gentlemen aux propos si éthérés trouveront_ils dans ces lignes un terrain d’entente?

D. dit: à

Abdelkader a entièrement raison pour ce qui concerne les chiens en France. J’ai toujours été favorable au permis de posséder un animal de compagnie en France, permis à points. Je sais que dans certaines villes de Suisse, le chien est retiré à son propriétaire au moindre problème causé par le chien du fait de la négligence du maître, et notamment dans le cas d’une éducation négligée.
Il y a quelques années, je me promenais dans le XVIème arrondissement, ce qui est rare, je n’aime guère cet arrondissement bourgeois et sans Histoire, le VIIème, aristocratique, me convient bien mieux, bref vous aurez deviné qu’il y a bien plus de crottes sur les trottoirs du XVIème que sur ceux du VIIème à population canine égale, c’est dû au fait que les bourgeois n’ont pas cette éducation ancestrale qu’on les aristocrate, qui savent ce que chien de compagnie ou de chasse veut dire et que cela s’accompagne de leur correcte éducation et d’une parfait propreté;
Bref une bonne femme d’environ 40 ans était en train de faire déféquer son caniche au bord d’un passage pour piéton, je lui ai fait remarquer qu’il serait immanquable que quelqu’un marche dedans tôt ou tard et elle a commencé à partir, je l’ai pousuivie et lui ai demandé si elle voulait en bouffer du caca de son chien, si elle continuait à s’enfuire, elle a alors fait demi-tour, a ramassé le caca dans un kleenex et l’a jeté dans une poubelle, puis est partie rouge de honte. Ce jour-là je me suis dit que j’avais contribué d’une certaine façon à l’éducation défaillante donnée par ses parents, plusieurs décennies plus tard.

D. dit: à

Notez bien que je ne serais jamais allé jusqu’à la voie de faits et que n’aurais en aucun cas réitéré la menace.

L'anglais tel qu'on le parle dit: à

« Mon écrivain préféré est Georges Duhamel »
Celle-là, il fallait la faire!
D je vous trouve une mission.
Soyez la Providence des bouquinistes parisiens qui croulent sous les invendus de GD; Assainissez le marché, remplissez votre bibliothèque.Faites partager -ce sera difficile-votre enthousiasme Duhamelien. Ayez recours au besoin à vos amis extra-terrestres, puisque parait-il vous en avez…
Quoique leur infliger cela sans préparation n’est peut etre pas une bonne idée.

A la réflexion, il faudrait les préparer, écrire un « Georges Duhamel à la portée des Martiens » pourrait etre une étape préparatoire très judicieuse. D’abord c’est un public qui ne vous contredira pas, ensuite,comme la notoriété de l’auteur est pour le moins en perte de vitesse, je ne vois de salut pour sa gloire que dans l’exportation le plus loin possible.
Je ne cache pas que la tache est colossale, quelque chose entre le nettoyage des Ecuries d’Augias et un choc de civilisation, mais vous seul sur ce blog avez semble-t-il les moyens pour la mener à bien!
Bonnejournée.
MCourt

D. dit: à

Duhamel est excellent et peu de gens savent déceler l’excellence.
Balzac, Zola, Duhamel, dans un autre siècle.
Ce qui me déplait un peu trop chez Zola c’est ce langage familier et outrancier qu’il s’est forcé à mettre dans ses romans, pour plaire, alors que ça ne lui ressemblait pas.
Je vous invite à relire la Chronique des Pasquier qui est un petit chef d’œuvre, n’en déplaise à beaucoup.

william dit: à

Nos deux gentlemen aux propos si éthérés trouveront_ils dans ces lignes un terrain d’entente 7 mars 2015 à 15 h 42 min

En passant dans un autre idiome, un mot ou une expression peuvent subir une modification voire changer de sens au point de devenir incompréhensibles par rapport au sens premier

D. dit: à

Qu’est-ce au c’est qu’un idiome ?

La maman de Dédé..... dit: à

Repose toi, mon petit ! on est seulement samedi …

Chaloux dit: à

@M. Court.
Très étonné de votre réaction à propos de Duhamel. On ne le lit plus parce qu’une poignée d’imbéciles ont décidé que c’était démodé donc illisible. Passons sur le style, peut-être, mais les écrivains de cette époque, qu’ils soient Duhamel, Romain Rolland, Martin-du-Gard (on respecte encore Martin-du-Gard, mais le lit-on davantage?) ont beaucoup à nous apprendre et à nous dire. Je ne vois pas dans la littérature française de portrait plus acéré, distancié, chauffé à blanc, d’un père, que dans Le Notaire du Havre, même dans les Thibault, et Céline dans Mort à Crédit fait sur ce point l’effet d’un petit enfant. Ce désir de voir les êtres et les choses exactement, cruellement, telles qu’ils sont, place tout de même Duhamel, à son niveau et à son rang comme dirait Yourcenar à propos de je ne sais plus qui, dans la plus haute lignée de la littérature de langue française, sans compter en amont la puissance de réflexion que cela suppose.

Tous mes compliments à John Brown qui saisit en deux phrases l’irritante et géniale structure des livres de Giono, ces romans en perpétuel commencement, ces débuts mis bout à bout qui finissent par mener si loin. Une vraie remarque de lecteur.

C’est bien de pouvoir encore parler littérature de temps en temps.
Tout autre chose, l’abbé Finkelkraut a encore frappé. Sur Internet, « des psychotiques qui se croisent ». Monsieur l’abbé évite évidemment de se demander qui les a rendus fous…

« Bonne fin de journée »

la vie dans les bois dit: à

François- à demain- soyez prêt- flotte marchande chargée de riz attendue- feux de Bengale signaleront vos écueils- météo marine stable-possibilité de quelques turbulences en provenance du Japon-restez bien au fond.

Jambrun dit: à

 » Il n’y a pas un islam éternel, immobile, toujours pareil à lui-même. Il y a des femmes et des hommes musulmans, qui réinventent sans cesse, dans leur extrême diversité, leur propre relation à la foi et à la loi, aux textes comme à la vie  » (Jean Birnbaum, « Le Monde des livres » du 6 mars)

Admirable Birnbaum. Comment nier la véracité limpide de ces lignes sans tomber dans le simplisme où se complaisent tant d’imbéciles ?

Chaloux dit: à

Birnbaum en âne bénisseur… Qui ne voit d »ailleurs qu’il n’y a pas de véritable enjeu religieux mais, de quelque côté qu’on se place, un fantastique problème d’acculturation?

Jambrun dit: à

Qui ne voit d »ailleurs qu’il n’y a pas de véritable enjeu religieux mais, de quelque côté qu’on se place, un fantastique problème d’acculturation? (Chaloux)

Fantastique, c’est le mot. Parce que ce « problème » relève de la fantasmagorie et ne peut donc être résolu. Pourquoi ? Tout simplement parce que vous ne pouvez pas exiger des autres de devenir autres que ce qu’ils sont. Exiger des autres qu’ils s’acculturent, qu’ils « s’assimilent » est le masque « convenable » de l’intolérance et du refus de l’autre. Il faut accepter de vivre ensemble avec les autres, avec la différence des autres, les innombrables différences des autres, c’est la seule solution. Babel, c’est ici et aujourd’hui. La liberté est inséparable de la diversité, des mélanges à l’infini, comme l’air dans le ciel et la mer dans la mer.
Il y a, pour nos sociétés, un enjeu culturel majeur. Le repli et la fermeture sur l’héritage « judéo-chrétien » serait la catastrophe; c’est, de toute façon, impossible.
Il y a un enjeu religieux : c’est de savoir si va triompher le monisme culturel que trimbalent depuis leur apparition, comme leur tare originelle, les trois monothéismes, et dont procède l’islamisme radical des gens de l’EI et de leurs émules. Et il est hors de question que, sous quelque forme que ce soit, il triomphe.

l'autre pour the same dit: à

quand, il y a un ou deux ans , on disait sur ce blog qu’il y avait encore des documents relatifs à la vie et à la mort juives à découvrir et à publier, P.Assoulline lui-même se gaussait d’un …diagnostic comme les politiques sortent un 4* -3 §
Une dame politiue à une jeune chercheuse qui travaillait sur un corpus inédit (relatif à la shoah) et à quoi ça vous sert ? sic
auxschwitz n’est pezut-être plus un symbole politique, ni ferroviaire , ni, ni, mais ..MERCI de confirmer ce dire ancien par le tweet

l'autre pour the same dit: à

auschwitz et zut de zut !

Jambrun dit: à

Babel, c’est ici et aujourd’hui. (moi)

La photo du haut, c’est Babel en réduction, c’est le Babel originel, réduit à la dualité originelle : qui es-tu, toi qui me regarde ? Qu’est-ce que tu veux me dire ? Qu’est-ce que tu as à me dire ? Qu’est-ce que tu me veux ? Rien, peut-être Toi, si différent, toi, d’une autre espèce, toi, l’autre vivant, l’autre regardant, ressentant, parlant, autrement que moi. Manquerait plus que tu regardes, ressentes, penses, dises la même chose que moi : quelle tristesse,quel désespoir ce serait.

Chaloux dit: à

John Brown, ta charmante naïveté peut-elle te cacher que si une guerre est déclarée, elle l’est à la recherche fondamentale et à la critique historique?

Court dit: à

Chaloux, je visais surtout l’essayiste qui n’a entre autres, rien compris au cinéma;et l’auteur fécond qui encombre les boites des deux rives de la Seine; Dur pour un bouquiniste de vendre un Duhamel.
Si vous me concédez que le style n’est pas fameux…Romain Roland n’aurait jamais du éctire autre chose que de la musicologie.
Pour le reste,je ne sais pourquoi l’Orient vu par Jambrun me fait songer aux turlutaines prechées par un Orient que l’on dit Grand, et qui rapetisse de jour en jour, incapable qu’il est de dépasser un anicléricalisme de Brontosaure façon Combes… Ah, quand le concierge fait partie de la loge, les idéaux en prennent un coup!
Bonne soirée.
MC

Chaloux dit: à

M. Court, vous êtes absout!

Quant au reste, contrairement à ce Simplet de Weelbek (un simplet -mal- conservé dans l’esprit de vin), je ne vois pas le moins du monde dans ce qui se passe en ce moment les prémisses d’une quelconque « soumission » mais tout le contraire, un chant du cygne.

bérénice dit: à

Excusez, je ne suis pas le débat du matin au soir et du soir au matin ,qui chanterait? .

Chaloux dit: à

La fin d’un monde, mon vieux béret…

l'autre pour the same dit: à

il ,n’ya pas

un chat dans cette rue de la photo
quelle heure, où?

l'autre pour the same dit: à

la photo est touchante

l'autre pour the same dit: à

ayant eu,enfant, une chienne btûlée au fer rouge dans un resto

l'autre pour the same dit: à

chienne qui me défendit toujours, et moi de ^même

bérénice dit: à

19h20 Une chorale, les chœurs de l’armée rouge , l’armée du salut? may be mon vieux matou?

bérénice dit: à

Les acteurs du changement sont des acteurs qui ont changé.
les acteurs de cette fin annoncée sont des acteurs finis.

le fantôme de JC..... dit: à

Il est rare qu’un c.n nobélisé reconnaisse qu’il est c.n ! Et que cela nous enchante de l’accueillir parmi nous. Lui ou un autre !

Le Clézio, mauricien d’opérette, pitre, écrivain ennuyeux, foutriquet littéraire médaillé, le fait à propos de ses sentiments identitaires.

Rendons grâce à dieu de cet aveu de sa part qui le place haut dans notre estime amusée … !

Jambrun dit: à

« Si Marine Le Pen gagne, je rendrai mon passeport français ». Dixit Le Clézio

Quel bonheur j’aurais à l’imiter. Si je gagne au loto, c’est dit : en route pour un paradis aussi tropical que fiscal.

Widergänger dit: à

Birnbaum se met le doigt dans l’œil et profond…!

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…les sujets à commentaires,!…bon, comme de la viande hachée,…

…champ d’influence, le désert à concept des rôles pour des constructions de thermites,!…

…cassé le thon,…sur l’identité et le leitmotiv, du laisser-aller de trop,…sur tout,…

…pour savoir en ramener de la politique- politicienne en votant pour les collectes des encombrants,!…
…les caisses aux pétroles et bananes,!…

…c’est on ne peut plus clair,!…

…ne réfléchissez plus de trop,!…
…la fille à sa mère, vous attend,…n° 6,…
…allez,…vider-vous,…votre sous-conscient de mémoire de maître,!…

…non, non,…c’est jouissif,…de se contenir de ses subversions d’esprits conte-nues, s’en rien laisser au réel,!…
…quel chien, il garde tout le meilleur pour lui,!…
…il va nous en rallonger des écrits à  » tapisserie de l’apocalypse « ,…façon château d’Angers,…
…nous somme vacciner n’est ce pas,!…etc,!…
…alors, les filles à leurs mères,!…on s’impatiente la galette au bout des langues,!…
…crème fraîche, miel, nectar inavoué,…calembours ne forçons pas la dose, aux anges,!…
…enfin, ce qu’il en reste pour  » décoller « ,…au 7° ciel,!…l’ascenseur,!…à renvoyez,!…pour le plein aux guises en bouches,!…
…beaux jeux de mots,…des morts ressusciter,en élucubrations des familles en cours,!…
….Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…
…etc,…

Widergänger dit: à

Yannis Ritsos, du temps des Colonels grecs, étaient prisonnier dans l’île de Samos avec ses concitoyens. C’était autre chose que Le Clézio, qui veut quitter le navire qui prend l’eau. C’est un peu facile de rendre son passeport quand on a les moyens d’aller ailleurs. Il se prend pour V. Hugo en exil, pour Th. Mann fuyant le nazisme… C’est un comique ! Aussi nul dans sa vie que dans ses romans.

Widergänger dit: à

De toute façon, mes petits chéris, je vais vous dire, moi ! Quand Le Pen arrivera au pouvoir au pouvoir, ce sera comme en 1940, tout le monde deviendra aussi sec lepéniste, du haut en bas de la pyramide social, du trou du cul basique jusqu’aux hauts fonctionnaires, en passant par toute la hiérarchie policière et militaire. Y a qu’à lire Irène Nemirovski pour en être convaincu. Suite française, mes petits chéris, que ça s’appelle. Les Français ont l’esprit de suite, vous verrez. Et les écrivains de toutes sortes deviendront gentiment de bons collabos, comme en 40, mes chéris…

la plume de mon oncle dit: à

L’anglais tel qu’on le parle dit: 7 mars 2015 à 15 h 42 min
le mot dont duquel la mauvaise langue etc itou est ‘shoking’ qui ne veut rien dire en anglishe…j’ai entendu parler de choking et de shocking mais shoking? nan…peut-être dans un univers parallèle?

la plume de mon oncle dit: à

Au delà de l’étymologie de ce mot mythique, c’est la propension de certains ici a parler de livres qu’ils n’ont pas lus et d’utiliser des mots dans une langue qu’a l’évidence, ils ne parlent pas…vous apprenez ca en fac, ou c’est la vie qui vous a rendu ainsi ?

Widergänger dit: à

la plume de mon oncle dit: 7 mars 2015 à 21 h 29 min
Chapeau bas, mes chéris ! On a affaire à un génie.

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